l’interculturel par louis porcher
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Présentatrice: Nguyen Thi Ha
Classe: 08f3
1. La définition de l’interculturel
2. La décentration
3. L’altérité
4. L’intersubjectivité
5. La conclusion
C’est le résultat du processus décrit en troisparamètres: la décentration, l’altéritéet l’intersubjectivité.
La capacité à se décentrer ne consiste nullementà adopter la centration de l’autreet à changer le sienne propre.
s’efforcer de se placer dans la position de l’autre ( ex : l’étranger ).
conserver sa proprecentration en ouvrant aux centrations de l’étranger.
La décentration conditionne l’apprentissage d’unelangue et d’une culture étrangère
Quand on apprend une langue étrangère, communique avec un étranger, il y a des altérités.
La reconnaissance et l’acceptation de l’altéritécomposent un long cheminque, justement, l’apprentissage d’une langue étrangère permet de mieux tracer tout en étant, symétriquement, conditionnée par elles.
Il importe de comprendre les phénoménologues(sartre en France ) et tout sujet.
Tout sujet dépend d’une intersubjectivité.
Il n’y a pas de pour soi, sans pour autrui. Cettepluralité permet ma singularité et en retour je contribue, pour ma part, à leur propre existence de sujet. Les échanges linguistiques renforcentnotre intersubjectivité
D’après Louis Porcher, l’interculturel est un processus qui se comprend : la décentration, l’altérité et l’intersubjectivité.
Quand on apprend une langue étrangère, l’interculturel est en jeu, et nullementl’international.
Apprendre une langue étrangère c’est d’affirmerà la fois sa propre identité et celle de l’étrangeren allant vers les conditions d’une coopération.
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