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Armand Petersen & François Pompon 5 Novembre au 31 Décembre 2018 L’âge d’or

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Armand

Petersen&

François

Pompon5 Novembre au 31 Décembre 2018

L’âge d’or

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Pompon est né à Saulieu dans la Bourgogne française, d’un père ébéniste. Il entre à l’âge de 15 ans au service d’une entreprise depompes funèbres à Dijon, où il apprend les rudiments de la sculpture. François Pompon fréquente le soir l’École des Beaux Arts.Parti cinq ans plus tard pour Paris, il continue de travailler dans la journée pour un entrepreneur de pompes funèbres, àMontparnasse, et se rend le soir à l’École Nationale des Arts Décoratifs. François Pompon travaille plus tard aux nouveauxornements de l’Hôtel de Ville, incendié au moment de la Commune. C’est durant sa formation qu’il rencontre le sculpteuranimalier Pierre-Louis Rouillard, probablement la source d’inspiration du travail qui le rendra beaucoup plus tard célèbre.

François Pompon épouse Berthe Velain en 1882, couturière tout comme sa mère. Il tente de créer une œuvre dans son proprestyle et son premier objet de grande taille, « Cosette », attire l’attention du jury du Salon. Une carrière en tant que sculpteurindépendant semble toutefois encore éloignée. François Pompon entre enfin au service de Rodin, où il devient trois ans plus tard« chef d’atelier ».

À partir de 1896, il travaille beaucoup pour le sculpteur alors célèbre René de Saint-Mareaux, jusqu’à la mort de ce dernier en1916. Il continue ensuite de chercher un propre style, avec un penchant prononcé pour le modelage en plein air. Il met au pointpour cela un atelier mobile de modelage très ingénieux. Il est en outre membre de la « Bande à Schnegg », un groupe desculpteurs gravitant autour de Rodin, ce qui l’influence considérablement. Le groupe est à la recherche de nouvelles formesstylistiques basées sur la sérénité monumentale de la sculpture classique. Pompon se concentre alors de plus en plus sur lesanimaux mais tarde à être reconnu et traverse une période difficile. Ce n’est qu’à partir de 1919 que son œuvre commence àgagner en popularité. Il vend une sculpture de pierre représentant une tourterelle au Musée de Luxembourg puis, deux ans plustard, trois sculptures animalières en plâtre au Musée de Grenoble. Sa véritable percée n’intervient qu’à l’âge de 67 ans avecl’exposition de « l’Ours blanc » (plâtre) au Salon des artistes français.

François Pompon expose ensuite avec succès à Tokyo et Osaka et son ours de plâtre, devenu célèbres, est réalisé en marbre. Lemusée de Saint-Omer achète quelques œuvres et l’ours blanc obtient en 1929 sa place dans le Musée de Luxembourg. Lespresque 3 000 œuvres que Pompon légua à l’État français à sa mort sont finalement exposées dans le Musée des Beaux Arts àDijon. Le Musée d’Orsay à Paris possède une collection étendue de modèles en plâtre.

François

Pompon

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Armand

PetersenArmand Petersen (1891-1969), d'ascendance danoise, est né à Bâle (Suisse). Il entre à l'École d'Arts Industriels à Genève, dans la classe d'orfèvrerie et de ciselure.En 1914, Petersen arrive à Paris pour y poursuivre ses études mais repart pendant quatre ans dans l'atelier du sculpteur hongrois Bêla Markup qui l'initie aumodelage. Sculpteur animalier, il lui fait découvrir les animaux au parc zoologique de Budapest.

En 1924, l'art animalier est en plein essor. Pompon, révélé en 1922 au salon d'Automne par son grand Ours Blanc, regroupe au Jardin des Plantes des jeunesanimaliers qui étudient les modèles sur nature en suivant ses conseils. Le choix de l'animal s'affirme en 1926, Armand Petersen travaille à la fauverie du Jardin desPlantes et se joint au groupe des adeptes de Pompon qui enseigne sa méthode sur le terrain.

La première exposition des "Animaliers" s'ouvre dans la galerie Brandt en 1927. Petersen se retrouve aux côtés de Sandoz, Bigot, Artus et Pompon. La critiqueremarque ce nouvel artiste.

La Manufacture de Sèvres cherche dans l'art contemporain de l’époque des œuvres pour les adapter à sa matière récente, le grès tendre coloré donnant un toutautre rendu que le biscuit. La Manufacture retient trois œuvres de Petersen.

A la différence des œuvres de Pompon "qui sont naturellement des bêtes du Bon Dieu, sans frayeur", les bêtes de Petersen semblent toujours sur le qui-vive. Cetteparticularité d'expression subtile fait de Petersen un animalier de talent.

En 1929, deux ans après sa "découverte" Armand Petersen fait partie des meilleurs animaliers. On le cite après Pompon et comme son émule.

En 1931 le groupe des "Douze Animaliers Français" dépose ses statuts. Petersen de nationalité suisse, fait partie du groupe en invité. En 1932, la crise économiquetouche les artistes qui exposent souvent leurs œuvres en plâtre. Les éditions en céramique fourniront un revenu à bon nombre d'artistes, comme à Petersen qui vales multiplier tant à la Manufacture de Sèvres qu'à la Manufacture Nationale Bing & Grøndahl de Copenhague par de nouveaux contrats.

Après la mort de Pompon en 1933, le groupe se dissout rapidement. Les animaliers grâce à Sandoz qui a racheté la galerie Brandt continueront cependant à seréunir jusqu'en 1939, où la mobilisation de la guerre dissout le groupe des animaliers. En 1935, Petersen obtient la nationalité française mais retournerégulièrement exposer en Suisse.

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L’âge d’or De son œuvre ne sera retenu que le souvenir du sculpteur animalier,

choix qui lui fit partager une époque appelée "âge d'or", celle desannées 30, dominé par des figures restées à juste titre célèbres, carelles marquèrent toute la génération en imprimant un style à ungroupe d'animaliers dont il fit partie.

Sa carrière démarra en Suisse mais c'est en France qu'il fut reconnuaux côtés des meilleurs et des plus grands, Pompon et Sandoz, quijoueront un rôle prédominant dans l'élaboration de son œuvre et desa connaissance.

Il est intéressant de suivre un descendant de Pompon qui, tout enassimilant ses principes sut garder une certaine originalité dont on nevoit guère d'exemples, en alliant plusieurs talents, renouant avec saformation d'orfèvre pour arriver à l'œuvre précieuse et souventunique.

Une grande continuité et un souci de perfection sont lescaractéristiques d'un homme, artiste de rigueur qui sut évoluer sansheurt malgré les coupures imposées par les circonstances de sa viequ’il sut surmonter, bénéficiant d'opportunités qu'il saisit, tributairecependant d'une époque troublée et de son refus de la facilité.

Edouard-Marcel Sandoz

François Pompon

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L’Amour de l’Art

La comparaison avec Pompon s'impose mais son indépendance et son originalité diffèrent parson impression d'insécurité de ses bêtes toujours sur le qui-vive.

A la différence de celles de Pompon "qui sont naturellement des bêtes du Bon Dieu, sansfrayeur". Cette particularité d'expression subtile fait de Petersen un animalier de talent.

En 1929, deux ans après sa "découverte" Petersen fait partie des meilleurs animaliers. On lecite après Pompon et comme son émule.

Brecy écrit «Petersen émule de Pompon qui ne signe guère que des chefs-d'œuvre...» et plusloin signale «L'Antilope craintive est un petit chef-d'œuvre ciselé avec tant de tendresse quetoute la vie de cette petite bête s'y montre touchante et vraie»

Yvon Lapaquellerie dans "L'Amour de l'Art" écrit " il travaille sa matière aussi précieusementque l'or. L'art de Petersen a quelque chose de religieux et c'est cette spiritualité dont sonœuvre est imprégnée qui lui donne un cachet si rare et lui permet de trancher sur lesproductions des autres animaliers".

En 1932, la crise économique touche les artistes qui exposent souvent leurs œuvres en plâtre.Les éditions en céramique fourniront un revenu à bon nombre d'artistes, comme à Petersen quiva les multiplier tant à la Manufacture de Sèvres qu'à la Manufacture Nationale Bing etGrondàhl de Copenhague par de nouveaux contrats.

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En 1942 les fonderies ne sont plus pour les artistes qu'un souvenir, plus d'exposition d'animaliers, l'annéetouche sévèrement tout le monde, les animaux du Jardin des Plantes sont abattus quand on ne peut plusles nourrir.

En 1943, arrêté par les allemands, conduits à Fresnes pour être déporté, Petersen est libéré de justesse parl'intervention de sa belle-fille, son beau-père étant médecin laryngologiste auprès d'un chanteur del'Opéra. C'était un artiste autrichien, un voisin de larue Ordener où il habitait qui l'avait dénoncé parjalousie. A la libération sa belle-fille retrouvera cette même personne dans la même suite au Bristol, cettefois en uniforme américain !

En juillet 1950, sa femme meurt d'un cancer, et pour Armand Petersen, c'est la fin d'une période heureuse.

Armand Petersen a reçu de nombreuses commandes de l’état français et étranger. On en trouve dans ungrand nombre d'ambassades françaises mais également dans des musées comme un «Hippopotame» auMusée de Vernon, une «Grue Cendrée» au Musée de la Chasse à Gien, un «Taureau» au musée d’Angersainsi que des sculptures grandeur nature comme le «Grand Chevreuil» au musée de Louviers, la«Panthère» à Bry-sur-Marne, le «Corbeau» et le «Veau» à Bâle (Suisse). 1959 année de sa rencontre avecEtienne Audfray jeune sculpteur. L'amitié réciproque révélera la véritable vocation du jeune homme quideviendra son élève et son collaborateur.

En août 1959, la galerie Dreyfus devient le représentant exclusif des œuvres de Petersen aux Etats-Unis.

Il entreprend un dernier agrandissement d'une Panthère en 1969.

Etienne Audfray

Grue Cendrée, Petersen

Petersen se sent de plus en plus fatigué et le propose à la fonderie Godard ilécrit a son ami Etienne "le plâtre a été examiné, il sera pris en septembrecar la fonderie ferme au mois d'août."Atteint d'un cancer, il mourra sur la table d'opération le 20 novembre aprèsavoir donné son atelier à son ami car Petersen n'eut aucun descendant. LaPanthère restait impayée. Etienne Audfray s'en chargea sur ses fondspersonnels et la fit placer devant une école de Bry dont il était le Maire.II s'efforce depuis lors de faire mieux connaître l’œuvre de son ami.

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Le lien avec Pompon

Pompon sculptant son bull-dog par Urbain Mouret

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En 1924, l'art animalier est en plein essor. Pompon, révélé en 1922 au salon d'Automne par son grand Ours Blanc, regroupeau Jardin des Plantes des jeunes animaliers qui étudient les modèles sur nature en suivant ses conseils. Il représente la voienouvelle dans la tradition du métier. En 1924, un grand Pélican montre sa maîtrise. Petersen s'en souviendra. Edouard-Marcel Sandoz lui aussi sculpte et modèle. Il pratique la taille directe du marbre et des pierres de couleur. Son talent s'étendde la figure aux animaux. Son atelier, Villa d'Alésia, abritera une sorte de ménagerie. Petersen aimera y aller, seul ouaccompagné de sa femme et de sa fille.

Ours blanc, Pompon

Pélican, Petersen

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A la déclaration de la guerre en 1939, la mobilisation dissout le groupe des animaliers.

Petersen a 48 ans, double nationalité, mais n'est pas mobilisé. Il reste en France.

Pompon impose une conception de la réalité tout en restant très proche de la vérité, basée sur la vision du volume global del'animal sans s'attacher à des détails mais à son aspect mouvant dans la lumière, donc sans creux ni ombre.

Cette méthode mise au point au fil des années lui avait permis d'arriver à la netteté de la forme, véritable découpage dans lalumière, fruit d'une synthèse du mouvement, de la vie animale et de l'espèce, cernée par une ligne "sans bout".

Paul Jouve

Les animaliers exposent en groupe annuellement au sein de la Société des Artistes Animaliers Français.

Le choix de l'animal s'affirme en 1926, Petersen travaille à la fauverie du Jardin des Plantes et se joint au groupe des adeptes dePompon qui enseigne sa méthode sur le terrain. C'est une école de plein air, sans règle mais dans l'amitié et l'émulation.

Le 26 mars 1931 le groupe des "Douze Animaliers Français" déposa ses statuts, Présidents Pompon et Paul Jouve.Petersen de nationalité suisse, ne peut faire partie du groupe sinon en invité Pompon, l'âme du groupe, meurt le 6 mai. Le groupeva rapidement se dissoudre.

Les animaliers grâce à Sandoz qui a racheté la galerie Brandt continueront à se réunir jusqu'en 1939. 1935 Petersen obtient lanationalité française mais retourne régulièrement exposer en Suisse.

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C'est l'étude dans la vie courante, sans geste ni sujet, mais avec une vraie compréhension ducaractère de la bête, sensible dans la caresse de la forme qui provoque la tendresse. Petersenretiendra cet aspect très tôt en prenant comme modèles des animaux à peine sortis del'enfance, comme l'Eléphanteau (n°40) attendrissant. Il y avait de quoi faire réfléchir celui qui semettait à l'étude et au service de l'art animalier. Petersen va profiter des résultats de cetteouverture vers la réalité et la simplicité. Il possède une technique très précise, le cubisme nel'attire pas. Il est tenté par la variété des modèles dont l'élégance sert l'art décoratif etl'exotisme à la mode, comme les Gazelles, ses premiers modèles.

Ce n'est donc pas un hasard si Edgard Brandt, ferronnier d'art et propriétaire d'une galerie d'artappliqué à la décoration, le remarque. Mais il garde un pied en France et l'autre en Suisse où il aplusieurs possibilités d'exercer ses talents en orfèvre et en sculpteur. La galerie Brandt a organisé unerétrospective de l'œuvre de Sandoz, sorte de prélude aux expositions salons qui feront la gloire desanimaliers à cette époque, tant par leur qualité que par la diversité des techniques dans tous lesdomaines exploit par les décorateurs. Dans l'équipe des animaliers attachés à la galerie Brandt,Pompon, Sandoz, Hernandez, le meilleur de l'art s'y rencontre, orienté par le souci de la tradition dumétier. Il faut penser que le répertoire de Petersen comporte déjà suffisamment de modèles pourrépondre aux exigences des expositions.

Edgard Brandt

L’Eléphanteau,1930-1935

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Petersen

Pompon

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Chouette

Pompon, 1923 Petersen,1962

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Pélican

Pompon,1925-1933 Petersen,1954

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Hippopotame

Pompon,1931 Petersen,1937

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Panthère

Petersen,1928Pompon,1928

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Ours blanc

Pompon,1922 Petersen,1935

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Taureau

Pompon,1949 Petersen,1958

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Contact Presse http://www.armand-petersen.fr/index.php/fr/sa-vie

https://galerietourbillon.com/biographie-armand-petersen/

Relation presse Cécile Zicot.Responsable Musée François Pompon03 80 64 19 5106 08 49 41 74

www.saulieu.fr

https://www.facebook.com/MuseeFrancoisPompon/

Courriels :[email protected] ou [email protected]

Crédits photographiques : A. Petersen, Musée François Pompon

Maquette : Laura Campos & Cécile Zicot

Armand

Petersen&

François

Pompon

5 Novembre au 31 Décembre 2018

L’âge d’or