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"■^hA ^l'v>'<3ê rk ik . à k . ' Ho.iW ,Dir.HTO*|t :[ << » £übicll«w, S6 «C»l* h UgM^ iüii Le Moàitéur universel de mercredi publie un décmf que tous les lecteurs et ira,esprits libéraux surtout accuellloi^nl avec joie et reconiialssauée. Ce décret ordonne la publicité des séances des conseils de prérectprcs eu matière contenlieuse. —; Le Monilettr de mardi publie le rapport adressé à I Empereur par le mlidstre de ragricultiire, du eominerce et des travaux publics sur l«?s oiiérAlioiis des caisses d'é pargne pendant Tannée 1861. Ce rapport se divise, suivint l'usage^ en six tableaux U premier tableau renferme Ténumératlon des «aisses autorisées au 31 décembre 1801, dans Tordre de leur auto- risalioii ; il indique en même temps la date dé leur mise eu activité. • . • . ■ M® ®réé quinze caisses d’éparane par I initiative et par les soins des côuseils inuuicipaux des communes dont les noms suivent : Graulhel. Gravelines.le Caleau, Nay, Albertville, Cordes. RocroL UudvM es. &iiul*M»rcelliii, Saint-Flurenllu, Mou’ tiers, fssoire, Sainii|énn>de-Mauiiénne, Oçcixe et Mirande , autorisé au 1-jan* vier 1861 était de 444; il a donc été porté, au 31 décembre de la même année, A 459. . liî X a TS? C j(i^ «»vèrt« dan. r» «uni d, r.iind, n été porté A 441, mais 440 seulepient tigiirent au présent rapport, la. caisse de Cbaumont (llaiile-Hariie) u’arant ou fournir ses comptes en temps utile. / / e 1.6 deuxième tableau fait coonailre le nombre et le siése dos c a l^ d'épargne dans chaque département, le nombre et te sn ge de leurs succursales, le c.ipitnl de leurs fonds do dotation et de réserve nu 1 -janvier I8GI. les souscrip- liooi p.irticqliëres, les subventions des conseils généraux et mumcmanx, les intérêts des fonds de dotation et de ré- wrve, et les bunillcatiuns perçues pendant Tannée, et èuflii le capital dqs fonds de dotation et de réserve au 31 dé- ccrabrel8Gl. • U nombre des succursales, qui iTétait que de 205 au 3! décembre 1860. a atteint 243 en 1801 ; d’où résulte mue augmeninlion de 38 succursales ou dé 1/5* environ. I.CS 213 succursales étaient établies, savoir ; 14, dont 7 do 1" classe et 7 de 2* classe, dans leschefs, iicux d arrondissement; 229, dont 29 de 1” classe et 200 de y classe, dans des chcfs-tieux de canton, des communes ou des sections de commnne. II ne restait ainsi, au 31 décembre 1861, que 26 chefs- lieux de sous-préfecture dépourvus de caisse cl do succur sale. Wlan de lu fortune narliculière des raisses d’épargne en 1861. rapproeiié de celui qui se trouve consigné dans te rapport sur Tannée-lSÜO, domm les résultats généraux sui vants : . Itcstc au 31 décembre 1860 . . . 10,001.244 fr 49 1861 . . . 10,685,017 96 I. p iflic u ilii fiint çoniipilre qâ, ntiâîiA ® aurait adressé au ministre ru.>u*e * da!i te étrangères de nussio déclarerait dans c^ie dépêche que I acceptation du projet d’ôrganisa- par le comte Russell serait Je seul mSoii de de rim * inextricable conflit dano-aiioiDand, et DiOéreuce en plus . 683,773 fr. 47 S Exe. M. le ministre des flnances vient d’adresser un rapport à TEmpereur sur les résultats probables de Tcxer- çice 1862, les prévisions de l’exercice 1803 et les bases du budget de 1864, qui sera envoyé au Corps législatif dès les premiers jours de la session. Le fait essentiel, c’est que les réformes fluancières inau- g u r ^ il y a treize mois par S. Exc. H. Achille Fould ont produit les meilleurs résultats; les dépenses générales ont été slnrleiuenr maintenues dans les limites des crédits auxquels il n y aura A ajouter que 24 millions pour les dé- nen:^ snpplémeiitaiires de l'expédition du Mexique en I8l>2 : plus 11 millions pour les di-awbacks des sucres raf- Unes, dont Texporlation a pris un dévcloppemeul exlraor- — Par décret impérial, en date do 8 décembre, rendu sur la proposition du minisiro de l'intérieur, ont été nom més membres du conseil de surveillance de Tadministra- tion générale de l'Assistance publique A Paris : MM. Dnpin, procureur général A la cour de cassation: Çutlerier, chirurgien A Thépital du Midi; Rataud, malrè du 5*arrondl«»ement; Lévy, maire du 11* arrondissement • i'ereire (Eugène), banquier; le comte Le Pellotier-d'Au- nay, député; Picard, membre du conseil iqunicIpaL — -w V.. M I iiicAincauie conini uano-alioi„ ? rS®!?®*’ dansdes esprits en étant tout prélVxrè Î iîf li ?•' les classes de la population atleman& des duchés. ' Une démarche aussi pércraptoire. faite au nom do t'em- ces.Hairemenl produire une profonde impression sur le Boa,erneme"l dan,l,. Le c t'ln .l ecUiel J dinc d™ .îinL m l 'ïi mais la lacho de eeiK qui lui 4 iÎÏm Ü 1 ‘1* Pâisqil ils .iilraieiil J S î “S,»l7e'rUalL m corrwpondance as.sure qu’on prépare une loi îï Sl®*wig «onçne dans un suiis libéral, ou parle même d une nouvelle constitution pour le duché ^ décembre que Lord'EUiol s •qiuitlé onideusemeiU p u pJCAÛilpnl 4ti KOUXertuitmuiàflÈie visoire I intention du gouverneinenl anglai: de îles loniennesA (u Grèce cl le refus décisirdii juince Alfred, candfdat oniwicHiîiaenl A Athènes d'uiiciui autre ^'"® d'Athènes est aii- i-?., I J^omplélement connu. Neuf iiiillu et quelqueb entailles de voix ont été données au priuco Alfred. Quant •'«y®»*"®* la cmslatation omcielle n «Il sera connue que dans quelques Jours. A lite..’'*®?!’®"® députation sont aus.si terminées A Athèn^. Il y avait huit députés A élire. Voici les choix nui mit été faits : .Mil. Knilifronas, ancien miiiistro de ta ma- rin«, içBéilérai MaLnaniil: Kaiiisiw, nricira jiihdsire; lleii- SnS.Mi lialioii.iiii ; •' •*“ e"”''™. UmsIus. L’as- semblée s est réunie le 22 décembre. Une dépêche de NowYurt. en dalo du 15, annonce ritcsburg. I.es fédéraux étaient au nombre do 40 000 1 es pertes ont été grandes des deux côtés : Tarmée du Nord a eu, dans cette alfaire, deux généraux tués ; Jackson et bayard; cinq autres ont été blessés. I '* Ivs courts détails appariés par tS ÔM’nucun des deux pnrlis^U oht!mÙ i avant,! e. Cette bataillo ii aurait pas eu encore un résullal décisif, t ^ confédérés occupaient tuiiioni-s six lignes du defen^derrière Frederlksburg. et on croy iit que l5 géné- , du ie»lerait une noiivelle nltaipie duiis la journée r^sl*" 1" î^.? ‘iécisivo. Les fédéraux sont dé- dwiks'bufg Bufuside a dù évacuer lu ville de Fre- du Une dépêche de New York apprend que, te lendemain - j jonr ou 11 a connu l'échec du général Üurnsidc. le pré sident Lincoln a demandé A voir notre ministre, et au’it a eu une tres-longue conférence avec M,-lo baron Mercier. . l*arlement anglais doit se réunir nu commeneemonl ? ? 1 5,®.*"**!!* généralement assi gnée. La prineip.ile atfaii'e de la session sera la question dw dépenses militaires et maritimes. La politique linaii- cièro du cnbmel no peut, d'aiticum. tarder à être connue. Outre les éMiiomies déj.A annoncées dans les chapitres de la flotte et de l arm ^, on sait, dit une correspondance de prit d'TrôJuction "" 1.^ dernières nouvelle du Japon ne coiinrinml pas les bruits d une révolution dans cet empire, mais elles expli quent les faits qui viennent de s’accomplir A Yeddo et nui ont apporté une moditication grave dans les ripports exis tants entre (c gnuveroenicnl japonais cl la puissante aris tocratie du |>ays. ®* Shang-îlaï, 5 novembrq. donnent 4 iuiéressiintii détails sur J im mouvements de nos forces na- « "• ,®23 et 26 octobre, le commandant Fait- ÿ n . qui coinmaiiile nuire escadrille, de concert avec le A ®°>d«iî‘«dant les forces navales anglaises, avau opéré une reconnaissance sur les villes de Loii-Thié et Lou-llo, siluu's au-delà du Kiadiiie. el qu'on supposait au pouvoir des rebelles. Les cuinuiaiidants en dief oui mnjvé CCS deux villes entièrement abandonnées ainsi qu'un foid qui commando Lou-Ho et dans lequel ils ont lalMc une garnison de 100 Chinois réguliers dn colonel Uiir- gewine. Fendant toute cette excursion, qui s'est étendue A 3 ou 4 iiuiies !iii-du|A do Eiadine, tiw alliés ai'ont rencontré aucune force rebelle. Lus villages étaient presque tous cuites *”*'* ruiués, les tcnvM A peu près iii- W ^lacliciiieiil français est resté devant Kladine. jus- q u ftu ^ c t nesl rentré à Sli.ing-llaï que le 29, laissant Kiaüine occnpu par 3.ÜU0 huniiue.s de troupes impériales. Il a été beaucoup qnrstinn, eu sons divers, dos disno- sitmns dont le régime do lu boulangerie .sera l'objet. nous sommes en mesure do llxer positivement A cet égard les mccriitudcs du public, en donnant le texte même im projet do décret adopté par le conseil d’Elal sur la Jiia- flispost-' bons des décrets, ordonnances un l'ègloments, ,iyant pour oujet (te limiter le nombre des boulangers, do les plainir sous I autorité des syndicats, de les soiiincitro aux forma it lis des autorisations préalablc.s jwur la rond,ation ou tu lermcliirc do loiti's étdbnssomcnt.s, do leur imposer des ré serves de farines ou de grains, des dépôts do garantie ou (les 4»utionncnienls en argent, et, eu général, toutes dis positions tendant A réglementer la fahricalion, lo transport ou la yeiilo du pain, autres que les mo.siirc.s do police mu nicipale relatives A la salubrité et à la ndélllé du débit du pain mis en vente. « — On écrit do Lisbonne, le 12 décembre : Un airreux accident est arrivé sur le chcntin de TEst. Uii convoi, portant des matériaux et enviroir 200 otivrieis, pas.^11 Siir le |innl du S.»r, quanti tout à coup loï pont s’é- Ai. ®bder fui précipité dans l.i rivière. On dit que ICO pei-sonnes ont été tuées et un grand iionibre de blessées Ou n diÿà commencé les pvépar.ilifs pour les noces pro- cnanicsdii prmccde Galles, dans les opparteinenls d’Etat et (luns la chapolle royale de Saiul-Co .rgcs. Tons les ap- partoments d Etal seront décorés A neuf, et Tou conjecture • *A"' ”'*'fcrls au public qu'après le inariaue. Dons la chapelle do Saint-Guorges des ouvriers sont occu pés a elever neuf rangs de sièges tenipuruires desliiié^à wnx qui seront assez füvorisé,s pour obtenir des billets. A t e.xireniitc occidentale de la chapolle. un large espace sera aussi rhis et dispo.sô pour recevoir les visiteuiM qui assls- teroiit a la corémunio. B lr t*o»r extrait et rédaction : E. ÜEG.NIEll. M. le cardinal M>rlot, archevêque de Parisv. grand au mônier do TEnipereiir, priiniclor du chapitre de Saint- Ueiijs, membre du tîonseil privé et séualcuV, ''est mort iuiidi matin, entre six et sept heures, des suites d’uno oa- ralysie pulmonaire. t.a cruelle maladie à laquelle vient do succomber Sou Eminence t a prise ravaul-voille de Noôt avec une intensité qui ne laissait plus aucun espoir. Uno circulaire u été adre^ée aiMsitot au clergé par les vicaires généraux du diocèse pour demander des prières. Dans la iiiiit <!« jvoêl le prélat a reçu la communion et Textrême-onclion. Simedl soir, à huit heures, son élal était ti-è-s-gravc. La première partie do la dernicre nuit a été assez calmo, il y a eu quelquLM iiistuiits de somnieil; lo re.slo de la nuit a été né- mblo, agilt, plein d'angoisse.s. Lo dimaiiclu-, Tétat du car dinal se.st unilhcurcusVmuni aggravé d’imo manière no table, jusqii au lundi matin où il a .succombé. «8 (ISrahrcOOS '■aiisrcs. lo SIgr iUorlot fut sacré évêque d'Orléans le 18 août 1859 archo^qiie du Tours te 27 janvier 4843. cardinal lu 7 man ÎS?’ Je 24, janvier 4857. Le l3deA |! 4867. 1 tnipereur le nomma son aiiaiéiiier et te créa nr^ mic er du chapitreJrai^riAI de Sulul-Detiw. Son EmteM?» était grand croix de Tordre impérial de la Léûload'Sn ncur, séiiMteiir et membre du conseil privé; :. !® 9U®lrième archevêqueque TE:disa 11"® u descendre dans ta tombe 4848- J®* Jw’f n w d e s e n ju Jii çllevê«uc» Ms prédécesicure, diplaefe â ca«™ de la ,L 1 Àia a “ l*asili(liK. Sou propre cercueil ser u )S A tôlé de celui de ses pr^écesseurs. . . J"'*®*' ■ coSq*uÏÏ“lm.fS^^ Trièr rrrïïe t T ‘,s ; .i o ‘„ia" . Son Eminence, qui avail reçu ioHrêraemnclioii jours aumiravaid, a demandé le salnl-vlalmne dans la nuit de a,iraedi i dimanche, i IW e où il soixanle-septi^it année. P •S'*®!' s a réuai OrdK^fië^lusieuîe a Tarchevéoad’de Pai iiSô.h- î!®” ‘*“ 1 ****■ chois? *ôa Ited- juteur, avec su(%( msiou éventuelte, mais co ioiira^M pjis dire le nom du futur prélat. Il est auesliiHi iiiKiit do Ikigr de la Tour d'Auvergne, promu récemment A lêZ'dêSn, “ ‘“Ijuleur de l'arche. qnÏÏa'’n ta n “ ‘ Vrance; il „ «habité ne connais.<ait aucune borne. Citons uno aiiKcdote qui ne remonte qu'A quelques années ' Un jour. Pierre, te valel^de ch a in W o i-Sânce dit au pielat qu un pauvre honteux roanqiiAit de linge cl sotliriin un piélèyouienl .sur la cassette des mimônes S r s^bS aux besoins de son protégé. ««venir Le prélat acqnleOT à la demande do rinminie de non m i " 'f " •'« I» dialrihu de sea“ î- r : , “c:;.'aSh!a’ ?“i,'ier:-niî:»” '“" “‘ — gn'est-ce wcl! dll-il 4 Pierre. rh'ic^is.'j'ioSBtur Tous les Ciirdin.aijx français viendront, dit-on A P.irt,j ‘h ®'i devoir» à leur vénérable collègue- ... m Ü 1^,7“ '.:? é>*pnai snlTra- 1 luucum , |||||,{||.Q (leruni. Apres la cerémumo, le cercueil sera déposé dans lu r-. veau nouvcllemonl condruit par tes ordres de M«*r Murlm poim^reccvoir les dépouilles *mortelt(« d ^ ttê q u ® üu journal fait, A cette occasion, un tri le «i douloiii-eiix rapprechcraent, c'est que Mgr Morlol pi-écèdo dans y a u les restes dç ses prédéce&teurs qu'il devait, sous ncu dojour», y transporter lui-mêine. *««i. wus peu Ccst par erreur que Toh a annoncé que Mgr.Morloi éiait conimimdcur de ta Légipii d'honneur; le cardinal arche vêque de P.yis avait le grade de gmud-ofDcier. La mort <^e Mgr le cardinal Morlot réduit à cinq le nom- A ite françuw Voici leurs noms rt leur âge • "ùvrlSMTBÜ!' ‘"■‘■ '" " * 1 " ' Oioubory, no io 3o‘!fcmh«î?87.“'' ‘le 1-ron.nüJo ‘"■'lioïêiiuo de ndins, no le lGZ,™Zi 796 ““'"‘''- "= 2oK m 7M.'’ ' “"='"-''«'l“e do Besançon. niS le LE PEINTRE SUR PORCELAINE SCÈliBS DE LA VIE PARISIENNE. 1 . JuSteî quelque temps après la révolution de Sur la Bd du nibis ^o septembre, dans la matinée, un S*Neuf enwre vert, parcourait A pied le Au iiioroenl où II arrivait aq bout de la vole, en face de -L teurnall A gauche et se diriaeait iqr le JMI des GrAnds-AuguntiiM, du côté do io|é(Iiflee diviiié ."®“ ÎWJ « I connu sous le nom do Marché à la Totallle et au gibier. &pt heures yenaieql de sonner AU commeucçment de Tau(omne, le ciel de Paris est îû« “‘‘«'•‘J» de la Seine •oui enveloppés d’un épate brouillard. ' boite.ïK'^®® »«?««»• et Militaire ne s'étail point Ü..1 I manteau ni d aucun de ces par-dessus prolec- «epM que la mode qioderne a Imaginés. «alîm ***** •’J»®*’*'®! H 4lait presque en costume .de Quejqaq coups de crayons te feront mieux connaître. Proiqeneurpvalt une grosse Initie, uii dos rond; «li d ïl'W celle de l'homme de cour et de fin et lîiiS ?® Aux franges do son lingo très- Iwir du S ^ voyaient des bordures de dentelle. Au- Trt • 1 " '* Pwrteit une ciavate de salin. •OUI te reste de son costume était en casimir unir. Sur les traits de son visage, un observateur aurait pu tire que te personnage iTéiait pas une naturo vulgalie Deux petits yeux noirs éclairaient la ligure d’une lueur Ires-vive. 11 y avait aussi sur I< m lèvres, un peu roiiges et par çonséiiueiil sensuelles, un sourire empreint d’uiie pointe d esprit assez acéré. CepeiidaiU un (lisoiplede Larater, quelque consommé ü-rtî ^ la Bcienco de la physiognoinunie, aurait diiucitemenl débrouillé te sens de cette énigme ambulante. Que pouvait être un pareil homme, qui se proinonail en automne, seul, dans un quartier niilleinuiit iirlstocratique, A une heure ou tes gens comme il faut sont encore au lit? Si ceilt été un magistral affairé, un juge d'inslruciion; un avocat en renom ou même un grelTier haut gradé, il aurait coupé te pont Neuf par la moitié et serait entré au l aiats de Justice, 011 longeant la potito place Desaix: si ceui été un professeur célèbre se rendant A l'Ecole de mé- decino nu A TEcole de droit, il aurait d'abord pris iiiio vol ture pour économiser «es forces «1 te Icnips du ses élèves et en second heu, Il n'aurait pas manqué de prendre pai l.<h l-lia HniinklnA -- .... i A i - ■?_* . .5 '' P“' ,, ,1 n iii0 „ |,tiK iiiiiiiiMit> ae pl ia rue Dauphinc, c est-A-dIro par la ligne di oiic. \ ai^ par Ito une do çcè conjecrurcs no peuvani s’ojnslor nu en- ractère ni A I ollura de ce piélim, les pas-<anis se boriiaieiil A penser que c était un original, ce que nos voisins d'outrc- mcr appellent un exceniriquo. Ils ne ae trompaient pas. L’homme H'étalt pas plutôt entré dons la llnllo A la vo- taitte, une. de vingt côtés A la fois, les marctiandes Taiiiie- laieiit A voix haute. ^ujour, mensieiir te marquisl le marquis, venez ilonc par içi ! — Ahl voilA Icxculfeni marquis t Mesdames, c'e.-«t iino bonnejoürnée pour nous. I ?i"i? "lü? ‘J°'V.® 4»'jA deviné <iuc celui que los dames do la iialle inlernollaiont si familièrenienl no piiiivaiont être qu une célébrité pastronomiqno. t:’(.lail, en olfüt, M. lo niitrqiiis do Ciissy, ancien prc- rnicr oifleier de bouche de .Napoléuji. et i’nn dos gmirroatids les pins illustix's du dix-neuvièmé siècle. n . l * r 'î ? a ’* ^«suito. un peu plus tard !il^.îîte ^ .n ® marquis se iLV.iii au peut jour, romino los mnîlios d'tiôlcl dugiMiido maison, et aimait a faire son inairlié l'ii-môrnu. Homme d'esprit, sccpliipie coniino le sont d’ordiiinirc k.> Sybarites, it disait qu'il avaii assisté la révolution umimo à un repas un peu agilé, mais où il n’avait nas perdu un coup do dont. ^ •n.**.<upjs denîandaii^’ J*®””»® ‘i® C(cm' quand Tuccasioii le Apres le 20 mars, il reprenait son service aux Tuileries Quand la iiouvello du d0.saslrc de Waterloo lui parvint. Il s écrja sur te Ion d’ilpo anièro tristesse : — Allons, voifà ma niarmlle encore une fois renversée! Cependanl. rannéo suivante, nu do scs amis («'était te îhîlteteus faisait donner une sinécure do Ç’est assez, disait-lî, c’est un morceau de pniii et un raorociau do fromage do Une. > q“i criaient sans cisso contre (d révolution et scs consi-qiienees. Sons Chiirlus X, lorsque fuTproniiilgiiée la loi relative à I Indemnité accordée aux émigrés, il refusa obsiinémeiit acii rcvendiqiior sa part.. - Ne parlons point du pas-sé, disait-il. • En général, il n’aimait r -uT.” T*** 4 s'occuper do nialièros sé-» rieuse». Rien vivre était A ses yeux tmito la phllo.soèhte (juin homme sensé dût malt revu pratique. ' Y en ad-il nue moilleiire? — Don» los loraps niudcriii », itlsnil n, || n'a 414 nrn- ùonoê qil iili iiiiil »oii»i!. el il osl liijiihê J b la huiicha d'im BoujuiuikL c e»l lo belle parolo d’IIcnrlou du l'otiiley : sSd& fr™ '' «u™,- heu?cs"'“"*“'’ raidi el dlnoil 4 six Sa pciifo lahlo ulail ouvcrio loule i’aiinùe Lomuw 11 éhiillrès-oxperl en loul ic niii'imichail r.n du bien vivre, les prcmilre» ra,lisons du Frnnreeld'ln Blelum le ch.vrgeaiuî,l de dégnslalions iln^Vlëmc? A Pai 1 », on lu priail sans eusse do jncur, ul son iiieeireiil faisail loi parnii us niarchands, snrloul aux Hallus çranraoje l’a. dd. il su re..dai( do •, é,. 8ua,.d rà.dhîl An milieu de sus amis, en raanBoanl. il avail loulours un lonr de eonveiïalion On ul origiiMl. ‘oiijonrs un I"'" “ eerapInisaUsurlonl 4 combolln! mcsono loiis lus priiioipes 4mls dans la fhytiologlc d» md,. ^ Ainsi, Brillai Savarin vonlail donço personnes 4 Jahiu- lo marquis de Cnssy rt'plmnail ! -onnes a lanie. .."r n'usl pas le nombre. L'école de Salemc oui clail SI saBO, diaall ; ■ Jamais que lus Irais Grâces- iamais plus qitc les Huur Muscs. ■ isinr moi, je dis : . Shyùx irôis soycxsix, ou soyez nunr. . .j-ni».. aoyiz irais. Il JSîail'''* "*®' Cuà 'la IbSle"™ '’ '‘ -ira; Urillat-^varin domniide deux douzaiiuxi d*htiilrâs »i vem qu'elles soieyl onverlos'el placéS ' c a -S s 7 r îi Le marquis se récrio : ~ l'rofosKeurl de» hiiiireit ouverte» d'avance et neiihéirA même détachées? Mais c'wi te honl» d X barK S jiour que te vous rxcuko, il fant que jo me ranpelte àuo vous ôtes né ànm le département 3e l’Ain stu auteur de ta Physiotogie du geût voulait dee glaces dans utie-suRo à manger; Nj do Cusay s’ir oppoMil. — On n a pas bcaufn de se voir manger.

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Page 1: Trièr rrrïïetT‘,s;.io‘„ia rh'ic^is.'j'ioSBturbmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1863_01_03_MRC.pdfFendant toute cette excursion, qui s'est étendue A 3 ou 4 iiuiies

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Le Moàitéur universel de m ercredi publie un décm f que tous les lecteurs e t ira,esprits libéraux su rtou t accuellloi^nl avec jo ie e t reconiialssauée.

Ce décret ordonne la publicité des séances des conseils d e prérectprcs eu m atière contenlieuse.

—; Le Monilettr de m ardi publie le rapport adressé àI E m pereur par le m lidstre d e ra g ricu ltiire , du eom inerce et des travaux publics s u r l«?s oiiérAlioiis des caisses d 'é ­pargne pendant Tannée 1861.

Ce rapport se divise, su iv in t l'usage^ en six tableauxU prem ier tableau renferm e Ténum ératlon des «aisses

autorisées au 31 décem bre 1801, dan s Tordre d e le u r auto- risalioii ; il indique en même tem ps la d a te d é leu r m ise eu activité. • . • . ■ •

M ® ®réé quinze caisses d ’éparane p a r I initiative e t p a r les soins des côuseils inuuicipaux des com m unes dont les noms suivent :

G raulhel. G ravelines.le Caleau, Nay, Albertville, Cordes. RocroL U udvM es. &iiul*M»rcelliii, Sain t-F lurenllu , Mou’ tie rs , fssoire, Sainii|énn>de-M auiiénne, Oçcixe e t M irande

, a u t o r i s é au 1 -jan *vier 1861 était de 444; il a donc été po rté, au 31 décem bre de la m ême année, A 459.. l i î X a T S ? C j ( i ^ « » v è r t« d a n . r» « u n i d , r . i in d , n été porté A 441, mais 440 seulepient tigiirent au présent rap p o rt, la. caisse de Cbaumont (llaiile-H ariie) u’aran t ou fo u rn ir ses comptes en tem ps utile . / / e

1.6 deuxième tableau fait coonailre le nom bre e t le siése dos c a l ^ d 'épargne dans chaque départem en t, le nom bre e t te sn ge de leurs succursales, le c.ipitnl de leu rs fonds do dotation et de réserve nu 1 - jan v ie r I8G I. les souscrip- lio o i p.irticqliëres, les subventions des conseils généraux e t m um cm anx, les in térê ts des fonds d e dotation et de ré- w rve, et les bunillcatiuns perçues pendant Tannée, et èuflii le capital dqs fonds de dotation e t de réserve au 31 dé- cc rab re l8 G l.• U nom bre des succursales, qu i iTétait que d e 205 au 3!

décem bre 1860. a atteint 243 en 1801 ; d ’où résu lte mue augm eninlion de 38 succursales ou dé 1/5* environ.

I.CS 213 succursales étaient établies, savoir ;14, don t 7 do 1" classe et 7 de 2* classe, dans les chefs,

iicux d arrondissem ent; 229, dont 29 d e 1” classe e t 200de y classe, dans des chcfs-tieux de canton , des com m unes ou des sections de commnne.

II ne resta it ainsi, au 31 décem bre 1861, que 26 chefs- lieux de sous-préfecture dépourvus de caisse cl do succur­sale.

Wlan d e lu fortune narliculière des raisses d ’épargne en 1861. rapproeiié de celui qui se trouve consigné dans te rapport s u r Tannée-lSÜO, domm les résu lta ts généraux sui­vants : .

Itcstc au 31 décem bre 1860 . . . 10,001.244 fr 491861 . . . 10,685,017 96

I . p i f l i c u i l i i fiint çoniipilre q â ,n t i â î i A ® au ra it adressé au m inistre ru.>u*e *

d a ! i t e é trangères d e nussio déclareraitd an s c ^ ie dépêche que I acceptation du pro jet d ’ôrganisa-

p a r le com te Russell sera it Je seul m S o ii de d e r im * inextricable conflit dano-aiioiDand, et

DiOéreuce en plus . 683,773 fr . 47

S Exe. M. le m inistre des flnances vient d ’ad resse r un rapport à TEm pereur su r les résu lta ts probables de Tcxer- çice 1862, les prévisions d e l’exercice 1803 e t les bases du budget d e 1864, qui sera envoyé au Corps législatif dès les prem iers jo u rs de la session.

Le fait essentiel, c’es t que les réform es fluancières inau- g u r ^ il y a treize mois p a r S. Exc. H. Achille Fould ont produit les meilleurs résu lta ts; les dépenses générales ont été s ln rle iu en r m aintenues dans les lim ites des crédits auxquels il n y aura A ajou ter que 24 m illions p o u r les dé- n e n :^ snpplémeiitaiires de l'expédition du M exique en I 8l>2 : plus 1 1 millions pour les di-awbacks des sucres raf- Unes, don t Texporlation a pris un dévcloppemeul exlraor-

— P ar décret im périal, en date do 8 décem bre, rendu su r la proposition du m inisiro de l'in té rieu r , ont é té nom ­m és m em bres du conseil de surveillance de Tadm inistra- tion générale de l'Assistance publique A P aris :

MM. Dnpin, procureur général A la co u r d e cassation : Çutlerier, chirurgien A Thépital d u Midi; R ataud , m alrè du 5*arrondl«»em ent; Lévy, m aire du 11* arrondissem ent • i 'ere ire (Eugène), banquier; le com te Le Pellotier-d'Au- nay, d ép u té ; P icard, m em bre d u conseil iqunicIpaL

— -w V.. M I iiicAincauie conini uano-alioi„? rS® !?® *’ dansdes esprits en é ta n t to u t prélVxrèÎ i î f l i ?•' les classesd e la population atlem an& des duchés. '

Une dém arche aussi pércraptoire. faite au nom do t'em-

ces.Hairemenl produ ire une profonde im pression su r le B oa,ernem e"l d a n ,l , . Le c t ' l n . l ecUiel J d in c d™ .îinL m l ' ï i m ais la lacho de eeiK qui lui4 iÎÏm Ü 1 ‘1* Pâisqil ils .iilraieiil

J S î “ S , » l 7 e ' r U a l L“ m corrw pondance as.sure qu ’on prépare une loi

î ï Sl®*wig «onçne dans un suiis libéral,ou parle m ême d une nouvelle constitution p o u r le duché

^ décem bre que L ord 'E U iol s •qiuitlé onideusem eiU p u pJCAÛilpnl 4 ti KOUXertuitmuiàflÈie visoire I intention du gouverneinenl angla i: de îles loniennesA (u Grèce c l le refus décisird ii ju ince Alfred, candfdat oniwicHiîiaenl A Athènes d 'uiiciui au tre

^'"® d'Athènes est aii- i -? ., I J^omplélement connu. Neuf iiiillu e t quelqueb e n ta il le s de voix on t é té données au priuco Alfred. Quant

•'«y®»*"®* la cm sla ta tion omcielle n «Il sera connue que d an s quelques Jours.A lite..’'*®?!’®"® députation sont aus.si term inées AA th èn ^ . Il y avait hu it députés A élire . Voici les choix nui mit été faits : .Mil. Knilifronas, ancien miiiistro d e ta m a- rin « , içBéilérai M aLnaniil: Kaiiisiw, nricira jiihdsire ; lleii- S n S .M i lialioii.iiii ;

•' •*“ e " ”''™. Um sIus. L’as-sem blée s es t réun ie le 22 décem bre .

Une dépêche de N o w Y u rt. en dalo du 15, annonce

ritcsburg. I.es fédéraux éta ien t au nom bre do 40 000 1 es pertes ont été grandes des deux côtés : Tarmée du Nord a eu , dans cette alfaire, deux généraux tués ; Jackson et b ay a rd ; cinq au tres on t été blessés.I '* Ivs co u rts détails appariés p a rt S ÔM’nucun des deux pn rlis^U oht!mÙ

i avant,! e. Cette bataillo ii au ra it pas eu encore un résullal décisif, t ^ confédérés occupaient tuiiioni-s six lignes du d e fe n ^ d e r r iè re F rederlksburg . e t on croy iit que l5 géné- , d u ie» lerait une noiivelle nltaipie duiis la journée

r^sl*" 1 " î^ .? ‘iécisivo. Les fédéraux son t dé-dw iks'bufg Bufuside a d ù évacuer lu ville de Fre-

duUne dépêche de New York apprend que, te lendemain

- j jo n r ou 11 a connu l'échec du général Üurnsidc. le pré­s ident Lincoln a dem andé A voir no tre m inistre , e t au ’it a eu une tres-longue conférence avec M,-lo baron Mercier.

. l*arlement anglais doit se ré u n ir nu commeneemonl ? ? 1 5,®.*"**!!* généralem ent assi­

gnée. La prineip.ile atfaii'e de la session sera la question d w dépenses m ilitaires e t m aritim es. La politique linaii- cièro d u cnbm el no peut, d 'aiticum . ta rd e r à ê tre connue. O utre les éM iiomies déj.A annoncées dans les chapitres de la flotte e t de l a r m ^ , on sa it, d it une correspondance de

p rit d 'T rôJuction " "

1 .^ dern ières n o u v e lle du Japon ne co iin rinm l pas les b ru its d une révolution dans cet em pire , m ais elles expli­quent les faits qui viennent de s’accom plir A Yeddo e t nui on t apporté une m oditication grave dans les rip p o rts exis­tan ts en tre (c gnuveroenicnl japonais c l la puissante a r is ­tocra tie du |>ays.

®* Shang-îlaï, 5 novembrq. donnent 4 iuiéressiintii déta ils s u r J im mouvements de nos forces na-

« "• ,® 23 et 26 octobre, le com m andant Fait-ÿ n . qui coinmaiiile nu ire escadrille, de concert avec le

A ®°>d«iî‘«dant les forces navales anglaises, avau opéré une reconnaissance sur les villes de Loii-Thié e t Lou-llo, s ilu u 's au-delà du Kiadiiie. el qu 'on supposait au pouvoir des rebelles. Les cuinuiaiidants en d ie f oui m njvé CCS deux villes en tièrem ent abandonnées ainsi qu 'un foid qui com m ando Lou-Ho e t dans lequel ils ont lalMc une garnison de 100 Chinois réguliers dn colonel Uiir- gew ine. F endant toute cette excursion, qui s 'es t étendue A 3 ou 4 iiuiies !iii-du|A do E iadine, tiw alliés ai'ont rencontré aucune force rebelle. Lus villages étaient presque tous cu ites *”*'* ru iués, les tcnvM A peu près iii-

W ^ la c lic iiie iil français est resté devant Kladine. jus- q u f t u ^ c t n e s l re n tré à Sli.ing-llaï que le 29, laissant Kiaüine occnpu p a r 3.ÜU0 huniiue.s de troupes im périales.

Il a été beaucoup qnrstinn , eu sons divers, dos disno- sitm ns dont le régim e do lu boulangerie .sera l'objet.

n ous sommes en m esure do llxer positivement A cet égard les m ccriitudcs du public, en donnant le texte même im projet do déc ret adopté p a r le conseil d ’E lal su r la Jiia-

flispost-'bons des décrets, ordonnances un l'ègloments, ,iyant pour oujet (te lim iter le nom bre des boulangers, do les plainir sous I au to rité des syndicats, de les soiiincitro aux forma­it lis des autorisa tions préalablc.s jw ur la rond,ation ou tu lerm cliirc do loiti's étdbnssomcnt.s, do leu r im poser des ré­serves de farines ou de gra ins, des dépôts do garan tie ou (les 4»utionncnienls en argent, e t, eu général, toutes d is ­positions tendan t A réglem enter la fahricalion, lo transport ou la yeiilo du pain , au tres que les mo.siirc.s do police m u­nicipale relatives A la sa lu b rité et à la ndélllé du débit du pain mis en vente. «

— On écrit do Lisbonne, le 12 décem bre :Un airreux accident est a rriv é su r le chcntin de TEst. Uii

convoi, po rtan t des m atériaux e t enviroir 200 otivrieis, pas. 11 Siir le |in n l du S.»r, quanti tout à coup loï pont s’é-

A i. ®bder fui précipité dans l.i rivière. On ditq u e ICO pei-sonnes on t été tuées et un grand iionibre de blessées

Ou n diÿà commencé les pvépar.ilifs pour les noces pro- cnanicsdii p rm cc d e Galles, dans les opparteinenls d ’Etat e t (luns la chapolle royale de Saiul-Co .rgcs. Tons les ap- partom ents d E tal seront décorés A neuf, et Tou conjecture

• *A"' ” '*'fcrls au public qu 'après le inariaue.Dons la chapelle do Saint-Guorges des ouvriers sont occu­pés a elever neuf rangs de sièges tenipuruires desliiié^à w n x qui seront assez füvorisé,s pour obtenir des billets. A t e.xireniitc occidentale de la chapolle. un large espace sera aussi rh is et dispo.sô pour recevoir les visiteuiM qui assls- teroiit a la corém unio.

B l r

t*o»r extrait et rédaction : E. ÜEG.NIEll.

M. le card inal M>rlot, archevêque de Parisv. g rand au ­m ônier do TEnipereiir, priiniclor du chapitre de Saint- Ueiijs, m em bre du tîonseil privé et séualcuV, ''est m ort iuiidi m atin , en tre six et sept heures, des su ites d ’uno oa- ralysie pulm onaire.

t.a cruelle m aladie à laquelle vient do succom ber Sou Eminence t a prise ravaul-voille d e Noôt avec une intensité qui ne laissait plus aucun espoir. Uno c ircu laire u été a d r e ^ é e aiMsitot au clergé p a r les vicaires généraux du diocèse pour dem ander des prières. Dans la iiiiit <!« jvoêl le pré la t a reçu la communion et Textrême-onclion. S im edl so ir, à hu it heu res, son éla l é ta it ti-è-s-gravc. La prem ière partie do la d ern ic re nuit a été assez calmo, il y a eu quelquLM iiistuiits de som nieil; lo re.slo de la nuit a été né- mblo, ag ilt, plein d'angoisse.s. Lo dimaiiclu-, Tétat du ca r­dinal se.st unilhcurcusVmuni aggravé d ’imo m anière no­table, jusqii au lundi m atin où il a .succombé.

«8 ( I S r a h rc O O S '■aiisrcs. loSIgr iUorlot fut sac ré évêque d'O rléans le 18 août 1859

arch o ^ q iie du T ours te 27 janv ier 4843. card inal lu 7 m an

Î S ? ’ Je 24, jan v ie r 4857. Le l3 d e A |!4867. 1 tn ip e re u r le nom m a son aiiaiéiiier e t te créa n r ^ m ic e r du chapitreJra i^riA I d e Sulul-Detiw. Son E m teM ?» éta it g rand croix d e Tordre im périal d e la L é û lo a d 'S n n cu r , séiiMteiir e t m em bre d u conseil p riv é ; : .

!® 9U®lrième archevêqueque TE:disa 11"® u descendre d an s ta tom be

4848- J®* Jw’fn w d e s en juJii

çllevê«uc» Ms prédécesicure, d ip laefe â ca«™ d e la , L 1 Àia a “ l*asili(liK. Sou propre cercueil se r u ) S A tô lé de celui de ses p r^ é c e sse u rs . . . J"'*®*' ■

c o S q * u Ï Ï “l m . f S ^ ^

Trièr r r r ï ï e t T ‘, s ; . io ‘„ia". Son Eminence, qui avail reçu ioH rêraem nclioii jo u rs aum iravaid, a dem andé le salnl-vlalm ne dans la n u it de a,iraedi i dim anche, i I W e où il s o ix a n le -se p ti^ it année. • P •S'*®!' sa

réu ai

O r d K ^ f ië ^ lu s ie u îe a Tarchevéoad’d e P aiiiSô.h- î!®” ‘*“ 1 ****■ chois? *ôa I te d -ju te u r , avec su(%(msiou éventuelte, m ais co i o i i r a ^ M pjis d ire le nom du fu tu r p ré la t. Il es t auesliiHi iiiKiit do Ikigr de la Tour d 'Auvergne, prom u récem m ent A l ê Z 'd ê S n , “ ‘“Iju leu r d e l'a rc h e .

qn ÏÏa '’n t a n “ ‘ V ra n c e ; il „

«habité ne connais.<ait aucune borne. Citons uno aiiKcdote qui ne rem onte qu'A quelques années '

Un jo u r . P ie rre , te valel^de c h a i n W o i - S â n c e d it au p ie la t qu un pauvre honteux roanqiiAit de linge c l sotliriin un piélèyouienl .sur la cassette des mimônes S r s ^ b S aux besoins de son protégé. ««venir

Le p ré la t acqnleOT à la dem ande do rinm inie de non m i “ " ' f " •'« I» dialrihu de sea“ î -r : , “c:;.'aSh!a’ ?“i , ' i e r : - n i î : » ” ' “ " “ ‘

— gn'est-ce w c l! dll-il 4 P ierre.

rh 'ic^is.'j'ioSBturTous les Ciirdin.aijx français viendront, dit-on A P.irt,j

‘h ®'i devoir» à leu r vénérable collègue-...mÜ 1^ ,7“ '.:? é>*pnai snlTra-

1

luucum , |||||,{||.Q (leruni.Apres la cerémumo, le cercueil sera déposé d an s lu r-.

veau nouvcllemonl co n d ru it p a r tes o rd res d e M«*r Murlmpoim^reccvoir les dépouilles *mortelt(« d ^ t t ê q u ® dû

ü u journal fait, A cette occasion, un tr i le « i douloiii-eiix rapprechcraent, c 'est que Mgr Morlol pi-écèdo dans y a u les restes d ç ses prédéce&teurs qu 'il devait, sous ncud o jo u r» , y tran sp o rte r lui-mêine. *««i. w u s peu

C cst p a r e r re u r que Toh a annoncé que Mgr.Morloi é ia it conim im dcur d e ta Légipii d 'honneur; le card inal arche­vêque de P .y is avait le grade de gmud-ofDcier.

La m ort < e Mgr le cardinal Morlot rédu it à cinq le nom- A i t e françuw Voici leurs noms r t leu r âge •"ùvrlSM TBÜ!' ■ ‘"■‘■ '""* 1 " ' O ioubory , no io

3o‘!fcm h « î?8 7 .“' ' ‘le 1-ro n .n ü Jo

‘"■'lioïêiiuo de n d in s , no le

l G Z ,™ Z i796““'"‘''- "=2oK ” m 7M.'’ ' “ "='"-''«'l“ e do Besançon. niS le

LE PEIN TR E SU R PO RCELAIN ESCÈliBS DE LA VIE PARISIENNE.

1.JuSteî quelque tem ps ap rès la révolution de

Sur la Bd du nibis ^o sep tem bre, dans la m atinée, un S * N e u f e n w re vert, parcoura it A pied le

Au iiioroenl où II arrivait aq bout de la vole, en face de -L teu rna ll A gauche et se d iriaea it i q r leJMI des GrAnds-AuguntiiM, du côté do io |é(Iiflee diviiié

."®“ ÎWJ « I connu sous le nom do M arché à la Totallle et au gibier.

& p t heures yenaieql de sonnerAU commeucçment de Tau(omne, le ciel d e P aris est

îû« “ ‘‘«'•‘J» de la Seine•oui enveloppés d ’un épate brouillard .' b o i te . ïK '^ ® ® »«?««»• e t Militaire ne s 'é ta il point

Ü..1 I m anteau ni d aucun de ces par-dessus prolec- «epM que la mode qioderne a Imaginés.«alîm ***** •’J»®*’*'®! H 4lait presque en costum e .de

Quejqaq coups de crayons te feront mieux connaître. P ro iqeneurpvalt une grosse Initie, uii dos ro n d ;

« l i d ï l ' W celle de l'hom m e d e cour e t defin et l î i iS ? ® Aux franges do son lingo très-Iwir du S ^ voyaient des bo rdures d e dentelle . Au-

Trt • 1 " '* Pwrteit une ciavate de salin .•OUI te reste de son costume é ta it en casim ir unir.

S u r les tra its de son visage, un observateur au ra it pu tire que te personnage iTéiait pas une naturo vulgalie

Deux petits yeux noirs éclairaient la ligure d ’une lueur Ires-vive. 11 y avait aussi s u r I<m lèvres, un peu roiiges e t p a r çonséiiueiil sensuelles, un sourire em prein t d ’uiie pointe d esprit assez acéré.

CepeiidaiU un (liso ip lede L ara ter, quelque consom m é ü-rtî ^ la Bcienco de la physiognoinunie, au ra itdiiucitem enl débrouillé te sens de cette énigme am bulante. Que pouvait ê tre un pareil hom m e, qui se proinonail en au tom ne, seul, dans un q u a r tie r niilleinuiit iirlstocratique, A une heure ou tes gens com m e il fau t sont encore au lit? Si c e i l t é té un m agistral affairé, un juge d 'inslruciion ; un avocat en renom ou m ême un grelTier haut g radé, il au ra it coupé te pont Neuf p a r la m oitié e t serait en tré au l aia ts de Justice, 011 longeant la potito place Desaix: si c e u i été un professeur célèbre se rendan t A l'Ecole de mé- decino nu A TEcole d e d ro it, il au ra it d 'abord pris iiiio vol tu re p o u r économ iser «es forces «1 te Icnips du ses élèves et en second heu , Il n 'au ra it pas m anqué de p re n d re pail.<h l-lia H n iin k ln A -- ....i A i - ■?_* . .5 ' ' P “ '

,, ,1 n iii0 „ |,tiK iiiiiiiiMit> ae pl­ia ru e Dauphinc, c est-A-dIro p a r la ligne di oiic. \

ai^

par

I t o une do çcè conjecrurcs no peuvani s’ojnslor nu en- rac tère n i A I ollura de ce piélim , les pas-<anis se boriiaieiil A penser que c éta it un orig inal, ce que nos voisins d 'outrc- m cr appellent un exceniriquo.

Ils ne ae trom paient pas.L’hom m e H'étalt pas p lutôt e n tré dons la llnllo A la vo-

taitte, une. de vingt côtés A la fois, les m arctiandes Taiiiie- laieiit A voix haute.

^ u jo u r , m ensieiir te m arqu islle m arqu is , venez ilonc p a r içi !

— Ahl voilA Icxculfeni m arquis t Mesdames, c'e.-«t iino b o n n ejo ü rn é e p o u r nous. •I ?i"i? " lü ? ‘J°'V.® 4»'jA deviné <iuc celui que los dam es do la iia lle inlernollaiont si fam ilièrenienl no piiiivaiont être qu une célébrité pastronomiqno.

t:’(.lail, en olfüt, M. lo niitrqiiis do Ciissy, ancien prc-

rnicr oifleier d e bouche de .Napoléuji. et i’nn dos gmirroatids les pins illustix's du dix-neuvièmé siècle.

n . l * r ' î ? a ’* ^«suito. un peu plus tard! i l^ .îîte .n ® m arquis seiLV.iii au p eu t jo u r , rom ino los m nîlios d'tiôlcl dugiMiido m aison, e t aim ait a faire son in a irlié l'ii-môrnu.

Homme d 'e sp rit, sccpliipie coniino le sont d ’ordiiinirc k.> Sybarites, it d isa it qu 'il avaii assisté la révolution um imo à un repas un peu agilé, mais où il n ’avait nas perdu un coup do dont. •n .* * .< u p js

denîandaii^’ J*®” ” »® ‘i® C(cm' quand Tuccasioii le

Apres le 20 m ars , il reprenait son service aux Tuileries

Quand la iiouvello du d0.saslrc de W aterloo lui parvint. I l s écrja su r te Ion d ’ilpo anièro tristesse :

— Allons, voifà m a niarm lle encore une fois renversée! Cependanl. rannéo suivante, nu do scs am is (« 'était te

îh î l te te u s faisait donner une sinécure do

Ç’est assez, disait-lî, c’est un m orceau de pniii et un raorociau do fromage do Une. >

q“ i criaient sans cisso contre (d révolution e t scs consi-qiienees.

Sons Chiirlus X, lorsque fuTproniiilgiiée la loi relative à I Indemnité accordée aux ém igrés, il refusa obsiiném eiit a c i i rcvendiqiior sa part..

- Ne parlons point du pas-sé, disait-il. • En général, il n ’a im ait r-uT.” T*** 4 s 'occuper do nialièros sé-»

rieuse». Rien vivre é ta it A ses yeux tmito la phllo.soèhte( ju in homme sensé d û t m alt re v u p ra tique . '

Y en ad-il nue moilleiire?— Don» los loraps niudcriii », itlsnil n , | | n 'a 414 nrn-

ùonoê qil iili iiiiil »oii»i!. e l il osl liijiihê J b la huiicha d 'im BoujuiuikL c e»l lo belle parolo d ’IIcnrlou du l'otiiley :

s S d & f r ™ ' ' «u™,-

heu?cs"'“"*“ '’ raidi e l d ln o il 4 s ixSa pciifo lah lo u la il ou vcr io lo u le i’aiinùe L om uw 11 é h iil lr è s -o x p e r l en lo u l i c n iii'im ich a il r . n

du bien v ivre, les prcm ilre» ra,lisons du F r n n r e e ld ' ln B le lu m le ch.vrgeaiuî,l d e d ég n sla lio n s i ln ^ V lë m c ?

A Pai 1», on lu pria il san s eusse do jn cu r, ul son iiie e ir e iil fa isa il loi parn ii us n iarchands, sn r lo u l aux Hallus oùçranraoje l’a . d d . il su re ..d a i( do • , é , .8ua,.d rà.dhîl

An m ilieu d e sus am is, en raanBoanl. il avail lou lours un lo n r d e eo n v e iïa lio n On ul origiiM l. ‘oiijonrs un

I" '" “ eerapIn isaU surlon l 4 com b olln ! m cson o lo iis lus priiioipes 4m ls d ans la fhytiologlc d » m d ,. ^ A insi, B rilla i Savarin von la il donço personnes 4 Jahiu- lo m arq u is d e Cnssy rt'plm nail ! - o n n e s a la n ie .

. ." r n'usl pas le nom bre. L 'école d e S a le m c ou i c la il SI saBO, d iaall ; ■ Jam ais q u e lus Irais G râces- iam ais p lu s q itc le s Huur M uscs. ■ is in r m oi, j e d is : . Shyùx irô is so y c x s ix , ou so y ez nunr. . . j - n i » . . a o y iz ira is .

Il J S î a i l ' ' '* “ "*®'

C u à 'la I b S le " ™ '’ '‘-ira;U r illa t-^ v a r in dom niide d eu x douzaiiuxi d*htiilrâs »i

v em qu 'elles so ie y l o n v e r lo s 'e l p la c é S ' c a - S s7 r î iLe m arquis se récrio :~ l'rofosKeurl de» hiiiireit ouverte» d'avance e t neiihéirA

m ême détachées? Mais c 'w i te honl» d X b a r K S jiour que te vous rxcuko, il fant que jo me ranpelte àuo vous ôtes n é à n m le départem ent 3 e l’Ain ’stu a u te u r de ta Physiotogie du geût voulait deeglaces dans utie-suRo à manger; N j do Cusay s’ir oppoMil.

— On n a pas bcaufn de se voir manger.

Page 2: Trièr rrrïïetT‘,s;.io‘„ia rh'ic^is.'j'ioSBturbmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1863_01_03_MRC.pdfFendant toute cette excursion, qui s'est étendue A 3 ou 4 iiuiies

—. f n dU lribulion des médaiUi'is oblptiuçs ei» I8C2 i>i»i — i.n u is ir iu u iiv " ' , _ _ ili>ii IIimuix

QG EaAv* Iv •

l « Mtr“ d«s de la aalle. Les dames y elaiciil ei. 8™i«l

“ ' s ” Eaô la mlnUlre d'Eial. en cosliime, a !";« I'l?“ ““ hn n an à une I "ure préaise, ayaiil é sa droile M. Nalilçull,

"d" S e ' el t sa àm ehe »l. Lcnoir. .aae'élalr. L rpéluel. H. Mareliaud. çhetdu cabmcl du rauiislio. ila ll A l».droile 4u,iu'é«ideiil-». r

iC o(l

l e i d i r e r s e s se c lio n s p c iid n n l I u in iéi lk 0 1 -1 8 U i. ^ c a ë l » l e la b ic a ii d e s p e r le s Q“ a . I “ ‘V Î ,‘' T “ ' Vî æ i r a n n ô e :M M ; i-etU al, K"l>“'L .r-éi-Kite C l le. sccr6la»rcM*eipi HieI, M. Vinii.

' • Nous som mes b e m e u x a dil M. Uciimr eu Icnnm a d . nous RoiiViiies heureux , dons ccitc école, de faire comuuUc ï i î ï " u à t i g m les bases de celle insü lu liou qui ?TuIbiTl. c l les am éllorotioiis succesivcs qu appoi l* iicllcmcnl rcxpéiience ; nous sonmics plus a'nrès les avoir iiiillés ainsi, d 'eiileiidro que ceux qui a rri- Ï ? i f ^ l5 c u . , . r é e s ,e s , , ,n s |m ,n a lu » ^ —

I a eaiiroii d Estroes SaliibDonls. d e lo.lrolslém b clrte*-:

“' ï r ï ! ! ; : . S ; ; t . ‘ 4 i H r r i r deuaiém o eiroonaerlp lle» . passe & la ti dfsfôme. .

BEAOVAIS.- - Sam edi d ern ie r. S mie du siilr , la tem m a du s ieu r Uoeur, liislllu lep r » Villem Saiul-Sépulcro. v lsila ll les bouliques ,Ç", S5.“l’IléleM o-VIlle. Elle achein il 1 f ' “l“8 " ‘‘f 1" ^ ^ i j d e « i b e rl une pelilo Vierge en porcelaine do 1 fr . W , l ira M ki nocbe uiie iSéee do 5 fr . pour la payer, puis ollé s élolflla. Quelques Inslanls ap rès , elle tiil l''=* f ' ' ' “ [ ' [ ' î , â V én è r tro u v er dans sa poche une boui-se coulenanl üOOrr. en o r. Elle rev lu l 4 la bon llque. lulerrogea la femme !c l llull p a r se rappeler qu 'au luouieiil ou elle m archandail 1.1 s la lu e ïe , d e o l beuim es hial vêtus se le n a lo n ip rte d elleet eb e irh a lru l il llvcr sou allen llon su r q u e lq u e s-u ^ des o U s“ w s 11 o,st évident quo c'esl un do ces rôdeura r j m i l qu“ 'e.st le voleur. Qu'esl-11 devenu! La gendarm erie n 'esl pas encore parveim c ù le irouver.

iV iirn n e o ù ’ ra r l e<l cuUivè avec lo plus .....S i D.uir fonder à la villa Malla, A U»iuc, un elabhsso nm d o ^ r i i s S ar lis lcs ailcm amls Irouveroi.l avec

lotîtes les ix-ssources acndém uiues, nue

S S J s T T ^ ^ ^ 80i,s I.; prolccliou dei*Priinivi*eur à la villa Méditât* • , . i . .1

S E \e le m iuislrc d 'E ta l a pris cnsiiUc la p a ïo lt i l a proiioiicé un discoiii-s qui a été souvciil in terrom pu pai d i

m édailles ob,aunes dairi les enu. cours dV m ulallon. p a r les élevés pem lres, 1archiicclea, pendant les trim ostres d 'octobre 1801 à octu ,

' " î S n f S S ^ ' e m ï l e s graudvs mcd.ùlles d 'ém oi.,-l io u T c c o n l to an s élèves qu i °r.o,npleul le p

■éeonmcnses dans le eo iroui-s d éiuulalion de I croie c l , d a u s î e X ,c o u r s de l'A cadémie des lleauv-Arls de Itu-.H s litu l.

CHrVUMONT. —,l’elle vilic-vient de perdre. I t in de scS' luibilanls lus p lus considérés et lus plus uinics.

H u 's b r o iL a r l ; L o u i s .A u d r é . , ' . o u s l ,m l ) , u o l a ^ .ra lro c l p rem ier suppléant de la jiislice do paix, a soi. im idié lofàô décciubl e, é la salle d 'une longue m aladie, a

‘ ^ io s 'o b s lp H Ï OUI eu lieu le dim anche suivauL au uiideu d 'u n conconrs nom breux du paren ts et 'V '“ a’, L is o im è s piipiilalion de la ville et d 'u n g rand uoinbie do pcisonne»

' ' “nL f'tlü ln conseiller général, qui élail le vieil ami cU o prédécessenr du détnnl comine uolaire, a prononci, su , sa tom be uu discours.

i^iL cs a n . é , 5 e l 0 qu i coraplèlenl col .irilêté sm tt télallfs i l a diconec qu i doit é ira observée, 4 l'osécullon des ar- « d e s el-dessua e l aux co iilraïo tilluus q u i petiveitl ê tre coinm isvs.

. I le s t d iilù d u 6 av rd 1801. . . .• -O u p e u l lo u e r H. le tualix i d u vif lu lé r c t q u il p a r le 4 lau n l é de ses adm liiislrésl m ais ou doit so dem ander com -

intoiil la Jounosso do son village s'y p rend pont; dultsor e l pour observer, lon l 4 la fois les prescrtplious d iin arro tû qu i in lerd il aux jeunes gens e l aux. jeunes lllles de dauseï aiotullouém etir! fP ro jré a de tO ise.)

CBEIL. — M ardi d ern ie r, 50 décem bre , vers d U heure.! d u niuiiu, lü nom m é l.csuuur (Autoiuu*Fj«rimonu), agç de 23 ans, nalif du l^ugiiuil Snliile-M nric (Oise), ch a rro llcr , saiis dom icile fixe, s’est pendu au moyeu d une de se.s bi c- telles, do 8onV.iichu*ricz cl de s.i criivtilo, aux barre.nux du la feiiôlru do la oliimibro do sd rc lé do la g cndarm orm . ou il avait ùlé incarcéré la voillo pour ôlro condu it à Som is devant M. le P rocureu r Im péria l, eu vertu d u n réquisi- lolro lancé con tre lui comme prévenu do vol.

Maluré les soins em pressés do M. lo m arcchabdcs logis ë l du m édecin appelé 8urde*cliauip, L esupur n u pu ô lro rappelé é la vie. , . ,

Co jcuuo boiitm a a déjé fall uu au do prison p o u r >,d._ MM Miard (Francols.XovIor), conducteu r ilo H'UVanx

. . . /■.•a.n fli ifl.'iiii IFrancnls*Llé-

a O D V E L lE S D É P A a T E M E S T à l E S ,

I.C « o „ i /ru r„ ,n . 'c r .v e l d u '" j » " ' ' ' ! - " ' " ' " • " V ' \ V , ! " T i î i r r.1 iK udiriO d é c c m b ro .q i i i b \o le n d o > d e p u tié ' a j iU ‘-p o u , h, procV.aiï," l é g i l la ln ie . e t o c ê l c les c r c o n s c r .p l .o n s

' ■ ' v S ' l e n o m b re d e s d é p o té s p o u r le d é p a r lo in c n l de

* ’Ÿl’ n is n I lo 'd u la b le a u qwo le n o m b re d e s d ép n itis a «dire, o n u r la n é r io d o p ro c h a in e , s e r a d e d e u x c e n H in a h e viiinl-

p m tdm ll la pvécéd en lo p é r i .,d e . il é la . l d e i le u s e n , sobTanle trc ix e . Le d é p a r te ., ,e u , d e la S e in e a t ie u f d é p lie s a n lieu d u d ix . la ta d é p a r te m e n ts d e la.V a r o n t r l ta c n n u n , lé |,„ lé d e m o in s o '™ - L ™ ; ' “ lies \lo e s* M arllim es , d e s , \ rd e m ir s , doî, U oncm s u n u n o m .,

S £ ” lu -N o rd . d o r E u r o , d u G a rd , d u la N ic v r e . d u N ord d u P as d o -C a la is , d u lla u t- lU im , d e SaoncH «M ,onc e t d e 'l a V ienne , n o m m e ro n t cli.ic iin u n d e p n le ’J.® I 'I" J ;

t.e n o m b re iles députés! d u .lé p a r te m e n l ,1c l> ' J ' ;'l'_ le m êm e . M ais il v a q n e b in e s c lia n g c m c n ls in l io . lm ts d .in s les e ir in m sc rip tio n s é le c to ra le s .

Cireonuerlplion» éleei»r»le«.Voici le ta b le a u dc.s c ircou .scriiili..U s

d é iia r tc m o u t d e l’O ise , fixe p a r le d é c rû t d u 2.» d c - c in b .c .P r e m i è r e « i r c o m t c r l p t U n

A rro o d isscm eo , ,1c D o m i A - « c a u v a is ( s u d ) , G h a u n u n il. C o u d iay -S a in l GL t i . i m m e r ic , G ra iidv illie i-s , M u rsed ie , N ivd le i> , -N uadlc ., ••

t 'I rilM O N T. — M. Uené-.\ntoine Du.laplaro. ancien no- laii^e, a snceonibé jeudi 'iô .téceiiibre 4 " '^ '.Im igne et iloii^ loureuse m aladie ip ii. n 'alleiguanl iiue le é " l« . , l ; ' . ' jns.p i'à la dern ière b ro re I., pieiininle deuc uni fait qdo ju sq u ’à sa durnicro liouru. pom .1 usi d rc, il 11’ 1 cessé de s’occuper «les in térê ts ipii lui étaient ciuillés.

M*. üeV aplace é ta i t verni à G le rn iù n l eu 1801, e t d e p u is c e t te ép«»ine il ne l’a ja m a is q u itté .

M üelaplace a fait loiiglemps partie du conseil muui.^ c in -il-il «'uU luernbMi du bureau de luculaisuucc, e t It r o i . l a m o r ^ s lv e n u e le p r e n d r « V d y n v ^ . i l ^ ans «lu’il appartciitiit à la ciinmi-ssion admm i.sliativc de rim s ne!', dont il é ta it le vice.prési.lciil. el que depuis de lon-ùes aimées il cxurc-iiil les diflk iles lonrlioiis d oï doii- nS tcur avec mi /.èlc c i uu «lévoucmoul pousses dans leui» dern ières lim iles. v ^

COMPIÈGNE- — Ou lit «bans le Mémorial d Ainicns :1 lo lionorable M, Uouclier de Ik i tlies n «hé deriiièiem ont

p réseu té à rE m p e ie u r , p a r M. .Mbmt «le Uoitcy. d iitc lc u i «lus ftmilles ariliéoUvguiues dans l arrim Jis>omcnt.

b Ou que sü^i mu.sé.i d 'auti-iuités ii’a PU ‘rouvcr place d.ms les galeries du Louvre; il vient d«i I ü lîu i à la ville dt! Saiut-Gcrm ain, el S.i Majusié a bien voulu appiou-

Km';s'‘op|n™^^^^ .insvi q„c M. l l ’niclicr do Poidbcs va o n io ïc r à lo ville .le lionipicgno scs .ouvres com pirtcs. •

C reve«acur.DcniAème rire«Bseriplion.

Arrm ilhscm eiil de Clcrmaiil. — nrclcuil , tilormonl , Froissy, l.ioncnurt, Moignrioy. Mony boml Josl

di-i oiidiMciiiCnl de Co,ilj.i.'a,,o. --f.s l,'ees ;S .,,l,l-b ' ^A r iw u im m c n l de Seidin. — N cu,lly .e„.lbelle, Licil.

' /in 'ondmcm cHi de Dcatirais. — Meru.Troisième rircoBserlpiloa.

ArmiidistemcHl de Comiiicijue. — Allicliy. Çompirgne,r iiic r- ird I a s s if i i iv . Novou, llcssaiis, llibéciuii t.

n e 'd f c S e l i li , : -B c tz , Crépy, N o n lcn l, Pont SaiidC'Maxencc, Scniis. .

En com parant ce tableau avec celui des circouscnplnm s adoptées pour les élrctioiis précédentes

Le canton de »«»•«• n " ‘ conscription, celle de neauvais, passe h la d cu x itm t tuunnsu.rintion, celle de Clcrmont ; .

Le caillou de (’.rcvccm nr, de la deuxième circonscriptu u, passe à la prem ière;

— V«‘udred i 20» décem bre, ont eu lieu, à l ’église Sainl- Jac.iues les übscque.s de M. 'l’ixed.ir, colonel «lu l" rc g i* . nieilt de cu irassiers de la iuM'cnalc eu garnison à

* 'T c rd é p u ta tin iis des «livcrs régim ents de la de cu irassiers, les ülliciers de la garde uationab*. e t r t . on t rendu les «liM iiicrs devoirs au colonel T ixedur, qui a «-te inhum é «avec les honneurs m ilitaires dus à son g rade t l u sou litre de com m atideur de la Légion d hom icu i.

Le colonel ïixe«lor n 'avait pas aclie>-c sa j 9M le "énéral M o rris , com m aiidaut la division d t cava­

lerie de la garde, M. le général 'de S.ilignac béné ou, corn- m am lanl la prc in icrc brigade de c.iv.ilcric d e la 6 “^ ^ » M, N itot, colonel du 7 ' cuirussiei-s nu avait com m andé lecolo iierrixe.l.)r, e t M. ‘' f ‘T n ,r . krassiers de la garde , «uit succossivcmeul pris l.i p.iiole sut la to m b e du did'iiiil el lui o u i adressé uti sup rêm e üdicu , en leur nom el .lu nom de l 'a rm ée.

— Ou a «luul.pief.iis publié «les arrê té s m uincipaux qu i ne m aiiqmiuml (las «l'une certaine orÉgiiialite p a r la naïveté du uur rédaction ou des motifs invoqués; nous d.)Ut.ms qn on ou ait éd ité b e a iio u p du genre de celui que nous ilvnus sous les vmix, revêtu «lu cachet de la m airie c l ayant tm itcs les carniities possibles «ra iithciilicitt.

Nous tairons le nom du pays; mms d irons seiilcmerd •lu'il appartien t au départem ent de l Oise, e t qu il fait pai-tie des environs de Novell.

. C ousidérnut. d it cet a rrê té , que l abus dos danses en- •vcmlre de graves m aladies, «(u’il est «lu devoir de l aut«>* rité m uniiûpülc de sauvegarder la saute de sus ad m u iis ln s en rcglcm cntaiil s«'s divei tissem ents, a rrc le ; _

4 ,.i !<• Il est enjoint aax iiiusicieus, tuenestnc rs,e tc ., p n ip rié la in is de salles de danses «jt sous leur rcspon- sab ililé persouuulb*, de faire on de ne laisser «laiiseï t.lns «le la m oitié des «laiiseurs en môme temp.s; d éviter les

' II* leur est c\pr«!ssémcnl recomiiiiiiulé defa irc d a iis c r en plein a ir |icndunl les

, Art 3 — Il est défendu aux danseuses de dansoi tu m ême tem ps que leu r cavalier, et ré«ùpro.|uement des dan-se iirs , à nmins qu ’il y a it im[uis.sibilite. Les galops c l lesvalses leu r sont égalem ent in terd its à m oins d une auloi 1- satioii spéciale ém anée «le nous p a r écrit. •

_ MM. Miaru irraiicois»-Aj»«eiI, d u chem in «le fer du Niird à Greil, et Adam (Françnls-Llé-

U'«bte„ii „ „ b , '« , 'l .l'iiiïç iilion , k 8 “ '."*“ " " f P ™ pc, ft, llorl„ciilc„ls iiiipoi lK aux a|ipare,ta ,b, tnauœ uvlK . de i disques à' «listanco su r les chem tus d e fm •

L.‘u r iuv«inli..uest earac têrisêe p a r iiu systèm e de m - .I.C ÏI'C |,a i,r Ilisqua 4 .Bstaituc a|i|,l,cablo su r toiis la.! cIil - m i„s ,1c fc -, ce syalèuio pi-èseiite un avalllage '" “ '8 " ,- leux ceux p a ru s j„ sq „ 4 Ce jo u r , ilaiis ce scil» que eœ uvre se lai, sans secousse, el p a r cela inèine pas a iilau l J e chance p o u , 'la l-ilpliire le 111». Le Jisque .tulu fois m is dans nu sens ou dans l au tre , «-e.sl-à*aiic t.»voie furim k ou oiiviu-te, ne peut plus so d é ran g er; e t «tuant r i ’M p S « m (lo la dilaïalioîi des fils, elle est résolue à mxom anière certaine. . ,i; .,„i» «oi

Enfin ou peu t tonioiirs savoir lorsque le diaque (‘st a voie libre ou à voie formée en louchant au levier de ma* ù?»î,vro parce que l'eu lessenl s i l e disque b u lle s u r sou à " î l J a r a u p \ d de la lige, chose de la plus hau le ,.u - nortaiice dans ces sortes d appareils.

Ils ont essayé nu disque, établi d ’apres ce un point de la ligne du chem in de fer du N or« , nu se convaincre qu 'il réunissa it tous les avantages di.>i- rablcs et que cet appareil é ta it appelé à re n d re d im por- Lniits services s u r les chem ins do fer, e n augm eiilaiit la sécu rité dans le service des tra ins, e t p ar cela “ j*faisant évil«‘r des accidents .pu inalhem-cyseiucul sotit tou joui-s trop IVéïpients. (Jommal do l Otso).

- S u r lin procès-vcrbal dressé p a r M. P etit, com m issaire de surv.>lllaii«;« adm inistrative do la gare bunal de Seiilis, dàiis sou audience du 19 déciimbiHi 1802. a coudam ué le s ieu r Auguste llé io n , maiiou à Iteaiim ont, pour voies de la it envers un em ploji, d t la g a ie de Creil. à cinq jo u rs de prison , 10 fraii(« l'jais, p a r application de l’artic le 2 j de la loi du io ju illtt IH -ls'sur la police des chem ins de fer.

tioinratiUM de 3,000 ûnics cl au dessoiu : voilures A AToités, 1 0 f r . ; i 2 r o u c s , 5 r r . ;c h e v .i l , 5 f r .

Soiit excoplés d e la coiilrlbuUou ; I* le» voilures e l les chevaux employé», èxcluaivcmeiilsorvliMi de l'agrlcu lluro ou d ’uno 'ten te; 2* ceux possédés p a r le» i i ih i l s l ^ des-d luérejit» cu ltes; 5’ ceux uos.sédés on conform ité do» règlem ent» du service n iilllalre ou ndm luistru llf; 4* le» Jum ents e t éta lonsc im s jc ré » « to l tw M ïw n l A l a r e p ro d ù c iw n .

AUX icrm es do ra rllc lo t l .de celle jo l.,le s ,sont tenus d e fa ire iBHléeHiralion des Voilures d w cite, vaux à ruispu deitqueb, Ils, «oui im posablM , e t d Ind iquer yles ditfôreujç» cijptmiiljBS p u l l s on t d w ,®“_^r.’signant celles o ù ils on l ^c» olé'W iils d« Isalton iuanenr.0. Celle déclara llou do it aVolr lieu le J6 ja iu lm au idus la rd , slilun l l y es t atJpplÔ.^ d o fû c o -p fir le conliôloui dus coulribttlloi»» d irec te» , e t I ^ U o le i a i y w r assu iw ^^ sincérité des déclarà tions, é tab lit «Iho «pémOlté. qu i est colle de la double taxe p o u r les voitures c l les chevaux q u i iPaiironl paa élé déclarés ou qu i ra iiro n l é té d u n e

Los' Ï aS*^ « la t if s à la conU ibullon d o n t H s 'am t, 'publiés ot m is en recouvrem ent "dani lA m ém o lo rm tr que ceux concernant les contribu tions d irec tes.

Tout contribuable qu i.4 0 cro ira su rta x é Sous Préfet de son arrondissem ent, e t au P réfet p o u r 1 ar« l ondissem enl do Beauvais. sa dem ande en d é ÿ a r g e ou réd tic llon ; il y jo in d ra üavcrtiHScraeiU ou un . e x tra it du rôle et lu qulUaiice des duuxfeiries'échqs.

Les réclam ations ayant pour oMet une 'ÿ ® , trente francs ne seroiil point a s s^ é llc s au d ro jl Le délai de Irois mois acco rdé p à r la loi ainc M iiinbuab les u«>ur lu nréseiilallon do leu rjde iM iide en 4é«çarB 0 ou ré- duclioii, com m encera A c o u rir dy lenderoaiii.d ll jo u r d e la im blicatluil d u rôle d an s la c o m io u w , e l ex p ire ra a jm» ci»

I jour du troisièm e mois suiva^., (erm e de riÿUOMr, op/'«s ic*' atul aucune réclamation ne sera p lus o dm ue . .

La rê c la ra a lim i prodiiil» p a i-u u liera d ev ra ê lrç oi'puyoo«l’un pouvoir .QU d 'u u « x tra îl cerliflé d u pouvoir s}iéciat doniié A ce t etfet.

MÉRU. — Le bal annuel de la fanfare de Méru au ra lieu le sam edi 17 jan v ie r p rochain .

SUNT-MAXIMIN. — Jeu d i, p rem ier jan v ier , vers h u it h eu res e l dem ie du m alin , nu inceudie, veilfeiicc, a dévoré une m eule de seigle do 2 ,a00 geibcs, iinnarteiiant au s ieu r llcauin»^, eu lllvaleur à la ferm e des llavcs. — La perle e-d c n v e r tc p a r une assurance.

\\cs nompicr.-» de C.reil cl de Siiiiit-Maxiiniii etm cnt su r les lieux du sin istre . — T ou t le m onde n fait son devoir.

u On cite su rto u t, com m e ayant fuit preuve «le courageet de dévüuem eiit, M. G uilllani, chevalier d e la L g io n d ’honneur. déc«»rê d ’une m édailtc d Im uncur, 80U8-1icul«5- naiit de la com pagnie de sapeurs-pom piers «le C rell, te c a ­poral Mille (Erne.sl), le sap e u r J«*uard de lad ite compngiii.*, un ouvrier chandroniiicr du s iuur Rouvroy, le sm ur Vas- «iuello.Lebloiid, Gras (Aimable) e t un ouvrier belge, tous de la com m une de Crcil. » A-'*'-

SENLIS, 30 décem bre. iFrom ent ; 1" «lualité, 20 fi’. 00 les 100 k iL ; 2 q u a h l i ,

2 5 f r . 00 ; 3 ' qualité. 00 fr. 00; prix « ‘«y«m, 2 a fr . ut). ~ Seigle. t7 fr . 00 les 100 kil. — Avoine ; I'* qualité , 15 fr . 00les tOÜ kiL ; 2 qu.ililé, 1 î fr . 50.

— Un luceiidie. qui pouvait devenir très-grave , a éclaté le 1" janv ier en tre onze heures e t m id i, au dom uiilc dc M. F réry , m aruhaiiil de fromages, ru e de la C outellerie; m ais les sccoui's arrivés à pimpos ou i bientôt ra ssu re les h ab itan ts du q u artie r et lo dommage s’es t ré d u it a peu de chose.

— La loi «■•tablissant un im pôt s u r les v«>ilures e t les i-hoïiiiix psl ex ta ilo ii'o 4 pai'lir d'.>, . im pêl Psl èlab li, comme ou l'„ dej4 d il, d a p i'è s le Liril

" “ 'l'mds : voilm cs 4 -l ,'oucs, 00 f,'.; 4 2 lo ae s, 40 1','.; chc-

' ” ('o,nn,'iinc.! de plus de 40,000 4mcs : voilni'cs 4 4 loues, 50 fr. ; 4 2 ro u e s ,‘25 fr. ; ch e v au x ,‘20 fr.

1 Comiouncs do 20 4 40,000 4raes ; voilures 4 4 roues, I 40 fr. ; 4 2 loues, 20 fr. ; cheval, 15 Ir .

r.0 ,n ,nuues dc3 4 2 0 ,0 0 0 âm es ; voilures 4 4 i-oucs, 2o 1 ,., 1 4 2 ,'our». 10 fr. ; cheval, 10 fr.,

— Sou Excellence le M lnislre do ,1'agi'ieullure, du coin- mei'ce el d è s ïra v à u x publics viéul d e p ré se n te r 4 1 Empc- rc u r soii r a p p d r l » n r lés opérations des caisses d épargne

**^Nuus*enÏÏi^yoi»8 les renseignem ouls q u i nous paraissent offrir le p i u s f in té rô l .c l spécialem ent ceux qu i concernent no tre «lépàrtëm i'iil. , . . . . . .

Ail S I décchibi‘0 4Ô0I, U y avait ,1 dép o san t à la caisse; d 'ép a rg n e fiur 28 h ab liad ls environ.1 La m oyenne est d é p a ré e dans 24 déparlem ctife , P^rmi

lesquels Ugurc au quatrièm e rang Itfdépartcm cnl do i Oise, o ù i l v a l livret pour H h a b ilà ii ls . - , in

S ur le tableau des iivrèl» cx lslaiil ai^ 31 décem bre , la caisse d ’épargne de IfeaUvais oiMupe le douzièln»} ran g , et p.issc üvaiil Amiens, Reiins e t p lusieurs au tre s villes 1res-

" T i 'o n ’d b ise Ib soldé eêpêra l d û p a r les ç a i ^ d'épai» cn e à leu rs déposants, i(u SI décem bro 1861 ;•09 c.), p a r lo n«)iilbre lô la l des liv ré is en circulalloli à la mônie dalB (1,506.521). 011 oüliciil u iie moycuno générale de 308 f. 57 c p a r liVrél.

üa ils le dôpartem eul de l’Oise ce lle raoyonue s élève scu*

Aius\ îe^cUissès d’épargne de ce déparlém cn l atleignciit d 'au la iil m ièu» le b u t d e rih s tilu ü o n . tiiie cJiaqije '« p o san t y vci-so de plus petites sotrimfes. fJfoiiifeur de ro is e ; ,

— ,\u prcfh ier jp u r débqls lie la troupe de M. Edmond G orueau, don t voici la com position :

ADÀIlNlStRATION.MM. E dm ond G orneau , d ire c te u r p r i v i i é ^ é ; C o u r -

ncvaux iégiB seiir-adm iulstrolour; - - M o n tio u i^ ré g isse u r;— Michel, chef-d’o rc h cs trc ;— Francisque, soum eur bibho* thôcairc; — Jeanne G liarpeiilier, eonirôioiise.

Abtistbs : MM. E dm ond, p rem ie r rô le de Rouen, eu rc- lu-ésonialious; — Cournevaux, jeune , prem ie r rolo ; — l*«)ir, jeune prem ier, fort deiixiénio; — E rancis, deuxième «•t Irolsiém e am oureux: — B ara tte , p rem ie r com ique; — Poppe, IroUiémo rô le, rôles du genre»; M onllouis. comique m arqué ; — B crtier, deuxièm e com ique; — i'.ieury, ulihte.»;— M ~‘ Edm ond, p rem ie r rôle en rep résen ta tions; — M alhilde. jeune prem ie r i*ôic, jenoe prem iè re ; — Boui^oiii soubre tte Oêjaxcl, coqucllc ; D erosenu, prem ière e t deu­xièm e aiDQiiréuse; Villeiieuvo, dn eg iie ; — UOiitlouis, des soubre ttes, rôlès d e g en re ; BariRte, u tilités.

ULI.Y SAINT-GEORCPS. — T ro is chctuiscs valan t 11 fr. ont été volées .avec èécaiado, d an s la .nuit du 23 aii 20 dé­cem bre. au sfeur Lam puche. ch a rre tie r. Ou est A la i-c* cherche de l’au te u r d e celle soustrac tion .

VERBER1E. — P a r a r rê té p ré fec to ra l, M. Dnval (Fraii* çols-Jean-Bapliste), a été agréé en q u alité d luslituteur adjoint de lecorle d e Vcrberie.

VËRNEUIL. — Dimanche d e rn ie r , le jeune Bréhamcllc (Jules), âgé de 16 ans . ayant trouvé d an s la ferra ille un vieux «aiion d e m ousqueton dépourvu Ue son ^ i s , voulut s’am user avec quelque» onfants dp son âg e A-lo faire partir . P our ce la , il a ^ e t a des pétard», e t, a»cc la en re lira , il oiiargea sa pièce f fou, p u is . ,!main «ouclio, le b r a s loudu. d e h» m ain d ro ite d jnen^^feu à la innilère iivecidu papier.;,m ais la fw oe do ja charge en p a r ta n t lui .lyaul fa it p lier le b ra s , Jn c n l a ^ du cano i. au bou t duquel cal u n e pointe :de fe r destiüée A placer la viîTqui doit la Bxer au bois, l'a tteignit a u c o u en luifalsaut

M aintenant qnc j ’ai donné qtiulqnc idée de l'hom m e, jev ‘)is rcnrcndi'c te lil d e mon récit.

En aîlanl 4 la lla llc 4 la volaille le m alin en û"»*'!? '•M le m arquis de Cussy m anifestait I em pressciiiciit d un Iw iom e qui a une emplette im portan te à faire.

Les dam es de l’cm lro it ne m anquaient jamau» de saluci«on apparition p a r un petit caquetage O altcnr.

A p r& iio e inclinaison de tète adressée _à f » ‘ *r i r e à l’au tre , un m ot amiroil A une troisicroe, un sa lu t «le la m ain A toutes, le gastronom e s’é ta it «linge veis cet e des iK-fe qu i es t plu» spécialem ent consacrée A la veuic du

“ ’^ ’ o u e voulaz-voua, cc m alin , m onsieur le m an ja ls! Ini avall dem andé une voix. Fai ce un p erd reau ! esl eo line paire d e cailles. . ,

— Pas lon l 4 fall. Il me faul mieux que cela. C 'esl donc u u e b a p c ie l d e bécaM incsî— Nqn, mon cn fan l; j 'a i besoin d u n ê i is a n do re , m ais

^ A n 'm êm e b»m"nL d e place en place, on so Iranaraeim il re s paroles com m e on l 'àn ra il fail pour une déiiétbo lêk -

* ’î î* ! vous au lre s , le n ieillenr faisan;de lo ILillo pour M.

‘' “iS iU i'm inn lea ne s 'è laicn l pas écoulées qu 'u n superbe oiseau aux plum es chaloyanlrs arrivait «1 éveiilaire eu éveiifeire ju squ 'au pilier où stationnait l ancien oBicier de

VéilA bien m o n ‘afTiiirc, dit le Marquis en je tan t un r .v D id e coup d ’œil s u r la bètc. , , , ...

Après uvolr enveloppé sou butin dans le num éro d u n louiïu il de la velUe, il lira d e s a b o u r » u n e o lè i» d o r , n àM . fom iu îa une révérence pleine de tonhom fe cl sortit. • 1 - Allons m ain lcnanl ou je suis si im paliem m cnl al-

fe ijdO fm itnnarâll'M -^ “Ê r v o l^ ^ ^ s r l l r * dam es de la Halle ne pouvaient lô fch tirt d e quelquw com m entaires, comme toujours.

— l 'o u r «ini «hmca t il dem andé ce faisan?— Esl'Ce pour ram b;issadeiir d Aiiglcteri'c. Est-cc pour le baron de R alhschild î .— Vous cherchez beaucoiiii, r.-pliqnail une com m ére.

OuoifUi’il uu soit l>hts luécisém eiil un hniiimc riehe , le m arq u is est tmijour» ut de plu» en plu», «me lino b “' ‘cl‘®- Le faisan do ré ne peut pas c ire pour un a u l i t q u e lui-

*"Touies CCS liomics laiignus sc trum pnicnt dans leurs con­jec tu res.

En su ivant d.is yeux le doyen dos gourm ands, on m irail un le voir rcp re iu lre la ligne du pont ÎSeiil «d s enfoncer peu à peu , tou jou is A pied, du côte d«î la ru e M oiiloigucii, jus«iuc par delà le faubourg Poissonnière.

A fo rc e d e m archer, il en tra it dans une de ces M l les rues silencieuses e l A dem i désertes du faubourg Swlnt* Denis qui son t le q u ar tie r priyih'gié de ce que, dans le com m erce, on nom m e {'article de I a n s .

C’éta it déjA p ar lA quo résidaient alo rs ceux de» ou­vriers intelligents dont la fonction tient le milieu en tre tam ain d ’œ uvre m achinale cl l’a r t.

2Â cette époquc-là, comme aux joui» ou nous som m es, il y avait dans cc pAté «le maisons «les ciseleurs, des Hlho- «ranhc». des lu th iers, des décorateurs, tou te une série de riichc» 011 bourdonnaient mille abeilles industrieuses.

Rue M artel, au n* 17, le m arquis en tra it en dem andan t M Simon Leblanc, pciiilre su r porcelaine.

— Au quatrièm e , avait dil le concierge.— Je sa isi je sais! nm rniuru il le v ieillard.Huit jo u rs auparavan t, en effet, il avait gravi les «legrra

de l’escalier, e l to lc l pour quels motif» :Un petit p rince des bo rds du Rhin è la lt en

daiice réKiilière avec lui A propos des déla ils d e sa tab le.Dans une le ttre de fraîche d ate , il le p ria it de vouloir

bien sc m o li re en cam pagne p(»\ir lui. \ ___L’allcsse possédait im Ires-bcau service en jiorcclainc

*'* i)r,*'t:ii «ksserv.iut un d în e r de gala, un valet m .Hadroila v a i t c a s sé d e u x so u c o u p e s . .

Le servie.! se tr.m vait dès loi-s d«^>arcil é et no pouvait plu» ê tre bon A rien , si l’on no rcmpla«iull ces deux

* " ï a r S.1 missive, le prince recom m andait A M. de Cussy «1.1 n’épargner ni soins, ni tem ps, ni rechoiches. m sac ri- ficc d ’ai Keiit pour a r r iv e r à refaire le.» doux Boucoupos.

Aussi, te jo u r m êm e où il avait reçu la le ttre , le gas* ironoine 80 m ettait-il en quêle des pein tres su r porcoLuiifr les p lus habiles. Mais les meilieui-s pra tic iens éta ien t

^^A*fo Vnanufactiirc d e Sevré», les com m andes de la co u ­ronne ne perm ettaien t pas lo pins légère «iislraclloii.

D ans les aleliei-s p a r t ic u l ie r s , on éta it s u r les dents.Il lie resta it de disponible qu ’un seul travailfeiiv en état

de bien fa ire ce qu’un souhaitait : c’é ta it l’ouvrier, ou , siv o u s v o u lez , l ’a r t is te d o la R ue M arte l. , v i«

— Eh bien! j ’irai ru e M artel, chez M. Simon t.cblane, avait d it le rival «le Brlllal-Savarln.' Une sem aine donc avanl la visite à la Halfe. il sonnait A la porte du pein tre s u r porcelaine. \

Une jeune femme é ta it venue ouvrir.E tait-ce bleu une jeiiite femme?tk llc là appartena it, su ivant tou te appaivnce, A ce tte

ca tégorie des femmes de P aris «lui n ’ont pas d Age. w n ' i- sage é ta it co rrec t; scs yeux em aire doux, quoique légère- m ont flétris; des flls blanc», survoiuis p rém iiturém cnt sans doute, argentaien t des cheveux blonds qui avaient d u être fort biiaiix.

C’éla ll la femme de l'o u v n cr. . j , - .Eu vieil observateur qu ’il é ta it, 1«| m arquis av a it déjà

com pris quo la soutTranc*! ot la luisèrc avaient piissé su r ce tte douce figure c l y uvaitnt laissé leu r meiruçablc em-

** En Irès-pen de nmt», avec, le [dus de douceur qn il lui

avait été possible d ’en trouver, le vieillard expoqpit le lu t

njoiilait-il, d ’une lâche qui se ra llbéralO' m ont ré tribuée, l’eiisez-vou» q u e votre m ari veuille s eq ctvargqr? . , .

Elloiparaissaildiésiler'A rép o n d re . .— Deux soucoupe» pour uu prince , poursuivit-ii, ccsi

**"Elle°*bai88ail la tê te comme si elle e û t voulu dissimuler son em b arras. . , ,

— On m ’a ind iqué M. Simon Leblanc com m e un habita trava ilic tir. . , •

Celte fois, elle se décida A p re n d re la parole.— Habile, ou i, m ôfisleurrR 'F*»* certainem ent, mais,

p a r m nlhèur, Il n \'ih iie p as le travail.A ce lte réponse, le m arquis pro inenait un pegaro «ru^

la ic iir dans la pièce où W e ilf ô u v a fe n , e t t ia v a l l I air de s’a r rê te r nu spectacle d e Ip m isère ï

— Son, H n’ainw p lù s le -trav a ll. ro^rôiiali la jeuw femme. Cela votisétw iiie sa irt'ddute. pu isque nous sommes fui t pauvres ; m ais quo voulez-vous? « « l hlnsl.

Tandis nu’çlle d isait cela, uhc lafrae Iroirtblall comrofl une perle A Ke» longs cils.

— ‘Pauvre enfadlliiHirttM iraH le m ôfqufe. ^— M onsieur, »idutall-elle. vous m e felieô I w e l ‘*®“

bon o é ù r ; c’est‘ «b q u i m ’encourage A 4oui vors confier. •— Parlez, madame, parlez; je Vôus^ôcoule,— Mon m ari n’a pas lo u jo d reé lô |>«

les pHomiew tem ps de >nolre méntoge, il ÏS ,V m*o u v rie r qu’on p ù l c ite r . Co que je vajs vpUs dl[® ra îti 'a «ans d o n to 'b lw diR kile A c ro ire . On le cW«ftit on le pâyaii tro p g ra w cm c n t: o’esl ce l o i „

' * PihuaBRT AbprtHASD! -fZ.u sutle au lutodiain numéi'o.j

Lo\mut du d e rn ie r logogriphe es t n«iouBB, dans lequel 0» trouve RocuB e l roc .

\

Page 3: Trièr rrrïïetT‘,s;.io‘„ia rh'ic^is.'j'ioSBturbmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1863_01_03_MRC.pdfFendant toute cette excursion, qui s'est étendue A 3 ou 4 iiuiies

un tro u dola larg eu r d 'iiiie (>l6ce do 20 coQilin<». Quoique lo sang so rt i t avec nbundiriice, lé pauvre enfant eül ciicuro lec o iira |n ;d e ;re (o u ru p r d ie z .s e ï p a ren ts eu niahitoiianl rorlerafaïUwii m ouidiolr sûir la ploie.

ü ii 'm ùdechi,appelé en tou te hâlo , plaça un appareil qui ar rê ta le f lu x d u sà ii);.

On cspère-quo cet im pruden t, qu i est l'o iné d e six en* fonts, su rv iv ra ù ce t accident.

V1LIÆA&SA1NT>FRAMB0URG. ~ Le s ieu r Colom bier (IMerre). ft&A d e 80 bus. p rop rié taire A Vlllerà Salnl<Praiit* liet^g^ étaljt spj^t d.tlPMié longtem ps & des étourdissbincnis.

24 décem bre , après avoir mangé lu soupe, il descenditsoupe, 1__________à la basse-cour; à peine v était-il a rriv é q ifil tom ba lour* dem ent. Son llls « l sa bclIo-Qlle le re levèrent e t lo tran sp o r­tèren t s u r un lit, sons qu’il donnât aucun signe d e vie. I.e coup avait,é té m orle l; il avait succom bé â une attaq u e d 'a-

% poplcxie foudroyaotc-

F A I T S D I V E R S .— Un homrafe, dd itllb nom se ra tta c h e aux souvenii's do

1848, d 'u n e facqu bonorablè d 'a illeu rs puisqu’on lu i do itl ia répara tion acqbrdée aux po rteu rs de llvrels de la caisse d 'épargii.e, IL floudçliatis , anCién m inistre des ûnanécs dé la UépqbUqüc, Vient do iu ü û rlr â Paris:

— La société im périale e t coiilrulo d 'h o rticu ltu re , con­voquée-eu assem btée générale te 24 décem bre , u-nom m é les m em bres du '^n rC au e t conseillers p o u r t’unnée 1863, .savoir : iV ésIdcifl.'U M .jtC 'du.cdo U urny ; vico-presidents. liid iign lù rl, l'ép lii, Üûisdïivul c l V crd ier père ; sec ré ta ire générât. A ndry; sec ré ta ires , fibucliard -lluzard , Bouchei, llotiillard, IMs-iot; i ré s o r le r , tlo rbuy; tréso rie r ad jo in t, liu tid ; bibüolhécjdrc. d e Bonis; consciticis, C hauvlère, T h ibaut, V crdier (Eugène] ; itiv ière, bornage e t Gonticr.

— L’exem pte d ’Amiens, érigeant un m usée m onum ental, semble devoir ê tre suivi p a r diverses villes iin n u rtan les de la province. ^ ville do L a o n a é té la prem ière â e n tre r dans cette-vbio, e t on do it l 'e u 'fé lic ite r , quolqu’opinloh qu’on ait s u r l’n rc h ite c lu re b iza rie du m onum ent q u ’elle n érigé. Nous apprenons au jou rd ’hui que le conseil m uni­cipal de Grenoble vient de voter uiie som m e de fôO.tîOP fr . pour ro u s lru ire iin éditice où seront déposées leu ricliesses artisllqués ci.lÜ lôraires d e cé tte ville. Il a obtenii dù goii- veriicnient une subvention d e '200i06(> francs. I.c d e v b d o | j construolioii est donc du 750,000 francs.

On m ande de SuissoiM : | | . Adolphe de Souven, le nou­veau d irec teu r d e ropél'u-Com iqùe li'est pa.s un é tranger pnur-lc Seissnnnuis. Sous-tà tlcstaura tiu ii, il re s ta it avec son père, é VilIei*s-CnttcrOts, où il (it ta connaissahce de notre célèbreA lexaiidro Dum;i.-i. C'est d an s ce tte ville qu ’ils d éb u tè reu l't’uu e t l’ùù tre d iin i la .u iirriè re.dram aliquc, p a r u n vaudeville in titu lé t Le im jor de Slrasboiwg Lè séjou r de SI. de Lciiveii & Villeiü-Colterôts est rauonté d 'u n e m a­nière ravissante p a r Alexandre Dumas d a n s scs .Mémoires.

— Mgr rarchcvèqiic de Rouen vient de sullicilcr, p a r une éloquente lettre pastorale, datée du 24 décem bre, la ch a rité dh clergé e t des fldèlcs du son diocèse eu faveur des ouvriers sans travail.

loi-d igne .prélat n’avait pas attendu ces dern ie rs jo u rs pour p re n d re à cet égard une généreuse initiative. Dès lu 22 jan v ie r d e l’aunéo qu i vient de finir, il ad ressait à scs diocésains un prèssan t appel; m ais depiii.s, lu m al s 'es t accru d an s des proportions déplorables, e t il a élevé de nouveau la voix. Le tab leau qu'il trace d e la tris te tra n s ­formation qu ’oiit subie les cités Qorissanles, les belles val­lées e t les riches câtnpagn&s do la Seine-Inrérieure es t vé­ritablem ent nav ran t; i 'u rd eu r de s» ch arité lui su j^ è re les plus chaleureuses ut les plus'éinouvanles paroles.

C’est au m ilieu de-geinblables éprouves que la mission du clergé es t particüH crcihcnl belle, e t nous som mes h eu ­reux du^ re n d re à Mgr l’archevéque de Rouen rhom niage que m ériten t son eèle e t ses efforts p o u r venir en a ide aux m alheureuses victimes d e la crise cotonnièrc.

Le p ré la t n pu invo(|ucr nuprè.s du ses diocésains un a u ­guste exem ple. celui de Die IX. dont le noble cw u r s ’e s t - ému & la nouvelle des souffrances qui a tteignaien t les ou ­vriers d e la Seine-Inférieure.

Le Üanileui' a fa it M iuiniire la souscription du sain t- père; elle é ta it accom pagnée do paroles de sym pathie qui en doublaient la valeur, e t qui, dans les.clrconsluna's ac ­tuelles, éta ien t tou t & la-fuis un tém oignage de sa charité Inéjmisable e t des ra p p o rts de cord ia lité qu i existent en tre la France e t le saint-liége. ~ A. G a r c i k .

— Nous avons raconté, d ’ap rès le Journal de Fècamp, la ca tastrophe q u i, mnis .riiiQuence de la tem pête, n je té la désolation dans ce p o rt, en b risan t les deux ouvrages qui en défendaient l’en trée. Nous apprenons que le sén a teu r p ré fe t,m . le sous 'p ré fè l du Havre, M. To-stain, inspecteur général des ponls-cl-chanssécs, et M. Boiinlceau, ingénieur en chef des p o rts m aritim es du départem ent, se sont t ra n ­sportés é.Féoam p p o u r exam iner tonte la gravité du d é ­sastre i‘l av iser à en ré p a re r les cffcl.s le plus efficacement e t le plus pi'om ptenienl possible. 11 p a ra it que les p re­m ières évaluations ne po rten t pas à moins d e 900,000 fr . les frais de rép ara tio n .

— Une CKcroqncrid qu i so rcp rodu iin tôt on ta rd , sous une nouvelle (o rm c ,c t oôntre laquelle il.im porte de m ettre le public en gai-de, s 'es t accompHo dcrnièixmKmt. s u r nue assez vQs|e échelle, dans les circonstances suivantes :

Un avis, p u b lié -p a r d ivers jnùrnau.x. ù la qnalH èm c page, annonçait qu ’en s’ad ressan t p ar le ttre atlrahchie à M. C harticr, lib ra ire -éd iteu r à F rancfo rt, on a u ra it un moyen facile, i la p o rtée d e Ippt le m onde, de gagner 800 fr. ou thèm e,pifis p a r a n , sans dérangem ent d ’aucune, sorte, avec une occupation agréable e t nmnsanlo.

beaucoup de personnes, les unes p a r naïveté, les au tre s

p ar ourlosité , ée riv iren t é l’adresse indiquée, c l p a r lo roà i^ ' - to u r d ii co u rr ie r elles reçurent, iioii am aiich l, un pfOfK gram m e énigm atique, dont voici les principaux articlés rô?^ *'

produire , p ra tiquée en petHS 600 a 800 h ’., e t des richesses, oxploliéc en g ra n d , n’exige qu lin capital de 20 ^ 30 fr. pour des objets que tou t nm- i nu lsie r do village est en éla t du cunfecliom icr; elle s’exercer ( d an s une seule cham bre, A tout étage, sans incommodeiu tes voisins : elle çs t prolégéo p a r beaucoup de gouverne*^ inenis e t n e s t inlerdilu p ar iiuchn. Lo produit se vend fu - ' c llem eni -partout, nonobstant la concurrence. En dorftleé lieu, < il ne faut qu ’une Intelligence trcs-ordlualre pour • c e tte occupation. > •

l . è program m e k o l e r n i i n a i t h i i i K i :• SI Vous croyez pouvoir t ire r p arti do cotle industrie:-

qu i ’ l loin d 'è lru lu loterie ou au tre chose sem blable, volfs voudrez bien, en compensatioii de nus frais, nous faire re-' m ettre 5 fr. ou timbre.s poste, coupons ou blliels de banquet p an c o , A I adresse du bureau ci-dcssints; A Francfort-Rurl fo-Hcin; oprès quoi les Instructions traduites en français vous seron t envoyées sans délai. >

Inu tile d ’a jou ter qii'apciine des personnes q u i on t eu U M .nhonile d envoyer leu rs 5 fr. n 'a reçu la m oindre révéla-' |*” n , -in m êm e ,un accusé de réception. Le to u r é ta it fail. L liab ilp lé d e ce tte escroquerie consiste précisém ent dan.s la ^ d i c i t é do |a som me dem andée, qui perm etta it d 'ex­p lo iter la crédu lité publique plus largem ent et de chercher des dupes d an s toutes les classes. De pins, uns fois l’escro- querie constatée, qui donc ira , pour 5 fr ., se m ettre en frais do correspondances, de p o ursn llts, sans le moindre eS|>olr d e recouvrer la som me pej-diie?

N (f^ ignorons si une enquête peut c l doit avoir lien à ce su jet ; m ais il é ta it de notre devoir, en tout cas, do d é ­noncer cette «scroqnerie 'd’antaiit |>ins condam nable,qu 'e lle trouve généralem ent .sc.s victimes dans la partie lu moins éclairée e t la m oins aisée des populations-

^ La fùle de Noël a insp iré lieanuoup de légendes* Comme elle so célèbre A m inuit, — l'hiuiro des visiims l'an* tastiq iics — e t A l’époque du l ’année où les nu its .sont les pins froides e t les iiUis som bres, le carac tère de ces récits est, 011.général, tris te et funèbre.

Ainsi on raconte encore, dans quelques villages breions, qu ’une nu it do Noël, lo p rê tre d ’une phajiei.ledsuléo Ùâtis les m ontagnes se p rép ara it A cé lébrer trtiis itiésses d ’u ­sage ; il.avait A peine revêtu la cbasub& 'que le tonips de- viut alTrcux : une bise gLicée gronduit datls les sinucKltés des m ontagnes, e t d 'épais flucuns du neige toiirbillunnaicnt dams l’a ir .

En voyaiil cette tourm ente, lo p rê tre se dit.quc pcrKonnç ne p o u rra it venir a.ssister aux offices de lüiuuit, e l i i so^ disposait A q u itte r lu chapelle pour a ller se liv rer au som ­m eil, lorsque tro is coups irè.s forts re ten tiren t A là porte.

Le d rê trc dem anda qui frappait.— Nous vêlions en tendre les messes de m in u it, répondilN

une voix sépulcrale.Lo chapelain ouvre les portes, regarde auprès de l’édl-

fice, ne voit personne, c l se liAle de re n tre r, c a r lu neige lorabait pins abom ianle, cl la bise soulflail avec plms de violence.

Confine il a llait s o rt ir du saint lieu, l.i voix qu 'il avait ciilcndiie et q u i, cette fois, (laraissuil venir du m ilieu du lu nef, le rappelle en d isan t :

— E lib iê ii! nous voici prê ts A en tendre la m esse; nous ntléndo'iiK.

— Où êtes-vous?— T u ne nous verras qn ’A 1.1 fin.Le p rê tre , effrayé, commence .ses nfïices, et lorsqu’il

tourne le dos A l'autel pour d ire lu Dontinus vobiscum, 11 n 'apèrçoit personuedaiis l’église.- Seule la voix répond : c f cuin sp irüu lue, e t amen aprè.s les orém us.

La p rem ière et la seconde messes sont célébrées dans celte so litude ; m ais à la troisièm e, le pairvre ol'iiciant voit sa chapelle toute rem plie de squelettes agenouillés, qui liem ienl pieusem ent jointes leur.s niulns décharnées, et don t les larges luAuhoirus claquent en m arm ottan t des p riè res .

A la fin des olhcos. la voix d it au p rê tre ;— Blerci. Nous retournons un F urgalo ire ; m ais nous

espérons que tes sain tes messes au ro n t racheté une luirtic de nus péchés.

El soudain , to u t d isparu t. Achille Eyrand.(L e Tem ps).

Il no vei'ro 'paa ces misères P s r 'q u i gépilreiit tan t d 'hum ains. Il n ’est ^ u s du lyratis, de guerres. Ni djB pagvres su r les chemins ;Au fahatum e, A l’ignorance

gui couvraient Jadis no tre 1 . e vicUoies e t de bourreaux.

s no tre France

Succèdent ces saintes lumières Qui devant Dieu nous font ions frères E l devant la'to.l tous égaux.

Il voit s u r ina belle patrie F lo tter un drapeau gloiieux.E t le com m erce e t rTndn.sirio F rospércr sous Un règne hcurcu.x;11 apporte , o rné de science.Les produits de l’inteiligence Et la réform e des abus.Le vieillard qui lu veut connaître l.ui pardonne en le voyant naître Du le charger d ’un an de pins.'

D’un puits jaillit ùne eau limpide.Dus tra in s sont mus p ar la vApcUr,Sur un fil Voie un mut rapide,L’é th e r annule la douleur;Jam ais dans une lenvre savante Nu.h pères, aux .siècles qu 'on vante.N’ont vu ce qn'.T.dmirenl nus yeux,El lus piodigi-s do nos veilles Suai loin peut-être des mcrwillo.-»Qu’après uous verront nos nevuux.

0 nouvel an ! viens !c.s main.s pleines Des promesses que lu nou.s fais.Accorde à nus vieu.x pour élreiines Non des trésors, m ais des bienfaits, l 'i ib se ton soleil salu taire Sans ce.sse éc lairer su r la terre La fui, la justice, l’huimeiii>El tes jou rs de joie et de gloire Etre aux fastes de notre histoire Gravés p a r lu main du bonheur.

VicToa OFFROY, de Damm artin.

L E S D E U X F R Ë U E S

L E S F Ë G IIE U R S .

A 31. Henri Moreau, é.'cvo an hjeee Pfapolvon.

L e J o u i * <9c T A n f iS G ïl .

Voici lo nouvel an encore.Dans le tem ps il passe A son tou r, ^ lu o n s sa naissante au ro re,Son lever prom et un beau jo u r .Dans le b rillan t siècle où nnns .sommes, Il se m ontre aux regards des hommes Beau d ’espoir, ricbo d 'av e n ir;Il vient éc rire aussi sa page Et nous laisser de son passage'Un bon ou tris te souvvuii'-.

11 va g ra n d ir au cham p fcrllle P a r le génie ensemencé.E t triivuillcr A Ttcuvrc ntiie Que r.m qui fuit a com m encé;S'il accom piil ce qu’on espère,

■ P a r lui rhum .'m ilé va faire Un pas d e p lus dans le progrès.Et quand dans le bien l'homme avance, L'Ame-éprouve moins do sontii ance.Le cœ ur n des plaisirs plus vrais.

Mou bon am i, pour te com plaire.J ’ai peint la m er, un fuit touchant;Si le sujet est attachan t.Mes pauvres vei-s ne le soiil guère ;Mais ils au ron t rem pli mon vwn S'ils rappellent A ta m ém oire'Un oncle qui, plus que la gloire.Aime l’étude et son neveu.

Au bord de l’océan, .sous une hum ble chaum ière, Uiiphaël e t Louis Vivaient avec leu r m ère;On n’ayait vu jam ais, unis de scntim enl.Une m ère ci deux flis s’aim er plus tendrem ent.Chaque jo u r ils allnieni, sans que rien les emiiêche.S ur un bateau je te r leurs filets A la pêche.Et lo so ir iis venaient s u r un bord incertain A leu r m ère inquiète apporte r leu r butin.

Ces deux frères s’aim aient dès leu r prem ière enifance: Ju'sque-IA, rien n’avait troublé leur existence,A leu r simple bonheur tout sem blait concourir,-Hais ils avaient aussi leu r épreuve A sotilfrlr.

Un jo u r , ces deux pêcheurs dans leu r barque fragile Voguaient paisiblem ent su r une m er Iranquille;Us étaient loin du bord , quatre hommes courageux Aidaient A la mam cuvre et péchaient avec eux;La pêche en cette m er se m ontrait abondante.Les llicls étaient pleins et la troupe contente.Biais le ciel noircit, gronde A l'horizon lointain.Dans le.s flancs d 'un nuage on voit m onter le yrahi.Sous l’autun qui g randit la vague qui s’anime S’ninoncèlo en montagne et se creuse en abîm e.S u r la m er se répand une profonde nuit,A la grève on entend un form idable bru it.F a r des floLs bouillonnnnls l.i barque balancée D’un bond impétueux dans les a irs est lancée.Et plongeant tout A coup sons des venis furictix.Dans des gonirrcs sans fond tom be du h au t des d eu x .

Les pêcheurs en péril Inltenl contre l’orage El fo n ld e vains efforls pour gagner le r iv a g e ; , . . . . l i s en tendent au ciel la fondre re len tir .EL voient partou t le flot p rê l A les e n g lo u tir . .

Louis e t Raphaël, que co tem ps désesp ère ,Manœuvrent de concert et poiisent A leu r m ère .Qui, sonie, sous son toit ébranlé p a r les vents. T rem blante de frayeur, p ria it pour ses cufaiits.

L’éclair, en .lézan lan t une nue invisible.Jette un îjonr effrayant dans nue n u it te rr ib le ;L’a ir m ugit, tou t est b ru it, danger, désordre, h o rreu r,

.i/océan révolté b a t un ciel en fu reu r.Bientôt la frêle barque, assaillie, agilôc.Voit sou mAl qu i se brise et sa voile em portée :Elle e r re abandonnée nu gré des vents, des flots.Mais pafm i les pêcheurs s'élèvent des sanglots ;

Un homme dans la m er pousse des crls fouèbresl- 11 nage, EU lamoufe au mllIèU dés léuèbres; . C e a lL o b isq u i p é r iljè tr tl 'd 'ü ü flW cru d ';^ 'Il p Otige, surgit, lutte; appélle' ÏUphflei.On jello A d ro ite , A gsucbe, ano plaoàie, on cordage:'-Poussé près do là h urqud ,illeal» l’BbOMqaè: * ^On KO presw, ou se penche, on lu i leml.tiJle du in ;T out p rè s d e la saw ir, 11 éphappé soudain.Lent fou commo une épave en cette heure m ortelle,)La lam e le aoulèvè e t l'em porte avec «|(e.

Raphaël qu’on re tien t s'epiprosso en eet'eiinuL - I l veut sayvcr son frère du p é rir avec fiii;Il lui parle , il entend lu tfoiiiehr qu’il tém oigne, *Une vague l'upprocbc, nue vague réloighe,It le cherche, il le veut, mai» il lie 'néùt ïo voir. *La m er est ténébreuse et le clél est tro p «dir*F a r ici, lui dit-il, viens, devant, en a rriè re .P arle, je vais A tpi, courage, encor, iuoh frère.

Une heure es t écoulée e t Louis lu tte encor Seul contre la letripêté e t les flots et la liiort ;Sans cesse il lourno àu tôür <fu secoühj qù’on tuVporfïK; » Q uand il va le loucher toujours le flot rem porte; i l fuit pour se sauver co que jieut un m ortel, •S’épuise, crie encor : Raphaël! Raphaël!On entend q u ’au milieu d ’une m e r on furie C on|re unu uirrcuscm ort se débat une vie.

Mai.*; ses dern iers effiirls enfin sont superflus.La voix faiblit, se tail, puis un ne l’entend plus.Le n’est pliis que le vent qui s'élève e t 's ’apalse.Que lo flot qui se brise en ballant la falaise.Que la nier qui triomphe e t dit en bundissuni :Pour moi l'homme n'est rien et Diôu sctd est puissant.

Rjq»hüël croit encore, il e.spèro, it écoute.R ien... c en est fa it... la m ort... plus de voix, plus de doute Desespéré, saisi «l’un transport Inoni,11 s'agite, il divague et tombe évanoui...

A ujourd 'hui, la cabano où vivaient ces deux frères N’est qu’iiii foyer désert e t qu ’un am as de pierres.Sons les tristes cyprès du village voisin Gît une m ère, hélas! moi te d 'u n long chagrin. / E rran t dans ce village, un jeune hom m e en dém ence ' Fait plaindre son m alheur e t sa som bre existence;Il cro it voir en fu reu r la m er, les flots, le ciel.Et répète en p leurant : Raphaël! Raphaël!

VicTon OFFROY, de Damm artin,

L'[.lustration accomplit sa vingtième année, et le succès qui l'u accueillie au début a toujours été en aiigincnlnnl. .Moniteur et album des événements contem porains, les qna- rantcs volumes dont se compose sa collection justj'üenl do la façon la plus sérieuse son titre de Journal universel. Seul jourim! politique illustré, elle n’est point gênée, comme les an tres feuilles venues après elle, pour la reproduction des événements politiques. Elle peut donner toutes les g ravu­res. comme .elle peut aborder toutes les questions.

accomplit dans toute son étendue sa double mission. La plum e e t le crayon fraternellenii n i unis fo r­m ent lo recueil le plus com plet, et ce recueil est déjà un de.s m onum ents les plus curieux de nulrè histoire contem ­poraine. V

l-'AdminisIratlon offre A tous les nouveaux souscripteurs les prim es suivantes, déjà rem ises aux anciens abonnés :

1“ / 'u m fiofimm, dont cinq num éros on t p aru , envoyé gratnitenienl e t franco A tout nouveau souscrip teur d ’un un. Le n° O ^e cette publication est sous pressé;

2“ Les Noces de Cana, d 'après le tableau de Paul Véro- nèse, magnillque gravure délivrée yialuitem ent dans les bureaux; par messagerie : 2 fr. 50 pour frais d'em ballage c l de tran sp o rt. ^

Nouvelles prim es offertes A tous les abonnés de l'iltusira' tion, anciens on nouveaux :

1“ Œ uvres nouvelles de CatWHi ; Poi' cipar-là, cl Phusio- m m ie s parisiennes, splendido collcction de 109 snjels, tirés su r chine p ar l.em ercicr, form ant un m nsuiO que ve- Im i ie «l’c i r e i ii ie H grand in-4* colom bier, relié en inaro- quin e t doré s u r tranche, 30 fr. au lieu de 120 fr.:’5 fr. en sus pour l'envoi franco dans une caisse, pour la France conlineidale. l.es souscripteurs do l’é tranger devront lu faire réclam er p a r leuri correspondants;

2* Chansons do Nadaïul, avec la m usique, éditées p ar ileugel; 4 fr. le volume, au lieu de 0 fr. Les 8 volumes for­m ant la collcRliou, 3U fr. an lieu de 5U fr. ;

3" Le Pnrlhéiwn de l'histoire, devant form er G beaux vo­lum es, publiés sim ultaném ent en 100 livraisons, form at rèVal in-4% papier vélin, de 400 pages chaque volume. Cet ouvrage, enrichi de plus de 1500 gravures, publié sous la direction de Bl. J . A rnicngaud, im primé avec le plus grand luxe p ar M.M. Ch. Lahure e t C*, et éd ité p a r ftlM. Hachette c l C'. Prix de la livraison, 2 fr. 25 au lieu de 5 fr.

Deux livraisons p a r mois.Toute dem ande de l'une on de l’au tre do ces prim es

ainsi que celle d ’abonneraent devra ê tre adrc.s.sée franco, avec un bon s u r la poste, ou un m andat s t ir / '« m A l'o rd re de MSI. Auguste Slarc et G', rue ItkheUca. CO. « Paris.

On souscrit également chez tous les lib raires de France e t de l’étranger.

Trois mois ; 9 fr. — Six mois : 18 fr . — Un an : 36 fr.

Le Gérant responsable, Ersbst REGMEU.

A nnonces J ud iciaires.ParBiréiùd^eAM c P ré fo iilc l '0 ise ,n p p c’6uvé

par S . Exc. ‘ lu ^ lin is trc do l^ lnïéricur, lo J o u r n n l d e H e a l l s 'a été dcsigné {lonr in - fiérur CD 1862, dans ra rro n d isso tn u n ld c Scnlis, toutes a h a o n é ^ jud iciaires e t It^a les.

L d'on

. Dani eilleof tus pa* ittrop.

La publication lU ^iilo d es actes de société «et obligatoire p o u r Fannéc 'inil h u it cent ao iian to-dcox. dans chaconc des deux feuilles de l’arrondissem ent, désignées pour t’in s rr- tion (les annonces jud iciaires.

A n r.

Etude do H ' J ulbs TIIEBIHY, avoué A.Sentis.

iB, d u n s lequel on

VENTE SUD EICITIVTIONE K T R E M AJEURS E T H IN & \lR S , .

En la ilà iton d ’école de Silly-le~lAtng,Par lo m in istère de M* Higo t , no taire au P ies-

s1s-Bellcvitlc, com m is à cet elTct,Kl en préscncedeB!'' VnAMART,notairch Baron,

U N IE■ATlREàTS, COUR, JANDIRS VERGER ET POTAGER,

Cir««M M iliineeB e t D é p e n d a iic e iS y• S ise b SlLtV-LE^LONG ;

CIRQ n £ m DE TEKRESises aux terro irs dud it S ii .i .y - lb -L o n c

e t S a in t - P a t i iu s ; s» es In lV|!E^|PB'OI»'llIIÉlrft: t||>

4 A i n PIÈCES DE TERRESises au m ôm e tc rrp ir de S il ly - i.e-L onc ;

B W D I X Z.OTSquipourriuiléIrercunispat'tiellemontoucnIotaïHc

L’A(]jti(llcaUon a u ra liou le D imancho onze J a n v ie r 1865, h e u re de m id i.

S'adresser p o u r let.renseiynements :/* A M* J u l e s THEAIBY, auou^ à Sentis,

rue d u Châtel, n® S4,pàur.8uioanl la vente;2* A M* GIIALAIIN, auouJ « Senlt's, rue

A 'am (-//t/a ïre , n* 4 0 ,prisen t à la vente;3* A M* VUAMANT, nofoiVeù B aron;4® E l d SI* plG O T , notaire au Plessis-Belle-

ville, dépositaire du cahier des charges et des titres de propriété.

I Art. 2 .Elude do M* J . GODIN, avoué A Sciilis.

i’i l iP A R A 'r iO . i r D K D I R A S ..Suivant jugem en t rendu par lu tribunal civil

(le prem ière inatanco séan t à Sentis, le vingt- trois décembi‘0 m il huit ccul soixante-deux, enregistré.

La dam e A nnc-.\ngnstine-O ciavc LourqU, épouse do AL Julcs-D enis F rcv o st, cn trep ro - nour (le roules, dem eurant do dro it av(>c son mari h Ruiiy, c l de Ibit y Barborle (Oise),

A été déclarée sépàl^éu do biens d ’avec ledit sieur F rc v o s tso u m ari.

Four extrait A insére r ;S igné : J . Goûin .

A niioaccs |>ivci*scs.\ E D C J E U

P our en tre r on jou issànce .dc suite,

A E 4 x rF N ls im i «lo b l é f a r i n e , '

Sis d L A V iC T O lR È , ià kilomètres de la sta­tion de Senlis, par m e 'rp a te départementale.

Ce Moulin » six paires do m eutes m ontées h

Tnnglaisc e t écrase 18 ,000 hectolitres de blé par an .

Situation avantageuse au m ilieu d ’un pays à blé.

.S”a(/r(7.<iKeràM. F a s q u e l père, à Courteail; E tà M* BEXoiST.tmtaire âÀViih’s;

A V K i^ lD K E o u A L O U Ë RA L’aMIAQLE,

un YASTK BATIMSIITDo huit Iravéï's et d ’une hauteur de 15 m ètres

sous la costièrc. p ropre h l’établissem ent d ’une Usinu, rem ise cl colom bier y tenant, et pui'tion de cour.Le tout dépendant du 3loulin de Villemétrie

e t situé aiüfft' lieu, faubourg de Senlis.S ’adresser : au m oulin do V illem étrîc, li

BL LcMAittE, prop rié ta ire ;E t i> Senlis, A .BI® Bewoist, notaire.______

A ïjQtrËn A;P pur entrer en jouissance de suite,

R M B H M S ESitiiéo A ^ n l is .

C om prenant vestibule, salie de bain , salon,

salle h m anger, cnisinc c l ofllco, au rcz-du- chaussée, e t cinq cham bres à feu au premier étage; porte cochêre, jard in et écurie.

.S’o d rg w rd M * R e x o is t, notaire à.Senlis.

Ë'.udodcM 'H e n r i S.YLLÊ, coramissalre-prisour A Senlis.

m m \È .itd i!), V O l iO . 'V T .t lB K ,

D ES l O B à f f i R Ë r f i â T Ë R I E LD épendant dû fonds de BI. L acodrb. re s ­

tau ra teu r, rue de ücanvais, h Senlis,Le Dimancho 4 Ja n i 'i r r 4865, etjourssuivanfs,

d une heure.Cotio vente consiste notam m ent en : Ustensiles en cuivre e t fe r-battu A usage do

pâtissier, belle batterie de cuisino; Fourncau-cu isin ièrocn fonte;Vaisselle e t vcrroriè, glaces, lampes;Roati billard en acajou et scs accessoires; Tables, com ptoirs;Meubles -do toutes sortes, table A rallonges; Service do table e t cbuvoris en plaqué. Literie, lingo rio tablo.Vitis en bonteillos, e tc ., etc.

F r a l « o r i l ia c ü r c B .

"n ;

Page 4: Trièr rrrïïetT‘,s;.io‘„ia rh'ic^is.'j'ioSBturbmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1863_01_03_MRC.pdfFendant toute cette excursion, qui s'est étendue A 3 ou 4 iiuiies

l î i i r

I

EUide deBI' CR!SO N iio laire 'àBén»sy»S‘»Picri‘c

' A V E I M » B EPAft àDIOlHCATlOn VOLONTAIRI.

A u Befvai, commutu de Bonneuil, e» la de­m euré d» M. L b r ig r i c h ,

Le Dimanche %» Ja n v ie r 1865, h u n e henro . Par le. m ieU lère de Gaison» tio/aire à Déthûij'

S a tH h P ien t,

DHE lELLE lU S O Hrr* |M P e k t a C ^ liM re »

S ise h P rignoiival, corom* do RussY-ncsm oni,

MfetllS ÉTtJDE,

A V E Ï M D l l BPAK ADJDDIGATIOR V O L O :iT A m G ,

En Vélude et par le m m stè ro de U ' T a s sa r t , notaire à Crépu,

L e D im anche 11 Jauvior 1863 , h m idi,

8 H

Sise h C rëpy ,-rne du F o u r. n*5,

ET UNE P IÈ C E DE T ER R ES ituée su r le te rrito ire d e Rouvillc,

ConSeMonl • liMtfirç SS «t m S t «eut.S**adresser, pour loue renteignemcnU, audit

M* T a ssa rt , wofaM'c._________________

A V l S i ü l D R B p a r A < y i i « l l e a l i o i i yÀ u p lus offirant e l d e rn ie r euchérisscu r.

P a r le M l n i e t ^ d e U ' Bvoitt, notaire a Précy, E u la m airie de Saiiil-M axim in,

L e D im a n th e 4 ! ja n u ie r 48d?i, à tine heure^

Ü M E M V I S O i B JA p p e lé * l u IM ie »

S ise h Saini>SÎaxl|)^itn. su r h rou te im périale * d e P aris h Am iens,

ET UNE PIÈCE DE R O ISSise te rro ir d e Sainl^M aximiu, con tenan t

I h ec tare 86 ares 8 0 centiares.II y a IOQle*sùrclé p o u r acquérir.

S ’adreiAeroiKhr U* Buoin. M iairc.

CouSeaiiuS 1 he«tar« AA nre« M «eut.S itu é e terro irs d e Di‘sm on t et du üerval.

Jouissance to u t d e suite .Facilités p o u r le paiem ent.

S'adresser audit H* G u so s , notaii-e. -

E lude d e H* PAYEN, uo la irc à Pont-Sainte* Maxence.

3 H e e l u r e s 4 9 a r e s 4 3 « e n l .

D E T E R R EA*m iiiie seule pièce.

Situés au te rro ir d e Pont-Sainto-M axencc, au -dessus de M imberiin,

s a M sa sB KV s a n s T A ii . , •PAR AIMUDICATIOX VOLO.MAIRB,

Le D im anche 3 5 Jan v ier 1803. h midi.En rélude et p<U' le m inistère de M' Payc.x,

ttofoire à Pont-Sainle-ilaxeiwe.E n trée en jouissance de su ite .

Sûre té p o u r acq u é r ir . Facilités p o u r payer.

E n cas de non vente d e ce lte pièce, il sera rocétlé iinm cülatem eut b la location par ad -

^adication, en détail on en gros.S'adresser audit M' Payex , notaire.

A V E N D R EPtariadjudication volontaire.

Par le m in istèrcde M* T a ssa rt, notaire à Crépy, Le Dimanche 18 Janv ier 1865, ^ midi,

A A u g e r -S a m t' Fnicenl, en la salle d'école,

(M «AKCflt DE TEBBES itué su r les te rrito ires d ’A uger-Saint-V incent

el O nnoy-V illors,C'antennnt S fteclnrM 9 0 ares 8S c.

G randes facilités pour le piiirnieiit. S'<n/rcjf5(7- <«idi7 M* TassAut, iio/«»-e.

E tude d e M* TASSART, notaire à Crépy.

AP a r ad iud ica tion volontaire.

L e D im anche 11 Jan v ier 1863, h nue henro. Par le ministère de M' T assa rt, notaire à Crépy,

et en son élude,

SEPT PIECES DE TEBBESituées su r les te rro irs de Réthancourt, Crépy

et Bclz,Coaleaiint I heetareOOarru S9 crni.

A L i O U E R p a r a d j a d i e a l i o n .Le m êm e Jour e t à la niéinc heure.

9 7 ARES S 9 CENTIARES DE TERREE u 5 pièces au te rro ir de Retz.

S'adresser audit M* T assa rt, notaire.

Bléin e étitdc.

A V E A D R Er a r «oioNlalr^.

A V auciennes, en la salie d'écoli*.Par le m inistère de M' T a ssa rt , notaire à Crépy,

Le D im anche 3 5 Jan v ier 1865, à m idi,

3 IIBG IIÉS DE TEBBESitués su r les territo ires de Vauciennes et Vez.

canton de Crépy,Largny e t P issc leux . can t. de V illers-C ollcrei,

C'onteiUiMt S hectare* 04 are* 4 0 e-E ntrée en jouissance ap rès la récolte de 18C3

Facilités p o u r le paiem ent. S ’adresser audit M* T assa rt, notaire.

E tudes de M* TOU RNEUR, notaire h V rrberie et de M' BORN lC ilE , no taire à Crépy.

A V E ; \ I D R Ep a r a o ju d ic a t iu x v o l o n t a ir e .

Le D im anche 11 Janv ier 1865, b dtuix heures. Par le minislùrè de M'UoRMcitE, notaire à Crépy

el en son étude.En présence do M* T o u r n eu r ,Mo / f l i r e ô Vcrbcrle,

12 FitGES DE TEBBESises te rro ir do Crépy.

Facilités p o u r le paiem ent. S'adresser <iux(i<7« M” T o u r n eu r et IloRNicits.

E tude d e M* RIVIÈ R E , polaire û Creil (Oise).

V N B O I SA|*|>eié r» fiarenae de M. Parffue*,

ET TERRES LABODRABLESEN DKFSNDANT,

l « tout coiitenfint S hé* «. 91 are* 99 e.S itué b M ontalairc.A v e i 'v d r e :

PAR AUJUOiCATlON VOLONTAIRE,i.e Dimanche t4 Janv ier I8(i5 , à deu x heures,

En la salle de la m airie de M onlalaire.Par le ministère de M* K ivière, notaire à Creil,

Le pièm e jo u r et avant ce tte adjudication, il sera procédé b la vente aux enchères pu­bliques des ARBRES se trouvant su r ce bois

Jouissance de su ite .Facilités pour le paiement.

S'adresser audit M* Uivière, notaire.

Elude de .M'BIGOT , uo lairc a u Plc8.sis-Dulieville

SIX PIÈCES DETERRE ET PRÉSises aux le rro k s de D ro iz rlles 'e t Nanieuil-

le-H audouin ,A V E . 'l in R E pat* A djudienlio iicLe D im anche 48 Janvier 4SG3, à une heui'e,

A N anlcuil, en l’Ilétc l-de-V ilIc ,Par le m in idcre de M* B ico t, notaire au

Plessis^Dellevillc,Jouissance ap rès la récolte prochaine.

S ’adresser audit H ‘ Bicot, nota're.

L E C H O C O L A T H E I V I E Rse rencontre partou t, dans les villes, dans les cam pagnes et ju sque dans le m oindre village. Il e s t adopté univei-selleniuiil, e t le chilTru d e sa consom m ation s'expiiiuc p a r millioiis de kilogram m es. Une vente aussi linporlaiitë ne peut s ’expliquer que p a r la bonne qualité de ce Cnocolal el p a r sa supério rité réelle quand on le com pare avec ceux qui sont vendus 20 à 25 0/0 plus cher. Gel accord en tre la niodéra liun du p rix e t la bonté du produit d érive nat'irelleineiil de la position spéciale de la Itiaison AIkmer.

f • Elle importe elle-même d ’.Amcrique ses provisions dè cacao, el des ayens établis auxlieux m éiyes de production, y choisissent les meilleures espèces.-

2« _ Sa /oftrtcfllio»» a pris use leile importance que ses fra is , répartis sur cette grande üro'inctioii, deiiicHwenr bien moindres que dans les fabriques ordnunVcjf.

3* Fondée depuis longues <i/iHeer, elle a eu le temps d 'am ortir le capital représenté parses machines et son installation industrielle : l'intérêt de ce capital n'est plus une cause d ’our/mento/io» de ses p r ix de revient.

On peut donc faire re raisonnem ent : si elle achète m oins ch e r les bonm-s sortes de cacao , si elle fabrique b moins de frais, elle (leul conséqiieinm unt vendre à m eilleur m a r­ch é des qualités de Chocolat que d ’autres fabriques doivent co ter à.un plus haut prix.

A celte conclusion logique, il faut ajouter que lu Maison HfitUR a pour système de ré ­d u ire toujours dans de justes limites le prix de ses Chocoials, allii d ’appeier le plus grand nom bre possible de coiLsommateurs i se serv ir d 'u n aü iu en t aussi salu ta ire .

É T B È B O L Ê I l R l D E G E A L M I NPOUR DÉTACHER.

AéisÊOtm os r ^ i »«« J<taa» M M Jew ro cfto -G rt tc novTclte p rc i ta n l io n c liiM iqM p«lrmet d ’en leve r M Î-m én e in itan U n éa ie iiM o u * lee c é r p * t n w ,

t a r h r r 4 e |w l « M r e , e a i r , h a l l e , h e a ^ , C M h M l e , « e r p * r é e l a e a * . « e a d r e a , h M c l c , e i r e *• a c h e v e r , r é e l a e . r c r a l e , t « r l«wte« espèces de lU sus, te ls que velou rs , soieries, la in sges, g a n ls d e [tean. s a n s « t ic re r le* c o e te e rs , m êm e les p tn s dé lica tes, su r le s g ravures e t pa p iers p ré .- iras . Ce nouvean p ro d u it e s t su p é rie u r A to u s tes liqu ides k d é lacbcr.

PRIX OU r iA co N : 1 f r a n c 5 0 c e n t im e s .Composé par O HA UUW , chim iste. — Fabrique à Rouen, rue de l ’Hôpital, 38 et 40.

Dépôt & Seiüis, chez N . FJIIIJÜ ËRT, coitTeur-parfum cur, placu de la ila lle , 33.

n U l^ 6 1 ? D V lT lA I U ^ ” médical popu- H u o L n I A I lU i l Ixtfc, au r la guérison tic

IV D C A H làlill I P d<5bilitô nerveuse et E it liq jlf i l il lJu lJU i physique, ré su lta n td ’ha-

bitm les s o ltta ire s , 'à u excès qui épuisent p ré ­m aturém ent les fonctions do la virililé , détru i­sen t tou t espoir du p ostérité , et m etten t en danger le bonheur du m ariage, em pêchent l’a c - com ptissem enidcs cn|{agcinens<^ul constituent l’un des n lus chers objets de l’exisience, par le «locteur L a’ M rrt, 5 7 , Rmifort square, à L on­d re s , m em bre tlu Collège deC hirnrg iens «l’A n­gleterre, etc. — C onsnliations chez lui tous es jo u rs . — la 's personnes qui ne pourraient

se rendre chez lui peuvent ê tre traitées avec .miecès p ar correspondance e t les rem èdes cx - péiliés d 'u n e m anière secrète e t certaine dans tontes parties du inunth*. — La Présvrvaliou pm oimeW escraenvoYée/Vnnco,8imseuveloppe, lar Laroque jcmie;i lib ra ire , quai Voltaire, I , i P aris, pour 5 fr. ^ c .

M M tiv tr m Æ A Æ ,is a .

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S en lis. C om piègne. B M ovais. C ierm ont. Cri’py. NMiteuU. P o n t.

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5 0 Décembre. 37 Décembre. 37 Décembre. 37 Décembre. 2 7 Décembre. 3 6 Décembre. 3 6 Décembre.

3 0 00

2*qualité.

I S ^ 00 01119 0 0 1 8 ,0 0 1 7 0 0 18 7 7 0 0 D 0 ;i6 76l o s h I a t k a n n l u i

T X T tr iF B T T ÎN ^ iia ie r du 2 JoiiWer I8W.«

1 8 8 9 1 7 5 0 ,0 0 0 0 18 7 5 |l7 5 2 .0 0 0 01 8 3 8 ,1 0 4 5 ,0 0 0 019 8 5 |< 8 a»ln IHi

q u a l i té , 89 c. le ItHogrdiome ; — *7

MÉTRIL1" SBIGIB. 0X 08.

qnalUé.

0 0 0 0 13 351M) 001 6 00 15 0 0 1 0 7014 90 11 35 8 5114 45 11 59 9 7315 54 11 55 9 9(115 00 11 9 9 10 1116 50 H 88 9 60

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d e C A I I V I M , d e P u r i s .Ces Ptl.U LES pa r le u r efliencilê c l p a r le u r em plnî farile auquel elle* se p rê te n t, so n t le m e ilten r |H irÿ(i(> /'pour «'om iuiltrc ta rori. MliputioH, d é tru ire les hiim m in qÿ<l’dc««(è>li< e t iKiur ra ­m ener l'Iiarm un le dan» le» fnnc (ions vita ic». ('o ioposcus de G u6s(anees végétâ tes , e tc » o n t

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L<-» Ptl.U L ES CAUVIN n 'e iig e n t n i régim e n i )«i» son S|>éi;intci sous ce r a p |io r l, elles c o n s titu e n t te plu» eoininodc e t le pin» etlieaee de» purgatifs con- iius} aussi sont-e lles nrdunnêe» avec succès dans le: Dial.-idie» a iguës c l c liron iques, gustriles, eugotg^ inents, asthmes, catarrhrs, douleurs, dartres, mi ^'rof'nci, scivj'utes, e tc .

Le iné rile de» PII.ULF.S C.\UVIN peu t sc rcMiini-r en ces mol» i rcUitilir un entretenir I.» sauté- I ji t /9 l>oile d e 30 P ilu les, *2 f r . , ta 1h>Î1c du (iO Pilule» T .'iO u.

F r ê p a r é e s u n iq p i;m r n t p .vr J. r . €.%tUVI!V

Pliarm acicn d e l'éco le supérii u re du ParU, place d e t'.Vrc-du-Triomplie du l'E toile; Cliam p

Elvsécs, P»»t». so r s . Une iu stru c tio n exp lien livccst rcu ferm cc d.-iiis

cliaque Imite.I lé p é l, elles U . O s o n t a l a g , pharm acien à Suulis.

C A F É D E S G O Ü B B I É T SO n l i t d a n s les Jo u rn a u x se ien ti/jques t ,■ De (nulcs lus den rées que l’A friquo e l l’Amérique nous o iiso ien t, n u lle n’a c onquis dan* la consom m ation

• générale une im portance pare ille à celle d u café, c e t a rom atique p ro d u it d e l’Arabie ben rease . A lim ent con-• lo rtab le e t lireuvage d é lic te u t,lo rsq u e la pré|>ara(ion qu ’il su lû t eiit rcenv re d ’n a p ra tie le n habile, le café• ii’e st p lu s qu ’u n e chose nauséabonde e t insipide, lorsqife sa to rréfac tio n a snb i des p rép a ra tio n s ineapéri-• m entccs ou des a ltéra tio n s frauduleuses. L 'a rt d e bien tu rréflu r les cafés e s t in fin im en t p lu s ra re q n ’on a n e p e n se; il dem ande d c sé tu d c s sérieuses, des soins savan ts , une expérience consom m ée. A u u i, sa u f des » csueplions qu 'un |to n rra il ap|>uli'r m icrosrûp iques, le café n 'a |tas ce g o û t es 'q u ise t ce f in ard m e qu ’on a lteu d• du la délicieuse fève arab ique . Pou r répondre à ce besoin un ive rse l e t a u x e iigenues légitim es des am alcnrs• d e bous cafés, nous sigualerons c l nous recom m anderons hveo In stance à nos lecteurs le C a fé to rré fié h la• va iieur jm r .MSI. TH âsrr.iau frères. — L e C afA « le s G o n r m c tn , te l e s t son nom e t son v rai nom ; « rfism e• s n p é r i e s i r e a n e r i i S r é , é c o n o m i e c l f o r c e , te lle c st sa devise- D epuis douse a n s , ce tte m aison d e p re- ■ n iie r o n i r e a vouquis une no to rié té , nous pouvons mùtnc d ire u n e g lo ire u n iq u e ; e t nous avons, la conviullon• du ren d re aux tab les d istinguées u ii service réel, c il lu u r recon im andau t d e p référence à to u t a u tre l’usage » d u l 'o f é d e u C o u r i n r i u . •

JVoHS p rio n s in stn m m en t te s coiisom m nieurs d e ce t'.nfé des G uiirn ic ts et la s igna tu re • T rcliuuicn J'réres.Ions le s cn jés q u i u ’iiuraienl pas ce tlc sig iiiitiue e t ce lit. e .

A V IS » I M P t t H T A K TU n dcm i-kilog CAFÉ DF.S «jOURUBTS fait 80 fortes lasses- — C’e s t d onc c inq tasses p o u r 32 gram m es. —

U ne lasse d e n o tre exct-llent café ne voûte |>ar conséqucu t que 3 cen tim es. R ésu lta ts : I* vii>ê e t transparente co lora tion ; 2'* économ ie d e m o itié ; S** qua lité /uiu(em c/i( supérieure à ce tte d e to u / te s ca fés d u comm erce} g o d l e xq u is ; arôm e superfin .

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Heures des Uéparls.

12 5‘2 I 10 I *20

10 5711 IG i l 27

T l t A I S i M A W K I V A M T A I P A M I S .

PRIX Dts PLACF.S d e * c m ll» .

S*- julasku[ u la ssrj classe 3 - S

( . e r . c . r . c . l i t .• e s • 50 • 39 G1 4S 1 10 » 80 132 15 1 GO 1 13 192 VII 2 » 1 50 243 3.5 2 50 1 853 Rtj 2 85 2 10 344 39 3 30 2 40 394 lis 3 70 2 70 445 4<l 4 OS 2 95 496 09 4 59 3 39 54

Scalin . . . . départ Saint-Firmin. . Cliantillv . , .Orry la-Vill«. . Luxarchca-Survilliera Louvre» . . . . Roiissaiiiville .Villim-le-D.(Gonmc) Pierrefitle-Stain» Sajnl-Denis . .

I» • . . . a rrivée

lleu res des Départs.

1 .2 . 1 .2 . 1 . 9 . iL 2 . 3- c l . 3 . c l . 3* c l. 3* c l.

y u p a r s ^ tu A i a i r e d e ^ ë ^ l t e d e S e n lis , p o u r lé g a li- . a tio n J e l é tlM oalitre d é W . R ég n ier , a p fm é e h F a r t.

C e 3 Ja n i-ier 1863. { {

l in r e g it tr e a S e n tis , le I8C5, f* B t i u S e n lis , im p rim e rie d e M*" v* REGMSB

pince (le rHôtoI-dc-V IH c.