journal contacts 2018 2 -...

J O U R N A L C O N T A C T S 2 0 1 82

a qualité matérielle du journal reflète bien la qualité de notre IUP, celle de nos étudiants et elle doit beau-coup à notre graphiste préférée, Yvonne Deprez.

Ce journal est devenu au fil des années un élément incontour-nable de notre communication interne et surtout externe, à destination notamment des candidats à l’entrée de l’IUP.

Les bacheliers et les diplômés Bac+2, Bac+3 ou Bac+4 sont-ils spontanément attirés par les métiers de la banque ? Proba-blement pas… Depuis quelques années, le constat est général au sein du réseau des IUP-Masters de Finance : les candida-tures ont baissé à l’entrée de nos L3. Certes, la généralisation du LMD incite les étudiants à terminer leur licence et à postuler en Master 1 seulement, mais cela n’explique pas tout.

Le questionnement est légitime :

grand public ? La crise des subprimes et ses incidences ? Les procès retentissants pour certaines enseignes ? Les at-taques des médias ?

-rence de solutions alternatives, du crowdfunding, des fin-techs ? Le développement de la digitalisation ? La moindre fréquentation des agences et la fermeture de points de vente ?

Les objectifs ? Le relationnel ?

Les éléments de réponse sont nombreux :

qualité et correspondent à des projets réfléchis : le secteur bancaire investit dans l’apprentissage, permet toujours une mobilité fonctionnelle, une progression de carrière et encore un ascenseur social ;

-cipons à l’aventure du digital qui marquera l’Histoire ! Les jeunes diplômés qui intègrent aujourd’hui les e-agences sont au cœur du challenge et connaitront des accélérations de carrière. La montée en compétences est une réalité : l’IUP forme de plus en plus d’étudiants en Licence Professionnelle et en Master. Nos maquettes pour la nouvelle accréditation 2018-2023 sont prêtes : elles prépareront encore mieux à la négociation commerciale, à la compliance, au numé-rique et cultiveront plus que jamais l’agilité intellectuelle ;

-Pistes bien formés ne peut pas être pesante. Au contraire, elle est source de toutes les satisfactions et moteur du quoti-

dien. Nos diplômés accompagnent leurs clients particuliers et patrimoniaux dans les grandes étapes de leur vie de famille (accession à la propriété, protection des enfants…), ainsi que leurs clients professionnels et corporate dans la création d’entreprise, dans de beaux projets de dévelop-pement (financer la construction d’une clinique vétérinaire, l’agrandissement d’un restaurant…). Les montages, les solutions adaptées ne pourront naitre que dans les esprits experts et créatifs de collaborateurs compétents.

Certes, nous naviguons parfois à vue, face aux profondes mu-tations que connait la banque. Mais notre pragmatisme, notre adaptabilité, des formations sur mesure conçues en étroit par-tenariat avec la profession bancaire et la force d’une grande famille soudée (enseignants, professionnels, administratifs, étu-diants, diplômés) nous permettent de nous sentir réactifs, inven-tifs et prêts à affronter sereinement les bouleversements à venir.

Je vous invite à prendre part à une réflexion collective sur ces sujets passionnants et je vous souhaite une bonne lecture.

Je profite enfin de l’occasion pour remercier toute l’équipe de l’IUP…

Fabrice TENETTE, responsable administratif, Valérie HUMBERTCLAUDE, Laetitia et Nicolas LOETSCHER aux secrétariats.

Muriel MICHEL-CLUPOT, directrice adjointe et responsable du M2 NIP,Afef BOUGHANMI, responsable du M2 CAE,Bruno LOVAT, responsable du M1 Finance-Banque,Philippe FENOGLIO, responsable de la Licence professionnelle Assurance-Banque-Finance,Christel DIEHL-HENROT, responsable de la L3 Financeet des projets collectifs,Frédéric STASIAK, responsable du DU PréventionValérie LELIEVRE, responsable de la VAE et du DU « Passerelle »

En bref, l’IUP, c’est un peu le trimaran de François Gabart, pas le paquebot France et encore moins le Titanic !

Allez, bon vent !

Jean-Luc PREVOT

02 04 Architecture des formations05 Une nouvelle Présidente à l’IUP : Hélène SAUVAN

LES FORMATIONS 06 Licence 3 Economie, parcours Finance 08 Licence Professionnelle ABF10 12 Master 2 BPMA14 Master 2 CAE16 Master 2 NIP18 Qui sont les responsables de Masters 2 ? 20 ERASMUS21 Les concours boursiers 22 Les diplômes universitaires24 Le mémoire de Master 2 et le projet tutoré de Licence Pro

L’APPRENTISSAGE 25 L’alternance26 La Maison de la Finance - Interview de Nicolas LAMBERT, directeur27 Le vécu de l’apprentissage : Mégane BERRY, apprentie

VIVRE L’IUP28 Les projets collectifs30 Le Bureau des Etudiants 30 La remise des diplômes 31 La vie étudiante32 32 L’IUP accompagne ses étudiants32 La force d’un réseau36 L’actualité de la recherche : Muriel MICHEL CLUPOT, Afef BOUGHANMI38 Une enseignante d’exception : Gisèle GALHARRET40 La culture à l’IUP

REMERCIEMENTS

Association « Contacts » IUP de FINANCE - NANCY : Eve-Marie CANTIGET, Pauline DUFOUR, Jérémie GEORGES, Clothilde LE PRIOL, Julie MARCHIANO, Mélissa MICHEL, Maxime NEMURAT

Tuteurs du projet : Jean-Luc PREVOT, Christel DIEHL-HENROT / Mise en page : Yvonne DEPREZ© Mars 2018

SOMMAIRE

VOUS AVEZ ENTRE LES MAINS LA DERNIÈRE ÉDITION DU JOURNAL « CONTACTS » RÉALISÉE PAR LES ÉTUDIANTS DU PROJET COLLECTIF DU MÊME NOM, DE LA L3 DE L’IUP FINANCE DE NANCY.

J O U R N A L C O N T A C T S 2 0 1 82 2

LOGIQUEUn investisseur a obtenu en une année un rendement de 6,4% avec un portefeuille boursier constitué de deux lignes d’actions. Durant cette même année, la 1ère ligne d’actions a eu un rendement de 10%, alors que, pour la 2nd, le rendement n’a été que de 1%. Quelle a été la part de la 1ère ligne d’actions dans le portefeuille ?

bonne réponse : 60%

LA LANGUE ANGLAISE If the experiment had been conducted on a larger scale, the results.........

bonne réponse : would have been different

CULTURE GÉNÉRALE ET ÉCONOMIELe taux d’épargne brut est :

avant impôt

après impôt

tenant compte de l’inflation

revenu disponible brut

bonne réponse : La part de l’épargne brute dans le revenu disponible brut

Où se trouve le MuséeNational du Prado ?

bonne réponse : ARNC

L’ENTRÉE À L’IUP Pour qui ?

L’entrée à l’IUP se faisant minimum à BAC+2, il faut préparer ou détenir un Bac +2 (ou plus) pour postuler. Les candidats naturelssont les étudiants issus de L2 (Economie, Gestion, AES..), de DUT (GEA, TC) ou de BTS (Gestion, MUC, Comptabilité...).

Néanmoins, tout postulant titulaire d’un bac +2 et possédant notamment de bonnes connaissances en économie et en mathématiques

Les dates clés de la procédure Début avril : inscription sur e-candidat.Début mai : dépôt des candidatures.

26 mai 2018 : test écrit qui rassemble l’ensemble des candidats.

Fin juin : délibération et publication de la liste des admis.

Le test écrit Il consiste en trois parties sous forme d’un QCM : une série de questions de logique et de repérage de données, une autre portant

sur la langue anglaise, et une dernière sur de la culture générale et économique. Voici quelques exemples de questions posées en mai 2017.Ces exemples sont tirés des annales disponibles sur www.resauiup-banquefinance.org

Pour bien se préparer au test écrit, il est recommandé de s’entraîner en se rendant sur ce site internet.

L’Entretien oral Les 5 conseils pour réussir son entretien

� SAVOIR EXPLIQUER SA MOTIVATION C’est sans doute la difficulté la plus fréquemment rencontrée : le candidat formule mal sa motivation. Il faut savoir répondre à la question « Pourquoi l’IUP ? » et être capable d’expliquer ce que vous pourriez apporter à la future promotion : une bonne culture générale, l’appétence commerciale, la curiosité intellectuelle et l’esprit d’équipe sont des qualités appréciées.De plus, l’IUP forme des étudiants destinés aux métiers bancaires et finan-ciers, par conséquent il est nécessaire de montrer au jury votre volonté de construire une carrière dans ces secteurs.

� PRÉPARER SON ENTRETIEN Préparer son entretien, c’est avant tout se connaître soi-même ! Il faut particu-lièrement bien connaître votre CV et ses composants : vos formations, vos ex-périences professionnelles et vos centres d’intérêt. Les recruteurs vous poseront des questions sur ces éléments, il faut les maîtriser et être capable d’expliquer ce qu’ils vous ont apporté (savoir, savoir-être et savoir-faire).Les recruteurs cherchent avant tout une personnalité : s’il faut bien entendu se valoriser, il ne faut pas surjouer : restez naturel ! Ce sont vos expériences et votre parcours, quels qu’ils soient, qui vous distinguent des autres candidats !Rassurez-vous : une expérience en banque n’est pas indispensable.

� SE MUNIR DE LA PLAQUETTEPour prétendre accéder à cette formation, il convient de l’avoir lue attentivement, de connaître les débouchés, les formations et les projets qu’elle propose : se munir de la plaquette de la formation à l’entretien est donc une nécessité !

� SUIVRE L’ACTUALITÉ ÉCONOMIQUE C’est une qualité très appréciée de l’IUP et des professionnels : elle témoigne de votre intérêt pour la formation. Vous montrez par la même occasion que votre projet professionnel est défini, réfléchi, et en lien avec vos centres d’inté-rêt. L’actualité financière doit donc être suivie régulièrement par le candidat. Il est donc recommandé par exemple d’écouter régulièrement BFM Business et de consulter plusieurs fois par semaine les sites des Échos, la Tribune, etc.

� EN RÉSUMÉ Il est important de bien se préparer à cette épreuve déterminante dans votre candidature. En effet, c’est une chance pour vous de montrer votre motivation

jour J et répondre à vos éventuelles questions.


L2

en ECO, AES,…

DUT GEA, Tech. de co,…

BTS Gestion,…

L2, DUT, BTS

Entretien avec un universitaire et un professionnel

Examen du dossier

Test écrit logique et mathématiques, anglais, culture générale et économie

annales sur www.reseauiup-banquefinance.org


Examen du dossier

Vous avez validé


Examen du dossier

L3 DEG 1

Mention Économie Parcours Finance

stage de 2 mois

autres L3 2

(Eco, AES, Gestion,…)

Licence

ProfessionnelleAssurance, Banque, Finance

spécialité Marché des particuliers

uniquement par apprentissage

Examen du dossierEntretien avec un universitaire et un professionnel

M1 Finance-Banque

- Formation classique (stage 3 mois) - ERASMUS possible - ou par apprentissage

Conseiller

Chargé de clientèle

« particuliers »

M2 Négociation et Ingénierie Patrimoniale

Formation classique (stage de 5-6 mois) ou par apprentissage

Gestion de patrimoine

Chargé d’affaires « professionnels »Direction d’agence

Chargé d’affaires « entreprises »

Cadres financiers en entreprise

1 L3 DEG = L3 Droit, Économie et Gestion 2 DU « Passerelle » = Formation Elémentaire aux Métiers de la Banque

Débouchés

Vous souhaitez une formation Bac +5 - Master Vous souhaitez une formation

Bac + 3 - Licence

M2 Banque des Professionnels et Management d’Agence

par apprentissage

M2 Chargé d’Affaires Entreprises

par apprentissage

autres M1 Eco, Droit, Gestion, AES, Lettres, Sciences Humaines, Sciences…

Possibilité de suivre le D.U. « Passerelle »2

autres L2, DUT, BTSavec ou sans pré-requis en Finance

LA FORMATION À L’IUP

Pouvez vous nous parler de votre parcours ?

ans dans la distribution de presse magazine (Messageries -

ciale, chef des ventes et Responsable Marketing.

avec une carrière animée par 2 fils rouges : l’animation des marchés particuliers, professionnels et entreprises et le ma-nagement : 7 ans au siège en Direction du Marketing sur

agences Ile de France : 2 ans Directeur Marketing Régional – 4 ans Directeur de Groupe (11 agences particuliers-pro-fessionnels – 70 collaborateurs – Paris intra muros) – 4 ans Directeur Régional Délégué Particuliers-Professionnels (70 agences Paris extra-muros – 300 collaborateurs) – 2 ans Directeur Régional Délégué Entreprises (grands comptes – Paris et Région Parisienne – 200 collaborateurs).

Juillet 2017.

Qu’attendez-vous d’un candidat en apprentis-sage ?Nous attendons des alternants un investissement fort et une réelle proactivité : les apprenants doivent être acteurs de leur formation, prendre des initiatives et participer activement à la vie de l’agence. Par ailleurs en matière d’apprentissage, rien n’est possible sans une grande curiosité ; rechercher l’informa-tion par soi-même et se tenir informés des nouveautés est indis-pensable. Enfin, une bonne capacité d’adaptation est néces-saire, notamment depuis la digitalisation du monde bancaire.

Quel regard avez-vous sur l’enseignement dispensé à l’IUP ?Un enseignement très professionnalisant permettant aux étu-diants d’avoir une « vision terrain » du métier de banquier, grâce notamment à l’intervention des professionnels de la banque.

Quel conseil donneriez-vous à un étudiant pour qu’il réussisse son apprentissage ? Investissez-vous pleinement à l’IUP comme à l’agence, adop-

vos ambitions ! Selon vous, quel est le plus gros avantage de la formation en apprentissage ? Pour l’étudiant, bénéficier d’une formation en alternance est idéal pour intégrer une banque dans un cursus professionna-lisant personnalisé, être formé sur le terrain par des profes-sionnels aguerris et avoir une vision globale des métiers en agence. Il a ainsi la possibilité de « tracer » son parcours pro-

fessionnel dans une banque choisie dès son apprentissage.

de demain tout en leur inculquant nos valeurs, nos méthodes de travail, nos pratiques… c’est la formule idéale pour déve-lopper une véritable culture d’entreprise. Pouvez-vous nous dire comment va évoluer la banque de détail et plus particulièrement la Banque Kolb dans les années à venir ?

-drai pas spécifiquement à la question, les Echos et autres s’en font tous les jours l’écho.

-nale née à Mirecourt en 1890 et créée par un entrepreneur local au service du financement des entrepreneurs locaux (essentiellement TPE) – En 2001 rachat total par le Crédit du nord (à cette époque 6 agences et 4 centres d’affaires entreprises sur 2 départements : les Vosges et la Meurthe-et-Moselle) – à partir de cette date la Banque Kolb s’est

de 2004 à 2014, notamment en alsace) et par apport d’agences Crédit du Nord (13 agences sur Rhin Moselle et Champagne Ardenne). À ce jour la Banque Kolb est présente sur la totalité du Grand Est (banque régionale du Groupe Crédit du Nord) à travers 40 agences Entreprises-Professionnels-Particuliers.

-seau donc nous ne sommes pas concernés par la restructuration de notre réseau.

40% sur l’entreprise – 30% sur le professionnel – 30% sur le particulier patrimonial donc 70% concentrés sur les 2 marchés en fort développement et moins tou-chés par la digitalisation.

-gie au service de l’envie d’entreprendre au cœur de nos territoires.

entrepreneurs locaux au service du financement de l’éco-nomie locale : « la banque de ceux qui entreprennent ».

aussi bien à travers un réseau d’agences qu’à travers des banquiers experts, nomades et mobiles.

-tionne en « circuits courts » : notre organisation régionalisée

En bref notre marque régionale est un gage de satisfaction pour nos clients et de sens pour nos collaborateurs.

Hélène SAUVANPrésidente du Directoire

L’apprentissage... pour la banque, c’est le moyen idéal de

former nos banquiers de demain tout en leur inculquant nos

valeurs, nos méthodes de travail, nos pratiques…

L A P R É S I D E N T E D U C O N S E I L D ’ O R I E N T A T I O N S T R A T É G I Q U E D E L ’ I U P


Les points forts d’une Licence enrichissante et professionnalisante :De nombreux professionnels apportent leurs compétences en venant ensei-gner aux étudiants de l’IUP ; La participation à un projet collectif fait partie de l’enseignement de cette licence, un enseignement pratique qui permet aux étudiants de développer en groupe des qualités primordiales en milieu professionnel ; Un stage de 2 mois est nécessaire pour compléter la formation de l’IUP, constituant parfois une première expérience dans le milieu de la finance, et permettant d’affiner son projet professionnel et notamment le choix futur de spécialisation en M2.

Un environnement visant à la réussite de ses étudiants :Le lien constant qui se crée et s’intensifie tout au long de l’année avec les M1 et M2 permet aux étudiants de L3 de bénéficier des conseils, recommanda-tions et surtout du soutien des précédentes promotions ;

De plus, entourée par toute l’attention de l’ensemble de l’équipe enseignante et administrative, la promotion de L3 est plongée dans un environnement et une ambiance propices à la réussite.

CETTE ANNÉE DE LICENCE EN ECONOMIE PARCOURS FINANCE DE L’IUP DE NANCY OFFRE AUX ÉTUDIANTS VENANT SOUVENT DE VOIES TRÈS DIVERSES (GEA, LICENCE EN ÉCONOMIE OU DROIT-ÉCONOMIE, AES, LEA…), UN RICHE SOCLE DE CONNAISSANCES DANS LE DOMAINE DE LA FINANCE.

LA LICENCE 3 Economie, parcours Finance

Responsable : Christel DIEHL-HENROT, [email protected]

SEMESTRE 5

ECTS HEURES CM TD

UE 501 9 60 ANALYSE MONÉTAIRE

Théorie monétaire 18

Microéconomie bancaire 30 12

UE 502 9 66 OUTILS DE LA FINANCE 1

Statistiques appliquées à la finance 30 12

Comptabilité générale 24

UE 503 3 36 PRODUITS D'ÉPARGNE

Produits boursiers 18

Produits d'épargne bancaires 18

UE 504 3 36 PRATIQUE BANCAIRE 1

Compte et moyens de paiement 18

Gestion des OPCVM 18

UE 505 6 78 LANGUES ET COMMUNICATION 1

Anglais commercial 20

Communication 18

Projet Collectif 40

SEMESTRE 6

ECTS HEURES CM TD

UE 601 9 78 ANALYSE MONÉTAIRE 2

Économie monétaire et bancaire 30 12

Macroéconomie financière 36

UE 602 9 56 OUTILS DE LA FINANCE 2

Mathématiques de la finance 24 12

Informatique 20

UE 603 3 72 ANALYSE JURIDIQUE ET FINANCIÈRE

Analyse financière 12 24

Droits des sociétés 36

UE 604 3 36 PRATIQUE BANCAIRE 2

Crédits aux particuliers 18

Assurance des personnes 18

UE605 6 78 LANGUES ET COMMUNICATION 2

Anglais bancaire 20

Communication commerciale 18

Projet Collectif 40

Stage

Quel est votre parcours antérieur ?J’ai effectué un baccalauréat ES. Ensuite, je me suis dirigée vers un DUT Techniques de Com-mercialisation, puis j’ai postulé en L3 à l’IUP Finance.

Pourquoi avez-vous choisi l’IUP Finance ? -

tant me diriger vers la gestion de patrimoine, l’IUP finance me paraissait le choix le plus adap-té. Ce qui est appréciable, c’est la formation qu’on reçoit. Très ouverte et vaste. On apprend plusieurs métiers, et non pas essentiellement celui de la banque.

Comment vous êtes-vous intégrée à l’IUP ? Je n’ai eu aucun mal à m’intégrer à l’IUP, les projets collectifs et les projets de groupe nous permettent de nous familiariser avec l’ensemble des étudiants. De plus, de nombreuses manifes-tations, telles que les soirées ou les week-ends organisés nous permettent de nous intégrer très facilement.

Avez-vous eu des difficultés particulières ?

vient d’une filière TC : les matières financières. Les cours demandent un gros investissement et du travail. Il est certain qu’il faut travailler davan-tage pour se remettre à niveau dans certaines matières, mais les cours sont très intéressants et diversifiés.

Comment envisagez-vous votre poursuite d’étude et votre projet professionnel ? J’aimerais intégrer le master 2 NIP. Cependant, l’univers de la finance reste très vaste et je ne m’interdis pas de me renseigner sur d’autres pos-sibilités.Cependant, j’aimerais partir une année à l’étran-ger et me former sur une carrière à ouverture internationale.

Selon vous, qu’est-ce qui est primordial pour réussir sa L3 à l’IUP ? Pour réussir en L3 à l’IUP, il est déjà primordial d’être dans cette formation, car on désire la faire, et non parce que l’on « pense que cela

Il faut également être motivé, déterminé, curieux sur l’actualité et sur le monde qui nous entoure et s’investir dans la vie de l’IUP.

Quel est votre parcours antérieur ?Après avoir obtenu un bac ES, je me suis diri-gée vers une Classe Préparatoire aux Grandes Écoles. Cependant, je n’avais pas une réelle vision du monde du commerce. Après cette année, je me suis dirigée vers un DUT Gestion des Entreprises et des Administrations pour ap-prendre davantage sur le commerce.

Pourquoi avez-vous choisi l’IUP Finance ? J’ai pu découvrir l’IUP grâce à des forums orga-nisés à l’IUT, une formation qui regroupait tout ce qui pouvait me plaire : une formation reconnue, un encadrement structuré, de nombreux profes-seurs et intervenants qui pourraient nous apporter un enseignement approfondi.

Comment vous êtes-vous intégrée à l’IUP ? Chaque événement (soirées, week-end d’inté-gration) a permis à toutes les personnes de la promotion de discuter entre elles. Et même si nous venions tous de différentes filières, la vie étudiante à l’IUP a aidé à nous connaître les uns les autres. Cet esprit de l’IUP m’a tellement plu que j’ai décidé en plus des projets, d’intégrer le Bureau Des Étudiants très rapidement.

Avez-vous eu des difficultés particulières ? Je dirais que je n’ai eu aucune difficulté que ce soit au niveau de l’intégration ou même pour les cours. Toutes les personnes à l’IUP aident au développement de chacun et les étudiants s’entre-aident.

Comment envisagez-vous votre poursuite d’étude et votre projet professionnel ? Il est assez difficile de choisir entre toutes les op-tions de M2 qui s’offrent à nous. Actuellement, si je devais prendre une décision je me dirigerais plus vers l’ERASMUS pour me laisser encore du temps dans mon choix de parcours.

Selon vous, qu’est-ce qui est primordial pour réussir sa L3 à l’IUP ? Pour réussir à l’IUP, il est nécessaire d’être orga-nisé. Il ne faut pas hésiter à se créer un groupe de travail pour échanger avec les autres. Il faut aussi faire preuve de curiosité en développant sa culture générale qui reste un point important à l’IUP.

Quel est votre parcours antérieur ?Mon parcours est classique : après un bac scientifique, j’ai poursuivi mes études en faisant dans un premier temps une L1 et L2 en sciences

pour ensuite poursuivre en L3 finance à l’IUP de

Pourquoi avez-vous choisi l’IUP Finance ? J’ai choisi l’IUP Finance pour la formation ban-caire qu’elle propose, d’ailleurs très appréciée des banques. De plus, le corps professoral est composé de nombreux professionnels : cela m’a fortement conforté dans mon choix de vouloir intégrer l’IUP Finance. La promotion restreinte permet d’assurer un bon suivi des élèves.

Comment vous êtes-vous intégrée à l’IUP ?

qui se rejoignent, ce qui peut surprendre. C’est comme une nouvelle rentrée en première année de faculté, sauf que cette fois-ci, on a la chance d’être une petite promo. De ce fait, on apprend vite à connaître celle-ci, mais ce qui m’a fait le plus m’intégrer, ce sont les activités organisées par le BDE et les projets col-lectifs de l’IUP, comme le week-end d’intégration et les soirées.

Avez-vous eu des difficultés particulières ? L’une de mes difficultés a été de passer d’un monde économique à un monde bancaire et financier, bien que les deux soient liés. J’ai en effet dû apprendre de A à Z le fonctionnement de la banque, et sa composition, en plus de la législation.

Comment envisagez-vous votre poursuite d’étude et votre projet professionnel ?Après ma L3 à l’IUP Finance, j’envisage de poursuivre vers un master 1 et 2 en alternance, spécialisé BPMA.

Selon vous, qu’est-ce qui est primordial pour réussir sa L3 à l’IUP ? Pour réussir sa L3 à l’IUP, il est primordial de travailler. L’idéal est de travailler en groupe, car étant donné qu’on vient tous d’horizons dif-férents, nos connaissances sont différentes, et l’entraide devient alors très intéressante pour sur-monter des matières qui semblent compliquées à première vue.

Sébastien MEAUMELICENCE 3

— L2 ECONOMIE —

Marie LEDEUILLICENCE 3 — DUT TC —

Louella JESSELLICENCE 3

— DUT GEA —

maquette

76 I N T E R V I E W S


Mathieu MIDONLICENCE PRO, 2018

Maxime PERNETLICENCE PRO, 2016

Crédit Mutuel

Nicolas CAUWET

BPALC, Joeuf

La Licence est divisée en 2 parcours distincts : le parcours « Marché des particuliers » et le parcours « Chargé Clientèle Expert ». Le premier parcours est riche en enseignements notamment grâce à ses cours dispensés au CFPB ainsi que l’apprentissage qu’offre la

clientèle d’être rapidement opérationnels et de conseiller, commercialiser des produits bancaires et gérer un portefeuille clients. Il est possible d’inté-grer cette formation en septembre, mais aussi en mars. Le parcours « Chargé Clientèle Expert » est une formation que propose l’IUP depuis septembre 2011. Elle permet aux chargés de clientèle déjà en poste de suivre une formation continue de 26 jours afin de se spécialiser et de s’adapter à l’évolution de sa clientèle. Une sélection est établie par

les établissements bancaires qui offrent l’opportunité à leurs collaborateurs de suivre cette formation.

La Conférence des Présidents (CPU) et les représentants des établisse-ments bancaires ont mis au point ce programme afin de former des « Chargés de Clientèle Expert », dont l’activité se situe entre celle du « Char-gé de Clientèle Particulier », et celle du « Gestionnaire de Patrimoine ». Avec

à haute gamme. Cette formation permet également d’évoluer à court terme vers des responsabilités d’encadrement des chargés de clientèle particuliers, et d’adjoint au responsable d’agence bancaire.

CETTE LICENCE PROFESSIONNELLE OFFRE À SES ÉTUDIANTS LA POSSIBILITÉ D’INTÉGRER LE SECTEUR BANCAIRE DÈS L’OBTENTION DU DIPLÔME. ELLE MÈNE À DES POSTES DE CONSEILLER CLIENTÈLE SUR LE MARCHÉ DES PARTICULIERS DANS DES AGENCES BANCAIRES.

LA LICENCE PROFESSIONNELLE� � Assurance Banque Finance

Spécialité Marché des particuliers

Responsable : Philippe FENOGLIO, [email protected]

SEMESTRE 5 ECTS HEURES CM TD

UE 501 10 91 ENVIRONNEMENT BANCAIRE 1

Le système monétaire et financier français 14

La firme bancaire 14

Economie générale 14

Les marchés de capitaux 14

Introduction au droit 14

Fiscalité des particuliers 21

UE 502 8 77 PRATIQUE DE L'ACTIVITÉ BANCAIRE 1

Comptes des particuliers 14

Assurance des personnes et des biens pour les particuliers 35Prévention et gestion des risques nés de la relation avec les particuliers 14

Epargne des particuliers 14

UE 503 6 80,5 OUTILS BANCAIRES 1

Mathématiques financières 14

Systèmes d’information et outils numériques 14

Techniques d’entretien avec le client particulier 21

Techniques de communication 7

Politiques tarifaires de la clientèle particuliers 7

Intégration dans l'équipe de travail 7

Anglais bancaire et financier 10,5

UE 504 6 10,5 PROJET TUTEURÉ ET SÉJOUR EN ENTREPRISE

Méthodologie et méthodes d’enquêtes 10,5

Séjour en entreprise

SEMESTRE 6 ECTS HEURES CM TD

UE 601 6 49 ENVIRONNEMENT BANCAIRE 2

Economie internationale 14

Gestion des risques et réglementation 14

Droit bancaire des particuliers 21

UE 602 10 84 PRATIQUE DE L'ACTIVITÉ BANCAIRE 2

Epargne financière des particuliers 21

Financements pour les particuliers 21

Transmission du patrimoine à titre gratuit 14

Pratique de l'approche globale 14

Gestion et développement du portefeuillede clientèle 14

UE 603 8 45,5 OUTILS BANCAIRES 2

Gestion de la relation client 14

Techniques de négociation avec le client particulier 21


UE 604 6 14 PROJET TUTEURÉ ET SÉJOUR EN ENTREPRISE

Méthodologie et méthodes d’enquêtes (*) 14

Séjour en entreprise

Voir aussi la maquette de la Licence Professionnelle Parcours Chargé de Clientèle Expert sur http://iupfin.univ-lorraine.fr

Quel est votre parcours ? Après avoir obtenu mon bac ES, j’ai intégré l’IUT

GEA. Après mon DUT, j’ai décidé de m’orienter vers une licence professionnelle dans le domaine bancaire.

Pourquoi avez-vous choisi l’IUP ? Mon choix s’est tourné vers l’IUP car je souhaitais m’éloigner de la voie de la comptabilité pour me rapprocher de la voie bancaire, qui me corres-pondait davantage.

Pourquoi avez-vous choisi l’apprentissage ?J’ai choisi l’apprentissage pour pouvoir appréhen-der au mieux le monde du travail. Je me sens bien plus à l’aise dans le monde professionnel que dans l’univers des études.

Avez-vous eu des difficultés particulières ? Au début j’ai eu des difficultés à lier les études et

on est en cours, il est possible de s’organiser pour les révisions, mais une fois qu’on est au travail et qu’on rentre d’une grande journée, on n’a plus vraiment l’énergie nécessaire pour réviser nos cours.

Comment s’est passée votre adaptation par rapport au rythme de l’alternance ? Les premières semaines ont été éprouvantes, mais

devenu naturel et la fatigue ne se fait plus ressentir.

Comment avez-vous trouvé votre contrat d’apprentissage ? Avant les entretiens à l’IUP pour la licence profes-sionnelle, nous avons reçu une liste qui répertoriait des établissements bancaires étant susceptibles de nous embaucher.

mails aux différents établissements afin de pro-poser ma candidature. Certains établissements m’ont contacté pour passer un entretien. Une se-maine après, j’avais mon premier entretien dans l’établissement qui m’a embauché.

Quelles ambitions avez-vous pour votre futur projet professionnel ?Je veux évoluer en tant que conseiller clientèle pour créer mes repères. Mais je préfère prouver ma volonté et profiter de formations internes pour approfondir mes compétences et évoluer dans le domaine bancaire.

Pouvez-vous nous parler de votre parcours et de votre poste actuel ?Suite à l’obtention de mon Baccalauréat, j’ai fait un BTS Assurance puis une Licence Professionnelle Assurance Banque Finance à l’IUP. Aujourd’hui, je suis au Crédit Mutuel, j’ai commencé en tant que stagiaire, auxiliaire de vacances, alternant, puis embauché en CDI en tant que conseiller. Les principales missions sont d’orienter, conseiller et vendre aux clients des produits très diversifiés.

Pourquoi avez-vous choisi l’IUP ?L’IUP est reconnu pour proposer des formations complètes. La Licence Pro répondait à mes at-tentes grâce au côté professionnalisant, permis par l’enseignement avec des universitaires et des intervenants professionnels. De plus, le milieu ban-caire est enrichissant avec le client au centre de la relation.

Comment s’est passée votre annéeen apprentissage ?

CFPB, 2 semaines en caisse. L’intérêt de l’alter-nance est de mettre rapidement en application les notions enseignées. Les promotions sont compo-sées d’une vingtaine de personnes, ce qui permet une certaine cohésion et solidarité.

Que vous a apporté la formation ?Cette formation m’a apporté un enseignement complet. À côté de la licence en elle-même, le CFPB propose de passer la certification AMF pour pouvoir vendre des produits financiers, mais aussi le projet Voltaire pour justifier de son niveau en orthographe. On entre dans la vie active avec un véritable bagage.

Selon vous, qu’est-ce qui est primordial pour réussir sa L3 Pro à l’IUP ?Il faut aimer le métier, être motivé et travailler régu-lièrement pour ne pas être surpris au moment des

du positif.

Pouvez-vous nous parler de votreparcours et de votre poste actuel ? Je suis rentré dans le milieu bancaire tardivement. Après l’obtention d’un BTS assurances j’ai travaillé pendant sept ans chez un agent général Allianz. Conscient de l’évolution de la bancassurance et de l’impact sur mon métier, j’ai franchi le Rubicon et j’ai intégré la Banque Populaire Alsace Lorraine Champagne en 2009.J’ai d’abord passé un an à l’accueil téléphonique, période pendant laquelle la Banque Populaire m’a formé et m’a inscrit au BTS Banque « par-cours particulier » afin que j’acquière le socle de connaissances et de méthodes nécessaires à l’exercice de ce nouveau métier.

Pourquoi avez-vous choisi l’IUP ?Lors de mon passage sur le poste de chargé de clientèle particulier, j’ai sollicité mon établissement afin d’être inscrit à une formation me permettant d’asseoir mes connaissances bancaires et de continuer à évoluer dans les métiers de la Banque.La Banque Populaire m’a donc accompagné en me proposant la LICENCE PRO EXPERT en parte-nariat avec l’IUP Finance.

Comment s’est passée votre annéeen apprentissage ?L’année d’apprentissage a été dense, mais très

cours toutes les deux semaines, le travail en au-tonomie est très important. La qualité des cours dispensés par les enseignants universitaires et les interventions de professionnels de grande qualité m’ont stimulé tout au long de l’année et m’ont permis d’obtenir des résultats au-delà de mes attentes.

Que vous a apporté la formation ?Cette formation m’a apporté la technique et les connaissances nécessaires pour me sentir en confiance dans mon métier et pour pouvoir pré-tendre à une évolution vers un poste de chargé de clientèle patrimoniale.

Selon vous, qu’est-ce qui est primordial pour réussir sa L3 Pro Expert à l’IUP ?Il est nécessaire d’être autonome, organisé et

toutes les deux semaines nécessite que l’appre-nant prépare le cours avant l’intervention du pro-fessionnel.

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Lisa MARTINM1 CLASSIQUE, 2018

Romane BOURGEOISM1 ALTERNANCE, 2018

Il est possible d’effectuer le M1 parcours Banque en parcours classique avec un stage de 3 mois dans le secteur financier, ou en apprentissage. Dans ce dernier

À cet égard, un maitre d’apprentissage est chargé d’accompagner et de former l’apprenti dans ses périodes en entreprise. Visant à former des spécialistes pour la banque et l’entreprise, il permet d’accéder à tout Master 2 lié au domaine de la finance et de la banque, et notamment

Master 2 Banque des Professionnels et Management d’Agence Master 2 Chargé d’Affaires EntreprisesMaster 2 Négociation et Ingénierie Patrimoniale

LE RECRUTEMENT EN MASTER 1 EST ACCESSIBLE AUX ÉTUDIANTS AYANT VALIDÉ LA LICENCE ECONOMIE, PARCOURS FINANCE ET AUX ÉTUDIANTS TITULAIRES D’AUTRES LICENCES (FINANCE, ECONOMIE, GESTION, COMPTABILITÉ, ETC). LA SÉLECTION S’OPÈRE SUR LA BASE DE DEUX CRITÈRES : UN EXAMEN DU DOSSIER UNIVERSITAIRE ET UN ENTRETIEN ORAL DEVANT UN UNIVERSITAIRE ET UN PROFESSIONNEL AFIN DE VALIDER L’ADMISSION DU CANDIDAT.

LE MASTER 1� � Parcours-type Banque

Responsable : Bruno LOVAT, [email protected]

SEMESTRE 7

ECTS HEURES CM TD

UE 701 6 45,5 FINANCE DE MARCHÉ

Théorie de la finance de marché 24,5

Finance appliquée 7 14

UE 702 6 56 TECHNIQUES COMPTABLES ET FINANCIÈRES

Comptabilité approfondie (comptes consolidés…) 21

Analyse financière 24,5

Marchés internationaux de capitaux 10,5

UE 703 6 56 OUTILS DE LA FINANCE

Mathématiques financières 10,5 14

Economie du risque et de l’assurance 21 10,5

UE 704 6 42 GESTION DU PATRIMOINE

Initiation à la gestion de patrimoine 24,5

Fiscalité des particuliers 17,5

UE 705 6 52,5 METHODOLOGIE ET INITIATION A LA RECHERCHE

Anglais des affaires 24,5

Méthodologie de la recherche 7 7

Méthodes quantitatives appliquées à la finance 7 7

SEMESTRE 8

ECTS HEURES CM TD

UE 801 6 45,5 FINANCE D'ENTREPRISE

Théorie de la finance d’entreprise 24,5

Décisions d'investissement et de financement 7 14

UE 802 6 49 OUTILS JURIDIQUES

Droit des contrats et des sûretés 28

Droit des procédures collectives 14

European Banking Law 7

UE 803 6 52,5 OUTILS PROFESSIONNELS

Assurance de l'entreprise 24,5

Comptabilité de gestion 14 14

UE 804 6 45,5 BANQUE DES PROFESSIONNELS

Initiation au marché des professionnels 24,5

Stratégie et régulation bancaires 21

UE 805 6 45,5 COMMUNICATION BANCAIRE


Marketing et gestion de la relation client 14

Transformation digitale 14

Stage (3 mois)

Quel est votre parcours ?Après l’obtention d’un baccalauréat en section ES, j’ai choisi d’intégrer la

en Sciences Economiques. J’ai par la suite pu intégrer l’IUP Finance dès ma troisième année d’études afin de poursuivre celles-ci en master.

Pourquoi avez choisi d’étudier la finance, et pourquoi votre choix s’est-il tourné vers l’IUP ? J’ai décidé de poursuivre mes études en Sciences Economiques du fait de mon goût pour l’économie et les mathématiques. J’ai découvert l’IUP Finance à la suite d’interventions de plusieurs enseignants durant les deux premières années de licence. J’ai tout de suite été attirée par l’IUP pour les qualités évidentes de ses formations : une diversité dans les cours dispensés et une proximité avec les professionnels du milieu grâce aux interventions de ces derniers en cours et aux nombreuses rencontres organisées.

Que pensez-vous de la formation ? Avez- vous rencontré des difficultés ? Le M1 est une formation très intéressante et complète puisqu’il nous permet d’avoir un aperçu de l’ensemble des débouchés disponibles à l’issue du master grâce à la diversité des matières enseignées. J’apprécie notamment le contact avec les professionnels qui est omniprésent tout au long de l’année. La difficulté de cette année réside dans le fait que les cours sont très théo-riques, mais les enseignants sont toujours disponibles pour nous aider dans notre compréhension.

Pourquoi avoir choisi d’effectuer une M1 classique ? Quels sont les points positifs et négatifs de ce choix ? J’ai préféré cette année le parcours classique à celui en alternance, car je voulais consacrer du temps à des responsabilités extérieures à l’IUP. Le par-cours classique ne permet certes pas de se familiariser dans l’immédiat avec

plus il sera peut-être plus difficile pour un étudiant issu du parcours classique

sens est qu’il permet aux étudiants de disposer de plus de temps pour choisir leur orientation et le stage de 3 mois, requis pour valider l’année de M1, permet aussi de faire un choix pertinent.

Quel est votre projet professionnel ? Je souhaiterais poursuivre mes études en M2 CAE afin de pouvoir travailler

Quels conseils donneriez-vous aux futurs candidats de M1 ? Le plus important : être investi et motivé. Il faut bien sûr être rigoureux et régu-lier dans son travail. Mais surtout, il faut toujours garder confiance en soi, un étudiant pourra facilement combler ses lacunes à partir du moment qu’il montre qu’il est volontaire.

Comment avez-vous vécu vos années à l’IUP ? Je me suis toujours sentie très à l’aise à l’IUP, nous sommes encadrés et pouvons toujours trouver conseil auprès de quelqu’un. Le fait d’appartenir à de petites promotions nous permet également de développer un sens de la solidarité important et une bonne cohésion entre les étudiants.

Quel est votre parcours ?

pour commencer une licence. J’ai choisi la spécialité Finance en L2. Ces enseignements m’ont plu, j’ai donc tout fait pour réussir le concours d’entrée

Pourquoi avez-vous choisi d’étudier la finance, et pourquoi votre choix s’est-il tourné vers l’IUP ? La finance est un outil précieux dans le monde d’aujourd’hui. Elle permet de comprendre de nombreuses relations à travers le monde, et l’utilité des diffé-rents marchés. J’ai entendu parler de l’IUP, je me suis procurée la plaquette, et j’ai assisté aux portes ouvertes. Tout cela m’a confortée dans mon choix de rejoindre l’IUP, tant pour son professionnalisme, pour la qualité de ses enseignements, que pour son ambiance proche et chaleureuse.

Que pensez-vous de la formation ? Avez-vous rencontré des difficultés ? C’est une formation très riche, avec des cours théoriques, et d’autres plus pratiques. Ainsi, on développe une véritable culture, mais aussi de véritables compétences pour la mise en situation au sein de nos agences.

avec un travail rigoureux, et une motivation certaine, il est largement possible

Pourquoi avoir choisi d’effectuer un M1 en alternance ? Quels sont les points positifs et négatifs de ce choix ?

combiner parfaitement les deux. De plus, cela permet de construire un début de carrière professionnelle, de développer de sérieuses compétences, et de pouvoir appliquer toutes les connaissances de la formation.

-rience très enrichissante, mais qui demande une grande motivation, et un tra-vail sur soi pour pouvoir réussir à gérer les deux facettes : celle de l’étudiant et celle du professionnel, en même temps.

Quel est votre projet professionnel ? À la fin de mon M1, je m’orienterai vers un M2 BPMA. J’espère pouvoir intégrer à la fin de mon Master un poste de Chargé de Clientèle Profession-

d’agence.

Quels conseils donneriez-vous aux futurs candidats de M1 ? Je leur dirais d’avoir confiance en eux, même si le parcours parait parfois difficile, il n’est pas insurmontable et promet une belle réussite. Il faut être prêt à s’adapter à une certaine charge de travail, pour constater une réelle évolution de vos compétences en général.

Comment avez-vous vécu vos années d’études à l’IUP ? Je suis actuellement à la moitié de mon cursus au sein de l’IUP, et je peux dire que je ne regrette en aucun cas mon choix. C’est une formation complète, avec des intervenants, qu’ils soient professionnels ou non, qui savent nous donner tout ce dont on a besoin.

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Léa GIQUELLOM2 BPMA, 2018

Luc BEAUDARTM2 BPMA, 2012

BNP Paribas - Dombasle sur Meurthe

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LE MASTER 2 BPMA EST DESTINÉ AUX ÉTUDIANTS AYANT VALIDÉ UN M1 EN FINANCE, ECONOMIE, GESTION, DROIT, AES, MAIS ÉGALEMENT DANS D’AUTRES DISCIPLINES ET SOUHAITANT EXERCER LE MÉTIER DE CHARGÉ D’AFFAIRES PROFESSIONNELS OU DE RESPONSABLE D’AGENCE.

Quel est votre parcours ?Après un bac ES, j’ai effectué un DUT GEA. J’ai pu avoir ma première expé-rience en banque lors du stage de fin de diplôme. Celle-ci m’a confortée

Centre.

Pourquoi avez-vous choisi d’étudier la finance, et pourquoi votre choix s’est-il tourné vers l’IUP ? J’ai décidé de m’orienter vers la finance, car j’ai toujours été attirée par les

les mathématiques financières ainsi que la fiscalité. De plus, la finance est passionnante, car elle est en constante évolution pour s’adapter au mieux aux contextes économiques et sociaux.J’ai décidé de m’orienter plus particulièrement vers la banque afin de conju-guer la finance à mon envie d’être commerciale et interlocutrice privilégiée des clients.L’IUP propose une formation complète réalisée par des universitaires reconnus et par des intervenants issus des banques qui permettent de rendre la forma-tion plus pratique et d’échanger avec des professionnels.

Pour quelles raisons avez-vous choisi le Master BPMA plutôt qu’un autre ?J’ai choisi le Master BPMA pour travailler avec des professionnels et les accompagner au quotidien dans leur activité et dans leurs projets. J’aime notamment le fait de devoir m’adapter aux différents interlocuteurs selon les secteurs d’activité et catégories de professionnels. De plus, le Master BPMA dispose d’une dominante managériale qui m’attire fortement conformément à mon projet professionnel à long terme.

par les recruteurs, le plus complet et diversifié.

Quel est votre projet professionnel ? A court terme, j’aimerais continuer à travailler avec la clientèle de profession-nels voire d’entreprises.

-gériales de plus en plus importantes.

Quels conseils donneriez-vous aux futurs candidats de M2 ? Il est indispensable que les futurs candidats de Master 2 se tiennent au cou-rant de l’actualité économique et financière, car la finance évolue beaucoup actuellement. Ils doivent donc se montrer très curieux. Concernant l’alter-nance, il est important que les futurs candidats soient organisés puisque le

-chir à leur projet professionnel et à leur mobilité pour intégrer au mieux les établissements bancaires.

Quelles démarches avez-vous effectuées pour trouver votre établissement d’accueil ?

-ponsables des ressources humaines des banques et donner nos CV et lettres de motivation. Cela m’a donné l’opportunité de réaliser un premier puis un second entretien avec le Directeur Commercial et le Responsable des Res-

Quel est votre parcours universitaire et pourquoi avez-vous choisi l’IUP ?Après l’obtention de mon bac ES, je me suis orienté vers la formation DUT GEA. Deux événements m’ont permis de me décider pour le domaine ban-caire et pour l’IUP. Le premier est la découverte de l’IUP au Forum Oriaction

-tué dans un établissement bancaire. Cette expérience professionnelle m’a convaincu de me diriger vers les métiers de la finance. C’est ainsi que j’ai

Licence, puis le Master I initial avant de choisir le Master II BPMA.

Quel est votre parcours professionnel depuis l’IUP ? J’ai effectué mon Master BPMA en apprentissage chez BNP Paribas. La banque n’avait pas de besoin en chargé professionnel. Elle m’a donc fait plusieurs propositions en front et back-office. J’ai opté pour un poste de conseiller en patrimoine financier. Cette expérience a confirmé mon souhait de travailler au quotidien avec la clientèle des professionnels. À l’issue de ce premier poste, la banque m’a confié la responsabilité d’un point de vente. J’exerce ainsi en tant que directeur d’agence depuis plus de deux ans. Depuis

Pourquoi avoir choisi le Master BPMA plutôt qu’un autre M2 ? Outre les enseignements destinés au marché des professionnels, cette forma-tion est composée d’UE dédiées spécifiquement aux connaissances et aux compétences à assimiler pour faire de nous de futurs managers. Souhaitant à terme exercer un emploi avec des responsabilités managériales comme le métier de directeur d’agence, j’ai tout naturellement choisi ce Master II.

Selon vous, quels sont les principaux atouts de la formation ? C’est une formation particulièrement complète qui nous permet d’avoir une vision transversale d’une relation client en abordant aussi bien sa partie pro-fessionnelle que sa partie personnelle. L’enseignement managérial est éga-lement important puisqu’il permet d’acquérir les connaissances essentielles à l’animation la gestion d’une équipe de commerciaux et au bon fonctionne-ment d’une agence bancaire. Le dernier atout est la professionnalisation de cette formation qui ne s’effectue qu’en apprentissage. C’est ainsi le meilleur

professionnel.

Comment voyez-vous votre carrière dans les prochaines années ?

vois encore pour de nombreuses années. Je souhaite renforcer mon activité de manager de proximité en encadrant une équipe plus importante sans tou-tefois abandonner mes fonctions commerciales en faveur des professionnels afin de continuer à financer l’économie réelle.

Quels conseils pourriez-vous donner à un futur candidat au Master BPMA ?

faire ce métier particulièrement enrichissant même s’il n’est pas tout le temps simple au quotidien !

MASTER 2 BPMA Banque des Professionnels et Management d’Agence

Responsable : Jean-Luc PREVOT, [email protected]

SEMESTRE 9

ECTS HEURES CM

UE 901 9 77 DÉONTOLOGIE ET ENVIRONNEMENT DU PROFESSIONNEL

Bourse et produits boursiers 14

Comptabilité et contrôle de gestion bancaires 14

Introduction à la sociologie de la banque et de la finance 7

Analyse du risque dans la banque 14

Initiation à la recherche : financial and economic survey 14

Ethics and compliance 14

UE 902 9 70 MARCHÉ DES PROFESSIONNELS 1

Analyse financière du professionnel et de la petite entreprise 28

Développement du marché des professionnels 14

Gestion d'un portefeuille et d'une agence 14

Démarche qualité et suivi des risques 14

UE 903 6 28 MANAGEMENT 1

Animation et management d'une équipe 14

Financial English 14

UE 904 6 49 NÉGOCIATION

Comportement commercial 21

Techniques commerciales et négociation 21

Communication commerciale 7

SEMESTRE 10

ECTS HEURES CM

UE 1001 9 126 MARCHÉ DES PROFESSIONNELS 2

Produits et services du marché des professionnels 28

Financements adaptés aux professionnels 35

Environnement juridique et fiscal des professionnels 21

Analyse des risques du professionnel 21

Analyse globale de dossiers de clients professionnels 14

Start-up and Fintechs 7

UE 1002 6 38,5 MANAGEMENT 2

Management des compétences 21

Animation de réunions 7

Financial English 10,5

UE 1003 6 56 GESTION DU PATRIMOINE DU PROFESSIONNEL

Besoins privés du professionnel 21

Gestion du patrimoine du professionnel 21

Gestion de l’immobilier professionnel 14

UE 1004 9 7 EXPÉRIENCE PROFESSIONNELLE

Initiation à la recherche : méthodologie du mémoire 7

Mémoire

La sélection à l’entrée du Master se fait par exa-men du dossier suivi d’un entretien avec un pro-fessionnel et un universitaire.

Ce Master vise la formation des étudiants sur deux métiers : Responsable d’Agence et Chargé d’Affaires Professionnels (artisans, commerçants, professions libérales, TPE).

Cette formation comporte deux spécificités : Un enseignement de techniques de négocia-tion et d’entretiens de vente appliqués au mar-ché des professionnels.Un suivi individualisé permettant de mettre en valeur les compétences managériales des étu-diants. Cette expérience « pilote » fait appel aux dernières recherches en matière de gestion des ressources humaines, notamment cana-diennes. Les étudiants sont ainsi explicitement formés à la direction d’agence.

Le M2 BPMA est uniquement possible en alter-nance, sous contrat d’apprentissage ou de pro-

-tion et d’un mois en banque avec une intégration en CDI avoisinant les 100%.

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Pierre-Michaël RAMANANTSOAM2 CAE, 2018

Guillaume COMTEM2 CAE, 2017

Un jeu bancaire est réalisé en partenariat étroit avec la CELCA et la BNP-Paribas ; Plusieurs enseignements utilisent une salle de marchés financiers reliée en temps réel aux cotations, donnant à des bases de données financières, rassemblant les dernières technologies multimédia ; L’ouverture à l’international se traduit aussi par des enseignements dispen-sés en anglais (ex : communication financière).

La formation comprend une part importante d’enseignements centrés sur les techniques de négociation et de vente, compétences largement valorisées par la profession et accélérant l’opérationnalité des jeunes diplômés.

-

d’un portefeuille clients). Il s’agit donc de former des spécialistes dont l’acti-vité consistera :

Soit à travailler dans une banque en tant que chargé d’affaires entreprises

Soit à travailler en entreprise, grâce à leurs compétences en matière de financement de l’activité et des investissements, et en matière de gestion de trésorerie de sorte qu’ils soient les interlocuteurs privilégiés des banques et des sociétés d’assurance.

LE M2 CAE A POUR FINALITÉ L’ACQUISITION DE SOLIDES CONNAISSANCES THÉORIQUES ET PRATIQUES EN FINANCE D’EN-TREPRISE. LA FORMATION EST FONDÉE SUR L’UTILISATION DES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICA-TION, AINSI QUE DES INNOVATIONS PÉDAGOGIQUES.

LE MASTER 2 CAE Chargé d’Affaires Entreprises

Responsable : Afef BOUGHANMI, [email protected]

SEMESTRE 9

ECTS HEURES CM

UE 901 9 63 STRATÉGIE FINANCIÈRE

Théorie Financière de l'entreprise 21

Stratégie d’entreprise 21

Initiation à la recherche : restructurations et entreprises en difficultés 21

UE 902 9 63 GESTION FINANCIÈRE

Gestion de la relation banque - entreprise 21

Gestion de la Trésorerie 21

Couverture des risques financiers 21

UE 903 6 56 BANQUE ET MARCHÉS

Produits bancaires « entreprise » 14

Financements désintermédiés 21

Gestion des risques bancaires 21

UE 904 6 42 PRATIQUE BANCAIRE


Financial English 14

Ethics and compliance 14

SEMESTRE 10

ECTS HEURES CM

UE 1001 9 70 DIAGNOSTIC FINANCIER DE L’ENTREPRISE

Environnement économique de l’entreprise 14

Diagnostics financiers 21

Fiscalité de l’entreprise 14

Analyse Banque de France 21

UE 1002 6 70 FINANCEMENTS

Financement du développement de l’entreprise 21

Financement des opérations internationales de l’entreprise 21

Financement des collectivités locales 7

Financement de l’économie sociale et solidaire 7

Transmission de l’entreprise 14

UE 1003 6 80,5 OUTILS DU CHARGÉ D’AFFAIRES ENTREPRISES

Négociation appliquée 21

Financial communication 14

Financial English 10,5

Logiciels, bases de données financières et simulation de gestion bancaire 28

Entreprise et numérique 7



Mémoire

Quel est votre parcours ? Après avoir suivi un DUT GEA option finance-comptabilité au sein de l’IUT

dans la continuité de mes études, j’ai poursuivi mon Master en alternance au sein de la direction régionale nancéienne de Bpifrance, ce qui m’a permis de confirmer mon choix du Master 2 CAE.

Pourquoi avez-vous choisi d’étudier à l’IUP Finance ? Diplômé d’un DUT GEA, je souhaitais m’orienter vers des études en finance d’entreprise. Après m’être renseigné sur les différentes possibilités, j’ai choisi L’IUP Finance. En effet, c’est une formation reconnue avec de multiples par-

majeur pour moi était la possibilité d’effectuer son Master en alternance et ainsi d’obtenir une expérience enrichissante favorisant l’insertion profession-nelle. En outre, l’intervention des universitaires et de professionnels du secteur bancaire permet de comprendre la théorie à travers des cas pratiques très concrets.

Pour quelles raisons avez-vous choisi le Master CAE plutôt qu’un autre ?Souhaitant travailler dans le domaine des entreprises, ce master était celui qui correspondait le plus à mon projet professionnel. Comme je l’ai dit pré-

-sorerie, management) et la pratique (techniques de négociation, gestion de la relation bancaire…), ce qui permet d’acquérir un bagage solide et d’être opérationnel. Par conséquent, les débouchés de ce Master sont nombreux avec des taux d’embauche très élevés.

Quel est votre projet professionnel ? Je souhaiterais à l’issue de ce Master devenir chargé d’affaire entreprises et pourquoi pas à plus long terme, créer ma propre Fintech.

Quels conseils donneriez-vous aux futurs candidats de M2 ? Le principal conseil que je donnerais est de rester soi-même. En effet, les trois parcours proposés par l’IUP sont tous intéressants, mais il est important de savoir ce par quoi l’on est passionné, même s’il est toujours possible de se réorienter par la suite. En outre, la rigueur, l’organisation et l’agilité sont indispensables pour gérer les transitions entre les périodes de formation et d’entreprise.

Quelles démarches avez-vous effectuées pour trouver votre établissement d’accueil ? Tout d’abord, il faut savoir que l’IUP Finance dispose de très nombreux par-tenariats avec les banques et cela nous facilite grandement la tâche dans notre recherche d’alternance. Ainsi, des journées de recrutement sont organi-sées, ce qui nous permet de prendre un premier contact avec les différentes banques de la place. Après avoir passé plusieurs entretiens, j’ai décidé de me tourner vers Bpifrance qui est la banque qui me correspondait le plus en termes de valeurs et missions proposées.

Quel est votre parcours universitaire et pourquoi avez-vous choisi l’IUP?Après un BAC ES j’ai passé un DUT en Gestion des Entreprises et des Ad-

Organisations, puis j’ai intégré l’IUP de Finance pour une L3. Ensuite j’ai poursuivi dans la voie logique avec un M1 Finance en alternance et enfin un M2 Chargé d’Affaires Entreprises en alternance également..

Quel est votre parcours professionnel depuis l’IUP ? Je suis sorti de l’IUP en septembre 2017 et ai eu l’opportunité de signer chez Caisse d’Epargne Lorraine Champagne Ardennes dans la foulée, pour un poste inédit de Chargé d’affaires Entreprises spécialisé dans l’accompa-gnement des startups et des entreprises innovantes. Il s’agissait du service

premières armes sur ce marché.

Pourquoi avoir choisi le Master CAE plutôt qu’un autre M2 ? C’est celui qui m’intéressait le plus en fonction des matières enseignées, et j’ai aussi choisi ce master en raison de mes valeurs. En effet, financer des entreprises, PME, ETI, Grandes Entreprises, permet de participer concrète-ment au développement du tissu économique local. Nos financements et nos interventions débouchent sur la construction de sites, la création d’emplois,

les territoires ; en bref pour reprendre la devise de BPI France qui je trouve s’applique parfaitement à ces métiers : Servir l’Avenir.

Selon vous, quels sont les principaux atouts de la formation ? Ses matières et ses intervenants, incontestablement. La plaquette est riche, et,

la trésorerie, à l’international, on parle anglais, collectivités locales, stratégie, fusions-acquisition, instruments financiers, etc. C’est varié et le plus souvent animé par des intervenants au discours prenant.

Comment voyez-vous votre carrière dans les prochaines années ? Qui sait ? Nos métiers évoluent si vite que personne ne sait vraiment à quoi

faire peur, mais c’est avant tout très stimulant. Peut-être toujours sur le finance-ment de l’innovation, avec un portefeuille mature, ou alors sur la PME voire le financement des collectivités, je ne me ferme pas de portes, on verra bien !

Quels conseils pourriez-vous donner à un futur candidat au Master CAE ? Cela va faire vieux rabat-joie, mais j’invite les étudiants en M2 CAE à bien suivre en cours, surtout qu’ils ont la chance d’être dans une promotion à l’effectif moins élevé que leurs collègues des autres masters. Participer et être attentif c’est les deux tiers du travail, ensuite les révisions n’en deviennent que plus aisées. Parallèlement, s’investir dans son travail en entreprise est primor-dial : montrez-vous investis, intéressés, curieux, cela sera remarqué et c’est important dans la perspective d’une embauche à l’issue de l’alternance. Le but final n’est pas de se concentrer uniquement sur ses résultats universitaires, mais de prouver que l’on est quelqu’un en qui on peut avoir confiance : un diplômé professionnel et compétent.

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Delphine VIBLERM2 NIP Classique, 2018

Marjorie CROIXDESSUSM2 NIP, 2012

Gérant privé - CIC Est, Metz

Nicolas BOURGINM2 NIP, 2012

En plus de former à toute la technicité nécessaire en finance et en droit (gestion de portefeuille, allocation d’actifs, International Private Banking, optimisation fiscale, ingénierie sociale, droit successoral et les libéralités), le diplôme de l’IUP Finance consacre un large volume horaire à la pratique de la communication et de la négociation, face à une clientèle exigeante, et met l’accent sur les enjeux des transmissions massives des patrimoines profes-sionnels de ces prochaines années. Les interventions intègrent les développe-ments méthodologiques indispensables dans une carrière : veille, logiciels, réglementations, etc.

Tournée vers ce même objectif pédagogique, l’équipe est composée d’uni-versitaires, spécialistes dans leur discipline, et de professionnels aguerris des banques et cabinets, des métiers du droit et du consulting.

La relation avec les partenaires est très étroite (cours, alternance, stage, inser-tion professionnelle).

1 MOIS SUR 2), LES ENSEIGNEMENTS DU M2 NIP CONDUISENT AUX MÉTIERS DE LA GESTION DE PATRIMOINE DANS LES ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT, LES CABINETS INDÉPENDANTS, LES COMPAGNIES D’ASSURANCE ET LES CELLULES SPÉCIALISÉES DES CABINETS D’EXPERTISE COMPTABLE.

LE MASTER 2 NIP Négociation et Ingénierie Patrimoniale

Responsable : Muriel MICHEL-CLUPOT, [email protected]

SEMESTRE 9

ECTS HEURES CM

UE 901 9 77 ENVIRONNEMENT DE LA GESTION DE PATRIMOINE

Initiation à la recherche : environnement économiquede la gestion de patrimoine 21

Marchés et actifs financiers 21

Régimes matrimoniaux, successions et libéralités 28

Démembrement de propriété 7

UE 902 9 63 DIAGNOSTIC FISCAL ET SOCIAL

Fiscalité de la gestion de patrimoine 28

Ingénierie sociale 14

International Private Banking 21

UE 903 6 35 PRODUITS ET PLACEMENTS

Produits bancaires et financiers 7

Assurance-vie 14

Immobilier et SCI 14

UE 904 6 45,5 OUTILS DE LA GESTION DE PATRIMOINE

Mathématiques financières 17.5

Softwares and data bases (Big Expert, Six Financial Information, Quantalys…) 7

Financial English 1 10,5

Ethics and compliance 10,5

SEMESTRE 10

ECTS HEURES CM

UE 1001 9 84 NÉGOCIATION COMMERCIALE


Négociation appliquée à la gestion de patrimoine 31,5

Evolution de la relation client 7

Financial English 2 10,5

UE 1002 6 66,5 GESTION DE PORTEFEUILLE ET DE PATRIMOINE

Principes de gestion de portefeuille 21

Gestion des OPC 14

Pratique de la gestion d'actifs 14

Etude de cas : concours AGEFI 17,5

UE 1003 6 73,5 TRANSMISSION DU PATRIMOINE

Transmission du patrimoine privé 17,5

Transmission du patrimoine professionnel 31,5

Diagnostic et ingénierie patrimoniale 24,5



Mémoire

Quel est votre parcours universitaire ? Pourquoi avoir choisi l’IUP de Finance ?J’ai débuté mes études avec une licence et un master en Patrimoine et Archéologie à la Faculté

orientée vers le D.U. d’initiation aux métiers de la banque ce qui m’a permis d’avoir les connais-sances essentielles pour intégrer le master 2 NIP. L’IUP est en adéquation avec l’évolution des for-mations et des professions qui en découlent. La venue de professionnels dans les différents ensei-gnements permet de mieux comprendre l’évolu-tion de ses professions, mieux les appréhender

Pour quelles raisons avez-vous choisi le master NIP plutôt qu’un autre ?J’avais beaucoup apprécié travailler au contact de clients particuliers lors de mes précédentes expériences professionnelles et désirais appro-fondir cette voie. De plus, cette formation permet une réelle spécialisation technique sur les aspects fiscaux, juridiques et financiers.

Quel est votre projet professionnel ?Mon projet professionnel est de découvrir les dif-férents aspects du métier d’un conseiller patrimo-nial avant d’intégrer une banque privée en tant que conseiller en gestion de patrimoine.

Quels conseils pourriez-vous donner à un futur candidat M2 ?Cette filière demande une certaine charge de travail de part de sa complexité, mais reste ac-

d’appréhension: les compétences acquises lors de précédents cursus sont de véritables atouts.

Quel est votre parcours universitaire et pourquoi avez-vous choisi l’IUP ?J’ai préparé une Licence et un Master. J’ai ensuite intégré l’IUP qui me permettait de suivre une for-mation en gestion de patrimoine.

Quel est votre parcours professionnel depuis l’IUP ?Après une courte expérience en tant que conseil-ler de clientèle patrimoniale, j’ai travaillé au côté de la direction d’un groupe d’hôtellerie restau-

Privée, d’abord comme attachée de clientèle banque privée durant 9 mois, puis comme gérant privé.

Pourquoi avoir choisi le Master NIP plutôt qu’un autre M2 ?J’ai postulé pour le NIP en raison d’une rencontre avec une gérante privée dont la profession a suscité mon intérêt : un métier alliant à la fois conseils et relations commerciales. J’ai ainsi choi-si le M2 NIP dans l’optique de devenir à mon tour gérant privé.

Selon vous, quels sont les principaux atouts de la formation ?Les principaux atouts de la formation sont la qua-lité des cours dispensés, l’intervention conjointe d’universitaires, de professionnels et la diversité des profils des étudiants qui pousse à l’entraide

Comment voyez-vous votre carrière dans les prochaines années ?Je n’ai pas encore d’idée précise. Un poste d’in-génieur patrimonial pourrait correspondre à mes attentes, mais ma carrière se construira en fonc-tion des opportunités qui s’offriront à moi.

Quels conseils pourriez-vous donner à un futur candidat au Master NIP ? Il est très important de se constituer un bagage suffisamment solide pour être directement « embauchable » à la sortie du Master. Adopter un comportement exemplaire au cours de cette année me semble essentiel. Mettez toutes les chances de votre côté pour obtenir le job que vous convoitez !

Quel est votre parcours universitaire et pourquoi avez-vous choisi l’IUP ?Mon premier parcours m’a mené à un master en ingénierie du logiciel et mon intérêt pour la fiscalité et les marchés financiers est allé en gran-dissant. On m’a conseillé l’IUP pour la qualité de ses enseignements et c’est suite à ce conseil que j’ai déposé un dossier de candidature et ai été admis en M2 NIP.

Quel est votre parcours professionnel depuis l’IUP ?J’ai commencé en 2012 en tant que gérant privé dans une société de gestion de portefeuille nan-céienne (SEA Finance) et la même année suite à une formation en gestion d’actifs dispensée par l’afg, je suis devenu en complément gérant de portefeuilles.

Pourquoi avoir choisi le Master NIP plutôt qu’un autre M2 ?C’est celui qui répondait le mieux à mes attentes sur les thématiques immobilières, fiscales et patri-moniales.

Selon vous, quels sont les principaux atouts de la formation ?L’encadrement et les échanges possibles avec l’équipe de l’IUP, les enseignants et les profes-sionnels. Aussi, le M2 NIP permet une mise en application rapide des connaissances acquises.

Comment voyez-vous votre carrière dans les prochaines années ?Je vais continuer à m’investir dans mon métier et développer la société SEA.

Quels conseils pourriez-vous donner à un futur candidat au Master NIP ? D’être curieux et réactif, l’univers de la gestion de patrimoine est en évolution constante aussi bien sur l’évolution des textes que des technologies.

17I N T E R V I E W S

19L E S R E S P O N S A B L E S D E S M A S T E R S 218

Pourriez-vous nous parler de votre parcours et nous exprimer ce qui vous a amené à diriger le master BPMA ?Après des études d’économie dans cette Faculté,

d’investissement et la microéconomie. En 2001, le Directeur de l’IUP m’a demandé de diriger la Licence professionnelle ; en 2003, le Directeur m’a confié la direction adjointe de l’IUP et en 2004, j’ai été nommé Directeur de cet IUP. J’ai aussi assuré la direction du M2 NIP, la création du M2 CAE et j’ai choisi de conserver la direction du M2 BPMA : son caractère généraliste m’a beaucoup plu.

Sur quels savoirs-faire et compétences le master BPMA débouche-t-il ?Le Master BPMA mène à une double compétence : savoir gérer un portefeuille de clients professionnels. Cette clientèle est très exigeante, il faut tout maîtri-ser ! Le métier de chargé pro conduit souvent à la direction de l’agence et demande des compétences managériales que nous avons mises dans le pro-gramme de ce master.

Quels sont les débouchés qui s’offrent aux étudiants sortant de BPMA ?Les débouchés sont nombreux: les besoins sont les plus nombreux dans les banques et le BPMA ouvre quasiment toutes les portes des diverses clientèles des banques.

Quelles sont les qualités requises pour mener à bien son master BPMA ?Au-delà des qualités morales et éthiques, il faut avoir envie de rencontrer des clients, d’engager des rela-tions de confiance durables et bien évidemment de vendre des produits…

Pour vous, en quoi l’IUP finance se démarque-t-il d’autres formations ?Par la professionnalisation : nous formons à des métiers et à l’issue de leur formation, les apprentis sont totalement opérationnels. Ils sont certifiés AMF. Ils sont aussi certifiés CCPRO. C’est ce qui explique aussi que nos relations avec le monde bancaire soient très étroites. Par la philosophie et l’esprit :

curieuses de l’actualité économique, financière et

contribue largement au développement personnel.

Quel est votre parcours professionnel ?Pendant mes études doctorales, j’ai exercé un poste

d’attachée temporaire à l’enseignement et à la recherche à cette faculté. Après mes études, en 2007, j’ai travaillé pendant trois ans sur un projet de recherche en tant que post-doctorante au sein de la Luxembourg School of Finance. En 2010, j’ai eu l’opportunité de rejoindre l’équipe de l’IUP et Jean-Luc Prévot m’a confié la direction du M2 CAE.

En quoi le master CAE donne une valeur ajoutée à l’étudiant ayant suivi cette spécialisation ? La formation CAE aborde tous les aspects du finan-cement des entreprises. Elle repose sur des connais-

financière et en maitrise des risques. Les étudiants sont formés à la stratégie dans un établissement de crédit, privilégiant le travail en équipe et la prise de décision.

Sur quoi débouche le master CAE ? Le master CAE, qui est en parfaite adéquation avec les métiers visés, forme des spécialistes dont l’acti-vité consistera à travailler dans une banque en tant

entreprise, grâce à leurs compétences en matière

Quels conseils donneriez-vous à un étudiant désirant intégrer ce master ? Je me permets de citer un ancien étudiant et actuel-lement intervenant au sein du M2 CAE, Moussa NAKOULIMA: il faut des qualités humaines, une ri-gueur et surtout une humilité qui sont indispensables face aux chefs d’entreprises, que vous rencontrerez tout au long de votre parcours.

Pour vous, en quoi l’IUP finance se démarque-t-il d’autres formations ?Les étudiants sont recrutés dans les établissements bancaires dans l’optique d’une intégration totale à l’issue de leur contrat d’apprentissage. Le plus souvent, l’embauche vient de la transformation du contrat d’apprentissage en CDI. Les apprentis n’ont pas à passer les tests de recrutement et conservent les avantages d’une ancienneté dans l’établisse-ment.

Quel est votre parcours et pourquoi avoir pris la responsabilité du NIP ?J’ai réalisé mon « apprentissage » d’enseignant-cher-cheur à l’IUP, en Doctorat, dirigé par le Professeur Daniel ARNOULD, pionnier de l’alternance à l’Uni-versité, aux côtés de Gérard AUBERT, CFA-CFPB

-rences en Sciences de Gestion, j’ai accepté la di-rection du M2 NIP. Jean-Luc PREVOT m’a offert une belle opportunité, mais aussi un grand challenge.

Dans quel domaine le NIP spécialise-t-il ? Le NIP forme à la gestion de patrimoine, à toute la technicité en finance et en droit. Il fait la part belle à la négociation. Le diplômé accompagnera des clients aux revenus et patrimoines conséquents (ren-tabilité, optimisation fiscale, succession réfléchie, protection d’un conjoint, d’enfants), des chefs d’en-treprise transmettant leur patrimoine professionnel, des professions libérales préparant leur retraite… Quels débouchés et métiers pour les diplômés du NIP ? Dans la banque, il s’agit de postes de conseiller en gestion de patrimoine en agence, puis des progres-sions en banque privée, en gestion de fortune, sur des postes de gérants privés, d’ingénieurs patrimo-niaux… Le métier s’exerce aussi dans des cabinets indépendants ou d’expertise comptable, des com-pagnies d’assurance, des Tax Advisory Services à Luxembourg.

Quels conseils pour un futur étudiant ? Avoir une capacité de travail, une rigueur, mais aussi une écoute, une empathie pour évoluer dans l’intimité des clients, au cœur des familles. Opter pour une Société Civile Immobilière ou un Family Buy Out, discuter un investissement en art contem-porain ou dans un Groupement Foncier Agricole demandent aussi curiosité et agilité. Avoir de l’en-

ancien Président du Conseil de Perfectionnement). Appartenir à l’IUP, se projeter dans le réseau des an-ciens, très impliqué dans l’insertion professionnelle, l’information des candidats et les enseignements. En quoi l’IUP Finance se démarque-t-il ? Grâce à son équipe d’universitaires et de profes-sionnels, le NIP compte parmi les grands M2 de gestion de patrimoine de France (cf. notre beau palmarès au Concours AGEFI-Actifs). Sa coloration nancéienne est dans le « N » de NIP, formant en négociation, vente et communication, pour armer à la relation commerciale avec une clientèle exi-geante. L’IUP propose une intégration en alternance au CFA Banques Lorraine ou en formation initiale et continue.

VOUS, DEMAIN ?

VOUS, DEMAIN ?

Banque CIC Est - Société anonyme au capital de 225 000 000 euros - 31 rue Jean Wenger-Valentin 67000 Strasbourg - 754 800 712 RCS Strasbourg - Banque régie par les articles L.511-1 et suivants du Code Monétaire et Financier.

Construisons ensemble dans un monde qui bouge !

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Rejoignez une entreprise qui bouge et révélez votre talent !CIC Est est une banque proche de ses clients et de ses collaborateurs.

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Proposer sa candidaturewww.cic.fr/fr/banques/recrutement/index.html

Jean-LucPREVOTResponsable M2 BPMA

Muriel MICHEL-CLUPOTResponsable M2 NIP

AfefBOUGHANMIResponsable M2 CAE


ERASMUS CONCOURS BOURSIERSLE CONCOURS EUROPÉEN « APPRENDRE LA BOURSE » EST ORGANISÉ

PAR FINANCE & PÉDAGOGIE DU GROUPEMENT DES CAISSES D’EPARGNE

— CHARLINE GERARD, FLORIAN HARMAND, PATRICK IMBERT, JEREMIE MULLER, PIERRE REICHERT, AURELIEN REINERT —

— EQUIPE KLK : ADELA KOLIC, BINTOU KOMARA, LÉA LECERF —

À ce titre, l’établissement bénéficie de l’ensemble des accords Erasmus obtenus par la Section de sciences éco-nomiques de la Faculté avec des universités partenaires. En 2016-2017, les universités concernées sont celles de : Riga, destination exclusivement réservée aux étudiants de l’IUP. Riga, ville portuaire, est la capitale de la Let-tonie et abrite les plus grandes institutions financières

qui devient de plus en plus un lieu clé dans l’activité économique du Nord-est de l’Europe. La Banking Ins-titution of Higher Education, école avec qui l’IUP est en partenariat, est très réputée pour la qualité de ses ensei-gnements en finance. Passer un semestre à Riga est donc une très bonne option en anglais pour l’étudiant qui sou-

la nôtre, tout en améliorant son anglais et en bénéficiant d’un enseignement de qualité.

Les destinations ci-dessous sont disponibles grâce aux accords de la section économique de la faculté :

Pour les échanges portant sur le semestre 2 de l’année de M1, la sélection s’opère en général au plus tard en octobre du semestre 1.

LA CULTURE, L’ÉPANOUISSEMENT PERSONNEL AINSI QUE LA MAÎTRISE DE LANGUES ÉTRANGÈRES SONT DES VALEURS ET DES QUALITÉS QUI SONT ENCOURAGÉES PAR L’IUP.

Quel est votre parcours universitaire ?Après avoir obtenue mon Baccalauréat ES, je me suis orientée vers un DUT GEA. Pourquoi ce choix ? Tout d’abord parce que cette formation était assez généraliste et qu’elle m’offrait ainsi deux années supplémentaires pour choisir une spécialisation. Et d’autre part, car les domaines de la gestion et de la finance m’intéressaient particulièrement. Suite à un stage en banque, j’ai découvert le monde bancaire, c’est pourquoi j’ai décidé d’intégrer l’IUP Finance en Licence,

Quels sont les arguments qui ont motivé votre choix d’entrer à l’IUP ?C’est à la suite d’un stage en banque que j’ai effectué durant ma dernière année en DUT, que j’ai pu découvrir plus en détail le monde bancaire. Ce stage m’a beaucoup plu c’est pour-quoi j’ai choisi de me spécialiser dans le domaine bancaire. L’IUP dispose aussi d’une bonne réputation et propose un enseignement spécialisé dans la banque, un secteur dans lequel je souhaiterais travailler par la suite.

Pourquoi avoir fait le choix d’intégrer le programme Erasmus ?

souhaitais aussi améliorer mon niveau en anglais. C’est pourquoi partir en Erasmus m’a permis

Qu’avez-vous pensé de l’université étrangère dans laquelle vous avez passé ces quelques mois et des cours dispensés ?La Banku, mon université d’accueil, nous a accueillis très chaleureusement. C’est une très bonne école avec d’excellents professeurs, très à l’écoute. Les cours se déroulaient dans une très bonne ambiance.

Pensez-vous que cette expérience est un atout pour la suite de votre parcours universitaire et professionnel ?C’est une expérience très enrichissante au niveau culturel et humain. Elle a été pour moi un atout

particulièrement à l’oral.

Quelles sont vos perspectives professionnelles ? Actuellement en alternance en banque privée, je souhaiterais, après l’obtention de mon diplôme, occuper un poste de conseiller en gestion de patrimoine (en banque privée toujours).

CE CONCOURS CONCILIE FINANCE DE MARCHÉ ET VALEURS HUMAINES. IL NÉCESSITE DES QUALITÉS TELLES QUE LA GESTION DE PORTEFEUILLE, LA CONFIANCE EN SOI ET LA CAPACITÉ À CONFRONTER LES IDÉES ET LES AVIS.

S’écouter les uns et les autres et savoir se remettre en question est alors essentiel à l’enrichissement personnel et à l’enrichissement de l’équipe. La voie du succès passe par les compétences financières mais surtout la capacité à pratiquer une vieille économique, politique et sociale.

Dans notre portefeuille, nous avons fait un choix de conviction en allant 100% sur de l’action et nous avons adopté une allocation tactique en

saisissant des opportunités de marché liées à l’actualité.

Ainsi, nous avons investi dans la Deutsch Bank dont la valeur était en baisse à cause de sa situa-tion économique et de l’amende qui lui a été infli-gée par les Etats-unis.Nous avons également pris part dans la Commerzbank pour profiter de la remontée du marché liée à l’annonce sur la dérégulation bancaire et financière de Donald Trump.

Grâce aux stratégies que nous avons adoptées et une pincée de chance et de bonne humeur, nous avons été classées deuxième au niveau na-tional et première au niveau de la Région Lorraine Champagne Ardenne avec une performance de

Pour fêter cette belle victoire, nous avons été

invités au siège de la BPCE à Paris et à la Faculté de Droit, Sciences Economiques et Gestion de

A vous de jouer pour devenir les nouveaux loups de l’IUP de Finance !

Anais QUINTELA DE FREITASM2 NIP, 2018BNP Paribas, Metz

LE CONCOURS « APPRENDRE LA BOURSE » DONNE LA POSSIBILITÉ AUX ÉLÈVES ET ÉTUDIANTS DE FAIRE FRUC-TIFIER UN CAPITAL VIRTUEL EN BOURSE DE 100 000€ PAR PORTEFEUILLE.

Ce concours se déroulant sur 10 semaines, les étudiants doivent gérer des portefeuilles en choi-sissant parmi 200 actifs imposés, le but étant d’investir au mieux afin de réaliser le maximum de profits et ainsi obtenir la meilleure place au classement régional, national, mais aussi Euro-péen. Pour cela, deux classements différents sont comptabilisés, un classement général et un classement valeurs durables. Dans le classement général sont comptabilisées l’ensemble des plus et moins-values sur l’ensemble des 200 produits disponibles (actions, indices, futures, obligations).

Le classement en valeur durables comporte quant à lui moins de produits, 20 actions seulement. La valeur de durabilité des entreprises étant définie par l’association Forum Ethibel qui gère la compo-

Index Global) et regroupe les leaders en matière de responsabilité sociétale des entreprises en Eu-rope, en Amérique du Nord et en Asie-Pacifique. De plus, certaines règles sont imposées par le concours comme les limites d’investissement sur un même titre ou encore le nombre d’ordres maxi-mum pouvant être négociés par portefeuille.

Au cours l’année 2016, le concours a réuni 124

France. Notre classementDurant le concours nous avons adopté différentes stratégies, la meilleure fut de spéculer sur l’élection

présidentielle américaine puis de créer un porte-feuille durable lorsque les marchés profitaient de l’élection de Trump. Nous avons alors réussi à nous hisser à la pre-mière place du classement durable en France, et ce même portefeuille a été classé dixième du classement général national. Cette performance nous a permis de participer à une remise des prix au siège de la BPCE à Paris mais aussi à une remise des prix au sein de notre

Notre ressenti Le concours nous a permis d’acquérir des compé-tences boursières au-delà des compétences théo-riques acquises durant notre année scolaire. Ce projet impose une forte implication, un travail en équipe important et une forte capacité d’écoute

éprouvé à travers les prises de risques, l’adréna-line lors des gains, la volonté de se hisser à la première place du classement, c’est une très belle expérience humaine. En effet, certains d’entre nous n’avaient aucune compétence boursière, il

dans le groupe. Nous avons également bénéfi-cié des conseils avisés de notre enseignant Jean- Philippe Bolle.

Ce projet correspond pleinement aux valeurs que nous enseigne l’IUP de finance. De plus, même s’il ne représente pas un élément déterminant pour notre CV, ce prix lui apporte une réelle valeur ajoutée.

Nous avons alors réussi à nous hisser à la première place du classement durable en France, et ce même portefeuille a été classé dixième du classement général national.



L’OBJECTIF DU DIPLÔME EST DE DONNER AUX ÉTUDIANTS DES CONNAISSANCES BANCAIRES ET SUR LE « MARCHÉ DES PAR-TICULIERS » TELLES QUE LE FONCTIONNEMENT DE LA BANQUE, LES PRODUITS BANCAIRES ET D’ASSURANCE, LES CRÉDITS BANCAIRES, LES ÉLÉMENTS FONDAMENTAUX DE LA MACROÉCONOMIE ET MICROÉCONOMIE APPLIQUÉS À LA FINANCE, L’ANALYSE FINANCIÈRE, LA COMPTABILITÉ, LE DROIT DE LA CONSOMMATION, ETC.

Le diplôme universitaire « Prévention du risque pénal économique et financier » est une formation professionnalisée, pluridisciplinaire et de haut niveau dans les domaines du droit pénal, de l’économie du crime, de la comptabilité, de la finance d’entreprise et de marché, de la gestion bancaire et de la fiscalité.

Dans un contexte plus global, le manque d’information sur les enjeux relatifs aux infrastructures pénales en fait un problème croissant pour les entreprises et les collectivités. L’étude des mécanismes, produits et procédures ou montages est en grande par-

étroite concertation entre intervenants universitaires et professionnels.

LE CONCEPT DU D.U. « REPRENEURIAT » EST NÉ DE LA VOLONTÉ DE DUPLICATION À L’ÉCHELLE DU TERRITOIRE, FACILEMENT EXTENSIBLE À LA GRANDE RÉGION (GRAND EST), CAR SOUTENU PAR DES PARTENAIRES À VOCATION TERRITORIALE ÉLARGIE.

Diplôme universitaire

FORMATION ÉLÉMENTAIRE AUX MÉTIERS DE LA BANQUE

Responsable : Valérie LELIEVRE, [email protected]


PRÉVENTION DU RISQUE PÉNAL, ÉCONOMIQUE ET FINANCIERResponsable : Fréderic STASIAK, [email protected]


REPRENEURIATResponsable : Jean-Luc PREVOT, [email protected]

Les partenaires sont nationalement mobilisables (Maison de l’Emploi, Pôle Emploi, écoles d’ingénieurs) et l’engagement des partenaires établissements de crédit, des intervenants professionnels de la reprise et des institutions en charge des politiques économiques dans les enseignements est un véritable soutien au diplôme, car adapté à toutes les cibles. L’objectif est de contribuer à augmenter le taux de réussite des reprises d’entreprise et de susciter les vocations. À ce titre, le DU est destiné à former de futurs repreneurs. L’enjeu de la reprise et la transmission d’entreprises : régénérer l’économie régionale, soutenir l’emploi, booster les talents.

LE CONTEXTE

-

ce phénomène peut avoir des conséquences lourdes sur l’économie de nos régions. »

Lorraine.

LA RÉPONSE

les entreprises, en ligne avec les initiatives du PEEL (Pôle Entrepreneurial Etudiant de Lorraine)

experts de praticiens reconnus (juristes, notaires, experts-comptables, mar-

et ordres, DCF, CJD, AMP, MEDEF, CGPME, APEC…)-

naire, allant de la web détention des cibles à la négociation, des Due Diligences à l’évaluation, du protocole à la gestion de patrimoine.

-vironnement juridique et fiscal-techniques financières-aspects patrimoniaux du dirigeant-Ressources humaines et aides extérieurs-projet individuel) pour

à 4800 euros.

UN COEFFICIENT DE PRISE EN CHARGE FINANCIÈRE IMPORTANT SELON LES CIBLES VISÉES

-ploi

par des cédants

LES AVANTAGES POUR LES STAGIAIRES Crédibilité, prêts bancaires bonifiés, accès coaching du réseau-experts

LA FORMATION CONSISTE À PRÉSENTER LES INSTRUMENTS PERMETTANT DE DIAGNOSTIQUER L’UTILISATION DÉTOURNÉE DE TECHNIQUES DE GESTION, JURIDIQUES, ÉCONOMIQUES OU FINANCIÈRES, AFIN DE DÉTECTER, PRÉVENIR ET LUTTER EFFICACEMENT CONTRE LA CRIMINALITÉ ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE.

200 HEURES DE COURS COMPOSENT LA FORMATION, VALIDÉE PAR UN EXAMEN ET UN STAGE

Cette formation est ouverte aux étudiants de Licence 3 ou Master 1 de toute discipline, pour ceux qui souhaitent faire une carrière bancaire. La réussite au DU permet un accès aux entretiens de l’IUP. Mais l’atout principal est qu’un candidat souhaitant suivre un M2 à l’IUP prouve sa motivation à réussir dans cette filière.

Ce diplôme apporte de nouvelles connaissances aux étudiants grâce aux

spécialités des différents universitaires et à l’intervention de professionnels de la banque et de la finance.

Quand on entre sur le marché du travail, l’important est d’obtenir des ren-dez-vous pour des entretiens d’embauche. L’obtention du DU rend le projet professionnel visible. Les connaissances sont opérationnelles et permettent une prise de poste plus rapide.

Etre titulaire du DU « Formation élémentaire aux métiers de la banque » est une vraie valeur ajoutée.


La conquête de la clientèle des Trois Frontières Les frontaliers travaillant au Luxembourg et en Bel-gique représentent une catégorie de clients à fort potentiel. De par un niveau de revenus supérieur à

l’exception de la Suisse, un patrimoine immobilier et financier étoffé et une appétence à la consom-mation de produits bancaires et financiers. La clien-tèle frontalière se révèle également consommatrice de crédits immobiliers et à la consommation, dont les encours sont généralement importants, du fait de revenus confortables. De plus la masse de fron-taliers est en constante augmentation. En effet les prévisions estiment à 140 000 le nombre de tra-vailleurs résidant en France et partant travailler au Luxembourg à l’horizon 2040, soit une variation

frontaliers actuelle. Les flux de travailleurs expor-tant leur force de travail en Belgique sont moins importants qu’au Luxembourg. Cependant leur évolution est en perpétuelle augmentation. De plus la province de Luxembourg, région de Belgique

essentiellement des frontaliers provenant de France -

tée l’agence. La population de la zone urbaine de

de ces données qualitatives et quantitatives nous amène naturellement à conquérir cette clientèle.

-taliers renforcent la concurrence. Certains établisse-ments du secteur bancaire français commencent à mettre en œuvre une démarche de conquête de la clientèle frontalière travaillant au Luxembourg, par la création d’offres et via une large communication. Les banques luxembourgeoises sont de redoutables concurrentes, les offres et les communications proposées par ces établissements attirent progres-sivement les frontaliers travaillant sur le territoire luxembourgeois. À l’inverse les banques belges ne sont pas intéressées par le marché des frontaliers. Le réel enjeu est de devenir compétitif quant à la conquête des frontaliers travaillant au Luxembourg et d’obtenir une position oligopolistique concer-nant la clientèle travaillant en Belgique. De plus,

prendre conscience des forces et faiblesses interne à l’agence, des opportunités et menaces externes à notre établissement, associée à la recherche des difficultés subies par la clientèle des Trois Fron-tières ont permis d’imaginer des mesures à court,

bureaux dans les gares frontalières ou encore le déplacement des conseillers sur les lieux de travails sont compliqués à mettre en œuvre et nécessitent de la réflexion, des calculs de rentabilités et de nombreux accords des supérieurs hiérarchiques. Dans le cadre de la conquête de la clientèle fron-talière, la création d’une offre dédiée a paru une évidence, cette mesure est plus accessible, moins onéreuse que celle élaborée suite aux différentes

à un échantillon de clients frontaliers de l’agence consolide cette décision puisque selon eux les offres bancaires font parties des éléments les plus importants dans une relation bancaire.

En amont de la création de l’offre, il a fallu détermi-ner des zones de prospection permettant la distribu-

pour cette clientèle. L’objectif étant de chiffrer et de conquérir le maximum de frontaliers présents dans

des secteurs se situant à proximité de l’agence. La construction de l’offre a nécessité de se mettre en relation avec le service marketing et de présenter brièvement le projet à mes supérieurs pour obtenir leur accord quant à la prospection. Cette phase est le moment décisif de la réussite de la conquête. En effet il a fallu convaincre les délégués du person-nels, ressources humaines ou directement les sala-riés, de la pertinence de l’offre, de la plus-value que nous pouvons leur apporter, mais également éveiller leur curiosité, ce qui conditionnera la visite de cette clientèle en agence.

Enfin le calcul des recettes et des coûts démontre toute la pertinence de cette action puisque le PNB annuel généré par la conquête d’un seul client est de 710 euros alors que le coût de prospection par client est de 146 euros. Le bénéfice net pour

par an. À l’inverse si l’action se montre défavorable aucun coût ne sera facturé à l’agence puisque la création, l’édition et la livraison de l’offre sont tota-lement gratuites.

Cette action entreprise à petite échelle se révèle, -

tablement rentable. Elle reste cependant isolée. Ce marché à fort potentiel, croît de par sa taille et la qualité financière et patrimoniale de ses acteurs. Il est donc temps de penser à révolutionner le modèle relationnel actuel ; notamment, avec la création d’un pôle dédié à l’ensemble de la clientèle fronta-

Allemagne. Cela permettra de personnaliser cette relation, d’augmenter considérablement nos parts de marché grâce à des conseillers «frontaliers» spécialisés, proposant une relation sur mesure, en se déplaçant selon les disponibilités de cette clien-tèle frontalière. La finalité de cette conquête nous amène à nous interroger sur l’implantation directe d’agences bancaires dans les plus importantes

L’investissement sur les plateformes de financement participatif

« Le financement participatif peut casser le mono-pole des banques » Jérôme Kerviel, ancien trader, lors des 2èmes Rencontres euro-méditerranéennes

que des banques telles que BNP Paribas, HSBC ou La Banque Postale peuvent être concurrencées par des sites internet proposant des prêts entre particuliers comme KissKissBankBank ou des sites

qui ne génèrent à ce jour que peu de bénéfices ?

ressemblent et sont tous les deux très anciens. Là

chacune de ces entités dégagent. D’une part les

grands établissements bancaires, présents depuis des siècles, restent traditionnels malgré des efforts de modernisme. Leurs images souffrent des crises successives et des conséquences de celles-ci. D’autre part la désintermédiation : l’investisse-ment dans l’économie réelle sans passer par un intermédiaire en dehors d’un simple site internet présentant les annonces. Les plateformes de finan-cements participatifs représentent la nouveauté, l’innovation et surtout l’accessibilité par les canaux utilisés au quotidien par tout un chacun.

Dans une tendance générale de consommation collaborative et de production participative, le crowdfunding s’inscrit dans un état d’esprit jeune, créatif et bienveillant. Cependant, en se penchant un peu plus sur le sujet, l’utopie reste palpable. Les risques sur ces investissements restent élevés et, malgré la mise en place d’une règlementation en 2014 puis en 2016, les informations ne per-mettent pas toujours à l’investisseur d’anticiper une perte en capital.

Depuis plusieurs années, la course à l’innovation s’opère également pour les banques dans leur approche client, leur communication en particu-lier dans la promotion de leurs placements person-nalisés. Les banques voient ces nouveaux acteurs appelés crowdfunding, crowdlending ou encore

-tenaires. De nombreuses alliances plateformes-banques se sont mises en place pour améliorer la sélection des projets. Récemment, la Banque Postale a racheté la plateforme KissKissBankBank. Est-ce là la fin de l’indépendance revendiquée par ces plateformes ?

Les clients perdus de vue,une voie alternative de développement du PNB

Aujourd’hui une véritable pression concurrentielle s’exerce par divers fac-teurs : contexte de taux bas et caractère mature du marché accentué par la mobilité bancaire accrue.

Les banques cherchent donc des modèles de développement de leur marge par voie interne (fidélisation de la clientèle) et externe (conquête de nouveaux clients). De plus, la différence s’exerce dans la relation entre le client et son conseiller qui accompagne ses clients dans les étapes de vie. Cependant, la nomenclature des clients du CIC montre qu’il existe des clients professionnels qui n’ont pas été contactés depuis longtemps, alors

croire acquis et figés dans le temps et les aspirations. Néanmoins se pose la question de la pertinence d’une séduction suivie pour déceler les nou-velles préoccupations des clients et éviter des départs, une voie médiane entre conquête et fidélisation de la clientèle.

L’enjeu de ce sujet évolue avec la relation commerciale. Il s’agit de rassurer, capturer et jauger les clients les plus récents et d’évaluer l’équipement des plus anciens pour anticiper les besoins et découvrir les raisons de cette perte de contact. Du côté du conseiller, cette dernière s’explique par un manque d’information, une volonté délibérée face à des problèmes rela-tionnels ou de fidélité et du côté des clients par la volonté de se soustraire à la mainmise de la banque.

La première solution proposée est de renouer le contact avec le client pour réinstaurer la confiance et le valoriser pour qu’il revienne vers nous. En réalité la réponse est plus complexe. Face à la digitalisation de la relation de ces dernières années, les conseillers doivent réduire la distance avec leurs clients. Aussi, les outils digitaux doivent servir à la reprise de contact dans le cadre du développement de l’offre commerciale issue des besoins des clients déduits de ce que l’on sait d’eux, de leur comportement. Alors, c’est l’occasion aussi d’effectuer un tri des clients selon les besoins et la rentabilité.

Au cœur de ces tendances et de cette stratégie proposée, les conseillers

liées à l’importance accordée à la relation personnalisée, à l’existence d’expert métier ou à la présence d’objectifs chiffrés et/ou qualitatifs. Pour aider les conseillers face à cela, les formations, mais aussi les managers sont primordiaux. Ces derniers, par leur coaching adapté aux compé-tences des conseillers, influencent les résultats de leur agence. Concomi-tamment, les banques doivent tenir compte de l’individualisme présent chez leur client à travers un mode de consommation flexible, dans un cadre

C’est donc un axe de développement des banques avec des composantes temporelles, technologiques, comportementales et managériales complé-mentaires, reflets des défis des banques aujourd’hui.

AurélienFROIDEVAUXM2 BPMA, 2017CIC Est

Maxime GATTULLOLicence Pro, 2017 Société Générale

L’ALTERNANCE� � une opportunitéprofessionnelle

Projet tutoré Master 2

LA FORMATION EN ALTERNANCE COMBINE À LA FOIS DES PÉRIODES DE COURS CLASSIQUES À L’UNIVERSITÉ ET D’AUTRES PÉRIODES EN MILIEU PROFESSIONNEL AU SEIN D’UNE ENTREPRISE. À L’I.U.P. FINANCE, NOUS FONCTIONNONS SUR UN RYTHME RÉGULIER :

1 et Masters 2 effectués en alternance

Professionnelle

Il est important que chaque période laisse le temps à l’alternant de s’adapter et d’assimiler ce qu’il apprend, qu’il s’agisse de connaissances plus théoriques en cours ou de compétences pra-tiques en entreprise. De la même façon, des périodes trop longues ne permettraient pas pour l’alternant de faire le lien entre ce qu’il apprend respectivement dans le cadre universitaire et dans le cadre professionnel.

--

gente. Cela permet également un suivi régulier de la part des responsables de formation à l’I.U.P. ainsi que des tuteurs qui sont référents pendant les périodes en entreprise.

POINTS POSITIFS

UNE PREMIÈRE EXPÉRIENCE L’alternance est très valorisée dans les métiers de la

banque, car les étudiants disposent en sortant de l’I.U.P. d’une expérience professionnelle non négligeable.

UNE RÉMUNÉRATIONElle est réglementée. Pour plus de renseignements www.alternance.emploi.gouv.fr/portail_alternance

UNE FORMATION THÉORIQUE ET PRATIQUEL’étudiant continue d’apprendre de nouvelles

connaissances en cours et il peut les appliquer en entreprise et les rendre concrètes.

INSERTION PROFESSIONNELLE FACILITÉE Dans la grande majorité des cas, l’alternance débouche

sur une embauche dans l’entreprise dans laquelle l’étudiant a réalisé sa formation.

POINTS NEGATIFS

ADAPTATION

qu’en filière classique.

LES MEILLEURS MÉMOIRESLES MEILLEURS MÉMOIRES

ChristelleMATHIOT

Licence Pro «Expert», 2017 - BNP Paribas


Cette institution nancéienne concentre différentes structures de la profession bancaire et a la volonté de réunir et de fédérer les acteurs locaux : de ce fait, la Maison de la Finance permet de créer un véritable lieu d’échange et de collaboration entre ceux-ci. Cet espace de communication et d’interaction permet notamment aux banques de formuler des besoins en matière de formation, besoins qui sont pris en compte par les établissements de formation bancaire. La Maison de La Finance est donc une grande réussite nancéienne et un acteur essentiel qui promeut au mieux le secteur financier au sein du

Les 4 structures réunies au sein de ce pôle d’excellence sont :

Aprofin : Regroupe les établissements exerçant une activité financière (banques et établissements financiers) et met ses compétences au service du développement local et régional.Fédération Bancaire Française FBF : Représente les établissements de crédit auprès des pouvoirs publics et des autorités de contrôle et de régulation et assure la liaison avec les associations professionnelles et associations de consommateurs.Centre de Formation de la Profession Bancaire CFPB : Accélérateur de compétences des salariés de la profession bancaire tout au long de leur vie professionnelle puis au niveau de l’évolution des compétences de l’ensemble des collaborateurs à chaque stade de leur carrière.Enfin, la dernière structure : le CFA Banques Lorraine est en partenariat direct avec l’IUP Finance.

Ses missions principales :

Les points forts :

référentiels de compétences par métier

financière.

Le CFA Banques Lorraine prépare, par voie d’apprentissage, aux diplômes suivants :

Ainsi que ces 5 formations proposées par l’IUP :

Le CFA en chiffres :

Ces très bons résultats en termes de chiffres sont notamment expliqués par l’implication des nombreux établissements bancaires partenaires du CFA, qui sont les suivants :Banque KOLB, Banque Populaire Alsace Lorraine Champagne, Banque Postale, BNP Paribas, Caisse d’Epargne de Lorraine Champagne Ardenne, Cetelem, CIC Est, Crédit Agricole de Lorraine, Crédit Foncier, Crédit Mutuel, HSBC, LCL, Société Générale.

LA MAISON DE LA FINANCE

Quel est votre parcours ? J’ai tout d’abord obtenu un bac ES spécialité Maths, je voulais travailler dans le commerce, mais je n’avais pas d’idée très précise du métier que je voulais faire par la suite, donc je me suis dirigée vers un DUT Techniques de Commercialisation à

durant deux années. Finalement après ces deux ans, mon choix était fait et je me suis

Pourquoi avez-vous choisi d’étudier à l’IUP finance ?Tout d’abord, la banque m’a toujours intéressée, j’ai donc cherché les différentes écoles qui proposaient des formations spécialisées dans ce secteur. Une amie m’a

l’équipe pédagogique compétente et les cours intéressants.

Pour quelle raison avez-vous choisi le master NIP plutôt qu’un autre ? Au départ, je voulais me diriger vers le professionnel, et par la suite atteindre un poste de directrice d’agence. Cependant lors de mes cours du premier semestre en master 1 et de la découverte de la gestion de patrimoine, je me suis rendu compte que cette matière m’intéressait réellement. Chaque cas est différent et je pense que c’est ce qui m’a plu. L’expertise et le conseil sont obligatoires et je pense que ce métier n’est jamais monotone grâce à ces deux facettes.

Quel est votre projet professionnel ? Je souhaiterais tout d’abord être embauchée en tant que chargée de clientèle privée, pour ensuite arriver au poste de gestionnaire de patrimoine. Mais à plus long terme, je n’ai pas de projets précis. Je pense que la vie est faite d’opportunités qu’il faut saisir et qu’il ne faut pas s’arrêter sur une seule idée.

Quels conseils donneriez-vous aux futurs candidats de master 2 ? Je pense qu’il ne faut pas croire que tout est acquis. Il faut du travail, de la motiva-

pourrez que réussir.

Quelles démarches avez-vous effectuées pour trouver votre établissement d’accueil ? En Licence, je me suis rendue à la journée qui était organisée par l’IUP dans leurs locaux, afin de rencontrer les RH de beaucoup d’établissements bancaires. Je me suis présentée, j’ai donné mes CV et lettres de motivation. La banque Kolb m’avait rappelée pour mon master 1, mais j’avais décidé de partir en Erasmus avec l’IUP, j’ai donc dû décliner la proposition d’entretien. J’ai postulé l’année suivante et j’ai

Riga en Lettonie. La banque Kolb m’a fait une proposition que j’ai acceptée et que je ne regrette absolument pas.

Mégane BERRYM2 NIP, 2018

Banque Kolb, Metz

L E V É C U D E L ’ A P P R E N T I S S A G E 27

Chaque cas est différent et je pense que c’est ce qui m’a plu. L’expertise et le conseil sont obligatoires et je pense que ce métier n’est jamais monotone grâce à ces deux facettes.

CRÉÉE EN 2006, LA MAISON DE LA FINANCE PORTE EN ELLE-MÊME UNE RÉELLE IDÉE NOVATRICE PUISQU’ELLE EST LA SEULE INITIATIVE DE CE GENRE EN FRANCE.

Selon vous, quels sont les atouts qui ont fait de la Maison de la Finance un pôle d’excellence ?La maison de la Finance est un concept unique en son genre et a été créée de la volonté de la profession bancaire de s’allier avec l’université pour construire des parcours profes-sionnalisés au service des banques et pour apporter un haut degré de professionnalisation. L’intérêt du concept « Maison de la Finance » est d’avoir sur place l’ensemble des

personnes qui travaillent au service de la formation professionnelle et de l’emploi, et qui savent donc définir les besoins et les attentes de la profes-sion bancaire. À charge pour nous

Quels conseils pouvez-vous donner à un étudiant qui souhaite opter pour la voie de l’apprentissage ?L’apprentissage est une voie qui amène rapidement à l’exercice d’un métier. Il faut bien sûr obtenir son di-plôme, mais la finalité est de travailler dans la banque et donc de se pré-parer à l’exercice de ce métier. On considère que le diplôme n’est qu’un

diplôme, la certification AMF et la cer-tification Voltaire, ainsi que répondre à des critères de professionnalisation qui sont les attendus des banques en matière d’exercice du métier. Il faut bien réfléchir, car ce n’est pas une poursuite d’études, c’est véritablement une préparation à l’emploi.Mes conseils ? Je dirais se projeter et s’intéresser à l’évolution des métiers

de la Banque et surtout de l’avenir des relations entre les banques et

permettra de transformer les expé-riences en agence et au CFA en véri-tables compétences professionnelles.

Quels sont les profils de candidats recherchés par les banques aujourd’hui ?Je dirais que ce sont surtout des pro-fils qui ont envie de participer aux grands défis des banques de demain ! Les banques recherchent des candi-dats qui pourront développer et créer de nouvelles formes de relation avec la clientèle, avec une forte appétence pour les outils numériques. Au-delà de la relation commerciale, les banques ont besoin d’une nouvelle génération inventive, tournée vers l’avenir, et qui saura devenir force de proposition et de changement, dans un environne-ment qui n’est pas encore défini… Une belle aventure pour les apprentis d’aujourd’hui qui auront en charge d’inventer la banque de demain et d’être moteur du changement ! À noter que le Label « CFPB-Maison

de la Finance » défini les éléments à cumuler pour atteindre ces objectifs. Il a été imaginé collectivement avec les intervenants professionnels et uni-versitaires, les apprenants, et les éta-blissements bancaires, pour accom-pagner les apprentis vers l’excellence professionnelle en agrégeant au diplôme les certifications AMF et Vol-taire ainsi que l’ensemble des critères exigés par les banques en matière de professionnalisation.

Quel regard portez-vous sur l’IUP ?L’IUP est notre partenaire universitaire qui apporte une dimension complé-mentaire à tout ce que nous faisons en matière de professionnalisation relative au métier. C’est un excellent partenaire qui va apporter une dimen-sion universitaire à l’ensemble du par-cours bancaire. Cette alliance permet véritablement une formation de haut

le côté technique du professionnel, il

C’est ce qui donne toute la valeur à nos parcours.

Nicolas LAMBERTDirecteur, CFA Banques Lorraine


répondre à toutes les interrogations des futurs étudiants. L’équipe Financiens Evènementiel est alors chargée de l’accueil des étudiants, mais est aussi présente pour répondre à leurs questions sur les modalités d’entrée à l’IUP, ainsi que sur le déroulement de l’année universitaire et de leur futur cursus.

Financiens Web

représenté sur internet. En effet l’équipe s’occupe des comptes Facebook et Linkedin. Ils sont en

charge d’un annuaire pour suivre les anciens Iupistes et faciliter le contact avec les professionnels. Assurer un lien entre futurs Iupistes, Iupistes actuels et professionnels est l’objectif principal du projet. L’équipe s’occupe également

Iupistes, professeurs, professionnels de la banque et personnalités de la ville

Promo inté

L’association PROMO-INTE a pour principal objectif de créer une forte cohésion entre les étu-diants de l’IUP et ceci grâce aux évènements que l’association organise. Le projet Promotion-Inté, porté par l’association païen.com, souhaite faciliter l’accueil, orienter et renseigner les étudiants. Au cours de l’année universitaire, l’association organise de nombreuses soirées afin de récolter des fonds pour le week-end d’intégra-tion ainsi que la soirée de parrainage qui a lieu en début d’année. Les membres du projet se voient confier diverses missions comme le démarchage de sponsors, l’organisation de soirée avec la création d’affiches, le respect du budget prévisionnel ou encore la négociation auprès des partenaires. En effet, nous développons le travail d’équipe, nous déléguons aux autres et nous nous faisons confiance. De plus, nous voulons communiquer auprès des futurs étudiants ou postulants de l’IUP. Notre mission est de véhiculer une image fidèle de notre filière notamment lors de salons comme ORIACTION,

donc auprès de toutes les personnes souhaitant des informations sur notre formation. Enfin, nous voulons être acteur du développement de notre for-mation en partenariat avec l’équipe de direction de l’IUP, avec laquelle nous communiquons régulièrement ce qui permet de contribuer à l’aura de l’institution.

Tends la main

L’association caritative TENDS LA MAIN a pour principal objectif de récolter des fonds destinés à la construction d’écoles et de logements afin de rendre l’éduca-

tion progressivement plus accessible au Sénégal, ceci étant crucial pour un -

sociation Agir Ensemble, implantée dans les Vosges, et qui se charge d’en faire le meilleur usage possible. Grâce à ces fonds, des chantiers peuvent débuter ou se terminer sur place. Aussi, ce projet a également un objectif

-loppement. Cet objectif sera atteint grâce aux interventions dans les écoles primaires de la région.

Contact

CONTACT est un projet consacré à la présentation de l’IUP. En effet, les étudiants ont pour mission et objectif de rédiger le journal de l’IUP. Celui-ci présente les différentes formations proposées, mais également les futures carrières que celles-ci peuvent offrir grâce aux interviews d’étudiants, de professionnels ou encore de professeurs. C’est un projet qui nécessite du temps, une attitude professionnelle, et ce, du début à la fin. En effet, l’équipe doit s’occuper des démarches administratives, de la rédaction, mais aussi de l’impression du journal, qui doit être rapidement finalisé afin d’être distribué lors des portes ouvertes de l’IUP Finance. Ce projet est très enrichissant, car

apportant chacun notre touche personnelle. De plus, ce projet nous permet d’être en contact avec le milieu professionnel lors des interviews ou lors des demandes de subventions. CONTACT est donc un projet formateur, qui requiert une équipe soudée et motivée.

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Carrières InternationalesLe projet Carrières internatio-nales comprend deux associa-tions avec des buts divers, mais gérés par la même équipe d’étu-

diant. L’association Francfort finance a pour but final d’organiser une sortie à Francfort avec des visites culturelles de la BCE, de la Bundesbank, ou encore de la bourse. C’est avec différents évènements que le projet a pu récolter des fonds, comme une sortie au marché de Noël de Strasbourg. Le projet des étudiants consiste à entretenir un réseau d’anciens iupistes tra-vaillant à l’étranger afin de pérenniser les relations créées par les anciennes

-nuaire se compose d’environ 70 étudiants dont la majeure partie travaille au Luxembourg. Grâce à ce réseau, les étudiants organisent une conférence centrée sur les carrières à l’étranger après obtention d’un master à l’IUP.

discuter avec les intervenants.

Best Job Ce projet se décompose en deux activités distinctes, dans un premier temps les élèves par-ticipent au concours boursier. Dans un second temps l’équipe se consacre au projet Best Job, qui a pour objectif d’aider les étudiants à améliorer leur communication écrite grâce au projet Voltaire. Des cours sont organisés pour aider les étudiants qui souhaitent partir à l’étranger, à rédiger leurs CV en anglais. La culture faisant partie intégrante de l’IUP, Best Job est amené à organiser un évènement culturel pour la promotion, comme la visite d’un musée, une soirée à l’opéra, un concert de jazz, selon les préférences de l’équipe.

Portfolio Mise en place en 2014, le pro-jet Portfolio a pour objectif de mieux comprendre le monde de la finance. En première partie, les élèves du projet participent à un concours boursier, celui-ci se déroule tout

au long du premier semestre et les élèves ont pour but de faire fructifier un portefeuille fictif de 100 000€. Assisté par M. BOLLE (enseignant de produits boursiers) les étudiants acquièrent de réelles connaissances sur

portefeuille. Durant la seconde partie de l’année, les étudiants organisent une projection de films destinés aux Iupistes. Ce projet est utile pour la poursuite de vos études et vous permet de vous familiariser avec les techniques et stratégies boursières, mais aussi de développer une cohésion d’équipe et un sens de l’organisation.

APEL

APEL est une association d’Aide Pour les Enfants Leucémiques, créée par les étudiants de l’IUP. Notre but est de récolter des fonds tout au long de l’année et de les reverser intégralement à l’Association pour le Recherche et les Études dans les Maladies

Infantiles (AREMIG). Nous organisons de multiples évènements pour col-lecter des fonds (vente de fromages, de chocolats de Noël, emballage cadeau…), mais aussi pour sensibiliser et informer le public (récolte de jouets, intervention dans des écoles primaires…). Enrichissant, ce projet nous permet de nous investir dans une œuvre carita-tive en dehors du cadre universitaire, et de développer notre sens commer-cial avec la recherche de sponsors.

Financiens évènementiel

Financiens Evènementiel est un projet collectif qui a pour but de promouvoir l’IUP finance à travers deux manifestations capitales, à savoir une conférence métiers, et la journée Portes Ouvertes. La conférence métier, organisée au cours de l’année, a pour objectif de

-tion, d’anciens Iupistes aujourd’hui sur le marché du travail, nous partagent leurs expériences et répondent aux questions des étudiants venant de tous horizons (Iupistes, droit, économie, etc). Plus tard dans l’année se déroule la Journée Portes Ouvertes qui permet de présenter l’IUP, ses formations à partir de la licence jusqu’au master. Cette dernière se déroule au sein de l’établissement, de nombreux professionnels sont également présents pour

LES PROJETS COLLECTIFS

P R O J E T S C O L L E C T I F S


LA VIE ÉTUDIANTEÀ L’IUP DE FINANCE

LE BDEBureau des Etudiants

Le bureau des étudiants est une association créée à l’initiative des étudiants de l’IUP de finance.

Elle est composée d’une dizaine d’étudiants de L3, M1 et M2 moti-vés par un objectif commun, celui d’assurer une cohésion au sein de

work etc. sont organisés tout au long de l’année afin de financer un

festives, ainsi que renforcer les liens amicaux entre tous les étudiants.

Si vous souhaitez intégrer cette association, vous devez être doté d’un sens du relationnel et de temps libre à consacrer à celle-ci. Le BDE permet de développer de nombreuses compétences qui peuvent faire la différence sur votre CV.

LE PARTAGE, LA CULTURE ET L’AVENTURE SONT DES VALEURS QUE L’IUP FINANCE DE NANCY AFFECTIONNE PARTICULIÈRE-MENT. C’EST POUR FAVORISER LA COHÉSION DU GROUPE QUE L’ÉTABLISSEMENT CONSACRE DES EFFORTS IMPORTANTS EN TERMES D’ÉVÉNEMENTS ET DE SORTIES, DE MANIÈRE À PERMETTRE À SES ÉTUDIANTS DE S’ENRICHIR PROFESSIONNELLE-MENT, HUMAINEMENT ET CULTURELLEMENT.

LA REMISE DES DIPLÔMES

Chaque année a lieu la traditionnelle remise des diplômes qui vient

Pour cette nouvelle année, la cérémonie s’est déroulée le 8 décembre 2017 dans l’enceinte du grand amphithéâtre de la Faculté de Droit

qui caractérise la grande famille de l’IUP Finance que les étudiants de Licence Professionnelle (parcours Marché des Particuliers et par-cours Chargé de Clientèle Expert) et de la Licence Economie, par-cours Finance, ainsi que les étudiants de Masters NIP (Négociation et Ingénierie Patrimoniale), BPMA (Banque des Professionnels et Ma-nagement d’Agence) et IFBE-CAE (Ingénierie Financière et Bancaire de l’Entreprise, parcours Chargé d’Affaires Entreprises) se sont vus remettre leur diplôme respectif. Une soirée propice aux retrouvailles, à la satisfaction du parcours accompli et aux remerciements.

Tous nos vœux de réussite à nos Iupistes diplômés, aussi bien dans leur accomplissement personnel que professionnel.

Les sorties

« La vie est la plus belle des fêtes »

Julia Child

L’IUP de Finance est avant tout un groupe qui avance ensemble. La notion de famille est souvent mentionnée par les étudiants, ce qui rend bien compte de la force des liens qui les unissent. Pour que cette cohésion perdure dans le temps, diverses sorties sont organi-sées avec pour finalité de rassem-bler les étudiants. D’un week-end d’intégration à une journée féérique (journée au marché de Noël de Strasbourg en 2017), en passant par des sorties nocturnes riches en émotion, les Iupistes peuvent s’intégrer et se lier d’amitié les uns avec les autres.

La culture

« La culture ne s’hérite pas, elle

se conquiert » André Malraux

La culture occupe une place pré-

et il serait dommage de ne pas en profiter. Dans cette quête de découverte et de perfectionnement de l’esprit, M. Prévot souffle à ses étudiants quelques idées de sortie, mais est également ouvert aux propositions des étudiants. Ainsi, cette année, la Promotion a eu la chance de visiter le Musée des

à un ballet : KAYAK à l’Opéra

L’Aventure

« Rester c’est exister, mais voyager c’est

vivre »Gustave Nadaud

L’IUP Finance à la conquête de l’Europe ! Chaque année plu-

l’extérieur des frontières de l’IUP

à Francfort, réalisé par le projet collectif Carrières Internationales ouvre le bal au printemps. En par-

pourront visiter la BCE, la Bun-desbank ou encore assister à des conférences. Un autre périple vient s’ajouter, il est le fruit du BDE. Si le choix de la destination est laissé libre aux étudiants, les rires, l’émo-tion et l’excitation font toujours par-

Le partage& l’entraide

« Après le verbe aimer, aider est le plus beau

verbe du monde » Bertha Von Suttner

L’entraide, le partage sont des va-leurs chères à l’IUP Finance. Elles se manifestent au sein de la pro-motion, mais également auprès de populations dans le besoin. En effet, depuis 2013, des étu-diants en finance qui sont volon-taires participent à un projet plu-riannuel mené par l’AKGN qui s’intitule « Construis-moi un avenir ». Ce projet prend la forme d’un sou-tien scolaire par des étudiants de l’IUP Finance et a pour objectif la

d’améliorer le niveau des élèves de terminale et d’augmenter le pourcentage de réussite au bac-calauréat, qui était de 17 % en 2017.

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D’APRÈS LE SITE L’ÉTUDIANT, NANCY EST LA 17ÈME VILLE ÉTUDIANTE DE FRANCE ET LA 2ÈME DU GRAND-EST. LA VIE ÉTUDIANTE DE NANCY EST STRUCTURÉE PAR PLUSIEURS ÉVÉNEMENTS :

Les 24H de Stan Tous les 2 ans, une course de chars est organisée Place Carrière par l’École Nationale Supérieure d’Agronomie et des Industries Alimentaires (l’ENSAIA). Environ 4000 étudiants se rassemblent lors de cette

ème édition aura lieu en 2018.

Aquacité

Industriels (l’ENSGSI) créé une compétition sportive à thématique aquatique, réunissant des équipes de différentes écoles pour s’affronter lors de différents challenges.

Nocturnes étudiantes

Tous les ans les étudiants sont invités à se réunir sur une place de la ville avec concerts, des jeux grandeur nature, village associatif, etc.

entre autres la Place Stanislas, la Vieille Ville et de nombreux musées dont le Musée de l’École de

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L’IUP ACCOMPAGNE

SES ÉTUDIANTSL’iup organise un certain nombre d’événements afin d’aider les étudiants dans leur orientation,

ou encore de permettre aux étudiants de rencontrer des professionnels.

L’événement « Amphicom » permet aux Directeurs des Ressources Humaines de présenter leurs établissements bancaires, et d’indiquer leurs besoins et les profils recherchés. Après cette phase de présentation, les étudiants pourront échanger avec ces DRH. Cet événement est donc l’occasion d’avoir un premier contact avec les professionnels, très bénéfique et constructif pour la recherche de stage et d’alternance.

Le projet Financiens Evénementiel organise en janvier une conférence métier.

Lors de celle-ci, des anciens étudiants de l’IUP, aujourd’hui en poste au sein d’établissement

bancaires, partageront leurs expériences avec les étudiants actuels. Ces derniers pourront alors avoir une idée plus précise des spécificités des masters proposés, ce qui est essentiel avant de

faire son choix.

Le projet Financiens Evénementiel organise également la journée

« Portes ouvertes » de l’IUP qui se déroule au mois de mars. Cet événement permet à

quiconque est intéressé par le monde de la banque et de la finance de découvrir l’IUP et

ses formations. C’est aussi une opportunité pour un futur étudiant

potentiel de l’IUP de rencontrer des professionnels, les directeurs

des trois Master 2 et de la L3, ainsi que des étudiants de L3, présents afin de répondre aux

différentes questions posées. Ils peuvent également se renseigner sur le contenu et le déroulement

de l’entretien de sélection en L3, M1 et M2.

Le projet Promo-Inté est présent dans divers forums, universités et écoles (oriaction, IUT…) afin de présenter l’IUP aux étudiants à la recherche de réponses pour orienter au mieux leurs études supérieures. Cette présence dans les différents forums permet à l’IUP d’être plus proche de ses futurs étudiants et de les conseiller au mieux quant à leur orientation.

Cette journée est organisée en janvier par le CFPB.Munis de leurs CV, les étudiants vont à la rencontre des recruteurs des établissements bancaires qui leur accordent des entretiens d’une dizaine de minutes. C’est la première étape dans la concrétisation d’un projet d’alternance.

Le projet Carrières Internationales organise une conférence au mois d’avril animée par

d’anciens iupistes travaillant à l’étranger. Ils peuvent alors exposer leurs parcours

professionnels et expliquer leur expérience à l’étranger. Cette conférence permet aux

étudiants attirés par l’international de s’informer quant aux possibilités de travailler à l’étranger.

de la constitution d’un annuaire des diplômés pour faire vivre le précieux réseau des IUPistes.

L’IUP porte une attention particulière à l’avenir professionnel de ses étudiants et tient également à informer ses futurs étudiants des possibilités professionnelles qu’offrent les différentes formations.

« AMPHICOM »

ORIENTATION PROFESSIONNELLE

FAIRE DÉCOUVRIR

BIEN S’ORIENTER

JOURNEE INFO-FORMATION-RECRUTEMENT

SUIVRE LES ANCIENS

AVENIRPROFESSIONNEL

LE RÉSEAU DES IUP BANQUE FINANCE ASSURANCE MET À LA DISPOSITION DES FUTURS CANDIDATS EN L3 LES CORRIGÉS D’ADMISSIBILITÉ ANTÉRIEURS À PARTIR DE SON SITE INTERNET. CE RÉSEAU ENTRETIENT D’ÉTROITES RELATIONS AVEC LES PROFESSIONNELS (FÉDÉRATION BANCAIRE FRANÇAISE, FÉDÉRATION FRANÇAISE DE L’ASSURANCE, CFPB, …). IL PROPOSE UNE MULTITUDE DE MASTERS ADAPTÉS AUX ÉVOLUTIONS DES MÉTIERS DE LA FINANCE. CE RÉSEAU DÉLIVRE DES DIPLÔMES D’ÉTAT DE LICENCE ET DE MASTER.

LA FORCE D’UN RÉSEAU Le réseau des IUP : 11 Instituts / Masters

Aix-Marseille : www.isafi.fr

Angers : www.univ-angers.fr

Bordeaux : www.u-bordeaux.fr

Caen : www.iae.unicaen.fr/iae-caen.php

Lyon 2 : http://polefb-seg.univ-lyon2.fr

Nancy : http://iupfin.univ-lorraine.fr

Nantes : www.iae.univ-nantes.fr

Nice : http://unice.fr/formation

Paris Dauphine : www.igp.dauphine.fr

Paris Nanterre : www.parisnanterre.fr

Paris 13 : www.univ-paris13.fr/ecogest

Le réseau national Le réseau national des IUP regroupe 11 universités qui partagent une même approche de l’enseignement supérieur et qui ont vocation à travailler ensemble pour être au plus proche des problématiques des banques et des compagnies d’assurances. C’est un lieu d’échange entre IUP qui associe aussi la Fédération Bancaire Française, la Fédération Française de l’Assurance ainsi que le CFPB avec lequel il existe un partenariat. Le principal interlocuteur du réseau est le CFPB. Il existe de nombreuses formations en commun avec celui-ci parce qu’il est en contact avec les services des ressources humaines des banques au niveau national.

Les formations La force de la formation des IUP est la spécialisation. Nous cherchons à former les étudiants dans le secteur de la banque de réseau (ou de l’assurance), ce qui permet à la sortie de la licence professionnelle ou du master d’être immédiatement opérationnel ainsi que de pouvoir évoluer rapidement, car les formations des IUP, grâce aux connaissances et aux compétences enseignées,

secteur. L’intérêt pour un étudiant de pousser sa formation dans le domaine de la banque jusqu’à bac+3 ou bac +5 est que les banques s’aperçoivent que la formation d’un étudiant en bac+2 est un peu juste. De plus, la licence professionnelle devient de plus en plus la norme de recrutement sur les métiers

bancaire. De plus, l’évolution des métiers de la banque fait qu’il est important d’être en possession de connaissances de haut niveau. C’est pour cela que, pour des postes techniques tels que chargé d’affaires entreprises ou gestionnaire de

L’Erasmus La plupart des IUP proposent de faire une partie de leur formation à l’étranger via le programme Erasmus qui permet aux étudiants intéressés de pouvoir maitriser une ou plusieurs langues, ce qui peut être un atout sur certains postes. De plus, ce séjour permet de gagner en maturité, car il oblige l’étudiant à être autonome dans un contexte qui lui est inconnu. Ces profils d’étudiants sont très recherchés par les établissements bancaires : ils combinent à la fois les atouts de la jeunesse et de la maturité.

L’atout de la formation en alternance Outre le fait que la formation en alternance permet aux étudiants de financer leurs études, celle-ci aboutit à une forte insertion professionnelle. Elle permet d’acquérir de l’expérience professionnelle, de mettre en pratique le savoir académique dans des situations concrètes et de s’apercevoir du sens des enseignements universitaires. Cependant, il est nécessaire de maitriser certains fondamentaux enseignés pour pouvoir exercer une alternance de qualité.


L’Assemblée Nationale a voté le 21 octobre 2017 la suppression de la taxe d’habitation pour 80 % des ménages à horizon 2020.

Les débats font la part belle aux inquiétudes financières des collectivités locales : compensation totale et pérenne via des dotations de l’État ? Une perte pour les finances locales est redoutée à terme. Pourtant, même si le pouvoir central tenait toutes ses promesses sur la durée, la réforme serait lourde de conséquences pour le management territorial.

Nous passons sur ce sujet d’une autonomie de décision (pouvoir fiscal et liberté d’emprunt) à une autonomie de ges-tion (libre disposition de dotations étatiques). Il s’agit exac-tement du processus inverse à celui de la décentralisation. Par conséquent, une compensation par des dotations éta-tiques entrainerait une grande confusion entre prélèvements obligatoires nationaux et locaux, ainsi qu’une déconnexion totale entre une contribution fiscale locale et le bénéfice de services publics locaux.

répondre.

Déjà dans les problématiques connues de l’intercommu-nalité, « les électeurs sont certes capables de voir en tant qu’usagers, les réalisations municipales, mais dans l’inca-pacité, en tant que contribuables, d’en apprécier les coûts » (Huron, Spindler, 2003). L’évaluation des politiques pu-

Comment l’administré pourrait-il considérer l’utilisation de

deniers publics, dont le prélèvement serait devenu indolore, tant il serait devenu indéterminé ?

Comment rétablir l’évaluation de l’action publique locale,

de l’état ? Nous préconisons au manager territorial et à l’élu local, une communication financière territoriale.

Celle-ci désigne l’information financière diffusée et com-mentée par les exécutifs locaux, pour susciter l’adhésion

financière doit devenir « pédagogie de l’action » publique -

sions budgétaires ou de permettre l’évaluation des politiques territoriales.

En plus de la reddition des comptes due aux administrés

s’appliquent à la relation d’agence, dans laquelle l’élu local n’est que l’agent d’un principal, incarné ici par l’administré du territoire.

Or, cet agent assume un coût de dédouanement, consis-tant à tenir informé son principal, pour le persuader qu’il prend les décisions pertinentes. C’est la raison d’être de la

-

(Michel-Clupot, Rouot, 2014).

Ainsi, pratiquer une communication financière permettrait à l’exécutif de gérer la relation avec l’administré de son territoire, une fois la réforme effective, puisque l’élu est sur

-niquer sur sa saine gestion des finances locales, c’est-à-dire l’absence d’augmentation des taux de taxe d’habitation. Or, si 80 % des contribuables locaux n’en assument plus la charge…

Cette renégociation peut prendre plusieurs formes dans le cadre du dispositif juridique de traitement des difficultés des entreprises. Il est indéniable que les enjeux économiques, financiers ou encore

sociaux des entreprises en difficulté sont très importants et qu’ils consti-tuent le centre d’intérêt d’un très grand nombre de recherches. L’une des études comparatives les plus citées est celle menée par la Banque Mondiale, qui a mis en œuvre le programme « Doing Business ».

mission d’examiner l’environnement juridique dans lequel évoluent les entre-prises à travers le monde. Ces rapports ont déclenché une vive polémique

3 et en particulier la France. Ils s’appuient en réalité sur les travaux fondateurs de la théorie « Law and Finance » initiée, en 1998 par R. LaPorta, F. Lopez-de-Silanes, A. Shleifer

études théoriques et empiriques menées, essentiellement, en réponse aux critiques de « Doing Business » et à la faiblesse des indicateurs de mesure du droit de LLSV. Ces études ont apporté de nouvelles méthodologies de construction d’indicateurs ainsi que des travaux économétriques évaluant les interactions entre les règles de droit, les performances des entreprises et le

La littérature concernant les entreprises en difficulté s’est, par conséquent, développée de façon importante, notamment en intégrant les outils de la

des faillites et de son efficacité. Mais, il est à noter qu’il serait plus efficace

-ment des difficultés permet de confirmer que les règles organisant les droits des créanciers connaissent un accroissement constant et relativement rapide.

Cet accroissement est concomitant avec le développement et la sophistica-tion des marchés financiers. Il est alors légitime de s’interroger sur l’impact des évolutions de l’environnement économique et financier des entreprises sur leur capacité à faire face à leurs engagements. Les exigences de la globalisation financière et la multiplication des opérations de fusions-acquisi-tions, les crises financières et économiques participent de façon importante à ce processus de défaillances qui touche toutes les catégories d’entreprises. Cette évolution concerne les stratégies des firmes ainsi que le rapport de force entre les dirigeants et tous les partenaires (tels que les actionnaires, les créanciers bancaires, les créanciers commerciaux, les salariés...).

Le traitement desentreprises en difficulté :

une approche « Law & Finance1 »

Afef BOUGHANMI Maître de conférences en Sciences Economiques

IUP de Finance Nancy, BETA-CNRS, Université de Lorraine

Réforme de la taxe d’habitation : et si la compensation financière n’était pas le seul enjeu…

Muriel MICHEL-CLUPOTMaître de conférences en Sciences de GestionIUP de Finance NancyCEREFIGE Université de Lorraine

L’ACTUALITÉ DES FINANCES LOCALES FRANÇAISES AURA ÉTÉ CETTE ANNÉE LA RÉFORME DE LA TAXE D’HABI-TATION. UNE TABLE RONDE A ÉTÉ ORGANISÉE À LA FACULTÉ DE DROIT DE NANCY EN OCTOBRE 2017, MÊLANT DIFFÉRENTES DISCIPLINES DONT LES SCIENCES DE GESTION. LA PRÉSENTE RÉFLEXION A ÉTÉ CO-ÉCRITE AVEC SERGE ROUOT ET PUBLIÉE DANS THE CONSERVATION1.

1. www.theconversation.com/reforme-de-la-taxe-dhabitation-et-si-la-compensation-financiere-netait-pas-le-seul-enjeu-88091

L ’ A C T U A L I T É D E L A R E C H E R C H E

1. Extrait d’un article publié en 2017, dans la Revue de jurisprudence com-merciale, Numéro 2 (Thomson Reuters), et présenté lors du colloque « La pré-vention des risques encourus par les dirigeants de PME » en octobre 2016, sous la direction scientifique de Fréderic DURAND et Émilie GICQUIAUD (Maîtres de Conférences en Droit privé, membres de l’Institut François Gény et enseignants à l’IUP). 2. En France, on est passé d’environ 48 000 entreprises en difficulté par an avant la crise à 60 000 (Note du Conseil d’Analyse Économiques de 2014, utilisant les statistiques de l’Observatoire des entreprises, Banque de France). 3. En particulier, les rapports : « Doing business in 2004 », « Understanting Regulation et Doing business in 2005 » et « Removing obstacles to Growth et Doing business in 2006 ».

LE NOMBRE D’ENTREPRISES EN DIFFICULTÉ FINANCIÈRE A LARGEMENT AUGMENTÉ NOTAMMENT DEPUIS LA CRISE FINANCIÈRE DE 20082. LES ENTREPRISES SE TROUVANT DANS L’INCAPACITÉ DE FAIRE FACE À LEURS ENGAGE-MENTS DOIVENT RENÉGOCIER LEURS DETTES.


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Vous travaillez dans un cabinet de communication, pouvez-vous nous parler de votre métier ? Il ne s’agit pas d’un Cabinet de Communication, mais d’un organisme de formation en action com-merciale et négociation. Cela dit, mon activité revêt bien une dimension communication interper-sonnelle. De mon point de vue, j’exerce un métier passionnant, fondé sur les relations humaines et sur la transmission. J’ai toujours envisagé la position du formateur non pas comme « un Maître sachant » mais comme une personne montrant le chemin à une autre afin que celle-ci puisse se dé-velopper, épanouir son potentiel, trouver en soi les ressources pour progresser. À cet égard, j’aime bien reprendre la métaphore du « Phare ».C’est aussi un métier qui nécessite une double expertise : l’une technique (ex : communication, négociation) et l’autre, pédagogique. Cette acti-vité satisfait mon besoin de partage, d’échanges et en même temps elle est particulièrement exi-

capacité d’adaptation et une remise en question personnelle permanente.Par ailleurs, il est gratifiant de contribuer à la réso-lution des problématiques soulevées, aller même au-delà et aider à répondre à des questionne-ments parfois plus existentiels. Enfin, il est appréciable de donner et de recevoir tout autant ; peut-être encore bien davantage. J’éprouve une immense gratitude pour toutes les personnes que j’ai croisées, formées ; toutes uniques et intéressantes dans leur diversité.

Quelle est l’importance de la communi-cation en banque ?Le mot communication englobant d’innombrables facettes, je ne peux vous répondre que sur le plan de la communication interpersonnelle. Pour moi, la communication est primordiale, essentielle, vitale et pas seulement pour les banques. Cela dit, autant que je puis m’en souvenir, les Banques ont toujours souffert d’un déficit d’image auprès du grand public. Or, cette image s’est encore dégradée suite aux différents scandales survenus ces dernières années. Seule une communication authentique, fondée sur des valeurs fortes pourra contribuer à rectifier le tir. En effet aujourd’hui, les clients sont très exigeants, critiques, avertis, voire pour certains, méfiants et en même temps, ils ont des attentes simples : authenticité, clarté, transparence.

Les grands groupes l’ont bien compris et c’est la raison pour laquelle, ils ont mis, au centre de leur stratégie, des valeurs telles que la responsabilité, l’engagement, le respect, l’éthique …Communiquer sur ces valeurs permet de mettre en avant la banque relationnelle au service des clients. Il est d’autant plus important de communiquer en

-forme profondément. Le retour à de telles valeurs rassure et nous avons aujourd’hui un grand besoin d’être rassurés.

Pourquoi avez-vous décidé d’enseigner à l’IUP ? J’aurai envie de compléter votre question par… et

Comme bien souvent, c’est une affaire de ren-contres. Les Universitaires que j’ai eu la chance

-sonnes impliquées, compétentes et partageant des valeurs humanistes. Je me suis sentie, tout de suite, bien à l’IUP et je n’ai jamais été dé-çue. L’équipe actuelle, conduite par M. Jean-Luc PREVOT, est créative, particulièrement impliquée auprès des jeunes et fonctionne à la confiance. Il

commun, celui d’accompagner vers le succès et

la très grande majorité, de s’investir et de réussir professionnellement et personnellement. J’ai coutume de dire à mes étudiants qu’ils ne réa-lisent pas leur chance d’être aussi bien accompa-

mon expérience ! Vous enseignez en Master 2 BPMA, quels sont les points forts de cette formation ? Ce Master prépare bien les jeunes aux métiers de Char-gés d’Affaires profession-nels et aussi de Directeurs d’Agence. Les apprentis acquièrent de solides com-pétences en termes de savoirs, savoir-faire et sa-voir-être ; compétences, à la fois, techniques, ma-nagériales et commerciales. C’est une formation particulièrement complète et professionnalisante. Outre les matières proposées qui reprennent les

fondamentaux indispensables à la maîtrise de ces métiers, la formation propose des plus tels que la Revue de Presse. Ce rendez-vous périodique permet aux jeunes d’acquérir une culture écono-

leurs interlocuteurs sont des acteurs clés de la vie économique.

à la Maison de la Finance, 1 mois en Agence) me paraît bien adapté. En effet, il permet une application immédiate et concrète de ce qui a été vu en cours. Que pensez-vous des formations propo-sées par l’IUP ? Je ne peux vous répondre que pour les formations dans lesquelles je suis intervenue. Outre le Master 2 BPMA dont je viens de parler, le Master 2 NIP, dirigé là aussi avec beaucoup de bienveillance et de professionnalisme par Mme Muriel MICHEL partage les mêmes points forts que ceux du BPMA :

de compétences, équipe d’intervenants enga-gés, une Direction qui l’est tout autant, des jeunes qui, pour la plupart d’entre eux se voient proposer un CDI à leur sortie puisque déjà opérationnels.

Recherche constante de l’excellence, dans le respect de la personne ; ce dernier point étant fondamental, à

professionnel est avant tout un être humain heureux et épanoui. M. PREVOT, son équipe et celle de la Maison de la Finance notamment Mme Nathalie SAYER pour le

Master 2 BPMA et Mme Agnès HAIRAY, pour le Master 2 NIP ont concocté là un cocktail qui

tu n’as pas à le prévoir, mais à le permettre ».

Gisèle GALHARRETConsultante en Communication

Interpersonnelle et Action Commerciale

Il y a un véritable esprit d’équipe à l’IUP, un objectif commun, celui d’accompagner vers le

succès et l’épanouissement des jeunes.

J’ai créé ma structure en 1998, après une Formation de Formateur-

Consultant sur deux ans et une expérience de formateur salarié de

quelques d’années. Auparavant, j’avais été commerciale puis

chargée d’études dans la Banque.

U N E E N S E I G N A N T E D ’ E X C E P T I O N 38


CULTURE

Publication

En images

REMERCIEMENTS

Cet article signe la fin de notre aventure au sein du Projet Collectif CONTACTS. Cette année nous avons décidé de mettre en avant la vie à l’IUP et la solidarité des Iupistes. Nous espérons que les nombreuses interviews recueillies vous aideront à préciser votre projet professionnel.

Nous avons choisi d’articuler notre journal autour d’interviews mettant en exergue les formations dispensées à l’IUP et qui témoignent des différents métiers qui existent à la sortie de ces formations. Les nombreuses interviews récoltées témoignent de la cohésion et de l’état d’esprit qui règnent entre les Iupistes actuels et les anciens qui n’ont pas hésité à mieux nous renseigner sur les métiers qu’ils exercent. Mais Contacts présente également le quotidien et les temps forts de l’IUP, bref tout ce qui nous fait devenir de vrais Iupistes.

culturelles (opéra, marché de Noël) organisés par le

de l’IUP et de sa vie étudiante. De plus, les liens étroits qu’entretiennent les responsables de l’IUP avec nos différents partenaires constituent réellement un atout pour nous permettre la rencontre de professionnels aux profils variés lors des manifestations organisées tout au long de l’année.

Nous souhaitons remercier Jean-Luc PREVOT, directeur de l’IUP Finance, Muriel MICHEL-CLUPOT, directrice adjointe. Mais aussi, un grand merci à Christel DIEHL, directrice des études de L3 qui nous a suivis tout au long de ce projet. Nous remercions également Fabrice TENETTE, responsable administratif, ainsi que Valérie HUMBERTCLAUDE à la scolarité des Licences et Masters, Nicolas et Laetitia LOETSCHER à la scolarité des DU pour leur implication dans notre projet.

Nous tenons aussi à remercier BNP Paribas, la Société Générale, la Caisse d’Épargne Lorraine Champagne Ardenne, le CIC Est, la Banque Populaire Alsace Lorraine Champagne et le Crédit Agricole de Lorraine pour leur soutien qui rend possible la conception de ce journal.

Merci à Mesdames Hélène SAUVAN, Afef BOUGHANMI, Gisèle GALHARRET, ainsi que Monsieur Nicolas LAMBERT pour leur précieuse collaboration. Merci également à tous les étudiants et anciens Iupistes d’avoir répondu à nos questions et apporté une grande richesse d’informations aux différentes interviews.

Pour finir, nous tenons à remercier vivement Yvonne DEPREZ, en charge de la conception graphique du journal, sans qui sa réalisation n’aurait pas été pas été possible. Elle nous a accompagnés tout au long du projet avec une grande créativité et un savoir-faire essentiel.

« Bienvenue aux futurs étudiants qui souhaiteront rejoindre la grande famille qu’est l’IUP, vous en retirerez beaucoup d’enseignement et de maturité. Bon courage pour l’année à venir, à l’année prochaine ! »

L’équipe Contacts

RÉSURGENCES par Laetitia ERPELDINGRésumé : De jeunes femmes sont retrouvées assassinées à Los Angeles. Quelle n’est pas la confusion des poli-ciers lorsqu’un indice leur permet de reconnaître la signature d’un tueur en série décédé en prison plusieurs

sombre affaire. D’abord sceptiques devant ses méthodes peu orthodoxes, sa jeune partenaire le Lieutenant Brooks et le Capitaine Silver vont profiter de sa précieuse expérience du terrain. Une jeune fille accusée de graves délits de piratage leur apporte également son aide pour faire avancer l’enquête. Vengeance et rédemption constituent les principaux ressorts de l’intrigue de ce roman policier au suspense haletant.

À PROPOS DE L’AUTEUR

Laetitia ERPELDING… plus connue sous le nom de LOETSCHER, à la scolarité de l’IUP ! Les éditions Edilivre publient son premier roman au printemps 2018. Une belle plume qui ne pourra plus se cacher… Nous lui souhaitons un grand succès !

De gauche à droite : Maxime NEMURAT Jérémie GEORGES Jean-Luc PREVOT (directeur de l’IUP) Clothilde LE PRIOL Pauline DUFOUR Julie MARCHIANO Eve-Marie CANTIGET Mélissa MICHEL

L’ÉQUIPE CONTACTS A LE PLAISIR DE VOUS PRÉSENTER SON NOUVEAU NUMÉRO : NOUS ESPÉRONS POUVOIR VOUS ÉCLAIRER SUR LES DIVERSES FORMATIONS PROPOSÉES PAR L’IUP FINANCE ET VOUS DONNER ENVIE D’ÉTUDIER À L’IUP.

Le Livre sur la Place

ses auteurs, notre directrice L3 et enseignante d’anglais, Christel DIEHL (ou Chris !) pour la sortie de son

présenté plusieurs de ses manuels d’anglais (éditions PUF) sur le New TOIC, le droit des affaires, Sciences Po et les concours des IEP…

Soirée Jazz Jean-Luc PREVOT, Directeur de l’IUP, et son groupe Blue Jazz Quartet (Ivan Noetinger et Joël Maroko,

ce 21 février 2018) ont initié les étudiants à la musique Jazz, dans le caveau de la brasserie nancéienne « À la Maison ». Une soirée instructive sur les grands compositeurs et interprètes, mais aussi de convivialité entre étudiants, enseignants et banquiers. Après de précieuses explications sur les

instruments et les sonorités, le solo à la batterie de notre Directeur restera dans toutes les mémoires !

Visite au Musée des Beaux-Arts

Comme il est de tradition, la rentrée à l’IUP fut marquée par une sortie au Musée des Beaux-Arts

Sens artistique et ouverture d’esprit sont les mots d’ordre du petit concours organisé au sein de la promotion de L3 sur l’interprétation très personnelle d’un tableau au choix.

BNP PARIBAS RECRUTEDans un environnement stimulant, les talents s’épanouissent et accompagnent nos clients et nos projets. BNP Paribas, leader bancaire de la zone euro, offre de nombreuses opportunités au sein de ses différents métiers et fonctions. Let’s design tomorrow!*

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journal contacts 2018 2 -...

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