city magazine luxembourg

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www.citymag.lu PHILIPPE’S city magazine luxembourg L’ARCHITECTE CHARGé DE L’EXTENSION DE LA VILLA VAUBAN – MUSéE D’ART DE LA VILLE DE LUXEMBOURG. THE ARCHITECT OF THE VILLA VAUBAN EXTENSION. PHILIPPE'S city magazine luxembourg oktober'09 « Un bâtiment commence à vivre quand le travail de l’architecte est terminé. » “A building starts to live when the architect’s work is finished.” PHILIPPE SCHMIT L a réouverture de la galerie de la Villa Vauban en avril prochain marquera l’aboutissement d’un travail de six ans pour Philippe Schmit, qui a conçu sa nouvelle extension avec Diane Heirend. Soucieux du lien entre art et architecture, il espère que le bâtiment encouragera les visiteurs à découvrir la galerie : « Un bâtiment commence à vivre quand le travail de l’architecte est terminé. » Le projet a évolué naturellement, en conservant ce qu’il nomme un aspect domestique et modeste. « Je voulais mettre en avant le potentiel du site, souligner son histoire. Je ne voulais pas qu’il sur- gisse comme un ovni dans le parc », explique l’architecte. Surtout qu’il connaissait le contexte culturel ayant suivi le débat autour du Mudam et jugeait « très courageux » de la part de la ville de lancer ce projet. « Cela semblait bien improbable au début, mais j’y croyais car les personnes à l’ini- tiative du projet étaient vraiment motivées. » Q T he re-opening of the Villa Vauban gallery next April will be the culmi- nation of six years’ work for Philippe Schmit, who designed its new extension together with Diane Heirend. As someone with a pre-occu- pation with the link between art and architecture, he hopes the building will encourage visitors to discover the gallery. “A building starts to live when the architect’s work is finished,” he says. His design evolved quite naturally, retaining what he calls a humble domesticity. “I wanted to bring out the potential of the site, discover its history. I didn’t want it to be a UFO landing in the park.” Philippe explains. Importantly, he says, he knew the cultural context having followed the debate surrounding Mudam and thought it very courageous” of the city to launch the project. “It seemed quite impro- bable at first, but I believed in it because the people behind the project were truly motivated.” Q NDUNCAN ROBERTS OANDRéS LEJONA

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the official monthly magazine of the City of Luxembourg

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www.citymag.lu PhiliPPe’s city magazine luxembourg

L’architecte chargé de L’extension de La ViLLa Vauban – Musée d’art de La ViLLe de LuxeMbourg. The archiTecT of The Villa Vauban exTension.

PhiliPPe's city magazine luxembourg oktober'09

« Un bâtiment commence à vivre quand

le travail de l’architecte est terminé. »

“A building starts to live when the architect’s work is finished.”

PhiliPPe schmiT

l a réouverture de la galerie de la Villa Vauban en avril prochain marquera l’aboutissement d’un travail de six ans pour Philippe Schmit, qui a conçu sa nouvelle extension avec Diane Heirend. Soucieux du lien entre

art et architecture, il espère que le bâtiment encouragera les visiteurs à découvrir la galerie : « Un bâtiment commence à vivre quand le travail de l’architecte est terminé. » Le projet a évolué naturellement, en conservant ce qu’il nomme un aspect domestique et modeste. « Je voulais mettre en avant le potentiel du site, souligner son histoire. Je ne voulais pas qu’il sur-gisse comme un ovni dans le parc », explique l’architecte. Surtout qu’il connaissait le contexte culturel ayant suivi le débat autour du Mudam et jugeait « très courageux » de la part de la ville de lancer ce projet. « Cela semblait bien improbable au début, mais j’y croyais car les personnes à l’ini-tiative du projet étaient vraiment motivées. » Q

T he re-opening of the Villa Vauban gallery next April will be the culmi- nation of six years’ work for Philippe Schmit, who designed its new extension together with Diane Heirend. As someone with a pre-occu-

pation with the link between art and architecture, he hopes the building will encourage visitors to discover the gallery. “A building starts to live when the architect’s work is finished,” he says. His design evolved quite naturally, retaining what he calls a humble domesticity. “I wanted to bring out the potential of the site, discover its history. I didn’t want it to be a UFO landing in the park.” Philippe explains. Importantly, he says, he knew the cultural context having followed the debate surrounding Mudam and thought it “very courageous” of the city to launch the project. “It seemed quite impro­bable at first, but I believed in it because the people behind the project were truly motivated.” Q

NDuncan roberTs OanDrés lejona

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ConTenTSommaire

FaCes Simone Beissel

Bernard Michaux

Guy Hellers Danielle Koster Carsten Carlberg Sumo

Laurent Mosar

sTories habiTaTion MaxiMising housing availability améliorer l’accès au logemenT Public TransPorT preparing for the Magic bus

eDucaTion putting children first

urbanisme une nouvelle vie pour le Kirchberg Tourisme quatre nouvelles pistes cyclables

culTure nuit des Musées soins gériaTriQues nouvelle Maison de retraite de haMM

ciTy guiDe explorator change d’approche Prix D’arT roberT schuman local artists in the fraMe

ingénierie connexion verticale DiPlomacy

irish state visit

regulars neighbourhooD waTch belair

aT your serVice librairies

communiTies switzerland

city guide

They luxembourg aleKsandra paszKowsKa

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le Site eSt actuellement occupé par pluSieurS pro-priétaireS différentS. cela poSe-t-il un problème ?

Le projet a été grandement simplifié depuis que nous sommes parvenus à acheter le bâtiment de La Luxembourgeoise. Nous aurons aussi très probablement la possibilité d’acheter les bâtiments appartenant actuellement à la Banque de Luxem-bourg. Cela signifie que la Ville de Luxembourg serait pro-priétaire de tous les terrains requis pour démarrer le projet. Nous comprenons le point de vue du copropriétaire demeurant encore au 49 du boulevard Royal et nous poursuivons nos efforts pour obtenir sa coopération, ce qui nous permettrait d’amener ce projet à sa conclusion.

un calendrier a-t-il été établi pour ce projet ? Nous sommes sur le point de lancer la procédure de sélec-

tion des candidats. D’ici la mi-2010, nous espérons avoir trouvé l’architecte lauréat et l’équipe qui investira dans le projet. Nous sommes en effet soumis à certaines contraintes de temps. La Luxembourgeoise ne quittera pas ses bureaux avant 2012. Et nous ne pourrons pas déplacer les services administratifs du Bierger-Center actuel dans les nouveaux locaux de la place Guillaume II avant cette date. Le projet prévoit également la construction d’un nouveau parking sou-terrain au centre Aldringen. Il faudra donc trouver le moyen de compenser ces quelque 300 places perdues dans le cadre de l’agrandissement prévu du parking Knuedler, qui est en prin-cipe décidé, mais qui ne se fera pas du jour au lendemain.

Quel rôle jouera le nouveau centre royal HamiliuS danS l’image de la ville ?

Il s’agit de 6.000 m2 de logements, 9.000 m2 de bureaux et 16.000 m2 d’espace commercial. Nous souhaitons donc une architecture ouverte et très esthétique qui abritera de nouveaux commerces dans l’environnement immédiat du boulevard Royal et créera une rupture avec les façades des immeubles de bureaux qui bordent le boulevard. Nous espérons attirer des marques qui sauront drainer le public vers le centre et vien-dront compléter l’offre commerciale déjà disponible actuelle-ment en ville. Q

tHe Site iS currently occupied by a number of differ-ent ownerS. doeS tHat poSe a problem?

The plans have been made simpler since we managed to pur-chase the La Luxembourgeoise building. We will also very likely have the opportunity to buy the buildings that now belong to Banque de Luxembourg. That would mean that the City of Luxembourg will own all of the land required to start the proj-ect. We are mindful of the interests of the remaining co-propri-etor at 49 boulevard Royal and are pursuing our efforts to get their cooperation, which would nicely round off the project.

HaS a timeframe been eStabliSHed for tHe project? We are about to launch the procedure to select suitable can-

didates. By mid-2010 we hope we will determine the winning architect and the team that will invest in the project. There are indeed a number of time constraints involved. La Luxembour-geoise is not going to leave its building until 2012. And we will not be ready to move our citizens’ services from the current Bierger-Center to its new premises on the place Guillaume II until then. The project also calls for an entirely new under-ground parking at the Aldringen site. An interim replacement for its 300 or so places will have to be found in the planned expansion of the Knuedler car park, which is in principle decided, but which will not happen overnight.

How important will tHe new royal HamiliuS centre be to tHe image of tHe city?

We are talking about 6,000m2 of housing, 9,000m2 of office space and 16,000m2 of retail space. So we are looking for a very attractive type of open architecture that will bring the retail trade closer to the boulevard Royal and break up that frontage of office buildings along the boulevard. We are hoping to attract the right type of retail brand that will be a magnet to draw people into the centre, but complementary to what is currently already available in the city. Q

NDuncan roberTs ODaViD laurenT / wiDe

Paul helminger évoque l’importance du projet du centre royal hamilius. Paul helminger talks about the importance of the royal hamilius project.

La ViLLe PréPare un Projet aMbitieux Pour La création d’un tout nouVeau coMPLexe à La PLace des bâtiMents situés entre Le bouLeVard royaL et La rue aLdringen.The ciTy has ambiTious Plans To builD a branD new reTail, office anD resiDenTial comPlex on The block beTween bouleVarD royal anD rue alDringen.

Centre Hamilius

ennerT eis…entre nouS / between uS

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a record number of construction permits for residential buildings have been granted in 2009. en 2009, un nombre record de permis de construire a été délivré pour des bâtiments résidentiels.

B y the end of August 2009 the city’s popula- tion had risen by 1,000 in just eight months since the magic number of 90,000 was

reached in January. “More people are coming to live in Luxembourg and the population will continue to grow dynamically,” says mayor Paul Helminger. This influx into the city is reflected in urban conurbations around the world, but Luxembourg City faces its own particular set of challenges in ensuring that the growing popu-lation will have adequate housing. Although Helminger says that the city is now granting a record number of construction permits for resi-dential buildings – in the face of a significant deceleration of new office building projects – land is still at a premium. “There is still a lack of affordable living space,” says Anne Brasseur, the outgoing alderwoman in charge of construction.

The college of aldermen has thus decided to undertake a comprehensive inventory of all resi-dential buildings in the city to assess whether they are, indeed, still being used as housing. Over the next two months some 30,000 home owners will be required to complete a detailed questionnaire that will determine whether a home is being used by its owner, being rented to a tenant, being used for other purposes or even vacant. “It is a complex exercise, but one we feel is necessary. Indeed, we were just waiting for the legal instrument to allow us to undertake such

an inventory,” says the mayor. That instrument was provided by the law on rental contracts and residential usage passed by parliament in September 2006. Completing the questionnaire is thus obligatory and there will be one for each residential unit in the city (see box opposite). The survey is being conducted together with CEPS/Instead, whose experts will help the city analyse the results. “This will allow us to establish exactly how great the problem is and we will then see what conclusions can be drawn and what the consequences will be,” says Paul Helminger.

CiTy ProjeCTsThe city itself is doing its bit to make more

housing available. “We are constantly developing projects to increase the number of residential units belonging to the city,” says Anne Brasseur. Cur-rently the city owns a total of 712 of the 1,285 publically owned residential units in the city. That will rise to close to 1,000 with the addition of a further 265 units currently being built. On 21 September the council voted to go ahead with a project to build apartments for the elderly in Merl, for example. At the other end of the age spectrum, housing for students is also being built on the rue de Trèves in the Grund. “Luxembourg should also be a city for young people. Indeed, we want to ensure there is a good population mix and our programme is aimed at people who want to live

in the city but cannot afford today’s private market prices,” Brasseur explains. For the first time the city is also building housing that it will sell. One such project is a block of 42 residential units on city property on the rue Charles VI which the city is developing with the Société Nation-ale des Habitations à Bon Marché. The city will rent the land to the owners of apartments, which will be sold on a 99-year lease. “We want to allow people to live centrally at an affordable price.” A similar project is being developed on the rue de l’Avenir in Limpertsberg.

Other so-called Baulücken (building gap) projects are being developed in three phases on three separate sites following a competition for architects and property developers launched at the end of 2006. This programme will result in a total of 75 residential units, mostly single fam-ily houses, being built and sold to owners already resident in the city who meet a strict set of social criteria. “Most jobs are based in the city, so more people should be able to live here,” says Brasseur. Q

as the PoPuLation of the caPitaL city continues to grow, reserVing sPace for residentiaL PurPoses is a Priority.alors Que la PoPulaTion De la caPiTale ne cesse D’augmenTer, DéDier De l’esPace au logemenT esT une PrioriTé.NDuncan roberTs ODaViD laurenT / wiDe

Habitation

la Ville souhaiTe améliorer l’aCCès au logemenTcity SeekS to optimiSe HouSing availability

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Trèves, dans le Grund. « Luxembourg doit aussi être une ville pour les jeunes. Nous souhaitons en effet une bonne mixité sociale et notre programme est destiné aux personnes voulant vivre en ville mais ne pouvant y parvenir du fait du niveau élevé des prix du marché privé actuel », explique-t-elle. Ainsi, la Ville construit pour la première fois des logements destinés à la vente. L’un de ces projets est un ensemble de 42 appartements construits sur un terrain communal rue Charles VI et que la Ville développe avec la Société Nationale des Habitations à Bon Marché. La Ville louera le terrain aux propriétaires des appartements qui seront vendus sur la base d’un bail de 99 ans. « Nous voulons permettre aux gens de vivre en centre­ville pour un coût abordable. » Un projet similaire est en cours d’élaboration rue de l’Avenir à Limpertsberg. D’autres projets de type Baulücken (lacune dans le tissu urbanisé) sont développés en trois phases sur trois sites distincts suite à un concours destinés aux architectes et aux promo-teurs immobiliers lancé fin 2006. Le programme Baulücken permettra la construction d’un total de 75 logements, principalement des maisons unifamiliales, construites et vendues à des pro-priétaires résidant déjà en ville et répondant à un ensemble strict de critères sociaux. « La plupart des emplois se trouvent en ville, un nombre plus élevé de personnes devrait donc pouvoir y vivre », ajoute Anne Brasseur. Q

F in août 2009, la ville comptait 1.000 habi- tants supplémentaires, huit mois seulement après avoir atteint en janvier le chiffre sym-

bolique de 90.000 résidents. « De plus en plus de gens viennent vivre à Luxembourg et la population devrait continuer de croître fortement », indique le bourgmestre Paul Helminger. Cet afflux vers les villes est visible dans toutes les agglomérations urbaines du monde, mais la Ville de Luxembourg doit faire face à certaines difficultés particulières pour s’assurer que cette population en augmenta-tion dispose de logements adaptés. M. le bourg-mestre indique que la Ville délivre actuellement un nombre record de permis de construire pour les bâtiments résidentiels (les projets de construc-tion de bureaux sont eux en diminution) mais il est toujours difficile de trouver des terrains. « Nous manquons encore d’espace habitable à un prix abordable », explique Anne Brasseur, éche-vin sortant en charge de la construction. Le col-lège échevinal a donc décidé de mener un inventaire complet de tous les bâtiments résidentiels de la ville afin d’évaluer s’ils sont effectivement encore utilisés pour l’habitation. Au cours des deux prochains mois, quelque 30.000 propriétaires devront remplir un questionnaire détaillé per-mettant de déterminer si un logement est occupé par son propriétaire, loué à un locataire, utilisé à d’autres fins ou simplement vacant. « C’est un exercice complexe mais nécessaire. Nous attendions

seulement de disposer de l’outil juridique requis pour réaliser un tel inventaire », précise le bourg-mestre, outil fourni par la loi sur les contrats de location et l’utilisation résidentielle adoptée par le parlement en septembre 2006. Ce question-naire est donc obligatoire et chaque ensemble résidentiel de la ville en recevra un (voir encadré ci-dessus). Cette enquête est menée conjointe-ment avec le CEPS/Instead, dont les experts aideront la Ville à analyser les résultats. « Cela nous permettra de déterminer l’ampleur exacte du problème, nous verrons alors quelles conclusions et conséquences nous pouvons en tirer », explique Paul Helminger.

ProjeTs de la VilleLa Ville elle-même fait de son mieux pour aug-

menter le nombre de logements disponibles. « Nous développons en permanence des projets visant à accroître le nombre d’habitations appartenant à la Ville », explique Anne Brasseur. La Ville possède actuellement 712 des 1.285 logements publics existant en ville, un chiffre qui devrait passer à près de 1.000 si l’on y ajoute les quelque 265 appartements actuellement en construction. Le 21 septembre, le Conseil a notamment donné son accord pour un projet de construction d’apparte-ments pour personnes âgées à Merl. À l‘autre extrémité de la pyramide des âges, la Ville construit actuellement des logements pour étudiants rue de

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1. anne brasseur, outgoing alderwoman responsible

for construction. anne brasseur, échevin sortant

chargé de la construction.

2. Projects supported by the city, such as these future homes

on fond st. Martin, aim to provide a population mix.

les projets soutenus par la Ville, tels que ces futures habitations au fond st. martin, permettent une plus grande mixité sociale.

3. affordable housing is being made available thanks to the baulücken

projects, such as these new residences on rue schetzel in weimerskirch.

Des logements à un prix abordable seront disponibles grâce aux projets baulücken,

tels que ces nouvelles résidences rue schetzel à weimerskirch.

the home owner questionnaires will be distributed over the course of the next two months. completing the questionnaire is obligatory and it must be returned within 30 days of receipt. a central helpline is being made available to anyone requiring assistance in completing the questionnaire. the helpline is open from 1 to 6pm and assistance will be available in Luxembourgish and german (tel. 8002 58 83), french (tel. 8002 58 85), Portuguese (tel. 8002 58 86), english (tel. 8002 58 84) and english for property owners living abroad (tel. +8002 58 58 55 50).les questionnaires destinés aux proprié-taires de biens immobiliers seront distri-bués au cours des deux prochains mois. ce questionnaire est obligatoire et doit être retourné dans les 30 jours suivant la réception. un service d’assistance télé- phonique est actuellement à la disposition des personnes ayant besoin d’aide pour remplir ce questionnaire. cette assistance téléphonique est accessible de 13 à 18h et disponible en luxembourgeois et en allemand (tél. 8002 58 83), en français (tél. 8002 58 85), en portugais (tél. 8002 58 86), en anglais (tél. 8002 58 84) et en anglais pour les propriétaires vivant à l’étranger (tél. 8002 58 58 55 50).

“We want to allow people to live centrally at an affordable price.”

« Nous voulons permettre aux gens de vivre en centre-ville pour un coût abordable. »

anne brasseur

Questionnaire

home owner surVeyQueStionnaire deStiné aux propriétaireS

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l a Ville de Luxembourg vient de publier les résultats d’une étude menée auprès des usagers du bus afin d’obtenir plus de détails sur ce qu’ils pensent des modifications appor-

tées au réseau en septembre de l’année dernière. « Nous voulions également nous assurer que notre stratégie globale était sur la bonne voie », déclare François Bausch, premier échevin chargé de la mobilité. D’une manière générale, les retours concernant les nou-veaux itinéraires et l’augmentation des fréquences de passage sont positifs, les voyageurs appréciant l’introduction de services de bus plus ponctuels. « L’étude confirme ce que les chiffres relatifs aux pas­sagers nous ont également appris, affirme François Bausch. Un nom­bre croissant de personnes utilisent le bus, en particulier sur les itinéraires que nous avons mis en place et améliorés. »

Toutefois, les participants à l’étude ont également manifesté leur déception quant au manque d’informations disponibles aux arrêts de bus et à la ponctualité des bus sur certains itinéraires. Ces critiques seront prises en compte l’été prochain lors du lancement d’un nouveau système automatisé de gestion d’itinéraires.

Cette initiative inclura la mise en place de panneaux électro-niques aux arrêts de bus afin de fournir aux passagers des ren-seignements en temps réel – mis à jour toutes les deux minutes – sur la progression de leur bus. « Ce système permet aussi aux opérateurs du bureau central d’Hollerich de gérer l’intégralité du réseau de bus. Cela implique le maintien d’une circulation fluide en réglant les feux de manière à ce que les bus puissent bénéficier de l’‘onde verte’. L’impact sur l’amélioration de la ponctualité sera considérable. » Ce système a été approuvé par le conseil muni-cipal il y a deux ans pour un coût de huit millions d’euros, et la plupart du travail en amont a déjà été effectuée.

Mais l’étude a aussi révélé que certains nouveaux itinéraires et horaires sont utilisés en deçà de leur capacité. Leur fréquence sera donc réduite. « Les économies seront significatives étant donné l’impact sur le nombre de bus en opération à chaque instant. »

La Ville utilisera les résultats positifs de l’étude dans le cadre d’une nouvelle campagne diffusée dans une dizaine de bus afin d’encourager encore plus de personnes à utiliser le réseau de bus. «Nous devons communiquer avec les personnes qui pensent que le bus ne concerne que les personnes sans argent, déclare François Bausch. Nous leur prouverons que c’est un moyen de transport confortable et efficace. » Q

1. bus passengers will start receiving real time information.

les voyageurs commenceront à obtenir des renseignements en temps réel.

2. More people are using the bus. Plus de gens utilisent le bus.

3. deputy mayor françois bausch. françois bausch, premier échevin.

T he city has just published the results of a survey of bus passengers aimed at finding out in more detail what they think of the changes made to the network in September

last year. “We also wanted to make sure our global strategy was on the right track,” says François Bausch, deputy mayor in charge of mobility. In general the response to the new routes and improved frequencies has been positive, with passen-gers appreciating the introduction of more point-to-point bus services. “The survey affirms what the passenger numbers have also been telling us,” says Bausch. “More people are using the bus especially on the routes we have introduced and improved.”

However, respondents to the survey have also expressed disappointment with the lack of information available at bus stops and also with the punctuality of buses on some routes. These criticisms will be addressed by the introduction next summer of a new automated route management system.

This will incorporate electronic panels at bus stops that will provide passengers with information in real time – updated every two minutes – of the progress of their bus. “The system also allows operators at the central office in Hollerich to manage the entire bus network. That includes keeping bus traffic fluid by operating traffic lights to ensure buses can pass through ‘green phases’. That will have an enormous impact on improving punctuality.” The system was approved by the city council two years ago at a cost of eight million euros, and much of the back office work has already been completed.

But the survey also revealed that some new bus routes and timetables are not being used to anywhere near their capacity. Frequency on these routes will be reduced as a result. “The savings will be significant because of the impact that has on the number of buses in operation at any one time.”

The city will use the positive results of the survey in a new campaign splashed across a dozen city buses to encourage even more people to use the bus network. “We need to com-municate to those people who think taking the bus is just for those without money,” says Bausch. “We can show them that it is a comfortable and efficient means of transport.” Q

one year after the city introduced significant changes to the bus network, it is assessing their iMPact in PreParation for its autoMated ManageMent and inforMation systeM.un an aPrès l’inTroDucTion Par la Ville De luxembourg De changemenTs significaTifs Du réseau De bus, on éValue leur imPacT afin D’en PréParer la gesTion auTomaTiQue eT le sysTème D’informaTion.

Public transport

PréParaTion du Bus magiquepreparing for tHe magic buS

NDuncan roberTs ODaViD laurenT / wiDe

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CiTy memos 1/3

T he city’s 19 schools welcomed close to 5,000 pre-school and primary age children from 80 different nationalities as the new school year started on 15 September. While

teachers are adapting to national changes in the school struc-ture, the city has focussed on the service it provides to staff, pupils and parents. “It is not just about education but about ensuring that Luxembourg is a child-friendly city,” said Viviane Loschetter, alderwoman in charge of education. To this end the city is expanding its network of 24 foyers, with four new day care centres planned for next year and a further four by 2012. In addition, six new kitchens will be introduced during the same period as the city seeks to replace its meal delivery system with food prepared close to the foyers.

l es 19 écoles de la ville ont accueilli près de 5.000 enfants d’âge préscolaire et primaire, de 80 nationalités différentes, alors que débutait la nouvelle année scolaire le 15 septembre.

Tandis que les enseignants s’adaptent aux changements natio-naux qui ont trait à la structure de l’école, la ville concentre ses efforts sur le service qu’elle fournit à l’équipe, aux élèves et aux parents. «Il s’agit non seulement d’assurer l’éducation mais éga­lement de veiller à ce que Luxembourg soit une ville accueillante pour les enfants», a déclaré Viviane Loschetter, échevine char-gée de l’éducation. A cet effet, la ville étend son réseau de 24 foyers scolaires en comptant quatre nouvelles garderies prévues pour l’année prochaine et quatre supplémentaires d’ici 2012. En outre, six nouvelles cuisines seront introduites au cours de la même période, alors que la ville cherche à remplacer son sys-tème de livraison de repas par la préparation de nourriture à proximité des foyers.

the city has reiterated its coMMitMent to ProViding quaLity serVice in schooLs.la Ville réiTère son engagemenT à fournir un serVice De QualiTé Dans les écoles.

NDuncan roberTs ODaViD laurenT / wiDe

Education

PuTTing Children FirsTpriorité aux enfantS

Vel’oh! surPasses 200,000 usersin september the Vel’oh! bicycle hire scheme registered its 200,000th user, indicating that the scheme is popular and that people are changing the way they move around the city. vel’oH! dépaSSe leS 200.000 abonnéSen septembre, le système de location de vélos a enregistré son 200.000e abonné, ce qui prouve que ce système est très prisé et que les citadins modifient leurs habitudes de déplacement. www.veloh.lu

daily rosary Prayersto celebrate Luxembourg’s close connection to the holy rosary, the Porverband notre-dame is inviting worshippers to join them for daily prayers in october to honour the month of the Most holy rosary. Prayers will be said in the notre-dame cathedral at 5.30pm on working days (Monday to friday).prièreS du roSaire QuotidienneS afin de célébrer le rapport étroit entre le luxembourg et le rosaire sacré, le Porverband de notre-Dame invite les fidèles à les rejoindre en octobre afin d’honorer le mois du rosaire le plus sacré. Des prières seront dites dans la cathédrale notre-Dame de luxembourg à 17h30 pendant les jours ouvrables (du lundi au vendredi).Ph

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conseil communal

Expérimentée

P lus tard au cours du mois, quand Simone Beissel devien- dra nouvel échevin de la Ville

de Luxembourg, l’administration y gagnera une élue locale expérimen-tée. Membre du conseil municipal depuis 1991, Mme Beissel devient membre du collège échevinal pour la première fois quand Anne Bras-seur et Lydie Polfer entrent au gou-vernement en 1999. Elle est chargée pendant les six années suivantes des services techniques de la Ville mais aussi de la communication et du logement social. Elle a aussi par deux fois joué le rôle de « rappor-teur » du budget annuel de la Ville. « J’ai toujours été intéressée par les finances urbaines, mais j’ai vrai-ment dû m’y atteler car les finances publiques exigent une logique diffé-rente de celle du secteur privé », explique-t-elle.

En plus d’être une fois encore responsable des services techniques, elle est désormais chargée du bâti-ment et des travaux publics, de l’immobilier, de la topographie et de l’architecture de la ville. « Il est logique que ces services soient rassem-blés sous le même toit car ils doivent opérer main dans la main si l’on veut gérer efficacement le territoire de la ville. » Les services d’urgence tien-dront également une place impor-tante dans le nouveau rôle de Mme Beissel et ils présentent eux aussi leurs propres difficultés. « La ville ne cesse de croître et le service incendie doit faire face à de nombreuses missions plus techniques, comme la protection de l’environnement ou les inter-ventions suite au déversement de produits toxiques sur l’auto-route, et non plus simplement la lutte contre les incendies. » On équipe également les services d’urgence de défibrillateurs, une initiative lancée suite à une étude du Dr Jean Beissel.

Mme Beissel aime visiblement être dans l’action. Le mois dernier, elle a passé un examen de pompier où elle a dû, à la manière de Tarzan, descendre en rappel depuis l’une des tours de la ville. « J’ai fait de l’alpinisme alors je connais bien la des-cente en rappel, mais ç’a été un sacré saut, j’espérais que la corde tiendrait. » Mme Beissel a en effet pratiqué de nombreux sports par le passé, ce qui la place en bonne position pour assu-mer le poste d’échevin chargé des sports. « Je suis vraiment heureuse d’assumer cette responsabilité. Le sport est important pour la santé physique mais aussi mentale et il permet également de transmettre certaines valeurs sociales aux jeunes. »

Avocate expérimentée disposant de son propre cabinet familial et ayant à son actif plusieurs publications, Mme Beissel défend aussi ardemment l’égalité des chances, elle fut d’ailleurs présidente du Conseil National des Femmes du Luxembourg. Vice-présidente du Comité des régions de l’UE à Bruxelles et titulaire de différents autres postes actifs, elle parvient néanmoins à trouver du temps pour sa famille. « J’aime beaucoup travailler, en général 15 à 17 heures par jour. Je manque simplement de sommeil parfois », confie-t-elle avec un sourire. Q

reMPLacer anne brasseur au coLLège écheVinaL ne Va Pas être faciLe Mais siMone beisseL est bien PreParée.rePlacing anne brasseur on The college of alDermen was neVer going To be easy, buT simone beissel is well-PrePareD.

NDuncan roberTs Ojulien becker

W hen Simone Beissel is sworn in as the new alderwoman for Luxembourg City later

this month, the administration will be gaining an experienced local poli-tician. On the council since 1991, Mrs. Beissel first became a member of the College of Aldermen when Anne Brasseur and Lydie Polfer moved into national government in 1999. She spent the next six years in charge of the city’s technical services as well as being responsible for communica-tion and social housing. She has also twice been the “rapporteur” of the city’s annual budget. “I have always been interested in city finances, but I really had to work at that because pub­lic finances require a different logic to the private sector,” she explains.

Now, as well as once again being in charge of the technical services, she is taking on even more responsibili-ties, including the public building, property and topography and city architecture departments. “It is logi­cal for them to be under the same roof because these services have to work hand­in­hand if we want successful land management in the city.” The city’s emergency services are also an important part of Mrs. Beissel’s new role, and they face their own particu-lar challenges. “The city is growing and the fire­fighting service has to

deal with many more technical missions, such as environmental protection and toxic spills on motorways, than just putting out fires.” The emergency services are also being fitted out with more defibrillators, which was an initiative launched following a study by Dr. Jean Beissel.

Mrs. Beissel clearly likes being hands on. Just last month she passed a fire fighter test when she Tarzan-roped from one of the high towers. “I was an alpinist so I am used to abseiling, but this was a real case of jump and hope that the rope holds.” Indeed, Mrs. Beissel did a lot of sport in the past, which will hold her in good stead as the alderwoman in charge of sports for the city. “I am really pleased to take on this responsibility. It is important not only for physical but also mental health and it also provides youngsters with social values.”

An experienced lawyer with her own family practice and sev-eral publications to her name, Mrs. Beissel is also a keen cham-pion of equal opportunities and is a former president of the Conseil National des Femmes du Luxembourg. She is also a vice-president of the EU Committee of the Regions in Brussels and holds various other active posts, yet she still finds time for her family. “I like to work a lot, and 15 to 17 hour days are the norm. I just don’t get enough sleep sometimes,” she says with a smile. Q

« Je suis vraiment heureuse d’assumer cette

responsabilité. »“I am really pleased to take

on this responsibility.”

simone beissel

Simone Beissel, échevin élu. Alderwoman elect.

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the news Makers, decision takers,

scene shakers... each Month we highLight

the PeoPLe worthy of recognition.

les nouVeaux Décisionnaires, les agiTaTeurs

Du momenT eTc... chaQue mois, nous meTTons

en aVanT les gens Dignes D’ÊTre connus.

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www.citymag.lu PhiliPPe's city magazine luxembourg

T The seven museums integrated into the Stater Muséeën network will be hosting their annual Nuit des Musées on 10 October. The event is a chance for visitors to take a

closer and more leisurely look at the museums in the city and always proves to be very popular. The museums put on special events and guided tours, concerts and other live arts perfor-mances as well as meetings with artists and museum personnel.

Of special interest will be an opportunity to see the excellent Murder and Manslaughter exhibition at the Musée d’Histoire de la Ville de Luxembourg and also to take a sneak preview of the new Villa Vauban extension and plant tulip bulbs in its garden. The event begins at 6pm and the museums stay open until 1am (though the last visitors are admitted at midnight). Q

www.statermuseeen.lu

l es sept musées du groupement d’stater muséeën célèbre- ront leur Nuit des Musées annuelle le 10 octobre. Cet événement, qui permet aux visiteurs d’observer les musées

de plus près et de les appréhender de manière plus divertissante dans la ville, s’avère très apprécié à chaque fois. Les musées ont mis en place des activités spéciales et des visites guidées, des concerts et d’autres performances artistiques en direct ainsi que des ren-contres avec des artistes et le personnel du musée.

Il sera particulièrement intéressant d’aller voir la remarquable exposition Crimes de sang au Musée d’Histoire de la Ville de Luxembourg, ainsi que d’apercevoir en avant-première l’exten-sion de la Villa Vauban et d’y planter des bulbes de tulipe dans son jardin. Cet événement commence à 18h et les musées restent ouverts jusqu’à 1h (même si les derniers visiteurs sont admis à minuit). Q

the city’s MuseuMsMiLe is hosting its annuaL Late night oPening.le museumsmile De la Ville De luxembourg célèbre son ouVerTure TarDiVe annuelle.

NDuncan roberTs OmhVl

Culture

nuiT des muséesnuit deS muSéeS

The new geriatric care home in Hamm took a step closer to completion with the laying of the foundation stone by mayor Paul Helminger and the president of the centre’s board Fernand Diederich. The new home, designed by architect Georges Reuter, will have a capacity of 193 sin-gle rooms. Construction is being carried out in three phases to create as little disturbance to cur-rent residents as possible. Q

La maison de retraite de Hamm a franchi une nouvelle étape lors de la pose de la première pierre par le bourgmestre Paul Helminger et le président du conseil d’administration du centre, Fernand Diederich. Conçue par l’architecte Georges Reuter, elle comprendra 193 chambres simples. La construc-tion se déroulera en trois phases afin de réduire au maximum les nuisances pour les résidents actuels. Q

Geriatric care

FoundaTions laid For new home in hammpoSe deS fondationS de la nouvelle maiSon de retraite de Hamm

hôTel de Ville in The Pinkto raise awareness of breast health day on 15 october, the city of Luxembourg – together with the ministries of equal oppor-tunities and health – is illuminat-ing the hôtel de Ville in pink, the colour of the international campaign against breast cancer. a silent vigil by the Pink Ladies will take place at 5pm. organisers europa donna want 400 people to turn up with their pink dolls.Hôtel de ville éclairé en roSeafin de vous sensibiliser à la lutte contre le cancer du sein lors du breast health Day qui a lieu le 15 octobre, la Ville de luxembourg – en collaboration avec les ministères de l’égalité des chances et de la santé – éclaire l’hôtel de Ville en rose, la couleur des campagnes interna-tionales contre le cancer du sein. une manifestation silencieuse appelée Pink ladies aura lieu à 17h. les organisateurs d’europa Donna se fixent comme objec-tif de réunir 400 personnes portant chacune une poupée rose. www.europadonna.lu

sunday markeTnow a well-established event on the third sunday of every month, the next glacismaart takes place on 18 october from 10am to 5pm. Market stalls sell fruit and vegeta-bles, flowers, roast chickens, bric-a-brac and clothes, and a programme of events is provided for children. marcHé dominicalévénement incontournable du troisième dimanche du mois, le prochain glacis-maart aura lieu le 18 octobre de 10 à 17h. les différents étals proposent fruits et légumes, fleurs, poulets rôtis, bric-à-brac et vêtements. un programme d’animations est prévu pour les enfants. www.vdl.lu

seeking sPorTs moniTors the city’s service des sports is seek-ing monitors to help out during next year’s sports weeks programme between june and september. appli-cants must be at least 18 years old on 1 july 2010. applications with a cV and photo to: Ville de Luxem-bourg, service des sports, 5 rue de l’abattoir, L-1111 Luxembourg.À la recHercHe de moniteurS SportifS le service des sports de la Ville cherche des moniteurs qui pourront apporter leur aide durant le programme spécial des semaines sportives qui aura lieu l’an prochain entre juin et septembre. les candidats devront être âgés de 18 ans minimum au 1er juillet 2010. envoi des candidatures accompagnées d’un cV et d’une photo à : Ville de luxembourg, service des sports, 5 rue de l’abattoir, l-1111 luxembourg.www.vdl.lu

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the new Maison de retraite et de gériatrie should be completed by september 2012. la nouvelle maison de retraite et de gériatrie devrait être achevée d’ici septembre 2012.

NDuncan roberTs A georges reuTer archiTecTes

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l a création de quatre nouvelles pistes cycla- bles touristiques vient compléter la promo- tion faite par la ville du vélo comme moyen

de transport mais aussi s’ajouter aux circuits thé-matiques déjà proposés par le Luxembourg City Tourist Office. « Le vélo permet aux visiteurs de découvrir Luxembourg en toute liberté », explique François Bausch, premier échevin chargé de la mobilité. Le directeur du LCTO, Roland Pinnel, confirme: « Vel’oH! est une vraie réussite, mais l’aspect touristique a été jusqu’à présent négligé. » Les nouveaux circuits varient en longueur et dif-ficulté. Ils comprennent une visite de la vieille ville et du quartier de la Gare, un circuit autour du Kirchberg, un itinéraire à travers les parcs de la ville et une découverte de la vallée de l’Alzette. Une carte des circuits est disponible gratuite-ment au LCTO, à l’Office National du Tou-risme, chez les loueurs Vélo en ville et à l’auberge de jeunesse. Q

T he launch of four new bike trails aimed at tourists serves as a complement to the city’s promotion of cycling as a means of transport

and also to the existing theme circuits provided by the Luxembourg City Tourist Office. “Cycling gives visitors the freedom to really discover Luxem­bourg,” says deputy mayor responsible for mobil-ity François Bausch. Director of the LCTO Roland Pinnel agrees. “Vel’oH! has been a real suc­cess story, but the tourist aspect has been missing up until now.” The four new circuits vary in length and difficulty. They include a tour of the old town and the station area, a circuit around the Kirch-berg, a route through the city parks and a tour of the Alzette valley. A map highlighting the four routes and providing details of the most interest-ing sights is available free of charge from the Luxem bourg City Tourist Office, the National Tourist Office and the bike hire centres at Vélo en ville (Biisserwee, Grund) and the city Youth Hos-tel. Cyclists can, of course, use their own bikes or rent a vel’oH! bike to take one of the tours. Q

Les cycListes font Partie du Paysage LuxeMbourgeois. Les touristes PeuVent désorMais eux aussi découVrir La ViLLe en deux roues.cyclisTs haVe become ParT of The lanDscaPe in luxembourg ciTy. now TourisTs can also enjoy The ciTy on Two wheels.

NDuncan roberTs Ojulien becker

Urbanisme

une nouVelle Vie Pour le kirChBergnew life for kircHberg

Tourisme

quaTre nouVelles PisTes CyClaBles four new bike trailS

Le vélo n’a jamais été aussi vert. cycling has never been more green.

Le fonds de kirchberg a dévoilé cer-tains de ses projets pour le quartier. d’ici 2020, le nombre de personnes travaillant sur le kirchberg pourrait

augmenter de 70 % pour passer à 35.000, le nombre de résidents

devrait lui aussi augmenter et attein-dre les 10.000 (soit une augmentation

de 400 %). « idéalement, les gens vivront et travailleront au kirchberg.

ce qui permettra de résoudre les problèmes de circulation »,

explique le ministre claude wiseler. The fonds de kirchberg has unveiled some

of its plans for the neighbourhood. by 2020 the number of people working in kirchberg

could increase by some 70% to 35,000 and the number of residents will also rise

to 10,000 (an increase of 400%). “ideally people will live and work on kirchberg.

Then we would solve the traffic problems,” says minister claude wiseler.

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film

Free association

A short film night at this year’s DirActors festival is the brainchild of Filmreakter, a

platform for the local film industry launched by three young friends who at the time were just starting their careers. “The idea was to form an association to simplify life,” says one of those founders, Bernard Michaux. “We wanted to organise events and show films. But above all we want to encourage others to pur-sue a career in film and not fall into just another job.” Filmreakter is pur-posely maintained as a loose collec-tion – Michaux says there are no real members as such and the organisa-tion has even declined financial support from the Luxembourg Film Fund in order to retain its indepen-dence. “We are really just a network with a website and blog. We wanted to keep our freedom, to be able stop if we wanted to.”

It may not have a membership list, but Filmreakter does rely on its co-founders – including young local film makers Jeff Desom and Govinda van Maele – as well as producer David Grumbach for its continued exis-tence. Indeed, it is van Maele and Grumbach who are organising the network’s contribution to the DirActors festival. “The idea came from Govinda, who had been travel-ling to different festivals with his film Josh. We wanted to create an opportunity for people to see good films and to showcase the work of Luxembourg directors and combine that with interna-tional films.” They approached the DirActors’ organisers and together set up a short film night that will screen four films by Luxembourg directors, each of whom has also chosen an international film to complete the programme.

Michaux, who set up his own production company, Lucil Film, three years ago, will be busy with other projects this autumn. Shooting completed in September on feature film The Runway (a co-production with Ireland), and Tour Of Duty, the documentary he has made with director Frank Grotz about Luxembourg veterans of the Korean War, should also be receiving its premier. He is also working on develop-ing a children’s film with Jeff Desom. As a producer, Michaux would like to see more support for the distribution of Luxem-bourg films. “Sometimes it is too easy for people to make films here, there is always money around,” he says. “But a few young directors are producing really good work and they should receive more international recognition.” Q

www.filmreakter.lu

the next generation of LuxeMbourg fiLM Makers are being giVen a chance to showcase their taLent at this year’s diractors festiVaL thanks to a coLLectiVe Made uP of their Peers. grÂce à un collecTif comPosé De Pairs, la nouVelle généraTion De cinéasTes luxembourgeois aura la chance De monTrer son TalenT lors De la nouVelle éDiTion Du fesTiVal DiracTors.

NDuncan roberTs Ojulien becker

L ’idée d’organiser une nuit du court métrage lors de cette édition du festival Dir­

Actor’s revient à Filmreakter, une association dédiée à l’industrie ciné-matographique locale lancée par trois jeunes amis qui débutaient alors leur carrière. « L’idée était de créer une association pour se simplifier la vie », explique l’un de ses fondateurs, Bernard Michaux. « Nous voulions organiser des animations et projeter des films. Mais nous souhaitons avant tout encourager les autres à poursuivre une carrière dans le cinéma et à ne pas se contenter d’un emploi alimen­taire. » Filmreakter reste volontaire-ment une association assez libre, dont Bernard Michaux précise qu’elle ne compte pas véritablement de membres et qu’elle a même refusé le soutien financier du Film Fund Luxembourg afin de conserver son indépendance. « En fait, c’est un réseau avec un site et un blog. Nous voulions garder notre liberté pour pouvoir tout arrêter si on le souhaitait. »

Filmreakter n’a certes pas de liste de membres, mais l’association doit sa survie à ses co-fondateurs, notam-ment les jeunes cinéastes luxembour-geois Jeff Desom et Govinda Van Maele, ainsi qu’au producteur David Grumbach. Ce sont en fait Van Maele et Grumbach qui sont chargés de la

participation du réseau au festival DirActors. « L’idée vient de Govinda, qui a fait plusieurs festivals pour présenter son film, Josh. Nous avons voulu donner l’occasion aux gens de voir de bons films et présenter le travail de réalisateurs luxembourgeois, tout en y ajoutant des films étrangers. » Ils ont contacté les orga-nisateurs de DirActors et ont créé ensemble une nuit du court métrage qui montrera quatre films réalisés par des cinéastes luxembourgeois, chacun d’entre eux ayant également choisi un film étranger pour compléter le programme.

Bernard Michaux, qui a monté sa propre société de produc-tion, Lucil Film, il y a trois ans, s’attellera à d’autres projets cet automne. Il a achevé en septembre le tournage d’un long métrage The Runway (en coproduction avec l’Irlande) et Tour Of Duty, le documentaire qu’il a réalisé avec le cinéaste Frank Grotz sur les anciens combattants luxembourgeois de la guerre de Corée, devrait également sortir sur les écrans. Il travaille aussi au développement d’un film pour enfants avec Jeff Desom. En tant que producteur, Bernard Michaux aimerait que la dis-tribution de films luxembourgeois soit plus soutenue. « Il est parfois trop facile aux gens de faire des films ici, il y a toujours de l’argent pour ça, dit-il. Mais certains jeunes cinéastes font vrai­ment du bon travail et ils devraient bénéficier d’une meilleure reconnaissance internationale .» Q

www.filmreakter.lu

“Above all we want to encourage others

to pursue a career in film.”« Nous souhaitons avant tout

encourager les autres à poursuivre une carrière dans le cinéma. »

bernarD michaux

Bernard Michaux, producer. Producteur.

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l a nouvelle version du guide présente les res- taurants d’une manière entièrement nou- velle. « Nous souhaitions offrir une lecture

différente en proposant des articles détaillés dédiés à un thème particulier plutôt que de présenter les restaurants un par un », explique Jacques Demarque, critique de longue date qui a coécrit le guide avec Karine Touati. Le guide 2010, publié aux éditions Mike Koedinger, pro-pose également des articles « flashback » reve-nant sur les événements qui se sont déroulés au Luxembourg l’année précédente. L’Explorator City Guide 2010 est complété par un nouveau site web permettant aux lecteurs de donner leur opinion sur les restaurants locaux. Q

T he new guide takes a fresh look at how it presents its restaurant listings. “We wanted to provide a different kind of read, with detailed

articles dedicated to a particular theme rather than presenting restaurants one by one,” says long-serv-ing critic Jacques Demarque who co-wrote the guide with Karine Touati. The 2010 guide, pub-lished by Mike Koedinger Editions, also features “flashback” articles examining the past year’s events in Luxembourg. Explorator City Guide 2010 is complemented by a new website which allows readers to provide their opinions on local restaurants. Q

www.explorator.lu

Didier Damiani, the Luxembourg commis-sioner of the Prix d’Art Robert Schuman, has revealed the four young Luxembourg artists who will exhibit works at the bi-annual contempo-rary art prize this year. Stina Fisch, Paul Kirps, Filip Markiewicz and Pasha Rafiy will represent the capital city. Their works will be up against those of artists from Metz, Saarbrücken and Trier. Q

Didier Damiani, le commissaire luxembourgeois du Prix d’Art Robert Schuman a révélé les noms des quatre jeunes artistes luxembourgeois dont les œuvres seront présentées à l’occasion de cette nou-velle édition du Prix d’art contemporain bisan-nuel. Stina Fisch, Paul Kirps, Filip Markiewicz et Pasha Rafiy représenteront la capitale. Leurs œuvres côtoieront celles d’artistes venus de Metz, Sarrebruck et Trèves. Q

Le LanceMent de La 15e édition d’exPLorator city guide s’est fait Lors d’une soirée à L’exit07, Le 17 sePteMbre. The 15Th eDiTion of exPloraTor ciTy guiDe was launcheD aT a ParTy aT exiT07 on 17 sePTember.

NDuncan roberTs OéTienne Delorme

City guide

exPloraTor Change d’aPProChe explorator cHangeS approacH

Prix d’Art Robert Schuman

loCal arTisTs in The Framecoup de projecteur Sur leS artiSteS locaux

welCome a sTudenTthere is still time to register for the university of Luxembourg’s “wine and dine with…?” day on 11 october. Part of the university’s welcome days programme, the public is asked to invite a student, professor or researcher new to Luxembourg to lunch and show him or her around the city and its environs.accueil d’un étudiant il est encore temps de s’inscrire à la journée « wine and dine with…? » de l’université du luxembourg qui aura lieu le 11 octobre. le programme welcome Days de l’université prévoit notamment de demander au public d’inviter un étudiant, un professeur ou un chercheur ne connaissant pas le luxembourg à déjeuner et de lui faire visiter la ville et ses environs. www.uni.lu

geT your CoaTshops in Luxembourg will be open on sunday 25 october as Luxem-bourg celebrates Mantelsonntag. held on the last sunday before all saints day, Mantelsonntag is a tradition from germany so called because shoppers would go out to buy a new coat for winter.allez cHercHer votre manteau les boutiques du luxembourg seront ouvertes le dimanche 25 octobre, le luxembourg fêtant le mantelsonntag ou « dimanche des manteaux ». célébré le dernier dimanche avant la Toussaint, le mantelsonntag est une tradition qui vient d’allemagne, les acheteurs ayant pour coutume d’aller s’acheter un nouveau manteau pour l’hiver.

wriTing For quaTTroPolefrauke birtsch has been appointed as the first official quattroPole author. she will spend six months living in trier, Metz, saarbrücken and Luxembourg where she will gather material for stories and interviews about the four cities. her efforts will be published early next year.écrire pour Quattropolefrauke birtsch a été nommée premier auteur officiel de QuattroPole. elle séjournera six mois à Trèves, metz, sarrebruck et luxembourg où elle ras-semblera des éléments qui donneront matière à des récits et interviews relatifs aux quatre villes. ses efforts seront publiés en début d’année prochaine. www.quattropole.org

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NDuncan roberTs ODaViD laurenT / wiDe

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NDuncan roberTs I monoPolka

each neighbourhood in the caPitaL city is unique. who better to ask than the PeoPLe who LiVe and work there for adVice on what to do and see in beLair.chaQue QuarTier De la caPiTale esT uniQue. eT Qui esT mieux à mÊme De nous fournir De bons conseils sur ce Qu’il y a à Voir eT à faire à belair Que les gens Qui y ViVenT ou y TraVaillenT ?

Neighbourhood watch

Belair

4 P

Pizzeria Antica Trattoria166, av. du X Septembre, Tél : 26 44 09 44 Run by the same owner as the Trattoria dei Quattro at the Gare, and serving the same good Italian food - including what many believe to be the “best Pizzas in town”. This venue also has a nice playground for children inside with a DVD and plasma screen. Dirigée par le même propriétaire que la Trattoria dei Quattro à la Gare, et proposant les mêmes bons plats italiens – y compris ce que beaucoup estiment être les « meilleures pizzas de la ville ». Cet endroit dispose aussi d’un chouette espace de jeux intérieur pour les enfants avec DVD et écran plasma.Recommandé par Paul Schumacher

5 A

Yogaroom 101, Val Ste-Croix, Tél : 621 49 48 76www.yogaroom.luExcellent yoga studio run by Isabelle Thill. Very welcoming and warm environment and the quality of the teaching is very high. Isabelle’s passion for yoga is really inspiring. Classes are offered both in English and in French - with additional (personalised) input from Isabelle in German and Luxembourgish when needed. Excellente salle de yoga dirigée par Isabelle Thill. Cadre très chaleureux et accueillant et cours de grande qualité. La passion d’Isabelle pour le yoga est une véritable source d’inspiration. Les cours sont donnés en anglais et français – avec explications (per-sonnalisées) d’Isabelle en allemand et luxembourgeois si nécessaire. Recommandé par Claudia Centoni

1 A

Chapter 142, r. Astrid, Tél : 44 07 09, www.chapter1.luThe specialist English language bookshop whose friendly and helpful staff is always eager to help if you are looking for English books, maga-zines, DVD’s or birthday cards. They even open on Sunday mornings from 8.30 a.m. to 1 p.m. for English Sunday papers.Librairie anglaise spécialisée dont le personnel amical et serviable est toujours prêt à vous aider si vous cherchez des livres, magazines, DVD ou cartes d’anniversaire en anglais. C’est même ouvert le dimanche matin de 8h30 à 13h pour les journaux anglais du dimanche.Recommandé par Christiane Sietzen

2 B

Café Bel Air99, Val Ste Croix, Tél : 26 38 37 61 www.cafebelair.luBright and modern, simple and inno-vative, the Café Bel Air and the Adam brothers offer a warm welcome to all-comers. A continually changing menu and wine selection ensure every visit is eagerly anticipated.Lumineux et moderne, simple et innovant, le Café Bel Air et les frères Adam offrent un accueil chaleureux. Un menu et une sélection de vins qui changent constamment font que l’on savoure à l’avance chaque visite.Recommandé par Edward Cottam

3 A

Metzlerei J.-M. Oswald137, av. Gaston Diderich, Tél : 44 65 45www.oswald.luYou may have to queue on a Saturday morning, but the wait is worth it as you will pick up some of the best meat in town at this organic butchers. They even have an excellent menu du jour for take away or delivery in the Belair-Merl area.Vous risquez de faire la file le samedi matin mais ça vaut le coup d’attendre : vous trouverez une des meilleures viandes de la ville dans cette bou-cherie bio. Ils proposent même un menu du jour à emporter ainsi que des livraisons à Belair-Merl.Recommandé par Stefan Melnik

6 P

Restaurant Thailand72, av. Gaston Diderich, Tél : 44 27 66 www.thai.luLek Zimmer introduced Thai cuisine to Luxembourg’s fine dining circuit and continues to serve delicious authentic Thai food. Definitely worth the money, a relaxing and authentic atmosphere, good service and the vegetarian curry is simply the best.Lek Zimmer a introduit la cuisine thaï dans le circuit de la cuisine raffinée à Luxembourg et continue de servir de véritables plats thaï délicieux. Ça vaut largement la dépense, une ambiance relaxante et authentique, un bon service et le curry végétarien est tout simplement le meilleur.Recommandé par Anne Kayser

7 P

Restaurant Bel Canto26, r. d’Amsterdam, Tél : 25 29 69 With Pippo providing a warm welcome this restaurant is a bit of a classic Luxembourg address. Good Italian cuisine, reasonable prices and a nice terrace.Avec Pippo pour vous accueillir chaleureusement, ce restaurant est un peu un classique à Luxembourg. Une bonne cuisine italienne, des prix raisonnables et une agréable terrasse.Recommandé par Rick Larsen

8 P

Pecci at Hotel Albert Premier2A, r. Albert 1er, Tél : 44 24 42-1 www.albertpremier.luThe stylish restaurant headed up by Jean-Marc Tallone serves exqui-site cuisine. It is a discrete yet welcoming venue for dinner with friends or colleagues. The service is what you would expect from the Albert Premier.Ce restaurant chic, dirigé par Jean-Marc Tallone, propose une cuisine raffinée. C’est un endroit discret mais chaleureux pour un dîner entre amis ou collègues. Le service répond à ce qu’on peut attendre de l’Albert Premier.Recommandé par Anders Jönsson

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www.citymag.lu PhiliPPe's city magazine luxembourg

N

Hotcity Stations vel’oH!

K Lignes 6, 7, 8, 12, 22 & CN2

share your FaVouriTe Things

What is the best shop, restaurant, venue

or secret tip in your area? Send your proposal

to [email protected] (including your contact details).

Next neighbourhoods to be featured are Bonnevoie

(deadline 9 October); Cents (deadline 6 November);

Cessange (deadline 3 December).

Quel est le meilleur magasin, restaurant, endroit

ou bon plan dans votre quartier ? Envoyez votre

proposition à [email protected] (ainsi que vos

coordonnées). Prochains quartiers à être épinglés :

Bonnevoie (délai 9 octobre) ; Cents (délai 6 novembre) ;

Cessange (délai 3 décembre).

did you know?

Officially the Parc de Merl is neither in Merl

or Belair but belongs to Hollerich!

Officiellement le Parc de Merl ne se trouve

ni à Merl ni à Belair, mais à Hollerich !

6

10

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P Restaurants B Bars

A Bonus L Travailleurs C Résidents F De passage

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Épicerie Mendes-Duarte124, av. Gaston Diderich, Tél : 44 46 23A convenient place for shopping if you live in the neighbourhood, especially in those emergency situa-tions when you run out of something. This small grocery is open until 7pm weekday evenings and on Sunday mornings, and provides service with a smile.Un endroit pratique pour faire ses courses si l’on vit dans le quartier, surtout dans ces situations d’urgence où l’on se trouve à court de quelque chose. Cette petite épicerie est ouverte jusqu’à 19h en semaine et les dimanches matins. Service et sourire compris.Recommandé par Sally Robertson

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beaumontpublic + königbloc21A, av. Gaston Diderich, Tél : 46 23 43 www.beaumontpublic.comThe gallery has established itself as one of the most innovative and prestigious private art spaces in the city. A wealth of internationally renowned artists have exhibited at the gallery, and if you missed any you can find the catalogues in its adjacent book shop, in collaboration with Walther Koenig from Cologne.La galerie est considérée comme un des espaces d’art privés les plus innovants et prestigieux de la ville. De nombreux artistes de renommée internationale y ont exposé. Et si vous en avez loupé un, vous pouvez trouver les catalogues dans la librairie adjacente, en collaboration avec Walther Koenig de Cologne.Recommandé par Clive Power

Florine & Leo C

Claudine C

Helbert C

Marianne C

Massimo C

Caroline C L

Marie C

Steven C

James CAngélique F

Photographer Véronique Kolber was commissioned to capture the spirit and diversity of Belair in these portraits.La photographe Véronique Kolber a été choisie pour saisir l’esprit et la diversité de Belair dans ces portraits.

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As Guy Hellers and his Red Lions prepare for their penultimate match in World Cup qualify-ing Group 2 on 10 October, the national foot-ball coach knows that his opponents will be especially motivated. Luxembourg is, after all, the only team to have beaten Switzerland in this campaign, and Hellers knows how badly the Swiss players and their coach Otmar Hitzfeld took that shock defeat. “I know professionals and they will be hungry for this match,” says Hellers, himself one of the few Luxembourg footballers to enjoy a professional career. Victory in Swit-zerland in September last year was a high, and Hellers says that although the team has suffered lows (such as the recent defeat to Israel) the fact that this group of young amateurs has collected five points is a definite positive. “It means the Switzerland match will be a sell-out, and nobody expected that.”

Alors que Guy Hellers prépare l’avant-dernier match du Luxembourg dans le cadre du groupe 2 des qualifications de la Coupe du monde, qui ont lieu le 10 octobre, l’entraîneur national de football sait que ses adversaires seront particulièrement motivés. Le Luxembourg est la seule équipe à avoir battu la Suisse dans cette compétition, et Guy Hel-ler sait à quel point les joueurs suisses et leur entraî-neur Otmar Hitzfeld ont mal vécu cette défaite inattendue. « Je connais les professionnels et ils atten­dront ce match avec impatience », déclare-t-il. La vic-toire du Luxembourg en Suisse en septembre dernier était une performance et selon Guy Hellers, même si l’équipe a essuyé des revers (notamment la récente défaite face à Israël), le fait que ce groupe de jeunes amateurs ait marqué cinq points est un élément positif incontestable. « Cela montre que notre politi­que de développement des jeunes talents à l’école nationale de football fait peu à peu ses preuves. Par ailleurs, cela signifie que le match suisse se déroulera à guichets fermés et personne ne s’y attendait. »

www.flf.lu

Celebrating two years of Extrabold, co-owner and curator of the concept store’s art gallery, Sumo, has put on an exhibition of his latest series of Crazy Baldhead paintings. The charac-ter was originally a graffiti tag, his own personal signature, but it has since taken on a life of its own and is constantly developing as Sumo plays with imaginative variants of the original idea. “My mood influences the characters,” he says. Indeed, there is plenty of humour and bold colours in the work, which he says is aimed at demystifying the notion of street art.

Pour les deux ans d’Extrabold, Sumo, copro-priétaire et conservateur de la galerie d’art de la boutique conceptuelle, a organisé une exposition de sa dernière série de peintures Crazy Baldhead. Le personnage a vu le jour sous la forme de tag, où il exprimait la signature personnelle de l’artiste, avant de prendre son envol et d’évoluer au fil des variantes imaginatives de l’idée originale avec les-quelles Sumo se plaît à jouer constamment. « Mon état d’esprit influence les personnages », affirme-t-il. En effet, son œuvre est parsemée d’humour et de couleurs audacieuses qui, selon lui, ont pour vocation de démystifier la notion d’art urbain.

www.extrabold.eu

une regrettable erreur s’est glissée dans l’article consacré au départ de Madame l’échevin anne brasseur, à la page 14 de l’édition de sep-tembre du city Magazine Luxem-bourg. dans cet article intitulé farewell, anne brasseur cite les politiciens avec lesquels elle a eu l’occasion de travailler dans le passé, la plupart n’étant plus de ce monde – tel n’est évidemment pas le cas de l’ancien échevin Léon bollendorff, ancien président de la chambre des députés, qui est en excellente santé et savoure sa retraite méritée.a regrettable error slipped into the article dedicated to the departure of alderwoman anne brasseur on page 14 of the september edition of city magazine luxembourg. in the article, titled farewell, anne brasseur cited those politicians with whom she had had the opportunity to work with in the past. most of those mentioned are no longer with us, which is evidently not the case for former alderman léon bollendorff, the former president of the chambre des députés, who is in excellent health and enjoying his well-earned retirement.

Au Luxembourg, le tennis féminin n’est pas incarné par une joueuse mais par une directrice de tournoi. Danièle Koster organise ce que l’on nomme désormais le BGL BNP-Paribas Luxem-bourg Open depuis sa création comme tournoi d’exhibition en 1991. Beaucoup de choses ont changé en 18 ans et ce tournoi annuel est devenu une étape incontournable du calendrier WTA. Mais certaines choses n’ont pas bougé. « Environ 70 % des 10 membres du comité et des 100 bénévo-les sont les mêmes, précise-t-elle avec une certaine fierté. Nous avons vraiment su créer une ambiance familiale dans l’équipe et le tournoi. » Cette année, Kim Clijsters, joueuse fétiche du public et cinq fois vainqueur du tournoi, fait son retour. « Kim vit une vraie histoire d’amour avec le Luxembourg, explique-t-elle. Il y a dix ans, elle remportait son premier tournoi WTA ici. Quand elle a annoncé son retour (après son bébé), c’est donc la première joueuse que nous ayons invitée. »

Women’s tennis in Luxembourg is not synony-mous with a player but with a tournament direc-tor. Daniele Koster has been in charge of what is now the BGL BNP-Paribas Luxembourg Open since it started as an exhibition tournament back in 1991. Much has changed in those 18 years as the annual event has become a permanent fixture on the WTA calendar. But some things have remained constant. “About 70% of the team of 10 committee members and 100 volunteers are the same,” says Koster with some pride. “We have really created a family atmosphere in the team and at the tournament.” This year’s Luxembourg Open sees the return of crowd favourite Kim Clijsters, a five-time winner. “Kim really has a love affair with Luxembourg,” Koster explains. “Ten years ago she won her first ever WTA tournament here, so when she announced her comeback (after having a baby) she was the first player we invited.”

www.bgl-bnp-paribas-open.lu

Publier un article dans l’une des principales revues de sciences de la vie est une vraie recon-naissance pour tout chercheur. La publication dans Cell d’un texte de l’équipe dirigée par le professeur Carsten Carlberg, chef du service de biologie computationnelle de l’Université du Luxembourg a donc créé l’événement. « Jusqu’à présent, le Luxembourg était peu visible dans les journaux de ce ‘niveau’, mais j’espère que cela va changer. Nous ferons de notre mieux », explique ce dernier. Bien que ces découvertes n’aient sans doute pas d’application immédiate, il précise qu’elles pourraient servir de modèle quant à la manière dont la biologie systémique médicale pourrait opérer à l’avenir. « Le gouvernement soutient ce projet via un partenariat stratégique entre l’université et l’Institute of Systems Biology de Seattle. L’objectif est de disposer à terme au Luxembourg d’entreprises dérivées consacrées au diagnostic médical moderne. »

Having a paper published in one of the leading life sciences journals is great recognition for any researcher. So the publication of a paper in Cell by a team led by Professor Carsten Carlberg, head of Computational Biology at the University of Lux-embourg has caused something of a stir. “So far Luxembourg has not been very visible in that ‘class’ of journal, but I hope this will change in the future. We will do our best,” says Prof. Carlberg. Although the findings may have no immediate application, the professor says they could serve as an example how in future medical systems biology could work. “The Government is supporting this via a strategic part­nership between the University and the Institute of Systems Biology in Seattle. The goal is to eventually have spin­off companies located in Luxembourg, which focus on modern medical diagnosis.”

www.uni.lu

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fooTball

Team Building

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Léon Bollendorff

Tennis

Familiarité

sciences De la Vie

Travail modèle

Guy Hellers, national football coach

Danièle Koster, directrice du tournoi

Professeur Carsten Carlberg, Université du Luxembourg

Sumo, artist and shop owner

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r elier la vallée à la Ville haute via un ascenseur n’est certes pas nouveau. L’ascenseur entre le plateau Saint-Esprit et le Grund fonctionne depuis 1985. L’ascenseur de

Pfaffenthal modifiera néanmoins le paysage urbain et aura quatre fois la capacité de l’ascenseur du Grund : la cabine pourra facilement accueillir 12 personnes et cinq bicyclettes. Il reliera le parc Pescatore, derrière la Banque centrale du Luxembourg, à la rue Laurent Ménager, dans la vallée. Les passagers auront accès à cet ascenseur panoramique construit sur un imposant pilier via une passerelle couverte mais trans-parente surplombant la côte d’Eich. « Ce sera une construction emblématique du paysage de Pfaffenthal », affirme l’architecte Nico Steinmetz.

C onnecting the valley with the upper city in Luxembourg by lift is nothing new, of course. The lift from the St. Esprit plateau down to the Grund has been operating

since 1985. The Pfaffenthal connection will, however, change the skyline of the city and will have four times the capacity of the Grund lift – up to five bicycles and 12 people can easily fit into the cabin. It will connect the Pescatore park, behind the Banque centrale du Luxembourg, with the rue Laurent Ménager in the valley. Passengers will access the panoramic lift, which is built on a massive pillar, via an enclosed but transparent passerelle over the Côte d’Eich. “It will be iconographic in the Pfaffenthal landscape,” says architect Nico Steinmetz.

Les traVaux de construction de L’ascenseur reLiant PfaffenthaL à La ViLLe haute Vont coMMencer.work will soon begin on builDing The lifT To connecT PfaffenThal wiTh The uPPer ciTy.

NDuncan roberTs A sTeinmeTz-De meyer (illusTraTion)

Ingénierie

Connexion VerTiCalevertical connection

The City of Luxembourg is busy preparing for the state visit of Mary McAleese, the president of Ireland, from 13 to 16 October. The visit comes seven years after Grand Duke Henri and Grand Duchess Maria Teresa undertook an offi-cial tour of Ireland in March 2002. President McAleese will be the first Irish president to pay an official visit to Luxem-bourg since Patrick John Hillery in June 1982. Q

La Ville de Luxembourg s’affaire à la préparation de la visite officielle de Mme Mary McAleese, présidente de l’Irlande, du 13 au 16 octobre. Cette visite intervient sept ans après le voyage officiel du Grand-Duc Henri et de la Grande-Duchesse Maria Teresa en Irlande en mars 2002. Mme McAleese sera le premier président irlandais à se rendre en visite officielle au Luxem-bourg depuis Patrick John Hillery en juin 1982. Q

Diplomacy

irish PresidenT’s sTaTe VisiTviSite officielle de la préSidente de l’irlande

jamas TemPlehoused in the extension of the auchan complex in kirchberg this asian fusion restaurant is run by M. wang, a former sushi chef at opium. it has seating for 110 covers and serves a variety of chinese cuisine, teppanyaki and sushi.installé dans l’extension du centre commercial auchan du kirchberg, ce restaurant asiatique fusion est dirigé par m. wang, ancien chef sushi à l’opium. il peut servir 110 couverts et propose un menu varié alliant cuisine chinoise, teppanyaki et sushis.

BeeFBaranother addition to the auchan scene, the beefbar does exactly what it suggests – it serves prime beef from around the world just as the customer would like it. the restaurant chain has developed specially designed ovens to this purpose and the menu includes, for example, 22-month aged black angus beef. autre nouveau venu de l’espace auchan, le beefbar offre exactement ce que son nom laisse supposer : une viande de bœuf de premier choix provenant des quatre coins du monde et préparée afin de satis faire les moindres désirs du client. cette chaîne de restaurants a développé des fours spécialement conçus pour cette utilisation et le menu comprend notamment du bœuf black angus âgé de 22 mois. www.beefbar.com

ProVenCe gourmandecette boutique n’est certes pas vraiment nouvelle : M. et Mme noël ont simplement emménagé dans des locaux plus vastes 332, route de Longwy. Leur magasin spécialisé offre désormais un éventail encore plus large des meilleurs produits de Provence, notamment les froma-ges robert bedot, une sélection de chocolats Michel cluizel ainsi que liqueurs et apéritifs, huiles d’olive, miel et confitures.not exactly new, but m & mme noël have moved address to more expansive premises at 332 route de longwy. Their speciality store now stocks an even wider range of the best produce from Provence, including robert bedot cheeses, a selection of michel cluizel chocolates, liqueurs and aperitifs, olive oils, honey and preserves.

new in Town

Mary Mcaleese is in her second seven-year

term of office as president of ireland.

mme mary mcaleese poursuit son second

mandat de sept ans comme présidente de l’irlande.

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NDuncan roberTs

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ParliamenT

Plus proche

I come from a political family,” says Laurent Mosar. Indeed, the father of the new president of

the Chambre des députés was a long-serving deputy, a city alderman and a parliamentary faction leader. Later he was Luxembourg’s EU Commissioner and at the end of his career ambassador to Rome. “My grandfather was also very interested in politics, so there was a lot of politi-cal discussion and I was asking ques-tions about political news even at a young age. But I have two brothers and I am the only one who was infected by this political virus.”

Mosar will preside over the re-opening of parliament, as is tradi-tional, on the second Tuesday in October. The “first citizen” is clearly proud of his new responsibility. He wants to bring parliament closer to the people. “I hear people saying we have a long holiday, but few people realise the amount of work that actu-ally goes on. Committees convene early in September and sometimes meet on a Saturday or during the holidays if necessary.” He will intro-duce Journées de l’institution, pro-viding the public with a chance to see behind the scenes of the Cham-ber. “Another important aspect is opening parliament to schools by continuing to invite classes into the Chamber. But I also want the Chamber to go into schools and talk about the political situation with youngsters.”

Communication via new media is another priority for the new president. The Chamber’s new internet site will continue to be developed and expanded with a blog and forum, pro-viding interactive access. A presence on Facebook and Twit-ter is also being considered. “Young people want direct contact with politicians via email or sms or a blog. They no longer want to have access via traditional methods such as telephone or a meeting or reading an interview in a newspaper.”

Preparing the Chamber for the Treaty of Lisbon is another challenge Mosar is relishing. “In future parliament will be able to test run directives and enforce the subsidiarity principle. This will require the Chamber to undergo some internal reor-ganization, and I also want to introduce more debates about Europe into the plenary.”

Mosar still sits on the city council following his re-election in the 2005 communal elections, but has decided that his new role is incompatible with any leading role in local politics. “I will keep my seat, because I have a mandate from the voters. But I will withdraw to the second row, as they say, and as long as I am president of the Chamber I will not seek any higher office in local politics.”Q

www.chd.lu

the chaMbre des déPutés reconVenes on the second tuesday in october with a new President.la chambre Des DéPuTés se réuniT à nouVeau le Deuxième marDi D’ocTobre, aVec à sa TÊTe un nouVeau PrésiDenT.

NDuncan roberTs Ojulien becker

J e suis issu d’une famille politi­ que », affirme Laurent Mosar. En effet, le père du nouveau

président de la Chambre des députés a lui-même été député pendant de nombreuses années, conseiller muni-cipal et chef du groupe parlemen-taire, avant de devenir commissaire européen à Luxembourg et de termi-ner sa carrière en tant qu’ambassa-deur à Rome. « Mon grand­père était lui aussi passionné par la politique, donc nous nous lancions très souvent dans des discussions politiques à la maison et, même jeune, on me posait des questions sur les nouveautés politi­ques. Mais, des trois fils, je suis le seul à avoir hérité de cette fibre. »

M. Mosar présidera la réouverture du parlement, comme le veut la tra-dition, le deuxième mardi d’octobre. Le « premier citoyen » ne cache pas sa fierté quant à sa nouvelle responsa-bilité. Il veut rapprocher le parlement de la population. « J’entends certai­nes personnes dire que nous prenons de longues vacances, mais peu d’entre elles réalisent la quantité de travail qui continue à être abattue. Le comité se réunit début septembre et des réu­nions sont parfois organisées le samedi ou pendant les vacances si besoin est. » Il mettra en place les Journées de l’institution, offrant au public l’oc-casion de voir ce qui se passe derrière

les coulisses de la Chambre. « Un autre aspect important consiste à ouvrir le parlement aux écoles en continuant à inviter des sco­laires à la Chambre. Mais je veux également que la Chambre se déplace dans les écoles pour aller discuter de la situation politique avec les jeunes. »

Exploiter les nouveaux moyens de communication est une autre priorité du nouveau président. Le site Internet récent de la Chambre continuera à se développer et à s’étoffer avec un blog et un forum, offrant ainsi un accès interactif. Une présence sur Facebook et Twitter est également envisagée. « Les jeunes veulent un contact direct avec les politiciens, par e­mail, SMS ou sur un blog. Ils ne veulent plus d’un accès via des méthodes tradi­tionnelles telles que le téléphone, une réunion ou une interview dans un journal. »

Préparer la Chambre à l’entrée en vigueur du Traité de Lis-bonne est un autre défi qui ravit M. Mosar. « À l’avenir, le par­lement pourra mettre à l’essai certaines directives et renforcer le principe de subsidiarité. La Chambre devra pour ce faire subir une réorganisation interne, et je souhaite également introduire davantage de débats sur l’Europe lors de la séance plénière. »

M. Mosar continue de siéger au conseil municipal suite à sa réélection aux communales de 2005, mais a décidé que ses nou-velles fonctions étaient incompatibles avec un rôle de dirigeant dans la politique locale. « Je conserverai mon siège, car j’ai reçu un mandat des électeurs. Mais je vais prendre place dans la deuxième rangée, si je puis m’exprimer ainsi, et tant que je suis président de la Chambre, je ne chercherai pas d’autre fonction plus élevée dans la politique locale. » Q

“Young people want direct contact with politicians.”

« Les jeunes veulent un contact direct avec les politiciens. »

laurenT mosar

Laurent Mosar, president of the Chambre des députés. Président de la Chambre des députés.

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F ernand Ernster only decided at a relatively late age to follow in the footsteps of his father and run the family business, the

bookstores that have borne the Ernster name for four generations. “I always thought my father worked too much and I wanted a job where I would have more time for my family,” he explains. “But then at high school I noticed I had a natural entrepreneurial talent.” That included being the first in the queue at the kiosk during school break and buying extra Milka bars that the young Fernand would then sell at a profit to the older kids. He also set up a service with some friends repairing bicycles or shovelling snow in winter. “We were brought up with the idea that we had to work to earn extra pocket money.”

Time BudgeTAlthough he discovered a real passion for

books while learning the business – first as a student with his father, later at the famous Hugendubel bookstore in Munich – it is that entrepreneurial skill that Ernster says is now most valuable to the business. “I regret that I cannot find more time to read books,” he says. “I read a lot of magazines and news, even on the internet, to keep up to date and find new ideas for the business.” Indeed, the internet is restricting what Ernster calls people’s “time budget” for reading books. And it is not an ideal medium for reading. “You are always being distracted on the internet. But reading a book closes off the outside world, and your thoughts become totally focused.”

Libairie Ernster marks its 120th anniversary this year, but it will be a low-key affair. “Tradition can sometimes be mistaken for a lack of dynamism,” explains Ernster. A rebranding process, creating a new homogenous visual identity for the Ernster stores, has begun and will follow through on the chain’s “Esprit de livre” slogan. “We want to share that passion for books,” he says. Ernster is also keen on social corporate responsibility, but was sur-prised when the store won the Prix Féminin de l’entreprise from the ministry for equal opportu-nities in 2007. “It is normal for us to treat people the same,” he says. Ernster’s wife Annick runs the business with him and he freely admits that dur-ing the back to school period she is even more important to the business.

haPPy PersonWhether any of their sons, now aged 17, 15

and 11, will take over the business remains to be seen. He says his successor will have to have the talent and passion of an entrepreneur as well a solid legal education and also managerial expe-rience to be able to take the shop to the next level in what is a rapidly changing business world. “But they all say they can imagine doing the job. They have seen that I spend quality time with them and that I am a happy person. I am a successful person, whatever that means.” Q

our inVaLuabLe guide to the best shoPs and serVices in the caPitaL city this Month takes a Look at the PeoPLe who share a Passion for books with their custoMers.noTre inDisPensable guiDe Des meil-leurs bouTiQues eT serVices De la caPiTale s’inTéresse ce mois-ci à ceux Qui ParTagenT leur Passion Des liVres aVec leurs clienTs.

NDuncan roberTs OanDrés lejona

The joy oF Booksle plaiSir deS livreS

fernand and annick ernster, librairie ernster

C e n’est que relativement tard que Fernand Ernster décide de suivre les traces de son père et de reprendre l’activité familiale : une

chaîne de librairies portant le nom d’Ernster depuis quatre générations. « J’ai toujours pensé que mon père travaillait trop et je voulais un travail qui me laisse plus de temps pour ma famille, expli-que-t-il. Mais au lycée je me suis rendu compte que j’avais un esprit d’entreprise inné. » Une aptitude qui lui permet notamment d’être le premier dans la queue au kiosque à bonbons pendant la récréa-tion et d’acheter des barres Milka supplémentaires qu’il revend ensuite avec bénéfice aux élèves plus âgés. Avec quelques amis, il crée également un service de réparation de bicyclettes ou de déneige-ment en hiver. « Nous avons été élevés avec l’idée qu’il fallait travailler pour nous faire de l’argent de poche. »

BudgeT TemPsBien qu’il se soit découvert une véritable pas-

sion pour les livres en apprenant le métier, d’abord comme étudiant avec son père, puis à la célèbre librairie Hugendubel de Munich, c’est bien cet

“Reading a book closes off the outside world, and your thoughts become

totally focused.”« Quand vous lisez un livre, vous êtes

coupé du monde extérieur et vos pensées se concentrent entièrement sur la lecture. »

fernanD ernsTer

esprit d’entreprise qui constitue selon lui l’atout principal de son activité. « Je regrette de ne plus avoir le temps de lire, confie-t-il. Je lis beaucoup de magazines et d’informations d’actualité, même sur Internet, pour rester à la page et trouver de nou­velles idées pour l’entreprise. » Internet réduit en effet ce que Fernand Ernster appelle le « budget temps » que les gens consacrent aux livres. C’est d’ailleurs un média peu favorable à la lecture. « Sur Internet, vous êtes toujours distrait par quel­que chose, alors que quand vous lisez un livre, vous êtes coupé du monde extérieur et vos pensées se concentrent entièrement sur la lecture. »

Les librairies Ernster fêteront cette année leur 120e anniversaire, qui sera célébré en toute discré-tion. « On confond parfois tradition et manque de dynamisme », explique Fernand Ernster. La mar-que est actuellement en pleine évolution, notam-ment avec la création d’une nouvelle identité visuelle plus homogène pour l’ensemble des librai-ries, et ce processus se poursuivra avec le slogan « Esprit de livre ». « Nous voulons partager notre passion des livres », explique-t-il. Fernand Ernster est aussi très soucieux de la responsabilité sociale

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jean-Paul ternes, libo

Relaxing with a book in the Forum at the Gare branch of LIBO it is easy to see why Jean-Paul Ternes and his team put so much store in mak-ing the customer feel comfortable. “We want to provide customers with the freedom to take a book and read it while enjoying a coffee or snack in a convivial atmosphere,” says Ternes. The Forum (run by Exki) has also been used for book launches and signing sessions is part of what Ternes calls “a more modern idea of a bookstore”, which is completed by a comprehensive range of services, from advice to ordering books.

Si l’on se détend avec un livre dans le Forum de la librairie LIBO du quartier de la Gare, on comprend pourquoi Jean-Paul Ternes et son équipe ont tant tenu à mettre le client à l’aise. « Nous voulons que les clients puissent être libres de prendre un livre et de le parcourir tout en savourant un café ou un encas dans une atmosphère convi­viale », déclare Jean-Paul Ternes. Le Forum (dirigé par Exki) a également servi dans le cadre de lan-cements de livres et les séances de dédicaces font partie de ce que Jean-Paul Ternes décrit comme «une conception plus moderne de la librairie», qui est enrichie par une gamme très complète de servi-ces, allant des conseils à la commande de livres.

Librairie ernster27, rue du fossé centreG 22 50 77J www.ernster.com

fellner art books 4, rue de l’eau centreG 22 04 21J www.fellnerbooks.com

Librairie alinea5, rue beaumontcentre G 22 67 87J [email protected]

chapter 142, rue astridbelairG 44 07 09J [email protected]

Libo11, rue du fort bourbon gare G 40 30 30-1J [email protected]

Owning an independent bookstore is a dream come true for Chris Wilson, and one she pro-bably could not have fulfilled anywhere but Luxem bourg. She took over Chapter 1 ten years ago, having worked in the shop from its opening in 1993. “I would drive home like a kid with a new toy,” says the former teacher. Wilson has always been an avid reader – indeed, as a little girl her mother would admonish her and tell her to “put that book down and do something”. Now she enjoys the thrill of encouraging others to read and recommending new books for her customers.

Posséder une librairie indépendante est un rêve devenu réalité pour Chris Wilson, rêve qu’elle n’aurait probablement pas pu réaliser ailleurs qu’au Luxembourg. Après avoir travaillé à la librairie Chapter 1 depuis son ouverture en 1993, elle la reprend il y a dix ans. « Je suis revenue à la maison comme une gamine qui a un nouveau jouet », explique cette ancienne enseignante qui a toujours été une fervente lectrice. Petite fille, sa mère la grondait en lui disant de « poser ce livre et de faire quelque chose ». Elle apprécie désormais le plaisir d’encourager les autres à lire et de recom-mander de nouveaux livres à ses clients.

chris wilson, chapter 1

Ed Donnersbach likens his job to that of a good sommelier. “I never recommend what is well-known, I like to allow customers to discover something new,” says the owner of Alinea. He has always been passionate about books and even started his own loan library at high school in Echternach. Donnersbach has a strong team of six assistants, all of whom are keen readers. “I give them a fair amount of independence in what books they order. A shop needs a philosophy, and ours is that we stock books that we are con-vinced are good.”

Ed Donnersbach compare son travail à celui d’un bon sommelier. « Je ne recommande jamais de livre déjà connu, j’aime faire découvrir quelque chose de nouveau à mes clients », explique le pro-priétaire de la librairie Alinea. Ce dernier a tou-jours été un passionné de livres et a même créé sa propre bibliothèque de prêt au lycée d’Echter-nach. Ed Donnersbach dispose d’une solide équipe de six assistants, qui sont tous des lecteurs assidus. « Je leur laisse pas mal de liberté concernant les livres qu’ils commandent. Une boutique doit avoir une philosophie et la nôtre est de proposer des livres dont nous sommes convaincus qu’ils sont bons. »

ed donnersbach, librairie alinea

Hans Fellner was astonished at how many people were interested in art and architecture, design and photography when he first opened his specialised bookstore in 1998. “I have a core of regular customers, and learning about books and their subjects is a two-way process,” he says. “I studied history of art and my internal Wikipedia is still growing.” He is passionate about quality books and has great connections with publi-shers, especially in Germany. “They are easy to work with and have the best art books, and their feedback is very important.”

Quand il ouvre sa librairie spécialisée en 1998, Hans Fellner est étonné du nombre de gens inté-ressés par l’art, l’architecture, le design et la pho-tographie. « J’ai un noyau dur de clients réguliers et mieux connaître les livres et leur sujet est un pro­cessus à double sens, explique-t-il. J’ai étudié l’his­toire de l’art et mon Wikipédia personnel ne cesse de se développer. » Il se passionne pour les livres de qualité et a d’excellents contacts avec les grands éditeurs, notamment en Allemagne. « Il est facile de travailler avec eux, ils publient les meilleurs livres d’art et leur feedback est très important pour nous. »

hans fellner, fellner art books

de son entreprise et a été surpris lorsque cette der-nière a remporté le Prix féminin de l’Entreprise du ministère de l’Égalité des chances en 2007. « Il nous paraît normal de traiter tout le monde de la même manière », ajoute-t-il. Son épouse Annick dirige d’ailleurs l’entreprise à ses côtés et il admet volontiers qu’en période de rentrée, son rôle devient encore plus important.

un homme heureuxNul ne sait encore si l’un des fils de Fernand

Ernster, aujourd’hui âgés de 17, 15 et 11 ans, repren dra l’entreprise. Ce dernier explique en tout cas que son successeur devra avoir le talent et la passion d’un chef d’entreprise, une solide formation juridique mais aussi de bonnes con-naissances en gestion pour pouvoir permettre à l’entreprise d’atteindre la prochaine étape dans un univers professionnel qui évolue rapidement. « Mais tous les trois disent qu’ils se voient bien faire ce travail. Ils voient que je passe de bons moments avec eux et que je suis un homme heu­reux. Je suis quelqu’un qui a réussi, quel que soit le sens de ce mot. » Q

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Canada

St. Pierre &Miquelon

Greenland

Alaska

United States

Mexico

GuatemalaBelize

El Salvador

Honduras

Nicaragua

Costa RicaPanama

Cuba

Jamaica

Bahamas

Bermuda

Venezuela

Colombia

Ecuador

Peru

Bolivia

Paraguay

UruguayArgentina

Falkland Is.

Chile

Guyana

SurinameFrench Guiana

Morocco

Algeria

Tunisia

LibyaEgypt

Saudi Arabia

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LuxembourgBelgium

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SardegnaBalearicsIslands

Sicilia

Malta

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SomaliaEthiopia

ChadNigerMaliMauritania

Western Sahara

SenegalThe Gambia

Guinea-Bissau Guinea

Sierra Leone

Liberia

Coted‘Ivoire

BurkinaFaso

Ghana

Togo

Benin

Nigeria

Cameroon

Guinea

Gabon

Cent. Afr. Rep.

Congo Congo(ex-Zaire)

Angola

Zambia

NamibiaBotswana

Zimbabwe

South AfricaLesotho

Swaziland

Mozambique

Tanzania

BurundiRwanda

UgandaKenya

Madagascar

Haiti Dominican Republic

Brazil

swiss aMbassador PhiLiPPe guex teLLs the secret to swiss unity.l'ambassaDeur De suisse, PhiliPPe guex, nous DéVoile le secreT De l'uniTé suisse.

“We had to create a system that

worked.”« Nous devions créer un système

qui fonctionne. »

PhiliPPe guex

i l s’agit d’un pays où le tourisme est élevé au rang de science. Grâce aux Alpes, aux glaciers, au ski et ses paysages sensationnels, la Suisse est

une véritable Mecque pour ses 99 millions de visi-teurs par an. Mais elle n’est pas parfaite. Pour un pays neutre, la Suisse dépense des milliards dans la défense contre les catastrophes. Chaque citoyen, selon la loi, doit avoir un accès rapide à un abri nucléaire. Et il ne fait aucun doute sur les éléments constituant la trousse de secours : les Suisses détien-nent toujours le record du plus grand consomma-teur de chocolat au monde.

La plus forte qualité qui ait forgé leur caractère national est sans doute le solide attachement suisse à la démocratie directe : « Un pour tous et tous pour un. » Comment une communauté d’Allemands, d’Italiens et de Français, chacun ayant sa propre langue et identité régionale, peut-elle converger et devenir une nation ? Selon l’ambassadeur suisse Philippe Guex, « Afin de faire fusionner ces différen­tes cultures, nous devions créer un système qui fonc­tionne. Ce sont en fait les institutions démocratiques qui permettent la cohésion de la population suisse! »

démoCraTie direCTeObtenir un consensus parmi cette population

diverse de 7 millions de citoyens relève du défi. Celle-ci se compose aussi bien de villageois alpins du canton d’Appenzell que de banquiers investis-seurs à Zurich. La solution ? « Demander à la popu­lation de voter, parfois jusqu'à quatre fois par an.»

Les membres du Cercle Suisse de Luxembourg approuvent. Comme tous les Suisses, ils sont appelés à voter sur des questions allant des limitations de vitesse locales à la politique fédérale en matière de drogue. « Même les accords internationaux peuvent être débattus si 50.000 signatures sont obtenues lors d'un référendum », confirme l’ambassadeur. Il s’agit notamment du secret bancaire et des questions sur

les taxes qui ont récemment fait les gros titres. « La décision du 13 mars a marqué un tournant dans notre histoire bancaire. » Quel que soit le résultat final, il s’agit toujours d’un débat natio-nal. Pour les Suisses, le consensus et l’approche de « démocratie directe » sont des devoirs. Un pour tous et tous pour un. Et faites passer le chocolat, svp.

i t is a country where tourism is elevated to a science. The Alps, the glaciers, the skiing and the stunning scenery have made Switzerland

a mecca for 99 million visitors a year. But there are the anomolies as well. For a neutral country, the Swiss spend billions defending themselves against disaster. Every citizen, by law, must have quick access to a nuclear shelter. There’s also lit-tle doubt what will be on the emergency stock list – the Swiss still hold the record for the high-est consumption of chocolate in the world.

Perhaps the strongest quality that has shaped their national character is the solid Swiss belief in direct democracy: “One for all and all for one.” How did a community of Germans, Italians and French – each with a separate language and regional identity – converge as a nation? As Swiss Ambassador Philippe Guex explains, “In order for all of these different cultures to meld, we had to create a system that worked. What really binds the Swiss are our democratic institutions!”

direCT demoCraCyGetting a consensus amongst this diverse pop-

ulation of seven million is challenging. Its citi-zens range from Alpine villagers in the Appenzell to investment bankers in Zurich. The solution? “You ask the people to vote – sometimes four times a year.”

Members of the local Cercle Suisse in Luxem-bourg agree. They, like all Swiss, are called to vote on issues from local speed limits to federal drug policy. “Even international agreements can be challenged if 50,000 signatures are collected in a referendum,” confirms Ambassador Guex. This includes banking secrecy and tax issues that have recently made headlines. “The March 13th decision was a turning point in our banking history.” Whatever the outcome – how much Swiss banks will report to for-eign authorities – will be a matter of national debate. For the Swiss, consensus and the “direct democracy” approach are matters of duty. One for all and all for one. And pass the chocolate, s'il vous plaît.

N Deborah fulTon anDerson O anDrés lejona

Switzerland

Tous Pour unall for one

Page 25: City Magazine Luxembourg

25

www.citymag.lu PhiliPPe's city magazine luxembourg

exPressions

grüezi: hello

Merci vilmal: Thanks a lot

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he Philippe guex, ambassador

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tel: 22 74 74-1 fax: 22 74 74 20

PhiLiPPe guex, swiss ambassador to Luxembourg, ambassadeur de suisse au luxembourg.

swiss soundsdeS airS de SuiSSe

isabeLLe trüb brownPianist and teacherPianiste et professeur

isabelle trüb brown and her husband niall keep their connection to swit-zerland through a shared enthusi-asm for music. she is a pianist and master class teacher and he is a cellist with the orchestre Philharmo-nique du Luxembourg (oPL). together they perform at music festivals in Vevey, on Lake geneva (isabelle’s home city) and ollon in romandy, the french-speaking part of the country. “i’m the fourth gene-ration of pianists in my family.” for the benefit of younger generations isabelle has participated in the amis de l’oPL concerts for children and will also perform in Masks at the Mierscher kulterhaus, with interna-tional mime artist joMi. “Luxem-bourg has a lot to offer on the cultural scene!”isabelle Trüb brown et son mari niall gardent le contact avec la suisse à travers un enthousiasme commun pour la musique. isabelle est pianiste et professeur d’une master class et niall est violoncelliste dans l’orchestre Philarmonique du luxembourg (oPl). ensemble ils participent aux festivals de musique de Vevey, sur le lac de genève (ville de résidence d’isabelle) et ollon en romandie, la partie francophone du pays. « je suis de la quatrième généra-tion de pianistes de ma famille. » au profit des plus jeunes générations, isabelle a participé aux concerts pour enfants des amis de l’oPl et participera également au spectacle masks au mierscher kulterhaus, avec l’artiste de mime international jomi. « le luxem-bourg a beaucoup à offrir sur la scène culturelle! »

helPing The healThycoup de pouce pour reSter en bonne Santé

reguLa sennoccupational health nurse for astf infirmière de santé au travail pour l’asTf

“i like the fact that most of the time i deal with healthy people!” regula senn is an occupational nurse which means that preventive medicine is her forte. she works within Luxem-bourg’s financial sector, giving pre-employment health checks as well as “body composition” exams that can pinpoint cardiovascular prob-lems, glaucoma or even diabetes. “there are so many diseases which are hidden.” though regula may only see patients every two years, she notices real changes in many of them between visits – particularly in body-fat ratios or after they have stopped smoking. “it is very satis-fying to see people make a deter-mined change in their lifestyle.” regula loves the local hiking in Luxembourg, but misses the “real mountains” of switzerland.« j'aime penser que la plupart du temps je côtoie des personnes en bonne santé! » regula senn est infirmière du travail. la médecine préventive, c’est donc son fort. elle travaille au sein du secteur financier du luxembourg, où elle établit des bilans de santé pré-embauche et fait passer des examens médicaux qui peuvent indiquer des problèmes cardiovasculaires, révéler la présence de glaucome et même des problèmes de diabète. « Tant de maladies sont cachées. » bien que regula puisse ne voir ses patients que tous les deux ans, elle remarque de réels changements chez la plupart d’entre eux entre deux visites, notamment sur leur indice de masse corporelle ou leur décision d’arrêter de fumer. «il est vraiment très satisfai-sant de voir des personnes effectuer des changements déterminés dans leur style de vie. » regula adore pratiquer la ran-donnée locale à luxembourg, même si les « vraies montagnes » de suisse lui manquent.

ZuriCh meeTs luxemBourg zuricH rencontre luxembourg

christine kiefferVice President, cercle suisse Luxembourg Vice-présidente, cercle suisse luxembourg

as vice-president of cercle suisse, christine kieffer helps plan the group’s many excursions. the club helps new arrivals to Luxembourg, which christine is now convinced offers a better quality of life than her home country. “it’s like you cry when you come here and you cry when you leave!” christine, a native of Zurich, is married to a Luxembour-ger but maintains swiss traditions in the home. she often prepares a raclette or the Zurich specialty Zürigschnätzlets, veal in cream sauce. “we speak schwitzerdütsch (swiss-german) with each other and my daughter loves the swiss fairy tales and songs.” as for her daugh-ter deborah’s loyalties in this month’s football rivalry between switzerland and Luxembourg, “she has already chosen the swiss flag!”en tant que vice-présidente du cercle suisse, christine kieffer aide à planifier les nombreuses excursions du groupe. le club apporte une aide aux nouveaux arrivants au luxembourg, qui offre – christine en est désormais convaincue – une meilleure qualité de vie que son pays d’origine. « Vous pleurez en arrivant et vous pleurez en partant ! » christine, native de zurich, est mariée à un luxem-bourgeois mais garde néanmoins ses traditions suisses à la maison. elle cuisine souvent la raclette ou le zürigschnätzlets, spécialité suisse, du veau en sauce. « nous parlons schwitzerdütsch (suisse-allemand) entre nous et ma fille adore les contes de fées et les chansons suisses .» et quant au choix footballistique de sa fille Deborah ce mois-ci dans la rivalité entre la suisse et le luxembourg, « elle a d'ores et déjà choisi le drapeau suisse !»

aBouT swiTZerlandPopulation: 7,604,467 (july 2009 est.)capital: berngovernment: confederationPolitical: 2,700 communes, 26 cantonsnational day: founding of the confederation 1 august (1291)official Languages: german, french, italian and romansch country Motto (unofficial): “one for all, all for one”chief of state: President hans-rudolf merz

174 nationalités vivent à Luxembourg dont 1.000 suisses.174 nationalities live in luxembourg, including 1,000 swiss.

Page 26: City Magazine Luxembourg

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12 bonneVoie 30, rue sigismondbassin de natation lu, ve, sa : 8-20h30, ma, je : 7-20h30, di : 8-12hsauna dames lu, ve, sa : 8-11h30, ma, je : 14h30-20hsauna hommes ma, je : 8-11h30sauna mixte lu, sa : 11h30-20h, ma, je, ve : 11h30-14h30, di : 8-12hticket office closes one hour before the pool closesfermeture de la caisse une heure avant la fermeture de la piscineG 47 96 34 71

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Tennis

17 beLair – tennis cLub des arquebusiersVal sainte-croixG 44 50 37

18 baMbësch – tennis sPoraallée des Présidentslu, ma, je : 10-12h, 14h-16h, ve : 10-13hG 46 15 51réservationswww.tennisspora.lu

19 beLair – tennis cLub stadeboulevard napoléon ier

sans réservation, jusqu’à 22hG 45 16 10www.tcstade.lu

20 bonneVoie – tennis cLub115, rue anatole franceG 49 65 95www.tcbonnevoie.com

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serVices & shoPPing

serViCes & shoPPing

Bierger-CenTer

1 centre hamilius, 51, boulevard royal lu-ve : 8-17hG 47 96 22 00 T 26 27 09 99naturalisation : G 47 96 26 40 / 41 86 info-conseils / assistant social : G 47 96 27 51Population registration, certificates, electoral register, identity cards, passports, inscriptions for chèque-service accueil, census, tax cards, affidavits, registered copies, address database, residential parking vignettes, dog registration, payment of council bills etc.registre de la population (inscriptions et radiations), certificats, inscriptions sur listes électorales, titres d’identité, passeports, adhésion chèque-service accueil, recensements, cartes d’impôt, légalisations de signatures, copies conformes, recherches d’adresses, vignettes de stationnement résidentiel, déclarations de chiens, paiement des factures communales, [email protected] www.vdl.lu

5, rue de l’abattoirG 47 96 25 83 (hotline : 691 98 24 63)the sport for all programme is organised by the sports service of the city of Luxembourg. it provides a wide range of sports activities. senior citizens and adults over the age of 16 can participate in over 140 courses in different neighbourhoods of the city. registration takes place all year round. le programme sports pour tous mis en place par le service des sports de la Ville de luxembourg propose une large gamme d’activités sportives. aînés et adultes à partir de 16 ans peuvent participer à plus de 140 cours dans les différents quartiers de la ville. inscription tout au long de l’année.rens. : service des sports de la Ville de luxembourg www.vdl.lu

useFul addressesadreSSeS utileS

CulTure & going ouT

find venue, restaurant

and bar listings on page 28

of city agenda

retrouvez les bars, restaurants

et lieux de loisir à la page 28

du city agenda

sPorT For allSportS pour touS

find the reLeVant city authority, a usefuL address or sPorts faciLities. PLus a guide to city shoPs.Vous TrouVerez ci-Dessous les serVices municiPaux, aDresses uTiles, éTablissemenTs sPorTifs, ainsi Qu’un guiDe shoPPing.

TransPorTtranSportS

21 MobiLiteitsZentraLgare centralelu-ve : 7-19h, sa-di et jours fériés : 10-18hG 24 65 24 65information and advice on the whole range of public transport service and alterna-tive means of transport to the private car, such as ‘soft mobility’renseignements et conseils sur l’offre des services de transports publics et sur les modes de déplacement alternatifs à la voiture individuelle, comme la mobilité doucewww.mobiliteit.lu

taxistaxis colux : G 48 22 33benelux taxis : G 80 02 51 51city taxis : G 48 00 58

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Ventes et réservationsG 24 56 42 [email protected]

markeTsmarcHéS

22 Marchés hebdoMadaires aux Produits frais du PaysPlace guillaume ii et place de Parisme, sa : 7-13h30some 55 stall holders provide a wide range of fresh products such as fruit, vege-tables, organic farm produce, flowers, fish, roast chickensQuelque 55 marchands et jardi-niers offrent une grande diversité de produits frais tels que fruits, légumes, produits de l’agriculture biologique, fleurs, poissons, poulets grillés

23 Marché de bonneVoiein front of the parish churchDevant l’église paroissialeme : 7-12h

24 Marché du gLacisglacis3e dimanche du mois : 10-17h

Page 27: City Magazine Luxembourg

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Philippe schmitPhotographie andrés lejona

est édité par mike koedinger éditions pour le compte de la Ville de luxembourg /is published by mike koedinger éditions for the city of luxembourg

coMité de rédaction /editoriaL coMMittee:Duncan roberts, mike koedinger, geraldine knudson, christiane sietzen, Pascale kauffmann

info-serVicesDépliant français/Deutschéditions VDl

besoin d’aide ?Dépliantfrançais/Deutschéditions VDl

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1. Visit www.vdl.lu. Visitez www.vdl.lu. 2. click on the Parking icon. cliquez sur l'icône Parking.

3. click on the area where you want to park. cliquez sur la zone où vous voulez vous garer.

4. View which car park has available spaces. Visualisez les parkings avec places libres.

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send an email with your name and full address toenvoyez vos coordonnées par mail à : [email protected] téléphonez au 47 96 41 14

rédaction / editoriaL dePartMent:courrier bP 728 l-2017 luxembourgTéléphone 29 66 18-1e-mail [email protected]

journaliste:Duncan roberts (-55)[email protected]

coordinatrice:Déborah lambolez (-56)[email protected]

secrétariat de rédaction:cynthia schreiber

suivi de production:rudy lafontaine

diffusion / distribution:Didier blaes (-28) [email protected]

PhotograPhie:julien becker, Véronique kolber, David laurent, andrés lejona, luc Deflorenne

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direction artistique: guido kröger, Vera capinha heliodoro, maxime Pintadu

Mise en page: stéphanie Poras (coordination),Thomas aubinet, monique bernard, nathalie Petit, claire ramos

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city Magazine Luxembourgparaît onze fois par an / published 11 times a year

tirage / Print run 35.000 exemplaires / copies

issn 2075-8286

© Ville de luxembourg / éditions mike koedinger s.a. Tous droits réservés. Toute reproduction, ou traduction, intégrale ou partielle, est strictement interdite sans autorisation écrite au préalable de l’éditeur.

© Ville de luxembourg / éditions mike koedinger s.a. all rights reserved. reproduc-tion or translation of this publication, either in its entirety or partial, is strictly prohibited without the prior permission of the publisher.

iMPression imprimerie centrale s.a. imprimé sur papier norset Pefc

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good To knowsTreeTs Closedbonnevoieas work continues on new infra-structure and remodelling of the rue Pierre krier, the street remains closed between the rue irmine and the rue des Prés. other streets in the area are also affected by the road works, the first phase of which should be completed by december 2009, with a second phase continu-ing until december 2010.les travaux se poursuivent sur la nouvelle infrastructure et le réaménagement de la rue Pierre krier, cette dernière reste donc fermée entre la rue irmine et la rue des Prés. D’autres rues du quartier sont également affectées par ce chantier dont la première phase devrait être achevée d’ici décembre 2009, la seconde phase se poursuivant jusqu’en décembre 2010.

water pipes are being installed in the rue du Parc, which means that the street is closed between the rue irmine and the rue de la carignan. the street should re-open in december 2009.Des conduites d’eau sont en cours d’installation rue du Parc, la rue est donc fermée entre la rue irmine et la rue de la carignan. elle devrait être rouverte à la circulation en décembre 2009.

Hammen raison du remplacement de conduites d'eau et de gaz princi-pales, la rue de Montmedy est fermée entre la rue ste-catherine et la rue de hamm. fin prévisible des travaux le 30 octobre 2009.Due to work replacing water and gas main pipes, the rue de montmedy is closed between the rue ste-catherine ant the rue de hamm. The works will last until the end of october 2009.

details of current road works in the city at:Détails des travaux routiers en cours en ville sur : www.vdl.lu/chantiers

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www.citymag.lu PhiliPPe's city magazine luxembourg

l e palais grand-ducal est probablement le bâtiment le plus photographié de la capitale. Les touristes s’y rassemblent en foule pour admirer sa façade Renaissance, photographier son balcon richement orné et les

soldats qui le gardent avec solennité. Rares sont ceux qui lèvent les yeux vers le haut du bâtiment et remarquent la série de gargouilles surgissant de l’avant-toit du palais. Rares sont ceux aussi parmi les visiteurs le prenant en photo à savoir que, pendant l’occupation du Luxembourg par les nazis, le palais servit de taverne et de salle de concert.

PaVés FaCTiCesMais c’est la cour intérieure du palais qui recèle le secret le mieux gardé.

Quand Adolphe de Nassau devint le quatrième Grand-Duc du Luxembourg, le 23 novembre 1890, il s’installa dans le palais (tout en conservant Schloss Hohenburg, le château de Haute-Bavière qu’il avait acheté en 1870, comme résidence d’été). Après avoir successivement abrité les administrations de la ville, de la région et du pays, le bâtiment était désormais exclusivement réservé au Grand-Duc. Ce dernier ordonna la rénovation du palais et l’ajout d’une aile supplémentaire. Ces travaux furent réalisés par l’architecte belge Gédéon Bordiau et l’architecte d’État luxembourgeois Charles Arend.

Cependant, Adolphe était manifestement sensible au bruit excessif et il détestait être dérangé par le claquement des sabots des chevaux et des roues des carrosses sur les pavés de la cour intérieure de son nouveau domicile luxembourgeois. Peu de temps après s’être installé dans le palais, il ordonna donc que ces pavés soient remplacés par des pavés factices en bois. Ces pavés de bois amortissaient le bruit des chevaux et des carrosses et ont été con-servés jusqu’à aujourd’hui, même après l’invention de la voiture à moteur et des pneumatiques. Ces pavés sont si bien imités que certains membres du personnel travaillant au palais n’ont pas deviné qu’ils étaient en bois. Q

FaiTsachevé pour la première fois

en tant qu’hôtel de Ville en mars 1573

utilisé comme résidence royale

De 1890 à nos jours

joyeuse apparition au balcon

retour de la grande-Duchesse charlotte

en avril 1945

dernière rénovation

De 1992 à 1996

the grand ducal Palace reveals some fascinating stories.le palais grand-ducal recèle d’histoires fascinantes.

T he Grand Ducal Palace is probably the most photographed building in the capital city. Tourists gather there in groups to marvel at the building’s renaissance facade and take pictures of its ornate balcony

and the soldiers ceremonially guarding the palace. Many fail to look to the top of the building and spot the series of gargoyles emerging near the eaves of the palace. And few who take photos of the building know that during the Nazi occupation of Luxembourg it was used as a tavern and concert hall.

Fake CoBBlesTonesBut it is the palace’s inner courtyard that contains the best kept secret.

When Adolphe of Nassau became the fourth Grand Duke of Luxembourg on 23 November 1890, he took up residence in the palace (although he retained Schloss Hohenburg, the upper Bavarian castle he had purchased in 1870, as his summer residence). The building would now be exclusively used as the Grand Duke’s residence – it had previously been used to house successive city, regional and national governments. Adolphe ordered the building to be renovated and a new wing to be added. That work was car-ried out by Belgian architect Gédéon Bordiau and Luxembourg state architect Charles Arend.

However, Adolphe clearly was sensitive to excessive noise, and he hated being disturbed by the clattering of horses’ hooves and carriage wheels on the cobblestoned interior courtyard of his new Luxembourg home. So, not long after he moved in to the palace, he ordered that they be replaced with fake cobblestones made of wood. The wooden cobbles deadened the sound of the horses and carriages, and even after the introduction of motor car and the pneumatic tyre they remain in situ to this day. They are cleverly disguised, because even some of those who work in the palace have failed to recognise that the cobbles are made out of wood. Q

NDuncan roberTs ODaViD laurenT / wiDe

PoursuiVant notre série sur Les secrets Méconnus des PLus grands MonuMents du LuxeMbourg, Voici L’histoire des PaVés factices du PaLais grand-ducaL.conTinuing our series on The obscure sTories behinD luxembourg’s mosT familiar lanDmarks, The Tale of The fake cobblesTones in The granD Ducal Palace.

Palais grand-duCal tHe grand ducal palace

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PhiliPPe's city magazine luxembourg www.citymag.lu

j e suis sûrement la seule personne au monde à penser que le Luxembourg est avant tout une ville dédiée à la fête. Chaque fois que je viens ici, et cela fait 20 ans que je viens au Luxembourg, c’est à l’occasion d’une

fête. Certains diront que c’est une ville ennuyeuse où il n’y a que des ban-quiers, mais j’y rencontre toujours des gens que je connais et il me suffit simplement de suivre la foule vers le lieu où se déroule l’événement. J’ai découvert le Luxembourg grâce à ma grande amie Bettina Heldenstein qui travaille au Casino. Elle m’a présentée à plusieurs personnes et c’est grâce à elles que j’ai eu l’occasion de travailler sur des défilés de mode ou comme directrice artistique pour des magazines indépendants.

J’aime vraiment le Casino, particulièrement cette année, lors du Colophon ’09, quand les gens y campaient carrément. Cela m’a aussi permis de découvrir de nouvelles galeries. J’aime aller au Chiggeri car la vue sur la vallée y est magnifique et aussi faire du shopping à Hello Beluga, juste au coin de la rue. J’aime également beaucoup la boutique Aller-Retour parce qu’on y trouve des pièces de designers contemporains.

J’aime bien prendre mon vélo dans le train depuis Bruxelles et explorer ainsi la ville. La dernière fois que je suis venue, j’ai aussi amené mon petit ami. C’était sa première visite à Luxem-bourg et il pensait y trouver de nombreuses banques, mais nous nous sommes promenés à vélo dans le Grund et le long de la vallée et finalement, on a vu plus de potagers que de banques. Mais on a eu du mal à retrouver le chemin de la ville car partout où l’on allait, on se retrouvait face à une paroi rocheuse.

J’ai grandi en Pologne et on ne voyageait pas beaucoup. J’ai commencé à être fascinée par les petits pays comme Monaco et Andorre et je pensais que le Luxembourg serait une sorte de Disneyland mais j’ai été déçue de voir que c’était si grand! Q

P

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i must be the only person in the world who thinks Luxembourg is nothing but a party town. Every time I come here, and I have been doing so for almost 20 years, it is for a party. Everyone else may say it is boring and

just bankers, but I always meet people I recognise and follow a crowd to wherever the party is happening. I first came to Luxembourg because of my good friend Bettina Heldenstein who works at the Casino. She intro-duced me to several people and through them I have occasionally come to work for a fashion presentation or done styling for independent magazines.

I really like the Casino, and especially this year during Colophon ’09 when people were basically camping there. That also gave me a chance to see some new galleries. I like to go to Chiggeri because it pro-vides a great view of the valley, and I enjoy shopping at Hello Beluga just around the corner. I also like the Aller-Retour boutique because it stocks contemporary designers.

I like to bring my bike on the train from Brussels and explore the city. The last time I cam I also brought my boy-friend. It was his first visit to Luxembourg and he was expect-ing lots of banks, but we took a bike tour through the Grund and along the valley and we actually saw more vegetable gar-dens than banks. It was complicated to find our way back up into the city though, as everywhere we turned we were con-fronted by a wall of rock.

I grew up in Poland and we didn’t get to travel much. I became fascinated by the idea of all these small countries like Monaco and Andorra, and I thought Luxembourg would be like Disneyland but I was disappointed to find out it was so big! Q

LuxeMbourg attracts internationaL taLent in a Variety of fieLds. each Month we ask a guest to recaLL the ViVid iMPressions of their tiMe in the caPitaL city.luxembourg aTTire le TalenT inTernaTional Dans une granDe VariéTé De Domaines. chaQue mois, nous DemanDons à un inViTé De nous liVrer ses imPressions laissées Par la Ville.

This monTh:aleksandra PasZkowskathe fashion designer settled in brussels after serving her dues at some of the big italian fashion houses such as ermenegildo Zegna and gucci. she decided to do her own thing and launched her y-dress label – “a happy label with a witty, socially-aware take on life’s ironies” – which now has two shops in brussels. aleks now travels all over europe and to japan promoting the label and her unique designs.après avoir fait ses gammes au sein de grandes maisons de couture italiennes comme ermenegildo zegna et gucci, la créatrice de mode s’est installée à bruxelles. elle décide de se consacrer à ses propres créations et lance sa marque y-dress, « une ligne joyeuse avec une approche pleine d’esprit et socialement consciente des ironies de la vie » qui a désormais deux boutiques à bruxelles. aleks parcourt aujourd’hui toute l’europe et le japon afin de promouvoir sa marque et ses modèles originaux.

NDuncan roberTs (inTerView) OanDrés lejona

aleks luxemBourg

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