gazette ahv 2012

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Bulletin estival de l'association Bulletin estival de l'association Bulletin estival de l'association Bulletin estival de l'association Les Amis du Haut du Village d ’ Axat Les Amis du Haut du Village d ’ Axat Les Amis du Haut du Village d ’ Axat Les Amis du Haut du Village d ’ Axat Les Amis du Haut du Village d'AXAT 007 201 Siège social: Mairie d’Axat route départementale 11140 AXAT http://amis-haut-du-village-axat.fr

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Gazette AHV 2012

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Page 1: Gazette AHV 2012

Bulletin estival de l'association Bulletin estival de l'association Bulletin estival de l'association Bulletin estival de l'association Les Amis du Haut du Village d ’ Axat Les Amis du Haut du Village d ’ Axat Les Amis du Haut du Village d ’ Axat Les Amis du Haut du Village d ’ Axat

Les Amis du Haut du Village d'AXAT

N° 007

201

Siège social: Mairie d’Axat route départementale 11140 AXAT http://amis-haut-du-village-axat.fr

Page 2: Gazette AHV 2012

Les Jours défilent vite, trop vite; les grands froids sont déjà oubliés et les premiers frémissements du printemps sont là pour nous rappeler que les activités millésime 2012 de notre association vont reprendre .

2012, année de tous les bouleversements sur le plan économi-que, politique, climatique, sportif, déroule devant nous son lot d’incertitudes et il serait présomptueux d’aborder un de ces sujets sans être rapidement démenti et dépassé par les évè-nements.

Deux exceptions toutefois : 2012 , est et sera l'année des jeux olympiques de Londres et notre association fêtera son 10èmeanniversaire .

Ces deux évènements n’ont à priori rien de semblable : d’un coté une rencontre sportive à l’échelle de la planète, de l’au-tre des activités festives et culturelles dans un village de quel-ques centaines d’âmes de la haute vallée de l’Aude ; toute-fois la tentation de trouver des similitudes est trop forte et comment résister au plaisir d’associer et de comparer ces deux manifestations estivales

Les jeux olympiques organisés tous les 4 ans sont une ren-contre sportive qui regroupe l’ensemble des pays des cinq continents ,dans un esprit sportif, loyal et fraternel sans dis-tinction de race et d'appartenance politique ou religieuse : pendant quelques jour un monde idéal ou la jeunesse de tous pays fait la démonstration que le racisme et la xénophobie est une hérésie sinon un défaut d’intelligence.

Notre association à son échelle présente de nombreux points communs avec les jeux, tant sur le plan de l’esprit que sur son mode de fonctionnement : active, 2 mois par an c’est la ré-union dans un esprit amical chaleureux et convivial de gens différents, ceux de la ville ,de la montagne ,du village d'en haut et d'en bas ,des autres villages ,des jeunes et des moins jeunes ,des pas jeunes du tout , des gens du nord, du sud, des gens de culture différente , danois ,anglais ,espagnols, améri-cains, canadiens qui tous, participent en fonction de leurs compétences et de leur disponibilité à la vie de l'association

l

LES OLYMPIADES THEME 2012….

quelle drôle d’idée !

C’est la démonstration que les différences de caractè-re ,de cultures ,de statut ,d’âge et de conception de la vie, ne sont pas, en réalité des différence mais au contraire des complémentarités dès l’instant ou l’ intérêt du groupe , la fraternité et la volonté de réussir prédomi-ne ; c’est la petite flamme , tout comme le symbole olym-pique qui brule dans le cœur et l’esprit de chacun ;c’est aussi la braise qu’il faut sans cesse entretenir et alimen-ter par un travail hivernal et obscur pour imaginer, prospecter, préparer, organiser afin que l'été soit lumi-neux, que les sourires, les rencontres, les fêtes soient bel-les et que dans les yeux de chacun brille la flamme du plaisir.

Les olympiades attribuent des médailles: or, argent, bronze , nous avons, nous qu’une récompense plus modes-te mais si riche à distribuer c’est un grand merci à tous les bénévoles ceux d'aujourd'hui et ceux de la première heure et à vous tous adhérents ou participants pour avoir d'années en années su créer ces liens amicaux.

Voilà les raisons qui nous ont amenés à choisir pour thème cette année les olympiade.

Nous sommes persuadés que cet été et en particulier le soir du repas, votre imagination débordante nous per-mettra de vivre des moments inoubliables en compagnie des athlètes des amis du haut du village.

le bureau

GARDEZ LE CONTACT

Consultez le site de Amis du Haut du village

http://amis-haut-du-village-axat.fr

Page 3: Gazette AHV 2012

Cinéma en plein air Place du Maroc à 19h Ouverture des olympiades et présentation de la saison 2012 suivi d'un apéritif dinatoire 20h30 début de la projection d'un film

Samedi

7 Avril

Assemblée Générale Salle du cinéma 17 h

Samedi

7 Juillet

Vendredi

13 Juillet

Vendredi

20 Juillet

Dimanche

22 Juillet

Samedi

28 Juillet

Samedi

11 Août

Mercredi

14 Août

Samedi

18 Août

G. 20 Gastronomie et œnologie Place du Maroc à 19h30

Vide Grenier Place du Maroc de 7h à 18 h

Loto — Grill Place du Maroc 17 h

Vernissage salon des Arts Ancienne église 18 h

Exposition Photos Ancienne église 18 h

Soirée lecture / Poésie Place du Maroc 20h

Cette soirée animée par des spécialistes "du bien manger et du bien boire " sera consacrée à la découverte de quelques terroirs de notre belle région du Languedoc et à la dégustation de vins qui en font la renommée

Restauration assurée par les "cuistots AHV" Au menu les fabuleuses moules de tonton JULES , grillades frites etc … Boisson fraiches café ...

Ouverture de 8 ème Salon des Arts du 18 juillet au 12 Août Cette année de nombreux artistes vous accueilleront et vous feront dé-couvrir leur univers artistique

Le traditionnel loto débutera à 17h30 et se terminera à 19 h30 nous vous proposons de poursuivre la soirée en dégustant les grillades pré-parées par nos chefs dans une ambiance conviviale

Repas de quartier Place du Maroc 19 h

Le repas cette année est jumelé avec les jeux olympiques de Londres ; les athlètes locaux sont priés de venir nombreux en tenue de sport pour fêter dignement cet événement

Axat d'hier et d'aujourd'hui un retour en image sur le passé Ouvert du 14 août au 30 août

Sylvette nous amène à la découverte des écrivains et artistes de notre région textes de Marie Rouanet en Français et en occitans ,chansons , témoignages…..une agréable soirée en perspective pour clôturer la saison

Les lieux de ces manifestations pouront être modifiés, en fonction de la méteo

Page 4: Gazette AHV 2012

Les Amis du Haut du Village d'AXAT

Aujourd'hui : Aujourd'hui : Aujourd'hui : Aujourd'hui : Si la place m’était contéeSi la place m’était contéeSi la place m’était contéeSi la place m’était contée !!!! Le train touristique jaillit du tunnel de la garrigue et après un strident coup de

sifflet annonçant le village d’Axat, une voix sortie d’un mégaphone précise aux

voyageurs…….La place du Maroc.

Ma notoriété a dépassé les frontières, moi la caserne, la placette, la place, la place

des marronniers, la place du Maroc, autant de noms qui ont jalonné mon histoire.

Tout d’abord, la caserneTout d’abord, la caserneTout d’abord, la caserneTout d’abord, la caserne.

En effet, je fus la cour d’une gendarmerie et témoin de ce passé glorieux, une por-

te de l’une de mes geôles ferme encore de nos jours la cave d’une des maisons du

vieux village.

Quatre grands arbres, deux marronniers, un acacia, un orme m’ombrageaient et un épais mur terminé

par un grand portail assurait ma fortification. Dans cette enceinte ainsi formée, j’ai vu s’activer bon

nombre de gens, les uns en uniforme, d’autres en redingote et haut de forme, certains en guenilles « les

mendiants » et même des gens pas de chez nous. Ces derniers vêtus bizarrement d’un pantalon ample

nommé saroual et une chéchia sur le crâne ont campé quelques temps et sont repartis comme ils

étaient venus.

Le temps s’écoulait, le quotidien restait le même; tous les matins, au son du clairon, les clous des chaus-

ses de la maréchaussée me martelaient ; le lourd portail s’ouvrait et se fermait dans un grincement couvrant

le juron du préposé peu disposé à en assurer la manœuvre après que la cloche eut été énergiquement agitée

par le visiteur.

Les vélos remplacèrent les chevaux et je doute encore du bien fondé de cette évolution mais cette décision

fut certainement prise par les gens de la plaine.

Page 5: Gazette AHV 2012

Puis ce fut la place.Puis ce fut la place.Puis ce fut la place.Puis ce fut la place.

Un jour, grand chambardement, la gendarmerie fut déménagée, et les masses et les pioches ont eu raison

du mur d’enceinte. On abattit l’acacia et l’orme, on eut pitié des deux marronniers.

Le monde change, il faut s’adapter. La gendarmerie devenue habitation, ses annexes étable, aussi, matins

et soirs à heures régulières je vis sortir et rentrer un troupeau de bovidés soit pour aller se désaltérer à

l’abreuvoir soit pour partir ou revenir des pâturages aiguillonné par Valentin. Ce fut la période agricole et

le manège des charrettes de foin, et de bois.

Tous les ans au mois de juillet, des attelages amenaient les gerbes de blés qui étaient éparpillées sur toute

ma surface et les fléaux maniés de mains de maître séparaient les grains de blé de leur coquille .Une fois

passés par le van (le bentadou), manipulé par des bras bénévoles pour débarrasser les

impuretés, ces grains de blé remplissaient les sacs de jute. Plus tard ce fut la batteuse qui

eut fière allure et fit impression. Démarrée par Salomon, à l’aide d’une grande manivel-

le, la large courroie de cuir entrainait les rouages dans un vacarme assourdissant sous

l’œil admiratif des badauds. Elle remplaça avantageusement le fléau et….le travail des

femmes.

En septembre lorsque le soleil d’été avait terminé sa mission d’amener les grains de raisin à

maturité mais surtout de les conseiller à faire le plein de sucre, le pressoir de Justin entrait en

fonction. Il foulait les grappes venant des vignes des lacets du col de la Cruz, de Permagnane,

de Frounguet, de Canals ou des Esportes. Alors chatouillait mes narines l’arôme du futur élixir

Axatois. Certains se gaussaient de l’âpreté de son corps mais d’autres, les travailleurs des bois,

des champs et des scieries, la gourde en peau de chèvre ou le pourro bien rempli vous diront

en les portant à hauteur des lèvres que c’était un nectar bénit des dieux.

Il m’est aussi arrivé de drôles d’imprévus. Quelques soirs d’octobre, alors que les montagnes environnan-

tes se couvraient d’un voile blanc, un troupeau de moutons s’arrêtait pour la nuit, épuisé par une longue

marche. Venant des Pyrénées ariégeoises et se rendant dans la plaine, le berger dut choisir mon environ-

nement pour la facilité à assurer la sécurité du troupeau. Inutile de vous décrire mon état après son dé-

part mais ils existent toujours des âmes charitables pour tirer profit d’une quelconque aubaine et les jar-

dins des alentours furent ravis de recevoir ce lisier mais tout me laisse à penser que quelques agneaux

changèrent de propriétaire.

Toute cette activité était quelquefois perturbée par la sortie du corbillard garé dans la remise attenante à

l’étable et prélude à un recueillement imminent et à une tristesse partagée. Mais ma réticence à surveiller

ce lieu angoissant a fait réagir les pouvoirs publics et ce triste véhicule tracté par le cheval de Charles, fut

remisé dans la rue du dessous. Je dois vous préciser que j’observais d’un œil persifleur le changement

d’allure de certains passants grands et petits à l’approche du funeste portail, la nuit tombante. Dans ce

sombre registre, j’y ajouterai les sorties nocturnes de la chèvre de Pierrasse dont on ne distinguait que les

deux yeux brillants dans les rues mal éclairées ce qui fit hurler un soir un jeune garnement vociférant….

un loup…un loup… ! En prenant les jambes à son cou.

Page 6: Gazette AHV 2012

Ensuite ce fut la place des marronniers. Ensuite ce fut la place des marronniers. Ensuite ce fut la place des marronniers. Ensuite ce fut la place des marronniers.

Témoins aussi de ces bouleversements, ils prirent un volume considérable étendant leurs ramures sur

la moitié de ma surface. Les charrettes disparurent et avec elles toute l’acti-

vité paysanne. Je vis arriver les 4 chevaux et autres dauphine, aronde, on-

dine, P60, Peugeot 203, panhart, qui prirent place sous les marronniers. Il

y eut aussi le camion de Clément le citroën U23. Je n’ai jamais su s’il était

garé le nez toujours tourné vers la fontaine comme pour surveiller mon

entrée ou bien pour profiter du début de la pente qui lui en assura quel-

ques fois son démarrage et ainsi évita quelques retours de manivelle. Ce

serait un sacrilège d’omettre sa haute fonction une fois par an. En effet, lors de ma fête, les musiciens

s’installaient sur son plateau et dans sa remorque prenaient place les jeunes enfants du quartier. Et,

Clément au volant, ce convoi ainsi formé et décoré de quelques guirlandes confectionnées avec du

lierre, des branche de buis et de sapin, s’ébranlait joyeusement sous une musique entrainante pour

faire le fameux et très attendu tour de ville.

Je vis aussi arriver les premiers vacanciers catalans, albigeois, narbonnais, parisiens et nordistes qui

pour la plupart d’entre eux se sédentariseront ou resteront à jamais nostalgiques.

De nouvelles activités virent donc le jour, celle du commerce et

des loisirs. Une fois par semaine le klaxon d’un véhicule signalait

son arrivée, le volailler de Mazère, le jardinier de Belvianes

Mathieu, le marchand de pêches des PO, le fromager,

méthode moderne qui a remisé le charriot du rémouleur,

celui de l’étameur, la poussette du Petit Paris, la gitane

Lola et le négoce de draps, ou le peillarot (celui qui ache-

tait les peaux de lapin en s’annonçant d’une

voix chantante: « peillarot pei de lapi ». Le klaxon et ensuite le haut parleur ont également

fait oublier le roulement de tambour du garde champêtre « Paouquet » avant lecture d’un

quelconque évènement ou procès verbal émanant de l’édile municipal sans que sa voix aus-

tère ait lancé : avis à la population…… !.

Il fallait tout de même une exception, un souvenir de ce passé récent, l’immense pousset-

te de Mme Calpès et ses cacahuètes allant tout les dimanches assurer l’ouverture et la

clôture de la séance de cinéma afin de délecter les amateurs de sucreries.

Page 7: Gazette AHV 2012

Pour terminer la place du MarocPour terminer la place du MarocPour terminer la place du MarocPour terminer la place du Maroc.

Ce terme vient-il du fait que le bien nommé Henri le coif-

feur du village aurait lancé un jour à un intervenant si

vous avez chaud, la haut, c’est parce que c’est le Maroc ! »

en antinomie au fait que, en bas, il y ait la fraîcheur de la

rivière ? Où bien que des gens bizarrement vêtus aient

fait un jour une halte un certain temps ? Où pour conclu-

re que, lors des corsos durant les fêtes de carnaval d’Axat

rivalisant avec celui de Limoux, de Nice ou de Venise, des

costumes marocains eussent été confectionnés ?

Ceci étant, cette dernière dénomination m’a convenu. Je

suis toujours le lieu qui a laissé place à la création, aux

jeux, aux services. Mes meilleurs alliés sont les enfants, grands et petits. Il n’était qu’à voir leur ima-

gination à fabriquer des carrioles et faire des courses sur le chemin de la carrerrasse, ou descendre la

rue avec leur bolide pour s’arrêter dans la rue de l’église , se transformer en cow boys et en indiens et

partir à l’assaut du château… le fort Alamo, grimper tout en haut des marronniers , faire des courses

de billes dans les petites rigoles toujours alimentées par l’eau de fontanille et baptiser ces boules de

couleur Anquetil Poulidor ou Darrigade, les jeux de citrons dans les bassins, les courses de cache-

cache, les premiers flirts, les compétitions de vélo et patins à roulettes avec obligation de ne point

tourner autour des voitures, les jeux de ballons et les grands matchs de foot. Je ne peux oublier les

grandes parties de pétanques les soirs d’été avec plus de spectateurs que de joueurs tant les parties

étaient serrées et l’honneur de chacun défendu avec acharnement mais aussi les joutes verbales en

patois ou catalan provoquant les fous rires de l’assistance toujours prête à taquiner l’un ou l’autre des

concurrents.

Mais voilà ces dix dernières années, un groupe d’énergumène, les AHV

qu’ils s’appellent tel un virus, et qui réunissent toutes les nationalités,

dépassent les règles de déontologie. Il faut que je les surveille. Ils ont déjà

mis une plaque place des fêtards qui a succédé à Espace Danois. Essaie-

raient-ils de me débaptiser? Il suffit d’en voir un et, aussitôt, les autres

arrivent. De casses croûtes géants en conclusion de débats acharnés, de

construction sauvage à des apéritifs qui n’en finissent plus, de soirées

arrosées à des danses endiablées, ils ne peuvent se passer de mon espace et je resterai toujours pour

tous, la place du Maroc, un lieu ou il fait bon se rencontrer, s’amuser, rire et pleurer.

A diciats

Tonton Jules

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Passant, promeneur, touriste, estivant, voyageur, toi qui visite notre village je vais te raconter l'histoire de mon village transmise par les anciens.

Tout d'abord les origines du village : AXAT tirerait ses origines du nom primitif du fleuve Atax qui signifie "fleuve audacieux", au moyen âge ATAX devint ALDAE et le bourg ALDESATUS; dans les temps modernes , le fleuve devint AUDE et le nom du bourg ALDESATUS se transforma en AXAT

Il semblerait qu'il y aurait eu un oppidum habité par des Ibéros Actacins ;cet oppidum devint château fort sous les Visigoths Au XIII siècle , la seigneurie d'AXAT appartient à la famille DU VIVIER Le 13 Octobre 1467 Arnaud DAX, fils de Roland DAX consul de Carcassonne acquit les seigneuries d'AXAT des mains d'Antoine DU VIVIER En 1583 le fort est remis en état en prévision d'une attaque protestante

Et la vieille église Le 1er Juin 1614 Raymond de D'AX se marie avec demoiselle DE MONSTRON de SAUTON, fille d'Alexandre ,seigneur d'Escouloubre . Raymond fit bâtir l'église d'Axat et sa femme y fit placer une cloche (une inscription lisible sur celle-ci l'atteste )* En 1636 une bulle du Pape l'autorise à faire bénir l'église . Raymond mourut en 1673 à Quillan; il est inhumé sous le maître autel de l'église qu'il fît construi-re ; son fils Jean DAX III baron d'Axat sénéchal de France y repose lui aussi . Celle –ci devint église paroissiale jusqu'en 1958 date à laquelle elle sera désaffectée Aujourd'hui en partie réhabilitée elle est destinée à recevoir des manifestations à caractère culturel (expositions, soirée poésie ,concert ….) La nouvelle église , se trouve dans le bas du village ,elle possède de magnifique statues classées ; Saint Pierre et la Vierge en stuc et une Vierge en bois qui fut certainement

Enfin le château En 1793 le château en mauvais état est abandonné par Ange-Jean Michel Bonaventure DAX, marquis d'AXAT qui fit construire une nouvelle demeure en bas de la colline; cette maison existe toujours et porte le nom de "château"; elle sera vendue en 1894 à un banquier de Limoux . Vers les années 1950 la famille DAX demeurant à Paris propose à l'abbé LATORRE, curé d'Axat, d'offrir le vieux château à la paroisse; devant son refus , il fut vendu pour le franc symbolique à la commune alors que M. Gorse était maire. À suivre ...

Elyane