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/ 37™lifflce — IT13.(135 iJfflintsipalesf- Détéjrné-Gérant O. RAN DO LET (3 Fa^es) J fpi5t?B!w — füNTïflfl HüMATIN -— § f*b!1«m Pagres) &Hdi Ï9 Avril 1917 tttttntin. iEiressisis stinnen,TÏL. 10.4? £5, Rua Fontanel!®, 38 AtfssssTélêffraphiqae : RANDOLET Esvro avre RÉDACTEUR EN GHBP J.-J. CASPAR - JORDAN Téléplioue I 14.SO Storétaire G-énéral s TS. VALLÉS Rèilacllon, 35, rue Fontenella - Tél. 1M ANAONCE§ AD HAVRE A P ARIS .••••••» Buhrau du Journal, 112, bout' de Strascourg. L'AHENCE HAYAS, 8, place de la Bourse, est senle chargëe de recevoir les Annonces pour le Journal. La PETITKAVPEas! Mstgni pour lex AnnoncesJurtlclalres et légvlxt 8^^gggBSSBSBBSBflBSBBSSBBS!SB3S ORGANE REPURLICAIN DEMOCRATIQUE ^ Le phis fort Tirztge des Journaux de la Région ABONNEWIENTS Le Havre, la Seine-Inférieure, l'Eure. 1'Oise et la Somme ................... Autres Département».. ...... Union Postale Trois Mois •ft KO & Ft. IO » Six Mois o rr. ft a so O Fr Un Aa ft & jrr. ©3 » AO «LieTempi grates » Nous ne sommes pent-êlre pas encore entrés dans le lameux « quart d'heure ja- ponais » qui doit voir le dénouement fatal, mais ii se pourrait que la phase tragique que nous vivons représeniat la dernière demi-heure allemande. N'escomptons pas trop, en effet, 1'effon- drement rapide du monstre. II a trop long- temps accumulé de formidahles moyens de résistance et la partie qu'il joue est trop critique, trop grosse de consequences, pour qu'il soit permis de supposer qu'il cédera avant d'avoir épuisé ses dernières forces. II faut s'attendre encore a de furieux sursauts de la héte traquée, qu'un collier de fer, un peu plus resserré chaque jour, a saisi a la gorge et qu'il étrangiera peu a peu. jusqu'è son dernier souffle. Mais il est manifeste que s'ouvrent les temps nouveaux oil l'Allemague commence de payer ses crimes. Victorieuse offensive britarmique con¬ duite jusqu'a la couquêle de la crète de Vi- my et livrant au vainqueur aujourd'hui la ligue de Hindenburg, domain la plaine des Flandres ; Iriomphante offensive frangaise laissant pressentir Ie développemcnt mé- thodique et prudent du vaste plan du géné- rai Niveiie ; préparation active sur Je front italien dégagé bientot des neiges qui coif- fent encore ses sommets ; mou vemen ts si- gnificalifs sur le front macédonien ; re- constitulion lermiuée de l'armée roumai- ine, ouliltée, prête au combat ; renais¬ sance d'une armée russe qui voudra avoir après sa prise de la Bastille la gloire d'un Valmy ; admirable levée des Arnériques : il y a dans I'air printanier qui passe des cfll uves de belles espéranccs. Que nos eceurs se haussent jusqu'è la grandeur de l'idéal qui lesanime et qu'au dessus des sacrifices personnels et dou¬ loureux dont nous devrons payer cette su¬ prème étape vers le but que nous entre- voyons, plane de toute la puissance de ses ailes souvent battues par la tempête, mais jamais brisées, la conflance toujour plus sereine, plus forte, plus radieuse daas les destiuées heureuses de la Patrie. L'Allemagne est a ce tournant. Elle ar- borait, ces temps derriiers encore, |e mas¬ que de dissimulation et de mensonge que sa presse, a la solde des bandits dont elle est devenue facilement la complice, avait mis sur son visage de trahison. II semble que Ie róle soit devenu Iourd et difficile a jouer, que la poussée des évé- nemerits submerge l'bypocrisie des mots, et que I'iristant soit arrivé d'orienter i'opinion allemande vers l'éventualité prochaine des phases plus que difiiciies. Maxiinilien Harden osait, ces jours-ei, dans la Zukuvfi,A outer de Ia sincérité du Kaiser a propos de son décret sur les ré- formes électorales. II s'étonnait de ce que l'empereur ait attendu, pour les promettre, Ia revolution russe et le message du prési¬ dent Wilson. Harden a pu dire tant de choses osées de- puisla guerre qu'il n'e#. pas défetidu de penser qu'il est de mèche a vee la censure impériale. N'exagérons done pas la portée de ses [iropos d'enfant terrible. Mais plus significative est la nouvelle altitude des bergers de l'opinion allemande, lelie qu'elie se trahit dans la Volkszettuvg et dans la Tages Shttuvg le fougueux cointe Itevenilow lui-même, pangermaniste a tous cri ns, constate avec une tristesse désabusée la gravité de la situation inférieure. « L'effort fait pour trailer les riches et les pauvres de la niême manière, dit-il, a échoué complement et la distribution officieiie des vivres est un insuccès qui met dans le plus grand danger le peuple et l'année, la guerre ei la victoire. » Et pendant que la Volkszeitung se ia- mente, qu'elie exhale les pires presenti¬ ments, qu'elie prévoit que « demain sera le jour d'une dure épreuve », que « les morceaux de pain qui nous viennent dès maintenant sont, on peut le dire, les der- niers » ; pendant qu'elie alflrme que « rien de ce qui est arrivé depuis ie commence¬ ment de la guerre n'a porté un coup si sé- vère au peuple allemand que cette decision du dictateur des vivres (le rationnement du pain », le docleurRieeke, l'un des bourg- mestres de Berlin dbserve avec une mélan- colie inquiète : « Nous voici en face de temps graves ». Ailons, voila qui va bien, qui va même trés bien. Les angoisses allemandes vien¬ nent a fvopos ren forcer notre optimisme. Que la santé du neurastheniquecouronné, nb ressenie point trop le contre-coup de ce « flaiicbemeiit » national, qu'elie se réia- blisse au contraire, qu'elie lui assure des jours d'aitente avec pleine possession de conscience, [>our mieux comprendre, par la rigueur du chètiinent, l'iinmeusité du mal que son mauvais génie décbalna. li n 'entte pas dans notre désir de con- duire un cadavre sur l'llot de l'exil ou la bascule de la guillotine. L'OFFINSIVJE_FMIGMSE L'Opinion allemande L^s journaux aitemands soui gaent ['im¬ portance de la baiai'le de Sois ons et de Champagne ei l'intensité da i'i flnrt que-doit fournir i'Allemagoe ; ils sjo. int qu'il ne faat pas s'iuqu eter des premiers sracès remportes par les Frai q is et qu it taut gar- d r i'espoir et la eonfiance. La Strassburg, t Post dit qoe de telles br- tailies oot (l i lluctualions. « Ou avance tci, on rrcule la, et on peut perdre des masses de prtsonniers et de maté. is! pour éviter des pertes plus graves. Seal le résultal ti ai im- porte. Nous sommes les m ons nombrpu-x. N us n'a'.Oüs paï, ccmme nos ennemis. der reserves venant de tous iev cötes du g|. be et i'aide do monde entirr. II ne fait compter que sur noes seals et avoir conti c ■.» La Gazette de Francfort es;im« que 11.C00 prifOnniers et nn b tin coosiderab e ne veu¬ len t run dtre. Dins une bat, ille aussi gigan- tesque, dit-tlle, cc-'a u'a auoune importance. Lp journal trouve anssi l'emum ration des positions conquises par les Fra c is tout a fan sèconaaire, car la iiitte ne se io rsuit pas pour qneiqnes bonts tie tranchées, iuats pour toute uno région. I [Iil 11! LA GUERRE IMTIil VILLAGES ETDTBfORTANTES POSITIONS EMEVÉS Z.Z09 p;isusltn.Wtanga: tl lil isltrailleuscs caplarés Tel EST L.E BIL. AN DE !_ A JOURNÉE D'HiER Le Sênat et l'emprunt de guerre Le S -nat americain a vote a i'u animltó Ia loi autorisant l'emprnnt de guerre de 7 mil¬ liards de dollars. Les modifications appor ófs an teste voté par la Chambre néc 'ssiteot des conférences entre les deux Ohausbres avant qu'elie soit soormse è la sig -aturc du président. Ao cours de ia sé nee du Sénat.M. Kenyon a drclaré qujii espérait que la vote se.-ait nnatiime et qu'on ns demander.nt jamais k la France de rembourser les sommes pic- tées. Expéditsonimmediate de vivres et de munitions en Europe Le président Wi son et lts membres dn Cabinet aitimdeiit la rénnion de la confe¬ rence avec les détégüós des puissances de l'Entente puur determiner ia répartitiou des avancts aux aides. Mais ils out ré, oio de ne pas attc-udre cet:e rénnion pour envoyer en E rope toules les munitions et produits ati- mentaires nécessaires. Les prrmè es expé diiions seront faites incessammeat. On coupe les vivres d l'Allemagne On confirms de N w Yaik au Times que des m sures iminéJi.tes ont étó pri es par le Senat pour supprimer comp è'.em' nt i'cx- portaiion djs oroduits alimeotaires améri- cdns en Altem<ane, par la Hollande ft ia Scandinavië. Da3 statisliques récemment pub iées pr< uveot que, maLré ie boens ang!ai% les pays limiirophes de l'All ma goe r> c ,ivet,i ae gr«n<l-s q.oatuités d'appro- visionoements sméric ins qui ét.dent indu- bi'atdf mt-nt des'inés è i'AilemagiM>. L' S rat veut dor nu au président le dio t o'interdire l'exportioion de tout arti¬ cle et de purnr cttix. qui enireii draient ces dispcsi iar,s. Les directeurs du trust de la viande de ChiC'go out mis toutes Ivors usines è la oi position du gouvernement. Un sous-marih allemand a 1Q0 milles de New-Ycrk L'amirauté britanniqae commuaiquo la note suivante : Les stationsradiotélégraphiaups de la ma¬ rine de Bolton et d- NwYok s goal nt que k maun do 17 avnl te ,-outre-torp,l!eur eméricain Smith a aperqn un s ms-marin erinrmi et que ce sods-mario a iancé one torpiiie, qui u mat.-quó le Smith de trente mètres. (D'après une dépé 'he de Washington, c'est 4 100 irriü s au Sud tl" New-Yo-k qu ■lo sous-raariD « liié sur ie conlre-torpilteur m rirain Le Smuk pst-un coritre-t, irpilleur de 700 tonnes, Uounaot .0 nocutls et demi de Vitessed COMMUNIQUES 0FFICIELS se@' ro C01IMIQÜËS FMHQAIS Paris, 18 avril , 14 heuras D^ns Ia region au Sud de Saint- Q en tin, la r,uit a été marquee par una trés grande ectivitédes deox arti - lertes et de norerbreuses rencontres de patrouilles, ainsi qu'au Sud de l'Oise, dans , la secieur da ia Basse ï'orêt de Goucy. Au Nord-Est de Solssons, un coup de mam sur les iigoes tnueisaies au Nord de Laifaux nous a ptrmis de ra- mecer une vingtaine de priso miers. Batre Soissona et Auberive, nos troup» s oot eff^ctué pendant la rmit sur divers points du front des opèra- tioos de detail qui nous ont vatu de serie 'X avanieges. A l'Oaest, uua action brillamraent conduite nous a permis a'eolever ie vüiage de Ghavonne et dLvchever la corq. ête de Chivy. AuN,.,rd «ïe ces iocalités,iiou8 svoas enleve tout le t9s ram jusqu'auxabords de Braye en-Laoiu.ois, dans lequel nos patiouilles ont pènétré. Deux cent ciaquaute prisonniers sont restés entre nos mains. Dans Ie secteur da la Ville-au-Bois, nous avons conq-.ds plusieurs ouvra- gea fortifiés, ainsi qua ia total ité du cap- L' attaque allemandedu « Smith » La statio I ae Bustoo, qui a r gu ,'a pre¬ mière la nouveile de l'atiaque du contiv- torpillcor Smith, par un soos-marin a e- ma d>a In n mis a Ww-hiaston que e'etait ia reconnai«sariC9 par t'Aattn.<go<. de r< xis- tenie do Nótat de guerre avec isE a s Ums La fetnaine passie, le goiivernem-ut avait appris, par «oie dèlo anée, que l'Allemagne eiait sur Ie point de declarer zon • defend ne i' s er u x terriioriales des ports de Boston, N w Yo k Charleston, Savannab, cede,-, do cap Delaware, da ia b ie da Ch sapeakt et d" tous les ports d'iro pollution de l'Atian- tique. également en notra possesaron. Nous avons fait quatre cents prisonmers. En Champ gue, trois co itro a ta- ques enutmivs dirig-ées sur nos posi¬ tions, de p^rt etd'autre öuMons Cor- mllet, ont óté arrêtées net par nos feox saos autre résuitat que des p-r- tes s^nglantes pour l'erinemi. La lutte d artillerie a eié violente sur une grande partie du front d'atta- q«e. Le matériol tróuvé sur le terraio, ou enJeva da vive force, corapreud u e quaniitè considerable de mitrailleuses et de norobreiiX engms de tranchées L'etrnenii avail retire en arrièrs de sa dei.xièine pos a ion son artillerie iOnraè et de camp.gne, nous svo neanmoins pa capture r douza canons dont trois lourds, la plupart sur ie front de Champ, goe. Le chiffre oes prisonmers va'ide faüa depuis le 16 avril depasse actuei lexnent a^usstt>£-ie<B Slide, Canonnada intermittent a et rencontre d patiouilies sur le reste du front. ainsi que cette dernière localitó en Gatier. Dans la forêt de Ville-au-Bois, une umté importante, eacfcrclée par nous, a mettre bas les arrues. Treiza cents prisonni-rs et cent quatre- vingts mitrailleuses qui servaient a la défense ciu bois ont étó ainsi turés. Vors seize heures trente, les A'le m«nds ont lancé uno trés violente contre-attaque d l'eff-ctif de deux oivisions Sur nos positions entre Juvincourt et l'Aisne. Nos bs2^?ages et no* feux de nuiraiUeuses ont bnsé i at'aque et ont lufiigé des pert-es s.sn- g! antes a l'eunemi qui n'a pu aborder nos Lgnes c-n aucuri point. A l'Est de Gourcy, ia brigade Ras¬ se a complete ses suceès en s'empa rant d'uri ouvr.ags fortifié et en fai- saat des pnsonriierg Au cours des opérations d«ns teute cette region, nous avons c&pturé vingt-quatre canons lourds et de camp g.se et trois canons de 150 intacts munis de ni-ke coups par piècs qui ont étó ratournés contre l'ennemi par nos artilleurs. ^Eri Gh .mpagne, nous avons rêduit plusieurs i ot.s da résistanca et enlavé des points d'appui des enneinis. Vmgt canons, dont hult lourds, et cinq cents StrifeHears LESÉTATS-IIKIS ESGU'RRE Londres, 18 avril, A la Chambre des Communes, M. Kiag a demar de quelle est ia position des Ecat1,- Uuss dans la guerre et 8'ils sont partie ëu tr.,ité de Londres. Le secrétaire ds ffaires étrangères répon- dit que ia position d-s Etak-Unis et parrai- temeni déünie parijs diverss s déclarations de M. Whson, mais fit une réponse negative pour ia dernièrs parti" de la qu> s ion. La Chambre des C' m nones vo a ensuite è f'unauimité une ra-o utio « acciainant l'en- t ree en guerre des Eiats-ünis. bots a l'Est de cette loeaiiié, qui est prisonniers sont tombes en notre pm; v ir, Le chiffre des prisonniers vaüdes que nous avons ramenès ó Barrière depuis ie debut de !a bataiile dé- passe actuallement dix-sept mille. 3oixante- quinze " canons ont étó jusqu a present dénombrós, «-™— 23 heures. Albekt-Herrenschmidt. Pour le service auxiliaire Les jeones gers de la c'asse 1918 reconnns bon- ;>i>servic- auxiliaire seront ïncorposés Ie i mai proeluia. AU BRÉSIL. Les troubles antialiemands A la suite d«s violente? reqresm' es exer- Cé»s par li population de P.irto-Aiegre, au Rio-Griode-du-Sttd, le minisire de la guerre a u legraphié au general comm ndaut ia cir- coiiscripion mifi,aire ae metae a la di-po siti'-n «h président de i'E a' ae Rio G-an de la tot •fl é des force fe ór. les de cette cir- co 'scripuo.n, snit 7.400 hommes. Le présidmt d" l'E-at a harangue la poou- iation d ns la Buit ou 17. t'exhortdnt au (f i¬ rn» et promettant de prendre lea nmsi.res necissanei. La foule s'e«i dkpersée. A>c n nouvel i cident ne s'est pro mi' dep- is iors et, fi'ap'è-, les inlVirmaiions olficveiles, l'or- uri- semblait rêtabi nt les autorités étaient m i res es de la situation. Les i candies o».i g gné qnelques maisrms bresi ienm-s. L- s dégats >ont évaiués è vingt mil ious de francs Lne journaux all mmd- de Porto-Alegre ont suspendu leur pubbcaiion. Des tioepes ont ete envoyees è Pelotas, daus le mém Eut, en prévision de dés >r- dres. Le bruit d'nn attentat contre le président du R (-G'-ande est démenti. Dn i'E'at de Sao-Pauio, è R*o Claro, des v ol nces aniiallemandes sont aussi sicna- lées. Une dépêche deCnrbyha.c pita 'e del'EJat de Parara, dit que les A lem nds résidant dan- eet Etat se retirent d.us l Eiat voisin de Sinta-Cathartna, au Sud, ou ils se ras- sembtent, Au Sud de Seint-Qoenti», oprès un trés v f hoixibaf uersie ,t, tea ADemands ont ai.!,oqi,é nos positions a l'E t de Gaucby. Uoe première teuiative, ar- rêtee net par nos fcux, a etè sufvie d'oue deuxièine, ptos violente, au cours de la quelle des factions enne mies ont réussi a pénétrer dar>s nos éiém^ïits avancés. Imsnédiatement coiitre-attaqués, ious les ocoupa ts oat èté tués ou fis prisonniers. No¬ tre iigoe est integraieinent rótabiie. En re Soisssons et Auberive, nous avons poursuivi éaergiquemeut notiv action sur les divers points en depit an mauvais temp» p -rsistaot, A l'Oaest du front d'attaqua ces opèrat.tons ont ( b'enu le plos bri lam suceès. Au N u d de Chavonae nos tro pes out enisva le vülaga d'O-tel «t rejeté l'eu - Bemi a un kiloinètr*d au N .rd. Bi- ya, en L«onnois, a été égsle- m nt conquis ainsi que tout le terrain a 1 Est, jusqu'ajx ahords de Courte- con. Sous la pression énergiqoe de no¬ tre infanterie et Faction mèuftrière de notre canon, Fennemi a'est rep en désordr,' ëu abandonnact un im- poriar.t matérie! et en laisteaot ensre nos mains ses tiécóts tie vivres. Un sent «e bos regiments a f«it 300 pri¬ sonniers «ppisftenant a sept regi¬ ments differents. Nous avons cap- turó dtx-nsuf canons, doet cmq courts. Au Sud de L»ffanx, nos troupes couvertés au Sud par la cavalerie ui- visionnaira rèussissaient a boosculer Fennemi et a s'enupat er de Nauieuil- la Fosse. Enfin, sur la rive Sud de l'Aisne, una attaque vivement menée nous don att une tête de pout organisée Dar l'ennemi entre Gondé et VaiUv 18 avril, li hmrrs. Ur.e nouvelle avance a été tffectuée cette nuit au Sud Eat et a l'Est d'Ep -hy . Ce m» tin, le village de Vihlers Guis- lain est tombé emre nos ny-sns. Neus avons f<4t un certain iiombre depxu- Boaniers. Nos positions ont été eoasolidées a Lagnicourt. Aucun événement important h signaler sur Ie rest du front. La pluie recommence h tomber en abon¬ dance. 18 avriT, 20 h. 38 Une avance a été effect e- cette t uk sar la rivo gauche de la Sc<«rpe, s l'Est de Fatnpoux. Ce matin, de oouv-aux é'óments du systèmo do la première l.'gae enuemie au Sud Est da Loos sont tombss entra nos mau s Nous avoua fait en outre un ce tsiflBOEib a de prisonniers. Au cours d'txpé ntions exacutaes la nuit. dernière, ic<Oop lotss out jrtó des botnbes ayec succes sur uu train, dsi-x convois et un pare aummob le allemands. D iaiportants degafcs out etè partout Cunstatés. vj?r:ir, le jonrnal ennfirmp qne Ips burragee d' igents ds po ice e-sayèreut partout d'ar- rê er hs cortèges qtn veulaient parver.ir èt Fimériear de la capitalo. Le journal alfeo tani de consid$in- te mouvement conima l'oeuvre tie qqetqnes cerveaux brüiés de la fraction Ha.se-Ledeb- c, invite Ie3 ourners è les prévenir aussi vi e que possible, de ne pas coruprom-dtre cavaiitage la cause des ouvriers dans le présent et dans l'avenir. Ou mande d» Bartin aux JVom velles d - Bdle, que « le bourgrn are do B nin a rtgu m a di les deiégués des Syndicus, et leur a expo ó les mesures gou vein era1 n aks pris s pour assurer le ravitaillpinent de Ia popula ion, M. Mich ielis, commiss ire prussien du ravi- taillement, etan pré-ent. » Le Woruwts du 57 parse rap'di'ment, snr les événerntnis qu'il attribue a des diffi -ul- tés alimentaires, è des questions de la poli¬ tique inférieure, et surtout ao désir inie se de pais do la population, dosir qui ne p ut d' illeuis pas être considéié comme un ia- dice de l'opposition au gouverneroeat puij- qtte celui ci aussi veut laire la pus. EN BELGïQOE Lenouveaugouverneur deIaB dglqua Cn mande d Brnxelles qne F; nip ie e a coiifi • a Fint ndaut general d'Anvers voa La diiare é. Congres das m** \ ouvriers et militaires Le Brësil et l'Allemagne Rio-de-Janeiro, UavriL L-'S manifestations amial emandes conti- nuent dans plusieurs locabtés du Brésii. «BWB'K'lWgaBtaigeBiiBtBBB'.IIIMW» gwaKnvimmBaaw Lis l?ia ieil§èEassii COMMUNIQUE BEIGE 18 sv il. Faible canonnade sur quelques points du front. COMMUNIQUE ITALIË» Rotne. t8 avril. Entre l'A ige et la Brenta ainsi que sur Is front des Aloes Juliennes, actions /menses ü'artiilene Nous avons rtpoussédes attaques stir les parties seot6iitrionales et au devxième sommet du Colbricon. Des avions Italians ont bombarde Chiapovaro, centre important de ravitaillement, et sont '■eritrés indemnes. COMMUNIQUE RUSSE Pe'rograde. 18 avrit. FRONT OCCIDENTAL, — En Ga'/c/e, au Nord de Zboroj nous avons bombarüé efhcacoment ne colonne ennemie. FRONT ROUMAlN. — Dans la régicn h l'Est de Kotou Mikitate prés ae Brailow, sur le Da¬ nube, nous avons repoussé une attaque effec- tuee par trois comoaéni-S. FRONTDUCAUCASfi,«- Reconnaissances èolaireurs Les travaiix du CO' grès se ront termirós par un dis ours de M. Pi kh nof, qui a iu- sisté sur I'mporianca de ia reso ution ou Cungrès relative è la continuation da ia gueire II a tail appal è la concorde et au travail de tons, dans le but ó'eviter la guerre civile ei de démomrer que la democraiie russe est une fi ree part' iiement u fire et acte è g; li ver fter -ccmme- e-lie l'a pronvó jusqu'è présent. L > delégnés se sont séparós ea chantmï la M >rsculmsc . Déclaraiions des socialistes frangais M. Cacliifi, dé!é*ué su uuste iraug.is, a fait, pea après sou arrkée a Petrograde, las declarations suivaatcs : « Dès notre ariivée, nous nons sommes mis e«. rapporis avtc Ie Comité drs Ouvriers et o dats. Bien uu'il lui accap&ró pir -es debats d'un congres mouvementó et fi-t- vreux, il conseutit immediatemi-nt è nons r< cevoir et il fit aux six delegues Ira pais et ang ais Faccueii le utus trateruel et le plus enthousiaste. A la fin de a reunion ,dn Co- mite, nous iümes invites è assister è une sé«nce du eengrès, daas la graade salie de la,,Dim ma. » L'accueil qni nous fut fait par les con¬ gressisten, qui se te na ent tons debuut pour acciamer la France revolutiinnure, édnci- tri ;e öes peuplts, fut extrêmsment émua- vant. » Le 'endemain, Ie B nd, qui est nne or- gauisation irès importante du proletariat ru.-se. envoy a une déiégatio i p»ur nous in- vitsr oflic eiu m nt a prendre place aux tra- vaox u'up cuitgrès ( ü sont représeotes des centaines de mik. as de trav. ikeurs. aus i, l'accueil lut trés cnateureux. La aussi, i'asitmblée ace tiuit debuut les représen¬ tant» des grandrs Rations occidentales, qui donnèrent si longiemp- asi a uix révolu- tionnaires cliassés do Russie pur le tsa- lirr.e. » Co premier contact avec Ia démocratie s; ci lute russe nous reinpiit tous d I j ie lapliisprofoiide.il nous parait ,i', xcsuent augure pour la re&ksa.ion d» l'unite néces¬ saire entre les proletariats des p ys aliiés.» Du sou ecué, M Charles Dumas declare : < J'ai l'impression, après avoir causé avec plusieurs socialises russes, que ('immense n ajori'é des cuvri rs et so aats a la cons- Cie ce abvolue et tres nette de deux néces- qiés primurdiales : eoniinner la gu »rre »qu'è la di faiic du militarisme allemand , 2° inuiutauir ei afiermir te nouve u regi dont !'• tab issemi-nt sur des bases solides ei durakfa cons hue ia condition essentialia de tont dévelo pemeut ulténeur des pro- grè» o fiaux en Russie. » Je suis ptrsuitié qne Fimoression de Piekkauof est, è pcu do ch"ses piè9, idanii- unpèia mienne. considère 1'arrivés de P <khan f dans ce pays tüi jouit d'une si grande auk r té morale comme un evene men de la plus haute importance. » Ou a craint, d»ns le roste da 1'Enrope, qne 1,-s révoiutionn ires ne se U s nten- l ainer a des (xtrèmués qui c-mprom- t trai nt le but de la gnerie et la staniliiké du nouveau rég me, ma s il fiat faire la pare de 'inevil b'e ' fl rvesé'-rice qné c. m orte nri pareil éveueim nt. II f-,ut qu'on c mpreune qu i' arrive souven' eh z un peup e au.-si émotif que |e peuple russe q tie dins i'atmos- P'ière surclt tuft e ei assem b 黫, la parole depose de b.aucuup ta pensee. » SÏJR MER ÜD navira espagno! iorpilié O i iü >nda de Biloau (pre Ie vap-i.c espa- gnot Tom, akant de Sainf-Jean-de Luz a Car¬ diff. avec quinz? autres lia rments, a ete tor» uiiié sam dt suis avertis-.ement préalablé. Titos les na vires qui l'sceftmpsgnaiént s'en- tuirent, exc-ip é le vapaur anglais qui l'es- Cuftait. (Mui ci tenta de dour er la chasse an sous-mario, qui piongea et dsparut. ij hammes de I equipage dn Tom sont man- quants, probab tiuuui aoyés ; 7 ont p.i êtra salves. Ou Liégrapbie de Mr ïrid qne Ie comte de R itiid.'.ü'.es a coufi inó es bruits coucar» riant ia torpiiiage du Tom, ajoutant que tont ca qu'il peut dire jusqu'a pius amp er ren- seignements, c'ee: o le torpiiiage a eu liea le 14 itvr il. (i. Turn, ex-Brluchistan, éfait nn vapeur d» 2 409 tuiiues, coiistruii a Wesi-Harileyool en 189ü>. Le torpiiiage des navivre3 do fa O, R. Qa On commun'que ta note suivante : Ls soas m uins vienr.ent de conkr de nouveau, dans l'espace de qne'que» jours, quatre banaux de la Commission da ravi- t. i lement pour les pays envahi». Ces navi- ces eiaientch rgés Ae h é et oat étó torpikés b rs de la zone dangarense, sur la route mê ne indiqnée par les AU m srds, è pea de distance de ia cóte honandaise, et ceia b en qu'ils f isseirt munrs de serf-conduits .it portam-nt 1 s signes datiQubfi de ta Coin- missioa de ravit.i lament. La Commis ion a aussi ö! protes'ó par l'entremisa des gouvernement* »e tres, sous a prok c ion desqnels elle est p a ée. Le gouvernement franc ós a tenn a Lira rg iiement emend' o »a proiestution formetie, in Jcp noante d; cede de la Commissiun. L'»m!ï;issact- ur de Franca k Madrid a etè i h rrge, en remeltaiH catie protest uion au gouvernement espaguol, de signaler qne la vi ilaiion, aussi cruelle que 11 grante, de l'ecgagement forme! dr respecter ks na»i- res ae ia Comm ssion, qui avait é'e p is aa mois ds tevrier pir ks Allemands, peut en- trainer les plus graves consequeoces pont ie a malheureu es popuiati ns cemeuroes en te, riioire euvahi. Lv gouvsroement frarQ-k f.it anpe! aux se tiuisnis o'humjnité de S M. ie roi ri'F.t- p .gue tt lui demands (l'intervcuir iqsmédit» tem- nt a B-rdn po ur que te gouvernement auemund oil araené è faire connaltre s'il est reeli<-m nt décidé » fairs executer les o dres qu'ii p éknd avoir dnnm-s pour res- p c <»r(es navires oe ia Couim".siou, ou s'il est dé erm ne a assurper la responsabi itè d'eeiraver 'oeuvre in m ir-'Liirp naDounée par les gouvemements esp gnol et hoilaa- dais. LaFerineïure dosFêlisseiles eo juineljuillol •oftgip- ENALLEMAGNE Un Aveu de découpsg^ment Le Scluo b' -che TagtCacht, j juir.a: da parti sociali ae tn Wuriemburg, dans un article s r ('offensive drs al ks en Franca dit : « Noui- n'avons ptus bssoin de déguiser ies ctios'-s. N us re ponrro> s jamais vai*ce, et i est inuii e que Is peup e soit plus loug- temps trouipö. » La manifrs'aflon de Berlin A prop s d <1<j >urnée de B rlm, Ie Vor - wee ts fait bs reflexions sr ivanies : Le hut des ouvriers. en sp livrant h la mwifes- txtion qu üs viennent do fure, a éiö d'agu Ier I'ai eiillon .:es auhT tós s -r la sltustion criiique d-.r.s Isqaeire la diminution des r-nous da pain place hs milieux populates. D'anire p rt, le tenpie ist, tn grsrde nisjorié, d'avis qu'il fst impossible de remeitre it uno époque uuérku e ia realisation des léfoi mes intérieur s. Le ttus- sagm unpèiiat e a pas r, ussi a faire disparaiire les (Joules et s celuier lts soucis que c use l'.we- nir Qn-nt aux lésuiials a niendre des trivanxde 1» Commission des ï8 membri s. on estime gi-ne- raü ine1 1 qu'ils ser, i,t puis et que ses déiibera- tions n'abijuliront a lien. Dj Gazelle berlwoise dr midi, dout lecompte rendu n peut ev d mruertt pa-s être consi- r.érac mme mm piet, dunne les details sui- Vunis sur ia manifestation «re Berlin. F ya eu ae» grevistes darts les usines de muni¬ tions et te mouvement parait avoir eu un c -r. ctère politique aaRSi marqué qu'écono- mique. Alors que les d pèehes r-fli. icuses prétendent que la police n eut pas 4 intcr- M Vioüeite, minisire du rjtvffaillement, a requ une dé égaiioa du Coagrcj n.tiun.lde la patisserie. L minisire Ini a fait conmilre ks di po- suious a rêtees par Ie go vernemont : ier- mi-ture lotaie d • touier Ids patisseries da Fraace pen iai t les autts de j "n et de jitit- I t; è la re> uv rture, iniin ien d-s d-ux jours da f-rm»ture pir sernam-, le mar a et le mercreai. Un arrê é dans ce sens sera publié vendreoi ou samedi. La régime de rrstric ions adopté en ce qu converge 'es b scmteries, regime q- e (« minisbe r'ndie un ce moment, y sera a'aiiieurs égaiemeiit dtfini. En quelques Mots — Mme Svruh Uernbard' a suhi ms-rdi soir nnt oaératioo i i'tiöpit du Mon'-Sinaï. a N' W Ynift, ou ell.-*sveit été iraasporp e dim .acUo, suuffrant, dii-ün, d'une maiaiie de reins. — De différente* sources, il se confirm» que '4 sl'uailon de la Turquie est dése*peréa et que U gouveri£uient serjut résolu a éviler le de.uem- ureiuent 10 al d ••l'erupiie. — Le général russe Rennerkempf a été arrêtS pour 1 haute trauisau et curapio! contre Ia tOucté de 1E'Mt ». — Le S' cialisfe russe Plrkhsncvv. exiié r.vant Is revolution ei dout nous avons donna I s décia- rations pstiioliques, vient d'étre uoinuié iuiaistra du t avait. — Un coup de grivou s'esf prodnit daas Ia fossa B*9. duns la conc ssion de ,\<e x. Viugj-s bi ouvri rs ont <té més. Il y a deux i>l ssés griere- meniptdouzetégé cme-.il. llu tm,.nquents lappek — Une explosion s'e t produite dans l'araeaal de Tuition. Sopt ouvriers d'arlillerie oat élé tutis. Les dégats matériets soat iusigniHaals. GE JOURNAL NEPEUT ITRE

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Page 1: O. RANDOLET · 37™lifflce—IT13.(135 iJfflintsipalesf-Détéjrné-Gérant O. RANDOLET (3Fa^es) Jfpi5t?B!w—füNTïflflHüMATIN-—§f*b!1«m Pagres) &HdiÏ9Avril1917 tttttntin.iEiressisisstinnen,TÏL.10.4?

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(3 Fa^es) J fpi5t?B!w— füNTïflflHüMATIN-—§ f*b!1«m Pagres) &HdiÏ9 Avril1917

tttttntin.iEiressisisstinnen,TÏL.10.4?£5, Rua Fontanel!®, 38

AtfssssTélêffraphiqae: RANDOLETEsvro avre RÉDACTEUR EN GHBP

J.-J. CASPAR - JORDANTéléplioue I 14.SO

Storétaire G-énéral s TS. VALLÉS

Rèilacllon, 35, rue Fontenella - Tél. 1M

ANAONCE§

AD HAVRE

A P ARIS .••••••»

Buhrau du Journal, 112, bout' de Strascourg.L'AHENCE HAYAS, 8, place de la Bourse, estsenle chargëe de recevoir les Annonces pourle Journal.

La PETITKAVPEas! Mstgni pour lex AnnoncesJurtlclalres et légvlxt8^^gggBSSBSBBSBflBSBBSSBBS!SB3S

ORGANE REPURLICAIN DEMOCRATIQUE^

Le phis fort Tirztge des Journaux de la Région

ABONNEWIENTSLe Havre, la Seine-Inférieure, l'Eure.1'Oise et la Somme ...................Autres Département».. ......Union Postale

Trois Mois

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Six Mois

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«LieTempigrates»Nous ne sommes pent-êlre pas encoreentrés dans le lameux « quart d'heure ja-ponais » qui doit voir le dénouement fatal,mais ii se pourrait que la phase tragiqueque nous vivons représeniat la dernièredemi-heure allemande.N'escomptons pas trop, en effet, 1'effon-drement rapide du monstre. II a trop long-temps accumulé de formidahles moyens derésistance et la partie qu'il joue est tropcritique, trop grosse de consequences, pourqu'il soit permis de supposer qu'il céderaavant d'avoir épuisé ses dernières forces.II faut s'attendre encore a de furieuxsursauts de la héte traquée, qu'un collierde fer, un peu plus resserré chaque jour, asaisi a la gorge et qu'il étrangiera peu apeu. jusqu'è son dernier souffle.Mais il est manifeste que s'ouvrent lestemps nouveaux oil l'Allemague commencede payer ses crimes.Victorieuse offensive britarmique con¬duite jusqu'a la couquêle de la crète de Vi-my et livrant au vainqueur aujourd'hui laligue de Hindenburg, domain la plaine desFlandres ; Iriomphante offensive frangaiselaissant pressentir Ie développemcnt mé-thodique et prudent du vaste plan du géné-rai Niveiie ; préparation active sur Je frontitalien dégagé bientot des neiges qui coif-fent encore ses sommets ; mou vemen ts si-gnificalifs sur le front macédonien ; re-constitulion lermiuée de l'armée roumai-ine, ouliltée, prête au combat ; renais¬sance d'une armée russe qui voudra avoiraprès sa prise de la Bastille la gloire d'unValmy ; admirable levée des Arnériques :il y a dans I'air printanier qui passe descfll uves de belles espéranccs.Que nos eceurs se haussent jusqu'è lagrandeur de l'idéal qui lesanime et qu'audessus des sacrifices personnels et dou¬loureux dont nous devrons payer cette su¬prème étape vers le but que nous entre-voyons, plane de toute la puissance de sesailes souvent battues par la tempête, maisjamais brisées, la conflance toujour plussereine, plus forte, plus radieuse daas lesdestiuées heureuses de la Patrie.L'Allemagne est a ce tournant. Elle ar-borait, ces temps derriiers encore, |e mas¬que de dissimulation et de mensonge quesa presse, a la solde des bandits dont elleest devenue facilement la complice, avaitmis sur son visage de trahison.II semble que Ie róle soit devenu Iourdet difficile a jouer, que la poussée des évé-nemerits submerge l'bypocrisie des mots, etque I'iristant soit arrivé d'orienter i'opinionallemande vers l'éventualité prochaine desphases plus que difiiciies.Maxiinilien Harden osait, ces jours-ei,dans la Zukuvfi,A outer de Ia sincérité duKaiser a propos de son décret sur les ré-formes électorales. II s'étonnait de ce quel'empereur ait attendu, pour les promettre,Ia revolution russe et le message du prési¬dent Wilson.Harden a pu dire tant de choses osées de-puisla guerre qu'il n'e#. pas défetidu depenser qu'il est de mèche a vee la censureimpériale. N'exagérons done pas la portéede ses [iropos d'enfant terrible.Mais plus significative est la nouvellealtitude des bergers de l'opinion allemande,lelie qu'elie se trahit dans la Volkszettuvg etdans la Tages Shttuvg oü le fougueux cointeItevenilow lui-même, pangermaniste a touscri ns, constate avec une tristesse désabuséela gravité de la situation inférieure.

« L'effort fait pour trailer les riches etles pauvres de la niême manière, dit-il, aéchoué complement et la distributionofficieiie des vivres est un insuccès quimet dans le plus grand danger le peuple etl'année, la guerre ei la victoire. »Et pendant que la Volkszeitung se ia-mente, qu'elie exhale les pires presenti¬ments, qu'elie prévoit que « demain serale jour d'une dure épreuve », que « lesmorceaux de pain qui nous viennent dèsmaintenant sont, on peut le dire, les der-niers » ; pendant qu'elie alflrme que « riende ce qui est arrivé depuis ie commence¬ment de la guerre n'a porté un coup si sé-vère au peuple allemand que cette decisiondu dictateur des vivres (le rationnementdu pain », le docleurRieeke, l'un des bourg-mestres de Berlin dbserve avec une mélan-colie inquiète : « Nous voici en face detemps graves ».Ailons, voila qui va bien, qui va mêmetrés bien. Les angoisses allemandes vien¬nent a fvopos ren forcer notre optimisme.Que la santé du neurastheniquecouronné,nb ressenie point trop le contre-coup de ce« flaiicbemeiit » national, qu'elie se réia-blisse au contraire, qu'elie lui assure desjours d'aitente avec pleine possession deconscience, [>our mieux comprendre, par larigueur du chètiinent, l'iinmeusité du malque son mauvais génie décbalna.li n 'entte pas dans notre désir de con-duire un cadavre sur l'llot de l'exil ou labascule de la guillotine.

L'OFFINSIVJE_FMIGMSEL'Opinion allemande

L^s journaux aitemands soui gaent ['im¬portance de la baiai'le de Sois ons et deChampagne ei l'intensité da i'i flnrt que-doitfournir i'Allemagoe ; ils sjo. int qu'il nefaat pas s'iuqu eter des premiers sracèsremportes par les Frai q is et qu it taut gar-d r i'espoir et la eonfiance.La Strassburg, t Post dit qoe de telles br-tailies oot (l i lluctualions. « Ou avance tci,on rrcule la, et on peut perdre des massesde prtsonniers et de maté. is! pour éviter despertes plus graves. Seal le résultal ti ai im-porte. Nous sommes les m ons nombrpu-x.N us n'a'.Oüs paï, ccmme nos ennemis. derreserves venant de tous iev cötes du g|. beet i'aide do monde entirr. II ne fait compterque sur noes seals et avoir conti c ■. »La Gazette de Francfort es;im« que 11.C00prifOnniers et nn b tin coosiderab e ne veu¬len t run dtre. Dins une bat, ille aussi gigan-tesque, dit-tlle, cc-'a u'a auoune importance.Lp journal trouve anssi l'emum ration despositions conquises par les Fra c is tout afan sèconaaire, car la iiitte ne se i o rsuitpas pour qneiqnes bonts tie tranchées, iuatspour toute uno région.

I [Iil 11!

LA GUERREIMTIilVILLAGESETDTBfORTANTESPOSITIONSEMEVÉSZ.Z09p;isusltn.Wtanga:tl lil isltrailleuscscaplarés

Tel EST L.E BIL. AN DE !_A JOURNÉE D'HiER

Le Sênatet l'emprunt de guerreLe S -nat americain a vote a i'u animltó Ialoi autorisant l'emprnnt de guerre de 7 mil¬liards de dollars.Les modifications appor ófs an teste votépar la Chambre néc 'ssiteot des conférencesentre les deux Ohausbres avant qu'elie soitsoormse è la sig -aturc du président.Ao cours de ia sé nee du Sénat.M. Kenyona drclaré qujii espérait que la vote se.-aitnnatiime et qu'on ns demander.nt jamais kla France de rembourser les sommes pic-tées.

Expéditsonimmediate de vivreset de munitions en Europe

Le président Wi son et lts membres dnCabinet aitimdeiit la rénnion de la confe¬rence avec les détégüós des puissances del'Entente puur determiner ia répartitiou desavancts aux aides. Mais ils out ré, oio de nepas attc-udre cet:e rénnion pour envoyer enE rope toules les munitions et produits ati-mentaires nécessaires. Les prrmè es expédiiions seront faites incessammeat.

Oncoupe les vivres d l'AllemagneOn confirms de N w Yaik au Times quedes m sures iminéJi.tes ont étó pri es parle Senat pour supprimer comp è'.em' nt i'cx-portaiion djs oroduits alimeotaires améri-cdns en Altem<ane, par la Hollande f t iaScandinavië. Da3 statisliques récemmentpub iées pr< uveot que, maLré ie boensang!ai% les pays limiirophes de l'All magoe r>c ,ivet,i ae gr«n<l-s q.oatuités d'appro-visionoements sméric ins qui ét.dent indu-bi'atdf mt-nt des'inés è i'AilemagiM>.L' S rat veut dor nu au président ledio t o'interdire l'exportioion de tout arti¬cle et de purnr cttix. qui enireii draient cesdispcsi iar,s.Les directeurs du trust de la viande deChiC'go out mis toutes Ivors usines è laoi position du gouvernement.

Un sous-marih allemanda 1Q0 milles de New-Ycrk

L'amirauté britanniqae commuaiquo la notesuivante :Les stationsradiotélégraphiaups de la ma¬rine de Bolton et d - N w Yo k s goal ntque k maun do 17 avnl te ,-outre-torp,l!eureméricain Smith a aperqn un s ms-marinerinrmi et que ce sods-mario a iancé onetorpiiie, qui u mat.-quó le Smith de trentemètres.(D'après une dépé 'he de Washington, c'est 4100 irriü s au Sud tl" New-Yo-k qu ■lo sous-raariD« liié sur ie conlre-torpilteur m rirainLe Smuk pst-un coritre-t, irpilleur de 700 tonnes,Uounaot .0 nocutls et demi de Vitessed

COMMUNIQUES0FFICIELSse@' ro

C01IMIQÜËSFMHQAISParis, 18 avril , 14 heuras

D^ns Ia region au Sud de Saint-Q en tin, la r,uit a été marquee paruna trés grande ectivitédes deox arti -lertes et de norerbreuses rencontresde patrouilles, ainsi qu'au Sud del'Oise, dans , la secieur da ia Basseï'orêt de Goucy.Au Nord-Est de Solssons, un coupde mam sur les iigoes tnueisaies auNord de Laifaux nous a ptrmis de ra-mecer une vingtaine de priso miers.Batre Soissona et Auberive, nostroup» s oot eff^ctué pendant la rmitsur divers points du front des opèra-tioos de detail qui nous ont vatu deserie 'X avanieges.A l'Oaest, uua action brillamraentconduite nous a permis a'eolever ievüiage de Ghavonne et dLvchever lacorq. ête de Chivy.AuN,.,rd «ïe ces iocalités,iiou8 svoasenleve tout le t9s ram jusqu'auxabordsde Braye en-Laoiu.ois, dans lequelnos patiouilles ont pènétré.Deux cent ciaquaute prisonnierssont restés entre nos mains.Dans Ie secteur da la Ville-au-Bois,nous avons conq-.ds plusieurs ouvra-gea fortifiés, ainsi qua ia total i té du

cap-

L'attaque allemandedu « Smith »La statio I ae Bustoo, qui a r gu ,'a pre¬mière la nouveile de l'atiaque du contiv-torpillcor Smith, par un soos-marin a e-ma d> a In n mis a Ww-hiaston que e'etaitia reconnai«sariC9 par t'Aattn.<go<. de r< xis-tenie do Nótat de guerre avec isE a s UmsLa fetnaine passie, le goiivernem-ut avaitappris, par «oie dèlo anée, que l'Allemagneeiait sur Ie point de declarer zon • defend nei' s er u x terriioriales des ports de Boston,N w Yo k Charleston, Savannab, cede,-, docap Delaware, da ia b ie da Ch sapeakt etd" tous les ports d'iro pollution de l'Atian-tique.

également en notra possesaron. Nousavons fait quatre cents prisonmers.En Champ gue, trois co itro a ta-ques enutmivs dirig-ées sur nos posi¬tions, de p^rt etd'autre öuMons Cor-mllet, ont óté arrêtées net par nosfeox saos autre résuitat que des p-r-tes s^nglantes pour l'erinemi.La lutte d artillerie a eié violentesur une grande partie du front d'atta-q«e.Le matériol tróuvé sur le terraio,ou enJeva da vive force, corapreud u equaniitè considerable de mitrailleuseset de norobreiiX engms de tranchéesL'etrnenii avail retire en arrièrs desa dei.xièine pos a ion son artillerieiOnraè et de camp.gne, nous svoneanmoins pa capture r douza canonsdont trois lourds, la plupart sur iefront de Champ, goe.Le chiffre oes prisonmers va'idefaüa depuis le 16 avril depasse actueilexnent a^usstt>£-ie<B Slide,Canonnada intermittent a et rencontre dpatiouilies sur le reste du front.

ainsi que cette dernière localitó enGatier.Dans la forêt de Ville-au-Bois, uneumté importante, eacfcrclée par nous,a dü mettre bas les arrues. Treizacents prisonni-rs et cent quatre-vingts mitrailleuses qui servaient ala défense ciu bois ont étó ainsiturés.Vors seize heures trente, les A'lem«nds ont lancé uno trés violentecontre-attaque d l'eff-ctif de deuxoivisions Sur nos positions entreJuvincourt et l'Aisne. Nos bs2^?ageset no* feux de nuiraiUeuses ont bnséi at'aque et ont lufiigé des pert-es s.sn-g! antes a l'eunemi qui n'a pu abordernos Lgnes c-n aucuri point.A l'Est de Gourcy, ia brigade Ras¬se a complete ses suceès en s'emparant d'uri ouvr.ags fortifié et en fai-saat des pnsonriiergAu cours des opérations d«ns teutecette region, nous avons c&pturévingt-quatre canons lourds et decamp g.se et trois canons de 150intacts munis de ni-ke coups parpiècs qui ont étó ratournés contrel'ennemi par nos artilleurs.^Eri Gh .mpagne, nous avons rêduitplusieurs i ot.s da résistanca et enlavédes points d'appui des enneinis. Vmgtcanons, dont hult lourds, et cinq cents

StrifeHearsLESÉTATS-IIKISESGU'RRE

Londres, 18 avril,A la Chambre des Communes, M. Kiag ademar de quelle est ia position des Ecat1,-Uuss dans la guerre et 8'ils sont partie ëutr.,ité de Londres.Le secrétaire d s ffaires étrangères répon-dit que ia position d-s Etak-Unis e t parrai-temeni déünie parijs diverss s déclarationsde M. Whson, mais fit une réponse negativepour ia dernièrs parti" de la qu> s ion.La Chambre des C' m nones vo a ensuite èf'unauimité une ra-o utio « acciainant l'en-t ree en guerre des Eiats-ünis.

bots a l'Est de cette loeaiiié, qui est prisonniers sont tombesen notre pm; v ir,Le chiffre des prisonniers vaüdesque nous avons ramenès ó Barrièredepuis ie debut de !a bataiile dé-passe actuallement dix-sept mille.3oixante- quinze " canons ont étójusqu a present dénombrós,

«-™— —

23 heures.

Albekt-Herrenschmidt.

Pour le service auxiliaireLes jeones gers de la c'asse 1918 reconnnsbon- ;>i>servic- auxiliaire seront ïncorposésIe i mai proeluia.

AU BRÉSIL.Les troubles antial iemands

A la suite d«s violente? reqresm' es exer-Cé»s par li population de P.irto-Aiegre, auRio-Griode-du-Sttd, le minisire de la guerrea u legraphié au general comm ndaut ia cir-coiiscripion mifi,aire ae metae a la di-positi'-n «h président de i'E a' ae Rio G-an dela tot •fl é des force fe ór. les de cette cir-co 'scripuo.n, snit 7.400 hommes.Le présidmt d" l'E-at a harangue la poou-iation d ns la Buit ou 17. t'exhortdnt au (f i¬rn» et promettant de prendre lea nmsi.resnecissanei. La foule s'e«i dkpersée. A>c nnouvel i cident ne s'est pro mi' dep- is iorset, fi'ap'è-, les inlVirmaiions olficveiles, l'or-uri- semblait rêtabi nt les autorités étaientm i res es de la situation.Les i candies o».i g gné qnelques maisrmsbresi ienm-s. L- s dégats >ont évaiués è vingtmil ious de francsLne journaux all mmd- de Porto-Alegreont suspendu leur pubbcaiion.Des tioepes ont ete envoyees è Pelotas,daus le mém Eut, en prévision de dés >r-dres.Le bruit d'nn attentat contre le présidentdu R (-G'-ande est démenti.D n i'E'at de Sao-Pauio, è R*o Claro, desv ol nces aniiallemandes sont aussi sicna-lées.Une dépêche deCnrbyha.c pita 'e del'EJatde Parara, dit que les A lem nds résidantdan- eet Etat se retirent d.us l Eiat voisinde Sinta-Cathartna, au Sud, ou ils se ras-sembtent,

Au Sud de Seint-Qoenti», oprès untrés v f hoixibaf uersie ,t, tea ADemandsont ai.!,oqi,é nos positions a l'E t deGaucby. Uoe première teuiative, ar-rêtee net par nos fcux, a etè sufvied'oue deuxièine, ptos violente, aucours de la quelle des factions ennemies ont réussi a pénétrer dar>s noséiém^ïits avancés. Imsnédiatementcoiitre-attaqués, ious les ocoupa tsoat èté tués ou fis prisonniers. No¬tre iigoe est integraieinent rótabiie.En re Soisssons et Auberive, nousavons poursuivi éaergiquemeut notivaction sur les divers points en depitan mauvais temp» p -rsistaot, A l'Oaestdu front d'attaqua ces opèrat.tons ont( b'enu le plos bri lam suceès. AuN u d de Chavonae nos tro pes outenisva le vülaga d'O-tel «t rejeté l'eu -Bemi a un kiloinètr*d au N .rd.Bi- ya, en L«onnois, a été égsle-m nt conquis ainsi que tout le terraina 1 Est, jusqu'ajx ahords de Courte-con.Sous la pression énergiqoe de no¬tre infanterie et Faction mèuftrièrede notre canon, Fennemi a'est rep jéen désordr,' ëu abandonnact un im-poriar.t matérie! et en laisteaot ensrenos mains ses tiécóts tie vivres. Unsent «e bos regiments a f«it 300 pri¬sonniers «ppisftenant a sept regi¬ments differents. Nous avons cap-turó dtx-nsuf canons, doet cmqcourts.Au Sud de L»ffanx, nos troupescouvertés au Sud par la cavalerie ui-visionnaira rèussissaient a boosculerFennemi et a s'enupat er de Nauieuil-la Fosse.Enfin, sur la rive Sud de l'Aisne,una attaque vivement menée nousdon att une tête de pout organiséeDar l'ennemi entre Gondé et VaiUv

18 avril, li hmrrs.Ur.e nouvelle avance a été tffectuéecette nuit au Sud Eat et a l'Estd'Ep -hy .Ce m» tin, le village de Vihlers Guis-lain est tombé emre nos ny-sns. Neusavons f<4t un certain iiombre depxu-Boaniers.Nos positions ont été eoasolidées aLagnicourt.Aucun événement important h signaler sur Ierest du front.La pluie recommence h tomber en abon¬dance.

18 avriT, 20 h. 38Une avance a été effect e- cettet uk sar la rivo gauche de la Sc<«rpe,s l'Est de Fatnpoux.Ce matin, de oouv-aux é'óments dusystèmo do la première l.'gae enuemieau Sud Est da Loos sont tombss entranos mau s Nous avoua fait en outreun ce tsiflBOEib a de prisonniers.Au cours d'txpé ntions exacutaes lanuit. dernière, ic<Oop lotss out jrtó desbotnbes ayec succes sur uu train,dsi-x convois et un pare aummob leallemands. D iaiportants degafcs outetè partout Cunstatés.

vj?r:ir, le jonrnal ennfirmp qne Ips burrageed' igents ds po ice e-sayèreut partout d'ar-rê er hs cortèges qtn veulaient parver.ir ètFimériear de la capitalo. Le journal alfeotani de consid$in- te mouvement conimal'oeuvre tie qqetqnes cerveaux brüiés de lafraction Ha.se-Ledeb- c, invite Ie3 ournersè les prévenir aussi vi e que possible, de nepas coruprom-dtre cavaiitage la cause desouvriers dans le présent et dans l'avenir.Ou mande d» Bartin aux JVomvelles d - Bdle,que « le bourgrn are do B nin a rtgu m a diles deiégués des Syndicus, et leur a expo óles mesures gou vein era1 n aks pris s pourassurer le ravitaillpinent de Ia popula ion,M. Mich ielis, commiss ire prussien du ravi-taillement, etan pré-ent. »Le Woruwts du 57 parse rap'di'ment, snrles événerntnis qu'il attribue a des diffi -ul-tés alimentaires, è des questions de la poli¬tique inférieure, et surtout ao désir inie sede pais do la population, dosir qui ne p utd' illeuis pas être considéié comme un ia-dice de l'opposition au gouverneroeat puij-qtte celui ci aussi veut laire la pus.

EN BELGïQOELenouveaugouverneurdeIaB dglquaCn mande d Brnxelles qne F; nip ie e acoiifi • a Fint ndaut general d'Anvers voa

La diiare é. Congres das m** \ouvriers et militaires

Le Brësil et l'AllemagneRio-de-Janeiro, UavriL

L-'S manifestations amial emandes conti-nuent dans plusieurs locabtés du Brésii.«BWB'K'lWgaBtaigeBiiBtBBB'.IIIMW» gwaKnvimmBaaw

Lisl?iaieil§è Eassii

COMMUNIQUEBEIGE18 sv il.

Faible canonnade sur quelques points dufront.

COMMUNIQUEITALI˻Rotne. t8 avril.

Entre l'A ige et la Brenta ainsi que sur Isfront des Aloes Juliennes, actions /mensesü'artiilene Nous avons rtpoussédes attaquesstir les parties seot6iitrionales et au devxièmesommet du Colbricon.Des avions Italians ont bombarde Chiapovaro,centre important de ravitaillement, et sont'■eritrés indemnes.

COMMUNIQUERUSSEPe'rograde. 18 avrit.

FRONT OCCIDENTAL, — En Ga'/c/e, au Nordde Zboroj nous avons bombarüé efhcacomentne colonne ennemie.FRONT ROUMAlN. — Dans la régicn h l'Estde Kotou Mikitate prés ae Brailow, sur le Da¬nube, nous avons repoussé une attaque effec-tuee par trois comoaéni-S.FRONTDUCAUCASfi,«- Reconnaissancesèolaireurs

Les travaiix du CO' grès se ront termiróspar un dis ours de M. Pi kh nof, qui a iu-sisté sur I'mporianca de ia reso ution ouCungrès relative è la continuation da iagueire II a tail appal è la concorde et autravail de tons, dans le but ó'eviter la guerrecivile ei de démomrer que la democraiierusse est une fi ree part' iiement u fire etacte è g; li ver fter -ccmme- e-lie l'a pronvójusqu'è présent.L > delégnés se sont séparós ea chantmïla M >rsculmsc .

Déclaraiions des socialistes frangaisM. Cacliifi, dé!é*ué su uuste iraug.is, afait, pea après sou arrkée a Petrograde, lasdeclarations suivaatcs :« Dès notre ariivée, nous nons sommesmis e«. rapporis avtc Ie Comité drs Ouvrierset o dats. Bien uu'il lui accap&ró pir -esdebats d'un congres mouvementó et fi-t-vreux, il conseutit immediatemi-nt è nonsr<cevoir et il fit aux six delegues Ira pais etang ais Faccueii le utus trateruel et le plusenthousiaste. A la fin de a reunion ,dn Co-mite, nous iümes invites è assister è unesé«nce du eengrès, daas la graade salie dela,,Dim ma.» L'accueil qni nous fut fait par les con¬gressisten, qui se te na ent tons debuut pouracciamer la France revolutiinnure, édnci-tri ;e öes peuplts, fut extrêmsment émua-vant.» Le 'endemain, Ie B nd, qui est nne or-gauisation irès importante du proletariatru.-se. envoy a une déiégatio i p»ur nous in-vitsr oflic eiu m nt a prendre place aux tra-vaox u'up cuitgrès ( ü sont représeotes descentaines de mik. as de trav. ikeurs. Lèaus i, l'accueil lut trés cnateureux. La aussi,i'asitmblée ace tiuit debuut les représen¬tant» des grandrs Rations occidentales, quidonnèrent si longiemp- asi a uix révolu-tionnaires cliassés do Russie pur le tsa-lirr.e.» Co premier contact avec Ia démocraties; ci lute russe nous reinpiit tous d I j ielapliisprofoiide.il nous parait ,i', xcsuentaugure pour la re&ksa.ion d» l'unite néces¬saire entre les proletariats des p ys aliiés.»

Du sou ecué, M Charles Dumas declare :< J'ai l'impression, après avoir causé avecplusieurs socialises russes, que ('immensen ajori'é des cuvri rs et so aats a la cons-Cie ce abvolue et tres nette de deux néces-qiés primurdiales : 1° eoniinner la gu »rre»qu'è la di faiic du militarisme allemand ,2° inuiutauir ei afiermir te nouve u regidont !'• tab issemi-nt sur des bases solidesei durakfa cons hue ia condition essentialiade tont dévelo pemeut ulténeur des pro-grè» o fiaux en Russie.» Je suis ptrsuitié qne Fimoression dePiekkauof est, è pcu do ch"ses piè9, idanii-unpèia mienne. J» considère 1'arrivés deP <khan f dans ce pays t ü i jouit d'une sigrande auk r té morale comme un evenemen de la plus haute importance.» Ou a craint, d»ns le roste da 1'Enrope,qne 1,-s révoiutionn ires ne se U s nten-l ainer a des (xtrèmués qui c-mprom- ttrai nt le but de la gnerie et la staniliiké dunouveau rég me, ma s il fiat faire la pare de'inevil b'e ' fl rvesé'-rice qné c. m orte nripareil éveueim nt. II f-,ut qu'on c mpreunequ i' arrive souven' eh z un peup e au.-siémotif que |e peuple russe q tie dins i'atmos-P'ière surclt tuft e ei assem b 黫, la paroledepose de b.aucuup ta pensee. »

SÏJR MERÜD navira espagno! iorpiliéO i iü >nda de Biloau (pre Ie vap-i.c espa-gnot Tom, akant de Sainf-Jean-de Luz a Car¬diff. avec quinz? autres lia rments, a ete tor»uiiié sam dt suis avertis-.ement préalablé.Titos les na vires qui l'sceftmpsgnaiént s'en-tuirent, exc-ip é le vapaur anglais qui l'es-Cuftait. (Mui ci tenta de dour er la chasse ansous-mario, qui piongea et dsparut. ijhammes de I equipage dn Tom sont man-quants, probab tiuuui aoyés ; 7 ont p.i êtrasalves.Ou Liégrapbie de Mr ïrid qne Ie comte deR itiid.'.ü'.es a coufi inó es bruits coucar»riant ia torpiiiage du Tom, ajoutant que tontca qu'il peut dire jusqu'a pius amp er ren-seignements, c'ee: o le torpiiiage a eu lieale 14 itvr il.(i. Turn, ex-Brluchistan, éfait nn vapeurd» 2 409 tuiiues, coiistruii a Wesi-Harileyoolen 189ü>.

Le torpiiiage des navivre3do fa O, R. Qa

On commun'que ta note suivante :L s soas m uins vienr.ent de conkr denouveau, dans l'espace de qne'que» jours,quatre banaux de la Commission da ravi-t. i lement pour les pays envahi». Ces navi-ces eiaientch rgés Ae h é et oat étó torpikésb rs de la zone dangarense, sur la routemê ne indiqnée par les AU m srds, è peade distance de ia cóte honandaise, et ceiab en qu'ils f isseirt munrs de serf-conduits.it portam-nt 1 s signes datiQubfi de ta Coin-missioa de ravit.i lament.La Commis ion a aussi ö! protes'ó parl'entremisa des gouvernement* »e tres,sous a prok c ion desqnels elle est p a ée.Le gouvernement franc ós a tenn a Lirarg iiement emend' o »a proiestution formetie,in Jcp noante d ; cede de la Commissiun.L'»m!ï;issact- ur de Franca k Madrid a etèi h rrge, en remeltaiH catie protest uion augouvernement espaguol, de signaler qne lavi ilaiion, aussi cruelle que 11 grante, del'ecgagement forme! dr respecter ks na»i-res ae ia Comm ssion, qui avait é'e p is aamois ds tevrier pir ks Allemands, peut en-trainer les plus graves consequeoces pontie a malheureu es popuiati ns cemeuroes ente, riioire euvahi.Lv gouvsroement frarQ-k f.it anpe! auxse tiuisnis o'humjnité de S M. ie roi ri'F.t-p .gue tt lui demands (l'intervcuir iqsmédit»tem- nt a B-rdn po ur que te gouvernementauemund oil araené è faire connaltre s'ilest reeli<-m nt décidé » fairs executer leso dres qu'ii p éknd avoir dnnm-s pour res-p c <»r(es navires oe ia Couim".siou, ou s'ilest dé erm ne a assurper la responsabi itèd'eeiraver 'oeuvre in m ir-'Liirp naDounéepar les gouvemements esp gnol et hoilaa-dais.

LaFerineïuredosFêlisseileseojuineljuillol

•oftgip-

ENALLEMAGNEUn Aveu de découpsg^mentLe Scluo b' -che TagtCacht, j juir.a: da partisociali ae tn Wuriemburg, dans un articles r ('offensive drs al ks en Franca dit :« Noui- n'avons ptus bssoin de déguiser iesctios'-s. N us re ponrro> s jamais vai*ce,et i est inuii e que Is peup e soit plus loug-temps trouipö. »

La manifrs'aflon de BerlinA prop s d <1<j >urnée de B rlm, Ie Vor -wee ts fait bs reflexions sr ivanies :Le hut des ouvriers. en sp livrant h la mwifes-txtion qu üs viennent do fure, a éiö d'agu IerI'ai eiillon .:es auhT tós s -r la sltustion criiiqued-.r.s Isqaeire la diminution des r-nous da painplace h s milieux populates. D'anire p rt, letenpie ist, tn grsrde nisjorié, d'avis qu'il fstimpossible de remeitre it uno époque uuérku eia realisation des léfoi mes intérieur s. Le ttus-sagm unpèiiat e a pas r, ussi a faire disparaiireles (Joules et s celuier lts soucis que c use l'.we-nir Qn-nt aux lésuiials a niendre des trivanxde1»Commission des ï8 membri s. on estime gi-ne-raü ine1 1 qu'ils ser, i,t puis et que ses déiibera-tions n'abijuliront a lien.Dj Gazelle berlwoise dr midi, dout lecompterendu n peut ev d mruertt pa-s être consi-r.érac mme mm piet, dunne les details sui-Vunis sur ia manifestation «re Berlin. F y aeu ae» grevistes darts les usines de muni¬tions et te mouvement parait avoir eu unc -r. ctère politique aaRSi marqué qu'écono-mique. Alors que les d pèehes r-fli. icusesprétendent que la police n eut pas 4 intcr-

M Vioüeite, minisire du rjtvffaillement, arequ une dé égaiioa du Coagrcj n.tiun.ldela patisserie.L minisire Ini a fait conmilre ks di po-suious a rêtees par Ie go vernemont : ier-mi-ture lotaie d • touier Ids patisseries daFraace pen iai t les autts de j "n et de jitit-I t; è la re> uv rture, iniin ien d-s d-uxjours da f-rm»ture pir sernam-, le mar a etle mercreai. Un arrê é dans ce sens serapublié vendreoi ou samedi. La régime derrstric ions adopté en ce qu converge 'esb scmteries, regime q- e (« minisbe r'ndieun ce moment, y sera a'aiiieurs égaiemeiitdtfini.

En quelques Mots— Mme Svruh Uernbard' a suhi ms-rdi soir nntoaératioo i i'tiöpit du Mon'-Sinaï. a N' W Ynift,ou ell.-*sveit été iraasporp e dim .acUo, suuffrant,dii-ün, d'une maiaiie de reins.— De différente* sources, il se confirm» que '4sl'uailon de la Turquie est dése*peréa et que Ugouveri£uient serjut résolu a éviler le de.uem-ureiuent 10 al d••l'erupiie.— Le général russe Rennerkempf a été arrêtSpour 1 haute trauisau et curapio! contre Ia tOuctéde 1E'Mt ».— Le S' cialisfe russe Plrkhsncvv. exiié r.vantIs revolution ei dout nous avons donna I s décia-rations pstiioliques, vient d'étre uoinuié iuiaistradu t avait.— Un coup de grivou s'esf prodnit daas Ia fossaB*9. duns la conc ssion de ,\<e x. Viugj-s biouvri rs ont <té més. Il y a deux i>l ssés griere-meniptdouzetégé cme-.il. llu tm,.nquents lappek— Une explosion s'e t produite dans l'araeaalde Tuition.Sopt ouvriers d'arlillerie oat élé tutis.Les dégats matériets soat iusigniHaals.

GEJOURNALNEPEUTITRE

Page 2: O. RANDOLET · 37™lifflce—IT13.(135 iJfflintsipalesf-Détéjrné-Gérant O. RANDOLET (3Fa^es) Jfpi5t?B!w—füNTïflflHüMATIN-—§f*b!1«m Pagres) &HdiÏ9Avril1917 tttttntin.iEiressisisstinnen,TÏL.10.4?

2 Lë Petit Havre — Jeudi 19 A\ril 1917

MpeLocaleEstTAUTA liter

ILcgjloc» gTiuomiFui*promn officier de la Légian d'hon-: M. Castim!-- Anne-Marie Georges-Roe meguére, lieutenant colonel (ac¬

tive), Commandant le groups d'ariilierie decampagne d'une division :Trés beaux flats tie services. Exerca le eom-m»--dement d'un groupe d'uriiiiene de esmpa. neBvee une énergie cl uco sctivitó remr,rqiiablcs(a déji élé cite).SI. le !ient>nant-coloae! Ronmegoère, filsde i'ar.Cien entreooseur destabacs su Havre,est le geadre de noa eoncitoyem M. et MmsSofigettx.

Conseligénéra!delaSeing-ffiferisuraSéance du 17 avril 1917Les Routes

la 2» Llgne de Peris au HavreM.R uéBcrge lit ie procès-veibai de laréütnoti qui s'est tenon la veule è la Prefec¬ture eta laqnelle assistaient lea conseil lersgfneratix et ies d-légnés du controleur gé-ïifra: Dn Mc*nu, tin t de la ra ssion tran-f i-e accrfduée auptès des aoto- lies britan-fciqii'S. De» explications tournies aux con-seiners genéraux, i! résuite nu* les autoritésiiriiam iquestont tonics p ê es a panic. pera la r< f' ction des routes empruntées parle rs convois. Elies Font dt ja fait en maimscriv oits.M. Berge donne égalensent connris?ancede.' decisions prises en ce qui concerne laconstruction de !a ligtto de chimin deferd-tant rel:er le Havre h la rira-gancbe deia Seine. On sail qu'on accord est interveno.mtre les représentanls des regions duHavre et dt Runen et que ie irunisiêre apromis de faire poursuivro Fétude de cetteligae.

Séance du 18 Avril 1917PréHciencc de M. Paul Bicnon

Deux questions out été traitées cello eonccr-luuil le sioek générsl eu blö du département etcello du cbarbon.Steek génêrnl en blê dn département. —M. Bergedcm-indo au C -nseil quel est le steek dont peutdop ■str le dèpirk mept, ie déficit éfent trésgra -<tcette snnée. M. le préfet icpond qu'il n'«j.s' ies pon volts néc- ssair> s pour empéeber lesb és ce sortir du départ-raent, i! a demands aumi islro le druil de pnuvotr proeéder a dos réqui-sitioiis, 20 8 30,0->uquitütux de blé étaient néees-sair. s pour ai river a ia soudure, mais it y cutImpossibility de se les procurer.I.s mi istre svait bien promis da procurer duHé i x-uique. mais ies circonstanees de forcem l'en i mpéebèrt nt.Si >af/trine d'orge proffii-e est envoyóe, Ia si¬tuation de la régioit, rrlalivement au pain, sera. .lanvega dée.M. le préfet rappelle que vn les enganemsnlsfpt-riaux conelus, ie ravitaillemert en blé do ispopulation bavraiso et sou agKlomóratiba seraas.-urfe par le mioietre «n ravitaillement Cetnide tlouen et de certains centres do sa banfieuosera sssuré par le département.Le Diésera fourni su nron in su prix de 3d fr.Le ps.n sera augmrn'ó de 2 ceoiimps et dans buitJou- s le prix de la farino sera porté a 2 fr. 23.La question du charbon' M. Devillers, po e unaqii. suon s M. ie préfet au sujet du cbarbon et de1» ff-«vité de la clae exlstaote.M. Morain répond quo le dóparlem nt de laSeis e inférieure s'esi trouvé. quant au cbarbondans uno situation privilé-iée par rapport auxauirerd -parteaienls.il donne des déts-is sur cequi a été fait pour Rouen et les caiaoagnes.Pour i'biver procbaio il serail désiratde que IaVüle du Havre eniamdt des pourparlers avec laM i on Worms pour ies fournitures de charbonei que la Ville de Rouen, dont Is Municipaiilétu vi-'it faire preuve «e p us d'initiative ei de rapi-di'é de déeision, s'enieiiöii avec les importatetirsde son port.Rerté a assurer !e charbon pour les campagnes.O.aue aux engagements fennels de piusleursinareb nds en gros, Ie drp.-.rtfm<nt comple pou-v<ir recevoir 2,0C0tonnes de cbaibon dooaest-queel 2 0. o tonnes d'nntbracte qui seraient réservéesnux chofs-lieux do cantons.Sentences et ravitnitlement : M Morain donneJecmr du téiégramme envoyó par M. le mimstreo'e 1'agriculture eu rópor.se a celui envoyé iaveiile relativement aux semences de pouimi-s dotriie. Ce lélégramme annonce que ('intendanceaurait réuni la majeure partie das 1,800tornes descreeüces d mendéc;. qui seraient iminudiatementmi-es ew route.JJn e.rédd de i millions demsridé par M. Acli -r,nu noin de la 5' Commission, est votó par ie Con¬seli ï our füirr- face a toutes ies opératrocs du ra-VilaiMoaienl civil.— Une rubvention do ïoo.ff 0 francs est accor-pèe r-i) faveur des dép.-rtraienis envabis.— Use subvention do 25,000 Panes est sceor-p'e puur la cré&tion ti'uu iaboraloire (école dech mie s Routn).On adop-e :— Un rapport do la D«Commission do M. Ls-veinup temurdant qu'i psrtir du I" juiifet pro-ebtn» l'Adicinistrstion des Cbemias defer del'Etatfrci-ite les commonlestions avi-c les diffèrentesstations biltésires de ia Seina-Inférieure.— Un ispport de #. Lormier acmSrdant qu'a-prrs Is mobilisation des réfoimés et exr-mpiós quioni.élé clajsén dsns fr*p.<rvice apxiliaire s ia der-li ére lévision, les soldata «gricnlicora el onvrlersï;.r coles des classes de réserve et ten itoriatcsscdent mis en sursis d>psel <-nccmntcnpsnt p»rJes pius ancienries clssres et tout submi que lesb.' s.iins de la défecse uatior.sie ie perraetirunt.— 2' Commission : Rspport da M. Doutreieandemandant quo le gouvernement pn n»e tou-'esles mesnres nécessaires pour assurer l'approvi-sioi nvment en' cbarbon des usiaes d'èciairtge augsz et a relectricité.ie Commission : R pport de M. Geo-ges An-

crl ?ccoraact une subvection de 10,060francs augy- r:cal de Li Riviere do la Lézarde puur Ia re-I! i e en 61at de ce cours d'eau.Li session du Conseii géuéral est Icrminéa.

Métrye, lieuiencDt de port de 2« classa, atta¬ché an service da port d'Aj iccio, a été af-fecté, en la même qualité, h dater du i"m-i 1917, au servica du port du Havre, enrem place mrnt de M. Franqois Bernier, dé-missionnaire.

Utlne ik Gaz du BavreDe réceotes instructions du ministère rappei ent aux usines A g z que toute leur proauction de c-ke est exclusiveem nt reservéeanx nsines qui travaillent pour la gnerre etqne Ie grésillon et le po-issier de cobo seuispen vent ê.re livrés aux autres industries,services politics, p rticaiiers, etc.Les nsines de gurrre empioyant snrtont !ecoke brn', les osmes a g -x c issent peu ; il euréiuae que la production de grésilion et du'poossier est de plus en plus reslreinte.Ea ce qui coucerue les blauchitseuses-rc-pasienses, du grétillon sera résvr»e parpriorité et suivant les disponibiiités dol'usine è celies qui ponrront jusfifiar qu'eties travaillent pour Fat mee, ies ainbuiaccesou les hópituux.

rïae»e i IS t 8 et les Examtngtb e circulaire da ministre de Finstrnc-tioi: publique, parne mardi au Journal Offi¬cie!, règle i'appiication de i'ms ruction du18 osais dc-rr.ier coecernant les appelés dala clas>o1918candidatsa des coacours ouaux examensdesFacultés.

CIuiBibre de ('«nsunrree itu BavreAssoc at'.on N-tionale d'Expansion êconotniqu §Conférence do S3. Dopcyrat

M. Dupeyrat, mioistra pléuiputenliaire,directeur ue FAssociatioc économique, doitveni-' au Havre exposer le but ponrsuivi paree iifoapi ment.La Ciamb. ede commerce invite tous ceuxnui veui< ui la victoire écononfique de laPatrio a ar sister a ia conference qt-i anraHf t; srmcdi, 21 courant, a trois beuies pré-cisfs.-sous ia présidence do sen president,W -lo ni-fs Convert, dans la salie de Ventest'iitd'.iufs, a la Bourse (entrée par ia facadet.-c.Ber E).S

i '• i-Kf(lin=I DtiküHa l'liétiite! lutgréis lEav»1©

8. Em. le card ial Duboi?, urchevéque deR iu-o, a visité i'höpi ïf iDititatre bsige de laru e A c-lot, au Harre.L a été ree a par M. la major doctenrSn u tx a qui s étaient joints l'aumóaier dePbcpiul ct ies clbciurs da service méciical etadruioisiratif.Le uvi dinal a fait une lorgue visite et s'estCimtirnn avec de nomSuvux malades a qniil u prodigué fes encouragements. II a ad-n i'e I bonne tenue da I/établissement etr a viveioent fèlicité M. le major Smetsscs duvouca collaborateurs.

Consiilat öe RfssruègeLe présidect de la Répubiique aFexequatnr a M. Arno Harnmer,consul de Norvège au Havre.

accordénemmó

gtslfew eïe rSizes

et

Scrvrffe du PertP.-r arrfcté du ISavni pjiy a été acceptée,i ester du 10 avnl 1917, la demission de M.liüüis Hipoolyte Bony, mal.ro ee port de 4«G'assr, au Havre.J'«r atrèté de 16 avril i?17, M. Désiré

Nous avons inuonee que d.uix soblats : PierreLecomte, êgé de 29 ans, du ï« régiineat d'artilie-rie et Paul Gmllemin. dgé de ii aus, soldat su116» regiment d'iBfa.jterie, avaient étó b!essésdms la nuit du 14 »u f- avril, le premier d'uncoup de eouteaii au d ssus de Fajil droit, et lest cozd de piusit-urs coups do rasoir au cou et aupoignet.Ou avait pen.fé un niomoat que ces blessuresétaient dui-s a una rixe survonue entre les deuxmilitaires mais lVnqu- te n'a pu établir ce fait.Oo ssit seul« ment que Guiliemin, qui est undaugeri ux repris de justice, a rorfé pendant toutela soirée dans la rue Bazao, eberebaat quereliesaux passants, s'est ren-tu cht-x une tilie qu'il abrutsiisée, frappé a coups de poing et de pied etv laqué le il a vole un dessus-de-lit.L'enquête continuo.

FA ITS LOCAÜX— En verin d un raandat du juge d'instructionde Rouen. Marti; Lebaiity 28 ans, blancblsseuse,5, rue U'Oran, a été arrêtóe. Elle est incuipecd'abus de conftance.— On a retiró de Favsnt-port, prés du quai del'lle, le cadavre d'un boinmt; paraissant avoir sé-joursió six s sept sema.nes dsns l'eau.II êta.t porteur d'un iivret militaire au nom deJoseph RatiéviHe, Cé a Rouen te 24 uaai 1872 mo¬bilise au 3' escadron du train des équipages aVernon, desache le 12 juin ;9tft ?ux T éfi-eries;d'une permission de cel étahiissement su nom dece miiiiiire pour aller a Rouen le dimanclis 18février dernier.— Op.!été srrètés pour vol de cbarbon quaiColbert : Genua ne Vasse, 13 ans : Aüco Picard,ciêine age. 41. rue Bertheiol ; Abel Lainé. 12 ans,rue Turenne ; M»rcel Lepretre, 13 ans ; Aipb inseVictrr, to ans, même rue, 19 et 2t ; veuve EltseGoubaire. 8- ans, 34. rue HUaire-Goloaibel.Tous en liberie provisoire, aprés procés-verbal.— Albert Tas serie, 18 ans, journalier, 83, rueBoura.-loue, a étó arrö é pour vol de charbon etoutrages et rébeliion a l'agent Loray.Alice Malandain, 20 aas, 18, rue Franqois-Maze-line, a 6te arrétée pour vol de linge et d'uneSumme de «0 francs, au préjndica d -s époux Cre-vel, ses voisius, i8, rue Frauqois Mazeline.— Le petit Guiilaume Teiidunne, ftgé de 5 ans,8, cours de la R'-pr-I-liqué. en voulant monteriDTdi soir sur le marthe-pied d'une baladeuse detramway, sur le cours do Ia Répubiique, tombasur le sol et se frsctura la jambe gauche.— Maur ce Crevet, 29 ans, emptoyé de cheminde fer, 28, rue d'Arcole, a étó srrèté pour volde 2 kilos de fromage. Libertó provisoire.— Mme Gabrielle I.ef livro, 39 ans. receveuse ala Compagnie des Tramway, 23, rue Clovia, envouiant monter sur un car, est tombse et s'estbifssee a la main.Trsnsportée a l'Höpital Pasteur, oü l'on a dü pro-céder a l'amputation du doigt rautilo.

Ê. GlILLIRD,CHEüBSIUI-lSüïISTS,17,m Stflsffiin

THEATRES&GOjiGERTSGrztii d- Thêêlre

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TRIBUN AUXTribaaal Cc-nectic-aaelda B&vr©Audience du 18 Avril 1917Prést denca de M. Henriet, jnge

ÊPRÈS L'ACCiDLNTPour le compte ae la maison Pimare, deox oti-vriers peintres, Risudcl ei Maitin, travaillaient ie28 aovi mure a Fusine de> Exir.its Tinctorraux. liséiai- nt ïiioalés sur un échafauitage mammen pardeux écbeltes. L'une d<s éehelles se döplaca etMartin tomba de six n:è ros. II mourut de sesblessures.ce ministère public reproclte a la msieon Pimaradc n'avoir pas fait amarrer le bsut de cbaqueéehe lie, tii placé un garde corps.Le defenseur, M"Jean de Grandmaison. allégiie,au contraire, Funprudence de. Martin qui d. vaitlui Diéme pretidr.-.-st-s precautions, étant cbifdutravail a ex ca er. Un expert censUta qu'il sva.ttou- le mstériel nécessaire pour ce toe. La taai-soa Pimare ett acquitiée.

TRGPDEZÈLEA Noël dernir-r, un yc-une soldat, fü3 dun culti-Valetir de Saioneville. etait atl» dire sdieo i sesp irents svant de paitir pour Salonique. Sou fréreél-'il aussi venu en permission du f on-. Apre-, lorepss do familie, les deux poitus proposèrent unepartie do cfrssse.Le père fit remarquer qu'il n'avait pas de per¬mis, mais eödaut a Is p ière ce deux gats. ilaccepts d'allcr lieer un tievre dans ses lerres. Lesceux pollus s'embusqaérant prés de la ferm , tan¬dis que le pére et son gendre faisai. nt ie rabü.D- gibier. lts ne trouvér. nt point, ei c'est aa mo¬ment oü ils retournair-nt bredouiile a ia ferme,en iraversant. pour couper coart, une baude determ appartenant a M. de Prez Crassier, que Iegarde zelé de ce propriétaire leer vint dresserprocés-verbal. Certes. les deux hommes pou-v»i?nt étre cons'dérés en action de <hisso ille¬gale. Mais ne pouvsit-on agir avicun pcu plusd'fgard pour deux poilus qui n'avaient tien tué etqui paitaieot lo lenderoain peut êtiv pour se faireluer enx-uiêmes d ns ie but de dófendre le solqu'üs avau-nt <-sé foub-r ?Le propriétaire rectamait 200 francs de dom-mages-int- réis, plus une condamn ttlon pour ledédi de chasse.Le Tribunal a heureuserr.ent redressé les cho-sea. II s, pour principe, condamné les deünquantsseulernent o 89 f-:ai;c■d'amenne. en leur accor¬dant la loi de sursi?. I s ne vorseroct aussi queïti f ui c* de dommagcs-iniéréls.M»tean ('e Gr -ndmaison r-our les prévesus etM*Toussaiat pour M, de Prez-Crassier.

F,a fin d'audience. Ie Tribunal a exrminé le déiitde vol par rerel d'une grande quaotite de inar-chwdi.-es par Conll. el >a f; mme. rest»a;et<-ursrue eu Général-Gbanzy. On se rappe Ie qu- G oulta déja eté cooriamné dans Faffair des Abattoirs.Le jugemen! sera rendu merciedi.

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Li KERKIESi vous soufifrez d'nno hernie, persuadnz vottsque vous étes «ttelnt d'uce mlirmité grave qu'iiimpotie de combaltresans retard dés qu'elie aété constaiée.Souven z-vous qne de tous les traUements enusage, souls, Ie-- nouveaux Appareils pneu-matiques et sans ressort it-ventes par Ie re-nou-nié Siécteliste de Paris M A CLAVERIEprésentent, outre le téuioignage de leur renom-móe nniverselle, nne cfflcscité tonjonrs scrupn-leusement garantie, et sent appliqués avec toutela compétence nécessaire Stlon cüaquo cassoi mis.Rurpelez-vous que Senls, les appareils CLA¬VERIE appl-qués dans (out I'onivers a plus deSmDIions de b'essés sont or-ionnés journeUe-ns23fitpar plus de B.OOO Docteurs médecins,a cause de ia perfi-cuon »vt c icquelie its a-su-rent la rédurtloo parf ite de tous les caa debernies, même de ceux qui semntaient jusqu'icimeur bles ei tics---péi ésSivous voubz vous debarrasser de cette donlon-renseinfirmité, nemanquez done pas de profit-r dupassage dans notrerèrion de M. A. CLAVERIEqui recevra dans les villes snivanies en prodi-guant graciensf mentaux blessés l<s bons conseilsde si brute experience professionneile.M. A. GLAVèRIE sera visible de 9h. A4b.A:Féeamp, samedi 21 avril, Hólel Caichy.' E havre, diiuanme 22 et lunui 23 avril,Hotel des hèyociants (5. rue Corneille).Itolhcc. ut rdi 2». tlót l de Fecamp.Yveiot, rnercre, i 25, Hotel des Victoire».Itou ii, vendredi 27, samedi 28 ttdimanche 29avril, Hotel dc» Carmes /place des Garmes).Csintures vect'ières perfeationnéas pourtoute3 les déviations de3 Organes de lafemm?. - Eas pour variees — Chaussuresortbopédiques. — Jatunes et Bias aitificiolsKatura. Aupsieils les plus perftciionnes ouii x-s ent au monde.M A CLAVERIE spécialiste breveté,234Fau-.ourg St-Martin, Paris. R (4 49,

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Priez Dieupour le repos de son Ame!II ne sora pas envoyé de lettres d'invi !tation, ie présent avis eu tenant lieu.

M'ii reemis MASSAT ;Le doeteur DU PASQU/ER, aa front, et M»*Edouard DUPAS0UIER;hifi!. Guy ei Gérard DUPASQU/ER;0"' Nicolle DUPASQU/ER,Rem. rcie i l- s p. i .-onnes qui opt bien voulnassister aux convoi, service et inhumation deMadame Charles MASSAT

Gravllle-Sainfe-HonorlneAllocations asx famlüas nieessttsasss. — Lesallec ttons aux families néci-ssitetrses dont i'in-dispensable soutien est mobiiisé s.-ront payees,pour la période d-i 2 su (7 «vii; inclus, ieyemtreiii so avril, Saite des Fèies, a partirde 7 he-ires du matin, dans l'ordre des ccriifi-cat- d'.dm-jsion :Du r.« ! a 2 800 Ie nutinDu r.° s,8 I a la fin, ie soir.La Perception, 34, u.»ute Nitioaale, sera ferméole möme jour.Etsnt dqnnè ia pénurie de monnxie, b-s bénrfi-Cisir.-s de i'nl oeation militaire sonl priés d'appor-ter 1appoint pour p ufaire la somme de 5 francs.

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L'Adminiatrateur-Oéleoui-Gérant : O. RAStnot.ET

Vupar Nous,Maire de la Villedu Havre,pour la légatisation de la signature0. MNDOLET, afpaste