rouge gueule - dossier de presse

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rouge gueule ~ du 20 octobre au 14 novembre 09 ~ une production du théâtre pàp ~ présenté à espace go

relations de presse ~ valérie grig ~ 514.759.9905 ~ [email protected] 2 source ~ communications ~ [email protected]

PREMIÈRE MÉDIATIQUEMERCREDI 21 OCTOBRE 2009 à 20 h

20 octobre au 14 novembre 2009

Présenté à espace Go, 4890, boul. saint-Laurent, Montréal ~

Texte Étienne LepageMise en scène Claude PoissantDistribution Alexandrine Agostini1 ~ Michel Bérubé2 ~ Anne-Élisabeth Bossé3 ~ Annette Garant4 ~ Maude Giguère5 ~ Jacques Girard6 ~ Hubert Lemire7 ~ Jonathan Morier8 ~ Daniel Parent9 ~ Mani Soleymanlou10 ~

Assistance à la mise en scène et régie Catherine La Frenière ~ scénographie Guillaume Lord ~ Costumes Marc Senécal ~ Accessoires David Ouellet ~ Éclairages Erwann Bernard ~ Conception sonore Antoine Bédard ~ Maquillages Florence Cornet ~ Mouvement Caroline Laurin-Beaucage ~ Direction technique Sébastien Béland ~ stagiaire à la mise en scène Mani Soleymanlou ~

illustration et Affiche Lino ~ Graphisme Corinne Bève ~ Photographies Marie-Claude Hamel ~

Vidéos promotionnelles réalisation Pascal L’Heureux ~ Montage Foumalade ~

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direction artistique claude poissant et patrice dubois



Rouge Gueule est une lame plongée à froid dans la peau cornue de l’ordinaire.

Des mots effrontés, démesurés qui révèlent les pensées les plus secrètes de vos

contemporains.

Les voici, dix de vos semblables, furieusement prêts à déverser leur parole intérieure,

la langue sale, l’écume à la gueule. En nous matraquant de mots qui appellent à l’aide,

ils se libèrent, ils nous effraient, ils écrivent l’insolent portrait de notre époque.

Voici une fête de la parole où la vulgarité est un exutoire.

Voici dix cris, lancés vers vous, pour exacerber jusqu’à l’indécence la banalité des

jours.

Étienne Lepage sort de l’École nationale de théâtre du Canada en 2007. En 2008,

sa pièce Le Mariage de Francis Camélias remporte l’Aide à la création du Centre Na-

tional du Théâtre, à Paris. Sa traduction de Blackbird, de David Harrower, mise en

scène par Téo Spychalski, a été de la programmation 2009 du Théâtre Prospero. À

l’automne 2010, le texte collectif Éclats et autres libertés, écrit avec Mathieu Gosselin,

Jean-Frédérique Messier et Marie-Josée Bastien, sera créé par Benoît Vermeulen.

Claude Poissant est l’un des fondateurs du Théâtre PÀP (Petit à Petit), une com-

pagnie trentenaire vouée au théâtre contemporain dont il est aujourd’hui codi-

recteur artistique et directeur général. Parmi ses mises en scène les plus récentes,

rappelons Le Traitement de Martin Crimp, Je voudrais me déposer la tête de Jonathan

Harnois et Abraham Lincoln va au théâtre de Larry Tremblay, qui ont toutes reçu de

nombreux éloges, tant des journalistes que du public. Il vient également de mettre

en scène le très médiatisé spectacle de Pierre Lapointe, Mutantès, dans le cadre des

Francofolies 2008.

« Un de mes moteurs d’inspiration, c’est la provocation. Brasser la cage, quoi. On vit dans une

société douillette, et à force de ne vouloir faire de mal à personne, on finit par devenir men-

teur, tendancieux, affecté, hypocrite, peureux et fragile. Je crois sincèrement qu’en provoquant

les gens, on les oblige à se rebiffer, on les oblige à refuser, à se défendre et à réfléchir. C’est le

principe du coup de pied au cul. »

~ Étienne Lepage

~ Le texte a reçu une mention spéciale du jury du Prix Gratien-Gélinas du CEAD pour sa qualité d’écriture.

~ Le livre est à paraître chez Dramaturges Éditeurs.

LA PIÈCE



~ 3 septembre 2009 15:52:18

Un monsieur en chemise, menaçant

Il est furieux. Rouge. Il pointe du doigt et des postillons explosent dans l’air à chacune de ses

paroles. Il est penché sur un jeune garçon ébouriffé, les mains sales. Celui-ci retient de peine et

de misère les larmes de couler sur ses joues. Nous arrivons devant cette scène par hasard, au

détour du chemin. Que se passe-t-il exactement entre ces deux-là ? Se connaissent-ils ? Qui a

raison ? Rémontrances méritées ou abus de pouvoir ? Impossible de dire. Mais le regarder crier

fascine, et on se dit qu’on aimerait bien, au moins une fois dans notre vie, gueuler comme ça

après quelqu’un. ~

~ 7 août 2009 13:48:15

La parole comme poudre aux yeux

La parole comme moyen de tout dire, même ce qu’on ne pense pas. La parole comme envie

de parler, comme machine qui se sert de nous pour parler. Ce sont des gens qui ont envie

de parler, de jouer à parler. Ce qu’on voit, c’est des gens qui font du bruit, qui mentent, qui

jouent, qui inventent. Même la vérité est un masque. La parole qui n’a rien à voir avec la vérité,

ni avec l’expression de ses émotions, de ses idées, de son état. La parole non comme outil

d’expression, mais comme matière texturée, ludique. La parole non comme expression de la

vérité, mais comme expression tout court. La parole, non comme désir de clarté, mais comme

jeu de couleurs. ~

~ 29 septembre 2008 15:38:19

L’intensité du banal

Ce sont des personnages intenses, troublants, épeurants, majoritairement agressifs, violents,

vulgaires, démesurés, mais toujours banals, sortis d’un quotidien pareil au nôtre. Pas des gens

blessés outre mesure, pas des enfants de la guerre, des gens normaux, comme nous, sans trop

de problèmes, comme nous, avec des vies « faciles », comme nous, mais qui portent en eux une

méchanceté, une médiocrité et une violence démentielles, comme nous. Et c’est ce qui rend la

chose provocante. Parce qu’ils sont horribles, laids, méchants, sans considération pour les autres,

inconscients, mais qu’on les reconnaît et qu’on se reconnaît en eux. On rit avec eux des autres,

on embarque avec un certain plaisir dans leurs réflexions, on les juge comme eux jugent les

autres, on se laisse aller avec eux dans des zones de méchanceté. ~

MOTSD’AUTEUR



Parfois, on se fait prendre dans le détour. On ne pensait pas que le personnage irait si loin, et

on s’arrête en chemin. Parfois, on se rend avec lui jusqu’au bout, mais toujours, il y a un coup,

une violence de trop, une inconscience, qui laisse un petit goût dans la bouche. Les personnages

s’en tirent toujours avec une légèreté au pire moment, qui laissent l’auditoire avec le poids et

les conséquences. Les personnages se lavent les mains de leur attitude, et laisse les spectacteurs

avec les questions morales. Est-ce qu’on peut faire ça ? Est-ce qu’on peut montrer ça au théâtre

? Est-ce que c’est vraiment drôle ? Est-ce que j’avais le droit de rire ? Est-ce que je suis comme

ça ? Est-ce que je dois faire quelque chose ? Et pour moi, si ça crée cela, s’accomplit ma volonté

d’auteur de provoquer. ~

~ 29 octobre 2008 23:14:37

L’humain idolâtré

Je trouve que cette expression décrit d’une manière géniale le lieu de mon travail

comme auteur sur ce texte. Même que je dirais que ce que j’ai trouvé comme lan-

gue vient de ma recherche de l’humain idolâtré. Pour moi, c’est vraiment le coeur

du texte. Et de l’autre côté, cette irrévérence (la provocation dont je t’ai déjà parlé,

et que Patrice à très justement nommée irrévérence), qui elle m’a fait trouver des

sujets, des situations et des punchs. ~

~ 08 décembre 2008 à 15:48

La parole est une diversion, un moyen, de la matière, un jeu

Si on cherche pourquoi ils disent ce qu’ils disent dans la douleur et la souffrance, on fait fausse

route. Il faut chercher plutôt quand est-ce que quelqu’un de simple, de sensible et d’intelligent,

comme toi, comme moi, comme Alexandrine, pourrait dire des choses comme ça, sans trop se

rendre compte, sans grande méchanceté, sans grande conscience. Si les personnages sont ce

qu’ils disent, alors oui, c’est heavy, et à mon avis, ce n’est pas intéressant. Comme je te l’ai déjà

dit, je n’aime pas les personnages qui nomment ce qu’ils sont, les personnages qui exposent leur

substance directement dans la parole. Pour mes pesonnages, la parole est un tic, un réflexe. Ils

ne s’en servent pas pour montrer leur vérité. La parole n’est pas l’expression directe de leur état.

La parole n’est pas l’aboutissement ou l’extension de leur être. ~

MOTSD’AUTEUR (suite)



LESCOMÉDIENS

~ Alexandrine Agostini1

théâtre : Boeing Boeing (Juste pour rire, 2009), La Casta Flore (Compa-

gnie Jean-Duceppe, 2008), Des fraises en janvier (Th. des Gens d’en bas,

Léa, 2007) - télévision : Caméra café (2008), Rumeurs (2005), Les Bougons

(2004), Cover Girl (2004) - cinéma : Les États-Unis d’Albert, La Grande

séduction, 20h17 rue Darling (2002) ~

~ Michel Bérubé2

Récipiendaire du Prix John-Hirsch, en tant que metteur en scène.

théâtre : Au moment de sa disparition (Théâtre Le Clou, 2001-07 ), Cyrano

de Bergerac (Théâtre du Nouveau Monde, 1995-1996) Marie-Stuart (NCT,

1995), Jusqu’aux Os (Théâtre Le Clou, 1994-95), Un tramway nommé désir

(Au Gésu et tournée TPQ, 1994), Le Prince travesti (Théâtre du Nouveau

Monde, 1992) télévision : Les Rescapés de la justice (2009), C.A.(2008),

Minuit le soir III (2006) ~

~ Anne-Élisabeth Bossé3

théâtre : Zorro (Picouille Théâtre, 2008-2009), Ceux que l’on porte (Théâ-

tre PÀP, 2008), L’Intrus (Théâtre Nominingue, 2008), Autobahn (Théâtre

La Licorne, 2008) - télévision : Les Appendices (2008-2009), Tout sur moi

(Cirrus, 2008) ~

~ Annette Garant4

théâtre : La Chance au coureur (Productions Charlot, 2009), Le Malade ima-

ginaire (Théâtre Longue Vue La Suite, 2008-2009), Bonsoir... Elle est partie

(Productions Charlot, 2006), C’est ma vie (Compagnie Jean-Duceppe, 2006)

cinéma : Steak (Quentin Dupieux, 2006), Aurore (Luc Dionne, 2004), Sur le

seuil (Éric Tessier, 2002), La Mystérieuse Mlle C. (Richard Ciupka, 2001) té-

lévision : Le Bleu du ciel (2003-2005), The Last Chapter (2001), Cauchemar

d’amour (2001) ~

~ Maude Giguère5

théâtre : au Conservatoire d’art dramatique de Montréal, La Barbe de Bertolt

Brecht (Gilbert Turp), Vie et mort du roi boiteux (Francis Monty) et Courts

univers étranges (Frédéric Blanchette) ~

« Je te casse ta porteavec ma têtemon gars »

« Y va être làplanté au milieu de la courà me regardersans s’être rendu compteque tout le monde est parti »

« Est-ce que tu penses queest-ce que tu pourraisest-ce que tu pourrais arrêter chez Tampopo en venant ? »

« pus jamais avoir envie de parler pus jamais avoir besoin de parler enfin pouvoir te fermer la yeule »

« Les comme moiça se mange cru »



~ Jacques Girard7

théâtre : Marie Stuart (Théâtre du Rideau Vert, 2007), My Fair Lady (Théâ-

tre du Rideau Vert, 2006), La Tempête (Théâtre du Nouveau Monde, 2005),

L’Avare (Théâtre du Nouveau Monde, 2001), Art (Théâtre du Rideau Vert,

1996), Cyrano de Bergerac (Théâtre du Nouveau Monde, 1995) etc... télévi-

sion : Chabotte et Fille (2009), Bye Bye 2008, Roxy (2008), Rumeurs (2008),

3 x rien (2008) cinéma : 1er juillet (2004), Ma vie en cinémascope (2004),

Nuit de noces (2001), Mouvement du désir (1997) ~

~ Hubert Lemire8

théâtre : Les mauvaises herbes (Théâtre Bouches décousues, 2009), Je vou-

drais (pas) crever (Aux Écuries, 2009 ), Pierre-Luc à Isaac à Jos (Théâtre du

Bic / 2008 ), La femme d’avant (Théâtre Prospero, 2008), Les Zurbains 2007

(Théâtre Le Clou, 2007), Le Diable en partage (Espace Libre, 2007)

cinéma : Roméo et Juliette (2006) ~

~ Jonathan Morier9

danse : Mutantès de Pierre Lapointe (Francofolies, 2008-2009). Free (Carol

Jones, 2008-09), Zò (Zögma, 2006-07) théâtre musical : Voler si bas (La

Compagniterie, 2006-09), Chalet de rêves (Théâtre d’été de Nominingue,

2007), télévision : Rumeurs (2007) ~

~ Daniel Parent10

théâtre : Under construction (Théâtre de l’Opsis, 2007-2008), Parents et

amis sont invités à y assister (Festival international de Littérature, 2007), Des

fraises en janvier (Théâtre d’Aujourd’hui et Cie Jean Duceppe, 2001-2003),

Le Ventriloque (Théâtre PÀP, 2001-2003) télévision : La Galère II (2008),

Bob Gratton III (2008), États Humains (2008), Casino (2007), Kiki tronic

(2007), La Galère (2006), Tout sur moi (2006), Casino (2005), Nos Étés

(2004-2007) ~

~ Mani Soleymanlou11

théâtre : Terrorisme (Théâtre de Poche et Théâtre du Grand Jour, 2009), La

Fausse Malade (Théâtre Advienne que pourra, 2008), Les Pieds des anges

(Espace GO, 2009) ~

LESCOMÉDIENS (suite)

« On est loin de la conversa-tion de salon »

« Groin-groin ! »

« BonOKOn recommenceJe »

« Aprèsy nous l’ont donné à mangerC’était ça ou se faire torturer à mortMa mère a refuséMoij’ai mangé... »

Ça remonte a loinJ’ai jamais pognéFaque chus devenu médecin



C’est le jour de l’anniversaire de Cassandre. Ça devrait être une fête, mais ça ne l’est pas. Alors elle s’invente

des surprises. C’est l’amour entre Théodore et Noémie. Ça devrait être une idylle, mais ça ne l’est pas. Alors

ils font semblant de vouloir des enfants. C’est le jour où Sylvain va en thérapie. Ça devrait aller mieux, mais ça

ne s’améliore pas. Alors il rêve de changer de vie. Mettez ensemble toutes ces déprimes. Ça devrait être triste,

et pourtant, c’est drôle, drôle, drôle. ~

David Paquet voit sa pièce Porc-épic, depuis sa sortie de l’École nationale de théâtre du Canada en 2006, créée

non seulement à Montréal, mais aussi en Belgique, Allemagne, Mexique et en Autriche. Il a participé en juillet

2008 au Séminaire international d’auteurs émergents de la Sala Beckett, à Barcelone. Lauréate de la 6e édition

du concours Le Théâtre jeune public et la relève, sa pièce pour adolescents 2 h 14 AM/FM sera créée sur les

planches de la Maison Théâtre en janvier 2010, dans une mise en scène de Claude Poissant. ~

Patrice Dubois codirige le Théâtre PÀP depuis 2007. Comédien et auteur, il aussi réalisé de nombreuses

mises en scène : La Grande machinerie du monde (coécrite avec Martin Labrecque), Les Frères Laforêt de François

Archambault et Everybody’s Welles (coécrit avec Martin Labrecque). ~

« À force de se regarder, on deviendrait peut-être des plus grandes versions de nous-mêmes. Ou peut-être qu’on reste-

rait ordinaires. Ordinaires, mais heureux. C’est déjà beaucoup. »

Du 16 février au 13 mars 2010

Texte David Paquet

Mise en scène Patrice Dubois

Distribution Antoine Bertrand ~ Jean-Pascal Fournier ~ Marika L’Houmeau ~ Dominique Quesnel ~ Geneviève schmidt

Concepteurs Nathalie Trépanier ~ Julie Breton ~ David ouellet ~ André rioux ~ Ludovic Bonnier ~ Florence Cornet ~ Catherine La

Frenière ~ simon Cloutier

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LE THÉâTREPÀP

Le Théâtre PÀP crée exclusivement, depuis plus de 30 ans, des textes

contemporains et permet systématiquement à des artistes de la relève

et à des artisans de métier de conjuguer leurs talents. Mais le PÀP a

surtout une nouvelle histoire à raconter, un nouvel espace à envahir, des

paroles à prendre, des nuances à trouver, un petit monde à créer qui ne

sera pas celui que quiconque prévoit ni attend.

THÉÂTroGrAPHie soMMAire (plus de 80 créations/lectures)

2010 Porc-épic de David Paquet 2009 Rouge Gueule2 de Étienne Lepage 2009 La Grande machinerie du monde de

Patrice Dubois et Martin Labrecque 2008 Ceux que l’on porte de Andrew Dainoff 2008 Abraham Lincoln va au

théâtre3 de Larry Tremblay 2007 Je voudrais me déposer la tête1 de Jonathan Harnois 2006 Couche avec moi (c’est l’hiver)

de Fanny Britt 2006 La Robe de mariée de Gisèle Schmidt de Julie Vincent 2005 Le Traitement de Martin Crimp

2005 La Petite scrap3 de Dominick Parenteau-Lebeuf 2004 Lousiane Nord4 de François Godin 2003 Unity, mil

neuf cent dix-huit2 de Kevin Kerr 2003 Everybody’s Welles pour tous2 de Patrice Dubois et Martin Labrecque 2002

Le Goûteur4 de Geneviève Billette 2001 Le Ventriloque3 de Larry Tremblay 2001 Stampede2 de François Létour-

neau 2000 L’hôtel des horizons2 de Reynald Robinson 2000 Les Enfants d’Irène2 de Claude Poissant 1999 Crime

contre l’humanité4 de Geneviève Billette

1. Éditions Sémaphore ; 2. Dramaturges Éditeurs ; 3. Éditions Lansman ; 4. Leméac Éditeur.

L’équipe permanente

Claude Poissant, directeur artistique et général Patrice Dubois, directeur artistiqueAndré Tardif, directeur administratifCatherine La Frenière directrice de productionSarah Pinelle, directrice des communicationsMarc-Antoine Cyr, responsable des groupesPascale Joubert, responsable du développementMireille Brullemans, adjointe aux directions

4949, rue ClarkMontréal QC H2T 2T6T. 514.845.7272 F. 514.845.5357theatrepap.com | [email protected]

Pour tout savoir : theatrepap.com ~ facebook.com/TheatrePAP ~ twitter.com/TheatrePAP

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