cours de communication - psychologie - team - conflits - pnl - at

8/19/2019 Cours de Communication - Psychologie - Team - Conflits - PNL - At

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Leadership,résolution de conflits,

teamwork etpsychologie d’entreprise

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Teamwork, Leadership, résolution de conflits et psychologie d’entreprise ntroduction

La communication est au c!ur des relations humaines aussi "ien dans lasph#re pri$ée %u’au sein de l’entreprise.&e cours a"orde les principales théories de la communication ' l’aide de

nom"reu( e(emples prati%ues. L’accent est mis sur )* la communication en général* la communication en entreprise* la résolution des conflits* les outils pour une communication centrée sur le respect de l’autre )

* les théories pleines d’humour de l’analyse transactionnelle* la surprenante +L* Thomas -ordon et ses principes de management efficace* le parado(e en communication de +aul at/lawick* les forces et dangers des mod#les de communication Le cours

donne également lieu ' des eu( de r1les filmés en $idéo et ana lysés engroupe.* Le cours est "asé sur l’interacti$ité au sein du groupe.

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ous a$e/ dit conflits’ 4

5u’estce %ue c’est pour moi 4

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ous a$e/ dit communication 4

5u’estce %ue c’est pour moi 4

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&7889&:T7

; méditer <

=ntre ce %ue e pensece %ue e $eu( direce %ue e crois dire

ce %ue e dis

ce %ue $ous $oule/ entendrece %ue $ous entende/ce %ue $ous croye/ comprendrece %ue $ous $oule/ comprendre

et ce %ue $ous comprene/

il y a au moins neuf possi"ilitésde ne pas s’entendre

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Tu ne regardes amais la réalité ? ce %ue tu$ois c’est la perception %ue tu en as.

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otre $ie n’est %ue le produit de nos pensées.

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&e ne sont pas les choses de la $ie %ui nousfont peur mais notre représentation du

danger.


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Teamwork, Leadership, résolution de conflits et psychologie d’entreprise &ommunication

Jeu de la NASA (Phase individuelle)

otre $aisseau spatial a dC se poser d’urgence sur la lune ' 200 km de l’endroit e(act oD se trou$e le $aisseau central %ue$ous de$ie/ reoindre sur la partie éclairée par le soleil. L’alunage d’urgence a totalement détruit $otre $aisseau. oschances de sur$ie dépendent uni%uement de $otre capacité ' reoindre le $aisseau central. Eeuls F> o"ets sont intacts.

ous de$e/ choisir %uels o"ets $ous emporte/ pour sur$i$re durant les 200 km ' parcourir ' pieds.

Gta"lisse/ $otre propre échelle personnelle de ce %ue $ous prendrie/ tout seul. 8ette/ le chiffre F ' c1té de l’o"et le plusimportant, 2 puis 3 etc. La chose %ue $ous prendrie/ en dernier ressort aura le numéro F>.

ous a$e/ > minutes pour faire ce tra$ail.

........... :llumettes ........... &oncentré de nourriture ........... >0 m corde en nylon

........... soie de parachute ........... :ppareil de chauffage porta"le ........... 2 pistolets cal. 0.6>

........... lait en poudre ........... 2( >0 kgTanks d’o(yg#ne ........... Etellar:tlas

........... compas magnéti%ue ........... 20 litres d’eau ........... torches lumineuses

........... Hpremiers secoursI a$ec aiguilles d’inection

........... Jateau autogonfla"le

........... Kécepteurémetteur 9M ' énergie solaire

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Jeu de la NASA (Phase collective)

Oorme/ des groupes de 6 ' personnes. Gta"lisse/ ensem"le une échelle de priorités en respectant scrupuleusement lesr#gles de eu. l s’agit de trou$er aussi $ite %ue possi"le la solution ? celleci a été éta"lie par une é%uipe d’e(pert de la :E:Pla solution $ous sera donnée ensuiteQ.

ous a$e/ F> minutes en groupe.

Les r#gles sui$antes doi$ent Rtre respectées ) l’a$is de chacun doit Rtre pris en compte et Rtre intégré dans la solution dugroupe. l faut donc %ue le groupe par$ienne ' un consensus. +lus la différence est petite par rapport ' la solution de la :E:,plus efficace aura été $otre groupe.

........... :llumettes ........... &oncentré de nourriture ........... >0 m corde en nylon

........... soie de parachute ........... :ppareil de chauffage porta"le ........... 2 pistolets cal. 0.6>

........... lait en poudre ........... 2( >0 kgTanks d’o(yg#ne ........... Etellar:tlas

........... compas magnéti%ue ........... 20 litres d’eau ........... torches lumineuses

........... Hpremiers secoursI a$ec aiguilles d’inection

........... Jateau autogonfla"le

........... Kécepteurémetteur 9M ' énergie solaire

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La solution de la NASA était la suivante :

F. 2( >0 kgTanks d’o(yg#ne &ar nécessaire pour respirer

2. 20 litres d’eau +our compenser la perte d’eau

3. Etellar:tlas =ssentiel pour s’orienter $ers le $aisseau central

6. &oncentré de nourriture +our cou$rir les "esoins alimentaires ournaliers

>. KécepteurGmetteur 9M solaire +our l’en$oi de signau( de détresse et pour la communication a$ec$aisseau central

. >0 m de corde en nylon +our attacher les "lessés ou pour grimper des collines

A. +remiers secours +récieuses ta"lettes ou inections

B. Eoie de parachute +our se protéger des coups de soleil

N. Jateau autogonfla"le &ontient des "outeilles de &72 et permet de passer pardessus des trous

F0. Torches de signalisation Eignal de détresse lors%ue l’on est $isi"leFF. 2 pistolets cal. 0.6> 9tile pour des essais de traction

F2. Lait en poudre ourriture %ui demande de l’eauF3. &hauffage porta"le 9tile dans la partie non e(posée au soleilF6. &ompas magnéti%ue l n’y a pro"a"lement pas de p1le magnéti%ue, donc inutileF>. :llumette +eu ou pas d’o(yg#ne

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Leadership, résolution de conflits et psychologie d’entreprise &ommunication

Influences externes et internes

Influences internes

Potentiel

du

collaborateur Superstructure

ValeursNores

Idées fortesPerception de soi

!onviction

Influences externes

"#che de direction

$vol% de la société

Attentes$vol% de l&éconoie

!ontrats

'év% technoloiueLoi et *uridiction

+arché du travail



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La counication , -a s&exerce Sans la $ie pri$ée, comme également dans le%uotidien professionnel, les pro"l#mes apparaissent l' oD les gens ne sont pas clairs.

* Etimuler sa sensi"ilité ' l’égard du non $er"al

* :ppli%uer l’écoute acti$e ? $er"aliser et paraphraser

* E’adresser ' autrui de faon ' ce %u’il se sente accepté personnellement

* =(primer ses propres désirs, ses sentiments et opinions, oser dire et sa$oir dire

* Ea$oir conduire un entretien difficile a$ec un colla"orateur Pgérer ses émotions,é$aluer, résoudre les pro"l#mes, etcQ



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!oent couniuons.nous /

ous utilisons touours plusieurs canau( PsimultanémentQ )

0 le canal verbal

choi( du $oca"ulaire, structure de la phrase, style oratoire, logi%ue

0 le canal non.verbal ou corporel

* :pparences e(ternes Pha"its, sym"ole d’appartenance, coiffure, parfumQ

* mimi%ue, gestuel, position du corps

0 paraverbal

* mode de langage Paccent, tim"re de $oi(, $olume, mélodie, rythme, etcQ



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La counication non verbale /

* elle permet d’o"ser$er le degré d’acceptance et d’écoute

* elle influence l’entretien

* elle situe le rapport entre les partenaires

* elle illustre, souligne, accentue et oriente le dialogue

* elle donne ' l’émetteur un signal en retour

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La perception de la réalité

* La perception de la réalité est a$ant tout une faculté "iologi%ue nécessaire ' la sur$ie del’indi$idu et du groupe.

* L’e(istence d’une conscience n’est donc pas une condition sine %ua non pourperce$oir, apprendre ou mémoriser.

* +lus forte est la perception plus grande sera la con$iction %ue le peru est le reflet du réel.

* La perception humaine est non seulement sélecti$e mais également complémentaire. 8aperception est le fruit de ce %ue e HprendsI et de ce %ue e fais.

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S&interroer

7ui, il est urgent de s’interroger sur la faon dont chacun d’entre nous a appris ' H communi%uer Het surtout a Hmécommuni%uerI dans le syst#me familial de ses origines, dans le syst#me scolaire

de son enfance, dans le milieu social %ui entourait et cl1turait parfois son e(istence.

+our s’aperce$oir, pro"a"lement a$ec malaise, résistances di$erses, découragement ou ré$olte,%ue nous a$ons tous appris a incommuni%uer U

+our décou$rir au mitan de sa $ie %ue chacun d’entre nous, %u’il le cache ou le montre, est uninfirme, un handicape profond de la communication et des relations humaines.

+our se demander dans l’urgence d’une crise personnelle ou familiale ) H 8ais dans %uel monde e$is U H 5uelle est cette ci$ilisation oD personne ne songe ' nous apprendre l’échange, le partage,la confrontation et le dialogue 4

+our prendre la décision de sortir du dou"le pi#ge dans le%uel la plupart d’entre nouss’enferment ) celui de l’accusation d’autrui et du monde en général, ou celui de l’accusationdis%ualification de soimRme, ou autoaccusation, tr#s prati%uée également en 7ccident.

L’apprentissage de la communication ressem"le au ardinage, si nous acceptons dedécou$rir, d’entretenir, de laisser fleurir le ardin %ui en est nous. PVac%ues Ealomé[email protected] FA


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!réer des relations vivantes

9ne relation $i$ante suppose la li"re circulation entre les protagonistes de %uatre possi"ilités de$aleurs é%ui$alentes.

0 1ser deander :pprendre ' faire des demandes directes, ou$ertes. +uise aller $ers une relationde propositions, d’in$itations ou de stimulations 4

0 1ser donner :pporter ' l’autre non seulement ce %ui me fait plaisir Pou ce %uim’est imposé par le r1le %ue ’aiQ, mais aussi et surtout ce %ui peut Rtre reu parlui, ce %ui répond aussi ' ses attentes. Eortir d’une relation d’imposition pour

aller $ers l’offrande.0 1ser recevoir :ccepter d’Rtre ou$ert au( possi"les de l’autre. Kenoncer ' la

dynami%ue du pren dre pour aller $ers l’accueillir. Jeaucoup d’entre nous sontdes infirmes du rece$oir. notre accueil est sou$ent rempli de méfiance, de doute,d’a priori ou de ugements prééta"lis.

0 1ser refuser Ea$oir dire non permet sou$ent d’apprendre ' dire des $rais oui. Sé$elopper unedynami%ue %ui sort de l’opposition pour aller $ers l’affirmation..

[email protected] FB


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$nrichir le terrain

2% 3econna4tre autrui dans sa différence

l s’agit de reconnaWtre l’e(pression de l’autre comme étant la sienne. =n lui confirmant %ue ses sentiments, ses idées, son a$is, ses croyances lui appartiennent"ien.H7ui, auourd’hui, pour l’instant tu ressens cela.I

5% +e reconna4tre dans es différences ci, il s’agit de prendre le ris%ue de medéfinir face ' l’autre, %uel %u’il soit. 7ser me définir dans ce %ue e ressens,

éprou$e, pense ou crois. Ee définir c’est se situer, se positionner. &ela ne $eutpas dire s’imposer, ni con$aincre. &’est accepter de moduler, de relati$iser sone(pression, et par l' mRme son positionnement.

6% 3econna4tre es résistances au partae et aussi celles de l&autreGchanger suppose che/ soi une intentionnalité, une stimulation et une récepti$ité< en face. =t récipro%uement U

:rrRter par e(emple de procéder par Hagression spontanéeI telle %ue. HTu ne medis amais rien. raiment rien ne t’intéresse UI pour proposer une in$itation 'l’autre, ' soimRme de partager.

[email protected] FN


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Ei e commence un échange par ) HV’aimerais a$oir ton point de $ue sur


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[email protected] 2F

Leadership résol tion de conflits et ps chologie d’entreprise &omm nication


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[email protected] 22

Leadership résolution de conflits et psychologie d’entreprise &ommunication


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Leadership, résolution de conflits et psychologie d entreprise &ommunication


Leadership résolution de conflits et psychologie d’entreprise &ommunication


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[email protected] 2>



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p, p y g p

[email protected] 2



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[email protected] 2A



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Leadership, résolution de conflits et psychologie d’entreprise L’analyse transactionnelle


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La structure de a personnalité : L&éorae

S’apr#s Susay PFNAAQ, l’égogramme est une représentation graphi%ue %ui montre ' %uelle fré%uence et ' %uelle intensité lesdifférents états du 8oi apparaissent dans la $ie %uotidienne d’un certain type d’Rtre humain. :fin %ue $ous prenie/ plus clairement conscience de $os états du 8oi, nous $ous proposons de répondre au %uestionnaire ciapr#s )

8uestionnaire pour une anal9se transactionnelle ous a$e/ ' prendre position par rapport au( énoncés sui$ants aussisinc#rement %ue possi"le. =ncercle/ le X des affirmations %ue $ous admette/ plut1t %ue $ous ne les reete/, le de celles oD$ous Rtes plut1t opposé %ue d’accord.

Y La signification de l’étoile $ous sera e(pli%uée ultérieurement. e $ous en préoccupe/ pas pour l’instant.

chelle 2

X F. Ve sais "ien écouter.

X Y2. V’ai tendance ' Rtre celui %ui donne le ton dans des groupes.

X Y3. l sem"le %ue e contredise les autres asse/ $ite.

X 6. Ve me tiens plut1t du c1té des plus fai"les.

X >. 7n n’a rien sans peine.

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X Y. Ei au cours d’une discussion e suis poussé dans mes derniers retranchements, ’ai tendance ' réagir en mefZchant.

X A. Ve trou$e pertinente la phrase ) HTout amour sinc#re repose sur le respect récipro%ueI.

X YB. 7n peut faire ce %ue l’on $eut ) on ne peut pas changer le caract#re d’un homme.

X YN. V’ai tendance ' prendre le commandement dans des situations confuses ou mal engagées.

X F0. V’ai de la facilité ' consoler les autres.

X YFF. +lus sou$ent %ue e ne le $oudrais, e cherche des fautes che/ les autres.

X F2. La plupart des hommes $eulent Rtre dirigés.

X F3. Ve consid#re comme étant les plus précieuses les professions dans les%uelles on aide les hommes.

X F6. Ve suis tr#s compréhensif ' l’égard de ceu( %ui ont des pro"l#mes.

X YF>. V’ai de solides con$ictions et e n’en change pas si facilement.

X YF. Les préugés raciau( sont ustifiés, afin d’empRcher les mariages mi(tes.

X FA. 9n $érita"le changement ne peut a$oir lieu %ue si une forte personnalité prend une affaire en mains et la faita$ancer.

X YFB. Sans ma $ie, ’ai tendance ' me fier ' la tradition et ' ce %ui a été éprou$é.X YFN. V’ai tendance ' m’éner$er a$ec les personnes %ui remettent en %uestion des modes de penser et des faons




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d’agir éprou$és et admis.

X Y20. 7n accorde plus de respect au( minorités %u’elles n’en méritent.

X Y2F. Ve trou$e pertinente l’affirmation d’un politicien allemand disant ) H7n ne peut pas faire un pont d’orpour tout le mondeI.

X 22. Ve trou$e uste de dire %ue les hommes de$raient Rtre humains.

X 23. Les autres me demandent sou$ent conseil.

X Y26. 9n pro"l#me %ui sem"le touours Rtre présent, c’est %u’il y a trop peu de gens %ui tra$aillent et "eaucouptrop %ui $eulent donner des ordres.

X Y2>. Ve trou$e pertinent le pro$er"e %ui dit %ue ) H&e %ue Veannot n’apprend pas, Vean ne l’apprendraplus amaisI.

X Y2. +our "eaucoup de gens, il n’est pas asse/ é$ident %ue dans le monde des affaires il faut Rtre tr#s com"atif pour connaWtre le succ#s.

X 2A. &’est %uand mRme ainsi ) il faut contraindre les hommes ' faire certaines choses %ui s’a$#rent Rtre "onnespour eu(.

X Y2B. Ve crois %ue notre société serait plus saine, si les infractions au( lois étaient plus sé$#rement réprimées.X Y2N. Ve suis d’a$is %ue la place de la femme est au foyer.

X 30. l sem"le %ue ’accorde plus de confiance ' mes proches %ue "eaucoup d’autres ne le font.

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X 3F. l y a des situations dans les%uelles il est uste de punir un enfant, pour son propre "ien, par une "onne fessée.

X 32. La plus grande mésa$enture %ui puisse arri$er ' %uel%u’un est de perdre patience.

X Y33. +unir sé$#rement les criminels serait un moyen approprié ' dissuader d’autres de commettre des délits.

X 36. Toutes les fois %ue %uel%u’un a "esoin d’aide, e la lui fournis.

X Y3>. Les parents et les éducateurs ont tendance de nos ours ' Rtre trop indulgents.

X 3. Eoutenir les autres dans leur dé$eloppement me procure une grande satisfaction.

X Y3A. L’information par les médias Ptélé$ision, ournau(Q de$rait Rtre mieu( contr1lée.

X Y3B. Ve ne peu( pas comprendre %u’on puisse se suicider.

X 3N. 9ne des raisons du succ#s de la pu"licité est le fait %ue les hommes aiment "ien %u’on leur dise ce %u’ilsdoi$ ent acheter.

X Y60. Jien %ue cela soit passé de mode, il faudrait réinstaurer la pri#re ' l’école.

X 6F. L’attitude patrioti%ue en$ers son propre pays aura touours plus d’importance %ue le soidisant HcosmopolitismeI.

X Y62. Les gens de$raient s’identifier da$antage ' certains principes de morale, de ustice et d’inustice.




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X Y63. La peine de mort ne sera amais totalement a"olie.

X 66. 5uand e $ois %ue %uel%u’un éprou$e des difficultés ' faire un tra$ail, e le fais $olontiers ' sa place.

X Y6>. La censure cinématographi%ue de$rait Rtre plut1t renforcée %ue réduite.

X Y6. Ve suis d’a$is %ue l’on de$rait maintenir certaines traditions professionnelles dans la famille.

X Y6A. 9ne forte capacité de commandement n’a pas "esoin de cogestion.

X 6B. =n r#gle générale, e m’entends "ien a$ec tout le monde.

X Y6N. Ve suis d’a$is %ue les enfants doi$ent faire preu$e de respect ' l’égard de leurs parents.

X >0. Ve compatis pour des hommes %ui se trou$ent en difficulté.

X >F. =n comparaison ' d’autres, e fais plut1t da$antage d’heures supplémentaires.

X >2. V’ai tendance ' m’associer ' l’opinion de la maorité.

X >3. V’ai appris de "onne heure ' ne pas e(agérer les choses et ' Hgarder l’église au milieu du $illageI.

X >6. HLe monde est ingratI, de cela, ’ai dé' sou$ent dC en faire l’e(périence.

X >>. :u lieu de perdre du temps en e(pli%uant %uel%ue chose ' %uel%u’un, e préf#re le faire moimRme.

X Y>. Ve suis sou$ent effaré de $oir ' %uel point les gens sont stupides.




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X Y>A. Les ournalistes de$raient a$oir moins de li"erté dans l’e(pression de leurs opinions.

X >B. Jeaucoup de gens font fausse route, parce %u’ils déclinent toute responsa"ilité.

X >N. Ei l’on n’attend pas trop de la part des hommes, on en sera moins facilement déu.

X 0. Lors%ue %uel%u’un se fZche ' cause de moi, e cherche ' le calmer.

chelle 5

X F. l me sem"le %ue e suis un meilleur o"ser$ateur %ue "eaucoup d’autres gens.

X 2. V’ai tendance ' garder la tRte froide %uand les autres renoncent ou n’écoutent plus.

X 3. 8es parents ou mes éducateurs étaient tr#s contents de me $oir chercher et tra$ailler de mon propre chef.

X 6. Ve rassem"le des informations et planifie a$ant d’agir.

X >. Ve ne rougis %ue rarement ou amais.

X . V’ai de la facilité ' prendre la parole dans des manifestations pu"li%ues.

X A. Ve pleure rarement ou amais.

X B. Ve prends "ien plus $olontiers des ris%ues %ue la plupart des personnes %ue e connais.

X N. &ela ne me fait rien d’Rtre seul.




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X A0. 8es parents ou mes éducateurs ont eu tendance ' donner plus d’importance ' l’usage du "on sens %ue nel’ont fait d’autres personnes.

X AF. Ve suis capa"le de garder une certaine attitude $igilante sans préugés, %uand d’autres se fZchent par trop.

X A2. Ve préf#re, plus %ue d’autres gens %ue e connais, adopter un comportement permettant de résoudre les

pro" l#mes, plut1t %ue de marchander et de conclure des compromis.

X A3. Ve n’éprou$e aucune peine ' contr1ler mes sentiments.

X A6. Lors de la planification d’un proet, e fais attention d’y pré$oir des gens %ui Hen $eulentI $raiment.

X A>. V’ai de solides con$ictions et n’hésite pas ' les e(primer, toutefois e réagis aussi de mani#re positi$e ' desarguments contraires au( miens lors%u’ils sont raisonna"les, en modifiant mon opinion.

X A. 5uoi%ue d’autres aient tendance par moments ' réprimer, ' étouffer ou ' régler par des compromis lesconflits entre les hommes, e m’efforce d’en décou$rir les causes ' tout pri(.

X AA. Sans les situations de stress, e reste calme.

X AB. l me sem"le %ue ’ai tendance ' peser le pour et le contre a$ant de prendre une décision.

X AN. +lus %ue "eaucoup d’autres gens %ue e connais, e m’efforce de chercher des idées, des a$is et despositions %ui se distinguent des miennes propres.

X B0. Les gens %ui tra$aillent a$ec moi, diraient %ue ’aime décider et %ue e suis de tempérament résolu.

X BF. V’ai dé' sou$ent mis Hle couteau sous la gorgeI des autres pour %u’ils accomplissent un important tra$ail.




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X B2. Ve résous les conflits entre les indi$idus par un entretien personnel.

X B3. Ve suis con$aincu %ue diriger efficacement des colla"orateurs les stimule ' donner le meilleur d’eu(mRmes.

X B6. Ve pense %ue ce %ue les autres gens ressentent et pensent est important.

X B>. Sé' alors %ue ’étais enfant, mes parents m’ont encouragé ' e(primer mes points de $ue, sans %ue ’aie dCcraindre d’Rtre puni ou de me ridiculiser.

X B. Les résultats de la recherche et de la science m’intéressent.

X BA. l sem"le %ue ’aie plut1t dé$eloppé la capacité de penser par moimRme et de mani#re indépendante %ue dem’adapter au( idées des autres.

X BB. Ve crois %ue les hommes sont capa"les de se conduire et de se contr1ler eu(mRmes et par l' d’é$oluer par eu( mRmes.

X BN. La plupart des erreurs sont plut1t dues ' un malentendu %u’' de la négligence.

X N0. S’une certaine mani#re, il sem"le %ue ’aie appris ' me confronter au monde de faon décontractée, en touteconfiance et de mani#re positi$e.

X NF. Ve suis un mem"re actif d’au moins trois sociétés et organisations.

X N2. La franchise et l’honnRteté ' l’égard des autres sont généralement profita"les.

X N3. Ve suis un penseur rationnel et logi%ue.

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X N6. V’arri$e ' afficher un e(térieur calme, alors %ue e "ous intérieurement.

X N>. Ve suis des cours, des séminaires, des conférences, etc. plus sou$ent %ue la plupart des personnes %ue econnais.

X N. V’ai la réputation d’Rtre correct et o"ectif.

X NA. Ve prends soin en général d’o"tenir des autres ce %ue ’aimerais en rece$oir.

X NB. Ve suis ' mRme d’e(pli%uer ' d’autres personnes les choses de mani#re claire et simple.

X NN. 8a réussite dans la $ie repose sur le fait %ue e sais ne pas montrer mes sentiments.

X F00. Sans une discussion, mes arguments comptent sou$ent parmi les meilleurs.

X F0F. Ve suis con$aincu %ue les hommes sont "ons par nature.

X F02. +our moi, il est important d’Rtre aussi parfait %ue possi"le.

X F03. Ve lis cha%ue our un ou deu( %uotidiens.

X F06. V’ai une idée asse/ claire de ce %ue ’aimerais Rtre dans F0 ans tant sur le plan professionnel %ue pri$é.

chelle 6

X YF0>. Jien %ue "eaucoup de gens ne $euillent pas en con$enir, e crois %ue les sentiments sont déterminants dansN0 [ des décisions $itales.




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X F0. l sem"le %ue e m’apitoie plus $olontiers sur mon sort %ue d’autres.

X F0A. Ei une personnalité de rang supérieur prend la responsa"ilité d’une décision lourde de consé%uences, eprRte rai mon soutien ' sa réalisation, mRme si e n’en suis pas con$aincu.

X YF0B. V’apprécie "eaucoup de rouler tr#s $ite en $oiture.

X YF0N. l arri$e sou$ent %ue e rR$e ' mille et une choses au "eau milieu de la ournée.

X YFF0. Ve suis tr#s enclin ' acheter de mani#re spontanée.

X YFFF. V’ai de la peine par e(emple ' tenir "on lors d’une cure d’amaigrissement, ' renoncer ' fumer, etc.

X FF2. Ve ne $ois pas d’incon$énient ' Rtre celui %ui e(écute, mais ’aime "ien %u’un autre en prenne la direction.

X YFF3. V’emploie sou$ent des e(pressions telles %ue HsuperI, HcoolI, HfouI, HdémentI, HinfernalI, etc.

X FF6. Sans une situation tendue, ’ai plut1t tendance ' me retirer.

X FF>. La modestie est une $ertu, peutRtre la plus grande.

X YFF. Ve raconte $olontiers des histoires dr1les.

X YFFA. V’ai touours plein d’idées nou$elles.

X FFB. Ve n’ai aucune peine ' sui$re des instructions.



FFN 8 éd é i d ff "i ill


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X FFN. 8es parents ou mes éducateurs étaient des personnes affectueuses et "ien$eillantes.

X YF20. Ve suis sou$ent impulsif.

X F2F. Ve préf#re donner raison au( autres %ue de discuter a$ec eu( ' n’en plus finir.

X F22. Ve fais de grands efforts pour Rtre reconnu par les autres.

X YF23. Se temps ' autre, e me surprends ' rire et ' parler trop fort.

X F26. Ve me dis sou$ent ) H&ela ne sert %uand mRme ' rien de m’engager ici.I

X F2>. Ei %uel%u’un m’a "lessé intérieurement, e ne le lui dirai pas, en r#gle générale.

X YF2. l m’est difficile de comprendre pour%uoi tant de gens prennent la $ie tellement au sérieu(.

X F2A. : maintes reprises, e n’e(prime pas mes idées, parce %u’elles me paraissent trop peu importantes.

X YF2B. 8es parents aimaient %ue ’e(prime pleinement mes sentiments, tels %ue la oie, la tristesse, la col#re, etc. lsm’y encourageaient mRme.

X F2N. l me sem"le %ue e n’arri$e pas ' imposer ma $olonté aussi sou$ent %ue e le $oudrais.

X F30. Ve préf#re accepter un emploi a$ec plut1t peu de responsa"ilités, d’attri"utions, d’importance, etc.

X F3F. l se peut %ue mes parents a$aient tout de mRme da$antage tendance ' m’inspirer de la peur face au mondeet au( hommes, %ue de me donner du monde une image agréa"le.



YF32 V’ i l d’i té Rt d i l d’ t l l t d i


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X YF32. V’ai plus d’intérRts, de $iolons d’ngres, etc. %ue la plupart des gens %ue e connais.

X F33. La plupart du temps et pour une raison %uelcon%ue, il n’est pas rare %ue e tire la courte paille.

X YF36. ous $ous retrou$e/ a$ec %uel%ues amis un $endredi soir et "u$e/ %uel%ues $erres de $in. Eoudain,%uel%u’un propose de partir maintenant pour deu( ours ' +aris. \tes$ous du $oyage 4

X YF3>. V’ai "ien plus tendance ' proposer des solutions pleines de fantaisie %ue des solutions logi%ues.

X YF3. l y a des moments oD e pleure en présence d’autres gens sans %ue ’en aie honte.

X YF3A. : une certaine épo%ue, ’ai appris ' adopter une attitude de plaisir $is'$is du se(e, de mon corps, del’intimité, etc.

X F3B. 7n doit se soumettre au( personnalités importantes.

X YF3N. l y a des moments oD e m’accorde $olontiers des plaisirs et des amusements hors du commun.

X F60. Sans des situations inha"ituelles, e me sens tr#s mal ' l’aise.

X YF6F. Ve me trou$e sou$ent en plein dans un pro"l#me et me demande ce %ue ’ai "ien pu faire pour en Rtre denou$el arri$é ' ce stade.

X F62. Sans "eaucoup de situations, e me sens tout simplement perdu.

X YF63. 5uand e dis %uel%ue chose, il est fort pro"a"le %ue e mette les pieds dans le plat.



L&anal9se du uestionnaire


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L&anal9se du uestionnaire

Le %uestionnaire est conu selon la méthode des pro"a"ilités. &’est pour%uoi on ne tient compte %ue des X. :dditionne/d’a"ord tous les X %ue $ous a$e/ encerclés de la %uestion F ' la %uestion 0 Péchelle FQ. Oaites ensuite la somme pour cetteéchelle de toutes les %uestions précédées d’un astéris%ue PYQ. Le total alors o"tenu correspond ' la part du moi +arentcriti%ue P2Q. =nle$e/ maintenant cette somme de la $aleur totale PFQ. ous o"tiendre/ ainsi la part du moi +arent pro

tecteur P3Q.La somme de tous les X de l’échelle 2 P5uestions FF06Q donne la $aleur du moi :dulte P6Q.

:dditionne/ maintenant tous les X encerclés de l’échelle 3 P%uestions F0>F63Q P>Q. Oaites ensuite la somme de tous les Xdes %uestions précédées d’un astéris%ue PYQ Pmoi =nfant naturelQ PQ. =n soustrayant alors ce total PQ de la somme P>Q, $ouso"tiendre/ la part du moi =nfant adapté ou soumis PAQ.

chelle 2 (8uestion 2.;


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=n $ous aidant de la ta"le de con$ersion, $ous pou$e/ finalement transformer en $aleurs d échelle les $aleurs "rutes calculéesP2Q Pmoi +arent criti%ueQ, P3Q Pmoi +arent protecteurQ, P6Q moi :dulteQ, PQ Pmoi =nfant naturelQ et PAQ Pmoi =nfant adaptéQ



Les $aleurs d’échelle sont ' reporter dans les colonnes cidessous ous o"tiendre/ ainsi $otre égogramme


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Les $aleurs d échelle sont ' reporter dans les colonnes cidessous. ous o"tiendre/ ainsi $otre égogramme.




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&et e(ercice de$rait $ous permettre de déterminer comment $ous réagisse/ de mani#re générale lors d’un dialogue a$ec


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p g g gautrui et comment $ous influencer l’entretien PEource &rissant FNN0Q

Kédige/ une réponse en fonction du conte(te décrit cidessous )

!as n> 2

9ne $oisine, mi trentaine, $ous dit peut sCre d’elle )

HVe ne sais $raiment pas %uoi faire. Ve ne sais $raiment pas si e dois reprendre ma fonction de téléphoniste.... a me rendner$euse, e ne supporte plus ce doute.... mais a aurait l’a$antage %ue ’aurais une place sta"le et un "on re$enu ? ou estce%ue e de$rais laisser tom"er tout cela et ne faire %ue ce %ui m’intéresse 4 &e serait plus $arié mais e de$rais recommencer tout en "as de l’échelle des re$enus.... Ve ne sais pas si e suis capa"le de faire cela 5


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homme de 30 ans, $oi( trou"lée )

HV’ai une dr1le d’impression, %uand %uel%ue chose d’agréa"le m’arri$e, e ne peu( tout simplement pas y croire, e me comporte comme si e ne l’a$ais amais $écu ? a m’in%ui#te $raiment U ^a fait longtemps %ue e $oulais m’approcher d’une femme

et ’ai finalement trou$é le courage apr#s plusieurs semaines d’hésitation et e lui ai donné un rende/$ous < et elle m’a ditHouiI et ’ai eu de la peine ' le croire. V’ai été tellement surpris %ue e ne suis pas allé au rende/$ous.I

otre réponse )



!as n> 6


49/123

_omme de 3> ans a$ec une $oi( forte, saccadée et agressi$e )

HVe me suis décidé ' faire %uel%ue chose, e $eu( agir, e n’ai pas peur de tra$ailler dur, e n’ai pas peur non plusd’encaisser %uel%ues coups durs lors%ue e sais ce %ue e $eu( atteindre. Ve n’ai d’ailleurs aucune gRne ' marcher sur les

autres s’il le faut. Ve $eu( tout pour moi. Ve ne suis pas d’accord de me contenter d’une solution moyenne U Ve $eu( Rtre%uel%u’un UI

otre réponse )



!as n> 7


50/123

Oemme dans la trentaine, $oi( saccadée, )

HV’ha"ite maintenant depuis F0 ans dans cette $ille et dans le mRme appartement depuis A ans mais e ne connais tout simplement personne. :u "ureau, il me sem"le %ue e n’arri$e pas ' me faire des amis et e me sens en %uel%ue sorte coincée.

V’arri$e ' Rtre aima"le a$ec les autres coll#gues mais au fond e me sens "lo%uée et pas ' l’aise. =nsuite ’essaie de me fairecroire %ue a m’est égal. =n fait on ne peut pas faire confiance au( autres. &hacun $it pour soi. Ve ne $eu( pas d’ami etparfois e pense %ue ’en suis $raiment con$aincue.I

otre réponse )



!as n> =


51/123

_omme de 2B ans, ' peine re$enu de son école d’officier, sans tra$ail et donc ch1meur. =n col#re et amer.

H:u fond ' %uoi a sert 4 +ersonne ne oue cartes sur ta"le a$ec moi. Les gars %ui ' l’armée n’ont pas $oulu continu sontmain tenant assis sur leur chaise et ont un "oulot. ls font carri#re, eu(. ls ont tous les a$antages alors %ue moi e me suis

in$esti pour la patrie. Les employeurs ouent un dou"le r1le ) %uand ’ai commencé mes cours d’officier on disait ) H il faut Rtreofficier pour a$oir un "on o"I. 8aintenant la situation économi%ue a changé. =t en ce %ui concerne ma copine, alors l' 0


!as n> ;


52/123

_omme de 3> ans, $oi( claire et décidée )

HVe suis sCr %ue a pourrait marcher ? tout ce dont on a "esoin c’est une $ue d’ensem"le, de l’intelligence et de l’espritd’initiati$e. V’ai tout cela. Ei ’a$ais en plus les moyens correspondants, e m’y mettrais tout de suite UI

otre réponse )

[email protected] >F


!as n> ?


53/123

_omme de 2> ans a$ec une $oi( dure )

HJon c’est un nou$eau dans l’entreprise mais il croit %u’il sait tout et %u’il a touours une réponse ' tout, il croit a$oir in$entéla poudre ' canon. +ourtant, mon Sieu, il ne sait pas ' %ui il a affaire U ; sa place, e ferais mieu(, si e $oulais UI

otre réponse )

[email protected] >2


!as n> @


54/123

Oemme de 26 ans a$ec une $oi( tendue, fZchée et retenue )

H5uand e la regarde e trou$e %u’elle n’est ni attrayant, pas aussi intelligente %ue moi, elle n’a pas de style et e medemande comment elle fait pour tromper tellement de gens. Ve ne le supporte plus U ^a me rend folle U =lle o"tient ce %u’elle

$eut U =lle $oulait -érard, elle me l’a carrément pi%ué et ensuite elle a mRme nié. 5uand e lui ai dit ce %ue e pensais, ellem’a simplement dit H SésoléI. 8ais elle ne perd rien pour attendre. ous $erre/...

otre réponse )



!as n>


55/123

Siscussion entre le médecin de l’entreprise et 8artin, le nou$eau colla"orateur )

H:lors 8artin, comment a $a a$ec les coll#gues du "ureau 4 8artin ) H:h, %u’ils aillent au dia"le U Ve fais pourtant tout monpossi"le mais le chef et son secrétaire m’en $eulent parce %ue e me suis éner$é lors d’un r#glement difficile. ^a m’a irrité <

e fais tout mon possi"le < e donne $raiment le meilleur de moimRme mais s’ils continuent ' me dire %ue a ne suffit pas me prou$e clairement %ue e ne suis "on ' rien.I

otre réponse )



!as n> 2


56/123

Siscussion entre un étudiant et un professeur )

Gtudiant ) HVe serais tr#s content si $ous pou$ie/ m’aider ' me faire un plan de tra$ail pour le semestre ' $enir. V’ai discutéa$ec plusieurs personnes pour sa$oir %uels cours prendre mais chacun m’a donné une réponse différente et c’est difficile

pour moi de sa$oir ce %ui serait "ien. ous comprene/, e suis en premi#re année et c’est tr#s difficile pour moi de sa$oirce %ui est le mieu(.I

otre réponse )

[email protected] >>


valuation de l&exercice !opareB vos réponses avec les réponses standards suivantes% IndiueB uelle est la réponse ui correspond le ieux C votre réponse :


57/123

uelle est la réponse ui correspond le ieux C votre réponse :

!as n> 2

F. =stce %ue $ous pourrie/ m’en dire da$antage sur les choses %ui $ous intéressent 4 &’est importantde pou$oir y réfléchir au préala"le.

2. +rudence a$ant de $ous lancer dans %uel%ue chose de nou$eau. l $ous faut d’a"ord Rtre certain%ue ce sera "énéfi%ue pour $ous et %ue $ous ne poursui$e/ pas l’impossi"le.

3. Jon, nous $errons "ien, il y a encore de l’espoir. l ne faut trou$er %uelles autres possi"ilitésd’emploi e(istent pour $ous. ous de$rie/ parler une fois a$ec $otre chef du personnel.

6. ous Rtes dans le doute de$ant les deu( $ariantes. otre ner$osité ne $ous permet pas deprendre une $raie décision.

>. &’est $raiment pas une décision facile ' prendre. S’un c1té les difficultés du dé"ut a$ec cha%uenou $eau o" ou de l’autre la sécurité d’une place %ui ne $ous con$ient pas.

. ous $ous faites trop de soucis. ous ne pourre/ pas résoudre $os pro"l#mes si $ous Rtes ' cepoint irritée. e $ous en faites donc pas ' ce point, a finira par aller tout seul.

[email protected] >


!as n> 5


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F. Veune homme, ' $otre Zge il faut sa$oir Rtre réaliste ' propos des femmes. &e sont desRtres humains %ui souhaitent autant %ue $ous d’a$oir un rende/$ous.

2. ^a $ous sem"le tellement incroya"le lors%u’un é$énement heureu( se produit 4

3. ous $ous Rtes pro"a"lement dé' si sou$ent con$aincu du contraire %ue rien d’heureu( ne peut$ous arri$er au point %ue %uand %uel%ue chose d’heureu( $ous arri$e $ous ne pou$e/ plus y croire.

6. Ve me demande si ce sentiment de doute n’est pas lié a$ec un é$énement de $otre $ie. +ourrie/

$ous m’en dire plus sur ce %ue $ous entende/ par H%uand %uel%ue chose d’heureu( arri$eI 4

>. ` atil $raiment de %uoi se désoler pour cela 4 ous a$ons tous ' lutter a$ec des émotions et desdésirs particuliers. ous surmontere/ certainement ces é$énements.

. Ve crois %ue cette e(périence sera utile pour $ous dans la $ie. La prochaine fois, il faudra $ous donner les moyens pour saisir $otre chance.

[email protected] >A


!as n> 6


59/123

F. =n un mot, $ous $ous montre/ am"itieu( car $ous $ous o"lige/ ' $ous prou$er $otre propre $aleur.

2. ous a$e/ une pulsion ' $ouloir Rtre le premier %uels %ue soient les moyens et les contraintesnéces saires.

3. : $otre a$is, %u’estce %ui $ous a conduit ' cette conclusion de $ouloir atteindre %uel%ue chose4

6. Eerie/$ous d’accord de faire %uel%ues tests pour trou$er le métier %ui $ous irait le mieu( 4 &ela

pour rait Rtre une aide pour $ous "ien %ue $otre esprit d’entreprise $ous permette certainementd’e(ercer di$ers métiers.

>. 9ne grande am"ition est touours un motif tr#s fort. Oranchement, $ous marchere/ $raiment sur lecorps de n’importe %ui4 &ela ne pourraitil pas $ous occasionner plus de tort %ue de "ien 4

. os sentiments sont tr#s forts. Eans doute Rtes$ous sous l’effet de déceptions récemment $écues.

&alme/$ous et réfléchisse/y "ien. ous retrou$ere/ $otre clarté de décision sans perdre$otre enthousiasme.

[email protected] >B


!as n> 7


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F. ous Rtes trop pessimiste, a ne $a pas durer éternellement. 9n our $ous $erre/ %u’on re$iendra$ers $ous.

2. Ve connais d’autres personnes %ui sont dans la mRme situation %ue $ous ? elles ont réussi ' trou$er un moyen en entrant dans un clu" de loisirs. l est surtout important de ne pas se con$aincre %uel’on doit touours rester seul.

3. Ei $ous m’en disie/ plus sur comment $ous rencontre/ de nou$eau( amis, nous en serions certainement plus oD se trou$e l’erreur.

6. &ela fait dé' un certain temps %ue $ous en Rtes con$aincue. =stce $raiment ce %ue $ous $oulie/dire 4

>. +eutRtre %ue $ous ne $oule/ pas d’amis pour $ous protéger de %uel%ue chose d’autre 4

. &’est plut1t triste de ne pas a$oir d’amis et $ous $oulie/ $raiment faire %uel%ue chose contre cela.

7n a $ite fait de se compli%uer la $ie. =stce %ue $os attentes ne seraient pas placées trop haut 4

[email protected] >N


!as n> =


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F. ous $oulie/ en dire plus ' propos de $otre amie ...

2. ous pense/ %ue $ous a$e/ été roulé car $ous n’a$e/ pas eu ce %ue $ous espérie/ dans $otretra$ail. ous Rtes en col#re.

3. &ette inustice $ous fZche car $ous pense/ %ue $ous mériterie/ plus %ue les autres.

6. Ve peu( comprendre $os sentiments mais il faudrait $ous en li"érer car sinon $ous ne pourre/ pasa$ancer dans $otre $ie.

>. ous n’Rtes pas le seul homme indigné sur la terre. &ela arri$e asse/ sou$ent. :$ec le temps $ousfinire/ par ou"lier cet é$énement et $ous retrou$ere/ $otre chemin.

. ous $ous laisse/ mener par l’esprit de $engeance. ous ne croye/ pas %ue cela ne fera %ue

com pli%uer les choses 4

[email protected] 0


!as n> ;


62/123

F. ous aimerie/ peutRtre l’adresse d’un conseiller financier. :$ant de demander un crédit, il est"on d’a$oir des conseils compétents.

2. Jien. l faut croire en soimRme lors%ue l’on $eut arri$er ' %uel%ue chose. 9n dé"ut indécis peut toutfaire capoter. ous Rtes sur la "onne $oi( et e $ous souhaite de réussir.

3. Eerie/$ous certain d’en tirer profit si $ous a$ie/ le capital de "ase 4

6. ous Rtes persuadé de réussir car $ous sa$e/ ce %u’il faut a$oir pour %ue a fonctionne. Lors%uel’on o"ser$e les choses a$ec réalisme la confiance en soi arri$e d’ellemRme.

>. :$e/$ous dé' pensé au( ris%ues %ue $ous encourre/ 4

. ous $ous faites "eaucoup de soucis ' propos de l’argent, comment on l’o"tient et commentl’utiliser au mieu(.

[email protected] F


!as n> ?


63/123

F. ous $ous sente/ o"ligé d’Rtre le premier. &’est essentiel pour $ous d’Rtre touours le premier.

2. ous de$rie/ changer d’attitude par rapport au nou$eau. otre situation s’améliorera.

3. Eoye/ patient. :$ec le temps $otre position s’améliorera.

6. ous $ous imagine/ ce nou$eau de telle mani#re %ue $ous préférerie/ le re$oir partir tout de suite.

>. Sites donc U &e n’est pas un eu fairplay U +our%uoi tant d’énergie ' $ouloir écarter ce nou$eau colla"orateur 4

. ous Rtes$ous informé sur la carri#re de cet homme et sur les fonctions actuelles %u’il e(erce 45ue sa$e/$ous de lui 4

[email protected] 2


!as n> @


64/123

F. =stce %u’elle $ous rappelle peutRtre une ancienne copine 4

2. ous trou$e/ %u’elle o"tient ce %ui en réalité de$rait $ous re$enir.

3. 7n pourrait pres%ue dire %ue $ous a$e/ une attitude agressi$e par rapport ' elle. ous a$ons tousdes préugés par rapport au( autres, mais c’est rarement "énéfi%ue.

6. &’est un cas typi%ue de alousie mis en é$idence par la présence d’une personne %ui est peutRtre

plus capa"le et plus adroite %ue $ous.

>. +our%uoi n’essaye/$ous pas de "ien l’o"ser$er pour pou$oir ensuite gagner sur son propreterrain 4 Ei elle ne fait %ue "luffer, $ous aure/ certainement le dernier mot.

. : $otre Zge on est $ite touché par toutes les déceptions mais on a l’a$antage d’Rtre pluse(périmenté et plus raisonna"le.

[email protected] 3


!as n>


65/123

F. Gcoute/, 8artin, regarde/ les choses a$ec o"ecti$ité. =stce $raiment si terri"le 4 l ne faut pas enfaire un drame.

2. :utrement dit, depuis %u’on $ous criti%ue $ous $ous sente/ coupa"le 4

3. ous a$e/ fait tout $otre possi"le mais il y a dC y a$oir un pro"l#me et c’est pour cela %ue $ous a$e/le sentiment d’Rtre incapa"le.

6. oye/$ous, si $ous $ous laisse/ décourager par cela alors $ous sere/ $raiment $ite

incapa"le d’agir.

>. Sitesmoi, 8artin, estce %ue cette malchance est $raiment la raison pour la%uelle $ous en Rtesarri$é l' et doute/ de $ousmRme 4

. ous de$rie/ prendre en compte tout ce %ue $ous a$e/ réussi us%u’' présent et ne pas $ous laisser découragé par ce %ui fait défaut. Sresse/ le "ilan de $os succ#s U

[email protected] 6


!as n> 2


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F. Ei e $ous comprends "ien, $ous croye/ %ue c’est %uel%ue chose %ui demande de l’aide del’e(térieur, %uel%ue chose %ue $ous ne pou$e/ pas décider $ousmRme.

2. ous aimerie/ en parler, %uelle orientation $ous de$rie/ choisir et %uelles "ranchessecondaires entrent en %uestion 4 =n d’autres termes, depuis %u’on $ous criti%ue $ous a$e/ dessentiments de culpa"ilité 4

3. ous sa$e/ si $ous faisie/ da$antage confiance ' $os possi"ilités et ' $os désirs au lieu d’écouter les autres < peutRtre %ue $ous $ous sentirie/ mieu(.

6. Ve me demande ici si la résolution de $os pro"l#mes n’est pas d’a"ord un pro"l#me de confiance en$ous plut1t %u’un pro"l#me de choi( de cours.

>. &ertainement, nous y réfléchirons. &’est parfois difficile dans le domaine des hautes écoles desa$oir %uoi choisir.

. :$e/$ous dé' une idée de ce %ue $ous aimerie/ prendre et du temps %ue $ous a$e/ 4

[email protected] >


Schéa d&évaluation


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Schéa d évaluation

!as 2 5 6 7 = ; ? @ 2<

valorisant 5 2 = ; 6 5 = 6 7 6

interprétant 7 6 2 = 5 ; 2 7 5 7

consolant ; = ; 2 ; 7 6 ; 2 =

cherchant 2 7 6 6 2 = ; 2 = ;

résolvant 6 ; 7 5 7 2 5 = ; 5

ontrant de la copréhension = 5 5 7 = 2 7 5 6 2

[email protected]


Introduction C l&anal9se transactionnelle (A") $ric DerneE San Francisco 22


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2% ///L&A" c&est uoi /

T: is simple "ut not easyI PSorothy VongewardQ.

Duts énéraux de l&A" dans le anaeent

* décou$rir pour%uoi e suis ainsi, comme e suis ?

* me comporter face ' moimRme et face au( autres de mani#re plus consciente

* de$enir plus autonome, c'd moins dépendant de mes contraintes intérieures et descontraintes e(ternes

[email protected] A


!onnaissance de soi

* 5u’estce %ui agit en moi, %uelles sont mes représentations et %uelles sont mes normes 4


69/123

5u est ce %u ag t e o , %ue es so t es ep ése tat o s et %ue es so t es o es

* =stce %ue ces préugés sont conformes au( perceptions %ue ’aimerais $raiment a$oir 4

* 5uand estce %ue ces normes me handicapent, %uand limitentelles mes moyens dem’impli%uer réalistement dans ma $ie 4

Les nores individuelles peuvent Gtre transforées par celle de l&entreprise :

* 5uelles sont les actions dans une entreprise pour les%uelles l’on est recompensé 4

* 5ue faiton en %ualité de mem"re d’une organisation 4 5ue ne faiton pas 4

!oporteent plus conscient

* 5uelles attitudes doi$ent Rtre poursui$ies et les%uelles sont ' é$iter 4

* 5uel dialogue intérieur préc#de l’action a$ec la%uelle e n’ai aucun succ#s 4

* 5uel pourcentage de mes actions a lieu consciemment 4 5ue se passetil réellement dans le dialogue 4

* &omment estce %ue e me trompe inconsciemment ? comment suise trompé par les autres 4

[email protected] B


Autonoie


70/123

* ; %uel point mon comportement estil $oulu et donc conscient et ' %uel point suise manipulé 4

* &omment estce %ue e $ais 4 5uelles sont les consé%uences de mon comportement 4

* 5u’estce %ue e peu( réalistement changer che/ moi si e le $eu( réellement 4

* 5uelles sont les alternati$es %ui s’offrent ' moi 4

* 5uand et comment puise mettre ces alternati$es en prati%ue 4 &omment puise m’y entraWner 4Eupposons %u’un colla"orateur ne s’entende pas a$ec son chef. &onformément au mod#le de la guerre ou de la fuite, il pourrait aller che/ son chef, gueuler un coup et démissionner ou il ne dit rien, attend et esp#re %ue son chef ou lui, %u’un des deu(

sera muté.otre colla"orateur a en réalité "eaucoup plus d’alternati$es. l peut se demander )

* %uelles sont les causes de ce mau$ais rapport a$ec son chef,* dans %uelles circonstances la situation estelle particuli#rement tendue,* dans %uelle mesure estil ' l’origine de cha%ue mau$aise relation,* comment chercher un nou$eau dialogue a$ec son chef,* comment un "on dialogue pourrait se dérouler,

* a$ec %ui il pourrait préala"lement s’entraWner ' a$oir ce "on dialogue.

[email protected] N


tat actuel de l&usae de l&A" dans le anaeent

Les domaines d’applications de l’:t dans le dé$eloppement personnel ou dans les organisations est %uasiment illimité et donc


71/123

de loin pas épuisé. Les arguments en fa$eur de l’:T sont )

* L’:T est un syst#me cognitif complet et clos. l correspond au( attentes actuelles desdirigeants d’entreprises et ' l’ensem"le des cadres.

* L’:T incite au( changements sans pression ni sanction. &’est une in$itation constructi$e 'modifier ce %ui doit Rtre modifié.

* L’:T trou$e des applications non seulement dans le monde professionnel mais également dansla sph#re pri$ée Pamis, famille, %uotidienQ.

* L’:T loin d’Rtre simpliste est toutefois transparente et donc simple ' comprendre.

* L’:T s’ins#re facilement dans toute formation professionnelle. L’:T en %ualité de $éhicule %ui aide auchangement concret et pragmati%ue est particuli#rement conseillé dans les thémati%ues sui$antes )

* communication* connaissance de soi* action sur les autres* comportement dans le dialogue* dé$eloppement d’organisation

* orientation des clients* moti$ation.

[email protected] A0


Les publics ciblés sont


72/123

* toute personne ayant des responsa"ilités de dirigeant

* $endeurs

* colla"orateurs au contact de la client#le

* entraWneur

* cadres d’entreprises

[email protected] AF


5% Les tats du +oi

5%2 $xeple


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+artons d’une situation dans la%uelle n’importe %uel cadre d’entreprise pourrait un our se trou$er ) un our oD $otre colla"orateur : doit terminer un tra$ail important dans les plus "refs délais, il se présente dans un état déla"ré impressionnant. l estfatigué, il n’a pas "onne mine et son chef direct $ous dit %u’il suppose %u’: s’est saoulé la gueule toute la nuit.

5uelle pourrait Rtre la réaction du cadre dirigeant 4

5ue dirie/$ous si $ous étie/ ce cadre dirigeant 4 Présume/ $otre réponseQ



Alternatives


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* aQ Hon mais %u’estce %ue $ous croye/ de $enir dans un tel état ustement auourd’hui 4I

* "Q H&ela peut arri$er ' chacun. :imerie/$ous une tasse de café 4I

* cQ HVe $ois %ue $ous n’alle/ pas "ien. =stce %ue $ous pense/ pou$oir terminer le tra$ail dans lesdélais 4I

* dQ H=h "ien dites donc, a a dC Rtre animé cette nuit. 5uelles nou$elles "lagues raconteton 4I

* eQ Le cadre dirigeant ne dit rien.

* fQ HVe crois %ue le mieu( pour $ous c’est %ue $ous $ous prenie/ un congé d#s %ue le tra$ail estterminé.I



&omment distinguer ces si( types de comportement 4 5uelles sont les réfle(ions cachées 4 5uels effets sur lecolla"ora teur 4

a) Le responsable fait ici claireent un reproche au collaborateur il a en uelue sorte un co


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a) Le responsable fait ici claireent un reproche au collaborateurE il a en uelue sorte un co.porteent Hcritiue et punissant% La nore cachée est donc H1n vient au travail en fore etC *eun%!e t9pe de essae n&est certaineent pas auvais ais il ne peret pas de sortir de la situ.

ation

iédiate%

Le

collaborateur

ne

sera

pas

pour

autant

en

eilleur

état

tout

de

suite%

b) Le

responsable

fait

preuve

de

copréhension

et

essaie

d&aider

le

collaborateur%

Sa

réflexionpourrait Gtre : HC uoi bon aintenant enfoncer ce collaborateur / Le collaborateur sait ueson coporteent n&est pas adapté et *e sais par expérience coent on est dans un étatpareil%!ela redonne un peu d&assurance au collaborateur% $n Ge teps c&est coe si ueluechose était fait pour l&aider C aller ieux%



c) !ette réaction est sans pré*uéE sans éotion et forulé sans *ueent de valeur% Lauestion en relation avec le délai de travail donne au responsable une inforation sur la perception ue le collaborateur A a de la situation% Il obtiendra certaineent uneinforation iportant par exeple ue le collaborateur avait préparé le travail en avance et


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inforation iportant par exeple ue le collaborateur avait préparé le travail en avance etu&il n&a pas de retard dans son pro*et%

Le responsable se penche de anire réaliste sur le probleE sur la situation telle

u&elle

est%

Le

collaborateur

n&est

ni

critiué

.

ce

ui

n&apporterait

rien

en

l&occurrence

.

nidérespon. sabilisé% Le responsable récolte des inforations pour décider ensuite uellesesures sont C prendre (si nécessaire)%

d) Le

responsable

se

coporte

en

caarade

et

est

trs

huain%

Il

saisit

la

situation

avec

huour K ses uestions C propos des nouveaux as ontrent u&il souhaite aussi profiter de ceui a plu au collaborateur% Il s&ait davantae du coporteent d&un bon collue ue celuid&un responsable%

Le collaborateur se sentira certaineent soulaé par cette tournure des événeents% La rela.tion huaine entre lui et son chef est aintenue et c&est un avantae pour pouvoir fixer la suite du travail afin de respecter les délais%

[email protected] A>


e) Le silence du responsable peut avoir des raisons différentes : peut.Gtre pense.t.il u&ilest inutile en ce oent de discuter avec le collaborateur% Il veut peut.Gtre éviter unediscussion avec le collaborateur et suppose dé*C u&il devra une fois de plus teriner letravail du col. laborateur pour tenir les délais


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travail du col. laborateur pour tenir les délais%

Le silence ne sinifie pas pour autant ipuissance% H!elui ui peut se saouler la ueule doitsavoir assuer% Je vais laisser ce collaborateur ioter et are C lui s&il ne finit pas le travail

C

teps

Ni

l&ipuissance

ni

l&aressivité

cachée

n&offrent

de

solutions

réalistes

C

la

situa.tion K le responsable reste passif% Le collaborateur sera désécurisé et ne saura pas coentse coporter%

f) '&un siple coup d&Mil le responsable enreistre l&état du collaborateur% La proposition uilui fait est particulireent rusée : il veut certes teriner le travail dans les délais ais il veutsurtout ue le collaborateur terine le travail% Le collaborateur va probableent epoiner le proble avec reconnaissance%

[email protected] A


5%5 'éfinition

Les Hétats du moiI sont des états de conscience au(%uels sont associés des comportements types influencés par


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0 %%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%% des représentations de valeurs et noresE

0 %%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%% des expériences vécuesE assiilées et des inforations récoltées

0 %%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%% des éotions%

L’e(emple précédent a clairement ré$élé %ue notre responsa"le, a$ant d’agir face ' la situation, a ressenti un certain nom"rede faits et d’émotions. l s’est trou$é sous l’influence de di$ers états du moi )

0 Lors des réactions a) et b) il a ait sous l&influence de nores critiues ou de soutien (nour.ricier ou protecteur)%

0 La réaction c) elle sert surtout C récolter des inforations afin de prendre une décisionen connaissance des causes%

0 Les réactions d)E e) et f) étaient plutOt du t9pe éotionnel% Avec la situation d) le responsableontre ue la situation n&est pas traiue et u&il désire éaleent rioler un coup% La réac.

tion

e)

ontre

ue

le

responsable

n&est

pas

sr

de

lui

et

u&il

hésite

entre

plusieurst9pes

de

coporteents

puis

ne

fait

rien%

La

réaction

f)

est

une

t9piue

anipulation%

Laréflexion pourrait Gtre HJe vais le pousser asseB loin *usu&C ce u&il ait fini son travail%

[email protected] AA


5%6% $xplications des différents états du oi

Les états du moi sont ' la "ase du mod#le de l’analyse transactionnelle de la personnalité humaine. L’hypoth#se de "ased’=ric Jerne est fondée sur la constatation %ue le comportement de cha%ue indi$idu est construit autour de trois états du moi


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d =ric Jerne est fondée sur la constatation %ue le comportement de cha%ue indi$idu est construit autour de trois états du moi%ui influencent ses pensées, ses émotions et ses actions.&es trois états du moi sont )

0

%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

l&état

du

oi

Hparent

0 %%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%% l&état du oi Hadulte

0 %%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%% l&état du oi Henfant

Nous pouvons air C partir de tous les états du oi% Lorsue l&on ait C partir de l&état du oi HparentE le coporte.ent

est

celui

du

parent

par

rapport

C

l&enfant%

Q partir de l&état du oi HadulteE les réactions sont fondées et réfléchies%

Lorsue

la

réaction

vient

de

l&état

du

oi

HenfantE

nous

pouvons

dire

ue

ce

coporteent

est

seblable

C

celui

del&enfant devant un adulte ou un parent%

[email protected] AB


5%6%2% L&état du oi Hparent Le HparentI comprend l’enregistrement de normes, de lois, de commandements et d’interdits,de principes et de ma(imes ainsi %ue les effets $écus en tant %u’enfant. Le comportement pro$enant du HparentI est en%uel%ue sorte compara"le ' une $ieille "ande enregistrée %ui serait reouée réguli#rement et %ui contiendrait toutes lesnormes agissantes.


80/123

g

Parent

cr prot%

Le parent critiue :

dé$alorisepensée dichotomi%ueP"onmal ? ustefau(Qgénéraliseordonnecriti%ue

affirme sa$oir fait le maWtre d’écolepose des %uestionsréthori%ues et in%uisitoiresfait la moralepunit

Le parent protecteur

écoutefait preu$e de compréhensiona de la patience$aloriseaideconsole

calmeredonne du moralconcilie

[email protected] AN


5%6%5 L&état du oi Hadulte

L’état du moi HadulteI n’a aucun rapport a$ec l’Zge réel de l’humain. l se dé$eloppe $ers cin% ans en$iron. Ee dé$eloppementest continu tout au long de la $ie de la personne. Les états du moi HparentI et HenfantI se dé$eloppent a$ant lui. ls sont donc


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g p p ppsou$ent plus fort et plus mar%ués %ue l’état du moi HadulteI.

L&adulte :

Adulte

il réunit et donne des informations écoute o"ser$e pose des %uestions factuelles réunit les données se concentre sur ce %ui s’est passé réellement formule des a$is neutresil

évalue

les

probabilités réfléchit

p#se cherche des alternati$es $érifie ses propres normes et sentiments différencieil

prend

des

décisions essaie de résoudre les pro"l#mes de mani#re

constructi$e

[email protected] B0


5%6%6% L&état du oi Henfant

L’état du moi HenfantI contient l’ensem"le des impulsions %ue tout enfant a reu naturellement. l a également enregistré sese(périences passées liées au( émotions $écues, au( réactions %u’il a eues ainsi %ue l’image de soi. L’IenfantI adopte


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l’attitude typi%ue des enfants %ui mRme plus tard lors%u’il est de$enu adulte refont surface.

Les enfants peu$ent agir de mani#re naturelle, adaptée ou intuiti$e. =ric Jerne distingue donc trois formes d’e(pression de

l’état du moi HenfantI )

Gtat du moi Henfant naturelI

0 L’état du moi Henfant naturel laisse libre cours C l&expression de ses sentientsE de ses éo.tionsE de sa sensibilité et de ses ipulsions% Il n&exerce aucun contrOle ni aucune censure sur ce u&il ressent% Lorsu&il désire uelue choseE il ne réfléchit pas plus lontepsE il exprie

son

désire

et

cherche

C

le

satisfaire

au

plus

vite%

0 L’état du moi Henfant naturel est stiulé par sa propre vitalitéE par le ot de la vie et le plaisir de l&action% !&est l&état du oiE du fait u&il est lC en preierE ui est le plus fort Ge lorsuel&éducation ou toute autre fore de contrainte cherchent C le contrOler% Il ne se laisse passans autre ener par l&autorité%

[email protected] BF


Gtat du moi Henfant adaptéI

0 Lorsue la personne se situe dans cet état du oiE elle tend C se coporter de anire passer soit inaper-ue soit de anire C ontrer u&elle fait ce ue l&on attend d&elle%


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0 L&état du oi Henfant adapté correspond C l&état du oi en nous ui peut souffrirEsupporterE renoncerE le tout en restant passif% Il a tendance C attendre ue les choses

Hpassent

ou

ueH-a aille ieux ou ue -a Hs&arrane tout seul% !ette position d&attente peut durer toute lavie et représente s9boliueent une attende de la ort%

Gtat du moi Hpetit professeurI

0 !ette traduction littérale de l&anlais (Hlittle professor) décrit un état du oi ue l&on pour.rait ieux coprendre dans la culture francophone C l&aide des expressions HalinE Hrusé

Hdébrouille%

0 Le Hpetit professeur ui est en nous est le sie de la capacité C capter la réalité C l&aide denos sensE de l&intuition% Il coprend au uart de tour de anire intuitive% Q l&opposé de l&étatdu oi HadulteE le Hpetit professeur fonctionne donc essentielleent C l&intuition alors uel&adulte anal9se et esure%

0 !et état du oi est particulireent développé cheB le petit enfant capable de énie pour arriver C ses fins C l&aide de anipulation et de créativité%



ipulsifRdépressifRintuitif

. état du oi Henfant naturel : spontané et impulsif


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tat du oi

nat%

adap%

Pr%

spontané et impulsif direct cherche le changement et le plaisir

égocentri%ue re"elle agressif authenti%ue

. état du oi Henfant adapté : perdu souffre attend us%u’' ce %ue a aille mieu( s’oriente ' l’aide des normes

renonces man%ue parfois de confiance en soi a peur a"andonne sourit soumis ou in%uiet

. état du oi Hpetit prof : intuitif, malin, rusé manipule

créatif et imaginatif



5%7%5 "#ches de coandeent

; partir de %uels états du moi des tZches de commandement concr#tes sontelles prises en compte 4

T t l tZ h d d t t Rt té ' t t l ét t d i i"l L’é é li é


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Toutes les tZches de commandement peu$ent Rtre captées ' tra$ers tous les états du moi possi"les. L’égogramme réaliséne donne "ien entendu %u’une "ase de réfle(ion. Kegardons maintenant ' tra$ers un e(emple concret Péta"lissementd’o"ectifsQ le nom"re de situations réalistement en$isagea"les. 5uelles sont donc les alternati$es possi"les.

La situation de départ : 9n ingénieur de $entes fait clairement sa$oir ' un de ses colla"orateurs %u’il de$ra l’année ' $eniraugmenter le chiffre d’affaires de 20 [ en$iron. Le colla"orateur répond %ue cet o"ectif est irréaliste.

Les réactions de l’ingénieur des $entes )

tat du oi Hparent critiue : H&omment a irréaliste 4 ous ferie/ sans doute "ien de $ous occuper de $otre marché 'fond U ous $errie/ alors %u’il y a un important potentiel de croissance UI

=ffet sur le colla"orateur ) L&aruent du collaborateur n&est pas du tout pris en copte% Il se raasseune critiue sévre% Il n&a pas d&autre choix ue de se souettre C l&ordre s&il ne veutpas avoir davantae de probles avec son supérieur (état du oi Henfantadapté)%



Parent protecteur : HVe comprends tout ' fait %ue 20 [ en plus $ous sem"lent incroya"les. S’autant plus%u’en nous "asant sur l’année derni#re %ui était dé' une tr#s "onne année cela sem"leimpos si"le. Ve crois %ue nous de$rions regarder ensem"le le plan marketing. ousdisposerons en effet l’année prochaine de moyens "ien plus éle$és pour la pu"licité et


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disposerons en effet l année prochaine de moyens "ien plus éle$és pour la pu"licité etles actions %ue nous n’a$ions us%u’' présent < H

=ffet sur le colla"orateur ) L&inénieur fait preuve de copréhension et ontre u&il est conscient u&une telleproression enendre de l&inuiétude si l&on n&a pas plus de détail% Sa propositiond&étudier enseble le plan aretin cale le collaborateur ui se trouve dans sonétat du oi Henfant adapté% Les inforations factuelles s&adressent ensuite C l&étatdu oi Hadulte du collaborateur%

Adulte : H5uelle progression considérie/$ous comme réaliste 4I

=ffet sur le colla"orateur ) Tne uestion de fait est posée au collaborateur% !e dernier est is sur unpied d&éalité (état du oi Hadulte)% !ela favorisera une discussion ui reposesur une aruentation de fait et donc plutOt ob*ective%

[email protected] B>


$nfant naturel : H7ui, e sais, a paraWt incroya"le. 8ais il est temps de "attre nos $ieu( concurrents. &eserait génial U Jon on de$rait en parler pour trou$er un moyen d’y arri$er.I

=ffet sur le colla"orateur ) L&inénieur cherche C toucher l&orueil du collaborateur en s&adressant C son état


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=ffet sur le colla"orateur ) L inénieur cherche C toucher l orueil du collaborateur en s adressant C son étatdu oi Henfant naturel% !ela peut en effet Gtre ausant d&Gtre plus fort ue les con.currents% S&il fournit ensuite des indications pour 9 parvenirE il s&adressera C l&état

du

oi

Hadulte

du

collaborateur%

$nfant adapté : HVe sais "ien %ue c’est impossi"le. 8ais e n’y peu( rien, c’est le conseil de direction %ui a

décidé de tels chiffres et %ui nous les impose.I

=ffet sur le colla"orateur ) L&inénieur doute lui.Ge de la possibilité C atteindre l&ob*ectif% Il prie le collabora.teur de le coprendre (il s&adresse C l&état du oi Hparent protecteur)% L&aruentdu conseil d&adinistration lui peret de ettre le collaborateur et lui.Ge dansun état du oi d&enfant adapté%

[email protected] B


Petit professeur : Hous aimerie/ certainement faire partie l’année prochaine des $endeurs %ui partirontgra tuitement une semaine en $acances ' _onolulu UI

=ffet sur le colla"orateur ) L&inénieur utilise ici une ruse en anipulant le collaborateur et en


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=ffet sur le colla"orateur ) L inénieur utilise ici une ruse en anipulant le collaborateur et ens&adressant C son Henfant naturel (Uonolulu) et en Ge teps C l&enfantadapté (peur de ne pas faire partie des bons vendeurs%

; moins %ue l’on ait comme o"ectif manifeste d’a$oir des colla"orateurs en état du moi H enfant adaptéI, les réactions %ui

$iennent des états du moi HadulteI, Hparent protecteurI, Henfant naturelI sont pro"a"lement les mieu( adaptés. La décisionfinale ' propos du comportement le plus adapté nécessiterait une clarification e(hausti$e.

cours de communication - psychologie - team - conflits - pnl - at

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