COMPLEMENT D’INFORMATION AU RAPPORT D’AUTO-EVALUATION DE LA FACULTE DES SCIENCES SOCIALES ET

POLITIQUES - JUIN 2013 INTERNATIONALISATION DE LA FACULTE DES SSP

Sommaire 1. Les différents types d’accords internationaux en vigueur ………………........................ 2 2. Les échanges étudiants de 2011 à 2013…………………………………………………… 3

2.1. Mobilité IN (arrivées) …………………………………………………………………….. 3 2.2. Mobilité OUT (départs) ………………………………………………………………….. 4

3. Visibilité internationale des productions des enseignants ………………………………… 5 3.1. Invitations de collègues étrangers ……………………………………………………… 6 3.2. Déplacements scientifiques à l’étranger ……………………………………………….. 7 3.3. Activités éditoriales, publications, expertises de projets scientifiques………………. 8

4. Conclusion ………………………………………………………………………………………. 9

Liste des Annexes Annexe 1. Liste des établissements par types d’accords Annexe 2. Mobilité IN (répartition par pays) Annexe 3. Mobilité OUT (répartition par pays) Annexe 4. Questionnaire « internationalisation » adressé aux enseignants (juin 2013)

0. Préambule, rappel du contexte Lors des échanges avec les cinq Experts de l’Auto-Evaluation 2012-2013, reçus par la Faculté des Sciences Sociales et Politiques, il s’est avéré qu’un complément d’information sur la « Visibilité de la Faculté au point de vue international » serait le bien venu. En effet, les informations contenues dans le rapport remis n’ont pas assez insisté sur ce point, pourtant important en SSP. Le présent ajout constitue un complément à mettre en perspective du chapitre 8 « Recherche » de notre Rapport. Il apporte des données chiffrées et des ajouts d’information qui permettent de mieux situer l’internationalisation des publications (p. 37 du Rapport), ce qui permet également d’expliquer la croissance non négligeable des fonds obtenus (pp. 36-37 du Rapport). Fonds, pour la plupart issus du FNS, pour lesquels les expertises se font majoritairement via des experts « anonymes », choisis par le FNS et principalement étrangers (les requêtes sont rédigées en Anglais à cet effet). Nous étant engagés à fournir ce complément d’information dans la semaine suivant la venue des Experts, nous n’avons pas eu le temps de faire un travail exhaustif. Cependant, nous avons réalisé un nouveau questionnaire à destination des enseignants (MA, MER, PA, PO), l’avons mis en ligne et obtenu un taux non négligeable de réponses de nos collègues : 75% de la population concernée. Ce taux important, obtenu dans une période d’examens et de colloques, confirme d’une part, l’implication dans cette Auto-Evaluation, et d’autre part, l’intérêt de tous les enseignants et leur engagement dans la visibilité internationale de notre Faculté. Pour ce complément d’information, nous avons retenu trois séries d’indicateurs : les accords internationaux de notre Faculté, les échanges « in » et « out » de nos étudiants, les productions et échanges internationaux de nos enseignants.

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1. Les différents types d’accords internationaux en vigueur La Faculté des SSP a signé 190 accords (dont 172 à l’international) avec d'autres Universités, permettant ainsi à ses étudiants d'effectuer un séjour de mobilité d’un semestre ou d’une année dans une autre Université, en Suisse ou à l’étranger (Cf. Annexe 1.). Cette possibilité s'adresse aux étudiants de la Faculté des SSP :

- dès la 3e année du baccalauréat universitaire (pour la mobilité suisse uniquement, dès le deuxième semestre de la deuxième partie du baccalauréat universitaire) ;

- ou durant la maîtrise universitaire.

Il faut noter que nombre de ces échanges sont accompagnés et/ou suivis d’échanges entre enseignants des différentes universités. En effet, il est fréquent que des rencontres lors de colloques et/ou de jurys et/ou de travaux Européens favorisent les connaissances entre chercheurs et, qu’il soit conclu, à la suite de ces rencontres, des projets Erasmus ou autres. Ces projets bénéficient également à la mobilité des enseignants qui peuvent se déplacer pour réaliser les accords, et pour donner des cours dans ce cadre. Les avantages de ces accords sont nombreux. D’une part, pour les étudiants, ils favorisent les connaissances linguistiques, mais ils contribuent également à améliorer les capacités d’adaptation tant culturelles qu’académiques (autres méthodes d’enseignements, autres théories, autres situations, etc.). Ces éléments constituent des atouts non négligeables au point de vue du développement personnel et de la recherche d’emploi future. D’autre part, les avantages pour la Faculté et les enseignants sont également importants, outre les collaborations mises en place, ces accords permettent également de faire connaître les travaux et recherches en cours et à accroître la visibilité de l’Unil et de la Faculté.

Il existe trois types d’accords permettant aux étudiants et aux enseignants d’effectuer une mobilité à l'étranger :

1. Les " accords Socrates-Erasmus " (92) Ils permettent aux étudiants de la Faculté des SSP d’effectuer un séjour de mobilité dans un pays d'Europe. Ces accords ne sont accessibles qu’aux étudiants de la Faculté des SSP, plus précisément aux étudiants d’une des quatre filières de la Faculté (psychologie, science politique, sciences sociales, sciences du sport).

2. Les " accords facultaires " (21) Les accords facultaires permettent aux étudiants de la Faculté des SSP d'effectuer un séjour de mobilité dans une Université d'un autre continent ou dans une Université européenne. Comme les accords Socrates-Erasmus, les accords facultaires s'adressent uniquement aux étudiants de la Faculté des SSP.

3. Les " accords généraux " (59) Ils permettent aux étudiants d'effectuer un séjour de mobilité dans une Université d'un autre continent ou dans une Université européenne. Ces accords ne sont pas réservés aux étudiants de la Faculté des SSP, mais sont ouverts à tous les étudiants de l’Université de Lausanne (dans la plupart des cas, aux étudiants de toutes les Facultés, sauf la Faculté de Biologie et médecine). La concurrence sur ces accords est donc plus importante que sur les accords Socrates-Erasmus ou sur les accords facultaires.

A noter aussi :

4. Les " accords de mobilité suisse " (18) Enfin, les étudiants ont également la possibilité d’étudier dans une autre Université en Suisse (= mobilité suisse) et de bénéficier d’une bourse, à la condition que la mobilité s’effectue dans une autre ère linguistique

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2. Les échanges étudiants de 2011 à 2013 Depuis quelques années, la mobilité fait aussi l’objet d’encouragements de la part de l’Unil et de la Faculté (informations, suivi des accords par un Vice-Doyen, travail en lien avec les RI de l’Université). Au cours de ces cinq derniers semestres, plus de deux-cents étudiants ont été concernés par la mobilité au niveau international (ces chiffres excluent la mobilité suisse, qui n’est pas négligeable) (Cf. Annexe 2 et Annexe 3.).

Cent-trente étudiants de l’UNIL-SSP sont partis à l’étranger (soit 58% de la mobilité) et nonante-cinq étudiants (42% de la mobilité) sont venus d’établissements situés hors de Suisse pour étudier au moins un semestre à la Faculté des SSP.

2.1 La Mobilité Arrivée/IN Nonante-cinq étudiants provenant d’Universités non suisse sont venus étudier au moins un semestre en SSP au cours de ces deux dernières années. Les chiffres semblent être stables mais nous n’avons pas suffisamment d’historique pour dégager une réelle tendance. Les suivis annuels de l’Auto-Evaluation devraient nous permettre d’avoir une idée plus précise dans les années futures.

SP : Semestre de printemps SA : Semestre d’automne Un examen rapide des pays d’origine des étudiants visiteurs (cf. tableau 2011-2013, ci-dessous) met en évidence qu’une majorité d’entre eux viennent des pays Européens (Espagne, Allemagne, France, Belgique) et qu’une partie non négligeable vient du Canada, pays avec lequel l’Université a conclu des accords spécifiques. Cette tendance devrait s’accentuer dans le futur, elle s’explique également par une proximité linguistique (Français) mais aussi géographique (Europe), ce qui est en congruence avec les accords Erasmus, par exemple.

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On observe une moindre importance dans la mobilité « in » que dans la mobilité « out ». Celle-ci est certainement en lien avec une remarque des étudiants qui concerne le coût de la vie en Suisse. En effet, bien que les frais d’inscription universitaire restent tout à fait raisonnables, le coût de la vie pour un étudiant en Suisse et en particulier pour ce qui concerne le logement reste un problème à traiter à terme, si l’on souhaite favoriser la mobilité « in ».

2.2. La Mobilité Départ/OUT : Cent-trente étudiants de la Faculté des SSP sont allés étudier au moins un semestre dans un établissement étranger au cours de ces deux dernières années. Ici encore nous n’avons pas un historique assez long pour dégager une tendance. Ce sont donc des données à suivre au cours de notre Auto-Evaluation.

SP : Semestre de printemps SA : Semestre d’automne

Il est intéressant de constater que la répartition des destinations ne se fait pas en « miroir » des destinations des visiteurs (cf. tableau ci-dessous). En effet, hormis le Canada avec lequel l’Université a passé des accords spécifiques, les pays de destination restent majoritairement Européens mais sont majoritairement « non » francophones (Allemagne, Espagne, Irlande, Grande Bretagne, Italie). Si bien qu’on peut penser que nos étudiants cherchent à privilégier la confrontation avec d’autres cultures linguistiques et qu’ils valorisent cet apport. Les pays destinataires sont également plus variés et représentent toutes les parties du monde, ce dont on ne peut que se réjouir.

Au total, la mobilité des étudiants des SSP est assez variée et dans la moyenne des mobilités européennes, on peut toutefois penser que les incitations (en projet) à la mobilité comme aux stages et à la professionnalisation pourraient accentuer cette mobilité et il est nécessaire d’inclure ce suivi dans les futures données de l’Auto-Evaluation.

0 2 4 6 8

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Mobilité-IN, pays de provenance

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3. Les productions et échanges internationaux des enseignants Suite à la demande des experts, une courte enquête a été proposée à nos collègues afin de mieux documenter les caractéristiques principales de leurs relations à l’international (Cf. Annexe 4.).1 Vu le temps imparti, le questionnaire n’a pu être testé, cependant on peut se réjouir du taux de participation, en une période académique fort chargée : plus des trois quarts des personnes contactées, professeurs, maître-assistants et maîtres d'enseignement et de recherche, ont répondu (79 exactement).

Le tableau suivant résume la distribution des diverses positions académiques, les quelques « non-répondants » ayant sauté cette dernière question, placée en fin de questionnaire. Frequency Percent Valid Percent Maître assistant 7 8.861 9.859 MER 24 30.380 33.803 Professeur assistant 5 6.329 7.042 Professeur associé 14 17.722 19.718 Professeur ordinaire 19 24.051 26.761 Autre 2 2.532 2.817 NA's 8 10.127 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!1 Le questionnaire est annexé à ce bref rapport. Il faut toutefois noter que les « menus déroulants» d'un programme

informatique ne peuvent être reproduits sur le papier ce qui explique la présentation obtenue.

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Le questionnaire devait couvrir les « relations internationales » à travers trois champs : l'invitation de collègues étrangers, les voyages scientifiques à l'étranger et la dimension internationale du travail scientifique et éditorial.

3.1. Invitations de collègues étrangers : Les trois quarts de nos collègues, parmi les répondants, ont invité (au moins) un « pair » étranger, soit 62 sur 79. Il faut noter ici un gradient suivant la position : cela concerne quasiment tous les PO tandis que « seulement » les deux tiers des MER le font. Comme le montre le graphique ci-dessous, le premier motif de ces invitations reste l’apport l’invitation d’un conférencier externe. Cependant, la participation aux jurys de thèse, la participation à un colloque sur place ou la réunion d'un petit réseau de recherche sont aussi fréquemment mentionnées.

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La provenance des invités montre que, le plus fréquemment, ils viennent de France (pays proche culturellement, géographiquement et au point de vue linguistique (cf. graphique ci-dessous). Près de 80 % des collègues ont invité un conférencier venant de France, mais les autres pays sont aussi présents : deux cinquièmes des intervenants proviennent de Grande Bretagne, un quart d'Allemagne et quasiment autant d'Italie, les USA et le reste provenant du monde entier hors Benelux ou pays nordiques. !

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3.2. Déplacements scientifiques à l'étranger Le schéma est ici très semblable mais avec une fréquence encore plus haute : plus de 80% de nos répondants a été à l'étranger2 et s'il ne s'agit « que » de plus des trois quarts des MER, ce sont la quasi-totalité des professeurs. Parmi les raisons de ces déplacements, donner une conférence est mentionné dans quatre cas sur cinq et participer à un colloque dans deux cas sur trois. A ces raisons « classiques », il faut ajouter qu'un collègue sur deux a participé à un jury de thèse à l'étranger et un sur deux à une commission de recrutement. En d'autres termes, pour l'essentiel de nos collègues, la fréquentation d'institutions académiques hors de Suisse paraît importante et bien réelle, et les motifs pour ce faire sont variés.

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!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!2 65 sur 79, sachant que 5 n'ont pas répondu à cette question.

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Concernant les destinations prioritaires de ces déplacements, pour 80 % des répondants la France reste un des pays les plus concernés. Dans dans un cas sur 3, le Benelux a été cité, et dans un cas sur quatre ce sont l'Allemagne, la Grande-Bretagne ou l'Italie. Ici les USA sont moins souvent évoqués avec un cas sur six mais la diversité est grande car pour un répondant sur trois le reste de l'Europe a été visitée et dans la même proportion il s’agissait du reste du monde.

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3.3. Activités éditoriales, publications, expertises de projets scientifiques Le déplacement physique n'est pas le seul moyen d'échanges scientifiques. Si nous n'avons pas questionné les moyens virtuels comme « Skype » ou les formes de vidéo-conférences, la question des publications et des activités éditoriales nous a paru cruciale, qu'il s'agisse de la révision d'articles pour des journaux à politique éditoriale reconnue, la publication dans des journaux à forte vocation scientifique où l'évaluation de projets ou de programmes de recherches pour des organismes nationaux ou internationaux.

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A) Participation à des comités éditoriaux Parmi les répondants, 31 mentionnent être membres d'un comité éditorial (plusieurs revues pour certains), soit un peu moins de la moitié. La réponse est ici très liée à la position académique: aucun MA, 1/3 des MER mais plus des 2/3 des professeurs occupent une telle charge. B) Révision d’articles dans des revues internationales Au point de vue du travail d’expertise éditoriale pour des revues internationales, l’activité est très fréquente, puisque c'est le fait de quasiment les trois quarts des répondants (58/ sur 79). Là aussi une petite différence suivant le statut puisque il n'y a que très peu de professeurs qui ne se prêtent pas à un tel exercice. B) La publication dans des revues internationales Là aussi la grande majorité des répondants affirment l'avoir fait ces deux dernières années : environ les quatre cinquièmes des répondants et la quasi unanimité des professeurs. Cet indicateur doit être « croisé » avec les informations disponibles sur Unisciences, pour chaque enseignant, sous l’onglet « publications ». Pour avoir une idée plus rapide de ces publications, on peut également aller directement sur le site de chaque Institut et choisir l’onglet « publications ». Un rapide examen de ces pages met en évidence l’activité éditoriale de chaque membre, indique les titres de toutes les publications de l’Institut par année, par type de revue, et donne toutes les informations nécessaires pour s’y référer. www.unil.ch/ip www.unil.ch/ssp www.unil.ch/iepi www.unil.ch/issul www.unil.ch/osps www.unil.ch/ihes C) Expertise de projets scientifiques pour des organismes nationaux ou internationaux Là encore le portrait est intéressant : environ la moitié des répondants affirme avoir fait de telles expertises, avec un gradient suivant la position : tous les professeurs ordinaires affirment avoir réalisé de tels travaux. Un rapide examen des réponses ouvertes montre une grande importance du monde francophone, y compris canadien, mais aussi une présence non négligeable des organismes britanniques ou des projets européens. Enfin, à remarquer que dans la mesure où les chiffres sont en général très élevés, une désagrégation par instituts ou laboratoires ne nous a pas semblé pertinente ici. Ce type de données doit cependant trouver sa place à moyen terme dans le système de monitorage de la recherche dans notre faculté !4. CONCLUSION Au total, nous avons pu voir que la Faculté des Sciences Sociales et Politiques tire de grands bénéfices des possibilités d’accords internationaux, au point de vue des Instituts, des Facultés et/ou des Universités (Cf. site des Relations Internationales, www.unil.ch/echanges/). Ceux-ci permettent à de nombreux étudiants du monde entier de bénéficier des enseignements dans la Faculté, comme ils permettent à de nombreux étudiants de la Faculté de partir dans d’autres Universités dans le monde. Ces échanges favorisent également les déplacements et rencontres entre professeurs que ce soit autour des enseignements ou de la recherches, le plus souvent les deux. A terme, cette mobilité devrait s’accroître du fait de l’intérêt des étudiants pour la professionnalisation et les stages, et du fait de l’implication croissante des enseignants dans la mobilité. Pour ce qui concerne les activités internationales des enseignants, dans les publications, les expertises et/ou la recherche, même si les résultats sont difficile à généraliser en l'absence de données décrivant d'autres universités ou d'autres facultés comparables, notre courte enquête met en évidence une internationalisation assez importante et surtout bien diversifiée. Certes la France

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reste le pays le plus souvent sollicité (ou sollicitant), mais il existe des contacts, importants, avec bien d'autres pays dans le monde y compris hors Europe. Les motifs des déplacements ne se limitent pas à une conférence ou à un colloque mais incluent aussi la participation à des réseaux de recherche ou d'autres types de liens y compris la réalisation de projets de recherche et/ou publications communs. L'activité éditoriale est aussi variée et indique que la Faculté présente une bonne insertion dans la communauté scientifique. En outre, il est, dans un sens, rassurant de voir une progression dans la carrière, les professeurs ordinaires, en particulier, ayant des relations internationales plus nombreuses et plus nourries. En même temps, c'est aussi un signal indiquant la nécessité d’être vigilants quant à une répartition des ressources qui soit équivalente pour tous, y compris pour les postes de relève. Au total, la richesse des activités éditoriales reste un bon indicateur de la visibilité des travaux et des réseaux tissés à l’international par les SSP. Il faudrait également ajouter à ce panorama, les nombreux contacts éditoriaux avec les éditeurs d’ouvrages scientifiques dans le monde, et l’importance des publications d’ouvrages en français et/ou en anglais. Nous remarquons, toutefois, que d’autres indicateurs de l’Internationalisation des activités de la Faculté, plus détaillés, devraient être mis en place pour une prochaine Auto-Evaluation. Fabien Ohl, Doyen Marie Santiago Delefosse, Vice-Doyenne, Qualité et Evaluation Dominique Joye, Vice-Doyen, Recherche Jean-Philippe Leresche, Vice-Doyen, Enseignement David Giauque, Vice-Doyen, Ressources Humaines et Relève Roseline Costaz-Singh, Adjointe de Faculté Anne de Muralt Vocat, Chargée de recherche, Qualité et Evaluation

Annexe 1. : Liste des établissements, par filière d’études et par type d’accord

Psychologie (21) Science politique (26) Sciences sociales (29) Sciences du sport (16)

Accords Socrates-Erasmus (92)

Belgique -Université Catholique de Louvain -Université Libre de Bruxelles (ULB) Espagne -Universidad de Lleida -Universidad Autónoma de Madrid -Universidad de Oviedo -Universidad de Valencia Finlande -University of Helsinki France -Université Blaise Pascal, Clermont-Ferrand II -Université Catholique de Lyon -Université de Paris-Nanterre, Paris X -Ecole de Psychologues Praticiens (Paris) -Université de Paris Diderot, Paris VII -Université de Poitiers -Université de Rouen Haute-Normandie -Université de Toulouse Le Mirail / Toulouse II Italie -Università degli Studi di Padova 'Il Bo' -Università degli Università degli Studi di Parma -Università degli Studi di Roma 'La Sapienza' Portugal -Universidade de Coimbra Turquie

Allemagne -Eberhard Karls Universität, Tübingen -Freie Universität Berlin -Gesamthochschule Kassel Universität -Johann Wolfgang Goethe-Universität, Frankfort/Main -Ruprecht Karls Universität, Heidelberg -Universität Konstanz -Universität Leipzig Belgique -Université Libre de Bruxelles / ULB -Vrije Universiteit Brussel Danemark -Copenhagen Business School Espagne -Universidad Pompeu Fabra Barcelona -Universidad de Granada France -Ecole Pratique des Hautes Etudes, Paris -Université Charles De Gaulle, Lille III -Institut d'Etudes Politiques, Bordeaux -Institut d'Etudes Politiques de Grenoble -Université Panthéon-Sorbonne / Paris I -Sciences Po Paris -Université de Strasbourg Irlande -University College Dublin Italie -Università degli Studi di Firenze -Università degli Studi di Teramo Pays-Bas -Universiteit van Amsterdam Portugal -Universidade de Coimbra Turquie

Allemagne -Friedrich-Schiller-Universität Jena -Universität Bremen -Universität Erfurt Belgique -Université de Liège -Université Catholique de Louvain Bulgarie -New Bulgarian University, Sofia Danemark -University of Copenhagen Espagne -Universitat Autònoma de Barcelona -Universidad de Granada -Universidad Autónoma de Madrid -Universidad de Valencia Finlande -Abo Akademi University Turku -University of Helsinki France -Université Blaise Pascal, Clermont-Ferrand II -Ecole Pratique des Hautes Etudes, Paris -Université Charles De Gaulle / Lille III -Université de Paris-Nanterre / Paris X -Université des Sciences et Technologies de Lille -Université Lumière / Lyon II -Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, Paris -Université de Toulouse Le Mirail / Toulouse II Grande-Bretagne

Allemagne -Humboldt Universität zu Berlin Autriche -Universität Innsbruck -Universität Salzburg Belgique -Université Catholique de Louvain Espagne -Instituto Vasco de Educación Fisica (SHEE/IVEF), Vitoria -Universidad de Granada -Universidad de Las Palmas de Gran Canaria -Universidad del País Vasco, Bilbao Finlande -University of Jyväskylä France -Université de Paris-Nanterre / Paris X -Université de Rennes 2 - Haute Bretagne -Université de Rouen Haute-Normandie Grande-Bretagne -Birkbeck College (University of London) Irlande -University College Dublin / UCD République Tchèque -Charles University in prague Suède -Malmö University

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-Galatasaray University, Istanbul -Istanbul University

-Dokuz eylul universitesi (Izmir) -Galatasaray University

-University of York Irlande -University College Dublin Italie -Università degli Studi di Messina -Università degli Studi di Milano Bicocca -Università degli Studi di Teramo République Tchèque -University of South Bohemia in České Budějovice Roumanie -Université de Bucarest Turquie -Galatasaray University

Psychologie (6) Science politique (5) Sciences sociales (7) Sciences du sport (3)

Accords facultaires (21)

Brésil -Pontifícia Universidade Católica do Rio de Janeiro (PUC-Rio) Canada -University of Western Ontario -Université de Sherbrooke Croatie -University of Zagreb Inde -University of Delhi Maroc -Université Hassan II - Aïn Chock, Casablanca

Brésil -Universidade Federal de Santa Catarina (UFSC) -Pontifícia Universidade Católica do Rio de Janeiro (PUC-Rio) Canada -University of Western Ontario Croatie -University of Zagreb Maroc -Université Hassan II - Aïn Chock, Casablanca

Brésil -Pontifícia Universidade Católica do Rio de Janeiro (PUC-Rio) Canada -University of Western Ontario -Université du Québec à Montréal / UQAM Croatie -University of Zagreb Maroc -Université Hassan II - Aïn Chock, Casablanca Mexique -Universidad Nacional Autónoma de México Niger -Université de Niamey

Canada -Université Laval, Québec -University of Western Ontario Maroc -Université Hassan II - Aïn Chock, Casablanca

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Accords généraux (2014-2015) pour toutes les Facultés, sauf médecine (59)

Afrique du Sud: Stellenbosch University, Stellenbosch Albanie: University of Tirana, Tirana Allemagne: Eberhard Karls Universität Tu�bingen / Freie Universität Berlin, Berlin / Universität Osnabru�ck, Osnabru�ck Argentine: Universidad de Belgrano, Buenos Aires Australie: Macquarie University, Sydney / University of New South Wales, Sydney / University of Queensland, Brisbane / University of Sydney, Sydney / University of Technology Sydney (UTS, Sydney) Brésil: Universidade Estadual de Campinas, Campinas Canada: Bishop's University, Lennoxville / Concordia University, Montréal / McGill University, Montréal / University of British Columbia / UBC, Vancouver / University of Waterloo, Waterloo (Ontario) / Université d'Ottawa, Ottawa / Université de Montréal, Montréal / Université de Sherbrooke, Sherbrooke / Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, Rouyn-Noranda / Université du Québec en Outaouais, Gatineau / Université du Québec à Chicoutimi, Chicoutimi / Université du Québec à Montréal, UQAM, Montréal / Université du Québec à Rimouski, Rimouski / Université du Québec à Trois-Rivières, Trois-Rivières / York University, Glendon College, Toronto Chili: Universidad de Chile, Santiago du Chili Corée (Sud) : Korea University, Séoul Espagne: Universidad Complutense de Madrid, Madrid France: Université de Paris-Sorbonne, Paris IV, Paris / Université de Paris-Sorbonne Nouvelle, Paris III, Paris Grande-Bretagne: University of Aberdeen, Aberdeen / University of Kent, Canterbury Inde: Jawaharlal Nehru University, New Delhi Japon: Kyoto University, Kyoto / Waseda University, Tokyo Mexique: Instituto Tecnológico y de Estudios Superiores de Monterrey, Monterrey / Universidad de las Americas, Puebla Rép. pop. de Chine : Chinese University of Hong Kong, Hong Kong / University, Hong Kong / Nankai University, Tianjin / Peking University, Beijing Russie: Saint-Petersburg State University, Saint-Petersbourg Singapour: National University of Singapore, Singapour Suède: Uppsala University, Uppsala Taïwan, République de Chine : National Chengchi University, Taipei / National Taiwan University, Taipei U.S.A. : Arizona State University, Tempe / California State University, Long Beach, Long Beach / Iowa State University of Science and Technology, Ames / Sam Houston State University, Houston / Study Abroad Foundation, Indianapolis / Texas A&M University, College Station / University at Buffalo (SUNY), Buffalo / University of Miami, Coral Gables / University of Michigan, Ann Arbor / University of Richmond, Richmond ISEP (U.S.A.): Réseau universitaire américain couvrant près de 150 universités UISSE

Mobilité suisse (18)

Universität Basel / Haute Ecole Pédagogique BEJUNE / Universität Bern / Université de Fribourg / Université de Genève / Pädagogische Hochschule Graubu�nden / Pädagogische Hochschule Zentralschweiz / Universität Luzern / Université de Neuchâtel / Pädagogische Hochschule des Kantons St. Gallen / Universität Sankt Gallen / Pädagogische Hochschule Schaffhausen / Università della Svizzera italiana / Pädagogische Hochschule Thurgau / ETHZ Zu�rich / Interkantonale Hochschule fu�r Heilpädagogik Zu�rich / Pädagogische Hochschule Zu�rich / Universität Zu�rich

Le tableau précédant montre que plus de deux tiers des étudiants proviennent de quatre pays : le Canada, l’Espagne, l’Allemagne et la France.

Le tableau à gauche détaille cette information en montrant avec quels établissements les échanges en mobilité-IN sont les plus importants. Cinq étudiants sont venus de l’Université catholique de Louvain et de la Ruprecht Karls Universität à Berlin et huit étudiants de l’Université de Montréal.

A noter les quatre étudiants de l’Université Laval (Québec). Un accord facultaire est actuellement en vigueur entre la Faculté des SSP et cet établissement.

Annexe 2. : Mobilité IN des étudiants

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On constate une certaine réciprocité entre pays de destination et pays de provenance, puisque le Canada, l’Espagne et l’Allemagne forment le peloton de tête.

Par contre, il faut noter que l’Irlande, les US et la Grande-Bretagne semblent être assez attractifs pour les étudiants en SSP à Lausanne.

Le tableau à gauche détaille cette information en montrant quels sont les établissements qui attirent le plus les étudiants en SSP.

Il semble qu’au cours de ces deux dernières années, l’University College de Dublin est perçu comme attractif, de même que l’Université de Grenade en Espagne.

La Freie Universität de Berlin et les Universités américaines (via le réseau ISEP) ont chacune été fréquentées par 5 étudiants.

Annexe 3. : Mobilité OUT des étudiants

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Annexe 4. Questionnaire adressé aux enseignants de la Faculté des SSP (juin 2013)

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