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IeChroniq

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Editorial

S'il fallait résumer l'année qui se termine en un mot, ce

pourrait être la visibilité: en effet, parmi tous les événements

qui ont ponctué la vie de la SCIP en 2010, des images fortes

et belles viennent à l'esprit :

Tout d'abord l'aspect du sémaphore proprement-dit,

fraîchement repeint, ce qui n'était pas arrivé depuis plusieurs

décennies : combien d'entre-nous se souviennent l'avoir vu

aussi blanc et rayonnant, dans la lumière du matin, lorsqu'on

y arrive par l'Est ? Il a fière allure, avec ses gouttières en

cuivre , ses ouverfures en gris franc, les pavillons en haut, les

<< mauvaises herbes >> arrachées. et même le sanon aveo son

affût...

Cette vision accueillante est d'autant plus méritoire que

c'est sans doute le chantier qui a impliqué le plus grand

nombre d'adhérents, selon les disponibilités et le savoir-faire

de chacun.

L'autre image notable est celle que quantité de gens,

connaisseurs ou néophytes, de Noirmoutier ou de passage,

ont pu contempler dans le cadre valorisant des Salorges :

l'exposition < le Pilier, île sentinelle >. Là encore le talent et

la passion de quelques adhérents / artistes ont permis de

donner à voir le Pilier sous toutes ses coutures.

Enfin, quelle fierté, pendant la fête du port de

Noirmoutier, le Pilier était présenté en bande dessinée dans

l'ancien musée de la Construction Navale et le passeur qui

faisait traverser d'une rive à l'autre était tenu oar des

bénévoles portant le tee-shirt de la SCIP !

En des temps où la communication prime parfois sur

I'action, nous pouvons espérer tous ensemble avoir donné,

cette année, une << bonne image >> de l'association et de son

objet.

Merci à tous, encore une fois, pour votre dévouement et

l'ambiance inestimable qui règne dans chacune de nos

actions communes.

Bonnes Ëtes de fin d'année et à bientôt" autour de la

salette ou au Pilier.

Franck GREGORY

Fonds documentaire

Le Conservatoire du Littoral nous a versé la somme de

2000 euros afin que nous puissions acquérir des documents

d'archives en provenance du Service Historique de La

Défense situé au château de Vincennes.

Deux d'entre eux figurent en illustration de la présente

chronique ; il s'agit d'extraits de documents officiels

numérisés en très haute résolution, nous permettant la

réalisation de tirages de dimensions importantes et de grande

qualité.

Ces documents seront triés puis reproduits sur des

supports de type << ancien > afin de pouvoir être présentés

aux visiteurs du sémaphore, au milieu d'autres éléments

muséographiques tels des maquettes, des objets anciens ou

des fiches sur la faune et la flore.

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