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D E S P A Y S A G E S ' E T D E ' l E U R S M É T A M O R P H O S E S t

ques. La tristesse des p tracé des futures rues n diagonales d'une voie route et des lignes éle cette tache urbaine se Fennes et villages, du El Elefante.

C'est la préoccupation de pre lion d'habitants pour améliorer 1 vie qui a permis cette:u propriétaires en zone mé leu1 portée que peu dé# , bâti eux-mêmes leur maison. truction n'est envisagée que CO

inévitable, géré selon les contrain de temps, le foyer n'est qu'exceptionnellement 1 objet d'une attention privilégiée. Sa Fonception se limite donc en général à quatre ou cinq murs coiffés J 'un toit, 'IU meilleur coik

truction et les c l'uniformité d'une dination des bâtiments:à cette nouvelle ville en un duits industriels. Les maisons leuis murs de parpaings et la froideur$métallique de leur portes et fenêtres. Après avoir été l'un des pay- sages champêtres les plus verdoyants, recherché poili sa vie pastorale et lacustre, Chalco a en une décennie recouvert ses bleus et vertsvde l'uniforme cle son urbanisation. ,

Dans l'attente de revêtir ses paysage se cantonne dans le g stérile, peu encombrée par 1 ment posées sur de vastes te les saisons des pluies ou des vents mâtinent du gris- poussière au noir boue, parfois d'une inconsistance Ctliérée et parfois d'une lourdeur poisseuse qui colle la peau, tend à recouvrir de son ombre les giis apportés par les hommes: gris parpaing des murs ou noir goudron des notone, renvoie une image monochrome:'

l'oui tant, dans la Vallée, lentes imposent leurs cou1 alentours. Elles sont la,cré nes qui refusent la platitud dans la communauté pars de leur foyer En grande majorité, lesTemains sont encore des chantiers en gestation, dont les mate- iiiius entassés laissent entrevoir parfois un éclat de

La disponibilité réduite des

,

couleur, Ces,maisons, dont le projet final est ajourné, font tout de même l'objet de soins pure-

I Leb murs d'un bon nombre de maisons solit ainsi peints, parfois d'une seule couche de couleur sur les parpaings bruts. On peut alors trouver l'harmonie d'un jaune-canari -l'encadrement d'une fenEli c- avec le rose dit mexicain^ (rom mexicano) d'un inur. Ces initiatives viennent presque exclusivement des

, femmes; dans la Vallée, celles-ci s'ennuient parce qu'elles n'ont accès à aucun travail rémunérateur.

lus clair de leur teinps à la maison et disponibles ii consacrer du teinps 1

e de leur maison. I

dans les quartiers riches les plus anciens de~la,Vallée; le passant est surpris par la quantité de murs d'enceinte. Ces murs sont le plus souvent laissés bruts et les rues en sont, inalheu- reusement, d'autant moins IiospitaliCi es. h la façon desgmaisons arabes, toutes les attentions

r menpesthétiques,

à l'intérieur. Mais, si ces niiirs uvent très élevés, sont relative-

ne grande partie des terrains ne ue de barrières, de fil de fer ou

de grillage -lorsque leurs limites ne sont pas totalement floues.

~r 1 _ ' .

P A I S A J E , I D E NTI D A D , T E R R IT0 R I O I

NO. I4 * IN'VIERNO 1993.0JONO 1994 0 V I AÑO

Editorial

Eric Marquer ....... , ......................... 1 .................................................................... ..f Una doble e incurable nostalgia Alvaro Mutis ................................................ ; ....................................................... 2

a .

. ,

DU PAYSAGE: LES CHEMINS DE LA THÉORIE , . ' I ,

Un paysage peut4 être érotique?

Alain Roger .............................. ,'.

................................................ Y9 Jean-Baptiste Granger de Boissel . . Éclats de couleurs sur camaïeux de gris

Sabine L' Hommée ................ :.:...:..A. ........................................................... 24 Enjeux paysagers en centre-ville à Mexico

. . . . . . . . . . . . . . . . . 54

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. . . . . . . . .

ës de la vida cullural en México y , cine, teatro, ciencias del hombre

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