alfonso upegui orozco daniel andrés rendÓn flÓrez

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Titre courant : SENSIBILISATION SUR L’ENVIRONNEMENT À TRAVERS

L’APPRENTISSAGE DU FLE

Sensibilisation sur l’environnement à travers l’apprentissage du FLE à l’institution éducative

Alfonso Upegui Orozco

Daniel Andrés RENDÓN FLÓREZ

Universidad de Antioquia

Directrice de mémoire de recherche, Directrice du projet de recherche et Directrice du stage :

Erica Maria GÓMEZ FLÓREZ

Medellín

Novembre, 2018

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SENSIBILISATION SUR L’ENVIRONNEMENT À TRAVERS L’APPRENTISSAGE DU

FLE

Résumé

Ce rapport de recherche visait à approcher la langue française aux apprenants de la quatrième

année de l’institution éducative Alfonso Upegui Orozco à travers l’étude de l’environnement. On

voulait promouvoir une réflexion constante par rapport aux sujets environnementaux comme le

recyclage, la pollution et semer des plantes. Nous nous sommes servis de certains instruments

afin d’évaluer notre projet : un journal de bord, un entretien à la professeure coopératrice et des

questionnaires pour les élèves. Compte tenu le processus d’intervention et l’application des

plusieurs instruments comme le journal de bord, le questionnaire et l’enquête, on a trouvé

l’augmentation de la motivation envers la classe du FLE, l’impact positif de l’étude de

l’environnement, la possible continuation du projet et les difficultés.

Mots clés : l’étude de l’environnement, français sur objectifs spécifiques

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FLE

Sensibilisation sur l’environnement à travers l’apprentissage du FLE à l’institution

éducative Alfonso Upegui Orozco

Ce projet correspond à un rapport de recherche action effectué dans le moins de janvier à

novembre (2018) à l’institution Alfonso Upegui Orozco pour obtenir le diplôme de Licence en

langues étrangères (Bac+5) de l’Université d’Antioquia qui s’encadre dans le stage professionnel

et académique dans un établissement éducatif en Colombie.

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Remerciements

Je veux remercier mes parents pour le support pendant toute la carrière, la foi et la

patience. Egalement, je dois remercier ma directrice de mémoire et de projet de recherche Erica

Gómez pour l’accompagnement tout au long de l’année avec la connaissance et les mots

appropriés dans les situations les plus difficiles.

Il faut mentionner les enseignants qu’ont contribué avec mon processus d’apprentissage :

David Montoya, Janeth Ortiz et Javier Rivera, les professeurs qui j’admire pour leur dédication

et passion au moment d’enseigner.

Je remercie l’institution Alfonso Upegui Orozco et ma professeure coopératrice Astrid

Peña pour les recommandations, conseils et pour l’aide avec le matériel et le contrôle de la

discipline dans la salle de classe.

Finalement, je dis merci à mes amis pour l’appui, les expériences et les moments les plus

significatifs pendant l’étude de la licence.

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Sommaire

Avant-propos 6

Description du contexte 7

Problématique 8

Question de recherche 10

Objectifs 10

Cadre Théorique 11

Le français sur objectifs spécifiques 11

Le jardin à l’école 12

L’étude de l’environnement 13

L’approche écologique 14

Plan d’action et son déroulement 15

Méthodologie et analyse de données 17

Résultats et interprétation 18

La motivation envers la classe du FLE 18

L’impact positif de l’étude de l’environnement 20

La possible continuation du projet et les difficultés 23

Conclusion et recommandations 26

Réflexion 27

Références 29

Annexes 31

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Avant-propos

Afin d’obtenir le diplôme de Licence en Langues Etrangères de l’Université d’Antioquia,

les étudiants doivent finir le processus de stage professionnel et académique pendant une année

dans une institution publique ou privée à la ville de Medellín en Colombie. De même, il faut

mettre en place un travail de recherche-action dans le but de maîtriser les pratiques

d’enseignement et d’investigation.

Le stage comprend deux cycles. Dans le premier cycle, les stagiaires doivent observer

une classe visant à trouver une problématique encadrée dans le processus d’enseignement et

apprentissage d’une langue étrangère. Après, ils présentent une proposition et les possibles

actions pour aider à résoudre la problématique. Finalement, les stagiaires mettent en œuvre les

activités proposées dans la salle de classe pour analyser les stratégies utilisées, présenter des

réflexions et écrire une conclusion sur leur propre travail.

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Description du contexte

L’Institution Éducative Alfonso Upegui Orozco est une institution publique qui est située

dans le quartier Robledo Pajarito à la ville de Medellín. En 1970, l'établissement comptait une

infrastructure grande pour les cinq niveaux de l’école primaire, mais à partir de l’année 2006, le

conseil directif a décidé d'augmenter le plan d'études jusqu’à la secondaire.

L’institution, elle dispose de deux sièges, l’ancien siège où les apprenants pratiquent des

activités récréatives et sportives et le nouveau siège qui dispose de 22 salles de classe, une

bibliothèque, une cafétéria et un auditorium. Les salles de classe sont spacieuses et bien équipées

: il y a un téléviseur, un mégaphone, un tableau, un ordinateur, une table pour le professeur et des

pupitres pour chaque apprenant.

À propos de la vision et la mission, l’institution offre un processus de formation

académique afin de promouvoir la pensée analytique et critique compte tenu l’application d’un

curriculum qui encourage les compétences techniques, académiques et civiques. En plus, l’école

a comme projet à court terme celui de devenir un modèle éducatif qui renforce la relation entre la

communauté et l’environnement.

Selon les principes du PEI, l’Institution promeut la communication paisible, la politesse,

la compréhension, la tolérance, la solidarité, le respect et l’interaction pertinents entre la

communauté scolaire. Les principes mettent l’emphase sur les droits d’exprimer librement les

idées ou d’être en désaccord. Dans le cas d’une situation problématique, il y aura une autorité

scolaire compétente pour donner des solutions pacifiques. De cette manière, ils ont implémenté

deux modalités du travail : l’individuelle et le coopératif. Il y a aussi le manuel scolaire pour bien

surveiller les comportements des intégrants de l’Institution.

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Concernant le cours de français comme langue étrangère (FLE), il est important de

mentionner qu’il est une initiative de l'établissement à charge des stagiaires de l’Université

d’Antioquia car il n’y a pas d’enseignants avec la connaissance du FLE à l’institution pour

donner le cours.

Notre action a été menée dans le cours 4-02 avec 42 apprenants inscrits, certains

habitaient à la campagne et d’autres habitaient à la ville. Ces apprenants avaient entre 9 et 11 ans

et ils avaient étudié le français avec d’autres stagiaires. Pour cette raison, certains élèves avaient

des connaissances préalables par rapport à la langue française.

Quant à l’enseignante du cours, elle donnait les cours d'éthique, pas un cours en langue

étrangère. Elle faisait participer les élèves en classe avec des discussions variées par rapport aux

valeurs, croyances parmi d’autres. La participation en classe était très importante pour

l'enseignante pour écouter les points de vue des apprenants.

Problématique

À partir de la construction d’un journal du bord et les observations de classe du groupe

4°02 à l’Institution Éducative Alfonso Upegui Orozco pendant le stage, on a pu identifier

certains aspects à améliorer. D’abord, l’Institution n’a pas un programme de français ; ce pour

cela que les apprenants n’ont pas une formation constante de la langue française. De la même

manière, il n’y a pas de professeurs capacités pour donner le cours.

Bien que les apprenants se sentaient motivés pour apprendre la langue, on ne peut pas

nier qu’il est nécessaire un accompagnement continu pour assurer un apprentissage significatif.

Même si la professeure utilisait des stratégies pour promouvoir la participation des élèves et

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FLE

matériel varié comme des vidéos et des dessins pour enseigner l’éthique, les apprenants perdaient

la concentration facilement.

Afin de bien identifier la problématique, on a fait une révision des données collectées

pendant les observations et la création du journal de bord. On peut dire que la professeure

titulaire favorise la participation des apprenants compte tenu leurs points de vue. Néanmoins, les

apprenants se distraient et ils peuvent perdre la concentration facilement. En plus, pendant nos

interventions, on a mis en évidence quelques difficultés de la part des écoliers pour se

concentrer.

« Les jardins scolaires sont considérés avec un intérêt grandissant comme un moyen

d’enseignement pertinent pour approcher les sciences naturelles, mais aussi comme un support

possible pour la quasi-totalité des autres disciplines scolaires. » (Curnier, 2014, p. 13).

Cependant, c’est avec le surgissement d’une pédagogie plus active que le jardin scolaire prend

son sens. Le potager et considéré comme un outil d’apprentissage qui peut être utilisé dans le

contexte scolaire où les élèves peuvent devenir acteurs de leurs apprentissages à travers le

potager comme laboratoire vivant. De ce fait, on a décidé d’utiliser le potager comme un sujet

pour encourager les apprenants à apprendre la langue française à travers les plantes comme un

outil pédagogique. Semer des plantes est un processus qui peut développer l’autonomie des

apprenants, s’occuper d’un potager canalise l’énergie des enfants, ils peuvent socialiser avec les

autres et comprendre l’importance de protéger la planète. Par rapport à la langue, les élèves

peuvent connaître un vocabulaire plus spécifique mais d’usage commun parce que les apprenants

ont un contact avec la nature tout le temps à l’école.

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FLE

Concernant le PEI et le contexte de l’Institution, on a remarqué l’importance de la

protection de l’environnement comme principe qui intègre les activités et les sujets de l’école.

Pour cette raison, on a décidé de mettre en place une tâche finale pour enseigner le français à

travers les plantes. On pense que l’intégration de la langue avec un sujet important et d’actualité

peut développer les différentes compétences linguistiques des élèves. C’est pour cela qu’on a

posé la question suivante :

De quelle manière l'étude de l'environnement et semer des plantes peuvent encourager les

apprenants de la quatrième année de l’Institution Alfonso Upegui Orozco à apprendre la langue

française ?

Objectifs

Objectif général

Encourager les apprenants de la 4ème année de l’Institution Alfonso Upegui Orozco à

apprendre le français à travers l’étude de l’environnement et semer des plantes.

Objectifs spécifiques

Étudier l’impact et les conséquences positives de protéger et prendre soin de

l'environnement à travers des activités et présentations en français par rapport au sujet des

plantes.

Initier une sensibilisation par rapport à la langue française à travers l’utilisation des

plantes

Favoriser l'apprentissage du vocabulaire lié à l’environnement en français

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Analyser les résultats de l’intégration de l’apprentissage et l’enseignement du FLE avec

l’étude de l’environnement.

Cadre théorique

Après avoir fait une révision de la littérature, on présente quatre concepts clés pour le

développement de ce projet. D’abord, le français sur objectifs spécifiques (FOS) ; après, le jardin

à l’école, l’étude de l’environnement et finalement l’approche écologique

Le français sur objectifs spécifiques

L’apprentissage et l’enseignement de langues étrangères impliquent une réflexion

constante par rapport aux besoins des apprenants et leur processus pour maîtriser la langue qui

sont de plus en plus spécifiques selon les exigences et les politiques linguistiques de notre pays.

Dans ce cas, l’institution a une approche liée à la protection de l’environnement à cause du

contexte et l’emplacement de l’école. Espinel et Molina (2011) affirment que :

Le but du FOS est d’avoir un apprentissage orienté à une formation spécialisée pour les

échanges déjà nommées. Les apprenants du FOS sont généralement différents des

apprenants du FLE car ils ont un besoin spécifique dans une période de temps réduit. Ils

n’apprennent pas le français mais du français. (p. 25)

C’est pour cela, qu’on a décidé d’utiliser le FOS comme un outil pour développer une

conscience sociale qui concerne la protection de l’environnement. En plus, la formation en FOS

se situe à nombreux niveaux et les outils devront être pensés selon le sujet distinctif à enseigner.

« La formation en FOS est courte, il est important, donc de donner aux étudiants des stratégies

d’apprentissage qui leurs permettront de s'auto former et d’être plus autonomes dans leur

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apprentissage. » (Espinel et Molina, 2011). Le FOS a comme but la satisfaction des besoins

réels de la langue des élèves en tenant compte la création des contenus et matériaux spécifiques

pour les différents domaines de connaissance.

Le concept de FOS trouve un sens plus significatif quand on parle d’un enseignement

fonctionnel du français. C’est-à-dire, l’enseignant met l’accent sur les besoins et le contexte des

apprenants. « L'analyse des situations de communication découlant des besoins des apprenants

nous permet d'établir un inventaire des capacités langagières, l'ensemble desquelles nous fournira

la compétence de communication globale souhaitée chez l'élève. » (Núñez, 2001, p. 244). En

tenant compte le concept de FOS et la réalité des élèves, nous avons ébauché des activités

environnementales afin de développer chez les apprenants une sensibilisation de la langue

française à travers les plantes et la protection de la planète.

Le jardin à l’école

Grâce au discours écologique dans les écoles, le jardin et semer des plantes sont des outils

que les institutions éducatives ont adapté dans les programmes. Collectif-Réseau école et Nature

(2013) assurent que :

Au jardin, chacun peut s’enrichir au contact des autres, des éléments naturels et du monde

vivant. Chacun peut observer la richesse, la diversité de la nature et prendre conscience de

l’importance du respect de soi-même, de l’autre et de ce qui nous entoure. (p.5)

Les jardins sont des instruments que les professeurs peuvent utiliser pour enseigner aux

enfants le respect par la nature, pour bien connaître l’environnement et pour socialiser avec les

autres. « Ils peuvent aider et éduquer à un cheminement pour un changement nécessaire, urgent

au regard des problématiques environnementales, sociales et économiques actuelles. » (Collectif-

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FLE

Réseau école et Nature, 2013). Les jardins peuvent devenir des jardins pédagogiques quand il y a

des interactions entre les écoliers et le professeur et quand ils apprennent certains sujets

académiques à travers la terre. « Un jardin respectueux de l’environnement est un lieu où

l’humain et la nature dialoguent. » (Collectif-Réseau école et Nature, 2013). L’idée est de

connaître quelques mots du français à travers la connaissance et l’interaction avec un jardin, plus

spécifiquement avec le petit potager de l’institution Alfonso Upegui Orozco.

Curnier mentionne que :

Disposés à proximité des salles de classes, les jardins scolaires sont considérés avec un

intérêt grandissant comme un moyen d’enseignement pertinent pour approcher les sciences

naturelles, mais aussi comme un support possible pour la quasi-totalité des autres disciplines

scolaires. (p.13)

Le jardin à l’école est un outil important parce qu’il permet de développer des multiples

compétences. « Le jardin potager et son entretien permettent un contact régulier avec la nature

utilisant les cinq sens. Il mobilise des compétences techniques et scientifiques, mais aussi

symboliques et imaginatives. » (Curnier, 2014, p. 27).

L’étude de l’environnement

Pour bien complémenter ce projet, on a déterminé aussi d’ajouter l’étude de

l’environnement. « L'éducation relative à l’environnement ou (l'ERE) vise la résolution des

problèmes environnementaux, c’est-à-dire des problèmes liés à la relation des êtres vivants, en

particulier des humains, avec leur milieu de vie (envisagé à la fois localement et globalement). »

(Sauvé, 1997, p.173). On croit que la protection de l’environnement est un phénomène social

important qui peut être intégré à l’enseignement et apprentissage des langues étrangères. À

travers la réflexion critique on peut développer quelques compétences de la langue.

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FLE

L’étude de l’environnement ne développe seulement l’aspect linguistique mais des

différentes compétences. Sauvé 1997 affirment que :

Dans une perspective éducative, l'ERE vise le développement optimal des personnes et

des groupes sociaux en relation avec l'environnement, en particulier le développement de

compétences cognitives (investigation critique), affectives (clarification des attitudes),

pragmatiques (écogestion), éthiques, politiques et esthétiques, au regard de l'harmonisation du

lien avec l'environnement. (p. 174).

Concernant l’environnement et la relation avec l’éducation, il y a un aspect lié au social.

« L’éducation relative à l’environnement vise à induire des dynamiques sociales, d’abord à

l’échelle des communautés puis à celle de réseaux de solidarité élargis, favorisant l’approche

collaborative et critique. » (Sauvé, 2002, p. 1). Quand les enseignants travaillent la langue en

fonction d’autre sujet, les apprenants peuvent développer des différentes compétences en dehors

de l’aspect linguistique comme la résolution des problèmes, l’interaction avec la nature et les

autres et l’autonomie.

L’approche écologique

L’écologie s’intéresse à l’individu comme un être global et ses interactions avec son

environnement. « L’environnement, au sens large, influence le développement de l’enfant. De

plus, l’approche écologique considère que le sujet construit son environnement qui, par voie de

retour, influe sur la construction du sujet lui-même. » (Hage et Reynaud, 2014, p. 21). Dans ce

projet il a été très important l’aspect du contexte des apprenants ; ce pour cela, qu’on a travaillé

l’approche écologique, il y a des effets, des interactions entres les facteurs environnementaux sur

l’évolution du sujet. C’est-à-dire, les situations de la classe, et la manière dont les individus

répondent aux interactions dans la salle de classe. L’apport principal de cette approche « …

consiste en l’association de l’enseignement et de l’apprentissage au sein d’un processus interactif

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FLE

continu alors qu’ils étaient envisagés préalablement dans le cadre d’une relation de cause à

effet. » (Cloes et Roy, 2010, p. 27).

Plan d’action

Compte tenu le contexte de l’Institution et les principes qui guident la recherche, on a pu

identifier la valeur de l’environnement comme un outil pédagogique et de réflexion pour

apprendre le FLE. On a renforcé l’apprentissage de la langue française à travers l’étude de

l’environnement et l’impact positif de prendre soin de la planète. En plus, on a suggéré des

activités variées pour approcher les apprenants à la langue à travers les plantes, le recyclage et

les jardins scolaires.

Le but du projet n’était pas l’aspect linguistique mais une approche au vocabulaire

basique et de la vie quotidienne et le vocabulaire lié à l’environnement. Les plantes ont servi de

guide pour développer toutes les activités. On a établi un plan avec les actions suivantes : semer

une plante, aller au potager de l’école, apprendre sur le recyclage et une présentation finale.

Ci-dessous on présent le tableau avec le résumé de chaque action :

Dates et activités Objectifs et déroulement

Sensibilisation à

la protection de

l’environnement

Le 17 juillet

Objectif : introduire le sujet de l’environnement à travers une

chanson.

Déroulement : on a écouté la chanson « sème, sème » et les

apprenants ont analysé les images de la vidéo. On a fait des

questions par rapport à la chanson et on a réfléchi par rapport aux

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FLE

actions qu’on fait pour protéger la planète.

Semer les plantes

Le 19 juillet

Objectif : semer une plante pour la présenter à la fin du semestre.

Déroulement : nous sommes allés au potager de l’école pour semer

la plante, chaque apprenant a apporté le récipient et les enseignants

ont apporté les graines.

Parler de

recyclage

Le 2 août

Objectif : apprendre l’impact positif du recyclage pour prendre soin

de l’environnement

Déroulement : on a regardé une vidéo qui parlait de l’importance du

recyclage. Avec l’aide d’un dessin les apprenants ont regardé

comment faire la classification des ordures

Les parties de la

plante

Le 14 août

Objectif : apprendre les parties de la plante en français

Déroulement : On a dessiné une plante avec les parties en français

et en espagnol. On a fait une activité de répétition des parties de la

plante et de prononciation.

Créer un

personnage

Le 27 septembre

Objectif : créer un personnage qui représente la plante

Déroulement : on a regardé une vidéo qui a servi en tant que guide

pour créer le personnage. Après, les élèves ont créé le personnage

avec des feuilles, fleurs, parmi d’autres.

Le script pour la

présentation

Le 4 octobre

Objectif : créer le script pour la présentation finale

Déroulement : les apprenants ont regardé une présentation power

point avec les caractéristiques des plantes qu’on a semé. Les

apprenants et l’enseignant ont fait le script avec l’information de la

présentation.

17


FLE

Révision générale

Le 18 octobre

Objectif : faire une petite révision des sujets qu’ont travaillé

pendant le semestre.

Déroulement : on a utilisé une présentation power point avec des

questions. Les apprenants devaient cocher la bonne réponse.

Présentation

finale

Le 29 octobre

Objectif : présenter la plante qu’on a semé la deuxième classe du

semestre.

Déroulement : les apprenants ont apporté les plantes. Ils ont fait la

présentation personnelle et la présentation de la plante en disant ses

parties.

Méthodologie et analyse de données

Afin de connaitre les résultats du projet, on a administré certaines sources comme le

journal de bord, des questionnaires pour les élèves et un entretien pour la professeure

coopératrice. En premier lieu, on a construit un journal de bord pendant tout le stage avec des

observations dans le but de réfléchir par rapport à nos actions. En plus, on a implémenté un

entretien à la professeure coopératrice pour connaître son point de vue puisqu’elle a été présente

pendant toutes les séances en observant les activités proposées. Finalement, on a mis en place

des questionnaires pour les élèves dans l’intention de connaitre leurs perceptions, attitudes et

apprentissages par rapport à la langue française à travers l’étude de l’environnement et la

réflexion constante des conséquences de prendre soin de la planète.

À l’effet de bien analyser toutes les données, on a commencé avec le processus de codage

des questionnaires et de l’entretien, on a catégorisé les extraits les plus pertinents pour notre

18


FLE

projet ; après, on a analysé les journaux et finalement on a fait une matrice pour comparer toutes

les sources. On a décidé de suivre la démarche proposée par Burns (1999, p. 156). On a assemblé

les données pour trouver les codes. Ensuite, on a comparé et interprété les codes à travers une

méta-matrice et on a adapté les instruments déjà mentionnés pour trianguler et valider nos

résultats. Ils sont appuyés par les concepts qu’on a trouvé dans les articles académiques.

Résultats et interprétation

Après avoir examiné nos données, trois grandes catégories ont émergé à travers la

construction des instruments et l’interprétation des sources : la motivation envers la classe du

FLE, l’impact positif de l’étude de l’environnement, la possible continuation du projet et les

difficultés.

D’abord, on va aborder la présence constante de la motivation dans la salle de classe chez

les apprenants grâce aux activités et les propositions qu’on a mis en œuvre. Puis, on va discuter

l’impact positif de l’étude de l’environnement afin de montrer les attitudes et la bonne

disposition des élèves. Finalement, on présentera la possible continuation du projet a l’avenir et

les difficultés qu’on a affronté par rapport aux soins de la plante.

La motivation envers la classe du FLE

L’affectivité de la part des élèves pour le professeur. Compte tenu les enquêtes, les

apprenants ont développé une affectivité vers le stagiaire pendant le semestre. Au début du stage,

les apprenants se montraient très timides et la participation était presque nulle. Au fil de temps,

les élèves ont commencé à participer en créant un rapprochement avec l’enseignant. Il y a des

écoliers qui commentent :

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FLE

« J’adore le professeur et la façon comme il enseigne1 ». (Enquête, question 4)

« Le professeur transforme le sujet le plus ennuyeux dans le plus amusant2 ». (Enquête,

question 5).

« Le professeur est gentil et drôle3 ». (Enquête, question 5)

On a constaté que les élèves ont développé une affectivité grâce aux activités proposées et

à la posture du stagiaire concernant la gestion de la classe. « Dans le domaine de

l’enseignement/apprentissage des langues étrangères, on reconnaît que la composante affective

exerce une influence décisive, au même titre que la composante cognitive. » (Arnaud, 2008, p.

177). C’est-à-dire, l’affectivité dans la classe de FLE est un aspect très important lequel peut

aider aux élèves à apprendre une langue étrangère d’une façon plus aisée. « Il y a affectivité

quand le sujet réagit, se prononce, apprécie ou rejette le vécu. » (Arnaud, 2008, p. 177).

Motivation de la part des apprenants. Pendant tout le stage, les apprenants ont profité

les activités qu’on a proposé. Malgré la motivation n’était pas un objectif ou un résultat espéré,

elle a émergé tout au long des séances. « Nous apprenons avec des activités très amusantes et

intéressantes. » (Enquête, question 5). On a trouvé aussi dans les journaux beaucoup

d’information par rapport à la motivation :

« Jusqu’à présent, la plante est un outil qui motive les apprenants. Ils se sentent contents

parce qu’ils veulent voir la croissance de la plante. » (Observation 4)

« Les apprenants sont motivés quand on utilise du matériel audiovisuel. » (Observation 7)

1 Traduit par nos soins

2 Ibidem

3 Ibidem

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FLE

« Avec l’activité de créer un personnage, les apprenants ont été concentrés et motivés. »

(Observation 10)

On a remarqué que grâce aux activités l’ambiance de classe a été favorable pour

développer la confiance et une attitude positive chez les écoliers. Tasgin et Coskun affirment que

la motivation est un aspect très pertinent concernant le processus d’apprentissage qui aide à

comprendre les attitudes des gens. Le manque de motivation empêche la mobilisation et

l’accomplissement des objectifs (p. 936). En plus, les questionnaires ont montré le goût des

apprenants envers la classe du FLE. Ci-dessous on trouve le graphique.

On a remarqué que le 100 pour cent des élèves (37 interrogés) ont dit qu’ils ont profité la

classe de français.

L’impact positif de l’étude de l’environnement

Intériorisation du sujet de l’environnement. Tout au long du stage, on a perçu une

attitude positive chez les apprenants pour le sujet des plantes. D’abord, car le sujet est encadré

dans la mission, la vision et l’emphase de l’institution éducative. Egalement, on a trouvé une

0 5 10 15 20 25 30 35 40

Apprenants

Vous avez profité la classe du FLE?

Oui Non

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FLE

appropriation du sujet de la part des apprenants grâce aux activités et la façon comme

l’enseignant a profité leurs connaissances préalables. On peut regarder dans le graphique suivant

les opinions des apprenants par rapport à l’intériorisation du sujet de l’environnement. Le 100%

des écoliers ont répondu qu’ils avaient eu un apprentissage concernant les soins de

l’environnement.

Les élèves ont commenté :

« J’adore la nature4 » (Enquête, question 4).

« J’aime prendre soin de l’environnement et les plantes5 » (Enquête, question 4).

« On peut prendre soin de l’environnement pour éviter la contamination6 » (Enquête,

question 4).

4 Traduit par nos soins

5 Ibidem

6 Ibidem

Vous avez appris sur l'environnement dans la classe du FLE?

Oui Non

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FLE

Intériorisation du sujet des plantes. Concernant l’apprentissage du sujet des plantes, on a

observé une appropriation du thème pendant les classes. De ce fait, on peut dire en quelque sorte

que le premier objectif du rapport a été accompli.

Les apprenants se sentaient engagés quand on utilisait des activités manuelles pour créer

matériel comme plantes, fleurs, parmi d’autres. Par ailleurs, les écoliers avaient des

connaissances préalables concernant le sujet des plantes grâce à l’emphase du lycée liée à

l’environnement et la protection de la planète. Les apprenants commentent :

« J’apprends des phrases et les soins de la plante7. » (Enquête, question 4).

« J’adore apprendre beaucoup de choses de la plante8 » (Enquête, question 4).

« J’ai appris beaucoup de choses par rapport aux plantes9 » (Enquête, question 5).

Connexion entre le projet et la mission et vision institutionnelle. Un aspect qui a

permis l’intériorisation des sujets déjà mentionnés a été la connexion entre le projet et les

objectifs encadrés dans la mission et vision institutionnelle. « Les apprenants avaient des

connaissances préalables à cause du PEI et des objectifs de l’institution par rapport à 7 Traduit par nos soins

8 Ibidem

9 Ibidem

Vous avez appris sur les plantes dans la classe du FLE?

Oui Non

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FLE

l’environnement. » (Observation 1). Cette connexion a fait possible développer des

apprentissages significatifs parce que les sujets étaient liés à la vie quotidienne des élèves et leur

contexte. « Je considère qu’il y a une contribution positive concernant l’apprentissage,

l’enseignement et l’évaluation parce que le contexte des élèves et le secteur où ils se déplacent.

Pour les écoliers le sujet de l’environnement est proche parce qu’il est un sujet travaillé à l’école

basé sur l’emphase du lycée et la mission et vision institutionnelle.10

» (Entretien, lignes 33-40).

Quand on travaille avec un sujet de la vie quotidienne et qui est familier pour les élèves, on peut

créer un pont de connexion entre le sujet à travailler et le contexte en mobilisant le processus

d’apprentissage. « Chaque stagiaire a une vision différente pour travailler avec les enfants, mais

je crois que celle-ci s’adresse plus à la philosophie institutionnelle. Nous sommes dans un

contexte de ville qui est très rural. Alors, il y a des espaces qu’on peut exploiter pour travailler

avec et les enfants et développer une conscience environnementale chez eux11

. » (Entretien,

lignes 99-104).

La possible continuation du projet et les difficultés

Continuité du projet. Compte tenu l’impact positif du projet, on a découvert les points

de vue des élèves et de la professeure coopératrice concernant la continuation du projet à

l’avenir. La continuité du projet a émergé grâce à la relation proche entre le sujet proposé et

l’emphase de l’institution. En même temps, le thème du rapport de recherche profite le contexte

rural des élèves, la proximité et leurs connaissances préalables.

D’abord on a posé la question aux écoliers par rapport à la continuité du thème

environnemental :

10

Ibidem 11

Traduit par nos soins

24


FLE

Le 98 % des élèves ont dit qu’ils voulaient continuer avec le sujet :

« Parce que le professeur enseigne très bien à parler.12

» (Enquête, question 4)

« Parce je veux voyager et connaître d’autres pays.13


« Parce que je veux devenir un professionnel et parler en français.14

» (Enquête, question

4)

D’autre part, il y a eu deux apprenants qui voulaient changer le sujet :

« On doit apprendre sur un autre sujet15


« Je veux continuer avec un autre sujet16


On peut dire que la plupart des élèves voulaient continuer avec le sujet des plantes parce

ils pensent qu’il est très important pour accomplir leurs souhaits. Même, la professeure

coopératrice a remarqué l’importance de la continuité du projet. D’abord, parce qu’il a eu un

12

Traduit par nos soins 13

Ibidem 14

Ibidem 15

Ibidem 16

Ibidem

0 5 10 15 20 25 30 35 40

Apprenants

Voulez-vous continuer avec le sujet de l'environnement dans la classe de FLE

Oui Non

25


FLE

impact très positif chez les écoliers. De la même manière, elle souligne la connexion entre le

projet et les valeurs institutionnelles. « Je considère qu’il est important la continuation du projet

et l’agrandissement a l’avenir. Il est pertinent de mentionner qu’autre stagiaire peut collecter

cette information et travailler avec les apprenants l’autre année. Il ou elle peut profiter les

connaissances préalables des apprenants concernant le français et l’environnement17

. »

(Entretien, lignes 52-65). « Le français a fait partie du travail collaboratif que l’école a réalisé

depuis beaucoup d’années. On a travaillé ensemble le développement durable à travers tous les

sujets et le français n’était pas l’exception. Pour cette raison, je crois que la continuation de ce

travail est très importante.18


Des problèmes avec la plante. Malgré l’impact positif du projet, on doit mentionner les

difficultés par rapport à l’utilisation des plantes pour enseigner le français. En premier lieu, on a

dû semer beaucoup de fois car les apprenants ne s’occupaient pas des plantes et elles sont

mortes. « Malgré le sujet motive les élèves, il est difficile pour eux de prendre soin de la plante.

Je crois que on est en train de sensibiliser les apprenants en ce qui concerne la protection de la

planète. » (Observation 10). Pour les élèves, prendre soin de la plante a été un aspect compliqué,

ils oubliaient l’arroser, la laisser au soleil, parmi d’autres. « J’adore quand on a semé19

. »

(Enquête, question 5).

Un autre aspect pertinent a été le manque de temps, il faut mentionner qu’on a trouvé

beaucoup d’activités extracurriculaires à l’école. Ces activités ont empêché le déroulement de

certaines actions. « Par rapport aux difficultés… et je pense que ce n’est pas ta faute mais de

17

Traduit par nos soins 18

Ibidem 19

Ibidem

26


FLE

l’institution. Il y a eu beaucoup d’activités extracurriculaires. Il faut signaler aussi la quantité des

élevés dans la salle de classe.20


Conclusions et recommandations

Dans le but de répondre la question de recherche, on a évalué la mise en œuvre d’une

intégration entre l’étude de l’environnement et la langue française à travers certains instruments.

On a trouvé que l’unification entre les deux sujets a développé une conscience environnementale

et une motivation constante pour apprendre la langue française. En plus, l’attitude des apprenants

a été très positive car ils ont participé activement en faisant les activités proposées par

l’enseignant à l’aide de matériel varié.

En ce qui concerne l’apprentissage de FLE, on peut dire que les élèves se sont appropriés

du vocabulaire lié à l’environnement, ils ont appris plusieurs mots, des expressions et le plus

important ils ont réfléchi par rapport aux sujets environnementaux comme le recyclage, semer

des plantes et la pollution. Pendant les interventions, les écoliers ont développé une affectivité

envers l’enseignant et cela a permis de développer une mobilisation positive concernant le

processus d’apprentissage. Même, la professeure coopératrice se sentait motivée à apprendre la

langue et participer des activités. On peut dire que l’impact général du projet a été tangible car

les apprenants ont montré un engagement par rapport à la classe de FLE.

Quant aux difficultés, il faut se concentrer sur les soins de la plante parce que pour les

apprenants il a été très difficile prendre soin d’elle et la plante mourait tout le temps. En plus, il y

20

Ibidem

27


FLE

avait un très grand nombre d’écoliers dans la salle de classe, un aspect qui a compliqué la mise

en place de certaines interventions comme semer les plantes et le travail en équipe. Le manque

de temps et les activités extracurriculaires ont eu une influence sur plusieurs étapes du projet

comme la collecte des données et la mise en œuvre de la présentation finale.

Finalement, on recommanderait de construire un programme de FLE à l’institution pour

continuer la formation des enfants et des jeunes en tenant en compte les projets des stagiaires de

l’Université d’Antioquia. Il est un important d’avoir un processus ininterrompu de la langue. On

remarque également qu’il serait intéressant d’approfondir dans le sujet de l’environnement et les

plantes dans la salle de classe à l’avenir.

Réflexion

Cette expérience a été très enrichissante car j’ai eu l’opportunité de travailler dans un

contexte différent et avec un groupe nombreux en faisant un projet conscient de l’environnement.

Comme le sujet était nouveau pour moi j’ai dû lire et m’instruire beaucoup. Mais, le défi réel a

été assembler le sujet avec la langue française parce que la littérature était rare.

Je peux dire que le processus du stage a été positif. D’abord, l’institution avait le matériel

audiovisuel que j’ai profité pour mettre en place des activités variées. En deuxième lieu, la

professeure coopératrice m’a beaucoup aidé avec le contrôle de la discipline et la communication

assertive. Finalement, les apprenants du group 4-02, ils étaient des enfants avec toute la

disposition et l’envie d’apprendre.

À mon avis, l’aspect les plus édifiant a été la tendresse de la part des apprenants pour

moi. On a construit une relation très significative fondée sur le respect, la confiance et la

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FLE

sincérité. J’ai beaucoup appris de mes élèves, ils m’ont enseigné la persévérance et le bonheur

d’apprendre une langue à travers une méthodologie différente.

L’enseignement est un domaine essentiel pour la société colombienne car les professeurs

sont un pilier fondamental de la construction d’un pays meilleur. On doit former futurs citoyens

en utilisant l’éducation comme un outil pour changer le monde.

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Références

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11(4).

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FLE

Annexes

Annexe A : Semailles des plantes

Annexe B : Les parties de la plante

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FLE

Annexes C : Créer un personnage

Annexe D : Présentation finale

alfonso upegui orozco daniel andrés rendÓn flÓrez

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