press review - amazon s3 · 2019-04-03 · demi-finaliste des champion-nats d'europe de 3 x 3...

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PRESS REVIEW

03.04.2019

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Date: 03.04.2019

Hauptausgabe

20 minutes Lausanne1001 Lausanne021/ 621 87 87www.20min.ch/ro

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 103'546Parution: 5x/semaine N° de thème: 042.001

Ordre: 3003849Page: 34Surface: 2'833 mm²

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La bonne performance

83,3% aux tirsLe basketteur Thabo Sefolosha a signé sa meilleure performance dela saison, lundi en NBA, lors du succès 111-102 du Utah Jazz face aux

Charlotte Hornets. Le Vaudois a réussi 5 de ses 6 tirs pour inscrire14 points. Il a aussi volé 2 ballons et capté 3 rebonds en 22'44" de jeu.

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Date: 03.04.2019

La Liberté1700 Fribourg026/ 426 44 11www.laliberte.ch/





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Sefolosha s'illustreBasketball » Clint Capela n'estpas le seul Romand en verve ence début de printemps en NBA.Thabo Sefolosha monte, lui aussi,en puissance. Le Vaudois a inscrit14 points pour un temps de jeude 23 minutes lors du succès111-102 à Salt Lake City du Jazzface à Charlotte. Aligné durant23 minutes, Thabo Sefolosha aréussi un remarquable 4 sur 5 à3 points face à la franchise de Mi-chael Jordan. Crédité d'un diffé-rentiel de +14, il n'avait plus mar-qué autant de points dans unerencontre depuis décembre 2017.

Le retour en grâce de ThaboSefolosha est l'une des raisonsqui explique l'embellie du Jazz.Victorieux désormais de 11 deses 12 derniers matches, Utah,avec son bilan de 47 victoirescontre 30 défaites, menace Port-land et Houston, qui se partagentla troisième place de la confé-rence ouest avec 49 victoirescontre 28 défaites. » ATS

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Date: 03.04.2019






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De retour à la compétition, Alexia Rot, l'ailière d'Elfic Fribourg, a vécu une convalescence mouvementée

«Est-ce que ça en vaut la peine?»

Plus que dans la froide lecture des statistiques, l'essentiel est dans le sourire retrouvé d'Alexia Rol. Charty Rappo

BIOEXPRESSLa joueuseAlexia Rol naîtle 9 septembre1989 àLausanne. Ellemesure 1 m78et peut évolueraux positions 2et 3.

ClubsElle fait sesdébuts en ligueA à Pully(2004-7) puisjoue pourUniversitéNeuchâtel(2007-9), Sierre(2009-10),Limoges(Ligue 2française/2010-11), Arras(Ligue 1française/2011-12),Hélios(2012-15).Porte le maillotd'Elfic Fribourgdepuis la saison2015-16.

PalmarèsA notammentremporté 6 titresde championnede Suisse,7 Coupesde Suisseet 10 Coupesde la Ligue.Demi-finalistedes champion-nats d'Europe de3 x 3 à Bucaresten 2016.

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Date: 03.04.2019






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PIERRE SALINAS

SB League » Samedi à Riva,lors de ce qui était le derniermatch d'Elfic Fribourg avant ledébut des play-off de SB League,Alexia Rol s'est contentée detrois points. Si elle a sauvél'honneur in extremis, la Vau-doise de 29 ans a manqué delaisser filer son premier ballon,qui lui a glissé des mains. Lanervosité, sans doute. Quant àson premier tir, il n'a pas touchéla planche, encore moins l'an-neau. Air bail.

Mais samedi à Riva, AlexiaRol, sortie du banc après 5 mi-nutes déjà, a joué autant qu'ellea regardé les autres jouer,preuve que son entraîneur, leBelge Jan Callewaert, aconfiance en elle et en ce qu'elleétait. Car il ne tient qu'à l'ailièreN° 10 des Elfes d'accélérer le pré-sent pour mieux faire ressurgirle passé, elle qui n'avait pas sonpareil pour trouver les espacesdans les défenses les plus resser-rées. Plus que dans la froide lec-ture des statistiques, l'essentielest dans ce sourire retrouvé. Etdans ce discours d'autant plusoptimiste que la joueuse au pal-marès long comme le brasavoue avoir pensé à tout pla-quer, puisque son genou nevoulait jamais s'arrêter degrincer. Du 17 octobre 2017,date de sa blessure, au 10 mars2019 et son retour inopiné à lacompétition, 509 jours se sontécoulés. Une éternité qu'il afallu combler sans trop gamber-ger. Interview.

«je me suisrevue à 15 ansen train de fairemes premierspas en ligue A»

Alexia Rol

Le 10 mars chez la lanternerouge Pully, vous choisissezde renouer avec la compétition.Comment vous êtes-vous sentiesur le terrain?Alexia Rol: Il y a eu du stress,mais du bon stress. Je me suisrevue à 15 ans en train de fairemes premiers pas en ligue A. Ily a eu des moments où je ne sa-vais pas où me placer mais, demanière générale, cela s'est plu-tôt bien passé. J'ai choisi Pully,parce que c'était un bon matchpour recommencer, un matchassez facile. Maintenant, jepeux dire que cela m'a fait dubien: j'ai pu voir que je progres-sais et que j'arrivais gentimentau bout.

Votre retour a surpris jusqu'àvotre entraîneur. Commentprend-on une telle décision?Cela faisait quelques semainesque le coach me demandaitquand j'allais recommencer.Quelques semaines, aussi, queje m'entraînais normalement etque je me sentais mieux. J'ai dis-cuté avec les médecins, les phy-sios et la préparatrice physiquequi m'a suivie durant l'entier dema convalescence, et tout lemonde m'a conseillé de me lan-cer. Pour voir où j'en étais.

Une semaine plus tard,à domicile contre Troistorrents,patatras: vous renoncez...Je me suis échauffée mais je nele sentais pas, voilà. Surtoutcontre Troistorrents, dont le jeuest assez physique. J'étais tristemais j'avais attendu assez long-temps pour pouvoir faire encoreun match sur le banc.

Ce jour-là, vous ne pouvezréprimer quelques larmes...J'avais l'impression qu'à cha-

que fois que je faisais un pasen avant, j'en faisais trois enarrière. Et puis, on ne sait paspourquoi, une séance de physio,une autre d'ostéo, et ça repart.Depuis, les douleurs ne sont pasrevenues.

Et trois semaines après votrecome-back, avez-vous toujoursl'impression de disputer votrepremier match de ligue A?J'ai toujours un peu peur, je suisencore timide. Je suis plus àl'aise à l'entraînement, maisparce que je fais face à mescoéquipières, dans un environ-nement connu. Je sens aussique ma course, ma façon debouger sur le terrain, n'est plusce qu'elle était, même si, à ceniveau-là, il y a une certaineamélioration.

Vous boitillez toujours...C'est malheureusement unehabitude que j'ai prise. Il y aaussi un peu de rigidité dans legenou, qui est usé, abîmé, et quimanque donc de fluidité. Courirsans ballon est une chose. Maisle genou doit se réhabituer àla charge et aux mouvementspropres au basket.

Vous qui étiez considéréecomme l'une des meilleuresjoueuses de Suisse, sinonla meilleure, n'êtes-vous pasfrustrée par votre niveau actuel?Les sentiments qui dominentsont le bonheur et le soulage-ment d'être sur un terrain debasket et de voir le bout du tun-nel, même s'il me tarde de dépas-ser cette peur qui m'empêcheencore de me sentir à l'aise. Lafrustration, il y en a. Mais parceque je suis une compétitrice etque j'ai toujours envie de donnerle meilleur de moi-même. Or j'ensuis encore loin.

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Les médecins vous ont-ils miseen garde sur d'éventuellesséquelles?C'était là ma troisième opérationau même genou, après unerupture des ligaments croisésà l'âge de 17 ans et une interven-tion que je qualifierais «de net-toyage» à 25. Fatalement, onm'a dit qu'il faudrait sûrementdu temps pour le remettre enroute.

De là à ce que votre convales-cence dure un an et demi! Onimagine que vous avez dû passer

par tous les états d'âme...Déjà parce que les médecins ontmis longtemps avant de savoirce qui m'était réellement arrivé(Alexia Rol s'est fait mal à laréception d'un saut, ndlr).D'abord, on m'avait dit que leménisque était touché et quema convalescence durerait troismois. Mais en ouvrant, ils ontvu qu'il y avait un problème decartilage également. Cette pé-riode fut d'autant plus difficile àvivre qu'on ne m'a jamais donnéde date de retour. Il y a eu beau-coup de hauts et de bas à gérer.

J'ai souvent eu l'impression dene pas avancer, je me suis mêmeposé la question: est-ce que çaen vaut la peine?

Vous vouliez tout plaquer?J'y ai pensé. J'en ai même parléà certains proches. Mais, aufond de moi, je savais que j'avaisbesoin de revenir sur un ter-rain. Pour ne pas finir sur uneblessure. Pour retrouver un ge-nou sain qui me permette derejouer au basket, peu importele niveau. »

OBJECTIF? LE 27 AVRIL PROCHAIN À BIENNEDepuis le mois d'août dernier, Alexia Rot enseigneà l'école primaire de Granges-Marnand. Un travailà 80% qui, dit-elle, lui a permis de se changer lesidées quand, au coeur de sa longue convalescence,l'ailière d'Elfic Fribourg aurait pu broyer du noir.«Mentalement, cela m'a fait du bien d'avoir autrechose que la rééducation», lâche-t-elle avant d'ex-pliquer: «En rééducation, tu te lèves tous les joursen espérant que ça ira mieux. Tu ne penses qu'à ça.Avec les enfants en revanche, pas le temps de rumi-ner. Tu es toujours sollicitée, tu cours à gauche, àdroite, il y a le sport à donner... La fatigue est bienprésente, mais les journées passent très vite.»Alexia Rot a vidé sa tête pour mieux la remplir denouveaux objectifs. «Le 3 x 3 l'été passé, la Coupe

d'Europe cette saison, la finale de la Coupe de laLigue... J'ai dû repousser tellement d'échéancesque j'ai encore un peu de mal à me projeter»,confesse-t-elle, sans avoir perdu toute ambition:«Je prends semaine après semaine. Mais si je peuxaider au 3 x 3, je le ferai. Pour autant que je sois enforme et à 100%, car le 3 x 3 est encore plus exi-geant physiquement que le basket à 5 contre 5.»En attendant la saison estivale, il y a un événementpour lequel Alexia Rot se réjouit «comme si c'étaitla première»: la finale de la Coupe de Suisse, le27 avril prochain à Bienne. «Ce sera une jolie ré-compense, sourit-elle. Si je peux avoir toutes cesjolies récompenses pendant encore un an ou deux,ce sera top.» P5

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L'illustré1002 Lausanne058 269 28 10www.illustre.ch/

Genre de média: Médias imprimésType de média: Magazines populairesTirage: 61'751Parution: hebdomadaire N° de thème: 042.001




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SABRINA PALIE LE DON DE SO1

Elle a foulé bien des parquets, Sabrina Pa-lie, 37 ans, notamment en WNBA, dans lemeilleur championnat de la planète où,

en 2006, elle est devenue la première Françaiseà décrocher un titre, avec le Detroit Shock, rap-

pelle la Tribune de Genève. De Valenciennes àVilleneuve-d'Ascq en passant par Aix-en-Pro-vence, en Italie (deux fois), aux Etats-Unis - on

l'a dit - et enfin en Suisse romande, la Lyon-

naise d'Oullins (Rhône-Alpes) qui se rêvait co-

médienne a baladé son mètre septante-cinqsous les paniers. A Genève Elite, elle s'efforcemaintenant de transmettre son expérience auxplus jeunes. Educatrice diplômée et jeune ma-man, Sabrina Palie a choisi, par altruisme, dedonner un nouveau sens à sa vie, là où d'autresauraient quêté sans gloire un dernier chèque etfini en roue libre. Exemplaire.

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L'Illustré / Sport1002 Lausanne058 269 28 10www.illustre.ch

Genre de média: Médias imprimésType de média: Magazines populairesTirage: 61'751Parution: 7x/année N° de thème: 042.001




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James Haydendevant la

askylmeede Houston,

au Texas, la patriede i'mdustrm

spatiale et du clubde basketballdes Rockets

James H

ardendevant la

oskylinevde H

ouston,au T

exas, la patriede l'industrie

spatiale et du clubde basketballdes R

ockets.

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IL NESE SOUVIENT PLUS PRÉCISÉMENTde la dernière fois qu'il s'est contemplé raséde près dans un miroir. Il se rappelle seule-ment que c'était il y a fort longtemps, lorsqu'ilvivait encore chez sa mère. Peu de tempsaprès avoir accepté une bourse de l'Univer-sité de l'Arizona, la paresse a eu raison de luiet James Harden a choisi de ne plus se raser.Telle est la genèse de la barbe la plus célèbre

du sport américain.Cette pilosité camoufle aujourd'hui

quelques particularités de l'arrière desRockets de Houston, comme son jeu demimiques, qui dévoile au regard les traits sub-

tils d'un caractère complexe. James Hardenne communique pas seulement avec le monde

par son aisance à maîtriser un ballon debasket: il transmet également de nombreusesémotions à travers ses yeux brun profond. Ilsbrillent lorsqu'il marque, quand il se fâchecontre la décision d'un arbitre ou proteste deson innocence après avoir marché par inad-

vertance sur un adversaire à terre.James Harden est un type intelligent. Bien

qu'il n'apprécie guère les longs discours, il nerechigne toutefois pas à s'exprimer, et le bas-ketteur suisse Clint Capela, l'un des relais lesplus importants pour le basket rapide prati-qué par James Harden avec les Rackets de

Houston, lui en est reconnaissant. En 2014, lepivot genevois était arrivé au Texas avec de

Sa mère et manager hlonja Willisfélicite James après la victoire de sonéquipe dans le 5- match des demi-finales des play-off en 2018 contre lesWarriors de Golden State.

est devenu le visage des Rackets et l'un desjoueurs les mieux payés de la ligue. Pendantla saison en cours, il a gagné 30,5 millions dedollars et devrait empocher pour les deux sui-vantes 78,7 millions en tout. Ces montantsconsidérables récompensent le travailacharné d'une équipe qui ne cache pas sesambitions pour le titre et celui d'un sportifdont les qualités de basketteur lui ont valu il

grands espoirs et ce manque d'assurance Y a une année de recevoir la distinction très

caractéristique des jeunes professionnels. convoitée de MVP (most valuable ployer),

«James Harden m'a dit qu'il aimait jouer à mes décerné au meilleur joueur de la saison.

côtés et qu'il appréciait que je m'engage avec Le public averti attend pourtant davan-

autant d'énergie. Ces paroles m'ont récon- tage de James Harden que le simple accrois-

forte, j'étais fier que le joueur le plus impor- sement annuel de sa moisson de paniers dans

tant de l'équipe croie en moi.» les statistiques de la ligue. Son étonnantemoyenne par match atteint actuellement

LA BARBE EST LE SIGNE DE RECONNAIS- 36,2 points, une valeur qui se situe nettement

SANCE qui permet à James Harden de se dis- au- dessus du bilan de l'année dernière

tinguer de ses collègues de NBA et d'attirer (30,4 points) et de celui de la saison précé-

l'attention d'entreprises pour tourner des dente (29,1 points). Ces brillants résultats

spots publicitaires. L'un des derniers en date témoignent avant tout de la pertinence de la

était financé par une marque de jeux vidéo stratégie retenue par l'entraîneur, Mike D'An-

qui mettait en scène un acteur avec un curieux toni, qui vise à laisser lancer le plus souvent

accent allemand jouant un fictif «gourou» possible ce joueur à la précision redoutable.

alpin du nom de Fritz. Toutefois, ce n'est pas En comparaison, la contribution des autres

pour sa pilosité que le mage barbu de 29 ans membres de l'équipe au jeu des Rackets

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semble relativement modeste.Comme il n'y a qu'une place au centre sur

la liste des aspirants aux play-off, cette tech-nique a souvent suscité la critique. Le septuple

All Stars ne s'en formalise pas. «C'est OK », affir-

mait-il récemment en balayant toute trace descepticisme. «Personne n'est obligé de regar-der nos matchs, des milliers de fans nous sou-tiennent.» Le public du Toyota Center deHouston, l'antre des Rockets, occupe la

16e place sur 30 équipes dans le classement

du nombre de spectateurs de la ligue. Et puis

James Harden sait parfaitement utiliser lesvents contraires pour se fixer des objectifs tou-

jours plus élevés. «J'aime les messages dehaine, déclarait-il récemment. Elles m'incitentà m'améliorer chaque saison. Voilà ce qui m'im-

porte, car je n'ai plus rien à prouver à per-sonne.» Il se rend à chaque match en parfaitaccord avec lui-même et trouve ce sentiment«plutôt cool».

Dans le basket à rythme rapide imposé parl'entraîneur Mike D'Antoni, James Hardensemble en effet irremplaçable, et les Racketspeuvent s'estimer heureux de le compter dans

leurs rangs. Ils doivent cette bonne fortune aumanque de considération dont a fait preuvesa première équipe de NBA, le Thunderd'Oklahoma City, pendant la négociation deson contrat à l'automne 2012. Le Californienest alors pris en compte uniquement commetroisième option, derrière les jeunes starsKevin Durant (actuellement auprès des War-riors de Golden State) et Russell Westbrook,de sorte que les responsables du club ne sou-

haitent pas lui verser l'intégralité de la sommeautorisée par la grille tarifaire de la ligue.

En l'absence d'accord, James Harden doitfaire ses cartons en quelques heures et quitter

une équipe avec laquelle il disputait quelquesmois plus tôt les finales NBA. «Je pensais quenous resterions unis pour toujours», dit-il alorsqu'il est interrogé peu de temps après sur lemoment le plus difficile de sa carrière.L'échange avec un autre club sans qu'il ne soit

consulté est particulièrement douloureux.«J'étais au bord des larmes», se souvient-il.

QUELQUES ANNÉES PLUS TARD, la situa-tion se présente sous un jour entièrement dif-férent. James Harden ne veut plus quitterHouston, où il a accepté le rôle de leader entant que meilleur joueur. Même si tout n'estpas parfait. Malgré de nombreuses tentativespour former une équipe capable de résisterau stress et suffisamment aguerrie pour dis-puter les play-off, il manque toujours quelquechose aux Rockets. A un moment, ce fut l'en-traîneur qui ne possédait pas la carrurerequise. A un autre, c'est le centre DwightHoward, aussi égocentrique que généreuse-ment rémunéré, qui ne se sentit pas traité à

sa juste valeur.Un vent nouveau souffle pourtant depuis

quelque temps sur Houston, grâce à l'arrivéenotamment du Genevois Clint Capela, qui estdevenu rapidement un joueur aux perfor-mances constantes et à l'assurance éton-nante. Par ailleurs, le concept de jeu à rythme

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Lemeilleur e

Flarden

«Le meilleur resteà venir», assure JohnLucas, di recteurdu développementsportif auprès desHouston Rockets,à propos de JamesHarden.

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du Toyota Centetde Houston. contreles de

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Le Suisse tire souventavantage des passesdu leader des

DANS LES LIVRES D'HISTOIRERECORDS Les Américains raffolent des statistiques sportives, et la meilleure ligue de

basketball du monde leur en offre de nouvelles chaque année. Mais, en NBA, des records

vieux de plusieurs décennies attendent toujours d'être battus. Les sportifs qui y

parviendront entreront dans la légende et les livres d'histoire.

38 387POINTS AU TOTAL

Aucun joueur del'histoire dela NBA

n'a marquédavantage de pointsque Kareem Abdul.

Jabbar. Il est suivi parKarl Malone et Kobe

Bryant.

29,7%DE REBONDS

En une sa ison,DennisRodman prisplus

d'une balle sur quatreà l'adverse ire. Aucun

autre joueur n'adépassé la barredes

27%.

1611MATCHS

Jusqu'à sa retraite,

à 43 ans. Robert Parish

a joué1.611. matchs.

Pour un temps moyen

de 28 minutes,ila

comptabilisé763 heures surie

terrain.

41POULS

En 2000.2001., Ra-

sheed Wallacecommet

plus de fautestech-niques quetout autre

joueurau cours d'unesaison. Logiquement il

a été banni à18 re-

prisesdesterrains.

37POINTS/QUART

Dans un seul quart,Klay Thompson amarqué plus de

points que d'autresbasketteurspendant

tout un match. ll aréalisecetexploit en

12 minutes.

98%DE LANCERS

Seuls3 des.154 lancersdu meneurespagnolJosé Calder6n n'ontpasterminédans le

panier lorsde la saison

2008-2009.A unedistance de4,3 mètres.

15 806ASSISTS

Le nombrecroccasenns

de marquerqueJohnStocktonadonnées à

sescoéquipiersau

coursdesacarrièrelonguede 19 fut le

meilleurpasseurdeNBApendant 8 saisons.

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A

JAMES HARDEN

T. J

JAMES HARDEN

26 août 1989

FB: @jhardeni 3

Insta:@jharden13

Twitter:@JHardeni3

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Date: 03.04.2019






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rapide imposé par l'entraîneur convient par-faitement à James Harden, le pilier del'équipe. «C'est le meilleur attaquant que j'aiejamais vu. Ses passes, sa compréhension des

situations de jeu, ses lancers, la manière dontil provoque les fautes: ses armes sont telle-ment nombreuses!» explique Mike D'Antoni. Il

faut y ajouter un nouvel atout, le lancer à dis-tance, avec lequel il dupe ses défenseurs eneffectuant rapidement un pas en arrière der-rière la ligne des 3 points. «Il est tout bonne-ment impossible de le couvrir», poursuit lecoach à propos de son joueur modèle.

En 2017, les Rockets recrutent Chris Paul,vedette des Clippers de Los Angeles, qui saitpasser le ballon mieux que personne et s'im-pose bientôt comme le partenaire idéal deJames Harden.

LA SUPERSTAR À LA BARBE FLEURIEgrandit dans la ville de Compton, un faubourgde Los Angeles marqué par les luttes entre les

gangs et le trafic de drogue, qui a aussi vunaître les soeurs Venus et Serena Williams. Le

père de Harden, ancien marine, enchaîne lesséjours en prison. Sa mère devient vite sa per-sonne de référence. Dans cet univers de vio-lence, le jeune James choisit de développerses talents pour échapper à la délinquance.Le basket lui offre la possibilité d'y parvenir etl'enfant se métamorphose peu à peu en magi-

cien du ballon. Après l'école secondaire, il fré-quente l'Université de l'Arizona, à Phoenix, etrejoint comme jeune professionnel le Thunderd'Oklahoma City, où il est sélectionné en

choix de la draft 2009 de NBA.Son poids économique suit également une

courbe ascendante. En 2015, il signe un

contrat publicitaire avec l'équipementierAdidas, qui lui assure environ 200 millions dedollars brut sur une durée de treize ans. Pour-tant, James Harden n'a pas d'agent au sensclassique du terme. C'est sa mère, Monja Willis,

qui s'occupe de ses affaires au quotidien. Sadevise: «Je ne fais confiance à personne, moins

encore pour la carrière de mon fils.»L'entraîneur Mike D'Antoni craint dans un

premier temps que sa figure de proue nepeine à résister à la pression croissante quipèse sur elle. Le coach expérimenté de NBA,

qui a échoué dans deux de ses précédentesmissions auprès des Lakers de Los Angeles et

des Knicks de New York face aux ego surdi-mensionnés des joueurs, connaît mieux quepersonne les travers du milieu. «Il est difficilepour des superstars de se rendre compte que

tout n'est plus comme avant. Nous les payons20 ou 30 millions de dollars par année et ilsdoivent brutalement accepter de ne pasdétenir à chaque fois la clé du succès.» La plu-

part d'entre eux tentent de se rassurer enaffirmant que la solution réside dans l'achatde meilleurs joueurs par la direction du club.«Pour sa part, James Harden a immédiate-ment déclaré qu'il était prêt à intensifier sonengagement. Une telle attitude requiert ducourage.»

DEPUIS LORS, JAMES HARDEN METL'ÉTÉ à profit afin de continuer à progresser.

Il regarde les enregistrements de matchs dis-

putés par Steve Nash des Suns de Phoenix qui

était il y a une dizaine d'années, sous la direc-tion de Mike D'Antoni, le plus créatif desjoueurs de la NBA. Il s'est aussi adressé à des

experts pour stimuler sa motivation et nouerdes relations plus étroites avec ses coéqui-piers.

D'autres épisodes ont connu des dénoue-ments moins heureux, à l'image de sa liaisonavec l'héroïne de téléréalité Khloé Kar-dashian. Le basketteur n'a guère apprécié cequotidien exposé, suivi de près par de redou-tables paparazzis. «Une leçon de vie»,confesse-t-il. Une de plus.

Il serait illusoire de croire que cet athlètebarbu a déjà atteint son zénith sportif. «Lemeilleur reste encore à venir», déclare JohnLucas, responsable pour les Rackets du déve-loppement sportif des cadres. En d'autrestermes: même si Houston devait perdre lorsdes play-off face à des équipes mieux cotées,à l'image des Nuggets de Denver ou deschampions en titre, les Warriors de GoldenState, le combat continuera pour JamesHarden et les Rackets. Sa position est claire:«J'ai l'impression d'être solide dans tous lesdomaines. Intellectuellement, dans monapproche du jeu et ma manière de marquer

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des points. Il me tient à coeur de pousser mescoéquipiers toujours plus loin.»

Deux autres particularités sont indisso-ciables de la personnalité de James Harden:l'arrière est l'un des rares joueurs de NBA àn'afficher aucun tatouage. Sa barbe, enrevanche, s'exhibe depuis un certain tempssur internet. Sur Twitter, 20 personnessuivent le compte @JamesNarden'sBeard.

«Fear the Bearde («Attention à la barbele clin d'oeil d'un fan des Houston Rockets àJames Harden, superstar de l'équipe.

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Date: 29.03.2019

1700 /Bulletin Information Ville de Fribourg1700 Fribourg026/ 351 71 11www.ville-fribourg.ch/

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 24'422Parution: 10x/année N° de thème: 042.001




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Mutation du site sportif Saint-Léonard

CRÉDIT Avec l'agrandissement de la patinoire d'entraînement (P2),D'OUVRAGE la construction d'un parking et le réaménagement des

espaces publics du secteur, la Ville de Fribourg posera la

dernière pièce d'un puzzle qui a débuté en 1982 avec la construction de la première

patinoire à Saint-Léonard. Le Conseil général se penchera sur un crédit d'ouvrage de

Fr. 21580000.- le 8 avril prochain. En cas d'acceptation, les travaux débuteront en juin.

Vue 3Ddu site©DZArchitectes

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Ta première patinoire (P1),aujourd'hui en cours de réno-

I vation et d'agrandissement, aété inaugurée en 1983. En 1990, unconcours d'architecture traçait lesgrandes lignes du nouveau site spor-tif Saint-Léonard, en proposant laconstruction de bâtiments de part etd'autre d'une place centrale (Agora),délimitée au nord et au sud par deuxportiques. La salle des fêtes et unpremier élément du portique ont étéinaugurés en 1998.En 2010, la halle omnisport et la pa-tinoire P2 sont venues compléterles bâtiments existants et ont faitde Saint-Léonard un véritable pôlesportif. Plus tard, la construction dela galerie souterraine d'accès aupont de la Poya, ainsi que la réali-sation de la halte ferroviaire sur laligne Fribourg-Berne, ont passable-ment modifié la configuration du site.Le chantier en cours de la patinoirePl, mené par la société L'Antre SA,complétera le dernier élément man-quant du système de portiques.La Ville de Fribourg, pour sa part,mène un projet qui se compose detrois parties distinctes : l'agrandis-sement des locaux liés à la piste deglace P2, la construction d'un par-king permettant le regroupementdes places du secteur en un seullieu, le réaménagement des espacespublics. Une coordination entre lesdeux projets permettra de dévelop-per les détails en commun.

Agrandissement des locauxAu rez-de-chaussée de la patinoireP2, au nord de la piste de glace, lelong de l'allée du Cimetière, de nou-veaux locaux techniques et pour lepatinage artistique seront créés. Surle long côté de la patinoire, à l'est,deux vestiaires doubles seront ajou-

tés sur le modèle de ceux existants.La piste de glace sera ainsi ceintu-rée de locaux s'y rapportant. Au pre-mier niveau, avec vue sur l'Agora, leService des sports de la Ville seraimplanté. Un local d'archives et unesalle de conférences seront à sa dis-position. La centralisation du servicesur le lieu même de ses nombreusesactivités améliorera son fonction-nement. Le deuxième niveau seraconstruit selon un principe de distri-bution et de fonctionnement si-milaire, mais la dimension des diffé-rentes surfaces de travail changeraet celles-ci pourront être louées. Ilest aujourd'hui envisagé par la Fédé-ration suisse de basketball de s'yimplanter, afin de regrouper sesactivités sur le site sportif Saint-Léonard.

Construction d'un parkingAu vu de la nature des terrains(remblais, tourbe), le projet de par-king consistera en une construc-tion hors-sol de quatre niveauxsur rez-de-chaussée qui pourraaccueillir vélos et motos, ainsi que283 voitures. Ce parking servira auxbesoins du site Saint-Léonard (PADSTL) et à celui des anciens abat-toirs/de la future piscine (PADH21é0), ainsi qu'aux visiteurs-clients de l'ensemble du site. L'en-trée du parking se situera à l'alléedu Cimetière. Les utilisateurs pour-ront ensuite rejoindre l'Agora ou lesdifférents bureaux via la circulationverticale commune.

Réaménagementdes espaces publicsDeux contraintes antagoniques ontguidé les réflexions dans le cadre duréaménagement des espacespublics. D'une part, la volonté de

maintenir l'Agora libre de touteconstruction afin de permettre àl'avenir une appropriation de ce lieupour tous types de manifestations,principalement sportives, en lienavec les quatre bâtiments ceinturantl'espace ; d'autre part, le désir devégétaliser le secteur. Un aménage-ment pérenne dans la zone centralede l'Agora n'étant pas souhaité, laplantation d'arbres a donc été écar-tée. Toutefois, la structure périphé-

Portiquesvégéta lises

DZ Architectes

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rique des portiques servira de sup-port à une végétation qui borderaainsi la place en vertical. Afin degarantir le dialogue avec le secteurlargement arborisé du cimetière voi-sin, il a également été décidé devégétaliser la façade du parkingdonnant sur le cimetière. Pourgarantir le traitement unitaire del'Agora, il faudra encore prolonger leportique existant dans des partiesmanquantes, soit devant la Pl..

EnergieLe site de Saint-Léonard consommede grandes quantités d'énergie,notamment en raison de la produc-

CALENDRIER

tion de froid nécessaire à l'exploita-tion des patinoires. C'est pourquoiun concept énergétique global a étéimaginé. Il est prévu de récupérer lachaleur, rejetée lors de la productionde froid pour les patinoires, et del'utiliser pour chauffer l'ensembledes locaux et l'eau sanitaire du site,si nécessaire en combinaison avecle réseau de chauffage à distanceexistant. Il est aussi prévu de réali-ser une centrale photovoltaïque surle toit du futur parking. Elle complé-tera la production des autres cen-trales déjà actives ou en projet surle site de Saint-Léonard. Cela per-mettra de limiter l'achat d' électrici-

Demande du crédit d'étudeAvant-projet et projetProcédure de mise à l'enquêteAppels d'offres pour les marchésde travaux et devis généralDemande du crédit d'ouvrageDébut des travauxRemise de l'ouvrage

té sur le réseau, notamment pouralimenter les compresseurs produi-sant le froid.Qu'il s'agisse d'électricité, de cha-leur ou de froid, tous les flux éner-gétiques des quatre bâtiments dusite de Saint-Léonard vont êtreaméliorés. Il est prévu d'étendrecette réflexion à d'autres projetsfuturs dans le secteur, notamment

dans le cadre du PAD H21é0. Ceprojet novateur se traduira par lamise en service d'un concepténergétique « vitrine » soutenantla politique communale en matièrede transition énergétique.

30 octobre 2017décembre 2017 à juillet 2018

27 juillet au 27 août 2018

octobre 2018 à janvier 20198 et 9 avril 2019

juin 2019automne 2021

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ERWEITERUNG DER TRAININGSEISHALLE (P2), BAU EINESPARKHAUSES UND NEUGESTALTUNG DER OFFENTLICHENRHUME DER SPORTSTÀTTE ST. LEONHARD

Am 8. Apnl 2019 befasst sich der Generalrat mit einem Baukreditvon Fr. 21 580 000.-. Wird der Kredit bewilligt, beginnen dieBauarbeiten im Juni. Was die Erweiterung der P2 betnfft, werdenim Erdgeschoss neue Râume für Technik und Eiskunstlauf geschaf-fen und Doppelgarderoben hinzugefügt. Im ersten Stockwerk wirddas stâdtische Sportamt untergebracht. Im zweiten Stockwerk kôn-nen lbume gemietet werden. Das neue Parkhaus ist ein fünfge-schossiger Hochbau, der Velos und Motorràder sowie 283 Autosaufnehmen kann. Die Agora, der zentrale Platz zwischen der Mehr-sporthalle und der Eishalle Pl, bleibt unbebaut, um für Veranstal-tungen im Zusammenhang mit den vier umliegenden Gebâudenzur Verfügung zu stehen. Die Struktur der Portiken dient als Trâgerfür die den Platz sâtimende Begrünung. Die ParkhausfassadeRichtung Friedhof wird ebenfalls begrünt. Da die Sportstâtte St.Leonhard viel Strom verbraucht, wurde ein globales, innovativesEnergiekonzept erarbeitet, das die Energieflüsse der vier Gebâudeder Sportstâtte verbessert und erlaubt, den Kauf von Netzenergiezu verringern. Dasselbe Konzept wird auf weitere künftige Projektein diesem Sektor ausgedehnt, insbesondere im Rahmen des DBPH21é0. Das innovative Projekt dient der Umsetzung eines als«Schaufenster» dienenden Energiekonzepts, das die Gemeindepo-litik in Sachen Energiewende unterstützt.

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Thurgauer Zeitung8501 Frauenfeld052/ 728 32 32www.thurgauerzeitung.ch/





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CVJM Frauenfeldbesiegt den LeaderBasketball Der CVJM Frauen-feld bewies einmal mehr, dass erzu Recht zur erweiterten Spitzeder 1. Liga der Frauen gehört.Nachdem die Thurgauerinnen in-nert weniger Tage gegen den Ta-bellenzweiten Liestal mit 52:60und im Halbfinal des Regional-cups noch knapper gegen LeaderS euzach-Stammhe im verlorenhatten, kämpften sie sich miteinem 51:41-Sieg gegen eben die-se Seuzacherinnen auf die Sieger-strasse zurück. Damit gelangnicht nur die Revanche für dieCup-Niederlage, Frauenfeld fes-tigte auch den vierten Platz in der1.-Liga-Tabelle. Mittlerweile sinddie Thurgauerinnen gar punkt-gleich mit den drittplatzierten 01-ten-Zofingen Whales. Das nächs-te Spiel bestreiten sie bereits mor-gen Donnerstag um 20.30 Uhr inder Militärsporthalle gegen denTabellenletzten Zug. (pd)

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Corriere del Ticino6903 Lugano091/ 960 31 31www.cdt.ch





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I Basket adattato Sabato allepalestre di Trevano, a Canobbio, siterrà una tappa del campionatosvizzero di basket adattato. All'in-contro, organizzato da Sport is Li-fe e patrocinato da Special Olym-pics, vi saranno 150 atleti. Il Ticinopresenta quattro squadre: due deiLugano Tigers (SIL Lugano), ilMomo Dream (Mendrisio) e il BC88 (3Valli). Inizio alle 8.40.

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Date: 03.04.2019

Corriere del Ticino6903 Lugano091/ 960 31 31www.cdt.ch





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III Basket Lugano Tigers e SAMMassagno hanno ricevuto la licen-za per giocare anche la prossimastagione nel massimo campiona-to svizzero.

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La Regione Ticino6500 Bellinzona091/ 821 11 21www.laregione.ch





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L'universo donna soffre anche nella palla a spicchiTIRI LIBERIdi Dario 'Mac' BernasconiIn questa campagna elettorale, anostro modo di vedere assai scial-ba nell'insieme dei dibattiti, deicontenuti e degli obiettivi, è emer-sa trasversalmente nei partiti latematica delle quote rosa e delruolo della donna nel contestopolitico. Sono state evidenziate ledifficoltà che, in generale, ha unadonna nel portare avanti una car-riera politica se non limitando ilsuo ruolo nell'ambito familiare ela necessità che vi siano sostegniadeguati per poter far carriera.E nello sport abbiamo gli stessiproblemi? Se guardiamo il ba-sket, la differenza è molto elevata,malgrado vi siano situazioni dipartenza abbastanza simili finquando parliamo di minibasket.Poi, quando si cominciano a for-mare le squadre delle Under, dal-la U13 in poi, cominciano i "dolo-ri". Perché le società che hannosquadre femminili, dalla U15 inpoi, sono ridotte all'osso e quindi

per le ragazze non ci sono le op-portunità di entrare a far parte diuna squadra se non con notevolisacrifici. A livello regionale si la-vora soprattutto fino alla U13(campionati misti), sia nel Locar-nese come nel Bellinzonese, nelLuganese e nel Mendrisiotto. Èchiaro che se una società disponedi poche ragazze, deve trovare si-nergie con altre società per co-struire una squadra. Ma, logica-mente, queste unioni riduconopoi il numero delle squadre chepartecipano al campionato, equindi siamo al punto di parten-za. Quando spunta qualche talen-to vero, intervengono le famiglie afare da taxisti su e giù per il can-tone per garantire l'inserimentodella figlia nell'unica squadra diLna. Alcuni anni fa c'era stata, perla lungimiranza dei due presi-denti, Guido Casparis della Mu-raltese e Francesco Markesch delRiva, la volontà di fare una "fusio-ne': Questa unione ha dato vita auna squadra forte e in grado di

competere con le migliori, al pun-to di vincere anche una CoppaSvizzera. Il sacrificio chiesto alleragazze non era poco, conside-rando l'alternanza di allenamentifra Muralto e Riva, ma i suoi fruttili ha dati. Poi, un po' per questionidirigenziali, un po' per i soliti maldi pancia di chi giocava meno e sisciroppava però tutti gli allena-menti, la squadra ha cominciatoa perdere pezzi e il progetto ènaufragato. Eppure era la via giu-sta da percorrere. Così oggi la Mu-

raltese è scomparsa dalle leghenazionali, il Bellinzona si è ritira-to e il Riva è rimasto il club checerca di raggruppare tutte le gio-catrici possibili perché è al limite:infatti, a fine stagione, sono inpartenza tre giocatrici per motividi studio, eterno problema per lenostre società, e non sarà facile ri-costruire una squadra di giova-nissime che abbiano la volontà diarrivare e di fare sacrifici. Parola,quest'ultima, assai complessa daassimilare di questi tempi.

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press review - amazon s3 · 2019-04-03 · demi-finaliste des champion-nats d'europe de 3 x 3...

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