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Belgique – België P.P. – P.B. Bruxelles X – Brussel X BC 10044 P405389 Revue trimestrielle de la Fondation belge de la Vocation Driemaandelijks tijdschrift van de Belgische Stichting Roeping 4 e trimestre 2009 > 4 de trimester 2009 36

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Magazine Vocatio 36

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Belgique – BelgiëP.P. – P.B.

Bruxelles X – Brussel XBC 10044P405389

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Couverture

Livres pour la jeunesse, bandes dessinées, courts-métrages, film d’animation, Anne Herbauts, lauréate en 2003, aime explorer diverses pistes de narration. L’illustration de la couverture est extraite de l’album Lundi, paru en 2004. Il vient d’être traduit en italien, et a été publié aux États-Unis et en Angleterre. Aujourd’hui, avec à son actif plusieurs bandes dessinées et une vingtaine d’albums édités pour la plupart chez Casterman, Anne continue à explorer son thème de prédilection, le temps. Elle vient de remporter le prix Libbylit 2009 du meilleur album belge pour Les moindres petites choses (Albums Duculot, Casterman) lors du Salon du livre de jeunesse de Namur.

CoverAnne Herbauts, laureate in 2003, houdt ervan verschillende vertelpistes te verkennen. Zij leeft zich uit in zowel jeugdboeken, stripverhalen, kortfilms als animatiefilms. Deze coverillustratie komt uit het prentenboek, Lundi, dat in 2004 verschenen is. Het is onlangs in het Italiaans vertaald en is al gepubliceerd in de Verenigde Staten en in het Verenigd Koninkrijk. Met al een twintigtal prentenboeken en stripverhalen op haar palmares, voornamelijk uitgegeven bij Casterman, blijft Anne haar lievelingsthema, de tijd, verder aftasten.De Libbylit-prijs 2009 voor het beste Belgische album werd haar onlangs uitgereikt voor haar prentenboek Les moindres petites choses. Dit gebeurde tijdens de jeugdboekenbeurs van Namen.

Extrait de l’ouvrage / Illustratie uit Lundi, Anne Herbauts © Casterman. Avec l’aimable autorisation des auteurs et des Editions Casterman / Met de vriendelijke toestemming van de auteurs en de uitgeverij Casterman

> www.casterman.com> www.ricochet-jeunes.org/invites/invite/30-anne-herbauts

editoHet is weer zover: de feestperiode komt eraan! De zoektocht naar cadeaus kan weer beginnen en we kijken uit naar gezellige winterse

avonden voor de open haard.Een regenachtige dag is anders misschien wel het ideale moment om de tentoonstelling van Bénédicte Henderick te bezoeken, of om binnen te blijven en de video’s van Émilie Guilaume te bekijken, zodat je in de wereld van acrobatiek en krijgskunst kunt onderduiken. Wie graag van verre bestemmingen droomt, leest best even het verslag van Patricia Cornet in Angola.De eindejaarsperiode is ook een muzikaal seizoen. Voor volksmuziek bijvoorbeeld, zoals Hubert Boone die tot leven brengt, of andere soorten muziek. Opgelet evenwel voor de oren! Pierre Garin vertelt er meer over...

Prettige feesten!

Camille Delbecque

Opmerkingen en suggesties zijn welkom op > [email protected].

Voici bientôt le temps des fêtes, de la chasse aux cadeaux et des soirées devant le feu ouvert. Par temps de pluie, pourquoi ne pas aller visiter l’expo de Bénédicte Henderick, ou vous plonger dans l’univers de l’acrobatie martiale, en regardant bien au chaud les vidéos d’Émilie Guillaume? Ou encore, si vous aimez rêver de destinations lointaines, lisez les aventures de Patricia Cornet en Angola. La période de fin d’année est aussi une saison musicale. Musique populaire, comme celle que ressuscite Hubert Boone, ou autre. Attention aux oreilles, Pierre Garin vous en dira plus.

Joyeuses fêtes !

Camille Delbecque

Vos remarques et suggestions sont les bienvenues à l’adresse suivante : > [email protected].

> www.fondationvocation.be> www.stichtingroeping.be

1 Traiter la surdité | Doofheid behandelen Pierre Garin

4 Fin du cycle sur l’autopsie de Laetitia B | Einde van de cyclus over de autopsie van Laetitia B Bénédicte Henderick

8 Zeshonderd gewaarborgde melodieën | Six cent mélodies du passé sauvegardées

Hubert Boone

10 Émilie à Beijing | Émilie in Beijing Émil ie Guil laume

14 Retour en Angola | Terug naar Angola Patric ia Cornet

17 Jury Pierre Bartholomée

18 News

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Pierre Garin

Âge 45 ans

Vocation Médecine - Traitement de la surditéBourse de la Fondation de la Vocation en 1993

Vit à Wanze

Profession Professeur à la Faculté de médecine, spécialisé en ORL

Pierre Garin a fait ses études de médecine à l’Université catholique de Louvain. Puis il s’est spécialisé en oto-rhino- laryngologie et en microchirurgie. Afin de se perfectionner il a effectué plusieurs stages en Europe et aux États-Unis. Depuis 1994, il travaille aux Cliniques universitaires UCL de Mont-Godinne où il dirige un centre de revalidation pour enfants et adultes atteints de surdité. Il dirige en outre le département d’anatomie de la faculté de médecine aux Facultés universitaires Notre-Dame de la Paix à Namur. Il vient également de rejoindre le jury de la Fondation.

Traiter la surdité

L’abouTissemenT d’un projeT« La bourse de  la Fondation m’a permis, dans un premier  temps,  d’aller  me  spécialiser  en  micro-chirurgie  à  Los  Angeles,  Zürich  et  Montpellier. Après  mon  retour,  j’ai  été  engagé  à  l’UCL  au  sein de  l’hôpital  universitaire  de  Mont-Godinne,  entre Namur et  Luxembourg,  qui,  à  l’époque,  ne  comp-tait pas encore de médecin chargé de  la surdité. J’ai donc eu l’opportunité d’organiser et de déve-lopper les activités médicales et chirurgicales du secteur  d’otologie.  L’idée  est  très  vite  venue  de créer  un  centre  pluridisciplinaire  de  revalidation accueillant des enfants et des adultes atteints de surdité. En effet, cela devait permettre d’accueillir les  patients  de  la  région  Namur-Luxembourg qui  devaient  jusque-là  se  rendre  à  Liège  ou  à Bruxelles pour y trouver de l’aide adéquate. La né-cessité était donc grande. Au cours des quinze dernières années, j’ai consti-tué une équipe de paramédicaux spécialisée dans les  tests  auditifs,  logopèdes,  psychologues  et psychiatres,  et  une  assistante  sociale  attachée à  l’équipe.  L’agréation  récemment  obtenue  de l’INAMI nous permet d’offrir aux patients un rem-boursement  préférentiel.  Nous  y  accueillons  en-viron 50% d’enfants nés sourds, à côté d’adultes atteints plus tard. »

ÉvoLuTion TechnoLogique« La  surdité  est  le  handicap  pour  lequel  il  existe le plus de solutions efficaces. On peut la corriger dans  tous  les  cas,  ce  qui  implique  que  la  surdité totale  ne  devrait  plus  exister  aujourd’hui !  Étant chirurgien,  je  me  suis  spécialisé  dans  les  im-plants  auditifs,  qui  peuvent  s’utiliser  pour  tout type de surdité. L’objectif de l’implant est double. D’une part  il permet au patient d’entendre mieux qu’avec un appareil externe, et d’autre part il per-met de diminuer les préjugés sociaux causés par les appareils visibles. Il s’agit là non pas d’un as-pect esthétique mais d’un aspect social. En effet, 

un  malentendant  est  perçu  comme  “non  fiable”, car comment être sur qu’il a bien compris ce qu’on lui a dit ? En ce sens, il est dévalorisé par rapport aux  autres.  De  ce  fait,  les  implants  auditifs  ont une importance majeure par rapport à la percep-tion des autres vis-à-vis des malentendants, ainsi que sur la qualité de vie de ces derniers. La technologie de traitement continue à évoluer, l’informatique  y  contribue  beaucoup.  Nous  es-sayons  de  rendre  les  implants  plus  performants en  les  miniaturisant  et  en  essayant  de  mieux comprendre  le  fonctionnement  d’une  oreille “normale”.  Des  implants  à  double  fonction  sont en  développement.  Ils  ont  une  fonction  auditive et  pharmacologique,  une  combinaison  entre  un appareil  auditif  et  des  médicaments.  Des  re-cherches  sont  également  menées  sur  l’aspect génétique de la surdité chez les enfants. Une  très  belle  réalisation  est  celle  du  dépistage systématique de la surdité à la naissance, exercée depuis quelques années en Wallonie. Auparavant, la surdité n’était souvent diagnostiquée qu’à l’âge de 3-4 ans. Ce qui était catastrophique car, pen-dant  cette  période,  la  partie  du  cerveau  prévue pour  traiter  l’audition  n’étant  pas  stimulée,  elle était réutilisée pour d’autres sens, comme la vue ou l’odorat. Une fois atteint l’âge de six ans, ce pro-cessus est quasi irréversible. »  

Pierre Garin savait très tôt qu’il voulait devenir médecin. Son intérêt pour la surdité est né en premier lieu du fait que, dans son enfance, il a côtoyé une personne qui en souffrait. Le Centre de revalidation pour enfants et adultes sourds qu’il a constitué a récemment reçu l’accord de l’INAMI. «Pour moi, c’est une étape importante, cela va, je l’espère, se muer en projet à long terme. »

médecine

Une oreille interne humaine, taille réelle (dissection anatomique FUNDP Namur) / Het interne gedeelte van het oor op ware grootte (anatomische dissectie FUNDP Namen).

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poLÉmique du bruiT« Il  existe  une  évolution  très  malheureuse  dans la mesure où le bruit ne cesse d’augmenter dans notre environnement. Son danger réside dans son aspect cumulatif. Chaque fois que notre oreille est exposée à un son supérieur à 95 décibels, elle est endommagée.  C’est  une  évolution  progressive, dont les gens ne se rendent pas compte. Il y a, en ce sens une génération de sourds qui se prépare ! Les  premiers  exposés  sont  bien  sûr  les  profes-sionnels.  Prenons  par  exemple  un  menuisier après vingt-cinq ans de métier. Il a des problèmes auditifs. “Mais portez donc un casque ou des bou-chons de protection !” Il me répond que cela lui est impossible car il n’entendrait plus le bruit de ses machines comme d’habitude, un son qui le guide dans  son  travail.  Même  situation  pour  beaucoup de  métiers  techniques.  Là,  l’enseignement  joue un  rôle  primordial.  Les  élèves  de  sections  tech-niques  devraient  apprendre  à  porter  un  casque dès le début de l’utilisation des machines.

Et puis,  il y a ceux qui se soumettent volontaire-ment  à  des  sons  nuisibles,  lors  de  concerts  ou de  soirées.  Contrairement  à  ce  que  l’on  pourrait penser, les lecteurs mp3 sont moins nocifs car ils sont limités en volume dès la fabrication. Néanmoins  le  degré  de  nuisance  réel  d’un  son est  très  difficile,  voir  impossible  à  évaluer.  Cela dépend  de  divers  facteurs :  est-il  aigu  ou  grave, continu  ou  pulsionnel,  plus  ou  moins  intense… Cela dépend aussi de sa durée, du fait que l’on se trouve à l’air libre ou dans une pièce fermée, etc.Afin  de  nous  protéger  des  baffles  réglés  à  fond, nous  pouvons  porter  des  boules  Quiès,  qui  fe-ront  perdre  20  décibels  au  son.  Car  ce  n’est  pas parce que nous n’avons plus de bourdonnements après  deux  jours  que  la  soirée  ne  laisse  pas  de séquelles ! Il faut donc impérativement instaurer une  réglementation  au  niveau  du  matériel  tech-nique, et interdire l’audio trop puissant. »« Aujourd’hui,  je combine mon activité de médecin et de chirurgien avec celle de professeur d’anatomie 

dans les premières années de médecine à l’Univer-sité  de  Namur.  Cela  me  donne  une  porte  d’entrée pour  intéresser  les  jeunes  aux  problèmes  de  sur-dité, mais cela me force aussi à rester dynamique. Là  aussi,  il  faut  compter  avec  l’introduction  de nouvelles  techniques.  La  plastination  des  or-ganes  humains,  procédé  introduit  par  Gunther von Hagen,  fait son entrée dans  les cours d’ana-tomie, ce qui permet de pouvoir étudier sur le réel. Preuve que le progrès est omniprésent…Je  viens  également  de  rejoindre  le  jury  de  la Fondation.  Je  suis  ravi  de  pouvoir  passer  de l’autre  côté,  car  je  lui  suis  très  reconnaissant. Ainsi j’ai l’occasion de lui rendre un service, après avoir bénéficié de son aide.»

Dessin qui représente les neurones et les cellules auditives dans l’oreille interne / Een tekening met de neuronen en de gehoorcellen van het interne oor.

Radiographie de profil du crâne d’un patient porteur d’un implant auditif / Een röntgenfoto van een schedel in profiel van een patiënt die een gehoorimplantaat draagt.

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heT revaLidaTiecenTrum“Na mijn vervolmaking in de microchirurgie in het buitenland,  ben  ik  tewerkgesteld  aan  de  UCL,  in het  universitaire  ziekenhuis  Mont-Godinne  bij Namen. Gezien het feit dat er toen nog geen spe-cialist was in het domein van de doofheid, heb ik de  kans  gehad  er  de  medische  en  chirurgische activiteiten  te  ontwikkelen  in  de  sector  van  de oorheelkunde.  Van  in  het  begin  was  er  de  wil  om een  multidisciplinair  revalidatiecentrum  op  te richten  voor  patiënten  met  gehoorproblemen.  In de voorbije vijftien jaar heb ik een team samenge-steld  van  specialisten.  Het  recente  akkoord  met de RIZIV stelt ons vandaag in staat om onze pati-enten een voorkeursterugbetaling te schenken.”

TechnoLogische vooruiTgang“Doofheid  is  de  handicap  waarvoor  de  meeste doeltreffende  oplossingen  bestaan.  Er  zouden  vandaag  geen  volledig  doven  meer  mogen  zijn! Als  chirurg  heb  ik  me  gespecialiseerd  in  gehoor-implantaten.  Die  hebben  een  dubbele  bedoeling: enerzijds  hoor  je  beter  dan  met  een  traditioneel “extern”  oorapparaat  en  anderzijds  beperken  ze de  vooroordelen  tegen  slechthorenden.  Met  een zichtbaar  oorapparaat  worden  slechthorenden immers vaak beschouwd als onbetrouwbaar: hoe kun je weten of ze goed begrepen hebben wat  je net  zei?  Het  gehoorimplantaat  speelt  dus  een belangrijke rol in de levenskwaliteit van de slecht-horende. De  technologieën  om  de  doofheid  te  bestrijden, blijven  evolueren.  Wij  proberen  de  implantaten doeltreffender te maken door ze te miniaturiseren en door de werking van een “normaal” oor verder te onderzoeken. Er is ook onderzoek naar het geneti-sche aspect van doofheid bij kinderen. Een  belangrijke  verwezenlijking  is  dat  pasgebore-nen  sinds  enkele  jaren  automatisch  op  doofheid getest worden. Voordien werd doofheid vaak pas op drie-, vierjarige leeftijd ontdekt! Dat had rampzali-ge gevolgen. Het deel van de hersenen dat voor het gehoor voorzien is, kreeg al die tijd geen stimulan-

sen en werd dus hergebruikt voor andere zintuigen. Eens het kind de leeftijd van zes jaar bereikt heeft, is dat proces is vrijwel onomkeerbaar.”

poLemiek van heT Lawaai“Tegenwoordig staan wij in onze omgeving steeds meer bloot aan lawaai. Dat is een kwalijke evolu-tie.  Het  gevaar  van  lawaai  schuilt  immers  in  het cumulatieve  karakter  ervan:  iedere  keer  dat  ons oor  wordt  blootgesteld  aan  geluid  van  meer  dan 95 decibels, wordt het wat meer aangetast! Er is bijgevolg een generatie doven op komst.De eerste slachtoffers zijn mensen die om profes-sionele  redenen  blootgesteld  zijn.  Laten  we  het voorbeeld  nemen  van  een  schrijnwerker  met  25 jaar ervaring. Hij heeft last van slechthorendheid. “Draag  dan  toch  een  helm  of  oordoppen!”  Dat  is onmogelijk, zegt hij, want dan kan hij zijn machi-nes  niet  meer  horen,  waardoor  hij  zijn  werk  niet kan  doen.  Dat  kunnen  we  doortrekken  naar  veel technische  beroepen.  Een  grote  verantwoorde-lijkheid daarin is voor het onderwijs weggelegd.Daarnaast  heb  je  de  mensen  die  zich  vrijwillig aan  lawaai  blootstellen  door  naar  luidruchtige optredens  of  fuiven  te  gaan.  In  tegenstelling  tot wat men zou kunnen denken, vormen niet zozeer mp3-spelers een gevaar (zij hebben een geluidsli-miet), maar luide muziekinstallaties en boxen. Ter bescherming  kunnen  we  oordopjes  dragen.  Ook als  de  oorsuizingen  na  een  dag  of  twee  verdwij-nen,  is  ons  oor aangetast!  Er moet dus  absoluut een regelgeving komen hieromtrent.Ik combineer vandaag mijn activiteit als dokter en chirurg met die van professor in de anatomie aan de universiteit van Namen, waarin ik jongeren kan sensibiliseren voor het doofheidprobleem. Ook in het  onderwijs  is  er  technologische  vooruitgang. De plastinatie van menselijke organen wordt stil-aan geïntroduceerd in de lessen anatomie, wat de leerlingen  in  staat  stelt  om  op  reële  stukken  te studeren. Sinds  kort  ben  ik  jurylid  van  Stichting.  Het  ver-heugt mij dat ik iets terug kan doen.” 

Pierre Garin

Leeftijd 45 jaar

roePing geneeskunde – behandeling van doofheidBeurs van de Belgische Stichting Roeping in 1993

Woont in Wanze

BeroeP professor aan de faculteit Geneeskunde, specialisatie in NKO

Na zijn studies in de genees-kunde aan de Université catho-lique de Louvain, vervolmaakte Pierre Garin zich als neus-, keel- en orenspecialist en in de microchirurgie. Hij volgde stages in Europa en in de Verenigde Staten. Sinds 1994 werkt hij aan de Universitaire Ziekenhuizen UCL van Mont-Godinne bij Namen, waar hij aan het hoofd staat van een revalidatiecentrum voor dove kinderen en volwas-senen. Hij is ook directeur van het Departement Anatomie van de faculteit Geneeskunde aan de universiteit van Namen. Pierre Garin is sinds kort lid van de jury van de Stichting.

Pierre Garin wist al vroeg dat hij dokter wilde worden. Zijn fascinatie voor doofheid komt in de eerste plaats van zijn nauwe band tijdens zijn jeugd met een oudere dove vrouw. Sinds kort heeft het door hem opgerichte revalidatiecentrum voor mensen getroffen door doofheid het akkoord verkregen van de RIZIV. “Dit is voor mij een cruciale stap, het wordt hopelijk een project op lange termijn.”

doofheid behandelengeneeskunde

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> qu’esT-ce qui caracTÉrise voTre manière de TravaiLLer ?« Je  parlerais  d’une  pratique  double  et  complé-mentaire  alliant  la  sculpture  (de  l’objet  à  l’ins-tallation)  et  le  dessin,  avec  une  approche  que  je dirais  mentale  pour  ce  qui  concerne  la  sculpture et une autre nettement plus spontanée, intuitive voire  pulsionnelle  pour  le  dessin.  L’une  et  l’autre gravitent  autour  d’un  même  questionnement, d’un  même  point  nodal.  On  peut  parler  d’un  tra-vail  d’introspection  avec  la  nécessité  d’être  en forte  connexion  avec  soi-même.  La  solitude  est essentielle,  tout  comme  le  besoin  d’espace.  Des espaces  vides,  dénu(d)és  de  toute  matérialité, avec pour seule présence peut-être un piétement de table, une structure de lit…quelques éléments de mobilier réduits à leur plus simple expression. L’espace où vont s’inscrire les pièces (lieu d’expo-sition) est  important.  Il détermine généralement la conception/production des œuvres. » 

> queL esT Le processus de voTre TravaiL, queLLes en sonT Les ÉTapes ? «La  production  à  proprement  parler  est  l’abou-tissement  d’un  long  processus.  Il  y  a  un  temps de maturation important, nécessaire à la concep-tualisation du travail et à sa réalisation dans une forme définitive. Avant cela, place au dessin, cro-quis ou œuvres graphiques autonomes, aux pro-totypes, aux simulations 3D…La production se fait toujours en solo voire en duo, avec l’aide d’un assistant technique pour le travail des structures en bois ou en métal et pour la ma-nutention  des  pièces.  Il  m’est  difficile  de  lâcher prise  sur  le  travail,  il  me  faut  rester  en  contact visuel  et  sensible  avec  les  œuvres  en  cours.  En perpétuelle  évolution,  il  reste  toujours  une  part intuitive  essentielle  à  leur  juste  réalisation  et  à leur achèvement.J’ai  fait  récemment  quelques  expériences  de coproduction  (découpes  au  laser,  sculpture en  bronze  coulée  en  fonderie,  édition  lithogra-

phique…) avec des résultats plus au moins satis-faisants. Une exigence ou un souci de perfection qui rend difficile la délégation du travail. » 

> queLLes sonT Les choses qui vous inspirenT, Les arTisTes qui vous parLenT ?« D’une  manière  générale  tout  ce  qui  touche  à l’altérité,  aux  émotions  nées  des  rencontres  à l’autre : le désir, les non-dits, les actes manqués, la part fantasmée…En  fait  d’artistes,  j’aime  beaucoup  l’œuvre  de Thierry De Cordier, Michaël Borremans, les piétas de Berlinde De Bruyckere, certaines sculptures de Maurizio Cattelan… Sur un plan plus littéraire, je citerais la poésie d’un Henri Michaux, René Char, Eugenio Montale… »

> pourriez-vous donner queLques expLicaTions sur Le cycLe de “LaeTiTia b” ?« Peu incline à expliquer et à livrer les clés du tra-vail,  je  dirais  en  deux  mots  qu’il  s’agit  d’un  cycle (en trois volets) qui gravite autour de la question de  l’enfance  où  on  peut  lire  l’“autopsie”  dans  le sens d’une “analyse” avec une traduction de rémi-niscences, une reconstruction/reconstitution de lieux, de chambres (Room I 2006 & Room II 2009), une mise en jeu d’espaces “mentaux”, allant de la chambre reconstituée (lit/potence /2005) à l’ha-bitat  dans  une  forme  plus  globale  (maison  fami-liale/2009). »

> d’où vienT ceTTe rÉcurrence du bLanc eT du rouge ?« Le  blanc  vient  des  pièces  liminaires  en  plâtre. Pour  des  raisons  techniques,  j’ai  abandonné  ce matériau  au  profit  de  structures  en  bois  (enduit blanc  surfacé)  plus  stables  et  plus  solides.  Le blanc  à  lire  plutôt  comme  non-couleur,  comme inertie et base des éléments structurels, associé au  rouge  ardent  des  textiles  –  plus  émotionnels –  en  contrepoint/poing.  Une  mise  en  tension  et 

Bénédicte Henderick

Âge 42 ans

Vocation SculptureBourse de la Fondation de la Vocation en 1996

Vit à Bruxelles

Profession Professeur de peinture

C’est lors d’un stage à la faculté des Beaux-Arts de Valencia, pendant ses études de conservation et restauration d’œuvres d’art à La Cambre, que Bénédicte Henderick trou-vera enfin sa véritable manière de s’exprimer artistiquement; la sculpture. Elle change alors d’orientation et obtient son se-cond diplôme à La Cambre, en espace urbain/sculpture souple. Depuis, elle continue à explorer d’autres techniques et matériaux. Son œuvre compte des sculp-tures et installations, autant que des dessins. Au fil des ans, elle a proposé plusieurs exposi-tions personnelles et participé à des expositions collectives, en Belgique et à l’étranger. Aujourd’hui, elle enseigne dans la section peinture à La Cambre.

Bénédicte Henderick vient de clôturer le cycle sur « Laetitia B : l’autopsie ». Le troisième et dernier volet de ce projet présente une installation accompagnée de sculptures et dessins, exposée en ce moment à Stavelot. Pour l’occasion, nous nous sommes rencontrées. Elle nous livre quelques impressions sur son travail et sur ce projet, qui accompagne son cheminement artistique depuis quatre ans.

Fin du cycle sur l’autopsie de Laetitia b

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une  ambivalence  des  sentiments  qui  m’intéres-sent. J’aimerais prochainement intégrer d’autres couleurs  dans  le  travail,  mais  toujours  dans  un esprit  de  rencontre/assemblage  d’éléments  mo-nochromes. »

> avez-vous dÉjà de nouveaux projeTs en cours ?« J’aimerais  faire  un  archivage/inventaire  du cycle  de  Laetitia  B,  sous  forme  d’un  livre-objet (édition  à  titre  personnel)  pour  prendre  ensuite un peu de recul et passer à de nouveaux projets –  dont  une  nouvelle  résidence  à  Paris,  à  la  Cité internationale des Arts, en plein coeur du Marais (été 2010). Ce  séjour  me  permettra  de  finaliser  un  projet  en céramique  (installation  d’objets  en  porcelaine émaillée).  C’est  une  matière  que  j’ai  découverte depuis peu, qui me plaît beaucoup et que  j’aime-rais  intégrer  dans  les  expositions  à  venir.  J’aime explorer  de  nouvelles  techniques,  questionner de  nouvelles  choses,  élargir  le  champ  des  expé-riences, rester créative et dans l’ouverture...»

Sans titre 2006 / Zonder titel 2006 (inv: Laetitia B.) © JSS / Pepite Photography

Bénédicte Henderick Expo

18.10 > 20.12Offside but alive. ( Autopsy, final shot )Installation, sculptures, dessins (+ édition lithographique), oeuvres récentes.Fin du cycle sur l’autopsie de Laetitia B.

Galerie Triangle BleuCour de l’Abbaye, 54970 Stavelot> www.trianglebleu.be

Sans titre 2009 / Zonder titel 2009 (inv: La cache / The hiding-place) ©BH

Dessin 2005 / Tekening 2005 ©BH

Dessin 2009 / Tekening 2009©BH

« Cette œuvre en son entier est un être vivant qui appelle au partage de ce qu’il livre progressivement dans les tressaillements à la fois décidés et hésitants : les sculptures d’une part, les dessins de l’autre, des désirs et des souffrances, des souvenirs et des projections qui l’habitent. (…) Chacun pourra lire aisément qu’il s’agit du monde de l’enfance, du lien charnel, de la présence et de l’absence, de la vie et de la mort, de cet univers ou de ce vide dans lequel chacun plonge à sa manière, cherchant là une bouée, là un refuge, là le courage de dire par la voie plasticienne ce que les mots ne peuvent transmettre. »

Extrait de : Claude Lorent, Dire le souffle vital, La Libre Culture, mercredi 21 décembre 2005.

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> hoe zou je jouw werk omschrijven?“Ik  combineer  steeds  beeldhouwwerk  (zowel  in-stallaties als objecten) met tekeningen. De beeld-houwwerken  komen  eerder  vanuit  een  mentale benadering, de tekeningen zijn spontanere en in-tuïtieve uitingen. Allebei bieden ze een antwoord op  eenzelfde  vraagstelling,  eenzelfde  kernpunt. Het  is  introspectief  werk.  Afzondering  is  daarbij essentieel,  evenals  de  nood  aan  ruimte.  Het  zijn sobere,  strakke  werken,  die  op  zichzelf  staan  in lege  ruimten.  De  plaats  waarin  de  werken  ten-toongesteld  worden,  is  van  belang:  die  bepaalt gewoonlijk ook het ontwerp en de uitvoering van de werken.”

> zijn er Fasen in de evoLuTie van jouw werk?“De  productie  op  zich  is  het  eindresultaat  van een  lang  proces.  De  definitieve  uitwerking  en  de conceptualisatie  van  een  werk  vloeien  voort  uit een  lange  rijping.  Die  wordt  voorafgegaan  door voorstudies in de vorm van tekeningen, schetsen, autonoom  grafisch  werk,  prototypes,  3D  simula-ties…Meestal doe ik de uitwerking alleen of in duo met een  technisch  assistent,  voor  de    houten  of  me-taalstructuren en het vervoer van de werken. Voor 

mij is onontbeerlijk dat ik visueel en gevoelsmatig contact  houd  met  de  werken  in  ontwikkeling;  ik kan  dat  moeilijk  loslaten.  De  werken  zijn  in  con-stante ontwikkeling. Er blijft dus altijd een essen-tieel intuïtief gedeelte aan de juiste uitvoering en afwerking. Mijn zin voor perfectie maakt het moei-lijk om het werk te delegeren.”

> waaruiT haaL je inspiraTie? weLke arTiesTen spreken je aan?“Anderszijn  inspireert me, emoties die ontmoetin-gen teweegbrengen, zoals het verlangen, hetgeen verzwegen wordt, het gefantaseerde gedeelte, ge-miste kansen…Ik  houd  erg  van  het  werk  van  Thierry  de  Cordier, Michaël  Borremans,  de  piëta’s  van  Berlinde De  Bruyckere,  sommige  beelden  van  Maurizio Cattelan…Litterair  gezien  denk  ik  aan  de  poëzie  van  Henri Michaux, René Char, Eugenio Montale,…”

> graag een woordje uiTLeg over de cycLus van LaeTiTia b.“Ik  heb  niet  meteen  de  neiging  om  mijn  werk  uit te  leggen of  te verklaren. Kort zou  ik zeggen dat het om een cyclus gaat in drie delen, die gaat over de  kindertijd,  waarbij  je  “autopsie”  kan  lezen  als 

Bénédicte Henderick

Leeftijd 42 jaar

roePing beeldhouwkunstBeurs van de Belgische Stichting Roeping in 1996

Woont in Brussel

BeroeP lerares schilderskunst

Bénédicte Henderick stu-deerde conservatie en res-tauratie van kunstwerken aan La Cambre. Tijdens een stage aan de Akademie voor Schone Kunsten van Valencia werd haar duidelijk wat haar artistiek uit-drukkingsmiddel zou worden: beeldhouwen. Zij besluit dan ook een tweede diploma te be-halen, openbare ruimte/soepel beeldhouwen, eveneens aan La Cambre. Haar werk bevat naast beeldhouwwerk en installaties ook tekeningen. Ze houdt ervan verschillende technieken en ma-terialen te gebruiken. Sindsdien heeft zij zowel solo als in groep tentoongesteld, en dit zowel in België als in het buitenland. Momenteel geeft zij les in schil-derskunst aan La Cambre in Brussel.

Bénédicte Henderick heeft net de cyclus rond “Laetitia B: autopsie” afgesloten. Dat derde en laatste luik bestaat uit een installatie en een aantal beeldhouwwerken en tekeningen. Momenteel is het werk tentoongesteld in Stavelot. Naar aanleiding daarvan hebben wij elkaar ontmoet. Zij licht een tipje van de sluier op over haar manier van werken en over de cyclus rond Laetitia B in het bijzonder.

einde van de cyclus over de autopsie van Laetitia b

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Tekening 2005 / Dessin 2005 ©BH

Tekening 2009 / Dessin 2009 ©BH

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“analyse”. Het is als een vertaling van herinnerin-gen, een reconstructie/heropbouw van plaatsen, van  kamers  (Room I 2006  &  Room II 2009),  een opstelling van “mentale” ruimten, gaande van een gereconstrueerde kamer (bed/paal/2005), tot de woonruimte in zijn meer globale vorm (familiewo-ning/2009).”

> vanwaar de Terugkeer van wiT en rood?“Het wit verwijst naar mijn oorspronkelijk werk in gips. Om technische redenen heb ik dat materiaal vervangen door structuren in hout, die sterker en stabieler zijn. De betekenis komt van het feit dat het  een  niet-kleur  is,  als  inertie  en  basis  van  de structurele  elementen.  Dat  staat  in  contrast  tot het vurige rood van het textiel, dat emotioneler is. Dat zorgt voor een spanning en dubbelzinnigheid, die mij interesseren. Ik plan andere kleuren in mijn werk te  integreren, maar wel op dezelfde manier van  ontmoeting/assemblage  van  monochrome elementen.”

> heb je aL nieuwe projecTen op sTapeL sTaan?“Ik zou de cyclus van Laetitia B willen archiveren/inventariseren, in de vorm van een boek of object (een persoonlijke editie), om achteraf wat afstand te  kunnen  nemen,  vooraleer  ik  nieuwe  projecten aanvat. Ik ga volgende zomer onder meer opnieuw 

op residentie in Parijs, aan de Cité internationale des Arts, in hartje van de Marais. Daar  zou  ik  graag  een  project  afwerken  in  cera-miek. Dat materiaal heb  ik onlangs ontdekt en  ik wil het graag integreren in nieuwe tentoonstellin-gen. Ik houd ervan nieuwe technieken te ontdek-ken, nieuwe vragen te stellen, creatief en “open-minded” te blijven.”

Bénédicte Henderick Tentoonstelling

18.10 > 20.12Offside but alive. (Autopsy, final shot)Installaties, beeldhouwwerken, tekeningen (+ lithografische editie), recent werk. Einde van de cyclus rond de autopsie van Laetitia B. Galerie Triangle BleuCour de l’Abbaye, 54970 Stavelot> www.trianglebleu.be

Zonder titel 2005 / Sans titre 2005 (inv : The bed / Le lit) Installatie in de Triangle Bleu / Vue de l’installation au Triangle Bleu © Jacky Lecouturier

Zonder titel 2009 / Sans titre 2009 (inv: Room II / Reconstruction - Chambre II / Reconstitution ) © BH

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In zijn nieuwe boek komen zowat alle danstypes aan bod die de voorbije eeuwen in onze volksmu-ziektraditie  bekend.  De  indrukwekkende  verza-meling – een van de grootste van West-Europa, en het resultaat van veertig jaar intens onderzoek – zal binnenkort verschijnen bij uitgeverij Peeters in Leuven met als titel Dansmelodiën uit de Vlaamse Volkmuziektraditie.De verzameling is in vijf hoofdstukken ingedeeld. De belangrijkste danstypes zijn voorzien van een inleiding,  met  telkens  een  historisch  overzicht, gegevens  uit  de  interessantste  Europese  bron-nen, historiek en verspreiding in onze gewesten, muzikale  kenmerken,  uitvoeringswijze,  infor-matie  over  de  genoteerde  tempo’s,  enzovoort. Verder  is  er  nog  een  lijst  van  de  melodieën  met bijkomende informatie. De meeste nummers zijn opgetekend  in  Vlaams-Brabant  en  de  provincie Antwerpen.Het  boek  telt  680  pagina’s  en  is  een  combinatie van  tekst  en  muziek,  dit  keer  zonder  foto’s.  De muziek werd met de hand overgeschreven.(> www.peeters-leuven.be)

Met  zijn  nieuwe  publicatie  wordt  een  belangrijk –  en  grotendeels  onbekend  –  repertoire  uit  ons muzikaal erfgoed ontsloten. 

> is er een geLijkenis Tussen de TradiTioneLe muziek en de FoLkmuziek, die Tegenwoordig weer een heropLeving kenT?“Neen, absoluut niet. De muzikale structuur is erg verschillend:  folk  is  minder  complex.  Eigenlijk  is de folk die het publiek kent, een mengeling van al-lerlei Europese muziek. Het zijn voornamelijk me-lodieën  uit  Centraal-Frankrijk,  Bretagne,  Ierland, Zweden  en  de  Balkan.  Er  is  trouwens  bitter  wei-nig  interesse  vanuit  de  folkwereld  voor  de  échte volksmuziek  uit  onze  streken.  Hun  repertoire bestaat  dan  ook  hoofdzakelijk  uit  buitenlandse melodieën. Ook qua bezetting is er een verschil. De volksmu-ziek  wordt  (werd)  in  onze  traditie  vooral  op    een instrumentarium  van  fanfares  of  harmonies  ge-speeld,  met  koperinstrumenten,  fluiten  en  klari-netten.  Een  klein  diatonisch  accordeon,  doedel-zak of een draailier komen er niet aan te pas.” 

> waT zijn jouw ToekomsTpLannen?“TraVo, het studie-en documentatiecentrum voor de volksmuziek, dat in 2005 is opgericht, bestaat helaas niet meer. Het  idee om de drie belangrijk-ste  archieven  over  volksmuziek  in  België  te  ver-enigen,  blijft  desondanks  bestaan.  Ik  zal  blijven ijveren voor de heropleving van onze traditionele melodieën. Er worden al traditionele dansen aan-geleerd  in  scholen  rond  Kampenhout,  de  streek waar  ik  vandaan  kom  en  waar  tot  nog  toe  de meeste  melodieën  zijn  neergepend.  In  de  nabije toekomst ga ik in het gemeenschapscentrum van Kampenhout  kleine  thematische  tentoonstellin-gen  organiseren  rond  bijvoorbeeld  de  ensemble-muziek, de doedelzak, het accordeon, enzovoort. Ideeën genoeg!”

Hubert Boone

Leeftijd 69 jaar

roePing studie van de volksmuziekBeurs van de Belgische Stichting Roeping in 1967

Woont in Nederokkerzeel

BeroeP musicus

Na zijn studies aan het Koninklijk Muziekconservatorium van Brussel was Hubert Boone een tijdlang altviolist bij de Koninklijke Vlaamse Opera van Antwerpen. Meer dan dertig jaar lang werkte hij als we-tenschapper bij het Brusselse Muziekinstrumentenmuseum. Als onderzoeker publiceerde hij ver-schillende artikels en een aantal uitgebreide monografieën over de Belgische en Oost-Europese muziektraditie, vooral over volksinstrumenten. Hij is bekend als muzikant bij het muzieken-semble Limbrant.

> www.limbrant.be

Een paar jaar geleden verscheen Hubert Boones vorige boek,Traditionele Vlaamse volksliederen en dansen, met een hele resem melodieën en liederen die hij in onze gewesten kon optekenen. Ondertussen is ook het vervolg van zijn onderzoek klaar voor publicatie: een bundel met zeshonderd dansmelodieën, opgetekend bij tientallen oude dorpsmuzikanten en verzameld uit handschriften van vroegere dansorkesten.

zeshonderd gewaarborgde melodieën

volksmuziek

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Hubert Boone

Âge 69 ans

Vocation Étude de la musique folkloriqueBourse de la Fondation de la Vocation en 1967

Vit à Nederokkerzeel

Profession musicologue

Après ses études au Conservatoire royal de Musique de Bruxelles, Hubert Boone a joué quelques années durant comme violoniste alto à l’opéra d’Anvers. Il a travaillé plus de trente ans en qualité de scientifique au Musée des instruments bruxellois. Son activité de chercheur nous a valu plusieurs articles ainsi que diverses monographies étendues sur la tradition musicale, principalement en Belgique, mais aussi en Europe de l’Est. Il fait partie de l’ensemble musical Limbrant.

> www.limbrant.be

Après sa dernière publication voici quelques années – toute une collection de mélodies et de chansons qu’il avait pu transcrire en Flandre –, Hubert Boone publiera bientôt la suite de ses recherches. Y seront rassemblés six cents mélodies de danses, collectées parmi des dizaines de « vieux » musiciens de village, et un ensemble de manuscrits d’anciens orchestres de danse.

Ce  travail  reprend  à  peu  près  tous  les  types  de danses  connus  dans  la  tradition  musicale  popu-laire lors des siècles derniers. Il s’agit de l’une des plus vastes collections d’Europe de l’Ouest, résul-tat de quarante ans de recherches obstinées. La  collection  est  répartie  en  cinq  chapitres.  Les types de danses les plus importants sont présen-tés avec introduction et aperçu historique, carac-téristiques musicales, manière de les interpréter, etc.  Il existe également une  liste des différentes mélodies. La plupart des morceaux ont été notés dans le Brabant flamand et la province d’Anvers.Le  livre,  qui  comprendra  680  pages,  combine textes et de musique transcrite à la main. 

> exisTe-T-iL une parenTÉ enTre La musique popuLaire TradiTionneLLe eT La musique FoLk, qui connaîT une renaissance ?« Non, pas du tout. Leur structure musicale est très différente, le folk est moins complexe. Ce que nous appelons musique folk est en réalité un mélange de musiques  européennes.  Ce  sont  essentiellement des mélodies originaires de la France centrale, de Bretagne, d’Irlande, de Suède et des Balkans. Les musiciens folk s’intéressent peu à la musique tra-ditionnelle de chez nous, leur répertoire compte es-sentiellement  des  mélodies  étrangères.  En  outre, la musique traditionnelle se joue avec des cuivres, des clarinettes et des flûtes, instruments issus de fanfares ou d’harmonies. On n’y trouve pas d’accor-déon, de cornemuse ou de vielle. » 

> queLs sonT vos projeTs ?« Le  centre  d’études  et  de  documentation  de  la musique  populaire  que  j’avais  aidé  à  mettre  en place en 2005 a malheureusement cessé d’exis-ter.  Néanmoins  j’espère  toujours  pouvoir  réunir les  trois  archives  de  musiques  populaires  de Belgique. Je continuerai à œuvrer pour  la renais-sance de nos mélodies traditionnelles. Certaines de  ces  danses  sont  déjà  enseignées  dans  des écoles autour de Kampenhout, région d’où je suis 

originaire et où ont été transcrites la plupart des mélodies.  J’aimerais  également  organiser  de  pe-tites expositions axées autour de divers thèmes, comme  la  musique  d’ensemble  ou  la  cornemuse dans  le  centre  communautaire  de  Kampenhout. Ce ne sont pas les idées qui me manquent ! »

six cent mélodies du passé sauvegardées

musique populaire

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La naissance d’une nouveLLe discipLine : Le ThÉâTre-acTion« J’ai découvert le théâtre très jeune, et j’ai immé-diatement  accroché.  C’est  devenu  ma  première passion.  Pendant  des  années,  j’ai  combiné  mes études avec une dizaine d’heures de théâtre par semaine  à  l’Académie  de  Musique  et  des  Arts  de la  Parole.  Parallèlement  j’ai  suivi  une  formation de  monitrice,  qui  m’a  permis  d’acquérir  de  l’ex-périence  comme  coordinatrice  de  centres  de  va-cances.  Par  ailleurs,  j’ai  toujours  pratiqué  beau-coup de sport. J’ai essayé nombre de disciplines sportives,  de  la  gym  au  foot,  en  passant  par  le roller  ou  le  skate,  sans  pour  autant  pouvoir  en choisir une en particulier. Néanmoins j’ai toujours eu  une  prédilection  pour  les  sports  de  rue.  C’est en découvrant  le trickz, en 2005, que  je me suis rendu compte qu’il existait une manière de combi-ner mes trois passions : l’idée du “théâtre-action” était née. Le  trickz,  originaire  des  États-Unis,  est  un  mé-lange  d’acrobatie  et  d’art  martiaux,  le  tout  cho-régraphié  de  façon  free-style  et  improvisée.  La plupart des trickseurs, comme moi, ont commen-cé  ce  sport  urbain  en  regardant  des  vidéos  sur YouTube  en  s’entraînant  dans  des  parcs  ou  des salles  d’entraînement  libres  d’accès.  Le  trickz  a été pour moi une révélation, et je m’y suis lancée à fond. Je suis ainsi devenue la première trickseuse de Belgique. Mon objectif principal est de créer des spectacles 

qui  allient  mes  disciplines  de  prédilection  et  qui permettent la rencontre entre des comédiens pro-fessionnels et des jeunes pratiquant les sports de rue tels que le capoeira, la breakdance, le parkour, ou encore le trickz. Le trickz serait le fil rouge de ces  créations.  En  montant  de  tels  spectacles,  je voudrais aider ces jeunes souvent en décrochage scolaire et/ou dits « en difficulté » à vivre pleine-ment leur passion, et leur faire retrouver ainsi un sens et une motivation dans la vie.Néanmoins je me suis rendu compte qu’il me man-quait la maîtrise physique en acrobatie et en arts martiaux. J’ai donc recherché une formation adé-quate  et,  avec  le  soutien  de  la  Fondation,  j’ai  pu me perfectionner pendant un an et demi à Pékin, au  lieu  même  où  a  été  formé  le  maître  en  la  ma-tière, Jacky Chan. » 

sÉjour en chine« En septembre 2008,  j’ai entamé une formation intensive de cirque en acrobatie et arts martiaux pour  la  scène  à  Pékin,  à  l’École  internationale d’Art.  Pourquoi  la  Chine ?  Parce  que  les  Chinois sont  les  meilleurs  en  la  matière,  et  les  seuls  à intégrer  sur  scène  le  théâtre  et  le  sport  qui  est alors  qualifié  d’art.  Parce  qu’ils  offrent  des  for-mations  intensives  et  de  niveau  professionnel avec  les  meilleurs  maîtres,  qu’ils  allient  grâce, souplesse et explosivité dans des chorégraphies de  combats  avec  ou  sans  armes,  visuellement splendides. Parce que c’est la seule formation qui 

Émilie Guillaume

Âge 25 ans

Vocation Théâtre-ActionBourse de la Fondation de la Vocation en 2008

Vit à Bruxelles

Profession Comédienne

Après des études de théâtre à l’IAD, Émilie décroche l’agréga-tion. Parallèlement, elle se pas-sionne pour les jeunes et pra-tique beaucoup de sport. C’est en découvrant le trickz, sport urbain mêlant acrobatie et arts martiaux, qu’elle trouve le moyen de combiner ses trois passions dans le « théâtre-action ». Afin de parfaire sa technique, Émilie part un an et demie à l’École de cirque de Pékin. Depuis son retour, elle cherche à monter des spectacles en « théâtre-action ». Elle donne également des cours en art dramatique à l’Académie de Bruxelles et fait des dou-blages pour dessins animés et films. Elle fait aussi partie d’un spec-tacle cirque/théâtre mêlant France, Belgique, Espagne, qui est en cours de création. Elle travaille enfin au sein d’une troupe parisienne de cascadeurs.> www.youtube.com/watch?v=d0NXuxBZ7zU

Passionnée depuis son plus jeune âge tant par le théâtre et les jeunes que par le sport, Émilie tente aujourd’hui de réunir ses trois passions dans le « théâtre-action ». Elle cherche à créer des spectacles mêlant acrobatie, arts martiaux et théâtre avec des comédiens professionnels et des jeunes. Elle revient de Pékin, où elle a suivi une formation de perfectionnement en acrobatie et en arts martiaux.

Émilie à beijing théâtre

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regroupe tous les éléments qui forment le trickz. Parce que les Chinois ont une maîtrise parfaite de la respiration et de l’énergie, ressources indispen-sables tant pour le trickz que pour le théâtre. Ce  fut  une  expérience  inoubliable !  J’ai  tout  de suite été frappée par l’accueil, la gentillesse et la générosité des chinois. Ce séjour a également été une  incroyable  leçon  de vie, une très belle expé-rience  humaine.  La  culture  chinoise  est  si  diffé-rente de la nôtre, et  le fait d’être “étrangère” m’a montré qu’il y a tellement à apprendre des autres. Cela rend plus humble. Par ailleurs, les Chinois en général sont contents de ce qu’ils ont, et connais-sent une certaine joie de vivre. A  l’École internationale d’Art de Pékin,  il n’y avait qu’une petite minorité d’étrangers, ce qui m’a per-mis de plonger vraiment dans la culture chinoise. Comme, une fois sur place, je me suis aussitôt at-telée à l’étude de la langue, j’ai vraiment pu avoir un contact direct et étroit avec les Chinois. La ma-nière d’enseigner n’a rien à voir avec la nôtre : les cours sont sur-intensifs, et très disciplinés. Nous avions cours dix heures par jour, six jours sur sept. Pas le temps de discuter,  ici on passe à  l’action ! C’est  une  chose  qui  m’a  vraiment  frappée  chez les Chinois. Dès l’enfance ils choisissent ce qu’ils veulent faire de leur vie. Une fois qu’ils ont choisi, ils y vont à fond, dans le but de se perfectionner et de se spécialiser. Il y avait par exemple de jeunes enfants birmans et russes avec qui je suivais des cours. C’était fou de voir la motivation et la déter-

mination  de  ces  gosses ;  pour  eux,  c’était  telle-ment  plus  qu’une  passion :  cette  formation  était la clé de leur avenir ! » 

commenT voyez-vous L’avenir ?« Depuis  mon  retour,  j’ai  recommencé  à  donner des cours de théâtre à l’Académie de Bruxelles, et je fais des doublages pour dessins animés et des films. Avec quelques copains de l’École de Pékin, des Français et des Espagnols, nous avons monté un spectacle à Barcelone, cet été. Nous essayons maintenant  de  le  vendre  en  espérant  nous  pro-duire  dans  divers  pays  d’Europe.  Afin  de  pouvoir rassembler  des  fonds  à  cet  effet,  nous  montons des asbl dans nos pays respectifs. En  parallèle,  je  continue  à  chercher  des  jobs  de cascadeuse,  une  discipline  qui  m’attire  aussi,  et à  laquelle  j’ai  pu  goûter  lors  d’un  stage  chez  un grand cascadeur français, voici quelques années. Mais  il  s’avère  que  c’est  un  monde  dans  lequel on  entre  très  difficilement,  surtout  en  tant  que femme. Du reste je continue à m’entraîner deux à quatre heures par jour afin de garder mon niveau. Quantité  d’autres  projets  de  spectacle  bouillon-nent  aussi  en  moi,  toujours  mêlant  théâtre  et trickz. Mais une chose à la fois, petit à petit, pas à pas... Avec de la répétition, de la répétition, de la répétition...“Tout vient à point à qui sait attendre”. Comme dans l’entraînement. »

vocatio 11

Le Horlade Maupassantavec Émilie Guillaume et Kyams SharkyRéalisations, montage et musique : Nicolas Marchant (Agoraphonic)Caméra : Nicolas Marchant et Sylvie Speppé> www.vimeo.com/5758756

Page 14: Vocatio 36

een nieuwe discipLine: acTieTheaTer“Theater is mijn allereerste passie. Jarenlang heb ik  de  school  gecombineerd  met  een  tiental  uren theaterles per week. Daarnaast ging ik altijd graag om  met  kinderen  en  volgde  ik  dus  een  opleiding tot  jeugdleidster.  Sporten  was  voor  mij  een  uit-laatklep voor mijn teveel aan energie.  Ik heb dan ook  tal  van  disciplines  uitgeprobeerd:  gymnas-tiek, voetbal, rollerblade enzovoort. Ik kon echter niet  beslissen  welke  sport  ik  het  liefste  deed.  In 2005 ontdekte ik trickz, een straatsport die uit de Verenigde Staten  is overgewaaid, waarin acroba-tiek en oosterse gevechtsport op een geïmprovi-seerde manier gecombineerd zijn. Die ontdekking deed me beseffen dat ik mijn drie passies kon ver-enigen. Het Actietheater was geboren.Met  het  Actietheater  wil  ik  voorstellingen  opzet-ten, waardoor straatjongeren die trickz of andere straatsporten  beoefenen,  in  contact  komen  met professionele  acteurs.  Zo  wil  ik  de  jongeren  hel-pen  om  hun  passie  ten  volle  te  beleven  en  hen opnieuw  levenslust  geven.  Na  een  aantal  proef-projecten kwam ik echter tot de vaststelling dat ik fysieke beheersing miste in de acrobatiek en in de oosterse gevechtsporten om de projecten tot een goed einde te kunnen brengen. Ik ben dus op zoek gegaan  naar  een  passende  opleiding.  Dankzij  de steun  van  de  Stichting  kon  ik  me  in  Peking  gaan vervolmaken aan de school waar Jacky Chan, de meester der gevechtsporten, gevormd is.”

verbLijF in china“Waarom  China?  Omdat  de  Chinezen  de  beste  zijn in  alles  wat  gevechtskunst  betreft.  Zij  zijn  ook  de enige die theater en sport op een podium verenigen, en dat geen sport noemen, maar kunst! Zij bieden intensieve  opleidingen  aan,  met  de  beste  onder-wijzers.  Zij  verenigen  sierlijkheid,  soepelheid  en explosiviteit  in  oogstrelende  vechtchoreografieën (met  of  zonder  wapens).  In  China  vind  je  de  enige opleiding die alle elementen verenigt die trickz vor-men. De Chinezen hebben bovendien een perfecte beheersing van energie en ademhaling, twee onont-beerlijke zaken als het over theater en trickz gaat.Het  is  een  onvergetelijke  ervaring  geworden.  Bij mijn  aankomst  werd  ik  al  meteen  getroffen  door het onthaal, de vriendelijkheid en de vrijgevigheid van  de  Chinezen.  De  meeste  van  hen  zijn  tevre-den met wat ze hebben, en ze kennen een zekere levensvreugde.  Ook  op  menselijk  vlak  werd  het een  mooie  ervaring:  ‘vreemdeling’  zijn  maakt  je bescheiden.Aangezien slechts een kleine minderheid buiten-landers les volgde aan de International Art School van Peking, kon ik me volledig  in de Chinese cul-tuur  onderdompelen.  De  taal  kreeg  ik  snel  onder de knie, waardoor  ik hechte banden kon smeden met de Chinezen.Hun manier van onderwijzen is absoluut niet ver-gelijkbaar met de onze: de lessen zijn ongelooflijk intensief en heel gedisciplineerd. We hadden tien 

Émilie Guillaume

Leeftijd 25 jaar

roePing ActietheaterBeurs van de Belgische Stichting Roeping in 2008

Woont in Brussel

BeroeP actrice

Na haar theaterstudies aan het IAD in Brussel volgde Émilie een lerarenopleiding. Daarnaast be-oefende zij verschillende sporten en is zij graag bezig met jon-geren. Met de ontdekking van trickz, een stadssport die be-staat uit acrobatiek en oosterse vechtsport, heeft ze een manier gevonden om haar drie passies in “actietheater” te combineren. Om zich te vervolmaken volgde ze een bijkomende opleiding van anderhalf jaar aan de circus-school van Peking. Sinds haar te-rugkeer tracht ze voorstellingen in actietheater op te bouwen. Zij geeft ook theaterles aan de aca-demie van Brussel, en verzorgt de nasynchronisatie van films en tekenfilms.

> www.youtube.com/watch?v=d0NXuxBZ7zU

Émilie tracht haar drie passies te verenigen in het ‘actietheater’. Daarin wil zij immers met straatjongeren én professionele acteurs voorstellingen maken die een combinatie zijn van acrobatiek, gevechtssporten en theater. Zij is net terug uit Peking, waar zij een bijkomende opleiding gevolgd heeft.

Émilie in beijing

vocatio 12

theater

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vocatio 13

lesuren per dag, zes op de zeven dagen! Geen tijd dus om te lanterfanten, actie was de boodschap! De  enorme  motivatie  en  het  doorzettingsvermo-gen van de Chinezen is me erg opgevallen. Ze kie-zen al zeer jong wat ze gaan doen; eens die beslis-sing genomen, gaan ze ervoor en specialiseren ze zich in één domein.”

ToekomsTpLannen“Sinds mijn terugkeer ben ik weer theaterles begin-nen te geven aan de academie van Brussel en doe ik nasynchronisatie voor films en tekenfilms. Vorige zomer heb ik een voorstelling gemaakt met enkele Franse en Spaanse vrienden die  ik op de school  in Peking  ontmoet  heb.  Hopelijk  kunnen  we  die  vol-gend jaar in Europa vertonen. Ik probeer eveneens opdrachten te vervullen als stuntvrouw en ik train nog steeds twee tot vier uur per dag om mijn niveau te behouden. Mijn hoofd zit boordevol  ideeën voor voorstellingen  die  theater  en  trickz  combineren, maar oefening baart kunst en alles op zijn tijd...”

Le Horla van Maupassant met Émilie Guillaume en Kyams Sharky. Productie, montage en muziek : Nicolas Marchant (Agoraphonic)Camera : Nicolas Marchant en Sylvie Speppé> www.vimeo.com/5758756

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Elle a pu repartir en Angola cet été pour une pre-mière mission de révision et de remise à niveau. Elle  espère  ainsi  pouvoir  contribuer  à  l’évolution de  ce  laboratoire  vers  l’autonomie.  Patricia  nous offre un premier compte rendu.

« Après trois ans d’absence, me revoilà sur le sol an-golais, pour poursuivre le travail de développement scientifique  et  technique  du  laboratoire  clinique de  l’hôpital  missionnaire  de  Cubal.  Ma  première surprise fut de découvrir un pays en pleine recons-truction, tant au niveau de l’infrastructure routière et  immobilière  que  sur  le  plan  personnel  des  au-tochtones,  devenus  plus  ouverts  et  plus  sereins, sept ans après une guerre de plus de quarante an-nées, dont trente sous régime communiste. La deuxième surprise m’attendait au laboratoire. Malgré  les  années  passées,  toute  l’organisation administrative,  l’organigramme,  l’entretien  des appareils  et  les  nouvelles  techniques  de  labora-toire  que  j’avais  enseignés,  améliorés  et/ou  im-plantés  sont  restés  d’application.  Aidée  encore par une missionnaire restée quelques mois après mon départ, la responsable de laboratoire autoch-tone que j’avais formée a progressivement assuré ses fonctions. Elle a également pu enseigner elle même à d’autres techniciens  les nouvelles tech-niques  spécifiques  dont  elle  était  devenue  res-ponsable.  En  effet,  l’équipe  de  techniciens  a  dû être renouvelée et renforcée suite au décès d’une collègue et aux absences temporaires de certains laborantins  poursuivant  leur  formation  profes-sionnelle  laissée  en  suspens  par  la  guerre.  Bien que  l’organisation  du  travail  ait  un  peu  perdu  de sa vigueur et de sa qualité, le bilan des résultats du travail réalisé il y a trois ans est donc plus que positif. Au cours de ma première mission de cet été 2009, qui avait pour objectif de poursuivre le travail en-tamé,  deux  volets  ont  été  travaillés.  La  majeure partie  du  travail  a  été  consacrée  à  la  création d’un programme informatique pour la gestion des prescriptions d’analyses et des résultats du labo-ratoire. Le programme est déjà en application en tant que registre des entrées, consultations des 

Patricia Cornet

Âge 32 ans

Vocation Laboratoire de santé tropicaleBourse de la Fondation de la Vocation en 2008

Vit à Bruxelles

Profession Enseignante

Après des études en sciences biomédicales à L’UCL, Patricia obtient son doctorat grâce à une bourse d’aspirant du FNRS. Patricia part ensuite pour l’An-gola en tant que volontaire pour la coopération internationale, de 2004 à 2006. Au sein de l’hôpital missionnaire de Cubal, Patricia assure la direction, le développement scientifique et technique du laboratoire clinique, ainsi que la formation des huit employés. De 2007 à 2009, en tant que chargée de recherches à l’UCL, Patricia a développé et coordonné le projet de « Banque des Tumeurs » (collection d’échantillons tumoraux desti-nés à la recherche scientifique contre le cancer), tant au niveau local, qu’au niveau national. Patricia est aujourd’hui chargée de cours à l’École européenne de Bruxelles pour les sciences et les mathématiques.

Après avoir travaillé en tant que volontaire au sein d’un laboratoire clinique dans une petite bourgade en Angola, Patricia Cornet réalise à son retour que son travail de coopérante ne fait que commencer. En effet, la responsable du laboratoire continue à la solliciter régulièrement autant pour des questions scientifiques que pour des questions d’organisation.

retour en angolasciences

vocatio 14

Récolte d’échantillons / Staalafname

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données et pour l’enregistrement et l’impression des résultats. Il restera, au cours des prochaines missions,  à  en  améliorer  la  convivialité  et  y  in-clure des fonctions de calculs statistiques. Le se-cond volet de la mission a permis, premièrement, de  vérifier  l’état  des  différents  appareillages  et matériels  (avec  entretien  complémentaire  si nécessaire),  deuxièmement,  de  s’assurer  de  la bonne  réalisation  des  analyses,  de  la  bonne  te-nue  des  registres  et  des  calculs  statistiques,  et troisièmement,  de  compléter  ponctuellement  la formation  technique,  administrative  ou  de  ges-tion de l’équipe. 

Par mes courtes missions de « révision », j’espère pouvoir  porter  progressivement  les  techniciens vers  plus  d’autonomie  responsable  et  compé-tente, en donnant le goût de maintenir un travail de qualité et  le désir de transmettre aux généra-tions  suivantes  tous  les  acquis  résultant  de  nos partages.»

vocatio 15

Révision des techniques de biochimie / Nazicht van de technieken van de biochemie.

Intérieur du laboratoire / Binnen in het laboratorium

Le laboratoire de microbiologie, essentiellement tuberculose, la salle d’attente

et le laboratoire principal / Het laboratorium van microbiologie (hoofdzakelijk tuberculose),

de wachtzaal en het hoofdlaboratorium.

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De huidige verantwoordelijke van het klinische la-boratorium waar Patricia werkte, nam immers nog steeds  contact  met  haar  op,  zowel  met  techni-sche als met praktische vragen. Dankzij de beurs van de Stichting kon Patricia vorige zomer terug-keren  voor  een  eerste  controle-  en  bijscholings-missie. Met die missies hoopt Patricia de technici van het  laboratorium te begeleiden naar volledige autonomie. Hier volgt haar werkverslag.

“Na  drie  jaar  afwezigheid  ben  ik  terug  in  Angola, om mijn werk verder te zetten op het niveau van de wetenschappelijke en technische ontwikkeling van het klinische laboratorium van het missiona-rissenziekenhuis  van  Cubal.  Ik  was  aangenaam verrast  een  land  te  ontdekken  dat  zowel  infra-structureel  als  menselijk  in  volle  heropbouw  is. Zeven  jaar na het einde van de veertigjarige oor-log die het land geteisterd heeft, leek de bevolking serener en opener. Een  tweede  verrassing  volgde  op  het  laborato-rium.  Na  drie  jaar  was  alles  er  nog  zoals  ik  het achtergelaten  had!  Zowel  de  administratieve  or-ganisatie als het onderhoud van de apparatuur en de nieuwe laboratoriumtechnieken die ik er inge-voerd  en  onderwezen  had,  bleken  onveranderd. De autochtone verantwoordelijke van het labora-torium, die  ik opgeleid had, heeft de overige me-dewerkers  verder  kunnen  vormen.  Ondanks  het feit dat de kwaliteit van het werk en de wilskracht lichtjes verminderd zijn, is de balans toch positief. Tijdens mijn eerste missie ging de aandacht vooral naar het creëren van een informaticaprogramma voor  het  beheer  van  de  analysevoorschriften  en de laboratoriumresultaten. Dit programma is al in werking voor het inkomstenregister, het raadple-gen  van  gegevens,  en  het  opslaan  en  afdrukken van de resultaten. Gedurende mijn volgende mis-sies wil ik trachten dat systeem gebruiksvriende-lijker  te  maken  en  statistische  berekeningen  te introduceren. Ik heb ook de toestand van de apparaten en ma-terialen gecontroleerd, nagekeken of de analyses en de verwerking ervan correct gebeurden, en ik heb het team waar nodig bijgeschoold. Met die korte revisiemissies tracht ik de laborato-riummedewerkers  te  sturen  naar  verantwoorde-lijke en competente autonomie, door hen te moti-veren om kwaliteit te blijven leveren en hen de wil te bezorgen hun kennis te delen met de volgende generaties.”

Patricia Cornet

Leeftijd 32 jaar

roePing laboratorium voor tropische ge-zondheidBeurs van de Belgische Stichting Roeping in 2008

Woont in Brussel

BeroeP leerkracht

Na haar studies in de biome-dische wetenschappen aan de UCL behaalde Patricia Cornet haar doctoraat dankzij een beurs van de FNRS. Van 2004 tot 2006 werkt zij als vrijwil-ligster voor de internationale coöperatie in Angola. Daar stond zij in voor de dagelijkse leiding, evenals voor de wetenschap-pelijke en technische ontwikke-ling van een plaatselijk klinisch laboratorium. Na haar terugkeer werd zij als wetenschappelijk medewerker tewerkgesteld aan de UCL. Zij ontwikkelde er de “Databank voor tumoren” in het kader van het kankeronderzoek. Tegenwoordig geeft Patricia Cornet les in de wetenschappen en de wiskunde aan de Europese school van Brussel.

Van 2004 tot 2006 werkte Patricia Cornet als vrijwilligster voor de Franse ontwikkelingssamenwerkingin een klein dorpje in Angola. Na haar terugkeer kwam zij tot het besef dat haar opdracht nog niet volbracht was.

Terug naar angola

vocatio 16

wetenschappen

“Maansopkomst” op de missie van

Cubal. / “Lever de lune” sur la mis-

sion de Cubal

Sterilisatie / Stérilisation

Page 19: Vocatio 36

vocatio 17

jury

pierre bartholomée

Pierre Bartholomée, pianiste, directeur d’orchestre et compositeur, est depuis 2006 membre du jury Arts Autres de la Fondation.

> ce mandaT revêT-iL pour vous une imporTance parTicuLière ?« Oui,  car  pour  moi  la  Fondation  de  la  Vocation joue un rôle très intéressant et très important. J’ai beaucoup d’estime pour elle, qui selon moi joue un rôle irremplaçable dans l’avenir des jeunes. La fa-çon dont elle a été pensée et dont elle fonctionne est le fruit d’une réflexion pleine de sagesse. Elle a aujourd’hui une très grande expérience en la ma-tière vu qu’elle existe depuis les années soixante, et la qualité de l’organisation parfaitement huilée et logique m’a frappé. La découverte des dossiers a quelque chose d’ins-tructif  et  d’exaltant.  Ces  jeunes  qui  s’engagent à  faire  une  différence  sont  encourageants  pour l’avenir ! Faire partie de ce jury implique une responsabilité par rapport au grand nombre de candidatures. En effet,  il  y  a  toujours  plus  de  projets  intéressants que de bourses, ce qui nous amène parfois à des choix déchirants. »

> queLs sonT vos criTères dÉcisiFs Lorsque vous abordez un dossier de candidaTure ?« Tout  d’abord,  il  faut  s’assurer  qu’il  relève  bien d’une  vraie  vocation.  Le  candidat  doit  être quelqu’un pour qui ne pas pouvoir suivre sa voca-tion  serait  un  drame  personnel.  Il  doit  avoir  aussi le désir d’apporter quelque chose à l’humanité, de partager  ses  connaissances.  Le  deuxième  critère est la nécessité réelle de l’aide au niveau financier. En dernier  lieu,  il  faut évaluer si  le candidat a une personnalité  suffisante  afin  d’assumer  sa  voca-tion. » 

> queLLe impression avez-vous reTirÉe des dossiers que vous avez TraiTÉs ?« J’ai constaté une grande évolution des métiers. Je  vois  par  exemple  beaucoup  d’étudiants  en lutherie, et  les  jeunes musiciens d’aujourd’hui ne se  limitent  plus  à  un  genre  de  musique  en  parti-culier. Ils combinent librement musique classique avec  jazz  ou  rock.  Ce  qui  était  impensable  du temps de mes études. » 

> consTaTez-vous une diFFÉrence dans La manière de juger Les dossiers par rapporT

à voTre parTicipaTion dans d’auTres jurys ?«Certainement. Ce qui me plaît énormément dans ce  jury  en  particulier  c’est  qu’il  rende  possible un  échange,  un  dialogue  entre  les  membres  du jury, tous spécialistes en  leur domaine.  Il permet aussi  de  rencontrer  personnellement  les  candi-dats. Après une première sélection des dossiers, les  membres  du  jury  se  rencontrent  lors  du  jury plénier.  Et  là,  nous  devons,  toutes  disciplines confondues, défendre nos « poulains » et décider des  prochains  lauréats.  Entendre  la  justification de nos choix est très enrichissant. Tout se passe avec  une  rigueur  d’organisation  qui  permet  de s’exprimer  librement,  selon  un  processus  très démocratique.  Comme  nous  avons  pu  rencontrer les candidats personnellement, nous nous y atta-chons. Au moment de la décision finale, nous de-vons parfois faire de notre cœur une pierre ! Les  jurys  des  concours  (de  piano  ou  de  compo-sition)  auxquels  j’ai  participé  en  Europe  suivent des  règles  beaucoup  plus  rigides  et  moins  per-sonnelles. En effet, ils travaillent souvent avec un système  de  points,  sans  contact  direct  avec  les candidats - sans compter, souvent, un sentiment de concurrence entre les membres du jury. » 

Sinds 2006 is Pierre Bartholomée jurylid bij de Stichting in de afdeling Andere Kunsten. Hij is pianist, orkestleider en componist.

> heeFT diT mandaaT voor u een bijzondere beTekenis?“Absoluut.  De  Belgische  Stichting  Roeping  speelt volgens  mij  een  zeer  interessante  en  belangrijke rol. Ik heb er veel respect voor, omdat zij een onver-vangbare rol speelt  in de toekomst van jongeren. De manier waarop zij bedacht is en functioneert, is het gevolg van veel wijsheid. In haar bijna zesen-veertigjarige bestaan   heeft zij  in haar domein al heel veel ervaring opgedaan en de kwaliteit van de vlekkeloze organisatie is opvallend.De ontdekking van de dossiers zelf is leerrijk en in-spirerend. Jongeren die een verschil willen maken, zijn bemoedigend voor de toekomst! Deel uitmaken van deze jury brengt ook een grote verantwoordelijkheid  met  zich.  Er  zijn  immers vaak meer interessante dossiers dan beurzen! Wij moeten soms verscheurende keuzes maken.”

> weLke criTeria zijn voor u besLissend?“In eerste instantie komt het erop aan zeker te zijn dat het om een echte roeping gaat. De kandidaat moet iemand zijn voor wie het niet waarmaken van zijn roeping een persoonlijk drama zou zijn. De wil moet aanwezig zijn om de mensheid iets te geven en om kennis te delen. We moeten er ons ook van vergewissen dat er een reële  financiële  nood  is.  Een  derde  belangrijk  cri-terium  is:  evalueren  of  de  kandidaat  genoeg  per-soonlijkheid heeft om zijn roeping waar te maken.”

> waT was uw indruk in verband meT de dossiers die u aL behandeLd hebT?“Er  is  een  evolutie  in  de  beroepen.  Zo  zijn  er  veel studenten  in  de  instrumentenbouw  en  de  jonge muzikanten van vandaag beperken zich niet meer tot  één  muziekgenre.  Zij  combineren  moeiteloos klassieke muziek met jazz en rock. Dat was in mijn tijd ondenkbaar.”

> merkT u een andere manier van werken op

meT beTrekking ToT uw deeLname aan andere jury’s?“Zeker. Wat me bij de jury van de Stichting enorm aanspreekt, is de multidisciplinariteit. Er is onder-linge  uitwisseling  en  dialoog  mogelijk  tussen  de juryleden, stuk voor stuk specialisten in hun vak-gebied. Na een eerste selectie komen de juryleden voltallig  samen  om  “hun”  kandidaten  te  verdedi-gen en zo een keuze te maken. Door de verschei-denheid van disciplines zijn de redevoeringen ter verdediging van de kandidaten heel boeiend. Door de strikte organisatie kunnen we ons vrij en demo-cratisch uiten. Wij krijgen ook de kans om de kan-didaten persoonlijk te ontmoeten, waardoor we in de beslissende ronde van ons hart vaak een steen moeten maken!Wedstrijdjury’s (piano en compositie) waaraan ik eerder in Europa al deelgenomen heb, volgen veel striktere  en  onpersoonlijkere  regels.  Zij  werken vaak  met  een  puntensysteem,  zonder  contact met  de  laureaten.  Bovendien  heersen  vaak  con-currentie en afgunst onder de juryleden.”

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03.12 > 20.00 — met/dans (Jean-Luc Ducourt) : Beethoven/Liszt : Symphonie VI > Concertgebouw, Brugge 20.01 > 18.00 — (Concert voor kinderen) en 20.00 pianorecital: Debussy, Bartók, Ligeti, Kurtág, Beethoven, Brahms > De Leest, Izegem 29.01 > 20.15 — Beethoven sonates op. 27-1, 49-2, 53, 109 op Streicher pianoforte (1826) > kasteel Leut, Maasmechelen 07.02 > 11.00 — Tetra Lyre: Brahms, Dvorák > Stadhuis, Hasselt15.02 > 20.00 — met A.Hardy (viool) en Justus Grimm (cello): Brahms, Schubert, Beethoven > Woluwibilis Concert Hall, Brussel

Met Guido De Neve (viool) 11.12 > 20.00 — Tanejev, Tsjaikofski, Sjostakovitsj > CC, Lommel07.02 > 15.00 — Debussy, Janácek, Enescu > Amuz, Antwerpen 10.02 > 20.15 — Debussy, Celis, De Boeck > kasteel Leut, Maasmechelen24.02 > 20.00 — Debussy, Celis, De Boeck > CC, Waregem

Met Prometheus Ensemble:  Dvorák (pianokwintet) en Janácek (Concertino) 05.12 > 20.00 — De Spil, Roeselare 12.12 > 20.00 — PSK, Brussel 13.12 > 20.00 — de Singel, Antwerpen 16.12 > 20.00 — CC, Hasselt 19.12 > 20.00 — De Bijloke, Gent 

 > www.michielsjan.be

jan michieLs Piano

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> 28 novembre 2009  Portraits of the EnemiesVictoria and Albert Museum, LondonOrganisation: Fondation Global Orient de Singapore.

> www.karimbenkhelifa.com

k arim ben kheLiFaExpo Photo

AVIS AUX LAUREATS

Pourriez-vous, pour la bonne gestion de nos fichiers nous confirmer votre adresse e-mail ainsi que votre adresse postale à l’adresse mail suivante: > [email protected]

BERICHT AAN DE LAUREATEN

Voor een goed beheer van ons adressenbestand, gelieve jullie huidig post-en mailadres te bevestigen via een mail naar > [email protected]

Hamas vs ISrael

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 2.12 — Hommages >  Anderlecht  3.12 > 20.15 — Enigma: Muziektheater Moscou NY > GC ’t Blikveld, Bonheiden  5.12 > 20.00 — Hommages > NOVA, Antwerpen13.12 > 11.00 — Hommages >  Zwarte Panter, Antwerpen13.12 > 14.00 — met Biancho Nero > Kunsthuis, Brussel16.12 > 20.00 — Enigma : Muziektheater Moscou NY > Arenberg, Antwerpen19.12 > 14.00 — Enigma > Maastricht  8.01 > 20.00 — Enigma > Westhoek16.01 > 19.01 — duo met violist Leo Adamov > New York30.01 — met pianist Luis Pipa  > Braga, Portugal31.01 > 11.00 — Hommages > Mol11.02 > 14.02 — met ensemble Shostakowitch > Porto, Lissabon, Algarve17.02 — Braga, portugal

> www.eliotlawson.com> www.hommages.be> www.enigma-ensemble.com

eLioT LawsonViool / Violon

27.02 > 16.00 Beethoven, Tchaikovsky, Rachmaninov... —  Auditorium Maene, Bruxelles

FLorian noack Piano

Le premier long-métrage de Bernard Bellefroid, La Régate sort dans les salles le 24 février 2010 à Bruxelles, en Wallonie, en Suisse, en France et au Québec. Lors du Festival International du Film Francophone de Namur, La Régate a réçu le « Prix du Public de la Ville de Namur – Meilleur Long Métrage de Fiction », ainsi que le « Prix du Jury Junior ».

synopsis : Alex a quinze ans et vit seul avec son père, dans les coups et la violence, en révolte contre tous.  Pour échapper à ce quotidien sans répit, Alex fait de l’aviron sur la Meuse et n’a qu’une obsession, gagner seul et à tout prix les championnats de Belgique.  Son entraîneur, Sergi, et Muriel, la jeune fille dont il est amoureux, vont permettre à Alex de redécouvrir les valeurs humaines qu’il avait perdues. Un long et difficile apprentissage...

bernard beLLeFroidFilm La Régate

9.12 > 19.30 — CC Scharpoort, Knokke-Heist

jeTTy roeLsLezing Als vrouw in India geboren

Hommages: Eliot Lawson, Wouter Aerts, Jozefien Peelman, David Van Looveren

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2.01 > 31.03 — Crematorium Vilvoorde 28.01 > 11.15 — Ensemble Sturm und Klang: Schumann (concert commenté pour enfants) > MIMM, Bruxelles12.02 > 20.00 — Chœur de femmes Sturm und Klang (direction : Thomas Van Haeperen, piano: Bruno Crabbé): Schumann, Brahms, Poulenc, Absil, d’Oultremont, Trojahn> Hôtel communal de Schaerbeek

> www.osk.be

jan weLLensKunstenaar

Thomas van haeperenEnsemble Sturm und Klang

15.12 > 20.00 — Jeunes Organistes belges / Jonge Belgische organisten(Cindy Castillo, Els Biesemans,  Jean-Philippe Merckaert)De l’ombre à la lumière, de l’Avent à Noël / Tussen licht en donker: van Advent naar KerstmisCathédrale Saints Michel et Gudule / Sint-Michielskathedraal

L’orgue est un instrument plus vivant que jamais ! En témoignent la passion et le talent de ces trois jeunes organistes belges, rassemblés par BOZAR MUSIC pour un récital « carte blanche ». De Bach à Mernier en passant par Messiaen, le programme qu’ils ont choisi se profile comme un voyage en clair-obscur, à travers les siècles et les cultures / Het orgel is springlevend! Daarvan getuigen de passie en het talent van drie Belgische organisten die van BOZAR MUSIC carte blanche krijgen. Het programma (van Bach over Messiaen tot Mernier) dat de drie voor hun recital samenstelden, laat zich lezen als een reis door eeuwen en culturen, in beeld gebracht in clair-obscur.

cindy casTiLLoOrgue/Orgel

16.01 > 27.02  Vernissage le 16 janvier 2010 à 16h.Exposition de la série photographique Voyage Out et des vidéos Take a lookfrom the inside de Vox, centre de l’image contemporaine, Montréal (Québec)

> www.voxphoto.com

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Photographies extraites de la série Voyage Out 2003-2009 (format 124 x 150 cm chacune).

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> Januari 2010Creatie werk Sebastian Bradt voor viool, harp en percussieAnn Vancoillie, Arielle Valibouse, Rudy Van der Veken.Zaal en datum nog nader te bepalen,Info > [email protected]

Dominique Thirion sera en résidence au Centre Chorégraphique national de Montpellier, chez Mathilde Monnier, en février avec la chorégraphe Barbara Manzetti pour une semaine de laboratoire de recherche pendant laquelle leurs pratiques vont faire un bout de chemin ensemble. Ils présenteront leurs recherches au public en fin de laboratoire.

«(…) je parle de compagnie et je ne parlerai pas de collaboration pour ce projet. la compagnie est ce qui vient contrer l’abandon sans pour autant exclure l’indépendance. Travailler seules-ensemble en avançant de manière autonome dans la géographie de nos retrouvailles. Si nos recherches ne peuvent pas forcément se mêler elles peuvent se retrouver, elles peuvent partir en voyage, entrer en conversation, elle peuvent se souder dans un mouvement spontané sans perdre leur identité, s’isoler en restant dans le même espace, se tenir compagnie.»  Extrait de Compagnie, texte écrit par Barbara Manzetti pour ce projet.

Image extraite d’une vidéo réalisée lors du projet au revoir Barbara (chorégraphie de Dominique Thirion et Barbara Manzetti, danseuse : Barbara Manzetti) dans le cadre du Mille-Feuilles, aux Halles de Schaerbeek, en juin 2004.

ann vancoiLLieViool

dominique ThirionDanse

12.01 > 06.02 — Terrorisme > Théâtre de Poche, BruxellesPremière en langue française de la pièce des frères Presnyakov.Une pièce moderne et pertinente sur les effets du terrorisme au quotidien.

> www.poche.be

oLivier coyeTTeMetteur en scène

eTienne van der beLenThéâtre

11 > 16.01 > 20.30 13.01 > 19.30 — R.W. (premier dialogue). Suivi d’une rencontre-débat. Une création à partir de fragment de textes de Robert WalserMise en scène par Pascal Crochet.Le Rideau au Théâtre Océan Nord, Bruxelles > www.rideaudebruxelles.be

Le spectacle R.W. est une aventure en deux temps. Une équipe artistique s’embarque pour deux saisons dans deux dialogues avec l’œuvre singulière de Robert Walser. Comme une vaste promenade en un pays étrange où habitent de jeunes hommes insouciants, bavards et errants et des femmes sans âge semblables à des fées énigmatiques et bienveillantes. Pays d’une irréalité constante, où l’on cultive l’humour et le désenchantement, les vertiges de la joie, de la beauté et du bonheur et où « le cœur menace de s’envoler vers le ciel ».  Un spectacle en forme de dérive poétique, où en une succession de tableaux, conversations, récits, rencontres et apparitions, des silhouettes fantomatiques tentent de témoigner du monde onirique walsérien. Un voyage au plus proche du rêve éveillé.

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> 04.02 — au sein de l’ensemble VIDAS (trio clarinette, violoncelle et piano) > musée Charlier

> www://charliermuseum.be.

caTherine LebrunVioloncelle

Le duo « Aton’  & Armide », rassemble deux musiciens, Sara Picavet et Benjamin Glorieux, qui se sont retrouvés  autour d’un intérêt commun :  la musique contemporaine et sa transmission à un large public. L’ensemble se  concentre depuis août 2009  sur le vaste répertoire pour violoncelle et piano,  privilégiant les œuvres de notre temps, tout en intégrant le patrimoine belge.

5.12 > 20.00 — Holliger, Schumann, Bach, Messiaen > Orgelzaal (Salle d’orgue), Conservatorium Brugge. Organisation : ‘Een podium voor de Passie’ 7.01 > Programme: Frédéric Van Rossum, sonate violoncelle piano, Victor Kissine, sonate violoncelle piano, Britten, Sonate pour violoncelle et piano opus 65Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique, Bruxelles> www.academieroyale.be14.01 > 12.10 — Concerts de midi le “manège -Mons” : Robert Schumann, avec un hommage de Heinz Holliger mais aussi Britten, Takemitsu... > Chapelle des ateliers des fucam - Mons 

02 > 16 > 23.12 — Atelier conte #4Atelier conte avec des adolescents autistes, avec l’asbl Parhélie 03 > 10 > 17.12 — Bibliothèque de Molenbeek #3Petits contes pour enfants de classes maternelles 17.12 > 18.30 — Contes du solstice d’hiver > Bibliothèque de LaekenSpectacle familial, contes sur le thème de l’hiver20.12 — Les Dimanches du Conte de Bruxelles #9Organisation du 9e Dimanche du Conte de Bruxelles. Conteuse invitée : Florence Delobel, et Ben13.02 > 19.30 — Si tu savais…Spectacle pour enfants de 6 à 10 ansMédiathèque François Mitterand, Pontault CombaultInfos : +33 1 70 05 47 62

> www.julieboitte.com

sara picaveT + benjamin gLorieuxPiano + violoncelle

juLie boiTTeConteuse

Er is een cd uit met daarop een ‘audiofilm’ (= de moderne versie van het hoorspel) geproduceerd door Het Geluidshuis, met een bewerking van drie verhalen uit Annelies’ verhalenbundel GROENER GRAS. Het gaat om de verhalen ‘Lola’, ‘De Wezel en zijn prooi’ en ‘Naar de toekomst’.Acteurs: Marc Van Eeghem, Peter Van den Eede, Eva Schram, Sara Deroo, Lola Baert, Geert Van Rampelberg, Bruno Vanden Broecke, Manou Kersting, Kurt Van Eeghem, Andrea Croonenberghs, Nele Bauwens, Wouter Hendrickx, Marianne Devriese, Stijn Cole, Koen Van Impe, Camilla Blereau, Miel Gielen en Pepijn Caudron. Met een speciaal gastoptreden van Jeroen Meus, die zijn roeping als chef acteur gemist heeft!Regie en bewerking: Stef De PaepeMuziek: Koen BrandtProductie: Het Geluidshuis

> www.anneliesverbeke.com> www.geluidshuis.be

anneLies verbekeAudiofilm Groener gras

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04.12 > 31.01 — Stavelot 44. Une ville au cœur de la guerre> www.abbayedestavelot.be

pierre erLerAbbaye de Stavelot

projet sainte-catherine : réhabilitation d’un ancien site minier en un projet de logements et bureaux à Chapelle-lez-Herlaimont. – Permis d’urbanisme déposé et dossier d’exécution en cours avec visualisations 3D Trois ans après le début du projet, Bertrand Noël et son équipe des Openarchitectes commenceront en 2010 les travaux sur l’ancien site minier à Chapelle-lez-Herlaimont (Hainaut).Il s’agit de la réhabilitation d’un ancien site minier en un projet de logements et bureaux, afin de transformer positivement un quartier actuellement dévalorisé. Le site a une superficie de 98 ares, et se trouve en face d’une école maternelle et primaire dans une zone d’habitat privé. Il est bordé d’un terril et d’une zone arrière reconnue en SAR (site à réaménager).Le projet répondra aux besoins sociaux et économiques du site :–  création de la nouvelle place publique face à l’école communale;–  réaffectation de l’ancien bâtiment principal du puit de mine en salle polyvalente qui 

pourra être utilisée autant au niveau de la Commune, qu’au niveau de l’école;–  création d’un ensemble d’habitations, qui répondront au besoin de logements moyens 

de qualité dans la commune Chapelloise;–  création de bureaux administratifs et techniques;–  création d’un accès automobile limité côté place et d’un accès de desserte des 

logements à l’arrière du site.Actuellement, le site présente des constructions de styles et d’époques complètement disparates allant du 19e siècle à la fin du 20e siècle. Le projet permettra d’unifier visuellement le site et se basera sur l’architecture du bâtiment emblématique qui sera conservé. Celui-ci, qui sera mis en valeur,  témoignera du riche passé industriel de la Commune.

projet pca Franche sambre : PCA (plan communal d’aménagement) sur le site de la Franche Sambre à Châtelet – Réhabilitation d’un chancre urbain en bordure du ring. – PCA terminé avec visualisation 3D (envoyé par Pando) 

> www.openarchitectes.be

berTrand noëLOpenarchitectes : Projets en cours

Le Prix Lucien Cahen a été attribué à Matthieu Kervyn par l’Académie Royale de Sciences d’Outre Mer pour sa thèse de doctorat intitulée: Monitoring and modelling volcanoes with assessment of their hazards by means of remote sensing and analogue modelling. Le sujet principal de sa thèse est le volcan Oldoinyo Lengai, en Tanzanie. Ce prix récompense une fois tous les trois ans un travail de recherche en géologie appliquée en outre mer. Matthieu poursuit aujourd’hui sa recherche en volcanologie dans le cadre d’un post-doctorat à l’Université de Gand, en se concentrant cette fois sur l’étude du Mont Cameroun  / Matthieu Kervyn 

heeft voor zijn doctoraatsthesis, met als onderwerp de Oldoinyo Lengai vulkaan in Tanzania, de Prix Lucien Cahen ontvangen van de Académie Royale de Sciences d’Outre Mer. Deze prijs beloont om de drie jaar geologisch onderzoek uitgevoerd in het buitenland. Zijn thesis heeft als titel Monitoring and modelling volcanoes with assessment of their hazards by means of remote sensing and analogue modelling. Matthieu zet zijn onderzoek verder in het kader van een postdocoraat aan de universiteit van Gent, dit keer over de Mount Kameroen.

maTThieu kerv ynVolcanologue

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Le film Un Café pour l’Amérique de Jossy Mayor pour lequel Rafaël Leloup a composé la musique originale, a reçu le prix du “Best Foreign Film” au Downtown Film Festival de Los Angeles 2009.

> http://downtownla.bside.com/2009/films/uncafepourlamerique_downtownla2009> http://steinhardt.nyu.edu/music/students/bios/leloup

raFaëL LeLoupCompositeur de musique de films

Le Nuna Théâtre présente Boîtes, un spectacle pour les tout-petits de 18 mois à 5 ans.Un spectacle visuel où le plaisir d’expérimenter et de bousculer l’espace mène la danse.Une création de Cécile Henry et Catchou Myncke, avec Cécile Henry et Catchou Myncke.

1 > 3 > 4.12 > 9.30 et 10.45 — Centre Culturel Jacques Franck, Bruxelles8.12 > 9.45 et 11.00 — Centre Culturel d’Ans >  www.centrecultureans.be10.12 > 11.00 et 13.30 — Centre Culturel de Floreffe12.12 > 15.00 — Centre « Le Scailmont », Manage 14 > 15.12 > 9.30 et 11.00 — Centre Culturel le Fourquet, Berchem-Sainte-Agathe19.12 > 14.00 et 16.00 — Complexe scolaire de Rendeux, dans le cadre de « Noël au Théâtre » organisé par le Centre Culturel de Marche en Famenne20.12 > après-midi — La scène du Boccage, Herve29.12 > 11.00 — Centre Culturel de Bastogne09.01 — Wolubilis, Woluwe-Saint-Lambert > www.wolubilis.be12 > 13 > 14.01 > 9.30 et 11.00 — Centre Culturel de Rixensart, Genval16.01 > après-midi — Salle du Phare à la rue des Écoles de Pont-à-Celles > www.sambraisie.be27.01 > 16.00 — Centre Culturel de Gembloux30.01 > 15.30 et 17.00 + 1 > 2 > 4.02 > 9.30 et 11.00 — Centre Dramatique pour l’enfance et la jeunesse, Strépy-Braquegnies13.02 > 11.00 et 16.00 — Maison de la marionnette, Tournai23 > 25 > 26.02 >  9.30 et 10.45 — Centre Culturel Jacques Franck, Bruxelles

cÉciLe henryBoîtes

06.01 > 30.01 — prelude, Le Grand R (scène nationale La Roche-sur-Yon), France16.01 > 14.03 — en famille,  Maison de la Culture, Tournai

> www.joug.org

jean-François spricigoExpo photo

> 12.12 — Decemberdance, Brugge> 09.01 — De Spil, Roeselaere13 > 14.01 — Dubbelspel (30CC en STUK), Leuven21 > 23.01 — Vooruit, Gent> 04.02 — CC Hasselt, Hasselt

> www.rosas.be

anne Teresa de keersmaeker (rosas)The song

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La composition du conseil d’administration est disponible sur le site / De samenstelling van de raad van bestuur is beschikbaar op de website.

> www.fondationvocation.be> www.stichtingroeping.be

Jury

Nous accueillons le professeur Pierre Garin en tant que nouveau membre du jury. Il remplacera le professeur Thierry Boon-Falleur au sein du jury des sciences médicales. Pierre Garin est docteur, spé-cialisé en oto-rhino-laryngologie et en mi-crochirurgie. Il est attaché aux Cliniques de Mont-Godinne. Il est également chargé de cours à la Faculté d’anatomie à l’Université de Namur.

Wij verwelkomen Prof. Pierre Garin als nieuw jurylid. Hij zal Prof. Thierry Boon-Falleur vervangen binnen de jury medische wetenschappen. Prof. Garin is arts gespe-cialiseerd in neus-keel en oren, en in mi-crochirurgie, verbonden aan de kliniek van Mont-Godinne. Hij geeft ook les in anatomie aan de universiteit van Namen.

Fondation belge de la VocationSous le haut patronage de Sa Majesté la Reine Fabiola

Place de l’Albertine 2, 1000 BruxellesTél. 02 213 14 90 | Fax 02 213 14 95E-mail : [email protected] internet : www.fondationvocation.beKBC 733-0396758-58Le secrétariat est ouvert lundi, mardi et jeudi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h, mercredi et vendredi de 9h à 12h30.

Belgische Stichting RoepingOnder de hoge bescherming van Hare Majesteit Koningin Fabiola

Albertinaplein 2, 1000 BrusselTel. 02 213 14 90 | Fax 02 213 14 95E-mail : [email protected] : www.stichtingroeping.beKBC 733-0396758-58Het secretariaat is open op maandag, dinsdag en donderdag van 9.00 tot 12.30 uur en van 13.30 tot 17.00 uur ; op woensdag en vrijdag enkel van 9.00 tot 12.30 uur.

Secrétariat | Secretariaat

Déléguée générale | Algemeen afgevaardigdeSylviane Jacquet de Haveskercke > [email protected]> [email protected]

Assistantes | AssistentesBernadette StevensRégine de Renesse

Collaboratrice | MedewerksterNicole Gautier

Communication | CommunicatieCamille Delbecque> [email protected]> [email protected]

Vocatio

Rédaction | RedactieCamille Delbecque> [email protected]> [email protected]

Graphisme | VormgevingMarie-Hélène Grégoire > [email protected]

Relecture | HerlezingFrançoise Osteaux, Jan H. Verbanck

Éditeur responsable | Verantwoordelijke uitgever Alain Philippson Albertinaplein 2 place de l’Albertine Bruxelles 1000 Brussel

L’action en faveur des lauréats est soutenue par la Fondation Bernheim | De actie ten voordele van laureaten wordt gesteund door de Stichting Bernheim.

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