impact du patient protection and affordable care act sur l'imagerie vasculaire
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Revue g�en�erale
DOI of or1The Vascu
Ohio State Un2Division o
versity College
CorrespondDepartment oStreet 3018, 4E-mail: bhagw
Ann Vasc Surhttp://dx.doi.or� Annals of V�Edit�e par ELS
1050
Impact du Patient Protection and AffordableCare Act sur l’imagerie vasculaire
Bhagwan Satiani,1,2 Columbus, Ohio, USA
La mise en œuvre de la l�egislation Patient Protection and Affordable Care Act influencera la chi-rurgie vasculaire de plusieurs mani�eres. Comme l’imagerie explique 23% des revenus Medicarede Chirurgie Vasculaire Partie B, des chirurgiens vasculaires seront n�egativement affect�es pardes sch�emas et des m�ethodologies de remboursement propos�es par diverses agences. LaCommission Consultative de Paiement de Medicare est une agence charg�ee par le Congr�esde revoir les politiques de paiement et les recommandations de changements. Bien que lesrecommandations actuelles soient orient�ees vers des services « avanc�es » et plus couteuxd’imagerie, les chirurgiens vasculaires et la communaut�e �echographique sont consult�es pourexaminer de l’ext�erieur pour toutes les recommandations qui peuvent d�efavorablement effectuerl’acc�es et la satisfaction des patients.
INTRODUCTION
La Loi Patient Protection and Affordable Care Act
(PPACA) est de statut f�ed�eral et fait partie de la
l�egislation de r�eforme de sant�e vot�ee par le Congr�esen 2010. Parmi les r�eglements et les modifications
innombrables du remboursement qui viendront
apr�es la mise en œuvre du PPACA, l’impact sur les
services d’imagerie est essentiel pour les chirurgiens
vasculaires (CV). Puisque les patients Medicare
sont un composant significatif de la pratique de
chaque CV, n’importe quel changement de poli-
tique concernant les services fournis aux patients
Medicare est avec raison observ�e �etroitement par
les CV et des organismes professionnels tels que la
Society for Vascular Surgery (SVS) et la Society for
Vascular Ultrasound (SVU). Ce qui suit est une
iginal article: 10.1016/j.avsg.2011.05.008.
lar Laboratory, OSU Heart and Vascular Center, Theiversity College of Medicine, Columbus, OH, USA.
f Vascular Diseases and Surgery, The Ohio State Uni-of Medicine, Columbus, OH, USA.
ance : Bhagwan Satiani, Division of Vascular Surgery,f Surgery, The Ohio State University Medical Center,56 West, 10th Avenue, Columbus, OH, 43210, USA,[email protected]
g 2011; 25: 985-989g/10.1016/j.acvfr.2012.10.031ascular Surgery Inc.EVIER MASSON SAS
br�eve r�eflexion sur l’agence charg�ee de revoir la
politique de paiement de Medicare et l’impact du
PPACA sur l’imagerie et d’autres services offerts
par les CV aux patients de Medicare.
QU’EST-CE QUE MEDPAC?
La Medicare Payment Advisory Commission
(MedPAC) est une agence ind�ependante du congr�es�etablie par le Balanced Budget Act de 1997
(P.L. 105-33) pour conseiller le congr�es des �Etats-Unis sur les questions affectant le programmeMedi-
care, et charg�ee de passer en revue les politiques de
paiement de Medicare et de recommander des
changements pour couvrir le cout du programme
Medicare.1
QUI EST MEDPAC?
Les 17 membres de la Commission sont nomm�espour trois ans (renouvelables) par le Controleur
G�en�eral et servent �a temps partiel. Il y a actuelle-
ment quatre m�edecins membres de la Commission,
et deux d’entre eux sont des chirurgiens
(Abington Memorial Hospital, Abington, PA, and
Ronald D. Castellanos, MD, Southwest Florida
Urologic Associates, Fort Myers, FL, membres jusqu’
en avril 2012).1
Vol. 25, No. 7, 2011 Impact du PPACA sur l’imagerie vasculaire 1051
QUAND SE R�EUNISSENT-ILS?
Toutes les r�eunions sont publiques. Les r�eunions setiennent au Ronald Reagan Building, The Interna-
tional Trade Center, 1300 Pennsylvania Avenue
NW, in Washington, DC.
COMMENT LA RECOMMANDATIONACTUELLE DE MEDPAC AFFECTE LESSERVICES D’IMAGERIE FOURNIS PARLES CV?
Sp�ecifiquement, le chapitre 8 du rapport MedPAC
de juin 2010 au Congr�es des �Etats-Unis traite des
services d’imagerie fournis aux b�en�eficiaires de
Medicare.2
Les remboursements d’imagerie sont pay�es par lapartie B de Medicare. La partie B paye aussi les
consultations des m�edecins dans leur bureau, les
secteurs d’hospitalisation ou les secteurs de soins
externes, les cliniques de sant�e rurales, et les
centres chirurgicaux ambulatoires ; les transports
en ambulance ; les services de sant�e �a la maison ;
les laboratoires cliniques et les services diagnosti-
ques ; les fournitures chirurgicales ; les �equipements
m�edicaux durables et les fournitures telles que les
fauteuils roulants et les aides �a la marche ; et
les fournisseurs �a permis restreint tels que les
infirmi�eres praticiennes avanc�ees agr�e�ees, les
kin�esith�erapeutes ind�ependants les ergoth�erapeu-tes, les sages-femmes, les audiologues, les assis-
tants sociaux agr�e�es, les psychologues cliniciens, lesaides de m�edecins, et les infirmiers anesth�esistesdiplom�es enregistr�es.
MedPAC est pr�eoccup�e par la croissance rapide etla sur utilisation des services d’imagerie. Un rapport
de juin 2008 du General Accountability Office a
d�eclar�e que Medicare a d�epens�e plus de $14 mil-
liards sur des services d’imagerie en 2006 -une aug-
mentation de deux fois sur 2000.3 En outre,
l’augmentation moyenne de 13% par an des
d�epenses d’imagerie �etait bien au-dessus du taux de
croissance de 8,2% pour tous les autres services de
m�edecin. « Le volume des services d’imagerie diag-
nostique a augment�e de 7,2 pour cent par
b�en�eficiaire et par an entre 2003 et 2008. »3
De plus, le rapport a constat�e que le nombre de
proc�edures d’imagerie faites au cabinet (o�u le
m�edecin collecte un revenu technique et profes-
sionnel) a cru de 58% en 2000 �a 64% de 2006. Il y
a eu plusieurs tentatives de lier l’utilisation �a des
auto-r�ef�erences par le m�edecin. Le rapport MedPAC
de juin 2009 a trouv�e une corr�elation positive signi-
ficative entre l’auto-r�ef�erence du m�edecin et l’utili-
sation de l’magerie.4
Les m�edecins ont augment�e les examens au
cabinet, les services de laboratoire, et l’imagerie
au cabinet ces 5 derni�eres ann�ees, autoris�es sous
l’exception « cabinet » des services auxiliaires
(IOASE) permise par la l�egislation Stark.
MedPAC a d�eclar�e que «.l’imagerie repr�esentait23% de paiements de la partie B aux CV en 2008. »(Fig. 1) Par cons�equent, toute recommandation li�ee�a l’imagerie a clairement une influence significative
sur les pratiques des CV.4
AUTRES SUJETS IMPACTANT LES CV
Taux d’utilisation de l’�equipement
Les centres Medicare et Medicaid (CMS) mettront
probablement en application une d�eclinaisondu PPACA exigeant un taux d’utilisation de
l’�equipement pour que l’�equipement diagnostique
couteux soit fix�e �a 75%.MedPAC a propos�e un ajus-
tement semblable dans son rapport dumars 2009 au
Congr�es, et recommandait que lesmachines coutant
>1million de dollars soient rembours�ees, supposantun taux d’utilisation de 90% (45 hr/semaine).4 Le
taux d’utilisation est important parce qu’il est
employ�e pour calculer la partie de pratique
des d�epenses de l’unit�e de valeur relative dans
la composante technique (CT) du paiement. Jus-
qu’ici, l’assomption d’utilisation de l’imagerie par
r�esonance magn�etique (IRM) et par scanner (CT)�etait plac�ee �a 50%. En 2010, les CMS avaient pro-
pos�e de l’augmenter �a 90%, pour etre mis en phase
sur 4 ans, mais apr�es une certaine pression, depuis le1er janvier 2011, les CMS fixeront l’assomption
d’utilisation des �equipements pour ces memes ser-
vices (d�efinis par le Current Procedural Terminology
Code) �a 75%, comme l�egif�er�e par le PPACA.
Les CMS proposent aussi d’appliquer ce taux
d’utilisation �a 24 codes additionnels, qui sont sur-
tout des proc�edures d’angioscanner principalement
diagnostique et des proc�edures d’angiographie par
r�esonance magn�etique qui incluent une salle de
CT ou d’IRM dans leurs entr�ees directes de d�epensesde pratique. Comme exig�e par le PPACA, ce change-ment n’est pas budg�etairement neutre, ce qui veut
dire que les �economies li�ees �a ce changement ne
demeureront pas dans le pool des paiements de la
partie B de Medicare.
Implication. SVU has correctly pointed to the
‘‘aggregate bias’’ in Medicare overpaying for high
markup procedures such as CT and MRI and under-
paying for vascular ultrasound.5 SVS should simi-
larly support a CMS proposal to calculate separate
cost to charge ratios for these high markup
Fig. 1. Pourcentage des revenus de la partie B de Medicare d�eriv�es de l’imagerie et d’autres services en 2008. Reproduit
avec la permission du rapport MedPAC au Congr�es. Incitations �a l’alignement dans Medicare, 2010.
1052 Satiani Annales de chirurgie vasculaire
procedures, thus resulting in an accurate valuation
of vascular ultrasound.
Expansion of the multiple procedure
payment reduction policy to more non-
surgical services
Starting July 1, 2010, CMS increased the multiple
procedure payment reduction for the TC of imaging
procedures from 25% to 50%, as required by the
PPACA. Previous to this change, CMS policy had
reduced the TC payment by 25% for the second
and subsequent imaging procedures performed on
the same patient on contiguous body parts within
11 families of codes. CMS plans to increase the
reduction to 50% and to expand the services subject
to the reduction to include the second and subse-
quent procedures for all CT and computed tomogra-
phic angiography, MRI and magnetic resonance
angiography, and ultrasound services, regardless of
modality or body part. As an interesting side note,
savings resulting from the further reduction in the
TC payment to 50% would not remain in, whereas
the savings resulting from the expansion of services
affected would remain in the general Part B physi-
cian payment pool.
Implication. Les CV sont au courant de la politique
de r�eduction du paiement des services profession-
nels si des proc�edures multiples sont faites pendant
une op�eration. Il y a une r�eduction semblable du
paiement pour la partie technique du service rendu
en cabinet. Cependant, ce changement r�eduitencore le paiement de 25% �a 50% pour la deuxi�eme
proc�edure et les suivantes et s’appliquera �a toutes les
modalit�es d’imagerie et aux diff�erentes parties du
corps.
Exigences additionnelles d’affichage
pour IOASE pour empecher l’auto-
r�ef�erence par le m�edecin pour certains
services d’imagerie
Exception �a Stark au cabinet. La l�egislation Stark
voulait interdire l’auto-r�ef�erence par les m�edecinsaux �equipements qui leur appartiennent. Puis, on
a accord�e une s�erie d’« exceptions » pour permettre
des activit�es l�egitimes, y compris l’IOASE.6 L’objectif
de cette exception visait �a permettre un diagnostic et
la mise en route rapides du traitement au moment
de la consultation, d’am�eliorer la satisfaction du
patient, et la coordination des soins. Cependant,
pour d�ecourager la surutilisation, l’imagerie, par
exemple, doit etre personnellement supervis�ee par
le m�edecin r�ef�erent, un m�edecin qui appartient �a la
pratique du groupe, ou un individu qui est dirig�e parle m�edecin r�ef�erent ou un autre m�edecin du groupe
(le besoin de surveillance). Il y a �egalement des
conditions sp�ecifiques de batiment/facturation
pr�esent�ees par Medicare.
Une nouveaut�e est que les CMS proposent que les
m�edecins qui font des IRM, des CT, et tomographies
par �emission de positrons (PET) en cabinet en reliant
l’IOASE �a la loi d’auto-r�ef�erence par le m�edecinr�ev�elent certaines informations aux patients. Les
patients doivent etre avertis par �ecrit au moment
de la prescription qu’ils ont le droit de recevoir ces
services d’une entit�e autre que celle du m�edecinou des membres de son groupe de pratique et
Fig. 2. Pourcentage de services auxiliaires faits le meme jour que la consultation, 2008. Reproduit avec la permission
du rapport MedPAC au Congr�es. Incitations �a l’alignement dans Medicare, 2010.
Vol. 25, No. 7, 2011 Impact du PPACA sur l’imagerie vasculaire 1053
doivent �egalement recevoir une liste de « fournis-
seurs » alternatifs dans le secteur. �A quelques excep-
tions, la liste de fournisseurs alternatifs doit inclure
10 fournisseurs alternatifs sur une distance de
25 milles du cabinet du m�edecin au moment de la
r�ef�erence. La documentation doit inclure la signa-
ture du patient, et ceci doit figurer dans le dossier
du patient.
Implication. Comme actuellement propos�e, bien que
les CMS aient l’autorit�e pour inclure d’autres servi-
ces d’imagerie tels que l’�echographie vasculaire, la
nouvelle r�eglementation est limit�ee aux services
d’IRM, de CT, et aux PET. Il n’est gu�ere douteux
que dans un avenir proche, le CV verra l’exigence
de publicit�e appliqu�ee �a l’�echographie vasculaire. Il
peut incomber au CV d’utiliser l’IOASE pour mettre
en application l’exigence de publicit�e comme�el�ement d’un plan complet de conformit�e.Interpr�etation du rapport MedPAC de Juin
2010. Le principal souci du rapport 2010 de Med-
PAC est de savoir si certains services doivent conti-
nuer �a relever de l’IOASE, tel que les services
qui ne sont pas n�ecessaires en consultation pour
aider le m�edecin au diagnostic ou �a un plan de
traitement.1
Comme la raison primaire de l’exception �a la
l�egislation Stark pour les « services auxiliaires » �etaitde permettre �a des m�edecins de fournir des services
diagnostiques et un traitement rapides au cours de
la meme consultation, MedPAC a �etudi�e si cette
raison �etait encore valide. L’�etude a examin�e les
r�eclamations globales et techniques sur les cabinets
de m�edecin et les structures ind�ependantes d’exa-
mens et excluait les �equipements hospitaliers et les
consultations externes des hopitaux. Quelques
r�esultats m�eritent une mention sp�eciale. D’abord,les traitements externes (tels que l’ergoth�erapie et
la kin�esith�erapie) sont rarement fournis le meme
jour comme consultation li�ee (�evaluation et gestion)
(Fig. 2). En second lieu, moins de la moiti�e de
l’imagerie avanc�ee, l’�echographie (cardiaque et
vasculaire), et les services cliniques de laboratoire et
de pathologie sont assur�es le meme jour que la
consultation. Enfin, environ la moiti�e des examens
d’imagerie standard (tels que les radios sans pr�epa-ration) sont r�ealis�es dessus le meme jour que la
consultation.
MedPAC a soulign�e que la constatation que beau-
coup de services auxiliaires ne sont pas facilement
fournis pendant une consultation soul�eve des ques-tions au sujet d’une raison principale de l’IOASE-
qui permet �a des m�edecins de fournir des services
auxiliaires pendant la consultation.
Cependant, il y avait une grande diff�erence entreles services dans la journ�ee pour le traitement et
pour l’imagerie « standard » (radios) ou l’imagerie
avanc�ee, comme vu dans le Tableau I.
Par cons�equent, MedPAC sugg�ere de limiter les
types de services ou de groupes de m�edecins cou-
verts par l’IOASE.1 Par exemple :
1. Exclusion des traitements externes et de la
radioth�erapie de l’exception.
2. Limitation de l’exception aux pratiques des
m�edecins qui sont m�edicalement int�egr�ees.
Tableau I. Fr�equence des services auxiliaires en rapport avec les consultations (rapport MedPAC de juin)
Relation avec laconsultation
TraitementEXT
Clinique/pathologie
Imageriestandard
Echographie(dont vasculaire)
Imagerieavanc�ee
Meme jour 3% <50% 50.9% 25.9%; 28.4% 10%
<7 jours 9% 40% 33%
<14 jours 14% 52% 59% 46% 41%
Reproduit avec la permission de MedPAC Rapport au Congr�es. Incitations �a l’alignement dans Medicare, 2010.
MedPAC, Medicare Payment Advisory Commission ; EXT, patient externe.
1054 Satiani Annales de chirurgie vasculaire
Actuellement, les m�edecins membres d’un
groupe doivent fournir au moins 75% de
leurs services au sein du groupe. Le terme
« m�edicalement int�egr�e » peut signifier
diff�erentes choses mais il est �evident que le «package » est suscit�e pour pousser les m�edecins �aune collaboration avec des hopitaux pour�eloigner l’�el�ement incitatif autant que possible.
D’un point de vue de praticien priv�e, c’est un
vrai changement et une contrainte pour tra-
vailler avec les hopitaux.
3. Exclusion de l’exception des examens de diag-
nostic qui ne sont pas habituellement effectu�espendant une consultation. Ici, MedPAC sugg�erequ’un seuil de l’ordre de 50% des examens faits
le meme jour en consultation soit concern�e par
l’exception d’IOAS �a Stark. Ceci expose des
traitements divers et l’imagerie avanc�ee au ris-
que d’exclusion de l’exception, et �a un certain
degr�e, meme l’�echographie vasculaire, qui
atteint 25,9-28,4% du total (des examens faits le
meme jour que la consultation). En ce qui con-
cerne celle-ci, MedPAC dit « Avec une autre
approche, les examens de diagnostic qui ne sont
g�en�eralement pas faits le meme jour que la
consultation doivent etre exclus de l’IOASE. La
rationnelle de cette option est que certains exa-
mens sont rarement employ�es par les m�edecinspour faire un diagnostic lors de la consultation,
ce qui est une justification principale pour
l’exception. »1
4. Envisager de r�eduire les tarifs de prise en charge
des examens de diagnostic faits par les m�edecinsen « auto-r�ef�erence ». Fondamentalement, c’est
une p�enalit�e arbitraire reposant strictement sur
une base empirique impos�ee au CV poss�edantl’�equipement dans son cabinet. MedPAC sp�eculesimplement que cet « �ecart comportemental »d�ecouragera l’utilisation trop fr�equente de
l’examen.
5. Programme d’autorisation pr�ealable. Un controle
de gestion instituant une autorisation pr�ealablepourrait r�eduire les d�epenses f�ed�erales de $220
millions entre 2010 et 2014, avant d’atteindre $1
milliard entre 2010 et 2019.
Implication. Il y a deux questions que les CV
organis�es doivent prendre en compte qui impacte-
ront les soins. D’abord, le potentiel de MedPAC
d’enlever l’imagerie vasculaire de l’IOASE parce
que <30% de ces examens sont faits le meme jour
que la consultation. Les donn�ees, comme rap-
port�ees, semblent etre pour l’�echographie g�en�eraleet vasculaire. SVS et SVU doivent rassembler des
donn�ees sp�ecifiques �a la pratique des CV, facturant
pour l’imagerie faite le meme jour que la consulta-
tion. Selon l’exp�erience de l’auteur, le pourcentage
des patients r�ef�er�es pour imagerie le meme jour que
la consultation est plus pr�es de 50%. En second lieu,
les CMS attendent clairement que le « package » soitenti�erement mis en application, de sorte que
l’IOASE puisse etre limit�e aux pratiques int�egr�eeset exclure toutes les autres pratiques. C’est poten-
tiellement un probl�eme grave pour les pratiques de
CV moins importantes qui souhaitent rester
ind�ependantes des grands syst�emes hospitaliers.
CONCLUSION
Le rapport MedPAC de juin 2010 est un rapport
exploratoire concu pour produire un �echanged’id�ees pour �eviter la surutilisation de l’imagerie
diagnostique. Il est clair que le General Accountabi-
lity Office et MedPAC �etablissent la base d’une limi-
tation du remboursement pour les examens
d’imagerie. Actuellement, la cible principale du
Congr�es semble etre les proc�edures avanc�ees et
couteuses d’imagerie telles que le PET, l’IRM, et le
CT, pour commencer. Leurs suggestions sont larges
et certainement certaines d’entre elles porteront
pr�ejudice aux pratiques enmati�ere de chirurgie vas-culaire dans le futur.
Il nous incombe clairement, en coop�eration avec
la SVU, d’etre proactifs et de produire des donn�eesde notre adh�esion �a l’id�ee de permettre des examens
Vol. 25, No. 7, 2011 Impact du PPACA sur l’imagerie vasculaire 1055
de laboratoire vasculaires dans la meme journ�ee et
pour coop�erer sur un ensemble de questions concer-
nant l’�echographie vasculaire.
R�EF�ERENCES
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growth and shift to physician offices indicate need for
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Available at: http://www.gao.gov/new.items/d08452.pdf.
Accessed September 15, 2010.
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