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m HEMIRQ KïgQj CSiNjjiMig Dimanche 86 Janvier 1830 JOURNAL DE L’ARRONDISSEMENT DE SENLIS BUREAUX, REDACTION ...ft ADMINISTRATION SHÎMIL.IS 11, Fiacre Üf8n ? ^ f v r * l i Sir TÉLÉPHONE 4 •Ireefaur Sommerait! i ®« VWMftH -A_ 33 O 3ST 3ST TËCTEÆ 333 ÜNT T S A no< B u r u u x P* Pott» I On s'abonne anx Bureani du Journal el dans toa« les bureaux de poste. — 1,’abouneuient est payable d'avance et conliuue de pleindroit jusqu'à réception • •■i 8 I d'avis contraire. T.ee Abonnement» partent du de chaque mole AnnoUMI léJUJja..., Annoneu volontaires. I .es manuscrits, insérés ou non, ne sont pas renaus A l’Institution Saint-Vincent La Commission spéciale avec la Mu-: nicipalité a pris contact avec les bou langers et au cours des discussions, la question du portage du pain fut de nouveau évoquée, Bref, une entente est intervenue (sous réserve de l’approbation du Con seil) au lieu de 75 gr., les boulangers auront droit à tolérance de manque ment de 200 gr. et le pain serait porté dans les faubourgs de la Ville : rue des Jardiniers, cours Thoré-Montmorency, avenue du Maréchal Poch, Villevert, faubourg Saint-Martin, avenue Félix Vernois, routes de Creil et de Chantilly, rue aux Chevaux, les Arènes, les Glo- zeaux, rue Quémizet, Villemétrie, St~ Etienne, route de Nanteuil, etc. A l’unanimité, le Conseil se range à l’avis de la Commission. La date du 1er février est adoptée pour la mise à exécution de cette décision. M. le Maire fait connaître que le projet d’aménagement du terrain des Sports n’est pas à jour, et le renvoi à la prochaine réunion est. adopté, non sans querM. Escavy ait fait connaître que des travaux d’amélioration vont être entrepris incessamment en atten dant que le projet soit à point et sou mis au Conseil. La Commission va se réunir et il faut espérer que l’Etat vou dra bien contribuer dans une certaine mesure à l’édification du stade qui sera digne de la Ville de Senlis. Monsieur le Maire donne la parole à M. Bascher qui dans un très inté ressant rapport, signale qu’il y a lieu d’améliorer le matériel d’incendie de notre Compagnie de Sapeurs-Pom piers dont l’une des cinq pompes en exercice remonte à 1827. Après avoir analysé la situation de ce matériel et des accessoires, souligné les difficultés de recrutement du personnel, M. Bas- cher après avoir pris l’avis de M. Hen- nequin, capitaine honoraire des Sa peurs-Pompiers et de M. Rigault, lieu tenant commandant la Compagnie, propose au Conseil l’achat d’une moto pompe centrifuge, sans augmentation des effectifs. Plusieurs moto-pompes ont retenu l’examen de la Commission, l’une d’el les d’une marque très connue serait d’un prix de 29.700 francs, les condi tions de paiement seraient : 1/3 en 1930 et les autres tiers en 1931, M. Bas- cher fait remarquer qu’un tiers de la dépense pourrait être couvert par l’ob tention des fonds provenant de l’impôt des Compagnies d’Assurances, en outre plusieurs industriels ont promis^ de participer à l’achat de cette moto-pom pe. Après interventions de MM. Henne- quin, Thirion, Pierrard, le Conseil dé cide à l’unanimité l’achat d’une moto- I pompe, vote le crédit nécessaire et don ne tous pouvoirs à la Commission pour | fixer son choix sur une moto-pompe, après essais des motos des maisons qui ont fait des propositions. M. Pierrard fait connaître à M. le Maire, qui le prie d’en remercier l’ini tiateur, que M. W isler va faire édifier près de son établissement, deux extinc teurs qu’il veut bien mettre à la dispo sition de la Ville, le cas échéant. Une somme de onze mille francs pro venant de surtaxes perçues en trop par la Compagnie du Nord sur les billets de et pour Senlis, est devenue disponi ble, il s’agit maintenant d’en détermi ner l’emploi. Des pourparlers sont en gagés avec la Compagnie du chemin de fer du Nord et il y a lieu d’en atten- dre le résultat pour en saisir utilement le Conseil. La question d’installation d ’a p p a reils sanitaires dans les écoles n’étant pas encore complètement au point, elle est renvoyée à la prochaine réunion. M. Bardou signale l’urgence d i nsi fil iation de water-closets complémentai res à l’école des filles de la rue de Beau- vais. Cette question est mise à l’étu de. L’Automobile-Club de l’Ile-de-France représenté dans notre région par M. le Comte Arnauld Doria, se préoccupe très activement de la création d’une piste cyclable en bordure de la route Nationale n° 32, de Senlis à Verberie, soit sur une distance de 15 kilomètres 500. A l’unanimité, le Conseil vote le prin- I cipe de sa participation à 1a. création I de ‘cette piste, sous réserve de fixer I ultérieurement la participation finan- I cière de la Ville. I M. le Maire fait connaître que l’Ad- I ministration des P. T. T. saisie de la I délibération du Conseil municipal lui I demandant si elle ne pourrait pas en- I visager la création des lignes télégra- I phiques.et téléphoniques souterraines, 1 lui a fait savoir que cette proposition I avait été adoptée et que les travaux I commenceraient au cours du premier I semestre 1930. 1 M. le Maire fait voter des remercie- 1 ments par le Conseil aux P. T. T., I mais il demandera que ces travaux I soient entrepris dès maintenant pour I être terminés pour le 1" mai, à cause I de la circulation plus fréquente à par- I tir de cette date. En ce qui concerne l’installation I d’une batterie centrale téléphonique qui ! avait été sollicitée par le Conseil, la I requête a été transmise à l’Administra- I tion Centrale. Une demande de subvention du Co- I mité d’entente des Associations d’An- ciens Combattants de l’Oise est ajour née. Le Conseil proroge pour un an, c’est- à-dire jusqu’au 30 décembre 1930, le marché des travaux d’entretien passé avec les entrepreneurs adjudicataires. Avis favorable est donné aux demain TRIBUNE LIBRE et, d’une manière régulière et à peu près permanente, à Genève, nous trou vons deux catégories d’individus : les sceptiques et les enthousiastes, ceux qui doutent et ceux qui ont une exces sive confiance. Les sceptiques ont tort. Ils ne sont pas intéressants ; ce sont des hommes d’hier. Tous ces pactes et tous ces protocoles ont une importance, une réalité qu’il faut savoir comprendre. Plus se multiplieront des démarches de ce genre, plus il y aura de chance — tout de même — d’éviter la guerre. Seulement cela ne suffit pas et c’est ce que ne veulent pas ou ne savent pas voir ceux qui nourrissent là-des sus une excessive confiance. Ceux-là sans doute sont plus intéressants par ce qu’ils sont optimistes, parce qu’ils croient au progrès de. la justice, de la raison, et somme toute de la pitié et de l’amour entre les hommes. C’est vers ceux-là qu’il faut aller, ce sont ceux-là qu’ils faut éclairer pour qu’ils ne soient pas des dupes, c’est à ceux-là qu’il faut dire : en mettant les choses au mieux, un document comme le pacte Kellogg-Briand, une conférence comme celle de Londres, si elle réussit, ne sauraient marquer un résultat ac quis une fois pour toutes, elles témoi gnent seulement d ’u n résultat en marche. Autre chose est la simple horreur de la guerre, sentiment assurément légi time mais qui peut être conseiller de lâchetés et de capitulations sans nom bre, après quoi il n’est même plus possible d’être un homme, et, autre chose, l’amour sincère et direct de la paix. Sans doute il est permis d’avoir horreur de la guerre, mais il est meil leur et plus fécond de chérir la Paix et la meilleure preuve que l’on puisse administrer de cet amour-là, directe et pratique, c’est de travailler à la pacification des esprits autour de soi d’abord et puis de chercher sur un terrain pratique et bien défini des oc casions de rencontre, d’entente et de collaboration entre les nations. Ne travaillerait-on par exemple qu’à la « rectification mutuelle de ces infor mations tendancieuses et défigurées par lesquelles on exaspère fallacieuse ment les peuples les uns contre les autres. » (Y. de :1a Brière). C’est ce q u ’o n t admirablement compris ces catholiques d’action qui sous la pré sidence de François-Marsal avec des personnalités comme celles de Jean Brunhes, de Zamanski, de Félix de Vogüé, de M. d’Ormesson se sont ren contrés à Berlin les 20 et 21 décembre dernier avec des catholiques alle mands. Ils ont sans doute rencontré bien des difficultés, parmi lesquelles le fameux rapport de Mgr Ulitzka, mais on ne peut pas dire qu’ils n’aient fait avancer tout de même l’idée d’une meilleure compréhension et d’une coo pération efficace entre les deux nations ne serait-ce que sur le terrain des œuvres sociales. M. Briand a pu citer avec éloge dans son discours du 20 décembre, à la Chambre, les paroles que 1e Comte Oberndorf a prononcées à la Confé rence catholique de Berlin, déclarant qu’il écartait toute modification de frontières en ce qui concerne la Po logne obtenue par des moyens de vio lence et autrement que par voie d’ar bitrage. Et, toute question de vaine senti mentalité mise à part, lorsqu’à la fin de la dernière séance, le colonel Picot, député de la Gironde, président des Gueules cassées et le baron von Pa- pen, président de la délégation alle mande, se sont donné l’accolade, les assistants ont pu avoir l’impression qu’il s’agissait là d’un véritable baiser de paix. C’est en sachant apprécier des dé monstrations de ce genre à leur juste valeur, qui est assez grande, c’est en les multipliant et en les encourageant que « les peuples » faciliteront le tra vail des diplomates et leur donneront une signification réelle et une portée efficace. A. C henet . Æ Dans le discours qu’il vient de prononcer à l’ouverture de yy la Conférence Navale de Lon- f dres, M. Stimson, premier délégué américain, signale que le fait de « recourir à des conférences inter nationales de ce genre pour limiter et réduire les armements est un progrès récent dans les affaires mondiales... » Et de fait on use largement des conférences internationales, sans compter cette conférence pour ainsi dire permanente qu’est l’organisme de Genève, nous n’en finirions pas d’énu- mérer toutes celles qui ont siégé ici ou là depuis la fin de la Guerre. Le fait se renouvelle avec une fréquence et une insistance vraiment significa tives. En un sens c’est tout à fait naturel et indispensable puisque les amures pendantes sont internationa les, étroitement solidaires les unes des autres. On ne peut les étudier d’une manière utile que solidairement et à plusieurs ensemble. Mais ce qu’il y a de plus significatif encore et de plus nouveau, c’est qu’on n’attend pas de tous ces Congrès et de toutes ces Con férences seulement la solution de questions de détail quelqu’importantes qu’elles soient. On y poursuit un résultat d’ensem ble, un but infiniment plus important et d’ordre proprement humain qui est l’abolition de la guerre. « Il ne faut pas oublier, nous dit encore, de Lon dres, M. Stimson, que notre but final est la solution générale de la question du désarmement, et, par suite, la di minution des dangers de guerre. » Voilà en effet qui est infiniment plus important, plus intéressant et quasi- ïnent pathétique ! Nous sommes heureux d’apprendre que le Collège Saint-Vincent se pré pare, lui aussi, à célébrer dignement, l’été prochain, le cinquième centenaire de la mission de Jeanne d’Arc et de son passage sous les murs de la vieille abbaye royale. Aux termes de la circulaire qui vient d’être adressée par M. le Supérieur aux Familles, aux Amis et aux Anciens de la Maison, il s’agit d’ériger à la Sainte de la Patrie Française, dans la cour d’honneur de l’Institution, à un endroit où les Elèves passent constamment, un monument modeste sans doute, mais robuste et chargé de sens. Obéissant à une pensée de haute pé dagogie chrétienne on s’est arrêtée à l’idée suivante : « Jaire'-exécuter une réduction de la, « Jeanne écoulant scs voix » de Ghapu. Elle sera en marbre ou en bronze, selon les ressources dont on pourra disposer, et encastrée dans une stèle en pierre dure. Il en jaillira une leçon de tous les jours : « Jeanne d’Arc écoutant ses voix ! Jeunes élèves écoutez les vôtres : voix de vos parents et de vos maîtres, voix de la Patrie et de l’Eglise, voix de votre conscience et de Dieu ! Elles n’ont rien de miraculeux, mais elles sont toutes providentielles. » L’idée est heureuse, on le voit, non seulement par son élévation, ainsi que nous venons le dire, et par la poésie qui s’en dégage mais par le sens aigu et averti des nécessités pratiques de l’éducation : il ne s’agit pas de lancer de par le monde des paladins hypothé tiques, mais de former des cotoyens et des chrétiens utiles entièrement dé voués à l’Eglise et à la Patrie, dans tou tes les tâches, obscures ou glorieuses, qui peuvent se proposer à leur acti vité. Cette fidélité généreuse à la vocation quelle qu’elle soit et au labeur quoti dien de leur formation civique et reli gieuse, sera très opportunément rappe lée, aux Elèves du vieux collège par l'évocation « en bronze, encastrée dans la pierre dure », de « Jeanne écoutant ses voix ». Nous souhaitons de tout cœur à M. le Supérieur de Saint-Vincent de pouvoir réaliser au mieux l’excellent projet qu’ont acclamé les Anciens de la Mai son le 9 mai dernier. « L’OISEAU RARE » 25 minutes de retard. Telles étaient les paroles sacra mentelles prononcées, sur le quai de la Gare, à Chantilly samedi dernier. Dé cidément le samedi n’est pas un jour favorable à notre rapide grand luxe. Les Employés se demandaient ce qui pouvait bien retarder le convoi !... Ma chine neuve, recommandation spéciale du Comité Directeur de la Compagnie, nombreuses démarches, nombreuses pétitions, etc., etc., et tout était prévu pour la marche régulière de 1’ « Oiseau Rare ». Malgré cela, le Chef de gare, un peu nerveux, montrait une certaine inquié tude et essayait de percer ce sombre 'irn 8 s£:- pa,r'en effet tout était sombre t ils Cette: HTraïre et vous allez en avoir la raison. Le train de 17 h. 45 (rapide grand luxe dit Oiseau Rare) était bien parti de Paris TOUTES LUMIERES ALLU MEES lorsqu’en cours de route, crac, une panne d’électricité et il était arrivé TOUTES LUMIERES ETEINTES à Orry-la-Ville. Pour éviter un nouvel ac cident, le train s’était docilement réfu gie sur sa voie de garage habituelle et c’est là, que perdu dans les ténèbres, il était resté : introuvable. Enfin grâce à l’éclairage au pétrole de la gare d’Orry, 25 minutes après le train enfin retrouvé repartait, vers Sen lis, heureusement signalé cette fois, et ramenait toujours avec 25 minutes de retard et toujours dans l’obscurité la plus complète, les voyageurs endormis. Une nouvelle pétition, de nouvelles démarches sont prévues pour deman der à la Compagnie de doubler les lu mignons d’Orry-la-Ville (Station d’at tente) et de délivrer au chef de gare une doujjle ration de pétrole pour qu’il puisse en mettre plein la lampe et évi ter le retour de choses aussi désagréa bles. Direction générale des Contributions indirectes Un concours pour l’emploi de Com mis (sexe masculin) des Contributions Indirectes aura lieu le 15 mai 1930. Le nombre de places mises au con cours est fixé à 300. Ne pourront prendre part aux épreu ves que les candidats ayant accompli leur service militaire à la date du con cours et âgés de moins de 30 ans au premier janvier 1930. Les conditions générales du concours sont fixées par un Arrêté Ministériel du 5 août 1929, publié au « Journal Offi ciel » du 9 du même mois. I.i s candidats pourront s ’a d r e s s e r pour tous renseignements (pièces a fournir, programme, etc.), au Directeur des Contributions Indirectes de leur dé partement, 18, rué île Gesvres, à Beau- vais. Le registre d’inscription des candida tures sera irrévocablement clos le 15 m ars 1930. L’Humanité, le Monde Civilisé, a- breuvé d’horreurs et de souffrances en a assez de la Guerre. Plus de Guerres ! La guerre hors la loi ! Et là dessus, et pour cela : traités, déclarations, pactes et conférences. Et l’humanité entend bien que ce ne soient pas là de vaines simagrées. Il faut que le but soit atteint. « Nos peuples nous de mandent de réussir, déclare le même M. Stimson. Ils savent quel désastre serait pour leurs espérances les plus chères l’échec de cette conférence : ils veulent que nous réussissions. » Fort bien ; et les techniciens, là-dessus, de se mettre à leur besogne technique. Laissons-les à leur travail. Il se dé roule peut-être, leur travail, dans une atmosphère un peu artificielle. Récep tions, dîners, discours, etc.., rentrent un peu trop dans les « instruments » diplomatiques. Ceux qui sont de la « Carrière » nous diront sans doute que ce sont là des procédés nécessaires dont il serait maladroit de sous-esti mer l’efficacité. Ne voyons-nous point des éléments peu diplomatiques et sans doute plus sincères tels que M. Schacht ou M. Snowden, proprement « remisés » ou bien obligés de mettre de l’eau dans leur vin... Sans doute. Mais nous voyons aussi que l’opinion publique des différents pays intéressés est aussi un facteur d’entente, ...« Nos peuples »... comme disent ces Mes sieurs en style Louis XIV. Et de tous les facteurs d’entente, de tous les élé ments de collaboration et de coopéra tion qui doivent entrer en ligne de compte, c’est le facteur populaire, ce sont les éléments populaires qui nous intéressent le plus. Ces éléments-là ont aussi leur devoir à remplir et leur rôle à jouer qui est de taciliter la tâche aux techniciens et aux diploma tes. Seulement il importe que ces élé ments-là ne soient point des dupes et ils le seraient, s’ils pensaient qu’ils n’ont rien de plus à faire qu’à enre gistrer soit avec satisfaction, soit avec scepticisme les comptes rendus de presse ; s’ils pensaient surtout devoir tout attendre, en fait de garanties pacifiques du seul travail des diplo mates et des techniciens. "M’inspirant des termes employés par mon prédécesseur O. Boüduquai, je ré pète : La Compagnie exploite tout à la fois, le réseau du Nord et la docilité du bon public. Voyageur prends patience ou alors : Frère :iî faut mourir ! T. H ébreux . A travers fiche indicatrice sera placardée tous I , les jours par les soins du Concierge. I Bref, l’indice actuel donne le prix de I 1 fr. 25 le m3. C’est ce chiffre que M. le I ! Maire propose au Conseil, en applica- I tion du contrat passé avec la Compa- I gnie du Gaz. I M. Thirion fait ensuite connaître à I l’assemblée communale que la Ville de I Senlis est amenée à donner son avis au I sujet du statut du personnel -de la I Compagnie du Gaz et de l’Electricité, I conformément aux lois des 21 et 28 I juillet 1928, par un avenant au cahier I des charges. Dans un rapport très dé- I taillé, M. Thirion énumère les conclu- I sions de la Commission concernant no- I tammenl les emplois réservés aux in- I valides de guerre, les conditions d’em- I bauchage, de stage, d’heures de travail, I des salaires, des diverses allocations I pour mariages, décès, naissances, pé- I riodes militaires, accidents, primes di- I verses, et éventuellement assurances I sociales, les congés payés, indemnités I de logement, disciplines intérieure et I extérieure, assurance invalidité, etc. I Toutes ces charges sociales apportent I un faible accroissement de frais dans I l’exploitation de la Compagnie du Gaz, I mais elle£ apporteront plus de bien I être, et de sentiment du devoir profes- I sionnel, aussi le rapporteur est-il d’avis I d’adopter le statut du personnel ainsi I présenté. M. Bascher ayant demandé la raison I de l’intervention de la Ville dans cette I question, M. le Maire fait savoir que I c’est en raison de ce que la Ville per- I çoit, un tant pour cent sur les bénéfi- I ces nets de l’exploitation, et c’est ce I droit de participation qui lui donne le I droit d’intervenir. ^ j A l’unanimité, l’augmentation du gaz à 1 fr. 25 le m3 et le statut du per sonnel sont votés. M. le Maire rappelle à ses collègues qu’il a été l’objet d’une supplique des marchands boulangers de Senlis ten dant à modifier un arrêté municipal pris en 1924 au sujet de la vente du pain de deux livres court. Ce pain se présente sous trois aspects, pain dit fendu, pain dit « jocko », pain dit saucisson, qu’il ne faut pas confondre avec le pain de fantaisie long dit de grand luxe. Comme ce pain court est considéré comme pain de fantaisie, ils ont demandé et obtenu autrefois que ce pain pourrait avoir un manquement de 75 grammes. Or, il y a quelques se maines, M. le Commissaire de Police ayant découvert l’arrêté de 1924 dans ses archives et ayant émis la prétention de le faire exécuter, les boulangers fu rent dans l’émoi et envoyèrent à la Mu nicipalité une requête dans laquelle ils déclarèrent qu’il était impossible de vendre ce pain court, s’ils n’obtenaient ; pas un abattement plus grand. Pharmacie ouverte i Dimanche 26 Janvier : M. Bardou, rue de l'Apport-au-Pain. Conseil Municipal 8e représente-t-on huit mille Indus triels installant d’un seul coup leur magasin de vente sur un même point ? Les uns apportant leurs grosses ma chines : machines-outils, machines d’imprimerie, machines à travailler le bois, grues, élévateurs, etc..., pièces pe sant 8, 10, 12 tonnes et plus ; d’autres installant de coquets pavillons dans la Section de l’Alimentation ; certains, dans le Groupe du Bâtiment, édifiant des maisons à deux étages, alors que les modestes, les petits, arrivent seu lement avec quelques caisses, mais n ’e n présentent pas moins les objets,, de leur fabrication avec ce goût, cette' recherche qui sont l’apanage de toutes les manifestations parisiennes ? Jardins à l’entrée, Palais des Congrès avec la façade la plus curieuse, vaste restaurant dont la grande salle ne compte pas moins de 1.520 mètres ; bu reau des P. T. T., pavillon de l’Admi nistration, maison des pompiers, servi ces de santé, etc., bref, une ville en tière, tout de suite animée, parcourue par une foule énorme dans laquelle 011 entend parler toutes les langues ; bu reaux de renseignements, interprètes, sections étrangères, rien ne manque. On nous vante souvent l’activité, les succès de l’étranger. Visitez donc la Foire de Paris, au mois de mai pro chain, et vous en reviendrez réconfor tés, car, ainsi que le disait le Président D oumergue en parcourant l’immense galerie des machines de la Foire de Paris : « Il faudrait qu’ils voient ce « magnifique spectacle, tous ceux qui « peuvent douter encore de la vitalité, « de la puissance et de l’avenir de la France ». 3637 En présence de faits comme celui qui se déroule actuellement à Londres ils recherché si quelque atténuation pouvait être apportée à ces dispositions. Une nouvelle règlementation a pu être proposée par la Direction régionale, rè glementation que l’Autorité préfecto rale a confirmée dans la lettre ci-après adressée aux Vétérinaires ayant man dat sanitaire dans le département. Le Préfet de l’Oise, à MM. les Vétérinaires ayant man dat sanitaire dans le département. Les arrêtés réglementaires pris en matière de fièvre aphteuse prescrivent pour une exploitation où la maladie a été constatée, (voir annexes mesures A) « que le lait des malades et conta minés ne peut être livré à la consom mation qu’après avoir été soumis à l’é- bullition ou à un procédé efficace de pasteurisation ». Cette mesure a pour but d’éviter que ce produit éminemment contaminable serve de véhicule à la contagion. Si elle doit être strictement observée pendant l’évolution de la maladie, toute déro gation à ce principe risquant de favo riser la propagation à des effectifs sains (notamment de porcelets : lait de ramassage) il est cependant apparu possible., à la. suite d’un échange de Formation du 2e Contingent de la Classe 1929 et du de la Classe 1950

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JOURNAL DE L’ARRONDISSEMENT DE SENLIS

BUREAUX, REDACTION ...ft ADMINISTRATION S H Î M I L . I S — 1 1 , F i a c r e Ü f8 n ? ^ f v r * l i — S i r

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les bu reaux de poste. — 1,’abouneu ien t est payable ™ ” d 'avance e t conliuue de p lein d ro it ju sq u 'à réception

• • ■ i 8 I d'avis contraire .

T.ee A b o n n e m e n t» p a r te n t du de chaque m ole

AnnoUMI léJU Jja .. . ,

Annoneu volontaires.

I .es manuscrits, insérés ou non, ne sont pas renaus

A l’I n s t i tu t io n S a in t -V in c e n t L a C om m ission spéciale avec la Mu-: n ic ip a lité a p ris contact avec les bou­lan g e rs et au cours des d iscussions, la question du portage du p a in fu t de nouveau évoquée,

B ref, une en ten te est in tervenue (sous réserve de l ’app ro b a tio n du Con­seil) au lieu de 75 gr., les b o u lan g ers au ro n t droit à to lérance de m an q u e ­m en t de 200 gr. et le p a in se ra it porté d an s les fau b o u rg s de la V ille : ru e des Ja rd in ie rs , cours T horé-M ontm orency , avenue du M aréchal Poch, V illevert, fau b o u rg S a in t-M artin , avenue F é lix V ernois, rou tes de Creil et de C hantilly , ru e au x Chevaux, les A rènes, les Glo- zeaux, ru e Q uém izet, V illem étrie , St~ E tienne, rou te de N anteu il, etc.

A l’u n an im ité , le C onseil se range à l’av is de la C om m ission. L a date du 1er fév rie r est adoptée po u r la m ise à exécution de cette décision.

M. le M aire fa it conna ître que le p ro je t d ’am én ag em en t du te rra in des S ports n ’est p as à jo u r, et le renvo i à la p ro ch a in e réu n io n est. adopté, non san s querM . E scavy a it fa it conna ître que des tra v a u x d’am élio ra tion vont être en trep ris in cessam m en t en a tten ­d an t que le p ro je t soit à po in t et sou­m is au Conseil. L a C om m ission va se ré u n ir et il fa u t e sp é re r que l’E ta t vou­d ra b ien con tribuer d an s une certa ine m esu re à l’édification du stade qui sera d igne de la V ille de Senlis.

M onsieur le M aire donne la parole à M. B ascher qui dan s un trè s in té ­re ssa n t rap p o rt, signale q u ’il y a lieu d ’am élio re r le m atérie l d ’incend ie de no tre C om pagnie de S a p e u rs -P o m ­p ie rs dont l ’une des c inq pom pes en exercice rem o n te à 1827. A près avoir an a ly sé la s itua tion de ce m atérie l et des accesso ires, sou ligné les d ifficultés de rec ru tem en t du personnel, M. Bas- cher ap rè s avoir p ris l ’av is de M. H en- nequ in , cap ita in e honora ire des S a ­p eu rs -P o m p ie rs et de M. R igault, lie u ­te n a n t co m m an d an t la Com pagnie, propose au Conseil l ’ach a t d ’une m oto­pom pe cen trifuge , san s au g m en ta tio n des effectifs.

P lu s ie u rs m oto-pom pes ont re tenu l’exam en de la C om m ission, l ’une d ’el­les d’une m arq u e très connue sera it d ’un p rix de 29.700 fran cs , les cond i­tio n s de p a iem en t se ra ien t : 1/3 en 1930 et les au tres tie rs en 1931, M. B as- cher fa it re m a rq u e r q u ’un tie rs de la dépense p o u rra it être couvert p a r l’ob­ten tion des fonds p ro v en an t de l’im pôt des C om pagnies d ’A ssu rances, en outre p lu s ieu rs in d u s tr ie ls ont promis^ de p a rtic ip e r à l’ach a t de cette m oto-pom ­pe.

A près in te rven tions de MM. H enne- qu in , T h irion , P ie rra rd , le Conseil dé­cide à l ’u n an im ité l’ach a t d ’une m oto-

I pom pe, vote le créd it n écessa ire et don­ne tous pouvoirs à la C om m ission po u r

| fixer son choix su r une m oto-pom pe, ap rès essa is des m otos des m aisons qui on t fa it des p ropositions.

M. P ie r ra rd fa it conna ître à M. le M aire, qui le p rie d ’en rem erc ie r l ’in i­tia teu r, que M. W is le r va fa ire édifier p rès de son é tab lissem en t, deux e x tin c ­te u rs q u ’il veut b ien m ettre à la d ispo ­sition de la Ville, le cas échéant.

U ne som m e de onze m ille fran cs p ro ­v en an t de su rtax es perçues en trop p a r la C om pagnie du N ord su r les b ille ts de et p ou r S enlis, est devenue d isp o n i­ble, il s ’ag it m a in te n a n t d ’en d é te rm i­n e r l’em ploi. Des p o u rp a rle rs sont en ­gagés avec la C om pagnie du chem in de fe r du N ord et il y a lieu d’en a tten - dre le ré su lta t po u r en sa is ir u tilem en tle Conseil.

La question d ’in sta lla tio n d ’a p p a ­re ils san ita ire s dan s les écoles n ’é tan t p as encore com plètem ent au po in t, elle est renvoyée à la p rochaine réun ion .

M. B ardou signale l ’urgence d i nsi fil­ia tion de w ater-c lo se ts co m p lém en ta i­re s à l’école des filles de la rue de B eau- vais. Cette question est m ise à l’é tu ­de.

L ’A utom obile-C lub de l ’Ile -d e -F ran ce rep résen té d an s no tre rég ion p a r M. le Comte A rn au ld Doria, se p réoccupe très activem ent de la création d ’une p iste cyclable en bo rdu re de la rou te N ationale n° 32, de Sen lis à V erberie, soit su r une d istance de 15 k ilom ètres 500.

A l’u n an im ité , le Conseil vote le p rin - I cipe de sa p a rtic ip a tio n à 1a. créa tion I de ‘cette p iste , sous réserve de fixer I u lté rieu rem en t la p a rtic ip a tio n finan- I cière de la V ille.I M. le M aire fa it co n n a ître que l’Ad- I m in is tra tio n des P. T. T. saisie de la I délibéra tion du C onseil m u n ic ip a l lu i I d em an d an t si elle ne p o u rra it p as en- I v isag er la c réa tion des lig n es té lég ra - I p h iq u e s .e t té léphon iques so u terra ines,1 lu i a fa it savo ir que cette p roposition I ava it été adoptée et que les tra v a u x I co m m en cera ien t au cours du p rem ie r I sem estre 1930.1 M. le M aire fa it vo ter des rem erc ie - 1 m en ts p a r le Conseil au x P . T . T.,I m ais il d em an d e ra que ces tra v a u x I soient en trep ris dès m a in te n a n t pour I être te rm in és pour le 1" m ai, à cause I de la c ircu la tion p lu s fréquen te à p a r- I t ir de cette date.

En ce qu i concerne l’in sta lla tio n I d ’une b a tte rie cen tra le té léphon ique qu i ! avait été sollicitée p a r le Conseil, la I req u ê te a été tra n sm ise à l’A d m in is tra - I tio n Centrale.

U ne d em an d e de subvention du Co- I m ité d ’en ten te des A ssociations d ’A n- ciens C om battan ts de l ’Oise est a jo u r­née.

Le Conseil p roroge p our u n an , c’est- à -d ire ju s q u ’au 30 décem bre 1930, le m arch é des tra v a u x d ’en tre tien p assé avec les e n trep ren eu rs ad ju d ica ta ire s .

Avis favorab le est donné au x d e m a in

TRIBUNE LIBREet, d ’u n e m an iè re rég u liè re e t à peu p rè s p e rm an en te , à Genève, n o u s tro u ­vons deux ca tégo ries d ’in d iv id u s : les scep tiques e t les en th o u sia s te s , ceux qu i d o u te n t e t ceux qu i o n t u n e exces­sive confiance.

Les scep tiques o n t to rt. Ils ne son t p as in té re ssa n ts ; ce son t des hom m es d ’h ie r . T o u s ces pac tes et to u s ces p ro toco les o n t une im p o rtan ce , une ré a lité q u ’il fa u t savo ir co m p ren d re . P lu s se m u ltip lie ro n t des d ém arch es de ce genre , p lu s il y a u ra de chance — to u t de m êm e — d ’év ite r la guerre . S eu lem en t cela ne su ffit p as et c’est ce que ne v eu len t p as ou ne saven t p a s vo ir ceux q u i n o u rr is se n t là -des­sus une excessive confiance. C eux-là san s d ou te son t p lu s in té re s sa n ts p a r ­ce q u ’ils so n t o p tim istes , pa rce q u ’ils c r o i e n t a u p r o g r è s d e . la j u s t i c e , d e l ara iso n , e t som m e to u te de la p itié e t de l ’a m o u r e n tre les hom m es. C’est vers ceux-là q u ’il fa u t a lle r, ce son t ceux-là q u ’ils fa u t éc la ire r p o u r q u ’ils ne so ien t p as des d u pes, c ’est à ceux-là q u ’il fau t d ire : en m e tta n t les choses au m ieux , u n d o cu m en t com m e le pacte K ellogg-B riand , u n e conférence com m e celle de L ondres, si elle réu ss it, ne sa u ra ie n t m a rq u e r u n ré s u lta t ac­q u is u n e fo is p o u r to u tes , elles tém o i­g n en t seu lem en t d ’u n ré s u lta t en m arch e .

A u tre chose est la sim ple h o r re u r de la g u erre , se n tim e n t a ssu ré m e n t légi­tim e m ais qu i p e u t ê tre co nse ille r de lâch e tés et de c a p itu la tio n s san s nom ­b re , ap rè s quo i il n ’est m êm e p lu s possib le d ’ê tre u n hom m e, et, a u tre chose, l ’a m o u r sincère et d irec t de la paix . S ans d ou te il es t p e rm is d ’avo ir h o r re u r de la g u e rre , m ais il e s t m eil­le u r et p lu s fécond de c h é r ir la P a ix et la m eilleu re p reu v e que l’on pu isse a d m in is tre r de ce t am o u r-là , d irec te et p ra tiq u e , c ’est de tra v a ille r à la p acifica tion des e sp r its a u to u r de soi d ’ab o rd et p u is de ch e rch e r su r un te r ra in p ra tiq u e et b ien défin i des oc­casions de ren co n tre , d ’e n te n te et de co llab o ra tio n e n tre les n a tio n s . Ne tra v a ille ra it-o n p a r exem ple q u ’à la « rec tifica tio n m u tu e lle de ces in fo r­m a tio n s te n d an c ieu ses e t défigurées p a r lesque lles on exaspère fa llac ieu se ­m en t les p eup les les u n s co n tre les a u tre s . » (Y. de :1a B riè re ). C’e s t ce q u ’on t ad m ira b le m e n t co m p ris ces ca th o liq u es d ’ac tio n qu i sous la p ré ­sidence de F ran ço is-M arsa l avec des p e rso n n a lité s com m e celles de J e a n B ru n h es , de Z am an sk i, de F é lix de Vogüé, de M. d ’O rm esson se so n t re n ­co n trés à B erlin les 20 e t 21 décem bre d e rn ie r avec des c a th o liq u es alle­m an d s. Ils o n t san s d o u te ren c o n tré b ien des d ifficu ltés, p a rm i lesquelles le fam eu x ra p p o r t de M gr U litzka, m ais on ne p e u t p as d ire q u ’ils n ’a ien t fa it av an cer to u t de m êm e l’idée d ’une m eilleu re co m p réh en sio n et d ’u n e coo­p é ra tio n efficace en tre les d eux n a tio n s ne sera it-ce que su r le te r ra in des œ u v res sociales.

M. B rian d a p u c ite r avec éloge d an s son d isco u rs du 20 décem bre, à la C ham bre, les p a ro les que 1e Com te O b e rn d o rf a p ro n o n cées à la C onfé­ren ce ca th o liq u e de B erlin , d é c la ra n t q u ’il é c a r ta it to u te m od ifica tion de f ro n tiè re s en ce q u i concerne la P o ­logne ob tenue p a r des m oyens de v io­lence e t a u tre m e n t que p a r voie d ’a r­b itrag e .

E t, tou te q u estio n de v aine se n ti­m e n ta lité m ise à p a r t , lo rsq u ’à la fin de la d e rn iè re séance, le colonel P icot, d ép u té de la G ironde, p ré s id e n t des G ueules cassées et le b a ro n von Pa- pen , p ré s id e n t de la dé légation a lle­m an d e , se so n t d o n n é l’accolade, les a s s is ta n ts o n t p u avo ir l ’im p ressio n q u ’il s ’ag issa it là d ’u n v é ritab le b a ise r de paix .

C’est en sa c h a n t ap p réc ie r des dé­m o n s tra tio n s de ce genre à le u r ju s te v a leu r, qu i es t assez g ran d e , c’est en les m u ltip lia n t et en les en co u rag ean t q u e « les peu p les » fa c ilite ro n t le t r a ­vail des d ip lo m ates e t le u r d o n n e ro n t u n e s ign ifica tion réelle et une portée efficace.

A. C h e n e t .

Æ D ans le d isco u rs q u ’il v ien t de p ro n o n c e r à l ’o u v e rtu re de

y y la C onférence N avale de Lon- f d res, M. S tim son , p rem ie r dé légué am érica in , signale que le fa it de « re c o u r ir à des co n fé ren ces in te r ­n a tio n a le s de ce gen re p o u r lim ite r e t ré d u ire les a rm e m e n ts est u n p rog rès ré c e n t d an s les affa ires m ond ia les... »

E t de fa it on use la rg em en t des co n féren ces in te rn a tio n a le s , san s co m p te r ce tte con férence p o u r a in s i d ire p e rm a n e n te q u ’es t l ’o rg an ism e de Genève, n o u s n ’en fin irio n s p as d ’énu- m é re r to u te s celles qu i on t siégé ici o u là d ep u is la fin de la G uerre . Le fa i t se renouvelle avec u n e fréq u en ce et u n e in s is ta n c e v ra im e n t significa­tives. E n u n sens c’est to u t à fa it n a tu re l e t in d isp en sab le p u isq u e les a m u re s p e n d a n te s son t in te rn a tio n a ­les, é tro ite m e n t so lid a ires les u n es des a u tre s . O n ne p e u t les é tu d ie r d ’une m an iè re u ti le que so lid a irem en t e t à p lu s ie u rs ensem ble. M ais ce q u ’il y a de p lu s s ign ifica tif en co re e t de p lu s n o u v eau , c’est q u ’on n ’a tte n d p as de to u s ces C ongrès e t de to u te s ces Con­fé ren ces seu lem en t la so lu tio n de q u es tio n s de d é ta il q u e lq u ’im p o rta n te s q u ’elles so ien t.

O n y p o u rsu it u n ré s u lta t d ’en sem ­ble, u n b u t in fin im en t p lu s im p o rta n t et d ’o rd re p ro p re m e n t h u m a in qu i est l ’abo lition de la g u erre . « Il ne fa u t p a s oub lie r, n o u s d it encore, de L o n ­dres, M. S tim son , que n o tre b u t final e s t la so lu tio n gén éra le de la questio n du d ésa rm em en t, et, p a r su ite , la d i­m in u tio n des d an g e rs de g u e rre . »

V oilà en effet qu i est in fin im en t p lu s im p o r ta n t, p lu s in té re s sa n t et quasi- ïn e n t p a th é tiq u e !

Nous som m es h eu reu x d ’ap p ren d re que le Collège S a in t-V in cen t se p ré ­pare , lu i aussi, à cé léb rer d ignem ent, l’été p rochain , le c inqu ièm e cen tena ire de la m ission de Je a n n e d’A rc e t de son p assag e sous les m u rs de la vieille abbaye royale.

A ux te rm es de la c ircu la ire qui v ient d ’être ad ressée p a r M. le S u p é rieu r au x F am illes, au x A m is et au x A nciens de la M aison, il s ’ag it d ’é riger à la S ain te de la P a tr ie F ran ça ise , d an s la cour d ’h o n n eu r de l’In stitu tion , à u n endro it où les E lèves p a ssen t constam m en t, un m o n u m en t m odeste san s doute, m a is robuste et chargé de sens.

O béissan t à une p ensée de h au te pé­dagogie ch ré tienne on s ’est a rrê tée à l ’idée su ivan te : « Ja ire '-ex écu ter une rédu c tio n de la, « Jea n n e écoulant scs vo ix » de Ghapu. E lle se ra en m arb re ou en bronze, selon les ressources dont on p o u rra d isposer, et encastrée d ans u ne stèle en p ie rre dure. Il en ja il l ira une leçon de tous les jo u rs : « Jea n n e d ’Arc écou tan t ses voix ! Jeu n es élèves écoutez les vôtres : voix de vos p a re n ts et de vos m a ître s , voix de la P a trie et de l ’Eglise, voix de votre conscience et de Dieu ! E lles n ’ont r ien de m iracu leux , m ais elles sont toutes p rov identie lles. »

L ’idée est heu reuse , on le voit, non seu lem en t p a r son élévation, a in si que nous venons le dire, et p a r la poésie qu i s ’en dégage m ais p a r le sens a igu et averti des nécessités p ra tiq u es de l ’éducation : il ne s ’ag it p as de lan cer de p a r le m onde des p a lad in s hypo thé­tiques, m ais de fo rm er des cotoyens et des ch ré tien s u tiles en tiè rem en t dé­voués à l ’E glise et à la P a trie , d an s tou­tes les tâches, obscures ou g lorieuses, qui p euven t se p roposer à leu r ac ti­vité.

Cette fidélité généreuse à la vocation quelle q u ’elle soit et au lab eu r quo ti­d ien de leur fo rm ation civique et re li­g ieuse, se ra très o p p o rtu n ém en t ra p p e ­lée, au x E lèves du v ieux collège p a r l'évocation « en bronze, en castrée d ans la p ie rre dure », de « Jeanne écoutant ses vo ix ».

Nous souhaitons de tout cœ ur à M. le S u p é rieu r de S a in t-V incen t de pouvoir ré a lise r au m ieu x l’excellen t p ro je t q u ’ont acc lam é les A nciens de la M ai­son le 9 m ai dern ier.

« L ’OISEAU RARE » 25 m in u tes de re tard . Telles é ta ien t les paro les sa c ra ­m entelles prononcées, su r le quai de la Gare, à C hantilly sam edi dern ier. Dé­cidém ent le sam edi n ’est pas un jo u r favorable à no tre rap ide g ran d luxe.

Les Employés se dem an d a ien t ce qui pouvait bien re ta rd e r le convoi !... M a­chine neuve, recom m andation spéciale du Comité D irecteur de la C om pagnie, nom breuses dém arches, nom breuses pétitions, etc., etc., et tout é ta it p révu pour la m arche régu lière de 1’ « O iseau Rare ».

M algré cela, le Chef de gare , u n peu nerveux, m o n tra it une certa ine in q u ié ­tude et e ssay a it de percer ce som bre ' i r n 8 s£:- pa ,r 'en effet tout é ta it som bre t ils Cette: HTraïre et vous allez e n avoirla raison.

Le tra in de 17 h. 45 (rap ide g ran d luxe dit O iseau R are) é ta it b ien p a rti de Paris TO U TES LU M IERES ALLU­MEES lo rsqu’en cours de route, crac, une panne d’électricité et il é ta it a rrivé TOUTES LU M IERES E T E IN T E S à Orry-la-Ville. P o u r év iter un nouvel ac ­cident, le tra in s ’était docilem ent ré fu ­gie sur sa voie de garag e hab itue lle et c’est là, que perd u dan s les ténèb res, il était resté : introuvable.

Enfin grâce à l ’écla irage au pétrole de la gare d’Orry, 25 m in u tes ap rè s le tra in enfin retrouvé rep a rta it, vers S en ­lis, heureusem ent s ignalé cette fois, et ram enait tou jou rs avec 25 m in u tes de retard et tou jou rs d an s l’obscurité la plus complète, les voyageurs endorm is.

Une nouvelle pétition , de nouvelles dém arches sont p révues po u r d em an ­der à la Com pagnie de doubler les lu ­m ignons d’O rry-la-V ille (S tation d ’a t­tente) et de déliv rer au chef de gare une doujjle ra tion de pétro le po u r q u ’il puisse en m ettre plein la lam p e et évi­ter le retour de choses au ssi d é sag réa ­bles.

Direction générale des Contributions indirectes

U n concours po u r l ’em ploi de Com­m is (sexe m ascu lin ) des C ontributions Ind irec tes a u ra lieu le 15 m ai 1930.

Le nom bre de p laces m ises au con­cours est fixé à 300.

Ne po u rro n t p ren d re p a rt au x ép reu ­ves que les can d id a ts ay an t accom pli leu r service m ilita ire à la date du con­cours et âgés de m oins de 30 an s au p rem ie r ja n v ie r 1930.

Les conditions gén éra les du concours sont fixées p a r un A rrêté M inistérie l du 5 août 1929, pub lié au « Jo u rn a l Offi­ciel » du 9 du m êm e m ois.

I.i s can d id a ts po u rro n t s ’ad resser pour tous ren se ig n em en ts (pièces a fou rn ir, p ro g ram m e, etc.), au D irecteur des C ontributions Ind irec tes de leu r dé­partem en t, 18, rué île Gesvres, à Beau- vais.

Le reg istre d ’in scrip tio n des can d id a ­tu res se ra irrévocab lem ent clos le 15 m a rs 1930.

L ’H u m an ité , le M onde Civilisé, a- b reu v é d ’h o rre u rs et de souffrances en a assez de la G uerre . P lu s de G uerres ! L a g u e rre h o rs la loi ! E t là dessus, e t p o u r cela : tra ité s , d éc la ra tio n s, p ac te s e t con férences. E t l ’h u m a n ité e n te n d b ien que ce ne so ien t p as là d e va in es sim agrées. Il fa u t que le b u t so it a tte in t. « Nos peu p les n o u s de­m a n d e n t de ré u ss ir , déc la re le m êm e M. S tim son . Ils sav en t quel d ésas tre se ra it p o u r le u rs e sp é ran ces les p lu s chères l’échec de ce tte con férence : ils v eu len t que n o u s réu ss iss io n s . » F o r t b ien ; e t les tech n ic ien s, là -dessus, de se m e ttre à le u r besogne tech n iq u e . L aisso n s-les à le u r tra v a il. Il se dé­ro u le p eu t-ê tre , le u r tra v a il, d an s u n e a tm o sp h è re u n peu artific ie lle . R écep­tio n s, d în e rs , d isco u rs , etc.., r e n tre n t u n peu tro p d an s les « in s tru m e n ts » d ip lo m a tiq u es . Ceux qu i so n t de la « C arriè re » n o u s d iro n t san s dou te que ce son t là des p rocédés nécessa ires d o n t il se ra it m a la d ro it de so u s-esti­m er l’efficacité . Ne voyons-nous p o in t des é lém en ts p eu d ip lo m a tiq u es et san s d ou te p lu s sin cères te ls que M. S ch ach t ou M. Snow den , p ro p re m e n t « rem isés » ou b ien obligés de m e ttre de l’eau d a n s le u r v in ... S ans dou te . M ais n o u s voyons au ss i que l ’op in ion p u b liq u e des d iffé ren ts pay s in té ressés e s t au ss i u n fa c te u r d ’en ten te , ...« Nos p eu p les »... com m e d ise n t ces M es­s ie u rs en sty le L o u is XIV. E t de to u s les fa c te u rs d ’en ten te , de to u s les élé­m e n ts de co llab o ra tio n et de coopéra­tio n qu i do iven t e n tre r en ligne de com pte, c ’est le fa c te u r p o p u la ire , ce so n t les é lém en ts p o p u la ire s qu i nous in té re s se n t le p lu s . Ces é lém en ts-là o n t au ss i le u r devo ir à re m p lir et le u r rô le à jo u e r q u i es t de ta c ilite r la tâch e au x tech n ic ien s e t au x d ip lo m a­tes. S eu lem en t il im p o rte que ces élé­m en ts-là ne so ien t p o in t des d u p es et ils le se ra ien t, s’ils p e n sa ie n t q u ’ils n ’o n t r ie n de p lu s à fa ire q u ’à e n re ­g is tre r so it avec sa tis fac tio n , so it avec scep tic ism e les com ptes re n d u s de p re sse ; s’ils p en sa ie n t s u r to u t devoir to u t a tte n d re , en fa it de g a ran tie s pac ifiques du seu l tra v a il des d ip lo ­m a te s et des tech n ic ien s.

"M ’in sp iran t des te rm es em ployés p a r m on prédécesseur O. B oüduquai, je ré ­pète : La C om pagnie exploite tou t à la fois, le réseau du N ord et la docilité du bon public.

V oyageur p rends patience ou a lo rs : F rère :iî fau t m ourir !

T. H é b r e u x .

A traversfiche ind ica trice se ra p lacard ée tous I , les jo u rs p a r les so ins du Concierge. I B ref, l ’indice actuel donne le p rix de I 1 fr. 25 le m3. C’est ce chiffre que M. le I ! M aire propose au Conseil, en ap p lica - I tion du con tra t passé avec la C om pa- I gn ie du Gaz. I

M. T h irio n fa it ensu ite co n n a ître à I l ’assem blée com m unale que la Ville de I Sen lis est am enée à d onner son avis au I su je t du s ta tu t du p e rso n n e l -de la I C om pagnie du Gaz et de l’E lectricité , I con fo rm ém en t au x lois des 21 et 28 I ju ille t 1928, p a r un av en an t au cah ie r I des charges. D ans un ra p p o rt trè s dé- I t a i l l é , M. T h i r i o n é n u m è r e le s c o n c l u - I sions de la C om m ission co n ce rn an t no- I tam m en l les em plo is réservés au x in - I valides de guerre , les conditions d ’em - I bauchage , de stage, d ’h eu res de trav a il, I des sa la ires, des d iverses allocations I pour m ariag es, décès, n a issan ces, pé- I riodes m ilita ires , acciden ts, p rim es di- I verses, et éven tuellem en t a ssu ran ces I sociales, les congés payés, in d em n ités I de logem ent, d isc ip lines in té rieu re et I ex térieu re, a ssu ran ce invalid ité , etc. I T outes ces charges sociales ap p o rten t I u n fa ib le accro issem en t de fra is d an s I l ’explo ita tion de la C om pagnie du Gaz, I m a is elle£ ap p o rte ro n t p lu s de b ien I être, et de sen tim en t du devoir p ro fes- I sionnel, au ss i le ra p p o rte u r est-il d ’avis I d ’adop ter le s ta tu t du p erso n n e l a in si I présen té .

M. B ascher a y an t dem andé la ra iso n I de l ’in terven tion de la V ille d ans cette I question , M. le M aire fa it savoir que I c ’est en ra iso n de ce que la V ille p er- I çoit, u n ta n t pour cent su r les bénéfi- I ces nets de l ’explo ita tion , et c ’est ce I droit de p a rtic ip a tio n qui lu i donne le I droit d ’in te rven ir. ^ j

A l’u n an im ité , l ’au g m en ta tion du gaz à 1 fr. 25 le m 3 et le s ta tu t du p e r­sonnel sont votés.

M. le M aire rap p e lle à ses collègues q u ’il a été l’ob jet d ’une su p p liq u e des m arch an d s bou langers de S en lis te n ­d an t à m odifier un a rrê té m u n ic ip a l p ris en 1924 au su je t de la vente du p a in de deux liv res court. Ce p a in se p résen te sous tro is aspects, p a in dit fendu , p a in dit « jocko », p a in dit saucisson , q u ’il ne fa u t p as confondre avec le p a in de fan ta is ie long dit de g ran d luxe. Com m e ce p a in court est considéré com m e p a in de fan ta is ie , ils ont dem andé et ob tenu au tre fo is que ce p a in p o u rra it avoir u n m an q u em en t de 75 g ram m es. Or, il y a quelques se­m ain es, M. le C om m issaire de Police ay an t découvert l ’a rrê té de 1924 dans ses arch ives et ay an t ém is la p ré ten tion de le fa ire exécuter, les bou lan g ers fu ­re n t d ans l’ém oi et envoyèren t à la M u­n ic ipa lité une requête d an s laquelle ils d éc la rè ren t q u ’il é ta it im possib le de v en d re ce p a in court, s’ils n ’ob tenaien t

; p as un ab a ttem en t p lu s g ran d .

P h a rm ac ie o u v e rte iDimanche 26 Janvier : M. Bardou, rue

de l'Apport-au-Pain.

Conseil Municipal

8 e rep résen te -t-o n h u it m ille In d u s­trie ls in s ta llan t d ’un seul coup leur m ag asin de vente su r un m êm e poin t ? Les u ns ap p o rtan t leu rs grosses m a ­chines : m ach ines-ou tils , m ach ines d ’im p rim erie , m ach in es à trav a ille r le bois, g rues, élévateurs, etc..., p ièces pe­san t 8, 10, 12 tonnes et p lu s ; d ’au tres in s ta llan t de coquets pav illons dans la Section de l’A lim en ta tion ; certains, d an s le G roupe du B âtim ent, édifiant des m aiso n s à deux étages, a lors que les m odestes, les petits, a rr iv en t seu­lem en t avec quelques caisses, m ais n ’e n p résen ten t p as m oins les objets,, de leu r fab rica tio n avec ce goût, c e tte ' recherche qui sont l’ap an ag e de toutes les m an ifes ta tio n s p a ris ien n es ?

Ja rd in s à l ’entrée, P a la is des Congrès avec la façade la p lu s cu rieuse, vaste re s ta u ra n t dont la g ran d e salle ne com pte pas m oins de 1.520 m è tre s ; b u ­reau des P. T. T., pav illon de l’A dm i­n istra tion , m aison des pom piers, servi­ces de san té , etc., b ref, u n e ville en ­tière, tout de suite anim ée, parcou rue p a r une foule énorm e dans laquelle 011 entend p a rle r tou tes les lan g u es ; b u ­reau x de renseignem en ts, in terp rè tes, sections é trangères , r ien ne m anque.

On nous vante souvent l’activité, les succès de l’é tranger. V isitez donc la Foire de P a ris , au m ois de m ai p ro ­chain , et vous en rev iendrez réco n fo r­tés, car, a in si que le d isait le P résid en t D o u m erg u e en pa rco u ran t l ’im m ense galerie des m ach ines de la Foire de Paris : « Il fa u d ra it q u ’ils voient ce « m agnifique spectacle, tous ceux qui « peuvent douter encore de la vitalité, « de la p u issan ce et de l’av en ir de la

F ran ce ». 3637

E n p résence de fa its com m e ce lu i q u i se dérou le ac tu e llem en t à L o n d res

ils recherché si quelque a tténua tion pouvait être apportée à ces d ispositions. U ne nouvelle règ lem en ta tion a pu être proposée p a r la D irection rég ionale , rè ­g lem enta tion que l’A utorité p ré fec to ­ra le a confirm ée dan s la le ttre c i-ap rès ad ressée au x V é térin a ires ay an t m a n ­d a t s a n i ta i re d a n s le d é p a r te m e n t .

Le P ré fe t de l’O ise,à MM. les Vétérinaires ayant m a n ­dat sanita ire dans le départem ent.

Les a rrê té s rég lem en ta ires p ris en m atiè re de fièvre aph teuse p rescriven t p o u r une explo ita tion où la m alad ie a été constatée, (voir an n ex es m esures A) « que le la it des m alad es et conta­m in és ne p eu t être livré à la consom ­m ation q u ’ap rès avoir été soum is à l’é- bu llition ou à un procédé efficace de p asteu risa tio n ».

Cette m esu re a po u r bu t d ’éviter que ce p ro d u it ém in em m en t con tam inab le serve de véhicule à la contagion. Si elle doit être s tric tem en t observée p en d an t l’évolution de la m alad ie , toute déro­gation à ce p rin c ip e r isq u a n t de favo­r is e r la p ropag a tio n à des effectifs sa in s (no tam m en t de porcelets : la it de ram assag e) il est cep en d an t ap p a ru possible., à la. suite d ’un échange de

Formation du 2e Contingentde la Classe 1929

et du de la Classe 1950

Page 2: A travers - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1929-1930/bms_js_1930_01_26_MRC.pdf · peurs-Pompiers et de M. Rigault, lieu tenant commandant la Compagnie, propose au Conseil l’achat

COURRIER. DE L’OISE

des de su rs is d ’in co rpo ra tion fa ites p a r M. R obert H enry et p a r M. C harles Doria.

P lu s ie u rs p ropositions é ta ien t fa ites au x m em b res du Conseil au su je t :

1° De la créa tion de je to n s de p ré ­sence ;

2° D’une carte m u n ic ip a le ;3 “ De la création d ’un insigne .En ce qui concerne les je to n s de p ré ­

sence, la question est a jo u rn ée sine d ie; m a is p a r contre, on adopte la c réa ­tion d ’une carte m u n ic ip a le don t un p ro je t est soum is. Q uan t à l ’insigne , M. T u rq u e ! v e rra à P a r is les d ifféren ts m odèles qu i ex isten t, et d an s sa p ro ­cha ine séance, le Conseil décidera.

U n Comité est désigné po u r l’édifi­cation de la p laque m ém oria le au M a­réch a l Foch.

P ré s id en ts d ’h o n n eu r : M. le Sous-P r é f e t , M g r D o u r le n t , M . le C o lo n e l du 4" S p a h i s .

M em bres : MM. E scavy, m a ire ;L ouâ t et H ennequ in , ad jo in ts ; MM. B ardou, C hastel, T u rq u e t, L epape, Ga- zeau, H allo, conseille rs m u n ic ip a u x ; MM. A ndré de M aricourt, Comte A r- n au ld Doria, D em oinet, Ju lien , MM. les D irecteurs des Ecoles de G arçons de la

' V ille.M. le M aire fa it p a r t d ’une lettre de

rem erc iem en ts de M. de L aporte po u r la subven tion votée au Com ité de la Croix- Rouge.

Le Conseil ad m et la dem ande de ré ­trocession de concession à perpétu ité , fa ite p a r une fam ille , m o y en n an t les cond itions adm ises p récéd em m en t d a n s un cas sem blable .

M me M yrisk i a fa it co n n a ître que l ’a ss is tan ce m édicale g ra tu ite a fixé le ta u x des accouchem ents à 120 fra n c s ; c’est d ’a illeu rs le p rix syndical des s a ­g es-fem m es du d ép artem en t de l’Oise. Le Conseil donne avis favorable.

M. le M aire donne co n n a issan ce au C onseil du relevé de fin d ’an n ée du service des tra v a u x avec les cam ions m u n ic ip au x , il en -resso rt u n e économ ie de 15.473 fran cs, et a jo u te M. le M aire, le service est fa it à la sa tisfac tio n gé­né ra le . < || m m

M. P ie r ra rd 's ig n a le le m au v a is éta t d e s v i t r e s a u m arch é S a i n t - P i e r r e e t M . L ouât des bois à ré p a re r à no tre Ca­th éd ra le . M. le M aire a d é jà écrit au re p ré se n ta n t de l ’arch itec te en chef des M onum en ts h isto riques, h a b ita n t N oyon, m a is voilà, il n ’ava it que... 1.050 fra n c s de créd it ! Le Conseil p ren d une nouvelle délibéra tion pour s ig n a le r à l ’A d m in is tra tio n cette s itu a ­tion .

M. R oger B arb ie r se fa it l ’in te rp rè te des do léances des bouchers e t ch a rc u ­tie rs qu i vou d ra ien t ob ten ir certa ines am élio ra tio n s à l’abatto ir, ils co n tri­b u era ien t, dit-il, à la dépense. M. H en­neq u in et M. F auve t ex am in ero n t cette question et le Conseil s ta tu e ra e n su i­te.

Le Conseil n ’a p as encore fa it son choix po u r d é te rm in er la ru e ou l ’ave­n u e qu i p o rte ra le nom de G eorges Cle­m enceau . Ce choix n ’est guère facile , il co n v ien d ra it p lu tô t de d onner ce nom à u n e voie nouvelle.

M. B arb ie r s ignale q u ’u n chem in co n d u isan t à la sen te S a in t-U rb a in , a é té récem m en t b a rré . B onne note est p rise de cette question .

M. F rig au lt dem ande q u an d a u ra lieu 1a, réfec tion de la ru e de la M ontagne S a in t-A ig n an . M. le M aire fa it con­n a ître que c’est u n gros tra v a il à en ­trep ren d re , m a is q u ’il en p ren d note p o u r d o n n er sa tisfac tio n au p lu s tôt a u x h a b ita n ts de ce q u artie r.

M. L esage dem ande où en est la question des can iv eau x d an s la ru e des Ja rd in ie rs . M. le M aire d it q u ’un de ceux-c i va être in cessam m en t cons­tru it, on v e rra l’effet p rodu it, afin de dé­te rm in e r com m en t les au tres p o u rro n t l ’être.

M, L ouât sig n a le à M. le M aire, la fo n d riè re ex is tan t su r un petit che­m in en tre le petit sq u are p rè s le b â ti­m e n t des S ap eu rs -P o m p ie rs et le m u r de l ’Hôtel R idard . Des m esu res vont 'être p rises po u r y rem éd ier.

M. L epape fa it co n n aître q u ’une p a r ­tie du tre illage p rès du pon t de la route de C répy est tom bée, ce qu i est u n d a n ­g e r p ou r les en fan ts . Le n écessa ire se­r a fa it au p rè s de la C om pagnie du N ord afin de rem éd ie r à cette s itu a ­tion . 1 i

M. L ouât d em an d e à M. le M aire s’il ne c ro ira it p a s utile de fa ire fa ire une enquête a u p rè s des fam ille s des v ic ­tim es civiles du 2 sep tem bre 1914, afin de ré u n ir les co rps dan s u n e seule to m ­be. M. le M aire fe ra le nécessa ire à cette fin.

R ien n ’é tan t p lu s à l ’o rd re du jo u r, le Conseil aborde le Comité secret.

L.

Impôt général sur le revenuLes h a b ita n ts sont in fo rm és que des

feu illes de d éc la ra tion d ’im pôt su r le revenu sont à leu r d isposition à la M airie.

Union Commerciale et Industrielle de Senlis et Région

T ous les C om m erçan ts ad h é ren ts ou non sont inv ités à a ss is te r à l’A ssem ­blée gén éra le de l ’U nion C om m erciale et In d u strie lle de S en lis et R égion qui se tie n d ra le d im anche 26 ja n v ie r , à 15 h eu res 30, g ran d e salle de la M airie, sous la p résidence de M. Escavy, p ré s i­den t d ’honneur.

O rdre du J o u r :1° R apport m oral p a r M. B ascher, p ré ­

sident.2° Com pte ren d u fin an c ie r p a r M. L e­

sage, trésorier.3° R ap p o rt du C om m issaire au x com p­

tes p a r M. P ie rra rd .P re n d ro n t la paro le :M. B onnefoy, C onseiller ju r id iq u e de

la C onfédération des G roupem ents C om m erciaux et In d u s tr ie ls de F ran ce su r les « D égrèvem ents et les A ssu ra n ­ces Sociales ».

M. M aunv, P ré s id en t de la F é d é ra ­tio n des G roupem ents C om m erciaux et In d u str ie ls de l’O ise su r « l’Action S y nd icale ».

M. L egrand-D allix , su r lès v R ap ­p o rt du C om m erce ci .h: T o u rism e ».

B A N Q U E TLe 3" b an q u e t an n u e l au ra lieu le m ê­

m e jo u r à 19 h eu res 30, à l ’Hôtel du G rand Cerf.

Le p e tit o rchestre de l ’H arm on ie m u ­n ic ipa le sous la d irection de M. M ou­che, p rê te ra son concours.

Il se ra su iv i d ’une sau te rie avec jazz.P r ix : 40 fran cs .Les dam es sont tou t p a rtic u liè re ­

m en t invitées à ho n o rer de le u r p ré ­sence cette soirée am icale .

Le C om ité.

Syndicat d’initiativeSéance du m a rd i 14 ja n v ie r 1930Le Comité du S yn d ica t d ’in itia tiv e

« E S S I » s ’est ré u n i le m ard i 14 ja n v ie r 1930, à son siège, p lace de la Gare, à 20 heures. 30, sous la p résidence de M. H. D em oinet.

E ta ien t p résen ts : MM. Escavy, m a i­re, p ré s id en t d ’h o n n eu r, H. D em oinet, Louât, D ischgand, Ju lien , A. L anglois, P ie rra rd , Hallo, B ascher, L epape, W o n - d rak , F royer, D espatin , Fonteix , V i- gnon, L epetit, B oissayp M ercier, B our­don, C a m u s .

S ’éta ien t fa it excuser, MM. le Sous- P réfe t, V erm orel, L egrand , I. P révost.

Le S ecré ta ire donne lec tu re du p ro ­cès-verbal de la dern iè re réu n io n qui est adopté à l’u n an im ité et san s ob­servations.

M. D ischgand, secré ta ire généra l, ne p o u v an t p lu s a ssu re r le service du S e­c ré ta ria t p a r su ite du trav a il de p lu s en p lus ab so rb an t à la M airie, a de­m an d é au S ynd icat d ’in itia tiv e de pou rvo ir à son rem p lacem en t, la p ro ­position de M. D ischgand é tan t p le i­nem en t justifiée, le P ré s id e n t a proposé au Comité d ’in v estir de ce m an d a t M. L epetit Lucien, ren tie r, cette p roposi­tion a été acceptée à l ’u n an im ité , M. L epetit rem erc ie le Com ité de cette m arq u e de confiance et l ’a ssu re de tou t son dévouem ent à la cause du S y n ­d ica t d ’in itia tiv es . En reco n n a issan ce des serv ices re n d u s p a r M. D ischgand, le Comité le p roclam e secré ta ire géné­ra l honora ire .

La Route. — Le v irage de S a in t-F ir- m in , les tra v a u x soqt en trep ris a in si q u ’à la descente de V in e u i l l e re c h a r­gem en t se ra fa it cette année.

De m êm e po u r la rou te de Crépy, ré ­p a ra tio n s vont être faites.

Le viçage de M algenest n ’a p as étépris sur une assez grande longueur, il va être revu.

Route de Surv illio rs à F on ta ine , t r a ­v aux qui coû teron t trè s cher, il sera fa it 1.500 m ètres en tre le pavé d ’A ves- nes et M ortefontaine.

P la illy -S u rv illie rs , 3 k ilom ètres 500 en m au v a is état, la m oitié soit 1.750 m è­tres sont su r l ’Oise et l ’au tre m oitié en Seine-et-O ise. S u r l’Oise, il se ra fa it 500 m ètres d ’abord, il se ra écrit en Sei­ne-et-O ise, à l’In g én ieu r en Chef du Service V ic inal à V ersailles.

Route de N an teu il ; à V illers-C otte- rêts, tra v a u x trè s coûteux, au cu n c ré­dit n ’est p révu à cet effet, m êm e pour 1930.

i Route de Greil à P on t, pas du resso rt I de la subd iv ision de S en lis des trav au x I son t entrepris.-

Route de V ille rs -S a in t-F ram b o u rg à F leu rin es a p p a rtie n t au x com m u n es où il en se ra écrit.

L a rou te N ationale de P a ris se ra ré ­p arée p o u r P âq u es su r l’Oise, il, sera écrit à la P ré fec tu re de V ersailles, pour la p a rtie de Seine-et-O ise.

R ue de la R épublique, r ie n n ’est p ré ­vu po u r la te rm in er, le S y nd ica t d ’in i ­tia tive éc rira à l’In g én ieu r en Chef à B eauvais.

Com m e il est constaté jo u rn e llem en t que d e s-c a v a lie rs spah is em p ru n ten t les côtés de la rou te et souvent m êm e les p rom enades, au lieu de re s te r su r la chaussée, une le ttre se ra ad ressée à M. le Colonel de S a in t-M au rice po u r q u ’il donne des o rd res en vue de fa ire cesser cet éta t de choses.

Fête aé rien n e pro je tée po u r ju in ou ju ille t, M. M auger du Centre du B our- get est v enu v isite r le te rra in de M al­genest qu i p o u rra it conven ir po u r cette m an ifesta tio n , une dem ande va être a- dressée à M m e la BarQnne de F orest p o u r nous pe rm ettre de d isposer de son te r ra in u n ap rès-m id i.

M. L anglo is a rem is au S y nd ica t to u ­te u n e collection de vues de Sen lis que nous p o u rro n s envoyer en location au x S ynd ica ts de la R égion P a ris ie n n e et d ’a illeu rs , et à tou tes au tre s d em an ­des.

S. T. A. 11. N. — L a Société ne p re ­n a n t dan s les au tobus que les billets de ou po u r P a ris , en rem p lacem en t des tra in s su p p rim és de P a ris à 14 h. 30 et de S en lis à 16 heures, les b ille ts v en an t du N ord ne sont pas va lab les pour l ’A utobus, une dem ande va être a d re s ­sée à la S ta rn en vue d ’ob ten ir la v a ­lidation p o u r l’au tobus des b ille ts de ou p o u r le Nord.

U n a rrê t est p rom is p lace des A rè­nes, les in stru c tio n s son t im m in en tes au re p ré se n ta n t de la Société à S en ­lis.

M. H allo s ignale que le tra in p a r ­ta n t de P a ris à 17 h. 45 est encore garé assez souvent p ou r le p assag e de l ’Oi­seau Bleu, t ra in p a ssa n t à C hantilly à 120 k ilom ètres à l’heure, la situation est trè s am élio rée p a r su ite d ’heu reu ses m esu res p rise s p a r l ’a d m in is tra tio n du Nord, et le g a rag e va être à p résen t trè s ra re .

C artes d ’ab o n n em en t ouv rie rs de Cré­py à Senlis, dem ande re fu sée . M. le D éputé V assa l a p rom is d ’in te rv en ir au M inistre des T rav au x P ub lics.

B ouquet p rov incia l. — Les su b v en ­tions a rr iv en t nom breuses et la réussite de cette fête s ’an n o n ce com m e u n su c ­cès. U n in d u strie l S en lisien auq u el le P ré s id en t a ren d u v isite lui a d it que s ’in té re ssan t à la V ille de S en lis et au S y nd ica t d ’in itia tiv e , il d isposera it d ’une som m e im p o rtan te an n u e lle q u ’il re m e ttra it au S y n d ica t à ch arg e p a r lu i de fa ire ces a ttrib u tio n s de subven tions au x Sociétés locales, po u r les fê tes et les m an iesta tio n s, b ien en tendu ces a t­trib u tio n s se ro n t soum ises à l’ag rém en t du g én éreu x donateur. U ne subvention s e r a a t t r i b u é e a u b o u q u e t p r o v i n c i a l qui a u ra lieu le d im an ch e I I m ai. M. L ouât annonce q u ’u n e g ran d e fête re ­lig ieuse a u ra lieu le d im an ch e p récé ­dent, 4 m ai, des évêques et le nonce aposto lique doivent y assister.

Le ca len d rie r des fêtes de 1930 é tan t dem andé de partou t, il va être é tab li et envoyé au x d em an d eu rs .

M. L egrand D allis d e m a n d a n t des photos de S en lis et env irons, des cartes postales vont lu i être envoyées.

U n encom brem en t d’im m ondices le long du m u r de S a in t-Jo sep h su r le cours T horé-M ontm orency p a ra is sa n t an o rm al, une dem ande se ra ' ad ressée au x P on ts et C haussées.

Les chaises fo u rn ies p a r M. R ous­seau ont été trouvées trè s b ien.

Fou illes au m on t Galipet, le p rom o­te u r de ce p ro je t a p ris rendez-vous

avec M. Ju lie n po u r exam en du sous- sol en vue de grottes en perspective.

U ne p laque ind ica trice de Citroën fau b o u rg S t-M artin , a été renversée p a r le vent. M. F auve t va en être in fo r­mé.

L ’o rd re du jo u r é tan t épuisé et p er­sonne ne d em an d an t la parole, la séan­ce est levée à 22 heures.

Le Président,H. Demoinet.

Association Amicale des Anciens Elèves de l’Ecole Publique des Garçons de SenlisLes M em bres p a rtic ip an ts de cette

A ssociation offriront, les m ard i 4 et jeu ­di 6 février, à 20 heu res 30, am tb ^ çm ^m u n ic ip a l, une soirée ré c i^ à tlv T a îe u rrM em bres h o n o ra ires et aux f a m i i F S des Sociétaires.

Le p e tit o rchestre de l’H arm onie /mu­n ic ipale , sous la direction de son dé­voué Chef, M. Mouche, p rê te ra s o n con­co u rs au x organ isateurs.

Au cours de la soirée un groupe de g y m n aste s a p p a r te n a n t’à notre vieille .Société locale « Le Réveil » exécutera d ifférentes poses plastiques, à la m ise a u . po in t desquelles, son infatigable m o n iteu r chef, M. G rim bert, vient de co n sac re r ses dernières répétitions.

L a location se fera com m e d’usage chez M. A. Boullet, 6, ru e Saint-H i- la ire , ou l’on pourra se présen ter m u n i de l ’inv ita tion le sam ed i 1” février, p o u r la séance du 4 et le m ardi 4 fé ­vrier pour celle du 6 .

Tombola du lim bre AntituberculeuxListe des num éros gagnants

Les p erso n n es ay an t gagné, des lots sont in s tam m en t p riées de ven ir les re­tire r avant le 1° février.

A cet effet, le Comité se tiend ra à leu r d isposition , au D ispensaire d ’Hy- g iène Sociale, (5 rue S ain t-Joseph , à S en tis : le m ard i 28 jan v ie r, de 2 heu­res à 5 heu res et le vendredi 31 ja n ­vier, de 9 heu res à m id i et de 2 heures à 5 heures.

ü/lédailles d’honneur AgricolesLa m édaille d ’h o n n eu r agricole a été

conférée dan s l 'a rro n d issem en t de Sen­lis, au x p e rso n n es c i-ap rès d é s ig n e r, ,

M m e F ranço is, née M arguerite Du- b renet, à C répy-en-V alois.'

MM.Je a n Brille, à A villy-St-Léonard.E dm ond M élaye, à Crépy-en-Valois.A lexandre V ern ier, à C répy-en-V a­

lois.Nos félic ita tions.

Dans la MagistratureM. H enri F rigau lt, ju g e de paix de

Doudoville et Yerville, est nom m é juge de p a ix de P av illy et D uclair (Seine-In­férieu re).

Société de secours-mutuels de Saint-François-Xavier

La réu n io n m ensuelle au ra lieu de­m ain d im anche, à 18 heures, dans la g ran d e salle de la M airie

Assistance JudiciaireL a réu n io n m ensuelle du Bureau

d ’A ssistance Ju d ic ia ire a u ra lieu au ­jo u rd ’hui, sam edi, ..à 14 heures, salle de la Ju s tice de Paix.

37 2.429 4.832 7.223 9.61389 2.473 4.855 7.258 9.667

109 2.550 4.919 7.340 9.705196 2.600 4.957 7.358 9.7,88235 2.645 5.049 7.441 9.828300 2.683 5.064 7.456 9.898 j339 2.734 5.143 7.549 •\ < « .306 2 . 7 8 3 5 . 1 8 4 7 . 5 0 » 9.961434 2.838 5.237 7.601 10.015482 2.874 5.268 7.656 10.088511 2.925 5.328 7.750 10.146565 2.977 5.374 7.761 10.178631 3.012 5.414 7.836 10.234698 3.070 5.478 7,886 10.254709 3.144 5.540 7.910 10.334792 3.155 5.567 7.987 10.388832 3.219 5.618 8.027 10.448869 3.261 5.699 8.075 10.459950 3.350 5.737 8.113 10.508962 3.400 5.755 8.183 10.575

1.040 3.425 5.817 8.227 10.6381.082 3.480 5.878 8.279 10.6601.136 3.511 5.940 8.330 10.7131.184 3.561 5.976 8.381 10.7581.208 3.615 6.031 8.445 10.8141.297, 3.699 6.085 8.473 10.8541.338 3.723 6.129 8.533 10.9231.390 3.758 6.166 8.574 10.9921.449 3.842 6.230 8.617 11.0281.463 3.866 6.299 8.685 11.0741.502 3.946 6.320 8.735 11.1231.573 3.989 6.388 8.797 11.1921.639 4.029 6.449 8.814 11.2421.684 4.096 6.490 8.86.3 11.2721.713 4.139 6.515 8 .9 U I L . g r i z C

1.763 4.181 6.587 8.955 11.3771.803 4.219 6.630 9.047 11.4391.890 4.285 6.670 9.056 11.4601.908 4.321 6.710 9.136 11.5311.954 4.369 6.794 9.154 11.5722.013 4.445 6.828 9.208 11.6082.092 4.493 6.856 9.273 11.6732.144 4.525 6.909 9.317 11.7442.168 4.568 6.996 9.375 11.7652.237 4.621 7.001 9.427 11.8042.293 4.674 7.063 9.498 11.8942.345 4.746 7.102 9.547 11.9342.381 4.774 . 7.182 9.558 11.985

Club Sportif SenlisienM atch du 19 ja n v ier 1930, à S e n lis

U. S. B alagny (1), bat C. S. Sen lis (1) p a r 3 bu ts à 1.

Ce dern ie r m atch de ch am p io n n a t, favo risé p a r un tem p s superbe fu t d is­pu té devant de nom breux spec ta teu rs.

Sen lis m arque de suite, m ais B a la ­gny égalise et p rend l’avance. C’est ensu ite la rééd ition hab itue lle : les S en lisiens dom inent, m ais ne m a rq u e n t p as ; à no ter p o u rtan t d eux shoots a r ­rê tés p a r la ba rre ; B alagny réu ss it un tro isièm e bu t vers la fin. On escom ptait u ne revanche des S en lisiens, c ’était m éco n n aître les v isiteu rs.

Ceux-ci m on trè ren t, avec un c ran vque les S en lisiens ignorent, ce que peu t l a i r c u n « onze » vif et décidé ; Senlis

de m eilleu rs jo u eu rs 'que B a­lagny , p ris ind iv iduellem ent, m ais l ’en ­sem ble d im anche était in fé r ie u r au x v isiteurs.

Cette année les S en lisiens se c las­sen t 4e, ex-æ quo avec S a in t-S au v eu r et B alagny . Ils pouvaien t p ré ten d re à m eilleu re p lace sans le d é fau t cap ita l d ’une ligne d ’avan ts ne sach an t m a r­quer.. L ’équipe, modifiée p a r su ite des d ép arts de M artin, V aldener et M inart, doit s ’em ployer à acq u é rir une hom o- génité qui lui a tou jou rs m anquée.

A. C.U. S. G ouvieux (1) bat' C. S. S. (2),

p a r 6 bu ts à 0.E n lever de rideau du m atch de

cham pionnat, la 1™ équipe de Gou- vieux s ’a ssu re une victoire facile su r une équipe in fé rieu re dont la défense fu t surtou t le po in t faible.

E. S. C ham anta ise ba t C. S. S. ( ju ­niors) p a r 1 à 0 su r penalty .

&Matclies du 26 ja n v ier , à S en lisA 13 heures : E. 8 . C ham an ta ise con­

tre C. S. S. (jun io rs).P lus en tra în és et au ss i p lu s sc ien ti­

fiques, les ju n io rs du C. S. S. doivent d im anche p rochain , p ren d re l ’avan tage

spuc up ad v ersa ire p lu s fo rt a thé lique- OT„nt.

A 14 h e u r e s 30 : IJ. S. C re i l -S a in t - Ju s t (2), contre G, S. S. (2).

Si toutefois nos vo isins de Greil ne fon t p as com m e la dern iè re fois, la p a rtie q u ’ils doivent d isp u te r contre la seconde équipé du G. S. B; s ’annonce très ouverte.

Les locaux dont l’équipe sera re n fo r­cée p a r tro is jo u eu rs de p rem ière équ i­pe, doivent se m ieux com porter que ces tem ps derniers.

Si le tem ps est beau, cette rencon tre m érite ra d ’être suivie.

Visite des fours et chem inées^Les h a b ita n ts sont in fo rm és que la

visite des fours et chem inées sera faite d ans la V ille et les faubourgs, à p a r ­tir du 24 jan v ie r.

Pour les Jours GrasU ne in d iscré tion nous p e r m e t , d’an­

noncer que la Section des Jeu n es de Sen lis qui nous a ch a rm é l ’h iver der­n ie r p a r sa belle séance, donnera cette année une rep résen ta tio n le dim anche g ras, 2 m ars . Les titres desjo ièces sont trè s p ro m etteu rs ■.J^JfN 'llon du Foyer du rép erto ire d iT théaR ’e N ational' de l ’Udéon et D ix F ù ivs dans un Pré.

T ous les S en lis ien s au ro h t à cœur d ’a ss is te r à cette séance.

N ous donnerons dan s nos prochains num éros du Courrier de l’Oise, de plus am ples déta ils e t tous les renseigne­m en ts n écessa ires.

Championnat MilitaireP o u r la p rem ière fois à Senlis, nous

au ro n s le p la is ir de voir se d isp u te r au te rra in des Sports, boulevard P asteu r, le jeu d i 6 fév rier p rochain , à 14 h eu ­res, le ch am p io n n a t in te rrég io n a l qui m e ttra au x p rises l’excellente équ i­pe du 51” rég im en t d ’in fan te rie de

B eauvais et le « onze » du 4” rég im en t de S pah is m arocains, de S enlis, dans lequel D an tung et ib an èz tien n en t re s ­pectivem ent les p laces d ’av an t-cen tre et arrière-d ro it.

. U n a rb itre officiel du d istric t Oise d i r ig e ra cette im p o rtan te rencontre.

Dates à retenirNous ap p ren o n s q u ’au x dates p ro ­

chaines des 11, 12 et 13 février, au cours de tro is soirées, sera donné dans no tre salle de théâtre , le film d é jà cé­lèbre, tiré du c h a rm a n t ouvrage de M me A crem ent Ces D am es a u x Cha­p ea u x verts.

La p lu p a rt de nos concitoyens ont lu ce savoureux rom an ; ce rta in s n ’ont pas oublié que le cadre em p ru n té pour le film est notre cité S en lisienne ; tous, se p ressero n t a u ' spectacle in te rp ré té avec un a rt dé licat d ’un S en lis où ils retrouveron t su r l’écran leu r ca th éd ra ­le, leu rs rues, leu rs m aisons, leu rs cours, leu rs ja rd in s et avec une joie p lus vive encore ce rta in s S en lisiens et... ce rta in es S en lisiennes.

A propos d’une escroquerieNous recevons la le ttre su ivan te :

M onsieur le R édacteur,J ’ai lem egret de vous an n o n cer que

votre in fo rm atio n co n cern an t le su je t belge Verloove, condam né p a r le P a r-

-quet d ’A rras est en p artie inexacte. ̂ Cet ind iv idu n ’éta it p as de passag e

à Senlis, m ais il y h ab ita it rég u liè re ­m ent depuis p lu s d ’un an.

Il avait trav a illé p en d an t p lu s ieu rs mois chez u n e n tre p re n eu r de tr a n s ­ports et de charbons, p rès de la Gare. Celui-ci l ’avait déclaré rég u liè rem en t au service des é trangers.

Il h ab ita it seu lem ent depuis 24 h eu ­res à l ’Hôtel de N orm andie. C’est à la vue de sa fiche d ’hôtel que les services de la police se sont inqu ié tés de lui.

Il n ’a p a s 'é té a rrê té chez moi, m ais il s ’est p résen té lu i-m êm e au C om m is­sa ria t où il a été m a in ten u en état d ’arresta tio n .

E n fa it de quoi je vous dem ande une rectification dans votre journal.

Recevez M onsieur le R édacteur, m es sa lu ta tio n s em pressées. ■

R. G ap, n i fui,Hôtel de N orm andie.

Dans les PerceptionsM.; G aurier, percep teur de C hôm ant,

en résidence à Senlis, v ient d ’être éle­vé su r place, au 2e échelon de la l 1'" classe.

N ous lu i ad ressons nos p lu s vives félicitations.

Coup doubleRue Sainte-G eneviève, on a a rrê té en

flag ran t délit de m end ic ité et ivresse le m an o u v rie r R ené S p ilers , 32 a n s ’ sa n s dom icile fixe.

P rocès-verba l a été dressé.

Société Colombophile « Le Martinet Senlisien »

Liste des nu m éro s sortis au tirage de la tom bola du 12 ja n v ie r 1930 de la Société C olom bophile « Le M essayer de L iberm on t ».

5224 3026 160 9343 5842 8217 1141 9338 4310 653 1198 2006 5070 5468 8280 9791

112 5776 4986 5234 5071 5672 2903 485 4121 9341 5636 5633 3352 4956 5078 2806 5584 8258 5651 8903 1972 3337

Tableau d’avancement 1930Cavalerie - A rm ée active

P o u r le g rade d ’ad ju d an t-ch e f, M. M artin , du 4" S pah is m aro ca in s (ser­vice gén éra l ; M. R enaud, du 4e S pah is m aro ca in s (em ploi spécial).

Bal des Jeunes GensLes o rg an isa teu rs du Bal des Jeu n es

Gens sont p rié s de se ré u n ir le m er­cred i 29 jan v ie r , à 20 heures 30, au Café du T héâtre .

Cette réunion- a po u r ob jet le règ le ­m en t de com ptes de la soirée du 18 ja n v ie r .

— — «---------

Sport Vélocipédique SenlisienLe p rix B alochard , C ress-G yclo-Pé-

deslre d ép artem en ta l o rgan isé d im a n ­che d e rn ie r 19 ja n v ie r p a r le S. V. S en ­lisien , a p le in em en t réu ss i g râce au beau tem p s qui a favorisé le tracé et la course.

Les opéra tions p ré lim in a ire s du dé­p a r t se sont déroulées au siège du S. V. Senlis, Café du Com m erce, et ap rès un d ern ie r appel rue au x Chevaux, M. B alochard donne le d ép a rt à 14 h. 30 au x 26 cou reu rs qui é ta ien t engagés et p a rm i lesquels se tro uva ien t les fines pédales de rO ise ,

Le d ép art fu t ex trêm em en t rap ide et les L ioiinet, B ernard , G allard et con­sorts se d is tin g u èren t ; à la sortie de la fo rêt le peloton en filé .ind ienne t r a ­versé les 900 m ètres de te rres labourées et G allard Lucien m en a it su iv it à q u e l­ques longueurs de D enis Opdenhove, F ou illeux , T erro ine, etc.

1 Au p rem ie r passage , G allard est to u ­jo u rs en tête, m ais au deuxièm e tour,

1 à l’en trée de la forêt, deux jeu n es, O pdenhove et Denis, se sauven t et p re n ­n en t 100 m ètres d ’avance. O pdenhove lâch era D enis dans les te rres labourées et te rm in e ra p rem ier, trè s fra is , avec 200 m ètres d ’avance, g a g n a n t a in s i le superbe p r ix offert p a r M. B alochard , le dévoué chef délégué spo rtif du dé­p a rtem en t de l ’Oise,

R ésu lta ts techn iques :I 1", O pdenhove (S. V. S enlis), cou­

v ran t lés 18 k ilom ètres en 35 m inu tes,•2*. D enis (B eauvais).3“, G allard Lucien (S. V. Senlis).4”. F ou illeux (C. C. Creillois).5". L etellier (S. V. Senlis).6”. Collerv (C. C. Greil).7”. Collerv M., (C. C. Creil).

1 8". F ay a rd (S. V. Senlis).9°. C harles (S. Y. Senlis).

' 10°. D andeville (C. C. Creil).Bonne o rgan isa tion du S. Y. Senlis,

tracé p a rfa it, contrô les assu rés avec soin p a r MM. Bon tem ps, Neveu, Bri- ziou, Coulon.

| Ail d ép art et à l ’arrivée, MM, Balo­chard , chef délégué, Goudray, délégué M ilitaire, Bollé, G uizelin, B unel, etc., du S. V, Senlis. B eaucoup de m onde su r tou t le parcou rs.

A.R éun ion sur p iste

La prem ière réu n io n de p ro p ag an d e que le S. V. S en lis o rgan ise po u r les coureurs du d ép artem en t de l’Oise, li­cenciés toutes catégories U. Y. F., au ra lieu le d im anche 13 avril, su r le Vélo­drom e de Senlis.

Les engagem en ts seron t g ra tu its sau f p o u r la cou rse de la M édail le , vu lesengagem en ts com portan t le dossard

pour la saison 1930.; Le p ro g ram m e qu i com pose celte

p rem iè re réu n io n , sera a in s i rép a rti.Course de la M édaille (d ébu tan ts et

: 4“ catégorie ; v itesse toutes catégories ; P r ix d ’ouverture , p rix 130 fran cs. In ­div iduelle (P rix H équette, 5 k ilom ètres avec c lassem en ts tous les 5 tours, p rix 100 fran cs.

P rix de P âques, am érica in e une h eu ­re, p rix : 320 fran cs , p lu s p rim es.

Consolation réservée au x coureurs n ’ay an t r ien gagné d an s la réu n io n ; é lim ination tous les tours, p rix : 50 fr.

Théâtre Municipal CinémaP ro g ram m e des 25 et 26 ja n v ie r 1930

Sam edi, soirée à 8 h. 45 D im anche, M atinée à 2 h eu res 45

Soirée à 8 h . 45R ud o lp h V alentino dans

L E F I L S D U C H E I K avec V ilm a B anky. — T iré du ro m an

de E.-M. H ull. — A dap ta tion à l ’é­cran p a r F ran ces M arion et F red Cresac.

M ARQUITA L ’E SPIO N N E G rand d ram e

in te rp ré té p a r M onte BlueW IL L Y , Violon solo

Com iqueLa sem aine p ro ch a in e : C laude F ra n ­

ce d an s « La M adone des S leep in g s ».

Soirée de Gala au ThéâtreUne g ran d e soirée de g a la sera don­

née d em ain lund i, 27 couran t.L ’A m o u r au Colorado

O pérette am érica in e en tro is actes de M arcel S ag n ie r y se ra in te rp ré tée avec le concours du fan ta is is te r e m a r­quab le R ené L..^.

CARNETNECRO LO G IE

— Nous avons ap p ris la m ort de M me Leroux, décédée au dom icile de son fils, M. Leroux, coiffeur, rue de l ’A p p o rt-au -P a in , à l’âge de 58 ans

U ne bénédiction a été donnée a u ­jo u rd ’hu i vendredi à 12 heu res 20, et le corps a été ensu ite d irig é su r Ë rm ont, où ap rè s un service en l’église d ’E r- m ont, l ’in h u m atio n a eu lieu d ans un caveau de fam ille .

N ous ad ressons à M. et M m e R ené L eroux et au x au tres m em b res de la fam ille , nos sin cères condoléances.

R E M E R C IE M E N T S— M. et M m e René Leroux, très to u ­

chés des nom breuses m arq u es de sy m ­p ath ie q u ’ils o n t r e ç u e s e n r a i s o n d udécès de M m e veuve Leroux, adresserit leu rs rem erc iem en ts au x p e rso n n es qui ont a ssisté à la bénédiction , a cellesqui leu r çn t exp rim é leu rs reg re ts , .à celles qui ont offert des fleurs et cou­ro n n es, et s ’excusen t au p rè s de celles qui p a r un oubli involontaire , n ’a u ­ra ie n t pas reçu de fa ire -p a rt.

— M m e veuve D uehaussoy et toute la fam ille , très touchées des nom breuses m arq u es de sym path ie qu ’elles on t re ­çues à l ’occasion du décès de M. Du- chaussoy , ad ressen t leu rs rem erc ie ­m en ts au x p ersonnes qui ont a ssisté au x obsèques ou qu i leu r ont exp rim é des reg rets, et s’excusen t au p rè s de celles qui, p a r un oubli involontaire , n ’au ra ien t p as reçu de fa ire -p a rt.

Théâtre cinémaT ous les v ra is a m a teu rs de c iném a

iron t voir ce soir ou dem ain au théâ tre m u n ic ip a l c iném a, un film im p ress io n ­n a n t :

LE F IL S DU CH EIK avec R odolphe V alen tino

et V ilm a B anky.C onsulter p lu s loin le p ro g ram m e dé­

taillé .

Service des EpavesD ans la sem aine écoulée, il a été dé­

claré au C om m issaria t de Police, les trouv a illes su iv an tes :

— D ivers coupons de ren tes.— U n cache-col n o ir avec ép ingle de

cravate en m éta l b lanc.— U ne boucle d ’oreille en a rg en t

avec perle b lanche pen d en tif.— U ne scie de ch arp en tie r.— U n doub le-m ètre en buis.— U ne ép ing le en m éta l b lanc.— U ne pèle rin e en la ine noire p ou r

garçonnet.— U n p o rte -m onnaie con tenan t une

m in im e som m e.— U ne m an ivelle d ’auto.— U n petit m oucho ir en soie, de cou­

leu r m arron .P o u r tous ren se ig n em en ts , s ’ad resse r

au C om m issaria t de Police (Service des E paves). Ne p as té léphoner.

ÉTAT CIVIL DE SENLISdu 17 au 24 ja n v ie r

N aissances16. Jean -M arie -L u c ien -P au l Boileau,

16, ru e de M eaux.18. M ichel-A ch ille-F ranço is L am bert,

rou te de Crépy.19. P ie rre -M arcel Lcnoir, 1, fau b o u rg

S ain t-M artin .P ublica tion de* M aridge

21. E n tre M, C hristian -E m ile-A lex is V erdeau, é tud ian t, dom icilié à Senlis, 9, ru e du G hat-IIâret, et M lle M adelei- ne-M arie -S oph ie-F lo ren tine C anton- net, san s p ro fession , dom iciliée à P a ­ris, 39, boulevard H au ssm an n .

Décès17. Joseph-G ustave-X avier D uchaus-

soy, 65 ans, m a ître d ’hôtel, 2, ru e du H auberg ier.

20. Louis C abaret, 50 ans, m an o u ­vrier, dom icilié à M ontataire, décédé 1, fau b o u rg S ain t-M artin .

20. L ouis-C lém ent V audier, 82 ans, san s p ro fession , 18, fau b o u rg S ain t- M artin .

21. H yacin the-V ictorine D arras, veu­ve Leroux, 57 ans, san s pro fession , 2, ru e de l’A p p o rt-au -P a in .

C H A N T I L L YPHARMACIES ouvertes tous les Di­

manches jusqu’à midi.La Statue du Maréchal Joffre

Grâce à l’am abilité de motre excellent confrère parisien La Liberté nous pou­v o n s d o n n e r à n o s l e c t e u r s , u n e r e p r o ­duction de ce que sera la fu ture statue du m aréchal Joffre. <

lnÉ |£

L’artiste auteur de la statue est M. Edgar Boutry, p rem ier p rix de Rome en 1887, m édaille d’or du salon en 1891, auteur en renom de nom breux travaux rem arquables, sculpteur de plus grand mérite.

La statue en ibronze (2 m ètres de hau­teur) représentera le m aréchal tel que les Cantiliens l’ont connu, avec la grande capote et la pèlerine. Elle sera

placée sur un socle de trois m ètres de hauteur, très sobre de lignes en granit de Bretagne avec cette simple inscrip ­tion :

Au M a r é c h a l J o f f r e ,

C h a n t i l l y r e c o n n a i s s a n t .

Cette statue sera érigée dans l’îlot d’arlbres qui entourent le m onument aux m orts de la guerre; face à l ’Hôtel Condé, où le m aréchal avait soin quartier géné­ral jusqu’en décem bre 1916.

L’inauguration est fixée au 21 juin prochain. Le Président de la République doit y assister.

L’hospice Condé a été le prem ier à s’inscrire à la souscription ouverte, en­suite le personnel du Musée Condé.

L’Institu t de F rance dans sa séance du 24 avril 1929 a donné son patronage à cette souscription et depuis a décidé de souscrire pour une somme de 10.000 fr.

Le Conseil m unicipal a récem m ent dé­cidé également de s’inscrire pour 5.000 francs.

La France entière peut-on dire p a rti­cipe à la souscription.

A Chantilly, les souscriptions sont re ­çues à la Mairie et au C rédit du Nord, avenue de la Gare (compte in° 3).

Poilus d ’OrientLundi dernier 13 janvier, l’Association

départem entale dès Poilus d’O rient avait convié ses membres, les anciens combat­tants et les notabilités de Chantilly à uneconférence accompagnée de projections sur le Pèlerinage des Poilus d ’Orient en Grèce et en Serbie.

Une nom breuse assistance avait répon­du à cette invitation et em plissait la co­quette salle de « l ’Elysée-Chantilly », mise gracieusem ent à la disposition des Poilus d ’Orient par le sym pathique p ro ­priétaire, M. Dureau. Aux Poilus d’Orient de Chantilly; de Creil et de tous les en­virons s’étaient joints les m em bres de la section locale de PU. N. C. avec leur p ré­sident M. Leroux, et les conseillers mu­nicipaux MM. Taupin, Dambly, Carré, Cla- parede, Lavallée, Gibaud, Carter qui avaient tenu à accom pagner M. Joly, m ai­re de Chantilly.

M. Joly ayant bien voulu accepter de p résider la séance, souhaita la bienvenue aux Poilus d’Orient, et les félicita d ’avoir choisi Chantilly pour cette m anifestation. M. de Chantérac, président de l’Associa­tion de l’Oise des Poilus d ’Orient rem er­

Page 3: A travers - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1929-1930/bms_js_1930_01_26_MRC.pdf · peurs-Pompiers et de M. Rigault, lieu tenant commandant la Compagnie, propose au Conseil l’achat

L t CÜUH1UBR DE L'0Iâ2

cia ensuite M. Joly des sentim ents qu’il venait d’exprim er et de l’aide qu’il avait aimablement apportée pour 1 organisa­tion de cette soirée. Il félicita M. Leroux d ’avoir prouvé, s’il en était besoin p ar sa présence et celle des membres de l’U. N. G. que la solidarité des anciens com­battan ts de tous les fronts n’est pas 1111 vain_ mot. Il souligna le geste desinter- ressé de M. Dureau qui m ettait sa salle gracieusem ent et gratuitem ent au service des Poilus d’Orient. Enfin il évoqua dans un rapide exposé la création, l’existence, et les faits d’armes de l’Armée d’Orient et en définitive les résultats obtenus par les victoires rem portées sous ce clim at m eurtrier.

Le président donna ensuite la parole au D octeur Audy, p résident de la Section des Poilus d’Orient de Senlis qui raconta les diverses étapes du Pèlerinage auquel il p r i t p a r t e n a o û t e t s e p t e m b r e 1 9 2 9 a u x a n c i e n s c h a m p s d e b a t a i l l e e t a u x t o m b e sdes cam arades en Grèce et en Serbie. A Zeintelik, à Biotlj (Monastir), à Skoplie (Uskub) et à Belgrade, la population, les autorités locales et les gouvernements ftel- lène et yougo-slave p riren t prétexte des cérém onies religieuses célébrées aux ci­m etières m ilitaires français po u r affirmer aux Pèlerins leur reconnaissance à la F rance de les avoir secourus et délivrés p a r le sacrifice de ses enfants.

Après que VHymne Serbe et la Marseil­laise joués au piano furent écoués debout soixante vues des différentes étapes du Pèlerinage furent projetées sur l’écran et prouvèrent à l’assistance que les m ani­festations presque invraisem blables rap ­portées p a r le conférencier avaient bien été des faits vécus.

Le docteur Audy term ina en adressant des_ rem erciem ents à M. Guilleminot qui avait mis, A la disposition des organisa­teurs, avec la plus extrême obligeance un appareil de projection et en avait assuré le fonctionnem ent p a r ses propres opéra­teurs. I

Nous souhaitons que cette réunion aussi instructive qu’agréable apporte comme récom pense aux organisateurs l’adhésion à la Fédération dénartem enfale de tous les anciens poilus d’Orient comme mem­bres actifs et comme m embres honoraires celle de tous nos concitoyens qui estiment nécessaire la continuation de la p ropa­gande des idées françaises dans ces pays où nos larmées sont intervenues comme défenseurs de la liberté et de l’hum anité.

CONSEIL MUNICIPALSéance du 15 janvier 1930, à 20 h. 1/2

Présents : MM. jo ly , m aire ; Vallon, m aire honoraire; Leroux et Leclercq, ad­joints; Taupin, Dambly, Mercier, Clapa- rède, Gibaud, Débacq, Lelogeais, Lempe- reur, Lefèvre, Bara, Gondelle, Béry, Car­ré, Dubrouillet, Dupuis, La vallée et D' Beuvignon.

Absents excusés : MM. Carter et Forain.M. Dambly est nommé secrétaire pour

la séance.Avant d’aborder l ’o rdre du jour, M. Je

Maire expose :Depuis le dernière réunion du Conseil

m unicipal, nous avons eu à déplorer le décès de Mme la baronne Léonino, géné­reuse bienfaitrice, qui a donné à Chanti- ly l’am bulance automobile qui a rendu et rend journellem ent beaucoup de services aux m alades ou blessés de la ville et des communes voisines. Je propose d’adres­ser à la mémoire de Mme la baronne Léo- inino un souvenir ému, ainsi que l’expres­sion de nos regrets et de notre reconnais­sance.

2° Le décès de M. W argnier, préposé en chef de l’octroi, décédé le 14 décembre dernier, après avoir rem pli avec zèle et dévouement ses délicates fonctions. La Ville a p ris à sa charge les frais d’hos­pitalisation, ainsi que ceux des obsèques. De son côté, la Société des Pompes fu­nèbres a tenu à assurer gratuitem ent le convoi.

Je propose également d’adresser à la mémoire de M. W argnier no tre souvenir ému, et de renouveller à sa famille nos sentiments de sincère sym pathie pour le deuil cruel qui l’a frappé.

Le Conseil s’associe unanim em ent et de grand cœur aux propositions de M. le Maire.

Après avoir donné lecture d ’une lettre de M. W argnier fils le p rian t d’être l’in­terprète de sa fam ille auprès du Conseil Municipal pour lui exprim er toute sa gra­titude et sa reconnaissance. M. le Maire demande à l’Assemblée de vouloir bien voter en faveur de la veuve de M. W ar­gnier une pension viagère, en raison des 28 années consécutives de serlvces de son. m ari.

Le Conseil adopte le principe de la pension viagère, et charge sa Commis­sion des Finances d’en proposer le mon­tant.

Une somme de 200 francs est votée pour achat de 100 carnets de tim bre an ti­tuberculeux.

Le Conseil adm et en non-valeur une somme de 62 fr. 50 pour taxes d’eau ré­clamées indûm ent à 3 propriétaires.

Il iautorise ensuite M. le Maire : 1° à prélever, sur le crédit de l’article 37 du Budget p rim itif de 1929, une somme totale de 4.693 fr. 75 pour paiem ent de deux fac­tures.

2° à prélever une somme de 7.500 fr. sur le crédit de l’article 48 du Budget sup­plém entaire de 1929, pour le paiem ents des allocations aux familles nombreuses, à titre de rem boursem ent des droits d ’oc­tro i payés p a r ces familles au cours de l’année 1929.

Le Conseil dem ande le détachem ent de la Recette m unicipale de la Perception de Chantilly et la création d’une Recette m unicipale spéciale.

Il procède ensuite, au scrutin secret, à la d é s i g n a t i o n d e 3 c a n d i d a t s p o u r l e p o s t e d e R e c e v e u r m u n i c i p a l .

S o n t p r o p o s é s , p a r o r d r e d e p r é f é r e n c e :M. Roux, commis de perception à Chan­

tilly;M. Voirin, caissier-com ptable chez M”

Vidy, notaire à Chantilly;M. Anglard, employé à la Compagnie du

chemin de fer du Nord.(A suivre).

Syndica t d ’in itia tive de Chantilly « Les Amis de Chantilly »

Compte rendu de la réunion du Comité du 9 janvier 1930

Excusés : MM. Mercier, Derray, Le­clercq père et fils, Bouchet père.

Présents : MM. Pauwels, Lelogeais, De- lorme, Barbier, P erraud in , Daleix, Gi­baud, Leroux, Sazerac de Forge.

La séance est ouverte à 20 heures 45, sous /la présidence de M. Pauw els, p ré­sident.

On aborde im m édiatem ent la question de l’organisation du Concert annuel.

Après une demande de modification de date M. Lelogeais, en raison de la p roxi­mité du 5 février avec la date du Bal des Commerçants, M. Delorme qui s’est p ré ­occupé de rechercher les acteurs du Con­cert estime que le 4 février serait la date qui conviendrait le mieux.

Il est donc décidé que le Concert an­nuel est défin itivem ent fixé au m ardi 4 février.

M. Delorme donne ensuite le détail des conversations engagées et des proposi­tions faites par un im pressario de Paris, M . P a u l R o b e r t .

Ce projet qui est rem arquable et de nature à donner satisfaction aux plus dif­ficiles est adopté et M. Delorme chargé de conclure avec l’im presario.

Il sera établi 300 cartes d’invitations pour le Concert. Ces cartes seront réser­vées aux membres du Syndicat, à leurs femmes et à leurs enfants.

On décide de faire faire et de vendre des programmes.

Il sera fait deux sortes de programmes.1° 100 program m es de luxe destinés

aux membres honoraires et aux membres d’honneur, sans p rix fixe.

2° 700 program m es ordinaires qui se­ront vendus au p rix de 2 francs.

Tous ces program m es seront numérotés et perm ettront à leurs p ropriétaires de partic iper à l ’attribution de quelques jolis objets.

L’Assemblée générale demeure fixée au 22 ianvier à 20 h. 45, salle des fêtes de la Mairie.

On y invitera, en dehors des membres du Syndicat (actifs et honoraires) ceux qui s’en sont retirés. Toutes les personnes de Chantilly qui veulent s’intéresser an développement de notre Cité y seront aussi cordialem ent invitées par la voix de la Presse.

Aux cours de cette assemblée il sera procédé à la distribution des cartes d’en­trées au concert.

Au nom de M. Bouchet, M. le P résident fait part d’un projet de publicité de l’U­nion des Syndicats de l’Oise /en vue de faire tire r un film du départem ent.

Celte publicité particulièrem ent im por­tante, le film étant destiné à avoir une large diffusion.

L’ordre du jour étant épuisé, la séance est levée à 10 h. 30.

Bal des CommerçantsUn groupe de Commerçants et Indus­

triels de Chantilly organise pour le 8 février prochain, dans les salons de l’Hô­tel du Parc, un bal avec Attractions et surprises. Les frais de cette soirée seront couverts p ar des cotisations spéciales du (Commerce et les entrées se feront sur in ­vitation.

Les souscriptions arrivent nombreuses et cette fête amicale prom et d’être magni­fique. Les Commerçants et les Industriels de Chantilly qui n ’-ont pas encore sous­crits sont priés d’envoyer sans ta rder 50 francs à MM. Mercier,' 109, rue du Con­nétable ou Lelogea;s, place de l’Hospice Condé, membres du Comité d’organisa­tion.

Lorsque les frais seront payés, le reli­quat des souscriptions sera verse a la Société des Anciens com battants pour les Orphelins de la Guerre.

La Saint Sébastien Les Compagnies d’arc célébreront la

Saint-Sébastien demain dimanche 26 jan­vier.

La 1" Compagnie d’arc offre à cette occasion, aujourd’hui 25 janvier, sur les 20 heures, un banquet sous la présidence d’honneur de M. Vallon, connétable, dans les salons de l’Hôtel du Parc.

Les Deux Amours à l’Elysée-ChantillyLes tournées Ch. Baret donneront m er­

cred i prochain 29 janvier, à l’Elysée, une comédie dram atique de M. Paul Nivoix : Les Deux Amours, créée cet hiver au théâtre de l’Odéon avec un immense suc­c è s .

C ette pièce publiée d a n s l’Illustration sous le t i t r e Amours est u n e oSTtTrê'sînrpr'>et vraie, une h isto ire sincère et mélan­colique.

Un homme partagé entre deux amours, deux tendresses jalouses et qui se combat­tent : la tendresse d ’une femme et celle d’une mère, tel est le sujet.

Les Deux Amours sont p ar ailleurs écrits en une excellente langue de théâtre. L’action se développe avec une puissance dram atique toujours croissante, ce qui ne manque nas de donner lieu à une situa­tion extrêmement pathétique.

L’œuvre de l’auteur de Marchands de Gloire qui a triom phé dans ce théâtre p ar excellence familial qu’est l’Odéon,

p laira aux Cantiliens.Rideau à 8 h. 45 précises.

ELYSEE-CHANTILLYp r o g r a m m e :

-:- ACTUALITES PARAMOUNT -:-

Luciano Albertini joue UN MILLION DANS UN CHAPEAU

Comédie désopilante

-o- BIEN QUE NOUS DEUX -o- In terprété p ar Jean Angelo,

Margaret Schlegel et E rnst Deutscli

U n H o m m e a v u R o in teDans un moment d ’égarement il a étran­

glé la femme d’uni autre. Le m ari pour­ra-t-il pardonner le m eurtrier de sa femme ?Ce film au thème original entre tous,

vous l’exposera en des images émouvan­tes, d’un charme et d ’une puissance rares, où sont tour à tour évoqués les plus jolis paysages de la Côte d’Azur, la menaçante citadelle de la Rochelle, lieu de détention provisoire des forçats avant leur em bar­quement pour la Guyanne.

Orchestre sous la direction! de M. Bochard

Les SpectaclesElysée. — Voir program m e ci-dessus.Ciné-Théâtre. — Le Comte de Monte-

Christo (2e épisode), et Mon bébé, comi­que.

Cinée de la Gare. — Thomson le Tigre et Que Personne ne sorte (vaudeville). Le jeudi à 1 i h. 30, matinée enfantine à prix très réduit.

Salle Saint-Louis. — Coûte que coûte et Mandrin (4* épisode).

Thé-Dansant. — Le dim anche de 4 à 7 heures à l’Hôtel d’Angleterre.

Les SportsU. S. Chantilly bat A. S. Béthisy (2-1).Les Centiljens n’ont pas démenti notre

pronostic. La m arque en leur faveur de­vrait même être plus forte si l’arbitrage n’avait laissé à désirer. M. W illiams, ar­b itre officiel ne se présentant nas, un membre de la société adverse eut la ch ar­ge de diriger la partie.

Béthisv possède une équipe vigoureuse très allante, les joueurs sont toujours sur la balle mais l’activité ne suffit pas à tout et ils gagneraient à être plus précis. Chantilly réussit justem ent à vaincre grâce à son jeu plus fin et plus classique, La ligne d’avants où Tacail faisait sa ren­trée, donna satisfaction de même que les ■autres lignes et le garde-but qui est bien le m eilleur que nous possédions à Chan­tilly.

La rentrée de Garver serait particuliè­rem ent intéressante. L’équipe nous paraît devoir fourn ir une belle carrière grâce à son esprit de cohésion, et à ses qualités de tactique.

A. S. Réthisy (2) bat U. S. G. (2) 4-1.Les réserves paraissent se ressentir du

jeu de leurs aînés, ce qui nous am ènerait à peu près aux mêmes critiques.

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C R É P YJeudi soir, la section des Poilus d ’O­

rient avait organisé une conférence ac­compagnée de projections sur le Pèleri­nage des Poilus d’Orient en Grèce et en Serbie du mois d’août dernier.

A 9 heures, 250 personnes de Crépy et des localités environnantes emplissaient la grande salle de la Jeunesse en réponse à l'invitation, des actifs organisateurs MM. H. Odent, vice-président, et Bourgouin, secrétaire-adjoint de la Section.

M. Henri Odent qui présidait la séance présente en quelques mots le conférencier le Docteur Audy,_ de Senlis, qui fut du nombre des Pèlerins d ’Orient.

iCelui-ci après avoir rappelé que c’est en Orient, à Sarajevo (Bosnie) qu’il faut placer le point de départ de la Grande Guerre, fit rem arquer que c’est aussi sur le front d’Orient que fut signé le 29 sep­tembre 1918, le prem ier arm istice imposé par la France et ses alliés aux alliés de l’Allemagne.

Ensuite il fit faire à ses auditeurs le voyage triomphal qui, du Pirée, p ar A thè­nes, Salonique, Bitolj, le Kaijmatchtlau, Skoplié, Belgrade, Sarajevo et Dubronik, fit visiter aux Pèlerins d’Orient les champs de bataille fameux et les tombes religieusement aménagées et entretenues de leurs anciens camarades.

Deux séries de photographies projetées ensuite sur l’écran confirmèrent à 1 audi- , ; Ihousiasme de l’accueil réservéau* reîtui.is.

_ ^l)rès que les hymnes nationaux grec et Serbe joués au piano eussent été écoutés debout, M. H. Odent rem ercia les assis­tants -— dont beaucoup n ’avaient pas craint d’affronter jusqu’à 20 kilom ètres dans l’épais brouillard de cette nuit — de la marque d’in térêt qu’ils donnaient par leur présence à la propagande fran ­çaise dans ces régions éloignées de l’Eu­rope où la plus vive reconnaissance était vouée à la France libératrice des oppri­mes et consolatrice de toutes le , misères,

II termina par des rem erciem ents sin­cères à M. Cardin qui avait offert gracieu­sement la superbe salle de la Jeunesse pour cette manifestation.

B E T H ISY -S A IN T -M A R T in

La Société de Secours Mutuels a tenu son assemblée générale annuelle, dim an­che 19 janvier, à 14 heures, salle Ilarlaut, sous la présidence de M. Fernand de Se- roux, maire. Dès la séance déclarée ou­verte, le Président adresse ses vœux de bonheur et de santé à tous les sociétaires et souhaite que l’année 1930 soit plus favorable que 1929, en ce qui concerne les décès des membres de la Société. Le secrétaire, M. Balny, procède à l’appel; quelques absences sont constatées. M. de Seroux fait ensuite lecture du compte rendu moral et financier qui se révèle excellent et m ontre que la gestion de la SJ.-rUMA en Un lionnes mains. L’actif disponible était au 1er janvier 1929 de 8.438 fr. 04, les recettes de l’année s’élè­vent à 22.850 fr. 81, com pris le legs Blon- deau, ce qui donne un total de 31.298,45. Les dépenses se chiffrent à 21.019 fr. 02. soit un excédent de 10.270 fr. 43, Le nom­bre des sociétaires qui était de 437 au 1" janvier 1929 est tombé à 419, par suite de décès ou de départs du pays.

Le bureau propose que le taux des visi­tes extérieures qui était de 6 fr. 50, soit à 12 fr., adopté; 2" que le délai entre la première et dernière visite qui était de 20 jours, soit porté à 30 jours, adopté; 3" que l’ordonnance ayant besoin d’être re­nouvelée, soit visée p ar un chef de sec­tion, adopté.

Il est procédé à l ’attribution des pen­sions. Par suite de décès, cinq pensions sont à nourvoir, MM1. Barbier Jules et Choron-Thieux Pascal en sont bénéficiai­res; les 3 autres sont réservées à MM. Guyot Albert, Joseph Graux et Dubois Barnabe, qui, n ’ayant pas l’âge requis, n’en bénéficieront que l’an prochain.

10 membres nouveaux sont ensuite ad­mis, et 4 m em bres réintégrés. M. de Se­roux donne quelques renseignem ents sur la loi des assurances sociales, des p re­m iers travaux de l’Union fraternelle des Sociétés de Secours Mutuels de l’Oise et M. Balny procède au 2“ appel.

La séance est levée à 16 heures.C O Y E -L A -F O R E T

Saint Sébastien. — Dim anche prochain 26 janvier, à la Messe de 10 heures, la P rem ière Compagnie d’Arc célébrera son saint patron : Saint Sébastien.

Family-Théâtre. — Dim anche 26 jan ­vier, au Family-Cinéma-Théâtre, 2 et 4, rue de Luzarches, séance théâtrale p a r le Patronage des Jeunes Filles, à 20 h. 30 très précises. Au program m e : U ne fo r ­tu n e da n s u n p a ra p lu ie , en 2 actes de R itier; L a p e ti te R é s in iè re , en 3 actes de D a n ie l A u sc h izk y ; L e B éb é à S im o n e , enI a c te de R it ie r .

GONDREVILLE

Démission d ’un Conseiller Municipal. — M. le P réfet de l’Oise a accepté la démis­sion de M. Théodule M orineaux, de ses fonctions de conseiller m unicipal.

LA C H A P E L L E -E N -S E R V A L

Renversé par une automobile. — M. Louis Grangerat, commis de m archand de chevaux, 8, rue d’Alger à Paris, qui conduisait tro is chevaux à Thiers, a été accroché par une automobile conduite par le gendre de M. Rouleau de P ierre- fonds.

M. G rangerat a été blessé au côté gau­che de la figure, à l’œ il et au bras droit.II a été conduit à l’hôpital de Senlis où il a été pansé.

LE P L E S S IS -B E L L E V IL L E

Société de Secours Mutuels. — P ar a r­rêté m inistériel ont été approuvés les sta­tuts de la société : Caisse locale de Se­cours Mutuels agricole au Plessis-Belle- ville, sous le n" 479.

IVEUILLY-EN-THELLE

La famille du docteur Andrieu très tou­chée des nom breux témoignages de recon­naissance rendus à sa mémoire, p rie la foule des amis qui lui ont témoigné leur sym pathie dans cette douloureuse épreu­ve d’agréer ses rem erciem ents les plus sincères.

M. Charles Andrieu. externe des Hôpi­taux, fils du regretté docteur, inform e sa fidèle clientèle qu’il p rend dès m ainte­nant toutes ses dispositions pour lui as­surer avec le même dévouement les soins qu’elle réclame.

O R R Y -L A -V IL L E

La réunion générale du Club des Mar­cheurs Orry-la-Ville a eu lieu le 11 jan­vier 1930, le nouveau Bureau a été nom­mé :

Président : M. Préau;Vice-Président : M. Hell;Secrétaire : M. Jacob;Trésorier : M. Dehon;Membres du Bureau : Roger Savouret,

M. M archand, G. Buttot, A. Meunier.Nécrologie. — Nous avons le regret

d’annoncer le décès du père Hennequin, garde-chasse à O rry, vieux brave homme, qui par son bon sens, son calme et sa bonhomie avait su se concilier l’amitié de tous.

Une foule nom breuse et recueillie a assisté au service fait à O rry et à l’in ­hum ation dans le caveau de famille à Chantilly.

Dans le cortège étaient représentés : la M unicipalité p ar sou Maire, son adjoint et une partie du Conseil, la Société de chasse d’O rry p ar son président M. F er­nand Fieffé, son secrétaire et de nom­breux adhérents.

Nous prions la fam ille d’agréer nos bien sincères sentim ents de condoléances.

Rem erciem ents. — Mime veuve Henne- quin, Mme et M. Reymoind Huet, M. Mar­ceau H ennequin et leur famille, très tou­chés des m arques de sym pathie qui leur ont été prodiguées, à l’occasion de la perte douloureuse qu’ils ont faite en la personne de .Tules-Edouard Hennequin, leur m ari et père, dont le service a eu lieu à Orry, le samedi 18 janvier, à 10 heures et l ’inhum ation dans le caveau de famille à Chantilly à 14 h. 30 rem ercient tous ceux qui p a r leur présence aux ob­sèques oint été pour eux un réconfort moral.

P ON TA R M E

L’adm inistration idu golf de Mortefon- taine, a eu un geste généreux à l’égard des indigents de la commune de Pontar- mé. Un don de 250 francs a été fa it pour les pauvres.

(Merci sincèrem ent aux généreux do­nateurs.

Fiançailles. — Nous apprenons les fian­

çailles de M. Jean Guillot, fils de M. Paul Guillot, m aire de Pontarm é, avocat à la Cour d’appel de Paris, décédé et de Mme, née Dupuis, petit-fils du regretté conseil­le r général de l’Oise, pour le canton de Senlis, M. E rnest Dupuis, avec Mlle Chris- tiane B arré de Laney, fille de M. Barré de Lancy, décédé et de Mme.

Nous adressons nos m eilleurs vœux aux jeunes fiancés et nos com plim ents respec­tueux à leurs familles.

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RULLY

Le lundi 13 janvier ont eu lieu à Canly, les obsèques de M. Frasselle Georges, con­seiller m unicipal et lieutenant de la Sub­division des sapeurs-pom piers à Rully. Après un service célébré en l’église de Rully, le corps fut ram ené à Canly, ac­compagné de la famille et de nom breux amis. L’assistance était particulièrem ent nombreuse et l’on rem arquait les Conseils m unicipaux, les Sociétés d’Archers et d’Aneiens com battants de Rully et de Canly. P lusieurs discours furent p ronon­cés sur la tombe. M. le Maire de Rully et M. Leduc Aimé, lieutenant de la subdi­vision des sapeurs-pom piers de Canly, rappelèrent en term es émus autant qu’é- logieux la vie de cet homme de bien dis­p a ru si soudainem ent. M. Frasselle était le gendre M. Poulain, m aire de Canly, à qui nous renouvelons, ainsi qu’à Mme Frasselle et à ses fils, nos bien sincères condoléances.

THIERS *

Le bureau d’assistance de la commune de Thiers rem ercie très sincèrem ent l ’ad­m inistration du Golf de M ortefontaine du geste généreux (don de 250 francs) qu’ils viennent de faire pour les indigentse.

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Art. D".

Etude de IWC L. CHASTAING, avouéà Sentis

m o n d e ü’envoi en possession de succession

D’110 jugera n t. de la Chambre du Conseil du Tribunal civil de l’Oi se, s. c ion de Oompiègn-ù en date du dix-lnùl septembre 1929, rendu sur ia >eq è 'e présentée, an nom de Madame S, bille IlOFFËIl taos profession, demeurant ci devant à Chèvres, commune de Va icieuneset actuellement à Vau- moise (Oise), veuve de Monsieur Ferdinand WEB 9 R i1 a été donné a c e â c file-ci de sa demande d'envoi en possession de la suc- ce-sion de Monsieur Ferdinand WËBtiR', son m ;ri, en son vivant ancien jardinier demeurant à Chèvres, commune ie Vauriennes (Oise), y décédé le 26 février 1929 sans laisser aucun héritier connu an degré suecessible, et, avant d'y fiire droit il a été admis qn’ell serait rendue publique conformé­ment aux prescriptiens de la loi.

Pour extrait certifié sincère par l'avoué soussigné.

Signé : CHASTAING.E t e/.registre. 3643

Art. 2.

Rfcriede M’ M au rice L B N O Ï l thuissier à Seuils.

L’entrée en jouissance a été fixée au quatre janvier 1930.

L'insertion au Bulletin Officiel s été faite à la date du 2 ? janvier 1*30.

Les oppositions, s’il y a lieu, devront être formées au plus tardfa rs les dix jours qui suivront la présente publication et seront re­çues en l’Etude, de M* Lenoir, huissier à Senlis 18 rue Sainte- Geneviève, où domicile est élu à

t effet.Four deuxième insertion :

36:2 M. LENOIR.

Et ides de Me KORÂ:vD avoué- 8 g nié k Senlis

et de M» M4LAPERT, huissier à Crell (Oise).

M O N T A T A IR E (O ise)153, rue Louis-Blanc

V Vendre aux enelières publiquesreçues dans les 'dix jours de la I ()ar je ministère de M« Mai.apf.rt

,• huissier à Creil

vendu à M. Louis-Albert POULET, boulanger à Compii gne, 5, rue du Donjon, le fonds de com m erce de b o u langerie - p â tisse rie ex­ploité à Verherie, 3, rue de la République , comprenant clien­tèle, achalandage, droit au bail, matériel et marchandises.

Domicile élu en l’Etude de M' Barella, où les oppositions seront

deuxième insertion.Pour première insertion

3C49 R. BARELLA.

Art. 3.

Suivant contrat reçu par M’ Louis Barbier, notaire à Creil, le 14 janvier 1930, enregistré le 15 janvier 1930 volume 331. folio 7, ù° 39, M. Alexis ALASSŒUR, marchand de vins, et Mme Ida DENKVK, son épouse, demeurant ensemble à Montataire, rue Mer tian, ont cédé à M. Emile SÀINT- ALBIN, marchand de vins, de meurant à Montataire, rue Je: n- Jaurès, n* 124,

Leur d ro it à la licence de vins alcools et spiritueux, attachée â un fonds de commerce de mar­chan t de vins sis à Montataire rue M ertian, n‘ t .

La publication au Bulletin Ofti ciel des Veutes a été faite à la date du 12 Janvier 1930.

D o m i c i l e e s t é lu e n l ’E t u d e d e M ' Barbier, notaire à Creil, où les oppositions seront reçues jus qu’au dixième jour de la piésente insertion.

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O r d r e d u J o u r :

1° Approbation des comptes de l’exercice 1929-1930.

2«> Election de deux Adminis­trateurs.

2° Q u e s t i o n s d i v e r s e s .

Le Président du Conseil d’Administration,

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Etude de M- R eym ond BARELLA jnotaire à Verherie.

36; Signe

DEUXIEME AVIS

Suivant acte sous signatures piivées en date à i ourteuil (Oise) (il, q -.citre janvi-r 1930, enregistré à ik iilis le ths janvier 1930, f° 52. eu e 2 Monsieur et Madame DEb- B J QUE - LÉ TOURNE, demeu­rant i Courteuil, ont vendu à Monsieur et Madaïuj SANNIER- RjBILLA K D . dem eurant àCour- teuil (Oise), le fonds de com ­m erce de débit de v ins et d’épi­cerie auquel est attaché la gé rance J un débit de iabacs et la cabine téléphonique publique, qu’ils exploitaient sur la place de Courteuil (Oise).

Art. 4.

Etude dé M' R e y m o n d B tR E L L A |notaire à Vvrbane (OLe).

PREMIERE INSERTION

Suivant acte reçu par M' Ba­rella. le 16 janvier 1930, enregistré à Pont., le 22 janvier, fo io 161 case 674, M. P ierre RR1SSER et M’ Roger LAMARRE, tous deux boulangers, dem eurant à Verbe- rie, 3, rue de la République, seuls membres de la Société en nom collectif REISSER et LAMARRE dont le siège est audit lieu, ont

A r t . 6.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENLIS

Les créanciers de la faillite FRION Emile, mécanicien à Mes nil-en-Thelle, sont invités à se trouver le Vendredi 7 Février 1930, à d ix heures et demie du m atin, au Greffe du Tribunal de Commerce de Senlis. place Saint Pierre, pour la nomination du syndic définitif.

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