fall semester university paul valéry (upv) direct

Direct Enrollment Sample Course CatalogUniversity Paul Valéry (UPV)Fall SemesterIntroductionAs a study abroad student on the Advanced Track of the University of Minnesota’s Language & CultureLearning Abroad Program in Montpellier, France you will take one or more direct enrollment courses at theUniversity Paul Valéry (UPV) or the University of Montpellier (UM). You may choose classes to fulfill yourmajor or minor courses or liberal education requirements.

UPV is the humanities university in Montpellier, consisting of 19 departments in the arts, humanities,languages and social sciences. Classes are sorted by department and then organized by year of study.

A French licence is equivalent to a US bachelor’s degree and is built on a 3-year plan. Programparticipants can select classes from any year and these classes will transfer back to the UofM as 3XXX,upper division courses. Because all courses are taught in French, the course descriptions have not beentranslated. If you require a more in-depth syllabus for course approval from your department, pleaseemail the Montpellier Program Team.

This catalog is designed to help you explore the breadth and depth of courses available at UPV. Courseavailability is subject to change. You will be asked to provide one or more alternatives for your courseselections as there may be conflicts in your schedule or changes to the course offerings. Just like in theUS, you will have a short add/drop period so you are encouraged to work with your Academic Advisor(s)before departure to get preapprovals for several courses.

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Useful French VocabularyLICENCE 1: Semestre 1 (E 10) Niveau de la matière enseignée : Initiation

First year of bachelor’s degree

LICENCE 2: Semestre 3 (E 30) Niveau de la matière enseignée : IntermédiaireSecond year of bachelor’s degree

LICENCE 3: Semestre 5 (E 50) Niveau de la matière enseignée : AvancéThird year of bachelor’s degree

DÉPARTEMENT L’université est divisée par « matière d’enseignement »This document is divided by academic department.

CM Cours MagistralLarge lecture format, sometimes accompanied by a TD

TD Travaux DirigésSmall group format, discussion based course or lab work

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https://umabroad.umn.edu/programs/europe/montpellier#tab=Advanced_Track

https://umabroad.umn.edu/programs/europe/montpellier

https://umabroad.umn.edu/programs/europe/montpellier

https://umabroad.umn.edu/programs/europe/montpellier#contact-tab

DepartmentsAES // INTERNATIONAL RELATIONS, POLITICAL SCIENCE AND ECONOMICS

ARTS DU SPECTACLE // VISUAL ARTS

ARTS PLASTIQUES // STUDIO ART

BIOLOGIE, ECOLOGIE ET ENVIRONNEMENT // BIOLOGY, ECOLOGY ANDENVIRONMENT

COMMUNICATION, MÉDIAS, MÉDIATIONS NUMÉRIQUES // MEDIA &COMMUNICATION STUDIES

ETHNOLOGIE ET ANTHROPOLOGIE // ETHNOLOGY AND ANTHROPOLOGY

GÉOGRAPHIE // GEOGRAPHY

HISTOIRE // HISTORY

HISTOIRE DE L’ART ET ARCHÉOLOGIE // ART HISTORY AND ARCHEOLOGY

INFORMATION ET COMMUNICATION // INFORMATION AND COMMUNICATIONSTUDIES

LETTRES MODERNES // FRENCH LITERATURE

MUSIQUE // MUSIC

PHILOSOPHIE // PHILOSOPHY

PSYCHOLOGIE // PSYCHOLOGY

SCIENCE DE L'ÉDUCATION // EDUCATION

SCIENCES DU LANGAGE // LANGUAGE SCIENCES & LINGUISTICS

SOCIOLOGIE // SOCIOLOGY

SPORT // SPORTS

LES LANGUES // LANGUAGES

ALLEMAND // GERMAN LANGUAGE, LITERATURE AND CIVILIZATION2

ANGLAIS // ENGLISH LINGUISTICS, LITERATURE, TRANSLATION ANDCIVILIZATION

ARABE // ARABIC LANGUAGE AND CIVILIZATION

CHINOIS // CHINESE LANGUAGE AND CIVILIZATION

ESPAGNOL // SPANISH LANGUAGE, LITERATURE, LINGUISTICS,TRANSLATION, AND CIVILIZATION

GREC MODERNE // MODERN GREEK LANGUAGE AND CIVILIZATION

ITALIEN // ITALIAN LANGUAGE, LITERATURE, TRANSLATION ANDCIVILIZATION

OCCITAN // OCCITAN LANGUAGE AND CIVILIZATION

PORTUGAIS // PORTUGUESE LANGUAGE, LITERATURE ANDCIVILIZATION

RUSSE // RUSSIAN LANGUAGE AND CIVILIZATION

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Course DescriptionsAES // INTERNATIONAL RELATIONS, POLITICAL SCIENCE AND ECONOMICS

LICENCE 1

E11AE5 Introduction aux sciences sociales (26 h) -2cObjectif général: Histoire et analyse des idées et des faits économiques et sociauxObjectif spécifique: A la fin du cours, les étudiants devraient être capables d'analyser et de proposer des synthèsesdes idées et des faits économiques et sociauxPlan de cours:Introduction - 1- La mondialisation du XVe au XVIIIe siècle : la dynamique du capitalisme - 2- De laRévolution industrielle à l'émergence de la question socialeBibliographie :Adda J., 2006, La mondialisation de l’économie : genèse et problèmes, Paris, La Découverte, 1ère édition : 1996 –Aron R., 1967, Les étapes de la pensée sociologique. Montesquieu. Comte. Marx. Tocqueville. Durkheim. Pareto.Weber, Paris, Editions Gallimard –Baecheler J., 1995, Le capitalisme, Paris, Gallimard –Bairoch P., 1997, Victoires et déboires. Histoire économique et sociale du monde du XVIe siècle à nos jours (3tomes), Paris, Gallimard- Brasseul J., 2001, Petite histoire des faits économiques et sociaux, Paris, Armand Colin- Castel R., 1995, Les métamorphoses de la question sociale, Paris, Fayard- Delas J.-P. et Milly B., 2005, Histoire des pensées sociologiques, Paris, Armand Colin

E12AE5 Grand problèmes économiques, juridiques et sociaux (39h) -3cIntroduction au droit général de l’Union Européenne en vue de se familiariser avec le vocabulaire propre au droiteuropéen, connaître les grandes questions juridiques européennes et savoir analyser ces questions.Evaluation : Contrôle continu et terminal

E14AE5 Introduction à l'Économie (39h de CM ET 26h de TD) – 5 cAnalyse des principales fonctions économiques (circuit, production, répartition et emploi du revenu, politiqueséconomiques)

E16AE5 Introduction au droit privé (39h CM ET 26h de TD) – 5 c

LICENCE 2

E32AE5 Comptabilité (39h CM + 26h TD = 65 h) – 5 c

E31AE5 Droit des obligations (26h CM + 26h TD = 65 h) – 5 cObjectif général : Connaître les principales sources d'obligations civiles (contractuelles et délictuelles) et maîtriserleur mise en oeuvre. Il s’agit d’acquérir une culture juridique de base de nature à permettre à l’étudiant, placé ensituation, de répondre aux questions suivantes :- Qu’est ce qu’un contrat ? Comment se forme-t-il ? Quelles sont ses conditions de validité et comment sont-ellessanctionnées ? Quels sont les effets du contrat ? Quelle est la sanction de l'inexécution contractuelle ?- Quels sont les différents régimes de responsabilité civile délictuelle ? (responsabilité civile du fait personnel, du faitd'autrui, du fait des choses, régimes spécifiques)

E34AE5 Sciences sociales (26h CM + 13h TD = 39h) – 3 c

E33AE5 Economie monétaire et financière (26h CM + 13h TD = 39h) – 3 cL’objectif de ce cours est d’appréhender les questions monétaires et financières. Les thèmes relatifs à la nature de lamonnaie, aux mécanismes de création de monnaie sont abordés avant d’analyser les modes d’organisation de lapolitique monétaire. Une large part est accordée à l’organisation de la politique monétaire dans la zone euro. Enfin,les modes de financement de l’économie sont présentés et les rôles respectifs des institutions financières et desmarchés de capitaux sont étudiés.Evaluation : Contrôle continu et terminal

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LICENCE 3

E51AE5 Multiculturalisme : citoyenneté et identité (39h de CM) – 3 cAppréhender les diverses formes, politiques et sociales, que revêt le multiculturalisme. Les identités serontappréhendées selon plusieurs dimensions (socialisation de la jeunesse, à l’école, au travail). Culture,multiculturalisme et intégration politique, culture politique, théories de la domination, enjeux du multiculturalisme etde l’intégration. Socialisation, action collective et mobilisation identitaires. Les mécanismes de la socialisation -travailet culture d’entreprise - action collective (syndicalisme) et nouveaux mouvements sociaux.

E52AE5 Economie internationale et industrielle (26h de CM et 13h de TD) – 3 cApplication des modèles économiques aux relations Internationales. 1/Les gains à l’échange : le modèle de Smith etde Ricardo. 2/Le modèle d’Heckscher et Ohlin ou le modèle suédois. 3/La formalisation de Samuelson. 4/Laprotection : analyse positive et normative. 5/ Les modèles de concurrence imparfaite et l'Économie Internationale.6/L’organisation industrielle. 7/ Les problème des transferts. Examen : Ecrit de 3h.

E53AE5 Droit de l’union européenne (26h de CM et 13h de TD) – 3 c

E54AE5 Economie de la croissance (26h de CM et 13h de TD) – 5 cCet enseignement vise la maîtrise des concepts et des indicateurs de mesure de la croissance, des crises et desfluctuations de la conjoncture. Il s’agit d’approfondir les connaissances théoriques acquises en macro économied’une part, et d’introduire la dynamique économique d’autre part. L’objectif est également de présenter les analysescritiques autour du débat croissance/développement au travers des nouveaux indicateurs de développement humainet durable.Evaluation : contrôle continu et terminal

E55AE5 Contrôle de Gestion (26h de CM et 13h de TD) – 3 cComprendre les approches et techniques traditionnelles du contrôle de gestion. 1/Objectifs et moyens du contrôle degestion. 2/Méthodes des coûts complets : centre d’analyse, ABC. 3/ Méthodes des coûts partiels. 4/Imputationrationnelle des charges fixes. 5/ Principes d’analyse des coûts : seuil de rentabilité, marges, indice de sécurité, levieropérationnel. 6/ Coûts préétablis et analyse d’écarts. Examen : Devoir à rendre.

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ARTS DU SPECTACLE // CINEMA AND THEATER

Arts de la scène (Théâtre, Danse, Spectacles divers, son, lumière), Cinéma (scénario,réalisation), Création Numérique, Médias (Télévision, documentaire, Reality show),Photographie : aspect artistique, théorique, historique, sociologique et économique.

LICENCE 1

E11ASC5 Histoire du Cinéma et de l’audiovisuel (19,5 h de CM et 19,5h de TD = 39h) – 3 c

CM Histoire du Cinéma Muet (1895-1930)Panorama historique, esthétique, technologique, économique et socioculturel de la période muette : la « préhistoire» et l’invention du cinéma, le cinéma des premiers temps, entre captation et attraction, la naissance d’une industrieculturelle et le développement du langage cinématographique dans les années 1900/1910 (narration, montage), laconstitution du style classique hollywoodien (Griffith), les avant-gardes européennes des années 20, le passage auparlant et ses conséquences.BIBLIOGRAPHIERené Prédal, « Histoire du cinéma, des origines aux années 2000, abrégé pédagogique », revue Cinémactionn°142, Corlet, 2012.Jean-Louis Leutrat, Le Cinéma en perspective, une histoire, Armand Colin, rééd. 2008.Jean Mitry : Histoire du Cinéma, tomes 1, 2 et 3, Éditions Universitaires, 1967-1973.David Bordwell, Kristin Thompson, Film History, McGraw-Hill, rééd. 2009.

Choix parmi 9 TD

TD1 LE CINÉMA EN FRANCE DE 1895 À 1927Ce cours propose un panorama de l’histoire du cinéma français à travers l’étude des évolutions esthétiques,techniques et économiques de la période de 1895 à 1927. Il s’agira pour les étudiants d’acquérir de solidesconnaissances historiques sur cette période du cinéma français afin qu'ils puissent les mettre en perspective avecl'histoire mondiale du cinéma. L’analyse filmique sera également explorée par les extraits de films étudiés en cours..

TD2 LE CINÉMA EN FRANCE DE 1895 À 1927Ce cours propose un panorama de l’histoire du cinéma français à travers l’étude des évolutions esthétiques,techniques et économiques de la période de 1895 à 1927. Il s’agira pour les étudiants d’acquérir de solidesconnaissances historiques sur cette période du cinéma français afin qu'ils puissent les mettre en perspective avecl'histoire mondiale du cinéma. L’analyse filmique sera également explorée par les extraits de films étudiés en cours..

TD 3 « RACE ET ETHNICITÉ DANS LE CINÉMA MUET AMÉRICAIN »Ce TD propose d’explorer le cinéma muet américain de la période muette en se focalisant sur les enjeux de race etd’ethnicité qui travaillent les productions de la période. Les représentations véhiculées par des films tels que TheCheat (1915), Birth of a Nation (1915), The Sheik (1921) ou Body and Soul (1925) seront placées dans leur contextesocio‐historique de production et éclairées par des analyses de leur réception auprès du public états‐unien.

TD 4 Les premiers temps du star system hollywoodienCe TD sera consacré aux premiers temps du star-système hollywoodien (années 1910 et 1920). Après uneintroduction rappelant notamment comment les stars ont progressivement été mises en avant dans les discoursmédiatiques et les matériaux promotionnels entourant la sortie des films, chaque séance sera consacrée à l’étudespécifique d’une star majeure de la période (Mary Pickford, Theda Bara, Charlie Chaplin, Douglas Fairbanks, RudolfValentino, etc.). Nous mettrons en lumière les grands traits de la persona de chacune d’entre elles grâce à desanalyses d’extraits de films et d’articles de presse, systématiquement replacés dans leur contexte socio-historiquede production. Il s’agira également de s’interroger sur la réception de ces stars (auprès de quels publics étaient-ellespopulaires ? pour quelles raisons ?).

TD 5 Le cinéma soviétique : de l’avant garde au réalisme socialisteLe cours présente les principales tendances du cinéma soviétique à partir de la période de l'avant garde jusqu’àl’affirmation de l’esthétique réaliste socialiste. Il s’agira d’aborder les fondements des travaux théoriques etartistiques (les formalistes russes, Malevitch, Maïakovski, Meyerhold) qui ont nourri le cinéma soviétique, afin demieux comprendre les oeuvres expérimentales (les films de Koulechov, Eisenstein, Vertov) tout comme le cinéma degenre (Barnet, Aleksandrov, Romm).

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La bibliographie sera donnée au premier cours.

TD 6 HISTOIRE DU CINÉMA BURLESQUECe TD propose d’explorer le cinéma burlesque de la période muette, en étudiant les grandes évolutions du genre eten s’attardant sur certaines de ses figures majeures, américaines (Chaplin, Keaton, Lloyd, etc.) comme françaises(Linder, Durand, etc.). Les films étudiés seront systématiquement replacés dans leur contexte sociohistorique deproduction et une attention sera portée à leur réception auprès du public de l’époque de leur sortie.

TD 7 LA NON‐FICTION ET LA GENÈSE DOCUMENTAIRE (1895 – 1930)Au tout début, la non‐fiction dominait la production cinématographique. Dans la période du cinéma muet, lanon‐fiction s’est beaucoup diversifié et a permis la genèse de ce qu’on allait appeler par la suite le cinémadocumentaire. Ce cours propose une plongée dans cette histoire d’un cinéma devenu à la fois très conventionnel etespace de liberté et d’expérimentation.

TD 8 Naissance des genres cinématographiquesDès ses débuts, le cinéma s'est très vite diversifié : de la simple distinction fiction – non-fiction du temps des frèresLumière et Méliès au foisonnement des genres vers la fin du muet. Certains ont perduré jusqu'à aujourd'hui, mais il ya aussi des genres ou catégories cinématographiques disparus dont nous trouvons pourtant encore des traces dansles films récents. A travers l'histoire des genres du cinéma muet nous abordons des questions : Qu'est-ce qu'ungenre ? D'où viennent-ils (et où vont-ils) ? Comment les définir ?INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUESALTMAN, Rick. Film/Genre. British Film Institute, 1999.BORDWELL, David ; THOMPSON Kristin. Film History. McGraw-Hill, 1994.GUNNING, Tom. « Non-Continuity, Continuity, Discontinuity: a Theory of Genres in Early Film » in Iris, vol. 2, n° 1,1984, pp. 101-112.MOINE, Raphaëlle. Les Genres du cinéma. Paris, Nathan, 2002.PIOTROVSKI, Adrian. « Vers une théorie des ciné-genres » (1927) in Les Formalistes russes et le cinéma. Poétiquedu film. Nathan, 1996, pp. 143-162..

TD 9 La naissance d’Hollywood (1900-1930) : d’une rive à l’autreNous nous intéresserons à la préhistoire et aux premières années de la naissance de Hollywood, qui va devenir lavéritable capitale mondiale du cinéma au début du XXème siècle. Nous analyserons les conditions d'émergence dela cité californienne en tant que lieu propice au développement de l'industrie cinématographique naissante au débutdes années 1910. Nous verrons comment et pourquoi l'industrie cinématographique migre de New-York, premier lieuimportant du cinéma sur le sol américain, vers Hollywood. A travers les extraits de quelques films importants decette période, nous suivrons la mise en place progressive d'un système industriel et d'une « esthétiquehollywoodienne » où déjà le genre apparaît comme un repère incontournable.BIBLIOGRAPHIEBAZIN, André, Charlie Chaplin (1972), Petite bibliothèque des Cahiers du cinéma, 2000.BROWNLOW, Kevin, Hollywood, les pionniers du cinéma, Ramsay poche cinéma, 1995.BURCH, Noël, La Lucarne de l'infini (1991), L'Harmattan, 2007.CAPRA, Frank, Hollywood Story (1971), Ramsay Poche cinéma, 2006.CENDRARS, Blaise, Hollywood, la Mecque du cinéma, Ramsay poche cinéma, 1987.GAUTHIER, Brigitte, Histoire du cinéma américain, Hachette, 2007.KESSEL, Joseph, Hollywood, Ville Mirage, Ramsay Poche cinéma, 1989.SADOUL, Georges, Histoire du cinéma mondial. Des origines à nos jours (1949), Flammarion, 1972.VIDOR, King, La Grande parade (1981), Ramsay Poche cinéma, 1985.

TD 10 La naissance d’Hollywood (1900-1930) : d’une rive à l’autreNous nous intéresserons à la préhistoire et aux premières années de la naissance de Hollywood, qui va devenir lavéritable capitale mondiale du cinéma au début du XXème siècle. Nous analyserons les conditions d'émergence dela cité californienne en tant que lieu propice au développement de l'industrie cinématographique naissante au débutdes années 1910. Nous verrons comment et pourquoi l'industrie cinématographique migre de New-York, premier lieuimportant du cinéma sur le sol américain, vers Hollywood. A travers les extraits de quelques films importants decette période, nous suivrons la mise en place progressive d'un système industriel et d'une « esthétiquehollywoodienne » où déjà le genre apparaît comme un repère incontournable.BIBLIOGRAPHIEBAZIN, André, Charlie Chaplin (1972), Petite bibliothèque des Cahiers du cinéma, 2000.BROWNLOW, Kevin, Hollywood, les pionniers du cinéma, Ramsay poche cinéma, 1995.BURCH, Noël, La Lucarne de l'infini (1991), L'Harmattan, 2007.CAPRA, Frank, Hollywood Story (1971), Ramsay Poche cinéma, 2006.CENDRARS, Blaise, Hollywood, la Mecque du cinéma, Ramsay poche cinéma, 1987.

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GAUTHIER, Brigitte, Histoire du cinéma américain, Hachette, 2007.KESSEL, Joseph, Hollywood, Ville Mirage, Ramsay Poche cinéma, 1989.SADOUL, Georges, Histoire du cinéma mondial. Des origines à nos jours (1949), Flammarion, 1972.VIDOR, King, La Grande parade (1981), Ramsay Poche cinéma, 1985.

E12ASC5 Apprentissages fondamentaux : esthétique

CM Esthétique et théories du cinémaCe cours d’introduction vise à interroger la spécificité de l’image et du langage cinématographiques. À travers l’étudede textes théoriques et critiques fondateurs et d’extraits de films, il s’agira alors d’envisager les enjeux esthétiquesdu cinéma à partir de questions fondamentales (le système de représentation, le rapport au réel, etc.) et desprocédés filmiques (cadrage, montage, narration, etc.).INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUESAUMONT Jacques et al, Esthétique du film, Armand Colin, 2008 (réédition).AUMONT Jacques, MARIE Michel, Dictionnaire théorique et critique du cinéma, Armand Colin, 2005.BORDWELL David. L’Art du film, une introduction, De Boeck Université, 2000.

TDCes Travaux Dirigés envisagent les questions esthétiques et sémiotiques fondamentales (l’image, le réalisme, lareprésentation, le langage...) et les codes du langage cinématographique (cadrage, montage, son, narration...) sousl’angle de la théorie (étude de textes, panorama des théories) et du commentaire (ces codes envisagés au traversd’études de cas emblématiques).Chaque enseignant proposera une orientation spécifique à son cours en termes de contenu pédagogique, defilmographie et, éventuellement, de bibliographie en complément des indications ci-dessus.

E13ASC5 Connaissance des métiers du cinéma (13h de CM et 26h de TD= 39h) – 3 c

CM Les métiers du cinémaCe cours propose, selon un axe historique, une présentation des corps de métiers aussi bien artistiques, financiersque techniques, nécessaires à la mise en oeuvre d’une production cinématographique.

TD 1 La réalisationEn quoi consiste le métier de réalisateur? Quelle est sa part de créativité dans le film? Comment s’organise le travailavec ses collaborateurs ? En quoi est-il l’auteur d’une oeuvre ?... Autant de questions – et d’autres – auxquellesnous tenterons de répondre au travers d’analyses convoquant respectivement la fiction, le documentaire et levidéo-clip.

TD 2 Approche du montageÀ travers une description du métier et du parcours de quelques monteuses et monteurs remarquables, le cours sefocalisera sur la place, le rôle et l’apport de l’étape du montage dans la chaîne de production cinématographique etaudiovisuelle. Le cours s’appuiera notamment sur des extraits audiovisuels, des documents et des textes sur lemontage cinéma et TV.

TD 3 Effets spéciaux numériques et cinéma d’animation 3DL'objectif est de donner une vision claire et synthétique du fonctionnement des studios d'animation 2D/3D et d'effetsspéciaux numériques : en partant de la diversité des processus de fabrication (variété des techniques) et desconfigurations de production (petits ou gros studios, en France ou à l'international, etc.), le cours expose au fur et àmesure les métiers rencontrés dans ces structures, leurs rôles et leurs interactions. Quelques échanges par skypeavec des professionnels permettent une complète immersion dans ce milieu.

TD 4 La réalisationEn quoi consiste le métier de réalisateur? Quelle est sa part de créativité dans le film? Comment s’organise le travailavec ses collaborateurs ? En quoi est-il l’auteur d’une oeuvre ?... Autant de questions – et d’autres – auxquellesnous tenterons de répondre au travers d’analyses convoquant respectivement la fiction, le documentaire et levidéo-clip.

TD 5 Le numérique dans les métiers du cinémaLes évolutions technologiques bouleversent l’industrie du cinéma. Les innovations numériques sont constantes etnul ne sait précisément à quoi ressemblera le cinéma dans une vingtaine d’années. Dans une ère où le virtuel et lesréalités augmentées envahissent les écrans, les professions liées au cinéma dépassent très largement le cadre del’équipe de réalisation traditionnelle. Le cours permettra de mettre en évidence les impacts des technologies

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numériques dans la chaîne de création cinématographique et de découvrir les innovations qui pourraient jouer unrôle déterminant dans les formations de demain.

TD 6 Les métiers de la productionAprès avoir détaillé toutes les étapes de la production, nous nous intéresserons en détail à chacun des métiers etdes rôles professionnels concernés (producteur délégué, directeur de production, coproducteur, administrateur deproduction). Nous étudierons les documents et outils employés pour chaque mission (teasers, dossiers, contrats,budgets, suivis des coûts). Nous nous arrêterons plus longuement sur les temps forts de la production (pitchings,forums, marchés), et sur l'élaboration du dossier de production, auquel les séances de travaux dirigés serontconsacrées (lecture, analyse de dossiers existants, création de dossiers en exercice).

TD7 Approche du montageIl s’agit moins ici d’apprendre le montage que de « l’approcher » pour mieux en comprendre la richesse et lespuissances. Après une brève historicité, nous en présenterons les principales familles et les grands principes enfaisant retour sur certains fondamentaux techniques (règles de raccords, etc.). Puis, nous interrogerons lesdifférentes conceptions de montage telles qu’elles ont été théorisées et leur possible obsolescence, ou comment lecinéma contemporain les « contient » et à la fois les « dépasse »

TD 8 Les métiers du son liés à l’imageSous cette dénomination, se cache plusieurs types de fonctions, de supports et d'espaces de travail. Nousessayerons de suivre le trajet du son, de l'enregistrement jusqu'à la diffusion, en nous appuyant sur les outils, lesenjeux et les contraintes. Nous prendrons exemple dans l'audiovisuel mais aussi dans le spectacle et le disque. Apartir d'outils accessibles à tous, des travaux pratiques nous permettent de manipuler le son enregistré.BIBLIOGRAPHIEDaniel Deshais "Pour une écriture du son"Écoutes : Arte radio.

TD 9 StoryboardCe cours propose une histoire du cinéma à travers les réalisateurs qui ont fait le choix du dessin pour la préparationde leur film ainsi qu’une initiation à la technique du storyboard ou continuité dessinée, abordée comme uneapproche narrative spécifique de l’écriture cinématographique.

TD 10 Le numérique dans les métiers du cinémaLes évolutions technologiques bouleversent l’industrie du cinéma. Les innovations numériques sont constantes etnul ne sait précisément à quoi ressemblera le cinéma dans une vingtaine d’années. Dans une ère où le virtuel et lesréalités augmentées envahissent les écrans, les professions liées au cinéma dépassent très largement le cadre del’équipe de réalisation traditionnelle. Le cours permettra de mettre en évidence les impacts des technologiesnumériques dans la chaîne de création cinématographique et de découvrir les innovations qui pourraient jouer unrôle déterminant dans les formations de demain.

E11AST5 Théorie et histoire des arts du spectacle) – 3 cLes métiers du spectacle vivantL’objectif du cours est de dresser un panorama des différents métiers dans le domaine du spectacle vivant. Cetteétude se fera dans un ordre précis afin de discerner les 3 corps de métiers en jeu. Un projet artistique commencepar la création, continue par la production et son enjeu économique et se termine par la réalisation technique. Nousverrons la réalité de ces logiques dans des compagnies et des lieux. L’idée est aussi de comprendre ces métiersdans leur ensemble, dans leur interaction avec les autres métiers et dans leur intégration dans une structureculturelle.

TD A : Les métiers techniques du spectacleConçu par le directeur technique du théâtre de la Vignette ce cours vous permettra de vous familiariser avec lesdifférentes techniques du plateau (Lumière, Son, Vidéo, Plateau) et de connaître les différents métiers techniques duspectacle vivant.

TD B : Les métiers d’écriture dans le spectacle vivantNous introduisons ce cours par une présentation de différents courants de la critique artistique. Nous interrogerons,ensuite, les outils d’analyse les plus pertinents dans le cadre de l’exercice d’une dramaturgie appliquée, dans laperspective d’un travail de collaboration avec un metteur en scène ou un auteur. Enfin, nous prendrons le temps deréfléchir aux conditions d’une critique artistique qui échapperait à la simple appréciation esthétique.BibliographieROGER, Jérôme La Critique Littéraire, Editions Armand Colin, 2016.MAUREL, Anne, La Critique, Collection Contours Littéraires, Editions Hachette, 2016.

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BUTEL, Yannick, Regard Critique, Ecrire sur le théâtre, Éditions Les Solitaires Intempestifs, 2009.REVERDY, Marie, Comprendre l’impact des mass-médias dans la (dé)construction identitaire, Editions ChroniqueSociale, 2016.

TD : Les métiers de l’interprétationPar la pratique et la combinaison de différents exercices physiques, d’écriture et de composition, cet atelier sepropose de présenter un panorama des métiers de l’interprétation à travers l’incursion dans divers modes de jeu.Tenue souple et confortable requise.

E12AST5 Connaissance des métiers du théâtre (13h de CM et 26h de TD= 39h) – 3 c

Histoire et théorie du jeu de l’acteurCe cours propose une approche historique de l'évolution du travail de l'acteur à travers les visions qui se dégagent,hier et aujourd'hui, des textes théoriques et ainsi que des essais sur la pratique de l'acteur. On mettra l'accent surcertains concepts importants qui ont structuré le jeu de l'acteur à différentes époques et dans différents pays pourvoir comment ils se recoupent, se complètent et s'opposent et comment ils peuvent nourrir encore, pour certains, lacréation scénique contemporaine.

TD Ateliers de pratique théâtraleGroupe 1 : Atelier de jeu (Benjamin BAROU-CROSSMAN)Cet atelier va consister à travailler le jeu de l'acteur autour des textes classiques et contemporains. Nous allonsaussi répéter autour de la notion d'improvisation au théâtre. Une partie de cet atelier porte aussi sur la poésie gitaned'Alexandre Romanès. Chaque étudiant est invité à amener le matériau sur lequel il veut travailler. Un des grandsenjeux de cet atelier va être de révéler la singularité de chacun au plateau.Shakespeare, La Pléiade.Lorenzacio d'Alfred de Musset.La Maison de Bernard Alba de F. Garcia LorcaParoles perdues d'Alexandre Romanès.

Groupe 2 : Atelier de jeu (Lluís AYET) De l’interprète et de son parcours à l’oeuvreLe travail spécifique à la danse contemporaine et l’approche de différents univers chorégraphiques s'articulentautour de la figure de l’interprète et des enjeux de l’interprétation. L’atelier sera précédé d’un échauffementtechnique avec la mise en jeu de quelques principes fondamentaux spécifiques à la pratique de la danse. Unerencontre avec des danseurs professionnels sera proposée en collaboration avec le Centre Chorégraphique deMontpellier.

Groupe 3 : Atelier de jeu (Vincenzo MAZZA)Cet atelier vise à donner des instruments techniques pour pouvoir maîtriser le corps et la voix en situation de jeu. Àpartir de textes théoriques de Charles Dullin et de Jean-Louis Barrault nous travaillerons sur la mise en scèned’extraits de pièces d’Albert Camus comme Caligula et L'État de siège.

Groupe 4 : Atelier de jeu (Philippe GOUDARD)Atelier d’initiation à l’improvisation théâtrale visant à prendre conscience de la relation du pratiquant à l¹espace, auxpartenaires, au spectateur et à son imaginaire. Puis, atelier de lecture de textes à voix haute individuel et en groupe.

E13AST5 Apprentissage fondamentaux (Théâtre) 4cCM Tragédie grecqueCe cours présente différents aspects du théâtre antique grec et romain (contexte historique, social et culturel,conditions de production et de représentation, etc.), afin d'analyser l'influence des théories et des pratiquesanciennes sur le théâtre classique, moderne et contemporain européen. Plusieurs textes seront analysés dans lestrois TD proposés en complément et en support de ce CM.

TD A : Analyse de tragédies grecquesLe cours porte sur l’analyse de deux tragédies de la période classique grecque, afin d’approfondir certains aspectsde la production dramaturgique de l’époque étudiée dans le CM.Bibliographie:ESCHYLE, Orestie, édition établie par Daniel Loayza, Paris, Flammarion, 2017.EURIPIDE, Les Bacchantes, édition établie par Jean et Mayotte Bollack, Paris, Les Éditions de Minuit, 2005.

TD B : Analyse de tragédies grecquesNous proposons d’étudier une des premières tragédies de Sophocle, Ajax, afin de mettre en évidence les différentsenjeux du théâtre grec: sociaux, spatiaux, dramaturgiques et spectaculaires. Ainsi, le contexte historique et les

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conditions de représentation se révéleront à travers l’étude même du texte. L’Ajax de Sophocle est la premièreoeuvre à donner une vision pénétrante sur la folie du personnage éponyme, à la fois fragiles et super-héros. Cetteétude, au mot près, permettra aux étudiants de saisir la complexité des grands textes de l’Antiquité, de cernercertains concepts comme celui de l’héroïsme guerrier, de la démesure et du bien commun, et de fournir à tous lesparticipants des clés essentielles pour la lecture de la tragédie grecque.Texte à se procurer et lire obligatoirement: Ajax de Sophocle, toute traduction acceptée

TD C : Analyse de tragédies grecquesNous proposons d’étudier une des premières tragédies de Sophocle, Ajax, afin de mettre en évidence les différentsenjeux du théâtre grec: sociaux, spatiaux, dramaturgiques et spectaculaires. Ainsi, le contexte historique et lesconditions de représentation se révéleront à travers l’étude même du texte. L’Ajax de Sophocle est la premièreoeuvre à donner une vision pénétrante sur la folie du personnage éponyme, à la fois fragiles et super-héros. Cetteétude, au mot près, permettra aux étudiants de saisir la complexité des grands textes de l’Antiquité, de cernercertains concepts comme celui de l’héroïsme guerrier, de la démesure et du bien commun, et de fournir à tous lesparticipants des clés essentielles pour la lecture de la tragédie grecque.Texte à se procurer et lire obligatoirement : Ajax de Sophocle, toute traduction acceptée

LICENCE 2

E31ASC5 Histoire du cinéma et de l’audiovisuel (19,5 CM 19,5h TD) 3c

CM Le Cinéma moderne et contemporain (1960-2010)Ce cours dressera un panorama de l’histoire du cinéma depuis la fin des années 1950, avec l’étude des grandscourants qui ont révolutionné la manière classique de penser l’industrie et l’art cinématographique. À travers lesnouvelles vagues (française, allemande, japonaise, brésilienne), en passant par le cinéma d’auteur italien, la phasedu dégel des pays de l’Est européen et la New Hollywood on arrivera jusqu’à nos jours, à l’ère du postmoderne, dunumérique et du cinéma élargi.

TD1 Cinéma d’asie, des années 1980 à aujourd’huiCe cours propose d’explorer les cinémas d’Asie de l’Est, des années 1980 à aujourd’hui, dans une perspectivesocio- ‐historique.Après avoir brossé un panorama de ces cinématographies, le TD approfondira l’étude de certaines d’entre elles(Corée du Sud, Hong Kong et Japon). Il s’agira d’étudier l’évolution de leur production d’un point de vue industriel,esthétique et idéologique, en s’arrêtant ponctuellement sur l’œuvre de cinéastes majeurs (Park Chan-wook, BongJoon‐ho, John Woo, Wong Kar‐wai, etc.)..

TD2 Le cinéma des années 80Ce cours se propose d’étudier un corpus de films emblématiques des années 1980. Nous nous efforcerons dans unpremier temps de traiter la notion de genre (émergence du néo noir, restauration du teenage movie, du film d’action,du road movie, etc.) et celle, significative, d’une ligne de partage entre superproductions et cinéma indépendant (oucomment le Nouvel Hollywood s’affirme et redéfinit la cartographie du cinéma américain). A l’appui des ouvrages deLaurent Jullier, nous aborderons ensuite laquestion cruciale de la postmodernité, en tentant de dégager les différentes formes de ce « mainstream » dont lapartie émergée – l’intertexte – masque trop souvent la diversité. Nous nous pencherons ainsi sur l’oeuvre émergentedes frères Coen, certains films de Spielberg, De Palma, Scorsese, Parker, Lynch… mais aussi sur les débuts deBesson et Beinex en France. Nous étudierons enfin des oeuvres plus singulières, comme celles de Wenders,Jarmusch, Gilliam, Soderbergh…INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUESBERTHOMIEU Pierre, Hollywood moderne, le temps des voyants, Ed. Rouge profond, 2011.BISKIND Peter, Le Nouvel Hollywood, Ed. Le Cherche-midi, 2002.JULLIER Laurent, L’Analyse de séquences, Nathan, 2002.JULLIER Laurent, L'Écran post-moderne, un cinéma de l’allusion et du feu d’artifices, L’Harmattan,1997.

TD3 Le cinéma indépendant américain des années 1970 à nos joursNous nous intéresserons au cinéma indépendant américain selon une approche à la fois esthétique et historique.Dans un premier temps, nous verrons ce qu’implique la notion même de cinéma indépendant aux Etats-Unis (laplace de l’auteur / l’inscription dans un système de production). Il s’agira ensuite de cerner les spécificitésstructurelles et esthétiques de ce cinéma, ainsi que leurs évolutions des années 1970 à nos jours, en s’appuyant surl’étude de cinéastes majeurs (John Cassavetes, Jim Jarmusch, Gus Van Sant, Abel Ferrara, les frères Coen, JamesGray, Paul Thomas Anderson, Wes Anderson etc.).INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES

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La bibliographie sera communiquée en cours

TD4 Regard sur l’histoire du cinéma espagnolDes oeuvres clés, réalisées entre 1960 et 2010, seront étudiées par le prisme des contraintes politiques, qui ontpoussé les réalisateurs espagnols à trouver des solutions originales afin de contourner la censure. Pendant lefranquisme (1939-1975), les cinéastes tels Bardem, Berlanga, Saura, ont su innover les thèmes et le langageartistique, en posant un regard critique sur la société espagnole. Ces questions pourront être également étudiées surd’autres périodes (Almódovar, De la Iglesia, Uribe, Miró) : la période de la Transition démocratique (1975-1983), lesannées 1980, la période de 1990 à 2010.INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUESFEENSTRA, Pietsie ; SANCHEZ BIOSCA Vicente. Le Cinéma espagnol. Histoire et culture. Ed. Armand Colin, 2014.SEGUIN, Jean Claude. Histoire du cinéma espagnol. Paris: Ed. Nathan, 2005.

TD5 Le cinéma français depuis la nouvelle vague (1958-2018)Ce cours explorera les différentes facettes du cinéma français depuis 1958 et l’avènement de la Nouvelle Vague. Sicette dernière période féconde et populaire fut largement commentée, celle qui lui succède n’es est pas moinspassionnante. Elle creuse de multiples sillons qui seront commentés par le biais de textes critiques, d’extraits defilms (genre et auteurs multiples et hétérogènes) et de questionnement sur l’évolution du cinéma français sur les sixdernières décennies.

E33ASC5 Techniques du cinéma et de l’audiovisuel – 6 c

CM Technique et expressions audiovisuelleCe cours propose de faire le lien entre la technique et les choix esthétiques de réalisation. Les éléments et notionstechniques apportés seront mis en lumière par l’étude d’exemples dans différentes oeuvres et par la réflexion surl’expression cinématographique.BIBLIOGRAPHIEBELLAÏCHE P., “ Les secrets de l’image vidéo “, Editions Eyrolles.LUXEREAU F., “ Vidéo, Principes et Techniques “, Editions Dujarric.BOUILLOT R., “ La Pratique de l’éclairage “, Editions Dujarric.

TD 1 Techniques de la prise de vue en vidéoRéglage des paramètres du matériel de prise de vue : colorimétrie, caméras et appareils photos numériques,optiques, signal vidéo, compression numérique, formats d'enregistrement et formats d'image. Leur incidence surl’image : teinte, valeur de plan, profondeur de champ. Les règles du cadrage. Les cours sont basés sur un rapiderappel théorique, des ateliers et le visionnage commenté d’exercices réalisés par les élèves entre deux séances.

TD2 Création en image de synthèseCe cours a pour objectif l'acquisition de bonnes bases et d'une autonomie dans la fabrication d'images de synthèse(3D). Les explications théoriques sont immédiatement mises en pratique. Après une période de prise en main dulogiciel (Blender), le cours évolue à travers le développement d'un projet de création individuel : l'intérêt est alors deréaliser un travail photographique complet (paramétrage d'une caméra et d'un éclairage virtuels, travail du cadre etde la composition, création de matières et textures photoréalistes).

TD 3 Création sonoreCet atelier pratique vise à donner conscience de l'importance du son au cinéma et dans la création audiovisuelle engénéral.Le cours alternera théorie (bases techniques sur le son, extraits de films, écoutes sonores) et pratique (sériesd’exercices et de créations par groupes de deux reposant sur la prise de son et le mixage).Cette année, les étudiants de ce cours travailleront en lien avec ceux de la Licence professionnelle Concepteuraudiovisuel et multimédia pour un projet en collaboration avec le Musée Fabre, à l’occasion de la nuitFrançois-Xavier n’est pas couché.Il s’agira au final de «mettre en son» un tableau du musée en réalisant une création sonore de 3 minutes, qui éviteral’utilisation de dialogues et de musiques.Les travaux seront diffusés au Musée Fabre lors de la nocturne étudiante du 27 février 2017.http://museefabre.montpellier3m.fr/Publics/Etudiants/Francois-Xavier_n_est_pas_couche_Nocturne_etudiante_APPEL_a_PROJETS

TD 4 Animation graphiqueAborder Photoshop et After effects à travers la réalisation de mini-films d'animation. Construit sur l'histoire du collage(du mouvement «dada» au mouvement «punk» pour la partie graphisme), ce cours fera appel à la sensibilité etl'inventivité des étudiants. L'utilisation de Photoshop et d'After effects (pour la partie informatique) à travers la mise

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en oeuvre de différentes techniques d'animation (stop motion, pixilation, incrustation ...) propre au cinéma image parimage devrait permettre aux étudiants d'acquérir une autonomie technique afin de réaliser leur propre projet.

TD5 La photographie : du réel à la fictionFaire une photographie, c'est représenter, et donc amener un écart entre le réel et sa photographie. Le but de cetatelier est d'amener les étudiants à travailler autour de la notion de mise en scène. Les cours alterneront réflexionsur le médium, approches techniques (dont pratique du studio) et séances critiques autour des propositions desétudiants. Une exposition collective pourra conclure l'atelier.BIBLIOGRAPHIERégis Durand, Disparités. Essais sur l'expérience photographique 2, 1990-1994, Paris, La Différence, 2002.Flammarion, 2008Joan Fontcuberta. Le baiser de Judas. Photographie et vérité. Ed. Actes Sud. 1996.Thomas Lélu. Manuel de la photo ratée, Ed. Léo Scheer, Col. Al Dante, 2002Jean-Marie Schaeffer- Pourquoi la fiction ?, Édition du Seuil, 1990Serge Tisseron, Le mystère de la chambre claire. Photographie et inconscient, Paris,Chaque étudiant souhaitant suivre ce TD doit posséder un appareil photographique.

TD 6 Montage Final Cut Pro 10Il s’agit de l’initiation au montag sur le logiciel à l’ergonomie si singulière : Final Cut Pro X. A travers des exercicespratiques, nous explorerons toutes les étapes du travail : de la gestion des médias sources aux différents exportsd’un montage terminé. La dernière partie de ce cours sera l’occasion d’entamer une réflexion sur les questionsmorales induites par les différents types de montages

E32 ASC5 Esthétique du Cinéma et audiovisuel : etudes d’œuvres – 2 cSuivre 1 TD au choix

TD 1 Carlos SauraCe cinéaste espagnol, né dans les années 1930, est marqué par l’Histoire de son pays. La thématique de sonoeuvre en témoigne par des références à la guerre civile ou au franquisme, ou encore quand, pendant la périodecontemporaine, il reprend la mémoire historique dans des chorégraphies modernes. La thématique de ses films, lesgenres ou les styles varient et s’inscrivent de manière originale dans un contexte politique et cinématographique.INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUESBERTHIER, Nancy. De la guerre à l’écran ¡Ay Carmela ! de Carlos Saura. Presses Universitaires du Mirail, 1998,2005.LARAZ, Emmanuel. L’Histoire du cinéma espagnol dès origines à nos jours. Ed. Cerf, 1986

TD2 John FordÉtudier l’oeuvre de John Ford c'est avant tout se pencher sur un des corpus les plus importants du cinémaaméricain. En volume d'abord, puisque ce sont environ cent-cinquante films que Ford réalise sur une période depresque cinquante ans. Cette longévité nous permettra ensuite de porter notre regard sur différentes périodes desstudios hollywoodiens : entre 1917 et 1966, John Ford a vu l'industrie du cinéma américain développer son modèleéconomique, atteindre ses sommets dans les années 1930-1940 puis se transformer radicalement dans les années1960. Une première approche diachronique de l’oeuvre permettra de constater et de comprendre l'évolution internedu corpus fordien à travers une dizaine de films représentatifs. Ensuite, la comparaison des films selon des points devues transversaux permettra de mettre en lumière les récurrences thématiques, stylistiques et esthétiques del’oeuvre : à travers la figure de l'Indien, la problématique de la représentation de l'Histoire, ou des questions plusdirectement cinématographiques comme la construction de l'espace, nous verrons que John Ford, cinéaste decommandes et employé des studios, n'a jamais cessé d'interroger les valeurs et les représentations de la cultureaméricaine..

TD3 Martin ScorseseLa nature cinéphilique et les qualités d’historien du cinéaste Martin Scorsese nous permettrons d’analyser sesoeuvres principales (de Main Streets à The Wolf of Wall Street) en interrogeant les sources explicites et implicites deson travail créatif (de Ford à Welles, de Pasolini à Cassavetes) afin de retracer sa capacité à réécrire l’histoire ducinéma sous forme audiovisuelle en renouvelant les formes à travers un processus d’hybridation entre classicisme etmodernité.

TD 4 Gus Van SantQuelle figure d’auteur peut-on dessiner pour Gus Van Sant lorsqu’on réunit dans un même corpus de films aussibien le très hollywoodien « Will Hunting » et l’expérimental « Gerry », l’écorché « Drugstore Cowboy » et leconceptuel « Psycho » ? L’oeuvre filmique de Gus Van Sant peut en effet sembler dispersé, hétéroclite mais aussi

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riche en marques auteuriales récurrentes. Nous viserons, en cartographiant les différentes constellations de films, àquestionner chaque oeuvre notamment sous l’angle du rapport de Van Sant à la création.INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUESBOUQUET Stéphane, LALANNE Jean-Marc, Gus Van Sant, Cahiers du cinéma, 2009.

TD 5 David LynchNé en 1946 dans le Montana, le cinéaste David Lynch demeure aujourd'hui encore une figure atypique dans lepaysage cinématographique américain, voire mondial. Son cinéma singulier, innovant, dérangeant, empli demystères déroutants, possède un style reconnaissable entre mille, reflet d'une pratique artistique personnelle d'unegrande unité. En seulement dix long-métrages, de Eraserhead (1976) à INLAND EMPIRE (2006), David Lynch acréé un univers cinématographique si singulier qu'aucun qualificatif autre que « lynchien » ne pourrait le décrirecomplètement. En retraçant son parcours mouvementé de cinéaste, entre marge et mainstream hollywoodien, noustenterons donc de définir son style, de mettre au jour les thèmes qu'il privilégie tout en abordant son rapport riche etcomplexe à la création et au cinématographe

E 31AST5 Théorie et Histoire des arts du spectacle -4 c

CM D’Antoine à VilarCe cours traitera de l'esthétique théâtrale et chorégraphique à partir des oeuvres qui ont marqué l’éclosion de lamise en scène vers la fin du XIXe siècle et son histoire au cours de la première moitié du XXe.Pour la danse les séances seront consacrées à l’étude des pionniers qui participèrent à l'émergence de la dansemoderne de et à l'émancipation des corps en scène en Europe, au Japon comme aux Etats Unis.Pour le théâtre les séances seront consacrées à la construction l’historique de la notion de mise en scène et à ladéfinition théorique et pratique de cette notion.

TD A: Analyse de textesLe cours porte sur l’analyse de pièces qui ont marqué la première moitié du XXe siècle, dans le but de se penchersur la production dramaturgique de l’époque étudiée dans le CM.

TD B: L'interaction du chorégraphique avec d'autres disciplines artistiquesS'exercer à la production et construction chorégraphique. Il s'agit de faire des réinterprétations dansées d'une séried'oeuvres ou gestes artistiques inscrits dans le paysage historique des arts visuels (peinture, arts plastiques,photographie, cinéma...). Chaque atelier sera précédé d'un cours d'initiation aux aspects techniques du mouvement.LIOGRAPHIEARTAUD, Antonin, Le Théâtre et son double, Paris, Gallimard, 1964,BRECHT, Bertolt, Petit organon pour le théâtre (1948), traduit de l’allemand par Jean Tailleur, Paris, L’Arche, 1963 ;rééd. 1970, 1978.DIDEROT, Denis, Le paradoxe sur le comédien, Paris, Flamarion, Poche, 1993.GINOT Isabelle-MICHEL Marcel, La Danse au XXème siècle, Larrousse 1998 et 2002LAUNAY Isabelle, A la recherche d’une danse moderne, Rudolf Laban et Mary Wigman, Chiron 1996LOUPPE Laurence, Poétique de la danse contemporaine TI, Bruxelles, Contredanse,1997.STANISLAVSKI, Constantin, La formation du comédien, Paris, Payot, 2015.

E32AST5 Méthode critique en théâtre : Le répertoire du théâtre européen. (39h) -3c

CM : Le répertoire du théâtre européen : textes et théories pré-classiques et post-classiquesCe cours abordera quelques moments essentiels de l’histoire du théâtre européen « de la Renaissance auRomantisme », envisagés du point de vue du texte; on s’interrogera sur quelques formes dramatiques dominantes,sur leur émergence, leur statut « aussi bien à l’intérieur de la représentation que dans le paysage littéraire,institutionnel et culturel de leur époque », et sur leur devenir.Nous prendrons quelques exemples significatifs pour suivre l’évolution des formes dramatiques en Italie, enEspagne et en Angleterre, en s’appuyant sur le thème baroque de « la vie est un songe » depuis Calderon, ou celuidu magicien, bénéfique ou maléfique, de Marlowe à Goethe en passant par Shakespeare. Enfin nous verronscomment ces formes se croisent, s’annihilent, reposent en partie l’une sur l’autre pour passer le relais à un genrenouveau : le drame bourgeois et le drame romantique.

TD A (Arianna DE SANCTIS) : Théâtre pré-classiqueCe cours se propose d’approfondir les théories abordées dans le CM à travers la lecture de trois œuvres du théâtrepréclassique : La Mandragore (Machiavel, 1526), Le songe d’une nuit d’été (Shakespeare, 1595) et La vie est unsonge (Calderón de la Barca, 1635). Nous aborderons les spécificités et les points en commun de ces trois pièces etnous les analyserons à la lumière de la notion de « songe ».

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TD B (Béatrice DERNIS) : Théâtre post-classiqueEn complémentarité avec le CM, nous traverserons plusieurs oeuvres, mettant en lumière une dramaturgiediscontinue qui unie et bouscule plusieurs genres et registres, alliant le sublime et le grotesque. Nous nousattacherons au personnage de Faust de Goethe, héros romantique avant la lettre, figure vivante et complexe qui ainspiré de nombreux dramaturges.

E33AST5 Connaissance des métiers du spectacle (52c) -4c

CM (Joëlle CHAMBON): De Beckett à Koltès, le Personnage en questionBien avant sa mise en cause radicale par le post-dramatique, le personnage n’a cessé d’être réinventé par l’écritureet l’esthétique théâtrales. On étudiera la façon dont l’abordent deux auteurs essentiels de la deuxième moitié duXXème siècle: Samuel Beckett et Bernard-Marie Koltès. La problématique du cours sera explorée également dansles deux ateliers de jeu liés au CM.

TD Groupe A (Elisabeth GAVALDA) : Atelier de jeuLangue, forme, rythme, figures, … L’écriture de Samuel Beckett marque un tournant dans le théâtre contemporain.Si En attendant Godot, Fin de partie ou Oh les beaux jours sont des pièces cultes et seront les points forts del’atelier, les monologues Solo, Berceuse, Premier amour… seront étudiés. Cet atelier sera une tentative de traverséede l’oeuvre beckettienne, de la phrase unique L’Image aux scènes dialoguées Tous ceux qui tombent et piècescourtes Catastrophe et autres dramaticules ou Comédie et actes divers… Dire un auteur, c’est tenter de comprendresa langue.

TD Groupe B (Béla CZUPPON) : Atelier de jeuExploration de l’Agôn chez Bernard-Marie Koltès à travers trois de ses textes (Quai Ouest, Combat de nègres et dechiens, La nuit juste avant les forêts) et de leurs possibilités d’incarnation sur le plateau ou comment la langue deKoltès crée un locuteur qui excède peut-être le personnage. Il est impératif d’avoir lu les textes pour le premiercours!

LICENCE 3

E51ASC5 Théorie du Cinéma et de l’audiovisuel (19,5h de CM et 19,5h de TD = 39h) – 3 c

CM Penser les images, penser le cinémaNous nous demanderons comment le cinéma a pu être et demeure un objet de pensée, un objet pour la pensée, ouencore comment il peut s’apparenter lui-même à une forme de pensée, à une forme qui pense. Dans un dialogueavec l’histoire des arts, et en repartant de la notion d’image pour l’interroger, nous aborderons quelques-unes desconceptions théoriques de ceux qui ont cherché à penser les images en général et le cinéma en particulier, qu’ilssoient philosophes, théoriciens, historiens de l’art ou du cinéma, critiques ou artistes.

TD 1 Les théories et pratiques du genre filmiqueLe genre est une notion plurielle, mobilisée à la fois par les théoriciens du cinéma pour décrire les objets filmiques etpar les acteurs du champ cinématographique pour écrire, produire, tourner, diffuser et interpréter les oeuvres. Cecours a pour but d’examiner les différentes théories et pratiques génériques, à partir de l’analyse de textesthéoriques fondateurs et d’études de cas (études de films et genres singuliers ou de questions génériquestransverses).

TD2 L’analogique et le numérique dans les images contemporainesCe cours pose une vue sur la création photographique contemporaine, laquelle sera considérée et problématisée àpartir du tenseur poïétique analogique/numérique. Installer dos à dos, voire côte à côte, ces deux modalités decapture de l’image, de stockage, de transfert, et de manipulation potentielle, revient à reposer la question de lavéritée en photographie. Le régime de la vérité photographique argentique serait-il mis à mal par l’imagerienumérique et sa flexibilité accrue, laquelle fait justement revenir le soupçon ? La photographie argentique est –ellegarante de l’objectivité, de la réalité, de la vérité ? Ces questions convoqués deux souches principales de lamimesis, à savoir, la copie et le simulacre, deux notions situées au cœur du cours. C’est par ce distinguo que serontabordées, différenciées, examinées et explorées, des œuvres photographiques et cinématographiques.

TD3 Les théories philosophiques du cinémaLe champ des études cinématographiques a depuis longtemps fait l’objet de nombreuses investigations etinventions philosophiques. Ce cours se propose de donner un aperçu synthétique de quelques-unes de ces pensées

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non-cinématographiques du cinéma. Un point d'honneur sera accordé à l'étude du dyptique L’Image-mouvement etL’Image-temps de Gilles Deleuze.INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUESBADIOU Alain, Cinéma, Nova Editions, 2010.COHEN SEAT Gilbert, Essai sur les principes d’une philosophie du cinéma, PUF, 1946.DELEUZE Gilles, L’Image-mouvement et L’Image-temps, Minuit, 1983 et 1985.RANCIERE Jacques, La Fable cinématographique, Seuil, 2001.ROSSET Clément, Propos sur le cinéma, PUF, 1977.ZOURABICHVILI François, La Littéralité et autres essais sur l’art, PUF, 2011.

TD 4 Une histoire des théories du spectateur.Depuis les premiers temps jusqu’à nos jours, l’histoire des théories du spectateur de cinéma accompagne aussi bienl’évolution des Sciences humaines que celle de l’Histoire du cinéma, à savoir celle des formes filmiques mais aussides conditions spectaculaires et culturelles dans lesquelles les films sont visionnés. Au travers d’un choix de textesde toutes périodes, nous tâcherons de dessiner une histoire du spectateur et surtout de ses conceptions..

E52ASC5 Economie, sociologie et vie institutionnelle – 3 c

CM Perspectives internationales en socio-économie du cinéma et de l’audiovisuelL’objectif de cet enseignement de socio-économie est de fournir aux étudiant/e/s des clés théoriques et empiriquespour comprendre l’actualité mondiale du cinéma et de l’audiovisuel. Chaque séance permet d’examiner un champ etun type d’enjeu spécifiques, de la logique du trust dans les industries culturelles à l’économie du blockbuster, enpassant par la vidéo à la demande, la social TV et les relations entre cinéma et téléphonie mobile.BIBLIOGRAPHIE INDICATIVEAUGROS Joël, KITSOPANIDOU Kira (2009), L’économie du cinéma américain. Histoire d’une industrie culturelle etde ses stratégies, Paris, Armand ColinBUXTON David (2010), Les séries télévisées. Forme, idéologie et mode de production, Paris, L’HarmattanCHANTEPIE Philippe, LE DIBERDER Alain (2010), Révolution numérique et industries culturelles [2ème éd.], Paris,La DécouverteDANARD Benoît, LE CHAMPION Rémy (2005), Les programmes audiovisuels, Paris, La DécouverteFARCHY Joëlle (2011), Et pourtant, ils tournent... Économie du cinéma à l’ère numérique, INA Éditions

TD 1 La coproduction internationale : logique, enjeux, étapesPrincipes généraux et étude de cas

TD2 Stars et star-systemIl s’agira ici d’étudier les stars et les star-systèmes dans une perspective socio-économique en étant attentif auxévolutions historiques et aux spécificités nationales propres aux différents star-systèmes (hollywoodien, français etindien notamment). Nous aborderons également la question de la circulation transnationale des stars, celle de leuragentivité au sein du star-système, ou encore celle de leur réception.TD3 Les industries cinématographiques de l’indeDominée économiquement et politiquement par le cinéma hindi, l’industrie du cinéma indien présente une trèsgrande diversité de production cinématographique. Par ailleurs, le cinéma indien ne se réduit pas à Bollywood, nipour les Indiens ni pour les cinéphiles. Étudier l’industrie des cinémas indiens et son économie, à l’aune de lagéographie du pays et de la géopolitique, nouspermet alors de découvrir un art majeur, portrait d’un autre art de vivre. Les différentes formes de la cinématographieindienne sont aussi diverses que les régions de l’Inde. Bien que le cinéma hindi dicte sa loi aux cinémascommerciaux quelles que soient les langues, une cinématographie aussi riche, vivante et diversifiée reste toujoursimportante car elle démontre la force morale d’un pays, véritable portrait de son peuple.

TD 4 Sexe, race et classe au cinémaSeulement 17% des réalisateurs sont des femmes, alors qu'il y a 50% d'assistantes-réalisateur. En croisant ceschiffres avec les représentations de « minorités » au cinéma (femmes, personnes racisées, pauvres) nousaborderons la thématique sociologique des rôles sociaux genrés, des places « indigènes », et des rapports declasse qui traversent le septième art, dans ses représentations comme dans ses modes de production. Les étudiantsdevront produire une séquence (documentaire ou fiction) en lien avec le cours.

TD 5 Ecosystème du cinéma en AfriqueÀ l’heure du numérique généralisé, le cinéma en Afrique se transforme rapidement dans tous les domaines(création, production, distribution) en même temps que le continent connaît une croissance économique, culturelle etdémographique qui bouleverse tous les anciens schémas de développement. Observer cette transformation, c’estprendre de l’avance sur les paradigmes à venir

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dans les cinématographies mondiales. Nous croiserons les approches géographiques (disparité des situations dansles sous-régions), spectatorielles (multiplicité des pratiques), économiques (modalités de production et de diffusion)..

E51AST5 Théorie et histoire du théâtre (39h) -3c

Le théâtre, un art de la mémoire ?« Le théâtre, c’est toujours ailleurs, autrefois », disait Antoine Vitez. Depuis ses origines rituelles, l’une des fonctionsprincipales du théâtre est en effet de relier le présent au passé. Par la fable, qui met en scène un temps plus oumoins éloigné ; par la transmission des textes et leur constitution en répertoire ; mais aussi par la permanence desbâtiments, la conservation des traditions de jeu et des savoir-faire, la répétition cyclique des représentations, etc.Partant de l’opposition établie par les historiens entre Histoire et mémoire, nous examinerons quelques-uns desprocédés dramaturgiques et scéniques par lesquels le théâtre, depuis le début du 19e siècle, construit la relationentre hier et aujourd’hui : dans une approche voulue objective et documentée (drame historique, mise en scènehistoriciste, théâtre-document) ou dans l’affirmation d’une ressaisie subjective et mémorielle (spectres et dibbouks,dramaturgie de la réminiscence, intertextualité, fragmentation).A lire ou à consulter : Georges Banu, Les Mémoires du théâtre (Actes Sud, 1987) ; Tadeusz Kantor, Le Théâtre dela mort (L’Age d’homme, 1985).A lire : Henrik Ibsen, Rosmerholm (édition indifférente) ; August Strindberg, La Sonate des spectres (éditionindifférente) ; Heiner Müller, Germania 3 (L’Arche, 1996) ; Didier-Georges Gabily, Violences (Actes Sud-Papiers,1991).

E53AST5 Connaissance des Métiers et pratique du théâtre (26h) -2c

TD 1 Atelier de production (Guillaume FARGAS)L’objectif est d’intégrer les étapes essentielles d’un projet de spectacle vivant tout en réalisant la nécessaire etétroite collaboration entre les différentes composantes du spectacle : artistique, administration et production.Nous commencerons par aborder la réalité du théâtre, sur le plan institutionnel, son économie, les acteurs enprésence (lieux, labels, missions) et les métiers de l’administration.Nous poursuivrons par le choix et la mise en place de la structure porteuse du projet (structure juridique,organisation, fiscalité, social)Nous pourrons ensuite nous concentrer sur le projet à travers des cas concrets en étudiant les différentes phases deson élaboration :- La définition du projet artistique, son budget et la réalisation du dossier.- La recherche de financement (public, privé, coproduction…)- La question des contrats (coproduction/cessions/ coréalisation)- L’organisation et le suivi de la production.TD 2 Atelier danse Laboratoire chorégraphique (Lluís AYET)À l’appui de textes élaborés sous forme de partitions sonores et faisant appel aux rythmes à l’imaginaire ou à desétats de corps, nous allons travailler différentes hypothèses de relation entre des sons, des musiques et deslangages corporels dansés individuels et collectifs, dans le souci d’un équilibre constant entre le geste abstrait et legeste illustratif. Cet atelier s’inscrit dans le cadre du projet L3 et permettra de poser les bases du travail de créationchorégraphique qui occupera le second semestre.

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ARTS PLASTIQUES // STUDIO ART

Pratiques artistiques, classiques, contemporaines et réflexion théorique et critique portantsur l’Esthétique, la Philosophie de l’Art, l’Histoire de l’Art, La Sociologie de l’Art, lessciences de l’Art et l’Anthropologie.

LICENCE 1

E11AP5 Sciences des arts, pratiques traditionnelles et numériques (39h CM) – 3 c

Histoire de l’art, Antiquité gréco-romaineLe propos de cette initiation à l’Histoire de l’Art et à l’Archéologie grecque et romaine est double. Tout d’abord, enprésentant des oeuvres et des sources de référence, apprendre à reconnaître et à nommer l’architecture, la statuaireet les décors appréhendés dans leur matérialité, soit acquérir un vocabulaire. Puis, apprendre à associer et àdifférencier afin d’identifier des périodes en situant ces oeuvres dans leur contexte naturel et social, c’est à dire unurbanisme.L’art grec antique, source et fondement de l’histoire de l’art occidental, va nous permettre d’aborder les notionsd’ordre, de style, de représentation. Nous tenterons de dégager comment une périodisation de cet art est construite.Puis, à la suite de Robert Turcan, nous nous demanderons s’il existe un art romain antique. En considérantquelques monuments, portraits, et peintures, nous montrerons comment cet art n’est pas un avatar de l’art grec.

Pratiques traditionnelles – Dessin d’observationCes cours essentiellement basés sur l’étude des proportions humaines dans la représentation du corps, permettrontà l’étudiant d’acquérir les principes fondamentaux de base comme les raccourcis, les modelés, les ombres propreset les ombres portées, dans une représentation classique. Les étudiants seront guidés dans le choix des techniqueset des outils. L’expérimentation la plus large quant aux médiums utilisés, permettra à l’étudiant de se situer dans sapratique personnelle du dessin et d’acquérir des savoir-faire essentiels. Le dessin sera pratiqué selon des exercicesdiversifiés tels que des croquis de modèles masculins et féminins permettant de développer la perception du réel.Cette pratique sera documentée par des images et des références artistiques permettant à l’étudiant d’acquérirégalement une solide culture afin d’envisager le dessin dans le champ des arts, dans son histoire et sa pratiquecontemporaine.

Pratiques numériques – VidéosCe cours sera une initiation à l'utilisation de la vidéo comme pratique artistique. Il aura comme double objectif,d'envisager les enjeux des pratiques contemporaines de la vidéo et d'acquérir quelques notions techniques, tant surle plan des prises de vue que dans l'exploitation de ces matériaux à travers le montage et le mixage des sourcesvisuelles et sonores.Après l'analyse de certaines oeuvres vidéo, il sera proposé un sujet qui permette la réalisation d'un travail collectifpar groupes (à déterminer en fonction de la disponibilité du matériel).

E12AP5 Techniques plastiques fondamentales (39h TD) – 3 cDessin d’observation. Ces cours essentiellement basés sur l’étude des proportions humaines dans lareprésentation du corps, permettront à l’étudiant d’acquérir les principes fondamentaux de base comme lesraccourcis, les modelés, les ombres propres et les ombres portées, dans une représentation classique. Lesétudiants seront guidés dans le choix des techniques et des outils. L’expérimentation la plus large quant auxmédiums utilisés, permettra à l’étudiant de se situer dans sa pratique personnelle du dessin et d’acquérir dessavoir-faire essentiels. Le dessin sera pratiqué selon des exercices diversifiés tels que des croquis de modèlesmasculins et féminins permettant de développer la perception du réel. Cette pratique sera documentée par desimages et des références artistiques permettant à l’étudiant d’acquérir également une solide culture afin d’envisagerle dessin dans le champ des arts, dans son histoire et sa pratique contemporaine.

Perspective. Il s’agira d’expérimenter, d’ajuster, de rechercher l’adéquation entre les deux dimensions d’un supportet les trois dimensions de l’espace réel. Toutes les formes de perspectives seront abordées en travaillant l’intentionqui est à l’origine d’un choix de représentation de l’espace et des volumes. L’utilisation des formats, des outils, de lacouleur, des rapports d’échelle seront appréhendés et motivés, par l’idée à communiquer par le dessin.

E13AP5 Techniques numériques fondamentales (26h CM + 39h TD = 65h) – 5 cImage Atelier de photographieCe cours est destiné à apporter aux étudiants des bases techniques et théoriques en photographie :

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- le point de vue et le cadrage- le net et le flou- la représentation du mouvement.Chacun de ces points sera développé et soutenu par l’étude de textes, par des exercices de pratique et par lademande d’un travail photographique spécifique. Les étudiants sont invités à apporter dès le premier cours tout lematériel photographique, tout appareil permettant de prendre des photographies dont ils disposent.Cet enseignement permettra de développer les connaissances techniques de la photographie, tant sur le plan de laprise de vue que sur celui de la réalisation papier, en passant par les outils informatiques. Il amènera les étudiants àl’expression artistique, orale et pratique, dans un souci de création photographique personnelle au travers d’unethématique donnée et qui sera soutenue en séminaires critiques.

E14AP5 Science des Arts et histoire des arts Les grandes théories esthétiques de l’Antiquité à nos jours Le propos de ce cours est d’introduire aux

questions et aux textes fondateurs de la réflexion sur l’art, à partir des oeuvres de l’Antiquité jusqu’à la crise desmodernités et à la critique post-moderne. Il s’agira de situer le plus clairement possible pour les étudiants lesparadigmes successifs qui ont imprégné l’imaginaire de la civilisation occidentale et participé aux sensibilitésartistiques élues de chaque période.

Renaissance, maniérisme et anti-maniérisme - Après avoir rappelé les principales avancées plastiques de laRenaissance à travers la figure du génie mélancolique et de l’artiste polytechnicien, nous montrerons combien lemaniérisme relève simultanément du classicisme et de l’anti-classicisme, du naturalisme et de l’anti-naturalisme,notamment quand il s’agit de proposer une variante librement figurative de l’anatomie, de déréaliser l’espace avecdes effets d’accélération et de saturation, ou de procéder à une concorde entre le gothique et le renaissant.Polycentrée, l’oeuvre maniériste est certes un style pour temps de crise mais le privilège qu’elle accorde auspéculatif et au « dessin intérieur » l’expose aussi à l’hermétisme et à la sophistication. La réaction anti-maniériste(Dolce, Arétin), caractéristique des exigences de l’Eglise post-Concile de Trente, en même temps qu’elle oppose à lafureur de Michel-Ange la douceur de Raphaël, institue une réglementation et un contrôle des images au service dela foi.

LICENCE 2

E31AP5 Histoire des arts, Science des arts, Esthétique (52h CM) – 4 cHistoire des Arts plastiques du début du 20eme siècle au début du 21eme siècleIl s’agira pour nous d’étudier et de comprendre les enjeux des avant-gardes du début du XXe siècle. On tentera decomprendre en quoi ces mouvements se construisent d’une part dans une rupture et dans l’invention de nouvellesformes plastiques, d’autre part dans une continuité avec certaines oeuvres du XIXe siècle.Dans ce cours, se poseront également la question de la représentation, de la ressemblance et de l’imitation. Lesnotions de couleur, de forme et d’espace vont être interrogés par le fauvisme, le cubisme, l’orphisme, le futurisme.La rupture avec la représentation du réel sera problématisée au travers des abstractions. Enfin, seront abordéségalement le mouvement Dada et le surréalisme, dans leur questionnement sur l’art et les attitudes de l’artiste.Pour cet enseignement on s’appuiera sur quelques oeuvres majeures du début du XXe siècle pour en élaborer desdescriptions et des analyses informées sur le plan historique, esthétique et plastique.

Histoire sociale et politique de l’architecture (2nd moitiée du 19eme siècle)Avec l’essor d’un nouveau monde industriel et capitaliste, des nouveaux rapports de forces singulières influencentl’architecture qui se disloque en courants architecturaux épars. Selon des degrés de résistance à ces changements,ces courants architecturaux et urbains persistent ou mutent sans toutefois opérer une rupture avec la question dustyle. L’espace et son articulation ne seront interrogés qu’à la fin du 19e siècle en Amérique et cette question seral’ouverture à la rupture moderne du 20e siècle.

Psychanalyse de l’art : La question du sacré et du profane à la Renaissance

La photographie documentaireSi, comme le suggère Joan Fontcuberta, « toute photographie est une fiction qui se prétend véritable », laphotographie dite « documentaire » doit alors faire l’objet d’une approche critique, notamment sur lescaractéristiques censées la définir. À cette fin, notre enquête nous conduira au travers les principaux programmesdocumentaires publics tels que la Mission héliographique, les travaux photographiques pour la FSA ou, plusrécemment, les documents réalisés dans le cadre de la Mission photographique de la DATAR. En outre, laconvocation de quelques-uns des photographes du « style documentaire » les plus remarquables – Jacob AugustRiis, Lewis Wickes Hine, Eugène Atget, Albert Renger-Patzsch, August Sander, Walker Evans, Dorothea Lange,Bernd et Hilla Becher - permettra de compléter cette investigation portant sur la photographie-constat, que d’aucuns

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perçoivent comme une image autrement « manipulée ».

E32AP5 Arts Plastiques (78h TD) – 6 cLe cours propose un atelier-séminaire qui permettra aux étudiants de s’initier à la pratique théorisée en vue de laconstruction d’une pratique artistique personnelle. Le thème envisagé aura trait à un thème contemporain enréférence à des pratiques qui font actuellement autorité.

E33AP5 Arts numériques (13h CM + 26h TD = 39h) – 3 cAteliers séminaires Photoshop : les principales fonctionnalités du logiciel, appliquées de manière à ouvrir aumaximum le champ des possibilités créatives. Exercices techniques et exercices créatifs.L'apprentissage des fonctions du logiciel s'appuiera sur une base artistique, pour mettre en contexte les exercicestechniques et créatifs.Supports artistiques : L’utilisation de Photoshop dans la photo et l'art contemporains

LICENCE 3

E51AP5 Arts numériques (39h) – 3 cBioart, biotechnologies et objets semi-vivants - Valérie ARRAULT / Sébastien GALLANDAprès avoir analysé l’influence de la biologie moléculaire et de la cybernétique sur les bioartistes contemporains : E.Kac, C. Conant, P. Tratnik, M. Laval-Jantet, nous tenterons de mesurer les enjeux et les problèmes liés àl’introduction des biotechnologies dans les pratiques artistiques. Si l’art biotique renvoie à une conception technoïdedu vivant déjà présente chez Moholy-Nagy, Francé et Uexküll, et qui culmine avec les « machines désirantes », leplateau et le rhizome deleuzien, il n’en demeure pas moins que, comme le pointent Foucault, Agamben ouSloterdijk, l’art biotechnologique ressortit d’une volonté totalisante de contrôle, de maîtrise et de domination duvivant. Tel danger n’invalide pas forcément le bio-art, lequel sait se montrer critique face à l’empire desbiotechnologies.BIBLIOGRAPHIEBio-art : art contemporain, biotechnologie, organisme génétiquement modifié, Miller, Agnès F.Vendome, John McBrewster (dir), Alphascript Publishing, 2010.FOUCAULT M., Naissance de la biopolitique (1978-1979), Paris, Seuil, 2004.SLOTERDIJK P., Règles pour le parc humain, Paris, Mille et une nuits, 2000.

E53AP5 Sciences des arts (52h TD) – 4 c

Arts postmodernesPostmodernité, postproduction et créolisation - Valérie ARRAULT / Sébastien GALLANDDeux courants dominent l’esthétique postmoderne : celui de Vatimo, Eco ou Oliva qui vise à l’intégration de l’art à laculture commercialisée dans le cadre d’une société pluraliste en rupture avec les avant-gardes ; celui de Lyotard qui,renouant avec l’esthétique négative d’Adorno, insiste sur le rôle crucial en art de l’imprésentable, de la subversion del’art de masse commercialisé, et du sublime différentiel. Pratique de la citation réinvestie ou détournée, du jeu avecles références et les repères, le postmoderne relève d’un processus multiculturaliste de créolisation (E. Glissant, R.Tiravanija, K. Sooja), qui donne lieu au développement d’un art archipélique (M. Ohanian, T. Rehberger, D.Gonzalez-Foerster), poétique du nomadisme, de la précarité, de l’errance ou du chaos, comme le montrent lesinstallations de Jason Rhoades, Thomas Hirschhorn ou Kendell Geers. Dans un contexte, où ne subsiste plus aucungrand récit, le postmoderne ne cesse de déterritorialiser les pratiques plastiques, dont les frontières deviennentmouvantes.BIBLIOGRAPHIEBAUMAN Z., Le présent liquide, Paris, Seuil, 2007.BOURRIAUD N., Esthétique relationnelle, Dijon, Presses du réel, 2001.BOURRIAUD N., Postproduction, Dijon, Presses du réel, 2003.GLISSANT E., Introduction à une poétique du divers, Paris, Gallimard, 2008.LYOTARD J.-F., Le postmoderne expliqué aux enfants, Paris, Galilée, 1988.

Histoire sociale de l’architecture du 20eme siècle. Tout au long du XXe siècle, un appareil idéologique puisthéorique a inventé des paradigmes afin de modeler des villes et des architectures selon un mode opératoirespécifique : leurs productions répondent à une organisation sociale ordonnant ses fonctions avec l’ambition nondissimulée d’exciter ces organisations en les restructurant. De nouvelles identités s’affairent sous l’impulsion denouveaux rapports de forces qui sédimentent ou disloquent les villes, depuis l’architecture-objet criant sadifférenciation (le générique ou cosmétique, dernier avatar du luxe, corne d’abondance d’une écume financière,)jusqu’aux junkspaces indifférents, dernières concrétudes de l’effort global à indifférencier les masses populaires de

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toutes les régions du monde.

E52AP5 Histoire des arts moderne et contemporain (26h) – 2 cBaroque et classicisme : Après un retour temporaire du naturel dans une perspective antimaniériste (Carrache), sedéveloppe l’esthétique baroque en vue de répondre aux attentes de la Contre-Réforme. L’image y gagne un statutinédit. Et ce, malgré la réception “manquée ” du baroque en France ouvrant la voie à l’esthétique classique. En quoile rationalisme, d’inspiration cartésienne, freine-t-il l’introduction du Baroque en France ? Qu’est-ce que leclassicisme ?Destruction et création dans le dadaïsme et le surréalisme : Du traumatisme de la première guerre mondialesortent, à peu d’années près, deux courants artistiques à la radicalité affirmée : le dadaïsme qui rejette lesmentalités bourgeoises de la société utilitariste, le surréalisme, tout aussi anti-bourgeois, qui puise dans l’inconscient« le secret pour opérer un tremblement de terre ». Tous deux ont en commun la négation de la tradition occidentale,mais tous deux ne visent pas à travers elle les mêmes fins.

BIOLOGIE, ECOLOGIE ET ENVIRONNEMENT // BIOLOGY, ECOLOGY ANDENVIRONMENTBiologie appliquée aux Sciences Humaines, Ecologie générale ou appliquée,Environnement.

LICENCE 1

E11BI5 Clés pour un environnement durable (52h) -4cLe cours développera deux grands volets :1) Evolution de l’environnement biotique de la Terre : pour comprendre comment la vie s'est développée sur la Terreet comment elle s'organise aujourd'hui à l'échelle planétaire2) Grands défis de l’écologie : comment l'Homme perçoit la Nature et modifie le fonctionnement de la biosphère,quels sont les enjeux actuels.

E12BI5 Biologie appliquée aux sciences humaines (13h) -1c

LA CELLULE - 1er semestre1. Les constituants moléculaires de la cellule1.1. Des atomes aux molécules1.2. Les molécules organiques1.3. Nutrition et santé2. Organisation générale des cellules2.1. Les virus ne sont pas des cellules2.2. La cellule procaryote2.3. La cellule animale3. Fonctionnement de la cellule eucaryote3.1. De l'ADN aux protéines3.2. Le cycle cellulaire, la réplication, la division cellulaire, le caryotype3.3. Respiration et énergétique cellulaire

LICENCE 2

E3PB1BI5 Ecologie, anthropologie et philosophie du développement durable (39h) -3c

Le concept de développement durable est aujourd’hui largement diffusé et utilisé dans les différentes sphèressociales, économiques, politiques et médiatiques. Le monde de l’Entreprise s’en est également emparé et denombreux métiers se réfèrent aujourd’hui à cette notion. L’objectif général du cours est de permettre aux étudiantsde mieux identifier les contours et les différentes facettes du concept de « développement durable ». Pour ce faire,une approche interdisciplinaire apparait indispensable. Ce cours aborde les points de vue du Philosophe, del’Ethnologue et de l’Ecologue.

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LICENCE 3

E5PB1BI5 Regards croisées sur le développement durable (39h) -3c

Le concept de développement durable est aujourd’hui largement diffusé et utilisé dans les différentes sphèressociales, économiques, politiques et médiatiques. Le monde de l’Entreprise s’en est également emparé et denombreux métiers se réfèrent aujourd’hui à cette notion. L’objectif général du cours est de permettre aux étudiantsde mieux identifier les contours et les différentes facettes du concept de « développement durable ». Pour ce faire,une approche interdisciplinaire apparait indispensable. Ce cours aborde les points de vue du Sociologue et del’Économiste. Il est complété par des conférences d’intervenants extérieurs issus du monde de l’Entreprise, desCollectivités ou Agences, de la sphère Politique. Par ailleurs ce cours permettra aux étudiants d’acquérir descompétences transversales, notamment l’apprentissage de la dissertation de concours

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COMMUNICATION, MÉDIAS, MÉDIATIONS NUMÉRIQUES //MEDIA AND COMMUNICATION STUDIES

Communication, gestion de l’information, Linguistique, sociolinguistique, nouvellestechnologies, ethnographie, rhétorique, argumentation. Analyse du discours des médias,de la communication professionnelle, du langage au quotidien et de la communicationinterculturelle.

LICENCE 1

E11SLM5 Enquetes en communication 39h – 3 cCM : Dans son ensemble, cet enseignement vise à aborder la communication à travers une démarche scientifiqueparticulière : l’enquête de terrain. Cette méthode de recherche, qui suppose d’aller collecter des données in situ, apermis à un ensemble varié de chercheurs en Sciences Humaines et Sociales (anthropologues, linguistes,sociologues, etc.) de montrer que la communication, notion aussi vaste que floue, doit avant tout être comprisecomme un phénomène culturel et interactionnel (reposant sur des échanges interpersonnels organisés). Dans lecadre du CM, nous proposons de traverser les différents courants en SHS qui depuis les années 1920 jusqu’à la findes années 1970 se sont appuyés sur l’enquête de terrain pour essayer de comprendre des phénomènes aussicomplexes que le langage et la communication humaine. Ce faisant, nous pourrons identifier les différentesdimensions qui traversent la notion de « communication interpersonnelle ».TD : Le TD propose d’étudier de façon plus précise les différents auteurs abordés dans le cadre du CM et repose surun travail de lecture guidée. A partir d’un fascicule rassemblant le corpus de textes choisis par l’enseignant qui auraété distribué au début du semestre, les étudiants sont amenés, pour chaque séance, à lire et préparer une fiche delecture, discutée ensuite dans le cadre du cours.Bibliographie / WebographieAnderson, N. (1993), Le Hobo. Sociologie du sans abri, Paris, Nathan.Becker, Howard (1985), « La culture d’un groupe déviant : les musiciens de danse », in Outsiders, Paris, Métaillé, p.103-120Goffman, E. (1973), « Introduction », in La mise en scène de la vie quotidienne. Tome 1 : la représentation de soi,Paris, Minuit, p. 11-24.Gumperz, J. (1989), « Le savoir socioculturel dans l’inférence conversationnelle », in Engager la conversation, Paris,ed. de Minuit, p. 55-77Hall, E. T. (1981), « Proxémique », in Y. Winkin (dir.) La nouvelle communication, Paris, Seuil, p. 191-221. (ed. or.1968)Hugues, E. (1996), « La place du travail de terrain dans les sciences sociales », in Le regard sociologique, Paris, Ed.de l’EHESS, p. 267-279Hymes, D. (1982), « Postface », in Vers la compétence de communication, coll. Langues et apprentissages deslangues, Ed. Didier, p. 119-130McKenzie, R. (2004), « Le voisinage. Une étude de la vie locale à Colombus, Ohio », in I. Joseph et Y. Grafmeyer(dir.), L’école de Chicago. Naissance del’écologie urbaine, Paris, Champs, p. 213-244Park, R. (2004), « La ville comme laboratoire social », in I. Joseph et Y. Grafmeyer (dir.), L’école de Chicago.Naissance de l’écologie urbaine, Paris,Champs, p. 167-184Sapir, E. (1968), « La place de la linguistique dans les sciences », in Linguistique, Coll. Folio/Essais, Paris,Gallimard, p. 131-140.

E12SLM5 Actualités médiatiques et culturelles 39h- 3cEn encourageant des habitudes de lecture de la presse et de veille documentaire sur l’actualité, cet enseignementvise à développer des compétences d’expression écrite et orale essentielles autant pour la formation universitaireque pour les épreuves de la majorité des concours et pour l’insertion professionnelle. Le CM vise à donner des clefspour la rédaction de résumés et de critiques tout en développant la culture générale. Les TD permettent unentraînement à l’expression orale (positionnement dans l’espace, débit de parole, gestuelle) et à la réalisation dediaporamas (conception de diaporamas lisibles et efficaces).ObjectifsMaitriser la méthodologie du résumé, du compte-rendu, de la synthèse et de la critique. Savoir réaliser un diaporamaPower Point lisible et efficace. Savoir s’exprimer à l’oral de façon claire et convaincante. Développer des habitudesde veille documentaire sur l’actualité médiatique et culturelle (à l’aide des portails Diigo, Netvibes et Pearltrees).Connaître les ressources majeures d’informations sur l’actualité médiatique et culturelle. Développer la culture

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générale.Développer le goût des sorties culturelles.Bibliographie / WebographieFayet (Michelle) et Commeignes (Jean-Denis). 2005. Méthodes de communication écrite et orale. Paris : Dunod.Trouvé (Alain). 2012. Réussir le résumé et la synthèse de texte aux concours. Paris : PUF.Guédan (Jean-François). 2009. Le résumé de texte. Levallois Perret : Studyrama.De Oliveira Gomes (Claudia). 2009. Réussir la contraction de texte. Levallois-Perret : Studyrama.Lièvre (Pierre). 2011. L’épreuve de la note de synthèse. Paris : Dunod.talloni (Yves). 2010. La synthèse de texte : Méthode, exercices, épreuves. Paris : Ellipses.Balle (François). 2010. Les médias, de Gutenberg à Twitter. Paris : Que sais-je ?Delengaigne (Xavier). 2012. Organiser sa veille sur Internet. Paris : Eyrolles.

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E31SLM5 Culture technique et interaction (26 CM + 26h TD = 52h) – 4 cCM : Ce cours veut d’abord introduire, par divers rappels historiques, à une réflexion sur les rapports entre culture,discours et technologie. Au-delà d’incursions interdisciplinaires (philosophie et sociologie des sciences, théorie del’acteur-réseau…), il s’appuiera notamment sur des analyses du discours, sur les humanités scientifiques et laculture technique. Seront abordés ensuite plus spécifiquement la naissance et le développement des technologiespour communiquer. Cette mise en perspective interactionniste servira de base notamment à des études de cas surdivers corpus (en particulier extraits du cinéma d’anticipation).TD : La première partie du TD sera consacrée à la connaissance des principaux textes d’Erving Goffman portant surla situation, l’interaction, le cadre de participation et les objets. La seconde partie présente des auteurs qui ontanalysé le rôle des objets et des dispositifs technologiques dans des situations professionnelles et quotidiennes.L’enseignement alterne lectures guidées, exposés de l’enseignant, supports audiovisuels et exercices applicatifs.

E32SLM5 Médias, société et sémiologie publicitaire (19.5 CM + 19.5h TD = 39h) – 3 cMédias, culture et société. Il s’agira d’étudier les fonctionnements des discours informatifs dans les différentsmédias (presse, radio, télévision et Internet),notamment en comparant les traitements de l’information proposés.

Sémiologie publicitaire. Il s’agit de présenter quelques notions de sémiologie et de les appliquer à l’analysesémiotique et rhétorique des énoncés publicitaires associant l’image au texte. On s’intéresse notamment auxrelations entre le visuel et le rédactionnel publicitaires, aux fonctions des logos et des marques dans lacommunication et à la rhétorique de l’éloge publicitaire.

E33SLM5 Médiation et cultures numériques (39h) – 3 cLes changements technologiques dans les pratiques de médiation qui ont affecté la vie économique et sociale onten même temps, transformé les pratiques scientifiques et culturelles. Cet enseignement veut démontrer que laconnaissance est une pratique incarnée et socio-techniquement inscrite, objet et processus résultant d’une pratiqueinterprétative augmentée par les outils logiciels et les architectures Internet ; il rendra compte de ces processus detransformation en faisant référence aux travaux développés dans le domaine de la Sociologie des Sciences dansdes secteurs variés tels que : transmission du savoir, livre électronique, exposition et musée en ligne,communication scientifi que, encyclopédie numérique, …Il sera porté une attention particulière aux publics visés et aux supports technologiques utilisés (papier, ordinateur,mobile, Ipad, …).

LICENCE 3

E53SLM5 Genres télévisuels (19h CM + 19h TD = 39h) – 3cL’enseignement du CM analysera d’abord à travers différents genres télévisuels (JT, Publicité, Fiction de série...) desstratégies constitutives de la communication médiatique. Sera posée ensuite la question de leur possible dimensionmanipulatoire.La production des discours, oraux comme écrits, est structurée par les types et les genres du discours.L’enseignement des TD portera sur l’analyse des genres du discours de type médiatique à la télévision, en uneaccordant l’attention particulière aux genres qui mettent en scène l’intimité.ObjectifsLe CM vise l’analyse et repérage critique des stratégies de communication et de manipulation médiatiques.L’enseignement des TD le vise à étudier l’aspect génétique des genres télévisuels, réaliser leur inventaire, leurclassement et procéder à l’analyse détaillée de certains d’entre eux, comme l’interview politique, le talk show, lereality show et la télé-réalité.

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E52SLM5 Interactions et technologies (39h) – 3 cLe cours présente d’abord des formes génériques de l’organisation de l’interaction. Ensuite sont examinées lesadaptations nécessaires à ces formes d’échange dans la conversation téléphonique fixe et en mobilité. Lequestionnement sur les usages des technologies de la communication se fera à partir d’exemples d’enregistrementssonores et audiovisuels, de conversations quotidiennes et d’échanges dans les médias. Certaines caractéristiquesde l’interaction seront illustrées aussi par des exemples fictionnels. Des aspects de l’analyse d’environnementstechnologisés complexes seront proposés en conclusion (par exemple : centres de surveillance et de contrôle).ObjectifsIntroduction à l’étude de l’organisation de l’interaction. Examen des relations entretenues par technologie, interactionet médias. Ouverture sur les retombées applicatives.ÉvaluationExamen sur table (2h) ou dossier

E 54SLM5 Web semantique 3cLe nombre d’informations publiées sur la toile allant croissant, leur traitement constitue l’un des défi s majeurs desdéveloppeurs sur internet et un des enjeux principaux relatifs l’accès à l’information pour les utilisateurs.L’objectif de ce cours est d’initier les étudiants au balisage de l’information sur le net, dans ses aspects visible etcaché. Au-delà de ces aspects techniques, le cours explore les enjeux de cette structuration de l’information dansles mutations sociales contemporaines et leurs conséquences sur les interactions homme/machine et entre lesmachines.

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ETHNOLOGIE ET ANTHROPOLOGIE // ETHNOLOGY AND ANTHROPOLOGY

Courants, théories, champs, auteurs, méthodes (terrain), place du chercheur. Thèmesabordés autant dans les sociétés modernes que traditionnelles : imaginaire, parenté,religion, ethnomusicologie, etc.

LICENCE 1

E11ET5 Introduction à l’Ethnologie (39h) – 3c

CONTENU DU COURSCe cours vise à effectuer une première approche de cette discipline qu’est l’ethnologie. Il revient sur son histoire etses développements et la présente à la fois sous l’angle de sa méthode, de ses théories et d’un certain nombre dethématiques qu’elle a particulièrement traitées. Il s’agit ainsi d’évoquer la spécificité de cette discipline et sacontribution à la compréhension de l’Homme, dans son unité et dans la diversité de ses manifestations et modesd’organisation.BIBLIOGRAPHIELévi-Strauss, C., Le regard éloigné, chapitre « La famille », Plon, Paris, 1983.Malinowski B., (1922), Les Argonautes du Pacifique occidental, chapitres « Introduction » et « Donnéesessentielles sur la Kula », Gallimard, Paris, 1989.Mauss M., (1923-24), « Essai sur le don », in Sociologie et anthropologie, PUF, Paris, 1968.Geraud M.-O., Leservoisier O., Pottier R., Les notions clés de l'ethnologie, Armand Colin, Paris, 2000.

LICENCE 2

E31ET5 Anthropologie politique (39h) – 3c

Partant de la distinction de Maine sur les sociétés avec Etat et sans Etat, nous abordons la constitution de ce champde la discipline qui a permis de dégager l’universalité du lien politique. Ces séances introductives conduiront à traiterles rapports du domaine politique avec d’autres domaines (parenté, religion) et à définir certains conceptsfondamentaux (pouvoir, formes de domination, types d’organisation). Des exemples d’analyse (Evans Pritchard etles Nuer, Pierre Clastre et les Yanomani) seront développés pour les illustrer.Bibliographie :Abélès Marc, Anthropologie de l’Etat, Paris : Poche, « Petite Bibliothèque Payot », 1990.Balandier Georges, Anthropologie politique, Paris : PUF, « Quadrige », Paris, 1967.Clastre Pierre, La Société Contre l’Etat, Paris : Les Editions de Minuit, «Critique », 1974.Evans-Pritchard Edward Evan, Les Nuer, Paris : Gallimard, 1968 (1937).Cresswell Robert, « Le pouvoir politique », Eléments d’Ethnologie 2. Six Approches, Paris : Armand Colin, 1975,p.175-211.

E32ET5 Anthropologie du fait religieux (39h) – 3c

Cet enseignement introduit les étudiants aux questions fondamentales ayant traversé les oeuvres anthropologiquesportant sur les phénomènes religieux. À travers la présentation d’auteurs classiques et contemporains, il permetd’aborder différents courants théoriques et d’acquérir des connaissances conceptuelles et méthodologiques.Bibliographie :AUGE Marc, 1982, Génie du Paganisme, Paris, Gallimard.BOYER Pascal, 2001, Et l’homme créa les dieux. Comment expliquer la religion, Robert Laffont.DESCOLA Philippe, 2014, La composition des mondes, entretien avec Pierre Charbonnier, Paris, Flammarion.DESCOLA Philippe, 2010, La fabrique des images, Visions du monde et formes de la représentation, Paris, Somogy.DURKHEIM Emile, 1960, Les formes élémentaires de la vie religieuse, Paris, PUF (1ère édition : 1912).DUMONT Louis, 1971, Homo Hierarchicus. Essai sur le système des castes, Paris, Gallimard.DUMONT, Louis, 1983, Essais sur l'individualisme. Une perspective anthropologique sur l'idéologie moderne, Paris,Le Seuil.

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LICENCE 3

E51ET5 Anthropologie du changement social et culturel – 3cCe cours introduit aux difficultés et aux possibilités de dialogue entre ethnologie et histoire en portant une attentionparticulière à la question du mythe. Après avoir interrogé l’opposition entre structure et histoire, on abordel’anthropologie historique de M. Sahlins pour ensuite nous attacher aux paradoxes liés à la modernisation dessociétés orales et à la pluralité des expériences du temps et des « régimes d’historicité » (F. Hartog).BibliographieBASTIDE Roger, « La mythologie moderne », in Le Sacré Sauvage et autres essais, Paris : Payot, p.83-94.BENSA Alban, La Fin de l’Exotisme. Essai d’anthropologie critique, Paris : Anarchasis, 2006.BURGUIERE André, « Histoire et structure », Annales, 26ème années, mai-juin, 3, 1971 : I-VII.HARTOG François, Régimes d’historicité. Présentisme et expérience du temps, Paris : Le seuil, 2003.LEVI-STRAUSS Claude, « Le temps du mythe », Annales, mai juin, 26/3, 1970, p.533-540.NICOLAS THOMAS, Hors du temps. Histoire et évolutionnisme dans le discours anthropologique, Paris : Belin, 1998SAHLINS Marshall, Des Îles dans l’Histoire, Paris : Le Seuil, [1985]-1989.VEYNE Paul, Les Grecs ont-ils cru à leurs mythes ?, Paris : Le Seuil, 1983.

E52ET5 Anthropologie economique – 3cAlors que l’économie marchande prend une place majeure dans le fonctionnement actuel des sociétés, il s’agitd’envisager dans ce cours en quoi l’anthropologie est à même de contribuer à l’analyse des dimensionséconomiques de la vie sociale. Nous commencerons par présenter les lignes d’analyse classiques de ce domained’études qu’est l’anthropologie économique (formalisme, substantivisme, marxisme), puis nous centrerons sur uncertain nombre de dossiers (concernant l’anthropologie du don, de la valeur, de la monnaie, des transactions, desmarchés, etc.).Références bibliographiquesAppadurai Arjun, 2009, « Les marchandises et les politiques de la valeur » (traduction française par Jean-PierreWarnier de l’introduction à The social life of things, Appadurai, 1986), Sociétés politiques comparées, n°11.Bloch Maurice and Parry Jonathan, 1989, “Introduction : money and the morality of exchange” in Maurice Bloch andJonathan Parry (eds), Money and the morality of exchange, Cambridge, Cambridge university press.Duboeuf Françoise, 1999, Introduction aux théories économiques, Paris, La Découverte.Dupuy Françis, 2008, Anthropologie économique, Paris, Armand Colin.Godelier Maurice, 1973, Horizon, trajets marxistes en anthropologie, Paris, Maspero.Graeber David, 2005, “Value: anthropological theories of value”, in James Carrier (ed), A Handbook of EconomicAnthropology, p. 439-454.Herskovits Melville, 1952 [1940], Economic Anthropology, New-York, Alfred Knopf.L’Homme, 2002, « Questions de monnaie », n°162.Mauss Marcel, 1952 [1923-1924], « Essai sur le don », in Marcel Mauss, Sociologie et anthropologie, Paris, PUF.Mauzé Marie, 1986, « Boas, les Kwagul et le potlatch. Éléments pour une réévaluation », L’Homme, n° 100, p.21-63.Meillasoux Claude, 1960, « Essai d'interprétation du phénomène économique dans lessociétés traditionnelles d'auto-subsistance », Cahiers d’études africaines, n°4, p. 38-67.Polanyi Karl, 1983 [1944], La grande transformation. Aux origines politiques et économiques de notre temps, Paris,Gallimard.Sahlins Marshall, 1976, Âge de pierre, âge d’abondance. L’économie des sociétés primitives, Paris, Gallimard.Warnier Jean-Pierre, 2009, « Les politiques de la valeur », Sociétés politiques comparées, n°11, p. 1-67.Zelizer Viviana, 2005, La signification sociale de l’argent, Paris, Seuil.

E53ET5 Anthropologie du fait religieux – 3cCe cours aborde l’anthropologie des religions dans une approche anthropologique des faits de longue durée (Boas,Eliade, Lévi-Strauss, Obadia…). Avec comme point de départ, l’analyse des mythes et le concept d’« efficacitésymbolique » (Lévi-Strauss 1958 « Magie et religion » publication online :), deux thèmes sont développés.1) «Le sacré de transgression » (Laburthe-Tolra, Hell, Vazeilles) avec une introduction aux chamanismes (Hamayon,Hell, Perrin, Vazeilles), aux cultes de possession, au cannibalisme rituel, à travers l’étude de figures mythiques et depersonnages humains (tricksters, hommes-femmes, clowns rituels amérindiens (Hell, Makarius, Vazeilles…) ;sorcières, vampires et loups-garous en Occident).2) Les dynamiques religieuses(a) dans les pays du “Tiers Monde” (messianismes, prophétismes et cultes nouveaux ; mouvementscontre-acculturatifs : cargo-cults, kimbanguisme) (Laburthe-Tolra, Obadia, Rivière) ;(b) dans l’Europe contemporaine («retour du religieux » ; fonds judéo-chrétien et traditions européennes parallèles ;contre-culture - horizon alternatif ; culture scientifique et attrait du paganisme, néo-chamanisme, New Age ;transcendances sans dieu) (Hamayo,, Obadia, Rivière, Stuckrad, Vazeilles, Vernette…).

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Le cours prend en compte les aspects positifs de l’imaginaire dans l’organisation sociale des sociétés humaines,ainsi que les dérapages (consumérisme, sectes, intégrismes ; usages et abus des (néo)-ritualisations).ContrôleExamen portant sur le cours et la bibliographie du cours : étudiants assidus et non assidus : sur table.

Eléments bibliographiques1) LEVI-STRAUSS Claude, 1958, « Magie et religion » : 183-266..2) Un des trois ouvrages suivantsLABURTHE-TOLRA Philippe et Jean-Pierre WARNIER, 1993, 3è partie « La fonction symbolique » : 157-286,Ethnologie / AnthropologieOBADIA Lionel, 2007, L’anthropologie des religions.RIVIÈRE Claude, 1997, Socio-anthropologie des religions.3) Lire deux des trois articles(a) HAMAYON Roberte, 2003, “Introduction à Chamanismes. Réalités autochtones et réinventions occidentales” :57-78.Ou STUCKRAD K., von, 2003, “Le chamanisme occidental moderne et la dialectique de la science rationnelle” :281-302.(b) VAZEILLES Danièle, 2008,c, « Tricksters et transgresseurs, hier et aujourd’hui. Etudes comparées :Amérindiens, Grèce antique et monde occidental contemporain » : 237-261.

E54ET5 Anthropologie et littératureLa dimension littéraire du récit ethnologique. Cet enseignement insiste sur des questions d’épistémologie à partir del’analyse de la dimension littéraire des écrits ethnologiques et d’une réflexion mettant en relation les notionsd’exotisme, de fiction, les pratiques de l’enquête ethnographique ainsi qu’une lecture comparée entre productionsscientifiques et productions littéraires d’auteurs comme : Michel Leiris, Marcel Griaule, Bronislaw Malinowski, AlfredMétraux, Georges Balandier, Georges Condominas, Claude Lévi-Strauss.Le cours investit également la question du prolongement dans le discours ethnologique de la lecture de l’oeuvred’écrivains-voyageurs comme Victor Segalen, Herman Melville, Robert James Fletcher.CONTROLE DES CONNAISSANCES :Epreuve écrite en fin de semestreBIBLIOGRAPHIE :Fletcher Robert James, Îles-paradis, îles d’illusion, Le Sycomore, 1979 [1923]Griaule Marcel, Dieu d’eau, Fayard, 1966 [1948]Leiris Michel, L’Afrique fantôme, Gallimard, 1981 [1934]Lévi-Strauss Claude, Tristes tropiques, Plon 1955Melville Herman, Benito Cereno, Flammarion, 1991 [1855]Malinowski Bronislaw, Journal d’ethnographe, Éditions du Seuil, 1985 [1967]Segalen Victor, Essai sur l’exotisme, Fata Morgana, 1978Segalen Victor, Les immémoriaux, Plon, 1956 [1907].

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GÉOGRAPHIE // GEOGRAPHY

Etude des Territoires (Aménagement) et des Sociétés : analyse et gestion deschangements, identités locales, Régionalisme, mode de vie et Géopolitique.Infrastructures, Transports, Ruralité, Urbanisme, Patrimoine.

LICENCE 1

E11GA5 Geographie, science des territoire (39h) –3cCe cours d’initiation à la géographie aborde les deux piliers de la discipline : la géographie humaine et la géographiephysique. Il a pour but de donner aux étudiants des repères solides en géographie humaine et physique à leurentrée en licence et de les renseigner sur la spécificité et la variété de l’approche scientifique en géographieproposée à l’université.Pour la partie géographie humaine, il s’organise en trois parties. La première, à portée historique et épistémologique,aborde la constitution des différents types de savoirs en géographie afin de mieux comprendre les grandesapproches existant aujourd’hui au sein de la discipline : qu’est-ce qu’une géographie universitaire ? Quelle est l’utilitésociale de la géographie ?La deuxième permet d’en mesurer la portée à partir d’une analyse détaillée de quelques grandes problématiques dela géographie : la ville, la mondialisation, l’évolution démographique de la planète, le paysage... Enfin, la troisièmepartie de cet enseignement permet de comprendre pourquoi et comment l’homme transforme et organise sonterritoire à travers l’analyse des enjeux, des acteurs, des moyens et des grandes orientations de l’aménagement duterritoire, les pratiques de ses habitants.Le cours introductif à la géographie Physique a pour but de balayer les différents aspects de la géographie physiqueet environnementale afin de montrer la diversité des thématiques et des approches de la discipline. La premièrepartie du cours contribue à édifier les bases fondamentales dans la connaissance des grands ensembles structurauxdu globe avec une attention particulière pour les reliefs de la France. Puis l’importance des jeux d’échelles spatialeset temporelles sera soulignée à travers les catastrophes naturelles (volcans, séismes, tsunamis, cyclones) et leschangements globaux.

LICENCE 2

E31GA5 Géographie urbaine (39h) -3cApproches thématiques du cours :1. Qu'est ce qu'une ville? Comment la géographie a pris en compte la ville?2. La forme urbaine et les formes urbaines. Morphologie sociale et morphologie spatiale.3. Urbs, Civitas, Polis, les trois visages de la ville. Fin des villes, crises de la ville, l'urbain.4. Aménagement urbain, urbanisme, environnement.5. Paysages urbains.6. Fin des villes ou destruction de la ville?Approches thématiques des Travaux Dirigés :1. Exemples de croissance et de morphologies urbaines dans le monde2. Les modèles "théoriques" de la ville et de sa croissance, l'école de Chicago3. Commentaires de documents d'urbanisme. Archives municipales et histoire urbaine.4. L'espace public. Qu'est ce qu'une place?5. Fictions urbaines6. Stratégie de la grande distribution: le groupe Mulliez , Auchan, Kiabi, Décathlon...

E32GA5 Géographie de la population et de la santé (52h) -4cCours Magistral :Il s’articule selon deux axes. Le premier axe porte sur une présentation des grands principes de la démogéographiedans le monde. Quels sont les principaux processus démographiques dans le Monde ?De la transition démographique au vieillissement de la population, ce cours est une introduction aux grands défisdémographiques du XXIème siècle ? Le second axe porte sur une introduction aux principes de la géographie de lasanté à partir d’une thématique très actuelle : les inégalités sociales et territoriales de santé en France.Approches thématiques des Travaux Dirigés :Introduction géographique aux questionnements démographiques et sanitaires contemporains dans différentesrégions du monde. Un premier volet de l’enseignement portera sur les tendances démographiques et la complexitédes phénomènes en cours. Un second volet de l’enseignement abordera les grandes priorités sanitaires dans uneperspective d’aménagement du territoire. C’est à travers différentes thématiques telles que l’explosion

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démographique ou encore la réduction des inégalités devant la maladie et la mort, que cette unité d’enseignementsnous invite à réfléchir ensemble aux grands défis actuels et de demain.Bibliographie:Pour la géographie de la populationBAUDELLE G., 2003, Géographie du peuplement, Paris, Armand Colin, 192p.DUMONT G.-F., 2004, Les populations du monde, Paris, Armand Colin, 288p.NOIN D., 2001, 2005, Géographie de la population, Paris, Armand Colin, 280p.GUILLON M. et SZTOKMAN N., 2008, Géographie mondiale de la population, Paris, Ellipses, 349p.ROLLET C., 2006, 2010, La population du monde, Paris, Larousse, 128p.PISON G., 2009, Atlas de la population mondiale, Paris, Autrement, 80p.VALLIN J., 2002, La démographie, Paris, La découverte, 128p.(D’autres références seront indiquées en cours)Pour la géographie de la santéHaut Comité de la Santé Publique - La santé en France 2007. Paris, la Documentation Française.LACOSTE O. Géopolitique de la santé. Paris : La Découverte, 1994 ; 361 p.LEJEUNE B., POMEY P. , POULLIER JP (dir.), 2000: Traité de santé publique, Paris, Ellipses. (chapitre géographiede la santé par Emmanuel Vigneron)PICHERAL H., Dictionnaire raisonné de géographie de la santé Montpellier, 2001. Université de Montpellier III,service des PublicationsSALEM G. RICAN S. JOUGLA E., Atlas de la Santé en France. Tome 1 – La mortalité et 2 Morbidité etmaladies.Paris, Johnn Libbey Eurotext, 1999.TONNELLIER F., VIGNERON E., 1999 - Géographie de la santé en France, Paris, PUF, coll.QSJ ?VIGNERON E. ET CORVEZ A. - Santé Publique et Aménagement du Territoire. (dir.) Dossier n°29 deActualité et dossier en santé publique. Revue trimestrielle du Haut Comité de la Santé Publique. Déc. 1999disponible sur http://www.hcsp.fr/explore.cgi/adsps?menu=11 voir aussi le n° 19.

E33GA5 Géographie des climats (39h) -3cLes événements récents comme la tempête Xynthia ou les inondations dans les Alpes-Maritimes en Octobre 2015 etles débats actuels sur le changement climatique montrent qu’une réflexion sur l’aménagement de l’espace ne peutse passer d’une solide culture générale en environnement.Le cours de géographie des climats a pour objectifs de fournir aux étudiants les bases du fonctionnement et de larépartition des climats dans le monde. Le cours débute par deux chapitres rappelant les mécanismes de base dufonctionnement de l’atmosphère. Suivent la description et la spatialisation des climats dans les trois zones chaude,froide et tempérée. L’accent est mis sur les changements d’échelle en montrant les particularités locales des climats.Le cours s’achève sur des grands thèmes transversaux et les problématiques actuelles autour des climats. Sonttraités en particulier les paléoclimats et la reconstitution des climats à l’échelle de temps historique. Les relationsentre l’homme et le climat sont mises en perspective au travers des débats actuels autour du réchauffement desclimats et de la question des risques climatiques (sécheresse, inondations, tempête).Bibliographie :GODARD A. et TABEAUD M. (2004, 2009) Les climats. Mécanismes, variabilité, répartition. Armand Colin Cursus(Bien illustré, nombreuses mais courtes définitions dans le glossaire)BELTRANDO G. (2004) Les climats. Processus, variabilité et risques. Armand Colin Coll. U. 261 p. VIGNEAU J.P.(2000) Géoclimatologie. Ellipses. 334 p.DORIZE L. Climatologie In: LE COEUR et al. (2002, 2008) Eléments de géographie physique. Bréal. (un peu ardu)

E3PB2GA5 Politiques d’aménagement du territoire (39h) -3cLe cours aborde les thèmes suivants :- Définition, historique et principes des politiques françaises d’Aménagement du territoire à l’échellenationale depuis 50 ans- Exemples de politiques sectorielles (transports, agriculture, industrie, tourisme et loisirs) et aménagementd’ensembles spatiaux spécifiques (monde rural, littoral, montagne, Paris)- Intervention croissante des acteurs locaux (collectivités locales, EPCI) et supra-nationaux (UE)

E3PB1GA5 Environement : hydrologie et milieux naturels (52h) -4cDynamique des milieux naturels : A travers l’étude de quelques grands milieux “ naturels ”, il s’agit d’approfondir lesconcepts abordés en première année en les replaçant dans un cadre dynamique et systémique (sans insister surl’action humaine) : l’articulation et l’interaction des différents processus morphogéniques à l’oeuvre, les relationsavec la dynamique végétale et l’adaptation du vivant aux conditions extrêmes seront ainsi abordées.Hydrosystèmes : Cet enseignement propose à l’étudiant d’acquérir les notions de base en hydrologie ethydrogéologie pour comprendre et interpréter le fonctionnement des hydrosystèmes. Les thèmes abordés font une

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large place à l’Hydrologie générale (hydrométéorologie, bassins versants, hydrogrammes de crues, morphologiefluviale, outils de mesures…) et à la liaison hydrologie – climatologie (les régimes fluviaux).

LICENCE 3

E51GA5 Géographie des pays développés (39h) -3cCet enseignement sur la « géographie des pays développés » comporte 4 parties.1- La notion de « développement » et de « pays développés »La première partie du cours vise à rendre compte des nombreuses controverses engageant des économistes et desgéographes sur la question des facteurs de l’amélioration du bien-être des sociétés (théories du développement) ;de sa mesure (indicateurs de développement) ; et de la catégorisation des pays (développés/sous-développés,Nord/Sud, riches/pauvres…) ; de sa déclinaison conceptuelle (théorie des pôles de développement, développementlocal, développement durable….). Nous reviendrons aussi sur l’usage qui a été fait des notions du « développement» et de « pays développés », notamment dans les politiques économiques etsociales et dans les programmes scolaires.2- Développement et géo-histoire de la planèteCette deuxième partie aborde les différentes approches spatialisées du développement à la petite échelle dugéographe, en lien avec les notions de mondialisation et de globalisation, et selon une temporalité longue. Ledéveloppement sera abordé tour à tour : 1. Comme un phénomène historique linéaire susceptible d’atteindre tousles hommes et tous les lieux, mais pas au même moment (modèles de transition démographique ou urbaine…). 2.Comme un phénomène de diffusion du capitalisme structuré selon un modèle centre-périphérie (Braudel) 3. Commeun “développement spatio-temporel inégal” (Harvey) 4. Comme un facteur de structuration des représentations dumonde (Grataloup).3- Pays développés et inégalités de développement : une approche géographiqueNous montrerons dans cette partie du cours l’originalité du travail des géographes qui consiste à observer etanalyser les inégalités de développement à différentes échelles. Au-delà des inégalités observées entre les paysdéveloppés et ceux dits sous-développés, les inégalités de développement se vérifient à toutes les échellesgéographiques, aussi bien dans les pays dits développés que dans ceux dits sous-développés, entre les régions,entre la ville et la campagne, entre les quartiers d’une même ville. De plus, si le développement est inégal et si l’onretient l’idée dite que le développement comporte une référence à la justice, certains géographes s’interrogent sur lamise en compatibilité de ces deux dimensions du développement.4- La géographie depuis les pays développésEnfin, dans une perspective plus épistémologique, la dernière partie du cours interroge les pays développés commeprincipale origine du savoir géographique. Qui produit la géographie ? Sur quels objets, quels terrains, avec quellesthéories, quelles méthodes, avec quels objectifs et quels résultats ? Pour établir un pont avec l’enseignement desemestre 2 portant sur la « Géographie du développement », on interrogera pour finir le projet de divers(es)chercheurs(ses) de « désoccidentaliser la géographie.Dans le cadre du Cours Magistral seront posés le cadre de réflexion, les principaux concepts et résultats ; les étudesde cas seront abordées dans le cadre des Travaux Dirigés en articulation avec le cours.

E54GAG5 Grands défis : géographie politique et culturelle (52h) – 4c1ère partie : de la géographie des cultures aux géographies de la cultureQuelles cultures ?Quelles géographies culturelles ? (+ Histoire des géographies culturelles)Géographie culturelle contemporaine et ses évolutions (géo humaniste, radicale, renouveau français).Le courant postmoderne et son dépassement actuel2e partie : thématiquesNature et cultureReprésentations3e partie : Enjeux culturels de la géopolitique contemporaine

E5PB2GA5 Géographie des espaces convoités et interface (3 cCet enseignement de spécialisation en géographie a pour objectif de former les étudiants à l’analyse géographiqueen milieu complexe et dynamique. Elle porte sur des espaces convoités qui font l’objet de nouveaux usages, denouvelles formes de mise en valeur et d’occupation. Ces espaces d’interfaces sont considérés comme des « frontspionniers » en évolution rapide où les mouvements d’hommes, de biens, de capitaux entraînent des tensions, voiredes conflits d’usages, de valeurs… Le géographe doit les décrypter de façon systémique (modes d’occupation,valeurs sociales, stratégies d’acteurs…). Les enseignements porteront sur deux types d’interface convoitée : leslittoraux à l’interface terre-mer et les territoires de la migration.· Les migrations :

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Cet UE traitera des phénomènes d’interfaces spatiales et des espaces convoités à partir de la problématique desmigrations internationales. L’approche géographique des processus migratoires permet de mettre en évidence, àplusieurs échelles spatiales (mondiale, régionale, locale), des dynamiques sociales, économiques et politiques liés àla migration des individus et des groupes. Outre l’organisation mondiale et régionale des migrations internationales,seront abordés en particulier les phénomènes de circulation, de passage et de transferts qui animent certainsespaces d’interfaces migratoires (espaces frontaliers, lieux de transit, villes mondiales, etc..) mais également desprocessus contraires liés à une géopolitique de la rétention et du contrôle de la circulation. Les travaux dirigésillustreront ces problématiques à partir d’exemples ciblés, d’étude de cas et d’analyses de documents relatifs à laproduction d’interfaces migratoires.· Les littoraux :Longtemps ignoré, le littoral, ce « territoire du vide » selon les mots d’Alain Corbin, a été lentement apprivoisé puis,

surtout à partir des années 1950, conquis, exploité, voire lourdement aménagé, jusqu’à devenir l’un des espaces lesplus peuplés et convoités de la planète. C’est pourquoi les littoraux constituent un objet scientifique complexe dontl’étude mêle obligatoirement et indissociablement, d’une part géographie physique et humaine et d’autre part,approche géographique et prise en compte des pratiques d’aménagement. Les thèmes abordés seront les différentsmodes de mise en valeur des espaces littoraux (agricole, urbain, industrialo-portuaire, touristique…), l’organisationspatiale de milieux spécifiques fragiles (zones humides) et l’évolution des modalités de gestion des zones côtières.

E51GAA5 Aménagement urbain (50h) -4cL’aménagement urbain désigne l’ensemble des études et des réalisations ayant pour but de répondre aux problèmesque connaissent les villes (sous-équipement de certains quartiers périphériques, vieillissement des transports encommun…). C’est l’une des principales et des plus anciennes formes d’action publique.L’aménagement urbain revêt des dimensions multiples et relève de processus propres à certaines échelles (de laréhabilitation de bâtiments à la restructuration urbaine). Ceux-ci mobilisent différentes spécialités telles que lagéographie, le paysagisme, la sociologie, l’urbanisme ou encore l’architecture. Cet enseignement a pour objectif deprésenter les enjeux, les acteurs publics et privés impliqués ainsi que les procédures de l’aménagement urbain, enparticulier en France métropolitaine. Cela n’exclut pas l’étude d’opérations urbaines conduites à l’étranger.Les TD sont articulés aux enseignements théoriques développés dans les CM. Ils reposent notamment sur desétudes de cas et des lectures obligatoires.Bibliographie sommaire :Ouvrages :- ASCHER F.,2001, Les nouveaux principes de l’urbanisme, la Tour d’Aigues, Editions de l’Aube- BOINO P., DESJARDINS X., 2009, Intercommunalité : politique et Territoire, La Documentation Française- DAMON J, MICHEAU M., dir., 2009, 40 ans d’urbanisme, la Tour d’Aigues, Editions de l’Aube- PANERAI P., CASTEX J. et DEPAULE J-C, 1997, Formes urbaines : de l’îlot à la barre, Marseille, Parenthèses- PINSON G., 2009, Gouverner la ville par projet. Urbanisme et gouvernance des villes européennes, Paris, Pressesde Sciences PoRevues : - Diagonal, Traits urbains, Urbanisme, Norois, Flux

E52GAA5 Environement et pratique de l’aménagement 4cA travers la thématique des risques (naturels comme industriels, brutaux comme chroniques), il s’agit de mettre en

évidence la manière dont les sociétés humaines se confrontent à leur environnement en s’y adaptant, luttant contreles éléments qui entravent leur développement ou tirant parti des situations auxquelles elles sont confrontées. Lesjeux d’acteurs, les outils et le contexte églementaire des aménagements seront ainsi abordés à travers plusieursexemples, en France comme à l’étranger.1- Concepts (catastrophe, aléa, vulnérabilité, risque majeur) et méthodes de travail2- Les avalanches3- Les inondations et leur gestion4- Les feux de forêt5- Risques industriels et TMD, effets dominos6- Paysages miniers et réserves naturelles7 - Risques d’érosion et agriculture

E54GAA5 Amenagement dans les pays développés (39h) -3cCet enseignement a pour vocation d’initier les étudiants à l’aménagement du territoire dans les pays caractérisés parun haut niveau de développement économique et une sensibilité croissante des populations aux enjeux sociaux etenvironnementaux. Il portera plus spécifiquement sur l’Europe.Seront abordés les sujets suivants :- les grandes étapes de l’aménagement en France (1 séance);- l’aménagement du territoire aux Pays-Bas (1 séance).

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- Il s’intéressera ensuite à l’aménagement numérique des territoires (3 séances). A l’échelle régionale ou à celle desagglomérations, on souligne le poids croissant des activités liées à l’informatique et aux TIC dans les nouvellesdynamiques territoriales. La relation TIC et territoires fait se rencontrer deux thématiques qui gagnent à êtrerapprochées : celle du développement de l’économie numérique et celle de l’aménagement des territoires dedemain. Deux enjeux fondamentaux qui sont placés devant les décideurs des collectivités territoriales : permettrepar la mise à disposition d’infrastructures, l’accès aux réseaux de communications électroniques; améliorerl’attractivité des territoires.On insistera sur la façon dont la construction européenne influence directement (SDEC, politique de cohésionrégionale…) ou indirectement (liberté des mouvements de biens et services, de capitaux et de personnes,libéralisation des marchés publics, ouverture des monopoles, monnaie commune, politique agricole commune,élargissement à l’Est) l’aménagement du territoire. Seront particulièrement mis en avant la place allouée àl’aménagement dans l’idéologie communautaire, les politiques communautaires, leurs outils de mise en oeuvre et lesmoyens qui leur sont alloués, et enfin la réorganisation du jeu des acteurs qui les accompagne aux échelonsnationaux et régionaux. Les thèmes traités porteront plus particulièrement sur : la politique de cohésion régionale, laréforme de la Politique Agricole Commune.

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HISTOIRE // HISTORY

Histoire Ancienne (Grecque et Romaine) et Médiévale, Histoire Moderne et Contemporaine(USA, France). Histoire et Culture. Histoire et Religion. Politique, Économique.

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E11HI5 Introduction à l’histoire : Antiquité et Moyen age(39h) – 3 c

Antiquité : Promenades en Méditerranée orientaleA travers une promenade dans l’espace (des colonnes d’Hercule à l’Indus) et dans le temps (de l’invention del’écriture à la conquête de l’Orient par Rome), le cours a pour objectif de présenter les grandes étapes, les grandslieux, les grands thèmes, les grands noms de l’histoire de l’Orient ancien.

Moyen-Age:Histoire de l’Orient médiéval (Ve-XVe siècle)Il s’agira, dans ce cours, de dresser un tableau général de l’Orient méditerranéen au Moyen Âge en offrant uneinitiation à l’histoire de l’Empire byzantin et du monde musulman, mais également, à travers les TD, de la Russie deKiev, des royaumes du Caucase, des Etats latins d’Orient et de l’Empire mongol.

Initiation à l'Histoire de l'Europe occidentale au Moyen Âge, VIe-XVe sièclesIl s'agit d'un très large et rapide survol, qui s'efforce surtout de définir les grandes phases et inflexionschronologiques. Sont abordés les thèmes politiques, économiques, sociaux et religieux.

E12HI5 Histoire de l’antiquité – 2 cLa Société romaine à l’époque impériale

E13HI5 Histoire médiévale – 2cIntroduction à l’histoire du Moyen Age occidental

E14HI5 Histoire moderne 3cL’Europe et le monde 1492-1648 : les grands repères de l’époque moderne

E15HI5 Histoire contemporaine 3cHistoire de l'Europe 1815-1939Les cours (1 heure) sont organisés en séquences thématiques portant sur les dimensions diplomatiques, politiqueset socio-économiques de l'histoire européenne de 1815 à 1939.Les TD menés par Messieurs Kirschleger et Louvier développeront ces thèmes aux échelles nationales et locales.

LICENCE 2

E31HI5 Histoire de l’antiquité (39h) – 3 cLe monde romain sous les Antonins et les Sévères (96-235 ap. J.-C.)Ce cours est consacré à l’étude du monde romain à l’époque impériale, et plus précisément au règne de deuxdynasties qui ont vu l’apogée territorial de Rome, et dont des études récentes ont conduit à revaloriser l’importancedans l’évolution politique, sociale et économique de l’empire.Après une présentation des cadres chronologiques, le cours abordera les caractéristiques du régime impérial, puisl’évolution de la société romaine dans toute sa diversité (élites, plèbe, esclaves….), ainsi que le rôle de l’armée et dela religion.

E32HI5 Histoire du Moyen-age (39h) – 3 cHistoire du Levant chrétien et des croisades (fin XIe-XVe siècle)Nous envisagerons dans ce cours et les TD qui l’accompagnent l’histoire des huit croisades lancées par lesOccidentaux au Proche-Orient (vers la Terre sainte, mais aussi en direction de l’Empire byzantin, de l’Egypte et duMaghreb), l’établissement des Latins en Orient, leurs relations avec les musulmans, les Byzantins et les chrétiensd’Orient.

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Nous nous intéresserons également aux circonstances de la création et à l’évolution des États nés de ces croisades: le royaume de Jérusalem, la principauté d’Antioche, le comté d’Edesse, le comté de Tripoli, le royaume de Chypre,ainsi qu’à l’État chrétien voisin, le royaume arménien de Cilicie.

E33HI5 Histoire moderne (39h) – 3 cLa France à l’époque moderne : approches thématiquesL’objectif est de proposer un tableau général des thématiques et des dynamiques qui caractérisent la France entre leXVIe et le XVIIIe siècle, en portant plus particulièrement l’attention sur les structures, les objets et les grandschangements.

E34HI5 Histoire contemporaine (39h) – 3 cHistoire des monothéisme à l’époque contemporaine.

LICENCE 3

E51HI5 Histoire de l’antiquité (52h) – 4 cGuerre et société dans les mondes grecs de 490 a 322L’objectif du cours est de revenir sur la période centrale de l’histoire du monde grec, l’époque classique, autour d’unthème central qui en a d’ailleurs déterminé les limites « officielles » : les guerres médiques et l’épopée d’Alexandre,c’est à dire deux grands conflits qui ont modifiés la carte et la géopolitique de l’Orient méditerranéen.Il ne s’agit évidemment pas de revenir sur l’histoire événementielle ou tout simplement la chronologie : celle-ci estmaintenant supposée connue. En confrontant la pluralité des guerres (les différents types de conflits) à la diversitédes sociétés grecques, on pourra analyser la façon dont la guerre est vécue par les différents groupes sociaux d’unmême État, les soldats (des citoyens ou des mercenaires), mais aussi les femmes (qui sont exclues de la guerre enprincipe), les enfants (d’où le problème de la formation militaire des jeunes), les esclaves (peut-on les utiliser ?), lesétrangers résidents ou de passage (la cinquième colonne ?), sans négliger aucune des dimensions de la vie ensociété dans l’Antiquité, que ce soit la dimension religieuse, la dimension économique, la dimension politique, ouencore la dimension culturelle.

E52HI5 Histoire du Moyen-Age (52h) – 4 cVilles et sociétés urbaines dans l’espace méditerranéen : péninsule ibérique, France du Sud, Italie (12e-15e siècle)

E53HI3 Histoire Moderne (52h) – 4 cReligions et pouvoirs dans la France de la première modernité(XVIe-XVIIe s.)

E54HI3 Histoire Contemporaine (52h) – 4 cLes doctrines économiques et sociales : débats et concrétisations dans la société française du 19ème siècleL’accent est mis sur les rapports entre la société, l’économie et les doctrines qui ont influencé les politiques, enFrance et en Europe, de la période révolutionnaire à la guerre de 1914. Le libéralisme britannique, le catholicismeromain, le socialisme rhénan divisent les Français entre traditionalistes et libéraux, républicains et socialistes. Sur leterrain, les conséquences des bouleversements structurels et des mutations technologiques permettent de corréleranalyses économiques globales et attitudes concrètes des populations.Bibliographie :André GUESLIN, Nouvelle Histoire économique de la France Contemporaine, 4Tomes, Repères/La Découverte, Paris, nouvelle édition.Geneviève GAVIGNAUD-FONTAINE Les Catholiques et l’économie-sociale enFrance, 19ème et 20ème siècles, Paris, Les Indes Savantes/ La Boutique de l’histoire, 2011.

E51HIR5 Relations internationnales dans l’antiquité (52h) – 4 c

E52HIR5 Relations internationnales au moyen-Age (52h) – 4 c

E53HIR5 Questions d’économie internationale 3c

E54HIR5 Systèmes politiques comparés 3c

E55HIR5 Guerre et paix au 20Eme siecle

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HISTOIRE DE L’ART ET ARCHÉOLOGIE // ART HISTORY AND ARCHEOLOGY

Préhistoire, Antiquité (Grec et Romain), Epigraphie Egyptienne, Moyen Age, Art Médiéval,Art moderne, Art Contemporain, Méthodologie de l’Histoire de l’Art et de l’Archéologie.

LICENCE 1

E11HAA5 Introduction à l’archéologie (39h) – 3 cPréhistoireObjectifs : Introduction générale à la Préhistoire (grandes périodes, chronologies, évolutions majeures) L’archéologieet la Préhistoire ne sont presque pas évoquées dans l’enseignement secondaire. Il s’agit donc de la découverte dedisciplines et de champs de connaissances spécifiques.Programme prévisionnel :- Cours 1 : Introduction générale et Préhistoire ancienne I (Chronologie, climats, évolutions humaines)- Cours 2 : Préhistoire ancienne II (Evolutions techniques, culturelles et symboliques)- Cours 3 : Préhistoire récente I (Les révolutions néolithiques)- Cours 4 : Préhistoire récente II (Aux origines de nos sociétés)EgyptologieIntroduction à l’égyptologie. Ce cours constitue une première approche de la civilisation pharaonique. Plusieursthèmes généraux seront traités à travers une approche à la fois archéologique et anthropologique attentive auxproblématiques fondamentales de « traduction » (ou « configuration ») de l’altérité par l’égyptologue.Antiquité Classique"Découverte de la Méditerranée antique au travers de quatre civilisations : les Grecs, les Phéniciens, les Étrusqueset les Romains. Ce cours permettra aux étudiants d'aborder les grands thèmes de l'Archéologie et de l'Histoire del'Art antique"

E12HAH5 Spécialisation en histoire de l’art (39h) 3cIntroduction à l’art du Moyen Age : l’art roman et l’art gothique S. DucretL’introduction à l’art du Moyen Age se fera à travers l’architecture et le décor des grandes églises romanes etgothiques.Le Quattrocento et les fondements de l’art moderne F. SartreLe cours est centré sur les grands thèmes et artistes qui caractérisent l’art du XVe siècle en Italie, dans lesdomaines de la peinture, la sculpture et l’architecture.La peinture dans la première moitié du XIXe siècle M. BottoisLe cours portera sur la présentation des principaux enjeux rattachés aux différentes sensibilités artistiques qui semanifestent dans la peinture de la première moitié du XIXe siècle

E12HAA5 Spécialisation en archéologiePréhistoirePrésentation de l’envers du décor de la Préhistoire : la préhistoire comme discipline, ses fondements, son évolution,comment travaillent les préhistoriens aujourd’hui.Comprendre ce qu’est l’archéologie préhistorique et connaitre les différents métiers qui y sont liés.Programme prévionnelPréhistoire- Cours 1 : Petite histoire de la Préhistoire- Cours 2 : Avant la fouille en Préhistoire- Cours 3 : La fouille en Préhistoire- Cours 4 : Après la fouille en PréhistoireEgyptologiePrésentation des événements fondateurs qui ont marqué l’histoire de l’égyptologie, et présentation des grandsthèmes constitutifs de la discipline.Mots-clés : Hérodote, Champollion, écriture hiéroglyphique, langues de l’Égypte ancienne, tombe de Toutânkhamon,géographie de l’Égypte (caractéristiques et grands sites), chronologie de l’Égypte, dieux et mythologie, pharaons.Antiquité Classique Quelques notions de chronologie, de la période minoenne à l’époque hellénistiques. Architecture religieuse des sanctuaires grecs (généralités et quelques exemples parmi les sites les plusimportants).

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LICENCE 2

E31HAA5 Préhistoire et protohistoire (52h) – 4 cLa Préhistoire - Première partie : la Préhistoire anciennePanorama général de la Préhistoire. Première partie : des origines de l’homme à la fin de la dernière glaciation.- Protohistoire : Archéologie de l’âge du Bronze en Europe méditerranéenne et continentale

E32HAA5 Archéologie et Histoire de l’Art des Mondes Grecs et Romains (52h) – 4 cDeux parties à ce cours, la première complétant les enseignements de L1 en archéologie grecque- Les grands sanctuaires du monde grec.- Architecture publique des villes grecques (époque archaïque, classique et hellénistique).Au cours des TD, les étudiants non dispensés d’assiduité devront réaliser des fiches de lecture sur des ouvrages ouarticles de la bibiogrpahie, ou bien présenter à l’oral un exposé sous forme de Power point sur un site ou unequestion proposée en cours.

E33HAA5 Egyptologie (52h) – 4 cLa vallée des rois.Contenu du cours :1) Généralités et historique : Les premières dynasties avec les tombes d’Abydos et de Saqqarah, la IIIe dynastie, laIVe, la Ve, la VIe la PPI. (TD : La momification, la conception de l’être humain, le ba, le ka, le akh, le khet, le khat,l’ombre, le nom, la momie sâh).2) Le Moyen Empire : les tombeaux royaux de Thèbes des rois Antef et Menthouhotep. Amenemhat Ier et El-Licht lasuite du Moyen-Empire. (TD : Les livres funéraires).3) La XVIIème dynastie : les autres rois Antef, Kamosis, XVIIIe dynastie : Ahmosis. (TD : histoire évènementielle etréalisations de ces rois).4) Amenhotep Ier, Thoutmosis Ier, Thoutmosis II, Hatchepsout. (TD : histoire évènementielle et réalisations de cesrois)5) Thoutmosis III, Amenhotep II, Thoutmosis IV. (TD : histoire évènementielle et réalisations de ces rois).6) Amenhotep III, Amenhotep IV / Akhenaton et successeurs. (TD : histoire évènementielle et réalisations de ces rois+ évolution religieuse).7) Toutânkhamon. (TD : histoire évènementielle + histoire de la découverte et retentissement).8) Aÿ, Horemheb, Ramsès Ier. (TD : histoire évènementielle et réalisations de ces rois).9) Sethy Ier Ramsès II. (TD : histoire évènementielle et réalisations de ces rois).10) Merenptah, Sethy II, Amenmemes, Merenptah-Siptah, Taousert. (TD : histoire évènementielle et réalisations deces rois).11) Sethnakht, Ramsès III, Ramsès IV à Ramsès XI. (TD : histoire évènementielle et réalisations de ces rois).12) La fin de la Vallée des Rois, la constitution des caches royales, Tanis, les rois prêtres. ((TD : histoireévènementielle et réalisations de ces rois et conclusion générale du cours).13) Contrôle.

E3PE1AR5 Langue et Epigraphie égyptienne (39h) – 3 cApprentissage du système d’écriture hiéroglyphique, du vocabulaire et des structures fondamentales de l’égyptienclassique (« moyen égyptien »). Apprentissage des lépigraphie monumentale : lecture d’inscriptions gravées.

E31HAH5 Histoire de l’Art Moderne (52h) – 4 cLes peintres et leur rapport à la réalité du XVIe au XVIIe siècle (Pays-Bas - Italie).

E32HAH5 Histoire de l’Art Contenporain (52h) – 4 cLes artistes face aux mutations politiques et culturelles du XIXe siècleDe la Révolution française à la Commune de Paris, du développement de la presse illustrée à l’émergence de laphotographie, le XIXe siècle fut le théâtre de multiples révolutions, de nombreuses mutations, tant sur le planpolitique que technique ou culturel. Ce cours aura pour objet de comprendre comment les artistes se confrontèrent àtous ces évènements. Pour cela, il s’agira notamment d’explorer et d’interroger les différentes stratégies adoptéespar les peintres, qui modifièrent leur rythme de travail, puisèrent dans certaines traditions, en abandonnèrentd’autres ou repensèrent le rôle de l’artiste dans la société. Les oeuvres de Goya, Daumier, Courbet, Gérôme, Manet,etc., seront ainsi examinées à la lumière du contexte historique de leur genèse, marqué par les révolutions, lesguerres, les voyages ou encore les découvertes en tout genre.

E33HAH5 Histoire de l’Art Médiéval (52h) – 4 cCourants artistiques en Europe et en Méditerranée au cours du haut Moyen Âge.

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Le cours portera sur l’art des différentes civilisations présentes en Europe et en Méditerranée de la fin de l'Antiquitéà l'an Mil (ostrogoths, wisigoths, lombards, peuples anglo-saxons et scandinaves, byzantins, omeyyades,mérovingiens, carolingiens, ottoniens). Une attention particulière sera portée à l’héritage des formes classiques, auxphénomènes de rupture et innovation, à la circulation de modèles et des savoir-faire entre Occident et ProcheOrient. Une série de témoignages, choisis dans l'art monumental (que ce soit dans le domaine de l'architecture, dela sculpture, ou du décor mural) et parmi les différentes catégories d'objet (ivoires, orfèvrerie, enluminures, tissus),servira à se familiariser avec la richesse et la variété de la production artistique des siècles du haut Moyen Âge, troplongtemps et injustement appelés « obscures ». Les TD prévoient des exposés thématiques.

E3AHAR5 Les Grandes questions en histoire de l’art et archéologie– 1,5 cContenu du cours :- Les grandes questions de l’Egyptologie (Marc Gabolde) : le milieu géographique, les hiéroglyphes, les pyramides,la tombe de Toutânkhamon- Histoire de l’Archéologie : les Antiquités Classiques et l’Aube de l’Archéologie ; la naissance de la Préhistoire ; lesAntiquités Nationales et la Protohistoire- Les fondements de l’archéologie : la stratigraphie, la typologie, les méthodes de datations, la notion de facièsculturel

LICENCE 3

E51HAH5 Méthodes et outils en art antique (45.5h) – 3.5 cLe Sanctuaire grec : composante, architecture, sculpture, pratique culturelleL’objectif est de présenter le sanctuaire grec, depuis la période de formation au début de l’époque archaïque jusqu’àl’époque classique. Il sera question des différentes composantes du sanctuaire, de l’architecture des temples, ycompris la question des ordres architecturaux, de la sculpture architecturale et des pratiques rituelles.En parallèle, le TD sera consacré aux productions céramiques grecques, en particulier la céramique figurée, et à lasculpture, de l’époque archaïque à la période hellénistique.

E52HAH5 Méthodes et outils en art médiéval (45.5h) – 3.5 cLes monastères en Occident médiéval (VIe-XIVe siècle)Les monastères ont joué un rôle considérable dans la création architecturale et, plus largement, artistique, au coursdu Moyen Âge en Occident. Avec la réforme carolingienne (début IXe siècle), se crée un « urbanisme » monastique,prenant en compte tant la vie religieuse que l’inévitable quotidien, qui fut largement repris par la suite dans lesdifférents ordres, tout en s’adaptant à des exigences particulières, aux contraintes du territoire, aux traditionslocales. Le plan dit de Saint-Gall en est un témoignage éloquent. Dans ce cadre, les églises abbatiales évoluent enfonction de la communauté, de la liturgie, des nouvelles techniques de construction. Alors que les décors sculptés,parfois accompagnés de peintures murales, s’épanouissent sur les façades, les chevets et les nefs des églises, ainsique sur les chapiteaux des cloîtres de l’Ordre bénédictin, les Cisterciens refusent tout ornement, prônant uneaustérité où la pureté des lignes et des formes crée un art non dépourvu de beauté que l’on retrouve, différemmentinterprétée, chez les Chartreux, puis chez les Mendiants, dont les représentants les plus connus sont lesDominicains et les Franciscains.

E53HAH5 Méthodes et outils en art moderne (45.5h) – 3.5 c- Flandre et Pays-Bas au XVIIe siècle (F. Pellicer – semaines 1 à 6) : les cours magistraux porteront sur plusieursgrands maîtres, notamment Rubens , Rembrandt, Vermeer. Des questions écrites seront aussi traitées en TD dansle cadre d’un contrôle continu.- Les arts en Italie au XVIIe siècle (F. Sartre – semaines 7 à 12) : Dans le cadre des CM, les fondements et lescaractères de l’art du XVIIe siècle seront envisagés à travers les grands chantiers romains, dans les domaines de lapeinture, de la sculpture et de l’architecture. En parallèle, les TD s’attacheront à des études de cas fondés sur desfoyers spécifiques, en Italie, en France et en Espagne.

E54HAH5 Méthodes et outils en art contemporain (45.5h) – 3.5 cL’Art nouveau en EuropeEn 1929, dans la préface de son OEuvre complet, Le Corbusier écrit : « Vers 1900, un geste magnifique : l’Artnouveau. On secoue les nippes d’une vieille culture ». l’Art Nouveau est alors discrédité (il sera réhabilité dans lesannées 1960) mais l’architecte moderne met en évidence la rupture radicale avec le XIXe siècle qui s’est opérée aucours d’une période qui s'étend des années 1880 à 1914, en se démarquant de l'historicisme qui avait caractériséune grande partie de l'art du XIXe siècle et en posant les questions de l’ornement et de la modernité. Ces croyantsde l’Art nouveau qui ont pour nom Gallé, Mucha, Majorelle, Van de Velde, Hankar, Horta, Guimard, Lavirtotte, Jujolou Gaudi ont revendiqué la nouveauté, la modernité et élaboré un style autonome qui fit la synthèse des recherchesanglaises, de l’influence du japonisme et d’un culte de la nature. L'Art nouveau s’épanouit dans les différents

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domains de l'architecture, du design, de la peinture, du graphisme, des arts appliqués ainsi que de l'illustration. DeBruxelles à Paris, de Nancy à Barcelone et à Berlin, ce cours dévoile les traits communs et les différencesstylistiques de ces foyers de création.Compréhension d’une période charnière qui permet de revenir sur l’histoire de l’architecture et des arts décoratifs duXIXe et de comprendre les sources du mouvement moderne qui se développera à sa suite.

E5PE1HAH5 Pratique de l’analyse de l’œuvre d’art et iconologie (39h) – 3 cL'art à Rome au Moyen Âge (IVe-XIVe siècles)À travers l’analyse d’une série de témoignages particulièrement significatifs, l’attention sera portée sur les étapes

fondamentales de la production artistique de la « ville éternelle » tout au long du Moyen Âge : l’univers souterraindes catacombes (IIIe-IVe siècles) ; les premières basiliques suburbaines (IVe siècle) ; la christianisation des templespaïens et la fondation des églises urbaines (Ve-VIe siècles) ; les icônes de procession (Ve-VIIe siècle) ; les apportsde la culture byzantine (VIIe siècle) ; la commande du pape Pascal Ier (IXe siècle) ; la Réforme grégorienne et lerenouveau paléochrétien (XIe-XIIe siècles) ; les complexes monumentaux du Sancta Sanctorum et desSaints-Quatre-Couronnés (milieu du XIIIe siècle) ; l’affirmation du statut de l’artiste : les peintres - mosaïstes Giotto,Cavallini, Torriti et Rusuti (fin XIIIe siècle - début XIVe siècle).

E51HAA5 Préhistoire et Protohistoire (39h) – 3 cM. Lemercier -Préhistoire :Cours spécifique sur le Néolithique. Approfondissement des cours de L2. Les foyers de néolithisation dans le mondeet le Néolithique du Proche Orient à l’Europe. Première partie : aspects chrono-culturels.Programme prévisionnel CM :- Cours 1 : Introduction : la néolithisation, concepts et définitions- Cours 2 : La néolithisation dans le monde- Cours 3 : La néolithisation du Proche-Orient- Cours 4 : La néolithisation de l’Europe- Cours 5 : L’apogée du Néolithique européen- Cours 6 : La fin du NéolithiqueProgramme prévisionnel TD :- TD 1 à 6 : commentaires de documents, visionnages de documentaires…M. Janin - La Protohistoire : Rites et pratiques funéraires en Europe.Contenu : cet enseignement présente de façon synthétique les rites et pratiques funéraires des Celtes. Depuisplusieurs décennies, l’archéologie de la Mort s’est considérablement développée en Europe. Qu’il s ‘agissed’inhumations ou de crémations, les nombreuses sépultures et nécropoles fouillées à ce jour permettentd’appréhender les gestes et les pratiques funéraires des communautés protohistoriques européennes. Au-delà, onprésente également les dernières réflexions sur l’archéologie funéraire et le développement de ce qu’il est convenudésormais d’appeler l’Archéotanatologie. Plusieurs écoles de pensée sur la place de la Mort dans une société sontprésentées.

E52HAA5 Egyptologie (39h) – 3 cComment écrire l’histoire d’une ville du passé ?-1L’historien-archéologue face à un site archéologique (le site égyptien de Tell San el-Haggar/Tanis)Contenu du cours :L’historien Marc Bloch y insista : « écrire l’histoire d’une ville, ce n’est point raconter une suite de faits n’ayant entreeux d’autre lien que le pauvre lien de l’unité de lieu », autrement dit il ne saurait s’agir, pour ce faire, que de recueillirles traces de tout ce qui fut perçu a posteriori en tant qu’événement historique et qui eut pour théâtre la ville enquestion. Selon l’enseignement du maître, écrire l’histoire d’une ville consiste avant tout à repérer les causesgéographiques ayant déterminé l’établissement de l’agglomération et à suivre son développement et ses éventuelsdéplacements ; c’est aussi renseigner les transformations de sa physionomie architecturale et décrire l’évolution deses institutions et de son économie. Une histoire qui doit non seulement se pencher sur les rois et leur empreinte surla ville, mais aussi sur les citadins, jusqu’aux plus humbles, en nous efforçant d’écouter ce qu’ont à nous dire leurs «voix muettes » (Roger Chartier). Autant de problématiques, souvent délicates à documenter, qui seront abordéesdurant ce semestre à travers le cas du site archéologique de Tell San el-Haggar, l’antique ville égyptienne de Tanis.Privilégiant une approche archéologique des traces du passé, nous verrons que l’Archéologie « ne traite pas tant dece à quoi ressemblaient les temps anciens que de ce qui est arrivé à ces choses qu’ont produites les hommes dupassé » (Laurent Olivier). Au-delà, lesdites choses, ont aussi une « mémoire », une « épaisseur temporelle », une «historicité ». Lorsqu’on sait les interroger, les lires, les faire parler, ces choses deviennent ainsi des témoins précieuxde la culture dont elles sont issues, tout en étant des révélateurs de notre propre humanité….

E53HAA5 Archéologie des mondes grecs et romains (39h) – 3 cLa ville du monde grec Méditerranéen/ L’artisanat Grec

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L’objectif est de présenter la ville grecque méditerranéenne, depuis son émergence à la période géométrique jusqu’àson développement et monumentalisation à l’époque classique. Il sera question d’urbanisme, d’architecture,d’organisation des espaces sacrés, publics et privés.En parallèle, les TD seront axés sur la question de l’artisanat, y compris la présentation de la production céramiquegrecque.

E54HAA5 Paléoenvironnements (39h) -3cArchéologie environnementale : introduction à la géo-archéologie et la bio-archéologieThème 1: L’archéologie environnementale dans l’histoire de l’archéologieThème 2: Le climat et la restitution paléoclimatiqueThème 3: Géo-archéologie: géomorphologieThème 4: Géo-archéologie: micromorphologie, sédimentologie…Thème 5: Notions d’écologieThème 6: Bio-archéologie: microrestes végétaux (palynologie, phytolithologie)Thème 7: Bio-archéologie: macrorestes végétaux (anthracologie)Thème 8: Bio-archéologie: macrorestes végétaux (carpologie)Thème 9: Bio-archéologie: macrofauneThème 10: Bio-archéologie: ichtyofauneThème 11: Bio-archéologie: microfaune, avifauneThème 12: Bio-archéologie: malacofaune, entomologie, parasitologie

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INFORMATION ET COMMUNICATION //INFORMATION AND COMMUNICATION STUDIES

Apprentissage des dispositifs impliqués dans la communication contemporaine (théorieset méthodes de communication ; communication des organisation ; communicationpolitique, culturelle et artistique ; gestion de l’information ; médias…)

LICENCE 1

U1AIC5 Epistemologie et théories de l’information et de la communication (39h)- 3cContenuIntroduction : Pourquoi un enseignement «théorique» en InfoCom, (à quoi sert-il..? Plus de précisions…)Partie I - Communication et information : Critiques/Conceptions/Défi nitionsPartie II - La « Nouvelle Communication »Partie III – Introduction aux techniques et pratiques de communication « effi cace »ObjectifsÉtude des principaux concepts, principes, postulats de base se rapportant aux différentes manières de concevoir,d’analyser, de comprendre le phénomène complexe de la communication ‘interpersonnelle’ et de la communication‘sociale’. Étude des textes essentiels des sciences de l’information et de la communication. Culture générale en‘InfoCom’.La perspective (inter ou pluridisciplinaire) développée dans cet enseignement de « sciences de l’information et de lacommunication » (S.I.C.) consiste à permettre de « comprendre » « la » communication et « l’ »information – àsavoir, appréhender au mieux notions et concepts, techniques, pratiques, usages auxquels renvoient ces termes(dans leurs diverses acceptions possibles) – à l’aide des principaux « modèles » qui ont été proposés (au cours dutemps) par les chercheurs du domaine (et issus de disciplines variées).Cette approche « conceptuelle » autorise, de facto, la comparaison, voire une certaine forme de confrontation, entreces modèles dans la mesure où, en matière de communication « vivante » et notamment de communicationhumaine, les nouveaux modèles ne rendent pas nécessairement les anciens obsolètes.Évaluation1ère session : 2h – Contrôle terminal – Questions de cours/Q.C.M.2e session : 2h – Contrôle terminal – Questions de cours/Q.C.M.Bibliographie / Webographie1. Benoit D., 1994 (réédition 2011), Information-Communication – Fiches de synthèses, Paris, Editionsd’Organisation2. Benoit D., 1995, (dir.), Introduction aux sciences de l’information et de la communication, Paris, Editionsd’Organisation3. Breton P., 1992, L’utopie de la communication, Paris, La Découverte4. I.C.O.M.T.E.C., 2000, L’impossible formation à la communication?, Paris, L’Harmattan5. Mucchielli A., 2001, Les sciences de l’information et de la communication, Paris, Hachette6. Watzlawick P., Helmick Beavin J., Jackson Don D., 1972, Une logique de la communication, Paris, Seuil,(collection «Points»)7. Willet G., 1992, La communication modélisée, Ottawa, Éd. du Renouveau Pédagogique8. Winkin Y., 1981, La nouvelle communication, Paris, Seuil, (collection «Points»)9. Winkin Y., 1996, Anthropologie de la communication. De la théorie au terrain, Bruxelles, De Boeck/Larcier10. Wolton D., 1997, Penser la communication, Paris, FlammarionN.B. : dans le courant de l’année universitaire, il est sinon prescrit en tout cas recommandé de lire un ouvrage (aumoins) de cette sélection.

E12IC5 Dynamique de groupe (39h)- 3cContenu1/ Les grandes caractéristiques de la dynamique de groupe ( les facteurs de cohésion, les relationsinterpersonnelles, réseaux et communication, le leadership, la prise de décision, la créativité…)2/ Les grandes méthodes de la dynamique de groupe : Brainstorming, étude de cas, atelier, jeu de rôle, synectique,pensé collective3/ Les domaines d’application : Groupes de négociation, travail scientifique, formation des adultes, groupe decréativité.ObjectifsApprendre les grandes méthodes des dynamiques de groupe et de la conduite de réunion et savoir les mettre enplace et les animer

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E13IC5 Communications, cultures et contextes (39h)- 3cL’objectif du cours est d’apprendre à observer l’action culturelle locale dans son environnement territorial, et de voircomment elle peut modeler les pratiques culturelles individuelles. Sur le plan théorique et méthodologique, il s’agirade s’approprier des outils d’enquête et d’analyse qui permettent de comprendre comment, pour qui et avec quifonctionnent les institutions culturelles à cette échelle en quoi elles répondent ou non à la dimension plurielle de nossociétés..A la fin du cours, l’étudiant sera en mesure de :Mettre à l’épreuve de l’observation empirique un certain nombre de notions clefs de la sociologie culturelle,d’identifier celles qui sont opératoires pour monter une enquête de terrain spécifique, d’élaborer le cadre d’analysedes données recueillies.

LICENCE 2

E3PD2IC5 Gestion de la photo numérique (39h) – 3 cContenu- Exercices pratiques sur logiciels professionnels.- Exercices pratiques de recherche d’images- Formation / évaluation à partir d’un sujet proposé par l’intervenant.ObjectifsSensibiliser à tous les aspects de la photographie numérique (création, usages, gestion, etc.).Disposer des compétences permettant la mise en oeuvre des images numériques fi xes en vue de leur diffusionpapier, informatique et via Internet (acquisition des images, standards de compression, normes de modélisation descouleurs, taille d’images, défi nition, format de sortie, retouches, etc.).Gestion de l’image numérique (tags, bibliothèques d’images).Recherches documentaires : banques d’images professionnelles et réseaux sociaux.Logiciels et outils de gestion de photothèques (individuels et collectifs).Droits à l’image et droits d’auteur.Savoirs, savoir-être, savoir-faire acquis/améliorés par l’enseignement :Création et gestion d’une banque d’imagesGestion de l’image numériqueRecherches documentairesUtilisation de différents logicielsConduite d’un projet de communication visuelleÉvaluation1ère session : Contrôle continu : moyenne de 2 notes- Écrit : QCM : 2 heures - note sur 20- Réalisation d’un projet - note sur 202ème session : Exercice sur machine : 3 heures

E31IC5 Anthropologie de la communication (39h) – 3 cCe cours aborde la communication à la lumière des approches historiques et socio-anthropologiques faisantintervenir différentes temporalités (longue durée et actualité), différents espaces et différentes cultures dansl’observation, la comparaison, l’analyse et la théorisation des phénomènes de relation et de médiation en société.La communication est un phénomène universel. Mais ses formes sociales varient d'une société à l'autre. En cestemps de mondialisation cette question devient cruciale. De nombreuses théories ont analysé la communicationdans sa dimension anthropologique : de la communication interpersonnelle aux TIC. Les connaître permet de mieuxcomprendre et interpréter les situations concrètes et les enjeux actuels de communication.

E32IC5 Communication et pratiques dans organisations (39h) – 3 cCet enseignement a pour objectif faire connaître aux étudiants les deux types de communication présents dans touteorganisation : la communication externe et la communication interne, ainsi que les stratégies et outils mis en place.Durant les CM, des éléments de connaissance seront apportés aux étudiants sur la communication desorganisations de manière générale (définitions et historique de l’évolution des organisations, réalités de lacommunication des organisations dans la région Languedoc Roussillon), sur la communication interne (rôle et placede la communication interne, le plan de communication interne, les moyens écrits, les moyens oraux) et sur lacommunication externe (La communication visuelle, les relations presse, le mécénat et le parrainage, lacommunication publicitaire, la communication de crise)Durant les TD, les étudiants pourront mettre en pratique les éléments vus durant les CM à travers des initiations à laconception d’un journal interne et d’une plaquette de communication externe (définition des objectifs, du public,choix graphique et de contenus).

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Ces mises en pratique leur permettront de mieux connaître les deux types de communication et voir en quoi ellessont complémentaires

E33IC5 Communication et espace public (39h) – 3 cLe cours se propose d’aborder le concept d’espace public comme produit de l’interprétation (S Bratosin) tout enmettant en question les approches considérées classiques de cette notion (Arendt, Seneth, Habermas…).Objectifs spécifiques :A la fin du cours, l’étudiant sera en mesure de : Reconnaître, décrire et expliquer les concepts et notions liés àl’espace public ; connaître les auteurs importants qui ont mené leurs recherches sur ce thème.

E3PD3IC5 Histoire et sémiotique de la BDAcquérir une connaissance de l’histoire de la bande dessinée. Comprendre les courants esthétiques, les principesgraphiques, les spécificités du récit en BD. Apprendre des techniques de communication visuelle en rapport avec labande dessinée : mise en exposition et thématiques muséales notamment.Objectifs spécifiques :A la fin du cours, l’étudiant sera en mesure de : Connaître l’histoire et les circulations médiatiques de la BD dans lasociété. Dégager les principaux contenus et enjeux de médiation culturelle pour et par la BD.

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LETTRES MODERNES // FRENCH LITERATURE

Histoire Littéraire du 19ème siècle et du Moyen Age ; Littérature Française : Littérature etIdées (ex : libertinage), Littérature et interculturalité, Esthétique (ex : Poésie), Théâtre ;Littérature Comparée, Latin (Langue et Civilisation), Méthode d’analyse Littéraire,Linguistique générale et médiévale, etc.

LICENCE 1

E11LT5 Littérature générale : Histoire, idées et société (39h) – 3 c (Choisir 1 CM et 1 TD)CM 1 Le cours proposera une introduction générale a` la littérature francaise du XVIe sie`cle, en soulignant lesgrands cadres historiques, culturels, religieux et intellectuels dans lesquels elle s’inscrit, de façon a` cerner lesenjeux esthétiques, politiques et spirituels des textes étudieés. Une anthologie sera distribuée au début de l’année.Il est souhaitable que les étudiants aient lu avant la rentrée l’un des ouvrages suivants :- Robert Aulotte (sous la direction de), Précis de littérature française du XVIe siècle, Paris, PUF, 1994.- Frank Lestringant et al., Littérature française du XVIe siècle, Paris, PUF, Premier cycle , 2000.- Daniel Ménager, Introduction à la vie littéraire du XVIe siècle, Paris, Nathan, 2001.- Michel Prigent (sous la direction de), Histoire de la France litteÅLraire. Naissances – Renaissances(Moyen Age – XVIe siecle), Paris, PUF, 2006.

CM2 Femmes écrivainesCette année, la rentrée littéraire se fait sous le signe des femmes, titrent les Inrocks dans un récent édito. Depuisquand les femmes écrivent-elles ? Quelles places ont-elles conquis, perdu, reconquis dans la littérature ? Quellesconditions ont permis ces périodes d’émergences, de régressions, de résurgences ? L’histoire de la condition desautrices va de pair avec l’histoire des idées féministes. Un retour sur quelques figures emblématiques de femmesautrices, éditrices, dramaturges est nécessaire pour revisiter et reconstituer une histoire littéraire qui fasse place aumatrimoine.BIBLIOGRAPHIE

Lectures obligatoiresHistoire littéraire des femmes françoises, ou Lettres historiques et critiques, contenant un précis de la vie & uneanalyse raisonnée des ouvrages des femmes qui se sont distinguées dans la littérature françoise, par l’abbé Josephde La Porte 1769, en 5 volumes (consultables sur Gallica ou Google Books).- Fénelon, De l’éducation des filles- Mme de Genlis, La Femme auteur- Virginia Woolf, Une chambre à soi- Simone de Beauvoir, Mémoires d’une jeune fille rangée- Marguerite Duras, Ecrire- Lydie Salvayre, Sept femmes- Martine Reid, Des femmes en littératureUne bibliographie complémentaire et un recueil de textes seront distribués en cours.

CM3 Qu'est-ce que les Lumières ?Essai de définition, en quoi les Lumières se distinguent de l'âge classique, en quoi elles préparent la Révolution, lesquestions qu'elles posent aujourd'hui.Le cours reposera principalement sur la littérature, mais ouvrira aussi sur l’histoire des idées et l’histoire de l’art.BIBLIOGRAPHIE- Voltaire, Lettres philosophiques, édition recommandée : GF-Flammarion (G. Stenger).

TD1 : Littérature et scepticisme au 17eme siècle : l’exemple de Savinien Cyrano de BergeracLa première moitié du XVIIe siècle est profondément marqué par les nombreux changements qui se sont opérésdans l’ordre du monde au siècle précédent : découverte de nouveaux continents, progrès scientifiques, guerres dereligion… Tous ces changements ébranlent les certitudes de l’homme du XVIIe et le laissent démuni face au monde.Dans ce contexte, la redécouverte des textes sceptiques de l’antiquité exerce une grande influence sur certainsesprits, dont Savinien Cyrano de Bergerac, auteur d’une histoire comique déroutante, œuvre de science-fiction avantl’heure, Les États et Empires de la Lune et du Soleil. Ce TD se propose de voir comment la notion de relativisme,très présente dans Les États et Empires de la Lune et du Soleil, permet d’appréhender le lien entre littérature etscepticisme au XVIIe siècle et comment, dans ce récit d’un voyage sur d’autres planètes, se pose la question,cruciale pour l’homme du XVIIe siècle, de l’invention d’un nouveau rapport au savoir.

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BIBLIOGRAPHIE- Savinien Cyrano de Bergerac, L’Autre Monde. Les États et Empires de la lune. Les États et Empires du soleil,collection folio classique, Gallimard, 2004.

TD 2 : Les mutations de la littérature à la fin du Moyen Âge : un nouveau rapport au texte, un nouveaurapport au mondeUn renouvellement de la littérature a lieu aux XIVe et XVe siècle. Tous les genres sont concernés : les genreslyriques, narratifs et dramatiques. Ce renouvellement est accompagné d’un changement général des mentalités etd’un nouveau rapport entre les hommes et la réalité du monde. En effet, au cours d’une période marquée par laguerre de Cent Ans, le sujet lyrique n’est plus le même qu’auparavant, tandis que dans le même temps les liensentre le réel et la fiction romanesque se font plus étroits et que l’art dramatique se développe. L’analyse desmutations que connaît la littérature durant cette période ne pourra être menée et comprise qu’en prenant en compteles évolutions de la société et des mentalités.BIBLIOGRAPHIE- Les Quinze joies du mariage, Éditions Gallimard, collection « folio classique », traduction et édition de NellyLabère, 7€80- La Farce de Maître Pathelin, Éditions Gallimard, collection « folio classique », édition bilingue de Michel Rousse,6€60.

TD 3 Molière et le théâtre du scandaleAvant de devenir un classique des études littéraires, Molière fut perçu par ses contemporains comme un satiriquesubversif et un audacieux polémiste. Le cours se propose ainsi de rouvrir les dossiers de ses plus violentesquerelles, afin d’observer comment le genre de la comédie, loin des règles de bienséance du théâtre du XVIIesiècle, joue avec les limites de l’acceptable et met à l’épreuve les normes sociales et morales pour s’en prendre auxmoeurs et à la religion, par la mise en scène de l’obscénité et du libertinage. La carrière tumultueuse de Molière offrealors un point de vue essentiel pour comprendre les rapports que le théâtre du XVIIe siècle entretient avec lepouvoir, qui tantôt le protège et tantôt le censure.BIBLIOGRAPHIELes étudiants doivent se procurer et lire les pièces suivantes (éditions recommandées) :- Molière, L’École des femmes. La critique de l’École des femmes, éd. B. Louvat-Molozay, GF Flammarion, 2011.- Molière, Tartuffe, éd. B. Louvat-Molozay, GF Flammarion, 2017.

TD4 Nouvelles de l’année terribleNouvelles de l’annee terrible (juillet 1870-mai 1871) – recits brefs de la guerre et de la commune de Paris.Les soirées de Médan, Grasset, Les Cahiers rougesEmile Zola, Jacques Damour, Le Livre de Poche-2€.

TD 5 : « Figures de l’écrivain au XXe siècle »Pour Jean-Pierre Martin (Les écrivains face à la doxa. Du génie hérétique de la littérature, Corti, 2011), les multiplespostures d’un écrivain dans le champ littéraire de son temps se répartissent toutes peu ou prou entre deux rôlescontradictoires, deux « doxa », celles de la littérature pure et celle de l'engagement. André Breton et AlainRobbe-Grillet fournissent deux exemples contrastés de la variété de l’écrivain « chef de file » d’un mouvement. Lecours s’intéressera à la manière dont ils ont habité le rôle, l’un dans les années vingt, l’autre dans les annéescinquante, en relation avec les oeuvres mises au programme.BIBLIOGRAPHIE- André Breton, Nadja (1928), Folio ; Manifestes du surréalisme (1924 et 1929), Folio-Essais.- Alain Robbe-Grillet, Les Gommes (1953), Minuit ; Pour un nouveau roman (1963), Minuit.

TD 6. « Figures de l’écrivain au XXe siècle »Pour Jean-Pierre Martin (Les écrivains face à la doxa. Du génie hérétique de la littérature, Corti, 2011), les multiplespostures d’un écrivain dans le champ littéraire de son temps se répartissent toutes peu ou prou entre deux rôlescontradictoires, deux « doxa », celles de la littérature pure et celle de l'engagement. André Breton et AlainRobbe-Grillet fournissent deux exemples contrastés de la variété de l’écrivain « chef de file » d’un mouvement. Lecours s’intéressera à la manière dont ils ont habité le rôle, l’un dans les années vingt, l’autre dans les annéescinquante, en relation avec les oeuvres mises au programme.BIBLIOGRAPHIE- André Breton, Nadja (1928), Folio ; Manifestes du surréalisme (1924 et 1929), Folio-Essais.- Alain Robbe-Grillet, Les Gommes (1953), Minuit ; Pour un nouveau roman (1963), Minuit.

TD 7 La Bohème littéraire au XIXe siècleCe cours aura pour but d'interroger le mythe de l'écrivain bohème dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Nousanalyserons la construction d’un stéréotype, la manière dont une génération se l’approprie, et comment il circule

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dans les représentations de l’artiste et continue à nourrir notre imaginaire. Ce sera l'occasion de se poser la questionde ce qu'est la vie littéraire au XIXe siècle, ses acteurs, ses lieux, ses représentations.BIBLIOGRAPHIE- Charles Baudelaire, Le Spleen de ParisFacultatif :- Henry Murger, Scènes de la vie de bohèmeEt son adaptation à l’opéra par Giacomo Puccini, La bohème

TD8 Littérature et scepticisme au 17eme siècle : l’exemple de Savinien Cyrano de BergeracLa première moitié du XVIIe siècle est profondément marqué par les nombreux changements qui se sont opérésdans l’ordre du monde au siècle précédent : découverte de nouveaux continents, progrès scientifiques, guerres dereligion… Tous ces changements ébranlent les certitudes de l’homme du XVIIe et le laissent démuni face au monde.Dans ce contexte, la redécouverte des textes sceptiques de l’antiquité exerce une grande influence sur certainsesprits, dont Savinien Cyrano de Bergerac, auteur d’une histoire comique déroutante, œuvre de science-fiction avantl’heure, Les États et Empires de la Lune et du Soleil. Ce TD se propose de voir comment la notion de relativisme,très présente dans Les États et Empires de la Lune et du Soleil, permet d’appréhender le lien entre littérature etscepticisme au XVIIe siècle et comment, dans ce récit d’un voyage sur d’autres planètes, se pose la question,cruciale pour l’homme du XVIIe siècle, de l’invention d’un nouveau rapport au savoir.BIBLIOGRAPHIE- Savinien Cyrano de Bergerac, L’Autre Monde. Les États et Empires de la lune. Les États et Empires du soleil,collection folio classique, Gallimard, 2004.

TD 9 La Bohème littéraire au XIXe siècleCe cours aura pour but d'interroger le mythe de l'écrivain bohème dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Nousanalyserons la construction d’un stéréotype, la manière dont une génération se l’approprie, et comment il circuledans les représentations de l’artiste et continue à nourrir notre imaginaire. Ce sera l'occasion de se poser la questionde ce qu'est la vie littéraire au XIXe siècle, ses acteurs, ses lieux, ses représentations.BIBLIOGRAPHIE- Charles Baudelaire, Le Spleen de ParisFacultatif :- Henry Murger, Scènes de la vie de bohèmeEt son adaptation à l’opéra par Giacomo Puccini, La bohème

TD 10 Les mutations de la littérature à la fin du Moyen Âge : un nouveau rapport au texte, un nouveaurapport au mondeUn renouvellement de la littérature a lieu aux XIVe et XVe siècle. Tous les genres sont concernés : les genreslyriques, narratifs et dramatiques. Ce renouvellement est accompagné d’un changement général des mentalités etd’un nouveau rapport entre les hommes et la réalité du monde. En effet, au cours d’une période marquée par laguerre de Cent Ans, le sujet lyrique n’est plus le même qu’auparavant, tandis que dans le même temps les liensentre le réel et la fiction romanesque se font plus étroits et que l’art dramatique se développe. L’analyse desmutations que connaît la littérature durant cette période ne pourra être menée et comprise qu’en prenant en compteles évolutions de la société et des mentalités.BIBLIOGRAPHIE- Les Quinze joies du mariage, Éditions Gallimard, collection « folio classique », traduction et édition de NellyLabère, 7€80- La Farce de Maître Pathelin, Éditions Gallimard, collection « folio classique », édition bilingue de Michel Rousse,6€60.

TD 11 Molière et le théâtre du scandaleAvant de devenir un classique des études littéraires, Molière fut perçu par ses contemporains comme un satiriquesubversif et un audacieux polémiste. Le cours se propose ainsi de rouvrir les dossiers de ses plus violentesquerelles, afin d’observer comment le genre de la comédie, loin des règles de bienséance du théâtre du XVIIesiècle, joue avec les limites de l’acceptable et met à l’épreuve les normes sociales et morales pour s’en prendre auxmoeurs et à la religion, par la mise en scène de l’obscénité et du libertinage. La carrière tumultueuse de Molière offrealors un point de vue essentiel pour comprendre les rapports que le théâtre du XVIIe siècle entretient avec lepouvoir, qui tantôt le protège et tantôt le censure.BIBLIOGRAPHIELes étudiants doivent se procurer et lire les pièces suivantes (éditions recommandées) :- Molière, L’École des femmes. La critique de l’École des femmes, éd. B. Louvat-Molozay, GF Flammarion, 2011.- Molière, Tartuffe, éd. B. Louvat-Molozay, GF Flammarion, 2017.

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Le cours se propose de retracer l’itinéraire d’un auteur et d’une oeuvre en corps à corps avec l’Histoire et les débatsde son temps.BIBLIOGRAPHIE- Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, Folio. Lecture obligatoire.D’autres textes seront fournis en photocopies.

TD13 L’affaire Dreyfus : les écrivains en première ligneComment une fausse accusation au sein de l’armée française a t-elle pu prendre des proportions telles qu’elle estdevenue une ligne de clivage idéologique centrale de la fin du XIXe siècle ? Avec en toile de fond l’étude ducontexte historique et politique de « l’Affaire », on étudiera quelques prises de position d’écrivains majeurs de cettepériode (Zola, mais aussi France, Mirbeau, Péguy), ce qui permettra de réfléchir aux modalités et enjeux de lalittérature d’idées, et en particulier de la polémique, de la satire et du pamphlet à l’heure de la naissance des «intellectuels ». On analysera aussi quelques représentations iconographiques et romanesques de l’événement.BIBLIOGRAPHIE- Philippe Oriol, J’accuse ! Les grands textes de l’Affaire Dreyfus, Librio, « Document », 2003.Des extraits de textes et documents seront distribués au cours du semestre.

E12LT5 Histoire Littéraire du XIXeme siècle(39h) – 3 cCM1 Le 19eme siècle peint par lui-même : bataille, postures, poétiquesCe cours proposera une réflexion sur les différents genres littéraires du XIXe siècle en interrogeant notamment lesdébats, socio-politiques, poétiques et esthétiques, sur lesquels ils se sont (re)définis. Du romantisme au naturalisme,la notion de mouvement littéraire pourra ainsi être précisée et remise en question grâce à la découverte de l’histoirelittéraire telle que l’ont inventée les écrivains et les critiques du XIXe siècle.BIBLIOGRAPHIE- Honoré de Balzac, La Peau de chagrin ; Illusions perdues.- Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal.- Gustave Flaubert, L’Education sentimentale.- Victor Hugo, Préface de Cromwell ; Hernani ; Les Contemplations.- Joris-Karl Huysmans, A vau-l’eau ; A Rebours.- Henry Murger, Scènes de la vie de bohème.- Alfred de Musset, La Confession d’un enfant du siècle ; Lorenzaccio.- Emile Zola, L’Assommoir ; Nana.

CM2 Littérature et Histoire : le XIXe siècle en ses (r)évolutions.BIBLIOGRAPHIE- M. Delon, F. Mélonio, B. Marchal et J. Noiray, La littérature française : dynamique & histoire II, Folio essais, 2007.- Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française (de 1789 à nos jours), [1936], CNRS éditions, 2007.Compléments bibliographiques au fil du cours.Un fascicule fournira des textes d’appui au cours magistral.

TD1 Romans du journalisme au 19eme siècleLe cours se propose d’étudier les relations entre presse et littérature au XIXe siècle à travers l’étude approfondie dedeux romans qui mettent en scène la « sphère » du journalisme. En opposant le « Poète » au « Journaliste »,Illusions perdues et Bel-Ami ne dressent pas tant le portrait de deux mondes distincts qu’ils n’en montrent les liens,économiques, politiques, sociaux, et même formels.BIBLIOGRAPHIETextes au programme :- Honoré de Balzac, Illusions perdues, édition de Patrick Berthier, Paris, Le Livre de Poche, 2006.- Guy de Maupassant, Bel-Ami, édition d’Adeline Wrona, Paris, Flammarion, GF, 2008.

TD2 Paris en proseParis, « capitale du XIXe siècle » (W. Benjamin), tantôt « Babylone », tantôt Eldorado du provincial, a donné lieu àde nombreuses représentations, souvent contradictoires en une même oeuvre. A travers l’étude de deux recueils depoèmes en prose, Le Spleen de Paris de C. Baudelaire et Croquis parisiens de J.-K. Huysmans, nous étudierons lesenjeux de l’écrituredéambulatoire lorsqu’elle transforme des types et des fragments de quotidienneté en objets esthétiques.BIBLIOGRAPHIETextes au programme :- Charles Baudelaire, Le Spleen de Paris. Petits poèmes en prose, édition de Jean-Luc Steinmetz, Paris, Le Livre dePoche, 2006.- Joris-Karl Huysmans, Croquis parisiens, Paris, La Bibliothèque des Arts, 2001.

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TD3 La fabrique de l’histoire chez ZolaEn initiant la vaste fresque des Rougon-Macquart avec La Fortune des Rougon, Zola ne se limite pas à établir l’«histoire naturelle et sociale du Second Empire » ; il élabore aussi une représentation critique et mythique du passérécent.Le cours sera l’occasion de s’interroger sur les conditions de la création romanesque, ainsi que l’environnementéditorial et médiatique de la fin du XIXe siècle.BIBLIOGRAPHIE- Émile Zola, La Fortune des Rougon, éd. Henri Mitterand, *Folio Classique*, rééd. 2007 (édition obligatoire)Des extraits de textes complémentaires seront distribués au cours du semestre.

TD4 Etude d’un genre : la nouvelle, le « conte » au XIX° siècleL’étude d’un genre : la nouvelle, le « conte » au XIX° siècle ; analyse de la forme singulière du recueil de ces troisrécits brefs, autonomes et liés ; réflexions sur la composition, les intertextes, les interprétations de Trois contes, etsur leur place dans l’oeuvre de Flaubert.BIBLIOGRAPHIEDonnée en coursDOCUMENTSGustave Flaubert, Trois contes, Flammarion, G-F (Attention: EDITION IMPERATIVE)

TD5 Une révolution étouffée : La commune de Paris dans la littérature du 19eme siècleBIBLIOGRAPHIEOEuvres au programme :- Emile Zola, Jacques Damour, édition Le Livre de poche 2 € (l’édition comprend aussi la nouvelle Le CapitaineBurle)- Alphonse Daudet, Contes du lundi, édition Le Livre de poche.Des textes complémentaires (extraits d’oeuvres – Hugo, Rimbaud, Vallès… - ou de correspondances) seront fournissous forme de fascicule.

TD6 La fabrique de l’histoire chez ZolaEn initiant la vaste fresque des Rougon-Macquart avec La Fortune des Rougon, Zola ne se limite pas à établir l’«histoire naturelle et sociale du Second Empire » ; il élabore aussi une représentation critique et mythique du passérécent.Le cours sera l’occasion de s’interroger sur les conditions de la création romanesque, ainsi que l’environnementéditorial et médiatique de la fin du XIXe siècle.BIBLIOGRAPHIE- Émile Zola, La Fortune des Rougon, éd. Henri Mitterand, *Folio Classique*, rééd. 2007 (édition obligatoire)Des extraits de textes complémentaires seront distribués au cours du semestre.

E14LT5 Littératures comparées (39h TD) – 3 cTD1 Joseph Conrad, l’Afrique et l’empireApproches comparatistes de Heart of Darkness :Exotisme, colonialisme, imagologie, études culturelles et postcoloniales.BIBLIOGRAPHIE- Joseph Conrad, Coeur des ténèbres, édition bilingue.- Joseph Conrad, « Un avant-poste du progrès », édition française indifférente.

TD2 La représentation théatrale du grand meurtrierBIBLIOGRAPHIEUne bibliographie sera distribuée à la rentrée.- Euripide, Hécube, éd. Bilingue Belles Lettres, « classiques en poche »- Shakespeare, Richard III, éd. Bilingue Aubier (impérative)- Corneille, Rodogune, éd. Folio, « Théâtre »- Brecht, La résistible ascension d’Arturo UI », éd. L’Arche.

TD3 Iles mystérieuses: un univers miniature, entre utopie et dystopieExotique, utopique, sauvage ou civilisée, l'île est en littérature le lieu allégorique des extrêmes, entre modèle réduitdu monde et échappée spéculative hors de celui-ci, entre sauvagerie naturelle et lois cruelles imposées par desfigures démiurgiques.BIBLIOGRAPHIE- H.G Wells: L'île du docteur Moreau, Folio- Franz Kafka : La colonie pénitentiaire, Folio

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- A.Bioy Casares : L'invention de Morel, 10/18- Edogawa Rampo: L'île-panorama, Philippe Picquier

TD4 La nouvelle au XVIe et XVIIe siècle en Italie, en Espagne et en FranceLorsque Cervantès publia ses Nouvelles exemplaires (1614) et prétendit être le premier à introduire le genre dans lalittérature espagnole, il contribuait encore, quelques années après la publication de la première partie du DonQuichotte (1605), à renouveler en profondeur la pratique du récit dans cette langue.L’originalité de son projet – à une époque où les traductions de nouvelles italiennes fleurissaient, en particulier cellesdu Décaméron de Boccace, souvent par l’intermédiaire des traductions françaises – ne peut être perçue qu’enremettant l’oeuvre dans son contexte européen. Nous proposerons donc un panorama synthétique de la nouvelledans l’Europe romane (Italie, France et Espagne) qui permettra de décrire les principales caractéristiques d’un genrequi tire son nom de la nouveauté même : son rapport au vraisemblable, son économie narrative et ses outilsd’exemplarité.Une attention particulière sera portée aux Nouvelles (1554) de l’Italien Matteo Maria Bandello, qui furent la source deplusieurs épisodes cervantins. La bibliographie sera distribuée au cours du semestre.BIBLIOGRAPHIE- Matteo BANDELLO, XVIII histoires tragiques extraictes des oeuvres Italiennes de Bandel, et mises en langueFrançoise. Les six premieres, par Pierre Boisteau, surnommé Launay, natif de Bretaigne. Le douze suivans, parFanc. de Belle Forest, Comingeois, Turín, Cesar Farine, 1570. -http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k113057m.r=Boaistuau,+Pierre.langEN- Stanislav ZIMIC, Las Novelas ejemplares de Cervantes, Mexico, Siglo veintiuno, 1996.- Guiomar HAUTCOEUR PEREZ-ESPEJO, Parentés franco-espagnoles au XVIIe siècle : poétique de la nouvelle deCervantès à Challe, Paris, H. Champion, 2005

TD5 La nouvelle au XVIe et XVIIe siècle en Italie, en Espagne et en FranceLorsque Cervantès publia ses Nouvelles exemplaires (1614) et prétendit être le premier à introduire le genre dans lalittérature espagnole, il contribuait encore, quelques années après la publication de la première partie du DonQuichotte (1605), à renouveler en profondeur la pratique du récit dans cette langue.L’originalité de son projet – à une époque où les traductions de nouvelles italiennes fleurissaient, en particulier cellesdu Décaméron de Boccace, souvent par l’intermédiaire des traductions françaises – ne peut être perçue qu’enremettant l’oeuvre dans son contexte européen. Nous proposerons donc un panorama synthétique de la nouvelledans l’Europe romane (Italie, France et Espagne) qui permettra de décrire les principales caractéristiques d’un genrequi tire son nom de la nouveauté même : son rapport au vraisemblable, son économie narrative et ses outilsd’exemplarité.Une attention particulière sera portée aux Nouvelles (1554) de l’Italien Matteo Maria Bandello, qui furent la source deplusieurs épisodes cervantins. La bibliographie sera distribuée au cours du semestre.BIBLIOGRAPHIE- Matteo BANDELLO, XVIII histoires tragiques extraictes des oeuvres Italiennes de Bandel, et mises en langueFrançoise. Les six premieres, par Pierre Boisteau, surnommé Launay, natif de Bretaigne. Le douze suivans, parFanc. de Belle Forest, Comingeois, Turín, Cesar Farine, 1570. -http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k113057m.r=Boaistuau,+Pierre.langEN- Stanislav ZIMIC, Las Novelas ejemplares de Cervantes, Mexico, Siglo veintiuno, 1996.- Guiomar HAUTCOEUR PEREZ-ESPEJO, Parentés franco-espagnoles au XVIIe siècle : poétique de la nouvelle deCervantès à Challe, Paris, H. Champion, 2005

TD6 Grande Guerre et roman européenCe cours entend revenir sur le moment inaugural que constitua, pour le roman européen, le choc de la PremièreGuerre mondiale. Depuis l’éclatement du conflit, et jusqu’aux années 1930, une intense production romanesque sedéploie autour de l’événement, dont une bonne partie sera le fait de témoins directs de la guerre. Partagés entrerenouvellements (éclatement formel, recours à la langue populaire, évolution du personnel héroïque…) etpermanences (épique, rire troupier, esthétique réaliste), beaucoup de ces récits demandent à être envisagés àl’échelle européenne, du fait de l’expérience commune sur laquelle ils se fondent, de leurs grandes parentésgénériques, mais aussi des circulations internationales des motifs et des techniques qui les rapprochèrent durant laguerre (Le Feu de Barbusse est traduit en allemand et en anglais avant même l’armistice).En nous appuyant sur un corpus de romans français, australiens, britanniques, italiens et allemands, nousquestionnerons les parentés entre divers romans européens (le discours satirique du narrateur-rat de Pierre Chaineet du Brave Soldat Chvéïk de Hasek ; la présence de l’argot dans Le Feu et dans The Middle Part of Fortune deManning…), mais aussi leurs profondes différences, liées à la variété des champs littéraires dans lesquels ilsnaquirent et à l’évolution des contextes politico-culturels entre 1914 et 1939. Nous interrogerons ainsi l’influence dedivers courants sur ces récits (expressionnisme allemand, futurisme italien…), en découvrant, parmi des auteursbien connus, de nombreux textes injustement oubliés de l’histoire littéraire.BIBLIOGRAPHIE

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- Roland DORGELÈS, Les Croix de bois, Le Livre de poche- Blaise CENDRARS, J’ai tué- Pierre CHAINE, Les Mémoires d’un rat, Tallandier- Emilio LUSSU, Les Hommes contre, Arléa- Frederic MANNING, Nous étions des hommes, Phébus- Erich-Maria REMARQUE, À l’Ouest rien de nouveau, Le Livre de poche

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E31LT5 Histoire Littéraire du Moyen Age 3 cCM Roman et merveilleL’étude de la merveille dans les romans du Moyen-Âge permet de faire émerger la naissance puis la mise en placed’un genre qui peine à se libérer de l’épopée et de l’historiographie. Simple thématique à l’origine, la « chosemémorable » donne lieu, dans le roman médiéval, à la mise en oeuvre d’une véritable poétique.BIBLIOGRAPHIETextes au programme :- Romans de Chrétien de Troyes (nombreuses éditions bilingues) ;- Lais de Marie de France ; Roman d’Alexandre (éd. Lettres gothiques) ;- Roman d’Enéas ;- Queste de Saint Graal, Le Haut Livre du Graal.Lectures conseillées :- Valette, Jean-René, Poétique du Merveilleux, Paris : Champion, 1998.- Dubost, Francis, Aspects fantastiques de la littérature narrative médiévale : XIIème-XIIIème siècles : l'autre,l'ailleurs, l'autrefois, Paris : Champion, 1991.- Petit, Aimé, Naissances du roman. Les techniques littéraires dans les romans antiques du XIIe siècle, Paris :Champion, 1985.

TD1 Le Roman de la rose ou de Guillaume de Dole, entre innovation et traditionLe Roman de la rose ou de Guillaume de Dole de Jean Renart est le premier texte où des pièces lyriques prennentplace dans une trame narrative cohérente qui les englobe. Différents genres sont ainsi unis de sorte que la littératureest au centre de cette oeuvre qui la célèbre tout en la mettant à distance, parfois de manière parodique : l’idéal decourtoisie de la poésie lyrique et des romans courtois, les idéaux liés à la chevalerie, le registre épique deschansons de geste peuvent devenir des objets de jeu pour le narrateur et certains personnages. L’étude de ce textenous permettra d’aborder diverses traditions littéraires médiévales tout en réfléchissant sur les rapports entrelittérature et réalité que questionne l’auteur lui-même.BIBLIOGRAPHIE- Le roman de la rose ou de Guillaume de Dole de Jean Renart, édition Honoré Champion, collection « ChampionClassiques », traduction et présentation de Jean Dufournet, 14€

TD2 La « merveille » courtoise : le Roman de la Rose de Guillaume de Lorris et l’art d’aimer au XIIIe siècleAu carrefour des traditions lyriques et narratives, le Roman de la Rose est un récit amoureux en vers dont l’influencea été décisive pour l’évolution de la littérature jusqu’à la fin du Moyen Âge. On étudiera tout particulièrement lapremière partie de l’oeuvre, que la mort de son auteur Guillaume de Lorris, par ailleurs inconnu, aurait laisséinachevée vers 1230, afin de mesurer sa contribution à l’écriture de l’allégorie courtoise et son lyrisme en « images», tendu vers l’accomplissement d’une quête rêvée (la cueillette de la rose représentant la dame) dans un jardinparadisiaque. L’étude du texte sera croisée avec celle des dessins et enluminures qui illustrent les nombreuxmanuscrits du Roman depuis le XIIIe siècle jusqu’aux années 1520. On abordera aussi la « continuation » du poèmepar Jean de Meun, qui prolonge la thématique courtoise en l’insérant dans une perspective encyclopédique et en luifaisant subir un traitement ironique. On évoquera enfin la fortune de l’oeuvre dans les derniers siècles du MoyenÂge, en particulier à travers le « débat » sur le Roman au début du XVe siècle, autour de Christine de Pizan et JeanGerson.BIBLIOGRAPHIE- Guillaume de Lorris, Le Roman de la Rose, éd. Jean Dufournet, GF-Flammarion.DOCUMENTSUn ensemble de documents littéraires et iconographiques sera distribué en cours ou accessible en ligne (siteromandelarose.org).TD3 L’écriture de la merveille : les Lais de Marie de FranceIncontournables de la littérature du XIIe siècle, les Lais de Marie de France relisent les légendes bretonnes à traversla lorgnette de l’amour courtois et de l’idéologie chevaleresque. L’écriture de la merveille y est l’occasion d’uneexploration minutieuse des sentiments et des désirs humains.BIBLIOGRAPHIE

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OEuvre au programme à se procurer et à lire avant le début du cours :- Marie de France, Lais, in Lais bretons (XIIe -XIIIe siècles) : Marie de France et ses contemporains, p. 161- 635.Édition bilingue établie, traduite, présentée, annotée et revue par Nathalie Koble et Mireille Séguy, Paris, HonoréChampion, collection Champion Classiques, série « Moyen Âge », 2018.DOCUMENTS- Dufournet, Jean (éd.), Amour et merveille : les Lais de Marie de France, Paris : Champion, 1995..

E32LT5 Littérature Comparée (39h) – 3 cCM Introduction à la littérature générale et comparée.

TD1 Représentations littéraires du JaponImagologie.BIBLIOGRAPHIE- Ivan Gontcharov, La frégate Pallas, L’Âge d’Homme.- Pierre Loti, Madame Chrysanthème, GF.- Boris Pilniak, Racines du soleil japonais, Éditions du Sandre.- Christian Bouvier, Chronique japonaise, Payot.

TD2 Tragédies de la jalousie :- Euripide : Médée (éd. Les Belles Lettres, « classiques en poche)- Shakespeare : Othello (éd. Impérative, folio théâtre bilingue)- Voltaire : Zaïre (éd. Folio théâtre)BIBLIOGRAPHIELectures complémentaires : Voltaire, Le Fanatisme ou Mahomet le prophète (GF), Traité sur l’intolérance (GF) ;Shakespeare, Le Conte d’hiver, Beaucoup de bruit pour rien, Richard III Une bibliographie critique sera distribuée àla rentrée.

TD3 « La désertion intérieure »Avec la modernité et la « mobilisation » sociale qu’elle entraîne, apparaît en littérature une nouvelle figure, à la foisspectrale et opaque, celle du sujet « désengagé », absent à la société comme à lui-même, refusant la famille et lesresponsabilités, sans que l’on puisse toujours dire s’il s’agit là d’une simple inadaptation ou d’une rébellionconsciente. C’est cette figure de la résistance passive et de la désertion intérieure que ce programme se proposed’étudier.BIBLIOGRAPHIE- Nathaniel Hawthorne, Wakefield, Allia- Herman Melville, Bartleby, Allia- Robert Walser,Le Brigand, Folio- Georges Perec : Un homme qui dort, Folio.Les ouvrages demandés sont obligatoires pour valider le cours.

E33LT5 Approches des sciences humaines (19h) – 1,5 c

TD1 Sociologie de la littératureConçu comme une initiation à la sociologie de la culture, ce cours restitue les orientations théoriques majeures ayantprévalu en ce domaine depuis les années 1970, et ouvre des pistes méthodologiques pour une étude de la littératurecomme un fait social. Il part des sens multiples du mot « culture » et de leur évolution au fil du temps, en discernantdeux acceptions principales, d’une part la culture au sens anthropologique, d’autre part la culture au sens savant.C’est sur ce dernier sens qu’on s’attardera, en examinant ce que les trois approches sociologiques par le « champ »(Pierre Bourdieu), par le « monde » (Howard Becker), et par le « marché » (Raymonde Moulin) peuvent apporter à lacompréhension des mécanismes de création et de réception artistiques. On retracera l’évolution du statut social del’artiste et de l’écrivain à différentes époques, en lien avec celle de la valeur artistique et du canon, dont oninterrogera la sélection sexuée, liée à l’accès différencié à l’éducation pour les hommes et pour les femmes (LindaNochlin). Contre l’idée de « génie incréé », on soulignera le rôle décisif joué par les institutions (école(s), Académies,salons, jurys de prix littéraire, presse, maisons d’édition, etc.), par les intermédiaires culturels (par exemple éditeurs,journalistes, critiques), par les apprentissages et les sociabilités dans les milieux artistiques. L’analyse externe desconditions sociales de production et de réception des oeuvres permet ainsi de les réinscrire dans un espace despossibles susceptible d’éclairer en retour leur analyse interne. Cet enseignement proposera des exemples concrets,en privilégiant les oeuvres littéraires.BIBLIOGRAPHIE- Howard Becker, Les Mondes de l’art, Paris, Flammarion, 2006, [1988, 1982].- Pierre Bourdieu, Les Règles de l’art. Genèse et structure du champ littéraire, Paris Seuil, 1998, [1992].- Raymonde Moulin, L’Artiste, l’institution et le marché, Paris, Flammarion, 1997, [1992].

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- Linda Nochlin, Femmes, art et pouvoir, Nîmes, Jacqueline Chambon, 1993.- Gisèle Sapiro, Sociologie de la littérature, Paris, Coll. « Repères », La Découverte, 2014.- Alain Viala, Naissance de l’écrivain : sociologie de la littérature à l’âge classique, Paris, Minuit, 1985.

TD3 Ecrire le quotidien, du XIXe siècle à nos joursA partir du XIXe siècle, les représentations de la vie quotidienne s’inventent au confluent de plusieurs disciplines :l’histoire, la sociologie, la philosophie, l’anthropologie, et font se rencontrer les arts : littérature, peinture, arts duspectacle, photographie, etc.Le quotidien apparaît comme un « décloisonneur » de genres en ce qu’il interroge notre vie de chaque jour, sabanalité, ses répétitions, ses microévénements et ses microfictions. Mais pourquoi écrire la platitude de la vie ?Comment sortir de la « gangue » (Georges Perec) dans laquelle nous sommes englués ? La vie quotidienne lanceen effet aux intellectuels un défi théorique et aux artistes un défi formel, celui de penser et de représenter notremilieu, notre matière, notre expérience temporelle.De Balzac à François Bon, de Gustave Courbet à Sophie Calle, de Jules Michelet à Michel de Certeau, d’HenriBergson à Bruce Bégout, le cours mettra en perspective les représentations du quotidien du XIXe siècle à nos joursen montrant leurs enjeux spécifiques (et parfois contradictoires) selon les périodes considérées.BIBLIOGRAPHIEUn fascicule de textes ainsi qu’une bibliographie détaillée seront distribués en cours.

LICENCE 3

E51LT5 Histoire Littéraire du 17eme siècle (2h30) – 3 cCM Un 17eme siècle de « querelles »Siècle de « l’absolutisme », siècle du « classicisme », « Grand Siècle » …, les clichés ne manquent pas, concernantle XVIIe siècle, qui conduisent invariablement à réduire cette époque à la gloire flamboyante de Louis XIV, le «Roi-Soleil », appauvrissant par là l’une des périodes les plus fécondes de notre histoire littéraire et figeant en unefausse immobilité un siècle pourtant riche de « querelles » (politiques, théologiques, littéraires, artistiques…), decontradictions et de remises en cause.Ce cours s’efforcera de restituer quelque peu la complexité du XVIIe siècle, élément indispensable pour qui veutcomprendre la littérature, les moeurs et les arts de cet âge qui va de l’Édit de Nantes (1598) à la mort de Louis XIV(1715).

TD1 Le XVIIe siècle, baroque ou classique ?Le XVIIe siècle français apparaît dans l’histoire littéraire comme un siècle clivé : l’esthétique baroque, faite deviolence, d’effervescence et de débordement, et l’esthétique classique, faite d’ordre, d’équilibre et de règles.Souvent considérées avec raison comme des étiquettes creuses et artificielles, les catégories de baroque et declassique demeurent toutefois commodes pour structurer l’historiographie de ce siècle et pour désigner un certain «air de famille » entre les oeuvres de cette période. C’est donc la pertinence et les limites de ces deux notionsconstruites a posteriori que le cours se propose d’interroger, en faisant l’archéologie de leur élaboration et en relisantun certain nombre de textes emblématiques qui ont conduit à faire du XVIIe siècle le « Grand siècle » de l’histoirelittéraire et de la mémoire culturelle française.BIBLIOGRAPHIEUne bibliographie d’ouvrages d’histoire littéraire sera distribuée au début du cours.DOCUMENTSDes extraits de textes littéraires dits « baroques » ou « classiques » seront distribués en cours, accompagnésd’extraits de textes théoriques.

TD2 « Une comédie à cent actes divers… ».Un monde, un univers ; un bestiaire, un bêtisier…BIBLIOGRAPHIELa Fontaine, Fables, Livres VII à IX, édition indifférente.

TD3 « Romans anciens » et « romans nouveaux » au XVIIe siècleDès le début du XVIIe siècle, le roman, particulièrement prisé du lectorat lors même qu’il est attaqué par l’Église etpar les doctes, commence son irrésistible ascension. Aux lendemains de la Fronde, les très amples productions dupremier dix-septième siècle (L’Astrée, Le Grand Cyrus, Clélie…) sont supplantées, dans la faveur du public, par les« petits romans » ou « nouvelles ». C’est cette mutation esthétique du genre romanesque au XVIIe siècle que nousétudierons, en nous appuyant à la fois sur un corpus de textes empruntés au premier dix-septième siècle et surquelques nouvelles (Mme de Lafayette, La Princesse de Montpensier, Saint-Réal, Dom Carlos).BIBLIOGRAPHIE

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Une bibliographie ainsi qu’un fascicule de textes complémentaires seront fournis aux étudiants lors du premiercours.DOCUMENTSLes étudiants doivent se procurer les textes suivants :- Saint-Réal, Dom Carlos (éditions indifférente)- Mme de Lafayette, La Princesse de Montpensier (édition indifférente).

E53LT5 Poétique (2h30 TD) – 3 cTD1 La langue des écrivains.Comment les écrivains pensent-ils la langue « littéraire » et comment pensent-ils leur propre langue ? Dans quellemesure peut-on parler d’une langue commune aux écrivains et d’un style propre à ces derniers qui serait la marqued’une singularité d’auteur ? C’est à ces questions que le cours proposera de fournir des éléments de réponse pourmontrer comment la notion de « style » a été pensée au cours de l’histoire littéraire et continue de l’être aujourd’hui.Après une mise au point théorique, notamment à partir de écrits de Flaubert et de Proust, on adoptera uneperspective historique et comparative en partant d’une période précise, la Renaissance, époque exceptionnelle dansl’histoire de la forgerie linguistique et stylistique dans le monde des Lettres. Se posent alors la question desconditions de possibilité d’une langue littéraire en français, du rapport entre style parlé et style écrit, entre languenaturelle et langue « d’art ». On verra comment ces questions, qui irriguent la pratique de Rabelais, Montaigne,Ronsard, Du Bellay ou Belleau, trouvent un écho dans les périodes ultérieures, et notamment chez des auteurs telsque Céline, Ponge, Queneau ou, plus proches de nous, Michon ou encore Chamoiseau. On réfléchira enfin à lapratique de la réécriture et du pastiche comme pratiques littéraires à part entière. Les analyses de textess’accompagneront ainsi d’exercices d’écriture.

TD2 L’anonyme, entre foule et peuple : enjeux politiques et esthétiques au XIX° siecle.Dans la peinture comme dans la littérature du XIX° siècle apparaissent les « anonymes », obscurs quidams dont laprésence marque les temps post-révolutionnaires. Font-ils peuple ? Restent-ils foule ? Comment les penser,comment les représenter ? Ces questions touchent à la question politique de la démocratie, et à la questionesthétique de la place et de la forme que l’art peut leur octroyer.DOCUMENTSTextes au programme :- Michelet, Le peuple, G-F- Flaubert, L’Education sentimentale, G-F- Baudelaire, Petits poèmes en prose, Le livre de poche (éd. J-L Steinmetz)

TD3 Écrire à la première personne : du roman à l’autobiographie.Peut-on vraiment dire la vérité sur soi, surtout quand on cherche à plaire au lecteur ? L’écriture de soi est nonseulement un problème poétique particulièrement riche, c’est aussi un questionnement central dans la naissance dela modernité esthétique et philosophique, qui invite à penser l’évolution des genres et des pratiques d’écriture, duroman à l’autobiographie. Ce cours va s’intéresser tout particulièrement aux transformations littéraires qui, au débutdu XVIIIe siècle, précèdent et accompagnent la naissance du genre autobiographique.BIBLIOGRAPHIEPrévost, Manon Lescaut, éd. Jean Sgard, GF.Marivaux, La Vie de Marianne, éd. Jean Dagen, Folio ClassiquesRousseau, Les Confessions, l.I-IV, éd. J.-B. Pontalis, Folio ClassiquesUne bibliographie critique sera distribuée au début du semestre.DOCUMENTSDes documents de travail seront communiqués au début du semestre.

E52LT5 Littérature Comparée (39h) – 3 c

Cours 1 Faire refrainNous croyons savoir ce qui est désigné, en français (et dans quelques langues européennes qui ont emprunté lemot) par « refrain » : le refrain désigne ce qui est répété, ce qui se répète dans une chanson, en relation avec les «couplets ». Le refrain paraît constitutif du genre « chanson » ; peu de chansons n’en ont pas. Mais l’étymologie dumot ne parle pas de répétition, de retour, de reprise : elle parle de « bris », « brisure » (« refrain » vient de «refringere », « briser »). Et le contexte de la première apparition du mot, dans un poème du XIIe siècle, Le Voyagede Saint Brendan, où il désigne le chant des oiseaux, à l’aube, et comme réponse, ou répons, au lever du jour et auretour de la lumière – ce contexte étonne aussi. Nous nous interrogerons donc à partir du mot, et nous étudierons laplace, le sens et la fonction du refrain dans des chansons d’abord, et ensuite en poésie où le refrain se trouvefréquemment, et entre dans la définition de certaines formes fixes. Mais, suivant la piste du mot, nous seronsamenés à franchir les limites et de la chanson et de la poésie, et à trouver du refrain dans le récit (l’exemple principalsera Bartleby de Herman Melville) et à faire l’hypothèse plus vaste d’un refrain selon la psychanalyse, selon

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l’histoire, etc. Nous le ferons en ne quittant pas la perspective ouverte par le mot lui-même, c’est-à-dire en cherchantce qui est brisé, ou ce qui se brise (comme la voix se brise) dans le refrain.À acheter : Melville, Bartleby, Éditions Mille et une nuits. Les autres textes (chansons, poèmes) seront fournis enphotocopie.BIBLIOGRAPHIE- William Blake, Chants d’innocence / Chants d’expérience, rivages poche, 2010- Gilles Deleuze, Différence et répétition, PUF, 1968- Gilles Deleuze et Félix Guattari, Mille plateaux, Minuit, 1980- Marie Naudin, Évolution parallèle de la poésie et de la musique en France. Rôle unificateur de la chanson, Nizet,1968- Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra (par exemple dans la traduction de Geneviève Bianquis, G-F, 1996)- Nietzsche, « Chansons du prince Vogelfrei » dans Le Gai Savoir (par exemple dans la traduction de PatrickWotling, G-F 2007)- Maria Spyropoulou-Leclanché, Le Refrain dans la chanson française. De Bruant à Renaud, Presses Universitairesde Limoges, 1998)- Frédéric Worms : Revivre, Champs-Flammarion, 2015

Cours 2 Expériences vécues, poétiques de la mémoire et de l’histoireEnjeux idéologiques, esthétiques et psychologiques de la restitution de l’expérience personnelle de l’Histoire.BIBLIOGRAPHIE- Joseph Conrad, Coeur des ténèbres, édition bilingue indifférente.- António Lobo Antunes, Le cul de Judas, Métailié.- Claude Simon, L’Acacia, Minuit.

Cours 3 L’épopée : lectures comparatistesDu Gilmanesh mésopotamien (2nd millénaire A.C.) à l’épopée des Manas, qui connaît depuis quelques années unimportant renouveau au Kirghizistan, l’épopée est un genre poétique aussi récurrent que protéiforme. L’enjeu de cecours est de proposer des outils pour lire ce vaste corpus qui brasse langues, cultures et civilisations, en s’appuyantsur les travaux comparatistes récemment développés en ce sens. Notre parcours interrogera la variété même dugenre.De l’oralité de la récitation à la mise en texte voire à la traduction : quelles sont les formes du texte épique ? Quelsliens peut-on établir entre des épopées orales et populaires (le romance médiéval ibérique) et des épopées écriteset publiées par un auteur bien connu du public (Le seigneur des anneaux de Tolkien) ?L’épopée se confond-elle avec le genre héroïque ? Ces héros sont-ils toujours l’objet d’admiration et son messagese limite-t-il à un discours panégyrique ? On s’intéressera en particulier à la capacité de démonstration qui traversele genre et revêt des formes diverses : mise en parallèle des situations conflictuelles, imitatio, renversement despoints de vue.Ce sont-là autant d’outils dont nous explorerons la puissance lorsqu’il s’agit de penser les profonds changements quiaccompagnent le devenir des sociétés. Autant d’éléments qui permettent d’approcher une lecture politique etanthropologique de l’épopée.BIBLIOGRAPHIECette bibliographie indicative sera complétée sous forme thématique au cours du semestre :- Florence GOYET, Penser sans concepts : fonction de l’épopée guerrière Iliade, Chanson de Roland, Hôgen et Heijimonogatari, Paris, H. Champion, 2006.- Judith LABARTHE, L’épopée, Paris, A. Colin, 2007.- David QUINT, Epic and Empire: Politics and Generic Form From Vigil to Milton, Princeton, Princeton UniversityPress, 1993.- Delphine RUMEAU, Chants du Nouveau monde : épopée et modernité. Whitman, Neruda, Glissant, Paris, Éd.Classiques Garnier, 2009.

E51LTM5 Linguistique Médiévale (39h) – 3 cApprofondissement de la connaissance de la langue médiévale dans une perspective diachronique et synchronique.BIBLIOGRAPHIETexte au programme :Tristan et Yseut. Les Tristan en vers : « Tristan » de Béroul, « Tristan » de Thomas, « Folie Tristan » de Berne, «Folie Tristan » d’Oxford, « Chèvrefeuille » de Marie de France , éd. J. –Ch. Payen, Paris, Garnier (ClassiquesGarnier), 1974 et1980, rééd. 2010.Manuels :- Joly, G.,Précis d’Ancien Français, Armand Colin.- Ménard, Ph., Syntaxe de l’ancien français, éd. Bière.- Buridant, Cl., Grammaire nouvelle de l’ancien français, SEDES.

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MUSIQUE // MUSIC

Il est conseillé de posséder une formation musicale de base portant sur le solfège oral etécrit, la théorie, l’histoire de la musique, la pratique instrumentale et vocale.

LICENCE 1

E11MU5 Histoire des Musiques médiévales (39h) – 3 cDans l’Occident médiéval, que l’on situe depuis la chute de l’Empire romain jusqu’à la fin du XIVe siècle, une placefondamentale est dévolue à la musique, transposition ici-bas de l’harmonie du monde céleste. Relevantexclusivement de la tradition orale jusqu’à la fin du IXe siècle, la musique devient alors à la fois l’objet d’unereprésentation sous forme de notation, laquelle ne cessera de sa transformer pour les besoins de la monodie ou dela polyphonie, et d’une théorisation d’ordres spéculatif et pratique.Le cours s’attachera à retracer les fonctions sociales de la musique et des musiciens au cours du Moyen Âge, et àfaire émerger des réflexions pertinentes à partir de l’étude musicologique, touchant aux domaines historiques,sociologiques, philosophiques, des genres monodiques et polyphoniques depuis les premiers chants liturgiquesjusqu’aux grandes réalisations de l’Ars Nova et de l’Ars Subtilior.L’ensemble professionnel Mora Vocis, en résidence à l’université, sera accueilli lors deplusieurs cours.BIBLIOGRAPHIEGuide de la musique du Moyen Age sous la direction de Françoise FERRAND et avec la participation d’OlivierCULLIN, Paris, Fayard, 1999/ réed. 2002.

E12MUM5 Pratiques de la musique (78h) – 6 c(Choeur & Accompagnement obligatoires + 1 Atelier au choix)- Chœur (obligatoire)Pratique du chant en formation musicale chorale, étude d’œuvre a capella et accompagnées en vue d’exécutionspubliques. Examen : contrôle continu (assiduité, passages en octuors) + oral en fin de semestre.ACCOMPAGNEMENT AU PIANO :(Obligatoire)L’accompagnement au piano est en relation directe avec les notions abordées durant le cours d’écriture, en uneapproche plus directement « pratique ». Principes de base d’une harmonisation au clavier (basse/accords), travailsur différents modes de soutien rythmique, sur l’enchaînement des accords (3 sons : état fondamental et 1errenversement, 6/4 de cadence) ; acquisition des réflexes harmoniques de base (cadences, fonctions tonales). Cecours nécessitant une pratique régulière (évaluation tous les 15 jours en moyenne durant le semestre), il estvivement conseillé aux étudiants de faire l’acquisition d’un clavier, et/ou de venir s’exercer régulièrement dans lasalle prévue à cet effet (réservation obligatoire auprès du secrétariat de musique).

-Pratique individuelle : Les étudiants auront à préparer à chaque semestre, deux pièces instrumentales ouvocales de style ou d’époques différents d’environ 5minutes de chaque, ils pourront se produire en petits groupes,seront notés individuellement, et/ou prévoir un accompagnateur.Le choix de l’interprétation des pièces se fera par tirage au sort au moment de l’épreuve.Evaluation d’après la mise en place, la musicalité, l’implication (un support devra être prévu pour le jury : partition,grille, etc…)- Musique de Chambre. CONSTITUTION DES ENSEMBLESAfin de constituer les ensembles de musique de chambre, une audition sera organisée en début d’annéeuniversitaire. Chaque étudiant interprètera une oeuvre de son choix, si possible avec un accompagnateur. Cetteaudition n’a pas pour objet de choisir les meilleurs instrumentistes parmi les candidats, mais d’évaluer le niveau dechacun de façon à ce qu’il puisse être créé des formations permettant de répondre aux critères suivants :Toucher le plus grand nombre d’étudiants possible. Créer des ensembles dont le niveau est homogène. Trouver lerépertoire approprié. Il est possible aux étudiants désirant se regrouper par affinité de proposer une formation. Il enva de même pour les ensembles déjà constitués. Il suffira aux étudiants déjà inscrits les années précédentes à cecours de se présenter à l’audition afin de remplir leur formulaire d’inscription. Chaque formation est établie pourl’année. Le nombre d’oeuvres abordées variera enfonction de leur difficulté et du travail fourni par les musiciens.ORGANISATION DES COURSChaque ensemble suivra un cours d’une heure environ, ce afin d’assimiler et de travailler, en groupe etindividuellement, les oeuvres abordées. L’emploi du temps est fixé en tenant compte le plus possible des activités dechacun.PROCEDURE D’EXAMENS

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La notation des étudiants inscrits en cours de musique de chambre est le résultat de la moyenne d’une note decontrôle continu et de deux notes obtenues au cours d’une exécution en fin de semestre devant un jury composéd’enseignants du département Musique ( ces exécutions ont lieu généralement en salle DO26 et sont ouvertes aupublic).Il va de soi que l’assiduité aux cours est indispensableATELIERS CONTEMPORAINS :Ces ateliers permettront de pratiquer et d’interpréter différentes facettes de la musique contemporaine : musiquesécrites, oeuvres ouvertes, oeuvres graphiques, théâtre musical…Ils permettront aussi aux étudiants qui le souhaitent d’aborder la composition musicale.Instrumentistes et chanteurs de tous niveaux peuvent participer à ces ateliers. Différents groupes de travail serontconstitués lors du premier cours.- Orchestre : Les répétitions par pupitre sont dirigées par les professeurs du CRR de Montpellier.Des sessions seront également organisées. L’évaluation portera sur une interprétation en solo d’une oeuvre au choixdu répertoire de son instrument ainsi qu’un trait d’orchestre, également au choix.Pour les nouveaux venus, sera organisée une audition en présence du chef d’orchestre, de la directrice dudépartement musique, du directeur du CRR, du coordinateur artistique.Les étudiants faisant partie de l’orchestre l’an passé ne passent pas d’audition. Ils doivent néanmoins remplir unefiche d’inscription et la remettre au secrétariat.ATELIERS PRATIQUES VOCALES MEDIEVALES :Différents choix sont possibles :-Chant grégorien avec Damien Poisblaud (ensemble Les Chantres du Thoronet).-A L’Escola N’Eblon : lyrique des troubadours avec Brice Duisit. ATTENTION : engagement obligatoire sur les deuxsemestres et sur les deux concerts du mois de mai.-De la lyrique courtoise au XIVe siècle avec Brice Duisit. ATTENTION : engagement obligatoire sur les deuxsemestres.

E12MU5 Technique musicale (39h) – 3 cEcriture. Acquisition des principes de base de l’harmonie à travers l’écriture pour chœur mixte à 4 voix : accord de 3sons, principes de doublures et d’enchaînement, fonctions tonales, cadences, etc. Examen : contrôle continu (écrit).

Formation musicale Travail à l’oral comme à l’écrit, portant sur la capacité à chanter, entendre et noter toutes lesmusiques.Exercices de mémorisation des intervalles et mise en application sur des textes d’étude ou issus du répertoire (endéchiffrage et en travail à la maison).Dictées à une voix dans les modes anciens (différents timbres). Reconnaissance et maîtrise de ces modes.Dictées de rythme à une voix.Reconnaissance d’accords parfaits (état fondamental et renversements).Étude pratique de la théorie musicale.Lecture de clés (sol, fa, ut).Bibliographie :Marie-Claude Arbaretaz, Lire la musique par la connaissance des intervalles, volumes 1 et 2, Paris, Chappell, 1979.Claude Abromont, Eugène de Montalembert , Guide de la théorie de la musique, avec la collab. de PhilippeFourquet, Emmanuel Oriol et Brice Pauset, Paris, Fayard : H. Lemoine, 2001, 608 p.Documents / Fournitures :Les étudiants doivent impérativement se procurer un cahier de musique 16 portées 4/4, un crayon et une gomme.

Commentaire d’écoute. Introduction générale aux éléments fondamentaux du langage musical: son - rythme-mélodie - harmonie.SON : Des paramètres du son (spectre, enveloppe, hauteur, intensité, espace...) jusqu'à l'orchestration (repèrestechniques et historiques). Musiques concrètes, acousmatiques...RYTHME : De l'énergie du geste au phrasé (anacrouse/ crouse / métacrouse). Des paramètres du rythme (cellule,pulsation, métrique, polyrythmie, accentuation...) jusqu'à l'organisation du temps, à la notion d'architecture et auprincipe de permanence/variation.MELODIE : Mélodies et polyphonies primitives (d'après "les éléments de philologie musicale" de J. Chailley).Intervalles, justesses, échelles, modes (pôles et pièns), tempéraments, systèmes des hauteurs, analyse de lamélodie... Des origines de la mélodie aux notions de mouvements cadentiels et de "basse fondamentale".HARMONIE : Du son "originel" à la musique spectrale. Du mode au "timbre". De la polyphonie à "l'accord". Notionde "consonance". L'accord-couleur. Evolution historique du langage harmonique. Croisement des cultures (exempledu Jazz...). Par l'écoute de très nombreux exemples sonores et musicaux, sans aucune restriction de style, d'époqueet de lieu, ce cours offre un voyage à travers le temps et l'espace pour introduire le vocabulaire des élémentsconstitutifs du langage musical. L'objectif recherché est, outre d'ouvrir dès le début la curiosité musicale à tous lesrépertoires, un survol synthétique qui pose les premiers repères auditifs en partant des éléments présents dans

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toute musique, car c'est sur leur base qu'on étudiera ensuite les spécificités stylistiques pour rédiger le commentaired'écoute. De même, la compréhension de leur dimension générale et transculturelle facilitera plus tard l'exercice del'analyse comparée. Enfin, de par la nature musicale de leurs synergies, l'écoute de ces éléments permettra toujoursde développer quelques idées intéressantes sur des styles que l'étudiant découvre pour la première fois et qui rendhabituellement le commentaire si délicat dès que l'on s'éloigne des sentiers battus.Bibliographie :Roland de Candé, Dictionnaire de musique. Ed. MicrocosmePIERCE (John R.), Le son musical -Musique, acoustique et informatique, Paris, Belin, coll. Pour la science, 1984.Edgar Willems, Le rythme musical, Éditions PRO MUSICA, Fribourg (Suisse), 1984Jacques Chailley, Éléments de philologie musicale. Paris : Alphonse Leduc, 1985Constantin Braïloïou, Sur une mélodie russe. Presses universitaires de France, Paris 1953.Olivier Alain (1965) : L'Harmonie, PUF collection "Que sais-je ?"Claude Abromont, Petit précis du commentaire d'écoute. Fayard.Documents :Ecoute et prise de notes

E11MUM5 Histoire de la musique et Analyse (73h) – 5.5 cHistoire. Les travaux dirigés viennent compléter le cours magistral par différentes types d’exercices pratiques :- Travaux sur fac simile de sources manuscrites- Commentaires d’écoute- Commentaires de textes- Commentaires d’images- Analyse sur manuscrit- Exercices de paléographie- Exposés.

Analyse. Former à l'intelligence des oeuvres, étude des formes, des différents types d'écriture instrumentale etvocale, des structures mélodiques et harmoniques. Analyse sur partition d’oeuvres musicales du XVIe siècle auXVIIe siècle..

LICENCE 2

E31MU5 Histoire de la musique renaissance et baroque – 4 cCe cours abordera la notion de « l'époque » sous l'angle de la thématique « traditions et ruptures ». Le fait que lesépoques musicales et littéraire qu'on appelle « baroque » ne sont pas identiques, montre déjà le flou et les difficultésde délimiter courants, développements et transitions culturels. Il permet de cerner la diversité des choix esthétiqueset stylistiques nécessaires qui déterminent au bout du compte les définitions courantes.Nous nous intéressons à ces frontières, aux bouleversements, nouveaux départs tout comme aux reprises,continuités et traditions. Trois principaux objets d'étude guideront nos réflexions : premièrement, les enjeuxesthétiques et philosophiques qui influent sur la pensée d'une époque ; deuxièmement, la facture des différentesoeuvres musicales et troisièmement, les lieux et les instruments de travail des musiciens qui les créent et/ou jouent.Bibliographie :A haute voix, Olivia Rosenthal (dir.),Paris, Klincksieck, 1998. (A voir notamment les articles de J. Vignes, I. His et Fr.Mouret)ANTHONY, James R., French baroque music: from Beaujoyeulx to Rameau, Portland, Amadeus Press, 1997.ARISTOTE, Poétique (divers éditions).LEVILLAIN, Henriette, Qu’est-ce que le baroque ?, Paris, Klincksieck, 2003.Musique et humanisme à la Renaissance, Centre V. L. Saulnier Université Paris- Sorbonne, Paris, Presses del'Ecole normale upérieure, 1993.PSYCHOUYOU, Théodora, « D‘art et de science au temps de Louis XIII : ou de la musique comme un JanusDescartes/Mersenne) », Jean Duron (dir.), Regards sur le musique sous Louis XIII, Wavre, Mardaga, 2007, p. 45-64.The New Grove Dictionary of Music and Musicians, éd. Stanley Sadie, London, Macmillan, 2001.SAINT-ARROMAN, Jean, L’interprétation de la musique française 1661-1789. Dictionnaire d’interprétation, Paris,Champion, 1988.

E33MU5 Technique musicale:Formation Musicale : Sofège écrit et oral : mémorisation de fragments mélodiques, dictées de rythme à une etdeux voix, identification et écriture d’accords. Examen : reconnaissance de tonalité, écriture de rythmes, prise dethèmes mélodiques à une ou de voix, identification et écriture d’accords. Contrôle continu uniquement.Ecriture : Révisions des notions apprises en Licence 1ère année (accords 5, 6, 6/4), Ecriture à 4 parties vocales.Evolution de l’harmonie dans l’histoire de la Musique.

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Etude de la modulation.Etude de l’accord 7e dominante et des renversements, avec et sans fondamentale.Etude des accords 7e dominante et des renversements.Etude de l’accord 9e / 7e dominante, avec et sans fondamentale.Evocation immédiate et usage des notes étrangères, en particulier notes de passage et appoggiatures.L’essentiel du cours est établi à partir de textes du répertoire classique et romantique, en particulier Bach (Chorals,Petits Préludes, Préludes du Clavier bien tempéré), Mozart, Schumann (Scènes d’enfants).L’harmonie écrite est placée, autant que possible, dans une perspective historique de Monteverdi à Bach à Ravel etMessiaen.Mise en relation de l’harmonie et des autres composantes au discours musical : mélodie, rythme, carrure, forme,timbre. Instance sur la notion de style.Ecriture à 4 voix. Initiation à l’écriture pour chant et piano, pour l’ensemble instrumental.Attention portée au rôle de l’oreille, extérieure et intérieure. Complémentarité du travail « à la table » et du travail àl’instrument.Analyse et commentaire d’écoute. Former à l’intelligence des œuvres, étude des formes, des différents typesd’écriture instrumentale, des structures mélodiques et harmoniques. Notions de styles. Analyse et commentaired’écoute d’œuvres musicales sur partition du 17ème au 19ème siècle. GUILLARD G., Manuel pratique d’analyseauditive ; HAKIM et DUFOURCET, Guide pratique d’Analyse Musicale. Examen : continu + terminal.

E31MUM5 Esthétique MusicaleL’esthétique – terme forgé en 1735 par le philosophe allemand Alexander Gottlieb Baumgarten – se rapporte à laperception des sens, désigne l’étude des goûts et du beau en art et renvoie, plus généralement, aux questions decaractère philosophique qui sont en relation avec la théorie de l’art. S’agissant de l’esthétique musicale, elle a pourbut d’étudier la nature, le sens et la signification de la musique. Cette discipline s’est beaucoup développée aux XIXeet XXe siècles – périodes traitées dans le cadre de ce cours –, où elle a inspiré un grand nombre d’ouvrages,d’écoles et de théories.Ce cours s’attachera à préparer les étudiants à l’interprétation de textes relevant de l’esthétique musicale. Onabordera aussi bien des textes fondamentaux de philosophes et de penseurs (Kant, Hegel, Schopenhauer, Hanslick,Adorno, Schloezer, Danuser…) que des écrits de musiciens tels que Schumann, Liszt, Wagner, Schoenberg,Ansermet, Boulez, Cage…Une bibliographie sera distribuée lors du premier cours.

E32MUM5 Pratiques de la musique (78h) – 6 c(Choeur & Travail vocal obligatoires + 1 Atelier au choix)- Chœur (obligatoire)Pratique du chant en formation musicale chorale, étude d’œuvre a capella et accompagnées en vue d’exécutionspubliques. Examen : contrôle continu (assiduité, passages en octuors) + oral en fin de semestre.-Travail vocal (obligatoire) : Mises en voix, jeux vocaux, travail corporel trouveront leur application dansl’interprétation de partitions monodiques et/ou polyphoniques de répertoires divers.Bibliographie :Guy CORNUT, La voix, PUF, "Que sais-je ?", 2009-Pratique individuelle : Les étudiants auront à préparer à chaque semestre, deux pièces instrumentales ouvocales de style ou d’époques différents d’environ 5minutes de chaque, ils pourront se produire en petits groupes,seront notés individuellement, et/ou prévoir un accompagnateur.Le choix de l’interprétation des pièces se fera par tirage au sort au moment de l’épreuve.Evaluation d’après la mise en place, la musicalité, l’implication (un support devra être prévu pour le jury : partition,grille, etc…)- Musique de Chambre. CONSTITUTION DES ENSEMBLESAfin de constituer les ensembles de musique de chambre, une audition sera organisée en début d’annéeuniversitaire. Chaque étudiant interprètera une oeuvre de son choix, si possible avec un accompagnateur. Cetteaudition n’a pas pour objet de choisir les meilleurs instrumentistes parmi les candidats, mais d’évaluer le niveau dechacun de façon à ce qu’il puisse être créé des formations permettant de répondre aux critères suivants :Toucher le plus grand nombre d’étudiants possible. Créer des ensembles dont le niveau est homogène. Trouver lerépertoire approprié. Il est possible aux étudiants désirant se regrouper par affinité de proposer une formation. Il enva de même pour les ensembles déjà constitués. Il suffira aux étudiants déjà inscrits les années précédentes à cecours de se présenter à l’audition afin de remplir leur formulaire d’inscription. Chaque formation est établie pourl’année. Le nombre d’oeuvres abordées variera enfonction de leur difficulté et du travail fourni par les musiciens.ORGANISATION DES COURSChaque ensemble suivra un cours d’une heure environ, ce afin d’assimiler et de travailler, en groupe etindividuellement, les oeuvres abordées. L’emploi du temps est fixé en tenant compte le plus possible des activités dechacun.

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PROCEDURE D’EXAMENSLa notation des étudiants inscrits en cours de musique de chambre est le résultat de la moyenne d’une note decontrôle continu et de deux notes obtenues au cours d’une exécution en fin de semestre devant un jury composéd’enseignants du département Musique ( ces exécutions ont lieu généralement en salle DO26 et sont ouvertes aupublic).Il va de soi que l’assiduité aux cours est indispensable- Orchestre : Les répétitions par pupitre sont dirigées par les professeurs du CRR de Montpellier.Des sessions seront également organisées. L’évaluation portera sur une interprétation en solo d’une oeuvre au choixdu répertoire de son instrument ainsi qu’un trait d’orchestre, également au choix.Pour les nouveaux venus, sera organisée une audition en présence du chef d’orchestre, de la directrice dudépartement musique, du directeur du CRR, du coordinateur artistique.Les étudiants faisant partie de l’orchestre l’an passé ne passent pas d’audition. Ils doivent néanmoins remplir unefiche d’inscription et la remettre au secrétariat.ATELIERS CONTEMPORAINS :Ces ateliers permettront de pratiquer et d’interpréter différentes facettes de la musique contemporaine : musiquesécrites, oeuvres ouvertes, oeuvres graphiques, théâtre musical…Ils permettront aussi aux étudiants qui le souhaitent d’aborder la composition musicale.Instrumentistes et chanteurs de tous niveaux peuvent participer à ces ateliers. Différents groupes de travail serontconstitués lors du premier cours.ATELIERS PRATIQUES VOCALES MEDIEVALES :Différents choix sont possibles :-Chant grégorien avec Damien Poisblaud (ensemble Les Chantres du Thoronet).-A L’Escola N’Eblon : lyrique des troubadours avec Brice Duisit. ATTENTION : engagement obligatoire sur les deuxsemestres et sur les deux concerts du mois de mai.-De la lyrique courtoise au XIVe siècle avec Brice Duisit. ATTENTION : engagement obligatoire sur les deuxsemestres.

E32MU5 Acoustique et informatique musicale (39h) – 3 cNotions d'acoustique musicale et de psychoacoustique : propagation et représentation du son, spectres etharmonicité, fonctionnement de l'oreille, seuils de l'audition, perception des hauteurs, des timbres et de l'espace.Notation musicale numérique avec MuseScore et Finale (introduction).Premiers éléments théoriques et pratiques de l'audionumérique : numérisation du son, premiers traitements etopérations musicales sur le son numérisé. Ce contenu est approfondi dans le cours du 2nd semestre.Au long du semestre, des oeuvres du répertoire électroacoustique seront présentées en rapport avec les sujetsabordés.Des travaux seront demandés sur les différents logiciels utilisés.

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PHILOSOPHIE // PHILOSOPHY

Histoire de la Philosophie (Platon, Hobbes), Philosophie Générale (Ethique, Autrui, Kant),Philosophie Morale et Politique (Aristote, Platon, Rousseau, Spinoza), Méthodologie,Philosophie des Sciences (Russel), Esthétique (Bataille, Derrida).

LICENCE 1

E12PH5 Esthétique et Philosophie de l’art – 3 cÀ quoi reconnaît-on l’art ?Il ne fait aucun doute que certains objets méritent le qualificatif d’ « art ». Pourtant les raisons de cette qualificationn’ont rien d’évident . Résident-elles dans l’intention de l’ouvrier, le résultat atteint (par exemple le beau), l’effetproduit sur le destinataire, ou encore tiennent-elles à un décret institutionnel ?Nous examinerons dans ce cours, à travers un corpus de textes issus de la théorie de l’art et de la philosophie del’art, certaines des définitions les plus courantes en examinant notamment les conséquences produites par : 1) lepassage d’une conception « technicienne » de l’art à celle du génie artistique ; 2) le passage d’une conception «évaluative » à une conception « descriptive » de l’art.BIBLIOGRAPHIEBibliographie introductive :P. Sauvanet, Éléments d’esthétique (Ellipses) ; Platon, La République, livres III et X (Folio ou GF) ; Aristote, LaPoétique (Le Livre de poche) ; Kant, Critique de la faculté de juger, § 43-46 (GF) ; Hegel, Esthétique, notamment lesvol. 1 et 4 (Champs-Flammarion) ; voir ; Sartre, L’Imaginaire, 2e conclusion (Folio) ; Van Gogh, Lettres à son frèreThéo, notamment lettre 130 (TEL) ; E. Gombrich : Histoire de l’art (Phaidon) ; E. Panofsky, « L’histoire de l’art estune discipline humaniste », in L’OEuvre d’art et ses significations (Gallimard), Idea (TEL) ; N. Goodman, « Quand ya-t-il art ? », dans Manières de faire des mondes, Folio ; Y. Michaud, La Crise de l’art contemporain (PUF) ; N.Heinich, Être artiste (Klincksieck).

E13PH5 Philosophie Antique 3 cL’appel philosophique dans les dialogues de PlatonIl n’est pas certain que Socrate appelle tout homme à devenir philosophe. Par la suite, Épicure sera très clair à cetégard dans la Lettre à Ménécée. Dans l’Apologie, Socrate s’adresse bien à tous mais la question de devenirphilosophe, pour tout citoyen athénien, n’est pas vraiment àl’ordre du jour : c’est bien plutôt la vie du philosophe quiest en jeu. Dans l’Euthydème, cependant, l’appel philosophique paraît prendre un caractère général : Socrate dit quetout homme cherche le bonheur et que chacun doit, par tous les moyens, se mettre en mesure de devenir le plussavant (sophôtatos) qu’il puisse être. Par contre, dans la République, les portes de la philosophie (appeléedialektikè) ne s’ouvrent qu’à ceux qui sont parvenus à l’âge de trente ans et qui ont été formés dans le domaine desmathématiques supérieures. Au bout du compte, concernant la question du devenir philosophe, n’y a-t-il qu’un seulet unique message dans les dialogues de Platon ou bien faut-il distinguer le message de Platon de celui de Socrate? La solution pourrait être du genre : « beaucoup d’appelés et peu d’élus » (cf. Mathieu, 22,14), notamment dans saversion orphique (préchrétienne ?) : « Nombreux sont les porteurs de thyrse, rares sont les bacchants ». Socratecommente le dicton en disant : « Selon mon opinion, les bacchants ne sont autres que ceux qui, toujours, se sontoccupés à philosopher droitement ».BIBLIOGRAPHIEPLATON : Textes grecs accessibles sur le site de Philippe RemacleOEuvres traduites et commentées dans les nouvelles éditions GF (IMPERATIVEMENT).Ou bien OEuvres complètes, trad. sous la direction de Luc Brisson, Flammarion 2008.En particulier l’Apologie, l’Euthyphron, le Gorgias, le Charmide, le Ménon, l’Euthydème, le Banquet, le Phèdre, lePhédon, la République, le Théétète, la Lettre VII.ARISTOTE, Invitation à la philosophie (Le Protreptique), trad. J. Follon Folioplus, 2006.EPICURE, Lettres et Maximes, prés. Marcel Conche, Epiméthée, P.U.F. 1977.LES PRESOCRATIQUES, trad. sous la direction de J.-P. Dumont, Gallimard, Paris 1988.Les débuts de la philosophie, des premiers penseurs à Socrate, textes édités, réunis et traduits par André Laks etGlenn W. Most, Paris 2016.Philosophie grecque, sous la direction de Monique Canto-Sperber, P.U.F., 1998.Pierre HADOT, Qu’est-ce que la philosophie antique, Gallimard, folio, 1995.Marie-Dominique RICHARD, L’enseignement oral de Platon, Cerf, Paris, 2005.Thomas A. SZLEZAK, Le plaisir de lire Platon, Cerf , Paris 1997.Gregory VLASTOS, Socrate, Ironie et philosophie morale, trad. fr. Aubier, 1994.

E11PH5 Philosophie générale 3c

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La métaphysique du réel chez BergsonL'histoire de la philosophie occidentale repose sur l'histoire de sa métaphysique, c'est-à-dire sur une tentative visantà comprendre le réel en s'essayant à aller par-delà ce qu'offre l'expérience : toute pensée qui s'en tient à la simpleexpérience sensible reste vouée à se mouvoir dans un monde incompréhensible, fluctuant, sans consistanceontologique car non conceptualisé. Or on sait que pour Bergson l'artiste, esthète par excellence, voit mieux la réalitéque le commun des mortels, mieux que l'esprit scientifique ou philosophique même, ce qui va à contre-courant denos représentations immédiates, vu que la science et la philosophie sont précisément censé apporter un éclairageontologique sur le monde. Si l'artiste bergsonien est plus proche du réel, ce n'est pas tant du fait que les courantsartistiques ont pu évoluer au cours du temps que de celui d'un remodelage historique de notre conception du réel.Ce sont cependant deux choses bien distinctes que de voir et de comprendre ce qui nous entoure, que de le sentiret de le conceptualiser. La question qui nous servira de fil directeur sera donc la suivante : de "quel côté" est le réel? Ce qui permettra à Bergson de soulever un malentendu qui remonte aux Grecs et qui consiste à prendre pour réel(et par suite vrai) ce qui ne l'est pas : le concept.BIBLIOGRAPHIEBergson, La pensée et le mouvant, Paris, GF, 2014.Deleuze, Le bergsonisme, Paris, PUF, 1966.Jankélévitch, Henri Bergson, Paris, PUF, 1959.Soulez et Worms, Bergson (biographie), Paris, PUF, 2002

E14PH5 Philosophie moderne et contemporaine 3cCM : Introduction à l’empirisme à travers deux de ces figures majeures : John Locke et David HumeL ‘empirisme est un courant qui s’inscrit dans la lignée de cette rupture majeure engagée par les progrès de lascience au 18ème, ceux de la physique expérimentale notamment, et qui pense une origine sensible à laconnaissance. C’est dorénavant l’expérience qui devient un critère du savoir. Il s’agira dans ce cours de proposerune introduction à l’empirisme en analysant ses principes, sa constitution mais aussi son évolution à travers deuxfigures canoniques. En effet, il faudra mesurer ainsi la façon dont ce courant se construit mais aussi comment il vas’ouvrir à d’autres approchesen jetant un pont entre lui et ce que Hume appellera « le scepticisme mitigé ».C’est dans le sens de cette évolution historique et conceptuelle que le TD proposé consistera en une étude suivie del’Enquête sur l’entendement humain de Hume, nous permettant ainsi de lire dans le détail la spécificité de sesthèses.BIBLIOGRAPHIEJ.Locke, Essai philosophique concernant l’entendement humainD.Hume, Traité de la nature humaineD.Hume, Enquête sur l’entendement humain

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E31PH5 Histoire de la philosophie (39h : 19,5h de CM et 19,5h de TD) – 3 cL’Éthique de Spinoza. Sans prétendre à une lecture exhaustive, ce cours se propose d'introduire aux problématiqueset thèses essentielles du maître-ouvrage de Spinoza et plus généralement du spinozisme. Il s'agira de présenter,dans le détail, le mouvement conceptuel de cette oeuvre et d'en commenter certains passages clés tout en ayantsouci de la replacer dans le contexte intellectuel qui l'a vue émerger.BIBLIOGRAPHIESpinoza, Éthique, édition bilingue latin-français, trad. B. Pautrat, Paris, Seuil, 2010.Le reste de la bibliographie sera communiquée en cours.

E32PH5 Philosophie générale (39h : 19,5h de CM et 19,5h de TD) – 3 cIntitulé du cours : « Qu’est-ce qu’un argument ? »Ce cours propose d’étudier les principales méthodes d’argumentation utilisées par les philosophes. Des exemplesd’abord simples puis complexes de raisonnements (corrects ou sophistiques) seront analysés dans leur structurelogique puis évalués. Des exercices d’analyse et de construction d’arguments seront, de même, proposés auxétudiants, en mettant l’accent sur l’expression claire et distincte de la pensée. Enfin, nous étudierons des textesd’auteurs en cherchant à mesurer leur force démonstrative.BIBLIOGRAPHIEFrançois Doyon, Hélène Laramée, Gerardo Mosquera, L'art du dialogue et de l'argumentation, Chenelière Education(2009)Martin Montminy, Raisonnement et pensée critique : Introduction à la logique informelle, Presses Universitaires deMontréal (2009)Voir aussi sur Internet : http://web.cscv.qc.ca/010/sec4/theorieargu.htmhttp://www.ontologyfreak.com/sophismes-et-paralogismes

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http://www.cvm.qc.ca/jlaberge/103/Notes_de_cours/SOPHISMES.pdfhttp://www.angelfire.com/clone/plotin/sophismes.htm

E33PH5 Logique et analyse du langage (39h : 19,5h de CM et 19,5h de TD) – 3 cLogique et raisonnement philosophiqueDepuis Frege, Russell et Wittgenstein, la logique a connu un essor considérable. Elle fournit des méthodes efficacespouvant être tournées vers l’étude de l’argumentation philosophique. Le maniement de ces méthodes donne alorsaccès à plusieurs courants de la philosophie contemporaine, par exemple : le positivisme logique, la philosophieanalytique et la philosophie de l’esprit. Ce cours initiera l’étudiant aux techniques de base de la logique moderne,mais fournira aussi des éléments d’histoire de la discipline. En même temps, nous chercherons à évaluer les mériteset les limites de l’analyse logique pour la résolution de problèmes philosophiques.BIBLIOGRAPHIELectures préparatoires (une bibliographie détaillée sera donnée au début du semestre) :BLANCHÉ, (Robert), Introduction à la logique contemporaine, Paris, Colin, 1996 et rééd.DESCLÉS, (Jean-Pierre) et alii, Logique et langage, Paris, Hermann, 2010.VERNANT, (Denis), Introduction à la logique standard, Paris, Flammarion, 2007.WAGNER, (Pierre), La logique, Paris, PUF « Que sais-je ? », 2001.

E34PH5 Philosophie morale et politique (39h) – 3 cIntroduction à la philosophie morale d’Aristote par l’étude de l’Éthique à Nicomaque. Il s’agira plus précisémentd’expliciter et de clarifier la démarche et les principes directeurs de cette oeuvre à la fois difficile et incontournabledans l’histoire de la philosophie morale et dans les débats qui l’animent aujourd’hui encore.BIBLIOGRAPHIE- Aristote, Éthique à Nicomaque, trad. R. Bodéüs, GF, 2004- Richard Bodéüs, La philosophie d’Aristote, 2003- Pierre Hadot, Qu’est-ce que la philosophie antique ?, Folio, 1995- Richard Kraut, "Aristotle's Ethics", The Stanford Encyclopedia of Philosophy (Summer 2017 Edition), Edward N.Zalta (ed.), <https://plato.stanford.edu/archives/sum2017/entries/aristotleethics/>- Pierre-Marie Morel, Aristote, GF, 2003- Pierre Pellegrin, Le vocabulaire d’Aristote, 2009

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http://www.angelfire.com/clone/plotin/sophismes.htm

PSYCHOLOGIE // PSYCHOLOGY

Psychologie expérimentale et cognitive, Psychologie du développement, Psychologieclinique et pathologique, Psychologie sociale et du travail.

LICENCE 1

E11PS5 Origines, actualités et devenirs de la psychologie – CM – 26 heures 2cA quoi pensent les psychologues, et comment ?Cette présentation générale et historique de la psychologie est prévue pour un public de futurs psychologues,sociologues et ethnologues.Elle se fera à partir de huit thèmes et questions :1) Comment se représenter les changements du psychisme ?2) L’expérience de la subjectivité. Sommes‐nous tous identiques ou tous différents ?3) Individus et groupes. L’existence humaine est‐elle individuelle ou collective ?4) Le fonctionnement psychologique est‐il prédéterminé ?5) Y a‐t‐il une intelligence ou plusieurs intelligences ?6) L’idée de normalité psychologique… et de normalisation.7) Cerveau et psycho.8) L’unité de la psychologie et sa place dans la classification des sciences.

E12PS5 Decouverte de la psychologie sociale – CM – 52heures 4cLe cours débute par un bref historique de la discipline et présente ensuite un certain nombre de ses principauxconcepts. La première partie s’intéresse aux interactions individu/contexte (comportement, performance, influence),tandis que la seconde porte sur le fonctionnement des groupes et la communication.

E13PS3 Decouverte de la psychologie clinique et psychopathologie – TD – 39 heures 3cCe cours de découverte de la psychologie clinique abordera tout d’abord les origines de la psychologie clinique dansses liens à la psychiatrie, à la psychopathologie et à la psychanalyse. Partant de la présentation des fondateurs dela psychologie clinique, la question de la spécificité de la discipline quant à la méthode clinique, les outils et objetssera abordée. Ensuite, les domaines d’interventions ainsi que les pratiques et les métiers du psychologue clinicienseront exposés. Pour finir, les principaux modèles psychothérapeutiques seront proposés.

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E31PS5 Psychologie clinique et psycho-pathologie – 6cL’objectif de cette UE est de sensibiliser l’étudiant à la démarche et au relevé sémiologique en psychopathologie.

Une attention particulière sera donc portée au repérage et à la reconnaissance des signes et des symptômesporteurs d’une signification dans le champ de la pathologie mentale ainsi qu’à leur définition rigoureuse. Ce tempssémiologique se situe en amont du temps diagnostic, il en est le préalable indispensable. L’enseignement présenteraensuite les classifications classiques et contemporaines des affections mentales chez l’adulte. Leurs implicationsthéorico‐cliniques seront discutées.

E32PS5 Psychologie du développement – 62h 4cL’enseignement s’organise autour de 4 grands thèmes : développement de la motricité, de la perception et de lacommunication non verbale (C. Brechet, 6 semaines) et développement du langage (Y. Boloh, 6 semaines).Pour les 3 premiers thèmes, nous aborderons d’abord le développement normal de l’enfant. Seront ensuiteprésentés plusieurs exemples de développement troublé ou atypique dans chacun de ces domaines (e.g., dyspraxie,cécité, autisme).Développement linguistique (Yves BOLOH)Après une introduction destinée à poser les particularités de l’acquisition du langage oral (par rapport àl’apprentissage du langage écrit par exemple) et son rapport au développement cognitif général (via descomparaisons avec le syndrome de Williams par exemple), on présente une synthèse des résultats disponiblesrelatifs au développement pendant la première année : discrimination initiale des langues, catégorisation etdiscrimination des sons de parole, segmentation de l’onde sonore en unités propositionnelle et syntagmatique et rôlede l’organisation prosodique dans cette segmentation.

E34PS5 Neurophysiologie – CM – 52 heures 4c

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E514PS5 Consolidation en psychlogie cognitive – CM – 26 heuresPlus la Psychologie avance en tant que science, plus la perception apparait comme l'interface incontournable pourl'étude du rapport entre le psychisme et l'environnement. Le cours proposé est une Introduction Historique à laPsychologie Générale de la Perception.C'est un cours de Psychologie Générale dans le sens où la perception est abordée dans sa généralité : celle d'unprocessus hypothétique rendant compte des représentations de l'environnement qui, partant des récepteurssensoriels, peuvent être inférées des comportements immédiats. Ce n'est pas un cours d'histoire, mais, étant uneintroduction, il aborde les approches qui ont contribué à la connaissance actuelle de la perception humaine,notamment la Psychophysique, la Gestalttheorie et la Fonctionnalisme. Ces trois approches s'articulent,respectivement, autour de trois domaines empiriques de la perception : les perceptions élémentaires, la perceptiondes formes, celles des objets. Ceci est précédé d'une introduction construisant la définition intuitive, mais aussiscientifique, de la perception et effleurant la question de ses rapports avec la réalité.Bibliographie conseilléeROCK, I. (2000). Perception. Bruxelles : De Boeck (édition original : 1984).DELORME, A. & FLÜCKIGER, M. (2003). Perception et réalité. Une introduction à la psychologie des perceptions.Bruxelles : De Boeck.MATHER, G. (2005). Foundations of perception. Hove: Psychology Press Ltd.JIMENEZ, M. (1997). Psychologie de la perception. Paris : Flammarion.

E515PS5 Consolidtion en psychologie du développement – CM – 26 heuresEnseignants : N. Blanc/ S BellochiDéveloppement cognitif et acquisitions scolairesQuel est le lien entre développement cognitif et acquisitions scolaires ? Dans une première partie, ce coursexaminera certains fondements du développement de la cognition et du langage en les situant en rapport auxacquisitions dans le contexte scolaire (ex.: lecture, écriture, calcul). Dans une deuxième partie, le cours se centrerasur le développement d’une autre acquisition scolaire, se développant en parallèle de l’apprentissage de la lecture,qu’est l’habileté de compréhension. Plus spécifiquement, le développement de la compréhension de l’humour seraabordé.Bibliographie proposée :Une bibliographie sera proposée aux étudiants pendant le déroulement des cours.

E511PS5 Neurophysiologie S5 – TD – 48 heures

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SCIENCE DE L'ÉDUCATION // EDUCATION

Vue d’ensemble des phénomènes éducatifs : famille, école, etc. Approche psychologique, sociologique et historique. Quelles sont les finalités de l’éducation ? Approcheréflexive et critique.

LICENCE 1

E11SE5 Introduction aux sciences de l’éducation – 3 cLe cours donnera des éléments simple de compréhension des éléments de contexte de l’éducation : l’accueil dunourrisson, la famille, l’école, dans différents contextes culturels. Les différentes professions de cet accueil serontparcourues. Puis seront abordé des éléments sur la pédagogie, l’autorité, la responsabilité, le jeu. Enfin, deséléments de base seront donnés sur l’enjeu des disciplines dans la compréhension des situationséducatives.Examen : écrit de 3h

E12SE5 Connaissance des metiers de l’éducation et de l’enseignement – 2 cContenu du cours :- Les concepts de l’éducation et l’enseignement : éducation – enseignement – apprentissage – formation –pédagogie- Les enjeux de l’éducation et l’enseignement : entre domestication et affranchissement- Les publics de l’éducation : petite enfance, enfance, adolescence, adulescence et professionnelsRepères bibliographiques :- Astolfi, J.P. (2008). La saveur des savoirs, Issy-les-Moulineaux : ESF Éditeur.- Baudelot, Ch., Establet, R. (2009). L’élitisme républicain, Paris : Seuil.- Boimare, S. (2008). Ces enfants empêchés de penser, Paris : Dunod.- Bonnery, S. (2007). Comprendre l’échec scolaire, Paris : La Dispute.- Bourgeois, E., Chapelle, G. (2006). Apprendre et faire apprendre, Paris : PUF.- Connac, S. (2012). La personnalisation des apprentissages. Issy-les-Moulineaux : ESF Éditeur- Develay, M. (2013). Comment refonder l’école ?, Bruxelles : De Boeck.- Favre, D. (2010). Cessons de démotiver les élèves, Paris : Dunod.- Longhi, G. (2009). Dictionnaire de l’éducation, Paris : Vuibert.- Meirieu, P. (2013). Pédagogie – Des lieux communs aux concepts clés, Issy-les-Moulineaux : ESF Éditeur.- Gumbel, P. (2010). On achève bien les écoliers, Paris : Grasset.- Paturet, J.B. (1995). De la responsabilité en éducation, Erès.- Perrenoud, P. (2012). L’organisation du travail, clé de toute pédagogie différenciée, Issy-les-Moulineaux : ESFÉditeur.- Reboul, O. (1989). La philosophie de l’éducation, Paris : PUF, Coll. « Que sais-je ? ».Examen : écrit de 3h

E15SE5 L’inclusion des publics à besoins spécifiques – 1,5 cCet enseignement a pour but de sensibiliser les étudiants aux situations de handicap et aux pratiques éducatives etpédagogiques inclusives.Les contenus de cette unité d’enseignement intitulée « Inclusion » s’inscrivent dans le cadre juridique de la loi defévrier 2005 « Egalité des droits et des chances – participation et citoyenneté des personnes handicapées ».Cette UE propose : 1/un travail au niveau des représentations, 2/ des apports épistémologiques, juridiques etéthiques.S’inscrire dans cette UE, s’approprier les contenus et les logiques de l’inclusion permettra de valider cette UE et dedevenir « handicitoyen » dans sa propre vie citoyenne et professionnelle à venir.Cette UE est en lien avec un réseau de partenaires : la mission handicap de l’UM3 (Frédéric Planché), despartenaires associatifs (sésame autisme, handiart…), l’association « Différent comme tout le monde ».Repères bibliographiques :Charles GARDOU, La société inclusive, parlons-en !, Toulouse, Eres, 2012.Henri-Jacques SICKER, Corps infirmes et société, Paris, Dunod, 2005.La nouvelle revue de l’adaptation et de la scolarisation- Editions INSHEA- dirigée par Hervé Benoit.Revue Reliance –Eres- dirigée par Charles Gardou.Champ Social, Collection enfants à besoins éducatifs particuliers ou pédagogie institutionnelle, dirigée par CANATSylvie.Handicap le guide partenaire Editions PRAT, fédération APAJH..Examen : écrit de 3h

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E14SE5 Les enfants stigmatisés et leur réussite scolaire- 1.5 cQuels sont les facteurs qui favorisent la réussite à l’école et, notamment, celle des enfants stigmatisés ? Pourrépondre à cette question, nous nous baserons essentiellement sur des travaux expérimentaux et résultats récentsde Psychologie Sociale, réalisés en laboratoire ou en milieu scolaire. Ces recherches scientifiques consacrées auxappartenances négatives, elles-mêmes issues des marquages scolaires (bons vs. mauvais élèves) ou desstéréotypes sociaux, montrent que les résultats de l’élève dépendent en grande partie du contexte dans lequel ilapprend. Nous verrons ainsi que certaines situations d’évaluation ou de comparaison sociale peuvent devenir, pourles enfants stigmatisés, de véritables situations pour réussir !Dans le cadre de cet enseignement, différents supports (chapitres d’ouvrages, articles scientifiques et vidéos) serontproposés aux étudiants afin de compléter les notions et modèles présentés en cours.Repères bibliographiques :Croizet, J.C., Leyens, J.P. (2003). Mauvaises réputations : Réalités et enjeux de la stigmatisation sociale. Paris :Armand Colin.Monteil, J.M., & Huguet, P. (2013). Réussir ou échouer à l’école : une question de contexte ? Grenoble : PUGToczek, M.C, & Martinot, D. (2004). Le défi éducatif : Des situations pour réussir. Paris : Armand Colin.

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E33SE5 Inclusion des publics a besoin spécifiques – 2 cContenu :« Comment permettre à ceux que le hasard de la naissance ou de la vie a stigmatisés d’être reconnus sanscondition comme sujets et de jouer pleinement leur rôle dans la communauté humaine ? » Charles Gardou.Cet enseignement a pour but d’aborder les notions et les concepts relatifs à « l’inclusion de publics à besoinséducatifs particuliers » :-Par la connaissance des structures et des fonctionnements institutionnels dans le cadre juridique de la loi de février2005 sur l’« Egalité des droits et des chances- participation et citoyenneté des personnes handicapées ».-Par une approche anthropologique du handicap: le lien social, de l’éducation inclusive à l’enseignement inclusif, lavulnérabilité, l’autonomie, le « dire et l’agir ».-Par une réflexion transversale sur les représentations: connaître le handicap, reconnaître la personne.Repères bibliographiques :Albert Ciccone, Clinique du sujet handicapé, Toulouse, Eres, 2007.Charles Gardou, Fragments sur le handicap et la vulnérabilité, Toulouse, Eres, 2013Charles Gardou, La société inclusive, parlons-en !, Toulouse, Eres, 2012Jean Sébastien Morvan, Le sujet handicapé, Evocation du lien psychique et du lien social, Paris, L’Harmattan, 2012.La nouvelle revue de l’adaptation et de la scolarisation – Edition INSHEA- dirigée par Hervé Benoit.Champ Social, Collection enfant à besoins éducatifs particuliers ou pédagogie institutionnelle, dirigée par SylvieCanat.

E34SE5 Histoire de l’enseignement et de l’éducation – 3 cObjectif : Organisation de l’enseignement scolaire Présentation des courants pédagogiques fondamentauxContenu : La pensée sur l’éducation et l’enseignement, les grands pédagogues La construction de l’enseignement public: les grands principes Les fondements de l’enseignement scolaire primaire, secondaire et supérieur, public et privé. Evolutions sociétales et enjeux des politiques publiques d’éducation à travers les thématiques de la mixitéscolaire, l’égalité des chances et l’éducation prioritaire,

E35SE5 Anthropologie de l’éducation – 3 cObjectif : intégrer des éléments de contexte culturel dans l’analyse des situations éducativesContenu : L’accueil du nourrisson dans différents contextes géographiques et relativisation des pratiqueséducatives. L’apprentissage du langage. Méthode anthropologique : le « fait social total », les techniques du corps,l’observation.

E36SE5 Psychologie de l’enseignement et de l’éducation – 3 cObjectif : Identifier les stades du développement intellectuel et cognitif. Examiner leurs interactions avec lesapprentissages. Connaître la construction des opérations mentales ainsi que les processus qui s’y trouvent engagés.

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Contenu : Cet enseignement s’inscrit dans une approche constructiviste de la connaissance. Il permettra d’aborderle développement de l’intelligence selon J. Piaget, notamment la construction des opérations mentales. De manièreconcomitante, seront étudiés les processus cognitifs en jeu.Repères bibliographiques :Piaget, J. (1967) Psychologie de l’intelligence, A. Colin.Damasio, A. (1995). L’erreur de Descartes. Paris, Odile JacobDamasio, A. (2003). Spinoza avait raison. Paris, Odile Jacob

LICENCE 3

E54SE5 Philosophie de l’éducation – 3 cPhilosophie de l’écolé républicaine R. Monjo : À partir d’une mise en perspective historique permettant d’identifierla tradition républicaine en matière scolaire du point de vue de ses principes mais aussi de ses ambiguïtés, le courstraitera de certaines « questions vives » relatives au système éducatif français dans sa forme actuelle (la questiondes inégalités sociales à l’école et de la « démocratisation », la question de l’échec scolaire, la question du « collègeunique », …). Ces différentes questions seront abordées comme autant de « conflits d’interprétation » renvoyant, àchaque fois, à la question du sens attribué au contenu de l’idéologie républicaine.La naissance de la philosophie de l’éducation à l’époque moderne : Rousseau, Kant, Fichte (Luc Vincenti)L’époque moderne, qui point au XVIIe et s’affirme au XVIIIe siècle, peut être celle du triomphe de la sociétémarchande, ou du droit naturel fondant la régulation sociale sur l’individu, elle est aussi celle qui définit la naturehumaine par la liberté. Il n’est plus question d'une nature humaine donnée, la nature humaine est à faire, à former,elle se fait et se forme : l’époque moderne est celle où se rencontrent philosophie et éducation. Les auteurs étudiés,Rousseau, Kant et Fichte, définissent tous trois la nature humaine par la liberté, et construisent en conséquence desphilosophies de l’éducation. Ce cours s’attachera à les présenter, les articuler, et montrer les conséquences de leurspensées tant pour la pratique pédagogique que pour la morale et la politique. Travaux sur textes.Examen : écrit de 3h

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SCIENCES DU LANGAGE // LINGUISTICS

Linguistique générale, Linguistique Française (analyse contextuelle, analyse du discours,morphosyntaxe), Phonétique, Méthodologie, Sociolinguistique, Historique, Sémantique,Pragmatique, Typographie, etc.

LICENCE 1

E11 SL5 Théorie linguistique et Communication (39h CM) – 3 cCe cours est composé de deux enseignements distincts :1- Un enseignement centré sur les théories linguistiques : ce cours se conçoit comme un panorama introductif ethistorique aux sciences du langage (domaines et courants) permettant de fournir les bases de cette discipline.2- Un enseignement centré sur la communication : introduction aux théories fondatrices de la NouvelleCommunication issues de l’Ecole de Palo Alto et réflexion sur la place du langage dans la communication.Objectifs1- Le cours portant sur les théories linguistiques constituera soit le premier degré d’un itinéraire à plus long terme,soit la formation minimale qu’on est en droit d’attendre en ce domaine pour tout étudiant de niveau universitaire. Cetenseignement sera élargi au semestre 2 par des applications concrètes dans les différents domaines qui composentles sciences du langage.2- Le cours centré sur la communication a pour objectif de dépasser les préconçus concernant la communicationafin d’initier à une approche scientifique rigoureuse en présentant les grands domaines de recherche qui ont permisde décrypter le phénomène de la communication humaine.Bibliographie1- Théories linguistiques :Bronckart J-P, Théories du langage, Mardaga, 1992Neveu F., Dictionnaire des sciences du langage, Coli, 2004.Siouffi G., Van Raemdonck D., 100 fiches pour comprendre la linguistique, Bréal, 1999.Soutet O., 1996, Linguistique, Paris, PUF.Yaguello, M, Alice au pays du langage, Seuil, 1988.2- Communication :R.Escarpit, L’Information et la Communication, Hachette Supérieur,1991.E.T.Hall, Le Langage silencieux, Points-Seuil, 1959- 1984 (trad. française).E.Goffman, Les moments et leurs hommes, Seuil/Minuit, 1988.D.H.Hymes, Vers la compétence de communication, Hatier, 1984.P.Watzlawick, Une logique de la communication, ed. Points-Seuil, 1967.Y.Winkin, La Nouvelle Communication, Points-Seuil, 1981-2000.D.Wolton, Penser la communication, Flammarion, 1997.

E12SL5 Introduction à la semiologie de l’image (39h) – 3 cLe CM apporte des notions de sémiotique visuelle et propose une réflexion sur le fonctionnement des signes visuelsà travers images de presse et de communication culturelle.Le TD analyse les relations que l’image entretient avec le texte écrit dans différents genres de communication (photoet dessin de presse, affiche culturelle). Les étudiants s’entraînent à approfondir, sous forme d’atelier d’écriture, lasignification de ces messages visuels.ObjectifsL’accent est mis sur les activités d’écriture : savoir décrire une image, analyser son fonctionnement sémiotique, sesrelations avec le texte écrit, savoir évaluer la stratégie de communication dans laquelle elle s’inscrit, savoir expliciterun point de vue et nuancer une opinion

E12SLL5 Origine et Diversité des langues 1,5cLe cours abordera la question du langage selon l’angle de la diversité des langues. Une première partie seraconsacrée aux théories les plus récentes sur les origines et les premières segmentations des langues.Une deuxième partie présentera la description actuelle des familles de langues et leur répartition géographique. Unetroisième partie initiera à la typologie linguistique (étude des langues selon leurs caractéristiques fondamentales).ObjectifsPrésenter une introduction historique, géographique et culturelle à la diversité linguistique.- HOMBERT, J.-M., Aux origines du langage et des langues, Paris, Fayard, 2005.- COMRIE, B., MATTHEWS, S. & POLINSKY, M. , Atlas des langues. L’origine et le développement des languesdans le monde, Paris : Akropole, 2004.- HAGEGE, C., L’homme de paroles, Paris, Fayard, 1985.

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- COLOMBAT, B., FOURNIER, J.-M., PUECH, C., Histoire des idées sur le langage et les langues, Paris,Klincksieck, 2010.

E13SLL5 Langues du monde 1,5 cDans ce cours on découvrira quelques-unes des langues parlées aujourd’hui dans le monde sur les plans historiqueet structural, en les situant dans leur contexte géopolitique local, ce qui suppose un travail approfondi sur la notionde contact de langues (en termes de géographie humaine et d’aménagement du territoire). Il sera fait usage de labase de données WALS (The World Atlas of Language Structures). L’approche par zone géographique (languesd’Europe, langues du monde à travers quelques études de cas) permettra de comprendre les principauxmécanismes d’interaction entre langues et sociétés.BibliographieAuroux Sylvain, 2007, La question de l’origine des langues, Paris, PUF.Breton Roland, 2003, Atlas des langues du monde, Paris, Autrement.Hagège Claude, 2002, Halte à la mort des langues, Paris, Odile Jacob.Hombert Jean-Marie (dir.), 2005, Aux origines des langues et du langage, Paris, Fayard.

E11SLL5 Langue française (19,5h CM + 19,5h TD) – 1,5c +1,5 cCe cours, qui est obligatoire en Licence Sciences du Langage et offert en option aux étudiants de l’UFR 1, seprésente comme une introduction linguistique à la langue française envisagée dans ses aspects historiques,géolinguistiques, culturels, phonétiques, lexicaux, grammaticaux, graphiques, stylistiques et sociolinguistiques.ObjectifsAcquérir les fondamentaux linguistiques sur le français. Pour les étudiants en Sciences du Langage, ce cours servirade socle aux futurs cours en linguistique française. Pour les étudiants de l’UFR 1, il constitue un enseignement dedécouverte qui peut constituer un apport appréciable dans des études littéraires, philosophiques ou en arts.

LICENCE 2

E31SL5 Linguistique textuelle (19.5h CM + 19.5h TD = 39h) – 3 c– Le cours magistral présente les types de séquence textuelle selon Adam, les genres discursifs et textuels, lasubjectivité dans le langage et les connecteurs du discours.– Les travaux dirigés étudient comment la combinaison des types de séquence (informatif, descriptif, explicatif,narratif et argumentatif) permet de caractériser les principaux genres d’articles journalistiques : brève, fi let,reportage, enquête, commentaireGrâce aux types de texte et aux genres d’articles, on appréhende la structuration interne des quotidiens ou deshebdomadaires d’actualité de la presse francophone, et le traitement différencié des contenus selon les organesd’information.Adam J.-M., 1999, Les Textes : types et prototypes, Nathan.Benveniste E., 1966, « Les relations de temps dans le verbe français », in Problèmes de linguistique générale I,Gallimard.Denis D. & Sancier-Château A., 1994, Grammaire du français, Livre de Poche.Kerbrat-Orecchioni C., 1980, L’Enonciation, Armand Colin.

E32SL5 Phonétique française (19.5h CM + 19.5h TD = 39h) – 3 cCe cours propose une description détaillée du système phonétique du français (système vocalique etconsonantique), ainsi qu’une présentation des différents phénomènes de phonétique combinatoire (influences dessons les uns sur les autres) et de la prosodie du français (accent, intonation, rythme). L’ensemble de cesphénomènes sera illustré par des exemples tirés de corpus oraux (audio et vidéo) et par une utilisation plusapprofondie de la transcription phonétique (Alphabet Phonétique International ou A.P.I.).ObjectifsA l’issue de ce cours, les étudiants devraient être en mesure de 1°) décrire le système phonétique du français enfonction des propriétés articulatoires de ses différents phonèmes, 2°) décrire les principaux phénomènes decoarticulation que l’on peut observer en français, et 3°) décrire les phénomènes prosodiques (accent, rythme etintonation) spécifi ques du français. Ces connaissances seront appliquées à la description d’extraits tirés de corpusoraux en français (audio et vidéo). Ces extraits seront transcrits en Alphabet Phonétique International, ce quipermettra aux étudiants de maîtriser la méthodologie de la transcription.ÉvaluationEvaluation 1 : contrôle continu – 1 écrit de 2hEvaluation 2 : contrôle terminal – 1 écrit de 2hBibliographie / WebographieLEON Pierre, 1992, Phonétisme et prononciations du français, Paris, NathanRENARD Raymond & LANDERCY Albert, 1981, Eléments de phonétique, Didier

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VAISSIERE Jacqueline, 2006, La Phonétique, Paris, Collection Que sais-je ?, Presse Universitaire de France

LICENCE 3

E53SLL5 Phonologie (19.5h CM + 19.5h TD = 39h) – 3 cLa réflexion ainsi que les outils théoriques et méthodologiques proposés s’inscrivent dans le cadre global desquestions et des descriptions qui ont cours en sciences du langage. L’objectif est double : amorcer une réfl exion surle fonctionnement des systèmes phonologiques des langues naturelles et proposer des outils adéquats pourcomprendre et décrire la particularité d’un système.

E54SLL5 Sociolinguistique (19.5h CM + 19.5h TD = 39h) – 3 CCe cours prolonge et complète le cours d’introduction à la sociolinguistique du semestre 3 en direction de troisnouveaux domaines de la sociolinguistique :- Contacts/confl its de langues: le poids des représentations sociolinguistiques. Le cas du désignant «patois»- Créoles, pidgins, interlectes. Le «francitan»- La gestion des langues (institutionnelle, militante).Parole et gestualité :Ce cours d’introduction présente brièvement le champ scientifi que de la communication non verbale et lesdifférentes aproches théoriques, puis se concentre sur les types de gestualité liés à la parole : gestualitéréférentielle, expression des émotions et des attitudes, aspects cognitifs et de régulation.

E51SLL5 Analyse du discours (19.5h CM + 19.5h TD = 39h) – 3 cCM : introduction à la linguistique textuelle : notion de texte, processus de mise en clôture textuelle ; formes dereprise dans le discours (chaînes référentielles et anaphores) ; formes de progression textuelle ; types de textes(narratif, descriptif, argumentatif).TD : méthodes en analyse du discours écrit ; mise en application des notions abordées en CM à propos de textesprovenant non seulement de la littérature et de ses marges, ainsi que de la presse, de la publicité, des discourspolitiques, des forums de discussion électronique, etc.

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SOCIOLOGIE // SOCIOLOGY

Histoire de la Sociologie (18-19ème siècle, Comte, Marx, Durkheim), SociologieContemporaine (la famille, la politique, les médias), Méthodologie, Sociologie Théorique,Sociologie de l’intégration, Sociologie de l’imaginaire, Sociologie de l’éducation,Sociologie des fêtes et des violences urbaines, Statistiques.

LICENCE 1

E11SO5 Introduction à la sociologie (26h) -2c

CONTENU DU COURS DU GROUPE I de Matthijs GARDENIER + Thibault HUGUETCet enseignement se propose de traiter des bases de la sociologie. Il commencera par une explication générale dece qu’est la sociologie. Ensuite, seront traités les précurseurs (Comte et Marx), les pères fondateurs (Durkheim etWeber). Il se continuera par une présentation de l’école de Chicago, avant de se conclure par un focus sur lasociologie compréhensive et Georg Simmel.BIBLIOGRAPHIEAron R., (1967) Les étapes de la pensée sociologique, Gallimard, Paris, 1996.Nisbet R.A., (1966), La tradition sociologique, PUF, Paris, 1984.

CONTENU DU COURS ET BIBLIOGRAPHIE DU GROUPE II de Thierry BLIN :Le cours se décomposera en deux parties proposera une initiation à la sociologie autour des travaux réalisés partrois pères fondateurs:- Karl Marx et Friedrich Engels (ainsi que les auteurs qui les ont influencé)- Alexis de Tocqueville- Max Weber- et Emile DurkheimBIBLIOGRAPHIEARON, Raymond, Les Etapes de la pensée sociologique, Paris, Gallimard, 1967.DURAND, Jean-Pierre, WEIL, Robert, Sociologie contemporaine, Paris, Vigot, 1989.LALLEMENT, Michel, Histoire des idées sociologiques, tome 1, Paris, Nathan, 1993.

CONTENU DU COURS DU GROUPE III de Marianne CELKA et M. GARDENIERCet enseignement vise à mettre en évidence le pertinence des modèles d’analyse proposés par les précurseurs etfondateurs de la sociologie dans le questionnement sociologique : 1) explication et compréhension en sociologie ; 2)Wilhelm Dilthey et les « ensembles interactifs significatifs » ; 3) Max Weber et « l’activité sociale » ; 4) Georg Simmelet « les formes de la sociation » ; 5) Alfred Schütz et « le quotidien » ; 6) Peter L. Berger & Thomas Luckmann et le «constructivisme social ».BIBLIOGRAPHIEAron R. (1967),Les étapes de la pensée sociologique, Gallimard, Paris, 2003.P. Berger P. & Luckmann T. (1966),La construction sociale de la réalité, Armand Colin, Paris, 2005.Simmel G., (1900),Philosophie de l’argent, PUF, Paris, 1987.Simmel G., (1908),Sociologie. Étude sur les formes de la socialisation, PUF, Paris, 2010.Watier P.Introduction à la sociologie compréhensive, Circé, Belfort, 2002.Weber M., (1919)Le savant et le politique, Union Générale d’Éditions, Paris, 1963.Weber M., (1922)Économie et société, t.1, Les catégories de la sociologie, Plon, Paris, 2006.

CONTENU DU COURS DU GROUPE IV de Marianne CELKACet enseignement vise à mettre en évidence la pertinence des modèles d’interprétation de la réalité sociale –explication et compréhension – proposés par les auteurs majeurs de la sociologie.Il s’agira d’étudier les apports théoriques et méthodologiques des précurseurs et fondateurs de la discipline (AugusteComte, Karl Marx, Émile Durkheim, Max Weber, Georg Simmel) ainsi que leurs qualités euristiques contemporaines.BIBLIOGRAPHIEAron R. (1967), Les étapes de la pensée sociologique, Gallimard, Paris, 1996.Durkheim E. (1895), Les règles de la méthode sociologique, PUF., Coll. « Quadrige », Paris, 1983.Durkheim E., Les formes élémentaires de la vie religieuse, PUF, Paris, 1912.Simmel G. (1908), Sociologie. Études sur les formes de la socialisation, PUF, Paris, 1999.Weber M., (1922), Économie et société, Tome 1 : Les catégories de la sociologie, Plon, Paris, 1956.Weber M., Le savant et le politique, Paris, 10|18, 2002.

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CONTENU DU COURS ET BIBLIOGRAPHIE DU GROUPE V de Fabio LAROCADe plus en plus la sociologie centre son attention sur le vécu, sur les formes d’interaction et de relation dansl’expérience quotidienne. Ce cours met l’accent sur la perspective de la sociologie sensible d’un point de vuephénoménologique afin de comprendre les diverses manifestations sociales.BIBLIOGRAPHIEM. de Certeau, L’invention du quotidien. Art de faire (1974), Paris, Gallimard, 1990.Y. Grafmeyer, I. Joseph, (dir.), L’école de Chicago. Naissance de l’écologie urbaine, Paris, Aubier, 1984.M. Halbwachs, La mémoire collective (1950), Paris, PUF, 1969.P. Sansot, Les formes sensibles de la vie sociale, Paris, PUF, 1986.G. Simmel, Sociologie. Étude sur les formes de socialisation, Paris, PUF, 1999.

E12SO5 Sociologie et liens sociaux (39h) – 3 cL’être-ensemble entre la splendeur et la crise de la modernité : métropole, masse, industrialisation, production,progrès, technique, désenchantement, sécularisation, socialisation, socialité, spectacle, consommation, distraction,flânerie, réenchantement, recréation-récréation, devenir oeuvre du public.BIBLIOGRAPHIEBardainne C., Susca V., Récréations. Galaxies de l’imaginaire postmoderne, CNRS éditions, Paris, 2009.Benjamin W., Paris, capitale du XIXème siècle (1929), Allia, Paris, 2003.Maffesoli M., Le temps des tribus. Le déclin de l’individualisme dans les sociétéspostmodernes (1988), La Table Ronde, Paris, 2000.Rafele A., La Métropole. Benjamin et Simmel, CNRS éditions, Paris, 2010.Simmel G., Les grandes villes et la vie de l’esprit (1903), Payot, Paris, 2013.

E18CGSO5 Culture et société (19,5h) – 1,5 cCONTENU DU COURS :Enseignement de culture générale visant à initier au regard sociologique. Ce cours magistral est l’occasiond’évoquer les dates et l’histoire, les auteurs anciens et contemporains, leurs œuvres modernes et classiques, lesconcepts et les lois majeures de la sociologie. Mais les éléments de sociologie mis au programme sont surtout unprétexte pour sensibiliser à la singularité du regard c’est-à-dire au questionnement, au réflexe, au point de vue, à latournure d’esprit... adoptés par le sociologue. Trois questions servent à explorer ce que voit le sociologue.D’abord, que voit en priorité le sociologue lorsqu’il regarde la réalité de ce monde ? Ensuite, à quoi correspondentles regards microscopique, mésoscopique et macroscopique des faits de sociétés ? Enfin, à quoi sert le regardsociologique ? BIBLIOGRAPHIE :Boudon R., 2009, La Logique du social : introduction àl’analyse sociologique, Paris, Hachette, (1ère édition 1979), 309 p. ;Bourdieu P., 2002, Questions de sociologie, Paris, Eds de Minuit, (1ère édition 1980), 277 p. ;Dubet F., 2011, A quoi sert vraiment un sociologue ?, Paris, Colin, 191 p. ;Finger S. et Moatti M., 2010, L’Effet-médias : pour une sociologie critique de l’information, Paris, L’Harmattan, 250 p.

E14SO5 Sociologie de la communication et des médias (39h) – 3 cCONTENU DU COURS :Dans toute époque, les plateformes de la communication constituent la dimension où a lieu la circulation dessymboles, des affects et des humeurs qui préside à l’être-ensemble. Tant dans la banalité structurante du quotidienque dans l’effervescence festive, dans les excès ou dans les phases plus tumultueuses de mutation culturelle, lesmédias présentent et reflètent la culture en gestation, façonnent et expriment l’imaginaire, en en accompagnant lacristallisation dans les trames du vécu collectif. En ce sens, le medium, avant d’être un instrument de passaged’information, est avant tout paysage et langage, c’est un territoire dont le véritable contenu est la vie qui se déploiedans son creux.Les cours visent à fournir les bases épistémologiques pour comprendre les médias contemporains à la lumière durapport étroit entre technique et culture, avec une attention particulière à la dynamique historique et sociale de lamétropole aux réseaux numériques.BIBLIOGRAPHIE :Greenfield Every[ware]. La révolution de l’ubimedia (2006), FYP, Limoges, 2007.M. McLuhan (1964), Pour comprendre les médias, Seuil, Paris, 2004.V. Susca (2010), Joie Tragique. Les formes élémentaires de la vie électronique, CNRS éditions, Paris, 2011.R. Williams, Culture et matérialisme (1958), Les Prairies Ordinaires, Paris, 2009.

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LICENCE 2

E31SO5 Histoire de la Sociologie (39h) – 3 cL’objectif de cet enseignement consiste à mettre en évidence quelques données fondamentales sur l’assiseépistémologique du questionnement sociologique dans l’histoire de sa formation :-sciences nomothétiques et idiographiques ;-paradigmes explicatifs et compréhensifs ;-Max Weber et la théorie de la science ;-Georg Simmel et la sociologie des formes ;-Alfred Schutz et la phénoménologie sociale ;-Peter Berger & Thomas Luckmann et le constructivisme social.La présentation de ces grandes orientations théoriques insistera particulièrement sur les stratégies de connaissancedu monde vécu, en considérant les faits sociaux comme des systèmes d’action, de relations, d’expériences danslesquels s’expriment des processus d’altérité symbolique qui permettent aux acteurs sociaux de construire au jour lejour diverses formes de vivre ensemble.ANSART P., Les Sociologies contemporaines ; BERGER P., La Construction sociale de la réalité ; MAFFESOLI M.,La Connaissance ordinaire. Examen : evaluation terminale en fin de semestre (dissertation sur un sujet de cours).

E34SO5 Méthodologie (39h) – 3 cCe cours magistral de « méthodologie » a pour objectif de donner aux étudiants une culture méthodologique de baseafin qu’ils puissent, par la suite, restituer le travail spécifique effectué dans les TD suivants : « Sociologie appliquée »et « Pratique de l’investigation sociologique ».Programme :- Vocabulaire de base (technique, méthode, méthodologie, épistémologie ; quantitatif, qualitatif, transversal,longitudinal ; études de trace, observation, enquête, expérimentation...)- Les étapes de la recherche sociologique (objectifs et démarches, construction de l’objet et problématique)- Les méthodologies de l’observation sociale (créer un dispositif d’observation sociale, définir des méthodesappropriées)- Constater et analyser (les différents types d’interprétation, le rapport à la connaissance)- Techniques de recueil et d’analyse des données (le questionnaire et la statistique, l’entretien et l’analyse decontenu)- Questions de méthodes (cause et corrélation ; effet âge-période-génération...)BERTHELOT JM., Sociologie ; BERTHIER N., Les Techniques d’enquêtes ; QUIVY R., Manuel de recherche ensciences sociales. Examen : 2crit de 2h.

E32SO5 Sociologie appliquée (39h) – 3 cCompétences acquises par l'étudiant titulaire de l'UE : L'enseignement reçu doit permettre aux étudiants deconcevoir un protocole de recherche fondé sur des objectifs précis. Il leur est demandé de maîtriser les diversestechniques d'investigation qui leur ont été présentées. Ils doivent notamment se montrer capables d'utiliser avecdiscernements les instrumentations numériques pour la recherche documentaire, le traitement et l’analyse desdonnées.Ce cours propose l’enseignement de la méthodologie du travail universitaire et de la recherche en sociologie. Serontdéveloppés les étapes de la recherche en sciences sociales, les théories et méthodes compréhensives etexplicatives pour l’appréhension des faits et phénomènes sociaux, ainsi que de la part des étudiants un travaild’investigation sociologique en groupe.Les modalités de contrôle : travail en groupe (oral et compte-rendu : 50%) et travail sur table en fin de semestre(50%).Bibliographie:Ansart P.,Les sociologies contemporaines, Seuil, Paris, 1990.Berger P., et Luckmann T.,La construction sociale de la réalité, Armand Colin, Paris, 1966.Bachelard G.,La formation de l'esprit scientifique, Vrin, Paris, 1938.Caillois R., Instincts et société, Denoël, Paris, 1981.Coulon A.,L’École de Chicago, PUF, Paris, 1992.Durkheim E.,Les formes élémentaires de la vie religieuse, PUF, Paris, 1912.Maffesoli M.,La connaissance ordinaire. Précis de sociologie compréhensive, Les Méridiens, Paris, 1985.Monneyron F., Legros P., Renard J-B., Tacussel P.,Sociologie de l’imaginaire, Armand Colin, Paris, 2006.Morin E.,L’esprit du temps, Grasset, Paris, 1962.Quivy R. et Van Campenhoudt L.,Manuel de recherche en sciences sociales, Dunod, Paris, 2006.Simmel G.,Sociologie. Études sur les formes de la socialisation, PUF, Paris, 1908.Weber M.,Économie et société / Tome 1.Les catégories de la sociologie, Plon, Paris, 1956.

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E33SO5 Actions et pratiques sociales (39h) – 3 cCette année le cours sera orienté autour de la sociologie du risque et des vulnérabilités sanitaires et socialesassociées. La vulnérabilité est devenue une caractéristique contemporaine paradoxale du fait d’êtreontologiquement « exposé à » et caractéristique de notre époque entre une société réfléchissant à des questionsexistentielles propres aux XVIIIe et XVIIIe et les questions sociales du XIXe et XXe siècle.BIBLIOGRAPHIE GÉNÉRALE :Brodiez-Dolino A., Von Bueltzingsloewen I., Eyraud B., Laval Ch., Ravon B., Vulnérabilités sanitaires et sociales,Presses Universitaires de Rennes, Rennes, 2014.Beck U., La Société du risque, Aubier, Paris, 2001.Castel R., Les métamorphoses de la question sociale, Gallimard, Paris, 1999.Paugam S., Vivre ensemble dans un monde incertain, Éditions de l'Aube, Paris, 2015.Peretti-Watel, P., La Société du risque, La Découverte, Paris, 2010.

LICENCE 3

E52SO5 Imaginaire et effervescence sociale 9cSociologie de l’imaginaire

Les imaginaires sociaux : définition, construction, fonctionnement. Dans nos sociétés où la représentationcommande largement l’action et où se bousculent l’imaginaire « fabriqué par les industries du spectacle et lesmédias, les représentations propres aux divers groupes et le « petit cinéma » personnel de chacun, c’est un terrainde recherches aussi foisonnantes qu nécessaires. DUVIGNAUD, DURAND, ELIADE, BATAILLE, CAILLOIS.Examen : écrit en fin de semestre (disseration sur un sujet de cours et sur la bibliographie).

Sociologie de la violence et de la fêteA partir d’un premier abordage théorique sur les notions majeures d’Effervescence, de Fête, de Conflit et deViolence, il s’agira de mettre en exergue l’importance anthropo-sociologique du “ pôle improductif ” de la vie sociale.A l’appui de nombreuses études de cas, nous insisterons notamment sur la prise en compte éthique de cettedimension existentielle dans les diverses définitions et mises en pratique des politiques sociales, économiques etculturelles contemporaines. Si d’un point de vue moral les notions de Fête et de Violence se partagentrespectivement les champs du Ludique et du Tragique, certaines lignes de pensée sociologiques montrentcependant qu’elles investissent un même paradigme anthropologique, une même « part maudite » où s’affrontentnature et culture pour parfois composer ensemble des jeux de ritualisation et de sacralisation grâce auxquels la viesociale se met en scène.BIBLIOGRAPHIE :BATAILLE Georges, Théorie de la Religion, Paris, Ed. Gallimard, Coll. “ Idées ”, 1974.BAUDRY Patrick, Une sociologie du tragique: violence au quotidien, Paris, Éd. Du Cerf, 1986.CAILLOIS Roger, L’homme et le sacré, Paris, Gallimard, Coll. “ Folio/Essais ”, 1988.CHESNAIS Jean-Claude, Histoire de la violence en Occident de 1800 à nos jours, Paris, Robert Laffont, 1981.COX Harvey, La Fête des fous. Essai théologique sur les notions de fête et de fantaisie, Paris Ed. du Seuil, 1971.DURKHEIM Emile, Les formes élémentaires de la vie religieuse, Paris, Librairie Générale Française, Coll. “ Le Livrede Poche ”, 1991 (1912).DUVIGNAUD Jean, Fêtes et civilisations, Paris, Scarabée & Cie, 1984 (Librairie Weber, 1973).FABRE Daniel, Carnaval ou la Fête à l’envers, Paris, Ed. Gallimard, Coll. “ Découvertes ”, 1992.GIRARD René, La violence et le Sacré, Paris, Grasset, Coll. “ Pluriel ”, 1972.LAPASSADE Georges, Les états modifiés de conscience, Paris, P.U.F., 1987.MAFFESOLI Michel, La violence totalitaire, Paris, P.U.F., Coll. “ Sociologie d’aujourd’hui ”, 1979.MOSCOVICI Serge, La machine à faire des dieux, Paris, Fayard, Coll. “ L’espace du politique ”, 1988.SIMMEL Georg, Le conflit, Paris, Circé/Poche, 1995.WUNEMBURGER Jean-Jacques, La fête, le jeu et le sacré, Paris, J.-P. Delarge, Coll. “ Encyclopédie universitaire ”,1977.

Sociologie de la vie electroniqueBlack Mirror : les formes élémentaires de la vie électroniqueLes nouveaux médias, l’imaginaire et l’être au monde contemporain : émojis, avatars, web 2.0, Internet des objets,pornoculture électronique, dépendances, hédonisme, émotion publique, communicratie, identité électroniqueBIBLIOGRAPHIE :Bardainne C., Susca V., Récréations. Galaxies de l’imaginaire postmoderne, CNRS éditions, Paris 2009.Les Cahiers européens de l’imaginaire, N° 3, Technomagie, CNRS éditions, Paris, 2011.McLuhan M., Comprendre les médias (1964), Seuil, Paris 2004.Susca V., Joie Tragique. Les formes élémentaires de la vie électronique, CNRS éditions, Paris, 2011.

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CONTRÔLE DES CONNAISSANCES :Exposé et mémoire à demi chemin ; thème à la fin de l’année.

E51SO5 Institution et socialisation 9cSociologie des mutations culturelles

Le cours se divise en deux parties.1/ La première concerne les mutations culturelles liées à la question de l’individualisme : Il y est question de lanaissance de l’individu (à partir de la philosophie des Lumières), et, des évolutions contemporaines del’individualisme : l’individu démocratique (G. Lipovetsky, A. Ehrenberg, P. Yonnet), d’une lecture « positive » del’individualisme (F. de Singly, P. Corcuff, J. Ion), de la relation entre individu et propriété (R. Castel).2/ L’autre partie concernera le pouvoir politique. Il faudra alors traiter différents sujets : qu’est ce que l’Etat ? LaNation et l’Etat... Ceci conduira ensuite à aborder le thème de l’Etat à travers ses formes autoritaires et totalitaires(H. Arendt). Et, enfin, il faudra s’interroger sur quelques débats majeurs propres aux systèmes de démocratiepluraliste, avec les approches multiculturalistes (C. Taylor, M. Walzer) et leurs critiques, et la perspectivelibertarienne (R. Nozick).BIBLIOGRAPHIE :Première partie du cours :Blin (Thierry) – 2010, L’invention des sans-papiers. Essai sur la démocratie à l’épreuve du faible, Paris, PUF.Castel (Robert), Haroche (Claudine) – 2005, Propriété privée, propriété sociale, propriété de soi. Entretiens sur laconstruction de l’individu moderne, Paris, Hachette.Corcuff (Philippe) – 2002, La société de verre. Pour une éthique de la fragilité, Paris, Armand Colin.Ehrenberg (Alain) – 1999, L’Individu incertain, Paris, Hachette.Lipovetsky (Gilles) – 1989, L’Ere du vide. Essai sur l’individualisme contemporain, Paris, Gallimard.– 1992, LeCrépuscule du devoir. L’éthique indolore des nouveaux temps démocratiques, Paris, Gallimard.Deuxième partie du coursARENDT, Hannah, Le système totalitaire, Paris, Seuil, 1972.BRAUD, Philippe, « Du pouvoir en général au pouvoir politique », in M. Grawitz, J. Leca (éd.), Traité de sciencepolitique, PUF, 1985, vol. I, pp. 335-393.CHATELET, DUHAMEL, PISIER-KOUCHNER, Histoire des idées politiques, Paris, PUF, 1982. ORY (Pascal) (dir.) –Nouvelle histoire des idées politiques, Paris, Hachette,1987.SCHNAPPER, Dominique, La Communauté des citoyens, Paris, Gallimard, 1994.TAYLOR, Charles, Multiculturalisme. Différence et démocratie, Paris, Flammarion,1994.WALZER, Michael, Pluralisme et démocratie, Paris, Esprit, 1997.

Sociologie du politiqueÀ partir de 6 thématiques générales seront abordées les questions fondamentales de la sociologie politiquecontemporaine :1- D’une « essence » du politique au « fait » politique2- Le politique et la politique.3- La démocratie et les autres systèmes4- Les partis politiques5- Les métamorphoses du discours politique6- Images et représentations en politique

Sociologie de l’éducationIntroduction à la sociologie de l’éducation. Acquisition de connaissances sur l’institution scolairefrançaise. 1/Durkheim. 2/Les sciences sociales et l’institution scolaire. 3/Les théories et auteurs de la sociologie del’école. 4/ Questions d’actualité : violence, mixité, réformes, etc. BOURDIEU P., La Misère du monde ; DURKHEIME., Education et sociologie ; Examen : épreuve écrite de 2h en fin de semestre (dissertation sur un sujet de cours).

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SPORTS // SPORTS

You can choose to be a part of a class where you learn the theory and practice of a sport as a course andearn a grade (see the Options list below), or you can participate in a group or club and play that sport forno grade (see Pratique Libres list below).

Licence 1 : E18EP3Licence 2 : E38EP3Licence 3 : E58EP3

OPTIONS :BadmintonBasketBeach VolleyCondition physiqueDanse ContemporaineEscaladeEtirement/RelaxationFootFootingFutsalGolfHandballMusculationNatationRelaxationRugbyTennisTennis de tableVTTUltimate FreesbeeVolley

PRATIQUES LIBRES :AïkidoBoxe AnglaiseBoxe FrançaiseJudoKarateTae Kwon DoDanse contemporaineRock acrobatiqueSalsaAbdo fessierEtirement/RelaxationFootingMusculationNatationStepYogaZumbaTennis de tableUltimateVolleyballVTTBadmintonBaseballBasketballBeach VolleyEscaladeFootballFutsalGolfHandballRugbyTennis

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LES LANGUES // LANGUAGES

● These departments include both practical language courses and literature courses.● The listing on this page are the practical language and grammar courses.● If you have never studied the language, please pick the « Grand débutant » class

(not available for Spanish).● Depending on your level choose a first, second or third year class.● All Practical languages classes are 1.5 credits● For literature courses please see the listings further down.

AllemandE19AL5 E39AL5 E59AL5

ArabeE19AR5 E39AR5 E59AR5

ChinoisE19CH5 E39CH5 E59CH5

Espagnol (pas de grand débutants)E19ES5 E39ES5 E59ES5

Grec moderneE19GR5 E39GR5 E59GR5

HebreuE19HE5 E39HE5 E59HE5

ItalienE19IT5 E39IT5 E59IT5

OccitanE19OC5 E39OC5 E59OC5

PortugaisE19PO5 E39PO5 E59PO5

RusseE19RU5 E39RU5 E59RU5

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ALLEMAND // GERMAN

Langue écrite et orale, Phonétique, Civilisation (Histoire et Histoire des idées), Littérature,Traduction (Thème/version), Linguistique.Nombreuses manifestations culturelles, telle la semaine allemande, organisées par la Maison deHeidelberg, centre culturel allemand à Montpellier : http://www.maison-de-heidelberg.org.

LICENCE 1

E11AL5 Culture étrangères et régionales : Allemand – 3cCet enseignement est destiné aux étudiants désireux d’enrichir leur connaissance de la culture des paysgermanophones (histoire, histoire littéraire, histoire de l’art) des XXe etXXIe siècles, l’accent sera mit sur la musiqueet l’art. Les cours se fonderont sur des documents très variés (écrits, iconographies, audio et films) permettant denourrir réflexions et discussions sur les phénomènes évoqués. L’enseignement se fera majoritairement en français,néanmoins des connaissances de base de la langue allemande sont souhaitables. fCompétences à acquérir : savoir lire, interpréter et commenter des documents divers relatifs à la culture des paysgermanophones.Ouvrages nécessaires : un recueil de textes et d’autres documents sera mis à la disposition des étudiants à larentrée.

E12AL5 Version et expression orale -1,5cContenu : le cours a pour objet l’entraînement méthodique à la traduction de textes allemands en français. Lestextes seront fournis par l’enseignante.Ouvrages utiles : Marcel Pérennec : Éléments de traduction comparée français-allemand, Paris, Colin Université,2005, ISBN 2-09190-631-XMonique Wilmet, Thérèse Robin : Fort en version (2e éd.), Paris, Bréal, 2001, 2-84291-862-2Ces ouvrages permettent de s’entraîner seul à la traduction. Les étudiants doivent disposer d’un dictionnaire bilingueaussi complet que possible, par exemple le Harrap’s Universal, Dictionnaire allemand-français, français-allemand.

E11ALL5 Allemand : langue S1 (3c)Cours 1 : grammaire, durée : 1h30Contenu de la formation : l’accent sera mis sur les chapitres suivants :- l’ordre des mots dans les différents types de phrases,- les verbes et les temps verbaux (verbes forts, faibles, faibles irréguliers et mixtes ; présent, prétérit, parfait et futur),- premier abord du système casuel.Objectifs : acquisition des notions fondamentales de la grammaire allemande et remise à niveau ; exercices orauxet écrits afin d’harmoniser les connaissances.Ouvrages nécessaires : les étudiants sont invités à acheter le fascicule « L1/S1 – Notions fondamentales de lagrammaire allemande – théorie et exercices » à l’imprimerie de l’Université Paul-Valéry.

Cours 2 : thème, durée : 1h30,Contenu : initiation à la traduction en langue étrangère : l’étudiant se familiarisera avec les outils méthodologiquesindispensables. Révision et enrichissement du vocabulaire de base.Les textes seront fournis par l'enseignante.Ouvrages nécessaires :Charles Chatelanat, Philippe Forget, Théo Henzi : Vocabulaire de base, allemand-français. Paris, HachetteEducation, 1993, ISBN 2.01.020579.0 (livre de poche)

E12ALL5 Allemand : Civilisation S1 (3c)Cours 1 : Les différents visages de l’Allemagne d’aujourd’hui, durée : 1h30Contenu du cours : le cours propose une introduction à la vie politique, sociale, économique et culturelleallemande. Nous nous intéresserons entre autres au système électoral et aux différents partis, aux organespolitiques majeurs, au système de l’éducation, à la structure géographique et politique de l’Allemagne ainsi qu’àdiverses institutions culturelles importantes.Compétences à acquérir : connaissance du système politique, économique, social et culturel de la Républiquefédérale, analyse de documents écrits, iconographiques, audio-visuels sur les sujets de civilisation traités en cours,

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http://www.maison-de-heidelberg.org

compréhension écrite et orale.Ouvrages nécessaires : Les documents seront fournis par les enseignants au début du cours.Les sites internet www.tatsachen-ueber-deutschland ainsi que www.bpb.de peuvent servir de premières sourcesd'information.Contrôle des connaissances :1re évaluation : exposé pendant le semestre (10 min, 20%) et examen final écrit (1h30, 80%)2e évaluation : examen écrit (analyse de documents, 1h30)

Cours 2 : L’Allemagne de 1945 à nos jours sur les plans historique, politique, économique et social, durée : 1h30, responsable : Mme Hochstoger/Mme ProbstContenu du cours : cette étude se fera à partir de documents variés. Révision rapide (et autonome) des élémentsfondamentaux de l’histoire allemande avec contrôle a mi-semestre. Un fascicule sera disponible en début desemestre.Ouvrage utile : M.R Diot & J.R. Diot, Deutschland – was nun? PUF, Paris 2005- Tatsachen über Deutschland (www.tatsachen-ueber-deutschland.de)- Bundeszentrale für politische Bildung (www.bpb.de)Contrôle des connaissances :1re évaluation : contrôle continu (50%): contrôle écrit à mi-semestre, exercices oraux et écrits (en cours et à lamaison) durant le semestre, assiduité et participation (p.ex. devoir sur table, exposé,…). Examen terminal (50%) :examen écrit : analyse de documents2e évaluation : examen écrit : analyse de documents.

LICENCE 2

E31ALL5 Allemand Langue S3 4cCOURS 1 : grammaire, durée 1h30, enseignanteContenu de la formation : l’accent sera mis sur les chapitres suivants :- Le régime des verbes- Le marquage des deux modes du subjonctif- Le discours rapporté- La subordonnée conditionnelleObjectifs : semestre de progression ; des problèmes plus complexes sur le plan morphologiques et syntaxiquesseront abordés.Ouvrages nécessaires : les étudiants sont invités à acheter le fascicule « L2/S3 – Notions fondamentales de lagrammaire allemande – théories et exercices » à l’imprimerie de l’Université Paul Valéry.Contrôle des connaissances : assiduité, préparation et participation sont prises en considération.1re évaluation : un contrôle écrit de 1h30 en fin de semestre2e évaluation : un contrôle écrit de 1h30

COURS 2 : thème, durée 1h30,Contenu du cours : traduction de textes littéraires et journalistiques.Objectifs : acquisition du vocabulaire de base dans les domaines abordés ; approche linguistique et systématiquede certains problèmes de traduction.Les textes à traduire seront fournis par l’enseignante.Contrôle des connaissances :1re évaluation : contrôle continu (30%): exercices oraux et/ou écrits durant le semestre, assiduité et participation.Examen terminal (70%) : examen écrit : traduction.2e évaluation : examen écrit : traduction.

COURS 3 : expression écrite, durée 1h,Contenu du cours : Pratique de l’expression écrite en langue étrangère.- révision des outils formels, fonctionnels, argumentatifs et stylistiques relatifs à la rédaction de textes en allemand ;- entraînement au commentaire dirigé en allemand.Contrôle des connaissances:1re évaluation: contrôle continu : 2-3 devoirs sur table, durée 45 min pour chacun2e évaluation + DA : 1 écrit, durée : 1h30

E32AL5 Version et expression orale 3cCOURS 1 : version, durée : 1h30

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Contenu : Entraînement à la traductions de textes divers de l’allemand vers le françaisContrôle des connaissances :1re évaluation : 2 traductions de 1h302e évaluation + DA : 1 traduction de 1h30

COURS 2 : expression orale, durée 1h30Contenu du cours : Entraînement à l’expression orale à partir de documents d’actualité. Un fascicule sera remis endébut de semestre.Contrôle des connaissances:1re évaluation: 1 contrôle oral de 20 minutes2e évaluation + DA: 1 contrôle oral de 20 minutes

E32ALL5 Allemand Civilisation S3 3cCOURS 1 : « Actualité politique, sociale et culturelle de l’Autriche à travers les médias autrichiens », durée :1h30, enseignante : Mme M. Wadl / Mme SchulteisContenu du cours : il s’agit de se faire une idée d’ensemble du paysage médiatique autrichien, puis d’analyser lacivilisation autrichienne à travers les différents médias (analyse de différentes sortes d’articles,…)Les documents seront fournis par l’enseignante et un fascicule sera disponible en début de semestre.Contrôle des connaissances :1re évaluation : contrôle continu (50%): exercices oraux et écrits (en cours et à la maison) durant le semestre,assiduité et participation (p.ex. devoir sur table, exposé,…)Examen terminal (50%) : examen écrit : analyse de documents2e évaluation : examen écrit : analyse de documents.

COURS 2 : « La Première Guerre mondiale et la République de Weimar », durée : 1h30, enseignant : Mme HJeanblanc / Mme SchulteisContenu du cours :Bibliographie :Contrôle des connaissances :1re évaluation : contrôle continu oral2e évaluation : épreuve orale

LICENCE 3

E51ALL5 Allemand : Langue S5 4cCOURS 1 : expression orale, durée 1h30, enseignant : Mme S. CHAPUISContenu du cours : Ce cours propose un entraînement à l’expression orale à partir d’exercices de théâtre (lecturede courtes pièces, mise en scène, maîtrise du corps dans l’espace) et de documents d’actualités : article dejournaux, caricatures, photographies, publicités. Il est conseillé de prendre l’habitude d’écouter une chaîne de radioallemande (exemple « Deutsche Welle » : www.dw.de) et de lire régulièrement des journaux en allemand avant ledébut du cours (exemples: Der Spiegel : www.spiegel.de, Frankfurter Allgemeine Zeitung: www.faz.de, FrankfurterRundschau: www.fr-online.de, Die Welt : www.welt.de ).Contrôle des connaissances :1re évaluation : contrôle continu oral2e évaluation : épreuve orale

COURS 2 : thème, durée 1h30, enseignant : M. P. BOURSTINContenu du cours : Renforcement des savoir-faire en traduction de textes variés du français vers l’allemandContrôle des connaissances1re évaluation : 2 traductions de 1h302e évaluation + DA : 1 traduction de 1h30

COURS 3 : expression écrite, durée 1h, enseignante : M P. BOURSTINContenu du cours : Entraînement à l’expression écrite à partir de documents variés. Un fascicule sera distribué à larentrée.Contrôle des connaissances :1re évaluation : 2 contrôles écrits de 1h2e évaluation + DA : 1 contrôle écrit de 1h

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http://www.welt.de

E52AL5 Version et grammaireCOURS 1 : version, durée : 1h30, enseignante : M. BOURSTINContenu du cours : Entraînement à la traduction de textes divers de l’allemand vers le français.1re évaluation : 2 traductions de 1h302e évaluation + DA : 1 traduction de 1h30

COURS 2 : grammaire / linguistique, durée 1h30, enseignante : M. BOURSTINContenu de la formation : initiation à la grammaire de groupes.- Présentation succincte des huit groupes syntaxiques et de leurs- caractéristiques principales- repérage de ces groupes dans les textesObjectifs : introduction des notions fondamentales de la grammaire de groupes (groupe, base de groupe,catégories, membres) ; analyses de quelques séquences types.Ouvrages nécessaires : les étudiants sont invités à acheter le fascicule « L3/S5 & S6 – Notions fondamentales dela grammaire allemande – théories et exercices » à l’imprimerie de l’Université Paul Valéry.Contrôle des connaissances : assiduité, préparation et participation sont prises en considération1re évaluation : contrôle écrit (analyse de séquences) de 1h30 en fin de semestre2e évaluation : contrôle écrit (analyse de séquences) de 1h30

E52ALL5 CivilisationCOURS 1 : «1807-1871 : L’Allemagne au IXXe siècle », durée 1h30, enseignant : H JEANBLANC.Contenu du cours : présentation du développement politique, économique et social de l’Allemagne depuis la fin descampagnes napoléoniennes jusqu’à l’Empire wilhelminien.Objectifs : acquisition des connaissances à l’analyse de documents écrits1re évaluation : contrôle continu oral2e évaluation : épreuve orale

COURS 2 : « L’histoire de l’Autriche de 1815 à 1918 », durée : 1h30, enseignante : Mme M. WADLContenu du coursLe cours évoquera l’évolution politique, sociale et culturelle de l’Autriche du début du XIXème siècle à la 1ère Guerremondiale.Ouvrages utiles :- Vocelka, Karl, Geschichte Österreichs: Kultur - Gesellschaft – Politik, Verlag Styria, 2000.- Bérenger, Jean, L’Autriche-Hongrie, 1815-1914, Armand Colin, 2000.Contrôle des connaissances :1re évaluation : contrôle continu (50%): exercices oraux et écrits (en cours et à la maison) durant le semestre,assiduité et participation (p.ex. devoir sur table, exposé…). Examen terminal (50%) : examen écrit et/ ou devoir àrendre pour la fin de semestre : analyse de documents fournis par l’enseignant pendant le semestre et exercice oral.2e évaluation : examen écrit : analyse de documents.

E53AL5 Linguistique et histoire des idéesCOURS 1 : histoire des idées, durée : 1h30, enseignante : Mme K. WIMMERContenu : Introduction au cinéma allemand : nous étudierons plusieurs films de périodes différents du cinémaallemand (nous commencerons avec le film expressionniste et nous finirons avec une oeuvre contemporaine). Lesétudiants seront amenés à acquérir des outils d’analyse du récit filmique. Les documents vous seront fournis à larentrée.Contrôle des connaissances :1re évaluation : contrôle écrit, analyse de séquences filmiques, durée : 1h302e évaluation : contrôle oral, commentaire de 20 min.

COURS 2 : Introduction à la pragmalinguistique, durée 1h30, enseignant : M. M. LEFÈVREContenu : le cours traitera les phénomènes de passage de la proposition à l’énoncé. La présentation de lalinguistique de l’énonciation et de la théories des actes de langage illustreront l’actualisation de la langue en paroleset discours.- L’appareil formel de l’énonciation.- Phénomènes de linéarisation.- Les types discursifs.- Phénomènes prosodiques- Aspects logiques et rhétoriques.Bibliographie sommaire :Emile Benveniste, problèmes de linguistique générale. Gallimard, Paris 1974.

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Peter Ernst, Pragmalinguistik, de Gruyter, Berlin et al., 2002.Jean-Marie Zemb, Structure logique de la proposition allemande, OCDL, Paris, 1968.Contrôle des connaissances :1re évaluation : examen final oral ; préparation : 10 min, passage : 10 min.2e évaluation : examen oral ; préparation : 10 min, passage : 10 min.

E53AL5 Litterature S5Littérature contemporaine, durée de l’enseignement : 1h30, enseignante : Mme A. BUNZELContenu : le cours portera sur un roman de Karsten Dümmel (publié en 2007) qu’il s’agira de replacer dans soncontexte socio-politique et culturel, en l’occurrence celui de l’Allemagne de l’Est à la fin des années 1970 avecl’implication de la Stasi. Une approche narratologique nous permettra d’approfondir les outils de l’analyse littérairepropres au genre romanesque. Il s’agira de découvrir la stratégie argumentative préétablie dans le texte.Compétences à acquérir : analyse d’un texte romanesque (genre long et complexe), rédaction de commentaires detexte, présentation à l’oral d’explications de texte, maîtrise du contexte socio-politique représenté dans l’oeuvre.Ouvrage nécessaire : Karsten Dümmel, Nachtstaub und Klopfzeichen oder Die Akte Robert, Transit Verlag, Berlin,2007, ISBN 978-3-88747-224-5.Contrôle des connaissances :1re évaluation : exposé pendant le semestre (20 min, 20%) et examen final écrit (commentaire, 1h30, 80%)2e évaluation : examen écrit (commentaire, 1h30)

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ANGLAIS // ENGLISH

Linguistique, Civilisation, Littérature, Traduction (Thème/Version).

LICENCE 3 (UNIQUEMENT)

E51AN5 English syntax et Analyse Linguistique -3cSyntaxe : six séances sont consacrées à l’étude des points suivants : constituantes, fonctions, catégories,sous-catégories, adverbes, ellipses, auxiliaires. L’enseignement se fait en anglais.Analyse linguistique : six séances sont consacrées à l'analyse de différents marqueurs dans des extraits d'oeuvreslittéraires contemporaines. Pour chaque marqueur retenu par l'enseignant (par exemple, DO, BE, HAVE, -ING, desmarqueurs de négation ou encore certains déterminants), l'analyse permettra de faire apparaître que, malgré descontextes d'emploi très différents les uns des autres, il existe soit une valeur fondamentale commune dite "valeurinvariante", soit un "continuum de valeurs". Cette approche permet de partir des formes du texte pour aller vers lesens du texte. L'enseignement se fait en français.

BIBLIOGRAPHIEBouscaren, Janine & Chuquet, J. Grammaire et textes anglais. Guide pour l'analyse linguistique. Paris : Ophrys :1987 (rééd. 2002).Burton-Roberts, Noel. Analysing Sentences. London : Longman 1997 (2ème édition).Huart, Ruth. Grammaire orale de l'anglais. Paris : Ophrys (2002).Khalifa, J.C., Syntaxe de l’anglais. Théorie et pratique de l’énoncé complexe. Paris : Ophrys,2004.

MODALITÉS DE CONTRÔLEPremière évaluation, contrôle continuTD : travaux d'entraînement durant le semestre : (coeff.1)travail écrit en fin de semestre : durée de l’épreuve : 2 heures (coeff.2)TP : préparation des textes enregistrés en laboratoire : durée de l’épreuve 1h30 (coeff.1)

TP textes à préparer, puis à enregistrer au laboratoire de langues.

E54AN5 Traduction pour Erasmus – 3cThis course is designed specifically for Erasmus students from British universities, along with American students onrecognised exchange programmes. It presupposes native command of English along with a strong command ofFrench. Thus, it is suitable as a thirdyear level class for students doing Single or Combined Honours in French, orotherwise majoring in French. Erasmus students from other countries in the EU may be admitted at the discretion ofthe teacher if it is judged that they fulfil the conditions mentioned above. Students from other EU countries arereminded that all Modern Languages departments at Paul-Valéry offer translation courses from those languages intoFrench — and vice versa — for which they can enrol (i.e. Russian, German, Italian, Spanish, Portuguese, Greek,etc.)The course involves two classes each week, both of which must be regularly attended by any student wishing to takethe exams or otherwise needing credit : Thème (translation from French to English), and Version (translation fromEnglish to French). It is a practial translation course, focusing mainly on a choice of literary texts drawn fromcontemporary or recent fiction in French and English, but a variety of articles taken from the press (i.e. Le Monde, LeFigaro, Le Midi Libre, The Guardian, etc.) will also be treated.It is emphasised that students signing up for this course are expected to attend, prepare the assigned work andparticipate on a regular basis, whether or not their home institution requires marks or credit in any form.EVALUATION-Translation exercises which will be regularly assigned and marked by your teacher : Coefficient 1.-In-class exam (1h30) on an unseen text : Coefficient 2. For this exam, monolingual French dictionaries are allowedfor the Thème, monolingual English dictionaries are allowed for the Version. Bilingual dictionaries are notallowed.

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ARABE // ARABIC

Langue et Civilisation arabe.

LICENCE 1

LANGUE

E11ARY5 Langue LEALe premier semestre est consacré à :–l'acquisition du système graphique de l'arabe littéral;–l'acquisition du vocabulaire de base et de communication en cours;–l'initiation au système morphologique de l'arabe : racine et schème;–(Les) pronoms personnels isolés et affixes;–la morphologie verbale (conjugaison du verbe à l'accompli et à l'inaccompli);–(le) groupe nom + complément de nom (annexion)–l'adjectif (épithète et attribut)–la phrase nominale;–la déclinaison du nom : les 3 cas.–quelques mots-outils;–(la) sémantique et emploi des prépositions courantes, etc

E13ARY5 Langue Renforcement LEA

CIVILISATIONE12ARY5 Civilisation – 3 cL’objectif de ce cours est de présenter l’histoire du monde arabo-musulman depuis la naissance de l’islamau VIIesiècle jusqu’au califat abbasside. L’Arabie antéislamique et l’apparition de l’islam :•La péninsule arabique avant l’avènement de l’islam : le milieu naturel — les habitants de lapéninsule arabique — lagénéalogie des tribus arabes – histoire primitive des Quraychites•Muhammad : les débuts de Muhammad à la Mecque — la communauté de Médine —l’organisation de la sociétémusulmane•Les conquêtes et la construction de l’Etat•Les débuts des conquêtes : la califat d’Abû Bakr — le califat de ‘Umar — ‘Uthman et lescraquements de lacommunauté – ‘Ali ibn Abî Tâlib et les débuts la « fitna »•Les ‘Umayyades : le début d’un califat héréditaire : extension des conquêtes — les réformes del’Etat — les conflitsintertribaux — Arabes, Mawâlî et dhimmîs — la fin de la dynastie umayyade.

LICENCE 2

LANGUE

E31ARY5 Langue LEA – 3 cInitiation à la rédaction épistolaire ; l’identification ; l’emploi de l’accompli ; recherche d’informations dans undocument ; les pluriels externes. Initiation à la poésie ; acquisition du système morphologique, renforcement desacquis, les transformations de l’inaccompli (subjonctif) ; traduction. Supports : documents iconographiquesauthentiques, sketchs didactiques, poèmes, littérature.

E33ARY5 Langue Renforcement LEA

CIVILISATIONE32ARY5 Civilisation LEA – 3 cLe monde arabe contemporain, l’économie et le commerce : enregistrement d’accès à un site Web ; l’immobilier ; labanque ; les rapports société française/arabe ; la société d’aviation du Golfe ; Apprendre à rédiger une lettreadministrative. Actualité du monde arabe : la chaîne satellitaire arabe, Al-Jazira ; étude d’un flash d’informationtélévisé par semaine avec support audio visuel. Examen : étude de document par écrit à la fin du semestre.

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LICENCE 3

LANGUE

E51ARY5 Langue LEA – 3 cExercices de traduction : amener l’étudiant à traduire et à faire des résumés croisés des supports divers et variésextraits de la littérature arabe et française contemporaines, presse écrite, articles à techniques et à thèmes :politique, économie, écologie ; faire des traductions grammaticales avec réflexion sur les problèmes de la syntaxedes deux langues ; faire des traductions sémantiques avec réflexion sur le contenu sémantique des deux langues.Objectifs et Contenus : (savoir-faire mis en oeuvre, progression, nature des exercices d’entraînement)•Comprendre et analyser les structures syntaxiques de l’arabe comme langue cible/source•Comprendre et analyser le contenu sémantique de l’arabe comme langue cible/source•Acquérir une large autonomie et différentes techniques dans la pratique de la traduction.

E53ARY3 Langue renforcée LEA – 1.5 cLa poésie populaire émiratie : WASFAT AL-HUBB, la biographie : MAHMÛD DARWÎCH, la poésie : JAWAZAL-SAFAR, littérature palestinienne. Rapport entre compréhension, vocalisation et traduction

CIVILISATIONE52ARY3 Civilisation LEA – 3 cLe monde arabe contemporain, l’économie et le commerce : l’Algérie et l’augmentation du PNB ; la financeislamique ; le boycott ; le pétrole ; la mondialisation ; les émirats Arabes Unis ; La croissance démographique etéconomique ; la Libye ; la bourse, le G8 et l’énergie ; le Yemen ; impact du conflit au Moyen Orient sur l’économie.Actualité : revue de presse. Examen : contrôle continu (oral) + examen final.

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CHINOIS // CHINESE

La langue enseignée est le Chinois moderne (ou mandarin) oral et écrit, langue officielleen Chine continentale, à Taiwan et à Singapour et langue de communication dontl’importance est reconnue dans toute l’Asie. Apprendre le chinois est difficile, il fautmaîtriser assez bien le français et avoir une grande autonomie dans le travail.

LICENCE 1

E11CH5 Civilisation chinoise et geographie de la chine

E12 CH5 Langue et ecriture

E13CH5 Grammaire et expression

LICENCE 2

LANGUE

E31CH5 Theme et expression

E32CH5 Version, comprehension orale

E34CH5 Histoire de la chine moderne

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ESPAGNOL // SPANISH LANGUAGE AND LITERATURE

Langue, Civilisation et Culture, Art, Littérature, Linguistique, Traduction (Thème/Version).

Pas de débutants !

LICENCE 1

LANGUEE11ES5 Repères historiques Espagne, Amérique latine (39h) -3cCe cours a pour objectif de brosser un panorama de l’histoire de l’Espagne (19,5h) et des pays d’Amérique Latine(19,5h). La méthode choisie croisera, selon les cours, une approche chronologique et une perspective thématique,afin de donner aux étudiants les repères historiques et culturels nécessaires pour aborder l’étude de thèmes plusapprofondis (en littérature, en art et en civilisation) au cours des semestres suivants.BIBLIOGRAPHIE GÉNÉRALE ESPAGNEBENASSAR, Bartolomé, BESSIERE, Bernard, Espagne : histoire, société, culture, Paris, La Découverte, 2009.DOMINGUEZ ORTIZ, España, tres milenios de historia, Madrid, Marcial Pons, 2005, 3ª ed.FERRERA CUESTA, Carlos, Diccionario de historia de España, Madrid, Alianza, 2005.GARCIA DE CORTAZAR, Fernando, GONZÁLEZ VESGA, José Manuel, Breve historia de España, Madrid, Alianza,1993.PEREZ, Joseph, Historia de España, Crítica, Barcelona, 2000.JULLIAN, Martine, Civilisation espagnole, Paris, Hachette, 2007.VILAR, Pierre, Histoire de l'Espagne, Paris, PUF, 2009.

Repères culturels et historiques de l’Amérique Latine

E13ES5 Civilisation Textes et documents expagnols et hispano-américains (39h) -3cL’EspagneLe travail portera en particulier sur des documents liés à l’Espagne contemporaine (XIXe et XXe siècles), d’accèsplus aisé pour les spécialistes débutants que vous êtes.Il suppose que vous lisiez les documents cités dans la bibliographie.Ouvrages de référence (que vous pourrez utiliser tout au long du cycle de Licence)ÍÑIGO FERNÁNDEZ, L. Breve historia de España II, el camino hacia la modernidad, Madrid, Nowtilus, 2010JULIÁ, S., GARCÍA DELGADO, J.L., JIMÉNEZ, J.C., FUSI, J.P., La España del siglo XX, Madrid, Marcial Pons,2007.LECTURES OBLIGATOIRES ÉVALUÉES :Vous regarderez un film :Mujeres al borde de un ataque de nervios, de Pedro Almodóvar, 1988, DVD Cameo, 2009

Amérique LatineCe cours est un complément de « Repères historiques et culturels du monde hispanique : Amérique latine »(E11ES3). Il présentera en effet un panorama de l’Amérique hispanique (population, histoire, intégrationéconomique…), à travers l’étude de documents authentiques variés (textes, tableaux, affiches, photographies, etc.).Cet enseignement permettra de pratiquer l’exercice du commentaire de documents de civilisation.LECTURE OBLIGATOIRECOVO Jacqueline, Introduction aux civilisations latino-américaines, Paris, Nathan Universités, coll.128 (dernièreédition de préférence).LECTURE OBLIGATOIRE ÉVALUÉE (Film)Titre original : Fresa y chocolate de Tomá Gutiérrez y Juan Carlos Tabío

E12ES5 Expression écrite et orale,EXPRESSION ECRITEL’essentiel du travail consistera en exercices de compétences linguistiques, d’analyse, de synthèse, de rédaction oude traduction. L’ensemble reposera sur des supports écrits variés, empruntés à la littérature et aux civilisationsespagnoles et hispano-américaines contemporaines.Lecture obligatoire évaluée :Martínez de Pisón, Carreteras secundarias, Edición Anagrama.

BIBLIOGRAPHIE GENERALE :Dictionnaires unilingues :

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MOLINER, Maria, Diccionario de uso del español, Madrid: Editorial Gredos, 1989.REAL ACADEMIA, Diccionario de la lengua española. Madrid: Espasa-Calpe, 1992, 2 vol. (Existe sous forme dedeux petits volumes brochés).REY-DEBOVE, J. & REY, A. (dir.), Le nouveau Petit Robert, Paris, 1993.Dictionnaires bilingues :GARCIA PELAYO, R. et TESTAS, J., Grand dictionnaire Larousse français-espagnol / espagnol-français, Paris:Larousse, 1998.Grammaires :GERBOIN, P. et LEROY, C., Grammaire d’usage de l’espagnol contemporain, Paris : Ed. Hachette Supérieur, 1994 ;Conjugaison :BESCHERELLE : El arte de conjugar en español, Paris : Hatier, 1984BESCHERELLE: La conjugaison, Paris : Hatier, 1990.Vocabulaire :MOUFFLET, Hélène, Du mot à la phrase. Vocabulaire espagnol contemporain, Paris : Ellipses, 1999Outil complémentaire :GREVISSE, M., Le bon usage de la langue française, Paris, Duculot, 1986.

EXPRESSION ORALEPratique orale de l’espagnol contemporainLABORATOIREBIBLIOGRAPHIE GENERALE : Sera communiquée à la rentrée universitaire 2010-2011

LICENCE 2

E31ES5 Litterature Contemporaine de l’EspagneLe cours magistral propose une vision panoramique de la littérature espagnole du 19° siècle depuis le romantismejusqu’au modernisme. Il s’agit de présenter les courants les plus significatifs, ainsi que les auteurs et les textes lesplus représentatifs.Le TD est directement en lien avec le cours : il permet d’étudier des extraits de textes marquants du 19° (prose,théâtre et poésie).LECTURE OBLIGATOIREVALERA JUAN, Pepita JiménezBIBLIOGRAPHIEALBORG, J. L., Historia de la Literatura Española, t. IV. El Romanticismo et t.V, VI, Madrid, Gredos, 1980.AMORÓS Andrés, Antología comentada de la literatura española. Siglo XIX, Madrid, Castalia, 1999.CANAVAGGIO Jean (dir.), Historia de la literatura española, El siglo XIX, Barcelona, Ariel, 1995.GARCÍA DE LA CONCHA Victor, Historia de la Literatura Española. El Siglo XIX (I), Madrid, Espasa Calpe, 1998.PEDRAZA, F. y RODRÍGUEZ, M., Manual de literatura española, t. VI. Época romántica et t.VII, Tafalla, Cénlit, 1982.ROMERO TOBAR Leonardo, Panorama crítico del romanticismo español, Madrid, Castalia, 1994.

E32ES5 Thème, version et linguistiqueLinguistique diachroniqueHistoire de la langue, formation et évolution de la langue espagnole à partir du latin. Éléments de phonétiquediachronique.Lecture obligatoire évaluée:BANNIARD, Michel (2008), Du latin aux langues romanes, Paris, Armand Colin, 125 p.Lecture conseillée :DARBORD, Bernard, Pottier, Bernard (2004) La langue espagnole, grammaire historique, Paris, Armand Colin,253p.

E33ES5 Littérature hispano-américaineLa littérature hispano-américaine du Modernisme aux Avant-gardes.Avec l’irruption du Modernisme, à la fin du XIXe siècle, l’Amérique hispanique conçoit le premier courant littéraire desouche hispano-américaine. Ce cours se propose d’étudier cette période charnière qui s’étend de la fin du XIXe audébut du XXe siècle et, notamment, sa foisonnante production poétique qui verra se succéder le Modernisme, lePost-modernisme et les Avant-gardes. L’analyse des textes emblématiques nous permettra de dégager les traitsesthétiques et idéologiques de cette période d’émancipation et d’expérimentation artistique et culturelle.LECTURE OBLIGATOIRE ÉVALUÉE:

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SERNA ARNAIZ Mercedes et CASTANY PRADO Bernat (éd.). Antología crítica de la poesía modernistahispanoamericana, Madrid: Alianza Editorial, 2008. (disponible dans la librairie Un jardin de Livres :www.1jardin2livres.com)

E34ES5 Littérature de l’Espagne classiqueHéritages, ruptures, continuité et discontinuité en littérature.Ce cours d’histoire de la littérature abordera par le biais chronologique les différentes formes, courants, auteurs del’époque classique.Il s’ouvrira sur le Moyen-Âge, en prenant en compte les premières manifestations artistiques ayant contribué à laconstitution d’un patrimoine littéraire.Une seconde étape sera consacrée au Siècle d’Or, occasion de questionner les concepts de Renaissance et deBaroque à travers les divers genres pratiqués. Une réflexion portant sur les formes romanesques y sera menée àpartir du Quichotte (1ère partie, soit l’oeuvre de 1605). Elle s’insérera dans cette seconde étape, qui conduirajusqu’à la nouvelle formule théâtrale proposée par la Comedia Nueva.Lecture obligatoire : El ingenioso hidalgo Don quijote de la Mancha, edición de John Jay Allen, ed. Cátedra, letrashispánicas, 1988. 1ère partie. Traduction en françaisCervantès. Don Quichotte I, Nouvelle édition dirigée par Jean Canavaggio, Gallimard, Folio classique, 2010.ÉLÉMENTS DE BIBLIOGRAPHIE :Historia y crítica de la literatura española, sous la direction de Francisco RICO, tome 2, Siglos de Oro,Renacimiento, et tome 3, Siglos de Oro, Barroco.

LICENCE 3

E51ES5 Littérature du Moyen-Age et du siècle d’orLittérature du Siècle d’OrL’étude du Diablo cojuelo de Luis Vélez de Guevara permettra d’aborder la forme romanesque sous plusieurs de sesdimensions à travers une oeuvre au caractère hybride publiée pour la première fois en 1641. Elle invitera égalementà interroger des notions littéraires fondamentales comme le baroque et son écriture ou encore la satire de moeurs etla satire politique. Le CM sera consacré à replacer l’auteur et son oeuvre dans leur temps, tant sur le plan historiqueque littéraire (le Diablo cojuelo est dépositaire d’un très riche héritage à cet égard), avant de proposer une réflexionsur l’évolution du roman au Siècle d’Or. Ces considérations générales introduiront l’étude de l’oeuvre proprementdite. Le TD sera consacré à la pratique de l’analyse de textes littéraires et à sa méthodologie à partir d’un ensemblede textes tirés du Diablo cojuelo et d’autres oeuvres qui lui font écho.LECTURE OBLIGATOIRE : Luis Vélez de Guevara, El diablo cojuelo (éd. d’Enrique Rodríguez Cepeda), Madrid,Cátedra, 2016 (en cours de réimpression, disponible à partir du début du mois de septembre. Il existe différentesversions en ligne, notamment sur cervantesvirtual.com, mais sans les notes nécessaires à la bonne compréhensionde la langue particulièrement travaillée de l’auteur).

E52ES5 Thème, version et LinguistiqueVersionLinguistique synchroniqueA partir de textes extraits d’oeuvres littéraires contemporaines, espagnoles et hispano-américaines, seront traitéesles questions suivantes :- les déictiques spatio-temporels (démonstratifs et adverbes de lieu : aquí/ahí/allí ; acá/allá) ;- la morphosyntaxe des pronoms personnels : usage du pronom sujet ; pronoms atones de 3ème personne (leísmo,laísmo, loísmo) ; les formes d’adresse (système péninsulaire et systèmes américains : tuteo / voseo).- les temps du passé (prétérit et passé composé)- les américanismes lexicauxLecture obligatoire évaluéeBENABEN, Michel, Manuel de linguistique espagnole, Paris : Ophrys, 2002. Deux chapitres : « Les démonstratifs »,« Les pronoms personnels » ;POTTIER, Bernard, DARBORD, Bernard, CHARAUDEAU, Patrick, Grammaire explicative de l’espagnol, Paris,Nathan : « la personne et les pronoms personnels », « les démonstratifs », « le passé simple, le passé simple et lepassé composé ».

E53ES5 Civilisation de l’Espagne contemporaineCet enseignement portera sur les grandes évolutions politiques, sociales et culturelles qui ont marqué l’Espagne auXXe siècle, à l’exception de la Transition qui sera étudiée en Master.Le découpage chronologique sera le suivant :La crise de la RestaurationLa dictature de Primo de Rivera

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La République et la guerre civileLe Franquisme

E54ES5 Civilisation de l’Amérique hispanique contemporaineCe cours prolonge l’enseignement dispensé au semestre 4, Civilisation coloniale de l’Amérique hispanique. Ils’adresse aux étudiants spécialistes d’espagnol ainsi qu’à tous les étudiants intéressés par une approche complèteet approfondie de la civilisation de l’Amérique hispanique.Ce cours abordera différents thèmes de l’histoire des payshispanoaméricains des Indépendances au XXème siècle.L’assistance aux cours est obligatoire.Le cours se fait en espagnol.PROGRAMA:-1- Evolución política de Hispanoamérica :-balance post-independencia-ideologías y regímenes políticos (definiciones).-Relaciones con EEUU : panamericanismo, guerra fría, ayuda a la democracia e integración continental.-El populismo de los años 30/50-Revoluciones (mexicana, boliviana, cubana)y guerrillas-Dictaduras y transiciones a la democracia.-2-Las economías-secuelas del colonialismo : las economías de exportación de materias primas-liberalismo económico contra proteccionismo (definiciones y ejemplos)-El ISI ( industria de sustitución de importaciones ), desarrollo y dependencia, teorías de la CEPAL, el desarrollismo(años 1930 / 1960)-El endeudamiento y la década perdida (años 1970/ 1980)-El neoliberalismo (años 1990)-Integración económica (regional, continental) papel y respuestas de EEUU.-3-Las sociedades hispanoamericanas :- las iglesias ( teología de la liberación, protestantismo, sincretismos ).-los indígenas : indianismo e indigenismo, el despertar de los indígenas, participación e integración política,reivindicaciones étnicas-el ejército : ideologías, el militarismo, diferentes papeles, evoluciones.-la oligarquía; las clases medias-el pueblo : mundo rural / mundo urbano;-exclusión y desigualdades; violencia.Lecture obligatoire (évaluée):Ernesto Che Guevara, Otra vez,Diario inédito del segundo viaje por América latina, Editorial OceanSur, 2007.

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GREC MODERNE // MODERN GREEK

Langue, Civilisation et Culture, Littérature, Traduction.

LICENCE 1

E11GM5 Culture étrangère et régionale : Grec moderne – 3 c

E11GML5 Grec moderne : langue – 3 cLangue néo-hellénique 1Cet enseignement s’adresse aux débutants absolus : il n’est pas nécessaire d’avoir une connaissance préalable dugrec moderne (ni du grec ancien). On y trouve une initiation à la langue à travers un vocabulaire de base de 500mots sur la vie quotidienne et les structures de base (déclinaisons, conjugaisons), sous la forme de :a-un texte de base,b- des dialogues très simples etc-des exercices structuraux, assurant une progression grammaticale programmée.Les documents sont mis à la disposition des étudiants, sous la forme d’un polycopié et de trois CD comportant lestextes ainsi que les exercices figurant dans le polycopié et leur correction. Il existe aussi une vidéo-cassette ou unDVD. L’objectif à atteindre est de savoir lire et écrire la langue néo-hellénique, ainsi que de s’exprimer dans dessituations élémentaires.

E12GML5 Grec moderne : civilisationGrèce moderne : culture généraleCet enseignement a comme objectif l’étude pluridisciplinaire de la Grèce. Dans un premier temps, on étudiel’organisation ainsi que la formation par étapes successives du territoire grec. Ensuite, nous abordons un ensemblede données géographiques, démographiques, économiques et sociales, visant à décrire la Grèce contemporaine,ainsi qu’une présentation détaillée de la diaspora grecque dans le monde, en termes plutôt qualitatifs quequantitatifs. Cette présentation donne un aperçu de la géographie humaine de la Grèce, aboutissant à un « modèlespatial » de l’hellénisme. Les étudiants sont familiarisés avec des concepts tels que l’identité culturelle, lareprésentation et l’iconographie.

LICENCE 2

LANGUE

E31GML5 Grec moderne : LangueCet enseignement repose sur :a-un texte de base,b-des dialogues très simples,c-des exercices structuraux, assurant une progression grammaticale programmée fondée sur un vocabulaire debase de 700 mots sur le temps de l’existence (naissance, mariage, mort) et l’étude grammaticale de la phrasecomplexe.L’ensemble des documents est fourni, sous la forme d’un polycopié et de trois CD comportant les textes ainsi queles exercices figurant dans le polycopié et leur correction. L’objectif à atteindre est l’acquisition de compétences encommunication écrite et orale, ainsi qu’en en rédaction.

E33GM5 Littérature néo-hellénique – 1.5 cCet enseignement est consacré à l’étude du mouvement littéraire dit de la « Génération 1930 ». Cette dernière secaractérise par une tentative de renouvellement des genres littéraires qui ne portera réellement ses fruits qu’après laseconde guerre mondiale.La connaissance du grec n’est pas requise.

E32GML5 Civilisation néo-hellénique (LLCE) – 3 c« L’Orient grec », une approche culturelleLe but de cet enseignement est de familiariser les étudiants avec les populations « grecques », quel que soit leurmode de définition propre, qui vivaient hors du territoire de l’Etat néo-hellénique, tant au Sud qu’à l’Est de la Grèceproprement dite.Hormis l’acquisition de connaissances de type historique classique, le cours permettra aux étudiants des prises deparole sur des productions littéraires ou cinématographiques des Grecs d’Orient ou à propos des Grecs d’Orient. A

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partir de leur ancienne marginalité géographique, ces populations ont acquis une centralité culturelle certaine dansla Grèce contemporaine.L’évaluation s’effectue sur la base d’une présentation orale puis également d’un examen écrit final portant sur desextraits de texte mais aussi des documents iconographiques. La connaissance du grec n’est pas requise.

E31GM5 Grec moderne : Langue approfondie 1.5cCet enseignement commence par un bref détour historique sur les interrogations de l’Homme relativement aulangage, pour arriver jusqu’aux théories du langage modernes (ex. Saussure, Sapir-Whorf, théories médiationnistes,Chomsky). Dans la deuxième partie du cours, sont présentés les différents champs de la linguistique descriptive :phonologie/phonétique, syntaxe, sémantique, morphologie. Les aspects morphologiques, qui occupent la majeurepartie de ce deuxième chapitre, sont centrés sur le cas particulier du grec moderne. Une approche inter-langues(grec-français) est privilégiée dans cet enseignement, afin que l’étudiant saisisse le fait que la descriptionlinguistique générale n’est pas incompatible avec les variations d’une langue à l’autre. L’objectif du cours consiste àce que l’étudiant maîtrise les concepts de base et se familiarise avec le type d’interrogations relatif à chacun de cesdomaines.

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ITALIEN // ITALIAN LANGUAGE AND LITERATURE

Langue écrite et orale, Littérature, Civilisation, Traduction, Analyse iconographique,Histoire de l’Art.

LICENCE 1

E11IT5 Civilisation, arts et cinéma en Italie (39h) – 3 cHistoire du cinéma italien de l’après-guerre à nos joursHistoire du cinéma italien de l’après-guerre à nos jours.1. Le cinéma néo-réaliste2. L’Age d’or du cinéma italien3. Le cinéma italien d’aujourd’hui : de la crise au renouveau

E14IT5 Litterature 1,5cPanorama de la littérature italienne du 20eme siècleCe cours vise à présenter les principaux courants littéraires italiens du XXe siècle en relation avec le contexteculturel et historique italien et européen. Tout au long du semestre, des textes majeurs de la littérature italienne decette période feront l’objet d’une analyse critique plus approfondie.BIBLIOGRAPHIE OBLIGATOIRE :- Giulio Ferroni, Storia della letteratura italiana. Il Novecento e il nuovo millennio, Milano, Mondadori, 2012.BIBLIOGRAPHIE DE RÉFÉRENCE :- Salvatore Guglielmino, Guida al Novecento italiano, Milano, Principato editore ;- Giuliano Manacorda, Storia della letteratura italiana contemporanea (1940-1996), Roma, EditoriRiuniti..

E15IT5 Civilisation Contemporainee 1,5cCONTENU DU COURS :Nascita di una nazione moderna- La colonizzazione e il fascismo - Riforme : dal dopoguerra agli anni 70 –Berlusconi - Verso il 2000.BIBLIOGRAPHIE DE RÉFÉRENCE :R. Villari, Storia contemporanea, Bari, Editori Laterza,1976.P. Gisborg L’Italia del tempo presente, Torino, Einaudi, 2007.F. Indovina, L. Fregolent, M.Savino, L’Italia è cambiata, Milano, Franco Angeli, 2011

E12IT5 Langue italienne (39h) – 3 cGrammaireCONTENU DU COURS :- Grammaire de la langue italienne avec exercices- Grammaire contrastive : le cas échéant révision de points de grammaire française et italienneBIBLIOGRAPHIE OBLIGATOIRE (ouvrage à acheter par tous les étudiants inscrits en CC et en DA):G. Genot, Italien – La grammaire, Paris, Hatier, 2009, collection Bescherelle.

Expression OraleCours de pratique et compréhension de la langue italienne orale, à travers plusieurs activités : lecture des textes,exercices d’interaction, de discussion et de débat, d’expression orale en continu (notamment des exposés, descommentaires) à partir de supports les plus variés, écrits (livres, journaux, sites internet) et audiovisuels (vidéos,chansons, extraits de films). La participation active dela part des étudiants se révèle par conséquent nécessaire. A leur demande, le cours pourra revenir sur des sujets enparticulier (de littérature, civilisation, histoire ou bien sur des points de grammaire abordés dans les cours de langueécrite) ou les approfondir, afin de les réactiver à l’oral.

E13IT5 Analyse de documents(39h) – 3 cInitiation à l’analyse et à la création du texte littéraire et de l’imageCONTENU DU COURS : Introduction à l’analyse du texte littéraire, commentaire dirigé, composition, introduction àla théorie du texte littéraire (prose, poésie, théâtre). Analyse des langages artistiques : cinéma, peinture,performance. Les étudiants sont invités à participer à un laboratoire théâtral pour la mise en scène de la pièce Nonsi paga ! non si paga ! de Dario Fo et Franca Rame.

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BIBLIOGRAPHIE OBLIGATOIRE:Dario Fo e Franca Rame, Trasmissione forzata, II, Fabbri, 2006.DVD Trasmissione forzata II, Fabbri, 2006.Biancofiore Angela, L’opera e il metodo, Lecce, Milella, 1991.Donnarel, Capra, Explication de texte, Paris, Ellipses, 2008.Rondolino ; Tomasi, Manuale del film : linguaggio, racconto, analisi, UTET, 2011.BIBLIOGRAPHIE DE RÉFÉRENCE :Brioschi, Di Girolamo, Fusillo, Introduzione alla letteratura, Roma Carocci, 2008.Soyons le changement... Nouvelles tendances dans la littérature italienne contemporaine. Une anthologie, éd.Levant/ Euromédia, Montpellier, 2016.André Chastel, Un sentiment de bonheur, E. Corazinsky, 2011, DVD.André Chastel, L’art italien, Flammarion, 2015.

LICENCE 2

E32IT5 Langue italienne 2, traduction, expression écrite et orale (52h) – 4c

E34IT5 Littérature époque moderne -1.5cLittérature italienne du 17eme au 19eme siècleCe cours propose la présentation et l’étude du panorama littéraire italien du XVIIe au XIXe siècle. L’accent sera missur les grandes questions culturelles et historiques en relation avec les courants littéraires de l’époque. Cepanorama prévoit également l’analyse de quelques textes majeurs de cette période.

E35IT5 Civilisation époque moderne -1.5cCivilisation italienne du 17eme au 19eme siècleprofilo storico-metodologico dell’Italia dal secolo Settecento all’Ottocento.

E31IT5 Histoire de la langue italienne 1 (19,5h) – 1.5 cStoria della lingua italiana dalle origini alla fine dell'OttocentoCONTENU DU COURS : L'evoluzione della lingua italiana dalle origini alla formazione dello Stato unitario, ilprocesso di alfabetizzazione e di scolarizzazione della popolazione italiana. Alcune questioni linguistiche: il « prestito», le differenze fra lingua e dialetti, il plurilinguismo.BIBLIOGRAPHIE OBLIGATOIRE :C. Marazzini, La lingua italiana. Profilo storico, Bologna, il Mulino, 1998 (cap. V-IX).C. Marazzini, Breve storia della lingua italiana, Bologna, Il Mulino, 2004.BIBLIOGRAPHIE DE RÉFÉRENCE :T. De Mauro, Storia linguistica dell'Italia unita, Bari, Laterza, 1963.G. Devoto, M.L. Altieri La lingua italiana. Storia e problemi attuali, Torino, Einaudi, 1968.L. Serianni, Lezioni di grammatica storica italiana, Roma, Bulzoni, 2001M. Sensini, L'Italiano di tutti, Milano, Mondadori, 2007.

E33IT5 Arts 18eme-19eme siècle (39h) – 3 cLa création artistique en Italie aux XVIIIe-XIXe sièclesCONTENU DU COURS : Les étudiants pourront approfondir les courants artistiques qui ont marqué l’histoireitalienne aux XVIIIe et XIXe siècles. En particulier, ils étudieront le néoclassicisme, en sculpture et architecture, les‘macchiaioli’, le divisionisme. Parmi les figures majeures de cette époque : Canaletto, Piranesi, Canova, Fattori,Segantini, De Nittis, Rosalba Carriera.BIBLIOGRAPHIE OBLIGATOIRE :André Chastel, L’art italien, Flammarion, 2015.Giulio Carlo Argan, Storia dell’arte italiana, vol. 3, Sansoni, 2002.BIBLIOGRAPHIE DE RÉFÉRENCE :G. De Cataldo, Les Macchiaioli, des impressionistes italiens ?, Paris, Musée D’Orsay, 2013.H. Focillon, Piranesi, Infolio, 2001.

LICENCE 3

E51ITL5 Traduction– 4 c

E51IT5 Langue ancienne : philologie, textes anciens94

Du latin aux langues et littératures romanes1. INTRODUZIONE- Definizione del termine ‘filologia’- Campo di indagine della ‘filologia romanza’2. DAL LATINO ALLE LINGUE ROMANZE- La disgregazione e la caduta dell’Impero Romano- Lo spazio linguistico della ‘Romània’- Le lingue di sostrato e le lingue di superstrato- Latino letterario (classico) e latino volgare (orale)- Il ‘sermo vulgaris’- L’Appendix Probi- La nascita delle lingue neo-latine3. LE LETTERATURE IN LINGUA VOLGARE- La lingua d’oil : dall’epica storica al romanzo- La poesia in lingua d’oc : i Trovatori- Prime testimonianze del volgare italiano (L’indovinello veronese, Il placito di Capua, L’iscrizione di S. Clemente e ilCantico di frate sole di S. Francesco d’Assisi)4. LE TRASFORMAZIONI LINGUISTICHE- Lingue sintetiche (latino) e lingue analitiche (lingue romanze)- Il sistema vocalico delle lingue romanze- Il sistema consonantico delle lingue romanze- Nascita dell’articolo- Il sistema dei dimostrativi- I pronomi personali- Il sistema verbale

Textes anciens- version ancienne

E52ITL3 Civilisation : patrimoine culturel italien (39h) – 3 cPatrimoine culturel italien Le cours développe la question de la valorisation du patrimoine culturel italien dans lecontexte méditerranéen. Les étudiants sont amenés à comprendre la définition complexe de patrimoine culturelselon les récents textes de l’Unesco : le patrimoine culturel matériel et immatériel, avec un regard attentif auxtraditions orales et aux différences culturelles.Etudes de cas : les Itinéraires culturels européens du Conseil d’Europe : la Route des Phéniciens, la via Francigena,le patrimoine industriel (l’Arsenal de Venise), Musées du patrimoine (Bologna, Museo del patrimonio industriale,Gibellina, Museo delle trame)

E54IT5 Littérature – 1,5 cLe théâtre de Carlo GoldoniCe cours envisagera l’oeuvre comique de Carlo Goldoni, avec des approfondissements sur des thèmes que la «réforme » du théâtre, la construction des personnages, la représentation de la société, le rapport entre oeuvre etspectateur, etc. Trois oeuvres Il servitore di due padroni, La bottega del caffè et La locandiera) seront étudiées.

E52IT5 Civilisation -1,5cL’Italie fascisteCe cours d’approfondissement se penchera sur une période cruciale de l'histoire contemporaine italienne, leVentennio, en retraçant les aspects constitutifs de l’idéologie du projet nationaliste fasciste. Seront approfondis,entre autres, le rapport entre le fascisme et les médias, les arts et les intellectuels (entre opposition et adhésion),ainsi que l’examen de la place des femmes dans la société fasciste. Les documents d’appui – à disposition desétudiants dans l’espace cours moodle – seront variés (extraits d’oeuvres littéraires, historiographiques et critiques,chansons, vidéos et documents iconographiques, extraits de films et de documentaires), afin de restituer lacomplexité et l’ampleur du projet fasciste de refondation de la société. Les étudiants devront lire obligatoirement levolume de Emilio Gentile, et approfondir un aspect au choix (entre la question de l'adhésion des intellectuels et cellede la place des femmes dans la société fasciste) avec la présentation d'un dossier.BIBLIOGRAPHIE OBLIGATOIRE :E. Gentile, Fascismo. Storia e interpretazione, Roma-Bari, Laterza, 2002 (trad.fr. Qu’est-ce que le fascisme? Histoireet interprétation, Paris, Gallimard, 2004)..

E53IT5 Littérature et arts (39h) – 3 c

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Leonard de Vinci : au croisement des arts et des lettresTrès connu comme peintre et artiste, Léonard de Vinci est également l’auteur de nombreux écrits littéraires qui sontau centre de son processus créatif. Cet ‘artista a tutto tondo’ nous laisse en particulier des fables, un bestiaire, desprophéties, des maximes, des aphorismes et le Traité de la peinture où il mène une réflexion profonde etextrêmement moderne sur les relations entre les différents langages de la création humaine.Ce cours entend analyser les écrits littéraires de Léonard de Vinci en relation avec sa riche activité artistique.

Leonard de Vinci : peintreDe l’artisan à l’artiste philosophe : le cours portera plus particulièrement sur l’oeuvre peint et sur l’itinéraireexceptionnel de l’un des plus grands génies de la Renaissance, dont la passion de la connaissance se nourrissait del’observation de la nature et de toutes choses, ce qui lui faisait dire que la « sapience » était nécessairement « fillede l’expérience ».

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OCCITAN

Dialecte roman (il ressemble au Catalan) parlé dans la moitié du Sud de la France, dansles Vallées Occitanes (Italie), au Val d’Aran en Espagne.

LICENCE 1

E11OC5 Culture étrangère et régionale : Occitan (CM + TD 39h)Les documents iconographiques et la réappropriation de la culture régionale.Niveau 1Chaque cours prendra appui sur un dossier documentaire portant sur une thématique relative à la culture occitane.Activité des étudiants : développement des compétences linguistiques et culturelles et méthodologie de ladescription de documents iconographiques en cours de langue dans une perspective actionnelle. Langued'enseignement : en occitanEvaluacion : escrich en setmana 13 : 1h30 comentari de documents sus un tèma tractat dins lo semèstreL’espaci occitan a l’Edat MejanaL’espaci occitan a l’Edat Mejana : societat, mentalitats, problèmas religioses e evolum politic.Evaluacion : Exercicis regulièrs de comentari de documents. Questions de cors e exercici de comentari dedocuments 1h30 en setmana 13.

E12OC5 Occitan : Langue (39h TD) – 3 cpractica de la lenga – 19 h 30Expression escricha : escritura setmanièra d'un tèxt de creacion.Expression orala : documents sus l'espaci occitan : geografia e cultura generala.Evaluacion : Exercicis setmanièrs escriches, evaluacion orala pendent semestre, question de corssetmana 13metodologia universitària : bibliografia, resumit de tèxt, presa de nòtas, iniciacion a la recèrca, expausatoral… 19 h 30Evaluacion : Dorsièr escrich a partir de la preparacion de cada sesilha e d’exercicis de faire a l’ostal + expausat oralsus una question de civilizacion occitana.

E13OC5 Traduction et civilisation (39h) – 3c

Apròchi sociolingüistic de la lenga occitana e de son istòria dins la societat francesa de l'Edat mejana fins a l’epòcacontemporanèa.Evaluacion : Exercicis setmanièrs a l’ostal - Examen sus taula en setmana 13.

Traduccion (tèmas e versions) de tèxtes literaris, exercicis de gramatica occitana.Objectius : Melhorar sa coneissença sintaxica, morfologica, lexicala e literària de l’occitan. S’iniciar a lasespecificitats del trabalh de traducción.Evaluacion : Exercicis setmanièrs a l’ostal - Examen sus taula en setmana 13.

E14OC5 Littérature Occitane (19.5h) – 1.5 cIntroduccion a l’estudi del conte occitan, de tradicion orala o d’un trabalh de reescritura, a partir de contes literaris(Bodon, Lagarda)Objectius : Comprene las categorizacions estilisticas, morfologicas e estructuralas del conte a travers l’estudi del’espaci occitan. Saber passar d’una grasilha de lectura a una autra (estructuralista, psicanalitica, mitologica…) ereconéisser los interèsses e los limits de cada grasilha.Evaluacion : Exercicis setmanièrs a l’ostal - Examen sus taula en setmana 13.

E15OC5 Langue Médiévale (19.5h) – 1.5 cObjectius : acquisicion de la morfologia de basa de l’occitan medieval classic en situacion. Iniciacion a la versionanciana.Evaluacion : Exercicis en contraròtle contunh. Examen final escrich de 1o30 en setmana 13.Bibliografia : E. Lévy Petit Dictionnaire Provençal-FrançaisM.Bianchi-M.Romieu La lenga del trobar

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PORTUGAIS // PORTUGUESE

Langue (grammaire et traduction), Littérature (brésilienne et africaine) et Civilisation(histoire du Portugal, du Brésil et des pays colonisés par le Portugal) de la totalité dumonde lusophone, c’est-à-dire, les pays dont le portugais est la langue officielle.

LICENCE 1

LANGUE

E19PO5 Portugais Non-Spécialiste (19.5h) – 1.5 c

Pour Grands Débutants

E11PO5 Civilisation et litterature contemporaine du Portugal/BrésilLittérature et Culture portugaiseLittérature et Histoire du Portugal au XXème siècle.CONTENUGrandes lignes de l’Histoire du Portugal de la fin de la monarchie jusqu’aux lendemains de la Révolution desOEillets.Etude des divers courants de création littéraire au XXèmeCommentaire de documents iconographiques divers et de textes (poésie et prose) Litterature : panorama desannées 40 à 90LusophonieQu’est-ce que la lusophonie ? Quelle réalité recouvre-t-elle aujourd’hui? Quelles relations les pays lusophonesentretiennent-ils avec le Portugal actuellement? Les aspects culturels.CONTENULa lusophonie dans ses aspects culturels.

E11POL5 Langue LEA (39h) – 3 cL'objet du cours est l’acquisition des connaissances de base des structures de la langue portugaise (normesportugaise et brésilienne).Les contextes de communication ainsi que les sujets traités sont liés à la vie quotidienne : loisirs, habitation,invitations, famille et amis, études, etc.CONTENULe vocabulaire et les structures grammaticales de base sont incorporés dans des contextes significatifs, groupésselon des contenus fonctionnels (donner et demander des données personnelles, parler d'actions habituelles, desloisirs, des goûts, décrire une ville, suggérer des activités, etc.) et sont consolidés par le biais d'exercices écrits etoraux. Les matériaux didactiques de base sont divers.

E12POL5 Civilisation (39h) – 3 cNotions de base du contexte politique, économique et social du Portugal, du Brésil et des pays d’Afrique et d’Asielusophones.CONTENUPrésentations chronologiques et thématiques des pays concernés.

LICENCE 2

E39PO3 Portugais pour débutants

E33PO5Panorama des littératures portugaises et brésiliennes.Panorama de la littérature portugaisePour le Portugal : panorama de la littérature du romantisme (1825) à nos jours(romantisme, réalisme, symbolisme,modernisme, néo-réalisme, tendances actuelles)CONTENU Données sur les courants en question ; commentaire de textesMéthodologie du commentaire écrit et oral

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Panorama de la littérature BrésilienneLittérature brésilienne du XIXème siècle au XXème siècle.

E31PO5 Aspects socioculturel du brésil au cinéma

E32PO5 L’Art au BrésilPanorama des arts au Brésil de la préhistoire à nos jours.L’art au Brésil loin des clichés. Étude de quelques éléments constitutifs de l’identité artistique brésilienne dans lesdomaines de l’art plastique, de la musique, du cinéma, de l’architecture, et de l’urbanisme, en parallèle avec l’histoirenationale.CONTENU L’art des indiens du Brésil L’architecture militaire et la présence religieuse L’art profane et le syncrétisme afro-brésilien La question de styles aux XVIème et XVIIème siècles Le siècle d’or L’art religieux et l’art profane La cour royale au Brésil et la réforme néo-classique Le triomphe de l’académisme Empire et romantisme Le positivisme et la république des caféiculteurs La semaine, la fameuse semaine Les temps modernes Concrétisme et néo-concrétisme Dictature et tropicalisme Les courants artistiques actuels

E31POL5 Langue LEA (39h) – 3 cGrammaire, traduction, expression écrite et oraleCONTENUApprofondissement des connaissances de morphosyntaxe et de grammaire portugaises.Travail de traduction (thème grammatical), de compréhension (écrite et orale), etd’expression (écrite, orale et en interaction).

E32POL5 Civilisation LEA (39h) – 3 cÉconomie portugaise 1 : des découvertes jusqu’à la fin des guerres napoléoniennesCONTENUI. Os primórdios da monarquia1) A reconquista2) A expansão do regime senhorial e religiosoII. A monarquia agráriaII.1. O fortalecimento da monarquia1) O combate à expansão senhorial2) A centralização fiscalII.2. A populaçãoII.3. As atividades econômicas1) A agricultura2) A indústria3) O comércioIII. O capitalismo monárquicoIII.1. A expansão marítima portuguesa1) Fatores exógenos2) Fatores endógenosIII.2. As fases da expansão1) 1a fase2) 2a faseIII.3. Um império ultramarino bidimensional1) O Estado da India2) O império atlântico : o Brasil, a Guiné e AngolaIII.4. O exclusivo colonialIV O fim do exclusivo colonial

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IV.1. Consequências positivas da expansãoIV 2. Consequências negativas da expansãoV. A economia portuguesa no fim do século XVIII e no inicio do século XIXV.1. A agriculturaV.2. A pré -industrialização : o Conde da Ericeira, PombalV.3. O tratado de Methuen

Economie du Brésil : Dela découverte à l’indépendanceLes principales problématiques historiques et activités économiques du Brésil établies àl’époque coloniale jusqu’à l’indépendanceCONTENU1. Fondements économiques de l’occupation territoriale au Brésil (XVIème siècle)2. Economie sucrière esclavagiste (XVIIème siècle)3. Economie minière esclavagiste (XVIIIème siècle)

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RUSSE // RUSSIAN

Russe écrit et oral, Civilisation.

LICENCE 1

LANGUE

E11RUY5 Langue russe LEA – 4 cPrésentation phonétique du russe : l’alphabet cyrillique, les sons, les règles élémentaires de la lecture et del’écriture, les normes de prononciation, ainsi que les règles de l’intonation.La morphologie du substantif, de l’adjectif et du verbe.

E13RUY5 Renforcement de la langue russe LEA – 1.5 cInitiation à la communication en langue russe.CIVILISATIONE12RUY5 Civilisation russe – 2 hHistoire de la Russie des origines jusqu’au XVe siècle, 26h (M Volsky)Situation géo-politique de l'espace post-soviétique, 13h (Mme Mayer).N.B. Une bibliographie sera fournie lors du premier cours..

LICENCE 2

LANGUEE31RUY3 Langue russe LEA– 3 cGrammaire et thème grammatical, déclinaisons irrégulières des substantifs. Emploi et formation du comparatif et dusuperlatif. Notions essentielles concernant les accents du verbe. Acquisition d’un vocabulaire de base à partir delistes thématiques (vie quotidienne, éducation, santé, loisirs, transports, etc.). HAUDRESSY Dola, Automatismes durusse parlé ; ZELTCHENKO maria, Je parle russe Niveau 2.

E33RUY3 Renforcement en Langue russe LEA – 1.5 cExpression écrite et orale.

CIVILISATIONE32RUY3 Civilisation russe LEA – 3 hHistoire de la Russie du 18ème siècle à la Révolution d’Octobre 1917. Histoire de la littérature et des idées en Russieau 18ème et 19ème siècle. Etude de textes. Géographie physique.

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