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PRESS REVIEW

20.06.2019

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SportBabacar Touré veut brillerà la Coupe du monde

Babacar Touré se coupedu monde avec le SénégalBASKETBALL L'intérieurde Fribourg va se rendreen Chine pour y défier lesmeilleurs aux Mondiaux,en pensant aussi aux JO.

Babacar Touré (33 ans) a tou-jours la tête dans les étoiles.Après le doublé avec FribourgOlympic, le pivot de Saint-Léo-nard n'a pas fini de planer. Enbrillant sur les parquets euro-péens, le Sénégalais a tapédans l'oeil de son sélectionneurnational. L'ex-joueur des Lionsde Genève, d'Union Neuchâtelet de Vevey, qui a déjà disputé59 matches cette saison, estprêt pour des prolongations:du 31 août au 15 septembre, ilva disputer la Coupe du mondede basketball en Chine. «C'estun honneur et une grande fier-té de pouvoir représenter sonpays», se réjouit «la Tige» deDakar, appelée à défier la Litua-nie, l'Australie et le Canada.«Même si nous sommes tombésdans le «groupe de la mort»,nous avons une belle carte àjouer, avec comme objectif lesJeux 2020 de Tokyo.»

ICITouré (à g.) a brillé cette saison en Champions League et dans les compétitions suisses. -KEYSTONERetrouvez sur notre app et notre site Internet une version longue de cet article.

Son pays, qui n'a plus parti-cipé à des depuis 1980, a eneffet la possibilité de se quali-fier pour le tournoi olympique.Pour décrocher directementleur ticket, Touré et ses cama-rades doivent mieux se classerque la Côte d'Ivoire, le Nigeria,

la Tunisie et l'Angola aux Mon-diaux. Sans quoi il faudra pas-ser ensuite par les tournois dequalification préolympiques.

Il s'agira de sa première ex-périence dans un tournoi ma-jeur. «Je compte bien en profiterau maximum», renchérit Touré,

qui avait brillé lors des troisparties de qualification, en fé-vrier. Il avait alors terminé àdeux reprises meilleur mar-queur du Sénégal lors des vic-toires face au Rwanda (81-41),au Mali (62-38) puis au Nigeria(84-63). -CHRISTIAN MAILLARD

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Date: 20.06.2019

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BiaZaocher, le basketest e a de famille

Carlos et Xavier Paredesont chacun gagné uneCoupe avec NyonCHRISTIAN MAILLARD

Carlos et Xavier Paradesont chacun gagné uneCoupe avec Nyon.CHRISTIAN MAILLARD

Rapport page 2/15

Date: 20.06.2019

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Nyon est de retourdans l'élite avecXavier Paredesprésident d'un cluboù son père, Carlos,a remporté la Coupede Suisse en 1981Christian Maillard Nyon

Le premier, alerte sexa-génaire, a connu les an-nées de gloire de NyonBasket, remportant no-tamment la Coupe de

Suisse aux Vernets en 1981. Si lesecond, 33 ans, n'a pas connu cemême bonheur en 2005, échouanten finale contre Boncourt, il a aussivécu des folles soirées au Rocher.Comme son père, il a tout connudans cette salle mythique qu'il faitrevivre aujourd'hui dans la peaudu président, d'un bienfaiteur.

Carlos et Xavier Paredes se sen-tent à la maison dans ce collège quiva renouer avec son passé aprèsune nouvelle promotion du clubdans l'élite. «J'ai vu jouer monpapa, oui, mais il était déjà auxvétérans», se marre le fiston, quine cache pas qu'il a malgré toutapprécié à sa juste valeur les pres-tations de son géniteur à la vidéo,dans cette fameuse épopée, avantqu'il ne rebondisse quatre saisonsà Meyrin; il s'en était allé en LNBun an avant le titre de championdes Nyonnais en 1983, un autregrand moment de l'histoire duclub.

Nyon Basket, c'était l'époquedes Charlet, Gothuey, Costello,Evans et Gaines, ce phénomène, etdes shows inoubliables. C'est en-suite devenu le BBC Nyon après lafaillite en 1991, où il a fallu toutreconstruire, la faute à un mécène

qui avait cassé le beau jouet.

Reculer pour mieux sauterAprès un premier retour au som-met en 2000, c'est aussi, malheu-reusement, une relégation treizeans plus tard pour des raisons fi-nancières, le nerf de la guerre.«Quand l'équipe est descendue,c'était une déception pour tout lemonde, reconnaît le fiston qui étaitencore sur le parquet à ce mo-ment-là. Or si le comité avait fait lemaximum pour rester, malgré toutleur travail et leur bonne volonté,ce n'était pas possible.»

Mais c'était reculer pour mieuxsauter avec des fans qui n'ont ja-mais laissé tomber leurs protégés.«Il y a un tel engouement à Nyonqu'on se devait de remonter, seréjouit le papa qui rate rarementun match. Je connais d'ailleurs unefidèle supportrice de 90 ans, Ma-dame Damond, qui est toujours làdepuis la période où je jouais»,confie l'ancien ailier. Le basket estune grande famille, surtout danscette ville qui a toujours placé lasphère orange dans le haut du pa-nier.

«Mon fils est courageux, c'estbeau de se battre ainsi pour ceclub», sourit Carlos, si fier queson aîné ait bien retenu la leçondu passé. Car si son géant de205 cm aime forcément voir leschoses en grand, il garde lespieds sur terre.

«Le saut financier est impor-tant, reconnaît Xavier. Mais mêmesi c'est peut-être un an plus tôt queprévu, il fallait battre le fer pendantqu'il était chaud.» Les erreurs dupassé ne se reproduiront plus, pro-mis, juré. «On est bien entourés,renchérit le président d'un comitéde sept personnes solidaires.

L'avantage ou l'inconvénient, c'estque personne ne peut mettre del'argent de sa poche. On ne va doncpas se lancer dans des folies finan-cières. Cela nous oblige d'avoirune rigueur de gestion et là notrebudget est équilibré.» Décédé tra-giquement en 2017 alors qu'il étaitentraîneur, Fabrice Rey serait fierde ce BBC Nyon aujourd'hui.

Un franc par habitantXavier Paredes, qui ne manque ja-mais d'idée, a sollicité les Nyonnaispour récolter environ20 000 francs dans une opérationde crowdfunding: un franc par ha-bitant. Cette somme permettra no-tamment aux dirigeants de s'ac-quitter du supplément d'inscrip-tion par rapport à la LNB pourjouer plus haut. C'est avec huit àneuf joueurs qui ont réussi la pro-motion, deux ou trois renforts dela région et idéalement deux étran-gers supplémentaires que la bandeà Alain Attallah va se lancer dansl'aventure. La force de Nyon c'estla formation, faire confiance auxjeunes pour que les gens se recon-naissent dans cette équipe. PourCarlos Paredes, cela ne sert à riende recruter des joueurs suissesd'expérience, souvent chers. «Iln'y a aucune raison que cela nefonctionne pas ainsi», se convainccelui qui était revenu à Nyon en1986. Que ce soit Carlos ou XavierParedes, les deux sont convaincusaujourd'hui, «même si cela peutprendre du temps» que le BBCNyon peut revivre un jour, «danstrois ou quatre ans, lorsque le clubsera stabilisé en LNA», les bellessoirées du Nyon Basket. «Et gagnerquelque chose.» Comme avant.Comme en 1981.

Rapport page 3/15

Date: 20.06.2019

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Carlos Paredes

1957: il est né le14 mai, à Mansera

(Catalogne). directeur des opérationschez Tornos Group, à Moutier.

1977: il dispute ses premiers matches

de LNA avec Nyon Basket.1980: il se marie le 24 mai avec

Christiane Tri pet.

1981: il remporte avec le Nyon Basket,

Xavier Paredes

1986: il est né le 2 mars1986, à

Morges. Titulaire d'un master enmanagement.2001: stagiaire au centre de

formation de l'ASVEL, à Villeurbanne.2002: premières apparitions à16 ansen LNA avec le BBC Nyon.

2005: il s'incline à Fribourg avec Nyon

entraîné par Maurice Monnier, lafinale de la Coupe de Suisse aux

Vernets contre Vevey.1982: il s'en va à Meyrin, en LNB,

durant quatre saisons, avant derevenir une dernière saison à Nyon.1987: un an après Xavier, le 21juillet,

c'est à Fiona de venir au monde.

en finale de Coupe contre Boncourt.2013: le BBC Nyon est reléguéadministrativement en LNB.2017: il met un terme, le 20 mai, à sa

carrière sportive et épouse Mikela.2018: président du BBC Nyon.2019: BBC Nyon devient championde LNB et accède à la LNA.

Les félicitations d'Imad FattalC'est aujourd'hui toute une

région et le milieu du basketsuisse qui se réjouit de ce retourparmi l'élite. «Imad Fattal,président des Lions de Genève, aété un des premiers à m'appelerpour me féliciter après notretitre, sourit Xavier Paredes. LaLigue, dont le président,Giancarlo Sergi, a poussé pourqu'on revienne en LNA, parceque notre club est historique.»Comme Fribourg Olympic, un

exemple pour le néo-promu.«C'est un club formateur qui auniveau de sa politique est unmodèle intéressant, même si,précise le président du club de LaCôte, on n'a pas encore lesmoyens de le copier car sonénorme académie a un coût trèsélevé.»

Le budget du BBC Nyon, quitournait autour de 360 000 francsen LNB, va passer à 450 000voire 500 000 francs pour tout le

club, mouvement junior compris.«La Ville de Nyon, qui nous met lasalle et le matériel à disposition,nous aide beaucoup.» Ironie dus(p)ort, le destin a vouluégalement que l'équipe féminineconnaisse le même scénario.«C'est vraiment génial de monterensemble, s'exclame XavierParedes. Si les deux clubs sontdifférents, on travaille ensemblepour avoir un maximum desynergie.» C.MA.

Rapport page 4/15

Date: 20.06.2019

Le Régional 1800 Vevey 1021/ 721 20 30www.leregional.ch

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Champions suisses!QWiden (Argovie)

Dimanche 9 juin

Magnifique aventure vécue par le Team Riviera Basket, mouvement éliteentre Blonay et Vevey le 9 juin en Argovie. L'équipe U13 du mouvementest devenue la toute première équipe de la catégorie à obtenir le titre duchampionnat national organisé par Swiss Basketball cette année. Aprèsavoir éliminé Vacallo, d'abord, et Lugano en demi-finale, les jeunes Vau-dois se sont défaits de Zurich en finale, sur le score de 57 à 54! Yann Eray

Rapport page 6/15

Date: 20.06.2019

Tribune de Genève 1211 Genève 11022/ 322 40 00www.tdg.ch





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Bluebaitocher, le basketest e a de famille

Carlos et Xavier Paredesont chacun gagnéune Coupe avec NyonCHRISTIAN MAILLARD

à

Carlos et Xavier Paredesont chacun gagnéune Coupe avec Nyon.CHRISTIAN MAILLARD

Rapport page 7/15

Date: 20.06.2019






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Nyon est de retourdans l'élite avecXavier Paredesprésident d'un cluboù son père, Carlos,a remporté la Coupede Suisse en 1981Christian Maillard Nyon

e premier, alerte sexa-génaire, a connu les an-nées de gloire de NyonBasket, remportant no-tamment la Coupe de

Suisse aux Vernets en 1981. Si lesecond, 33 ans, n'a pas connu cemême bonheur en 2005, échouanten finale contre Boncourt, il a aussivécu des folles soirées au Rocher.Comme son père, il a tout connudans cette salle mythique qu'il faitrevivre aujourd'hui dans la peaudu président, d'un bienfaiteur.

Carlos et Xavier Paredes se sen-tent à la maison dans ce collège quiva renouer avec son passé aprèsune nouvelle promotion du clubdans l'élite. «J'ai vu jouer monpapa, oui, mais il était déjà auxvétérans», se marre le fiston, quine cache pas qu'il a malgré toutapprécié à sa juste valeur les pres-tations de son géniteur à la vidéo,dans cette fameuse épopée, avantqu'il ne rebondisse quatre saisonsà Meyrin; il s'en était allé en LNBun an avant le titre de championdes Nyonnais en 1983, un autregrand moment de l'histoire duclub.

Nyon Basket, c'était l'époquedes Charlet, Gothuey, Costello,Evans et Gaines, ce phénomène, etdes shows inoubliables. C'est en-suite devenu le BBC Nyon après lafaillite en 1991, où il a fallu tout

reconstruire, la faute à un mécènequi avait cassé le beau jouet.

Reculer pour mieux sauterAprès un premier retour au som-met en 2000, c'est aussi, malheu-reusement, une relégation treizeans plus tard pour des raisons fi-nancières, le nerf de la guerre.«Quand l'équipe est descendue,c'était une déception pour tout lemonde, reconnaît le fiston qui étaitencore sur le parquet à ce mo-ment-là. Or si le comité avait fait lemaximum pour rester, malgré toutleur travail et leur bonne volonté,ce n'était pas possible.»

Mais c'était reculer pour mieuxsauter avec des fans qui n'ont ja-mais laissé tomber leurs protégés.«Il y a un tel engouement à Nyonqu'on se devait de remonter, seréjouit le papa qui rate rarementun match. Je connais d'ailleurs unefidèle supportrice de 90 ans, Ma-dame Damond, qui est toujours làdepuis la période où je jouais»,confie l'ancien ailier. Le basket estune grande famille, surtout danscette ville qui a toujours placé lasphère orange dans le haut du pa-nier.

«Mon fils est courageux, c'estbeau de se battre ainsi pour ceclub», sourit Carlos, si fier que sonaîné ait bien retenu la leçon dupassé. Car si son géant de 205 cmaime forcément voir les choses engrand, il garde les pieds sur terre.

«Le saut financier est impor-tant, reconnaît Xavier. Mais mêmesi c'est peut-être un an plus tôt queprévu, il fallait battre le fer pendantqu'il était chaud.» Les erreurs dupassé ne se reproduiront plus, pro-mis, juré. «On est bien entourés,renchérit le président d'un comitéde sept personnes solidaires.

L'avantage ou l'inconvénient, c'estque personne ne peut mettre del'argent de sa poche. On ne va doncpas se lancer dans des folies finan-cières. Cela nous oblige d'avoirune rigueur de gestion et là notrebudget est équilibré.» Décédé tra-giquement en 2017 alors qu'il étaitentraîneur, Fabrice Rey serait fierde ce BBC Nyon aujourd'hui.

Un franc par habitantXavier Paredes, qui ne manquejamais d'idée, a sollicité les Nyon-nais pour récolter environ20 000 francs dans une opérationde crowdfunding: un franc par ha-bitant. Cette somme permettranotamment aux dirigeants des'acquitter du supplément d'ins-cription par rapport à la LNB pourjouer plus haut. C'est avec huit àneuf joueurs qui ont réussi la pro-motion, deux ou trois renforts dela région et idéalement deuxétrangers supplémentaires que labande à Main Attallah va se lancerdans l'aventure. La force de Nyonc'est la formation, faire confianceaux jeunes pour que les gens sereconnaissent dans cette équipe.Pour Carlos Paredes, cela ne sert àrien de recruter des joueurs suis-ses d'expérience, souvent chers.«Il n'y a aucune raison que cela nefonctionne pas ainsi», se convainccelui qui était revenu à Nyon en1986. Que ce soit Carlos ou XavierParedes, les deux sont convaincusaujourd'hui, «même si cela peutprendre du temps» que le BBCNyon peut revivre un jour, «danstrois ou quatre ans, lorsque leclub sera stabilisé en LNA», lesbelles soirées du Nyon Basket. «Etgagner quelque chose.» Commeavant. Comme en 1981.

Rapport page 8/15

Date: 20.06.2019






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Les félicitations d'Imad Fattal C'est aujourd'hui toute unerégion et le milieu du basketsuisse qui se réjouit de ce retourparmi l'élite. «Imad Fattal,président des Lions de Genève, aété un des premiers à m'appelerpour me féliciter après notretitre, sourit Xavier Paredes. LaLigue, dont le président,Giancarlo Sergi, a poussé pourqu'on revienne en LNA, parceque notre club est historique.»Comme Fribourg Olympic, un

Carlos Paredes

exemple pour le néo-promu.«C'est un club formateur qui auniveau de sa politique est unmodèle intéressant, même si,précise le président du club de LaCôte, on n'a pas encore lesmoyens de le copier car sonénorme académie a un coût trèsélevé.»

Le budget du BBC Nyon, quitournait autour de 360 000 francsen LNB, va passer à 450 000voire 500 000 francs pour tout le

Xavier Paredes

1957: il est né le14 mai, à Mansera

(Catalogne). directeur des opérationschez Tornos Group, à Moutier.

1977: il dispute ses premiers matchesde LNA avec Nyon Basket.1980: il se marie le 24 mai avecChristiane Tripet.

1981: il remporte avec le Nyon Basket,

entraîné par Maurice Monnier, lafinale de la Coupe de Suisse aux

Vernets contre Vevey.1982: il s'en va à Meyrin, en LNB,

durant quatre saisons, avant derevenir une dernière saison à Nyon.1987: un an après Xavier, le 21juillet,

c'est à Fiona de venir au monde.

1986: il est né le 2 mars1986, à

Morges. Titulaire d'un master en

management.2001: stagiaire au centre deformation de l'ASVEL, à Villeurbanne.2002: premières apparitions à16 ansen LNA avec le BBC Nyon.2005: il s'incline à Fribourg avec Nyon

en finale de Coupe contre Boncourt.2013: le BBC Nyon est reléguéadministrativement en LNB.2017: il met un terme, le 20 mai, à sa

carrière sportive et épouse Mikela.2018: président du BBC Nyon.2019: BBC Nyon devient championde LNB et accède à la LNA.

club, mouvement junior compris.«La Ville de Nyon, qui nous met lasalle et le matériel à disposition,nous aide beaucoup.» Ironie dus(p)ort, le destina vouluégalement que l'équipe féminineconnaisse le même scénario.«C'est vraiment génial de monterensemble, s'exclame XavierParedes. Si les deux clubs sontdifférents, on travaille ensemblepour avoir un maximum desynergie.» C.MA.

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Date: 19.06.2019

Supplément 40 ans Jura

Le Quotidien Jurassien2800 Delémont032/ 421 18 18www.lqj.ch

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 17'807Parution: irregulière N° de thème: 042.001




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LES ÉQUIPES JURASSIENNES DANS L'ÉLITE NATIONALE

La cour des grands et même le haut du panier

Le 21 mai 2003, le BC Boncourt de t'entraîneur Randoald Dessarzin atteignait le sommet du basketball suisse. Une année plus tard, te club a oulotsignait le doublé. Quinze ans après, il évoluetoujours dans la plus haute division du pays.

Le cran, le coeur, l'enthou-siasme, la folie parfois. Àforce de passion et de per-sévérance, le sport collectifjurassien, au fil des quatredernières décennies, a pus'inviter dans le gotha natio-nal et même s'y installer.Jusqu'à y trouver le cheminqui mène au sommet.

BCB: chaudron magiqueLorsque le canton du Jura estné, le Basket-Club Boncourt

pointait à peine à l'horizon.Un quart de siècle plus tard,le club fondé en mai 1980avait fait de son chaudronun antre quasi inviolable,une cour des miracles aussimythique que redoutée. Ellea servi d'écrin aux deux titresde champion de Suisse (2003et 2004) des hommes dudruide Randoald Dessarzin.L'armoire aux trophées s'estencore garnie de deux Coupesde la ligue (2005 et 2006) et

d'une Coupe de Suisse (2006).Une période faste qui a pro-pulsé la Red Team duranttrois saisons sur la scèneeuropéenne où, entre autresexploits, elle s'est offert lescalp d'un club grec. Le BCBen a payé le prix par la suite,mais, promu dans l'élite unfameux 31 mars 1998, il s'yexprime toujours aujourd'hui.

Les jours de gloiredu HC Ajoie

ARCHIVES ROGER MEIER

Rapport page 10/15

Date: 19.06.2019







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Le grand chapiteau de Porren-truy n'est pas resté de glace.Qui aurait imaginé, lorsque leHC Ajoie croisait les cannesà la bonne franquette en 2eligue avec Court et Le Fuet,qu'il s'offrirait ensuite despèlerinages à l'Allmend deBerne et à la Resega luga-naise? Mais dans le Jura, onn'a pas froid aux yeux: ascen-sion en LNB le 10 mars 1982avec Jacques Noël à la barre,Nénès Aubry, «Kito» Berdatet Jean-Claude Barras; ascen-sion en LNA le 26 mars 1988,grâce à un but inoubliabledu regretté Daniel Métiviercontre Zurich; remontée enLNA le 7 avril 1992 sous ladirection de Richmond Gos-selin et du capitaine DidierPrinci. Redescendu d'une etmême deux divisions par lasuite, le club de la Vouivrea rebondi pour offrir à sessupporters un autre jour degloire. Le ler avril 2016, untriplé de Steven Barras per-mettait de terrasser un grospoisson, Rapperswil-Jona, etmenait les hommes de GarySheehan au titre de cham-pions de Suisse de LNB. LeVoyebceuf peut également setarguer d'avoir «fabriqué» demultiples autres championsqui ont décroché le Graal enLNA comme les frères Vau-clair, Frédéric Rothen, GaëtanVoisard et Raphaël Berger.

Des SR Delémont

historiquesLe ballon rond y est aussi alléde sa frénésie. Les SR Delé-mont ont marqué les espritsavec une demi-finale ines-pérée en Coupe de Suisseen 1982. S'en est suivi uneépopée encore plus belle. Leprintemps 1999 est devenuhistorique: promotion enLNA pour la troupe de MichelDecastel! Un groupe emmenépar Michel Renquin réali-sait le même exploit en 2002.La venue du FC Bâle a attiré6400 spectateurs à la Blanche-rie, où Saint-Gall (dynamité6-2!), Zurich, Grasshopper,Lausanne, Servette, Xamaxet les Young Boys ont tousmordu la poussière.

VFM, Les fées du filetIl y en a aussi eu pour les

filles, mises à la une par leVFM, créé en 1991. À deuxexceptions près, les vol-leyeuses franc-montagnardesont joué chaque année enLNA, disputé trois finalescontre l'imbattable VoleroZurich (championnat en2005/2006, Coupe de Suisseen 2005 et en 2012) et faitquelques étincelles sur lefront de la coupe d'Europe.Quatre dubs au contact del'élite dans quatre sportsd'équipe différents, et bienplus souvent qu'à leur tour:une telle densité pour un sipetit canton, c'est fou, non? EtJean-Claude Salomon de dévoi-ler une partie de la recette.«Dans le Jura, on joue avec nostripes. C'est une très grandequalité.» FRÉDÉRIC DUBOIS

Mt

Lors de leur période dorée, les SR Delémont ont milité en LNA, où ils ontréussi à accrocher quelques jolis noms du football suisse à Leur tableau dechasse (ici l'incroyable 6-2 infligé au FC Saint-Gall). ARCHIVES ROGER MEIER

16OIONG

Rapport page 11/15

Date: 19.06.2019







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Y CUP

Le palmarès du VFM s'orne d'un titre de vice-champion de Suisse et de deuxfinales de Coupe de Suisse (ici le 10 mars 2012). À chaque fois, il a été privéde sacre par l'imbattable Volero Zurich. ARCHIVES STÉPHANE GERBER

Le HC Ajoie a évolué durant trois saisons dans l'élite, de 1988 à 1990 et en 1992/1993. Nouveau coup d'éclat le avril 2016. Grâce à un triplé de l'un de sesjoueurs emblématiques, Steven Barras, le HCA terrassait Rapperswil-Jena et devenait champion de Suisse de Ligue nationale B (photo). ARCHIVES ROGER MEIER

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Rapport page 12/15

Date: 20.06.2019

Der Landbote8400 Winterthur052/ 266 99 01https://www.landbote.ch/





Coupure Page: 1/1

Lob und Lunch für die erfolgreichen BasketballerinnenEhrung Nach ihrem Cupsieg im April wurden die Frauen des Basketballclubs Winterthurgestern vom Stadtrat feierlich im Rathaus empfangen.

Die Winterthurer Basketballerinnen zeigen den Cup-Pokal auf dem Rathausbalkon.

Winterthur ist nicht nur Hand-ball-, Unihockey- und Fussball-stadt. Winterthur ist auch eineBasketball-Hochburg. Zumzweiten Mal haben die Frauendes BC Winterthur im April denSchweizer Cup gewonnen, dankeinem spektakulären Schluss-spurt in den letzten zwei Minu-ten überflügelten sie den Erzri-valen und späteren Schweizer

Meister Fribourg. Gestern Mit-tag wurden sie für ihren Erfolgoffiziell geehrt. Auf dem Rat-hausbalkon oberhalb der Markt-gasse posierte das Team mit demPokal für ein Gruppenfoto, flan-kiert von Stadtpräsident MichaelKünzle (CVP) und SportstadtratJürg Altwegg (Grüne). Danachstand ein Stehlunch auf demProgramm. (mcl)

Foto: Marc Dahinden

Rapport page 5/15

Date: 14.06.2019

Birsfelder Anzeiger4058 Basel061/ 264 64 92www.birsfelderanzeiger.ch





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Basketball Junioren U17 Ein Silberstreifenam Starwings-HorizontDer Birsfelder Nachwuchsholt sich dank Final-Four-Siegen über Versoixund Meyrin denSchweizer Meistertitel.

Von Georges Küng

Beim Final Four im aargauischenWiden mussten die «Young Wings»zwei Rivalen aus Genf bezwingen,um sich den Schweizer Meistertitelzu sichern. Sie taten dies mit Bravour,Kampfwillen und Teamgeist. Bau-meister dieses Erfolges ist Profispie-ler und U17-Trainer Nemanja Ca-lasan (34).

Sehr weiter WegEs ist keine Selbstverständlichkeit,dass ein alemannischer Klub sicheinen Meistertitel sichert, dessenSportart weiterhin von der Roman-die, teils auch dem Tessin, geprägtund dominiert wird. Dieser Triumphist für die Starwings ein Silberstrei-fen am Horizont - im Wissen, dassder Weg bis zum nationalen Elite-Basketball sehr, sehr weit ist. Dessensind sich alle - Klubvorstand, Ver-einstechniker, Cheftrainer und Ak-teure bewusst.

Aber es zeigt sich, dass die kon-tinuierliche Basisarbeit beim Nach-wuchs Früchte trägt. Man muss sehrlange säen, viel Zeit und Fachwisseninvestieren, um dereinst ernten zukönnen. Seitdem Nemanja Calasannebst seiner Tätigkeit als Profi imNLA-Team der Starwings sich auchder Nachwuchsarbeit verschrieben

Schweizer MeisterMeister 2018/19: Der Starwings-Nachwuchs freut sich mitTrainer Nemanja Calasan und Präsidentin Gaby Weis über den Pokal.

Foto zVg

hat, konnte man bei seinen Jungseine stete Evolution beobachten.Diese gipfelte am letzten Wochen-ende in einem Titelgewinn.

MachtdemonstrationDas Halbfinale gegen Versoix wareine kleine Machtdemonstration,das Finale gegen Meyrin viel «Büez» .Wir zitieren Ortsbeobachter: «Ineinem von Nervosität geprägtenSpiel gewinnen die Starwings U17den Meistertitel der U17-Inter gegenMeyrin Basket. Die Starwings habenvon Beginn weg das Spiel kontrolliertund waren immer in Führung. WegenUnkonzentriertheiten in der Defenseund unnötigen Ballverlusten in derOffensive konnten sie sich nie ent-scheidend vom Gegner absetzen.»

In der dramatischen Endphasebewahrten die Birsfelder Jungs je-doch kühlen Kopf und sicherten sichverdient den Meistertitel. Und wennman weiss, dass der neue Starwings-

Cheftrainer Dragan Andrejevicdie Klubphilosophie, bedingungs-los auf den Nachwuchs zu setzen,mittragen und weiter fördern wird,dürfen sich die regionalen Basket-Freunde auf ein «neues» Starwingsin der obersten Spielklasse freuen.

TelegrammeVersoix - Starwings 47:70 (30:35)Sportzentrum Burkertsmatt, Widen.- 200 Zuschauer. - SR Mauroux/CopettiStarwings: Fasnacht (14), Babic(12), Kaiser (6), Rudmann (6), Pausa(12); Wegmüller (7), Tolu, Mathys (6),Bengoechea, Fidanci (4), Froelich (3).

Starwings - Meyrin 45:41 (17:15)Sportzentrum Burkertsmatt, Widen.- 250 Zuschauer. - SR Podobnik/Casolino.Starwings: Fasnacht (7), Babic,Kaiser (11), Rudmann (5), Pausa (14);Wegmüller (4), Tolu, Mathys (4),Bengoechea, Fidanci, Froelich.

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Date: 07.06.2019

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Basketball Der Nachwuchs holt drei Medaillen

Die Allschwiler U13-Junioren: Hinten (von links): Guillaume Nijhof, Ivan Die Allschwiler U13-Juniorinnen: Hinten (von links): Arwen Berger,Jankovic (Coach), Ronan Coughlan, Nevio Knupp, Kennedy Lindomba, Maureen Schneider, Linda Meyer, Ava Bucher, Anouk Oberbeck, MarieTlyas Yilmaz, Jathursan Tharmalingam, Velimir Gligorevic (Coach); vorne Gütersloh, Tlayda Korkmaz, Ana Lopez (Coach); vorne (von links): Irkne(v.l.): Goran Niggli, Keylan Kocer, Nikola Gligorevic. Fotos Dursum Besic Seriacopi, Vassiliki Panoussis, Sofia Gligorevic und ein «Fan».

Am regionalen Final-Four-Turnier in Riehenbelohnen sich sämtlicheAllschwiler Teams für einegute Saison.Von Dursum BesicDer regionale Basketball-Höhepunkteiner jeden Saison ist das Final-Four-Turnier. Hier kämpfen jeweils dievier besten Teams jeder Alterskate-gorie um Medaillen. Es ist die Zeit,in der sich endgültig zeigt, werwährend der Saison wie hart gear-beitet hat. Der BC Allschwil-Algonnahm am vorletzten Wochenendemit drei Teams am regionalen FinalFour in Riehen teil - gleich alle vonihnen durften sich über einen Me-daillenrang freuen.

In der Kategorie U13 konntendie BCA-Jungs einen hervorragen-den zweiten Platz belegen. Nach

dem emotionalen und knappenSieg im Halbfinale gegen Liestalwaren die Batterien am Folgetagnicht mehr aufgeladen, sodass dieAllschwiler gegen die Starwingsden Kürzeren ziehen mussten. Ir-gendwie logisch, wenn man be-denkt, dass nach dem Halbfinaleeinige BCA-Junioren auch nochauf den Fussballplätzen aktiv ge-wesen waren.

Die U13-Mädchen mussten sichebenfalls erst im Finale geschlagengeben und zwar gegen den BCMünchenstein. Im Halbfinale hat-ten sie sich noch deutlich gegen denBC Bären Kleinbasel durchgesetzt.Der klar verpasste Sieg sollte dieMädchen aber nicht traurig stim-men - für die beiden U13-Teamswerden in der Zukunft noch vieleFinal Fours folgen. In der Alters-kategorie U20 mussten sich dieAllschwiler im Halbfinale dem BC

Arlesheim geschlagen geben, dasknappe Spiel war erst in den letztenMinuten entschieden worden. Im«kleinen Final» gegen den TVMuttenz konnten sich die Jungsdann aber einen knappen Sieg er-kämpfen und gewannen die Bronze-medaille. Im Finale setzte sich UniBasel durch und gewann damitverdient die Meisterschaft ohne eineeinzigen Niederlage - Gratulationan dieser Stelle.

Die U17-Equipe des BC Allsch-wil-Algon nahm am regionalenFinal Four nicht teil, da die Mann-schaft in der höher einzustufendenInter-Meisterschaft aktiv war.Dort belegte sie am Final Four vonProBasket den undankbaren vier-ten Platz. Die Allschwiler U15-Teams der Knaben und Mädchenhatten sich nicht für das Final Fourqualifiziert.für den BC Allschwil

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Resultate des BC Allschwil-Algon. Junioren U13 - Liestal Basket 59:61 Junioren U13 - Starwings 42:57 Juniorinnen U13 -

BC Bären Kleinbasel 70:26 Juniorinnen U13 -

BC Münchenstein 29:44 Junioren U20 - BC Arlesheim 60:67 Junioren U20 - TV Muttenz Basket 58:54

4'

Die Allschwiler [J20- Junioren: Hinten (von links): Zvonko Kostic (Coach), Rafael Kawakami, Tim Karivan,Benjamin Omokhuale, Thiago Nigg, Joel Zumbach, Vladimir Vucelic; vorne (von links): Issam El-Attar,Emanuele Fabbri, zwei «Fans», Mateja Kostic, Nicola Gallardo, Boran Özgü, Jovan Oparnica.

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