press review - amazon s3 · 2018-11-12 · mvp de la saison. «et cela fait du bien de savoir...

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PRESS REVIEW

08.05.2018

Date: 08.05.2018

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«Clint Capela n'a pas toutle crédit qu'il -ériterait»

NBA Houston a dominéUtah Jazz 87-110 dansl'Acte IV de la demi-finale de ConférenceOuest. Le Genevois a étéphénoménal.

Clint Capela a peut-être li-vré le meilleur match de sacarrière. Il a, en tout cas,écrit une page d'histoireavec ses cinq contres lorsdes 159 dernières secondesde la partie. Jamais depuisvingt ans en NBA, unjoueur n'était parvenu àréussir cinq contres lorsdes trois dernières mi-nutes d'un match. Aprèsson dernier contre face àJoe Ingles, James Hardens'est précipité vers lui pourle féliciter. «Clint est notresocle, en quelque sorte,souligne celui qui sera trèscertainement le MVP de lasaison. Et cela fait du biende savoir qu'un joueurcomme lui endosse ce rôle.Il n'a pas, je pense, tout lecrédit qu'il mériterait.»

Dimanche, Capela, avecses 12 points, ses re-bonds, ses 6 contres et ses2 interceptions, a dominé

Rudy Gobert. Il condamneainsi le Français à resterprès du cercle et à ne paspouvoir apporter le sou-tien défensif qu'il devraitsur Chris Paul et JamesHarden. Ainsi, Chris Paula pu inscrire 27 points.«Dans un match, il y abeaucoup de choses qui sepassent sur le terrain etqui ne se traduisent pasdans les statistiques, sou-ligne Chris Paul. Deschoses qui montrent com-bien Clint est importantpour nous.»

Les statistiques du Ge-nevois dans ces séries sontphénoménales: premiercontreur avec unemoyenne de 2,56 contrespar match, deuxième re-bondeur avec 13,0 prisesderrière Towns (13,4) etdeuxième joueur le plusadroit sous le panier avec0,632% de réussite derrièreGobert (0,667%). -ATS

Selon son coach,le No15 des Rochets

pourrait devenirl'un des tout meilleurs

pivots de la NBA. -EPA

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Date: 08.05.2018

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Yannick Buttet àla tête de MontheyBasketball Yannick Buttet(39 ans) succède comme prévu àChristophe Grau au poste de prési-dent du BBC Monthey. L'ancienconseiller national PDC a été élupar acclamation au cours d'une as-semblée générale extraordinaire.Les finances du club seraient assai-nies. «C'était l'une des conditionspour que j'accepte ce poste, afind'envisager l'avenir avec sérénité,a précisé le politicien. J'espère pou-voir amener mon réseau afin de lemettre à disposition du club.» ATS

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Date: 08.05.2018

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Union veut «finir le travail»ce soir face à Massagno

BAS KETBALL Après leur prestation aboutie de samedi, les Neuchâtelois ont la possibilité de «plier» la sériedes quarts de finale de SB League à la Riveraine, dès 19h30. Pour obtenir le droit de défier Fribourg Olympic.PAR [email protected]

Bryan Colon (à gauche, marqué par Alexander Martino) a brillé samedi. Une performance à rééditer ce soir. ARCHIVES LUCAS VUITEL

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Date: 08.05.2018






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Tout le potentiel quel'on pressentait du côtéd'Union commence àse concrétiser. Et du-

rant la meilleure période: lesplay -off.Toutefois, avant de se projetervers la demi-finale face à Fri-bourg Olympic, il convient de«finir le travail» face à Mas-sagno, lors d'un match à la Ri-veraine dont le coup d'envoi(19h30) sera donné par le mi-lieu de terrain xamaxien MaxVeloso. Les Tessinois se retrou-vent dos au mur: menés 2-1dans la série au meilleur descinq matches, ils seront en va-cances en cas de défaite.

Samedi, nous avons fourni

une excellente performance.

Peut-être la meilleure

de la saison."NII(SA BAVCEVIC

COACH D'UNION NEUCHÂTEL

Ce qui, du côté neuchâtelois,est davantage qu'un souhait.«Samedi, nous avons fourniune excellente performance.Peut-être la meilleure de la sai-son», note le coach unionisteNiksa Bavcevic. Avec l'espoir,de rééditer une telle presta-tion, même si la continuitén'est assurément pas le pointfort des Neuchâtelois cette sai-

son. «C'est vrai», concède lecoach, «mais globalement, j'aile sentiment que nous progres-sons. Nous bénéficions de da-vantage de stabilité. La pausede 15 jours avant le début desplay-off nous a permis de bienmettre en place certains fonda-mentaux que nous parvenonsà mettre de plus en plus sou-vent en application en match.C'est réjouissant.»Ce trend favorable est de trèsbon augure pour la suite de lasaison, même si l'entraîneurrefuse de se projeter au-delà dumatch de ce soir. «Peu importenotre nette victoire de samedi(réd: 91-67), Massagno resteune équipe redoutable, qu'ilne faut en aucun cas sous-esti-mer», poursuit le technicienbelgo-croate.

Sans Maruotto en formeEffectivement, si on regardel'ensemble de la saison, le bi-lan entre les deux équipes estencore à l'avantage des Tessi-nois, qui comptent quatre vic-toires pour trois défaites.Même si celle de ce soir leurserait fatale. «Depuis un mois,on ne joue que contre Mas-sagno (réd: la dernière rencon-tre du championnat régulierétait déjà face aux Tessinois),donc chacun connaît les for-ces et faiblesses de l'autre. En-core une fois, la clé de la ren-contre sera la qualité de la

défense. Parvenir à maintenirMassagno en dessous des 70points a constitué une sacréeperformance. Il sera difficilede surprendre l'adversaire,mais on va quand même es-sayer de trouver l'une ou l'au-tre astuce inédite. On parle làde détails, mais ils peuventfaire la différence.»Surtout qu'Union sera privéd'un de ses hommes en formedu moment: Mikaél Maruotto,MVP samedi, suspendu à lasuite d'une faute disquali-fiante, au même titre que leTessinois Oliver Hüttenmoser.«Indiscutablement, la perte estplus importante pour nous. Mi-kaél Maruotto a bien progresséà l'entraînement, notammenten phase défensive, ce qui m'apoussé à lui accorder plus detemps de jeu. Et il a répondude très belle manière. Dom-mage de le couper dans sonélan. Même si, évidemment,nous avons les moyens de ga-gner sans lui.»Le coach a d'ailleurs appréciéd'autres belles performancesindividuelles, comme celles deMilovan Rakovic et, surtout, deBryan Colon. «Il a réussi undouble-double (10 points et 10passes décisives), c'est remar-quable. Mais ce qui m'a davan-tage séduit, c'est la qualité denotre jeu collectif. Il s'agit de lavoie à suivre pour aller loin.»

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«Nous ne sommespas au mieux»

Massagno n'a plus le choix:s'ils veulent rester en vie, lesTessinois doivent battreUnion ce soir à la Riveraine.«Nous aurons une chance degagner uniquement si nousréussissons un match par-fait», estime le coach RobbiGubitosa. Autrement dit, uneprestation diamétralementopposée à celle de samedi.«Nous sommes 'restés dansle bus'. Nous avons oublié dedéfendre.»S'il ne s'avoue pas vaincu, lecoach tessinois n'est pas par-ticulièrement optimiste.«Malheureusement, nous nesommes pas au mieux durantces play-off. Les blessures deRoberson et Ongwae lors del'acte I n'ont rien arrangé. Avecnotre contingent limité face àdes Neuchâtelois sur la penteascendante, ce sera très dur.Nous donnerons tout, mêmesi nous avons déjà réussi unetrès belle saison.»

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Pluie de louanges pour Clint CapelaLe Genevois de Houston a réussi une perf mémorable face à Utah.

Clint Capela (à droite) a dominé Rudy Gobert et Joe Crowder, des UtahJazz. Houston est tout près de la finale de conférence. KEYSTONE

Clint Capela recueille bien deshonneurs au lendemain de saperformance lors du match IVde la demi-finale de la Confé-rence Ouest entre Houston etUtah. A Salt Lake City, le Gene-vois a peut-être livré lemeilleur match de sa carrière.Il a, en tout cas, écrit une paged'histoire avec ses cinq contreslors des 159 dernières secon-des d'une rencontre rempor-tée 100-87 par les Rockets. Ja-mais depuis vingt ans en NBA,un joueur n'était parvenu àréussir cinq blocs lors des troisdernières minutes d'un match.

Après son dernier contre face àJoe Ingles, James Harden s'estprécipité vers lui pour le félici-ter. «Clint est notre socle enquelque sorte», souligne celuiqui sera très certainement leMVP de la saison. «Et cela faitdu bien de savoir qu'un joueurcomme lui endosse ce rôle. Iln'a pas, je pense, tout le créditqu'il mériterait.»Dimanche, Clint Capela, avecses 12 points, ses 15 rebonds,ses 6 contres et ses 2 intercep-tions, a dominé Rudy Gobert. Ilcondamne le Français à resterprès du cercle et à ne pas pou-

voir apporter le soutien défen-sif qu'il devrait apporter surChris Paul et James Harden.Ainsi dimanche, Chris Paul ainscrit 27 points. «Dans unmatch, il y a beaucoup de cho-ses qui se passent sur le terrainet qui ne se traduisent pas dansles statistiques», souligne ChrisPaul. «Des choses qui montrentcombien Clint est importantpour nous.»Clint Capela s'avance toutefoisvers l'acte V aujourd'hui, lapremière des trois balles dematch dont bénéficient lesRockets, avec des statistiques

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phénoménales dans ces play-off: premier contreur avec unemoyenne de 2,56 contres parmatch, deuxième rebondeuravec 13 prises et deuxièmejoueur le plus adroit sous le pa-nier avec 63,2% de réussite der-rière Gobert (66,7%).«Clint est le pivot idéal pour lejeu moderne», se félicite soncoach Mike D'Antoni. «S'il de-

vient plus endurant, il s'affir-mera comme l'un des toutmeilleurs pivots de la NBA.» Ilsemble tout près d'y parvenircomme le démontre sa fin dematch dimanche. Alors qu'ilne restait plus que quatre mi-nutes à jouer, Clint Capela afait part à son banc de son désirde souffler quelque peu.Mike D'Antoni a demandé un

temps mort et s'apprêtait à in-troduire un remplaçant avantque Capela ne lui dise de nepas s'inquiéter. «Les deux mi-nutes du temps mort furentamplement suffisantes poursouffler», lâche-t-il. J'étais prêtpour revenir sur le parquet.» Etpour voler un ballon à RaulNeto avant de réussir ses 5 con-tres «historiques». ATS

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La Liberté1705 Fribourg026/ 426 44 11www.laliberte.ch





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A la recherche de son efficacité

SÉRIE NOTRE AVIS

ElficFribourg

>80% >20%

Basketball » Battu sur le filsamedi lors de l'acte III de lademi-finale des play-off, ElficFribourg doit retourner ce soirà Bellinzone pour disputer unquatrième match. L'enjeu pourles Fribourgeoises est le mêmeque samedi: arracher un troi-sième succès afin de valider leurbillet pour la finale de SBLeague, où Troistorrents les at-tend déjà. «Cela s'annonce en-core une fois compliqué», soufflel'entraîneur Laurent Plassard,qui doit toujours composer avecune Nancy Fora très diminuéepar un dos bloqué. Il récupèreen revanche Yeinny Dihigo Bra-vo de retour après avoir purgé

ses deux matches de suspensionconsécutifs à sa bagarre avecLetizia Bordoli à la fin du pre-mier match de cette demi-fi-nale. «Cela va nous faire du biendans le secteur intérieur oùnous n'avions plus la moindrerotation.»

Pour éviter une nouvelle dé-convenue, Elfic a intérêt à haus-ser le ton en défense. «Samedi,nous avons encaissé 41 pointsen 1" mi-temps. C'est trop»,tonne le coach. Un succès pas-sera aussi par davantage deréussite en attaque. «Bellinzonenous laisse beaucoup de placepour shooter. Malheureuse-ment, jusqu'ici, nous n'en avonspas profité», regrette LaurentPlassard. » FR

SB LEAGUE DAMES

Play-off. Demi-finales au meilleur des5 matches. Acte IV:Bellinzone - Elfic Fribourg ce soir 20 h 30

SÉRIE NOTRE AVIS

ElficFribourg

80% > 20%

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La Région Nord vaudois1401 Yverdon-les-Bains024/ 424 11 55https://www.laregion.ch/





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BASKET- PLAYOFFS 2L MASC.

Yverdon accèdeaux demi-finalesVainqueur de Morges/Saint-Prex III en quarts de finale 2-1,grâce à une ultime victoire64-56 obtenue jeudi, Yverdons'est qualifié pour le derniercarré du championnat. L'USY endécoudra avec Belmont, dès cesoir à l'extérieur, pour une sérieau meilleur des trois matches.Le deuxième acte aura lieu lundidans la Cité thermale. (F. V.)

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Le Matin1001 Lausanne021/ 349 49 49www.lematin.ch





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LA RENCONTRE DE SA VIENBA Clint Capela recueillebien des honneurs au lende-main de sa performance lorsdu match IV de la demi-finalede la Conférence ouest entreHouston et Utah. À Salt LakeCity, le Genevois a peut-êtrelivré le meilleur match de sacarrière.Il a, en tout cas, écrit une paged'histoire avec ses cinq con-tres lors des 159 dernières se-condes d'une rencontre rem-portée 100 -87 par les Roc-kets. Jamais depuis vingt ansen NBA, un joueur n'étaitparvenu à réussir cinq contreslors des trois dernières minu-tes d'un match. Après sondernier contre face à Joe In-gle, James Harden s'est pré-cipité vers lui pour le féliciter.«Clint est notre socle enquelque sorte, souligne celuiqui sera très certainement leMVP de la saison. Et cela faitdu bien de savoir qu'un joueurcomme lui endosse ce rôle. Iln'a pas, je pense, tout le créditqu'il mériterait.»

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Dimanche, Clint Capela, avecses 12 points, ses 15 rebonds,ses 6 contres et ses 2 inter-ceptions, a dominé Rudy Go-bert comme il avait dominéKarl-Anthony Towns lors dela série face à Minnesota.«Clint est le pivot idéal pourle jeu moderne, se félicite soncoach, Mike D'Antoni. S'ildevient plus endurant, il s'af-firmera comme l'un des tout

meilleurs pivots de la NBA.»Il semble tout près d'y parve-nir comme le démontre sa finde match dimanche. ATS

NBA. Play-off (best of 7). Quarts definale. Conférence ouest: Utah Jazz(5e de la qualification/sans Sefolosha/blessé) - Houston Rockets (ler/avecCapela/12 points) 87-100; Série 1 -3.New Orleans Pelicans (6e) - GoldenState Warriors (2e) 92-118; Série 1 -3. LNA. Play-off, quart de finale.

Aujourd'hui:19 h 30 Union NE - SAMMassagno. Union NE mène 2-1dans la série (best of 5).

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Date: 08.05.2018

Le Nouvelliste 1950 Sion027/ 329 75 11www.lenouvelliste.ch





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Un nouveau présidentpour tourner la pageBASI(ETBALL Yannick Buttet et son comité ont été plébiscités lors del'assemblée extraordinaire du BBC Monthey. Ils veulent aller de l'avant.

PAR [email protected]

Yannick Buttet a été élu à l'unanimité hier soir lors de l'assemblée extraordinaire du BBC Monthey. FRÉDÉRIC DUBUIS

MN

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Le cauchemar est oublié.»((Mieux que personne, Ré-gis Udressy est apte à ju-ger des mots à utiliser

pour qualifier les derniers moisvécus par le BBC Monthey. Hiersoir, à 20 h 35, les membres etamis du club chablaisien ontchoisi, à l'unanimité, d'asseoirYannick Buttet dans le fauteuilde président des Sangliers.«Maintenant que le train est denouveau sur les rails, je mettraitoute mon énergie pour le faireavancer», précise le nouvelhomme fort du BBCM. Ce der-nier succède donc à ChristopheGrau, absent de l'assemblée àcause d'un séjour à l'étrangermais présent par l'intermé-diaire d'une vidéo. La salle desGouverneurs, garnie de 80 per-sonnes, a affiché une véritablevolonté de tirer un trait sur lepassé, sous les yeux du prési-dent de Swissbasketball, Gian-carlo Sergi. Celui-ci a d'ailleursannoncé que «d'après ses sour-ces, il y avait très peu de chancesque le BBC Monthey n'obtiennepas sa licence pour la saison pro-chaine».

Le soutien précieuxde Régis UdressyDans l'assemblée et en ville deMonthey, le nouveau rôle deYannick Buttet n'est d'ailleurspas remis en cause. Les fidèlesdu BBC Monthey attendaient unsuccesseur pour ChristopheGrau, peu importe son identité.«Bien sûr que le nom m'a sur-pris au premier abord», souligneJean-Emmanuel Dely, sponsoret supporter des Sangliers.«Mais ce choix se justifie, aprèsréflexion. Il n'y avait pas800 candidats qui se pressaient

au portillon non plus.» Si la sur-

prise a été générale pour nos in-terlocuteurs, la candidature duprésident de Collombey-Murazn'a été que rarement remise enquestion. «Bien sûr que Mon-sieur Buttet a une image à ra-cheter, mais l'important était detrouver une personne compé-tente pour ce poste et il est unepersonne compétente», com-mente Gilbert Gay, responsablede la caisse du BBC Monthey. Ce-

Maintenant que le train

est de nouveau sur les rails,

je mettrai toute mon énergie

pour le faire avancer."YANNICK BUTTET

NOUVEAU PRÉSIDENT DU BBC MONTHEY

lui qui a également porté les cas-quettes de joueur et de prési-dent estime que l'ancienconseiller national possède unsoutien de poids au sein mêmede la nouvelle structure. «Si RégisUdressy pense que Yannick But-tet est la personne qu'il fautpour le club, alors énormémentde gens seront d'accord avec cepoint de vue.» «Si j'avais voulume racheter une conduite, j'au-rai trouvé d'autres moyens», arappelé Yannick Buttet.Du côté de la municipalité,Gilles Borgeaud, conseiller com-munal, s'avoue simplement«heureux que le club continue.C'est la seule chose qui m'im-porte en tant que citoyen et res-ponsable des sports.» Même si,de son point de vue de politi-

cien, il estime «aberrant» qu'unprésident de commune s'en-

gage dans un club. «Il y aura for-cément certains conflits d'inté-rêts et il faudra parvenir à les gé-rer.»

Un néophyte bien entouréMais en dehors de ces considéra-tions politiques, même le passédistant avec le basket de Yan-nick Buttet ne semble pas af-fecter plus que cela les avis dessuiveurs du BBC Monthey.L'homme a d'ailleurs lui-mêmeconfessé qu'il n'était pas un sup-porter assidu des jaune et vert.«C'est sans doute un mondequ'il ne connaît pas», estime Mi-chel Amacker, ancien physio-thérapeute et président des San-gliers. «Mais il peut réussir.faudra simplement qu'il s'en-toure des bonnes personnespour éviter de se retrouver seulaprès trois mois.» Un isolementqui avait poussé son prédéces-seur au bord du gouffre. «Il y aclairement eu un déni de réalitéde la part de Monsieur Grau, ladette était abyssale. faut main-tenant que les explicationssoient complètes afin d'éviter decommettre les mêmes erreurs.»

Une nouvelle structurepour la pérennitéDans ce but, bon nombre deproches du BBCM s'accordent àdire que la structure et la men-talité du club doivent être tota-lement revues. «Le côté basketet le côté administratif doiventêtre séparés», s'exclame GilbertGay. «C'est un trop gros navirepour être géré sans des structu-res adéquates.» Et la nouvelleéquipe semble l'avoir compris,en instaurant un comité et uncomité de soutien. «Il y aura

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aussi un énorme travail à faireau niveau du mouvement ju-nior et de l'aspect social, et Yan-nick Buttet aura un rôle impor-tant à y jouer», commenteMichel Amacker. Le mouve-ment jeunesse du club chablai-sien est, il est vrai, quasiment àl'agonie. «L'accent doit être missur les jeunes si le club entendassurer sa pérennité», com-plète Gilles Borgeaud. Une pé-rennité que beaucoup atten-dent pour le BBC Monthey,après des derniers mois bientrop chargés en sensations for-tes.

Un comité complètement remanié

A compter d'hier soir, le BBC Monthey peut s'appuyer surun comité remanié. Au coeur de celui-ci demeureront quel-ques anciens membres, à savoir: Marc Bossert, DanielDupuis, Mathieu Couturier et Grégory Dos Santos. Ilsseront rejoints par leur nouveau président, Yannick Buttet,qui sera secondé par le municipal montheysan Pierre Con-tat et par Jean-Charles Boemi. Ce comité sera chapeautépar un comité de soutien - dont feront notamment partieRégis Udressy et Christophe Grau - qui sera chargé d'analy-ser les finances du club et d'éviter les déboires du passé. Lenouveau président a affiché la volonté «de recréer un clubfamilial et de remettre les jeunes au centre du projet». AD

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Le Quotidien Jurassien2800 Delémont032/ 421 18 18www.lqj.ch





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BASKETBALL SWISS BASKETBALL LEAGUE

«La saiso es ré ssie»

Le BC Boncourt a montré de belles qualités offensives durant l'exercice 2017/2018. Ce fut moins bon en défense.

Battu en trois matchespar Lugano en quartde finale des play-off,le BC Boncourt a dû tirer -à peine trop vite - le rideausur sa saison samedi.

L'entraîneurRomain Gaspoz se déclareglobalement satisfaitdu parcours réalisé.

Le BC Boncourt s'était pro-mis de retrouver les play -off.Avec pour la première fois Ro-main Gaspoz à la barre, il y estparvenu sans trop de difficul-tés. Sans non plus pouvoirvraiment en profiter, puisqueLugano, qui a réservé auxAjoulots une «anormale sur-prise» en se renforçant en der-nière minute avec l'arrivée del'Italo-Suisse Patrick Baldas-sarre, a écarté les Ajoulots par

le plus court des chemins. Letroisième et dernier acte de lasérie reste aussi en travers dela gorge avec notamment lasuspension de Kaanu Olaniyi.Le coach en a nourri à chaudun sentiment d'inachevé,mais à l'heure du bilan global,la satisfaction revient vitetranspirer dans ses propos.

«L'appétit vient en man-geant. On a créé une certaineattente autour du groupe. Cel-les des fans sont devenues

PHOTO ROGER MEIER

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grandes, peut -être trop», ana-lyse Romain Gaspoz. «Dansl'ensemble, on a fait une bon-ne saison, elle est réussie.»Tous les hommes ou presquedu contingent ont progressé etsept mois durant, le BC Bon-court a affiché de belles quali-tés offensives.

«La défense a été notrepéché mignon»

La défense? «Il ne faut passe cacher, elle a été notre pé-ché mignon», répond le tech-nicien valaisan. «On a été unpeu fébrile. On avait desjoueurs avec des profils offen-sifs.» Qui sont certes un peudans l'air du temps, puisque«le basket évolue un peu dansce sens-là». Il n'en demeurepas moins qu'«il nous fautune meilleure assise défensi-ve». En comparant le pedigreede son équipe avec celui desgrosses cylindrées, RomainGaspoz remarque aussi«qu'on a quand même man-qué d'athléticité» et accusé undéficit dans la vitesse et la mo-bilité.

Quid de la saison prochai-ne? On sait déjà que RomainGaspoz, à qui il reste encoreune année de contrat (avec op-tion pour la suivante), seratoujours aux commandes. Sonassistant Nicolas Pérot pour-suivra aussi l'aventure. Ducôté des joueurs étrangers, letopscrorer du championnatBrandon Brown en particuliermais aussi son compatrioteaméricain Amir Williams(meilleur rebondeur de la li-gue), dont les salaires vontprendre l'ascenseur, ne pour-ront pas être conservés. L'ave-nir du Lituanien Raimundas

Danys et celui du troisièmeAméricain, Auston Calhoun,seront étroitement liés au re-crutement des joueurs suis-ses. À ce titre, la volonté duclub est de tous les garder, sa-chant que cela sera pratique-ment impossible. «Ils ont touspris de la valeur sur le mar-ché», note Romain Gaspoz.

Marion Kesslerrepart pour un tour

Première bonne nouvelle:une entente a déjà été trouvéeavec le prometteur MarionKessler. La deuxième prioritédu BC Boncourt est l'intérieurKaanu Olaniyi. ConcernantMarc Seylan et Jurai Kozic,tout reste ouvert. Amir Savona manifesté son intérêt à resteren Ajoie, mais en commen-çant une formation en parallè-le. Enfin, le club essaiera deplacer ses jeunes Travis Lan-denbergue et Djo BerthiM'PuW sur le chemin de laprofessionnalisation, en ter-mes d'heures d'entraînements'entend.

La question d'un retourd'Alexis Herrmann, le Bon-courtois de coeur qui a porté lemaillot des Starwings bâloisces deux dernières saisons, sepose aussi. «Des Jurassiensqui ont le niveau, il yen a quel-ques-uns, dont lui. Si on al'opportunité de le faire reve-nir, ce serait intéressant», dé-taille Romain Gaspoz, qui rap-pelle le contexte général. «No-tre projet ne changera pas,c'est le seul qu'on peut porterdans le Jura au vu du budget:engager des joueurs jeunes etleur donner du temps dejeu.» FRÉDÉRIC DUBOIS

Frédéric Dubois

Tout saufle dessertLes plats servis par le BCBoncourt cette saison?Toutà fait digestes et même plu -tôt savoureux avec une qua-lification pour les play-off deSwiss Basketball League et unjoli bonus sous forme d'acces-sion au tour intermédiaire su-périeur qui a réuni les six meil-leures brigades. La Red Team a

bien cuisiné les «petits» adver-saires de sa division. Elle nes'est trompée dans les ingré-dients qu'à une seule reprise:contre les Lucernois de SwissCentral, juste avant la bascule

dans la nouvelle année. Globa-lement, l'entrée et le plat prin-cipal reçoivent donc la men-tion «très bien».

Pour son premier exerciceaux commandes de l'équi-pe, l'entraîneur valaisan Ro-main Gaspoz a mitonné un jo-.lit petit groupe. Qui a alternéle chaud et le froid lorsqu'ils'est mesuré aux ogres: capa-ble de résister longtempscomme de voler en éclats et dese faire engloutir. C'est déjàfaire la fine bouche, mais il res-te également ce constat légè-rement amer: en play-offcomme durant la saison régu-lière, le BC Boncourt a cherchéà créer un exploit qui s'est tou-jours refusé à lui. À une excep-tion près là aussi: une victoirecontre Genève dans un match

Frédéric Dubois

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agréablement pimenté maisqui n'était alors pas capital.Dans ce menu où-le BC Bon-court a donc privé ses sup-porters de dessert, le sel a étéle meneur et génial scoreuraméricain Brandon Brown.Rarement on avait vu desmains aussi talentueusess'installer des mois durantdans le chaudron.En résumé, tout cela nous amis en appétit. Vivement cetautomne!

Trois questions à

Paul VallatCoprésident du BC Boncourt

Paul Vallat, qui partage la présidence avec StéphaneBrugnerotto, affiche un sourire plutôt éclatant auterme de cette saison qui a vu le BC Boncourt retrou-ver les play-off.

Quel bilan tirez-vous de la première saison deRomain Gaspoz à la tête de l'équipe boncour-toise?

Il est très positif, d'une part par les résultats et l'at-teinte des objectifs. Il est sûr qu'il y a la déception dene pas avoir gagné un match contre Lugano, maiscela n'occulte pas la bonne saison qu'on a réaliséeavec cette équipe jeune et qui est restée solidaire.Elle nous a apporté de l'émotion. On attendait deRomain qu'il arrive avec des idées et une philosophiedifférentes, qu'il nous permette de faire un pas sup-plémentaire et je pense que cela a été le cas. Il nous

apporte une qualité et une rigueur très appréciées. Il

a été capable de former un groupe et de le relancerquand c'était nécessaire. Il vit totalement basket: ilse lève basket le matin, il se couche basket le soir et ildoit encore probablement rêver basket la nuit!

Le BC Boncourt a obtenu sans problème sa li-cence A pour la prochaine saison. Quel sera lebudget?

Il est un peu prématuré de donner un chiffre. Il y auraune assemblée générale en juin et il faudra voir si elle

le valide. On va repartir surdes bases proches de cette

année. Pour la première

équipe, le budget était de650 000 francs. Sur les projections qu'on a au-jourd'hui, le prochain sera similaire ou légèrement in-férieur. Les ambitions resteront les mêmes: former dejeunes joueurs suisses et, en termes purement spor-tifs, ce sera clairement de participer aux play-off.

Les autorités de Boncourt ont récemment af-firmé leur ferme volonté de conserver le chau-dron dans leur village et leur crainte de voirleur équipe de basket s'en aller. Votre réaction?

Elle est évidemment très positive. On sait depuis plu-sieurs années que la ligue nous demande d'avoir unesalle qui doive correspondre aux normes de la FIBA. Il

y a déjà eu, il y a quelques années, un investissement

conséquent de la commune au niveau du panneaud'affichage. Il reste la problématique de la surface etde la longueur. Notre ADN est à Boncourt, l'esprit duclub est dans le chaudron. Les autorités ont affichéleur volonté de le garder ici et c'est quelque chose detrès précieux. On ne peut rien faire sans un partena-riat étroit. Il y a eu une séance avec la SB League, le

conseil communal et le club et très rapidement, lemaire a fait des démarches. C'est vraiment très ré-jouissant. FD

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4 airDepuis qu'il a intégré la ligue américaine en 2014, le Genevois (numéro 15) de Houston a su progresser au point de deveni un atout capital pour son équipe. (BILL BAPTIST/GETTY (MAGES/AFP)

Clint Capela plane sur la NBAÀ VENIR

Une finale contreGolden State?Dans la nuit demardi à mercredi,Houstona la possibilitéde remporter Lequatrième matchqui le qualifieraitpour la finalede Conférence.

Le scénarioLe plus probableserait queLes coéquipiersde Clint Capelaaffrontent alorsLes Golden StateVVarri ors,

qui mènentégalement 3-1contre Les Pelicansde La Nouvelle-Orléans. L. FE

BASKETBALL Le pivot genevois apris une part importante dans la vic-toire de Houston en Utah (87-100). Sonautorité sous Les panneaux impres-sionne et pourrait conduire les Rocketsvers le titre

@LaurentFavre

Un match de NBA, plus encore lors-qu'il compte pour les play-off, estd'abord un rapport de force. Les sys-tèmes et le jeu collectif y tiennent biensûr une part importante mais c'estsurtout une affaire d'hommes, unequestion de personnalités. Les carac-tères dominants émergent, portés parle symbole et la statistique.

A ce jeu très américain, un Suisseest en train de se bâtir un nom, uneréputation et, qui sait, un palmarès.Clint Capela, 23 ans, né à Genève, brilleau pays des hommes forts et guide

Houston vers une finale de Conférencetrès attendue contre Golden State. Aprèsleur victoire dimanche soir en Utah (87-loo), les Rockets mènent 3-1 dans leurdemi-finale face au Jazz. Le pivot gene-vois a marqué 12 points (6 sur 11 au tir),pris 10 rebonds défensifs et 5 offensifs,réussi 2 passes et 2 interceptions.

L'hommage à Mutombo

Mais puisque la NBA est un mondede symboles et de statistiques, un faitde jeu a impressionné l'Amérique dubasket plus que tout autre. Six fois,Clint Capela a contré un tir adverse,dont cinq fois dans les trois dernièresminutes du match, celles que les spécia-listes qualifient de money tinte. Sur le pre-mier de sa folle série, infligé à DonovanMitchell, le Genevois, visage mutique, afait «non» avec l'index de la main gauche.

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On ne passe pas. Les spécialistes y ontimmédiatement vu une référence augrand Dikembe Mutombo, légendairepivot des Rockets, lui aussi d'originecongolaise, qui faisait le ménage sous lespanneaux en indiquant que la zone étaitpropriété privée. «Je suis un grand fan deMutombo, confirma le Suisse après sonmatch à l'envoyé spécial de L'Equipe. C'estun hommage à son fameux «not in myhouse» (pas dans ma maison).»

Le Romand a pris dumuscle (une dizainede kilos en quatreans); on découvresoudain qu'il a aussipris de l'assurance

Répéter ce geste sous les paniers,c'est oser s'affirmer comme un joueurmajeur. «Quand tu fais un truc que tuadores dans la vie, que tu gagnes, tufrimes un peu, avoua Clint Capela avecle sourire. C'est le jeu. Je l'avais déjà fait,mais là, ce sont les play-off.» Le Romanda pris du muscle (une dizaine de kilos enquatre ans); on découvre soudain qu'il aaussi pris de l'assurance. Il le reconnutlui-même en fin de match. «J'ai le sen-timent d'être le meilleur dans ce que jefais, que personne ne peut s'opposer àmoi. A chaque étape, je me sens plusfort», déclara-t-il à L'Equipe.

Le contre est un geste difficile en bas-ket. Un tir ne peut être contré que danssa phase ascendante. Même s'il fautavoir des bras et de la détente, c'estd'abord une question de timing et delecture du jeu. Clint Capela maîtrise cegeste, comme il maîtrise le rôle à la foissimple et complexe du pivot. Simpleparce que rien de ce qu'il fait n'est enapparence difficile. En quatre ans deNBA, Capela n'ajamais tenté de tir à troispoints. Pas son rôle. La complexité duposte dans l'intériorisation de dizainesde micro-mouvements: position despieds, des hanches, des épaules.

Avec Chris Paul et le probable futurMVP James Harden, Clint Capela esttrès bien entouré. Mais la relation n'estpas à sens unique. Son équipe bénéficie

des tirs précipités par la pression qu'ilmet sur l'adversaire, de son travail desape sous les deux paniers, de l'ascen-dant moral qu'il prend sur son vis-à-viset de ses conséquences (en positif dansson équipe, en négatif dans le camp d'enface) sur la relation centrale entre lemeneur et le pivot, des tirs qu'il libèreparce que sa puissance physique phé-noménale mobilise au minimum deuxadversaires.

Peu imaginaient Clint Capela à ceniveau lorsqu'il intégra la ligue améri-caine en 2014. Choisi en fin de premiertour (25e choix) lors de la draft, moquépour avoir attendu quatre mois avantde rentrer son premier panier, reléguéen ligue de développement, confiné aubout du banc, il sut se taire, bosser etsaisir sa chance lorsqu'elle se présen-tait. Petit à petit, il gagna des minutes,des kilos, des points, de la confiance.

Il eut très vite celle de Mike D'An-toni, entraîneur principal des Rocketsdepuis 2016. D'après Sports Illustrated,le coach le prit à part en pré-saisonpour lui tenir le discours suivant:«Voilà ce que tu vas faire pour nous.Protéger le cercle, courir, poser unécran, glisser vers le panier, et si çan'a pas marché, poser un autre écranet recommencer. Je vais te crier des-sus, mais si on gagne un titre, ce seragrâce à toi. Et si on perd, ce ne sera pasde ta faute.»«IL vaudra bientôt 80 millions»

Dimanche, après le sixième contrede son jeune coéquipier, James Har-den s'est collé face à son visage pour luitémoigner, en termes virils, admirationet gratitude. «Clint est notre socle, dirale barbu le plus célèbre de la NBA. Etcela fait du bien de savoir qu'un joueurcomme lui endosse ce rôle. Il n'a pas, jepense, tout le crédit qu'il mériterait.»Cela pourrait rapidement changer.

Libre en fin de saison, Clint Capelasera cet été «agent libre protégé». Lesautres franchises pourront lui pro-poser un contrat, sur lequel Houstondevra s'aligner s'il désire le conserverdans son effectif. «Tu vaudras 8o mil-lions de dollars», avait aussi prophé-tisé Mike D'Antoni en 2016. -LAURENT FAVRE

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Yannick Buttet àla tête de MontheyBasketball Yannick Buttet(39 ans) succède comme prévu àChristophe Grau au poste de prési-dent du BBC Monthey. L'ancienconseiller national PDC a été élupar acclamation au cours d'uneassemblée générale extraordi-naire. Les finances du club se-raient assainies. «C'était l'une desconditions pour que j'accepte ceposte, afin d'envisager l'aveniravec sérénité, a précisé le politi-cien. J'espère pouvoir amenermon réseau afin de le mettre à dis-position du club.» ATS

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Clint Capela affole les statistiques

Basket NBALe Genevois a peut-êtrelivré le meilleur matchde sa carrière lors del'Acte IV de la demi-finalede la Conférence Ouest

Clint Capela recueille bien deshonneurs au lendemain de sa per-formance lors du 4e match de lademi-finale de la ConférenceOuest entre Houston et Utah. ÀSalt Lake City, le Genevois a écritune page d'histoire avec ses cinqcontres lors des 159 dernières se-condes d'une rencontre rempor-tée 100-87 par les Rockets. Jamaisdepuis vingt ans en NBA unjoueur n'avait réussi cinq contreslors des trois dernières minutesd'un match. Après son derniercontre face àJoe Ingle, James Har-den s'est précipité vers lui pour leféliciter. «Clint est notre socle enquelque sorte, souligne celui quisera très certainement le MVP dela saison. Et cela fait du bien desavoir qu'un joueur comme luiendosse ce rôle. Il n'a pas, jepense, tout le crédit qu'il mérite-rait.»

Dimanche, Clint Capela, avecses 12 points, ses 15 rebonds, ses6 contres et ses 2 interceptions, adominé Rudy Gobert comme ilavait dominé Karl-Anthony

Capela fait forte impressionavec les Rockets. KEYSTONE

Towns lors de la série face à Min-nesota. Il condamne ainsi le Fran-çais à rester près du cercle et à nepas pouvoir apporter le soutiendéfensif qu'il devrait apporter surChris Paul et James Harden. Ainsidimanche, Chris Paul a inscrit27 points. «Dans un match, il y abeaucoup de choses qui se pas-sent sur le terrain et qui ne setraduisent pas dans les statisti-ques, souligne Chris Paul. Deschoses qui montrent combienClint est si important pour nous.»

Capela s'avance toutefois versl'Acte V de cette demi -finale, la

première des trois balles de matchdont bénéficient désormais lesRockets, avec des statistiques dansces play-off tout simplement «phé-noménales»: premier contreuravec une moyenne de 2,56 contrespar match, deuxième rebondeuravec 13 prises derrière Towns(13,4) qui est déjà éliminé etdeuxième joueur le plus adroitsous le panier avec 0,632% deréussite derrière Gobert (0,667%).

«Clint est le pivot idéal pour lejeu moderne, se félicite soncoach, Mike D'Antoni. S'il devientplus endurant, il s'affirmeracomme l'un des tout meilleurs pi-vots de la NBA.»

Il semble tout près d'y parve-nir comme le démontre sa fin dematch dimanche. Alors qu'il nerestait plus que quatre minutes àjouer, Clint Capela a fait part à sonbanc de son désir de souffler quel-que peu.

Mike D'Antoni a demandé untemps mort dans ce sens et s'ap-prêtait à introduire un rempla-çant avant que Capela ne lui disede ne pas s'inquiéter. «Les deuxminutes du temps mort furentamplement suffisantes pour souf-fler, lâche-t-il. J'étais prêt pour re-venir sur le parquet.» Et pour vo-ler un ballon à Raul Neto avant deréussir ses 5 contres«historiques». ATS

*Me

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Date: 07.05.2018

La Côte1260 Nyon 1022/ 994 41 11www.lacote.ch





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BASKETBALLLe BBC Nyon aupied du murBattus samedi à Villars dans

l'acte III de la finale de LNB,

les Nyonnais sont menés

2-1 dans la série et n'ont

plus d'autre choix que la

victoire mercredi.

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Date: 07.05.2018






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Nyon en mauvaise posture

Les 30 points inscrits par Marwin Owens n'ont pas suffi à faire pencher la balance. MICHEL PERRETELIAS BAIWF

[email protected]

BASKETBALL Samedi, le

BBC Nyon a perdu à Villarsle troisième match desfinales en ayant été menétout au long de la partie(79-72),IIn'y a désormaisplus de marge d'erreur.Trois tirs ratés de suite par

Nyon et Villars prenait les com-mandes dès le début de la partie.Immédiatement, la coach nyon-naise Julie le Bris prenait un pre-mier temps mort. «On a com-mencé le match comme on a fini

celui de mercredi» déplore-t-elle.Avant même d'avoir pu prendreleurs marques, les Nyonnais de-vaient déjà courir après le score.Ayant à coeur de se remettre surles rails après la performance ra-tée trois jours auparavant, cetteentame de match compromet-tante constituait déjà un sacrécontretemps.

Là où il aurait fallu faire preuved'une constance dans l'habileté,les Nyonnais galvaudaient unegrande quantité de shoots, puisprenaient la mauvaise habitudede ne pas profiter des nombreux

rebonds offensifs récupérés. «Sion a beaucoup de rebonds offen-sifs, c'est qu'on rate beaucoup»rappelle Julie Le Bris. Le pléo-nasme est aussi limpide que laraison de tous ces maux, tou-jours selon la coach du Rocher:«On est derrière parce qu'on sort

de ce qu'on sait faire. On essaie dejouer à un contre trois, un contrequatre. On coupe le système, onjoue trop vite». Peut-être cetteprécipitation était-elle due à lanécessité de remonter au score.«On est bons quand on shoote alors

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qu'il reste quatre-cinq secondes.Pas 15», déplore Julie Le Bris, quiaurait souhaité que ses joueursprennent davantage le temps deconstruire leurs actions.Gagner pour ne pas perdrele titre

Bien que les Vaudois aientmarqué six paniers de plus dansle jeu que les Fribourgeois, uneautre donnée est à prendre en

Eux sontà la hauteurde la finale, etnous, on n'estpas à la hauteurde ce qu'on estcapables defaire.»

JULIE LE BRISENTRAÎNEUR DU BBC NYON

compte: celle des lancers francs.Au total, ce ne sont pas moins de29 points annotés depuis le boutde la raquette. Dans ces condi-tions, difficile de refaire son re-tard. Si l'écart était réduit mo-mentanément en seconde partiede rencontre, les Nyonnais neparvenaient qu'à s'approcher deleur adversaire, sans parvenir àatteindre le même nombre depoints.

«Eux sont à la hauteur de la fi-nale, et nous, on n'est pas à la hau-teur de ce qu'on est capables defaire», statue Julie Le Bris. Granddominateur de la saison régu-lière, Nyon fait face pour la pre-

mière fois à un sérieux contesta-taire. Les Fribourgeois sont enmesure de ternir la fin d'exercicedes Lémaniques, en se posantcomme la seule équipe capable

de les faire déjouer sur la durée.Désormais, Nyon n'a plus lechoix: il devra gagner les deuxdernières rencontres, à com-mencer par celle de mercredi,encore une fois à Villars. Plus au-cun faux pas n'est possible. Enbasket, un faux pas s'appelle un«marcher», et ça, c'est sanction-né à tous les coups.

VILLARS - NYON 79-72(23-15 21-22 17-18 18-17)

LNB, PLAY-OFF, FINALE, ACTE III

SÉRIE: 2-1

Villars Basket: Bugnon (3 points), Brown(24), Schwab (16), Chkarnat (2), T lurkowitz

(10), Rey (9), Reghif, Mechti, Slaughter (15).

Entraîneur: Thomas Emerson

BBC Nyon: Bullock, Winston, Dufour (12), Er-

ard, Wolfisberg (12), Ivanovic (6), Van Rooij (4),

lotterand (8), Owens (30), Zaninetti.

Entraîneur: Julie Le Bris

Notes: salle du Platy, 750 spectateurs. Expul-

sion: Van Rooij.

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Date: 08.05.2018

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Aargauer Zeitung / Gesamt Regio5001 Aarau058/ 200 58 58https://www.aargauerzeitung.ch/





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BASKETBALL

Capela mit den Rocketsvor Halbfinal-EinzugDie Houston Rockets mit Clint Capela brau-chen in den NBA-Playoffs noch einen Siegfür die Halbfinal-Qualifikation. Die Texanerliegen nach dem 100:87 bei den Utah Jazzin der Serie mit 3:1 voran. Capela, der beiden Rockets mit 37 Minuten am meistenEinsatzzeit erhielt, steuerte 12 Punkte zumSieg gegen die Equipe des verletzten Tha-bo Sefolosha bei. Dem Romand gelangenausserdem 15 entscheidende Reboundsund 6 Blocks. Anschliessend wurde er vonden Fans gefeiert. Die erste Chance, dieHalbfinals zu erreichen, bietet sich den Ro-ckets in der Nacht auf Mittwoch. (SDA)

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Date: 08.05.2018

Basler Zeitung4002 Basel061/ 639 11 11bazonline.ch/





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BasketballErfolgreicher Capela

Houston. Die Houston Rockets mitClint Capela brauchen in den NBA-Play-offs noch einen Sieg für die Halb-final-Qualifikation. Die Texaner liegennach dem 100:87 bei den Utah Jazz inder Serie mit 3:1 voran. Capela, der beiden Rockets mit 37 Minuten am meis-ten Einsatzzeit erhielt, steuerte zwölfPunkte zum Sieg in Salt Lake Citygegen die Equipe des verletzten ThaboSefolosha bei. Dem Romand gelangenausserdem 15 Rebounds und sechsBlocks. Die erste Chance, die Halbfinalszu erreichen, bietet sich den Rockets inder Nacht auf Mittwoch. Die fünfte Par-tie wird in Houston ausgetragen. SDA

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Date: 08.05.2018

Hauptausgabe

Berner Zeitung 3001 Bern031/ 330 33 33www.bernerzeitung.ch





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Capela fehlt noch ein Sieg. DieHouston Rockets mit Clint Cape-la brauchen in den NBA-Playoffsnoch einen Sieg für die Halbfinal-Qualifikation. Die Texaner liegennach dem 100:87 bei den UtahJazz in der Serie mit 3:1 voran. Ca-pela, der bei den Rockets mit 37Minuten am meisten Einsatzzeiterhielt, steuerte zwölf Punktezum Sieg gegen die Equipe desverletzten Thabo Sefolosha bei.Dem Romand gelangen ausser-dem 15 Rebounds und sechsBlocks.

NBA. Playoffs (best of 7). Vierte Ifin a Is. Wes-tern Conference: Utah (5. der Qualifikation/ohne Sefolosha/verletzt) - Houston (1. /mitCapela/12 Punkte) 87:100; Stand 1:3. New Or-leans (6.) - Golden State (2.) 92:118; Stand 1:3.

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Date: 08.05.2018

Blick8008 Zürich044/ 259 62 62www.blick.ch





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Capela schreibtGeschichte

Basketball - Clint Capela findetden Weg in die NBA-Geschichts-bücher! Der 23-jährige Genfer inDiensten der Houston Rockets führtsein Team mit sagenhaften fünfBlocks in den letzten 160 Sekundendes Spiels zum 100:87-Sieg gegen

Utah Jazz, bei denen Thabo Sefolo-sha verletzt fehlt.Zwar wird Capela von den beidenSuperstars Chris Paul (27 Punkte)und James Harden (24 Punkte)punktemässig ausgestochen, aberer erreicht dennoch Historisches:

Er ist der erste NBA-Spieler derletzten 20 Jahre, dem fünf Blocksin den letzten drei Minuten gelingen.Aushängeschild und TeamkollegeHarden lobt den Schweizer für seinKönnen sowie für seine Bescheiden-heit: «Jeden einzelnen Abendhält uns Clint den Rücken frei.

Er bekommt dafür nicht vielAnerkennung - und er verlangtauch nicht wirklich danach.»Houston führt nun 3:1 in der Serie -noch ein Sieg fehlt zum Einzug in dieConference Finals. red

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Date: 08.05.2018

Der Landbote8400 Winterthur052/ 266 99 01www.landbote.ch





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Endstation HalbfinalBASKETBALL Die Winter-thurerinnen sind im Playoff-Halbfinal ausgeschieden.Sie unterlagen Troistorrentsim dritten Spiel 59:73.Nach zwei Auswärtsniederlagenverloren die Winterthurerinnennun im Rennweg auch die drittePartie der Best-of-5-Serie. Da-mit setzte sich die insgesamtbreiter aufgestellte Equipe, diesowohl von innen als auch vonaussen gefährlich war, 3:0 durch.

«Troistorrents hat eine gross-artige erste Halbzeit gespielt»,lobte Winterthurs Trainer MitarTrivunovic den Gegner nach derentscheidenden letzten Nieder-lage. Tatsächlich fiel die Vorent-scheidung bereits im erstenViertel, als die Walliserinnen von13:13 auf 22:13 davonzogen. Auchdanach trafen sie regelmässiger,nämlich mit 27 von 50 Würfen.Vor allem bei den Versuchen ausder Distanz war die Differenz derTrefferquoten mit 53 gegen 27Prozent eklatant.

Ohne Trice ging es nicht«Aber das Team hat toll ge-kämpft.» Das sah auch Trainer

Weil die Winterthurerinnen zuviele offene Würfe ungenutztliessen, kamen sie, bei Seiten-wechsel 17 Punkte in Rückstandliegend, nie mehr in die Nähe desSieges - obwohl sich die Walli-serinnen 23 Ballverluste erlaub-ten. Dafür eroberte sich Trois-torrents 38 Abpraller, die Win-terthurerinnen nur 27. Und mitSarah Halejian hatte der Gegnerzudem die Top skorerin desNachmittags in seinen Reihen.

Die 25-Jährige, die letzte Sai-son noch für den BCW aufgelau-fen war, warf in diesem drittenSpiel 27 Punkte, davon 15 von derDreierlinie. Beim BCW dagegenwog der verletzungsbedingteAusfall der amerikanischen In-nenspielerin Abria Trice zuschwer.

«Schade, dass wir den Siegnicht geschafft haben», kom-mentierte BCW-PräsidentinSandra Hofstetter den Ausgang:

Trivunovic so. «Die Spielerinnengaben nie auf. Dieses Team hatein grosses Herz.»

Stefan Kleiser

27 Punkte für den Gegner: Ex-BCW-

Spielerin Sarah Halejian. Foto:Stefan KI2iser

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Date: 08.05.2018

Freiburger Nachrichten AG1701 Freiburg026/ 426 47 47www.freiburger-nachrichten.ch





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Elfic muss heute nochmals ins TessinIm Playoff-Halbfinal hat Elfic Freiburg seinen ersten Matchball vergeben. Bellinzona siegte am Samstagknapp 71:70. Damit führen die Freiburgerinnen in der Serie vor Spiel vier heute im Tessin noch mit 2:1.BASKETBALL Elfic Freiburg hat Final gegen Elfic verloren hatte von der Partie wird auch wie-es am vergangenen Samstag - vehement gegen das Aus- der Yeinny Dihigo Bravo sein,verpasst, in der Playoff-Halbfi- scheiden. In der Schlussphase die zuletzt gesperrt war. fsnal-Serie (best of 5) gegen Bel- biss sich Elfic an der Defensive Bellinzona - Elfic 71:70linzona den Sack zuzumachen. der Gastgeberinnen die Zähne

Bellinzona: Jackson 32, Reed 22, Sohm 2,Die Tessinerinnen gewannen aus und konnte nur noch gera- Franscella 5, Avila Lopez 2; Voumard 8,Spiel 3 vor 245 Zuschauern mit de vier Punkte erzielen. Statt- Bianda.71:70 und verkürzten so in der dessen verzeichnete Freiburg Elfic: Mayombo 29, Fora, Dyer 19, Giroud

Serie auf 1:2. in den letzten 75 Sekunden drei 16, Ezzakroui 3; Delaquis 1, Zali 2.

Fünf Minuten vor der Ballverluste. So wurde Bellin- Bemerkungen: Elfic ohne Rol (verletzt)und Dihigo Bravo (gesperrt).Schlusssirene sah es am Sams- zonas Jessica Jackson zur Stand Serie (best of 5):1:2. Nächstestag noch gut aus für die Frei- Matchwinnerin, die die drei spiel: Bellinzona - Elfic heute 20.30.

burgerinnen. Das Team von letzten von ihren 32 Punkten Frauen. Nationalliga A. AndererLaurent Plassard führte mit mit einem Dreier zum 71:70 Halbfinal (best of 5): Winterthur - Trois-66:59 und hatte die Finalquali- markieren konnte. torrents 59:73. - Troistorrents gewinntfikation in Griffnähe. Dann Damit kommt es heute Serie 3:0.aber stemmte sich Bellinzona - Abend in Bellinzona zum vier-das bereits den Schweizer Cup- ten Spiel in dieser Serie. Mit

Rapport page 15/36

Date: 07.05.2018

Hauptausgabe

Blick am Abend8008 Zürich044/ 259 65 95www.blickamabend.ch





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Genfer in Top-Form Clint Capela rockt im Rockets-Shirt.

Capela mit historischer MarkeBORD Clint Capela (23) findet den Weg in die NBA-Geschichtsbücher! Der Genfer von Houston führt sein Teammit 5 Blocks in den letzten 160 Sekunden zum 100:87-Sieggegen Utah. Capela ist der erste Spieler der letzten 20 Jahre,dem 5 Blocks in den letzten drei Minuten gelingen. Rockets-Star James Harden lobt den Schweizer: «Jeden Abend hälter uns den Rücken frei. Er bekommt dafür nicht viel Anerken-nung, er verlangt auch nicht danach.» Houston fehlt nunnoch ein Sieg zum Einzug in die Conference Finals. leo

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Date: 08.05.2018

Corriere del Ticino6903 Lugano091/ 960 31 31www.cdt.ch





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Basket Il Massagnocerca l'impresacontro il Neuchàtel

Questa sera a Neuchàtel la SAM Mas-sagno si gioca una buona fetta della suagià ottima stagione. I luganesi sarannoimpegnati in gara-4 della serie dei quar-ti di finale dei playoff per il titolo e l'obiet-tivo della truppa di Gubitosa è uno sol-tanto: vincere. Solo così i ticinesi potran-no conquistare il diritto di giocarsi il tut-to per tutto nella «bella», eventualmenteprevista giovedì alla palestra Nosetto.I'Union è una squadra solidissima e, sul-la carta, più forte della SAM. Eppure i ra-gazzi di coach Gubitosa hanno già dimo-strato di potersela giocare, come in occa-sione di gara-2 della serie vinta con unchiarissimo 81-68. Tuttavia, bisogneràassolutamente evitare controprestazio-ni come quella vista sabato, che di fattoha messo Massagno spalle al muro.In campo femminile, invece, il Bellinzo-na è chiamato a compiere un nuovo mi-racolo contro l'Elfic (20.30 al Palasport) .Le ragazze di Aiolfi dovranno dare ilmassimo per pareggiare la semifinale.

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Date: 08.05.2018

Corriere del Ticino6903 Lugano091/ 960 31 31www.cdt.ch





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III Basket Grande prestazione diClint Capela (12 punti e 15 rimbal-zi) in gara-4 delle semifinali di We-stern Conference in NBA. Gli Hou-ston Rockets si sono imposti per100-87 sul campo degli Utah Jazzdell'infortunato Sefolosha e oraguidano la serie per 3-1.

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Date: 08.05.2018

Giornale del Popolo6903 Lugano091/ 922 38 00www.gdp.ch/





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BASKET Decisiva gara-4 questa sera (19.30) per la squadra di Gubitosa

La SAM non vuole

Robbi Gubitosa e i suoi credono ancora nella possibilità di invertire la tendenza della serie con Neuchàtel. (Ti-Press/Crinari)

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Date: 08.05.2018

Giornale del Popolo6903 Lugano091/ 922 38 00www.gdp.ch/





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Nei quarti di finale,Massagno impegnatadi nuovo a Neuchàtel.«Sarà una partita dura,ma non molleremo».Per il Bellinzona, gara-4delle semifinali con l'Elfic.di PAOLO GALLI

Quella di questa sera potrebbe es-sere l'ultima partita della stagione,per la SAM. Potrebbe, già, ma RobbiGubitosa sta facendo in modo chenon lo sia. Sta lavorando, con i suoiuomini, per arrivare anzi a gara-5,in casa, e poi ancora più in là. Comeprima cosa, bisogna però cancella-re la prestazione di gara-3, sabato incasa di Neuchàtel. «Siamo rimasticon la testa sul bus. Non c'eravamo,né in difesa né in attacco. Non ab-biamo fatto quello che dovevamofare. Poi devo dire che i nostri dueamericani, infortunatisi in gara-1,hanno risentito ancora di quelguaio. Lo dicono le statistiche». Il fi-nale, 91-67, può anche far pensare aun crollo psicofisico, tipico dei pla-yoff, quando la pressione sale. «Maquesto lo escluderei - continua ilcoach dei massagnesi - Penso pro-prio che sia stata una partita storta,la nostra. Vedevo che non c'erano, iragazzi, che non erano concentrati,che non eseguivano quanto pro-grammato». Meglio una partitastorta che non una resa. Il campio-nato vissuto dalla SAM d'altronde cifa pensare che tutto sia ancora pos-sibile, in questa serie. «Non negoche gara-4 sarà una partita moltodura. Neuchàtel vuole chiudere igiochi e ha gli uomini per farlo. Manoi vogliamo portare la serie a gara-

5, perché nessuno di noi vuole an-dare in vacanza. Neuchàtel ha co-munque dimostrato una grandecrescita, lungo la stagione, ha dimo-strato tutto il suo valore, con gioca-tori molto forti fisicamente». RobbiGubitosa non ha visto rassegnazio-ne, sui volti dei suoi, rientrando dal-la Romandia, ma anzi dei segnaliforti di riscatto. Un misto di delusio-ne, inevitabile, e rabbia, e fame.«Certo, ho visto sia delusione cherabbia. Hanno capito che qualcosanon ha funzionato, ma hanno capi-to che non è stato il piano partita anon funzionare, che semplicemen-te, per una volta, non c'erano con latesta. Appunto, una partita storta cipuò stare: ora bisogna voltare pagi-na». Abbiamo chiesto al coach qua-le sarà il suo messaggio pre-partita,quali corde cercherà di toccare.Non deve essere evidente, alla vigi-lia di un incontro tanto decisivo, ca-pire come tenere alta la tensione e,al contempo, lasciare che l'allegriadel gioco abbia la meglio sulla pau-ra. «Il messaggio? Che bisogna lot-tare con il coltello tra i denti, perchéaltrimenti la stagione finirà qua.Che è una partita da dentro o fuori,che dobbiamo fare di tutto quindiper vincerla, per farla nostra. Chedovremo essere lì, sul pezzo, e nonmollare mai. Basterebbe difenderecome abbiamo sempre difeso». Unmessaggio positivo che sicuramen-te condividerà anche MassimoAiolfi, che con il suo Bellinzonaospiterà in gara-4 l'Elfic dopo l'im-presa di gara-3. Ticinesi che resisto-no, aggrappate ai loro sogni.LNAM, QUARTI, GARA-4

Neuchàtel -SAM Massagno oggi 19.30LNAF, SEMIFINALI, GARA-4

Bellinzona - E lfic Friborgo oggi 20.30

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Date: 08.05.2018

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achiamata per due

Frease e compagni impegnati in trasferta, le ragazze del Bellinzona al Palabasket TI-PRESS

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Sam Massagno eBellinzona con le spalleal muro. Per accederealla 'bella; stasera devonovincere gara 4.di Dario 'Mac' Bernasconi

Siamo a sfide da "dentro o fuori"per Sam e Bellinzona. E sarannodue partite molto calde: la prima(alle 19.30) vedrà Magnani e com-pagni ancora ospiti del Neuchàtelper una sfida al calor bianco,nell'altra (ore 20.30) al Palabasketil Bellinzona cercherà di portarel'Elfic alla quintaCominciamo dalle donne, dicen-do che gara 3 è stata una bella di-mostrazione di forza delle ragaz-ze di Aiolfi. Grande apporto dipunti (54) del duo Reed-Jackson,ma le ticinesi sono state parte in-tegrante del successo, con puntimessi a segno da quattro altregiocatrici. LElfic ha contato su 48punti dalla sua coppia straniera,ma oltre al solito apporto sostan-ziale di Giroud (16 punti), dalle al-tre è arrivato poco o nulla. Segnoche le bellinzonesi sono state au-trici di una migliore prestazionedi squadra Il fatto di aver tenutola Mayombo a soli 6 punti nel pri-mo tempo e la Dyer a 2 nel secon-do, dimostra che Voumard ecompagne ci hanno saputo fare.E da queste considerazioni biso-gna pensare a costruire gara 4, incui rientrerà Bordoli dopo le duegiornate di squalifica e questo èun altro cambio importante perAiolfi. Come si diceva lunedì, èstato patetico il lamentarsi delcoach burgundo all'indirizzo de-gli arbitri, dimentico delle nefan-dezze che il Bellinzona ha patitoa Friborgo. Visti anche l'indul-genza per il gioco più che fisicodella Giroud e i ripetuti "passi"della stessa mai sanzionati saba-to, non si capisce cosa il fribor-

ghese possa deplorare. Lauspicioè che stasera vi sia equilibrio an-che nell'arbitraggio: ne uscirebbecosì una sfida più bilanciata Tor-nando alla partita, Aiolfi era con-vinto di ripetersi, già a fine gara 3.«Abbiamo dimostrato di avere imezzi per vincere, soprattutto seconcediamo poco ai rimbalzi, 3nel primo tempo, e se sappiamochiudere la Dyer. Cose riuscite atratti, per ciò avere maggiore con-tinuità e perdere meno palloni,potranno essere armi vincenti».Per la Sam, dopo una gara 3 nellaquale nessuno ha giocato con lasolita determinazione, si tratta ditornare sui propri livelli. La difesaè stata sinora l'elemento sul qua-le la squadra di Gubitosa ha co-struito i successi. Da lì va dunqueimpostato anche l'attacco. Non èpensabile vincere, se Roberson faO punti in 24 minuti o Ongwae 2in azione in 19. Sull'altro frontehanno fatto male il 5/6 di Maruot-to dalla lunga distanza (che perònon ci sarà stasera, unitamenteespulso a Hùttenmoser in gara 3),e i 10 punti di Colon, giocatori ar-ginati al meglio nelle precedentigare. Il discorso è globale quindi,ma la difesa sul perimetro diven-terà essenziale, visto che l'area èpresidiata da un Frease intimida-tore e da un Aw reattivo: solo 3 irimbalzi offensivi concessi aineocastellani, un segnale forteche però deve portare frutti in at-tacco. «Dobbiamo essere più reat-tivi e controbattere la fisicità cheil Neuchàtel mette in campo - af-ferma Gubitosa -. Loro sono fortifisicamente e si fanno sentire, noisiamo stati troppo leggeri in ogniparte del campo. Occorrerà unapartita perfetta come nell'ultimadi campionato, quando vincem-mo acquisendo il fattore campo.Ripeterci è essenziale per andarealla quinta, non c'è altro da fare».

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press review - amazon s3 · 2018-11-12 · mvp de la saison. «et cela fait du bien de savoir...

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