cinÉ-concert buster keaton · après quoi j’ai dû partir pour la france, car c’était la...
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CINÉ-CONCERT
Buster KeatonORCHESTRE PHILHARMONIQUE
DE RADIO FRANCETIMOTHY BROCK musique et direction
& SAMEDI JANVIER 17HVENDREDI5 6
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BUSTER KEATONOne Week
Sherlock Junior
JULIAN EGGERICKX lecture
ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCEShirly Laub violon solo
TIMOTHY BROCK musique et direction
Vendredi 5 & Samedi 6 janvier 2018 - 17h
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Entretien imaginaire avec Buster Keaton
Deux films de Buster Keaton où le burlesque le dispute à l’émerveillement.One Week raconte l’histoire d’un jeune marié aux prises avec les pièces d’une maison démontable. Aux prises, également, avec un amoureux éconduit !Sherlock Junior met en scène un projectionniste de cinéma épris d’une femme, laquelle étant convoitée par un homme. Et si notre héros jouait au détective, à la manière de Sherlock Holmes ? S’ensuivent des vols et des quiproquos divers, jusqu’à ce que le projectionniste s’endorme et rêve qu’il est détective. Un nouveau Sherlock Holmes, en quelque sorte. La vie, le film, le rêve : tout se fond et se confond.
Il fait partie des plus grands créateurs du cinéma muet, il est célèbre pour n’avoir jamais ri, mais il a bien voulu répondre à nos questions. Buster Keaton nous dit tout ce qu’il faut savoir avant de s’émerveiller devant les beautés de One Week et de Sherlock Junior.
Monsieur Keaton, il paraît que votre prénom n’est pas Buster…En effet, je m’appelle Joseph. Mon second prénom est Frank. Mais à six mois, j’ai fait une chute spectaculaire dans l’escalier, ce qui a donné à Harry Houdini, un ami de mes parents, l’idée de me donner un demi-pseudonyme, que j’ai gardé comme nom d’artiste : Buster, ce qui veut dire « casse-cou ». Je ne connais personne qui porte le même prénom.
Vous êtes né en 1895, une grande année !Oui, celle des premiers films des frères Lumière, c’est-à-dire des premiers films tout court.
Et trois ans après, vous voilà déjà sur scène…C’est vrai, je n’avais que trois ans quand j’ai commencé à jouer avec mes parents, qui faisaient tourner leur numéro de duettistes dans des théâtres de vaudeville ou des cafés-concerts, dans le Midwest puis à New York. Mais il a fallu ruser pour que la loi m’autorise à jouer en public : me vieillir de deux ans par exemple, ou me déclarer comme acteur et non pas comme acrobate. À un certain moment, nous nous sommes retrouvés à cinq sur la scène : mes parents, mon frère Jingles, ma sœur Louise et moi !
Quand avez-vous décidé de voler de vos propres ailes ?En 1917. J’avais vingt-deux ans. C’est un comédien célèbre à l’époque, Fatty Arbuckle, qui m’a encouragé à faire du cinéma. Nos studios étaient à New York, sur la 48e rue. Après quoi j’ai dû partir pour la France, car c’était la guerre, et j’y suis resté sept mois. À mon retour, un producteur m’a proposé de créer les Buster Keaton Comedies et de tourner dans les anciens studios de Charlie Chaplin. Et puis, en 1920, j’ai signé mon premier film en tant que réalisateur : The High Sign.
De quand date One Week ? Et Sherlock Junior ?Si je me souviens bien, One Week a aussi été tourné en 1920, c’est l’un de mes tout premiers films. J’ai réalisé Sherlock Junior quatre ans plus tard. À l’époque de mes premiers courts métrages, je ne reculais pas devant les gags les plus fous, du genre de ceux qu’ont utilisés par la suite les auteurs de dessins animés. En abordant le long métrage, j’ai abandonné ce genre de gag pour que le public croie à l’histoire que je lui racontais.
One Week a beaucoup fait pour votre réputation…Oui, c’est pourtant une histoire toute simple : celle de la maison préfabriquée d’un jeune couple dont un rival jaloux intervertit les numéros des caisses, si bien que la maison se révèle impossible à monter. À la fin… mais non, je ne vous raconterai pas la fin.
On a dit à propos de ce film que vous commencez là où s’arrêtent les autres comiques. Pourtant, avec Sherlock Junior, vous allez beaucoup plus loin…Oui, je mets l’abyme en abyme, ce qui veut dire qu’il y a un film dans le film dans le film. Je m’explique : Sherlock Junior met en scène un jeune projectionniste qui rêve de devenir détective. Il s’endort dans la cabine de projection et, pendant qu’il rêve, son double sort de la cabine et franchit le rideau de l’écran pour se mêler au film. Le rêve d’abord, l’irruption dans le film ensuite : j’ai voulu faire un film sur le vertige, si vous voulez, un film dont le cinéma lui-même est le sujet. Cette histoire est l’une des plus belles qui soient sorties de mon imagination.
Quelle était votre méthode de travail ?Même dans les courts métrages, j’ai toujours considéré l’histoire comme l’élément essentiel ; mais cette histoire, nous ne la mettions jamais sur le papier. En revanche, je n’aurais jamais accepté de commencer à tourner avant d’avoir en tête une conclusion satisfaisante. J’ai toujours su que je pouvais compter sur mes auteurs et moi-même pour imaginer les gags dont nous aurions besoin en cours de route.
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Invariablement, c’est à la maison que me venaient mes meilleures idées, le plus souvent dans la salle de bains. J’en ramenais aussi de mes parties de pêche.
Et côté technique ?Quand je réalise un film seul, le cameraman, l’accessoiriste et l’électricien sont mes yeux. Pour une scène importante, je choisis toujours les cadrages. Pour un gag d’une certaine ampleur, je déteste recourir aux gros plans. Je m’efforce de conserver les plans éloignés et de faire progresser l’action, car les gros plans coupent l’action et ce genre de coupure peut empêcher le rire. Par ailleurs, je n’ai jamais répété un gag ni utilisé la même intrigue deux fois, à moins de pouvoir les camoufler de façon à les rendre méconnaissables. Et puis, une de mes premières décisions fut de supprimer les tartes à la crème. J’estimais que le public, en 1923, en avait eu assez.
Il avait eu le temps de grandir et de rire à d’autres plaisanteries !Oui, ma règle a toujours été la simplicité de l’histoire, avec le moins de personnages possible. Quand je trouvais des gags dont je ne savais pas quoi faire, je les racontais à Harold Lloyd qui les utilisait pour lui. Chaplin, de son côté, me proposait des gags dont il ne pouvait pas se servir et qui collaient à mon personnage. Ces échanges étaient monnaie courante. Nous avons connu une époque prodigieuse pour le film comique. Outre Chaplin et Harold Lloyd, il y avait des gens comme Max Linder ou W. C. Fields, pour qui j’ai toujours eu une très grande estime.
Propos recueillis par Florian Héro
Cet entretien imaginaire a été rédigé à partir de textes parus dans les Cahiers du cinéma (n° 130, avril 1962, n° 175, février 1966) et s’est nourri aussi du livre de Jean-Pierre Coursodon, Buster Keaton, Seghers, 1973.
TIMOTHY BROCKDIRECTION
Timothy Brock s’est spécialisé dans le répertoire du début du XXe siècle et l’interprétation en direct des musiques de films muets. Il a participé à la restauration et à l’édition de partitions de Chostakovitch, Manlio Mazza, Erik Satie et George Antheil, mais aussi à celle de douze partitions originales de Chaplin, parmi lesquelles Les Temps modernes, Les Lumières de la ville et La Ruée vers l’or. En 2004, il a transcrit treize heures de compositions inédites de Chaplin, d’après un enregistrement du compositeur au piano, qu’il a par la suite dirigées à Bologne, Berlin, Rome et Londres. Timothy Brock fait aussi partie des pionniers dans la redécouverte des compositeurs bannis par le IIIe Reich (Entartete Musik). Compositeur, il est l’auteur d’une soixantaine d’œuvres, parmi lesquelles plusieurs pièces pour orchestre, deux opéras et une cantate. Son nouveau concerto pour violon a été composé pour Stephen Bryant et le BBC Symphony Orchestra.Il a par ailleurs composé vingt-sept partitions originales pour films muets, commandes de l’Orchestre national de Lyon, de la 20th Century Fox, du Brussels Philharmonic, du Wiener Konzerthaus etc. Il collabore étroitement avec la cinémathèque de Bologne.
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Depuis sa création par la radiodiffusion française en 1937, l’Orchestre philharmonique de Radio France s’affirme comme une formation singulière dans le paysage symphonique européen par l’éclectisme de son répertoire, l’importance de la création, les géométries variables de ses concerts, les artistes qu’il convie et son projet éducatif.Cet esprit « Philhar » trouve en Mikko Franck, son directeur musical depuis 2015, un porte-drapeau à la hauteur des valeurs et des ambitions de l’orchestre, décidé à faire de chaque concert une formidable expérience humaine et musicale. Son contrat a été prolongé jusqu’en 2022, apportant la garantie d’un compagnonnage au long cours. Il succède à ce poste à Gilbert Amy, Marek Janowski et Myung-Whun Chung.80 ans d’histoire ont permis à l’Orchestre philharmonique de Radio France d’être dirigé par des personnalités telles que Cluytens, Dervaux, Desormières, Copland, Inghelbrecht, Kubelik, Munch, Paray, Jolivet, Rosenthal, Tomasi, Sawallisch, Boulez, Saraste, Eötvös, Ashkenazy, Benjamin, Harding, Temirkanov, Gilbert, Salonen, Dudamel…Après des résidences au Théâtre des Champs-Élysées puis à la Salle Pleyel, l’Orchestre philharmonique partage désormais ses concerts entre l’Auditorium de
Radio France et la Philharmonie de Paris, et s’est récemment produit avec Mikko Franck dans des salles telles que la Philharmonie de Berlin, le Konzerthaus de Vienne, ou pour une tournée de dix concerts en Asie.Mikko Franck et le Philhar poursuivent une politique discographique et audiovisuelle ambitieuse dans la lignée de leur premier disque Debussy et des nombreuses captations pour France Télévisions (Victoires de la musique classique 2017) ou Arte Concert. Parmi les sorties récentes : L’Enfant et les Sortilèges de Ravel et L’Enfant Prodigue de Debussy (Erato) et les Concertos de Michel Legrand (Sony). L’ensemble des concerts de l’Orchestre philharmonique sont diffusés sur France Musique.Conscient du rôle social et culturel de l’orchestre, le Philhar réinvente chaque saison ses projets en direction des nouveaux publics avec notamment des dispositifs de création en milieu scolaire, des ateliers, des formes nouvelles de concerts, des interventions à l’hôpital, des concerts participatifs... Avec Jean-François Zygel, il poursuit ses Clefs de l’orchestre à la découverte du grand répertoire (France Inter et France Télévisions). Les musiciens du Philhar sont particulièrement fiers de leur travail de transmission et de formation des jeunes musiciens (orchestre à l’école, jeune Orchestre des lycées français du monde, académie en lien avec les conservatoires de la région parisienne).L’Orchestre philharmonique de Radio France est ambassadeur de l’Unicef depuis 10 ans.
ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCE
MIKKO FRANCKDIRECTEUR MUSICAL JEAN-MARC BADOR DÉLÉGUÉ GÉNÉRAL
VIOLONS SOLOS
Hélène Collerette, 1er soloSvetlin Roussev, 1er solo
VIOLONS
Virginie Buscail, 2e soloAyako Tanaka, 2e soloMarie-Laurence Camilleri, 3e soloMihaï Ritter, 3e soloCécile Agator, 1er chef d’attaquePascal Oddon, 1er chef d’attaqueJuan-Firmin Ciriaco, 2e chef d’attaqueGuy Comentale, 2e chef d’attaqueEmmanuel AndréJoseph AndréCyril BaletonEmmanuelle Blanche-LormandMartin BlondeauFloriane BonanniFlorence BouanchaudFlorent BrannensAurore DoiseFrançoise Feyler-PerrinBéatrice Gaugué-NatorpRachel GiveletLouise GrindelDavid HaroutunianMireille JardonJean-Philippe KuzmaJean-Christophe LamacqueFrançois LaprévoteAmandine LeyArno MadoniVirginie MichelAna MilletCéline PlanesSophie PradelMarie-Josée Romain-RitchotMihaëla SmoleanIsabelle Souvignet
Thomas TercieuxVéronique Tercieux-EngelhardAnne Villette
ALTOS
Marc Desmons, 1er soloChristophe Gaugué, 1er soloFanny Coupé, 2e soloAurélia Souvignet-Kowalski, 2e soloDaniel Vagner, 3e soloJulien DabonnevilleMarie-Emeline CharpentierSophie GroseilElodie GuillotClara Lefevre-PerriotAnne-Michèle LiénardFrédéric MaindiveBenoît MarinJérémy PasquierMartine SchoumanMarie-France Vigneron
VIOLONCELLES
Eric Levionnois, 1er soloNadine Pierre, 1er soloPauline Bartissol, 2e soloJérôme Pinget, 2e soloAnita Barbereau-Pudleitner, 3e soloJean-Claude AuclinCatherine de VençayMarion GaillandRenaud GuieuKarine Jean-BaptisteJérémie MaillardClémentine MeyerNicolas Saint-Yves
CONTREBASSES
Christophe Dinaut, 1er soloYann Dubost, 1er soloLorraine Campet, 2e soloMarie Van Wynsberge, 2e soloEdouard Macarez, 3e soloDaniel BonneWei-Yu ChangEtienne DurantelLéo GenetLucas HenriBoris Trouchaud
FLÛTES
Magali Mosnier, 1re flûte soloThomas Prévost, 1re flûte soloMichel Rousseau, 2e flûteNels Lindeblad, piccoloAnne-Sophie Neves, piccolo
HAUTBOIS
Hélène Devilleneuve, 1er hautbois solo Olivier Doise, 1er hautbois soloCyril Ciabaud, 2e hautboisStéphane Part, 2e hautbois et cor anglaisStéphane Suchanek, cor anglais
CLARINETTES
Nicolas Baldeyrou, 1re clarinette solo Jérôme Voisin, 1re clarinette soloJean-Pascal Post, 2e clarinetteManuel Metzger, petite clarinetteDidier Pernoit, clarinette basseChristelle Pochet, 2e clarinette basse
BASSONS
Jean-François Duquesnoy, 1er basson soloJulien Hardy, 1er basson soloStéphane Coutaz, 2e bassonWladimir Weimer, contre-basson
CORS
Antoine Dreyfuss, 1er cor soloNicolas Ramez, 1er cor soloMatthieu Romand, 1er cor soloSylvain Delcroix, 2e cor Hugues Viallon, 2e corXavier Agogué, 3e corStéphane Bridoux, 3e corIsabelle Bigaré, 4e corBruno Fayolle, 4e cor
TROMPETTES
Alexandre Baty, 1er trompette soloJean-Pierre Odasso, 2e trompette Gilles Mercier, 3e trompette et cornetBruno Nouvion, 4e trompette
TROMBONES
Patrice Buecher, 1er trombone soloAntoine Ganaye, 1er trombone soloAlain Manfrin, 2e trombone David Maquet, 2e trombone Raphaël Lemaire, trombone basseFranz Masson, trombone basse
TUBA
Victor Letter
TIMBALES
Jean-Claude Gengembre
PERCUSSIONS
Renaud Muzzolini, 1er soloFrancis Petit, 1er soloGabriel BenloloBenoît GaudeletteNicolas Lamothe
HARPES
Nicolas Tulliez
CLAVIERS
Catherine Cournot
CHEF ASSISTANTE
Elena Schwarz
RESPONSABLE DE LA COORDINATION ARTISTIQUE
Céleste Simonet
RESPONSABLE ADMINISTRATIVE ET BUDGÉTAIRE
Aurélie Kuan (Raphaële Hurel par intérim)
RESPONSABLE DE PRODUCTION RÉGIE PRINCIPALE
Patrice Jean-Noël
CHARGÉE DE PRODUCTION RÉGIE PRINCIPALE
Chloé Van Hoorde Emilia Vergara Echeverri
RÉGISSEUR
Philippe Le Bour Adrien Hippolyte
RESPONSABLE DE LA PROGRAMMATION ÉDUCATIVE ET CULTURELLE
Cécile Kauffmann-Nègre
CHARGÉE DE MÉDIATION CULTURELLE
Floriane Gauffre
PROFESSEUR-RELAIS DE L’EDUCATION NATIONALE
Myriam Zanutto
RESPONSABLE DE LA BIBLIOTHÈQUE D'ORCHESTRES
Maud Rolland
BIBLIOTHÉCAIRE
Noémie LarrieuAlexandre Duveau
RESPONSABLE DE LA PROMOTION
Laura Jachymiak
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7 webradios sur francemusique.fr+
France Musique en direct
de l’Auditorium de Radio France
Tous les jeudiset vendredis à 20h avec Benjamin François
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PRÉSIDENT-DIRECTEUR GÉNÉRAL DE RADIO FRANCE MATHIEU GALLET
DIRECTION DE LA MUSIQUE ET DE LA CRÉATION CULTURELLEDIRECTEUR DE LA MUSIQUE ET DE LA CRÉATION MUSICALE MICHEL ORIERSECRÉTAIRE GÉNÉRAL DENIS BRETINDIRECTEUR ADJOINT EN CHARGE DE LA PRODUCTION MUSICALE
ET DE LA PLANIFICATION STÉPHANE SPADARÉGISSEUR PRINCIPAL PASCAL BARANZELLIDÉLÉGUÉE GESTION ET RESSOURCES HUMAINES MURIELLE DIVIDÉLÉGUÉ GÉNÉRAL DE L’ORCHESTRE NATIONAL DE FRANCE ÉRIC DENUTDÉLÉGUÉ GÉNÉRAL DE L’ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCE JEAN-MARC BADORDÉLÉGUÉE GÉNÉRALE DU CHOEUR DE RADIO FRANCE CATHERINE NICOLLEADMINISTRATRICE DÉLÉGUÉE DE LA MAÎTRISE DE RADIO FRANCE JEANNE PARIENTERESPONSABLE DU BUREAU DE LA CRÉATION MUSICALE BRUNO BERENGUERDÉLÉGUÉE À L’ÉDUCATION ET AU DÉVELOPPEMENT CULTUREL MARINA SICHANTHORESPONSABLE DE LA PROGRAMMATION ÉDUCATIVE ET CULTURELLE CÉCILE KAUFFMANN-NÈGRE
PROGRAMME DE SALLECOORDINATION ÉDITORIALE CAMILLE GRABOWSKISECRÉTAIRE DE RÉDACTION CHRISTIAN WASSELINRÉALISATION DU PROGRAMME DE SALLE (MISE EN PAGE) PHILIPPE LOUMIET
GRAPHISME PAGES PUBLICITÉ / MAQUETTE PASCALE MONCHARMONT / HIND MEZIANE-MAVOUNGOUCOUVERTURE LOBSTER FILMS / 4e DE COUVERTURE CHRISTOPHE ABRAMOWITZIMPRESSION REPROGRAPHIE RADIO FRANCE
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DIMANCHE 7 JANVIER 11H ET 16H AUDITORIUMLES CLEFS DE L'ORCHESTRE
LUDWIG VAN BEETHOVENSymphonie no9
ANNETTE DASCH sopranoALISA KOLOSOVA mezzo-sopranoCHRISTIAN ELSNER ténorKWANGCHUL YOUN basseJEAN-FRANÇOIS ZYGEL piano et commentaireCHŒUR DE RADIO FRANCELIONEL SOW chef de chœur
ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCEMIKKO FRANCK direction
MERCREDI 10 & JEUDI 11 JANVIER 20H - AUDITORIUMCONCERT DU NOUVEL ANValses, polka, danses slaves...
ORCHESTRE NATIONAL DE FRANCEEMMANUEL KRIVINE direction
VENDREDI 12 JANVIER 20H AUDITORIUMRAMINTA ŠERKŠNYTÉDe Profundis (création française)JEAN SIBELIUSConcerto pour violon et orchestreBÉLA BARTÓKConcerto pour orchestreLISA BATIASHVILI violon
ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCEMIRGA GRAŽINYTE-TYLA direction
SAISON 17/18
PROCHAINS CONCERTS
01 56 40 15 16MAISONDELARADIO.FR