POLITIQUE ET LITTZRAIRE&B9111IBNE1tT$,

TOQLU08E fin an, Ni L d mile 34 f. C mole, It tDEpARTEMENTS - 50 - ?16 - 14LTItANDER Les hais euppldmeutaires {le poste en sas

Oat aeçalt lu AP.ONNERMNTOPOULODSE ; Ana Boeeaux du Journal, rue Salut-Rome, 44.

L° "nui sa smmuas ..4 Départit: Arrivée. ,

a S

Matin, In' re q, f h IS $at d'met 1 11M tin, M M fui (Agaul 8' MMade, al ri. lit Soin xpq t' 48Sou, I i6 Soir, 1. 19Bau, Agae, e m Soir, t9 40.

Cùes M. Bavas, me J. J. Rousseau, 51 ; et Umm n eue, 1

Peurse, Si sauta Cprrespoadaute7. ...y Rem, lairesq, 6a eo 9 ii

;fies, 9... ManûnaP l0. MI

Touiouée, $4 Septembre.

E OURSE 'DE PARISdu 25 Septembre.

A. Dosmaav,Bals,n tais mars du far Cers Pose3 0/0 10, 071/2 37 f04 4/2 0/e 81 80 84 25B 0/0 92 20 92 155 0/a,Dbdre 91 80 91 65

A Tan.3 op 57 25 57125 0/0 cour, 51 10 571750/q Mnn 9217 92 15B 0/0 cours 92 27 92 205 0/O ltul. 69 20 62 45imsa

Poucier 797 50 797 50Mobilise 590 e 387 50Mab, Dep tiquid. 403 75 405 sa

fesses ns Prs.Oelé% 845 .. 847 50Nard 1,015. ... ..Lyon 911 25 ,91250Midi

Autrichien 766 95 766 25Lombards ., .. .....

BOURSE DE TOULOUSEoù 21 Septembre.An Coaeunee.

5 0/0 libéré

Uuemaeou Dnseso,,9f 65

Midi 272 25Ottomanes (1869) 530 ..S... gosse 194 ,.

TEI-EGRAPHIE PRIVE[

Paria, 23 septembre, 5 b. matin.oeeRe 22 septembre.Op nions assure que le voyage du

R Ra Vienne et b Berl,nD.

parte aucunealtération dans les rapports des gonver-nements Italien et Français. Ce voyage,pegdaui qu'il tend à resserrer davantageIes die.. entre les gouvernements deBerlin, Vienne et Rome a ne but politi-quemont pacilique; il D'est

conséquem-

ment pas contraire à la France,

auras nxedcas

Paria, es septembre, 1 h. 25, et.t.ordre,, 23 aeplembre.D.

lit dans Le Ti...MM. de Sugny et Mernüleux-Uuvi,aux ont ru, à Frobsderff, deux entre.

lieu, avec Ir, comte de Chambord.B,.a le premier entretien, ils parlè-

rent seule. lis dirent qu'ils ne venaientpua poser iea ultimatum ; que leur mis-a 'es consistait i exposer la Situation ao-taille réelle, à appeler l'attention dupriera sur la question religieuse et lesquestion. de constitution et de dra-peau.

Dans une seconde entraver,le len-demain, le comte de Chambord les mine>

FEUILLETON du JOURNAL de TOULOUSE

Du 24 Septembre 1873.

28LE

CIIASSEUR DE RATS

scènes de la vie créole

Cette habitation grandiose qui , Iors-que pour la première foi. nous y avonsintroduit le tenace, respirait u calmeai parlait, une leougcillité si cota pléte ,vit, en quelquevjours à peine, subi une

métamorphose telle yü elle émit mainte.tant complètement

Ce o était plus eue habitation , n'étaittin camp retranché au plutôt nee placeforte.

'fous tee travaux de le gresélu tavaient cessé; le village des .égres étaitbndonné, les cases détruites ;tee -

bleu immeuas. qui enveloppaient l'bahl-taliuo dun splendide rideau de vmsdoreet dont les chaudes teintes et la vigou-

e végétation reposaient doncementlemiil, mais qui auraient pm offrir un.for. à l'e,uemi ie cas de plusvoient été impitoyablement sciés au rte

d t sol; sanie homes tao trucux, avaientseul à construire des barricades évor.

cla de leur exposé et de ne pas s'êtrechargés d'en ultimatum. Il a dit qu'ilétait très-sensible aux efforts de au ad-versairesqui cherchent h, faire croiraque Mn retour serait le signal d'uneguerre religieuse. tl déclara qu il conai-Aérait que la politique de la France de-liait etre une politique de potz, de re-cueillement, et que, tout en étant ca-tholique convaincu, il ne ee croyait pasle droit d'engager les destinées de laFrance pour une cause, quelque sacréequ'elle f41 h ses yeux.

Relativement J 'là« Co..Otation, leprince déclara qu'il n'avait nullementl'intention d'octroyer une charte, PasPl.. qu'il ne ne croyait obligé de gou-verner le pays avec ne. costiluuonquelconque. il donna h entendre que laCharte de 1814, appropriés aux circons-tances actuelles, et débattue avec l'As-semblée nationale, lui semblerait pou-voir utisfaire tant le monde.

Il ajouta cependant que, mur le sut-fr.ge universel et la décentralisation, ilavent des idées qu'il abandonnerait dif-dcilemmtm.

Relave ent à la question du bpas.,

lte comte

te de Çhambord nesemble

lepl, vouloir en'comprendre tonte l

entété et les délégués net p

""seule mont

dire an'ils croyaient h un ngement,car le comte de Chambord ayant déclaréque c'était cette Assemblée et non unenoire qui devait faire la monarchie, liadélégués répondirent : «Haie cettesemblée n fer. jamais la

monarchie

hiequ'avec le drapeau tricolore, » le comterépl'gns : Je le sais. ._D... tee cercles bien renseignés, on

nlut de ces infarmaliota que le te.-te de Chambord publiera avant la ren-trée ou manifeste conciliant et libéral,

Anus Déverse

paria, 23 septembre 6 h; 25 du scie.Le Journal des Débats et Le Tempe dl-

seet que M. de Remonta a relaté lacandidature dans la Ilaute-Garonne, ma-nifestant le résolution de ne plus sortirde aa retraite.

Le FrueLeie dément que M. Bouléait adressé une circulaire aux préfetsrelativement aux élections, Il ajoute quele ministre ninterviendra par aucunecirculaire dans la lutte électorale.

L'Union dit que le mandement de l'Ar-ehevéque de Paria exprime lia sentiement. des catholique. du monde entier,mais qu'il est absolument inexact quele comte de Chambord ait écrit h l'Archevêque.

Gaaéve, 23 aeplembre.Le Journal de Gendre dément d'uneamère absolue le bruit quon M, de

Broglie aurait envoyé à Berne e noterelative à une bagarre qui aurait eulieu au retour des pélerius d'Alliages.

au.sa téeacee

Paris, 23 septembre, 9 h. du soir.Un duels eu lieu à Lille entre le fils

mes en avant de lamajeslueuse allée depalmiers qui coule, à l'inslaote prière deMlle de la Tremblaye, avait été croseeoée;ces Barricades, ingénieusement disposéesn gradins, quia commandaient toute.t qu'il aurait fallu ou lever tee unes après

Ies autres, se reliaient t entre elles pardes chemina couverts, et communiquaientavec le c rpa de la place, par le feu delaquelle elles étaient abritées.

La sucrerie et tous les nuire. atelier.

avaient, eus aussi, été démolis; les ma-

. eir, lM un, f

x e, tEapel, f .. Sein, 4So r, 4

la Soie,flotgarce. S t6 Sam direct lt

uses n aasones,Sa

f6al Départs) Arrlvést

Main, 9 f0 sosie' 9 (0Soir, 2 a0 Soir, S 50Sais, i f0 noir. 9 49

Meae s'oaaaltt Yxoa-aaatt

Matin, S 40 Matin, 9 Siallie,

10 40 Soie, f 47Soir, s 66. Soir, S 61Sou, g le soi,,

Iltu

M tin, B 49 Mat.Moule, 9 35Matin, 9 40 _

Smr, Pan, t f5

Star P.a,1

X40 SEsi r Eayon 5 18Rais' Monacal, B 15 8mr, 4 20

Sou Mwnel. 5 45 SuinMantr,Lt 45

de M. Drame, député du Nord, et M.CéeyLagrand, membre du conseil Bénie-

'a]de cp départemcol, h la suite d'on

incident qui eu lieu dans un ré.cent banquet. M. Drame a île' légère-ment blessé.

Paris-Journal dit que piueleun dd-puçés de la gauche sont partis hier afinde ramener M. Thiers jeudi.

M. de Bismlrk n'est pas encore arri-v6 à Berlin, mais son arrivée est allée.due avant le départ du roi d'Italie.

Marche de Pari, 23 septembre.ASpiritueux 70 50 70

cave. Sept ouf pu être retirée tanstenir éprouvé de mai, mais la nommésMirebain figée de 15 ans, de Roussins,a été a phyaiée malgré lea soins cm.Pressés qui lui ont été donnés.

M, e commissaire de police .'est Te.-du air lia linon peur procéder aux cons-tttations légales.,

Lundi dans l'après-midi, le nomméV....a.étê'arrété_pour vol d'en drapde lit.

Ce. pièce en or, trouvée sur la voiepublique, a été déposée au bureau cent.test de police.

Marseille, 23 Raptsmbre. CONCERT ULLMAN,

Arrivages 37,6Ô0,hectolitres. On an donnera qu'un cul concert.

Ventes 40,770 hectolitres. Réunion de 12 célébrités. - Marie'tari"126/121 à fr. 4f 75. on. Marie Label, de

Burgas 120/125.,à Le 40 50. Alard, Léonard, Sivori, Jaëll , Vivier,lrka d'Odessa 128(123 b fr. 40 50. Franchomme, Matou,- Contacté parPhili eville dur 134120 h fr. 39 79, Timothée Triai m,

PP /

PROCES DU MARÉCHAL BAZAINE

exaan-42,Première partie,-1, Quintette (Schu.

mann) :-Jaéll, Léonard, Alard, Sivan etFranchomme. -2. Duo des diamnatra de

Nos dispositions sont prtaisese pour da Cooranee (Aube,) t lilmea Cabel etdamer, jour par joug le Cont_rendu de Méeic-Lablache, - 3. Quatuors :

seeettat (3ar"hnrini), Sérénade (Duydn):an panée an mmfanal nommé.Par suite d'arrangements particuliers I Sivori , Alard , Léonard et Franc-

.met l'éditeur, ceux des abomise du boume, - 4. Air de la SomnambuleJ urnul de Toulouse qui castreraient ( Bellini) : Marie Marimon d.avoir, en notre, le Compte rend ll etré, Sérénade (Beethoven) : Mord, Léonard taccompagné Se document, annoncé par Franchomme,- Causerie par Tlmothénla Lteaamm Canvnetx, le recevront, par Trimm.livraisons ou n volume, à leur gré, 2e partie.-1. Vacillions (H:oodel), La

moyennant 4 fronts au lien de T. !Sylphide (Jailli), Valse (Chopin) :Alfred

CHRONIQUE LOCALE

Jaml. -2, Air du pardon de Ploeretel(Meyerbeer) : Marie Collet -3. Mélodie(Doniaetti) : Vivier. - 4. Valse (Mata.) :Marie Marimon - 5. Symphonie pourtrois violons (Alain') Sivori, Léonard etAlard.- 6. Trio bouffe du Marieya aa-

A Y I S ciel (Cimarosa) :Marie Cebel, Marie Ma-rimon et de Mérie.Lableche.

Le mercredi, 15 octobre prochain, h N. B.- On peut ae faire loterie. dés ànue heure du soir, h la préfecture, il présentsera procédé, sur aeumt.etoa cachetée, Oo trouve des prospectus chia tesà l'adjudication du second lot du che marchands de musique et au thé2.min de ter de Toulouse à Auch, Ire-lespalais 10,762,07 et 20,389,34

entre

une largeur de 9,627 m. 24 e, Ou pourraprendre c...aissance des pièces du Tubes, 2R septembre.projet dans les bureaux de la préfecture La cérémonie du sacre de Mgr de(D drvutoil, tous les jours, lerdiman-

ilPl

Ladoue, évêque de Nevers, a eu lieu hiercashia et dans, 10

heures i5 heur matin, au éée de dà

r, et dansceaeux

de

eM M.

. l'ingénieur Eourde.. La cérémonie o a commencé àordinaire duersvice de, hemin de ter de neuf heures et np été terminée StarToulouse à Auch, rue Cantegril, 2, 9 onze. Le prélat consécrateur émit MgrToulouse.

Lundi soir, h boit heures, huit ven-dasgeunimient occupée à limier lavus-daogechez M. BouWloe, à Soint-Simon,sur iea tréteau placé aironesu-dsus d'une

ontenant déjà env60 centimètres de raisin pressé. Le tréteauayant cédé sous le poids des huit ou-vrira, ceux-ci Dont tombés dans la

reniement piété un certain nombre depierrier. et d'espingoles à M. de laTremblaye;le général Richepaose ouion était pas tenu là; il avait, de plier,envoyé à l'habitation, attention qui avaitfait beaucoup de loleua, u. détache-ment de vingFCinq greoadisee de la 15'demi-brigade, commandés par un jeunesons lieutenant nommé Alexandre Du-bourg, dont la famille était originairede la Guadeloupe, bien que depuis nuesoi...tain. d'ennéeai h la mile d'évfne-

Cignoux, évéque de Beauvais, assisté deMgr Epivenq. éeéyue d'Aire et ode MgrVille, évêque d'Anaslaeiopofi.

Un nombres: clergé assistait à la cé.résume ainsi que beaucoup de persan-nea vannes la veille de Nevers, mais lenombre en aurait été plus considérablesi la compagnie du chemin de fer avaitpu faire droit à la demande qui lui avaitété faite.

Après la cérémonie, le clergé et la

Wt amee5mo son leçon:A TOULOUSE : A L. 9OCIÉTf* (4CRtEAO.L ses IaRM6rnc*R

atP, eue Rassasia s

A rang;: Ch.. lot MAVARC AAPPIT$ .t RRe PW as M.

TARIF DES ANNONC1Sj:Annonces, la ligne, 0 tr. 30 e:Réclames, la ligne, 0 50Faits divers, la ligue, 1 00

Tauloe.es I Manunbla.

foule ont accompagné les évêques plu.cessionnellement jusqu'au chllet. Surtout le parcours, le cortège a eu grandpeine à se frayer uu passage, faut l'of-Oueuee était considérable en ce momentet tons étalent Devis.% de recevoir labénédiction de la main du nouvel évêqueet de baiser son anneau,

A deux heures,1.

procession s'estrendue sur la montagne où l'oie M6esle calvaire et où a eu lieu in bénédictiondes croix. La procession -'-es regardequ'à huit heures dans un ordre parfait.

(Ers nouualte),

Tarbes, 27 septembreL'/ieéne

renseignements donnés parquelques jour5anx du Midi, au sujet del'adoption de tel ou tel système de eanon,

..etInexacts, et qu'aucune déci-

.iondéfiuitive n'est prise. L'Eeénemente trompe m ce qui concerne le canon

de M, de Re0ye, qui rit définitivementadopté.' (L'Oéesrrolenr).

-La plus grande activité règne en cemou nt à la fonderie de Tarbes ml sautcausées les veltes pièce. de 7, anusia y -eci da le colonel ReBye.

lie s It nce active et coudanteest exercée, aussi bien au dedans qu'audehors, sur les ourieux et les indiscrets.Les Allemandsont déjà cherché pur toutessorte. de moyens à se procurer les modé-les des ouerlles pièces, la descriptionsana modèle devenant inutile. Desexpul-sions et nome des arrestations out eulieu h ce ..jet la semaine dernière; auxenvirons de la fonderie.

(Mémeeiol),

Auch, 23 septembre.Un bruit siegulire courait en ville hier;

on assurait que M. l'abbé de Barillet n'é.toit pas mort et qu'il avait donné de sesnouvelles. vendeurs tétaient rendu au marché de

Nous avon. étéaux

informations et u notre ville, espérant sans doute vendrenoua pouvoes assurer, de la façon 1a plus S tour blé à ce pria, mais ils m ont étéformelle, que la chose est parfaitement pour leur "ourse. Le commerce et ilvraie; le jeune ecclésiastique est, ea ce meunerie n'ont pas voulu traiter d'alf.(-moment, au couvent de la Grande

Car.ras à c ouditiona et n'ugr.ieut que

use,mNous fpprendronua.s doute plia tard

quels motifs graves il- pu avoir pourdiaparailre daoa les circonstances que l'o.sait, sas avertir penonve, laissant aafamille et ses amis dans de cruelle. ia-quiitudes. (Appel au peuple.)

- paratl qu'au point de vue matériel, il

iin'y a de compromis dans cette

agaire qu'une soutane et un chapeau,Tout cela domeuea pournous iueaplica-

hle et inexpliqué ;osas devon donc nousmaintenir dans les termes d'une prudenteréserve, et, deus l'impussibihté où anussommes de pénétrer n... ale us la pro-fondeur de ce mystère, nous renonçonsà essayer de l'expliquer aux autres, jus-qu'à ce que des informations préciseset certaines viennent sous donner laclef d'une énigme pour noua incam-peShensible autant que regrettable,

(Ceeaervatenr.)

leur, qui tout As suite l'avait pris en bon escient dans l'habitation les person.amitié. nos qui se présentaient.

Plusieurs planteurs, voisins de M. de Il était dix heures du malin, la clochela Tremblaye, et dont las habitations du déjeuner achevait de sonner,viegt ouétaient ou dans des positions difficiles à trente personnes, tontes de pore racedéfendre on presque abandounées par blanche, entrèrent deus la galerie parleurs noirs qui avaient quitté Ies ate- plusieurs portes différentes et prirentlien pour ee joindre insurgés, place autour d'une table somptueuse.étaient venu., avec les quelque. nervi ment servie,leurs qui leur étaient resté. fidèles, de. Tandis qu un nombre à peu près égal,mander à M. de la Tremblaye cette hos ou de moins de très peu inférieur,yualitiqui ne se refuse jamais il,.. les d'hommes et de femmes d'un teint fiers

léci... enlevés avaient servi à renforcer mente ue .nusignore.

, elle ae fdt V coloniescolonies, et, emportant avec eux ce que aussi blanc pour la plupart, maislia ,etranchem¢nts établis tout autour cirées. Normandie aux environs d E- qn ïls possidaieni de plus précieux, se qui, de méme que quelquesuna de leursde la maison principale, qu'au fossé pro vraies. réfugier Mus sa. toit. compagnons d'nne nuance beaucoupfond de six méfies et large de dis en- Ce jeune boume, Jgé de vingt.denx Le planteur avait accueilli les bras plus foncée, portaient le stigmate de latonnait de toue les côtés: ans au plu, d'une taille svelte et bien ouvert et le sourire sur les lèvres tous race noire, s'assepaient autour d'une

L'a chemins conduisant à la planta. , prime, aux traits intelligents, au regard ceux, quels qu'ils touent, amis, indigé- table non moins somptueusement ser-tioe, avaient été coupés dr telle sorte I frauc et droit, sua formes aimables et i cents ou même ennemis déclarés ou co- vie.qu'ils étaient devenus de véeitablesessae plies, était très aimé du général Ri- thés, tous crus, disousmous, qui liaient Nous devons prévenir le lecteur quecou, dans lesquels un homme seul ne , cbepanee qui l'avait vu, en plusieurs venus se réfugier anus la garde de sa cette séparation si nettement établie eu-pccuesait àpasser qu'avec des difficultés I circ... toutes, combattre comme un lion demenre si bien fortifiée, de sorte que ire les deux races, a avait et ne pensaitextrêmes. I et séla.cer avec uu courage héroïque l'habitation regorgeait de monde, et qua

Sur le toit à l'italienne du principal i au plus épais de la mêlée ; ce courage I la garnison, placée sous le commande-coepe de logis, large terreau du haut indomptable avec des Iraits doua et des ment suprême du brave majordomede laquelle on dominait un panorama manières timides et un peu gênées, des { David, ayant sous S¢8 ordres immédiatsimmense et d'où la vue s'étendait mai.- ;yeux bene voilés de longs cils qu'il le jeune lieuteoanq ae montait à rés, ptenant sacs obstacle jusqu'à la Basse. 7 baissait pudiquemeal à la moindre plai de cinq cents noirs dévoués, prêts à seTerre, eue vigie avait été installée h esoterie un peu crue, avaient fait eue- taire tuer sans reculer d'os ponce pourdemeure, vigie chargée de signaler lia nommer le Iieute.am.Dubourg la Demi, I défendre leurs matiras et son-mêmes,mouvements les plus légers et ee sp eeila, par ses rudes eompagnous qui l'ai. car ils savaient qu'après leur refus pé-pneence les plue i.ettenaita qui a'o- matent beaucoup, et prenaient u. malin remptoire de se joindre à l'imurrection,péralent dans la campagne environ- plaisir h le taquiner et à le faire rougir I ai lia récoltés l'emportaient, leur procèsHanta. comme unejeune dlle, était fait à l'avance et qu'ils seraient

L'armement de l'habitation avait été Ne.. o ânon pan besoin d'ajouter que immédiatement massacrés ; aussi fai-complété par le commandant en chef de ce jeune officier avait été reçu de la t saint.ils borne garde aux retranche-Iexpédition française, qui avait géni- façon la plus charmante par le plan. Sonate et se laissaient -ila pénétrer ou 1

MURES DES DFPART.S ET DRS ARRIVÉES DES TRAINS DM CHEMINS DE MEdl DU MIDI ET D'ORLÉANS.

rien avoir de choquant, ni pour les unsni pour les utres des convive,.

M. de la Tremblaye n'avait méme paseu un ,cul instant la pensée d'établire.tre ses hôtes une dilléeeace quelconque ; nous croyons mémé que ai M. dela Tremblaye avait essayé de les réunirà la même table, les blancsy auraient-ils consenti sa.s trop de dit'ficultés, mais certainement les noie, ouai-disant tels, quelle que fdt du reste

leur poaiteu. de fortune, i y seraientformellement opposés par respect (noussoulignom le mot avec intention) pourles blancs.

Par arrêté du ministre de J'in tructionpublique,`des cultes et des basiez-aehe,A

iniclasse), à Roder, etst nommé

d-vecteur

d'Académie (méme classe) h Cahors,M. Duasouy, inspecteur d'Académie

(5 classe), à Agen, est nommé inspecteur«Académie - classe) à Rodez

su Imm-

placement de aL André, appelé à la réeidmce de Cahors.

Noua Disons dans I'Eehs dé Marmandedu21,

None voici arrivés aux ve.dangesnous pouvous même dire quelles sontcommencées, car, dans quelques grandsvignobles, on m'occupe déjà de ramasserle blanc. Les dernières plaies aot activéla location et transformé la vendangequi s'est développée d'une façon surpre-nante. Aussi les premières appréciationsfaites

aprèsles gelées de le sécheresse

qui régnait encore il y a boit jours , setrouvent fort inexactes. Il y aura dansles vignobles du coteau beaucoup plusde vie qu'eu le supposait d'abord.

Maevifiqu.taire hier, ou quartier de

Lestuegl qualité immense de bétail dotoute espèce , eu taureaux et gé.isaeaurtout, Le pria dos aimons est resté

A peu près le méme q 'h la dernièrefoire du premier samedi de ce mois, maisgrec des trausadioas limitées , uu peuplus activeur cependant.

Les novées précédentes , à pareilleépoque, des milhen de quintaux deprunes, garnissuent le marché de l'a pla-ce d'Armes. Cette année, pas nu de cesfruit. ne s'y est montré.

Jeudi dernier, au marché de Mas-d'A-geais, des négociants du haret pays deNérac ont acheté sur nette plat" anagrande quaatiié ae blé au prix de 30 tr,les 80 kilos, Aussi un grand nombre do

28.50; plusieurs se sont compléiemnnkabaie.u$.De. commissionnaires achetantpour le dehors ont fait des achat. à 29fr. Mais e. général le commerce de laIoralité n pue acheté.

Les transactions ont donc été limitées

à quelques ventes pour le dehors.

On lit dans l'Aveyronnais, Journal deRodez :

Noua "cas" regret d'apprendre lamise h la retraite, par limite d'âge, daM. Soumise, proviseur actuel du lycéede Rodez, dunt l'admiuutration pater-nelle était unanimement appréciée-,

la mort de Pl-Maltnié, de Villeplaine, membre du con-seil municipal de Sévéeaale-Chàteau et

c nseil d'arrmadisaement deMill.., décédé le 17 de ce mois, Prèsquelques heures d'horribles souffrances.Cette mort ai imprévue a produit lo

Et qu'on ne crie pas au mensonge età l'invraisemblance ; cela était réel,admis, accepté et, de plus, passé deusles mmurs ; peut-étro en est-il encoredo même mojourd'hui ; il nous serait fa-cile de citer cent preuves 1 l'appui dece que nous avançtte ; nous anus con-tsniemosd'une seule..e st ouvrage étantsurtout nue étude vraie

etton en-

cieu,e des mmurs créoles, Il doits nousêtre permis, lorsque Omis présentons unfait qui, par sou étrangeté, peut êtrerévoqué en droite, de joindre des preu-

rréonoeblea à l'appui de notredi,e.

Le fait en' ieloimieur de prés dl qua-rante a.s

filtoire qui forme le fond

de notre roman ; c'est expiés que sousle choisissons entre tant d'autres pournotre citation ; or, les mmurs avaientmen changé de 18112 ul 1839. Eh bien,écoulez. Tout le monde a connu à laGuadeloupe l'homme dontaitnous a:louparler ; lest lemonde l'aim et le con-ndéraitcomme il méritait de l'être h cau-se de ses vertus.

ll y a à la Guadeloupe des hommes decouleur an possession non-seulementd'mu grande aisance, mais méme d'eueimmense fortune; cela or comprend d'au-tont mieux qu'en général le eommeraeest presque entièrement passé entre lesmains de la race mixte, depuis déjà fortlongtemps. Parmi ces hommes de cou-leur se trouve, on plutôt se trouvait, varnous ignorons s'il existe encore, cv quiserait, du reste, amen extraordinaire., ne

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pilla vive et plus pénible impmsaioes rat interdite dans toute l'étendue du dé,. Par le Président de la république : née de longue main par cette même puis.duos le pays, t la nombreuse popnla parlement . dev Qouch«s-dn-Rhône. Le esrinasdre de d inidrieur. 1 sauce.tien qui pres ait en foule h ses hieé- I

Art 2. tl le cammirsaue central de Bsucn. - R est vrai que lu Franc. impériale futladlconseil

lémo'gnmtjte l'e.srime et de la Mancelle cet chargé de la notification La Solidarté, d'Alger, nomme que I esses aveng!e pour ne rien voir dans ce

L font ouiseni+juetem nt le dop Osent arrêtk. M. Contas, qua, en qualité de premier jeu et qu elle-s y prêt. même avec ueetins. tf d. aluraedte, le 13 septembre 1873.I. adjoint, succédait de droit au maire ré- légèreté inconcevable. Eh bleu 1 ce qui

0. o s cs ur mare nous ne duo. Signé : If. La...unc. vogué, est entré en fonctions de maire se prépare eu ce moment, c'est exacLe-une, c que noua le tes ré cives que d'Alger. 1 ment la répétition des même. scènes,M. M I u é t succombé a n alla' -"°`^ ^ °1

et, ai la guerre éclatait, ce seraitq 'o, I I d au il aurait r nie rai Eusses ax aria ez vnms rrnoxxsau Al- lundi 22 tant encore la Franne qm Iauraat propset morel ^

,, ges i e. aemtes la veill d

,é I El'..,eans voque cest pour paras ,or ces 39 Mazvral 32 D Allard 34 D Lhupnue t e de mass ent,l. as. ,cadre ça ir.,Iên a reçu l'ordre de t lie que ne sles tint permettre , àla,

.1

6é levoyage

que la Prusseaurait

it arien. 34 Laooin nc oulleau. 36on tan r p eue à appareiller. Elle a pris é le dItalie à yeuse et à BMbase do budget,

ee- Ernst. au. 37Cha.mseit

mrggP a. p nterveo 1'.bllig

cadresdattenIra, laLe 14 septembre courant, le paquebot ses pal tes et attend de nouveaux a,. . 58 Yérut. 33 p plus q

uelle Ernst 40 Ma7o. ai à intervenir vue

r lesaces pour partir Le bruit courtOn éc it d'A '

Pi's'. .qr rras réa Ta à ava eur J Oncle des: A entaitde Mar,oarno,..(L

t L'chc de t'Arda:cAe pcillé, à deshnation d Orân, a set à son ra à Carlhagéne. L'article du Bien publie d'hier, iast- 41 Dubois (Lods), 42 De Feville.. 1 A n asti en co.aéquessce gélément.

Y tant le maréchal dele

planlus

tt

e hon 9 con Geo6rion. 44 D'Aubenas. 4519el

Yao- axis ue de ré rpl les go $tienUn terrible accident, arrivé dimanche, bord 27 prisonniers militaires que la vo uer l'Assemblée êtJ q q Iaaq p possible, 46 Dautheville, 47 J..annet. 48 déj éjà existana dans nec plus

mterigqraüded

a cinq heures du soir, a gondarmerae avait pour mission d'ea- a iprodmt ici plus d'étonnemeal'q.n De Ferluc. 50 Bruxon. bre de régiments dinf cavaplonge fouie la populntie. de la nom- corser. yyt pté ¢p pp d'émoi n. Ilest égdeut que telle eues. 54 02 t7iaietonehon. 53 Bweroa 54 'a renant pour baseatuo dans la wneternation et la don- Le navire devait toucher 3 Alicante ie A }F ;A ' .14 a f 31 0. bon sera soulevée,joudi h la obtlimission pétrinrie et d'artillerie, ma p

(]ales). 55 lférenger. 56 tteyl. les et d(Italiens de la loi nouvelle et deleur. !lnr, mort épouvaetabl ,due c e 43- Pendant le séjour dans le port de de permanence. 57 Baudol.. 58 Cheaot. 57 Pangues. 60 e,aux armes à feu, irait d citerai à un celte ville, Ix saevedlance la Purs active r rroa andanra uelices('dre De Brun-duclmariera h pe

répartitiontton

on va per1. Pérmettttrre,

à 'entourace

odis-

père et une mitre !ce, tin d2 dix-huit qui ,.+ le; c tl rGonul

g pris g d. :?tE; .. .; 61 Blyd, 62 ol. is. 63 De 67 nul. en elfeode ns'mée éga ¢ ,chacun 'eauans. cneduschaloésnmdansers

l'entre pont, grée Quelques

il,;=Gerendr, l'féal. 64 Mulard: G5 S

60oi. 66 Grgsel. 67 offi hui rméet

ctasd s éLe .o.nmé Clément Bille, a ont uni, de lamarhino,.4 c.ai ont Paris, 22 septembres rp gens, chacun deuxy gardés à prudence de d'Oies) ont publié de piéter« apenéec GB eDard. 69 Carme. 70 Caf ayant tant an mains ses dépôt, r£gu

e IEA-Pl.fusil d d'un du ses voisins une- mauvais i, vue: s La mort élêb c0ir roi e de le du ajiste de serge s' es duc d'Aumate, pontier. 61 De Wvay6. 72 Dé Sdelidli `73' rament rée t dans la région qu'il estfusil do chasse à doua coupe, se dvo- 1 AdQe dq-ly.aph, `arrivé le matid4à 9 Soo; le pa$xége'à Paris du roi et de le en dicoupaat des >oilraib d'aàvo Jacin. 74 D6' 3àfdt-Victor. 75 dé Franc C é a au fur et à mea.,.geai le soir aprés vêpres, auune mou- heures gmlia Al le à 7 bur da u. ne des Bel es vo a e nt sous le nom Jouroaua autoat d aélq a p queviIlq. 76 Saly . 77 Vu1 uin. 78sde} m caper'

caaernemrnI 6-aras.e<e,.,,a i-', -.,.. a,ex 8 yg a_-. ...e...,._ 9 pes;dpte. } e la construmion dufanstaure-83 Carisey, d

g Bceeaairiena

eut. rasequalron complet?don ae 1 village d t r s Pa Jenu au laticôt' l brigadier davoyagsndarm reudar Sà L r Iz orbe r 1 sais te :rtàre.pvaaLla es ponatio de 18481aros Si D De Patient. 82lat6ras.

dessommet il t [ sure p d fayil et re frais

t ofd'eacorLe, nt les dé lospeN % balhitt g 'u art à lé uté die Cr ser dos

peuMi comiê. 64 D'Emb 8 Buslhe 86 L nouer 87

char oo arme as s sésarmc lo côté tenus s ufftgi' baocou dé la chaléu h I y ( Bien q q de le rat :ppm.:raieg p upo n I fine 4nn d'un dé t dos deuté se in fl 1810 N iée 'hdp

. enp ; ur as (ce ,l ong fflé 88 A ur "83 C ét : 30etet

,u.qui pas sucreso'r`t. En ce mo- lendroat ils étaient gbg6s, tut t nmmdut par la p Ikg

i1 t

é6 n'a 1 -op M.Gdr, cellode 1858) d .Lle IL., 91 Jbo r+ enuel 32 Cba.nale1+iv i q. r .i ryglitl se trouvait sur ln oe mittmaztttnur .émet ott ?;? 5 ' and tç C.6 qui t dmpprte ynr MPV Paui maüséls c t siée,^. lerro(Lonis Philippe 93 Ilcmmey. 94 De Tréver L 'J.3 Oe. Tà"'lit

mentt

to 9 'a l

m nr b l iaegneyee crssde fusil.

.no t soiam larme ta,

sonto

et r t icroise se. Oér ange. te up armé p r(fait parie assl se d qai pétaiteamorecbsrgé qu'en p udre et Ica deuxcorps in f nt fin m H 'n de Ilebdomen.'doux, Aorrebles blessures. A. mbeau stant sa botte à poudre prend feu et eu.Bamm a étamants

L- f m V chrr qn garda t vos cilvres

pualoau te 19force, court h son veneurs

et parvient, de anerage etnergie à éteindre le feu de ses hatr lsmais ha nés arc orrbl ap p vent sesblessure sas d apte,ell cri.-111

cest 1 s s ses d hart du pl t au

pour terdodu ae^omT6u A¢vstttàt 1 al.r-

Meest donnée au ytliçge ; total le m8'dea ente d i be einiatfd poil, et' chheùnise laite d'accourir auprès du malheuréuoblasé,

On s'ernpressa de ecoau-nias nia brannard deux dalot s remet ap o éet la m ra t éi. allé fat des«coud c du pie( t s fin s au le peut 1,villagi cb es math wx parents. 11 est plua gobproh bi "q les ni 1

lin eeédoeio fat mandé de lopmop ah taire,eeasontsprv s p u elfre.tu rlosrré ,; 1 a da fshtt.

e

c:us l'nem:s.a asio,:. nids d" r a v, nia,.,e l'.erE, eu s t!l IIIitisvi aim d t - fO i es,o!e ne, es nabl>,.samr.a déc-.ara n tees ces il i:s4 i c. Iqu t m ty. q1 d.

t heu a L'a' s'dé,a t cxdu f n... t à r s é aa,'. si tex qü tir d t a vr gagne 1 ê rt; dt q'M u . o ItIneff t A a 7 d pas n sa dr le eifdû séj tee à la no e ïlsaunl cerlen r souper après lie occitan s ont. t ira tl o vé la ,on an lieu de la

Liberté Il ils espéra tVoici le noms de cas 'nfortuués, que

On o + S a Ao re1'.. n put que Plainte,

P 1( J 0., 25 n é à Fartstil P n l lt yb 1 au p o r r-h bn

1168,e J tin Idat

péné l p lés la rc A réa' c t 1 la I s Il .ve.lement sacsé ire I d appel die t.f,. b r li d'infanterie d'Afr que àminé -;nvientd d e, sur sa damera d S dl-1 I Abbé

rois à l,,iro onloi, ses droits à la se- 2.'Thiba It Lords Amédée, 91 sas n6unit a Port D b l,p

.violde T eso (Amf

o-M 1 pr fat die Rovebcu illaélu cigan du N M), soldat au 3a rég imant

r ccis l..nPté snivaut, a ladateate du 19 d'lofantnril, do m arma, condamné à Oici e h 1073 ^al t'a 'x pal l .

Vu d l nucrére du journal 1. 1.;.I Al . Marie, 22 ans, néMit Iroecnçlt do 23 coût 1873, le à Laurtemau':(Fimallrçb matelot, con-

'c'ept reodu d'une-daim

jugée par le damné a 3 uns de travaux publica.tribalni de simple police do Roque. Do comprend le désespoir dit br gavaire, étai Crassous qui sera,d'apréx les rcgle-

Vu nataimmeel, dans ce compte rendu, monts militaires, probablement puni deIra passages commençant Par ces mots : ce que sou humanité a eu des s tes'. Ne vinas effrayes pas du cbarabaa tle ce suas! funeste. '(Petit Mas'aetl e).

i+ e avo r ap-.min stère p note. q tub..aria le f g'a dan .a grammaire

qu 1 t lis v ch s .. cet Irouném Le JO arnrsb offe ed de l'Algérie dit 16nus le croquer septembre publliete décrut suivant« juge d poix -jo

Y i,esVoici I J tome .,i et f. sans par ranz taiseLe Président de la r publique Iran.a n front u

liedle..'e

dede sueur; s .

< Considérant qu'au deborne r ses Va l'article 3 du décret rgansgee: doappréciations ans Puits ressortant dea 97 décembre 1866 sur L'administrationdébats, l'antar de cemple.rendu sus. municipale en Aigérisdvi

s'est attaqué à la personne même Considérant esse des désordres out cedu magistrat ; cherchant à tourner dieu à Alger dans 1. soirée au 4 septem-cn d6riaioa leur attitude et leur lan- Lire et gala l'autorité municipale n'a prisgage aucune mesure pour jas prévenir ou

Considérant que détela procédés, in aider a leur répression, décrète :compatible., avec le respect de la justice M.

Veillerions'maire d'Alger, et M,

ne sauraient être tolérés ; Lormand, deuxième adjoint, spiciale-Vu Ire EnsUUCtiens de M. le ministre ment délégué à la police municipale,

de l'intérieur eu date de 47 du cou- sent révoqués de l... montions,tant Le ministre de l'intérieur et le gomme.

Vu l'article 6 de la loi du 27 juillet .anr-général civil do l'Algérie sont ehar.4849 gés de l'exécution du présent décret.

Annnra : Fait à Versailles, le '4t septembreArticle premier.- La veute sur la voie 1873.

publique du journal le Petit Provençal Ma'récbnl on Muo'Marox;duc de Mugenm.

35 à 36finqui.

ue amoi- Pré, de ma

-onété Olé aux é é avoir reçu e deL.

n pl e m m1d

lad 1 d -i 1 al- qad P ns 4'istervallecera.orfi,ne, Fd sb t i

e

p t. pros.i!8a:tp

18. fidis a it n aani

e

e,ti I., ré r t al LhS

lIl Tour ]a I'sire,dà t ur dl 1 s.a dèm

'Lots md l m [

rc

]le faJ qu 9l fR t r t uns I tué e de la.,Mor s R Ft t Depuisa s avoir 'lse

tpar,

I él t f, t bl e t n'avait t et I d bl tares le vin ire I,r

&l

n equ'après se f a t d 1 2d L g orne ment ddrav était dans larenia , ' acompt, il digeast j le, lité en C n a s, d ce fart d'armescrois compte. d rde VA"'.. arr se uor a 9 n du t

blie. Avant la combat dm 46 ai 1645 1

.uA à %pubdigne Fsvaar es où l'o t d+ l'4gma1 a ,ait livré Pliaiententé s r 1 nouvall de t aé lé embats centre tel bavas r du désert

d'un b li tags p selle de l' saff et Ira f. t ns Imbyles. 0. en trice de voix obtenue p rhf Casse, ou sitleré it dans la M nuance On vice-assurequ l est impossible qu'un connais.

Ceil, ti,a de :/-ona7am e pendant qua.

cuti a'a

peut été ouvert' qs hier. II t i mou qu'il -.amat pl tues Ici-par aPo que le tiers à p sue dés blet urs W i., livra ancra combats, organisa teinscrïts a prie part au premier tour de gouvernement des indigéues reçut'seru.m et que dans les colmde., comme peur an. efforts admtniatral fs, les élu-

le parti co.servatur laisse gis publicsde M. de l'oequeeIll, et detrop souvent le champ libre à ses od Lit. G. de Dépensent, qui n'est jamaisvereaiere. passé pour des ,tissus.

Je uns rien aujourd'hui h vais sigéu. Co 1646, il eserça le nemmandomeatle'de bien mtéreassee ne le voyage de de Médé h et de Mila ish pendant laVictor-Emmanuel

quiconhnueh Cire la grondé insurrection nigérienne 'Ii (05-

sojet à peu prés exclusif du préoccupa qu'a la fan de colle dn Nommétinsse de la presse élrangèer. gonvnruéae de l'Algére éçut la son.

Le Frendemblalt n- s apprend e mneaion d'Abri el-Eider, et donna une1 mpereur d'Antrachb nommé 1 'Zi 1 to impnlsicn à loua la services Pu-

chef do 13. régiment blues doc. les colones.d mfm t qui portera à l'avenir le Sel,ura 4839 jusqu'à 1848, il n a doncnom rot d'Italie:. Pas cessé de suevu- aclirem int. : Noug:,

sD'après la mémo (,aille, le rIl devait sorte.. dédaigné de répandre aux .artsn,altre aujourd'hui à lai parade d . Ici auxquels nous avoua fait ellssienuniforme de colonel de ce régiment sa- ails nu teedment vuablememt à jeter ile

trschieu. disaridil eur Le président du consett deLe. journaux du comte Autres.: sont guerrb qui es prcchaimament iéger à

très-réservée ; les deux souverains n'ont Teillons. ' (donnant de paris).pas été plus explicites dans leurs toast.,ils an traité. uellement de frè-re et

amimi,

e maisn'nst

et tarit. Sgole npéetale mlgtair'a.Quart à la presse prus.ephile, elle

coutiene à jouer de nnos le rôle Liste nominative, par ordre de mérite,du loup et de l'agneau:' C'est tunjonrs des élèves de la 4'. idivision de flocheosa qui roenaçes, laPet'

dot Europe, Pédale militaire, re0000es aptes àCependant, le général de La Marmots étre nommé. sou,-Iieutenanta dansvmnt de démontrer, par ses tediscré.

riafauterie de terre, la cavalerie etLiera que, en 1866,

1,

Prusse avait toutl'infanterie de la marine, en 1873.miser muvm pour faire déclarer ta

guérie parriche,

e, etaene d'ud te MM.n est un

aecielcmt pour personne que la 1 Crenchet. 2 De Nansouty. 3 Mhreier

guerre de 1870 a été préparée et diapo. (Armand). 4 Rouet. 5 Albn. 6 Thomas.

certain Allé Noël; cet homme avait été gn'ancup ne put l'empêcher d'exécuter, tient réellement que dans nos colonies ou, tout au moins, la met tout au pif.esclave; dés qu'il fut affranchi , doué de ne point se mettre à table avec uns. troeçeise.. sage 4d'une large aelelligence , d'une faculté Amé Noél, ce mailler opulent, aimé Malgré les circueslaocea flchee ces - Non, mon cher voisin, je ho crainsénorme de travail, honnête , probe, et et respecté de tout déclara à haute voit dans 1 squellea ce trouvait le pays, le pas cela, je trams quelque chose de biensuraoat très.entrepi t e a6 éros , ü sua convives réunis et ités par loi le repas fat loin dPtres triste ; il y avait là plus terrible.parut t q Iq oe -Fes h devenir an ea nuée, qu'il a maagmer au

s

[[ de Q+-umantoa femmes, et, partout où' - Quoi de.c 7 demandéreut pi.,I,er.or,des plu. h 1 croc a. rus de la Coude' respect qu il leur devait s il s'était sis il se rencontre des femmes, elle. et le nes 6. tlou

suée curiosit

es cl

peesoope. Allé Poil de tut .amoureux d'une avec eux; et, ce effet,,il pulls lus leur. talent, ou pour mieux dire le priviiége, - Mon Daen, je ne sais se je dots vouaave cupresae nommée Delph,ne ; il on outre heures qnq dura un grand me. déggayer tout ce qui les entoura, dire cela messieurs; c'est ana pensée qui

l'acheta, lut d.1. la liberté et l'épnnza. parla beaucoupp.litique,

nnjet m'est venue, pensée ridicule à la vérité,Peut.être on snpposm., qua: tel homme vir

pasecréole,fabuleu

àx, pasurveiller

alagrnle

éligrae,service ;

où' lesser- On

très.intéressant pour mutes leapersonues mais qui me tourmente et qui mbbséds,arrivé à .,.a haute milieu de fortune, moutons entiers furent eervis comme I préseetm ; on célébra surtout et ou Fl q els qua soient mes efforts pour laétait jaloux de' antres propriétaires de des bontés, service aine rival duos le la aux nues les exploita de l'arr. é chasser.es ne

blanche dont il liait ee tria, quoi prisent et qui .e se compare dans le fiançasse qui, en quelqu Jours àpinne, -Parlez 1 paelezl â de tou-qe il fît, d'être toujours réparé a cause de passé quau festin de Trsmalcioa, ce avait réussi à enferma les phis dange. tes parts.

à parlers, eépmdil M.In co leur de sa peau. NuRemont; Amé splendide affranchi do Pitrone, et il se ranz insurgés dans le fort Saint-Char. - 7e consensNoël était en homme très sensé qui avait nntil à dinar lui.même quo lors. les où ils se tecuraient maintenant as, de 14 'fmmblaye, puisgae vous le déni.montré, parune cordeau sage et labo que les convives se furent enfin levés de siéé,. nez; met chers voisina et emts quoiquerieuao, ce que les adranchis peuvent de table. -g belges est un misérable indigne je sois certain; que vous rirez de mesvenir avec du leave,l qui vivant lu,u de Emit-ce do l'humilité t Etait-ce de 1'o, de ardue dit avec amertume un lan- appréhensions eus ne s'appuient sur au-

lancoixlédues autres mul3tres restés pu- guNo 4

teupardon,nommé Rigaudin, qui avaitappris eue raison

ivoussavez tous,

au,teua et pauvres , et qui Noua nous abstenons de tout commet. que, deux joies auparavant, les 'ê"- comme mai, que leplausible;

vous , abuséaeeu.dansavait touions cherché i s'élever par ces paire, .t oui reprendrons maintenant tés avaient brûlé nue dé ses habité. une Position ravissante sur la déclivitésemiments et sus relations. notre histoire quoi moue n'interromprons fions, située alaas le gnnetsee du pair,. e hautes montagnes , communiquant

Le jour de son mariage , notez bien plue. A propos, monsieur de la Tremblaye,dfacilement de tous les côtés avec lus

aies, plus de gnaraote propriétaires no- Ainai que nous l'allons dit,les con n'ayez.usus pas une plaslttion de ces mornes tee pluo s aehtasables qui, defeutra, tous de race blanche, assistaient vives .s'étaient assis à doux tables aillé. côtés-là t tus temps out envi de refuges auxà son repas de noce; quelques. étaient rentes ; la première était présidée par le - Oui, carte,, répondit le planteur; Marrons, le Malaise., dis-je à, cause Pull.

ehobligés. plusieurs ses amis, tour ses maître de la maison, la soler d. par M. l'habitats.. d'Angiemoet, que j'as ache mémo de cette position eaceptioaoelles a,bons voisins; et lui, le marié , lui , le David, son commsadeur ou majordome, fée il y a une devoeiue d'anisées, à la chaque foie qua notre Pla sest vu alla.

vitre de la maison, le po.emeeur d'uns les deux titres lui étaient sndil'éremment mort du dernier deaceedaet de celte no grée par un ennemi quelconque étéfortune immense; honnêtement acquise. donnés. ble famille ; clin se trouve dame le Mo- choisi comme lieu de refuge pour ceuzpar son travail et son anteljigeure , crut Le service, le même pour les deux ta. toubn. d'entre nous qui voulais.! échapper audevoir donner à ses ronvives cette mnr- hies, bleu entendu; commença aussitôt, '- C'est cela mémé, reprit M. Rlgau pillage ou à la mort.que cole.uelle de déférence qu âmcuu avec cette étigsetfe rigoureuse et ce n- tin; ne craignez. pas que les bri- -Cernes, aesea de retranchements yseaux n âurait, certes , demandée , foetable de boa goût qui ne se rentes.. gants ne t's. emparent, le brûlent; ont été élevés, dont les ruines jonchent

A prés avoue su canuse léc nmandadt deus..; .lloes pif â, des que.. avait dot. que .eusexls ,:llvapIL i4E,7ek Reche-Ayman. 96 Tentait W3118do b d et ét e assuré qu P étaitq.6 de

deput a New-M' k t tf oft U { noMnâ c I nés "ïOP semég'lie' mu

De V aDe... 9!) Petitjean 100 Maugteap lo u de 1 torr ur cramd u e pnn+apaux msaetx de nation à l'or dans tous les grades. 401 G demard. 10.2 Fable. 103 Dual'ér élue 11'Vébeem .tee èsptïff dés' dPé-VO'jonfdans le public et 16h.' là

nea+vl'knmaln pr t,de . sss:AO4 ]deyar.-lAp,.. liroiW(o-µ,,111,H. 14e

chaises qui meaelreairait leurs presse par s,em,r. Ai eaceptine mduteimn. andemen t du i7' léger, d surf fait Ohevigné. 107 lluchastelet. f0A tee''el le. fit moumv wrle?pgntppur qu iilséé de01C it pid Afi t itNa;., l,e Pitru:ie'it Mr_ ;puA g mpagoes- oc uq;. !va 0'e q ., AIci .Se a 110 Da Robien. 111.4 M gqYÎ . . rue'7; pas a suis deut oommodémeut lauMit.;. dans le son ll. .nia gpat µpR: il'ori :adu

ul',

GtF

h Ïa, . Il319dtin. ll3 D. 4410Id 14ëf.9

11 est dec pis or u gendarma en dusur.

jota) ,r*. ,quimérttede

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en 1,- 1 ripée - ,. tj4 Dlppprt6. ailla . 40 d ledI,

Lale .,, a rn+7 .r,

aaie, 1 1, .44L 2,7 4esavril 't; ua

. u 417 La 20 Ohint. s. de Qau"kr: 11L kndemaiiq bau pelst do jour,

to.:.': Le lecteur .a

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û un ma charge à ia {9tq. du, !! i1 chais n j)e Lamasde. 120 Loggnés e'L` l

sqe e gles un dev vous,-Ive il AII tuandu.p nelpaa;p

P.tncar tud I a elle ro aeriêléA la découvor 121 peu .et. 492 th, hxp+yrnase' (Ra-

des c mdamn6s lus réuni} et --,ne tarda tp dg uéf

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l aile an é omme e lerat c ul .q S vp p P'.. £ bers. 128 llrmoegBIl a mpessadl'en Indolence le godil+ .,015E Cla d Bard do Sac , et a 1 tau ir d t e du

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tira1 D n "' 32 Caillotn ù4ny. 1l

t .uatlmL. nue peign a tan ui "Il vina 8 --.n itamnté. Idti raite .«r, '3 t 4 A x nabote d a 3 l 4 surirorgavW )o et :twitln anre,. mais cmt a:ienüpguse, auneidtm.eµgatelglé.,ortç, daw 3:et usasfa{Trou il cortdmagit aneu usa que les peebemheades plua m elas é dans un part quo leonque. Né,..bmai(taa dp 2A .,

opêeé s, les tartina. dans l'aisance, il éta i parronu vile à la 11 se i o plie organisé et dirigé laires au purent lier découverts. épatatioa dan ms le d h cihuegic ! Premiers 6 ule de tir qui ait eaiaté dansCe ae 4's}t,qu'arÈ a égaies .!a,. l oacupml uns place peépondéranle de_, l'ares», Oncle ou 'net oommenc£ les

lo'ga q o es. top. y die bord cru pt puis! arsde.'Vetpaàs. "... - . études qui net amené teperfacttoasapa tvmr,pu)I,m quai, trois sols' Le une et é.u de ta Guadrlanpe , M. méstdes risses pormRves.

fuma d iàuyelagq dapocy'cp lis veille ur Llermain Casse, est un jeune homme do U fut nommé Iieutenanbgénérai' .871

7 Thil (Raoul). 8 Calcul. 9 de Campé. pouoir le faim dans un de ses toutgneulles. 40 Vivarez. Il Vireaiec. 12 De prochains numéros,Malval. 13 flacon, 14 Thil (Charles), Toutefois, alla de prévenir de suitef5 Préfet. 16 Le.ddet. 17 De Rofliguac. les déductions ,omneelea que l'un pour.18. Amanrich. 19 Connerie. 20 de Sari- rail tmer des urdu actuels, on

"aitgaof Cauthier. 22 Léautier. 23 de Brn-

utile de faire concsitré, dés aujourd'hui,

chard. 24. de Ladoueham 25 atarchal `u il an c g l rende tas de la fer-

Ps malien coin s d lardée, d; mEme26 de Lapeyrouse (Henry), 27 Fleuret da aga t t lmédus l, du cadreSw Rnncl 27 L Poolevés, 30 uturi d fdc ers de.,

mature

earmearme au me ta-

I 'l' le., A,., "'émoo aimait,Ip,eiegumtq dontil tallit promettent a.Ç?,Ipe d'Pf6 qr plu a de Iglt s quedev lg iluaçne°A is 1 eau cou.tiédi' nsddnle si e refala iclicut q 1 r portée a a vifsnprnpuüe,,,pf..q aA no divouementhabituel, I ar e qui le au nd depuisIpngtem les accusé erx a7 c tisfaç.

d {aa._ -_,o i ,1 AsELATAN .r rf à5 a scE aceme lare use porte/ruelle. Le doéSéhrr llDlamn est. mart

hnatin, à oeuf heniï+a et demie, dan.Mtièm année. Il était n6 àee'Nita43) Psoixapteye

1807.. N- lerib1 o47 ici.t31 rasa 34' e" e litz: 15 113 P 1 D.é .

Marcotte. 135 ttàaz9é11 137 De par ri 1 nnaer t ls se taupe sSeef3B De Qellaing: 139 tlh ,'', a tainMtm-

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Pouzth -111 142 D v Vrou'oee 1fol'9.5 étal môrt à ueavait

lafuéAchard. 144 S dtnnp. 145DV iron nu% soins d'une

lendtbeeulPe et l'mélo aesea tavo-

De Leacur ;r147 tirémpWd. 148ge'Brvan. aisée BS ia fortune peut a impo-à49 Chap ' 4110 De'Ldr Safoée..' 491 rai 3s:ïe eut ta 004ltr5 ssi,seiMarinR 152 P.i.han 15,BOnin as = A dis a A aguafc Néhton entra au154. Dq T g ff. 155 Ire Rel 150 Grayo collé Il t il saillitaprès avoir fait

d réil¢ t Ilotes n olo livre, avec15 - De C utle.7 U e Lo I ntnardeur à ire i 1 la mède 1 G id6P., lés f ça d Ilepuyt r l fat "Ça

Par dé,, t n date d 17 ptemb. eeu'lo L telle, d sem docteur1873' ont été promu dans 1"".. h misde d ebré 1830 ehirnn -en1 arbiilerie, aux grades indiqués ci aprés, des hépilaux, agrégé. dç la PacultA etles ni6eiers da' celte ardue dans le. noms rofesseur do rlmi: npe huaigicale enP

savoir 9851 trois aunéceau'dravanl ilavivent Huait1

l A d ti calo et : le rournu, aper u g une u l a . -

i l . II L rçe ire lie te m at colon 1 àFu 18'36 ],Académie de médecine luilétal-major particulier directeur d r

avrilse portes.t il .ie

àC.A. tdaao Mils sa grande etputalion date surtoutM. P. C. A. Mqu utI utonant-

d 18G2e .colonel du 1^, régiment p bé G ld blessé aucette o va u a, ,11. L. J L. Bargém, belle q

ou 1 leau 5^ rég ment. pied, était réfugié à 13 Sp i"nombreuxcavait

2- A. rade de lierrtenunt-colonel:le. consultalio dn

7 médeçius dont l'opmmn était unanime àM. F. A. Léeeil lé, chef d'escadron au recunnaitre l'abseace de projectile dans

26 régiment. la pluie.M. E. A. Amaudrib du C4aulfauf, chef Les médecine anglais Pelridge,

ad'escadres su 44 régiment. russe, PérygoQ - paliers, R,par,, Ait,

3e Au grade de ehe)' d te $con :M. C. Dumord, cap ta eo ter à

l'état.major particulier djornt au pro-fe.,eur de sciences ppliquées à l'école

d'application dél'artillr e et du génie.

M, F. Ranvaia, capitaine en I" àil'éta4major pnelfcnlmr, adjoint su chef,du service du matériel au dépôt centralde l'artillerie,

- On lit dans le Moniteur de l'Anmie.

Le moment est usur de commencer 1.réalisation des mesura d'ememble né-aa.ie"ea pour la mlae à exécution de Laloi de 24 ju f damer, sur l'organdis'lion de

l'arméeée,

. Q.récuses des dis.p suions Emportantes, rois Olé etfées h ce sujet, aprés avoir été soumisesà rexameu de conae[I supérieur de laguerre, figurent déjà parmi les bruitsmi. es elle arien par ta presse politi-que. Malgré l'émoi anses naturel, queles informations dont il s'agit semblentavoir immédiatement causé dans l'armée,le Mans leur de l'Armée .abordera cegrave sujet que lorsqu'il Ipi sera permisd'indiquer avec quelques précison lesmesures initiales qui vont être prises ;il aspire, du reste, être en situation de

aujourd'hui le sol et sont encore viiiBibles; c'est, en effet, de temps immémo-rial, le refuge de prédilection de tous

ceux eus, à tort on à ration, romptvair quelq chose à redouter, répondit

M., Nigaud , ma je se s pas encore

ù voie, ( n van r ,bée mssaur dq la Tr mblaye.

- Att etc ttendez 1"Y air re lienuair per du alat

bus t le pl mque le q

petit de tous cens do l ile et quel nerenferme que quelques plantations, il eucompte cependant deus, qui sont très-pardonsmporame

n 1 l'habitatsun Vermont etle vôtre.

- C'est cela mémé. Vous savez aussi,5ana doute, que la enuslruçtion de cesdeux hahilaions remonte aux premierstemps de l'occupation do file, alors queles colons étateut exposés aux attaquesEucessantes des Caraibes, quelles saut

a., mpennesces rnnru-blement

prés 1 examen de In blessure :IL o a pas de balle. Alors le géné-al voulut l onsulter n docteur,

français, et, le 28 octobre 1652, Il reçulla visite de Nélaton, qui était accourulue,la demande du malade, à ta $pea-is.Voici le relation textuelle de l'exa

car. que 1 ll te p aticien fil de la bles-sure:

! A l'aide il,n stylet, j'explorai lapl e. Arrivé à ne profondeur de deuxc islsslma t d'.1, je trouvai un corpsréaisu dur,

nord,trèst à la pe i

a.bruituit strès d Ré nt

de

etelcétol

qui résulte de I t -,le tissupact nécrosé, et ne donnant pas non

plusplu.

l'idée d'un frottement anr la anrfacu ruegue.ne do user ana=+gienx. rn inclinantle stylet, Je dF,pessei'l'obstacle rt transitune reniencere oaseu/e à ume profondeurde cinq on aie centimider..

e Le premier obstacle était éeidem-ment la belle. Je le déclarai au générai,et lu, ogria de s'en assurer par la-tué«me. A crt edct, je lui donnai tin styletmani à non extrémité d'au morceau deporcelaine de Sèvres à surface ruguo....Le général l'introduisit lui-même dsnela plaie, y trouva l'mbslecle contre le-

lieutenant Dub...g, avec une convictionpause.

-Va.. mvos parfaitement tassa., mou.sieur Dabourg, répondit le planteur;alors les noirs échappés de fort...

Le général ce chef ne les laissera

pas échepp r monsieur, Interrompit.filcoal.J'admets qu'il yen ait qui e'éehep.

peut.-Admettons-le, monsieur, répondit

poliment l'officier en s inclinant; il-sait, peur vous. être agréa-

ble, bien que je sole convaincu du co.-traire.

- Je an demandé pas mieux pour mapart, reprit en ....tant le planteurmais permettez moi de snfvre ma sup.position, je vous prie. Ces nnir. échappée.'cet qû uee pensée, se réfmgierr, d anslea mornes; ils

enjettent dans l Mure..

ba et e émporent de l'ha'bilstio¢ Verraientsituées dans dea positions de défnnse a 1. I et soucient de la mienne qui rat plus,Ira"" et que plusieurs fois même vaste, mieuz tuée et beaucoup pluselles cet résisté avec avantage h dea coups

umptolid stil forl,ééet ils s'y élcb.u-de mais dirigée cautre allés ;l'habits

aval-

tion d'Aaglement, surfont, est une vêri- prou n.ira et g souticanent, s'il le faut,table forteresse. 1 nu nouveau siège.

- C'est vrai, dirent pluiieurs

'en-ce.

-Eh hie., reprit M. de la Tremblaye,supposez, ce qui arrivera iofailliblemeptetnvanl peu, je l'espère, qee le généralRiebepaoses'empare du fort Saint-Char-le..

-Avant huit jours 11 y entrera, dit le

«atroce Atnsns et Amstm Enceins.

La suite d demain.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

quel i l appuya fo t in utit l tyf,t puis Les routes de la 2- cla s ombre par lui-nséme il. coulis + r plus ou moins d-

I p inls. Drs té!égramm a magistrat et au souverain des d ffi i liése rat que des saos ae I I I. al eoeasautes arc l's (cajoles, t teoor toutes 1. nasses de la so-- é radr17 Ot0 k l

'

,gq p;#3 I é de 97 ayant eu semnmt x

I e ien-,.

feu GL i 6vo si ..cou à I gue des péi ta Ré eux p Lié làIn .litre ctlt Pli,1 ec lovait dune bras, allient1 t teloin..le

hl 1 r9lre àrl'aspect méteil .ans p p I ci om J d doncpas voir de dég t matériel. A Ferrure t à CI-te, la to oé m t t cal Un^ x é e

e .I a été L ,ë ibl D I es- vieille m. ietr 1 t do smx P

t aet é t l. sc onrs mu ..ue sil , et q 1 analyse démontra a être p en'. i, un grand bris de cents, al mi P a amnique démontre qu 3 et f at .il v t ill, légué l l' .,laD sdi aà di i dd U f. .cn ons,es n e e ceses

nitre Chose que dm plomb. lent d'une vll à r cuir , et du il !a { aloemer e Ten ,

a Pl,s d i tuer Ix b: Ile était IA I langueur bolide s'élevait à 20,000 kilo- ris uns taies desdiné uniquement à des s'est empare d s h b tacts. Duel la ré- qui a rendu à la société franç ne d é ! Peint d I

parte en elle m x r a n vo tsi des aecoaa ta ta er c ell ild O ,y. eu ause ën g al me pria do l enlever im- mètres. li r t bl dé, .ruer nne pa . g x ,

mut r t nc,,t, fiels était possible, sana A partir de i e 1R, le g t t d f i p il , les employer rà a de tremble m at de terre. 1 y p end garda, des r, l 1 e t hd

t t et l'o 'Pr-non,, simple du reste causacro a x r ut d , Il tla ,

t le die 6 é pu ide, et que les i é tdment

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eoma-,t sa LU. qui en CCcarat sent de tons ! ses eut é te t s.. .f t ,a t y gr n r I é no- 0 Prépare joncs.dru C st d ' t

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'.j et 'avtage daa !m nuepin a1 l rail nqnte

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ie ffI d n co q t tin da polo, f c étés emboutit nul sp t ai de 0 t La centralisa[ ndl l'aces g n1 pquo

Il- re tIaérp

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I tues i vos d-f :-t tracesl

eténâr p d. t fixe

quitees t. tell voie, d ri .t dont l b qu t d f i lotie otr les ma s d'on c P. .s rac

a

autorité ffi lotie Matin.s p! On l u é e e at d'e l @t d'

p p n pg rr t! d p r.flI x II aurait fa lu faire des tncs- d'entretien, i do ir l e rt Quant à I fiel è

!','os"a

11,wons qui aura rot grandi et enflammé la ment à des plainte, ou à t ,., lot au, vous i ouv tes, je c I d t rméres suIlé s t . ésultats 0010- Peut l roduire a bout d, quelque t p C est auos: que contrairement en é-1Csclale. Je voulu dilater duellemeet supprimé en1808 ot ri nul é par I mpét documents les pluie letér¢a t d . 1 x a t rl par I ccl'matation daa p'aptes la qt g anun des dontr:ces t d is mé gogé généraleme t épi de qui a es

x tiques que par ['Emploi raisonné daa thud ite frappera par r.o q 1.-t In 1 U e fé d a e gn- I la

il fanal d la plaie jaspad la balle, r du sel. Les sommes affecté.. à l Ica ! études de NIA de Courcy, sur les caisses «"'.Ii',"

p;r des cul dr s de racinesde plus e I testant nyodg

lé ent d Il 6 a. id p évoyance. plant communes les plus rustiques et lé I té l'int Ilig pana s à g eo l Pgé ' Yh ItPh r.

plus grands , pins, le jeu h.ae canal 19 de p. i t s lé 4 It We , je duos p raM p dea plléecesu visa, Côté de l'eaae g ot poil I n is' fondé d I se r i 1 d

parais en le diamàire dm la balle sais r ble , para dy hig l '2c; roi! 1 esurance de mea sont n la distm- tee Se ,xU ée.a proviendront li ur t-,,-.- un en aignement titi t 1. 1 a ée télé t éé des cu,il

celle-ci simplement à poids d'une place 1 s de Irones, relutf à l'aie ée 1804, nés. I I ipsrtrrle notre grande pépinière de copunivers t ire ne ev t o a pl até g 1 ers de Irag S storSes p r t 1

k anneau.. s o passa, es 1812, à tain da 50 mit- - aL,-P. n Outdpes; comte de la Ruche. Nous truuverona là un vér!ta- I eonatamment anus l'aiguttton do ,a cite- aunes du 2G mars 1829 do c 1 ,est...

to

ait

hl las. de camélias, d'azalées, de pat- t cu ris' ce. m 1852 des lac a. à mb:III, t dNÆI.tN7éavi'il ris l'c e ne autre oAfl DlP"a

-

r a d était di tiré d a zr eet de lubp. Ces grandes

pli'

l antes ta c lyRj,C on CU l'en gaeroent n reit, -n étau d l éur no p (ro l'pérItlou 'mmédi A:!a chute. de l'Empire et en tenant

gIfil d'académie d orent, Lo oré s, Irés

déesorativesqui n'étaient r- à

çormstac - t il a' Léo, -lament U x pt néH cindra3lent r te des nouvelles fimues rmpmééa à dit le SaSti d Ales invitée à f ira

jcers

hc produira au enntvpire l le pis g rP para.. pimatées d notre pays

icipub

euse mobthté daa doetrinost et des en pouvait se fier-4 1'intitut u live+

réuni le lendnma aura urdu blessé, et I.a France r les trait de4df5 la ton-al é 15 1 brade I avait ..qui p o a r au min uére tmis les d um n11 gens

apparlienoenanls

aujoe dhuiet

, pquroi

-nméthodes,

aurlaat du",u un pays agité a sa ris du insu de, sâmemderout .egr qu'il N q ,ur des roules mpér Il

accl

iaI r sis trouve.rouva b bllograph q e,.il

manu crut. ""«' l rat d'ichaoges farts pela Muaüe d autant da réroluhons e le nitre, sa ta s pas,, répond ponr elle,ettm me;

de tais ris tle la balle, le do¢leur ! rétlui[e à 33,163 kuoméRea, ri celle des .ont l'i tr tction publique, qui se trou« les grands litabliatementa hortiun Corps unive vitairoPtu tan émail d,J Il, q il y avait a (ait

r d rude e Iavec ort. ai.NCDton nn ualul pie devancer .1 e dM. anmvdseemanta6es à 2 ,155 ts 'fa, ,art déposés dansles bibholgéjjaeg eu g ment rattaché à Iétey n'a mat une frit mais ne o Aile t lemm 1 com-

cisteu: e J aLs étron ers, et surina da dons faite

fO

1 tr e, L'absence ils réparai u s 4 la; 'fa- . éiLhiaes de, lent ressort: " par les v gageurs qui ont patron Il existe ce in dé ndante de lus, et si, au vient en maire déincation put cm-In tandem rad ea effet, la en "Ratina 1 barre, occaasonnée par la m .ment de D'on , aides e6té, 4.'t-Pecteuls p ri- I Au trait la Chine et I e Japon L'ad- lieu de rester m ter da, a disciplina et meut, lentment, par vin, de dC e1nPPe-i soubre-ars é é f l àm f' usaeut lieu, Ica c t ata eslrodpes avaient d ailleurrurgiem maintinrent .tpinbq ggçyt Is .Iraient émise, à l'ex- vol as de transport; la;ggepr s'ait'ipler

C'fume (..Y, finit de Aux9flYDalle elà rompu les t.a.ux oeuf. et plusieurs.case _,gonts avalent été eebpéepeadaot la

Mais C nhfjdf eameendre de Craece. Il talmt dmç en-convaincu i t .Siy que la balle [reprendre é eauvre répar fric., quefût extraite set 1éi'prescriptiani'de Né la médiear+l6 des reseourcee financièreslatos. . - rem{Iit extrémement labor eutt.

Peu de 'temps .prés, Texpbrlmal Sbus la Restsneatio., la Je- .sol desdonnait ra e su tenant docteur lraa .etes raval pet cependa t e ucrotlretais

et cenfo 1 it loirs sesmellégnse. de ,7p0 kl Aura, et c, q 1 entesCe tait nt naturellement beaucoup de dé r4emeulalc., de 5,000 k I mettes a.

bruit dapn le monde sal e'eP4endi vif o. 1

populaire le nom' déjà eélébreide N61a. Sous le règ de Lonis Philippe, 6,000ion. kilométras de

,Cubes

royale. furent rec-L'année suivante, 1865, il était t om. hfsés ou 11,1_1ruR, et 17,000 kilomé-

mé membre de la action française du tees de coutre départemenmlas ouverts àj ury {nlermaeioasl de I. seconde exposi- la circulation.tmnd. Londres et promu au grade de Au 31 décembre 1860, la situstinecommandeur de l'ordre de la Légion exacte était la suivante:d'hn.neu

rle 34 j vfsr, Routes impériales, 57,072 kilomètres ;

En 1867, M. NéI tan eut encore un routes alratég pues, 1,007 kilomètres ;mussent de glome° sentes forestières, 501 kilomètres; routes

Ce fat lui quii sarva le prise Relié- déi,a sreaendales 47,225 hilomélriarial ,Verve, Maladie ge1,mIt aes joins ea a rounicPeha a dt+:iett ' gr

ad1d g 2Io tqteryx- péi Idonta rp 'I'l", grlé .,v d pvofel., à la N a. tua !

I70 798 k l met h,m sil féeI

tu,. ominé nd riuta r de la one

rée comma 73,670 kilomètres ,I h .neuf Par. sénateur 1 16 ..(Il oins ordi se 582,657 kilomélrë¢;1868, t an t t l 623,190 kilomètres.

Le docteur Nél ton ét 4 clinicien A t JIm t la France posaéde 233rgnàbl L.a c qu il ql à o i t . i d'leu longueur de

1 E. Is et t l p fil plais d .o s 1 58,500 h Inn ét 1,749 routes dépar-t d l'hthhirise.:atoogee cu, reste,cet comme devuhefs d

te .uorevrn

do gea-i, [la sont conçus mi -- Si

Drop,

s deacript(sui y50 so01

nt faits. avecainee toit" pl c té que lei, .loir. ici.

5,55 la ta seuveer cal', Prose.( lesronsuller fiCil. A ,, fçio.jou rai v ¢ t.¢ a grande i'il

mlé, net ratite fmtde qumbrenx et très.ermonae l lélà . parmi lesquels nous eiter

le docteur poires..Comma praticien, Naaton opérait avec

n habileté, une asanrance. K je légè-reté deun ai. p , t Délaissant

vent 1 nay eme pour ils couver la bau de Ganbal- il'aarmt convoler eu autant

d'appa '

,eits tous les objet. qui ae trouvaient àaa portée

Délutes .'ait épousé, au limite mainde sa Ilié, r, nne jrcne tilt q la. aitapparié 711,0110 fnec, de d t é f q io fée, s'est birrs Ir..vée. rédui-

Celte fortune loipermeltsil de vivr t k desselle dea transports restreintspeu pour Im méme Il prére e entre Ioc,lité vmsiues, mais, par cotre,eunascrer

à l'hmmamté, pl pp t 1a na vu as produire sur tr,l .r rte tramafores amincis qu'il pouvait dislra1 versais, autrefois sana impoétanee, unau travail, au pi-ilil de I lhàs1R dan grand moue , d marchandise. et dasa propriétb de

Maire

ro i, n à 1 étude du deyfee ors. Il révolte. que les cheminsgrer, qu'El aima Puisai ...émeut. de r ont dé"", la circulation sur le.

routes sans diminuer en magmas : c'estce qu'ont démontré les comptages oph

LE RESEAU DE NOS ROUTES. Es parles soins de Fadmsnistration surles routes nationales et départamenta.

La demiére g serre ay tdémaotréum1 . La masse deaproduits agricoles,fuia de pbss l'influence décisive qu'axer industriels et commerciaux circulant volcent sil les opérations militaire. Iras ces conte. S'eel accrue à mesure que ledté'érenios voie, de comte nicallon, le parcours moyen de ces marchamdises et-

rai de. travaux publics a ru lait e. diminuant.devoir pres - n p. e, I é ni.de Cle ainsi que la circulation 66te,.. Ire Ja, i s ,,+s .tatuuquea pou-

craslhs S'élève

approximativement à 12ml de.aa -inaidée exacte des enm- mitliards 70 millions de colliers kits.

brcuse, voiss de vansport dont 1. F- mélrignes, corrrspomdant à a n charge-ce .a, .ciuell me.t dotée. None noue ment de 5 milliards 300 millions de tonempresserons de faire connalt., an Iee ces kilométrique., chigrea qu'atteignentanalysxat, les importants et d'ici é à peine las transports de. marchandisessn(tais de cet mme.osn [hai!, véritable à patate vitesse arc nos chemins de fer,.11111 de bénédictin, iqui fait aunré On a enfin calculé que chaque habi..Est honneur ans nne nia sngéaleur tant de la France parcourt en moyenne,qui l'eut me.é à bonne

fin.

parles messageries, 29 kuiemélrea par an,Antérienrcmeet aa dix PI é siècle et qnn plus d 5 millions d x de

,t rani da Guide de f'h de trait circule E t ,ban deN1ps.ieé a. I M5 par CharlesEa ,, dràrdre rouamgnements re-

cueillis aupeèo des messager., marchandset péarias I I r Vital' d ,leses la

tant d ..0 ép. qil"

n ,l i q e d'eu-air m 11,0I 1, lomélreo ; encore la plnagrande partie de leur pareonrs s'opé-lailelle simplement en terrain nalamrf.En 1776, à In

a' il,,pou à,ral do car.

euil, elle fut portée à 40,00(1 Idlomàtr-e,représentant u déplue, de 800 mil.lions de livres.

Lestrois quarts de crue

dépense suaient été payés en mature perla corvée ; le reste provenait de Trésorroyal, des produits dru péages et d'im-pos dons divnrsas frappées sur les villeset laa-généraletés.

La Dévolution de 1789, en mettant à

fanante ¢a, p air claie longeue fo-t.1n de 47,051 kdométres - 64,225 kilo- amétras de chemins ,le grande cemmu-icution - 79.205 kilnmères de cha-

s d'intérét commun, et 585,013k lomèirea de vicinaux ordinai-res.

Les dépenses de premier établissE.Il,et m d'améboratmu de cet

immens

,é,. Pensent S'élever à 4 hardide francs. Lesdépenaea a Ill d'en-treurn atteignent le total d'environ 100millions.

Qu .t à 1 o t i , ma pouvaitcraindre que Ica h,mirsd fI sot aux ,mues Ils Iran f I. à grondedistance, s des voyageurs et des m raita-dlin,

ue fissent petite à dça u catoe leur ie n mp . -ce. Il on a rien été. Telle romto, pasn-MIS à

ouchemin de fer et pr

et non pmaires out-rocus la lnsasmn de rucher«i

.lois ,ait.. veut ayjourd'h i mlgariner de ses progra l At Agi nomme meut progressih pendaol leur tourpée d n P.hou l'mplis de ces plantes dors ... tar toute autre héla

`m 1

.-1 d pl matie, sauts.=Certains d.l.e.çt qui Dexsa di.s. 1 dmmealratlr I e registresdegt lies La décret du 9 mars 1852 cet urvc

qua dans les ar h Ires dos Les. plantes de notre paye sont 4' tabacs, - par un Ministres directeur Il a créé chez noie une charge au .rle.commuons : -lent ceux qg coq!:eM1 tealra représentées. Creas l-oc que absolu, nous as rasQonsabUité devant le Ils q m ridicule : la d rt t + are

bout Mai était ssementa nlgwes éta ecrres de la»Crue f.... iseent5,000,05

00 souvoraiu et devant les chambres, des lu Példag gis; autre n dénommé a i-blls dans les ampagaes sm eiècla derr deplames par an 9ntenos egaaros et jar ( hommes etdes choses. n elfe ils t malruae Plus de1

1,r et q0. on déstguait roua le uqult qqo Osas? et que cos plas e ris sep mat + -soit pis Iaaane t

ni do cico,iasmi élu, -

a étépeu tea 6Unlee, &mlgq.de ChariPS école: eu mepenne à notre grand ét blisrement L p sinter de c s péri, e ee écarté nncosconseil

pomp i par 1 min t e I lu1111,dominicale.. qua la somme inaignidanle de 15 cenu-

P r Ja lo de 1 oie qm a heure semant de t h n z 1 p na e- p r jIls devront an méme lampa tacher pi bmaé

Ilmonopole u tseait rte- L'uh- ,CE coco air Lia pefcsa n

tuer d uos Ira archives de. hospicesmea éceP d'ujeanur équitable des faits est tenu lad réve tés, t a orles

donard an

Les jardiniers, inapae.urz t.g6niaurs { q P

et Oes bureaux de bion[atsance tout du anrvice de cas promenade Téter d'ajouter que ce mmopole'p il a sou. soi et de I eal à t ... t Ion I ,.Iodléne est relatif ana (ondatiens en vent entravé le bleu, n pas u ,.temps

Sus mineur dans Ils rnesur oC,dmt d . tr,,P.,,,."",,,

J cor ries0rdca mec n q qu

frt evdébil r'olefaveur de 7 mstructim popuhire livrer à la culare des plant

:poséesse

; da produire ual:mal .pp,êCiSblE.de180aux hommes éminents qui, de 8 r

celles dont ils auront à développer la g850, ont conduit l'Université et l'ontIra, par conte ha f r de débd*.r la

mémo eure, de ia mé- Un certain nombre d'officiers et as- culture et celles qus paraissent moins méme jour, a la hanimée de leur ganse, tonie ses .'a

aine maneére da Qnim er-Carmdina m lésdeaarméea de terre et de mer rustiques t moins d écorztivm doivent nt ressbula

instant de taon ses ce. F m

.S.t d eont apprléf chaque année. ; remplie, Aire aéglsgTta. "

petCarpenlraa, et de Dunlaergne P cas

avec l'agrément des ministres de la guer garda ouverts air toutes lea directions .leu,, la même Jeçou, enfnrméc deuil Inquee et de la marine, et conformément à -D'ap1rès las deeuiéres nmtvellm par- d

de l'mvesprit mhumai; grâce à

tlàaslibme

aLrté même nombre ,ie mot us. Qu.atrre

p .t qu'elle ta wat a ond a e s usages c f mes I régie- v u

set tout rîans d educa Le nqairs p s

avoir épP Société da og Ph - r uvée sisIre és le rt ''Itt' d oi ta mpl Civils qui r,là- I

Joli ,aime5di s dg5 I{ d. p ' décida qu'il ne s ru Plus l inal, c

oP E li a p sine r d t il tet

CI,sans nust is a bled r. nb da. r àvagkd sauta sen slydo - ,: IeT dwlu péi lo d idD I Imin, po s+

La question posait d ,p slotitisme s

à l I A lI tu m oé iaS.,i

ris e se endpéril

o o 1 son n toi n leva llelui enleva la ,fnenldm lestde savoir si l x serviez, a a effectués iélu du g. ogrsphie de I aras t r,,, co

Le second aéclalaté

avec lé A&Ote9 mars 1862 vis éI f re le1' t'

eieré . rdans ses leçon stuc il ,gconatituaientou nin des services clvilst haute d v chu,ohine ont four d s asti .v.pouvant procurer à c s qui les avafeu vent s cmtsidé;ablm, serait osantes I

Pée irae Iran < <mat me

radicalecréant la

deusdlesans aptitudes et la eml , e des écoliers

u .rendu. les avantages dune Jouissent, no d'.. tain sucrés.1 rg ..la un t les divers établissements rla p"Y'

1 mue pu x soc mste

ért Ils il bmalle- Ua finit lui blet, ouf le t f ferlaminent en c I de parisiens les P r PP D . égout rais franç. is chargés de ccati ; lia

enarurécitera - t a.bststué â une

fonctionnai, ac vils f ' j raiao d .mea à fis et de c règ au pr vstri l8

t rte ont t Si e sm-, ,ce .as

gouver en s ppuy mumt.um au énéral chinois char é daal cl'état, fLe mat a tï le g g l'état loiméme, l'étal dans t il t léluo,lion, et el,d i

,ort rte de la loi da 19 mai 1834 ,ciel e réprimer 1 uns arrrolie. musulmane douaLpo r tro doua et gateru doit elfe

rLis eY

à V k t des offie,ers qui dis nain la figue t t to. Le m od e ai taL apose Iue a , Mq. Dupuis it Millet, an - ' ses r do du et o vaeotbaaucoupFrance

a P.F auesg L Fronce p dont v i-I r n l ie cl u' ul (O

tro, muraen, eu iIl c- e ans Il v ma a q a it dé tl mauvais fouloir des

idor Yi . natté de 1808k 1852; la . aaco zê- ans las résultats de c beau régime,i t d dék d r l il d

v en e emome. e sa s cae,flou eseautorités aanamitea, rem."',

eueras lea aérais du persouucl rat dea méthodes teub a vu à 1'renvre ce conseil de Id.ss-que les ,Cuites re.dua par les fficsera premiers jours de novemhre, des ! avait ,été exercée mntbt par en hautet assimilés, vaut cette m la la re branche,

do SonK 1 qua Kacha, ca- dignitaire peemana al , le grand mettre,

15410n publique, recruté pourt 1t 1 ara

Ira te, méme dans on empl civil, ne ulule du Tonkur Dans les n de do' l'élite de la magistrature, du g depilule _ on même 1 archmhanceiserde l'em ire, corps da

i u'

1- fat,pouvaient, par suite, eonatst.t, que dea eembre etrveous n

dn jluterOVNI r 1

.il il.p l'Institiu, des geronda

--R militaires. a1 0 tantôt Par -on minestre de l'enstructson bis le ,a son institution s 'stvice derat u pr qa il sn9 ed

- On étudie eu cemommR an .1 .la-tire de la guerre, osante l'Ordre, unprojet de substituion d'une masse régi-ra t ris kl mage

que ldat.C t pas la première fois que ce

P""',ai intéressant pour les soldat.,

est examiné. Il fat, il y a six mois, l'eh.jet d'iiv rapport, aognel il ev f lt pasdomué cuise. Aujourd'hui, c'est trés-cérseusemrel que, Sur les ordres do Mi-.nlstre, l'admieietranon de la guerre a naoccupe.

- Le philosophe allemand DavidStrauss,auteur de la Vie de Jésus, eat

atueiul;d'uu ci ncerà l'estomac ; ea.'ea-pére pas pouvoir le sauver.

- 0. lit dans )'Echo du Nord:No.s recevons de mauvaises nouvelles

de notre honorable dép té, M. {,amant ;so. état se surah aggravé d'une attagpe

de Sèvre chaude don mraclére geaem1 1

- On 'irait de distribuer aine médaillecommémorative aux personne, qui lorsd'a incendies de la Commune, ont con-teibu6 an sanerlege dm Grand Livre etdes domiers administratifs du ministèredes finances.

- La haine quilles vainqueurs de 1871Inspirent aux malheureuse, provincesqu'ils rat annexée Cat tréa.vive. Le Jdur-cal de. Débat, raconte à ce sujet l'his-toire d'un paysan dea environs de Atetxqui avait quatre fils. Deux d'entre eux,qui avaient l'kge de la conscription, op.té e t pour la Frmce. Ers de tres,pl jeunes et moins capables de ..lire-

-es roules qui, malgré leur extension, I nie d'eux'mérnes à leur existence, dosont encore W. de sof0re aux branlez meuréreatAllemands. Il y a quelque,toujours cr¢iseants des populations, jours, lin deux français reviureat au

(Je rai 1 d a Débala) 1 paya Ils ne d imulérent pas butace.

paysgrets de voir leurs plus jeunes frères

0. lit dans ma journal belge : demeurer Allemands.Mle cumin de Paris vient d'adrea- 1

Um discussion rengge, entre l'aner la leitro auiv:mte à 51. Loquet des aimés et I m dea rades, felua-là en

, ré-sid,ni da rhmité de l'Associatid,S ae- 1 noya à ! lueéte mo LeCelui

crétasrrs communa.x à Courtrai. jeune hommeuq souquel)

s'adressait ce ...,

.'élança

a

surfur ... frère avec une hache à

a Yillrrs-mur-Mer, le 29 juillet 1873, I, !a main et, saos l'énergique et promptea

erçMonlansieur, I mterve.lie. de sou père, il aurait tué

s J'ai Indre quesous m'avez lie frire que juagu' alors il aimait te.-adressée et la bruobure ans l'accempa dreme.t.(soit. J'a! lu avec salPeSl le Drdletiade secrémirra ,...-.,Ix et je vosa - -Notre consul à Canton vient d'a-macle do la menton bienvellla.ta aa lardin d'a f dresser Accllmatatie.q ,n us char des déparimncnta l'rn:rntian etgis voua a,,, tille de mon étude car les Ire! da Imatres de Chine prises sur leconstruction des rmucs, prnduiait mo- TruIes-Ueiinna; chnerhont à me pénétrer

IiiYvegtxee'Kiaag. U. pèchent chinois lescarmil

ai", 1.imml;e d,norg:misatlandai a dis but que vous pmirsuieez, je ami. tenait enchaînées duos son bateau et le,(ici, la s rp.r lion trouons et 1 aban- ferai observer cs qui ,suit : ...ll pan k peu réduites à l'état de do-mmmo de l'n (In i. la loi dil, 24; a u Llelé Td.as a anrr 0 a aasru o,,,

pr [

p meV

.

dorai

(f0 il b,R 1899) 7 n ouo 1Mé ,,a efrpi1 ii.. k j rs pairmédis an

ce

lI él Mi t la bu e trefen des hràves. J'ai loué c.1-non sur loures les grandes rames de la "las de ces institutions ans, à cet objetRépnbugm, d'une tas, da.l J particulier, joignent de. secours auxI, produit pé I .rat a0'ariè à leur i { dp fi m liards si chbmemrsaméliore ,C él . "'le ner à 33 ,nvolontatres parce i elles tempèrentm,lliona da francs par année I..,a fontes par làce ris il y a

dq

'rce,anif et de da.-furent ce moine temps divisées rai traita r tas dama dez.oaiélés dont la issuclasses, cun plus d'après leur largeur, parfois bien remplie, ne peut ser,vider

."a icilé absolue. Cea animaux, d'un .a.local saurage, étaient devenus famuimsEt lorsque le pécheur jetait à la rivièreson large filet, la loutre sautait dans lefleuve, nageait et plongeait .atour dufilet, y pousaloi ainsi le poisse. et fu-sant office de ,ahatteur. Dot Essais depoche à la lootro doivent avoir lie. la

malne prochaine dans le grand bassinde Jardin il Acclimatio.,

q g ,cempremait les routes de Paris ana Ire.- ,Onu irait enadammr à prie ' . Oedn lit dans

I',Cèles, grèves, W. emblemeat de terreagueur totale de 15,000 k,Iosètroue légitime; mais le moyen Ils toujoun 1 ressenti à Milan l'a été également sur

ue pour entreuruir mal rève

pp i C n] ccote u, anion las roinrstee, à d b1.,cgoiont elfectaé leur tlvarson. L génér 1p

!

rblaovqbia

ou ,,actif, tantôt enfin di- emet noir sur toutev !ec gnesl s

et

hf d c,ami ses le air a finaudiléi liceosroup, ,relancent par ce conse supreuru-

une escorte .iiiwi,E d' cmquoum hum- mOmemes lune assurer leur retour, qui a'. t Sous ces .ailes divers, l'Universitépectné à Iloog Kong, leur point de a it gardé ses luis, son existence, son

départ, dans les d¢rn ers jours de Un. ,,te propre, subordonnée k l'étal, .s.1873. trament précieux de gouvernement fats

Cette eapédition a été Ire heuregse, le haut sens du mot, mass nullement auet elle a dément é que

lisp de service et k la disçrétim de l'autorité

.elfe Société d- gég pe SI t [n- pe viique, La 1. nient confondue avec lefiées. Le plus wmt ehcmla naturel do personne gouvernant. Les traita qqus lala Chie méridionale à la mer serait donc distinguaient dans Cet état d'indépenle Soug Kai q L.M. nqu d c eut dance pr feonenielle, c'6tau d'une partavec la partie 1 pl F rtilc o R 8 et

1la prépondérance desagents d'élabora-

1. mi ia d Cét. tc Empire- Les la -

g t agi is de D g-Koog, oet vive'meut félicité MOL Depuis et Millet dusaucée de leur entreprise. ears :cn s eo et ee rrv

1 l'auiouomie du mettre duma sa classe et

VARIÉTÉSL'>UDIIC LTIU,N CLASSIQUE

ar Las EXERCICES acnLAiaaa

moue 1 autonome du collège, sous ré.serve des règles générales arrétfes enconseil de l'ineteuctiom publique. Tel aété le Système de l'Université pendantquarante années. Noms en sommes enco-re à .nus demander quelles raisons enR

eues de le bouleverser de fond enL'ioetimison universitaire de 1808. comble-

cmt-à-dire l'idée de centealiaer-eelre ie- Q1i eal-ca ,ai périclitait sous ce régime»sd'aoe université ique t'éducaa. Est-ce la discipline t Elle était alors sé

Il u de la jeunesse, a étéde tout ,temph vers et mieux observée qu'sujunef'huviolemment .Raquée. Elle a résisté dans le corps enseignant. lle sasasait'routas les attaques t traversé lente. les sans diffacultéjusyu'au cosEtume deLville,0rises. Nul ee.em! de

prostitution.cri: jusqu3 la tenue, J squ aux habitudes de

vé air pouvoir ne s'est trouvé a.$es puis' i vie domestique, qu aucun ministre depuisa,mtbu rasez hardi pour la eenvirser- 1 1052 n â eu le p..vaie de régler. Eat-ceUne seuls fois la centralisation en ina. 1

le. murs P Elles ont été cous!nmmentlibre d'enseignement a été définitive- bonnes dans la généralité du corps uni-Ment .bulle cites nous, mais air le pu- versimire, elles le sont sans douce au-pier. Après la première rentré, des jnued'hui autant qti elles l'étaient autre-Ilourboae, une ordonnance royale, en fois ; autrefois cependant,vers 1020,veeudate du 17 février 1815, prononça 4840,e11es étaient incontestablement plusla déchéance de impé. graves et mieux adaptées à la profession-'esédicta

et de son grand'sept e, et elle qn silos ae le .ont à présent. Eatce ldicta la création de dixaept nus usai. Prit moral et politique 7 Une monarchie

béat, empales indépendantes lea unes dont les miuiatres cossent été des ho'desastres. CeR d cefat !.aérée ME d'état de grandcoepd'.!1 eu

Peuu-

an lie.Balidir, de d d ou are n'est jamais t souhaits, dans le professorat uaamonar-tie.

Les

s cent-jours survimn.ot avant esprit public plus favorable à lsor ti''qu'elle tût appliquée. Vues fais rétabli sur

o trône, Louis ,VIII se tint pour tropheureux de pouv.Ir au Hasarddu débargnensenl de Cannes l'inimitié deson ordonnance. M..-seul¢meaat l'imti-tution nnivcrsetalrs Subsista eu France,.aie encore la cmlralisatim de l'aussi'germent secondaire, qui en est le traitanpiml,'sest peu à peu introduite et Ce-elimatéeee d'autres pava, otammmtdans la plupart des école de l'Allemmgaeoh cepcudant l'on al[ecle encore aujoar-d'hn! de co..idéerr le décret de 6508comme un moaumeol prodigirux de des-potisme. L'ieetitetion universitaire estbonne on mauvaise, ei!e a plongé profondément Chez neus ses

racines; il fout

donc emnmencer par l'accepter lorsqubmtraite de l'éducation. La conséquence del'institution, c'rat qu'il existe et doitexister un typo uniforme d'enseigne-Ment publicet national ; toute disputeana l'éducation aboutit en somme àchercher quel aara ce type et à lefisse.

Nous ne prétendons pas qu'une édu-cation ualforme, donnée au omdel'état par nne congrégation

uninque,

nerisque pas d'engendrer de graves que-relles dans la république, de susciter au

lion et de délibération, Tels qu le con-seil supérieur, sur les agents d'exécu-tm., tels que le grief mante, le mi-

'a u re'était de l Li l t l

une fois l oc-Chie. Nous aurons pans dcasion de prouva dans le cours de cesobservations qua l'Université, la premièreen Franco, a eu l'honneur d'inaliluerune édoosllea ralsoanellement monar-chlqueet esllonnellemenl religieuse, quet nnoaeu régime n'avait pas connue.

Quant à:aa noeation , quant à l'ord'eoenig.erquant aux matières de l'en-segnemea,:i e point culminent da.a ledomaine dise études de collége, et C'estdus collège seulement que nous traitons

i; a été attelut chia eus vers 1840.N+dle part dans le monde civilisé ne aedistribuait à la jeunesse en enselgne-meut plus complet et Pins harmonique.On Peut dire sa.a exagération que lemonde le lavait. De toutes parts anusarrivaient ses enfants. L'effectif d'uneclasse de Louis-le.Grand ev composaiten ce lemp -là, pour la dixième p éeau mules, d'écoliers venus de New-Yackou de Moscou, de Coastaotinople ou doRio'Janeiro, de Copenhague ou de Ru-chares,. Quelques-uns d'entre eux ne

a élafrac uvoyéa; notons-le bien,qui .prés que leurs parents avaleur faitl'épreuve du gymnase allemand.

Méme en ce degré de prospérité, toutn'était pas parfait, et le croyance qui on

dont on ne sait qu'admirer le, plus, deas doelité ou de son iontilité. On

vu ces ministres, bonilsunmants et sl.ériles, qui commençaient par faire tablerace de luit pour se dlnne, I gloirede tout réinventer. On a vu c rte course:au clocher extravagante de plana d -desetde programmes de b cI atqui se .,;et culbutes les nus su ],a an-tres, et dont le. débris jonchent le sol,depuis le fameux arrêté du 50 août 1 852jusqu'à la circulaire du 27 septembre1872.

C'est cette derrière circula r' qui estdepuis un an la loi de l'Université. Ilavril paru d'abord qua le .illustre quil'avait rédigée s'ébat peapoé pour butunigne de taropéreosver l'escés des dCaliceécrite , dent l'Urssté a loogtemnsabusé, et de recommandor d'autres ezercites fort Utiles, qu'il avait seutem,ai letort de présenter comme nouveaux, carla plupart des professeurs les ptate-quoieut à l'époque oh In professorat sotrouvait plus libre de bien faire qu'il Unl'a été depuis 1852. Ainsi entendue, lacirculaire du 27 s ptrmbeo étant fortacceptable : elle opérait sans seeomseune de ces améllorutious En dsst', ettranquilles qui doivent Stem la vie quo-tidienne de i'euaeignememl. Malheureu-sement il existe parmi nous mue écolepédagogique, puissante dans les Jour-naux,

""

professe use antipathie abso-lue Pour les hnmaaitéa, soue piéton-eque Ici humanités ne lui paraissent Pasconstituer un éducation réelle et prati-que.

C'est cette écoin ans, en 1852, a pré-tendu substituer donenselgnememt le.acaenees mathématiques aux lettres : aine

,outdo

quatre ou cinq ans du systèmemathématique, il fallut bien reconnaioreque pour un agrfculwun, un négociantun notaire, uu m¢lufdcteriey le calentdifférentiel est pas d'une utilité beau-coup plus immédiate que la lecture de

et le système ^'amémaIaqucl'Odyevéc,sécrouls. Aujourd'hui la agiota de l'édn-lutlon réelle as atours, elle en veutplus du mains elle le dit , proscrire lelatin ni le grec; loin de Ih t elle demaui'de que le latin et le grec snsmot e se;gués d'une façon plus positive et, Si POUnoua Passa cette expression, plia cor-porelle. Z. sacrlfle toujours les humanitésmais non pluma à la trigonométrie et él'algèbre; on les sacrifie à la grammai-re comparée, à la philologie, à l'épi-graphie, à la palirfeapaie.

Les théoriclees da l'édueatioa réellese sent emparés de ,a,Y}rculaire de M,Jules Ssmo., et par leurs commentairesils l'ont dénaturée. Ebloue ..... oute dubruit qu'il fa sm[, le mtaislre laminé, 'ea transformé sa circulaire eu, programme. Il u' a plus conseillé, il a commundé; il n:1 plus voulu empéchee l'abus,il a proscrit t' Usage thème !aria, disdouars 9mnçais,

rt-hmot, !ivres de

classe, toit a été aboli d'na coup duosle travail du collége. La eirculaiee deve-soitainsi un nouveau traité des éludes

pour principe k. néant.qui avaitAnjonrd'laae le mal est nislble peur

EUE les bons esprits, et le çoaarsl supé-

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

d l I ,t hi l i e r s i 1 .m t tout 11$ t M ie Tajan, à Lombezrire,1 n vde 1 b t d -q s1 oc I r r l d 7 p la nème J 1 Chertés Uuulremre, pet l rue de e IEDE'Il ro

le 1!.. 11 q. la q e été q l v de c t e wc: fl 1 1 C I ri' b rte, et Florentine Joseph De-I

N: A T Q éd P.,P. w d..v nt l publia par 1 c l' l C' p n tant cea ennemis do

di _orsre t - dem. 1111 41 Ail 19 l d7 use

d f1 t tle S ' 1 - o I L l.. en h- t.nt qu un exerce de bore . 1 emre Jean Marie Attané, faubourg Saint- t, d A Revaleseiere Dm B.rry de Lm,-q l I. prolos ) b 1 Isolée gens et émis les enfants à Cypeien, et Marie Case, à Moula.- dea t 0 en m I e 1 0 1u_' éc' deux leur langue maternelle. Ils ban. I V a menas en dauorrAfiA, elle aeao-Été,4é nrnpétenr orant la p t +ermeIlen t et au Besoin ils sec mman- Gérant R. -I f bourg Ban, efoy, ga pluaq e seule mtnmte de causonné .1 s q r ud n d'_I d tient g i on hebdos les enfants à raton. J

s mo0 4 reines, in 'co t t , à décrire e4 à analyser en de courtesDo 1 a, ,v t tt q é explq t b i p 't0 a leurs promeotdce, telles

1 lo i d d 1 pl' leurs lectures les spectaclesgt t'i I. t s,d t 'e i pas p 557 t e dont iis o t été témoins, valve leursgo -, la. pli I Sophie, O.i il y 1. Ii- t mente intimes, telles ambitions pré-1u.,à:edane lediscours .dan.+la thr.ae sentes et loura es)Sér.mces d'avenir. Ils'min, l y eu a nue bien aim 7vi et barn autorisent ou ils reclament, comme exer- Achille Marie Gaston M,etre, boule. grcurs, acidité, pituite, nausées, renvois,

profondo iliaque dansIhumble grammes. rires de style, 1'apprérml Iii var1Saint Praire, 32. Et Lncre-Theudo vu ssemen[s, constipations, diarrhée,r Lhomoud, qui par l t t i d'une page d'un boa auteur lu. en elas- ra L p' esse[ à Salle. aur 1 Bers. 1 dy toril, coliques, toux, asthme,let de logique à Larx p le Parallèle entre deus personnages Pierre Mine-Auguste Meurette, rue éto n mens, oppression, coegeslfon,

0 5e' o e insomnies, mélancolie, diabete,1 messe de Bopp et de D ez. Lest historiques, la la nptirn d'un Payigae, flue pets 15, et Louise C...tade, rue

faib esse, hlhielPair Lhomuad et par le "Il, latin que ou d'uneville,

, la uar ation, la fas Traversière du Rouiller, 5.la t

e, tons désordres ded",iDD. r p I 1 loure fos, Tous ces genres Antoine Rouyé, à Croix

Daurade'et

bronches,p essre,gfoie',re intestd sreIcou,

1 i aimai des 'Imae a s o .Iagréentl

;

seulseul, le di ..éltirs ne trou Élisabeth Bely, à Période.

cecsmeve pas gifler devant un éclectisme aussi Pr., p:r Demel, quai de T 98, et m q use, cerveau et g: 175,000large, leanoe Re 1, Allée euSaie de

e

Cl to. cures, y campus celles de S. le Pape'7.- J. 4Vsras:

Jean-Baptiste

Chs'y, rue de la Chalne le duc d¢ Pluskow, Ms la marquise de(Revue des des- Mondes). f, et Mine Volés, eue de la Chaîne, 9 Bréhaus etc., etc.

(La cuits a demain). Dard Cas.igool, rue des Lois, et Cet,rtincal na 56,935.Anne Barras, au Lherm,

Birr (Bas-Rhio), 4Juin 1881---- -- = -- `-` Monsieur, - La Revaleemére n agi suroéche ou 22 eaersxéRa 1875. mai m veilleusement: mes 1.11l. le-

nesletune neuvelle nie m'anrcre,De Boeeysza, épouse Puslow.ki,47 ans, comme celle de la jeunesse. Men appa-

rue Cafseelly, 10. tt qui pendant pl eues années . étéoi.Lageunge, veuve Banne, Séries, plu. nul est versus admirablement, et la

Saint Geoegea, 2. pr et le serrement de ma tête, quidep =, ra t es s'étalent fixés à VA-Lot ique, ael meterrmement plts,

pas ,(frayer nos let s lesJ.m t t U[ de mmteen pleine langue la.lins. naira rlrmairona dabord le pinshllérane et le plus mondain de nosexeet'iees d'école r noua Initeroas de dis

Aorrui de nos lecteurs r g,oee queI- l:,ssn de rhétorique ,an, I s elablis

ts 't: y [ I, xl-.,.ra d t s, le 3scuilslrav-

lx fiel déffin II =l tleqi c dans 1 tin ense des R odes elas-

u l

lé, 1l I p t Itt

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D'un exploit de Regos, huis-

sier, du vingt-doux septembremil huit cent aDl.o.le-treize,

enregistré, il résulte que:A la requête : I de dam.

An ne Brousse et du sieur An-toine Sierra, marrés, p o-priétaiene-cultivateues, dorai

cillés à Auriac; 2a du sieurPaul Marly, métayer et deidame Marielle Jouet, sansProfession, mariés, domiciliés'ensemble à la métairie Basse,commune de Cabaaial; notifi-cation a été fait, à M. leprocureur de la Répmblique,prés le Tnbnnal cru I séant àVillefranche (Haute-Gentille),y domicilié, du procès-verbal,dressé le quinze septembre milLuit t uix le-treize parle greffier du Tribunal civilséant h Villefranche Haute-Ga-ronne), noostamnt le

"P,,fait

audit grena, ledit joue, de deuxcopies collationnées de deuxactes publics de vente, lopremier au rapport de MCab ot, uumire 4 Auriac; e.

date do 27 décembre 1866,ratifié par deux actes posté

Bourse de Paris, du 22 Septembre._,aRT3YNn

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eber 1869, de Lamy, notasseà Sain[-J ulia; et le second aurapport de 6l Noves, otaireaudit Sainl-Julia, en date dunugt-sis avril 1868, desquelsil résulte qua messieurs Auguste Belaval père, et Edouard ouEdouard Paul Belaval, sen fil.,propriétaires, domiciliés àSaint.Julie , M. Auguste Bela-val, ayant été précédemmentdomicilié à Villemnr, agissantunjoinlement et solidaire-

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v eobservation ut s, joindraA cettedeacelée que lai haut. peix'persisiar,ts

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gelciilén asrrz eon.idérahles d'obliga-tions d'Or éan R que suaioulion tpas fat, à u p 'll serti n tlepeul aire cnn dé é: c m sa indicedes probabihlés de aerauons de titresfin septembre.

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u+ibre des p lamenta se p rs.pans sot dActons, sou dOblg tpaver, ondmt donc sape ddélave une certaine gnanWé d p I - --- - - _ ---- -- - -'poils à titre d'emplois lemporavra des Glr.s(: L. JOIIGi A tl

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