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Denis Sennechael, Vice PrésidentBenelux, Sales and Operations chez Axway

Axway envisage de s’installer à LuxembourgAxway, spécialiste des échanges métier sécurisés et présent depuis longtemps en Belgique (Bruxelles), aux Pays-Bas (Zaltbommel) et en France, réfléchit de plus en plus à ouvrir un bureau au Grand-Duché. Avec près de 200 clients au Benelux, la société est déjà active sur le territoire. Après avoir mis en place une gouvernance globale pour le Benelux en combinant les entités belges et hollandaises, l’idée d’Axway est de se rapprocher de ses clients et de ses partenaires luxembourgeois. Avec une présence dans 25 pays, l‘ambition de l’éditeur est aussi de parvenir à être un éditeur mondial, alliant dimension globale et locale.

«On ressent depuis quelques années une demande accrue pour nos services à Luxem-bourg, ce qui nous a forcé à augmenter nos activités dans la place et va sans doute nous pousser à ouvrir une succursale au Grand-Duché. L’intérêt d’une plus grande présence ici s’illustrerait tant en Sales qu’en Delivery. On a remarqué un vrai besoin de compé-tences ciblées et de consultance locale», explique Denis Sennechael, Vice Président Benelux, Sales and Operations chez Axway. Actuellement à l’étude, le business plan pour-rait permettre de lancer le projet d’ici 2011 et pourrait également mener à de nouveaux partenariats. L’éditeur travaille d’ores et déjà avec Econocom, Dimension Data, Verizon et CSC. «En étant présents sur le territoire, nous pourrions travailler encore plus efficacement avec nos partenaires», ajoute-t-il.

Un contexte normatif changeant

Le marché des paiements est en forte évo-lution ces dernières années. De nombreux défis se posent désormais aux entreprises qui

échangent des données financières, suite aux évolutions des normes d’échanges bancaires et interbancaires. On peut citer entre autres, l’application généralisée de SEPA (Single Euro-pean Payment Area) et les transformations des échanges SWIFT et EBICS. De nombreuses institutions financières vont également devoir faire évoluer leurs infrastructures techniques pour rester compétitives et réussir à conser-ver leurs parts de marché dans ce contexte. Pour répondre aux contraintes grandissantes de rapidité et de réactivité, Axway a mis en place une nouvelle plate-forme B2B entière-ment sécurisée et mutiformats. «FEX (Axway Financial Exchange) met en place une gestion centralisée de l’ensemble des flux financiers. Elle permet une bonne visibilité et assure la sécurité et le contrôle des transactions effec-tuées. La plate-forme réduit à la fois les coûts et les risques. Son intérêt est aussi l’automa-tisation et la standardisation qu’elle permet», explique Pierre Mislin, Directeur du centre de compétence EMEA pour Axway. La plate-forme offre en outre toute une série de fonctionnalités à valeur ajoutée comme

la gestion des processus et différents outils d’analyse et de supervision. Elle ne traite pas seulement des interactions sous forme de messages, mais aussi des fichiers, des e-mails… «Nos protocoles facilitent les com-munications à l’intérieur de l’entreprise, mais aussi à l’extérieur et permettent de suivre les tendances du marché, que ce soient les besoins de standardisation, l’accéléra-tion de la dématérialisation, les nouveaux instruments de paiement, l’évolution des protocoles, les nouveaux acteurs de servi-ces qui font leur apparition ou les évolutions en matière de réseau», continue-t-il. «Notre objectif pour 2011 est d’être un des leaders des interactions métiers. Nous sommes le seul fournisseur mondial à couvrir quatre fonctions clés : la gestion, l’exécution, la sécurisation et la supervision de toutes les interactions à travers les mails, les faxes, les processus ou encore les services», termine Denis Sennechael.

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EMC révolutionne la gestion de l’informationEMC, l’un des plus importants fournisseurs d’infrastructure de gestion d’information au monde a fait de la gouvernance de l’information un de ses chevaux de bataille. Après avoir renommé son département dédié à la gestion de contenu «Information Intelligence Group», l’éditeur américain a récemment présenté les dernières innovations de sa gamme phare Documentum.

«Notre nouvelle division reflète aussi un concept dans lequel on croit et illustre le future de l’information, il nous laisse aussi de l’espace pour grandir. xCP est la version optimisée et simplifiée de Documentum, c’est un de nos axes de développement fort pour l’année à venir. L’outil représente la prochaine généra-tion de plate-formes de gestion de contenu», explique Withney Tidmarch, Chief Marketing Officer chez EMC. «Après la force de travail, l’information est l’atout le plus important d’une entreprise. Notre but est de construire des outils qui aident les compagnies à tirer le meilleur de leurs données. Les infrastructures qu’on propose permettent à la fois de stocker, protéger et gérer les informations de manière intelligente afin qu’elles soient partageables, accessibles et trouvables», complète Mark Lewis, Chief Strategy Officer chez EMC.

Use iT, share iT anD sTore iT

Le paysage de l’IT se transforme et les mar-chés évoluent de plus en plus rapidement, le constat est sans appel. «Il nous faut nous adapter et rester créatifs. Les décisions doi-vent se prendre plus rapidement que jamais. Les trois plus grands challenges à venir selon moi, sont l’augmentation et la dispersion conti-nues des quantités d’informations produites, ce qui augmente forcément les besoins en matière de stockage. Le deuxième défi est la pression grandissante de la régulation et

ce, particulièrement dans les secteurs de la santé et de la finance. Un autre challenge important est les nouveaux usages qui sont faits de l’IT. Les réseaux sociaux ont fortement changé la consommation d’information, c’est devenu le principal vecteur de collaboration aujourd’hui», détaille Mark Lewis.

Des nouveaux types d’utilisateurs font éga-lement leur apparition et imposent leurs usages. Ils veulent contrôler leurs outils, être mobiles et pouvoir se connecter de n’importe où et n’importe comment. «L’utilisateur de 2010 ne ressemble plus à celui d’il y a cinq ans ! Il y a eu un vrai changement de pouvoir. Il y a quelques années, l’IT avait la mission de tout contrôler, elle est désormais vue comme un service. Les utilisateurs veulent de la flexibilité. Les évolutions comme le cloud computing et l’Internet mobile vont permettre une plus grande liberté et facilité d’utilisation, ainsi qu’une plus grande proximité avec les clients. Elles vont aussi brouiller les frontiè-res entre usage privé et professionnel des technologies. La notion de sécurité va devoir fortement changer,» continue-t-il.

Une pLaTe-forme eT Une commUnaUTé D’UTiLisaTeUrs

Pour répondre à ces nouveaux enjeux, le produit phare d’EMC veut permettre à ses uti-lisateurs d’améliorer leur niveau de compliance

et de promouvoir leur agilité, tout en étant plus réactifs. La plate-forme allie pour cela applica-tions de gestion de contenu, des possibilités de communication, des business process, des historiques, des captures de document...

«Le plus important pour nous est le mariage réussi de ces technologies. L’automatisation, la communication et la compliance en sont les piliers», ajoute Withney Tidmarch. L’outil veut s’adresser à toute taille d’entreprises et d’organisations souhaitant tirer plus de valeur de leurs informations quel que soit le volume de leurs données. Outre son design amélioré, xCP offre de nouvelles fonctionnalités comme un index et un outil de recherche pointu. Les utilisateurs peuvent à présent chercher par texte, mots-clés et metadata.

L’idée avec xCP est aussi de créer une vraie communauté d’utilisateurs qui s’en-traident et peuvent proposer des nouvelles applications et autres accélérateurs. Une librairie rassemblant document utiles et fiches techniques est également accessible par tous. «C’est important de partager et d’échanger avec les autres clients, ce sont souvent les mêmes problèmes rencontrés. Il y a un vrai transfert de connaissances vers la communauté», achève Michel Manias, Documentum Specialist chez International Telecommunications Union.

Mark Lewis, Chief Strategy Officer chez EMC

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AcTuAL ITDOCUMENT MANAGEMENT

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AcTuAL IT TéLéCOM

Ericsson fait grandir son réseau

Présent dans 140 pays, l'entreprise suédoise souhaite s'implanter durablement à Luxembourg et dans la Grande Région. Avec plus de 1000 réseaux dans le monde entier, ce sont des milliards d'appels qui transitent par les infrastructures d'Ericsson chaque année. Une des ambitions affichée de l'opérateur pour l'année à venir est d'en faire profiter davantage la place financière.

Principalement actif dans les secteurs des télécoms et des solutions multimédias, Ericsson souhaite également faire connaître son offre en matière de Managed services. C'est aussi et avant tout une des seules compagnies globales à proposer des solutions de bout en bout en matière de télécommunications à la fois mobiles et fixes.

Un pieD aU LUxemboUrG

Présente à Luxembourg depuis 1997, Ericsson souhaite augmenter sa présence et ses activités dans la place. L'équipe luxembourgeoise rassemble aujourd'hui quelque 40 spécialistes. «Nos dernières priorités au Grand-Duché ont été de nous concentrer sur l'amélioration de l'accès au wifi via un réseau 3G en collaboration avec les P&T. Ensuite, on a exploré davantage le marché de la fibre destinée aux particuliers. La prochaine étape va être de développer le LTE, qui a déjà été testé en Allemagne et également d'améliorer l'IP Tv», explique Jean-Claude Géha, Président d'Ericsson Belgique et Luxembourg.

Une des priorités pour 2011 va aussi être de continuer à investir en R&D pour proposer des solutions adaptées aux nouveaux besoins des clients. «Le Luxembourg dispose d'un cadre législatif et d'un gouvernement très encourageants au niveau ICT. Nous avons

récemment décidé de déplacer certaines acti-vités ici comme nos relations avec Vodafone. Nous voulons encore augmenter notre pré-sence au Grand-Duché pour supporter tout le business de la Grande région», ajoute-t-il.

vers Un monDe enTièremenT connecTé

Le monde des télécoms est en pleine muta-tion depuis plusieurs années. Convergence et mobilité sont à présent devenus les maî-tres mots. D'ici 2020, on estime que plus de 50 milliards d'appareil électroniques seront connectés, soit une croissance de 1.000% par rapport à 2010 ! «Les nouveaux besoins des consommateurs vont demander de plus en plus de capacités. Le trafic double presque chaque année ! A titre d'exemple, les derniè-res possibilités en matière de télévision mobile vont fortement solliciter le réseau», continue Jean-Claude Géha. «Dans un futur proche, la société au sens large va avoir besoin que tout soit connecté, et ce, dans différents sec-

teurs pour améliorer la qualité de la vie des citoyens. Le domaine de la Santé illustre bien cette tendance. En effet, la population vieillit un peu partout en Europe, ce qui va repré-senter des budgets énormes. Optimiser les communications entre patients et médecins va être un enjeu important», poursuit-il. Pour ce faire, Ericsson a mis en place une plate-forme actuellement à l'étude en Croatie, permettant de suivre jour à jour l'historique des patients et d'assurer un suivi de ceux qui doivent être surveillés. Des capteurs placés à domicile extraient les données du patient à distance et en temps réel, et la plate-forme les centralise et les envoie aux médecins responsables. « Le secteur de la Santé est celui qui a la croissance la plus importante dans le domaine de l'extraction des données sensibles. D'autres prototypes sont actuel-lement en phase de test, notamment dans le secteur automobile», termine Jean-Claude Géha. Gain de temps et énergétiques, les possibilités sont nombreuses.

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Jean-Claude Géha, Président Ericsson Belgique & Luxembourg

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Le CV de confianceAvec les réseaux sociaux, le CV est-il devenu moins fiable? Avec CVTrust, le chercheur d'emploi offre un nouveau label à son CV, avec un stamp de confiance. 20 à 50 % des CV's partagés dans toutes les CVthèques seraient en partie, plus ou moins grande, faussés, si pas mensongers

David Goldberg, Créateur de CV Trust

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AcTuAL IT RECRUTEMENT

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David Goldenberg, créateur de CVTrust, a eu fort à faire avec les soucis d'interpréta-tion que l'on peut avoir d'un CV. En tant que Business Manager chez Altran en Belgique, entreprise sponsor moral du développement de CVTrust, il a eu à composer des équipes, analyser des candidatures, checker des CV D'où l'idée d'une plate-forme web qui rendrait enfin toute la transparence au CV, mettant le candidat en phase avec son Sum-mary. «Je suis convaincu que les candidats en général souhaitent mettre leur parcours dans un CV en toute transparence. Mais il existe aussi une tentation d'embellir quel-que peu ci et là le résumé d'une carrière.» Avec CVTrust, le candidat se fait valider son CV en amont de sa diffusion, par des référents, à la manière des recommandations que l'on peut avoir dans un outil comme LinkedIn, mais que sur les éléments factuels et pas sur les appréciations personnelles.

poUr Le canDiDaT

«D'une part, le candidat peut se faire vali-der les éléments factuels du CV. : les dates, les employeurs, les missions. Il n'y a pas ici de jugement de valeur ou de copinage.» Le candidat adresse à ses contacts dans les missions qu'il a exercées par le passé une demande de référence, un DRH, un Manager, un client, un N+2... Une référence validée se comporte comme un simple grand V vert, alors qu'un rejet est exprimé en rouge. Avec ce système, CVTrust ne remplace pas la recommandation orale ou la vérification des références nécessaires par le recru-teur, mais facilite son travail. Une base de confiance est établie.

L'outil est convivial, simple à utiliser et com-porte plusieurs avantages. D'une part, il est ouvert, car le candidat peut utiliser le lien vers son CVTrusted dans n'importe quel réseau social, CV word ou pdf, e-mail de candida-ture, profil dans une CVthèque Les référents ne sont ainsi sollicités qu'une seule fois, et pas pour chaque type de document ou profil de réseau social. «Notre outil n'est pas une plate-forme socialisante. Il est un complé-

ment à cela. Il sert de dépositaire central de la validation factuelle des éléments du CV. Nous avons créé un outil qui convient à la fois aux candidats, aux recruteurs et aux référents. Ainsi, il n'est ni un jouet ni un pistolet sur la tempe du candidat.

Pour les recruteurs et les professionnels, CVTrust offre un gain de temps, avec des checks de base déjà validés. Dans la pro-chaine version, CVTrust hébergera aussi des pièces attachées de recommandations. L'outil est gratuit pour les candidats et sous diverses formules selon les besoins des recru-teurs, allant du gratuit au prix par crédit.

poUr Les sTaffeUrs

«Une des pistes pour le développement de CVTrust pourrait passer par l'adoption de la plate-forme par une grande entreprise qui l'imposerait à ses fournisseurs de staffing.» En effet, une des cibles privilégiées de la plate-forme tient aux freelances qui pourraient avec CVTrust ramener de la confiance au client final. Par exemple, le secteur public requiert souvent un CV sous une forme bien précise ; mais rien n'est recommandé quant au fond des éléments du CV. CVTrust pourrait garantir une partie de l'authenticité du CV. «CVTrust ne remplacera pas le CV traditionnel, le call avec un référent, l'assesment ou la face-to-face interview. Il s'agit juste d'un élément de confiance mis en amont du process.»

Axxis, Hudson, Altran, Robert Walters, Robert Half, Michael Page et bien d'autres cabinets testent ou déploient la solution CVTrust en ce moment. Les retours sont positifs et des contacts à Luxembourg sont envisagés. CVTrust travaille aussi sur l'intégration avec des jobboards qui veulent offrir la fonction-nalité et avec de systèmes de GRH comme élément de la chaîne de capture de CV dans le front-end (les pages carrières des grandes entreprises). L'outil est disponible en pluggin ou en stand-alone et pourrait aussi bientôt valider les éléments factuels du côté acadé-mique avec des universités ou écoles...

mark simpsonPartner chez Lancelot Network

Le CV, en vérité !

Avec un marché du travail toujours incertain, les candidats en recherche d’un emploi doivent se livrer à l’exercice peu banal de rédaction d’un CV. Or, on peut se demander à quel point et surtout à quel moment un CV est vraiment utile.

Comme dans toutes les relations humaines, nous avons tendance à apprécier les personnes franches, honnêtes et sans complication. On recherche la même chose lorsqu’on fait connaissance avec quelqu’un à travers un CV. Idéalement, le CV doit simplement donner envie au recruteur d’en savoir plus, de creuser et clarifier les domaines qui sont intéressant pour le poste à pourvoir. Au-delà des faits relatés dans le document de candidature, le recruteur se doit de comprendre l’individu : dans les non-dits, par le style, au travers de ses choix de mots, de l’attention apportée au détail, à l’accent accordé aux expériences et la mise en valeur de ses réussites.

Si au final le CV ne tient pas plus qu’à une publicité ou qu’à un document de personal branding, comment lire entre les lignes et comment interpréter les faits ? Cependant, lorsque le CV que vous lisez vous est destiné personnellement, vous êtes en droit d’imaginer que la personne a pris le temps de soigner et orienter le contenu en conséquence de votre proposition.

Mais en tous les cas, le recruteur se doit de tout valider. Le CV est un piège, tant pour les candidats que pour les recruteurs. Le candidat ne peut pas tout dire, et le recruteur mandaté pour prendre une décision après une lecture rapide, ne peut pas tout imaginer ! Pour le recruteur, le CV doit simplement donner envie de passer à l’étape suivante, la plus importante : la rencontre interpersonnelle entre le candidat et le chargé du recrutement.

L'avis du recruteur

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> Logica rend les applications plus mobiles p.69

> Clearstream intègre la réconciliation automatisée dans le SSB p.70

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Cependant parmi les milliers d’applications disponibles, relativement peu sont aujourd’hui transactionnelles et connectées aux systèmes de gestion des entreprises. Une révolution qui n’en est qu’à ses débuts mais qui modifi era probablement grandement nos habitudes de consommation d’Internet.

Il est bien évident qu’il ne faut pas chercher à transposer sur tablette, iPad ou autre, des applications existantes, mais bien à exploiter les spécifi cités tactiles et d’interactivité de cesenvironnements. Et surtout, il faut veiller à l’adéquation entre les applications créées pour ces tablettes et les attentes utilisateurs qu’ils soient professionnels ou clients privés. Tous les services ne peuvent et ne doivent être retranscrits sur tablettes ou smartpho-nes. Il faut toujours conserver à l’esprit la réalité business de ce genre d’applications.

«Lors de ce lunch, nous vous proposons de partager des retours d’expérience sur de nouveaux usages business de ces terminaux, de leur conception à leur réa-lisation, en s’affranchissant des schémas classiques du développement d’applica-tions. Nous évoquerons également les problématiques de sécurité, liées à ces nouveaux usages ainsi que d’autres types d’applications comme la réalité augmentée», précise Guillaume Schott, Technical Manager chez Logica.

Logica rend les applications plus mobilesLes plates-formes mobiles sont aujourd’hui de plus en plus présentes dans notre vie de tous les jours. Ces nouvelles plates-formes offrent de grandes possibilités du côté du développement d’applications et deviennent donc une destination essentielle de toute campagne Web.

transactionnelles et connectées aux systèmes de gestion des entreprises. Une révolution qui n’en est qu’à ses débuts mais qui modifi era probablement grandement nos habitudes de

Il est bien évident qu’il ne faut pas chercher à transposer sur tablette, iPad ou autre, des applications existantes, mais bien à exploiter les spécifi cités tactiles et d’interactivité de cesenvironnements. Et surtout, il faut veiller à l’adéquation entre les applications créées pour ces tablettes et les attentes utilisateurs qu’ils soient professionnels ou clients privés. Tous les services ne peuvent et ne doivent être retranscrits sur tablettes ou smartpho-nes. Il faut toujours conserver à l’esprit la réalité business de ce genre d’applications.

«Lors de ce lunch, nous vous proposons de partager des retours d’expérience sur de nouveaux usages business de ces terminaux, de leur conception à leur réa-lisation, en s’affranchissant des schémas classiques du développement d’applica-tions. Nous évoquerons également les problématiques de sécurité, liées à ces

Petit-déjeuner d’ITnationJeudi 20 janvier 2011Thème ?

Les plate-formes mobiles et leurs exigences IT- état des lieux du marché et perspectives - S’y retrouver dans l’écosystème (constructeurs, applis, internet mobile…)- Une question de cibles et de besoins (démarche de cadrage…)- Cas d’usages types (démonstrations iPhone et iPad)

Quand ? Jeudi 20 janvier de 11h à 15hoù ? Restaurant l’Olivier, 140 A route d’ArlonL-8008 Strassen

Qui ? IVAN BERTRAND,Directeur Associé chez Logica Business Consulting et Directeur de l’Innovation pour Logica France RoMAIN GMEREK, Manager Innovation web & mobile, responsable du centre de compétences iPhone / iPad pour Logica Business Consulting GuILLAuME sChoTT, Directeur technique chez Logica Luxembourg.

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Partenaire de nombreuses institutions finan-cières à Luxembourg, Clearstream Services s'est récemment alliée à Sterci, spécialisé en traitements de l'information financière. Leur offre conjointe proposera de nouvelles possibilités en matière de réconciliation auto-matique en temps réel permettant de réduire les risques opérationnels tout en augmentant le STP. Cette offre vient compléter la liste des services «plug and play» du Swift Service Bureau de Clearstream.

Le sWifT service bUreaU

Depuis quelques années déjà, une connec-tivité à Swift n'est plus uniquement réservée aux grandes entreprises disposant de grands volumes de données. De plus en plus d'institutions font le choix de partager leur infrastructure pour mutualiser leurs coûts. Le SSB en mode Software as a Service

permet d'offrir à tout type d'entreprise un accès au réseau Swift et surtout un service plus important et de qualité. En partageant son infrastructure Swift, Clearstream offre un service de haut niveau, généralement réservé aux grandes entreprises, mais rendu accessi-ble aux plus petites structures en SaaS. La réconciLiaTion en saas, Un oUTiL Très pUissanT

Les techniques de réconciliation automatique existent déjà depuis longtemps mais sont de plus en plus nécessaires pour réduire le risque opérationnel. Dans le contexte actuel, on fait la chasse aux coûts dans le but de les réduire et automatiser au maximum les processus. Les acteurs du monde financier ont un réel besoin d'optimiser leurs coûts et de se focaliser sur leur métier premier.

Pour chaque transaction émise, la solution analyse les confirmations reçues à travers le réseau Swift et effectue automatiquement et en temps réel la réconciliation ainsi que la gestion des exceptions. La solution reste très flexible, et permet au client d'activer «à la demande» les différents modules de réconciliation selon ses propres besoins en fonction de ses lignes d'activités business et ses instruments (Cash, Securities, Forex, Corporate Actions). La solution Stematch de Sterci, en SaaS avec Clearstream, va permettre d'offrir l'accès à une plate-forme de réconciliation très performante et professionnelle dans un modèle économi-que, attractif, très accessible et adapté aux petites et moyennes entreprises.

Clearstream intègre la réconciliation automatisée dans le SSBLe Swift Service Bureau (SSB) a pour but d'accélérer et de simplifier la connectivité Swift, ce qui permet aux entreprises d’accéder facilement à leurs partenaires et d’échanger un volume important de données financières. Après avoir intégré des solutions automatisées d'Anti-blanchiment, de Reporting, de détection de duplicats en SaaS, en partenariat avec EastNets, Clearstream Services aborde maintenant le thème de la réconciliation en s'alliant avec Sterci pour offrir la réconciliation automatisée toujours dans le même mode. Clearstream et Sterci exposeront leur stratégie et les différents avantages du SSB et de la réconciliation en SaaS lors d'un petit-déjeuner ITnation.

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PETIT-dÉjEunER SWIFT

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Petit-déjeuner d’ITnationLe 27 janvier 2010 Thème ? Les plates-formes mobiles et leurs exigences IT

Quand ? 27 janvier à partir de 8h30

où ? Oberweis 1, rue Guillaume kroll, Cloche d'Or

sur ? - Le fonctionnement du Swift Bureau au sein de l’entreprise - Les services SaaS relatifs au Swift Bureau - La réconciliation automatique en temps réelAvec ? - Roberto Ditroia (Clearstream)

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Yeux et oreilles grands ouverts

Carte d’identité :Prénom : Bernard

Nom : Drappier

Age : 58 ans

Nationalité : Belge

Fonction : District Manager et Gérant de EMC Luxembourg PSF

société : EMC Luxembourg PSF

Loisirs : la lecture et de longues promenades dans la campagne avec mon chien quand, par hasard, je suis à la maison

signes particuliers : La tolérance et un sens de l’humour peut-être contestable mais qui m’évite de me prendre trop au sérieux.

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Pour vous l’IT c’est....

Un métier que j’ai découvert par hasard en 1970. J’ai choisi des études en informatique sans savoir de quoi il était question et surtout parce que je n’avais trouvé rien d’autre qui m’intéresse. Cela a été le début d’un magnifi-que voyage dont j’ai apprécié tous les instants.

L’IT est aussi un formidable catalyseur d’innovation. Soit en s’appropriant des technologies qui découlent de la recherche fondamentale, je pense ici au laser, soit en déve-loppant des solutions disruptives comme les micro-processeurs.

L’IT fait face aujourd’hui à un défi considéra-ble. Le volume des informations disponibles dans le monde s’accroît de façon exponen-tielle. Rien qu’en 2009, selon IDC, la quantité d’informations créées et copiées a augmenté de 62% par rapport à 2008. Toujours selon IDC, la projection de volume d’information créé et copié à l’horizon 2020 sera 44 fois supérieur au volume de 2009.

Nous sommes au milieu d’un chemin qui nous conduit vers un monde où tout sera digital. Sur ce sujet, il y a matière à développement mais d’autres l’ont fait beaucoup mieux que je ne le pourrais et je recommande fortement la lecture du livre «The new normal» de Peter Hinsen pour ceux que cela intéresse.

Comment aimez-vous aborder l’IT?

J’essaie d’aborder l’IT en fonction des besoins qui sont exprimés. La technologie pour la beauté de la technologie ne sert à rien pour le business.

Qu’est-ce qui vaut la peine d’être challengé?

Toute solution dont on me dit : on a toujours fait comme cela et cela a toujours bien fonctionné.

Quel est votre sens de l’innovation?

Le moteur de l’innovation s’appelle la R&D. La pérennité d’entreprises ayant une couver-ture mondiale comme EMC repose en grande partie sur la capacité d’innover. Nombreux sont nos clients qui intègrent ce paramètre dans le choix de leurs partenaires stratégi-ques et qui nous questionnent sur la part du revenu que EMC affecte à ce poste.

Ce que vous aimez le plus dans votre métier?

D’abord qu’il ma permis d’entrer en contact avec des gens, des métiers et des situations

diversifiées. Dans ma carrière j’ai eu l’occasion de me frotter aux exigences du secteur finan-cier (difficile d’y échapper après presque 11 ans au Luxembourg), mais j’ai aussi collaboré à un projet d’automatisation de plates-formes pétrolières en Mer du Nord par exemple. Pas-sionnant.

Plus important peut-être et certainement moins «égocentré» : que l’on soit du côté utilisateur ou du côté fournisseur, l’IT est un métier qui nécessite la collaboration, le travail en équipe, de multiples spécialistes. Et la valeur de toute solution mise en place repose avant tout sur les gens qui y ont participé. Cette dimension humaine a déjà été mentionnée par Charles Mandica dans un profil précédent. Je suis totalement en ligne avec son approche.

Ce que vous aimez le moins dans votre métier?

Etre considéré par ma famille, mes amis et mes voisins comme un spécialiste de l’informatique et donc obligé à passer mes w-e à résoudre leurs problèmes PC. Ce que je fais volontai-rement très mal. Ceci dit, après avoir effacé une fois ou deux la totalité du disque dur du PC de certains de mes enfants pour éliminer un très «méchant» virus, j’ai dû constater une fréquence d’infection en très nette diminution !

Comment considérez-vous la place luxembourgeoise?

La relation personnelle et le respect humain qui en découle est un aspect essentiel de la place luxembourgeoise. La dimension de ce marché y est certainement un facteur important qui per-met d’éviter l’anonymat des pays voisins, mais je trouve exceptionnel ce consensus implicite qui veut que l’on soit capable de distinguer l’individu de la société qu’il représente.

Quel est le produit ou solution professionnels que vous avez remarqués ces derniers mois?

Si je peux me limiter à EMC et au chemin que nous parcourons ensemble avec nos clients vers le cloud computing, je mentionnerai alors l’intérêt technologique des sociétés récemment acquises telles que Greenplum et Isilon. Elles complémentent de façon parfaite les déve-loppements propres d’EMC dans ce domaine comme V-Max, VPLEX et les packages Vblock préconfigurés par EMC, Cisco et VMware.

Pourquoi choisir vos services?

Je mentionnerais trois raisons : notre présence locale avec une équipe forte d’une trentaine de spécialistes, des partenaires à valeur

ajoutée et une offre complète et intégrée permettant de gérer efficacement l’informa-tion numérique. Nous sommes actifs dans des secteurs en expansion comme le cloud computing, la déduplication, la virtualisation, la protection et la gestion de l’information. Par ailleurs, nous constituons également un choix intéressant pour nos clients au Grand-Duché du fait de notre position de leader sur le marché tant mondial que local. Fort de notre certification PSF, nous nous profilons également comme un partenaire très fiable pour le monde financier à Luxembourg.

À quoi ressemble une journée type?

Parce qu’il existe des journées types ? Tra-vailler dans des schémas fixes n’est pas ma tasse de thé. J’ai par contre des priorités types : le plus présent possible auprès de nos clients et en même temps le plus disponi-ble possible pour l’équipe. Je pense qu’avec l’annonce prochaine des journées de 48h je devrais y arriver.

Développements ou conseils?

Le monde change en permanence. Prenons pour exemple l’évolution de l’industrie finan-cière. Gardez les yeux et les oreilles grands ouverts. Soyez flexible. Adaptez-vous. Ecou-tez d’abord, analysez et ensuite parlez.

Bloc-notes ou PDA?

Bloc-notes. Lorsque je n’oublie pas mon stylo. Auquel cas je me replie sur la solution PDA de secours.

Quels sont vos passions et hobbies?

Ma passion ? Ma famille. Directement après mais après quand même, mon métier. Pour mes hobbies, les choses sont plus simples : la lecture, les promenades et dans une moin-dre mesure, la musique.

Votre endroit préféré à Luxembourg ?

Le Luxembourg. C’est un pays simplement magnifique. Avec des paysages fabuleux. Tous les matins, pour aller à mon bureau, je traverse une forêt qui chaque jour est différente. Que demander de plus !

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