bernard, claude (introdução e índice das obras completas)

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L'oeuvre de Claude Bernard / notices par E. Renan, Paul Bert et Armand Moreau ; introduction par Mathias Duval ; table [...] Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque H. Ey. C.H. de Sainte-Anne

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Page 1: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

L'oeuvre de ClaudeBernard / notices par E.

Renan, Paul Bert etArmand Moreau ;

introduction par MathiasDuval ; table [...]

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque H. Ey. C.H. de Sainte-Anne

Page 2: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

Renan, Ernest (1823-1892),Bert, Paul (1833-1886),Moreau, François-Armand (1823-1881),Bernard, Claude (1813-1878). L'oeuvre de Claude Bernard / notices par E. Renan, Paul

Bert et Armand Moreau ; introduction par Mathias Duval ; table alphabétique et analytique des oeuvres complètes de Claude Bernard par le Dr Roger de la Coudraie ;bibliographie... par G. Malloizel,.... 1881.

1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de laBnF.Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 :  *La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source.  *La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produitsélaborés ou de fourniture de service. Cliquer ici pour accéder aux tarifs et à la licence 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit :  *des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sansl'autorisation préalable du titulaire des droits.  *des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèquemunicipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateurde vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de nonrespect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter [email protected].

Page 3: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

Bernard, Claude

Oeuvre.

JB. Baimère

Paris 1881

Page 4: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

des documents m!crof!tmés

Symbo!eapp!!cabte

pour tout, ou partie

Ong'na! t!!<s!b!e

MFZ43-T20-10

Page 5: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

Symbole app!!caMe

des documents m!crof!tmés

Texte déténoré –reHure défectueuse

MFZ43.120-11

pourtout, ou parité

Page 6: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

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Page 7: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

t~o S"~

L'OEUVRE

f'KF:

CLAUDE BERNARD

Page 8: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

ŒUVRES DE CLAUDE BERNABD

CHEZZ LES MÊMES Éf'tTEMKS

COURSDE MÉDECINEDU COLLEGEM FHANC)-:

LEÇONS DE PHYSIOLOGIE OPÉRATO!RE

f'ari'i, i879,)vot. in-8 do 040pages, avectt<!Hg. 8 ff.

tLe~omt Ae ph~xtoto~te expértmentale apptiqueeà ta nt~deeine,fai-tes auCoU&gode Franco.Paris, 1855-!856,2 vo).in-8 avectOO{Sg. !4 fr.

JLe~eme «nr te* etTet* de* tmbttttnceo toxt~Mett et médicament<!NMa.Pa!'ts,t857, tvo!.in.8,avec33 Og. ') fr.

t<e~«M <mr tft phyttote~te et ta pmtheto~te <!mty~t~me "efveux. Pari'i, t858,3voi.in-8. avec79ag. H fr.

<<e~on< tur tea preprtét~tt phyt(t<'to}tt<)uet et tes tMrat.ions patho-logiquesdosiiqwMeade rorgamisme.PM!s, t859,2 vot. in-8 avecHg. (~ fr.

J~e~mM <)" pathnte~te expéttatenittle. Pan~, )8'!t, 1 vo). in-S de604p~gos. f f'r.

t<eçom< tut tea anesthésiques et an)r l'atphyxte. Pans, MM,tvoi.in-Sde 529 ptLges.Mecftg. t fr.

JLte~ont tMr la chaleur tmtmatf, sur les eû'ets ds h chataur et surlaS~re.PMh, t816, 1 voi. )n-8de ~t pages awcag. fr.

t~e~omt sur te <tt~hAte et ttt ~t:r<:<tfréttè«e MtmmtePem, !g?7,!YO). in-8 <ic&7Cp&ges. fr.

COURSDE PHYSIOLOGIEGÉNÉRALEDU MUSÉUM

LEÇONS SUR LES PHÉNOMÈNES DE LÀ VÏE

COMMUNSAUXASiMAUXET AUXTÉe&TAUX

Paris, )8~-t8~9, 9 yo). in-8, avecÛg.cH pt. )&rr.~pai'~tMt.'Tomc]), i8~9, 1 \o).i)t-8,do5a0p.,&ec3p).<!tf<g. 8 fr.

LA SCIENCE EXPËMMENTALE

fMMtsDESSetEKCMmïMOLOOtOUM.PMBt~MSSB):tt PBYSfet.06f<!<K~R<<.tt.MYtt. m TMtoBtseAKCtMKM~TH SCJMCKMODEBM):.

t.*CH~MURA'!)M~t.E. H SËSStftUTt. M CBRtM.–n C<BUR.I.)! CMVJStCBtSenU~"StitCHPTMXAt.'ÂCtO~M)t~m!<jHSt.

OtSeo<JMB'OCV]!«TUMmnse*!<CftPCBt.[QCfi*KKU«.H!DMC;K!)~C*C~MtM.Oetfjtcme <)<'OH,~8~8,1 YOt.in-tSjësus de 449pages, avecMHg. 4 fr.

tntrodwettoM & It im6deet«e expértNtemtttle. PMis, tM5/t yoLin-8 da~OOpages. l fr.

Précitteono<Trap''t<tMe de médeetne opératoire et ~'am~tomtecMm)r~ic~e. No)«)Mit<tt'aye. ) vot. in-t8 jesus, 495 pages, Mcctt3pianches,Sguresno!ros.Cartonne. 25 fr.La même,figurescotorioes.Cartonne. 48 fr.

Mi9(!CoMi«t,.t;'p.<-t!it<'r.CMTti.

Page 9: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)
Page 10: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

CLAUDE BERNARD

')"'rJ.nnAa[.tKm':AF<M,t.t.

Page 11: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

I. (JE U V R E

D

CLAUDE BERNARD

INTRODUCTION

FarMATtHASRUVAL

NOTICES

Pxr F. RKtAK, PAUL BE!tT et ARMAND MOUKAt

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

des ŒaTrMMBptetestfeOaude Bernard

Par )<!))'' !)OC,EHn)':H COUDUAtK

Anc"'n'nt';rn~ttMh&p't!mx.

BIBLIOGRAPHIE DES TRAVAUX SCIENTIFIQUES

McmMrts, Lectures et CommuniMtiaM au!: Académies et Sociétés sat;)))))'s

ParG.MAH.OtXB).

son~-DihliUthéeaire ,lit \lueénm d'tlisfoire nat.nrrlla.

PAIUS

UBRAHUE .B. BAtLUÈRE ~r FtLS

~9.HnfHfmt<'rcumf,pr('Sfhtbou)e'm'iS!'i))t-G'et'n'a"t

~8~ i

T~itsfh'ui~~sprve't.

Avec un portrait de Claude Bernard

Page 12: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

Y) INTRODUCTION.

Le caractère essentiel de toutes )es publications de

Claude Bernard est celui d'un rccucii de faits la théo-

rie n'y est qu'accessoire et provisoire il en résulte que

par exempte les expériences publiées dans la tondue

série des volumes du C'o~s de ~ec!?;e <ù< Collège de

France forment une mine inepuisabte ou chacun aujour-

d'hui et pendant longtemps pourra venir chercher les

faits nécessaires pour tel ou tel ordre de recherches.

Mais comment arriver aces faits, sans nn guide alpha-

bétique, sans une table qui permette de retrouver telle

expérience dont t'expose est venu, ainsi qu'it arrivait si

souvent t CI. Bernard, s'intercaler d'une manière inci-

dente dans l'étude d'une question appartenant en appa-

rence à un tout autre sujet ?̀?

D'autre part les opinions théoriques de C!. Bernard

ont pu paraitre parfois contradictoires; par exemple sa

manière de voir au sujet des vaso-moteurs constricteurs

et dilatateurs a été diversement comprise, et pour ies

opinions en apparence ou réellement contradictoires

qu'on lui a prêtées, on a pu trouver dans ses leçons des

passades propres a appuyer ces interprétations. C'est, il

faut le répéter, que Ct. Bernard ne faisait de théorie

que comme échafaudage provisoire pour élever rédiuce

des faits, et que ces idées théoriques, ces échafaudages,

il les considérait comme destinés à disparaître, et les

abandonnait ini-meme des qu'ils devenaient i'nutitcs ou

dangereux. C'estia toute une série d'évolutions scienti-

fiques qu'il est curieux de suivre, et dont la plupart

marquent des dates mémorables soit pour l'étude du

diabète, soit pour celle de la chaleur animale, ou de

l'asphyxie, etc., evotntions dont on se formerait une

idée fausse et incomplète en s'en tenant a quelques

passades pris au hasard sur chacune de ces questions.

Une table indicatrice rigoureusement renseignée per-

mettra a chacun de reconstituer ces sortes d'historiques

Page 13: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

)XTRO[)UC'r)0!S. vu

de ta pensée du maitre, et ce ne serapas i'un des moin-

dres services que rendra le présent votunie :)u point <ie

vue de la critique expérimentale et de la philosophie de

ta science.

Claude Bernard avait senti pour lui-même ta uéces-

sité d'un pareil guide aiphabctique qui lui permit de

retrouver rapidement dans ses volumes de leçons, véri-

tal'tes cahiers d'expériences, les faits et tes idées théori-

ques qui devaient servir de point dedépart a des expé-

rienccs plus récemment entreprises. La Ta~ qui est

aujourd'hui puMiée, il ravait commencée lui-même

et poussée déjà assex loin. Ces premières notes du mai-

treont été religieusement conservées et fondues avec les

indications plus comptétes qui portent sur toute ta série

de ses travaux.

On trouvera dans cette 7aMc, non seulement i'indica-

tion de tous les faits nouveaux que contiennent les vo-

tûmes ou il rassemblait le résultat de ses recherches et le

résumé de ses expériences, mais encore « ces formules

élégantes et simples, selon t'expressiou de M. J.-H. Du-

mas()), ou l'imagination du

poète se mete a [a rigueur

dugéomètre.

Les éditeurs ont eu t'heurcuse pensée de faire précé-der cette 7'a/<' de t'étoge de Claude Bernard, prononcé

par M. E. Henan, torsqu'it est venu prendre séance a

l'Académie française: de ta conférence de M. Faut Bert

surses travaux, conterence qui est un exposé métho-

dique de ces grandes découvertes; ennn desparote.s

émues prononcées par M. Arm.oreau sur sa tombe.

Après la ?a/c, a pris ptace unebit)tiograp)tic très

comptètc. rédigée par ~t.Godefroy Mattoixet, sous-

bibliothécaireau Muséum d'Histoire naturette, qui

.J) Oumas, Ri.!CûM;< ~D'on~iff aM;)- /'Ht:f<ru!7/M de C/. Jïcryxt)'~ Ctamt~Bernard,<sc;M!c<'f'.rpf)'<Mit':iff;/f'.j):)~:R tu.

Page 14: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

~'TMOt)UC'fJO.

Février )881.

comprendà ~fois~iiste

chronologique des travaux de<:taude Bernard, avec une

anatyse detaiHee de ses

pf-ittcipaux mémoires, et l'indication des diverses noticesconsacrées à honorer ta monoit't-du maitrc mnstn;et cher.

Appcte a revoir cette iongut'notneociahtn'. cctin-

vcntinrc d'une de nos plus gt-andcsrictu'ssesscicntiti-

<[)tcs, not)~ pcnscf; sereportait sans cesse au temps où,

dans une collaboration plus directe, nous écrivions soussa dictée la pensée (!u niaitre; c'est

pourquoi, dans cettesorte de

compienientactuet de coHahoration. c'est avec

ie scntitncnt de prendre part à une œuvre modeste,mais absolument utite, que nous avons

accepte de pré-senter au

publie 7'~A'~e~e c~

«'M/M~!<e

~M~'CA'COMï/J~/p.S </e C/<(? F~-MN~

.MATmAs DUYAL.

Page 15: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

L'OEUVRE

))E

CLAUDE BERNARD

PAhil

Ernest RENAN, Paul BERT

et Armand MOREAU

Page 16: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)
Page 17: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

1

CLAUDE BERNARD

Par E. RENAN

Membre Jet'AcadetuiefrM~.u'ie

ctdei'A.c<).(i<mn'd«tc.cri;)HHnset];e)tM-Let)ri's(ti

MESSIEURS,

Ce grand cardinal de Richelieu, comme tous les

hommes qui ont laissé dans l'histoire la marque de

leur passage, se trouve avoir fondé bien des choses

auxquelles il ne pensait guère, certaines même qu'ilne voulait qu'à demi. Je ne sais, par exemple, s'il

se souciaitbeaucoup de ce que nous appelons au-

jourd'hui tolérance réciproque et liberté de penser.La déférence pour les idées contraires aux siennes

n'était pas sa vertu dominante, et, quant à la liberté,ou ne voit pas qu'elle eût sa place indiquée dans le

(i) Discours de M. E. Renan, prononcé le jour de sa réceptionà l'Académie française, le 3 avril t879. ~ous devons à l'obligeancede M. Ernest Renan et de M. Calmann Lévy de pouvoir reproduirece discours, dont il existe une édition séparée, dans le format in-octavo librairie Calmann Lévy. Prix: t !r.

Page 18: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

4 CLAUDE BERNARD

plande l'édifice qu'il bâtissait. Et pourtant, voici qu'à

deux ceut cinquante ans de distance, l'Apre fonda-

teur de l'unité française se trouve, dans un sens très

réel, avoir été le fauteur de principes qu'il eut peut-

être vivement combattus, s'il les eût vus éclore de

son vivant. Cette compagnie, qui est après tout la

plus durable de ses créations (depuis deux siècles et

demi, elle vit sans avoir modifié nn seul article de son

règlement!), qu'est-elle, Messieurs, si ce n'est une

grande leçon de liberté, puisque ici toutes les opi-

nions politiques, philosophiques, religieuses, litté-

raires, toutes les façons de comprendre la vie, tous les

genres de talent, tous les mérites, s'assoient côte à

côte avec nn droit égal. La règle de la maison de

Mécène, vous l'observez

A</ ~M 0/ M/C~

D/~oi'' hic a<~ est yt~a ~oc~o/ est locus uni-

CM~Më A«t<

Réunir les hommes, c'est être bien près de les récon-

cilier, c'est au moins rendre à l'esprit humain le plus

signalédes services, puisque l'œuvre pacinque de la

civilisation résulte d'éléments contradictoires; main-

tenus face à face, obligés de se tolérer, amenés à se

comprendre et presque à s'aimer.

Que vit, en effet, Messieurs, avec une admirable

sagacité, votre grandfondateur? Une chose qu'on a

exprimée depuis avec beaucoup de prétention, mais

qu'il fit mieux que de proclamer en paroles, qu'il

appliqua; je veux dire ce principe qu'a un certain

degré d'élévation, toutes les grandes fonctions de la

vie raisonnable sont sœurs que, dans une société bien

Page 19: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR E. RENA~.

organisée, tous ceux qui se consacrent aux belles et

bonnes choses sont collaborateurs; que tout devient

littérature quand on le fait avec talent; en d'autres

termes, que les lettres sont en quelque sorte l'Olympe

où s'éteignent toutes les luttes, toutes les inégalités,

où s'opèrent toutes les réconciliations. Séparées en

leurs applications spéciales, souvent opposées, enne-

mies même, les maîtrises diverses du monde des es-

prits se rencontrent sur les sommets où elles aspirent.

La paix n'habite que les hauteurs. C'est en montant,

montant toujours, que la lutte devient harmonie, et

que l'apparente Incohérence des efforts de l'homme

aboutit à cette grande lumière, la gloire, qui est en-

core, quoi que l'on dise, ce qui a le plus de chance de

n'être pas tout à fait une vanité.

C'est là l'idée mère de votre Compagnie, Messieurs.

Elle repose avant tout sur ce que je serais tenté d'ap-

peler le grand dogme français, l'unité de la gloire, la

communauté de l'esprit humain, l'assimilation detous les ordres de services sociaux en une légion uni-

que, créée, maintenue, sanctionnée par la patrie. Le

génie de la France avait déjà donné la mesure de sa

largeur en créant Paris, ce centre incomparable, où

se rencontrent et se croisent toutes les excitations,

tous les éveils, le monde, la science~ l'art, la littéra-

ture, la politique, les hautes pensées et les instincts

populaires, l'héroïsme du bien, par moments la fièvre

du mal. Le cardinal de Richelieu, en fondant votre

Compagnie (! sur des fondements assez forts (ce sont

ses propres paroles} pour durer autant que la monar-

chie» laConventionnationale, en décrétantl'Institut,

le premier Consul, en établissant la Légion d'hon-

Page 20: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

6 CLAUDE BERNARD

neur, furent conduits par la même pensée c'est que

l'Etat, fondé sur la raison, croit au bien et au vrai et

en voit la suprême unité. Toutes les noblesses leur

apparurent comme égales. La gloire est quelque chose

d'homogène et d'identique. Tout ce qui vibre la pro-

duit. Il n'y a pas plusieurs espèces de gloire, pas plus

qu'il n'y a plusieurs espèces de lumière. A un degré

inférieur, il y a les mérites divers; mais la gloire de

Descartes, celle de Pascal, celle de Molière, sont

composées des mêmes rayons.

La plupart des pays civilisés, depuis le xvt" siècle,

ont eu des académies, et la science a tiré le plus grand

profit de ces associations, où, de la discussion et de

la confrontation des idées, nait parfois la vérité. Votre

principe va plus loin et plonge plus profondément

dans l'intime de l'esprit humain. Vous trouvez que le

poète, l'orateur, le philosophe, le savant, le politique,

l'homme qui représente éminemment la civilité d'une

nation, celui qui porte dignement un de ces noms qui

qui sont synonymes d'honneur et de patrie, que tous

ces hommes-là, dis-je, sont confrères, qu'ils travail-

lent à une oeuvre commune, à constituer une société

graude et libérale. Rien ne vous est indifférent le

charme mondain, le goût, le tact, sont pour vous de

la bonne littérature. Ceux qui parlent bien, ceux qui

sentent bien, le savant qui a fait de profondes décou-

vertes, l'homme éloquent qui a dirigé sa patrie dans

la glorieuse voie du gouvernement libre, le méditatif

solitaire qui a consacré sa vie à la vérité, tout ce qui a

de l'éclat, tout ce qui produit de la lumière et de la

chaleur, tout ce dont l'opinion éclairée s'occupe et

s'entretient, tout cela vous appartient; car vou&

Page 21: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR E. RENAN. 7

repoussez également et l'étroite conception de la vie

qui renferme chaque homme dans sa spécialité comme

dans une espèce de besogne obscure dout il ne doit

pas sortir, et la fade rhétorique où l'art de bien dire

est confiné dans les écoles, séparé du monde et de

la vie.Cet esprit de votre fondation, vous le conservez

admirablement, Messieurs et m'en faut-il d'autre

preuve que ce que je vois en venant occuper aujour-

d'hui le siège où votre indulgence a bien voulu m'ap-

peler ? Pour ne rien dire de pertes récentes et si

cruelles que seule votre Compagnie pouvait les en-

durer sans être amoindrie, quelle variété je trouve

en cette enceinte, quels hommes, quels caractères,

quels cœurs! Vous, cher et illustre maître, dont le

génie, comme le timbre des cymbales de Bivar, a

sonné chaque heure de notre siècle, donné un corps

à chacun de nos rêves, des ailes à chacune de nos

pensées. Vous, bien-aimé confrère, qui trouvez dans

une noble philosophie la conciliation du devoir et de

la liberté. Ici je vois la poésie souveraine qui nous

impose le monde qu'elle crée, nous entraîne, nous

dompte, sous le coup impérieux de son archet ma-

gique; là (ces contrastes sont votre gloire), le sens

droit et ferme de la vie, l'art charmant du roman-

cier, l'esprit du moraliste, et, ce que notre pays seul

connaît encore, le rire aimable, l'ironie légère, Ici la

foi sincère, l'art excellent de tirer d'un culte bien

entendu pour le passé la dignité de toute une vie, le

repos dans des doctrines qu'il n'est pas permis de

qualifier d'étroites, puisque de grands génies s'y sont

trouvés à l'aise; là une négation réfléchie, calme,

Page 22: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

8 CLAUDEBERNARD

sûre d'elle-même, et donnant à l'âme forte qui s'y

complait le même repos, au caractère d'acier qui s'y

plie la même grandeur que la foi. Ici la politique sin-

cère, qui, dans nos jours troublés, a cru, pour sauver

le pays, devoir retenir aux maximes qui l'ont fondé;

là une politique non moins sincère, qui s'est tournée

résolument vers l'avenir et a conçu la possibilité

d'une société vivante et forte sans les conditions qui

autrefois paraissaient pour cela de nécessité absolue.

Et dans l'appréciation du plus grand événement de

l'histoire moderne, de cette Révolution qui est de-

venue comme la croix de chemin où l'on se divise, le

symbole sur lequel on se compte, que de pacinques

dissentiments! Ici la foi dans le signe qui une fois a

vaincu, l'enthousiasme des jours sublimes où un

souffle étrange courut dans cette foule et la fit penser

et parler pour l'humanité, la hardie assurance de

cœurs virils, disant à leurs aînés, comme les jeunes

gens de Sparte « Nous serons ce que vous fûtes

là un loyal effort pour peindre dans toute leur vérité

des scènes funestes et dont on voudrait dire, comme

L'Hôpital de la Saint-Barthélémy

A~c~ ~?' M<M/a? jt~a~Mr cn/~a gentis.

Où est donc votre unité, Messieurs? Elle est dans

l'amour de la vérité, dans le génie qui la trouve, dans

l'art savant qui la fait valoir. Vous ne couronnez pas

telle ou telle opinion vous couronnez la sincérité

et le talent. Vous admettez pleinement que, dans

toutes les écoles, dans tous les systèmes, dans tous

les partis, il y a place pour l'éloquence et la droiture

du cœur. Tout ce qui peut s'exprimer en bon fran-

Page 23: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

r'ARE.REKAN. 9

cais, tout ce qui fait le grand homme ou l'homme ai-

mable, a chez vous ses entrées. Il y a une source

commune d'ail dérivent le bon style et la bonne vie,

le bien-dire et le noble caractère. Vous enseignez la

chose dont l'humanité a le plus besoin, la concorde,

l'union des contrastes. Ah si le monde pouvait vous

imiter L'homme vit quatre jours ici-bas quoi de

plus fou que de les passer à haïr, quand il est clair

que l'avenir nous jugera comme nous jugeons le

passé et que, dans cinquante ans, on traitera d'en-

fantillage les batailles où nous sacrifions le meilleur

de notre vie

Voilà le secret de votre éternelle jeunessevoilà

pourquoi votre institution verdoie, quand le monde

vieillit. Tout s'embrasse dans votre sein. Ailleurs la

littérature et la société sont choses distinctes, pro-

fondément divisées. Dans notre pays, grâce à vous,

elles se pénètrent. Vous vous inquiétez peu d'en-

tendre annoncer pompeusement l'avènement de ce

qu'on appelle une autre CM//M?'<?,qui saura se passer

du talent. Vous vous défiez d'une c?<<r<? qui ne rend

l'homme ni plus aimable ni meilleur. Je crains fort

que des races, bien sérieuses sans doute, puisqu'elles

nous reprochent, notre légèreté, n'éprouvent quelque

mécompte dans l'espérance qu'elles ont de gagner

la faveur du monde par de tout autres procédés que

ceux qui ont réussijusqu'ici.

Une science pédantes-

que en sa solitude, une littérature sans gaieté, nne

politique maussade, une haute société sans éclat, une

noblesse sans esprit, des gentilshommes sans poli-

tesse, de grands capitaines sans mots sonores, ne

détrôneront pas, je crois, de sitôt, le souvenir de

Page 24: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

10 CLAUDEBERNARD

cette vieille société française si brillante, si polie, si

jalouse de plaire. Quand une nation, par ce qu'elle

appelle son sérieux et son application, aura produit

ce que nous avons fait avec notre frivolité, des écri-

vains supérieurs à Pascal et à Voltaire, de meilleures

têtes scientifiques que d'Alembert et Lavoisier, une

noblesse mieux élevée que la nôtre au xvo" et au

xvm" siècle, des femmes plus charmantes que celles

qui ont souri à notre philosophie, un élan plus extra-

ordinaire que celui de notre Révolution, plus de fa-

cilité à embrasser les nobles chimères, plus de cou-

rage, plus de savoir-vivre, plus de bonne humeur

pour affronter la mort, une société, en un mot, plus

sympathique et plus spirituelle que celle de nos

pères, alors nous serons vaincus. Nous ne le sommes

pas encore. Nous n'avons pas perdu l'audience du

monde. Créer un grand homme, frapper des médail-

lons pour la postérité, n'est pas donné à tous. JI y

faut votre collaboration. Ce qui se fait sans les Athé-

niens est perdu pour la gloire longtemps encore

vous saurez seuls décerner une louange qui fasse

vivre éternellement.

Ainsi, en conservant votre vieil esprit, vous con-

servez la meilleure des choses. Vous admettez tous

les changements, tous les progrès dans les idées les

cadres, vous les maintenez, et, de tous les cadres, le

plus essentiel, c'est la langue. Une langue bien faite

n'a plus besoin de changer. Le français, telque

l'a

créé le xvn" siècle, peut servir à l'expression d'idées

que n'avait pas le xvn° siècle. Assurément, quelques

modifications de nuances sont nécessaires. Même le

cardinal de Betz aurait besoin d'un moment de ré-

Page 25: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR E. RENAN. [)

flexion pour comprendre certaines phrases de Tur-

got et de Condorcet. Turgot et Condorcet remar-

queraient, s'ils pouvaient nous lire, que, chez les

meilleurs Écrivains de notre temps, le sens de quel-

ques mots, tels que ~M/«/Mn, ~a/M?:, f~'<?~)<?-

Mpy~, ~MMMM<?H/, ~/M?'z/o~, a pris une extension

répondant à certaines idées philosophiques. Mais la

langue est bien la même on ne la trouve pauvre,

cette vieille et admirable langue, que quand on ne la

sait pas on ne prétend l'enrichir que quand on ne

veut pas se donner la peine de connaître sa richesse.

Toutes les hardiesses sont permises, excepté les har-

diesses contre vous, Messieurs. On ne vous brave ja-mais impunément. J'ai remarqué que cela portaitmalheur. Dans mes plus grandes libertés, la crainte

de l'Académie a toujours été au fond de mon cœur,

et je m'en suis bien trouvé.

Merci donc, Messieurs, de m'avoir associé à votre

Compagnie et à votre œuvre. Comptez sur moi pourvous aider à étonner les personnes qui n'ont pas le

secret de vos choix et n'en comprennent pas toute

la philosophie. Vous n'êtes pas une distribution de

prix. L'hérésie la plus dangereuse en ce monde est

de réclamer en tout une justice rigoureuse, que la

nature n'a pas voulue. Justes, vous l'êtes jusque dans

vos délais. On arrive a votre cénacle à l'âge de l'Ec-

clésiaste, âge charmant, le plus propre a la sereine

gaieté, où l'on commence à voir, après une jeunesselaborieuse, que tout est vanité, mais aussi qu'unefoule de choses vaines sont dignes d'être longue-ment savourées. Mes confrères de l'Académie des

Inscriptions et Belles-Lettres, qui me connaissent

Page 26: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

12 CLAUDEBERNARD

depuis vingt-deux ans, vous rendront ce témoignage

que je suis bon académicien, bien exact dans l'ac-

complissement de mes devoirs. Comptez sur mon as-

siduité et mon application moi, je compte sur de

charmantes heures àpasser parmi vous.

Ces maximes fondamentales que j'essayais d'es-

quisser tout à l'heure, vous les avez admirablement

appliquées, Messieurs, le jour où vous choisissiez

pour confrère l'homme illustre auquel vous m'avez

appelé à succéder parmi vous. Claude Bernard fut

le plus grand physiologiste de notre siècle. L'Aca-

démie des Sciences fera son éloge elle exposera ces

découvertessurprenantes qui ont porté la lumière sur

les opérations les plus intimes des êtres organisés.Ce n'est pas le physiologiste que vous avez nommé,

Messieurs dans les élections de savants illustres,

c'est l'homme même, ou, en d'autres termes, l'écri-

vain que vous prenez. L'intelligence humaine est un

ensemble si bien lié dans toutes ses parties, qu'un

grand esprit est toujours un bon écrivain. La vraie

méthode d'investigation, supposant un jugementferme et sain, entraîne les solides qualités du style.Tel mémoire de Letronne et d'Eugène Burnouf, en

apparence étranger à tout souci de la forme, est un

chef-d'œuvre à sa manière. La règle du bon style

scientifique, c'est la clarté, la parfaite adaptation au

sujet, le complet oubli de soi-même, l'abnégation

absolue. Mais c'est là aussi la règle pour bien écrire

en quelque matière que ce soit. Le meilleur écrivain

est celui qui traite un grand sujet, et s'oublie lui-

même, pour laisser parler son sujet.« II se sert de

Page 27: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR E. REN.\i\3

laparole,

écrivait. M. de Cambra: à ~otre secrétaire

perpétuel, comme un homme modeste de son habit

pour se couvrir. )1 pense, il sent, la parole suit. ))

Principe admirablement vrai Le beau est hors de

nous, notre tâche est de nous mettre à son service

et d'en être les dignes interprètes. Avoir quelquechose a~ dire, ne pas gâter la beauté naturelle d'un

sujet noble, d'une pensée vraie, par le désordre,

l'obscurité, l'incorrection, le faux goût, telle est la

condition, essentielle de cet art du bon langage, quecertaines personnes, bien à tort, se figurent distinct

de l'art même de penser et de trouver le vrai.

C'est en vous souvenant de ces principes que votre

attention se porta sur un homme voué aux travaux

en apparence les plus éloignés de ce qu'on peut ap-

peler la littérature. M passait sa vie dans un labora-

toire obscur au Collège de France et là, au milieu

des spectacles les plus repoussants, respirant l'at-

mosphère de la mort, la main dans le sang, il trou-

vait les plus intimes secrets de la vie, et les vérités

qui sortaient de ce triste réduit éblouissaient tous

ceux qui savaient les voir. Écrivain, certes il l'était,et écrivain excellent; car il ne pensa jamais à l'être.

Il eut la qualité première de l'écrivain, qui est de ne

pas songer à écrire. Son style, c'est sa pensée elle-

même et, comme cette pensée est toujours grandeet forte, son style aussi est toujours grand, solide et

fort. Rhétorique excellente que celle du savant! Car

elle repose sur la justesse d'un style vrai, sobre, pro-

portionné à ce qu'il s'agit d'exprimer, ou plutôt sur la

logique, base unique, base éternelle du bon style.

Rhétorique au fond identique à celle de l'orateur,

Page 28: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

i4 CLAUDEBERNARD

f<qui ne se sert de la parole que pour la pensée et de

la pensée que pour la vérité Rhétorique au fond

identique à celle du grand poète Car il y a une lo-

gique dans une tragédie en cinq actes comme dans

un mémoire de physiologie, et la règle des ouvrages

de l'esprit est toujours la même être égal à la mé-

rité, ne pas l'affaiblir en s'y mêlant, se mettre tout

entier à son service, s'immoler à elle pour la mon-

trer seule, dans sa haute et sereine beauté.

Telle est la raison qui fait que, depuis votre fonda-

tion, vous avez eu pour confrères Mairan, Buffon,

d'AIcmbert, Vicq d'Azyr, Cuvier, Claude Bernard et

le chimiste illustre qui continue à l'heure qu'il est

dans \otre sein cette glorieuse tradition. Vous repré-

sentez l'esprit humain. Comment le plus beau fleuron

de l'esprit humain, la science vous serait-elle étran-

gère? Vous ne voyez, il est vrai, que le résultat;

l'œuvre pénible du laboratoire n'est pas votre do-

maine. De même que, le soir, en admirant l'éclairage

de nos grandes cités, nous jouissons de l'éblouis-

sante lumière sans songerau

récipientobscur où elle

se prépare, de même vous assistez à ces éclosions

merveilleuses sans vous préoccuper du travail maté-

riel qui les amfne. Vous acceptez les conquêtes défi-

nitives vous constatez les transformations que ces

merveilleuses découvertes introduisent dans toute la

discipline de l'esprit. Qui ne voit que Galilée, Des-

cartes, Newton, Lavoisier, Laplace, ont changé la

base de la pensée humaine, en modinant totalement

l'idée de l'univers et de ses lois, en substituant aux

enfantines imaginations des âges non scientifiques la

notion d'un ordre éternel, où le caprice, la volonté

Page 29: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PARE~EKÂM. 15

particulière, n'ont plus de part. Ont-iis diminué l'uni-

vers, comme le pensent quelques personnes ? Pour

moi, j'estime tout le contraire. Le ciel, tel qu'on le

voit, avec les données de l'astronomie moderne, est

bien supérieur à cette voûte solide, constellée de

points brillants, portée sur des piliers, à quelques

lieues de distance en l'air, dont les siècles naïfs se

contentèrent. Je ne regrette pas beaucoup les petits

génies qui autrefois dirigeaient les planètes dans leur

orbite la gravitation s'acquitte beaucoup mieux de

cette besogne, et, si par moments j'ai quelques mé-

lancoliques souvenirs pour les neuf chœurs d'anges

qui embrassaient les orbes des sept planètes, et pour

cette mer cristalline qui se déroulait aux pieds de

l'Éternel, je me console en songeant que l'infini où

notre œil plonge est un infini réel, mille fois plus su-

blime aux yeux du vrai contemplateur que tous les

cercles d'azur des paradis d'Angelico de Fiésole.

L'homme d'État illustre dont la mort a produit un

si grand ~ide dans votre Compagnie laissait rarement

passer une belle nuit sans jeter un regard sur cet

océan sans limites. <'C'est là ma messe, u disait-il.

Combien les vues profondes du chimiste et du cris-

tallographc sur l'atome dépassent la vague notion de

la matière dont se viviliait la philosophie scolastique

Et, quant à l'âme qui menait, à un moment donné

avant la naissance, s'adjoindre à une masse qui jus-que-là ne méritait aucun nom, mon Dieu! parfois jela regrette, je l'avoue; car il était facile de démon-

trer qu'une telle âme, créée tout exprès, se détachait

sans peine du corps qu'elle avait cessé d'animer

mais, en y réfléchissaut, je retrouve plus d'âme en-

Page 30: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

CLAUDEHERXAHD

core dans ce mystère sans fond de la vie, où nous

voyons la conscience émerger de l'abîme, comme un

rameau d'or prédestine, et l'œuvre divine se pour-

suivre par un effort sans un, où la personne de cha-

cun de nous laissera une trace éternelle. Le triomphe

de la science est en réalité le triomphe de l'idéalisme.

Heureuse génération que la nôtre Combien de mar-

tyrs de la science ont voulu voir ces merveilles et

n'en ont eu que l'incomplète divination Jouissons de

ces connaissances que tant d'hommes illustres n'ont

fait qu'entrevoir, et, quand l'horizon se charge de

nuages passagers, quand nous serions tentés de mé-

dire de notre siècle, songeons que ces héros du passé,

unJordano Bruno, un Galilée, donneraient dix fois

encore leur vie pour savoir le dixième de ce que nous

savons, et qu'ils estimeraient de telles conquêtes trop

peu achetées de leurs larmes, de leurs angoisses et

de leur sang.

Et, quant à la noblesse des caractères, comment

reprocher i la science d'y porter atteinte, quand on

voit les âmes qu'elle forme, ce désintéressement, ce

dévouement absolu à l'œuvre, cet oubli de soi-même,

qu'elle inspire et entretient? Ici encore, nous n'avons

rien à envier au passé. Au saints, aux héros, aux

grands hommes de tous les âges, nous comparerons

sans crainte ces caractères scientifiques, attachés

uniquement à la recherche de la vérité, indifférents

à la fortune, souvent fiers de leur pauvreté, souriant

des honneurs qu'on leur offre, aussi indifférents à la

louange qu'au dénigrement, sûrs de la valeur de ce

qu'ils font, et heureux, car ils ont la vérité. Grandes

assurément sont les joies que donne une croyance

Page 31: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAHE.HENAN.

CLAUUH BMKKAM. X!X. 2

assurée sur les choses divines; mais le bonheur in-

time du savant les égaie; caril sent qu'il travaille à

une œuvre d'éternité.. et qu'il appartient à la phalangede ceux dont on peut dire 0/ù'<w~M) ~MM~r illos.

Claude Bernard, Messieurs, fut de ceux-là. Sa vie,

toute consacrée au vrai, est le modèle que nous pou-vons opposer à ceux qui prétendent que, de notre

temps, la source des grandes vertus est tarie. H naquitau petit village de Saint-Julien, près de Villefranche,dans une maison dp signerons, qui lui resta toujours

chère, et où il passa, jusqu'aux derniers temps, ses

moments les plus doux. « J'habite, écrivait-il, sur

les coteaux du Beaujolais, qui font face à la Dombe.

J'ai pour horizon les Alpes, dont j'aperçois les cimes

blanches, quand le ciel est clair. En tout temps, jevois se dérouler a deux lieues devant moi les prairiesde la vallée de la Saône. Sur les coteaux où je de-

meure, je suis noyé a la lettre dans des étendues sans

bornes de vignes, qui donneraient au pays un aspect

monotone, s'il n'était coupé par des vallées ~bragéeset par des ruisseaux qui descendent des montagnesvers la Saône. Ma maison, quoique située sur une

hauteur, est comme un nid de verdure, grâce à un

petit bois qui l'ombrage sur la droite et à un verger

qui s'y appuie sur la gauche haute rareté dans un

pays où l'on défriche même les buissons pour planter.de la vigne!

Bernard perdit son père de bonne heure dans ses

premières années, comme au début de la vie de pres-

que tous les grands hommes, se plaça l'amour d'une

mère, qu'il adorait et dont il était adoré. Comme il

apprenait bien & l'école, le curé le choisit pour enfant

Page 32: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

<8 CLAUDEBERNARD

de chœur et lui fit commencer le latin. Il continua

ses études au collège de "Villefranche, tenu par des

ecclésiastiques; et, la situation de sa famille ne lui

permettant pas les années de loisirs, il vint le plus

tôt qu'il put à Lyon, où il trouva, chez un pharmacien

du faubourg de Vaise, un emploi qui lui donnait la

nourriture et le logement. Cette pharmacie desservait

l'École vétérinaire située près de là, et c'était Bernard

qui portait les médicaments aux bêtes malades. Déjà

il jetait plus d'un regard curieux sur ce qu'il voyait,

et il y avait dans « Monsieur Claude» comme l'appe-

lait son patron, bien des choses qui étonnaient ce

dernier. C'était surtout à propos de la thériaque qu'ils

ne se comprenaient pas. Toutes les fois que Bernard

apportait à l'apothicaire des produits gâtés « Gardez

cela pour la thériaque, lui répondait ce digne homme;

ce sera bon pour faire de la thériaque. w Telle fut

l'origine première des doutes de notre confrère sur

l'efficacité de l'art de guérir. Cette drogue infecte,

fabriquée avec toutes les substances avariées de l'offi-

cine, quelle que fût leur nature, et qui guérissait tout

de même, lui causait de profonds étonnements.

Il était jeune, et sa voie était encore obscure devant

lui. 11 essayait toute chose il eut un petit succès sur

un théâtre de Lyon avec un vaudeville, dont il ne vou-

lait jamais dire le titre, puis vint à Paris, ayant dans

sa valise une tragédie en cinq actes et une lettre. Il

tenait naturellement plus à la tragédie qu'à la lettre;

mais le fait est que la lettre valut pour lui mille fois plus

que la tragédie. Elle était adressée à notre judicieux

et regretté confrère M. Saint-Marc Girardin. L'hon-

nête homme que nous avons connu se montra bien

Page 33: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAUE.RENAK. t99

dans cette circonstance. Il lut la tragédie, fut très net

et conseilla au jeune homme d'apprendre un métier

pour vivre, quitte à faire ensuite de la poésie à ses

heures. Claude Bernard suivit cette précieuse indica-

tion, et combien cela fut heureux, Messieurs Auteur

dramatique, il eût ajouté quelques tragédies de plus

au tas énorme de celles qui attendent à l'Odéon les

réparations de la postérité; il est douteux qu'il fût

devenu votre confrère. Ainsi, en tournant le dos à la

littérature, il prit le droit chemin qui devait le mener

parmi vous. En réalité, sa vocation était scientifique.

La médecine, qui est à la fois le plus honorable des

états et la plus passionnante des sciences, fut l'occu-

pation de son choix.

Les facilités qu'on a créées depuis aux abords des

carrières scientifiques n'existaient point alors. La

société humaine a été jusqu'ici ainsi faite que la

recherche pure de la vérité ne rapporte rien à celui

qui s'y livre. Le nombre de ceux qui s'intéressent à

la vérité étant imperceptible, le savant vit, non de la

science, mais des applications de la science; or, de

toutes les applications de la science, la plus indispen-

sable a toujours été la médecine. Aux siècles barbares,

la science n'en connut guère d'autre; presque tous

les savants du moyen âge. musulmans ou chrétiens,

ont trouvé l'appui nécessaire à la vie en se disant

médecins car l'homme le plus brutal et le plus fana-

tique, quand il est malade, veut être guéri. On peut

dire que, si l'humanité s'était toujours bien portée, la

science et la philosophie seraient vingt fois mortes de

faim. Claude Bernard, déjà invinciblement attiré par

les problèmes de la nature vivante, embrassa la pro-

Page 34: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

20 CLAUDE MH~iAM

fessiou qui se trouvait, eu quelque sorte a sa portée;

mais des deux grandes parties de la médecine, l'art

de guérir et la connaissance du sujet à guérir, la

seconde eut toutes ses préférences. Disons-le, Ber-

nard était aussi peu médecin que possible. 11 était

sceptique a l'égard de l'autel qu'il desservait. Le mé-

decin, comme le magistrat, applique des règles qu'il

sait n'Être pas parfaites, et, de même que le meilleur

magistrat fait souvent faire peu de progrès a la légis-

lation, de même le meilleur praticien n'est pas tou-

jours un savant. Sa tâche est presque aussi difficile

que celle de l'horloger à qui on demanderait de cor-

rige:' les irrégularités d'une montre qu'il lui serait

défendu d'ouvrir. Or, ce que cherchait Bernard,

c'était le secret même des rouages intérieurs; cette

montre, il la brisait, l'ouvrait violemment, plutôt que

d'admettre qu'il fût permis de la manier à l'aveugle et

sans savoir clairement ce que l'on fait.

Ilexpia

comme il convient sa supériorité et ses

dons exceptionnels. La physiologie, quand il débuta,

n'avait guère de place dans l'enseignement. Lors de

la division des sections dans le sein de l'Académie des

Sciences, eu 1795, division qui, par un privilège sin-

gulier, est venue jusqu'à nos jours presque sans

modifications, ou ne conçut la science de la vie que

sous le nom de M~fA'c/w. Claude Bernard paya cher

la gloire d'être créateur, Il n'y avait pas de cadre pour

lui. Le temps était plus favorable à une littérature

souvent de médiocre aloi qu'a des recherches qui ne

prêtaient pas à de jolies phrases. De son entresol de

la cour du Commerce, Bernard lutta seul. 11 y avait

dans la vie pauvre, ardente, du quartier Latin d'alors,

Page 35: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR E. RENAN. 2t

tant de !0t, d espérance, de loyale et généreuse fra-

ternité, que nulle épreuve ne l'arrêta. Avec son ami, te

docteur Lasëgue, il essaya, vers 1845, d'établir nu

laboratoire de physiologie. Cela se passait rue Saint-

Jacques, près du Panthéon, avant que des trouées,

désolantes pour ceux dont elles dérangent les souve-

nirs, eussent fait pénétrer l'air et le jour dans ces

sombres ruelles qui n'avaient point changé depuis le

xive siècle. Le laboratoire n'eut pas plus de cinq ou

six élèves, et l'établissement ne fit jamais les frais du

hangar qui l'abritait ni des lapins qu'on y sacrifiait.

Mais Claude Bernard y conçut l'idée de ses expé-

riences sur la corde du tympan, sur le suc gastrique.

Il essaya les concours, et y échoua complètement; il

n'avait pas les qualités superficielles qui font réussir

en des épreuves où c'est un défaut d'avoir des idées,

et où l'on est perdu si un moment on se laisse aller à

suivre sa propre pensée. Son air était gauche et em-

barrassé, et les brillants sujets qui croyaient se par-

tager l'avenir ne lui prédisaient qu'une carrière médi-

cale des plus modestes.

Quelqu'un qui ne s'y laissa point tromper, ce fut

M. Magendie. Le sort, on serait tenté de dire une

harmonie préétablie, avait attaché Claude Bernard au

service de cet homme éminent, à l'Hôtel-Dieu. Ja-

mais le hasard n'opéra un rapprochement plus judi-cieux. Bernard et Magendie étaient en quelque sorte

créés pour se joindre, se compléter et se continuer.

Si Magendie n'eût pas eu Bernard pour élève, sa gloire

ne serait pas le quart de ce qu'elle est. Si Bernard

n'eût pas trouvé la direction de Magendie, il est dou-

teux qu'il eût pu surmonter les énormes difficultés

Page 36: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

22 CLAUDE BERNARD

matérielles que la fortune, par un jeu malin, sem-

blait avoir semées devant lui, comme pour lui rendre

méritoires les brillantes faveurs qu'elle lui réservait.

Chose singulière Le premier abord de l'homme

qui devait être son initiateur à la vie scientifique lui

fut désagréable, presque pénible. Magendie, avec ses

rares qualités, était peu aimable. Son accueil rude

déconcerta le jeune interne, et un moment Bernard

méconnut la rare chance qui lui était échue. Magen-

die, lui, n'hésita pas longtemps. Au bout de quelques

jours, sachant à peine le nom de son jeune élève,

ayant remarqué ses yeux et sa main pendant une

dissection « Dites donc, lui cria-t-il, d'un bout de

la table à l'autre, je vous prends pour mon prépara-

teur au Collège de France. A partir de ce jour, la

carrière de Claude Bernard était tracée. Il avait trouvé

l'établissement qui seul pouvait convenir au dévelop-

pement de son génie.

Grâce, en effet, à la complète liberté dont jouit le

professeur dans cette école unique, Magendie, sui-

vant les traces de Laënnec, faisait sous le titre de

« Médecine un cours de recherches originales sur

les phénomènes physiques de la vie. Magendie n'était

pas l'idéal du médecin il était trop critique envers

lui-même pour pratiquer un art qui consiste aussi

souvent à consoler le malade qu'à le guérir. Mais c'é-

tait l'idéal du professeur au Collège de France, tou-

jours cherchant le nouveau, ne visant en rien au

cours complet, uniquement attentif à éveiller chez

ses auditeurs l'esprit d'investigation. Comme le vrai

professeur au Collège de France, il ne préparait pas

son cours et donnait à ses élèves le spectacle de ses

Page 37: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR E. RENAX. 23

doutes, de ses perplexités. Bien différent de ceux qui

prennent d'avance leurs précautions pour éviter l'em-

barras que leur causerait un entretien trop immédiat

avec une réalité qui leur est peu familière, il interro-

geait directement la nature, souvent sans savoir ce

qu'elle répondrait. Quelquefois, quand il se hasardait

à prédire le résultat, l'expérience disait juste le con-

traire. Magendie alors s'associait à l'hilarité de son

auditoire, il était enchanté car, si son système, au-

quel il ne tenait pas, sortait ébréché de l'expérience,son scepticisme, auquel il tenait, en était confirmé.

Avec ce caractère, il devait laisser à son préparateurune

part considérable dans la direction du cours.

Claude Bernard faisait l'expérience de chaque leçon

avec sa prodigieuse habileté d'opérateur, et, à la troi-

me ou quatrième séance, Magendie sortait de la salle

en disant du ton bourru qui lui était habituel « Eh

bien, tu es plus fort que moi. »

Ce que Magendie, en effet, avait voulu, prêché,désiré durant quarante ans, Claude Bernard le fai-

sait. L'expérience en physiologie n'était assurément

pas une chose absolument neuve. Descartes, dans les

heures fécondes qu'il consacra à la science de la vie,en eut l'idée la plus claire. Harvey avait vérifié la cir-

culation du sang sur les daims des parcs royaux, quelui livrait Charles I". Haller, Réaumur, SpaIIanzani,avaient imaginé les moyens les plus ingénieux pour

prendre la nature sur le fait. De graves objectionss'élevaient pourtant contre l'application de la mé-

thode expérimentale à la vie. Le grand Cuviers'eu fit

l'interprète. La vie est une, disait-on l'attaquer dans

sa simplicité est impossible attaquer chaque partie,

Page 38: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

CLAUDEBERKAM

la séparer de la masse, c'est la reporter dans l'ordredes substances inertes. On opposait trop la. nature

inorganique à la nature organisée. On se figurait quela vie résulte de forces à part, que les faits qui se pas-sent dans l'être vivant sont assujettis à des lois tontes

particulières, qu'un principe secret préside en cha-

que individu à la naissance, à la maladie, à la mort.Lavoisier et Laplace rompirent le charme et créèrentla physique animale en prouvant que la respirationest une combustion, source de la chaleur qui nous

anime. Bichat secoua le joug de l'ancien vitalisme,sans pourtant réussir à s'en dégager complètement.tl restait un principe mystérieux, en vertu duquel les

phénomènes vitaux, contrairement aux lois des corpsbruts, semblaient n'être pas identiques dans des cir-

constances identiques. Voilà ce que Magendie niatout à fait; voilà ce que Claude Bernard réfuta pardes expériences sans nombre. En

s'appliquant à pro-duire les faits mêmes de la vie, en

s'ingéniant à les

gêner, à les contrarier, il réussit à les soumettre à

des lois précises. La physiologie ainsi conçue devint

la sœur de la physique et de la chimie. Dans les corps,vivants, comme dans les corps bruts, les lois sont im-

muables. Le mot d'~c~'M est antiscientifique. Ce

qu'on appelle exception est un phénomène dont une

ou plusieurs conditions sont inconnues.

L'expérimentateur Claude Bernard était admira-

ble, et jamais on ne fit parler la nature avec une si

merveilleuse sagacité. Difficile envers lui-même, il

était pour ses systèmes le pire des adversaires il cri-

tiquait ses propres idées aussi âprementque si elles

eussent été celles d'un rival; il s'acharnait à se démo-

Page 39: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

r,\R E. REN.\K.

lir comme l'eût, fait sou pire ennemi. Aucune preuvene lui paraissait solide que quand une contre-épreuvevenait la confirmer. « Le grand principe expérimen-

tal, disait-il, est le doute, ce doutephilosophique, qui

laisse à l'esprit sa liberté et son initiative. Le raison-

nement expérimental est précisément t'inverse du

raisonnement scolastique. La scolastique veut tou-

jours un point de départ fixe et indubitable, et, ne

pouvant le trouver ni dans les choses extérieures ni

dans la raison, elle l'emprunte à une source irration-

nelle quelconque, telle qu'une révélation, une tradi-

tion, une autorité conventionnelle ou arbitraire. Le

scolastique ou lesystématique, ce qui est la même

chose, ne doute jamais de son point de départ, auquelil veut tout ramener; il a l'esprit orgueilleux et into-

lérant et n'accepte pas la contradiction. Au con-

traire, l'expérimentateur, qui doute toujours et quine croit posséder la certitude absolue sur rien, arrive

à maîtriser les phénomènes qui l'entourent et à éten-

dre sa puissance sur la nature, x

Le courage que Bernard montra dans ces luttes ter-

ribles contre un Protée qui semble vouloir défendre

ses secrets fut quelque chose d'admirable. Ses ressour-ces étaient chétives. Ces merveilleuses expériences,

qui frappaient d'admiration l'Europe savante, se fai-

saient dans une sorte de cave humide, malsaine, où

notre confrère contracta probablement le germe de

la maladie qui l'enleva; d'autres se faisaient à Alfort ou

dans les abattoirs. Ces expériences sur des chevaux

furieux, sur des êtres imprégnés de tous les virus,

étaient quelquefois effroyables. Le docteur Rayer me-

nait de découvrir que la plus terrible maladie du clie-

Page 40: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

2e CLAUDE BERNARD

val se transmet à l'homme qui le soigne. Bernard

voulut étudier la nature de ce mal hideux. Dans une

convulsion suprême, le cheval lui déchire le dessus

de la main, la couvre de sa bave, « Lavez-vous vite,

lui dit Rayer, qui était à côté de lui. Non, ne vous

lavez pas, lui dit Magendie, vous hâteriez l'absorptiondu virus. » Il y eut une seconde d'hésitation. « Je me

lave, dit Bernard, en mettant la main sous la fontaine,

c'est plus propre.»

C'était un spectacle frappant de le voir dans son

laboratoire, pensif, triste, absorbé, ne se permettant

pas une distraction, pas un sourire. Il sentait qu'ilfaisait oeuvre de prêtre, qu'il célébrait une sorte de

sacrifice. Ses longs doigts'plongés dans les plaies sem-

blaient ceux de l'augure antique, poursuivant dans les

entrailles des victimes de mystérieux secrets. Il Le

physiologiste n'est pas un homme du monde, disait-

il c'est un savant, c'est un homme absorbé par une

idée scientifique qu'il poursuit il n'entend plus les

cris des animaux, il ne voit plus le sang qui coule, il

ne voit que son idée et n'aperçoit que des organismes

qui lui cachent des problèmes qu'il veut découvrir.

De même, le chirurgien n'est pas arrêté par les cris et

les sanglots, parce qu'il ne voit que son idée et le but

de son opération. De même encore, l'anatomiste ne

sent pas qu'il est dans un charnier horrible; sous l'in-

fluence d'une idée scientifique, il poursuit avec délices

un filet nerveux dans des chairs puantes et livides, quiseraient pour tout autre homme un objet de dégoûtet d'horreur. »

La fécondité dans l'invention des moyens de recher-

che répondait chez notre confrère a la profondeur des

Page 41: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAU E.RENAN. 27

institutions. Ce fut un vrai coup de génie d'avoir su

faire du poison son grand agent expérimentateur. Le

poison,en e0'et, va où ni la main ni l'œil ne peuvent

aller. M atteint les éléments mêmes de l'organisme,

s'introduit dans la circulation, devient un réactif d'une

délicatesse extrême pour disséquer les éléments vi-

taux, désassocier les nerfs sans les lacérer, pénétrer

les derniers mystères du système nerveux. C'est par

le poison, ainsi qu'on l'a très bien dit, que Bernard

« installa son laboratoire au sein de l'économie ani-

male il eut son réseau de communications instanta-

nées, sa police secrète, si l'on peut s'exprimer ainsi,

qui l'avertissait du trouble le plus furtif. M Miracle 11

rendit la mort locale et passagère, locale par les em-

poisonnements partiels, passagère par les anesthési-

ques et de la sorte, au scalpel qui mutile la vie, au

microscope qui en fausse les proportions, il substi-

tua ce que l'on a très bien appelé l'autopsie u~'a/~e,

sans mutilation ni effusion de sang.

Ainsi se produisirent ces étonnants travaux sur la

formation du sucre chez les animaux, sur le grand

sympathique,sur les mouvements réflexes, sur la

respiration des tissus. L'unité de la vie fut, de la part

de Claude Bernard, l'objet des plus fines observations.

A côté du système central, il trouva en quelque sorte

des autonomies provinciales, des circulations locales.

Le cœur ne fut plus le point unique d'émission de vie.

A côté de cette principale source de mouvement,

Bernard trouva des réseaux de circulation capillaire

ayant leur vie propre, leurs accidents, leurs maladies,

leurs anémies, leurs congestions en dehors du grand

courant de la circulation générale.

Page 42: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

CLAUDEBERNAHO

Comme tous les esprits complets, Claude Bernarda donné le précepte et l'exemple. En dehors de ces

mémoires spéciaux, il a tracé à deux ou trois reprisesson D~co«~ /a M<~o</p, le secret même de sa

pensée philosophique. C'est à Saint-Julien, loin de

son laboratoire, pendant ses mois de repos ou de

maladie, qu'il écrivit ces belles pages, et notamment

cette /o</Mc~'OM /<! M~/ccif/M f~n'M~ qui le

désigna surtout à votre choix. !1 faut remonter à nos

maîtres de Port-HoyaI pour trouver une telle sobriété,une telle absence de tout souci de briller, un tel

dédain des procédés d'une littérature mesquine, cher-

chant il relever par de fades agréments l'austérité des

sujets. Le style scientifique ne doit faire aucun sacri-

nce au désir de plaire. On n'égayé ces graves matières

qu'en les rapetissant. C'est surtout quand il s'agit du

style de la science que le grand principe évangélique« Qui perd son âme la sauve H, est aussi un grand

principe littéraire. C'est en pareil cas qu'il est vrai de

dire «Soyez aussi peu littérateur que possible, si

vous voulez être bon littérateur. »

La parole de Claude Bernard était, comme son

style, pleine de bonne foi, d'honnêteté. «M n'essayait

jamais, dit un de ses meilleurs élèves, de produireun grand effet, et, se figurant les autres à son image,il pensait que la recherche de ce qui est devait snfure

à les passionner, comme elle le passionnait lui-

même. » A l'exemple de son maître Magendie, il

faisait de son cours le spectacle vivant de ses recher-

ches, initiant le public à tous ses secrets. On assistait

au travail de sa pensée. La science ne veut pas être

crue sur parole, et les cours du Collège de France

Page 43: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAU E. REKAN. 29

ontpour objet de montrer aux

yeux de tous ce qui,

d'ordinaire, se cache dans les laboratoires. Bernard

pensait en parlant; il pouvait en résulter par moments

un peu de confusion. L'objection lui venait, le trou-

blait. Les pensées se heurtaient dans sa tête au milieu

d'une exposition; l'idée d'une expérience lui traver-

sait l'esprit, l'arrêtait court, le rendait distrait. Mais

tout à coup la lumière éclatait. Dans sa conversation

avec ses élevés, dans ces causeries ou « il faisait,

selon l'expression de l'un d'eux, l'apprentissage de son

génie » il était admirable. « Il y a dans tout ce que

j'écris, avouait-il, certaines parties qui ne sauraient

être comprises par d'autres que moi. Ce sont des

germes d'idées que je dépose en quelque sorte pourles reprendre plus tard. » Dans la conversation, ces

flots de vérités pressées débordaient en toute liberté.

La plus haute philosophie, en enet., résultait de cet

ensemble de faits constatés avec une inflexible ri-

gueur. Comme loi suprême de l'univers, Bernard re-

connaît ce qu'il appelle le <~<?/M~(?, c'est-à-dire

la liaison inflexible des phénomènes, sans que nul

agent extranaturel intervienne jamais pour en modi-

fier la résultante. Il n'y a pas, comme on l'avait dit

souvent, deux ordres de sciences celle-ci d'une pré-cision absolue, celles-là toujours en crainte d'être

dérangées par des forces mystérieuses. Cette grandeinconnue de la physiologie, que Bichat admettait

encore, cette puissance capricieuse qui, prétendait-

on, résistait aux lois de la matière et faisait de la vie

une sorte de miracle, Bernard l'exclut absolument.

« L'obscure notion de cause, disait-il, doit être

reportée a l'origine des choses elle doit faire place

Page 44: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

30 CLAUDE BERNARD

dans la science à la notion du rapport et des condi-

tions. Le déterminisme fixe les conditions des phé-

nomènes il permet d'en prévoir l'apparition et de la

provoquer. H ne nous rend pas compte de la nature,il nous en rend maîtres. Que si, après cela, nous

laissons notre esprit se bercer au vent de l'inconnu et

dans les sublimites de l'ignorance, nous aurons au

moins fait la part de ce qui est la science et de ce quine l'est pas. '<

Être maître de la nature, tel est, en effet, selon

Claude Bernard, le but de la science de la vie. 11

pensait, après Descartes, que les espérances les plushardies sont dans cet ordre permises, et que la science

des êtres vivants doit apprendre à subjuguer la nature

vivante, comme la physique et la chimie subjuguentla nature morte. « Dans toute manifestation vitale,

écrivait-il, la nature répète une leçon qu'elle a appriseet dont elle se souvient plus ou moins bien. Pourrait-

on apprendre à la nature une nouvelle leçon, et sa

mémoire la reproduirait-elle dans une série d'êtres

nouveaux? Je le crois; c'est toujours ma vieille idée

de refaire des êtres, non par génération spontanée,

comme on l'a rêvé, mais par la répétition de phéno-mènes organiques dont la nature garderait souvenir. ')

Quoiqu'il parlât peu des questions sociales, il avait

l'esprit trop grand pour n'y pas appliquer ses prin-

cipes généraux. Ce caractère conquérant de la

science, il l'admettait jusque dans le domaine des

sciences de l'humanité. « Le rôle actif des sciences

expérimentales, disait-il, ne s'arrête pas aux sciences

physico-chimiques et physiologiques; il s'étend

jusqu'aux sciences historiques et morales. On a com-

Page 45: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR E. RENAN. 3)

pris qu'il ne suffit pas de rester spectateur inerte du

bien et du mal, en jouissant de l'un et en se préser-

vant de l'autre. La morale moderne aspire à un rôle

plus grand elle recherche les causes, veut les expli-

quer et agir sur elles; elle veut en un mot dominer

le bien et le mal, faire naître l'un et le développer,

lutter avec l'autre pour l'extirper et le détruire, »

Les récompenses vinrent lentement à cette grande

carrière, qui, à vrai dire, pouvait s'en passer, car elle

étaitàelle-memesapropre récompense. Notre confrère

avait eu les rudes commencements de la vie du savant,

il en eut les tardives douceurs. L'Académie des

Sciences, la Sorbonne, le Collège de France, le Mu-

séum, tinrent à honneur de le posséder. Votre Com-

pagnie mit le comble à ces faveurs en lui conférant

le premier des titres auxquels puisse aspirer l'homme

voué aux travaux de l'esprit. Une volonté personnelle

de l'empereur Napoléon IH l'appela au Sénat. D'il-

lustres et douces amitiés le consolèrent, des mains

affectueuses furent de tous côtés attentives à lui dimi-

nuer les difficultés de la vie des élèves tels que Paul

Bert, Armand Moreau, ses amis de la Société de bio-

logie, recueillaient toutes ses paroles et l'assuraient

que sa pensée était garantie contre la mort. Sa tête

magistrale, toujours méditative, était devenue extrê-

mement belle à soixante ans. !1 travaillait sans cesse

et pourtant il ne savait pas ce que c'était que la fati-

gue, car il ne poursuivait jamais l'impossible; illais-

sait lapensée venir, sans la solliciter. Sa sérénité

était absolue il savait bien que l'emploi qu'il avait fait

de sa vie était le meilleur. Sa fête de tous les ans, les

vendanges de Saint-Julien, suffisait pour réparer ses

Page 46: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

3~ CLAUDEHERNARD

forces. « J'ai dans l'esprit des choses que je veux ab-

solument finir », écrivait-il en 1876. Une maladie

grave, qu'il avait traversée victorieusement, semblait

n'avoir fait que redoubler l'activité de son esprit. En-

touré de sa famille scientifique, il s'avançait vers la

vieillesse sans paraître en ressentir les atteintes. Les

projets qu'il roulait dans son esprit étaient plus grands

que ceux qu'il avait jusque-là réalisés.

Dans sa marche hardie vers les derniers secrets

de la nature animée, il arrivait, en effet, aux confins

de la vie, aux sources obscures de l'organisme. Peu

à peu la différence entre la physiologie animale et la

physiologie végétale s'évanouissait à ses yeux. Le

germe de la vie, des deux côtés, 1"' paraissait le

même. La plante, comme l'animal, est susceptible

d'être anesthésiée. Même certains ferments peuvent

être atteints par les agents insensibilisateurs, et, pour

une moitié au moins de leur être, ils semblent s'en-

dormir. Claude Bernard touchait ainsi au problème

par excellence, au problème de la fermentation, im-

pliquant la question même des origines de la cellule.

Il y consacra toutes ses réflexions de l'été de 1877;

il annonçait à ses disciples qu'il croyait avoir trouvé

la voie pour arriver à ce sanctuaire impénétrable. 0

fragilité de la vie humaine ô jeu cruel d'une nature

marâtre qui se plaît à briser stupidement une tête

formée par quarante ans de méditations et où va éclore

la plus belle combinaison du génie La terrible ma-

ladie à laquelle il avait échappé dix ans auparavant

n'avait pardonné qu'en apparence. Elle revint plus im-

placable que jamais. Il mourut sans avoir pu réaliser

son rêve il mourut triste, pensant à l'idée destinée à

Page 47: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PARË.REXAN. ;j~

CLAUDE BERNAMO. XfX. g

périr avec lui, et disant « C'eût étépourtant bien

beau de nuir par là!') J)

H a fait assez pour sa gloire, et sa trace sera éter-nelle. Sa religion était la vérité il n'eut jamais ni

mécompte ni faiblesse, car il ne douta pas un momentde la science; or la science donne le bonheur, quandon se contente d'elle et qu'on lui demande que ce

qu'elle peut donner. Si elle ne répond pas à toutes les

questions que lui adressent les avides ou les empres-sés, au moins ce qu'elle apprend est sûr. Pour être

acquis par des osciliations successives, les résultats dela science moderne n'en sont pas moins précieux. Cesdélicates approximations, cet affinage successif quinous amène à des manières de voir de

plus enplus

rapprochées de la vérité, sont la condition même de

l'esprit humain. La science donnait ainsi à notreconfrère tout le calme que procure la certitude d'avoirraison. Il ne portait envie à personne; il croyait aveu-la meilleure part.

Claude Bernard n'ignorait pas que les problèmes

qu'il soulevait touchaient aux plus graves questions del'ordre philosophique. Il n'en fut jamais ému. 11 ne

croyait pas qu'il fût permis au savant de s'occuper des

conséquences qui peuvent sortir de ses recherches, il

était, à cet égard, d'une impassibilité absolue. Peu lui

importait qu'on l'appelât de tel ou tel nom de secte.Il n'était d'aucune secte. !I cherchait la vérité, et voilàtout. Les héros de l'esprit humain sont ceux qui sa-vent ainsi ignorer pour que l'avenir sache. Tousn'ont pas ce courage. Il est difficile de s'absfenir dansdes questions où c'est éminemment de nous qu'il s'a-

Page 48: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

3~ CLAUDEUER~AHD

git. Ignorer si l'univers a uu but idéal, ou si, uls du

hasard, il va au hasard, sans qu'une conscience ai-

mante le suive dans son évolution; ignorer si, a l'ori-

gine, quelque chose fut mis en lui, et si, à la Un, un

soir plus consolant lui est réserve ignorer si nos ins-

tincts protonds de justice sont un leurre ou la dictée

impérieuse d'une vérité qui s'impose, on est excusa-

ble de ne pas s'y résigner. Il est des sujets où l'on

aime mieux déraisonner que de se taire. Vérité ou

chimère, le rêve de l'intini nous attirera toujours, et,

comme ce héros d'un conte celtique qui, ayant vu en

songe une beauté ravissante, court le monde toute sa

vie pour la trouver, l'homme qui un moment s'est as-

sis pour réfléchir sur sa destinée porte au cœur une

flèche qu'il ne s'arrache plus. En pareille matière, la

puérilité même des efforts est touchante. Il ne faut

pas demander de logique aux solutions que l'homme

imagine pour se rendre quelque raison du sort étrange

qui lui est échu. Invincibiemcnt porté à croire à la

justice et jeté dans un monde qui est et sera toujours

l'injustice même, ayant besoin de l'éternité pour ses

revendications et brusquement arrêté par le fossé de

la mort, que voulez-vous qu'il fasse? Il se révolte

contre le cercueil, il rend la chair a l'os décharné, la

vie au cerveau plein de pourriture, la lumière a l'œil

éteint; il imagine des sophismes dont il rirait chez un

enfant, pour ne pas avouer que la nature a pu pousser

l'ironie jusqu'à lui imposer le fardeau du devoir sans

compensation.

Si parfois, à ces contins extrêmes où toutes nos

pensées tournent à l'éMouissement, la philosophiede notre illustre confrère parut un peu contradic-

Page 49: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

t'ARE.RENA~. :tK

toire, ce n'est pas moi qui l'en blâmerai. J'estime

qu'il est des sujets sur lesquels il est bon de se con-

tredire car aucune vue partielle n'en saurait (''puiserles intimes replis. Les vérités de la conscience sont

des phares à feux changeants. A certaines heures,

ces vérités paraissent évidentes puis on s'étonne

qu'on ait pu y croire. Ce sont choses que l'on aper-

çoit furtivement, et qu'on ne peut plus revoir telles

qu'on les a entrevues. Vingt fois l'humanité les a

niées et affirmées vingt fois l'humanité les niera et

les affirmera encore. La vraie religion de 1 âme est-

elle ébranlée par ces alternatives? Non, Messieurs.

Elle réside dans un empyrée où le mouvement de

tous les autres cercles ne saurait l'atteindre. Le

monde roulera durant l'éternité sans que la sphère

du réel et la sphère de l'idéal se touchent.. La plus

grande faute que puissent commettre la philosophie

et la religion est de faire dépendre leurs vérités de

telle ou telle théorie scientifique et historique car

les théories passent, et les vérités nécessaires doi-

vent rester. L'objet de la religion n'est pas de nous

donner des leçons de physiologie, de géologie, de

chronologie qu'elle n'affirme rien en ces matières,

et elle ne sera pas blessée. Qu'elle n'attache pas son

sort ace qui peut périr. La réalité dépasse toujours

les idées qu'on s'en fait toutes nos imaginations

sont basses auprès de ce qui est. De même que la

science, en détruisant un monde matériel eufautin,

nous a rendu un monde mille fois plus beau, de

même la disparition de quelques rêves ne fera que

donner au monde idéal plus de sublimité. Pour moi,

j'ai une confiance invincible en la bonté de la

Page 50: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

f) CLAt'[)Ef!Ef<KARD

pensée qui a fait l'univers. « Enfants disons-nous des

hommes antiques, enfants! qui n'avaient point d'yeux

pour voir ce que nous voyons! « Enfants dira

de nous t'avenir, qui pleuraient sur la ruine d'un ~7-

/~w/M chinierique et ne voyaient pas le soleil de la

vérité nouvelle blanchir derrière eux les sommets de

l'horiy.ou »

Vous résolvex cesgraves problèmes, Messieurs,

par la tolérance, par votre boune confraternité, en

vous aimant, en vous estimant. Vous ne vous eilravex

pas de luttes qui sont aussi vieilles que le monde, de

contradictions qui dureront autant que l'esprit hu-

main, d'erreurs même qui sont la condition de la vé-rité. Votre philosophie est indulgente et optimiste,

parce qu'elle est fondée sur une connaissance étendue

de l'esprit humain. Ce désintéressement qu'un obser-

vateur superficiel se croit en droit de nier dans les

choses humaines, vous savez le voir, vous à qui l'é-

tude de la société apprend la justice et la modéra-tion. ?se trouvex-vous pas, Messieurs, que les hommessont trop sévères les uns pour tes autres? On s'ana-

thématise, on se traite de haut en bas, quand souventde part et d'autre, c'est l'honnêteté qui insulte l'hon-~

néteté, la vérité qui injurie la vérité. Oh' le bon être

que l'homme Comme il a travaillé Quelle somme

de dévouement il a dépensée pour le vrai, pour lçbien' Et quand on pense que, ces sacrifices à un

Oieu inconnu, il les a faits, pauvre, souuranj.jetésur la terre comme un orphelin, à peine sûr du lende-

main, ait! je ne peux sounrir qu'on l'insulte, cet

être de douleur, qui, entre le gémissement de la

naissance et celui de l'agonie, trouve moyen de créer

Page 51: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAUE. R)-X. 37

l'art, la science, la vertu. Qu'importent les malen-

tendus aux yeux de la vérité Éternelle? Le culte le

plus pur de la Divinité se cache parfois derrière d'ap-

parentes négations; le plus parfait idéaliste est sou-

vent celui qui croit devoir à une certaine franchise de

se dire matérialiste. Combien de saints sous l'appa-

rence d'irréligion! Combien, parmi ceux qui nient

l'immortalité, mériteraient une belle déception La

raison triomphe de la mort, et travailler pour elle,

c'est travailler pour l'éternité. Toute perdue qu'elle

est dans le chœur des millions d'êtres qui chantent

l'hymne éternel, chaque voix a compté et comptera

toujours. La joie, la gaieté que donnent ces pensées

est uu signe qu'elles ne sont pas vaines. Elles ont

l'éclat elles rajeunissent; elles prêtentau talent, le

créent et l'appellent. Vous qui jugez des choses par

l'étincelle qui en jaillit, par le talent qu'elles provo-

quent, vous avez, après tout, un bon moyen de dis-

cernement. Le talent qu'inspire une doctrine est, a

beaucoup d'égards, la mesure de sa vérité. Ce n'est

pas sans raison qu'on ne peut être grand poète qu'a-

vec l'idéalisme, grand artiste qu'avec la foi et l'a-

mour, bon écrivain qu'avec la logique, éloquent ora-

teur qu'avec la passion du bien et de la liberté.

Page 52: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)
Page 53: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

Il

LES TRAVAUX

DE

CLAUDE BERNARDPar Paul BERT

Professeur Je physiologie ~CH~r~k à la Faculté des scieuccs (!)

Mesdames, Messieurs,

Je n'emploie pas une vaine formule oratoire en

vous disant que je me sens profondément ému. Bien

que la vie scientifique, que les travaux de Ciaude

Bernard, doivent seuls nous occuper ici, je ne puis

écarter de ma pensée de douloureux et récents sou-

venirs. Il y a un an à peine, presque à pareil jour,succombait celui que tous appelaient maître, et qui,

pour quelques-uns de ceux qui m'écoutent et pour

moi-même, était le guide de tous les jours, le protec-

teur affectueux et dévoué, en quelque sorte le père

scientifique.

(~ Association scientifique de France. Conférences de la Sor-

bonne, février t879.

Page 54: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

K'() LES TRÂV.UXf)E CLAUDEBERNARD

La. coïncidence de ce funèbre anniversaire anc-c?mente encore pour moi le sentiment des difficultés

véritablement effrayantes que présente la tâche que

j'ai aujourd'hui à remplir. Lorsque je l'acceptai, il ya déjà bien longtemps, je me laissai plutôt guider

par la piété filiale que par la réflexion celle-ci est

venue a son tour, et, dans ces derniers jours, je me

suis senti comme écrasé.

Il faut, en effet, que dans le laps d'une heure, sans

le secoursd'expériences d'aucune sorte, je m'efforce

d'imprimer dans vos esprits une idée exacte, une idée

complète de ce que fut Claude Bernard. Il' faut que

je vous le montre d'abord, en plein laboratoire, sou-

levant les problèmes, saisissant les découvertes,

hardi et prudent, inventif et patient, conuant dans

son coup d'œil, et défiant dans ses conclusions

étonnant chaque année le monde savant par quelquedécouverte étrange et riche en déductions, ne se

lassant jamais à la poursuite des idées, ne se reposant

jamais dans la victoire, aussi digne d'admiration parl'initiative que par la ténacité, et tout cela avec une

sagesse tranquille, une sorte d'aisance et de simplicitésereine qui caractérisaient son génie. Il faut que jevous le montre se repliant sur lui-même, se prenant

pour ainsi dire, lui et ses œuvres, comme sujet d'é-

tudes, et alors, assignant à la physiologie sa placeau milieu des sciences expérimentales et conqué-

rantes, indiquant de main de maître les conditions de

la certitude dans sou immense et obscur domaine,

traçant les règles de l'expérimentation dans leur ap-

plication pleine de difficultés à l'analyse des phéno-mènes vitaux, devenant, lui le créateur par excellence,

Page 55: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR PAUL BERT. H

le maître de la critique, démontrant que la médecine

ne peut. se constituer que sur la base physiologique,

et protestant contre d'imprudentes et hafives applica-

tions de ses propres découvertes à la science mé-

dicale. Puis enfin, vous attendez de moi que je vous

expose ses idées sur le déterminisme des phénomènes

vitaux, sur la dénnition et la conception de la vie,

sur les doctrines célèbres du vitalisme et de l'orga-

nisme, et peut-être en est-il parmi vous qui, se faisant

une idée fausse de ce puissant et prudent esprit, pen-

sent qu'il a pris parti dans des questions élevées et

insolubles qui éternellement diviseront les hommes.

Cette vue générale jetée sur le vaste sujet que j'ai à

traiter devant vous n'est faite, ni pour vous séduire,

ni pourme rassurer. Mais, puisque

aussi bien le sort.

en est jeté, permettez-moi de ne plus tarder à entrer

en matière, et de m'en rapporter pour le reste a la

bienveillance, dont, à cette même place., on m'a

jusqu'ici honoré.

Les premières publications physiologiques de

Claude Bernard datent de t843. Attaché à la fois au

service médical de Magendie comme interne, et à sa

chaire du Collège de France comme préparateur, il

soutint en cette année une thèse pour le doctorat en

médecine 6'M?' le .wc gastrique et son ~/c ~a~ /w-

~MM, et publia un mémoire sur l'A~oM~ /«

M~~M/o~~ de la corde </M ~?:~M. L'année suivante,

il envoyait à l'Académie des Sciences un travail sur

I'M/?M<~ce que les nerfs ~/?pM~a~M<?~ exercent ~r

les phénomènes c/~M?yMM la digestion stomacale.

Ainsi, dès ses débuts (il avait alors trente ans), il

étudie à la fois et les phénomènes auxquels Bichat

Page 56: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

LES THAV.U'X DE CLALUE JtERXARD

avait donné le nom caractéristique de ~p/M/M~~ </p

vie o~M~ ou de MM~?o/i, ceux de /« vie a~a/t'

ou relation, et l'influence que ces derniers peuvent

exercer sur les autres. Dans l'étude énumérative

que je vais faire devant vous, étude dans laquelle,

vous le devinez, je devrai laisser de côté bien des

travaux, soit parce qu'ils seraient d'une exposition

trop difficile, soit parce qu'ils ne présentent, par rap-

port il tant de brillantes découvertes, qu'une impor-

tance secondaire, c'est cette classification qui me

servira de guide.

Au premier rang, comme chronologie, des travaux

de Claude Bernard sur les phénomènes nutritifs, se

placent ses études sur les liquides digestifs, salives,

suc gastrique, suc intestinal, suc pancréatique. Deux

faits considérables en ressortissent surtout.

On croyait jusque-la que le but unique des actes

digestifs était de transformer en matière liquide,facilement absorbable, les aliments solides la dis-

solution cle la chair et des matières albummoïdes se

faisant dans l'estomac, celle de la fécule sous la

double influence de la sauve et du suc pancréatique.Claude Bernard, après avoir précisé mieux qu'on ne

l'avait fait avant lui les conditions de ces phénomènes,

montre que la dissolution n'est pas tout et ne suffit

pas toujours. !I prouve, en effet, que le sucre de

canne doit, pour être utilisé par l'organisme, être

transformé dans l'intestin en glycose sous l'influence

d'un ferment que M. Bcrthelot parvint à isoler; quesi on l'introduit de force, par une injection directe

dans le sang, il est rapidement éliminé et rejeté au

Page 57: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PARPAL'LB'~Hr. 4:t

dchu: €e p~~uûf résultat est donc intéressant au

pointde vue de la 'héorie

généralede la digestion 5Vaai4

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~JI'I. '1,,1.,

\1. .,lU"

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mais il l'est encore davantage pour le sujet qui nous

occupe, parce que c'est lui qui va mettre Claude Ber-

nard sur la voie d'une de ses plus belles découvertes.

Le second résultat est relatif à l'absorption des

graisses. On savait que, pendant la digestion, les

vaisseaux chylifères emportent de l'intestin une ma-

tière lactescente, qui a précisément occasionné leur

découverte. Ouvrant un jour (1846) un chien et un

lapin auxquels il avait fait manger des matières

grasses, Claude Bernard remarqua que, tandis quechez le chien les traînées lactescentes commençaientaussitôt après la sortie de l'estomac, chez le lapin, au

contraire, on ne lei- apercevait que beaucoup plus loin.

Examinant les choses de près, il reconnut que le

conduit excréteur du pancréas s'ouvre chez le lapin

beaucoup plus bas dans l'intestin que chez le chien,et que l'aspect lactescent n'apparaît qu'âpres le mé-

lange du suc pancréatique avec les aliments. La dé-

couverte des conditions jusque-là si obscures de l'ab-

sorption des matières grasses était faite.

Que de physiologistes avaient, sans voir cette dif-

férence, immolé chiens et lapins par centaines!

Claude Bernard la compléta, avec la ténacité dont il

a depuis donné tant de marques, par des preuves

multiples, tirées à la fois de la physiologie expéri-

mentale, car il parvint à établir sur les animaux vi-

vants une fistule pancréatique, et de la pathologie, en

montrant l'amaigrissement qu'amènent chez l'homme

les maladies du pancréas.

Tandis qu'il poursuivait ses recherches sur le suc

Page 58: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

M' LES TnAV.U'X DE CLAIRE BERNARD

gastrique, un fait l'avait beaucoup plus frappé. Ayant

injecte dans une veine d'un animal une dissolution de

prussiate jaune de potasse, dans une autre veine un

sel de fer, c'est-à-dire deux sels métalliques, il vit quenulle part on ne trouve de bleu de Prusse, hormis

dans les cavités intestinales et sur la muqueuse vé-

sicale, c'est-à-dire, en réalité, hors de l'organisme,sur des surfaces excrétoires. Que si, au contraire,on fait la même expérience en employant d'une part

l'amygdaline, de l'autre l'émulsine, c'est-à-dire une

substance fermentescible et un ferment, on tue im-

médiatement l'animal par ledéveloppement d'acide

prussique que donnent ces deux substances.

Ce fut pour Claude Bernard le point de départ de

réflexions profondes sur les rapports des phénomènes

chimiques avec les conditions particulières que réali-

sent les êtres vivants, et sur le rôle des fermentations

dans les êtres organisés, réflexions qui le conduisirent

à d'importantes découvertes et à des conceptions

générales sur lesquelles j'aurai à revenir plus tard.

Vers le même temps, des expériences curieuses lui

montrèrent que, par des changements dans le mode

d'alimentation, on pouvait aisément faire disparaîtreles différences que présentent, sous le rapport de la

nutrition intime, les animaux herbivores et les ani-

maux carnivores. Plus tard, il montrera qu'on peut, à

volonté, transformer en quelque sorte, au point de

vue physiologique, les animaux à sang chaud en

animaux à sang froid, et réciproquement. Ainsi était

prouvé pour lui le peu d'importance que présententaux yeux du physiologiste les classifications justementétablies par le zoologiste; et peu à peu il se trouvait

Page 59: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR PAUL HERT. 4:i

amené à la conception de la physiologie générale.

Bien d'autres faits, sur lesquels je ne saurais insister

ici, venaient chaque jour agrandir son champ d'action

et le faire pénétrer de plus en plus profondément dans

l'intimité des phénomènes vitaux. C'est ainsi, par

exemple, qu'il montrait que si l'on injecte à la fois

dans le sang du glycose, de l'iodure de potassium, du

prussiate de potasse, on retrouve bientôt le premier

dans l'estomac, le second dans la bouche, le troisième

dans la vessie, chacune des glandes gastrique, sali-

vaire et rénale ayant un pouvoir électif qui tient aux

propriétés intimes de leurs éléments constituants.

C'est encore à cette période des débuts, si prodi-gieusement féconde, qu'il faut faire remonter la plus

importante des découvertes qui aient été faites dans

ce siècle sur la physiologie de la nutrition.

Magendie avait déjà montré qu'il existe dans le sang

de petites quantités de sucre; mais tout le monde

avait cru que ce sucre provenait des aliments. Or, dès

1848, Claude Bernard, en étudiant les conditions de

la formation et de l'absorption du sucre dans l'intes-

tin, avait été amené à penser que le sucre du sang

pouvait venir d'une autre source que des produits de

la digestion. Le sang qui ramène ces derniers de l'in-

testin dans la circulation traverse, comme chacun

sait, une énorme glande, le foie, oh les canaux qui le

contiennent se distribuent en ramifications capillaires;

de là naît, par des tubes de plus eu plus gros, un

nouveau système de vaisseaux qui unissent par aboutir

au voisinage du cœur dans la grosse veine qui ra-

mène le sang des parties inférieures du corps le pre-

mier système est celui de la M?~c ~o?' l'autre celui

Page 60: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

LKSTnAVArX!)ECL.\rt)EHRRKAnn

1des veines .w.s'. Or, pendant la digestionmême des matières sucrées, il y a plus de sucre dans

le sang de ces dernières, dans le sang qui a traversé

le foie, que dans celui qui y va et sort de l'intestin.

Bien plus, si l'on nourrit l'animal exclusivement de

matières ne contenant ni fécules ni sucres, ou si ou le

garde à jeun, le sucre disparaît complètement dans le

trajet entre l'intestin et le foie, tandis qu'on en trouve

toujours en abondance au delà de cet organe. C'est

donc dans le foie que s'est formé ce sucre. Le foie, à

côte de la bile qu'il excrète, fabrique donc de la ma-

tière sucrée qu'il verse dans le sang.

La publication de ces faits produisit une grande

impression elie ouvrit à Claude Bernard les portesde l'Académie des Sciences, et justifia la création en

sa faveur d'une chaire de physiologie générale à la

Faculté des Sciences.

Ce n'était pas seulement l'inattendu de cette dé-

couverte qui mit en émoi le monde savant; elle ve-

nait renverser une barrière artificiellement élevée

entre les deux règnes animal et végétal. On ensei-

gnait, en effet, jusqu'alors, qu'aux végétaux seuls il

appartient de produire des principes immédiats, les

animaux ne faisant que se les assimiler ou les dé-

truire. Or, Claude Bernard montrait que, pour le

sucre, tout au moins, cette formule est excessive, et

il allait bientôt faire un pas de plus dans cette voie en

prouvant que l'animal fabrique non seulement le

sucre, mais la substance dont il dérive.

Mais cette brillante découverte ne fut pas acceptéesans conteste. Des polémiques passionnées furent sus-

citées, auxquelles les physiologistes et les chimistes

Page 61: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAtWAt'LSEHT. t-7

prirent part et aussi les médecins, car Claude Ber-

nard n'avait pas manqué d'indiquer aussitôt les con-

séquences de sa découverte pour la théorie du diabète

sucré.

Elles rendirent au maître ce service de l'attachcr

avec ptus d'ardeur encore à la défense de la vérité

découverte. Il eut à lutter d'abord contre ceux qui,

s'appuyant sur l'antique théorie de la séparation des

règnes, déclaraient « qu'il leur répugnait de voir les

animaux produire ce que peuvent leur Fournir en

abondance les végétaux, et le produire pour le dé-

truire aussitôt. » A quoi Claude Bernard répondait

spirituellement: «II me répugne, à moi, d'admettre

que les animaux, qui ont une vie bien plus complexe

que les végétaux, ne puissent faire ce que font ces

derniers c'est un point de vue sentimental, mais non

un argument sérieux. o Apres les ratiocineurs, vin-

rent les expérimentateurs, et il n'est peut-être pas de

spectacle plus curieux et plus saisissant dans l'his-

toire des sciences physiologiques que celui de cette

lutte entre un homme de génie, maître d'une vérité

dont l'évidence nous semble aujourd'hui si claire, et

un aussigrand nombre de contradicteurs accourus

de toutes les régions de la science; il n'est pas de

spectacle plus instructif et plus intéressant que la vue

des efforts qu'il fait pour varier à l'infini ses preuves,

pour envisager le phénomène sous tous ses aspects,montrer l'influence qu'ont sur lui tant de circon-

stances venant soit de l'organisme, soit de l'extérieur,

et saisir avec une étonnante précision le point faible

d'argumentations et d'expériences spécieuses, mais

mal conçues et mal conduites.

Page 62: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

48 LES TRAVAUXCE CLACf)Et!ERXAtU)

Enfin, un fait dominateur fut découvert qui devait

fermer la bouche aux contradicteurs. Si, à travers

des vaisseaux sanguins d'un foie détache du corps,

on fait passer un courant d'eau, il arrive bientôt un

moment où le foie, complètement lavé, ne contient

plus trace de sucre. Mais si alors on l'expose à une

chaleur analogue à celle du corps, on y retrouve,

quelques heures après, le sucre en abondance. Il

n'était plus possible de nier, après cela, la formation

du sucre dans le foie, la ~/yc~/<w? ~w.

Et cependant Claude Bernard ne s'en tint pas là

il voulut isoler la substance d'où provenait le sucre,

et il v parvint. !l arriva à extraire en abondance du

foie une sorte d'amidon, le ~yco~c, qui donne nais-

sance au glycose sous les mêmes influences et dans

les mêmes conditions que la fécule de pomme de

terre.

La bataille était gagnée mais Claude Bernard n'é-

tait pas homme a se reposer sur des lauriers. M cher-

che et trouve à la fois sous quelles influences se

produit le sucre, a quelle dose il faut qu'il existe dans

le sang pour apparaître dans les urines, comment il

disparaît normalement, quelles circonstances l'empê-

chent de se former, d'où vient le glycogëne, dans

quelle situation anatomique on le constate. Nous ver-

rous tout a l'heure quel rôle joue en ces phénomènes

[e svsti'me nerveux. Je dois me borner à vous dire

ceci te glycogene est formé dans le foie aux dépens

du sucre des aliments, sucre dont cet organe empêche

l'excès momentané de se répandre dans le sang. Il

peut se former aussi par la transformation des ma-

tières albuminoïdes, comme !e prouve la curieuse

Page 63: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR PAUL CERT. j.9

CLAL-DEBt:M.AM,X)X.

expérience des larves de mouches nourries à la viande

dégraissée, et qui se chargent deglycogène.

Formé dans le foie même, sous l'influence d'un

ferment local, le sucre est versé au cœur droit et,

lancé de là dans les poumons, s'y détruit en partie,si bien que le sang du cœur gauche n'en contient plus

que de très faibles proportions. Ce sang artériel s'en

va, traversant les organes, et dans les capillaires, on

il est amené, il perd, il oxyde sans doute tout le reste

de son glycose, si bien qu'il en revient à peine dans

le système veineux en général.

C'est donc pour brûler, pour produire de la cha-,

leur, de la force vive, que se forme le sucre. C'est

aussi dans ce but que leproduit le

végétal la bette-

rave l'emmagasine pendant la première phase de sa

vie, pour pouvoir, en la brûlant ensuite, trouver la

force nécessaire pour pousser hampes, fleurs, fruitsainsi font le tubercule de la pomme de terre, l'oignonde la jacinthe, le grain du blé, avec leurs réserves en

fécules ainsi les fruits, magasin de force et de cha-

leur pour la jeune plante. Partout où se fait le déve-

loppement, partout apparaît le glycose, avec son

ancêtre, le glycogène, et dans les tissus des embryons

en voie de développement, Claude Bernard les re-

trouve toujours.

!1 avait donc ainsi non seulement rencontré une

fonction nouvelle de la glande mystérieuse que les

anciens anatomistes entouraient d'une sorte de res-

pect superstitieux, mais découvert l'une des grandeslois du

développement des élémentsanatomiques qui

composent les êtres vivants l'amidon apparaissant

partout, en vue de produire le sucre, générateur de

Page 64: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

SO LES TR.\YAt'X[)E CLAQUE BEttXARt)

la force, et cela a lieu dans la germination, comme

dans ces actes d'évolution embryologique que

Claude Bernard désigne sous le nom de ~cr~Ma-

tion cw/Ha~.

Ces vues générales devaient amener Claude Bernard

à l'étude de la production de la chaleur dans le corps

des animaux. Il l'aborda en recherchant les din'6-

rences dans les températures des divers points du

corps, et notamment du sang artériel et du sang vei-

neux. C'est ainsi que, dans les membres et a la tête,

le sans qui part du cœur est toujours plus chaud que

celui qui en revient. Mais, inversement, si l'on com-

pare le sang du cœur droit avec celui du cœur gau-

che, on trouve toujours le premier plus chaud que le

dernier. Ainsi, la première série d'expériences venait

a l'appui de la théorie qui, depuis Lavoisier, place

dans le poumon le lieu de la production de la cha-

leur la seconde lui était contraire. Comment expli-

quer cette contradiction? Claude Bernard y parvint.

D'abord, ce qui réchauffe le sang du cœur droit,

c'est celui que lui envoie le foie. Cet organe, siège

d'incessantes modifications chimiques, est le point

le plus chaud du corps, le plus actif foyer de la cha-

leur animale. De plus, si l'on prend les précautions

nécessaires pour éviter les déperditions de calorique

par contact avec l'air extérieur, on voit que le sang

artériel des membres est moins chaud que le sang

veineux.

C'est donc dans la profondeur du corps, dans les

tissus eux-mêmes que se produit la chaleur animale.

C'est la nutrition, dont les phénomènes chimiques

aboutissent toujours à une oxydation, qui lui donne

Page 65: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR t'.U'L BEfiT.

naissance. Sa génération n'est donc pas dans lenou-

mon.où, bien au contraire, se fait une déperditiondue au contact d&Fair froid et à l'évaporation.

tl n'est donc pas ctounant que lorsque les organesentrent onactivi.té, leur température s'élève en'con-comitance avec l'oxydation plus active qui se faitdans leur profondeur. C'est ainsi que s'écitauffe unmuscle qui se

contracte, et que, simultanément lesang qui le

traverse devient beaucoup plus non-quedans

t'etat de repos.

Ouant au sang, .tjoue principalement le rôle de

régulateur de la température, ici gagnant, là perdantde la cha!eur, et, par le

mélange de ses diverses par-les, par sa course incessante, empêchant les échauf-tementset les, refroidissements locaux excessifs. Carl'exces de la chaleur est chose redoutable entretoutes, et Claude Bernard prouve que lorsque la tem-

pérature générale du corps est e)evée artificiellementde 3 ou 4 degrés, la Goniractiiité musculaire disparaît,le cœur s'arrête et ia mot-t survient.

Et catte conception (le sang régulateur de la tem-

pérature, et en même temps excitateur des oxyda-tions, va amener Claude Bernard à rechercher'et àtrouver les conditions qui président à sa

circulation,qui, bâtant ou ralentissant son passage à travers les

organes, augmentent ou diminuent les températureslocales et les phénomènes locaux de la nutrition.

Je vais vous parler dans un moment de ces ma~i-

fiques travaux, qui amenèrent la découverte de l'in-fluence du système nerveux sur les circulationslocales ou, comme on dit en abrégeant, la découvertedes nerfs f<Mo-~o~

Page 66: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

M LES TftAYAFXDE CLAUDEBERNARD

Aussi bien, car il faut me hâter, j'arrive aux études

plus spécialement relatives au système nerveux. Ici

les circonstances dans lesquelles je suis placé me for-

cent à ne citer que pour mémoire les travaux sur les

usages controversés du nerf facial, de la corde du

tympan, excitateur de la sécrétion sous-maxillaire,

du nerf moteur oculaire commun, du spinal pour

lequel il imagine la curieuse méthode opératoire de

l'extirpation, du nerf trijumeau, sur les conditions

de l'excitation électrique des nerfs, etc. Je ne puis

même insister sur ses mémoires sur la lésion du pé-

doucule cérébelleux et sur la sensibilité récurrente,

malgré tout l'intérêt qu'ils présentent non seulement

par les faits qu'ils renferment, mais au point de vue

de la méthode et de la critique expérimentales. Les

expérimentateurs les plus habiles avaient conclu

d'une manière diamétralement opposée. Claude Ber-

nard reprit les expériences, et, servi par sa sagacité

merveilleuse, il montra comment ils avaient tous à la

fois tort et raison raison dans les faits, tort dans

les conclusions, parce qu'ils n'avaient pas vu la diffé-

rence des conditions dans lesquelles ils s'étaient, à

leur insu, placés.L'étude du système nerveux et aussi celle du sys-

tème musculaire n'ont jamais paru attacher beaucoup

Claude Bernard que dans leurs rapports avec les

phénomènes de nutrition et en cela, il montrait le

sentiment profond de la physiologie générale, car la

nutrition est partout dans les règnes vivants, le mus-

cle et le nerf n'étant que des accidents de perfection-

nement. Mais on lui doit d'admirables recherchesmontrant comment les conditions mêmes de la nutri-

Page 67: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR PAUL )tt-:nT. M

tien, la circulation du sang, le fonctionnement des

glandes, sont, chez les animaux supérieurs et chez

l'homme, sous la dépendance du système nerveux.

En )849, il fait voir que lorsqu'on coupe le nerf

pneumogastrique, le coeur accélère ses mouvements.

Déjà, en 1846 (1), il avait constaté que si on excite

par l'électricité le bout périphérique de ce nerf, le

cœur s'arrête aussitôt. Voici donc un nerf d'une

étrange allure le muscle auquel il se rend, bien loin

d'entrer en action sous son influence, se contracte

bien mieux lorsqu'il est coupé, et s'arrête lorsqu'on

l'excite.

Même effet sur les mouvements respiratoires lors-

qu~on excite, soit le bout central du nerf pneumogas-

trique, soit le nerf laryngé; ils s'arrêtent aussitôt

(1853).

Les nerfs d'arn~, ceux dont l'action consiste non

à produire un mouvement, mais a modérer ou à sus-

pendre un mouvement qui s'effectue, étaient ainsi

découverts. Mais Claude Bernard, alors préoccupé

d'autres recherches, à ses yeux plus importantes, se

contenta de signaler ces faits sans les poursuivre dans

leurs détails.

!l avait en effet constaté, dans cette même année

18~9, que, lorsqu'on blesse légèrement, n l'aide

d'une longue aiguille enfoncée à travers les parois du

crâne, un certain point très limité de la moelle allon-

gée, on trouve bientôt du sucre dans les veines de

l'animal, qui devient ainsi diabétique, pour employer

le langage médical. Fait bien étrange, et que rien ne

(t) Le même fait était, découvert la même année par les frÈrcs

Wcber.

Page 68: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

StIt LES TRAVAUXDE CLAUCEBERtAM

permettait d'imaginer. Claude Bernard fut conduit à

sa découverte par la considération de la glycogénie

hépatique, qu'il venait de solidement établir, et parses recherches, sur l'influence du système nerveux

sur les sécrétions. Puisqu'on excitant le nerf qui se

rend a une glande salivaire, on obtient une abon-

dante salive, puisqu'en coupant le nerf pneumogas-

trique qui se rend à l'estomac on voit cesser la sé-

crétion du suc gastrique, ne pourrait-on obtenir la

sécrétion sucrée du foie en irritant le nerf qui s'v

distribue ? Or, ce nerf, c'est le pneumogastrique',

dont l'origine est précisément à la base de la moelle

allongée, il pique ce point, et aussitôt ses prévisionssont réalisées le foie se metàjeter d&hs le san& une

telle quantité de sucre qu'il y a bientôt excès, et quele sucre s'élimine par le rein.

Voici donc que l'expérience conçue en vertu d'une

hypothèse directrice semble la confirmer! Mais ce

serait peu connaître Claude Bernard que de croire

qu'il se tiendra pour satisfait. En piquant la moelle

allongée, même au voisinage de l'origine des pneu-

mogastriques, ne pouvait-il avoir excité d'autres nerfs

encore? Il se met àl'œuvre, et au milieu de difncul"

tés sans nombre, il arrive a montrer que ces pneu-

mogastriques ne sontpour rien dans l'affaire, puisque

l'apparition du sucre a lieu même lorsqu'on les a au

préalable coupés, et que c'est par une toute autre~

voie que l'excitation nerveuse setransmet à laglande

hépatique. M n'y a là, en réalité, qu'un cas particu-

lier d'une autre fonction physiologique qu'il décou-

vrait sur ces entrefaites, celle du système nerveux

sympathique par rapport à la circulation du sang.

Page 69: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR PAUL )!ERT. 5!i

Une expérience déjà bien ancienne, puisqu'elle

date de Pourtour du Petit (t727), avait montré que

si l'on sectionne, à la région du cou, le cordon du nerf

grand sympathique, la pupille de l'œi) correspon-

dant se contracte aussitôt. Claude Bernard refait

l'expérience, et il voit ce que personne n'avait vu avant

lui, c'est-à-dire que tout le côté de la face correspon-

dant au nerf coupé rougit, se tuméfie, s'échauife.

Le fait est surtout remarquable par transparence à

l'oreille, dont les vaisseaux sanguins à peine visibles

d'abord grossissent manifestement, ou les capillai-

res dilatés laissent si facilement passer le sang qu'en

piquant une veine, on le voit jaillir en cadence comme

si c'était une artère, et qu'il apparaît rouge et non

plus noir, n'ayant pas eu le temps, dans sa course ac-

célérée, de laisser aux tissus une forte part de 1 oxy-

gène qu'il contenait. Ce n'est pas tout: ces parties

s'échauffent, leur température tend à se rapprocher

de celle du corps, grâce à l'irrigation chaude d'un

sang artériel plus abondant, si bien que s'il fait

froid, il peut y avoir des différences de iO degrés

entre l'une et l'autre oreille. Enfin si, opérant sur un

animal de grande taille, sur un cheval, on protège la

tête par une couche de ouate contre le refroidissement

.extérieur, on voit la sueur mouiller le côté de la sec-

tion, dont la température s'élève sur place, à ce point

que le sang veineux qui en revient est notablement

plus chaud que le sang artériel, preuve nouvelle d'une

.production de chaleur dans l'intimité même des tissus.

Que si maintenant on excite, à l'aide d'un courant

électrique, le bout supérieur du nerf qu'on a coupé,

tous ces effets font place aussitôt à un spectacle exac-

Page 70: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

Mf) LES TRAVAUX DE CLAUDE BERNARD

tement inverse. Les vaisseaux se resserrent, l'oreille

pâlit. le sang ne coule plus par la veine ouverte, la tem-

pérature s'abaisse au-dessous de son degré primitif.

Kous pouvons aujourd'hui expliquer bien simple-

ment ce qui s'est passé. Les petits vaisseaux artériels

sont munis d'nne tunique musculaire annulaire d'au-

tant plus forte, relativement, qu'ils sont plus petits.

Dans l'état normal des choses, ces petits muscles sont

en une certaine contraction moyenne, dite M/~c?'

qui détermine un certain calibre des vaisseaux et, par

suite, un état particulier régulier de la circulation.

Vient-on à couper le nerf sympathique qui anime ces

petits muscles, on les paralyse, ils n'opposent plus de

résistance au sang qui, poussé par le cœur avec force,

dilate les capillaires qui leur font suite et apporte avec

une abondance excessive et la chaleur dont il est

doué, et l'oxygène qui préside aux combustions loca-

les. Vient-on à galvaniser, au contraire, le nerf, les

muscles se contractent a l'excès, le sang ne peut plus

passer, ou ne passe qu'en très faible quantité, dans le&

vaisseaux presque oblitérés, et, de là, par une consé-

quence toute naturelle, la pâleur et le refroidissement.

Poursuivant ses recherches, Claude Bernard trouve

de semblables nerfs, t)<Mo-coH~c~M~, dans toutes les

parties du corps, mais moins faciles à isoler qu'à la

région du cou.

Ainsi, le problème de la circulation du sang, tel

que l'avait posé Harvey, se présentait sous une face

absolument nouvelle. A coup sûr, le cœur restait le

premier moteur à coup sûr, la circulation demeurait,

dans ses vaisseaux aux calibres variés, soumise aux

lois de l'hydraulique; à coup sûr, les expériences si

Page 71: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAU PAUL HERT. STi

curieuses dont mou ami, M. Marey, a donné l'expo-

sition détaillée, restaient exactes et leurs conclusions

vraies (')). Mais tout cela se subordonnait à l'action du

système nerveux, qui pouvait, par son excitation ou sa

paralysie, changer du tout au tout les conditions de

la distribution du sang dans les canaux où il circule.

Ainsi les conditions vraiment physiologiques l'empor-

taient encore une fois dans le corps vivant sur les

théorèmes de mécanique.

A peine les preuves de cette féconde découverte,

dont jetais dans un moment vous montrer les appli-

cations innombrables, étaient-elles données, et la

théorie des modifications locales de la circulation

était-elle solidement établie, si bien que ces consé-

quences théoriques et pratiques en étaient déduites

par les médecins, qu'une nouvelle découverte, plus

étonnante encore,puisqu'ellenepeut guère être expli-

quée même aujourd'hui, venait redoublerl'étonnement t

du monde savant.

En examinant les effets de l'excitation des nerfs

sur les glandes salivaires sous-maxillaires, Claude

Bernard s'aperçut qu'en excitant certain d'entre eux,

il produisait non une contraction, mais bien une dila-

tation des vaisseaux sanguins équivalente à celle qui

suit la section paralysante des nerfs sympathiques.

II y a donc, à côté des nerfs M~o-co?M/nc~M~, des

nerfs t!<MO-~7a~<?M~. Comment agissent ces derniers?

(i) Voyez Chauveau et Marey, Appareils et expériences M)'dM.a-

p/t!qMM, (&WM?tS<ra<MH?!OMt)eM<:du mécanisme des MOMMmeH<s~«

CtBu?'par !'cmpM des instruments Ëwesis~'cïo'i, â tHdtccttMKScontinues

(Wm. de rAc<td. demëd., i863, tome XXVI, p. 268 à 319, avec

23 fig.).

Page 72: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

S8 LES THAYAt'X DE CLAUDE REHXAtU)

Ce ne peut êtreendnatant directement les vaisseaux,

car nulle part il n'existe de fibres musculaires dispo-

sées de façon à produire cette action. C'est en para-

lysant, par un mécanisme encore inconnu, les nerfs

vaso-constricteurs, si bien que leur excitation fait le

même effet que la section de ceux-ci.

Ces actions vaso-constrictives et vaso-ditatatricos

peuvent être obtenues non seulement par voie directe,

c'est-à-dire par section ou excitation des nerfs, mais

par voie réflexe, c'est-à-dire par suite d'une excita-

tion nerveuse centripète qui va mettre en émoi soit la

moelle épinière, soit même les ganglions du sympa-

thique auxquels Claude Bernard attribue, par preuves

expérimentales, le rôle de centres nerveux.

Ainsi la moindre excitation des centres nerveux,

soit qu'elle vienne spontanément d'eux-mêmes, soit

qu'elle leur soit apportée du dehors, peut mettre en

action, ou peut paralyser dans telle ou telle région du

corps les nerfs qui tiennent sous leur direction le ca-

libre des vaisseaux sanguins. C'est ainsi, pour pren-

dre l'exemple le mieux connu, que le visage pâlit ou

rougit sous les influences morales, selon que les

capillaires de la peau sont gonflés ou vides de sang,

par suite de l'état des artérioles auxquelles comman-

dent les nerfs. Congestions ou anémies locales s~ut

ainsi sous la dépendance du système nerveux, et vous

comprenez la variété infinie des phénomènes qui en

sont la conséquence, puisqu'il s'agit tantôt de l'excès

de fonction, tantôt dela diminution

de fonction de

tel ou tel organe. Le froid qui frappe la peau para-

lyse le sympathique pulmonaire ou digestif, etc.) et

produit les congestions du poumon, les bronchites,

Page 73: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PARPAt'L BERT. ~99

les troubles digestifs par arrêt ou par exagération de

sécrétion. Je n'en finirais plus a vous citer des

exemples que chacun peut, pour ainsi dire, librement

imaginer les médecins ne s'en sont pas-fait faute.

Mais, lorsque la paralysie du nerf sympathique dans

une région est durable, ce n'est pas seulement un6

augmentation dans- la température et dans ta quan-

tnéde sang, une croHyM/~M des organes ([ni: et) est la

conséquence, it survient des troubles nutritifs, desin-

nummations, etici encoreles phônomenes sont inimi-

ment variés, à cause de!a muitipticité des excita~

fions, des réacttOBs nerveuses das organes qui peu-vent être mis en j~u.

tl est inutile d'insister pour montrep l'importancede premier ordre que présentent ces découvertes, non

seulementpour la physiologie', mais pour la patho-

logie etla~thérapeu tique. J'y ~endrai tout a l'heure

en montrant les àppUca.tionside l'œuvre de Claude

Bernard à la médecine.' Mais je dois maintenant vous

entretenir de travaux quiu'ont peut-être pas 6t6 moins

utiles, eux~aussi,à l'art de guérir, qu'aux théories

physiologiques.

Dès )847,C)aude Bernard, étudiant l'action du

terrible poison de la noix vomique, inaugurait une

nouvelle méthode dans les recherches toxicologiquesLaissant là lés vieilles classiu~ations, il arrivait à dé-

terminer, par des procédés expérimenta.ux inconnus

jusqu'alors, non seulement l'organe, mais l'élément

acatomique sur lequel se localise l'action du poison.)En i 850(1), cette méthode, appliquée au c«ra~,

(t) Le début des expériences fur le curare remonte juiu t.SH.

Page 74: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

60 LES TRAVAUXUi: CLAUDEBKHKAM

devait lui fournir le sujet d'un travail des plus impor-

tants. Vous connaissez tous le poison des nëches dont

Alexandre de Humboldt a raconté les soudains et

terribles effets. Claude Bernard l'étudie, et ne se

contentant pas de constater, après tant d'autres, que

l'animal empoisonné se paralyse progressivement et

périt par asphyxie paralytique, tout en gardant jus-qu'au dernier moment son intelligence, il examine

après la mort l'excitant électrique en main, les divers

tissus de l'animal et découvre un fait de la plus grande

portée théorique.

Sur ce cadavre, les muscles se contractent parfai-

tement lorsqu'on les excite, et les nerfs moteurs, qui

d'ordinaire produisent leurs contractions, sont deve-

nus impuissants à produire aucun mouvement, mal-

gré les plus fortes excitations. Examinant les choses

de près, variant les expériences avec une ingéniosité

admirable, il arrive à montrer que le nerf moteur seul.

ou plutôt que sa terminaison dans le muscle, est la

seule partie de l'organisme qu'atteigne le curare, et,

de cette constatation, deux conséquences importantes

découlent.

La première, c'est que le muscle ne doit pas au

nerf, mais possède bien lui-même sa propriété ca-

ractéristique, la contractilité et voici tranchée une

question qui, depuis Haller, divisait les physiologistes.

La seconde, c'est que les poisons tuent par une

élection spéciale, que ce ne sont pas des organes

compliqués, commeon l'entendait jusqu'alors, le foie,

le cerveau, le cœur, qui sont tués par les poisons,

mais bien tel ou tel de leurs éléments constituants et

il montre alors la strychnine agissant sur les cellules

Page 75: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PÀRPÂl;LHEHT. tH

sensibles de la moelleépiniëre, l'upas antiar, sur les

fibres musculaires et d'abord celle du cœur, le curare

sur les terminaisons des nerfs moteurs. Il dédaigneainsi et rejette au dernier rang ces phénomènes d'en-

semble, qui avaient jusqu'alors exclusivement préoc-

cupé les toxicologistes, laparalysie, les convulsions,

les vomissements, les cris, etc. et, d'un seul coup,il atfermit les bases de la physiologie générale. Ce

sont les éléments anatomiques, les parties les plus

petites dans lesquelles le microscope puisse résoudre

les etresvivants, qui, dans l'état de maladie, jouentle premier rôle; c'est d'eux avant tout qu'il convient

de se préoccuper, et, pour leur étude, les poisonsvont servir du plus délicat et du plus sûr moyen de

dissociation et d'analyse. :ls seront des instruments

physiologiques qui pourront agir et pénétrer bien

plus avant que les grossiers instruments du vivisec-

teur. Claude Bernard ouvre ainsi une voie nouvelle

d'investigations qui sera des plus fécondes.

Une autre étude toxicologique, non moins belle

que celle du curare, vient corroborer ces conclusions.

Il régnait enmédecine légale la confusion la plus

complète relativement au cœur et aux symptômes de

la mort par l'action des vapeurs de charbon. Pour les

uns, elle est sans douleur, et les malheureux qui en

sont les victimes s'endorment paisiblement pour

d'autres, elle est affreusement douloureuse, comme

le prouvent les cris, les contorsions de ceux-là même

qui se la donnent volontairement. Telle autopsiemontre le sang rouge, telle autre tout noir et asphyxi-

que. Claude Bernard mit l'ordre dans ce désordre et

montra que lorsque le sang reste rouge, c'est que la

Page 76: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

(H LES Tf(A\(.'X DE CLACDE HEHKARO

mort est due à l'oxyde de carbone, tl lit voir que

ce gax chasse l'oxygëa'e de son union avec la matiëre

rouge des gtobutes sanguins et se combine avec

celte-ci~sans changer sa couleur d'une nïàmèt'e appa-

rente, a*vec tant dénengie,, que toute absorption

d'oxygène deviën,t impossible, et que la mort par

asphyxie–une asphyxie d'espèce nouvelle– en estla conséquence.

Toutàl'houre le curare, empêchant toute tratM'-

mission du nerf au muscle, amenait la mort par une

asphyxie consécutive a la paralysie des muscles tes-

piratoires une asphyxie de cause prochain emecani-

que. MaiutJenant l'oxyde de carbone s'attaqua au

gïobuie sanguin, il tue par une asphyxie de ca~se

chimique. Mais il ne s'agit plus, dans l'un ou l'autre

cas, de la mort par le cœur, les poumons ou le cer-

veau, le fameux trépied vital do Bichat; ~s'agit d'u!Q

élément anatonanqua dont l'actton est indispeasable

et qui se trouve* dans tousles points les plus divers

de l'organisme, saisi par le poison et frappé d. im-

puissance. Qu'importe, àcôte de cette vérité simple

et saisissante, la variabilité indenuie des symptômes

à laquelle on s'était exclusivement attache jusqu'àlui et qui n'avait f'nt que leurrer les observateurs!

Mais l'étude de l'oxyde de carbone lui avait révélé

un fait qu'il ne laissera pas passer sans en tirer un

riche parti. Ce gax, vous ai-je dit, déplace loxygëne

du sang. Claude Bernard s'empare de cette propriété,

et il l'utilise àla solution d'un problème qui venait

à peine d'être soulevé, àl.'anayse des gaz du sang..M

lui devient ainsi possible de comparer, sous ce rap-

port, le sang artériel avec les sangs veineux de di-

Page 77: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR PAUL CËRT. 63

verses provenances; il montre, par exemple, que le

sang qui sort d'un muscle contracte a plus perdu

d'oxygène que lorsque le muscle est au repos, fait quicoïncide avec une élévation de la température du

muscle et se lie avec ses recherches sur l'origine de

la chaleur animale il montre qu'au contraire, lors-

qu'une glande excreteson produit liquide, sonsaugvei-neux est rouge, parce qu'alors ses vaisseaux sout dila-

tés, tandisqu'ildevientnoir pcndantia phase de repos,

qui est en réalité la phase de travail, puisque c'est

dans son intervalle quela glandefabriquecequ'elle ex-

crèteraplustard. Et se servantde cette nouvelledécou-

verte comme d'un moyen d'investigation, il arrive à dé-

terminer, par la couleurvariahie du sang veineux, les

phases d'activité ou de repos des glandes encore mal

connues etmontrc, par exemple, que du rein, glande

qui ne produit rien et ne fait que ultrer, mais qui fil-

tre sans cesse, sort un sang veineux toujours rouge.Tous ces faits se reliant à ceux qu'il avait découverts

déjà sur le rôle des glandes, sur la chaleur animale,

sur les nerfs vaso-moteurs, ou l'aidant à en décou-

vrir de nouveaux car rien, dans cette oeuvre im-

mense, ne reste isolé; toutes ces découvertes s'en-

chaînent, se relient, se fécondent l'une l'autre.

Car c'est là l'un des inconvénients de cet exposéénumératif et froid auquel il fallait bien me livrer et

où je m'arrête enfin, non parce que la matière, mais

parce que votre patience s'épuiserait. II eu est de lui

commode tous les procédés anatomiques, également

nécessaires et fastidieux, et qui, chose plus grave,donneraient une idée fausse des choses, si on ne re-

Page 78: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

6't LES TR.At'X DE r.L,U'[)E BE!~AM

prenait, dans une vue synthétique, les notions analy-

tiques si précieuses qu'ils nous donnent.

Le moindre défaut de leur emploi dans les condi-

tions où je me trouve ici, c'est d'être nécessairement

incomplets. Je n'ai pu vous indiquer qu'une partiela plus importante, il est vrai, et de beaucoup des

travaux de Claude Bernard. Pour concevoir une idée

complète de leur prodigieuse diversité, il faut parcou-

rir, dans les publications de l'Académie des Sciences,de la Société de Biologie et autres sociétés savantes,ses nombreuses notes et mémoires contenant tous

l'énoncé d'un fait nouveau et généralement impor-

tant il faut surtout lire les 18 volumes in-8° qui con-

tiennent les résultats de son enseignement au Collègede France, à la Faculté des sciences et au Muséum

d'histoire naturelle.

Livres tous remplis d'expériences personnelles et

de découvertes. C'est là qu'il faut aller, si vous vou-

lez connaître le maître avec son esprit toujours en

action et cependant toujours calme, avec sa mer-

veilleuse faculté de tout voir, avec ses témérités ex-

périmentales qu'égalait seule sa difficulté a être

satisfait de lui-même, avec son prodigieux esprit d'in-

vention et sa patience non moins prodigieuse, avec

son étrange intuition qui lui faisait deviner en artiste

la vérité qu'il allait démontrer en savant, avec son

dédain des théories considérées autrement que comme

un instrument de recherches ou une satisfaction

transitoire de l'esprit, avec sa facilité à en changer,sa facilité plus grande et plus singulière encore de

changer de sujet d'étude, lorsque l'expérience lui ap-

portait un fait inattendu, avec son apparent désordre

Page 79: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR PAUL RERT. eg

et son admirableesprit de suite, mais aussi avec ses

a. omr (..o.a."U& t.N.l.V .H.}"}J" \1. OUIl.I, L .~cu~ aU.l tl't't.

inégalités de pensée et de style, tel enfin que nous

l'avons connu au laboratoire, ennégtigé, étrange-

ment attentif et distrait, prêt à saisir tout ce qui se

passe, et avec des yeux tout autour de la tête!

C'est là que vous admirerez la sûreté de son juge-ment, son dédain pour les tendances à l'absolu, pourla fausse précision, son sentiment exquis des expé-riences comparatives tout est

physiologique en lui,si profondement pénétre de la complexité des phéno-

mènes, de l'importance primordiale des conditions

qu'on ne doit jamais isoler de la conclusion. Laissez-

moi vous citer un exemple. Sous une vaste cloche

vous laissez un moineau s'asphyxier lentement; quandil se montre fort malade, vous y introduisez un autre

moineau bien vivant. Or, c'est celui-ci qui mourra le

premier; il est vigoureux et sain, et n'a pu supporterla transition brusque à des conditions fâcheuses où

l'autre'avaitété lentement amené. C'est ce sentiment

de l'influence fondamentale des conditions qui a tant

fait insister Claude Uernard sur l'étude des milieux

extérieurs et surtout du milieu intérieur du sau"- desa température, de sa composition chimique.

Et dans quelles conditions de travail a-t-il pu faire

tant de choses? J'ai vu, et j'y ai secondé le maîtrecette tanière obscure et humide du Collège de France,qui fut pendant longtemps le seul laboratoire de vi-

visection de France. C'est à ses protestations indi-

gnées que nous devons d'être sortis de ce triste état

de choses et de voir enfin s'organiser des laboratoires

où, d'abord, il est possible de vivre. Oui, c'est dans

ces conditions qui, devant moi, arrachaient des larmesCLAUDE BEMAM). X!X.

Page 80: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

6t) LES THAYAUX DU CLAUDE BERNARD

a un illustre étranger, sans instruments, sans argent,

presquesans aides officiels, que Claude Bernard a

tant fait! La nécessité rendit ingénieux son génie; la

simplicité de ses moyens d'action étonnera éternelle-

ment lui, qui introduisit la physique et la chimie au

cœur de la physiologie, il dédaignait profondément

cette instrumentation compliquée dont. fait ses déiices

et sans laquelle ne peut vivre la physiologie d'outre-

Khin. L'antithèse entre lesmoyens

d'action et les

résultats le fait encore paraître plus grand.

J'ai eu soin de vous faire remarquer, à diverses re-

prises, comment presque toutes ses grandes décou-

vertes remontent aux débuts de sa vie scentinque. Un

exposé de titres, qui parait dater de 1851, contient,

en effet. le résumé de travaux sur les nerfs crâniens,

sur les liquides intestinaux, sur la glycogénie, sur le

diabète, sur le curare; les vaso-constricteurs ont été

découverts en t8ot. Ainsi, dans ces sept premières

années de son apparition au monde scientifique, il y

a comme une véritable explosion, et les vingt-cinq an-

nées qui vont suivre se passeront à développer, à

agrandir, a étayer de preuves nouvelles, à défendre

contre les critiques, les découvertes de sa jeunesse,

et surtout à les relier les unes aux autres et à les faire

servir il des visées d'un ordre supérieur.

Mais si, en 851, les faits principaux de son œuvre

expérimentale sont acquis, il ne semble pas encore

eu sentir lui-même toute la portée. Du moins son ex-

posé de titres les énumëre non sans détails. mais

avec une singulière sécheresse. Les témoignages de

ses contemporains sont d'accord avec le style de ses

publications, pour montrer que son génie ne dépas-

Page 81: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

FAHi'At'LCERT. !/?

sait pas alors, par ses visées, l'horizon relativement

étroit d'un laboratoire de vivisection. Il coupe, i!

excite, il enlève, et, surtout, il regarde mieux que ne

font les autres, mais c'est tout; de conséquences gé-

nérales, même dans le domaine de la physiologie, il

n'en est pas encore question.

L'histoire des savants illustres est là pour prouver

que ce n'est pas un mal de s'ignorer soi-même et de

ne pas sentir trop tôt des prétentions à la grandeur.Claude Bernard les eut si peu que, vers cette époque.il se découragea et ne parut pas, en face des situa-

tions misérables que la France faisait alors aux

hommes de science, éloigné de reprendre le fardeau de

la pratique médicale. Heureusement il n'en fit rien.

et bientôt les préoccupations du professorat le forcent

à envisager d'une manière plus générale les phéno-

mènes à l'analyse desquels il s'était jusqu'alors ex-

clusivement consacré. Ce ne sont plus seulement des

faits nouveaux qu'il va découvrir, ces faits serviront

de base, puis d'étais, à des conceptions d'un ordre

plus général.

Claude Bernard commence dès lors à renoncer A

cette physiologie des mécanismes, dont la variété n'a

rien qui puisse attacher pendant quelque temps nu

esprit supérieur. Il laisse là les questions de rythme,de mouvements, de mesures. S'il détermine la pres-

sion du sang dans les artères, c'est pour étudif'r

l'influence que diverses conditions physiofogiqut's

exercent sur ses variations. Il abandonne ces sections.

ces arrachements de nerfs qui, avant lui, consti-

tuaient presque toute la physiologie des vivisections.

et dans lesquels il a excellé. Une vue d'ensemble i a

Page 82: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

CSIl~, LHSTHAVAL'X M CLAUDE HEfiNARD

frappé et désormais il s'y consacrera tout entier.

L'être vivant est un lieu ou, dans des conditions in-

finiment variées, s'accomplissent des actes purement

physico-chimiques;mais ces actes constituent par

leur complexité, tout au moins par les conditions où

ils s'exécutent, une catégorie à part. Certains d'entre

eux. môme, auxquels i! convient de conserver le nom

de /~<o~«~ ~<r, sont spéciaux par leurs mani-

festations, sinon par leurs causes, aux êtres vivants.

Us sont exécutés, dans la profondeur des organes,

par les corpuscules les plus petits en lesquels l'ana-

tomie puisse, le microscope en main, réduire les

corps organisés; ces corpuscules, ces éléments ana-

tomiques ayant chacun leur autonomie, leur vie

propre, leur manière de produire, de sentir, de réa-

gir. Les organes, les tissus, ne vivent que de la vie

des éléments anatomiques, et la vie totale

de l'être est la source totale de leurs vies individuel-

les. Dans les êtres compliqués de structure, compli-

cation que de grandes dimensions rendraient a elle

seule nécessaire, les éléments anatomiques ne peu-

vent être en contact direct avec le milieu extérieur,

i!s ne peuvent y pniser directement ni les aliments

ni 1 oxygène, ils ne peuvent y rejeter les détritus de

leur nutrition, Il est donc nécessaire qu'un intermé-

diaire se charge de ces relations, leur apporte du de-

hors ce dont ils ont besoin, en emporte ce qui leur

nuit. C'est, suivant la pittoresque expression de Claude

Bernard, le milieu M~i!'<'M/ au sein duquel les élé-

ments vivent comme les animaux aquatiques dans

l'eau, et qui s'y trouvent, chez les animaux supérieurs.

vraiment en .6- c/<<?/ c'est le sang, courant

Page 83: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

f'ARPAL'LBEHT. f:9

daus des canaux qui vivent eux-mêmes et qui, s'ils

changent de calibre, peuvent singulièrement modi-

fier les conditions de la nutrition élémentaire.

Envisageons maintenant de ce point de vue l'ensem-

ble des travaux de Claude Bernard, et nous allons les

voir concourir admirablement à une œuvre commune.

Le fait fondamental c'est l'indépendance de la

vie de chaque élément anatomique. Les poisons, cu-

rare, strychnine, oxyde de carbone, upas, qui frap-

pent exclusivement chacun tel élément, respectant

les autres, vont en fournir une preuve saisissante.

C'est la base de la physiologie générale, et Claude

Bernard, qui le premier a donné à cette expression

sa valeur réelle scientifique, ne se lassera jamais

d'en élargir, d'eu solidifier l'assiette. Sans cesse, il

revient sur cette idée; ses derniers livres lui donnent

la plus large place, et il invoque, pour l'établir, d'in-

nombrables arguments dont il fournit lui-même les

plus importants.

L'incessante activité de ces éléments, qui est la

cause et la conséquence même de leur vie, consomme

de l'oxygène, produit de la chaleur, consommation

et production qui augmentent lorsque cette activité

s'accroît. C'est ce que montre Claude Bernard par ses

travaux sur l'origine de la chaleur animale, sur les

variations des températures locales, sur le change-

ment de la couleur du sang suivant l'état de repos

ou de fonctionnement des parties qu'il traverse.

Mais ces éléments anatomiques, tout en vivant cha-

cun par lui-même, ne vivent pas exclusivement cha-

cun pour lui-même.

Citoyens innombrables de la république vivante,

Page 84: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

T~' LES TRAVAUXDE CLAUDEUEHNARD

ils ont bien chacun leur indépendance, mais ils sont

iiesics uns aux autres par un pacte social, auquelil faut êtrefidëte sous peine de mort. Aussi bien,

si l'un d'eux, je veux dire, si toute une catégorie,vient à manquer, la dissolution sociale, la mort sur-

viennent aussitôt. Héciproquement, chaque catégorierend un ordre spécial de services à la communauté

entière.

C'est ainsi que la cetlutcdu foie assumantpour elle

seule une fonction qui dans les âges embryonnaires a

:)ppartenu a bien d'autres ccifnJes, se charge d'em-

magasiner l'amidon, de produire le sucre, dont le

dédoublement sera l'une des sources de la chaleur, et

paraît être, pour des raisons encore inconnues, l'une

des conditions fondamentales du développement et de

la nutrition ceUutaire.

Je viens de dire dédoublement, et non pas simple-ment combustion. C'est que, s'il est bien vrai quetous les phénomènes chimiques des êtres vivants ont

pour conséquence generaïe nne oxydation, il ne fau-

drait pas croire que tout se passe avec ia simplicitéd'un foyer ordinaire. C'est bien d'actes chimiques qu'ilest question, mais d'une chimie spéciale dont Claude

Bernard n'a cessé, depuis son premier travail sur les

sels métalliques et les ferments, d'étudier les condi-

tions et les produits, d'une chimie qui n'a guère son

analogie que dans les actes de la fermentation, si bien

que, d'après ses propres paroles, ce n'est pas à une

machine à feu, comme on le fait depuis Lavoisier,

qu'il convient de comparer un être vivant, mais bien

plutôt à la cuve en ébullition du brasseur.

Tous ces actes chimiques, qui bientôt useraient les

Page 85: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PARPACLUEHT. 7t

réserves de l'é)ément anatomiqnc,ne

peuvente.treri-serves clc: 1 c:m.4 aG~.w~. il,'

continues que grâce a la présence du saug.

Apres avoir bien nettement précise par ses expé-

riences sur les sucs digestifs et sur l'oxyde de carbone,

comment le s:)ngva prendre à la surface des muqueu-

ses les matériaux déjà préparés, il se demande si la

distribution de ce liquide réparateur ne se fera dans

toutes les parties de l'organisme que suivant les règles

que lui assignerait l'hydraulique s'il se mouvait dans

des tubes inertes. Et, devinant /)/qu'il n'en peut

être ainsi, qu'au contraire chaque région doit être

nourrie au prorata de son travail, il cherche et trouve

le moteur de cette justice distributive, ce système

nerveux vaso-moteur dont je vous ai parlé, régula-

teur de la chaleur, de la nutrition, de la force, grand

maître des sciences organiques, qui les lance ou les

contient suivant qu'il veut exciter ou calmer,

MM pO?M7'C vult.

Ainsi, vous le voyez, l'oeuvre physiologique tout

entière de Claude Bernard, dont les diverses parties

ont pu, dans la premièremoitié de cette conférence,

vous paraître si diversifiées et presque incohérentes

entre elles, se réunissent, s'appuient, se condensent

autour de la démonstration du fait fondamental et de

l'étude de ses innombrables variétés d'aspect la vie

chimique de la cellule.

Et je dis cellule vivante, et non cellule animale

seulement. Car il vint un moment où Claude Bernard,

ramenant a l'unité tant de phénomènes complexes,

arriva a montrer qu'au point de vue si élevé où il s'est

placé, l'utile division des êtres vivants en animaux et

en végétaux n'a plus sa raison d'être ou, pour mieux

Page 86: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

~2 LES TnAVAf'X DE CLAUDECEHXAM

dire, que les éléments anatomiques, qu'ils soient par-tie constituante d'un animât ou d'un végétal, vivent

semblablement par des procédés chimiques du même

ordre. Certes, entre la cellule sensible du cerveau

humain et l'humble icvùre de bière, la din'érence

semble et est, en réalité, immense. Et cependant, un

peu de vapeur d'éther, qui engourdit notre cerveau,endort de menu; la levure qui cesse de produire l'al-

cool, quitte à se réveiller pour se remettre au travail,comme nous faisons nous-mêmes, quand l'évapora-tion l'a libérée. Que si l'on objecte que le fonctionne-

ment général des deux ordres d'êtres vivants est dia-

métralement opposé, que le végétal est un réducteur,

l'animal un brûleur, Claude Bernard, par la plus élé-

gante des expériences, endort par la vapeur d'éther les

cellules vertes, le manteauchlorophyllien, qui cons-

titue la vraie différence des êtres, et montre le végétâtfonctionnant alors comme un animal, c'est-à-dire

comme un appareil d'oxydation.

Ce dualisme vital, cet antagonisme fonctionnel entre

le règne animal et le règne végétal, vrai si l'on consi-

dère les résultats dénnitifs, ne résiste pas a l'examen

detaiDe des phénomènes. Ainsi, la digestion des fécu-lents, des sucres, des graisses, des matières albumi-

noïdes, est faite par la graine, en vertu des mêmes

agents que dans le tube intestinal de l'animal.

Ce n'est pas la qu'est, selon Claude Bernard, le vé-

ritable dualisme physiotogique. Oui, il y a bien, chez

les êtres vivants, et des phénomènes de réduction et

des phénomènes de combustion. Les uns ont lieu tou-

tes les fois qu'il y a formation de tissus ils sont la

caractéristique des périodes embryologiques. Les au-

Page 87: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

P~.nPAt'LBEftT. 733

très son;, laconséquence

de l'action même des élé-

ments, des tissus, d(sorganes. La création organi-

que est la réduction, l'action organique la comhus-

tion. Mais cet antagonisme a lieu tout aussi bien chez

les animaux que chez les végétaux; il a rapport à un

ordre de phénomènes et non à une classification.

L'unité fondamentale, au sein de tant de variétés

qui la dissimulent, telle est la vue synthétique que

Claude Bernard dégage progressivement de ses études

analytiques, et qui finit, dans la seconde moitié de sa

vie scientifique, par hji servir de guide dans l'analyse

elle-même. C'est elle qui permet de le proclamer le

véritable fondateur de la physiologie générale, expres-

sion moins nouvelle que la science qu'elle désigne et

qui avant lui, ne couvrait que des généraiités ou mémo

des banalités sur une physiologie faite d'hypothèseset de vraisemblances.

Si l'œuvre de Claude Bernard, envisagée au pointde vue de la physiologie pure, peut ainsi se résumer

grâce à la vue d'ensemble qui a présidé à son édifica-

tion, il est plus facile encore d'en exposer rapidementla partie relative à la science des maladies. Pour lui,

la maladie n'est qu'une altération dans le fonctionne-

ment régulier de l'élément anatomique, altération due

soit a lui-même, soit a la composition du sang, du

milieu intérieur, soit au mode de distribution de ce

milieu. La thérapeutique est l'emploi d'agents physi-

ques ou chimiques qui restituent aux éléments ou au

milieu intérieur leurs qualités normales. Et c'est ainsi

que nous l'avons vu, de chacune de ses découvertes

physiologiques, tirer des applications médicales. Aprèsla gfycogénie vient la théorie du diabète, produit, non

Page 88: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

74 LES TRAVAUXDE CLAUDEBERNARD

comme on le croyait jusqu'à lui, par le sucre des ali-

ments que l'organisme ne brûlerait pas, mais bien

par une suractivité exagérée du foie, excitée elle-

mcme le plus souvent par une maladie de la moelle

aDon~ée. Après la découverte des nerfs vaso-moteurs,

des expériences que je ne puis même indiquer ici en

montrent !e rôle dans les congestions, dans les inflam-

mations, dans les cicatrisations, et créent toute une

nouvelle théorie de la Hèvre.

Eu montant pour la première fois, en 1847, comme

suppléant dans la chaire de Magendie, Claude Bernard

disait audacieusement « La médecine scientifique,

que j'aurais pour mission de vous enseigner, n'existe

pas. Une bonne part de la vie de Claude Bernard a

été consacrée à en établir les bases. It a exerce en

cette matière une influence dont témoignent les

innombrables livres et mémoires inspirés de son esprit.

Il a, on peut le dire, transformé le sentiment des mé-

decins et montré que l'expérimentation peut s'accor-

der avec l'observation clinique. Et il est même arrivé

ceci, c'est que le besoin des conclusions hâtives, qui

est propre aux médecins, et cela est légitime, car

les importants intérêts qu'ils servent n'ont pas le

temps d'attendre,– s'étant fait jour bien vite, Claude

Bernard a dû s'efforcer de modérer, pour le contenir

dans les limites scientifiques, un mouvement qu'il

avait déterminé lui-même.

Telle est, résumée à grands traits, l'ceuvre expéri-

mentale de Claude Bernard dans le domaine physiolo-

gique et dans le domaine pathologique. Mais si consi-

dérables et si nombreuses que soient ses découvertes,

Page 89: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAUFALLBURT.

si é'evés et si importants que soient les faits générauxqui s'en déduisent, tout cela ne pourrait suffit-e pourexpliquer la haute situation

qu'occupait Claude Ber-nard non seulement aux yeux dit monde savant, maisdevant tous les esprits éclaires, et son influence extra-ordinaire sur ses

contemporains. Ce qui en donne la

raison, c'es' q:il n'était pas seulement un découvreur,mais un fondateur et un législateur.

Certes, il serait excessif de prétendre, après Har-

vey, Hunier, Lavoisier, Magendie, qoe Claude Ber-nard ait créé la

physiologie, même la physiologieexpérimentale. Et cependant, il fit en son domaineœuvre de fondateur.

Jusqu'à lui, en effet, nousvoyons la physiologie

considérée comme une annexe, par les uns, de la mé-

decine, par les autres, de l'anatomie. Les seules chai-res qu'elle possède sont placées dans les Facultés de

médecine; les problèmes qu'elle étudie se résolventen cette formule étant donnée une partie du corpsqu'a découverte et décrite l'anatomiste, en trouver lafonction.

Dès ses débuts dans l'enseignement, Claude Ber-nard proteste contre cette manière de voir, dont l'é-

troitessenous para!! si étrange aujourd'hui. H réL-lame

pour laphysiologie un titre et une place à part. Il

montre que les connaissances anatomiques peuventbien expliquer certaines questions de mécanisme,mais qu'elles sont impuissantes à donner la moindrenotion sur le rôle des organes lorsque la

physiologiene les a pas précédées. De même, lui qui devait, parses découvertes, tant concourir aux progrès de la mé-

decine, il en isole la physiologie, dont il fait une

Page 90: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

'7C tES THAYAUXDE CLAUDEBERNARD

science fondamentale et primordiale, et montre qu'il

convient d'en attendre le développement avant de

penser constituer scientifiquement la médecine.

Ayant ainsi rendu à la physiologie le service qu'a-

vaient rendu a l'anatomie Bichat et de BtainviHe, il

l'enlève hardiment au groupe des sciences contempla-

tives ou d'observation pour la placer a côté de la

physique et de la chimie, parmi les sciences expéri-

mentâtes, agissantes, ou, suivant son expression, con-

quérantes de la nature.

Mais, pour qu'elfe méritât ce titre, pour qu'elle pût

même réclamer d'être considérée comme une science,

il fallait que la physiologie fut sûre d'elle-même, que

les phénomènes qu'elle étudie fussent régis par des

lois fixes. Or, au moment où Claude Bernard apparut

dans la lice, le découragement était profond. Deux

écoles se trouvaient en présence. L'une était persua-

dée qu'en ce domaine périlleux, il n'était place pour

nulle certitude. Une sorte de génie capricieux, la vie,

le principe vital, dont l'intervention ne pouvait être

ni prévue, ni réglée, se faisait comme un jeu de tout

brouiller, si bien que les conclusions des expériences

les mieux ordonnées n'étaient qu'un décevant mirage.

« On ne peut rien prévoir, disait Bichat, rien calculer

dans les phénomènes dus au jeu des propriétés vitales,

dont le caractère essentiel est l'instabilité. ') Et celui

qui parlait ainsi était chef d'école. « Vous dites qu'en

physiologie les résultats sont identiques quand on

opère dans des conditions identiques. Je nie qu'il en

soit ainsi. Cela est exact pour la nature brute, mais

quand la vie intervient, on a beau être dans des condi-

tions identiques, les résultats peuvent être ditrérents. »

Page 91: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAU PAUL BERT. T7-1

Q"i parleainsi?

Gerdy, chirurgienet

physiologistede

renom. A quelle époque? En !845, au moment ou

Claude Bernard venait d'expliquer, avec une sagacité

admirable, les raisons d'un dissentiment entre Brodie

et Magendie.

A côte de cette école qui, si elle eût été logique, se

fût croisé les mains et eût refusé d'agir non seulement

en physiologie, mais en médecine, école qui citait à

l'appui de sa négation systématique l'innombrable

série des contradictions et des querelles physiologi-

ques, s'élevait celle de Magendie. Le bon sens de

celui-ci n'avait pu être altéré par cette philosophie de

convention. Mais la connaissance de ces contradic-

tions, !a. multiplicité munie des conditions dont il faut

tenir compte en physiologie, le sentiment qu'il en est

beaucoup plus d'ignorées que de connues, avaient jeté

dans un doute singulier l'esprit de celui qui devait

être le maître de Claude Bernard, Il ne niait pas, lui,

il doutait à outrance. De conclusion, il n'en voulait

pas, et il ne craignait pas de déclarer, lui aussi, qu'une

même expérience peut donner des résultats différents,

tout en étant faite dans des conditions en apparence

identiques il se déclarait à l'avance vaincu, non point

'par un génie mystérieux, mais par le nombre et le

poids des inconnues.

Entre l'école de la négation et celle du scepticisme.

la science manquait de bases et les plus étranges con-

tradictions semblaient s'y être donné rendez-vous.

Claude Bernard vit du premier coup d'œil qu'il fallait

ran'ermir le solpour pouvoir

construire avec sécurité.

Des ses débuts, il s'attacha à quelques travaux de cri-

tique où il se montra aussi admirable que dans ses

Page 92: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

i8 LES TfiAVAUX DE CLAfttE BE~'ARD

recnercnesongmates. Désormats sûr de lui-même et

de sa science, il marcha en avant sans discuter da-

vantage et chacun suivit son exemple la certitude

avait pris droit de cité dans le domaine de la physio-

logie, qui marchait ainsi de pair avec ses aînées, la

physique et la chimie.

Un jour ~'int, où, frappé par la maladie, éloignémomentanément du laboratoire, Claude Bernard vou-

lut faire profiter les physiologistes et les médecins du

résultat de ses efforts dans le domaine de la méthode.

Il écrivit son 7/<o~c/MM « /'<~Mf/<-de /« médecine ~n~-~M~/<i!/c. C'était en 1865 il était alors en possessionde toutes ses grandes découvertes, et il semble quesa gloire ne pouvait plus grandir. Cependant, ce fut

une révélation les hommes de science, les spécia-listes eux-mêmes furent frappés d'étonnement et

d'admiration, et l'opinion publique s'émut trois ans

après, Claude Bernard entrait à l'Académie française.C'e.st que, pour la première fois, étaient tracées, et

tracées de main de maître, les règles de la méthode

expérimentale, appliquées aux recherches exécutées

sur les êtres vivants.

C'est que, pour la première fois, étaient signa)és,dévoilés, avec la sagacité d'un pilote qui les a su tous"

éviter, les écueils que l'encontre, innombrabtes et

secrets, sur sa route, ic physiologiste expérimentateur.C'est que, pour la première fois, se développait

avec ampleur la critique expérimentale, cette critique

qui ~'a rien a voir avecl'esprit d'opposition ou de

controverse, qui cherche moins les erreurs que les

causes des erreurs, et qui sert a l'éducation scientifi-

que presque autant que ta découverte.

Page 93: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR PAUL BERT. 79

C'estque, pour la première fois, cette certitude de

l'identité dans les résultats quand les conditions des

pliénomënes sont identiques, certitude sans laquelle

il n'y a pas de science, était affirmée, démontrée, par

une discussion qui est restée comme un modèle, et

étayée de preuves presque toutes empruntées à ses

propres découvertes, en telle sorte que cette disserta-

tion philosophique prenait l'intérêt palpitant d'nne

auto-biographie. A cette certitude il donnait même

un nom, qui a fait fortune; il l'appelait le ~/cr/?~

MM'Mg.

Et avec quel art merveilleux il montre les condi-

tions du doute scientifique, l'utilité et le danger des

théories, le rôle de l'observation et de l'expérimen-

tation dans les sciences biologiques, l'importance, la

nécessité de l'intuition, du sentiment intérieur, de

l'hypothèse, pour engendrer l'idée expérimentale!

Un jour, permettex-moi ce souvenir personnel qui

concorde si bien avec cette partie de mon sujet,

dans la première année où j'avais l'honneur d'être

son préparateur, comme j'entrais au laboratoire, et

me débarrassais de mon vêtement de dehors Lais-

sez, me dit-il, votre imagination avec votre paletot,

au vestiaire, mais reprenez-la en sortant. ') Kn tenant

compte, comme je dus le faire, de la fine critique qui

se dissimulait avec tant de bonté, je puis dire que

Claude Hernard, comme expérimentateur, est tout

entier dans cette formule. Arriver avec son imagina-

tion, c'est-à-dire avec son idée préconçue, avec le

plan de l'expérience qui pourra servir à la résoudre,

car il ne faut jamais, disait-il, expérimenter au hasard

et M M//tc. Mais une fois l'œuvre commencée, devenir

Page 94: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

80 LES TRAVAUX DE CLAUSE UEttXARI)

passif, en quelque sorte, pur contemplateur, ne pas

faire comme les hommes a idée fixe, qui n'interrogent,

que pour la forme, et font en même temps la de-

mande et la réponse. Tout voir, (;e qui est eu rapport

avec l'ordre de recherches poursuivies, comme ce qui

lui est étrange)'; accepter docilement ce que donne

l'expérience, que le résultat soit favorable ou défavo-

rable à l'idée préconçue, avec plus de joie même,

dans ce dernier cas, car c'est le signe d'une inconnue

nouvelle, par suite d'une découverte à faire. Puis, au

sortir du laboratoire, redevenir libre, reprendre son

imagination, réfléchir, conclure s'il en est temps, ou

concevoir une hypothèse nouvelle que lexperience

j':gera le lendemain ou même, si quelque fait plus

important s'est rencontre, laisser la le sujet primitif

de la recherche pour poursuivre ce filon imprévu.

C'est ainsi qu'alternativement actif et passif, esclave

et maître, l'expérimentateur peut arriver à dompter

l'inconnu tel est le spectacle que retrace Claude

Hernard avec l'intensité de vie qu'y peut mettre seul

un homme qui est a la fois acteur et auteur.

Mais revenuns au ~c/?!<M/~<?. Aussi bien est-ce la

la ba-e même de toute la vie scientifique de Claude

Bernard; c'est de lui qu'émane toute sa philosophie.

C'est sur ce roc solide qu'il édifie toute doctrine c'est

la qu'il s'est établi pour braver le scepticisme décou-

rageant et les caprices du principe vital; c'est là qu'il

se réfugiera quand il faudra fuir ceux qui voudraient

l'entramcr avec eux dans la roue d'écureuil de la mé-

taphysique.

Sans doute l'expérimentation en physiologie est

plus difficile que dans les autres sciences, parce que

Page 95: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

P&n PAUL BERT. 8<

CHUCE BERNARD. XIX. 6

les organes sont multiples, les fonctions complexes,

les liquides et les solides mêlés de manière à ne pou-

voir être isolés; mais encore et surtout parce qu'un

trouble porté sur un point de l'organisme retentit

sur beaucoup d'autres, et qu'on peut être entraîné à

prendre le phénomène secondaire pour le principal,

l'effet lointain pour la conséquence prochaine tel un

homme qui croirait l'intelligence localisée au bout du

doigt, parce'qu'un panaris aura donné le délire. Mais

s'il est plus difficile de conclure, la conclusion n'est

pas moins certaine, quand les précautions nécessaires

sont prises et que l'éducation de l'expérimentateur a

été suffisante.

ïl n'y a pas dans les sciences biologiques, non

plus que dans les sciences des corps s br uts, de con-

tradiction dans les faits, il ne peut y en avoir que

dans les conclusions. Tout ce qu'a vu un expérimen-

tateur sincère est vrai, et si on ne le retrouve pas;

c'est qu'involontairement on s'est mis dans d'autres

conditions que celles où il était placé. Ces conditions

sont infiniment nombreuses et complexes leur dé-

terminaison exacte est presque toute la physiologie.

Les mots <?~c~oM, ~M'y~c/w~, etc., ne servent qu'à

masquer notre ignorance; ~w/~M~/b~<?M/-<<? n'ont

pas leur place dans le langage scientifique, qui doit

dire jamais ou toujours. La confiance presque naïve

dans les faits, la défiance dans les conclusions, deux

qualités que Claude Bernard posséda à un si haut

degré, procèdent du sentiment de la certitude, qui est

la base du déterminisme.

Et celui-ci non seulement nous rend le service de

solidifier le terrain où peuvent plonger leurs racines

Page 96: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

82 LES TRAVAUX DE CLAUDE BERNARD

les sciences expérimentales, mais il nous ëer"i:'a. en-

core à limiter leur domaine, car il commence et finit

précisément là où il y a détermination.

La limite de nos connaissances est la même dans

les phénomènes des corps vivants et dans ceux des

corps bruts nous ne savons jamais que les rapports

constants de conditions et de phénomènes préciser

ces conditions est toute la science du physiologiste,

comme celle du physicien et du chimiste. Sans doute

nous cherchons sans cesse à marcher en avant, le

pourquoi a la bouche mais nous arriverons toujours

à une cause MW</e (Bacon), qui ne nous entendra pas,

qui ne nous répondra pas, et si nous croyons enten-

dre quelque chose, ce ne sera que l'écho de notre

propre pensée.

Faut-il donc s'arrêter là? Ne pouvons-nous donc

rien savoir au delà des conditions et des phénomè-

nes, et le problème de la vie sera-t-il donc toujoursinsoluble? Oui, dit Claude Bernard, comme celui de la

pesanteur et de l'afnnité; donner des noms aux pro-

blèmes n'est pas les résoudre. <'L'obscure notion de

cause doit être reportée à l'origine des choses; elle

n'a de sens que celui de cause première ou de cause

finale; elle doit faire place dans la science à la notion

de rapport ou de condition, » Et ici le déterminisme

règne en souverain il n'y a pas plus de sponta-

néité dans la matière vivante que dans la matière

morte.

Mais pouvons-nous du moins dénnir la vie? Mon,

« les définitions sont illusoires; les conditions des

choses sont tout ce que nous en pouvons connaître M.

Mais un maître a dit « La vie est l'ensemble des

Page 97: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR PAUL BERT. 83

fonctionsqui résistent à la mort. o Est-ce exact du

moins? Faut-il accepter cette antithèse entre les

forces vitales combattant pour le salut du corps et

les forces physico-chimiques qui tendent à le dé-

truire ? Non, a coup sûr, répond Claude Bernard;

il ne se passe dans notre corps que des phénomènes

dépendant des forces physico-chimiques. Mais elles

sont dirigées par une force vitale ? Nous n'en savons

rien, puisque cette force, si elle existe, ne se mani-

feste à nous que par l'intermédiaire des forces phy-

sico-chimiques, et que souvent celles-ci semblent la

diriger. Sans doute, il y a un arrangement régulier

des choses, une évolution, et dans l'œufun <M'

~ous reconnaissons un plan, mais c'est là une vue

de l'esprit a laquelle il ne faut pas donner une activi-

té matérielle; et puisque « chaque chose s'exécute

dans les corps vivants comme s'il n'y avait pas de

force vitale à quoi bon, nous, hommes de science,

inventer une puissance impuissante.

Ainsi, des phénomènes d'ordre physico-chimique,

mais s'opérant par des procédés spéciaux auxquels

il est bon de conserverie nom de vitaux, au sein d'élé-

ments microscopiques qui leur présentent des condi-

tions spéciales, suivant des lois spéciales, mais qui

sont les mêmes depuis la bactérie qui flotte dans

l'eau saumâtre jusqu'à notre cellule cérébrale, et,

malgré la prodigieuse complexité des faits, aussi

réglés, aussi déterminés que la progression des corps

dans leur chute ou l'union des acides et des bases;

en un mot, « des conditions matérielles déterminées

qui règlent l'apparition des phénomènes, des lois

préétablies qui en règlent l'ordre M uu conflit entre

Page 98: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

8!. LES TRAVAUXDE CLAUDEBER~AHD

un organisme et le monde extérieur, conflit qui engen-

dre des phénomènes de création organique et des

phénomènes de destruction organique, voilà la vie, ou

du moins, voilà tout ce que nous en pouvons savoir:

or, c'est perdre son temps que chercher l'introuvable.

Ou du moins ce n'est pas faire œuvre de savant;

mais, dans le domaine dit déterminé, qui est le sien,

il ne faut jamais se lasser de marcher en avant. « Le

désir ardent de la connaissance est l'unique mobile

qui attire et soutient l'investigateur; c'est cette con-

naissance qu'il saisit réellement et qui fuit cependant

sans cesse devant lui, qui devient à la fois son seul

tourment et son seul bonheur. Le savant ne doit ja-

mais s'arrêter en chemin il doit toujours s'élever

plus haut et chercher tant qu'il voit quelque chose a

trouver. » Or il ne peut trouver que dans le domaine

du déterminé; l'indéterminé ne saurait rien lui onrh'

il appartient au philosophe et Claude Bernard s'en

écarte résolument.

Mais une telle prudence ne saurait sufnre aux fai-

seurs de systèmes. Et chacun d'eux de chercher,

parmi les hasards des rédactions diverses, quelque

fragment qui lui permettra d'apporter à l'appui de sa

thèse l'autorité du grand physiologiste. Messieurs,

il faut dégager Claude Bernard de toutes ces compro-

missions il n'est ni matérialiste, bien qu'il réduise

tous les phénomènes vitaux, même ceux qui se pas-

sent dans le cerveau à des actes physico-chimiques

ni spiritualiste, bien qu'il sente en lui et afnrme ia

liberté agissante.

Il se cantonne scrupuleusement au contact immé-

diat des faits d'observation et d'expérience, sans aller

Page 99: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR PAUL BERT. 8!i

plusloin que leurs conséquences les plus prochaines.

!I repousse également, ce sont ses propres paroles,

tous les systèmes de philosophie. Non qu'il ne croie

la philosophie utile, car « elle représentel'aspiration

éternelle de la raison humaine vers la connaissance

<)e l'inconnu. C'est l'esprit philosophique qui stimule

et entretient un mouvement salutaire dans les scien-

ces, qui, sans lui, tendraient au repos et se traîne-

raient terre à terre.') Mais Claude Bernard refuse

obstinément, et malgré maintes séductions, de s'enrd-

ler sous aucune banniètc; maintes fois, il proteste et

réclame son indépendance:« Il faut, s'écrie-t-il, bri-

ser les entraves des systèmes philosophiques comme

on briserait les chaînes d'un esclavage intellectuel. »

Or, ce qu'il repousse pour lui-même, il ne saurait

vouloir l'imposer aux autres. Aussi le voyons-nous,

malgré qu'on en ait dit et écrit, rester homme de

science, avec un esprit trop élevé pour se laisser

leurrer par un système, et trop loyal pour essayer

d'en leurrer les autres.

Au reste, ce n'est pas là, malgré ce qu'en ont dit

tant de journaux et de revues, ce n'est pas là qu'est

Claude Bernard, Il est tout entier dans ses admirables

découvertes expérimentales, dans sa conception nou-

velle de la physiologie générale et de la médecine

expérimentale, dans son analyse méthodique, criti-

que, des conditions de la certitude dans les sciences

biologiques.

C'est par là qu'il a dominé son époque pendant près

de quarante ans d'une vie dont la sereine harmonie

ne s'est jamais démentie. C'est par lit qu'il a suscité

au tour de lui tant de travaux et tant d'hommes c'est

Page 100: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

M LES TRAVAUX DE CLAUDE BERNARD

par 1~ qu'il a transformé la physiologie, la pathologie,

la toxicologie, la thérapeutique c'est par là que son

œuvre vivra éternellement.

Et cependant la droiture, la sincérité profonde d&

Claude Bernard font qu'il n'est pas, dans le sens ha-

bituel du mot. un chef d'école. Il dédaignait trop le

système et le dogme. Mais ce qui est bien au-dessus,

il a été et reste le maître de tous les biologisles con-

temporains, de ceux mêmes qui l'ont combattu ou se

sont posés en rivaux.

Et si nous voulons, d'une autre manière encore,

nous faire une juste idée du rôle qu'il a joué dans la

science et dans l'évolution des esprits, employons a

notre tour une méthode de vivisection, cette de l'abla-

tion supprimons Claude Bernard par la pensée, et

reportons-nous à ce qu'était la science expérimentale

au début de sa carrière. La physiologie s'appelait

scepticisme, la médecine empirisme, la physiologie

générale rêveries, et la médecine physiologique sys-tème de Broussais. !I semble que des siècles se sont

écoulés: grâce à lui la physiologie marche d'un pas

assuré sur le sol affermi de la certitude la médecine,

sans rien renier des enseignements de l'histoire, sait

qu'elle ne prendra rang parmi les sciences qu'en fai-

sant œuvre de patience expérimentale. Deux mots

prononcés par des maîtres résument son œuvre tout

entière « Il ne fait pas, a-t-on dit, de la médecine,

il fait la médecine », et l'on a dit encore « Claude

Bernard n'est pas un physiologiste, c'est la physio-

logie ')

C'est à ce génie si profond, c'est à cette personna-

Page 101: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR PAUL BERT. 87

lité si puissante, c'est à cet homme si grand et si

simple à la fois, que la gloire était venue trouver sans

qu'il fit un pas vers elle, et qui s'était élevé comme

inconsciemment du rang de simple physiologiste vi-

visecteur à celui de législateur de ta méthode expéri-

mentale que le gouvernement de la République a

voulu rendre, par des funérailles solennelles, un hom-

mage réservé jusqu'à ce jour à ceux qui avaient servi

et illustré leur pays sur les champs de bataille ou dans

les conseils de l'État.

Il a voulu montrer par un exemple, dont la répéti-

tion ne pouvait qu'affaiblir la grandeur, que l'esprit

scientifiqne, l'esprit qui enseigne la recherche et le

culte de laloi, va prendre, dans la direction des cho-

ses publiques, la place dominatrice trop longtemps

occupée par l'empirisme, le caprice ou le sentiment.

Aucun honneur n'aurait pu toucher autant Claude

Bernard, si peu soucieux des honneurs, que de se

voir ainsi choisi pour caractériser une révolution

dont l'immense portée ne tardera pas à se faire

sentir.

Page 102: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)
Page 103: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

Ht

CLAUDE BERNARD

Par Armand MOREAU

Mcmbro Je t'Acadcmiede médecine (!)

L/Académie de médecine veut aussi dire un der-

nier adieu à Claude Bernard.

En me désignant à cet honneur et en m'imposant le

courage de surmonter ma douleur, elle me donne du

moins la consolation de vivre encore avec le maître

pendant que je rends hommage à sa glorieuse mé-

moire.

Claude Bernard, dans son enseignement au Collège

de France a consacré ses efforts à constituer la mé-

decine sur les mêmes principes que toutes les autres

sciences expérimentales, et ainsi qu'il le rappelait

chaque année dans sa première leçon, à établir qu'il

n'y a qu'une seule physiologie qui comprend l'étude

de l'état normal et de l'état pathologique.

(t) Discours prononcé aux funérailles de Claude Bernard, aunom de l'Académie de médecine, par M. Armand Moreau, le

samedi 16 février 1878.

Page 104: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

90 CLAUDEBERNARD

C'est ainsi que, pour lui, les expérimentateurs

qui ont cherché rapprocher la médecine de la

physiologie et des sciences physiques et chimiques,

Lavoisier, Laënnec, Mageudie, sont les vrais promo-teurs de la médecine expérimentale.

L'observation, qui est le point de départ de nos

connaissances, représente le premier degré de toute

investigation scientifique. En médecine, elle est in-

suffisante a nous fournir l'explication des phénomè-

nes il faut toujours en venir à l'expérimentation i!

faut passer de la clinique au laboratoire pour retour-

ner plus tard à la clinique.

L'anatomie est sans contredit au premier rang

parmi les sciences que le physiologiste doit posséder.

Haller définissait la physiologie, l'anatomie animée.

Cependant Claude Bernard enseigne que la structure

ne révèle pas la fonction, pas plus que la forme cris-

talline ne fait connaître la nature chimique d'une

substance nouvelle.

!1 explique que ce n'est pas en réfléchissant sur la

structure du pancréas, mais en suivant les modifica-

tions de la graisse dans l'intestin, c'est-à-dire en

suivant le phénomène physiologique qu'il est arrivé à

attribuer au suc pancréatique sa valeur et au pan-

créas sa fonction.

De même, c'est en poursuivant la disparition du

sucre dans l'économie, et non pas en examinant le

tissu du foie, qu'il a déterminé l'existence et le siège

de la fonction glycogénique. Ainsi Claude Bernard

distingue avec soin dans sa méthode expérimentale

le point de vue physiologique et le point de vue ana-

tomique en même temps, il demande et obtient la

Page 105: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR ARMAND MOREAU. Ot

fondation d'une chaire d'anatomie générale au Col-

lège de France, pour montrer que l'œuvre de~ Bichat

se continue et grandit toujours.

tl puisait dans une très-longue pratique des vivi-

sections, commencée avec Magendie, les données qui

lui permettaient de juger les questions directement,

et non plus sur la foi des autres. Chez lui, toute idée

formulée s'appuyait sur un fait précis, observé par

lui-même, et qu'il rappelait quand on discutait son

opinion. La force de ses convictions avait là son

secret.

Quand il commença, le moment n'était pas venu de

chercher des lois générales dans la science des phé-

nomènes vitaux. Avant les lois, il faut des faits, il

faut des découvertes peu de savants en ont fait

d'aussi nombreuses et d'aussi belles que Claude Ber-

nard. Vous le savex et vous n'attendez pas même que

je les énumère.

Revenant sur ces idées, dans ce dernier et triste

mois de janvier, il disait, en se promettant de ne plus

s'exposer au froid du laboratoire « Je puis mainte-

nant faire des synthèses partielles et j'intéresseraiautant que par des découvertes nouvelles » puis pre-nant un exemple dans cette fonction du foie que nul

ne soupçonnait avant lui. il ajoutait « Elle est très-

importante pour montrer que la nutrition ne se fait

pas directement après la digestion commence un

autre travail c'est aux dépens des matériaux qu'elle

fournit, que se fait dans le foie et d'autres organes

l'élaboration des principes nutritifs, et tandis qu'une

alimentation exclusive eût donné lieu à un sang par-

ticulier, il arrive, par le travail des glandes, que le

Page 106: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

CLAUDE BERNARB

~ang possède unecomposition constante. » Ainsi le

~r milieu

f~~P~ ~gan.-sme, comme

ta pelle Claude Bernard, devient le même dans lesstères des Herbivores et des Carnivores

L'union de laphysiologie et de la médecine scien-

tifique apparaîtd'une manière éclatante dans sesre-chcrches sur

l'asphyxie parla .apeur de charbon.Claude Bernard montre, en en-et, que l'oxyde de

carbone se combinant avecl'hémoglobine détruit la

faculté capitale du globule rouge, celle d'absorberl'oxygène; tous les phénomènes qui se succèdentderi-~ntdo l'action du gaz sur l'élément

anatomiqne, l'as-P'.yx.e est

expliquée. L'analyse physiologique ne peutpas aller plus loin, et dans l'action des médicaments leproblème scientifique consiste désormais à détermi-"er sur quel élément

anatomique chaque médicamentporte son action en d'autres termes

expliquer lesactions

tl~rapentiques, c'est connaître les modinca-tions des propriétés vitales que subit l'élément anato-mique atteint par le médicament.

En rattachant ainsi les questions dethérapeutiquede la manière la plus étroite à la

physiologie géné-rale, Claude Bernard a ouvert les voies à une ~orîemédicale nouvelle c'est doue justement que l'Aca-démie de médecme

revendique comme siens la plu-part des travaux de ce vaste et puissant esprit et qu'àcette heure de deuil public, elle se sent particulière-ment atteinte par la perte d'un savant médecin

Nous perdons tous uncollègue affable et bienveil-

lant, la génération qui a suivi ses leçons perd un.u.de et un ami ceux qui, comme moi, ont passé delongues heures dans l'intimité de ce maître vénéré

Page 107: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

PAR ARMAND MOREA)'. U:t

n'oublieront jamais ces conversations attachantes

dans lesquelles, devant nous, il faisait pour ainsi dire

l'expérimentation de son génie. Impressionnable et

cependant d'une volonté forte, il ne paraissait jamais

absorbé dans ses pensées. Son visage exprimait la

méditation et l'on pouvait trouver dans ses traits fins

et beaux pendant le repos la sérénité que donne l'ha-

bitude des pensées élevées et des recherches sérieu-

ses.

Il n'essayait jamais de produire aucun effet par sa

parole, et se figurant I&s autres à son image, il pen-

sait que la recherche de ce qui est doit suffire a les

passionner comme elle le passionnait lui-même.

Mais je m'arrête. Parler de l'homme plus long-

temps c'est aller au devant d'une émotion que ne

peuvent dominer ceux qui l'ont connu et aimé.

Adieu, maître

Page 108: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)
Page 109: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE

ALPHABÉTIQt'H ET ANALYTIQUE

D)!S MATtÈHES CONTENUES DAXS

LESŒUVRESDECLAUDEBERNARD

(tSYOU.'MES)

Par le Dr Roger DE LA COUDRAIE

Ancien interne d~s h~ptt&ui.

Page 110: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

INDEX

DES RENVO!S DE TOMAISON

Physiologie expérimentale. Tome (t;.

Il. Physiologie expérimentale Tome U.

!U. Substances toxiques et médicamenteuses.

n Système nerveux. Tome t.

V. Système nerveux. Tome Il.

Vf. Liquides de l'organisme. Tome t.

VX.1. Liquides de l'organisme. Tome 11 (2).

Y))).(. Médecine expérimentale.

iX. Rapport sur la physiologie générale (3).

X. Tissus vivants.

Xf Pathologie expérimentale.

XH. Anesthésiques et asphyxie.

X)ft. Chaleur animale.

X)V. Diabète.

XV. Physiologie opératoire.

XVf. Phénomènes de la vie. Tome 1.

XVU. Phénomènes de la vie. Tome ff.

X\f)f. Science expérimentale.

XIX. Claude Bernard et ses œuvres.

(t) U <~[c fait ptu~ic'Jf~ tir~~f"! de ce T<)!um<* sans chan~pm~nt )a set)!<* difMfpncc

con~i'-te en cc~u", dim:<c';)'tt't'[)iitir~}:t" ic t'tr'' (4 pa~<'s)et )'ava~t-pr~tHs(t pagëN), i,

pa~iué~ en cttilfrcs romaÍusJ tve sont' pax catrrpris darrs la pa~iua!¡(Jn généraia dn vrr

tux'c et daus t't'ft~in~ jtutf's ~f'gps, Us y foot com~rci. La {)r~ct)te tubic a ~té ffutc

d'npr';i tm <'x'')nphtirt' uu f< t~re ft ati'Mt-j'rt'p'tS sont cft'pt~ tt.tt's la pagh~t'~f) ~t~

nertde ~i' p~ a~c-.sf'urs d'cuctup~i"~ d~t! tCi'tpfs le ttt'f et )a ~r<î~))f<' ne so)~ )t!t-;

cmnjfrm '.hm-i Lt [iituin.tt'M n~oG~fe de~tott duuc diminuer de S unitt~t te eh)H'<f: de ta

pa.¡;:e dc n'II\'ui. Ain!'ii, atv divu de paFr: 0, li,res page 1.

(:tj Mëtnc ot)~et'~nl)u)t tu d~fcrcnce est de 4 p~et aeuiefnCHt fïM page 5~ ~<

pii~' t.

(3) La pr~sc'ttc tahte été fmte d'après t'~d!t~'n orig'Hate, fai-!ant partie du J?<'fM''t~

de /<o .~«' j~f/t.~ t~< ~<°.t '')! ~pj[ ~cx''<t'.f f~ /'r~~t~- Paris. t~7, t'Hf'ri"

toet'n' ttnpërmte. L''j't\rM~R pubtt'6 en ~72 s'a ie tttr''d<(7/<9~~ ~<rH~, M'c~

qH'tme f6 mpte~on !nms chan'gcment; tnj~h It u'~ pas 6té p~ssibJc d'ëtat~ht- UM cottC~-

danc': de pngtuatton.

Page 111: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

CLAUDE BERNARD. XtX. 7

TABLE£ C-. xi J.J Li

ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

DES MATtÈRES CONTENUES DANS

LES ŒUVRES ? (MM BERNARD

ABDOMEN. Hm'ts de la section du

pneumogastrique sur les orgaucs

abdominaux. V,tt5.–Sensibitite

des ganglions. X!, 3'!8. Voy. /<Mo-

M:t!M~e (cavité) ~Adomuia/e~ (sé-

crétions), Circulution abdominale,

Ganglions de /'a&f/OMfn, A'<')-/x

a&f<omM«MJ;.

ABDOMtNALË (CAVITÉ) du chien.

X VII, 372.

ABOUMtA'ALES (SÉCRKTMKS). Xt,

265. Influence d<' la piqûre du

plancher du quatrième ventricule.

!V,463.

ABLATtttN des parties. XVI, 3Ca.

ABSOLU. Sa connaissance exigerait

pour le plus simple phétMHnèM

la connaissance de l'univers en-

tier. XVIII, M.

ARSURBANT (Pouvota) de la sur-

face interne des glandes. XV,a)t.

Sa disparition pendant le cours

detasccretion.XV,5)5.

(SYSTÈME). XV, 33a.

ABSORBANTS (V.usM:AM). Voy.t''a<Me"M.c a~~or~oM~.

ABSORt'TtMf. tH, 104 IX, f!8

XII, 65; XVII, 2i2, 361. Ex-

périences avec le curare. Ht,

M2; XV, 3G' Sa suractivité

par l'action de l'éther. III, 41'

423. Capacité du sang artè-

rie) pour t'oxygène. Vi, 282.–

Capacité du sang veineux. Vf,

282. Le système nerveuxn'exerce pas d'innueuce directe.

fX, 73. Rote du système <tcr-

veux. tX, 88 XI, 283. Ses mo-

difications exptiquent les dinë-

rences d'action des médicaments.

XI, 28. Le double courant

qui eu résulte ne se produit pasdans les vaisseaux, aussi tongtemps

que le sang circule. XI, 28i.

Au point de vue physique, c'est

un simple effet de l'endosmose.

Xf, 284. Elle est retardët'. dos

que la circulation est rati'ntie.

XI, 285. Expérience de Mapon-

die. XI, 285. Au poiut de vue

expérimental et thét'apemi~uc, il

faut qu'elle soit rapide et rou-

tière. XII, 6' Elle a tes capii-laires pour agents par exceiif'nce.

XV, 323. Ses phases succes-

sives. XV, 332, 3M. Idcf-s an-

ciennes sur ses voies. XV, 333.

Ses organes les plus essentielsont les veines. XV, 342. \ou-

velles expériences pour détermi-

ner la durée relative de ses pha-ses.XV,36'

ABSORPTtO~ DE L'ACiBK CAM

BONtQUK, par la surface cutanée

Page 112: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAHLË ALPUA.BËT!QUE ET ANALYTiQUE98

<'tsf)us-cutaut''f'. XH.3ti8.-Parr

t(~rnritj('<.XVt),2:!i.

ABSOttt'T«).\ ttt;~A)n, parie

sanK.Ut.un.–P.'u'Mspirfttion

().tnsu!)nu)iruc~nnn('tt,209.

m:t.'AHU'Mtr<i)!aj<!un,Mn

pa~dnnsh'~ut'inf'n.ï.~S.

–t)KSAH')n:KTS. !7.

–J)):SA\F.STHKStQUt::S.XU,~6.

–tU'Cf'tAnE su)'div<'r's mem-

branes nt))f)U<')iSt's.))!.9M.M3,

3':8;)!8: 39:i.–Rapide dans

~t's poumons.)U,'M6.–Parte jabot.

<)('S()i!i('au\.)n,2t(').–Ptus rapide!

!'tjt'tHt.t(!.?'M. {'.u'fapMudes

jtD'nuui)])"<)),):).–Dansl'Gsto-

)<iaf.Mt)t'()('C))ith<hums.n),302.

–tn(<ESTH't.)\2. EUcostk~st

dum'autre nKtmrcquctes absorp-

tions or<)iu:tires.)X,t'K).

t'A)) L'USTUMAC. Modincations

ftpportccspfo'htspctiondosttcrfs

\a}:ncs.).–Apres tigaturc

du py~)ri'et. section d("i vagues.

\n.

t;XTE)t'H. XV. i!(i'

t)t' t'*t';R dans h' san); et sou dM-

mi)U)tiot).\),~8.

t)t;s <4X. )\, fi!). Action df

)'o\yded''t':u'))on<))),m.–

D:)tis ta san~. \'). 98j. H~péricn-

<-cs.X\t(!).

t'AH t~tS <,t.AKHES. Il, t08

X)).nt;Y)f,M<).

x~S <:t~'C<tSES de l'intestin.

xn.a.

))t: mYOKOCKNE SULFURÉ.

XV.~G:

t~T<;STt)fAf.t!. t, !M XIV, 42t.

–t)t:L'nn)Hp!n'iosf;)andcs.n,tU.

))ES tJQt;!nt;S. !X, ~); XV, 3M.

«ES MATtÈRES At.BUM!?)Ot-

D):<.)t.MS;fX.)9S.

n!:S MATtKKKS GMASSES OU

tU:S (iKAtSSES. X, 30.'), 3M

JH.iM.–Hypoth&sfsaHatomi-

<)))< chimiques Ht physioto~iquet.)),<?.–Han'4)csqu~troc)asMs

<))' vert6hrRs. !). :!)<). Chez tes

f.i~.au\.)),:i!i,i:i4.

))) S MATtÈKt:S St'CKKHS !X,

)i)8. \oy. /t&.<o'y<t0t) ~M sMefe.

ABSOR!'T!OX DES MEMtCA-

ME~iTS. XH, MO. 9'tt. Ses va*

)'ia)i()nt.X),4!2.-Sareg)emen-

ta.tiou.XL'tt:

t'AK LA ME~tBhA~t; MU-

QU)USK STOMACAH! Voy. Ab-

M''p<)f)7t p<:t' <M<cntac.

t'Att LES MKMBRA~ES MU-

QUHUSES. tH, fi).

tH! LA Mt)tU'tt).\E t'a)' la sur-

face dos mombrancs séreuses et la

surface pulmonaire, XU. n8.

OE t/OXYUE D): CAKBOrtË.

XU,'}39. Parte san~, inuucnM

surj'absot'ptiond'oxygcfieetstju'

re!t))!t~tti(.)n([esau)rf's~ai'nf,tC9.

M'OXYHEK)' i'ar h' sang qui a

subi)'action()oi'axyd~t]ccarb{)M.

ttt. )(!i). innucncc (h; t'oxyde de

carbone absorbj par te sang. Ht,

)69. Pac le sang, action du sys-

tème nerveux. Vt, 984. ExpH-

cations d'observations anciennes.

VI, 28a. tunucacn de la diges-

tion. VI, 285. tt)f)u):[)cc de )'6tat

d'hibernation. V), 38.'). Par le

sang. après ta scct[«t) f)u nerf sym-

pathi'juc au cou <tu chM'a). VI,

3.'t6. Par le sang rougt* de la

\Hino r6natf, apK't scctton de ta

moelle cputi~rf. \i, 3(i!. Par la

lymphe, te chyle et le sang. VII,<2t. L'oxyde de carbone s'y op-

pose. XJI, 3')).

nES t'0)SO.\S. !tt. 48 [X, T:, t97.

Par !t mombrane muquauM pul-

monaire. III, 48, <if.–R6)c des cils

vibratiles. H), f'2. Par la surface

pulmonaire, tott acth'itc extraor-

dinaire. XI, 9i. Eito peut être

empêchée partatigature des vais-

seau\. Xt, 28f). Ello est a!np&-

ch~c par la galvanisation des nerfs.

XI, 28f!. Le poison n'agit pas,

si le phénomène de l'absorption

est baiancA par celui de l'ciimina-

tiou. XU, 8&.

DES PKOmjtTS Ht: LA DtGES-

TtO~f. !2.

MU t'XUSStAT): t)E POTASSE

Partesgtandcs. Il, Il 1.

MHS SUDMES. XV, :t(;5.

Page 113: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE CERNA iif). 39

Vn,G:).–Ette t'ait refroidir t'o-

reiHedestapins. diminuer la rM-

pir:ttinn.au!:)ncnt)'r).icircu)ation

tympttatique. Vtt. (;),().–Ktto

fait passe)'ta matier"d''ta hita

dans t'urine. \')).7. Luree

moi!)s abondante dans torinoda

M<).tvM est un sinnn, non d'absti-

nence, mais de de)~un'i)ion.).

'!).n<tuenccsurtasensibitité

des nerfs. \i),'Mi.–Sesoiïcts

sur les urim's. XtV, ')). Son :n-

nuence sur ):t présence du sucra

dans te sang. X)\, tt' Son in-

Ouencc sur la t:M!nn;. XtV, 4t2-

ACA[,t:fHHS.XV,:)").

ACAME ttK LA UALE. Vti), :5;

X), .<

ACCELEKATEfKS .XEKts). Voy-

A'~t'f a''jcf*/<)'f/<ft«'

ACCUS Ht'tLE)'HtUHMKS, pro-

ductioo artiticie))c. Xt. ï'Mi.

UH t''tt:VtH-ctudo doia ct!.t[co.r

pendant ses pehodos successives.

Xj!t, 408.

ACCtUË~rs OnKmtGtCAUX d

t'ivisoctions. XY, ~8.

COKVULStFa. \oy. C07!UM&'t/'

~accidents).

ACK'rtQUH (A<:H)E). Son excès nui-

sibto dans t'anatyse du sang. Vt,

~n8. Pour retarder ia destruction

du sucre dans le sau~. XtV, 209-

AC!UKS. Détruisent le curare, Ht,

'!(!), 2f:2, 9ti: L'urée ne se

combine pas avec eux. \'H, 43.

Leur action contparatiyo sur ta

matière gtycogcnc et tamidon~

VU, t2K. Action sur tes mouve-

ments vibratiles. X, )47. Voy.

~M/U~, /<C'<!Ot</</< Cot'&OMXyhC,

Cf/<)/t.,t/f/)<c, T''0;'M;~Mf, /)'U!~

act<<M, (jM~<)'!<yM~. ~t~Mf~Mf,

/~ac<f'/M'?, Af~/t~M, ~MC;Me, ~j:a-

f/«'M:~M(', ~Ao'tOt'!f/M<

PrM.<~i~«f~~t/t'('«yMp,H€ac<iOttt

nC;dM, Sa<tt't~Mt', t)t<<<~f/<C,

?<!)'<)~i;C, (/t't<<

ACt)nm:ATtt<~< des graisses. U,

2.')' K\periences à ce sujet. M,

2a'Des urines chez ies herbivo-

res par un mitieu oxygène, ni, t30.

ADSORPTION DES SUBSTANCES

Ai iMKKTAtRES Rois de t'appa-

reil chylifère, )!)().

Dt:S SUBSTANCES TOX!QUKS

Yov. ~0)Y~tO?i f<M ~OMO.

t)U SUCHE Il, 32t. A jeun,

produit urino sucrée, I, f!G.

Par l'intestin. nu. Voy..4~or~-

<t0)t des mn<tf'e. .sxo'cM.

t'AM LA SURFACE GASTRO-

tP<'t')';STtSALE. son inndetite.

Xt!, <?.

PAR LA SURFACE fULMO

NAtttt: Xi!, '!2.

i'AR LES SURFACES EX-

TEXTES ET t~TEKKKS. XV. :K4.

PAU LES St RFACKSCLAK~L

LAtKES.[),«)S:XH.]'?; VU,t<).

t'Att LES SUMtACES SKREU

SES. Xtf, 7).1.

FAR LE TISSU CELLULAIIIE.

I, ~!). Sous-cutat~. Xff, f;!).

rAR LES VEtKËS. XV, :149.

AttS'n~E~CE. V!H, 2)3; IX, <)8;

XI, 9<i. Le sang n'est sucré que

du foie au poumon. tt4. Son

innu';MC<' sur la fonction gjycogc-

nique. )3C. Elle fait dispa-

raifrc le sucre dans !e foie. ), i~H.

Son innu<;nce sur la production

du .stto-c. ), )~t8. Innuence sur

le sang. III, j(~. tuuueuce sur

les gaz du saug. III, Ht. In-

nucnce sur j'oxygenf. Ht, )12.

Ktte rend l'absorption du curAre

plus facile. )[f. 2:)i, 30: Elle

fait diminuer le liquide ccphato-

rxchidipu. IV, )m. Mouvements

r6ut'\M, tV, 3<!3. Son influence

sur la reaction de la sueur. VJ, :!?.

Elle diminue la quantité du

sang. VI, 4'!t. Elle donne )'urinc

normale. VII, )3. Elle augmente

t'uree dans t'urine. VU, ); Elle

contrebatance t'atimentation dans

son in<!uencn sur la composition

des urines. VII, 20, 21. Elle

modifie la réaction de l'urine, eap.

Vt), 2~. Elle la rend acide. VU.2&. Crines visqueuses, VU, 2.i,

30, 73. Elle fait dispara!tre f'acide

hippurique chez les herbivores.

Page 114: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE AU'HABËHQUE ET ANALYT!QUEf00

AC'MTE nu SUC tiASTKiQUE

neutratispo par les liquides atca-

lins. XV, f'().–Cen'est pas un

fait primitif, c'est te résultat d'une

modification de la sécrétion. XVH,

28!).

ï)EL't'R!?<E diminuée par l'in-

jec<iond'eaudans)esang.VH,2'

Produite par l'abstinence. VU,

25, 2C.

AC~tSTtQUE(KEM). Voy. A'f'y

f)CO!M<t~MC.ACTE fUGËSTtF. Voy. n;</M~

NEKVHUX. Yoy. N'rMMj; (acte).

PULMONA!RE. Voy. ~M/MtO)Mtn?

(Mte).

nESt'mATOtRE. Yoy. JtM~f'-a-

<OH'c (acte).

SAUVAtRK.Yoy. Saift'a))'c(acte).

STOMACAL. Voy. S~om<M<~

(acte).

YtVtFtQUE do Staht. XVII,

42ti.ACHNOt'HRYS. XVII, '!<

ACTION. C'est le but d<s sciences

expérimentâtes.tX,):M;X).458;

XVH.SM.–Rendue possiMe par

Je dans les sciences

expérimentâtes. XVI, !9- La

physiologie la vise. XVU, 395.

Ette n'est posMMc que sur et par

la matière. XVII, 399.

–ASESTMÉStQtJE. Voy.es~-

sique (action).

CATALYTIQUE. Yoy. Catalyti-

que (action).

CEREBKALE. Voy. CtMAra/f

(action).

Kt't.UROPMYLHEKKH voy.

Chlorophyllienne (action).

MtGESTtVE. Voy. Digestive (ac-

tion).

MUSCULAIRE. Yoy. ~MiiCK~trp

(action;.

TttERAPEUTtQUE. Voy. rA'')-a-

peu<t?Me (action).

ACTIONS CtUM'QUES do l'orga-

nisme. Des phénomènes de fer-

mentation y donnent ticu.t,263.

Influence des nerfs. IV, 480.

Dans le sang. VI, 4M. Des nerfs.

XI, 245. Secrétaires. XI, 273.

ACT'OKS EXTKA ORt.AtitQ~ES,

etintra-organit)ues.Xt,43f).

MEntCAMEKTEt SES Voy. Jf<i-

f!!cam.<'7!<f:M<'x (actions).

Mt~ERALES Voy. ~a~

actions').

MOKBtMES Yoy. ;i/or6t'</< (ac-

tions).

MOTtUCES. Yoy. A~t'eejf (ac-

tions).

NERVEUSES. Voy. JVo'tx'MMS

(actions).

PHYStCO CtHMtQt ES X, 84.

–Cciiesquircg!ent)';sj)heno-

njene!! de la vie rentrent dans tes

lois de la physique et de la chimie

générâtes.fX,4.

PMYStOLOGtQt'ES. Elles SOM

)f'!}m6mGsch('zrho<nmcctchez

los animaux. XH, f)t8.

PfnGATtVES. Voy. PM'~a<:u<s

(actions).

KEFLEXES. XV, 542 XYHt, 3~.

–Hiics sont entêtées par la des-

truction des gangtions intervertc-

braux, sans empêcher la trans-

mission de la douieuf. V, 5Si).

Leur contre est dans la substance

grise. X, 3t!i. Leur centre mo-

dérateur. X, 343, 3j'i. Leur cen-

tre do production est d'ordinaire

dans i'axecerebro-spiuai.X, 343.

Le ganglion du grand sympa-

thique peut en être te centre. X,

344. Influence para)yMnte du

cerveau. X, 354.–Diverses es-

pèces. X, 356. Du nerf lingual.

X, 36). Sur la glande sous-ma-

xittaire. X, ML –Du grand

sympathique.X,M3.–Croisées

et uou croisées. X, 3(!4. Des

narfa vaso-moteurs. X, 36S.

Leur part dans les fonctions do la

vie organique. X, 380. Leur

rute dans la digestion. X,38).

Qui produisent la sécrétion sali-

vaire. X, 38L Leur influence

sur les s<5cr6tions. X, 383. Elles

produisent les phénomènes mé-

caniques de la digestion, de même

que tes sécrétions digestiv<;s. X,

38' Elles sont de df'u\ genres,

Page 115: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERN.U<D. !<~

Tles unes prnduis.int ]a contraction

d'un muscie.ics autres son rf'tâ-

c))emcnt.X.39t.–Leurintluencc

paralysante sur te cœur. X, ML

Sur les mouvements respiratoires.

X,M2.Divers centres.X,403.–

Provoquées par la strychnine. XI,

111.Leurmécnnisme. XI,209.-

Innuence déjà morphine.XIL2)9.

Thermique. XUL 239, 29~

(cardiaque. X)n,2fi9.–Incons-

ciente. XHt,2'!t. Paralysante.

XHÏ, 3t(!. EUes modiHent )es

hattements cardiaques. XIII, 252.

Elles provoquent la caioriHca-

tion. X])t, 395. Dans te grand

sympathique, importance du rù)e

de la sensibilité comme poiut de

départ. XIII, :!07. Du cœur,

elles accompagnent toujours les

sentiments. XVIII, 360. Voy. Cen-

<fM f<'ttc<tOM t'p/!e~'e.

ACTIONS SKKStTtYES. Voy. Sc't

sitives (actions).

TOXIQUES. Voy. Toxiques (ac-

tions).

VASO-MOTtUCES. Voy. VaM-

!?:o/r!'MS (actions).

VITALES. Leurs manifestations

extérieures sous la dépendance

d'une action nerveuse. XI, 45.

Deux types. XVI, 347.

ACTIVITÉ CELLULAIRE. XVI,

368.

CÉRÉBRALE. Source de cha-

leur. XIII, )64.

FONCTtOKKELLE. Son rapport

avec l'activité des phenomèucs

de désassimilation en généra).

XtV,3<i3.–Sa mesure. XVII, 222.

DE LA MATtEHE. XV! 432.

MUSCULAtKE. Son augmenta-

tion est l'une dos causes principa-

les qui développent la sensibilité

de certaines régions du corps. XI,

i68.

NERVEUSE. Source de chaleur.

Xtt!,t64.

ttESORCAKES. Influence de cet

étatsurtacha[eur.xm,]38.

ADEXO-MÉKt~CËE (F)ÈYRE). Voy.Fièvre.

ADH'OCELULEfX (T)ssr La-

n*e))e qui recouvre le vaisseau,sa

section. X\,ÏGt.

AERAt'ox (condition extrinsèque

detavie.XVH,!).

AEROBU:s.X\)f,l(),)8.').

At ) A)BHSSEME?<T, c'est une pré-

disposition contre t'asphyxie. IIf,11 Fait varier l'effet des poi-

sons. Uf, )20. Proportion plus

faihle d'oxygène dans le sang. VI,

389.

AtFt CTtOKS. XI, 324.

GE~EMALES. XI, 91.

LOCALES. Ce no sont pas de

vraies maladies. XI, 92. Elles

doivent emprunter le secours des

vaisseaux ou des nerfs pour deve-

nir générâtes. XI, 9!.

XEhVEUSES sensitives et mo-

trices. XI, 227.

AFEtKtTE. X\H, 4C2.

CtUMtQt'E. VIH, a~.

ÉLECTtVt; des glandes salivaires.

V, 5)4.–Démontrée par faction

du phosphore, de l'éther, etc. Xf,

T!. Des agents médicamenteux

sur les organes maiades. XI, 216.

AGE. Influence sur la sécrétion du

sucre. t, tMT. Influence sur ta

glycogène. J, !!)!). Influence sur

l'oxygène. III, 112. Influence

sur la couleur du sang. VI, 255.

Modifie les manifestations de

tavie.V!)),2tt.AGENTS. Ceux qui excitent les pro-

priétés de la matière inerte, exer-

cent aussi leur influence sur les

propriétés do la matière organi-

que.xvm.~t.

CHtMtQUES qui produisent la

maiadio dans ]e corps vivant. XI,

33. Des phénomènes fonction-

nels de l'organisme. XVII, 487.

D'organisation chez les êtres

vivants. XVII, 5t7. De la chimie

vitale. XVII, 524.

DIGESTIFS. Voy. D!~M<t-.

EXTERtEURS. Leur impression.

XVI, 285.

MEUtCÀMEKTEUX. Voy. Médi-

MMe?!<eK.E(agents).

Page 116: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TARLE ALDtABËTtQUE ET ANAf.YHQtJHM2

AGENTS MftRMFtQUES. Voy. Vc"

tt~M~U~t'Uts).

–T<)Xt<.HJt:S.f)y.ro.'<*t'<yMM'tgN)ts).

AC~ËAIL Moyens ()o te maintenir.

XV.!N. t.

ACOJ«K. K))o (ai! disparaître te su-

CK'du foie.MM).

AMtJtt.LHS.XV.9M.

TtU:t)MO K~ECTtUQUES XIH,

JM; XV, t64. Graduation. XV,

4'):Piquantes,XV,4'!3.

A'MAKTATtOK XV, 'H.

AtME)tdctoutsoncœur,XV))),

36~.

AtKE. Voy. P~'t (ie l'aine et Trais-

XmM.f~M~f/e<'f!MC.

AIR. Son absorption parto sang.iïf,

)<)'Ëpuispmentdct'oxygÈno

pM'b respiration. t)f,H5.–

Qnantited'oxonoqn'itronfermp.

fft,ti5.- n.ins)e<'<t'ttr,<'om)'tt('nt

i)am('nf'ta.m()t't.!n,t(!i.–Sa

diminnti<)r)f)(Mn(!)'t)nima)rctpi)'c

d.')ns un mitiout'fouine. III, 203.

Absorption p!);' respiration dans

unmitieuconnnë.Ut.ïO:A A

son contact t'acide pyrog<tUit)UC dé-

truittc!4~)obutos<.tusM){{,n),2'

–Asphyxie par suppression ou pri-

fatiood'fti<t)!,230;X)t,~(i<).–

Sa suppression par obstruction de

t.ttrM)~(t.!n,23). –fnsum~

dans les poumons. !fr, !!74, S84.

La vésicule du net s'en in<!itre. Vt,

35. Son altération au contact

du sang. V!, 3a6 à aMa. Em-

ployé pour déplacer l'acide cat'-

bonique du sang. Vt, 356. Ger-

mcs<)rt;auique')((n'i)ff))i)'nit.Vt,

'i87.–Principes organiques. V),

488. Son contact est nécessaire

pour ta formation du PaniciUmn

t;)aucum.Vt,'489.–Soninnuonce

sur la fermentation ~tycosifjue des

muscles du foenis do veau. VU, t3'4.

–Actiondetatymphosurse.'ia)-

tcrations. VH, 421. Son contact

attÈre le chytc. VII, 420. L'as-

phyxie par privation d'air ontratne

une élévation passagère de la te<n-

pérature animale. Xnf,)9;'<

Nécessaire à la vie de tous les

ctros; Mjuhmt vitiB. V! 9f)f);

XVi!,it).–Sa t'iciatton paries

poisons. IX, 47. A)té)'e (tivt-r-n)-

ment par )<~ animaux et tes végé-

taux. IX, ih'). Comme condition

des phénomènes vitaux, X, '4t.–

f!(t()it&)'o\yKonc ses propriétés

comme milieu propre & entretenir

la fie. X, -43. Ancienne théorie

de sa raréfaction dans t'asphyxia

par la vapeur du charbon. X!f,

;!A8. 8a composition dans une

fournaise contenant du charbon en

tgnitiou. Xt!, 3'!4. Sa f'dation

par la combustion du charbon.

XH, 379. Injections sotts-cuta-

nCos.XV,2!< –!t).)ectionsveiHfu-

ses,XV,920.–Kxpariaocessur

son i<]<!uencc dans la vie latento.

xy!SanMc~!te.XYU,t.')).

U va au-devant de la cellule.

XY]), ni). Lacetiutc so dephce

pour venir à son contact. XVU,

tf9.

Altt COMfKtME. XIV, 440; XVII,

t95.

COKFtNtS. Asphyxie. !)), t2.').

Voy. /is/)Ay.t'j<' ~ar <'at'' <'OM/<~t',

~<Mo~p/<e''econ/)~, Milieu eoH-

/!n('.

DEt'm-OCtSTtQUÉ XV! !53.

t'tXE. XV! <ft.

FRA<S. Son action sur fa peau

dans XII, 482.dans l'asphyxie, Xft,482.

dans lat~St'tRË. )) difainuo dans la

na'ne apr&s section des YMuet

(chien). V, &M. !) diminue dans

)a narine chez le cheval après sec-

tion du sympathitjue. Yt, 93&.

Influence do sa température sur

)atG[ap6ratur('duMng,X)H,!)8.

MKPtUTtQUE. H!, t20.

t)U NHHEU tSTKRtËUR tX,

4t.

RARÉFtÉ. XVt. tM.

MSt'tRABLK. Ht, <05 )20.

RESt'tRE. Sa viciMion. XVB, )<!2.

VtCtË. Action du froid. XVH,

t6S.

AtMECERMt~ATtVE. XVI, 319.

A JEUfV. La bifc est en plus grande

quantité. I, 102. Coagulabitité

Page 117: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES OEUVRES DE CLAUDE BERNARD. i03

plus grande <ht sang. VJ, fj.

Le sang est te sang type. Vt,

~M.–Touste'. animaux senonr-

rissentdevi:tnd(!;etp.doC.).t'r-

nard.VtU,2(!Lasensibititc

des pneumo-gastriqucs disparaît.

X!,t<!5.Voy.t<H<;nM.

ALBERT t,E t.HA~n. XVH, t)6.

A)LBUM!~K.20';XV)t,2~

Soninnm'nc''sm'tafot'mationdu

sucre dans le fuie comparée il

i'!H<!MC!)C<' de la graisse, de ta ~e-

~tinf-, de la fccuie, t3G, t:

Son!U)!i[)''pnonajeunp)'oduit)'u-

rine albujTtineuse. [, n5. Dans

l'urine des diabctiqttps. 439.

P&sMgedanst'urit)c.n!,45;Vt),

t38~t~EU<estcomhi!)CO

dans)<)sanj.;aYGct<i{ibru)c.)n,

45 Vf, -tM. Action du carbonate

de soudo sur t'atbuminc du sang.

Vt,43C.–Anatngieavcc[a<i))t-inc.

VI, -)5i. Hi)c no passe pas nor-

matemcntdanstessccrCt.i.ons.V!,

t;)' Son rutc physique. Vf, iM.

–Son état dans tosan~ vivant.

Vt,4(!(!;Vtt,M8; iX,C2;XU,

2' *-Scsvanctas.Yf,iC'

EHo se forme dans le foie ta\'e.

VII, !3G. Ingestion dans i'esto-

mac.VU, )<(:Dans les veines.

Vit, t-t7. Ëliminée par la bile.

\t.2[0.–Son passage dans ta bite

par injection d'eau dans te sang.

YH.Xtt.–Passo dans le sang,

après injection d'eau dans le sang.

VII, Ïtt. Dans le lait. VU. M8,

24).–Dupancréasctdettsa.-

live. VII, 3')2. Injection dans le

sang. VII, 4CS. Injectée dans le

tissu cctiutaire, tes poumons ou tes

séreuses, et retrouvée dans t'e\-

crétion urinairo. IX, t')T. Pour

la culture du gtycogÈne. XIV, 'iHS.

De t'oeuf desséchée. XVI, 99.

Action du sur gastrique. XVII, 2').').

ALBUMtKE PEfTOKË. XV)), 'M~.

ALBU~HKEtJSE (NÉPHRITE). Voy. A'f-

~A'')<<

(UtUKE'). Voy. Urine aMtfnitHCMiif.

ALBUMtKEtJX (FEMEXT). Voy. Fer-MM< n/6xHt!'ffeM-C.

~),B~"m\0!t)t:S t.x.jnoHs.neve-

toppemetX des ce)h))es~r~ani-

f)U''<t.'J~i.

–tM.tT!ÈRESO):S~t)'iTA'<Ct:s.\Yn.

4M.–KUessnntpreeipit~'f.spar

le charbon, t.<:). –L.tsahv')

n'a pas d'actions)!)' c)ies. fi.)45.–Dans)''suc panrr~aiifjuf.!t,9:M.– Ahswpti~n.i).

)X,):)8.–Eth's si-tonnent d.tna

)efoif'aprt".)an)f)rt.Vt).m.–

Leur fo'matioti (tans )~t'f)if)an'f'

\t, ):):Daus le sang. \H,

27. L~ur cumhinaisottavec

rh)-dMtc()'!ch)ftra).XH,:i)'2.–

Ëtiminccst)ans!e sang parte

sulfate dpsomL')\, ):)~.

Leur syn(he')C. \\), 20' Leur

t'ermcntdi~cstift)ansh's;u)intau'<.

et les \'e!ëtan\VU.:i;,0. :).').

–Action(iusuf~!)'.tri(j)n'VH,

2!!5, 30~. Leur dt~~tj.)n. \VH,

~t't)an'l'œnf.U,;)~i.V~y.

-'th'tf!e?i<S.<'<)ft!'t!oMf'F<'rWf)if.!

<)/&t<Mtnoi'deir, .S'/)t<Aë.e<t/«Hi-

KOt~t;.

t'KOTÉtQCES. \\U, 2~.

ALMUMtKOSE. tf. 42) ~), i.S;

X\),2iJK!,M'J.

AUtUMt~OStQO! ~rERME~'r~. V~y.·.

f'ermfn< a~)tM!Oiiif/M'

At.BtJMMURtK aruf)cn'))(!. t, :!i7.

Importance do ht lésion du

rein. VU, 7!). –oni-ymptoma-

tiquû d'une an'eftion des reins.

VU, )'i).–Par injpctmn d'eaudans tes veines et Yariatiun sous

cett.einnuence<]e)a<]uantttcdes

sets.YH,t43.–De!ci'mincepar

certMnestésionsduquatriemcYen-

tricu!e.X),2C;t.

ALBUMtNUm~CES. Le passage des

odeurs de t'asperge et de t esscnc'j

de térébenthine dans i'nrine n'a

pas Ueu.vn.2t3.

ALCAHKES (SÈcnHTM~'s\ Vuy. <;<

ct'~toft~a'~ea~'Hf'

ALCAUXtTÉ du sang. Xtf, 24.

ALCAH~fS dans )e traitement du

diabète. X(V,4;)' –Leurin-

Suence sur la sécrétion ~astriqua.

XV, 570. ))s ueutra)iscnt i'aci.

Page 118: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLEALPHABÉTIQUEET ANALYTIQUEiOt

dite du suc gastrique.XV, 510.

Voy. C<u'Ao?M<M c/co~t'M, C/~o-

7'K<'<'t'~i'('<9'/M~.At.CAt.tS. Leur injection dans )o

sang. 9)9. Ett-ce t'atcaii

dus.<)ngfiui()f'tru!t)esucre.L J,

24. Dctruitpnt )o curare. J)),

M), M9, 963. Servant à l'ana-

)ysp dt's gaz du sattg. V), 3f8.

Attinnsurtesntouvemcntsvihra-

ti)cs.X,)t'tts<)(''cotn))osent

l'hydl'ate de chloral. XII, 300,

CAt'STtQUES. Leur influence sur

le sucre. 40.

ALCALOtOES. Leur emploi pourune thorapoutiquo exacte ot pré-

cise. XI[, 8).

ttH L'optuiM. xn, tc<, n).Leurs en'Gta. Xtf,n-t.– Leur

mode (t'admini'itt'ation. XII, )7-4.

–Oi')tit)ctMt)(!c)et!spcoprif''të!)

hypnotiques, toxiques et convuisi-

vantf'$. X)), )!)),5t3. –Leur

c)assi<it'atjon tc)on J'~nergio de

leurs propriétés. XH, <92. Leur

emploi comme moyen da contc!]-

tion dans les expériences. X!

!9t XV. H9. Hochcrchcs axpc-rtmeuta)<'s. XII, 504. Propres

sop<'rinf(ues.X!t,505.

At.COOL. Accidents qui suivent sa

production dans le système eircu*

latoire. t, 246. H retarde l'é-

cout<'mGntde!!)iquides.HI,t<

Son action sur les sécrétions

'nte*t'na!e* cfn]p&ë<' & ceHe (la

!'<;(!)er. !)f, <!9 & 426. Son ac-

tion sur le tissu des glandes. jn,

433. Sou action sur ioa s~o'c-

tionsintf)'nesctparticu)iè)'emf'nt

sur )a sécrétion sucrée du foie.

tH,435.–Sa!Synth&XVÎ,3!)2.

POTASSÉ. La matière gtycog&no

n'y est pas soluble. X~ 497.

AMOOLtQt'E (FEBMENT Ct~'ERMES-

TATMK). Voy. fM-Men< alcoolique,

f<'f'm~!<a<tOM alcoolique.ALOEHYRE TRtCHLORE Xtt

299.

ALEURONE. XV!f, )M.

ALGtDtTH. Rôle du grand sympa-

thique. XHL 307.

ALGUES. AnthernMhJet des. XVf,

M6.–Zoosporesdcs. XV{,M~

A~tEXATtOM MEXTAM. XVIII,«X).

AUMEKTXVft, 272. L'instinct

des animaux so rapporte soule-

n]ent&Mspropt'iétesp))yM<]uoa.

Il, 23: XV![, 25' Action du

suc gastrique. )t. 400. Action

réciproque da FaUtnent sur t'ati-

ment. H, 4t4. Sa définition. UI,

38. Urine suivant t'aUmcnt. V!t~

t8. Sin vue ou sa prëMnee dans

la boache provoque la sécrétion sa-

)iv!nre.Vtf,253;fX,89.–Renferme

dans le milieu intra-organique. IX,

42. Digéré et absorbé, il ne va

pas immédiatement so fixer sur )as

tissus ou au sein des organes. IX,

')'?.–Comme condition de la vie.X,

48. Résistance à sa privation. X,

4!). Comparé aux médicaments

et aux poisons. XI, 71. Le sucre

en vient-il toujours. XtV, 159.

Quantit''idGS!tti\'<'<jui)'imprA-

gno. XV, &54. Son évolution

chimique. XVII, 90. Classifica-

tion de Liebig. XVII, )29. M-

~rt!. XV!), 135. Préhension.

XVII, 252. Modification!! chi-

miques. XVII, 255. Sa forme

physique. XV!t,X56,2H.–Sit

division physiologique. XVII, 275.

-TMohe de la putréfaction. XV![,

260. Théorie de Ja ccction. XVtL

260. Théorie de la formentt-

tion. XVn, 26). Dénnition par

l'évolution qu'il auit dans l'orga-

nisme. XVH, 273. Cinq classes.

XVII, 275. Leur identité. XVt~

32A. Leur digestion. XVII, 332.

Leur évolution. XVII, 3C'

Variétés de i'évotution chimique.

XVII, 367. Modincations dans

le foie et le poumon. XV~, 369.

Leur rôle secondaire. XVH,

520. Leur action excitante.

XVII, 521. Leur action sur t'M-

tomac, sans que nous en ayons

conscience. XVIJf,22). Voy. Equi-

/;A''a<fOM a/fM~ai~.

Page 119: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES OEUVRES M CLACDE MttXARD. )05

AUMENT ALftUMtXOiDE Leur di-

ge',tion.XVtf,3!G.

Leur

cli-

gestion. Xl`II 326.

–AMYt.ACÉ.XVtt.278.

AXOTE XVft, 27(!.

FECCtLEKT. XtV, 4T!. Sa di-

gestion. XVH.3M.Voy. ~~)MM-

<a<t'ot: /<'CM~ri/< F~cM/fM<M (ma-

tières),F~cu~?!<f!.

(iRAS XVII, 280. Son cvotu-

tion dans l'organisme. XVII, 3).

Sa digestion. XVII, 3M.

–Mt~ÉRAL. XVH,8t.

PLASTtQUE. XVH, 129.

SE aSSKRVE. XtV, 4:;6.

RESP.RATOtRE. VU), 281 XVt!,129.

SUCHÉ. XV)!, 279. Sa diges-tion. XVII, MC. Action sur le

foie. XV!f, 3~i. Pouvoir gly-

cog~niquc. XVII, 3' 1.

AUMEKTt'AtREiBoL). Voy. Bol.

(CAfAL). Pendant la digestion. !f.454.

–(GLYCÉtHE).Voy. G~c<'mtea/M''M<a!tf.

(GLYCOSURIE). Voy. G~OSM~'M S~t-

me7!~a!re.

ALïMEKTAtKES (PmxMpEs). Leur

unité dans les animaux et les vé-

gétaux. XVU, 322.

AUMENTATtOK. Son influenco sur

la production du sucre, f, 94, t36,t63. Son influence sur la fonc-

tion glycogénique. t, 143; YH,H8.

Le sucre qui en provient ne

passe pas à cet état dans !& circu-

tation générale. t, )56. La gly-

cogene du foie en est indépen-dante. 1, ).')'?.– Son influence chez

les oies qu'on engraisse. 165.

Son action sur la réaction do l'urine.

VU, 18. Non azotée, elle fait va-

herta réaction de i'urineseutement

si elle est en excès. VII, 20. Exp.

Vit, 21. L'acide hippurique enn

provient-il? V!t, C3. Ses acci-

dents n'ont rien de commun avec

la fonctionglycogénique. VII, 117.

Elle est intermittente, !X, 98.

Son influence sur la présence du

sucre dans le sang. XIV, 210.

Son influence sur la formation de

matière ~)ycoj;(mcd.ins~f.,if.

X!V, 308. La glycémie norm.iio

<'ncstind(''pend.tntf'dat)s tnntf's

les espt'Cf'sanimajns. XfV. ;)!).

La~tycemifpathtjto~iquf'fncst-f'Hc indépendante? XfV. 423.–

Snninf)u<'nccsur)edia)M''tR.X!V492. Ses rapports avec la ~)yco-

g~ncse. XtV, 50!). De sp<i varic-

tés, on ne saurait déduire aumne

diH'erenM de nutrition essentielle.

XVtn, :!XC. Voy. NoMt-ri/M~.

AJUMt~TATtOK AZOTEH. ï, t4R.

DHSOtABËTtQUES. Xt\, ;T).

RES ELEMENTS. Le sang vei-

neux lui est destiné. )X, J88.

FECULENTE. J. t4!). Voy.)/m<')~ féculent, Fcctt/f~/M (ma-

tièrps'),f;'eK/<'yi/j,

A LA GELAT!~E. XVM. 128.

-GRAtSSEUSK. f, fi. t!tatd"s

urines, VH. 90. Elle donne des

urioc'! variées. V!),!M.

–I~SUFFtSAKTE. tX, 98.

SUCMEE. t49. Sang chy-

)eux,L)(i2.

ALLAtTEME~iT. Réaction de i'u-

rine.VH,2i,.

ALLAKTOiDE. Présence du surre

L40a.

AH.A?<TO)DtE?! (LtoonE). Vn, 'i09.

!) contient du sucre. L 405.

ALLURES acquises par l'éducation,se transmettant par hérédité. IX,2)0.

AMERAT!<Mi ANATOM!QHE Ses

rapports avec la tosionvitato.XI,147.

MORBIDE. Est-elle la cause ou

l'effet des ma!adies. XI, 101.

NERVEUSE. Voy. A'erttfKs<- (at-teration).

AME. XI, Cl.

ARCXtTECTOXtQUR X\ [r, 496.

DIRECTRICE. XVU. 415, 425.

PHYSIOLOGIQUE. IX, 3, 133;

XI, )2R; x[n,e; xvi, 48; XVIII,

111, 163.

)'E SAINT THOMAS D'AQUIN.

XVL 389.

Ua.[VE~SEL)LE. XV!), 403.

AMtBES. X, [54 XVU, 244. Vë-

Page 120: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTiQUE!M

AMt'KKE Les quatre périodes de

)'f!is<oired'unesci8nc<X!,f!.

AMt'OtLH RE VAfER JI, ]M,

186.

AMP~TAT!0?< Elle arrête les effets

du curare. XVtH,3M.

AMPUTÉS. Voy. JMo!on.

AMYGnAH?i)! XU[, 3:tt XVff. M3.

Et emutsmc, injection dans )o

sang, rcaction. U), &? Vt, 487.

Formation du sucre. V)!, ~7:i.

tnjectio!) dans les veines. fX, t8F).

Aciion de t'emutsinc. XI, 74.

E))e tburnit de la ntycose sous

t'inftuence de t'~mutsino. XVII,

tM.

AMYLACHK (DESTtHJCTMK). Voy.

D«!«f<;0!

(M~TiÊKf;). XVn, 50. Animale.

tX, 203. Ses sources. X.V)[,)'ÏC.

(SvNTHRSE). Voy. St/M!AfM.

AMYLACKs (AuMENTs). Voy. ~<

ments nM!<!C~.AMYLOtOE (MATŒRE). Elle pré-

existe ~u suera dans )o foie. Vff,t[:j. Sa production dans ie

l'oie. XI, 330. Ses métamorpho-

ses dans l'organisme. Xt, 3!}t).

APfAËttOBIES.XVH, 10, 185.

ANALGt'StH. V, 10.

ANALOGIES AKATOMtQURS Elles

ne peuvent supp~or à l'expéri-

mentation physioiogique. XV, 292.

AKALTSE. Xt, ~97. Voy. AM~odf

an~M<

CHtMtQtJE. XI, 530.

EXPËmMENTALE. V[U, tM.

Des phénomènes. XI, 493.

Portée jusque sur les ciements

anatomiques par les poisons. XV,

88.

MATH~MATtQUK XI, 487.

–OKGAKtQUE. XVI, tM; XVU,512.DE L'ORGANISME. X!, M).

PtnStOLOGtQUE. Xf, 530;

XVU!, 301. Des propriétés du

système musculaire et du système

nerveux au moyen du curare. III,

463. C'est par elle qu'on atteint

l'explication d'un phénomène. XI,

507. Par les empoisonnements

ce<a))\.XV~255.–nehvase.

XV!,9:)'Uasang.XVt,ï!)8.

–DM infusions. XVf,298.–

Ayant cn~tohcdes corpuscuies

verts. X\),i80. Voy. ~M<

j~o:<s'.

AMntCH)ES(MouvEMEKTs). Voy.

JtfOMt'fn~!t~'N")t~<Jt'/M.

AMtnOK !X, 95; XVt),50, 2~9.

Et sucre, forment ht matière g)y-

cogt'ncc.hytetMR.65.–C<'t-

)u.tea YCgotatcs dans rostom.C du

chi<'n. 4.M. Action des xci-

dcs.Y!2a.–AcUo!)"("'g't'!UO

du Mn~ de la veine-pot'tf' compa-

raison des sang porte et hepati-

quG.Yn.'M.–Uastuoedo'!

BourcMprinripaicsdRgtycn'iC.

X\'ft.tt'S.tMM!tri.fic!:t[on.

XVH, .'i.f?. Dans tes deux r~gn~s.

XVJ!, 49. Sa tt-ansformMion,

XVII, M. Tt'ausfot'maHon in-

verse de la glycose. XVII, t9'

Il peut être ~).t fois un aliment

plastiquo et respiratoire. XV!t,

130.

–AKtMAL.Vn, )<3;X!V,:M5;

XVH, i8.

AMMOXtACAUX (SEt.s). Voy. Sels

nM:<?)07<)~CftM:f.

AMMONtAQH)!. L'injection dans la

veine porte donne lieu & t'app~-

rition du sucre, dans t'urine, f,

353. Elle favoriso l'écoulement

dcs)iquide!)ff,7'Voy.C<i:tAo-

Kt<C C<'am~!O~M~M~.

AMKtOS. Son contenu est sucre. ),

402. Du fœtus des ruminants,

gtycogcno. !X,)00.– Plaques

glycogéniques du fœtus de veau.

X\'f,234.–DuY8M.XVt[,65.–

t'apiHe comptetcment déveioppeo.

XVII, t, G!h Voy. 7'?/<' de /'SM-

M?OJ!, Plaques a~MtC/i~MM, Villo-

sités.

AMNtOTtQUE (LtoutDE). VII, MO.

Il contient du sucre, 405.

Ses transformations. 40'

AMORPHE (MATfËKE). Voy. ~a<e

an:o'p/if.

AMOUR fait palpiter le cœur. XVIII,

3M.

Page 121: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. )07

localisés. VtH. )82. Par le

curare. !X, 18, ).'<9.–Partes

poisons. )X,i(i:X.n'XU,488;

XVIII, :!9(i. Par la respiration

artificielle. X\. i:!0. Par l'oxyde

decarbone.XV.-443.

ANASTOMOSES de la veine cave et

de!av"ine porto chexiecheva),

f!2. Du nerf facial. V, 93.

Du nerf vague et du facial,

innuencn sur les mouvements de

iaMrincctdunez. V,t8),)89.

Expérience'; a. ce sujet. V, t82

1!)8. Qui existent entre les

nerfs sensitifs et moteurs, peuvent-

elles Mp)iquer la sensibilité récur-

rente. X), )'). Des fibres ner-

veuses, elles se font probable-ment aux extrémités terminales

des nerfs. Xf, 180. Dans quo)-

ques cas, j'union s'opère sur un

point plus rapproche des centres.

XI, 180. Des vaisseaux du foie.

X!,30.'i.–C'est pareUo'-quo

)e grand sympathique semble agir

sur les vaisseaux. XI, 383. Hc-

nates.XV)), :('

ANATOMtE. Son rôle dans les re-

cherches sur t'être vivant. Il, 4.

EUe n'explique pas complètement

ni directement la physiologie.

V![!,t86;XYn!, )().On ne

peut en déduire la physioto~io.

XVIII, 107. Elle est insufnsante

à nous donner l'idée des phéno-

mènes d'organisation propres aux

êtres vivants. [X, 137. Séparée

do la physiologie. VIII, t83 !X,

230; XV!, 4. Son histoire. XI,

532. Ses rapports avec la phy-

siologie. VIII, )8;i: XIV, 52; XV,

292. Comparée la physiologie.XVIII. 145. Voy.i~a<!oy:<*x aM«-

<on:Mf. Appareils (Ma<omtf/tM.~Co'Mft7M/t'om anatomique, 7)~t<e-

<t0t aMa~omi'~Ke, OeMMs aM'o-

miques, ~<e".e?:~ anatomiques,Induction <f?!<.f<om!<e, /.oca/Mn-

<to?f~ anatomiques, PAt/s!'o~o~te

at!a<onttf/M<

ANATOMIE COMPARÉE. VIII, 191.

GENERALE. Son histoire. X,

Il X\')t.~M.–Ga)i.'n. X,

)2.–t)a))er.X,)3.–fondée

parMi(-')at.)X.4:X. )i:\V!,~'82.

A~fArOMtEMfCROSCHt'tQt pa-

t))0)ogiqUC.VH!,t9'

?<<)MMAt.E dans ses rapports

avec les vivisections. V)n.)M.

t'ATHOLOfifQtE \IY.

Dans ses rapports avec ta vivisec-tion. \tH, )').'). Ses prf'n') ont

été du plus grand sr'cours aux

sciences medicatcs. Xt. )!!).

Elle ne suffit pas pour t'\p)iquer

tontes tes modifications proftuitcs

fhnst'oritanismf'~t'etatdeniaht

die. X). ])!); XV, '.M. H)t< ne

peut expliquer que )e-. causes

immédiates et mécaniques de la

mort. XI, );'{.–Incertitude, de

ses résultats. XtV, (t.

AMATOMtQfES (ÉLÉMENTS. Voy.

Ë'niOt~' aHCt<OM:M.

ANCIENS. Leurs idées sur tes fonc-tions du système nerveux. IV,3. Ils n'avaient pas plus d'expé-

rience que nous, au contraire. XI,

436.

AKDROBLASTE.X\f, 3t).

ANËMtE. Périphérique comparée à

l'action du curare dans la mort

du nerf sensitif et dans la mort

du nerf moteur. IX, Hi~. Péri-

phérique, interprétation do la pa-

ralysie qui survient et des phéno-

mènes de la mort dans les deux

ordres de nerfs. tX.tfi.'j.–cen-

tKde, interprétation de la paralysiesurvenant dans les deu\ ordresde nerfs. iX, 1(:!). Complète,

périphérique et centrale, mort

des deux ordres de nerfs. ÏX,

171. Ëtat des nerfs. X). 239.

Du cerveau pendant le sommet),

elle coincide avec le sommci). X[[,

n4; XV'U, 387. Du cerveau

dans l'anestliésie. XU, 121. Lo-

cale par le procédé d'Ësmarch.

xn, 2~3.

AXESTHÈStAKTS, de l'irritabilité.

X\f, 25t.

ANESTIIÉSIE. V, 10; X\at. 2'!4.

Page 122: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE AD'mnËTiQUE ET ANALYTfQUE~s

Lesra~inos postérieures Mnt!<Mderm<.r<"i:t perdre la sentihitttef't

les pt'<'mM'res!tta recouvrer. Xt,

)8).–Histoire dos moyens mis

en usage pour la produire. XII,

;).–)'~)c:u)nihite)antcmoiro.

XH,M.–EUc n'est pas une

asphyxie. Xft.M.–H!)op)acotcsanimaux qui y sont soumis dans

<)(;<<c<t)tf!itt<)tis(iif!'('t'Ci)te'!de)'c!ftt

normat.Xf), )<)().–Théorie de

)'. X)f. )0), )39. –EOet-st géuc-

r~Ms~e de la p~riphcrto au centre

jMr)arir<'u)ation,XtJ,)04.–Sous

)'it)uuf'ncedcf!centrf's nerveux,

elle !){* géltëraUso du contre à la

périphérie. Xtt, t!)8. Influence

du<;<'t'veausurJamop))f.X!J,)09.

–)n<1uencede)a!n()cUe'!ur)ea

nerfs..XH,)(M.–EHcptU-tdM cen-

tres. ncrvsu\.XU,t)),]4t.–EHe

se manifeste esMntioUement par

)aportodc)asf'nMbiIi(6.Xn,n2.

Phases d'hypercmie Gt d'snc-

mie du cerveau. Xt), t2). In-

fluence des centres nerveux. XH,

126. Son mécanisme. XII, m.

–LasonsibUitocommpnce~dis-

paraitreM'extremiteduuerfson-

sitif. XII, n!5. Rûto pr6poadc-rani de l'encéphale. XII, )35.– Sa

marche progressive dans le sys-tème sensitif. XII, t:n. E!)e se

réduit toujours au m6mc phéno-mène intime. Xft, )43. Son in-

fluoncs sur ie:) diveMes funenons

do l'organisme. XtJ, t&T. Sur

les sécrétion!XU, (M.–Sur!a

circulation. XII, t50.

AKESTHKStt! DES ANSUttJUJLES

dubfenieitc.XVf,9I9.

DES AKiMAUX. XV!, S&

Effets sur les vivisections. XI,28. Mis en expérieaco. XII, 47.

Pour les sacrincr. XV, 222.

PAR LA CHALEUN. XU, 9t.

PAR L'EAU CHAUDE. XV, )64.

Compression du cerveau. XV.

!7a.

-DES ÉLÉMENTS ORGANIQUES.

Anesthésie successive. XV), 2(!3.

PAR L'ÉTIIER. XVIII, 432.

AM!!8THES!E CES FEMtEKTS F!

GURÉS. xvr, 276.DE LA FONCTION CIILORO-

PH~LHEK~E dos plantes. XVI,

278.

FAR LE FKOH). XII, 91.

DE LA GERMtKATM?! des

~Mincs. XVi, 2<!7.

PAR !NfH!E?fCE. XH, [30.

Hcaiis~e au moyen de la chalour.

XtL 132,

LOCALE. Xf!, 00. !) n'y en a

pas de véritable. XH, ~). 1.

DES (MUFS. XV!, 275.

DES PttEifOMËKES FROTO-

t'LASMtQt;KS de germination, de

dfivetoppcmcnt, de feftnf'ntation

chez les animaux et les végétaux.

XVf,96'

DES Jt'BOPntETES t'ROTO-

t'LASMtQUES du mouvement et

de la sontibiUté, chci! les animaux

et les végétaux. XVt, 25&.

t'AR LE RECTUM. X!I, 62.

DES VEGETAUX. XVI, 257.

ANESTHÉStQUE (ACTION). Son mé-

canisme intime. X)f, t52.

(tXHALATMN). Voy. Inhalation.

(SOMfHtL). X!f, )')4.

ANESTHÉStQUES. X!1,33. Leurs

effeta diffèrent de ceux du cnraro.

Ut, 333. Leur influence sur le

grand sympathique. V, 502.

Leur action. X, 92; XVL 26L

lis suspendent les mouvements vi-

brttiiM. X, !37. Leur utiitté

dans les vivisections. XI, 559.

Procédés employés pour leur usa-

ge. XH, 46. Ils agissent sur les

centres nerveux. XM, 102. !i ya des agents divers, il n'y a qu'une e

MMtMsie.XIL t43.–Leurs ofTats.

XJ!, He. Mode d'absorption.

XII, <46. Atteignent le cerveau

puis la moelle. Xff, i~6. Frap-

pent la sensibilité au bout péri-

phérique du nerf. XII, t47. Doi-

vent ûtre administres par les pou-

mons qui l'introduisent dans )a

sang. XII, t48. Atteignent l'élé-

ment nerveux sensitif. XII, ~9.–

Atteignent la sensibilité recur-

Page 123: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE HEUNAKD. )09

rente qui disparxitta première des

pairM te nerveuses rachidiennes.

1Xff. ).'<).–Meranisme f)a iaXII, H.I, Mécanisme de la

mort.XU.t.')i).–Leuremptoidaas

los expériences sur )~chaiour ani-

male. XIII, 57. Leurs inconvé-

nients dans t'etudo de la chaleur

animale. XIII, M. Ils distinguent

tes phénomènes vitaux d'organisa-

tion des phénomènes chimiques

de destruction. XVI, 272. Leur

identité pour abolir la sensibilité

et )'!rritabi)ite. XVt. 289. Leur

Mtion sur ia fonction chorophyt-

iicnnc. XV! 226.

A!<«;'Ct;Ant~T);.Xn!.4t4.

AKGtOTÉ~tQUE (Fn~'M). Voy. f)<

ureanf/io~~tt~ue'.

AKGUtLmS digérées vivantes. ![.

409. Cosurs supptcmetttaires ou

accessoires. t\8(!: XV, 381.

AM.ULmLES du bte nieHc. XVt,

87 XVtH, 43. Leur anesthésie.

XVLMO.

A?itMALCCH;S dans i'air. VI, 489.

ANtM.tUX. ))s forment de la ma-

tiero sucrée. 5T. et végétaux,

chacun fonctionne pour soi. t, t3f).

Usages du sucre. 2.')t, 2.T!,

M2;V[,4M.– Comparés aux

vÉgétaux au point de vue des phé-

nomènes do développement, et de

nutrition. L2C2; U,2.')3, 495,

4i)'Vt, 34).–Us ont constam-

ment besoin de matière sucrée.

L 4)0. Consommation d'oxy-

gène. III, H3. Statique des ani-

mau\.H,4!)5.–Actionducurare.

Ji),(!S,280.–Rendus diabétiques

par la piqûre de la moelle, tV, :)'!

462. Leur emploi par i'homme.

VIII, n8. !is ne sont pas des

appareils exclusifs de combustion.

IX, 80. Leur opposition avec les

végétaux, vraie au point da vue chi

mique, n'est pas vraie au point de

vue physiologique. IX, 93. La

puissance réductiva est en eux

à son nnuimum. tX, 94. Us vi-

vent de méme que les végétaux,

mais ils agissent différemment sur

t'atmospI~re.IX20'I)ssont

tous identiques au point de vue

des organismes eh''mf'ntaircs.X,)0.–Us forment des principesunmedi.lis comme )es vt'rtaux.

X, 40<);XiV,t(~. –En état

d'abstinence ou en pleine diges-tion. Xf,2(i.–)ts produisent de

tachideur.X!It,);).–)nf)uence

8ureuxdet'exager;')ion()e)atem-

peraturo exterieure.Xm.334.–

Peuvent-ils former du sucre'XtV,

)(! Xouveitcs expériences. XtV,)<!U.–Leur distinetion en'ter-

restres, aériens, et aquatiques.

XV, M.–Vigoureux et atïaibtis,

susceptibilit6 variahie.XV.H5.

–HcveiHes pendant t'cn~ourdis-

scment,i)susentrapidcmentieurs

rcst'rves et meurent. XV). 108.

Opposés aux Ycgetaux.XVf.t33.

Distingués des végétaux par la

respiration. XV[,)34.–Force

mccaniquH qu'ils produisent. XVf,

t:n. Kespiration.XVt. 9':3.

Comparés aux végétaux. XVtf,).

–Hoctrineerroneo qui leur at-

tribue la destruction or.;ani()ue.

XVII, 23. Leur engraissement.

XVII, 9<i. 2'). Soumis a l'inani-

tion. XVII, )39. Leur rote com-

burant.XVM.ti3.–innuencedo

t'oxygène. XVII, t')6. Ils ne

sont pas caractérisés par la fonc-tion chlorophyllienne. XVH, 229.

Voy. CAa~M'' a!!in;<:<< <fe~MM '/e~t !:u~"t'e, H''<)'a<!o/! aMt-

t)'<!t< 7'e'"p~r<:<Mre <!K!))!

A~tMAUX Kt-KC rmQt ES X, 203.

U'KXPÉHtEKC)' Diversité de

ceux soumis & i'experimenta-

tion. ViH. ;'()(). Variabi)it6

des conditions organiques dans

[esquenes ils s'offrent à t'experi-

mentatcur. VIII, 200. H fautles choisir. VIII, 2t4 XI, M5,

55t XV, G6. Différences de pré-

dispositions entre les diverses clas-

ses d'animaux et entre les animaux

appartenant a~ia même espèce. X),

94.–De diverses espèces, diverse-

ment influencés par certains poi-

sons. XI,88. De même espèce,

Page 124: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPf!A[!ËTiQUE ET ANALYTIQUEi)0

diversement innunnees par certains

pniso))!<.X).!3ë.i('Mpp)'mtS<)o

faire'iureu\dc!;exp~riences.X![,

497.–))t!sdin'6ro))cosde\'oh]tne

ou des défaits de structure font

prcferct' certaines espèces. XI,

ù;M.–Leur contention. Xt,55'?.

–A))estht'siH.Xn,47.–Leurpre-

hensinn.X\t(M.–Piacessur

iatahh'ayivisoction.XV.rM.–

Procèdes ponriessacrinor. XV,

'MO.

AKtMAtX MtttE~ffAKTS !)s ne

(toitunt pas Otro coisidôrës comme

des animau~~ jeun.4().Voy.

JE'Hyf)Mt'~i.M<'?Hen<, Ht&ft'))a<!('H.

t~FËMH~'MS. Système nerveux.

!Y,)()5~5t5.–]hsopr6te!t)tmicuxaux. recherches surh'snerfs

mixtes. Xt, )' r'ormede

t'auptu'uitcircniat.oit'e.XV, 305.

SystOno bcunaire, XV, 3H.

t'ttYTOfUAGKS. t), 93.

A SA~(; CMACD. M, <')9 XUt,)2.).MU)'spropr!(!tcsnerYeus<'8

<t))tusFu]ftir<M!ion)tde!itt<juos<'t h

ccttt's des animaux ~Mn~froid.)4. Transformes en ani-

m.iu\ h sang froid ou refroidis.

vn).tM;X!t,3'S;XU],!Ch–

~(~n)Mt'es aux animaux & sangfroid. )\i')' –L~ chaleur

du sang jx'ut-eUc rester <hf' ?JX,44. -Leursmus.t-ies possèdentdes courants etectriquos comme

ceux des animaux h Mng froid.X, 204. Sujets d'expériences.

X). dM. Leur tempét-aturon'est pas absoiumant fixe. XHf,t()C. tis ne ae mattout pas on

t'fjuiiibro de température avec to

mitiou nui tes! entoure. XUt, 334.

\')y. fc"'p~'<i'~M'<f.

A SAX(; FMOH). Xt, 492; XH),i9.-t.enrspropri6tMt)M'vf'uf)M

etmuscu)aiLres!if)nt.id('nti<(ue'i!t Il

celtes dos animaux !t6!tnR chaud.

V,)).–Compare aux .minMuxit

sanjt chaud. )X. 4* n7. Sujets

d't'xpcriottct's. XI, &)3. Les phé-nomènes vitaux y sont plus )anta.

X,n3.

AKMAUX SARCOPHAGES. Il, 23.

St'EHMATtQUKS. i! <,ont tes ger-mes pour los spermatistes. XV!,

316.

SUPEtUEUKS ou d'une organi-

sation etevée, c'est sur eux que

doit porter t'experimetttation. X,

23. Che/. eu\, les fonctions vi-

ta)os sont mieux isolées. X, )02,

n3. C'est sur eux qu'on doit

pratiquer les expériences desti-

nëoa & mettre en !umiere la sen-

sibitité récurrente. XI, tM.

Différentes parties dont se com-

pose leur apparei! circu'tto're.XV,

308.

A TEMPERATUm: CONSTANTE

et & tetnpëra.ture yariabte. XVtt,

AStM)SMti. XVI, 42; XVU, 415,

~.5 XYtft, t~).

BE STAIIL. X, 6?

AKtMtS't'ES. [X, 133; XVIII, ttt.

ANOMAHË. tX, 112.

AKOXyHEMtE. X\n, )94.

AXTACO~t'i.'m': des nerfs dilata-

tours et constricteurs. VU, 2'!C.

ft n'e\Mtu pas entre les phéno-mènes vitaux et les phénomènes

phyMco-chimiques. VU!, )35.

Des médicaments, XU, 57). Des

nerfs. XI, 2M. Entre les deux

portions du système veineux (veinecave supérieure et veine cave in-

férieure). XUr, 122. Des poi-

sons. XV, 420. Chimique, phy-

sique et mécanique entra les ani-

maux et les végétaux. XVI, 133.

Priestiey. XVI, ;M. Saus-

sure XVi, ):!&. Dumas et

Bouitsingauit. XV). m. Hudey.

XV), ):n. TyndaU. XV), )39.

AaiTHËHUXUtUES des algues. XVI,

250.

A~THttUPOMH.tE. )X, 232; XYHJ,)03.

ANTIDOTES. t)f. 3n. Du curare.

[t), 26f, 262, 2(i3. De l'acide

pruMifjue(t'Cther;. ))),3'!7.

AK't'tQUiTH. Ses doctrines physio-

logiques. XVH, 402.

ANUS contre nature. VH, 3!)9, 401.

Page 125: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. tti

APPARU! CHYUtEK): Voy.

C/t.t/t~f.

CtRCt LA)0)RE Voy. C~'cu/a-

<0!)'?.

–Mtt.ESTtF.V'jy.at;sh'

LYMt'ttATtQt E Voy. ~y)?!~A<

<t~Me(Appareit).

NERVEUX Voy.crufUJ (Appa-

ru).

t'ORTE RE~fAL Voy. Hf'M.

['t'LMO~AtKË. Voy. fH/M'JMtt-e.

HESPtU~TOtRH. Voy. ~Mptt'a-

/0!)'f.

SEKSO!t!EL. Voy. SMisn)-

–UBt~AtME.Voy~f/t-tyifore.

APt'Em'. Putréfaction. XVt, n4.

AfTtTUMES pathologiques. YfH

M~

AKACH?<n)K. QEut'. XV), 328.

AKAGO. Hccherchcs sur ('aimanta-

t.ioti.XV,9).

AKA~i'i'HJS. Tubereuh's \atva)aires,

leur rû)c. VI, t92.

Anc«ËE.!X.:);X),(!t;X!n.C;XVI,

tj.dfVanHf'h<iont.\Vi),t6t,

2);4t8;XV))f,M,H),)At,)G3.

AttCnEtSMt:XVH,4)5,'H't.

AttCHEtt DE MEUOOK. VU), n4.

ARCtnLECtfHE. XVt, Mi)

AREA Opa.ca. XVt, Mt. PcUncida.

XVt,2).

ARGENT. Voy. Su//M;'e d'a)'</en<.

AtHSTOTE. XVH, )<)').

AKKOLD. Sou opimon sur i'e~s-

tenco des raciaes de quelques Û-

bres seasitiyos dans les racines

antérieures etdequatques fibres

motrices dans )os racines posté-

rieures.X.t.tS.').

AKMÈTmL;<:<)EUK-H',2:M.-P.u-

la galvanisatiou du 'agtte, avec ou

Mnsenipoisoum'mcnt.partecnrara.

!U,t8,(.t),JS.–Par tes sub-

stances to\iqucs.!U,<().–Sous

t'm)lu('necdes'n'tsmeta))tqu)'s.tU,

;).0.–Pai-h's.nUu-cyanurude

potassinui. H!, ~). Mort pos-

Mb(e.2()t).–D.tns)anMrtpa.r

la chateur. \t)!, ~.)t!. –Sous t'in-

fluence de l'excitation ~ahanique

des nerfs. XVUt, :}4~. Voy. Nerf

d'G!'r<?< du CŒ)'.

AORTE. XV. 2H.–Chnxics fu-

seaux. XV, 94:).– Antérieure.

XV,'J4S. –Ventrate. tempéra-

ture du sang. VI, 8: Voy.C'-o.Mc

f~t'oo~'fe. 1

At''ttH)))':KS Organes (le la repro-

duction. XVI, :!)<).

At'<tOK)K. Apres t'abtatiou des spi-

naux. V,SM.

At'KEK produite par la respiration

arti(icie!)e.XV,~3t!.

APCMOKt'MtNH XIt, ;'))9. Son

histoire chimique. XH.5H).–

Voy.C/~o'<)/H<e<rMp&MOfp/tt<)e.

At'ONt~KOSE X, )C8.

At'Ot'LHXtt!. Suite de contusions

ccrebrajes. anéantit tf.'système

nerveux cût'iihrn-spinat et produit

le diabète, t, :i48.

At't'A!mtL à cthor primitif. XII,

M. D'intiatation anesthésique.

XU.)3. Destines à mesurer la

chaleur. X)H, f' Pour écarter

les mâchoires du cheval. XV, 1.48.

D'un usane gênera) dans les vi-

visections. XV. )82. Pour les

injections. XV. tiK).–Med'Arson-

val a température constante. XV,

4'?6, 48f). –Que t'experimentateur

doit toujours avoir tout préparés

soustamairt.XV,224.

GALVAXO-METtUQfE. XIU, i3.

vuLTA-t'ARAntQUE do Du Bois

JReymond. XV, MQ.

Aft'AKEtLS ELKCTtt!QUËS. IV,

152 XV, 238. KMimteurs des

nerfs. IV, HG. Voy. CAa<MM ~feL-

<r;f/Me~, Piles, ï7t?;'MO-~c<)-

</«<"<.

EKREGtSTKEUMS XV, 934.

t'OLAtUMÉTKtQUES XIV, )09.

TUEMMO EU.CTMQUES XIH,

(n.At't'AMEtLS AKATOMtQfES Ils

sont indispensables au jau de

t'organisme, non~io.XV,

;)<M.–Des être') organiques, ils

ont une morphologie qui leur est

propre. IX, t36. Generam, ih

sont en rapport avec tous les tis-

sus. XI, 82.

MtHAtRE.Voy.BHta:

Page 126: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUEii2

AMSKKAt~ de la physiofogie opéra-

toire. XV. ]M.

ARSHKtC Son action sur )a dispa-

rition du sucre dans le sang.2it,

2t3. –Son passage dans les uri-

nes.V)),H8.–Sou action sur les

g)obuissdusang.X),86.–Fait

singulier d'empoisonnement, rap-

porté par C.orvisart. XI, )U.

Son action sur le mouton. XI, 2!)3.

Dans !o traitement du diabète.

XIV, 460.

ART. Son intervention est indispen-

sabtc.Xf,H~~nd~uM~

<imontetMriod'"n''pe'on!jR& à

t'autre. Xl, 437. Utfïcre de la

science. XV, 9. Ses donnÉsa et

ses obsorvatiCHs rie sont pas cûft-

troditpsparhseionce.XV!)t,3(!6.DES DECOCVËttTJËS tï, 2a!,

253.

MXt'ËtUMENTAL. 7.

M'HXFEKtMEKTERsur les êtres

Tiyant-i.Xjr,529,M7.

DE GUERtM. Xl, 407 XV, i).

MtÉtttCAt.. Hapports avec les

scioncetniedica)es.X),!i.

ARTKME AOHTE. Voy. /)o''<c.

CAKOTHtH. X)H, H:). Ecchy-moses dans le coeur & )!t suite d in-

jections. )V, &(!. Son resserre-

ment par excitation du filet sym-

p.'Hiiinucct'rviMtchexiecochon

d'tnde.V,53&tnjectioude

pru8siatedBpotaMo.V!f,2M.

Opérations. XV, MG. Appli-

ca~tion d'uu manomètre. XVIII, 35).

Elle apporte fc fMtog au cerveau.

XY)U,3<i).

CRt RALK. XV, 2~2.

FACtALE Action du nerf my)o-

}.yMdi<'n.Vt[,M~

!tEPA'rtQUE. Sa ligature. 'K!C.

Son sang fouroit la sécrétion

M)iaire.VU,)i):

KÉKALE. En'uts do la tigaturo.

Xt,f!).

ARTERKS. IX, <i3; XV, 244, 308;

XVIII, 322. Elles portent les

substances nutritives et toxiques.

Ut,47,6t).–)njcction<i'o\yd('dc

carbone. ))!,)(!).–Mort causée

par injection dans te cceur par l'ar-

terc. tV, 56.–Pression. Vt,n:

1<)2.)9<),207.–CoUpCPS, observa-

tion comparée de la pression dans

les deux bouts. Vf, 211. Leur

passage aux tymphatiques prouvé

par l'injection par douhte décom-

position. VU, t2), )22;XV,3i5.

Injection d'acide carbonique. VII,4(;6. EUes sont contractiles. IX,

64 X), 372, 376. Élasticité. tX,

m. Nerfs dilatateurs, et nf'rfs

constricteurs. IX, C4, 65. Leur

rôle dans l'empoisonnement. XI, Ha,

'aj"ctif,'ns da Mb!e. Xt, '?.

Leur structure.X!,3f!8.–Cas où

)o poutsso propage des artères dans

les vciues. XI, .'}7). Le sang y est

moins chaud f)M dans la veine-

cave inférieure. XIII, 07. In-nervation des petites artt'ret). Xflf,

247. Présence du sucre. XtV,

Si 5, 299, 404. Injections intra-

artërietiM. XV, 266. --Absence de

glycogène sur Jour trajet. XV')), M.

Poison qui est arrûtë. XVUt,

281. Voy. Élasticité arMr;<

P)~M:on artérielle, Pu/M<t! ar-

<tf//e, Sa?!y nr<<'t-te<, ren.!KM a;

M'eMe, D'ac/tM, ~at<!M<M: <~<

)'ARTÈRES AXILLAIRES. XV, 24').

VERTÉBRALES. Elles apportent

le sang au cerveau. XYt! 3<i).

ART~RtEiL (SYSTÈME,. XVJt], 278.

Pénétration des poisons. Jtt,

&6. Constance de la pression

)aM*ra]e. !V, 277. Pression du

sang. V!, )93, 208. Système it

sang rouge. V!,252. La distinc-

tion de couleur (rouge et noir) est

trop absolue. VI, 253. C'est le

milieu intérieur. XI, 440.

ARTERtOLES des animaux supé-

riours, analogie de leurs parois

musculaires avec les sphincters

pretacunaires des articulés. XV,

3t5.

ARTHROPODES. Leur squetctte est

extérieur. tX, U9.

ARTtCULES. Les éléments sfcro-

teurs de la bile et ceux du sucra

Page 127: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES fKL'YRES [)E CLAUDE BERNARD. Il :1

<~At!DEBERt<A<tU.X(X.g

"fmbtent distincts. t. !M. f.fur'

sf)U')cttcostRxt<ri(!ur. tX.Hi).

Sphincters prctacunairf* XV.

!!)i.–Lourdcveioppempnt.XVt.

MK.–Giy<:ogcn<X\'n,n<

ARTtSTE comparé au savant.

X\Ur,6(!)y.A'<ï<t!f.

ASELLt. Chylifères, Xtt, t X!V,

2(!5:XV,2m),334.–Dec)'itcomme

un pancréas chez le chien un or-

gane qui n'pst qu'une aggloméra-

tion 'jn ganglions lymphatiques.

XV,)82.

ASPERGE, tutlucnce snt- )'urine. VU.

)t,)2. –Snno'tf~trnepits'if

pas dsna t'ut'ine chez !es aihumi-

nuriquM.Vn,2t3.

ASt'HYXtE. Xtt. 3)9; XVn, t84.

Predispositinn contrn i'asphyxie

p.n'ul.tan'aihtisst'ment antérieur.

)H.m.)n<)u('ncodf')'<jt!tt()o

ma)!K)ie.nt,H7!t)M.–8onmt'-

mBmmR.)n,t!;8,)0,28a,3(!5.

!tôted<'rMidf'c)trh(mif)ue.Ht,M~.

Sa cause. )H, 234. Subite, mé-

canisme de la mort. m. 9'*o.

Porte de la scnsiMUtc constatée par

l'exploration du globe oculaire.

III, 235; V)!, 455. Sensibilité de

la conjonctive et de ta cornée. HI.

3~5. Mouvements de progres-

sionea avant qu'elle produit. IV,

4M.–Son in~ucut'f) sur la tem-

pérature du sang. VI, 155 à tOf,

5)2. Lente, ses effets. Vt, 510.

Ëtat de ia pupille. VU, ~55.

Résistance des divers animaux. IX,

189. Convulsions chez les ani-

maux dont la moelle 6piniere a été

coupée. Xi, 211. Susceptibilité

diverse des animaux. XH, 328.

Ses divers genres. Xt!, 329; XHt,

)')5. -Perforation du poumon. X)!,

~45, 352. En vase clos, à quette

altération de l'atmosphère est due

la mort, à l'oxygène disparu ou à

l'acide carbonique accumulé. XII,

!t- Rapports avec la chaleur

animale. Xit, 468. Sort influence

sur la calorification. XII, 4'!t.

Moyens de rappeler l'asphyxié à

la vie. XH, 479. Action de l'air

frais sur iapoau.Xfi.i8'Hcs-

pit':ttinn!u-tifi<'h'))o.X)f.48Ï.

T)-ansfnsinnd)isan!XH. 48:

Saignée. X![, tSt. Snn innuenre

snr la f~ycni~'nese. XVU. )tX).

résistance des p)antes.X\t!,)86.

Résistance dcsjeunesanimau'

XVII, t89. ~oy. Co;ip:<(MM.

ASPHYXtE PAR L'ACIDE CAR-

BUKtQUE. Les muscles sont <)(;

couleur foncée. XII, 376. Voy.

Car&ont~Me ~~cidet.

PAU L'AtR COKFME. Chez les

oiseaux. !!{, H' )-M.–Phéno-

mènes généraux. Hf, t'). De-

pression de toutes les fonctions.

III, 126. Abaissement de la tem-

pemturf. U!, ~fi. Diminution

des sécrétions.m.t'

CARBOXtQCE. Xft, 479.

t'Ait Ct:SSAT)CK n<:S MO~YE

MENTS RESt'tMATOtMES Cf'st

le mécanisme de la mort par te cn-

rare. 111, 374.

t'AR LE CURARE. ti!. 383.

ttES GKAtKtiS. tt, )8<).

PAR tK.t);CTtt)~ n ACtDE PY-

MOCALDQUE. f)), 222.

PAR UGATLMK nE LA TRA-

CHEE. Ut, Mt, -H. -MO Yt, 509;XH,t70.

PAR OBSTRUCTION DE LA

TKACUEE. tfJ, 23t.

PAR LOXYDK DE CARBONE

TMM~c~m~M.X~4M.

Expliquée comme phénomène

chimique. XiL, U~. Théortc

des !-ympt')mes. XII, 432. Ap-

pUcatioMdnspectroscope.XI!,437. RospiMtion et calorifica-

tion. XU, 413. K))o est caracté.

risée par l'abaissement de tempo-rature. X!)t,t!)(;.

DANS L'OXY-tiÈSE non renou-

vaie.lU,)3).PAR PRtVATtO~ D'AIR. XII,

469. Elle entraine une élévation

passagère de la température ani-

mate. XII, 4?4 XtU. t9a.

-PAR STRAKGULATtOK XII, 470.

PAR StJPPRESStOK DE LAtM

III, 230.

Page 128: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTtQUE ET ANALYTIQUEt

ASf'tnxm PAR LES VAPEURS

<t<: CMARB~N Xt), 3;!t. Histo-

rique deactude!t.X!J,33).–Symp-

!<~uosetmort.XI!,3M.–Carac-

tt''rt"tsur)ecadavre.XH,S!t't.–

Tr!utcmont.xn,33'NouYeUcs

('tudcs expérimentâtes. XH, 3't0.

Appareils. XH, 3M. –Critique ex-

p''rimMntatc des travaux antérieurs,

XII, :ti2. ('.outeur du sang. X)).

:M8. –h)nu('!)Mf)f!~f.ha)eu)'.

XU, Se: Kxpërimeutatt!. XU.

364. M)o (to l'acide carbonique.

XH, :!(i7. Signes qui permottcnt

de la reeonnattre. XII, 4.22. MG-

canisme chimique, Xtt, 09.

C'est une anémie. XII, ~3.

ttES VÉGÉTAUX & l'ombre.

XVM, 187.

ASPtRATtOM du sang du cmur. Ut,

)(!<

ASStMtt.AT)ON.X!,3~;XIV,8RO;

XVU, M.'): XVU!, t8' Voy. St/tt-<A~<~St))tt~<n'c<

ASSOCIATION des médicaments

xn,2n.

ASSYRIENS. Ils connaissaient l'a-

nosth~sie. Xli, S~.

ASTtCOTS, au point do vue du

g)ycogÈne.XtV,~M.

ASTHO'«)Mm. Elle est le type des

scicncead'obaervfttion. VHt, 3;3!-t;

XI, 419; XVUI, 59. Efte restera

toujouM une scieuce d'obserfatioa.

Xt. <M.

AS'fRUC. professeur de médecine

au Collège de France. XtV, tC.

ATAVtSME. tX, t<M. La morpho-

logie en dérive. XVJ, 332.

ATHËRMOsyStAMMQUES (Mus

ct.M). Voy. Muscles.

ATMOSt'HÈnE. Les animaux et !M

végétaux agissent différemment

sur elle. IX, 20' Purification.

XV!t,M9.Y<'y.P''M!tOMa<MOïp/«'-

ft~ue.

CONFINÉE. III, 20S, 210. Di-

minution d'une atmosphère limitée

part~respira<ion.U!,M8.Voy.

~)trcoM/!n~<esjt)«-(!<tOM~aMM/<f

atmosphère con/fn~.

DU MtLH:U INTÉRIEUR, viciée

de la m6m<* manière par les ani-

maux<'t!Msv6g6t!tux.)X,9<t.

ATMOSPHERE VITALE intérieure.

X!H,3M.

ATOMtSME XVIII, 150.

A't'ROt*Mtf':flu pancréas dans le dia-

bète.425.

j AUMTtF(CoNDun') externe, consti-

tution do la septième paire. V, 109.

A~mCL'LAtnE(NEM). Sa section et

sa galvanisation. Influence sur la

YascutariMtionGttatempoMtut'c

de l'oreille. V, 5)2, d!0 V]!, 334.

Son excitation produit dans

i'of'ei.iie un mouvement qui cesse

quand le facial est divise. V, 539.–L'excitation du bout centrât pro-duit le tarmoismeut. V, 517, 5t8.

AIJKOKE BOMEA~E. XI, H5.

AUSCULTATION. X!V, 27. Sa

découverte.Xt,4C3.

AUTONOMtK des tissus et des ët&-

ments. XV, xv).

AtJTOt'HAGtK diabétique. XIV, 64,

M6.

AU TOt'Sn! CAttAVKRtQUE chez les

diabétiques.E))ec'mdiquep!H('É-tat physiotogique du foie. {, 182.

Souvent elle est stérile. XI, 499,

5M; XVU), M3. Son insufa-saoce, telle qu'on la pratiquehabituellement. VIII, 198; XI, 1)3.

H9,447;XH,33!),384.

RATJO~MELLiE, immédiate ou

physiologique, son importance.

Vm,MO;Xt,n3,t4),446,&00;

XII, 839, 3'!&; XV,'96, 220; xvn),

282. Elle consiste à examiner

successivement et physiologique-ment tous les tissus et liquides

organiques. XI, 113. Elle doit

porter sur tous les tissus et se

pratiquer immédiatement après la

mort.Xt.447.

AUTMUTE. Ce principe, qui était le

fondement do la scolastique, doit

être abandonné. XI, 402.

AXE CEMEhnt) SPtNAL. Voy Ce-

re&ro-~M<!< (Axe).

AXIAL (CottMK). Voy. Coft/on.

AXILLAIRES (ARTÈRES). Voy. ~)'-

~'es <7/a!)'M.

Page 129: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BEHKARD. Il

AZOTATE. XVtt.tS.

AZOTE. Son innucncf sur la destruc-

tion du sucre dans !e sang.),243.

Déplacement des gaz du sang.

t, 355. Sa fixation sur les com-

posés organiques.XVt, 393. Son

rôle dans les phénomènes de la vie.

XVH.n.–Son oxydation, XV!

5Mi.–Sa conservation. XVII

5M.Voy. ~m~i<f~:OHai:o<<'<

Aliments a:o~.<, ~'o<o.t'afe d'a-

AZOTÉES (MATtÈRES OU SUBSTANCES).

XVII, 18. Action de la bite.fr,43!. Fossibitite de leur transfor-

nration en g)ycog6ne. XIV, 338.Action de la sécrétion parrcréati-

<)ue,XVn,3te.

AXOTURtE. XIV, 62, 471.

ttACUX. Vulgarisation de la méthode

o!tperime[ita)<Xf,}~9.

BACTEtUntES !X, 212,

BAER, admet quatre types de dôve-

loppement. XVI, !!25.

B.UKS FROtttS dans la fièvre ty-

phoide.X!t:,tM.

BALANCE. XV, 22!).

BALBtAKt. Génération sexuelle des

infusoires.JX, 102. –Organesde la reproduction chez les Aphi-

diens. XVI, 310.

BALLON pour le dosage du sucre.

XV.-tM.

BALLOXS(MAt. BES). Voy. jM<t/~

J'J'a~OH.<.BANt)E ELASTtQUE de Esmarch.

Xt',273.

BAMBASCO (~!C~!<!M;<! a~uMo!).Son action. III, 29&.

B*.KTnEX. Irritabilité. XV!, 244

XVt!,426.

BARTHOUK. Les funeraittes du

foie.XtV,26C.

BASE DU COEUR. XVIII, 322.-DU CRANE. V,222.

PIIYSIQUE DE LA VtË XYHt,234.

BASILE VALENTIN, XV!t, 417.

BATIIYBIUS H~CKEm. XVI, 189,299, 395 XVIII, 235.

BATRACIENS, propriétés de leurtissu musculaire. XI, 235. Ex-

périences sur les fonctions du

grand sympathique. XI, 261.Cœurs accf'ssoirps ou supptcmen-taires.XV.38t.

BATTEMENTS DU COEUR XVIII,332.–Modifies par la Iigature dela trachée artère. V), .')()!).–t)s nesont pas arrêtes par jatigature dela trachée après la sectiou des va-

lues. Vf. 5) -Arrêtes par la gal-vanisation du

pncumogMtnquc.IX, 66. ModiMs par les actions

réflexes. XIII, 259. it faut dis-

tinguer l'augmentation de leur

nombreavec l'augmentation de la

pression. XHt, 265.

BEAUMO~T. Fistule stomacale du

Canadien. If, :)82 XV, 26, 498

XVtt,2<!ï;XVttf,978.

BECLARO. Contraction musculaire.

JX,9!1.

BMCCO DE MAVACtJME !U, 246

BEH. (Cn.). Fonctions des nerfs ra-

chidipM.t\3i;tx,)),)5.t.–

Nerf spinal. V, 248. Deux es-

pèces de nerfs moteurs. X, 239.Il croit que les racines antérieures

n'ont aucune sensibilité, et les

racines postérieures aucune fa-culté motrice. X, 23!).

BELLADttKE Dilate la pupille aprèssection de la troisième paire. V,205.

e)~ï.o!LE.Voy. f~f{rM!-e~e&MM!!<

BEPtZOÏQUE (ActM). Modifié par le

rein. VII, 11, 12. Son passadedans les urines. VII, t48.–Éli-miné par la bile, VU, 213.

BEMARt) (Phi).). Discussion sur !e

pancréas. VII, 387.BERNA~M (CLAUDE). Sa naissance

)''juillet )8)3.XViJ!,)6.

Professeur de Physiotogie géné-rale à la Sorbonne (t854-1868!XVtt,xxvt;XVm,23.

Membre de l'Académie desSciences ()8a4). XVH, x XVfft, 23

Professeur de médecine auCoU~de France

(1855-1878). XIV, 3t.Professeur de physio)ogie génerateau Muséum d'histoire naturelle

()86S-)878).XXIJ,3.

Page 130: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TA{!f.E ALPHABËUQUE ET ANALYTiQUË E<!6

)

Bt;R?fARO (Cf.ACDE). LactoM~nio

X)V,t6i).

Gtycogène ou mMièrf: g)ycog~ne

dufoie.XfV,)8).

Origine du sucre dans le foie,

expérience. XIV, 283.

Matière gtycogt'ne considérée

comme condition de f)cvc)oppc-ment de certains tissus chez le

fœtus avant l'apparition de la

fonction glycogénique du foie,

X)V. 4!)2.

tnaucnee de l'alimentation sur

la giyco~ecÈsc. X)V. f)09.

!!eiation.s qui existent entre

la matière gtycogènc dans )es

muscles et dans le foie. XIV,M t.1.

Fermentstio!) gtycosique dans les

muscles des foetus de veau. XtV,550.

Fermentations giycosinues des

poumons de VMu. XIV, 5?))i.

Rctatiou de la réaction des mus-

cles avec la matière glycogène.

X!V, f.60.

Sensibiittc )'e)ativc des proc~d~s

Mcc))a"m~triques. X!V, M!3.

–Fistu.M gastriques, XV,aM.

Fonctions 6)émentaires dans le

rè~nc animal et le règne vÉf;eta).

XVt, 29. )M XVU), )&9.

Anestiiesie par le chtoroforme ou

j'other des végétaux inférieurs.

XVI, 2li8; XVII, 226.

Fermentations. XVIII, 32.

Discours de réception à J'Acadc-

mie française. XVIII, -iM.

Discours d'ouverture de la séance

pubtique annuelle des cinq Acadé-

mies. XVm, 441.

Sa mort, discours aux funéraittM

par M. Vu)pian. XV), vu.

-DiMOursauxfuneraittesparM.Pau)

Bert. XVt, xxv).

DiMoursauxfun6fait)espafM.Du-mM. XVIII, 5.

Discours aux funefaiites par A.

Moreau. XIX, 89.

Notice par Paul Bert. XVUi, t&.

Son éloge à f'Academie françaisepar Ern. Renan. XIX, 8.

MEKMAKn (<At:n! Membre de~

)'Ac.dcmieF)'ancaiso (t868). X\)U,

M.

–Sénateur. X\'in,9a.

–H'<p')-if))ces su)-te grand sympa-

thique. f,)9;Xt,9M.

–Fonction ~tycogcnique du foie,

expérience.I.ft); XIV, ~.i.

–Ui.'<hôtoar<incioLt,t5.

–8u(-(;astriqup.t!,a94.

–Ë)ot:9deMagendie.JtT,r. r.

Analyse physiologique des pro

priétés des S!yst('mf's n)uscu)airo

et nerveux au moyen du curare.

tn.Ma.

-0]'dcdut.ympM).V,n9.

Nerf spinal. V, 291.J.

!\erfpncumog!tstt'i<(ue. V, 344.

–t''oichv'').VU,t!0;IX,S(;!

XIV, t8), 300, 5M.

–Fot)ctiouadupanC)'t''as.V)!,M8.

Saup; veineux, if plus chaud du

corps fstceiutquisot't du foie parles veines sushcpatiqut's. !X. (tf).

La circulation de la glande est

peu active, pondant l'absence d'é-

Mutcmectde la salive, fX, ?(!.

Nerfs de s6erct.ion salivaire, ils

jouent le rôlo de freins. IX,

~crfsëcr~tcur de la gtandesous-

maxillaire, il est un véritable nerf

dilatateur des vaisseaux. tX, T!.

Nerf «~créteur de la gtande pa-

rotide, c'est tin rameau de Ja bran-

che maxillaire inférieur!! de la

5'pai)'e.!X,

t'ropt'Mtos des tissus. X, 4.

La glande salivaire souo-maxij-

taire peut entrer eu sécrétion sous

l'influence du ganglion sympa-

thiquedumaxi))aire.X,3~,

Expériences sur riHfuencc du

grand sympathique sur la chaieur

amma)e.X!,3?.').

G)andesous-m!txiHairedu chien.

X, 394.

Expériences sur la sensibilité ré-

curreate.X),52).

!<erfs dilatateurs vasculaires, M-

p6rience.Xttt,2'S!

Influence de la sensibilité sur la

température. X1U, 293.

Page 131: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES OEUVKES DE CLAUDE BERNARD. <n

MEBNARD (Ct.AUM). Ses travaux

I

par Paul Bert.X!X,a9.

–Tabieaiphahctiqueotanatytique

descta'uvretparieDoctenrMo-

E;nrde!aCoudraie.XtX,9.'t.

-Bihtio~raptiie.XfX.

BEttT'PAUL).Greffe animale.IX, )23.

n4;X,32(). –Air comprime.

XtV, 440. Oxygène daus le sang.

XV, 441. La variation de pres-

sion agit uonpM en tant que va-

riation mécanique, mais en tant

que variation chimique de la com-

position de l'air. X\'f!, )9a. Dis-

cours aux funérailles de Claude

Bernard. XVI, xx\-[.– Notice

sur Oaudo Bernard. XVIII, 15.

Les travaux de Claude Bernard.

XtX,;i').

ttEHTMEt.OT.Chateuranimate.XUt,

22. Thermo-chimie. XIII, n2.

Fixation de t'azote sur les com-

posés organiques. XVI, 393.

BKMXEnUS. Catalyse. XVI, t58.

BETES A CORNES. Epizootie. VIII,

~60. Voy. Pn<°MMOM!e co?!<a</M!M<

BETTERAVES. Acte nutritif en

deux périodes. XVII, 134. Voy.SMC)'e6<<;&e</e''0!)e.

BEUMUE. Vtt, 2:M.

BEZOLO. Expériences sur la rapidité

de la marche du fluide nerveux.

XI, t44. Innervation du cœur.

X!t!,262.

BtCMAT. Ligiiture de la trachée

pour rendre le sang noir. VI, 502.

Son expérience. Vt 50!).

Fonde t'anatomie générale des

tissus. tX,4 X, 14; XVt, t8t.

Oassnication des tissus. X, H.

Propri6téa vitales des tissus. X,

)0'! XVII, 444 XVUt, t59.

Trépied vital. XV, 93.

BtCOER et SCMMUtT. Pancréas. Il,

399.

BIÈRE. Voy. ~tw' d<' bière.

BILAN de la nutrition. IX, 92 XVH,

384.

BILE. VU, t9ï, 2(3 a ÏM, 388. En

plus grande quantité, à jeun. ),

)02. Des limaces, elle est sucrée.

1, 102. Des insectes, l, 105.

Elle n'est pas sucrée chez les mam-

mifères, expériences endosmomé-

tri<)ues.[)).–Sonactioncom-

bi~eavei'ceUedusucgastri'iue.

t), 422.–Son action sur les ma-

tiere'!ai;otees.n,4~i.–Son ac-

tion di~e-itive.U,4~!); Vft,404.–

Sonactinncomhinm'avecceUedu

suc pancréatique, tf, 442. Action

du suc pancréatique, tt. 471.

Son action sur tes nerfs moteurs.

IV, <4t.–K)te n'est pas augmentée

par t'injection d'eau dans te sans.

Vf, 33. Présence du fer. VI, 448,

44S.–Sulfure formé parte fer par

l'action de t'hydro~ene suifuré. VI,

44').–La matière coiorante passe

dans t'urine pendant t'abstinence.

V)[, 73. Formation dans te foie

tave.VH,]~Hst-eHe un pro-duit de sécrétion ou d'excrétion?

Vf!, tM, 200. tnnuence de l'obli-

tcration de la veine-porte sur sa

formation. Vt), t95. EtTets de

détournement de la bi)e.V![,202.

Hst-et)e formée par )e sangde la veine-porte ou par celui de

i'artere hépatique? VU, )M,)99.

Quantité sécrétée. Vtt. 207.

Elimination par la bile de quelques

substances injectées dans le sang.

Vft,2)0.–miminationdet'a)bu-

mine.vn,2[0. L'albumine y

passe, après injection d'eau dans le

sang, VU, '!tt. Elimination du

sucre. VH, 3U. Passage du su-

cre. VU, 212, 'K)9, 301, 315. -Eli-

mination de t'iodure de potas-

sium. vn, '!t2. Elimination du

sulfate de cuivre. Vt!, 2t2. Eli-

mination de l'acide bf'nzoique. VU,

2t! Passage des matières odo-

raHtcs. VH, 2t! Elimination do

ressencodete)'ehenthi!,)f*.VH,(3.

Elle :t la propriété de dissoudre

les ceiiuies du foie. V! 2)4.

Conjectures sur le siège de sa pro-

duction. VII, 2t5. Sa résorption.

VII, 2 )6. Sa reaction quelquefois

différente dans les conduits bi-

liaires et dans la vésicule. VII, 2t6.

Injection dans le sang, ralen-

Page 132: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTiQUE

tissemGntdupou)'<.V)),3)C.–

Expériences. VII, 2)7.–Acide.causes de ce phénomène.VU,2(7. 1.

Manière de tarecuMUir. XV.597. Hetiroe habituellement de

!avesieu)ebi)iai)'e.XV,597.–

Objections à l'emploi des anesthë-

siques. XV, 598. EUe est sécré-tée pendant les intervalles de ladigestion. XV, M8. Blondlotcroit que c'est un produit excré-

mentitiel. XV, MO. Expériencede Claude Bernard. XV, 60t.–Procédé opératoire qui permet de

suspendre et de rotaNir ittternati-vement le passage de la bile dans

l'intestin. XV, eoS.–SonrOiedans la digestion. XVII, 307, 310.

Son action sur les graisses.

XVtJ.309.

BtHAtRE(At'pAM<t,). Ses connexions

avec les conduits pancréatiques,

XV, 596. Disposition anatomi-

que chez les différents animaux.

XV.&97.

(CANAL) de vache. Hf, 42t VH,359.

(Fott!). Voy. Foie biliaire.(ORGANE). En disparaissant l'or-

gane urinaire se confond avec lui,!X,8'

–(SiÈMÈTMN). J, 95, )0' H, 4M;VII, 206, 2)5, 383, 3M; IX, n;XV, 596.- Elle n'est pas synchro-nique à la sécrétion du sucre, elle

semble être indépendante. t, 9~

Cette vue est appuyée par j'a-

natomie comparée. J, tOO. Suc-

cession des deux sécrétions chezles limaces. J, tOt. Les élé-

ments anatomiques sécréteurs sem-

bient distincts chez les articulés.t, 103. Les éléments auatomi-

quos sont confondus et mélan-

ges chez les mammifères, t, t05.-Dans le foie. 1, 508; Vt),2)5.

Est-e))e fournie par le sang del'artère hépatique ou celui de la

veine porte. Vtt, t93. Ex-périences. VII, 195. Ses rap-ports avec la formation du su-

cre. VII, 206. Expériences. VH,

383.–Chextcs tim.içoas.XV,f<M. Son importance dans le

travail de la digestion. XV, 599.

Opinion do HaOcr. XV, 599.

Expériences deSchwann. XV, 599.

Expériences de Biondtct. XV,600. Expérience de Tiedemann

et Gmelin. XV, 600.

BH.tA.mE (VÉstMLE). Voy. r~cM<e

M/MH'e.

BILIAIRES (CoNCMM~.Leur orifice

dans l'intestin. H, 184. Réac-

tion de la bile. vn, 216. Expé-rience de Tiedemann et Gmeiin.

X}, 65.

(FfSTUt-Es). Voy. fM<M/M ~t-~a't'ct.

(VEtKEs). Voy. fetne!

BtOt.OGtE. V!M, 189. Applica-tion des mstthëtnatiqufMt. VIII,2M. Expérimentale, ses princi-pes.X,)42;X!,503.Voy.M<'))o-

m~'tet&M~o~~ufs, Sciences Mo/o-

giques.

BtOPLASME. XVI. 02.BISCUIT DE GLUTEN. XJV. 425,

477.

BISTOURIS. XV, t8~

BLAtKVtLt.E. DéHnitioa de la vie

XVn~ t98.

BLASTEMES. X, t9 XVI, 186, 300;

XVII, 456.

BLASTODEBME. XY!,3)8.Yoy. Vé-

sicule A/<M/0~rmt~M.BLÉ. Voy. Nielle des blés.

BLÉS de momie. XVf, 7t, 390.

BLESSURE du cervelet. Rotation.

IV, 486.

BLEU UE PRUSSE. Ne colore pasen bleu les glandes stomacales.

VI, 38). Ne se produit pas dans

le sang. V!, 485. Le prussiaten'en fait pas dans l'estomac. VIJ,374.

BLONULOT. Pancréas, n, 348.

Fistules gastriques. XV, 551, 558XVII, 269. Sécrétion biiiaire.XV, 600.

BOCAL pour l'éthérisation des ani-

maux de petite taille. XV, t62.

BOKCK. Contraction musculaire. X,197.

Page 133: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES OEUVRES DE CLAUDE BERNARD. i!9

BOERHAAVE XVII, M: 4~4.

BOEUFS. Conduits pancréatiques

surnuméraires. t)],42t;V!t. 358.

Sujets d'expériences. X!, ~55.

Pourquoi on ne les anesthosio f t

pas. X!), 47. Préhension et con-

tention. XV, t-ifi. t

BOISSON de )'immorta)ité. XI, 407.

BOtSSO~S ingérées, leur rapport ) i

avec le diabète. 440.–Est-ce

d'e))cs que vient toute l'eau chez t

les diabétiques, t, 442. Elles font

augmenter le liquide céphalo-ra- 1

chidien. IV, 102. Elles augmen- j 1

tent l'eau du sang. VI, 4M.

BOLAHMEriTAtRi; après )'im-

prégnation biliaire. II, 441. Ex-

périences.XV,!t54.

BONNET. XVII, 2;,4.

BORCEU. trritabi)it6 et sensibilité

générale. XVI, 244 XVII, 427.

BORELLI. Digestion. XV, 493; XV!

263.

BOTAKtQUE. Elle est distincte de

taphysiotogie. XVHt, )44.

BOUCHt-:(co))ute8 épithéliales de )a).

Il, 42. Voy. (~aH~K~ &Mcc<f~s,

Salive buccale.

BOUCLES, Moyen de contention.

XV, 146.

BOULIMIE. 44t

BOURGEONNEMENT, IX, ~0~

XVt.308.

BOURRELET embryonnaire des

hultres. XVII, 109.

BOUSSt~GAULT. Anatyses compa-

rées du biscuit de gluten et de

quelques aliments féculents. XIV,

477. Antagonisme chimique,

physique et mécanique entre les

animaux et les végétaux. XVJ, 135.

BOUTURAGE des plantes. XV!,

355.

BOUTURE.IX, 102.

BOt'LE. Fermentation des aliments.

XVII, 262.

BRACHtAUX (TnoNcs). Voy. Troncs

brachiaux.

BRANCHE MAXILLAIRE. Du tri-

jumeau. V, 17, 92, 98. Supé-

rieure, exclusivement sensitive.

V, 92. Son influence sur l'ol-

faction. V, 94. Sensibilité

speciate d'un filet qui en émane.

V, 95. )nff'ricure,sensitive''t

motrice.V,98.

iRANCHE OPMTHALMtOUE du

trijumeau.V,85.

tRAKCHES DE LA CROSSE DE

L AORTH, leur origine. XV, 24'

tRANCHtES des poissons, poisons

qui agissent sur elles. H), 294.

tRAND Thérapeutique réfrigé-rante. XIII, 4,,2.

IRICOLE. XV, 144.

!RODtE Influence du système ner-veux sur la chaleur animale, X)H,

203.

BROME. Détruit le curare. III, 261,

'!6'M3.

BROMURE DE POTASSIUM, ses

etTetsanesthesiques. tX, tR2.

BRONCIIES. tX, 196.

BROUARDEL. L'urée ettofoie.XtV,

4-i0.

BROUSSAIS. Sa médecine physiolo-

gique. Xl, 464, 48:t, 509; X)V, 40.

irritabitité. XVI, 248. Irrita-

tion nutritive et formative. XV!,

389. Voy. Medec!'<c physiologique.

BROWN. Sa doctrine. X, 80; XVH, l,

449.

BROWK (Robert). Noyau de la ce)-

lule. XVt, 184. Voy. ~OKt'M)fM<

Brownien.

BROWK-SEQUARD. Transfusion.

IX, 55. Ses expériences sur la

production artificielle d'accès épi-

leptiformes. XI, 22C. Expérien-

ces sur l'augmentation de la sen-

sibilité de la moelle après la

section. XI, 200. Influence de

l'asphyxie sur la caiorification.

XH,4'!t.

BRUITS RESt'!RATOtRES après

ligature de la trachée. VI, 509.

j BRUNNEM. Expériences sur le pan-

créas, elles sont sans valeur. tt,

2'!3. Glandes de la tunique du

duodénum. XV, 582.

BUDGE. Expériences sur les fibres

constitutives du muscte. XI, 49.

et WALLER. Expériences sur le

point d'émergence du grand sym-

Page 134: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAULE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUEt~O

pathiqu<V,i':a;X),2&2,3~.t

Bt!FH)x Le corps simple vital, il

n'existe pas. XV),2M.

BUt.BAtMK(H.<KtKE).Y,MO.BULBE. t))f)uf'nce de sa section sur!

tacircutationartorieite.Expérience'

singutipn'.V[, 950.–Sa section

ponrsacrincrtesanimaux.XV,9'!2.'

BURETT)! pour le dosage du sucre.

XV, 489.

CACHËXtE Xt, M.

CAHAVERtQUES (SECTfoss) dans

leurs rapports avec la vivisection.

Vttf,t!

CADAVRE. L'nrfe moms &bondaute

dans)urin<* est. un signe non

(('abstinence, mais de dÉnutritiou.

Vfi. 7). Yuy. ~tu/o/M'e cadavéri-

~Mc, t'<a< co~Ht'tçue, P/tt'M«-

M<*M<f M<~M'A'<~M<M.

CAUtJCt')' est un des caractëresd')

)tvi('.XVJ,3i.

CAG~tARR M); LATOCR Théorie

organique.X\f,)60.

CAtLLETTE.X\tt,9.M.

CAtLLOrnU SANG. t, 200; XIV,

135. Sa couleur. VI,2'!X.

BLANC. Influence du grand sym-

patliique sur sa fonxatioti, danfi

(nMngdecheva). VI, 240. Sa

coagulation. VI, 453.

CALCttJM.Voy.C~<ot'ut'<eca~:Mm.

CALCOGLOnfUKE XVif, 534.

CALCOSPMËHtTES. XVII, &34.

CALCUL, son emploi dans l'étude

des phénomènes des êtres vivants.

V"I,M(i.

CALUBURCÈS.Appareil pour me-

surer les variations d'intensité des

mouvements vibratiles. X, 139.

CALOtUFMATtUN ANtMAU! Y),

f<) ;X!H, 9.– Théories anciennes.

I, 20!). tnftuence du grand sym

pathique. V, 492. Ses rapportsavec la vascularisation, après ta

section du grand sympathique. Y,b13, Ses foyers résidant dans

tous les tissus de l'organisme; eUc

est une faculté appartenant à tous

les tissus. VI, t35; XUt, ii)3.:

Influence du systema nerveux.

VUt, 295. Influence de, ras-1

phyxie.XH,4'n.)Msi'Mphyxi~

par l'oxyde de carbone. XX,t73.

influence de la contraction

niuscu!;<it'e. X)t, 4!?. Sc~

causes. XH),)).–ht(!uenceducurare. XUf,.5ï.–Se9 rapports

généraux avec la circuiation. XIH,

181, 2'J, 278. Elle parait mar-

cher de pair avec la circulation.

Xni,9.')!t.–Ses rapports avec

~'H)nert'atM)).X!j[),2(!]. Les

phénomènes sont do doux ordres,

création da chaleur et répartition

méthodique de la chaleur crceo.

X! 278. Sunindépendance

sinon sa prééminence sur la cir-

culation. XIII, 284.- V~MtnMt'/cw.

XH), 287. JnOueocc dn la sensi-

Mtite. XIII, 293. Provoquée par

dos actions rëSexas. XIII, 2i);<.

Los phénomène!) de catorification,

de même que ceux de réfrigération

renexc, peuvent être indépendants

do l'état des vaisiteaux. XIII, 2')'

Yoy. C/tu/eM)', yfmp~o<u)'<

CALORtPtCATtOK FOKCHO?(-

NE~LE. XIII, n5.

CENERALE. X!U, 193.

-6ï.ANDUfLAtME. XIII, n7.

CES GLANDES SALIVAIRES.

Xt!t,H5.

HËt'ATtQUE. XU), t89.

–LOCALE. X))!.M5.

MOttBtDE. XtH, 393.

–MUSCULAtRE. XIII, 141.

OttGAKtCUE. X!U, 395.RENALE. XUJ, tM.

CALOtUt'tCUtE (PMCUCTMS). XUt,

417.

(REGULATton) normale, XIII, 449.

(HtfAt<TtTM!<). Voy. ~~a''<t<!OM.

(TopoMMHns). XVUI, XO.

CALORIFIQUES (NEtt~s). Voy. ~M'/<

ef~ori/Keit.

(PHÉNOMÈNES). Ils seront MpUqué~

par le nerf sympathique. XH), 220.

CALOmMETRt):. XtX, 4M. Du

f6bricitant.X)U,4t8.

CALORIQUE. Ses sources. XV, 35.

CANAL AHMENTA!RE.Yoy. Co?!H/.

BtHAtKE. Voy. B~/att-f.

CMOt.EDOQUE. Voy. C/to/tMo~Mc.

Page 135: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE C~tJDË BERNARt). i2<

dos am'nts toxiques. XV. ~t).

APtLLAtRES LYMPMATtQUES.

XV, 320. M;

-SA?«.m?<S. Mouvemt'ntdu &a.n~.

iX,64.–Le sang en los traver-

sant, aprt-'iast.'ctio!) du syn) pa-

thique, conserve sa couteurver-

meille. XI, 34(!. –Communiquoxt-ils avec tes t\'mpnatiques?tX, i!)4

XV.t4.

:At'SULES SURRENALES )X, 84;

XV,294.

:ARBONATES ALCALINS dans

!a salive. U, )3t. Y en a-t-il

dans le sang. Vt,'H'Est-ce à

eux qu'est due la réaction atcattne

du sang, exp. VI, 412. Action sur

la coagulation du sang. VI, 4:)5,4;M.

O'AMMOKtAQUE. Rend atcatim!

i'urmc des chiens en digestion.

V![,M.–Produit des convutsions

par injection dans le sang. V)), :n.

38. Injections dans les veines.

XI, tOC. Ses effets comparés &

ceux des fièvres ërupth'es. XI, Kn.i.

Nature de semblables )6sions.

XI, 107. -Doivent être considérées

comme purement mécaniques. Xi.

107.

-DE SOUDE. Nuisible pour l'ana-

lyse du sang. Il rend le sang ruti-

tant, puis noir. VI, 3'!<i. Il ab-

sorbe l'acide carbonique et t'oxy-

gène du sang, et ne le rend ptus

sous l'influence de l'oxyde de car-

bone. \t, 3~8.– Soir influence sur

la coloration du sang. VI, 40t.

Son action sur la coagulation du

sang. V), Ma, 4M.

CARBONE. H ne peut être incorporé

directement par le protoplasma in-

cotore.XV!,2<0. –Son oxydation.

XVU.&Oft. Voy. 0.0/dN <fF carton'CA&BOKÉ (HYDROGÈNE). Yoy. ~)/-

dro~fn~ carboné.

CARBONIQUE (ActM). Action sur la

disparition du sucre dans le sang.

I, 241, 243. Son influence sur la

mort dans un milieu confine. )tt,

132. Sa présence dans te milieu

confiné. Uf, 134. ti n'est pa&

vénéneux. tU, 135. Son injec-

CANAL BKiESTtt Voy. O'nMftf..

EXCUËTEt'tt t)E LA GLANDE )C

SOUS MAXILLAIRE chez le

chien. XV, M.t.

tNTESTtNAL Voy. /H<t'!<!7:<

t'AROTtDtËK Voy. Pi!o<M.

RACHtMEN Voy. Rachidien.

THORAOQM: Voy. r/tOt'ac~Uf.

ERTEBRAL. Voy. ~'fe&<

[)E WHARTON XV, 540. U

est indépendant du canal do la C

sub!mgu:de. XV, MO.

CANAUCULES OSSEUX. Voy. 0, C

~eM~.

CANCER D" FOIE. Influence sur la

sMrettOitd! SU! f, tM.

DU PAKCMËAS. XV, 59~.

CANNE A SCCME. XtV, 142. Voy.

Sucre <<<' Ct~;M.CANTANt. Théorie dudiabf.tc. X)V,

446.

CANTHARtUKS. Leur action sur

l'appareil urinaire. XI, '!t).

CANULES de<! seringues. XV, 193.

CAPtU.AtRE (CtKCtrLATtos) Voy

C~'CM~a<tOM capillaire, Réseau ça-

pillaire.

(PHÉNOMÈNE). Que devient t'oxy-

gène. V), Ml.

(SYSTÈMR). XV, 313, M. LOM-

lisation de l'action de la nicotine.

lll, 3!h). t)csartcri:tUsatK)n. Vf,

?6. S~ constitution. X, 414.

Importance des o\p6riance5 qui

s'y pratiquent. XV, 322.

CAftLLAthES (VAMSEAtfx). !X,~3,

C3, (94; X),440, XV, 3)5, 919,320,333. Action de la nicotine. !tt,

39~. Présence des gaz. VI, 849.leurs nerfs ditatateurs et cons-

tricteurs. Vtt, 2'! 7. Ils sont de

deux ordres. X, 4t5; XI, 365, 36'

Ils sont contractiles. XI, 3'!3.

Leur structure. XI, 368. Leur di-

latation lente. XI, 372.- Leurim-

portance. XV, 308. C'est à leur

niveau que se passent tous les

phénomènes essentiels de la nu-

trition. XV, 309. Ils sont parexcellence les agents do l'absorp-tion. XV, 323. Ils portent sur

tes éléments des tissus l'action

Page 136: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TA!iLEAL!'HAHET:Q'EETANA[.n'iQ)Jf;;~2

tion dans le sang sous la peau. !)).

t3<i. Mcfë en certaines propor-

tions aux gaz respirables, il faitmourir les animaux, tiï, t36.

Mort par son influence. tH, t40.

Action topique, locale et goncratc.

H! 4t.–Son rôle dans l'asphyxie.

ttt,20~. expériences. fit, M8.

Son innuencc réunie à cette de

l'oxyde (le carbone. !)). 209.

Son action délétère. iH, 2)0.

!n0uonce do la température sur

son action sur le s«ng. Vt, 3M.

Se formo-t-i) dans les titsue. V!,

341. Hypothèse de sa productionpar combustion interstitielle pourexpliquer la formation. VI, 351.

Dans le sang. Vf, 354; tX, M, t8~

XV, «O. Sa tbrm~tion ttors des

vaisseaux. Vt, 354. Insuffisance

des procédés de dosage par dépla-

cement ou par le vide. VJ, 3.')~.

!n0ucnce de la température sur l'ap-

pUcation do ces procèdes. Vf, 35(i.–

Expertences. t, 356. Sa forma-

tion après l'extraction du sang. Mo-

difications apportées par la section

du sympathique, au cou. Hxperien-

ces sur d<M c))e<aux. L'oxygèue dis-

paratt.Vt, 356. Dans le sang de-

placé par l'air. VI, 3.'<(!. L'oxyde

de carbone en dégage, avec

augmentation de volume. Vf, 3'!C.

Absorbe par 10 carbonate de

soude. VI, 378. Mélangé avec

-I!ng~~ln dQ ~b0n0. YI. ·"S!I(I.t'o~de de Mt-bone. VL 3!!f!. ta

Sa quantité en rapport avec fa

couleur du sang. VI, 396. Lesmuscles et les tissus à i'au' en

donnent autant qu'ils prennent

d'oxygène. U n'en est pas de même

pour le sang. Vf, 403. Ne rend

pas le sang veineux toxique. VI,

509. Le sang sucré qui est sou-

mis à son action donne ensuite

une décoction opaline. V!t, M.

Injections artérielles et veineuses

dans fo sang. VU, 4CS; XV,

266. Son expulsion. IX, ?.

H n'est pas un agent toxique pro-prement dit. IX, t89. Son rôle

dans la décomposition de t'hydrate

de chloral. Xtt, 303. Son action

dans l'asphyxie par les vapeurs de

charbon. Xt), 36~–Son absorp-

tion par la surface cutan~t* et sous-

cutan6e.Xt!,3(!8;XV,363.–

Expériences oùc8 gai!stabMt'bé

par un seul poumon. X)), 370.–

Uoutcurdusan~<l&nf()'«mpoison-

nemont peu' cet agent. X«, 376.

Exp6rtencescomparattvt's.X)t,37(i.

Formé par l'oxyde do carbone

dans t'ëconomie. XII, 459. Expiro

dans la fièvre. XU), 420. Dans

!es urines pendant !<* nÈvrc. Xt)!,

<!t2. Son rôle dans les phéno-

mènes do la vie. XV!t, )t. Sa

réduction par la ch)oropby)tf dans

)asp)antes.XVn,nt.–t)6com-

posé par les parties vertes des

végétaux, il paratt f'tro amené à

l'état de dissolution par les t'acines.

XVitf,23!E!.p<rteacfs.XVtf,2;M.

–ObMrvationede M. Morget. XVII,

2M.–Saproduction.XV!),M)t.Voy.

Asphyxie ~ar l'acide carbonique,

CARBOMtQUE (A~HYtK). Voy, As-

p/t~t< car&ont~Me.

CAROtA. Explications rationnellesdes effets produits par la constric-

tion. XV, 553.

CARDIAQUE (CoN-rnACTtot)). Voy.

Cctt~'ac~on.

–(tMPULMOK). Voy. /nt~)MMo?!.

(PRESSION). Voy. PffMtOTt.

(PULSATION). Voy. Pulsation.

CAttBiAQUKS (NBM$). Voy. JV~

cardto~MM.

CAKOMMÈTRE. Ht, 372; V). 166.

ExpëriencM pour ntosurer la

sensibilité. IV, 268 à 2M. Sa

comparaison avec t'Mmodynamo-

ntètre. Vt, )6C. tndtMtion!! qu'il

fournit. Xt,t69.

CARMtOMKTBtQUE (PBESstON)

Aprèt empoisonnement par le

curare. VH, 312, Siï.

CARNtVORES. XJV, 90; XV, &03.

Urines de la digestion. VII, 10.

CAROTIDE. Voy. ~W~-e CM'o/

CARTILAGE HYALIN. X, 33.

CARTtLAGtNEUX (T<ssu). IX, U9.

CASÉINE. VI, 4M; VU. M9;~VJJ,

Page 137: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BER?)ARf). t~t

277. Action du suc gastrique.

XV", Ma. –Sa digestion. VU,

404;XVf),2!)7.

CASEtKE t'Kt'TOKE. XVti, M8.

CATALYSE. XI, M, 42. Travaux

de Berzélius. XVL 158.

CATALYTtQMH f.FoME). \'tH, 326.

CATALYTIQUES (AcTMNs). XVt,

<58.

(PHÉMMKMs). X, 8.4 XI, 46.

Dans te sang. <X,48.

8'1 Xi, 4(;.

CATARACTE diabétique. XIV, 412.

CATMETEMSME DU COEUB XV,

9~, 277. Du cœur droit. t, 126.

!)u cœur droit dans )<! but de

déterminer la tempëratuM du sang

veineux. XtU, 77. Du cœur gau-

che, difficultés opératoires. XtH,

80.

DES GROS VAISSEAUX. XV, 280.

M LA VEINE CAVE inférieure.

XHt,U<

CAUSALITÉ (Loi DE). XVt, 340.

CAUSE. Ses relations avec l'effet.

JV, 17. –I) ne faut pas confondre

les causes avec les conditions. IX,

228. De tout temps on a cherché

à y remonter. XI, 479. --Sa notion.

XVH, :?' Le lien qui la rat-

tache a l'effet n'est pas caractérise

par la succession, mais bien parla réciprocité. XVII, 398.

MTEBMtNAKTE. VU!, tM.

Le déterminisme est la cause pro-

chaine ou déterminante des phé-

nomènes. VIII, 383.

PBEMtÈRE. VIII, 325; XV, 54;

XVII, 397; XVtH, 53. -Il faut en

abandonner ta recherche qui n'est

pas de notre domaine et qui nous

échappe. IX, 221; XI, 406, 448,

488, 530, 562 XVIII, 183, 300.

CAUSES FtNALES. t, t64. Elles

se confondent dans la Muse pre-

mière, et n'ont pas d'existencedistincts. XVI, 336.

tMMBMATES. Voy. CaM'M ïe-

condes.

DES MALADIES. Elles résident

dans les éléments anatomiques.

XI, 577.

MATÉRIELLES. XV!, 56.

CAUSES MORALES. Leur inOuence

sur)adin'tion.X,:i8).

MOMBtDES. tonuenres diverses

sur'es individu". X). 23.–Ana-

logie d'action avec tes poisons.Xt,

108, )22.iï9.–Leurs caractère-,

essentiels. XI. )<)!).–Leur action

physioiogique.Xt.i09.

DES PHENOMENES XI, 488,

5'xv,5t;x\u,:tH'xv)n,

55. La science a pour objet dp

les découvrir, pour les modifier et

ies maîtriser.XVHt,t!)!j.

DES PME?<OMENES BIOLOGI-

QCES. Reproches adresses aux

mcdecins&t'egarddeieurisno-

rance, et mal fondes. Xt,t0!).

t'HVS!(:0 CHtMtQt'ES XV, x)\

SECONOES, tMMEDtATËS ou

t'ROCHAtNES. V)H. t.0..183

x\t, ;)6. x\n, M~; xvm, M.

La méthode expérimentale sf pro-

pose de remonter à la cause pro-

chaine. XI, 478. Le détermi-nisme a pour but de les trouver.

XVHt,~8,383.

CAt!TEfUSATtOK. Manifestation d)-

la sensibilité, récurrente. IV, 89.

CAVES (\'E<!<Es). Voy. t'e'MM.

CAViTE abdominale. Voy. Abdomi-

M/e (cavité) du Cœur. Voy.

CfBKf. (iranienne. Voy. C''f<-

nienne. Digestive. Voy. D«/M-<tt'e. Médiastine. Voy. Médias-

tine. Séreuse. Voy. ~cM<°.

CÉCtTÉ consécutive à la section du

trijumeau. V, 61. Produite par

une tumeur ilbreuse à la base du

crâne.V,234.

CELHJLAtRE (T)ss<j). tX, ttâ.

Sous-cutané, Injection de sucre.

t, SH, 221, 'M8. (Fibres du)

provenant d'un morceau de vian-

de crue qui avait été digéré dans

le suc intestinal mixte du chien.

H, 445. Sous-cutané, l'hydro-

gène sulfuré, même absorbé, est

inoffensif. IX, 85. Muqueux.

IX, 120. L'albumine injectée se

retrouve dans l'excrétion urinaire.

IX, t97.-GraMse.tX, 2)7.

Contractile. X, 153. Sous-ca-

Page 138: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQIJEi24

<6!) tX.M.–AjeuH et en digestion.

!,nO,n].–Di'K)utM)Mr)tbi)n.

Y)t.9)4.t.em'{)isM)utiond!tn<t

la H~'rejauuo et l'ictère matin. VU,

3)R. Matière gtycngÈuc. Xf, 330.

CELM'~ES CANHUOKKAtttES.

X,Mt).

DES GLANDES, 370. S~))-

vaires. Il, ?. De la parotide.

n,nr..

GLYCOGHXES de ta pMU. XtV.

4M.

H~TCOGEM~UES ~aum re.ic-

tifs. XVH. C9. Dans le placenta

du lapin. XV), 234.

Gt.YCOGEMKSt~UES. X\~t.)9.

Ot! GKANMSYMPATH)Q~Edansi

la moelle épinière. X, 3<&.

MEt'ATtQUES. Voy. Cf~M/M f/u

foie.

tH!MATtt!BE VERTE !X, <)5.

DK LA MOKLLK ÉftMtHUK X,

3M;Xt,2.5.

MOTmCf;S. IX, n X, 9M, :!M,

8)0. –Et cellules MO-iitives, )<'urs

commis~uMf! dans ta nw)!e épi-

Dtëre. X, :i) ).

nE MO~VKMENT dans la mo''i)t!

i''f)tni<[email protected],:)t«.

MUSCtJLAtRES. X, M, !65.

KEKVKtîSES. X, 28, 245, 30?;

XVnt, '2?9. Ranhidiennos. )V.

)M; XVtft, 9n. Bipohtrcf!.

n', tM: fx, 17 x, 307. Apo-

taires. !V. )M: X, !)()?. Mu)tt-

polaires. IV, t~ X, M, MT, 308.

Périphériques. tV,M't)'' la

moelle épinière. X, 3M. Ot-if!i-

Bet des cerfs. Xt, 255. Elles

sont & demi coagulées par le chto-

roforme. X!f, t53.

M L'OEUF. XVIII, <93.

–OMAKtQUKS. Étude de leurs

coaditiona de développement. ),

252. Leur développement dans

des liquides albuminoides sucrés.

254. Spéciales, teur g~ndra-

tton.2M.

OVAtttQUES. !X, <02. 107.

Ft.ASMATtQUES. !X, 120.

SECRËTOtKES. IX, ~3. De

gtycogène.IX,

tanp, absorption. X)t. 60. Tra-

vaux dt'Mirhc). XV), tM.

CELH'ms tX. <M; X, 18; XV,304;

X\'f,)'): XV)). tM. -Loursc)6-!

m«nt<X.9t.–Matadtosquir~suttont do )eur dëvetoppement t

pat!)o)ogi()u'?. XI 44. Leur ori

gmc.Xf.47; Xt(,t87.–0nt-)-

oUcstoujourt une ce))u)p pour point

de départ ? Pt'uvpnt-t'Ucs se pt'o-

tiuirR quelquefois ''pontanemeut.

]X,4'Leur mot constitue ta)·mort de l'organisme. XV, 307.

Ello est le dernier élément mor-

p)h))o~ique des êtres vivants. XVJ,

)M. -Etteviontduprotophsmit.

XV), 18i. Lo protoplasma est ta 4

substance v~'autt) anterieuM h la

coi)u)e.XV), )8' –Lnproto-

phtsma est le corps vivant de )ft~''f'Outc dans it's dcot l'Agnes. XVf,

)'M.–Lt'pn')t')ptMmaf'st!'a~ent–

df* ses manifestations. X\ )98.

Division';ndog<nt'.XVt,:)<)2.

S~ ~cn~sf par formation libre.

\Yt, 302. Sa genèse par scission

simple. XVI, M9. Par division.

XV),3M,MC. –t-:ne!iad6p)MC

pourveniraucontactdof'ftir.XVtf.

179. L'air va an-devant d'etta.

X\'n,n!).–Sonrô)(-.XY)!,M2.

EU<i8ont)esiè);od(!i!tvio,et!

de toutes les propriétés vitales.

XVt)!. 2M. 2;M. Leur force 6Yo-

)utiv< XVtH, 210. Voy. ~~tt't~

cellulaire, P<t)t<to~<'e«M<atre. Es.

;~t'M ce</M/at''M, Formation M/tu-

~ttre. tt~Mt'de ceMM/n~'f, ~M/<fp<t-

cation cellulaire, PatAo/O~ M//M- j

laire, l'laque ee~M~StW, Pc~yMOt'-

p~Mmp cellulaire, ?'A~<n'M cellu-

/a<rf, Type cellulaire, Vie M~/M-

<a!M.

OH BLASTOMERMH. XV), 3)8.

CO?<TRACTtLt!S. X. )M.

CVUNKRtQUES X, 35.

–BMBRyO<j!ÈKB8.XVf,3tt.

–EMBRyOt'LASMAT'QUM. IX,i-)M. j–

~PtTnBtJAt.eS. IX, 69. De la

bouche. 42.

-DU FOIE OU HEPATIQUES.

Page 139: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

RES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. )2S

CMLLULES t)R S);KSiBtL!TK X,

')4,3H.

tm SHNTtM!T dans la mootte

cpinicrc.X.SX).

SK?<StTtVKS. IX, f!. Et cei-

luh's motrices, tours commissure-i

<u<s la moe)!ccpit)iero. X, 3t).

H<' la moelle epinicre, action e~oc-

tiv du ch)ort'form< \)t, )H.

St'ERMATt~UKS )X, K)7.

VAStt-FttHMATRtCES. \V, 32t.

VEGËTAt.ES. Cuntooaat des

~minM de fÉcuiM. Il, 39).

Prises dans le duodénum. Il, M2.

D'amidon dans !'estoma<' du

chien. U, 4&8. –Protoptasma.XV). 1.

)'K). OdorophyUc. X.V!, :M().

VtBRATtms. X. :). MMs.

X, )25. C'est on (;))<'s que r~

sK)(; te mouvement C[h!ure ou

vihratile. X, fa. Meuaies en

membranes. X, )2'

VtTALES, tRurs produits de sc-

crétiou sont les tissus et les li-

<)uides do l'organisme. IX, 122.

CELLULE OEtJt'. XV), 385.

Ct:LHJLOSH. XVt, t3i XVU, 3~9.

CMLSE.Ses idccssur t'expënmentu-

tiM. Xt, 545.

CENTRES M'ACTMM RËF~EXE

X, 3M, 3M XIII, MX.

–FOKCTtO~ELS. XVIII, 418,

424.MSTtKCTtFS. XVIII, 4t8, M4.

INTELLECTUELS. XVIII, 424.

ME LA MOELLE Kt'tNtÈRE,

teutj-es divers. tV, 316, 39a.

('.ircu~toifM. IV, 382.

SERVEUX. )X, 37. Transmis-

sion de la sensibilité. )V,:)5t. –L6-

siom déterminant des mouvements

de progrestion <'n avant et en ar-

rière. IV, 49(). Dans leur circula-

tion, le liquide cepbaio-raehidien

joue le rôle de régulateur. tV, Mt.1.

–inftueact' de leur paralysie sur la

coloration du sang. V!, '!(?.

Action des anesthésiques. X.tl,

102. C'est de là que part i'n-

[K'fithésie. X)!, t) t. Sousten)' in-

fluence t'anesthesie se généralise

du centre à la périphérie. XII, t(M.

–!jf'Hrin!')u~!)ff'<).trts!'anf'sir)''sif\

\U,)2C. -Orixiue d<')'an<'st!!C-

Mi<n,t4).–i-ept)a)o-rach)di<u.

action directe df* ht morphiof.Xt),

2t3.–Lf'urpif)Ui'pr«Y"<juf'ta

*)Ccretion'iY.ti)'f'.XY,t.

CEKTtH:S OtGAKtQUES \\UI.

4)8, )24.

!H;St'!t<AT()tRES Voy. ~Mp:f-a-

~jt~sjcetïtï'f's:.

CEDtAUQt E ..Ttto~.); Vuy. rrottc.

CEPMALO KACtttUtE~ iL~cmE;

tV,-49j;Y)),Kn.–Pt-t"iMne<jdu u

sucre. t. )?), at't: Vt, 30' Kf-

ft)tsttcrécùu)('mf'n!.)V,j).–

L.t boisson le fait augmenter.

t'abstincnce le fait diminuer. !V.

102. U est moins a)<i)in ft privé

de sucre apt'Ès)ii mort, après

ouvct'ture<)M )a moo!)e. <V. ~!)A.

Son siège. IV, 'i!K< SRacar.H'tcres

physiques et chimiques. IV. t9(!.

Ptx'nojnt'ne-s cousëcunfs :t son

ablation. tV, 49' Sou r<He pro-

tecteur. tV, t)(M). Son rfMe ré«u-

lateur de la circulation dans les

centres ner't'eux.tV,M).–FMi-

lité avec laquelle il so reproduit.IV,o(M.– Ë\perieuces de liagen-

die. VU). :KO. Hechercho du

sucre..XtY. M.').

CERCLE DE LA GRANDE CmCt;

LAHUN. XV, 244.

CERCOMONAI)ES. X, tM.

CÉRÉBELLEUX t.PMCu!<cuLEa\ Voy,Pédoncules.

CEfmmmAL (Ttssu). Voy. Tissu cé-

r<'&r'a/.

CEMEBMAt,E (AcTtoK). EHc est sup-

prijmeepartiHuorphiuc.XH~i'M!.

Elle est mottifiee par la morphine.

XH.2t5.

CËREBKALES (t'oMTtoxsj. Elles

périssent par la suspeusion de !a

circulation du sang, et sont exal-

tees par son exa~erattou. XVIII,

3.

CEREBRAUX. (LoBEs). Voy. Lobes

<j''f6r<!M.E.

CEUEBRtKE. X\H, 537.

CEUEBBO-SPt~AL (~AxK). Siège des

convulsions. tV, 37~. i) est d'or-

Page 140: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TARLE ALPHABËT!QUE ET ANALYTtQUEf2('

Son tissu présente la tempéra-ture la plus élevée de tous lesorganes. XVIII, 3&().–Lësioas

produisant des paralysies locales.

XVUt, :)M.Voy. ~c~'M~c~-

brale, Anémie, Ctt'CM~~M/t co'e-

A?-a/< ~A~cA-f~fa/f, //M!M~A~M

c~t~MM', ~y~mj~, /.o~ céré-

~'nM9-, ~<o/o?M c~a/

ce~<t'07!, ~Ai/ma<Mmc e~'eAra~,

SfïMy t'eMM~-c <'<<CEttVEDET. Lésions de ses pédon-cu)e! Mouvements do rotation.

tV.S6.

CERVtCAL (FMT). Vcy. F:7<~ cer-

f!'M/.

(GAXeno'!). Voy. C<My~'Mc<'t'u:'e~

(SECOND NERF). Son anatomie. tV,64.

CIIAINE électrique. IV, 150.

CXAttt d'animaux empoisonnés, sou

innocuité. !< :t8).– Muscu-

laire, action du suc gastrique. H402.

CHAtKE nE MÉDECINE du Col-

!&ge de France. Voy. Collége de

fraKC'

CMAtKË UEPHYStOLOG)E GËKÉ

HALE créée à la Faculté des

sciences. XVf, 2. Transférée au

MMéum.XVf.3.

CMALEUM. Son action sur l'orga-nisme. )V, 51. Son action sur

les no'ts et les muscles, elle ar-

rête Cirritabifité muacutaire. IV,

2!!); Xft!, S8;). Résistance des

venins.Xf, (M.–Sonactionsurtes

êtres vivants. XI, 492; XHt, 335,401. Anesthésie par la chaleur.

XII, 91. Elle réalise t'anesthésie

par iaSuence. XII, t3' Son in-

fluence sur l'asphyxie par les va-

peurs de charbon. XII, 363.

ttxpérionces comparatives. X!f,3SS. Mort par l'arrêt du cmur.

X!t,:<C6;X)H,356:XV,9'

Condition M<entie))a il la manifes-

tation des phénomènes de la vie.

X]tJ, vt; XVII, 12. Ses effets.

XIII, 337. Cause et mécanisme

de la résistance. XHJ, 340.

dinairete centra do production

des actions re.uexes.X, 343.

CEttEBttO-SPt~AL ~SysTMME). XU).

20.'<)o)aj<enouiUe.))t,339.

–compare au système dn grand

sympathique.)V,297,3)7;X,42t;

Xt.)S8.–So)) excitation pro-duit des mouvf'montsi[)ternes.!V,

3C7.–Ses nerfs produisent la dila-

tation des vaisseaux. X, M!). Voy.

A'fr/S C<)'<'&)'0-t<'fMJ, Nerfs mo-

<<M)'t <r<'A)'o-spt))<!t<a;, Nerfs ~<tt-

sitifs M)'<<&ro-);f!aKj'.

CEKTtT~Rt! VIII, 239; XV, &);

XVIII, 78.

CEKVEAU. Etfets de la lésion de

ses diverses p<'rttes.t\)0.–

Blessures produisant dos mouve-

monts do progression en avant.

IV, 4')0. Face inMnouM. V, 9M;

XVtt),3'!&. Le ganglion sympa-

thique sons-ma\iUairo en dépend

pnurMnut)'itiou.X,t'Son

influence paralysante sur les

action!) réflexes. X, !!ot. État

d'un animal qui en est privé. X,~70. Sa suppression n'empêche

pas la digestion de s'accomptir.

XII, 28:t. Son innuonce sur la

utOf'He dans Fanesthosie, oxp6-

rieuees.Xn, )(?.–)) est frappé

d'anémie pondant te sommeil. XII,

m. Expériences en appa-rence contradictoires. XH, ttT.

Discussion. XII, 118. Hypëré-mie et anémie <)an'i l'anesthésie.

XU, i2!. Sang veineux. XV,

2.')8. Action du coeur. XVIII,355. Soiidarite d'actions r6ci-

proques avec le cœur. XVM, 300.

Le sang lui est apporté par los

artères rarotidM et vertëbraies.

XV)H, ;!6). –Ses fonctions. XytH,

3(i' Son développement ana-

tomique. XVH!, 3'!3. Sa forme.

XVIII, :m. Sa texture. XVIII,:6. Son perff'ctionnement or-

ganique. XVtU..)?(!. Ses condi-

tions organiques ot physico-chi-

miques d'activité. XVIII, 877.

Action du sang. XVIII, 377. Ac-

tion du chloroforme. XVIII, 385.

Page 141: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BMKAR:). i27

Sèche, son action. XU), 3.')().

Humide, son action. XUi, 350.

Hesuitats différents do son appli-

cation sur la surface pulmonaireou sur fa surface cutanée. XIII,

35t. Ce dernier procédé est le

ptus nuisible. XUt, 355. Hcsu)-

tats des autopsies des animaux en

expérience. XIII, 35< Rigidité

cadavérique. XIII, 35< 370. Elle

est un agent toxique et son action

toxique porte sur l'élément orga-

nique. X)U, 30, 387. Influence

sur les muscles. XIII, MA. Est

uo excitant direct du système

musculaire de la vie organique.

XIII, !)(! Limite de cette action

excitante. XIII, 367. Elle devient

alors toxique. XIII, :!H9. lu-

ûuenco sur les cils et les mouve-

ments vihratiles. XU), -?!. Sou

innuence sur les éléments du

sang. XIII, ai2. Action du

sang. XIII, 373. Son action

conune agent toxique sur le sys-

tème nerveux. XIII, :!t!). Dit'n-

cuttés de cette étude. XUt. 381

Procède expérimentai. XU!, M?.

Application a cette étude de la

méthode consacrée & i'étude du

curare. XU), 389. Le nerf mo-teur lui résiste plus que le

nerf sensitif. XIII, 385. Elle

tue en attaquant un seul des élé-

ments essentiels de l'organisme,le muscle. X!t), 38H. Ëtude de

queiques-uaes des formes de son

utilisation par ['organisme. X)U,

-?. tnCuence sur les phéno-

mènes de développement. XU!,

401. Influence sur t'embryon.

XU), 402. Influence sur t'oeuf

de ver à soie. XIII, 403. Dan-

gers qui résultent directement de

son excès. XU), 42' Expérien-ces sur son innuonce dans la vie

latente. XVI, 15, Son innuence

sur la vie engourdie. XVI, )M.

Elle peut amener l'engourdisse-

ment. XVI, 104. Voy. Coup de c/ta-

~eMt', î'e)K/)~;a<Mt'e.

CHALEUR ANIMALE. IX, 59 X),

2i5;xn[,9;xv),t~:xv)i[.))(;.

2)3,388. Augmente les mouve-

ments respiratoires. ).t!)t,)9'

tnnuencesur)asoc)'etiondusucre.

j).!9C.–S Sa distribution dans)'or-

ganisme. f, 20!). Ses effets sur la

gtycogcnie.t.37).–SoninOucnce

sur la contractilité musculaire. IV,

209. Son influence sur les mou-

vements du cœur. )V.3K3:V.;()<).

–Kffotsdugrand sympathique.V,)5i;VI,!36;X),375.–Ënemo-

difie les conditions de mouvement

du sang. V, 3')7. H.st-e))p ix causa

première de la fréquence phis

grande des mouvements du cœur.

V,3m.–Agit-e)[onur)a coeur

par l'intermédiaire du système

nerveux. V, 399.–Expériences.

V,399.–E)te!tunc action locale

etspcci0fjue.s)irierœur,()uide-termiuo l'accélération de son acti-

vité. V, 401. Elle se produitdans les tissus.Vt, 135.–EHoest

répartie par le sang. Vf, 13~

Ses rapports avec le pouls. VI,22Ï,225.-ËUo se produit partout;elle se fait dans tous les organes.

Vt,225;XV.'i83.-EiTetdetagat-

vanisation du grand sympathique.

Vi, 23t. Influence de la chaleur

produite par section du sympa-

thique sur la coagulation du sang.

V[, 4n, 430. Elle correspond à

des phénomènes chimiques de

combustion ou do fermentation. IX,

9~. Elle a ses sources dans les

fermentations et les combustions

respiratoires qui se passent danste sang et les tissus. tX, 191.Elle est indispensable pour eutre-

tenir les mutations chimiques

vitales. IX, 211. Son influence

sur tes mouvements vibratiles. X,

145. Ses effets sur la fibre mus-

culaire. X, 189. Quantité dé-

truite dans la contraction muscu-

laire. X, 227. Elle augmente par

suite de la section do diverses

branches du grand sympathique.

XI, 20, 2~9; XHt, 130, 207.

Envisagée habituellement comme

Page 142: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TA!)LE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE)28

)('r~u)tKtd'un'*<'omh'Mtio[).X).)

~)!('.s)t)t('-t-<'))c d'une simp!

nxydatKtndf's etemontsdcnos!

tissus? Xt,'3~Produite ~'t~

;t)~«t'hce par )M modifications!

physi<)uf'sfjuis'op&r<'ntauseiu~

d~reconomic. XI, 2'!(!Pro-

duite par le frottement qui r('

su)tndf)'a<'<'c)crationd(*)act)'cu-!

)!ttio)t.Xt.)!SH.t rapports~

:)\'C('rftSphyxte.Xtt,4C8.–K\pt:-i

)'if)icos.X)I,46').–Ses sources

X)).4%Phn d'étude. XiH.

).').–Hypothf'MSt'itatMtM.X))),

18. Hypoth~aes chimiques. Xm,

18. Hypot))6s<) des Mtro-méca-

oiciena. X)! (9. TMvaux <!e

t~Yohier. xm, 2) XV, 460.

t'rovicnt-eUc d'uno combustion j

directe. XIII, 26. Ohjectiona

physiologiquos. XfU, M. Cou- t

ditif)ntdcsf'xp<!rit'n<'t!8pt)y!(ioto-

Sifjuns!tentreprcndt'p.X!t!,5<

Hmpiot das i)nf'~th6si<)ue~. XHf,

.')' tncouv6nt<'u(8 des ancsthé-

.i<)uf:s dMM sot) ~tude. XHt, (!

intitienco df'!< nerfs dttatataurs.

\)U, <!).– Son Étude par lo

chloroforme, Xf![, <<Kmptoi

dn l'opium pour son 6tude, XIII,

(}- –H6)f'ducur!trodan<;)H!t

c\pa)'icnces. XU), <)M, 88. Appa-

rcihdnstint'i'i~ttttnasurer.X.Ut,

<RMo du poumon. XIII, 08.

Sa topographie, faits acquis.

Xnt, )23. Ses foyers. XIII, )2A.

)n<!uenCo rcguitttrice du sys-

tMMn8rfeux.XfU,tM,)M, )!)!),

'*?). –Le sang en est-il une

source. XU), )3a. Rôle des 6)6-

monts organiques des tissus. XIII,

~n. tn~uonce de l'activité des

nr~"ea.XU!,)3i).)ana)cs

organos en fonction. XIII, t!)9.

Son sources dans les organes.

Xt)),)3!).–HO)edesmuM)cs

daus sa production. X)H,t40.–

Produite pal' la contt'action du

muscto. XIU, H8. Sa produc-

tion dans le nerf. X)U, t6:<.

Ln tissu glandulairo en est une

source constante. XIII, 183.

Mucnca dM phénomènes circu-

!stoi!-es.X!?M.–f;H)diee.-m

pointdcvucdumUieuiutfricnr.

Xff!,MS.–Son6qu[va)<'ntme-

<'a<iiq))e.XUf,M8.–Sa produc-lion par nu vioi~~rit. xiii,tion parun exercice vinh'nt.Xtf),

450.f'.)irnination(ie'«n)exces

par t'organisme. Xm, ;5(). E))e

n'a pas son foyer dans le pou-mou. XV, 483.E))e est dévc-

toppee par !e travai) muscutaire.XY, 483. Dans la vie cons-

tante. XVI, UC. --Sa produc-tion dans la respiration. XVII,2)4. Action de l'opium. XVi)),

2)6. )';Uc est <a rMuttantf! du

tMMji)org.ini<)ne.XV;U.;M!).–Elle est le principe de l'activité.

XYtU, 390. Y'oy. C<~or!ca<ton,

7'<'w~~a<Mr(' cn!MO/?.

CHAUSUR H'EKTMET(E~ et cha-

leur dynamique. Xf!f, 400.

FËBtUL)!. Sou ~tuds pandanth's

périodes successives do i'accè.~ de

fièvre. XIII, 408. EUo domine

tous les autres symptômes. XIII,

408. Sa Murce.'X))!. 49). Ses

effets. XIII, 42~, 44(i. Apptica-tionsthërttpeutiqtic'!}. XIII, 447.

Nature des comtuMtions qui eu

sont ta source. XIII. 435.

ME L'OREILLE. Sa productionsur placo pt)' l'action du sym-

p&thiquo après la ligature des

veines .V, 508, 509. Par gal-vanisation directe, après section

uu Bympathtque. V. niX.

Action de la chiorofoMusation,

après section du grand sympa-

thique au cou. V, f)t2.

DES ORGANES. VI, 40.

ORGAKtQUE. Son origine. XIII,39'

DU SANG. V), 49, 140. Dans

te foie et dans les parties

du corps, t, 306, 2)6. Par sec-

tion du sympathique, chez le che-

val. VI, 417. Peut-ette rester

fixe chez les animaux à sang chaud.

IX, 44. Dans tes veines, o))e no

dépend pas toujours des phéno-mènes d'oxydation dans les tissus

Page 143: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

MSŒUVHESUE CLAUDE t)Et!)U). )N

CL.UJM: BEKXAM. XtX.

qn'iit)-:t\er-.f't,2'!<t.–DRns!H

C(t'U)'.X))).')!

C!:A'i!R!S<'h;!udf'setchambr'

hnnud''s.0.

CUAM<')GX<t'S'S\t'ncncu\.Xf.3!

<;tiAttBUJt .n.ttadie~nesRpropasc

pas dt;)a!i)'a au fœtus. \\J), L

.).

CHAftBf~'A.~t.MAt.pnurt'ntcvcr

!t'sutatit'rf".c<)hn'ant.f's''t<'rKani-

fjucs dans )csii(juidt"i animaux

~uit'cotf'ntif'itt du sucre. )..M-

t'r(:c)pi)''te''imattères!ttbumi-

noid<"t. Sun''mp~M pour t;t re-

cherche du fuct'e. <,& )i!'e

j))'t'rij]iif!j)a!-ia).;ut!HtH('.Yt,')'!4;

\<i.)3. \()y.PoMf/<dfc/ttt'-

/n.

(.:H.mBONYË<:KTA)L.Sacon)))U'

tif'n futnmc viciant t'air. Xtt.

:t.)a/~)o'«'ctar&o?:.

Ct<A'r.Sf'<t'iibi)it<rccu!Tcnto.){).

--Soumis au <'h)orf)t'oi'me,Xt),

.Mauit'rt'doh'MtStr.XV,

«?. Atauicrfdeif mu'ietcr.

t0!).Contention. X\t~8.

CHACK. Son innucncH sur la coftgu-

).thi)itcdusanK.Y'tto.

CUAtJVKS-SOC'tUS. Moyea de tes

n)aintt*nH'.X\,)t).

CHAUX. \oy.S!<</a~f<'<'c/taua;.

CU~i~iLUKS. GtyfOKf'tc. XVH, tt.').

CHM~'OT. Oxyde df carbone, XU,

:t8t),4~.

CMESKmEX. Putréfaction des a!

mf'nts.XVU,'i!Gt.

CHEVAL. r'o'K'.t. nt. Sujet

d'Hxpcripnces. Xt, 2.'), 55. XV,

~Comment on ['anesth(';sio.

Xit, 4' Opérations pmtiqueoa

sur tf choyât ~n'a'tt. XV,C.–

P<'<'hen'i!onetcontM)tioa.XV,t4'

CHEVMHAU. Moyon de to mamto-

nir.X\,n).

Cxm'KKCL. ncchcrches sur les

cor))SS)'a!i,XV,21.–Dt''finitton.

du fait. XV, -H. Dessicca.tioa

d)'sttMus.X\'f,97.CmEX.Panct'M)s.U,t92.–ne,

b<'rg<'rsur h'quf't on a pratiquer

une tistu)'; pancréatique. H,f'n.

Circon-'tanccs particulières. H,i

'M". Foi~)),4)2.–V<-inc<.

))i)if'))«'s.t)!ii:t.–S)'))sihi[i<c

n''f)n'r<-nt<)V.M! Sci~ihititp

\'a!'taht~sutva!tt.<!ivt'scla~ph\

.St.)i<Ki.)!i.n.9':n;V)!()!), :t0.

:!)S.' ).isat')'')av(.')HCp~rtf'.

\U.t'):).– )).ha-).?t. ï.

Httra~<\ifrf'ssf'fft'r~);t ti"

pt'rt'.X),). Sujets d'f'\n'

rit'n<-<L.)'Y.)~Sunnns

:m<')tto)'<)(ornn.(.t)m'i

[ic\ia!i(h',mtt"p't'an;tt\<'<ni-

pa)'t'(;dufni<ttt'<r~'u)s.<)«)~

t'att'.ctc.t\J'.H. –MitXK't'cdf'

je saisir. XV. i~).–M.um'rc()<'

tf'mus(.')pr.t<)'t)8.p-

))at'ci)<)<'t'i)ntpmi'))).d'apn'st!teCt'<t!tt.V,)).'<Fi\<ur)<')tahie

h\hisccu< \Y. f.C.avite

a)'dmrt[nai'H,:)'2.<urarise

par in~.s)io~f!f,

CUU~th) UCCUMMtSS.UtH; )\.

);4.

CHtMKME.t~furs'up()ic'nteat:nrc-.

n't;.

C<nM<ATnKS.)),43:

CMtMt)'St)nn)t('Y('~u"u~:u)stc~

qn<'sti<)!is))hysi<'h~i<)n''s.i.Ï'!t.S(" proct'dt'~ c'mpat't's

c<t)e)'or~!)))i-.mc vivant. XtV.

i;{.S.– Kt)!()ru<)ts'juo()('it)tu

faire ta ph)sio)osi't'0.–Son

innuf'ttt'HSurtaphysiQh~it'.XV,

!!t)(). ~oy.tc~OM' <m~Mt\

J/H'<< C/«Mt~M<t'yH/S ''At'mt-

~MfS, ~ttt<)/<t' C/tt')it~MC. C<S<;fK-

/t'0?<<tW9M<<'MC/i<WtfyM('

/i7< e/omf/MM..tJ'M<afto'j.<

C/ttMt)'/K<'<. ~t'<OM!t';iP! C/fim~MM,

Mt/st'o/f/te c/tt";t~M< /t)p/')'ct'~

<fW!~</< /f<'ac< c~)Mi'Me<,

~M!'<t«rts c~!Mi'f/«M, Statique

C/~M~/M~, ~A~f C~t~y~

!ter;HO-<<!nf!C.

BtOLumQUE. X)V, [3!).

t'HystOLOHKjUE 2U; MV,

un.

YtTALE. Ses agotts, XVU, .2 L

CtUM)SMt' ~)' ~4. Organi-

que. XV), ?2' Sa furmuip.

X'Ht, ).

CtmnSTt!S. IH, 4. Leurs hypo-

Page 144: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE A[.MA8ËT)()tE ET A.\A[At)(Jt'H130

thèses au itUJetdh!) synthèses dans)

h' protoptasma. XV!, 2!

Comment ih comprennent !a\'ie.

X\!i,n. -Compareauphysio-

tot~is(e.XV!)f,(!S.

CmiSOtS. ))s co!tnaissatent tes

anest)tesifjUes.Xn.<

CHt'r)Kt:.)X.)j:):XVt.t:!4;XVH.

2').

CHLOKAL.Xtr. )()).?')').–Son

t)i''t0[rnchtmitjt)f'.xn,9t)').–An-

hydi'f. X)). 3!)!). )))jpc<ion

sous-futan~f'.XJt,~).–tnjpction

veineuse. X)!, SO.'). –Htnh.'tH-

mem<'n<)t. St;t. –Comme

n)a;c))cot))t'ntif.XV,)M.Vny.

/)f.(/r<.r<c~ef/~cr<t<

Cttt.ttMK.Son action sur ta Mtution

aquf'usp. du tissu p:tnc)'(''ati<))tf'.n. thn'i)'nt~ani),mc.'H,

4t.- ))tt)'uiHH curare. <H, M),

9<!?.< Son action sur!:t coa-

gu)!i(i')ndu&!H)s.Vf,i:).<K!.

CHLOR'tt MRATK t<\t)'OM<m

t'mp<')-X)).5'().–Mo<)e<)'em-

pb~M~K~t~~sMo~-

nup.X)),)9).-Sonne) ionmoui-

fi6<< par divers a;j;<'ats. X)t,M?.

--Sonactionp\citan«'.Xtf,)'

--nEMOKt'ntKK.Mnycn de con-

tention, X\ ).'<).

CMLOKOt'OttMt;. X)), iS. Mftuit

ta)inu('Hr''up)'o-{)otMsiquf.),)'

Etnptoyc prea'juc ('xc)usivcment

ponriasanhnau~misencxpH-

rt<'t)fc.X)f,;)<).–SeosibiJitpva-

riabtc St-inn h'aKnnnnux.X!)~

M\p.sur<ips)apins.X)),5'4.–

K\p.sur')f'soi<ie.iu\.Xi),M.-

r'p.surd('s!'a(s.XH,<5.–tn-

ha)ation'ft'Ya[)t'urs.Xf(,M.–

)))j('<if)!)snus-cntsn(''f'.X)), M.

–An;t.'n'e)t pourrit .ret'tjf'rfhf'.

X)),8S. Sommci) <;))'!) pro-

duit. XH, )'Oo~onac~iou

c)p('tivc!ttn')ac(')tu)c''<'n'iitiv<'de

)n muette ëpmouM'.XH, )')).

Son action consiste dans une

dMmi-coa~ntation de la substance

mt'medchtecnuh'tx'rïeuM.Xtt.

)!)3.–Sou action t.ur un nerf.

XH, t55. Ses effets toxitjues.

X)). )fH. 1. Moyens propres a

coro!)a<t)'('!f't<'fi<)ents<')U'itpro-

dttit.xn. )(!).– Son emploi

dans)'['!tn<)f!df')itcha)eurani-

maic.X!t).<!?. Manstesan,

X)V.)')4. C.omnx'moyen coi~-

«'ntif.XV.t.'d.-Sox pouvoir

K)yf<~t''nn)Uf'Vf),8.S(!!)

action. X.Sot) action

sm- h- cerveau. XVttt, ~K.

Vny. ff/~t~~f f'A/<)ro/'o<t<j't<~m/7 <<<<)* wi~Mf.

Cnt.OKOK~<ME ET MOKPtUKK

Efrets combine- Xt!2.)) II

n't'st pas indiffèrent (toftontf)!'

l'un avant t':mtre. XU,29'

E'<p~)-io))ces.Xff,3M.ppti-

<'a<iot)')hiact)ir))r~inotau\ac-

roufhentent'X!). 2S~. Hn

p))ysio)o~i(!C\[)t''t'i)UC[)t<t)c,t'('t)s':it

suj-toutiiut'tfchn'n,X.)J,2<

Théorie de ~acombinaiton.X)).

'!(!(!A~isMotaprc'tia morphine.if ajoute son action & cette <)e c~t

!i)c!t!o!<Jc.\n. ?'!< –(~nune

moyctifontentif. XV, t.')')<).

ET )tY))RATH Rt.: CtHLOMAt.

Combinaison. XH. 9)).

HT OftUM '-omhinës, aae-itfn'

sin mixte. XH.<t. 1.

CHLOnOFOKMtSATtOX Son af

tionsurh c)n)Gurd('i'o)'ci))f.

âpres M'ction du nerf ftynipattu-

(]U<'aucou.))S.

CMLOROt'HYLH! XV),2«), ?):;

))at!s ).t c<)u)<' t'CK<t;<)< X\ t.

MO.- .'Mmt !tf-i<i.-farh.t-

nique desp)aim's. XVH. nL t.

Voy. ~'o<op<<!<M <t/ot't~/t~

fie~t'ra<<o;t c/t/o)'o/j/<t/i6'7;< S~x-//iA'e c/f/oro~/c/~t~np.

Ct't.oRot'tnt.m;N~n(AcTHM) Sts

conditions. XVH. 9~.

(t'OKCTtox). XV)i. ''2)(. Son anf's-

)))Mic.XV).Ï7S.K))odoitt.)r,.

distin~uf f'de la respiration d<

phtnt<'s.XV)t,)(;'t.- Sitsi~oiHcit-

tio!)physi<t)o~iqnc.XVU. *('<).

Moyeust'i~ntiftfjuedcfadisti))-gtM'r de ta fonction respiratoire.

XVt),'i!).–C't'!itunp)H~iom~n(-

de outhuon,d'o)-t)rc synthétique

Page 145: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. t3)

<:n't'L)FKRE(AppAttEtL.Snnrf))<'danst'absorpt.iou dessutt-itances

a)imen<airc9.f[.3t0.

<:HYHFMRt:8 V~tssEttx XA

2'.):),3:!4;X\t),:Mi4.)Knoxis-tentp!)sch(*ztHsoi*'eanx.)t.~)'

Le chyto y persiste après la

mort it'nte par injo<'tinn d'oxydede ('Mbone dans les artères, ti).

)62.Action ()et'et))er~ur)enr

apparition. tK.i(H;<~

Us))'t'xistHntquet'h''x)f'~n'am-

mifen's.ta preuve j).u'iu~fstinn

d'ct))ercn)ttnnantdn)a ~rai-st'

en dissolution. t: 42!). Apres

~suppression du suc pancréa-

tique. \f[.:<')9&i0).

CMYMË.n,tM.)t.2<M.

Sou e\amf)) micrtMccpifjU~, H, 4).i.

–Prisdans[a.partifpy)~riquR<)<'

Cpstomac d'un chien en digestion

d'aliments mixtes. U.4t8. –De

)apiB.)).4.');De chien.)Li'

CtCATMtCULE de j'oist-au. ~)yro-

~ne. XVH.

CtCATRtSA'HU~. XV. 3't \~m,

HÏ.

C)ttSTALL<?< X\ [, :}'

nES NERFS mixtes après la scr-

tion. I). t9:i.

Ct)HAtHt!Moc\'t:M;~Tf.Vny.;M'f-

ntftt~ f)t<n'H/f7<

CtHAtKES (Fn.ETS!. Voy. Ft~~x <

<M.n'

~ERM). Voy. t\'ft'/s et/i«;)'M.

CtHO-St't~ALK .tihCt.'x de la

m<M-!(<tV.320;4'!i:t.-Mt.;

XH).t:).

t;t).S VtBKATtLKS. ).ur rû)e dans

t'absurptiott du poison parta mu-

<)ueusepu)munairH.i)t,<i!Ac-

tion de ta chateur. \t)), .'iït.l.

Ct~~U'KME t'A'K)E. tunnence sur

tc'iur~anesdes'tt'ns.à~i.

_KHe fournit la seusihititerecur-

ren!<'dm)f'rt'fa<-ia).t.–Ana-

tomio.V.Sa section dans te

cr:tne.V,))–t'rocede.V..it.

t)an';tpcra<H'dnhpin.3.

Kxpericncc.EtTets de cette

opération, immédiats ptconsecn

tifs. V. :); Xt, ~SS. EO'ct. con

ou vita). XVH, 994. Action des

anesthet4iqnes.XVH.22G.–R"'c

do i'humidite. XV)i, 2:!9. Et'c no

caractérise ni les a)timau\.n) les

veKetaux.XVn.2-M.-K!)ecarac-

tcriseteprotoptasmavert.XVt),

2:!0.

CHLOROSE. Vt. 480.

CMLORt BKS a[ea)ius dans la

sa-(ive.tt,)~. III.

RE CALOUM. A<-t«'" s"

co~utMioodusMg.~t,

CXOtX DES A~tMA~X destines

aux vivisections. X~. Vo~

~tHM~M.C, !'tM!'SPC<iOMt'.

CHOLEttOQUE (C.\XAL). Ligature.

VU). M'

CHOtLEMA. Xt. 29. Sucre dans )<-

foiP.H,!)t.–Modificationsot-

ri<'uses du sang. XH,39t.–K~-

chct'chcsd<'Ma)!:c))dif.XH,X2;).

CttOH?<K. XVtt, .M.

CUOR!«K. ~'oy. M~ cAo~M~

CHOSES. Leur iinaiit)'. <X. 203.

CHOSSAT. inanition. XH. )ÏO.

jnnuencb' du système nerv<'u\ sur

).icha)<'ur<mima)e.XIH.M3.

OtRYSALUtES. Sucre. XVH. n4.

CHYLE.)'M&"con-

tient du sucre dans canat tuo-

Mfifjuc. ). :Mt'. Sa composition

chimique et son rùte physiotogi-

fjuc. U,320.–0 persiste dans

tes chy)ifères après la mort lente

par injection d'o\ydo de carbone

dans tes artères. !tt, t62. Action

de)'ethet-.t'[,4n.eMs<-de

a'efoutot- du cana) thoracique par

hsounrance.VH,<!(i. Passage

du prussiate jaune de potasse. \U,

(; (,<). Sa respiration. VU, 4M.

Son contact a\'ec. t'air t'aitère.

Vt). 42U. Absorption d'oxygène.

VU. 42).–mauc, forme par le

suc pancréatique. Vf)), 2<M.–

Hecherche du sucre. \tV.205.

CHY'.Et'SH tMATtÈRE~. produite par

)esucreetiafecu!e~!Mtier(.'t;ty-

co~ene?'i,tC5.

-.(U)U!<HJ.),Ki(!;Vtf.t4'

OtYLEUX (SAK',). Vuy. Su~y cA;

/fU-t'.

Page 146: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAULE ALP!)ABÉT)QUE ET ANALYTIQUE)32

naretdeta section,avant et âpres h'1

{;:tn):))Ottd<;(<ass<V.<M.–Kxcm-

p)es<)esa destruction,soitdesdeu\ v

cotes, soit d'un sent, soitmenx'

dunehrancheisotee.V.).–A)-

<eratious de t'oeit âpres sasection.

\.M.'<Par:))ysif'!ivecconsf)'ta-

<to)tduia.st'a'<ihi)it6de)acornc<

\.h'.).–tttnu''m'c<t(!M''crt.inn

su)'taK~)<'tat'ryntak'm.

JttOucnccdosasc<i('))S)t)'!fs

~tande.sduMeibonuus.V.!)!

(.bez te rhcva). portion motrice.

Y,9!).–Sasf'(-tionf.ttt.mnur!r)os

]anHt'<<!u['fottt(!ei'titt).Y,)0).–

t!)('erationd!')a tangue otdf's

)cv)-cs.V,t<)2.–Les ()cuts s'u-

sent.. V.tO~Sontnituencesur

tess~c)'6tionssahTairf's.t().j.–

t'hOBompnt'sconsccutif'. Ain sec-

tion con]p.r.s h ceux consécutifs

~)ast;c.tion')~')!)S('j)ti<'fM ('paire.

V. )<)(!L<f'nsa)ionsp<'r<;tu's

par <')<<«'tttioftcpoxt'fotesdM

monY~'r))<'n(s)'~n<"t<i dont les na-

rines son) )<'sit'V,)8).–Ht))'

n<'ticu)pa''tanust.ttionsousMn

iunucn<'('<t'<uKivc.V', *).–Ce

n'R!'tf)asd'('t)('tjU<')<'f:ran<ihyj)o-

f;)ossoth'nt t. a spn.sibUitH récur-

rente. V,t.–K\j)'')'icn<'<'s.Y,'if'.t.–Sast'ctiondansiccasde

]ifY)'a)~io)'acia)c'.X), )!)!Sa

section dans te <'t'anc,nouY<')t<'

fludedes ''n'cts produits. XUt,

3:

CtRC~n n !BtUTAT!OXS succès

sivt'sprottuisaut un mouvement.

X,)0.CtRCUL~TfO~. XV,M'SonrOiG

dans i.'tprodu'tionf))) sucre.]('?.

Doubto dans tes !!t''cr<tions:

)'un<mc'cat)inu<)'autrechn'ni-

f)Uo.f.i(iS. -Kxa~rec,oUef!nt

passer le sncrf)dan'!i<'sunncs.), l,

<7<Ses n) édifications danstc

dianctf'artin<'if').).ai().ote

du~ran()'ym))athiq))('t'4[;X!,

:0'r.–hf<'urarn est sans action

sursf'snr~anf'saoifa. fi),<).').–

Sa suractivité par ('action de rc-

ther.t)),!)'Innueacedes

npr('s.i\(i8aM(!:V,(t;f.

??!t.MA;Xf.;i7.'i.–S<j.t)af)')ti)<ii~

sf'montamcnH des mouvements

peri'itahiques.3(!5. Action

toca)pdesn(.'rfsptd<')asf'rtion

d(')atn«f'))o.fV,-t89,4S<;Vf,)8<).

2tM;\t),()!)h324.–).eUquid<'

ccph:))o-rat'hidtonjouc)<'r<'ded<*

regutatcurdetacircutationdans

))'S('f'n(rcsnprvHnx.H')()).–<

nut'H<'ndunf*fp))eumn~astt'iquf'.

Y.:n(!;V!,2()X,!Ï'Vi!,Mt.-

Son acc~teration provient-fUe de

Cf'<i))ot.'tchK)<!U)'modinHtfs cou-

ditions <!<'mnm'<*mf))) du sa ri~.V,

!)' Ph(''nomt'))a;; physiques.

Vt, )(! )X,'iO. -Kffetdeh

~!th'aniMtion(h)f;rand!<ymj)!tthi-

quo.f.2.'i).–<~fjc devient ro-

xy~f'ncdans fes phénomènes fa-

piitaires intimas. \'),~M).–Hcja-

tiona.pptu'entf<')i)re tes actes n)C-

cani<)<M'st'ttt'spt)e[jomHt)esrhi-

mi~t)Cs.Vf.3'i'i. -Variatioo.tdc

quantité dfitihritH'dans iR!i dif-

fcrfnts pfintt du système cit'cuL')-

toire. Vf, 456. tnftuence de i!t

fibrine-su!'s'p)t<'nontcnM méca-

niques. \).'i<i.'). –)n<1uencesur

hi sudation. Y)[,i)j.7.–Ap)'i'i

i'empoi.sonnemf'ntpartecut'arc.

VU, ;!(7.–Sa t-apiditc.tX,

)M.–Jt)j!)';e par L. Rivière. Xt,

n'Son acc6)~r.)tion produit un

frottement.d'nf) résulte ta chah'ur

auima(o.Xf,8.Sonaccp)<'ra-

tion coïncide dans les muscles et

da)Tii<"ij{)and("aYt'c)'auKm('n-

tationde)atf'mpHt'atut*f'.Xf,8.

–LercseaucapiXain'mfitca

rapport les foies circuiatoires s;<n-

f;ninf'it avec Cortgint) des voies

)ympt)atiqUHS.X),~(n.–t'arson

rat''ntissemcnt,chc retarde i'ao-

sot'ptton. X), 28. tte~ie par des

conttitions physioto~inues, en df-

hors des eonditions physiques. X),

3~fnnucncHdetatompcra-

furo. X), ;}?7. Le gt-and syntpa-

thiqm'f."<tiH'!('u)uer)qu]a);i!'s(:

sur ses phenomones. XI, 38'

Son t'xccs d'activité, âpres la sec-

Page 147: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES (EtJVRES DE CLAL'DE BERNÂKH. ):!3

tion du sympathique.n'est pas un

arfr~i~senten! absolu de!;) rth'ite'

f')n<'hem)eth~<jt)e peut dépenser

t'(trn;nnsme.Xt,)~. –Son his-

toire; revive historique des faits

et des tttenries y rotatives. Xtf,

:XV.M().ot]t)ns<to))n6es~

part'anatomic surte ca<~)t')'<

\)!otinn'-((f))in~f"ipart<'s

\i\i'ifctU)t)'Xtt.t.–Th60t'i<*<tf

(;.))i(;n.X)),4;n.-DpC(yu-

vM'tedeScrvHt.Xti,);XV,M8.

D<couvf't'tod'; Harvey.Xt),

(!; XV. 9;)S.– Kftcgctu't-atisc'

!'Kn(")t!!6i')"<)<!tttpénp))(h'iC!H)'

t'entre. \ft.)0<fnftupnccdH

)'an<"tt))~Stp.xn,)M).–Scsrap-

p~~s~cncrau~:n'ec).tc~)o)'ific.t-

tif)n.\)U,t8t.M. i':8.-(:on-'

'.if~n'cpa)'M.)~t'ndio<'tPoiscui))<

<)))n)(; suivant )ps)ois de t'hy-

'tranf)qm'.X!it,22t.–Lstcatori-fn'ation parait marcher de pau'avcc!

'')tH.X)ff,3.i!).))depcn<iancc,~

sinonpr6t''minenR('dctaca)o)'iti-~

t'ation.Xf)f,'28i.–)n!!ueaced!~

)urga)M'cpntra).XU[,Gt.–S)'s!

rapports avec )'int)e)-Ya<inH.X)n,t

'fi' 2' Rappnt'ts avec. )e s.ys-

tô!]i('acrt't'u\.XU),2':7.–ËHe!

pstrf~ccct~uvcru~opMta'.cn-

si))i)itc. Xt!)\ :}<)').–('.('rcie de ta!

Hrandccu'cutation.XY.t.–E))e

s'f'xt'i'ee pour tous tes <mfnts

.-tnat<)mt()Ut-s.X\M().V,'M(!

Sarapiditcmf'Stn'MaYCCtepru'i-

'.iat('dt'potassf.XV.M'),0.

–Appa!'ei)de)acircutatton,('x-

pcnf'nccs.XV,:m.–htnucncede

la respiration.XV,~80.–Apparf'itd<')a fraude, et df ta. petite cir-

rutation. X\in,:)-!i.–Sasu!i-

p''nsionamcne)a perte des t'onc-

tiuasccrebrate'ietnf'rveu".es,sot)

exagération c\a)tH)e-( manih'sta-

tion't cerebraies et nerveuses.

xnn, ~4. Yuy. Cerc~t~

'/)'nnc/f'ci)'CM~<to«,C<jett<S;!M{/,

S<s:~t/<'trc<~a<'):)'f.

CtttCCt.ATK~ ABDOMtKALE )n

Ouent'ede ta piqùrede la muette

attongec.t.S.tt.–ËH'etsdetasec-

tinnde)amneneepini<'re,entrete

p~n',c<'r\ic.l!et)ep)<ns)tt'.l-

<')na).)V.~S). KHeasnn rentre

<)anshmoe))<)Unn~(''e.tY.;t9?.

4M.')' iS:i. )t)0nenfede)a

pif))')re<htf~):)(rit'n~(.'nt)'ir!))e.

tV, i)))t. i(! )':))e'p)i(~te tes

pf)'cts produits [K)r)<'si~))s du

qu.ttri('t<ie\p))trit'uif'.f\tS'),

?<

CmcULATt<)?< nA?<S L At'fAKML

m<;t;STtt.~).7<

Att'fERtEH.H. htOttence de la

SCftiou du buthf'.Yi. ?.')().

t;At'H.LAt)<t:.Y),J~)8,<),

if: VU, :i:)\.);f, :!()!),

:!<!?: XV, X8' Dp h face et de

).iti:iandt''so))s-)na\i))!Un'.VH,3m

;t:Mt. -));)ns)a.)'a)<n.4').

Le sys.tf'njt'nervf'xx sympa-

thique nu est t<' regutatcur.tX,

<t)]f)uf'ncfdc''ne)'t8.)\,(i'

\).3'Son histoire. \t':0.–HUc est rcgu):u'i suc par tt's nerfs

vaso-moteurs.X).).

--CKKËMKAL)')i!. :)!<

DAKS LU COHL' \1, )~ \\))),

:J11.J

ntT)! nKUtVATtVt; XV, 3~.

nu FOtE OU U)S)'AT)QUE l,

)<!8,n?,)':(!,t8!U.)i~m,

U9;X)V,~4t.–<.ouditinnsana.-

tomiqucs qui !a. favorisent. ),)8<).

S<~nmccatiismo.),)84.–Ses

tmu))tes au moment ((e ta suppres-sion do ta. circotation placentaire.

It. 4tn. tnnuence de sa sup-

prcssionsurta~ty~'OKeaie. Vtt.t:i(!.

t.'f)XCT)OP<~EH.E. XV, :<).

Ktïet do t'irritation des nerfs sen-

-iitifs.Xf,')'

–(:E~<KKALM.\).X!, :{;<),<;),

')< XH).-M:t;\V)U.SL

ttA~'S Li'.S (,LA~t'S, e))e est

d!ut!)!e.8,!8(i:\)). )(.<. :i-25

tt):S GLANDES SAUVAtRES

Vn.~n,2!OS:'):!t<).

«K LA<;).A~nn S(HS MAXtL-

LAttttf. Action (!u ~raud sympa-

inique. VU,4':5.

Page 148: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉDQUË ET AKALYTtQU);t34

CORCtJLATtON HKt'AT)(HJE Vny

Ct'<t~OHf/t</o)f.

LOCALES Ot <m<;tKt~t')S

VLx;V)f.(8);)\.(M,;X).3(M,

3<3'it.4i3;X)n.Ï?:XV,:))9,

«');\V))!.38i.–influence de la

mo('Jtt-.tV,489.)nuuGnced<'s

nor~. IX, C'? XI, 3(i< Leur his-

toire n-posc entièrement sur la de-

couvf'rtf des nerfs vaso-moteurs.

XI, 30!). Elle tj'apparait qu'avec

)edcv('i()j)pomen<dcat)Mu'i.X<,

MM.–Le grand sympathique est

t'* n''rt' des v~isSMUx ctui y pft'HM-

dent.X), :)'

–M'H)'XATtQU)R.E)i<'augmente

quand la circulation sanguino di-

miauc.\U,:<).–D'autant plus

dëvctoppéoqu'ityaptus d'urée.

VU,(!Ses rapports avec la

circu)!t)ion veineuse. XV, 3-Ki.

MATERtEH.K (loi df) entre )<"<

ouxr<'gMs.XV),):!5;XVfLf)t<. l.

ORGANIQUE. Voy. Ctrcu/aftOH

locale.

PLACE~fTAtRE au moment d<-

sa suppression, troubles de la cir-

culation hépatique, n, 449.

CIIEZ LES POISSONS. Xt, 3H3.

DANS LK POUMON. Vt, t92

XVnt. 3':t. Action du curare.

!U,01,309.

DANS LA RATE. VII, 425; Xt,

365.

RENALE. Ses conditions physi-ques. VII, 151 a t64 XI, :?&.

OU SANG dans le cœur. VI.

t99, 200. Quand elle diminue,

la circulation lymphatique aug-

mente. VII, 3).

–HANS LA TETE. tnnueuce du

grand sympathique. VL 434.

)nnuem'ede!t))f'rts.V)!,334.

VEtNEUSE. XV. :tT). Ses rap-

ports avec la circulation Jympha-

tiquo. XV, 348.

DE LA VEINE PORTE LUÏ;

XtV,2':t. 1.

HANS LA VEINE CAVE, dans

le foie. t, )??.CIRCULATOIRE (AppAMn.). Phy-

siologie opératoire. XV, 24)._

E)ude expérimentée. XV, 292,

!i(M.–<<'stunappa)'ei)df'ppr-

tt'ctiOfttiHmcnt. XV, 3(M. Son ap-

parition chez l'embryon. XV, 305.

Sa forme chez tcsanimaux in-

férieurs. XV, 3t)5. Din'ereute:;

parties dont il se compose chez les

animaux supérieurs. XV, ;)(?.

!t)troduetiou du sucre. XV)t, 4t.

CHtCULATOHE (SYSTÈMH). XVU).

2T7. Conditions qui font appa-

ratU'etesuo-e.t.M't.–Accidents

qui suivent la production de i'at-

cooi.t,2M.–L'introduction d'un

gaz insoluble produit la mort. H),

)fi0.Pression du satu~.V), )<);

Xf,aG9.njf'ctionuef)ti<)uid<"i

étrangers, vn,4(!f!Du chien.

X)H,)2t.

ORCULATOtKES (CEKTMs). Yoy.

CM/)'M Ct< CM/0~0))'M.

(t'HÉfOMKriEs). Leur innnencn sur

la chaleur animate. X)U, 222.

Ils sont sous la dépendance du

grand sympathique. XIII, 222.

~VotEs). Voy. Pff.MiO?! dans les

f0t~ circulatoires.

CIRCUI,US de la matière. VH).

)~;fX,M.–Vita).XVn),7). J.

CISEAUX. XV, )84, 188.

CLASS~tCATtONS DES MALA-

tHES. ViH, )95.

DES PHENOMENES DE LA V)E

Vf)f,X,!)7. –CJaBsincatiorM ana-

tomitjues.Vm, !!)).–En pre-

nant t'hommn pour point de de-

part. X, (03. Elle est commode

pour la physiologie spéciale des

animaux supérieurs. X, 108.

Elle estiuadmissibte en physiologie

générale. X, t09. Classifications

physMiogiques. X, ])).

MES SCtEKCES. XYtH, 99.

ZOOLOGIQUES ne représentent

pas toujours le degré d'organisa-

tion histologique des êtres. IX,

)53; X, 99.

CHGKEMENT de la troisième pau-

pi&re. V, 219.

CUNtQUE. Ses rapports avec la

phyMotogie, XI, tO. Elle ne doit

pas être négUgoo par le médecin

Page 149: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE tiERNAtH). Oa

exp/'i'imt'nfatfur. Xt,2;XtV.j42. Fondée par <(n'\isaW.Xt!.

?! Ë[!'it'i~nf'ep!)r('.ur~isar<.

X(V.2.'). St's rapports avec

)e)a))0)'atoire.X!8).Y<iy..Uf*(~

Ct)!e<'it?it9't(~.i<t'a<fUMf/tnt-

'/M('.ï'/tf')'woai<i<))f*c~n;<f.

COA(;)ULABtHTÉdusanK.Vf,4)4:

\'t),4(n.–Chey.uu chien malade

opéré des racines rarhidieunes.

Y). 422. Plus grande :t jeun et

chertés animaux diabcti~uRsar-

tifictets. M,4M.Ue'.isa)ives

fompm-etiitceHe dupant'i'~aspat-

!ectncit<.Y!t,2.2.

<;OK.ULATtON OU CAILLOT

h)anc.),~M.

CES FtBKES MUSCULAtHES

c))M)es.animau\tu6spat'tacha-

)('U!))t,:)~0.

–<)tJSAKGr.xn,)(!tnnctCn<'e

<)usy!item<*Mr\'oux.V),*}3.').'K).

4t't. 4S.'),453,45~. intluenco de

)atempei-atu!'efroid<),U4,i:i8.

K'f".t pas en rapport avec la

quantité de fibrine. Vt, 4ti VU,

1M. Influence de la chatcur

produite par section du sympathi-

que. VI, 417, 430.Hxpericnces.

V[. 420. Inituence du Kran') sym-

pathiquo. Vt, 434. Action du

chlorure de calcium, du chlore,

du carbonate de soude. VI, 43.'),

4:!< Du sang dôiibrinë. Vt, 4a'

-Jn(tuecced(*!afib)'iue.\f,453.!

Cette propriété du sang n'est

(m due à la fibrine seule. \H,).'<2. Rapide du sang vf'iueux.

X)U,0.DE LA Sir?!TOK)KH. X, Ï30.

COBAYES. Effets de la morphine.

X.t), 90' Sujets d'expériences.

XV,UO.

COCCUHJS Amazonum. Son action.

n). 245, MO. --ToMcoi'f'nM.tft,

2.'):

COCIIONS D'tSnE. !nHueace du

froid. t, )9f.– Comment ou les

saisit et i<'s maintient. XV, 110.

COCTION des aliments. Théorie.

XVU, 200. Hippocrate. XVU,

2CO. Galien. XVU, 260.

ConEt~t; S';st'<Tt')<i. <p. XH. )8't.

.08. i.

C~Ct'X.U.'<(!').Mat!rcsprisfsdlln~ le ('<J'l'nm d'un lapin, Il, 4()O,dan-'tccœcuutduntapin. )!<!<).

f:<S.t.r!;[U S \V)t. 3i<

C<H:t'H. \i.<!t:<M:\Y))f,

3t(!. -Sonfathf'tt~'isntt'.), )2<

X\7!,2T!. Proccd'ipouron

(h'<'r!es;)n!). ]j?:)j). t(n.

t!etroidt-.semc))ti))L's.).t)4.

(~haui.s)neapj)h(jueche/.)nt'cc-

tus.),~8:),it)8.-h)jcctionbrus-

f)un<iei{az,mort.iH,K!Ain'

dans le cœur, fonnuent il cause h

mort.tH,)(:4.– Action du cu-

rare. Ht, 3U' :<). ~st pas ar-

rct~parta.sccu~ndnpneunto-gas-

triqua. apn". ompoisonnoncnt par

tecur.M-H.t)),M8. ArrcMpar)R suH'ofyanurc de potastimu. tU.

3~t.–Action(t'unHd()Sof.ii)))edc

UK'otnx', avant <'taprt"i la f'f-

tiondcs. vagues. iH,i()t. -)n-

JHCtJoo par t'arterc. mnrt. tV, 5C.

–Action <J<'snf'Wsmotcu)'s.)Y,

?<X!Remp)id'(!echymosesapres

iujectioa du saug vers )t; cœur.

iV, &(! ), ;))). InftuHuce des im-

p<'cssi<)t)s!4R)]sitiypss<)r'.<'sn]ouvp-

!Hpu<s.IV,Ï(i'influon'edt".

nerfs sonsitifs sur ses mouvcmentt.

IV,2(i!),282. --Courant e)fCth-

quo.tY,3()' --tnnuencc df'a

j.;augUoas. t\324.–Hcaction

deseMUationsextericurfisurte

cœur. tV, :!T). Son tudepen-

danceatec les nerfs. <V,M,

38! tonnence de ta moetic

epmn*rH.)V.:i8'2.–Latnoettecj)i-

nfro n'agit pas d'une manicre nc-

cessait'H sur ses mouvements. )\

!i82.–fnnuencHdcL't section du

pncmnoji;Mtt'i<tttCS)n-)t"imouvf-

ments, sf's contractions ctscu ai'rt't.

V,37<3!)~;)\.)i).').–Sp.smou-

Ycnicots sont arrÈtcs par la !{aha-

nisationdupncumo~astrifjUM.V,

38). -tnnut'nce de la tontpcrature

sur ses mouvements. V, 3!).'). La

chaleur est )a cause prcnticru de la

Mquence plus grande dH ses muu-

vements. V, 39' L'action de

Page 150: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

T,\B).)'; AH'nA)tÉT!QUE ET ANALY'HQL'E<:i6

<ytM!,A'c)'/s'f/«fM')f)',fo<H~'dtt

f'CFMt', ~«/!fH~U~.< ~«'(~Of/Mf~, P)'M-

,"¡(ln, VI'lIh'Ít ldf'S,.t'!0~,)'<tM/<<.

de l'an-CCEUH AK<:):SS<~mt: de )'an-

~ui!tc.X\i.Sf.-Ocs tt.'ttracicns.

XV,;iSt. -Actiouduou'in-e.tU,

3)0.

–~UCtnE~XV,3M.

ttUtm' ET <tAUCt!t;tang

r()n~;f'~tn.san~H"h'ï!t.

-Droit, pression ftn sang. tV,

?~.

–nmL'HMBKYOXdHjMuh't.XV)!),

334.

-!t!SL'CM'XYtU, :)). U tl

n'est pâti Mutcmcnt t'nr~imccett-

t['att)o)acircu):)dondu''ang,i) il

Mt en outrcuncenO'o on viennent

roK'ntJ]'tontes iesartions M~

yeuses son.sitit'es.XVU!)'

Son action su;' te cft'vcaH. \\))f,

;iM.–So)k).n'tt,(! d'action', réci-

proques avec icc''r\fan. XVf)),

:i(;0.–Brisé pa.)'iadoutcur.X\')n,

:?'(.ro.ia\oir te!. X\!)f,3<i:t.

.–L:ttisjd(iu'i).XVfU.:)C.').–n Il

est plus tondre chexia~'mMHqut'

chCi;J'))0)n)~o.X\Jh,3(!(i.

–VMK~UX.tnHucncc du System''

[tcrvcuf.XV.iti;i.–it)t)tien(:edf"<

potsoo'i.XV.~St.

Ct~UMS mx'XATfQtHS des gré

noui))<"<.XV.!)8[.–Actiot)ducu-

Mre. tt), 3)0. Arrêtes par la

destruction de la )noeU(' epiniere.

iV,3M!)))nue!)ce du système

nf'r''eux. XV, M3. h)f]ue))ce dos

poi'tous.X\38i.

t'EKtt'ttKKtQCES, veineux et

tymph:)ti<jues.XV,38t.

SUt't'H-;MEKTAtHES de fa grc-

nouiUe. tV, 385. Ue la chimère,

tV, :i8(!. De t'anguiUe. iV, 38(!.

CUHMAÇOKS. Leur cu(jnH)o. XVt,

MC.

COH~;G.).PancrM'j),:MG.–

Température dos sangs. )X, )!)();

Xftt,47.

COLLAHÈXES (MATtÈMs' XVH,

2n.

COH-ECE DE t'-RA~CE. Sa fond!i-

tion par François t'~ ou ).'):)(). XtV,

)afha))'in's't'\f')'f'['-t-('t)op,tr)'in-

t<'nn)'')iah'odni'ysH'n)('nervcu\.

\i')!h-–L'a<'c'')cr;t!ion<!es(~).

artivitt'partit <)<)')!'))(h'c unique-

ment <t<')'aftinn!oc.'<)f et spnci-

iiqnodf'tachatf'ur sur h'cœur

mL'nx'.V.tO).–L'accroissotnfntmènrc. V, 4(11. I~weroissnrltont-

de ses contractions tantôt coincidc

avec )'a<'t'ch''ration des )nonv()-

met!)*) )'es))H'<)t<)i)'<'s)'ttai))(')te'it

i)!d<j)f't)(htn<.V,'t(t).Les nerfs

pneun!opa'«t'itju<'s iui tt'anstnf't-

)ent-its)("i actions ttft'ven'.e.s.V,

-i()-i. –Teinpet'))<nredusan~.V[,

)<)(!,))):X!f!):i.rei.itoadu

sat)}:(,~)'t!)i, )'):). MX).–

Ch-('utationdusans'.Yt,)~S,i!)'),

2()~;XVU!)t).Lapressmu

oxf't'<'ce.<)t)'))it pcut<)ftp~))i!)0t'

):t).('t)si))i)i)<'rcfU)'n'))te.V), )!)().

Hùio des Yatvntes (~so~

f)cesartt't'it;)s.),)ij9.–Sonin-

nxcm'M sur t'urinatior) par aug-

mentation do pression.YH,](!).–

Ses <'a\itcssontdr))))''cs d'une scn-

.si))iiitcspc<;i!Uo.)X, )')(!. –Sa

naissance, son développement.X,

!<!();))f,ai.–)H<]uenff'));)ra-

tysantodf's actions t'et1ex'X.

M!)t. –La fti~Mfcarn'teson

action )ons~'n)ps avant d(!p!) raty-

SOI' les anll'es muscles, XI, 88,se)')esau))'csn)uscH's.\t,8S.–

Son cathetcrismo dans Jchatdt;

d6tet'min<*r h température (kt

sanp;.X'J),?,8<).–tist.-ilpar

tui-m~mo une source c,a)orinfjuo.

X< t"2. –Soni'tnet'Mtion. Xf)!,

9M.–Hmhonchuresdc'iYHinc':

ca\'ps.X\2S.).–<ostun8ma-

chine motrice vivante. X\)U,3f).

–('<!Stunnutsc)('.X\'U),M'

ttYit)epromicretn)<:)trt.it!d<;r-

])ier.H),3~8.–Action dusys-

t<men)'rvuux.X\))),3:8.–Hetoit

dans son tissu un grand nombre

dut'anM.'amnct'vcux. XY))),3i(t.

--Hoactitmdesnct'fsdetascnsi-

httih'Hf, ;).'<(). Voy.(<')-(.'< f<u

('o;«r,/<fWM<.<f<MMMt',Ca~/<c-

<<'t's'm<C<c«/n<!();f,Kc~<~))et/M

MM)')M/);<)o~t'a)'f/ia'yM<MoM-

MM<'?!~ du ''a!io', A'o' cardta-

Page 151: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CL.U'M !!H)!N.\R[). i37

4)i).atn~'dM('omhnstinf!qui

soni!;iso!i)'<f~'ta{'ha')''urf'

uritc.Xtt). !:).'<. UirccK'.est-cno

)asonrc~(h'taf)!!))<'t)r;)nin)atc.

Xn!).t'h('ori('dM)~\oisier.XV. ;)i. :'()(): <(: ))ire<'t(;.

vi\<'ou)<'nte.\V).«:7.t'

Ui)'MCtc,Ucn'<isK' pas.XVf,

)<M. -)ndiro<-t('XV!.)t:

Kutc <t8s~!ant)''s.).)':().

Cttm))ar('tta)'c<t~c<ion.f,<);

COMBUSTtOS nKSASStM)).AT!U

CE. XV))!. ):).'<.

<KTEhSTtTH;t.LK. Hypoth~sf

(tu))epM()uctH)))<i.t('idt'f'arbo-

ttXj'K*. pot))'p)if)ucr)a formation

dot'f'au.t,:)jh

–MUMt'SCm.Httenc~fpastti-

!'f')-tc.XV)!)tf.

<)HG.t~<tt'); Son sic~ rect.

X)).4'.)j:X)t(. ):)'f-;t')u\ft);

],av(nsier.\V.:)i.M(~t.t<!6.

Ot~fS t. OttCA~tSMK \?i)MAL

XU).t3~

)'SIQUI; compari.c il la ('01U-

l'HYStOUE comparer a

ta co~t-

hnstinnYitah'tn.t:)t.

Pt'LMO~'AttU!. Théorie, t.

Examen <<~ ('ctte Ox'orip. ). ?:?.

–Objections.),-2:!8.

–ttESr!R.t't'OUtK.\H.a(:;X\)).

M~–t,)a)!a(<*san:;(;t<i<);)t)cs

tissus.e))essont,t~'s';ut)rt'<'s <)<*).!

c))a)cu)'anima)<)\.t'.)t. Son

siège prtttcipa!cs) dati-st~'s nïusftf's.

X, 2H); XVH, t.Snnacth'i«-

()f''pend de t'etat de contraction ou

de repos du muscie. X, 'MO.

Ac<i<M) (it: sysfru'* nPrvcux. X.

UA?fSLE SAKG. XU). ):

MHS TtSSUS. XV)). :?.').

t'tTALH. XVtfi. tiX.

COMETES. Leur constitution. XV, .'<

C(tMMEKTt)'d<'s choses. \H), (:n.

COMMtSSt!HKS des <-pHu)<'s .f'osi-

tivcs et des ccUuics motrices dans

!;tmo<*))ct*piMit;rc.X.U. –Uf"<fibres dans)amoci)f <'pinicrf,

('Ues expliquent (a setMibititeiN*

<)tf.s<'i('t)te.X,!t'(t.

COMt'AHAtSOX. Vcy. Rrpt')'!<')ic<

coMt/)a)'n<<(;('t', A'.t'tMt'yi/a~oM

7.–C<'n'f'nrtitinde)'ediHcesous

LnnisX~.eni<!K).\f\).–

?<!)t))resp~['ia)e de son enseigne-

ment scientififjue. ).)(); )H.'M;

f\f,(:V!)f.:(8();X[,4t").

42'?,.tn);\)\,t.)0;XV.8,f?.

C<)L<t«A')')<)?tn!'SAX(;.)nf)uence

d'une )csi~)npr()(tt!i.<antiapa!'a)y*'io

d'unepartiedescentresnet'venx.

V),2M<i.–tntIuRncedusystcm)'

nc.)"HU\.Vf,2M!.28),:M<)n-

nucttCt'detasertinnftnfitetce)'-

viKa)()nK''sn~y'~fM~e.f,

'!<i8.–D'M)h!pciïettte)~<-on)-

uression dc Izt t.raehôe. \'1, l:l~.j)rc''si')H')(')a(rac))ce.).i)34.–

A!)"ma)it's apparentes fices&des

e(«)<)iti('ris'mj))<'xf)s.V),A()t.–

tn<1n(!;)''t'()et!t!<i~Hcect<tedh'ers

se)s.),4U).fnnuRT)C('(htcar-

bonatf de sonde.V), 40t.

f~' SA~'<. VK)K!tJX de )~]ande

s(Ht-maxi)t!)U'(*.Vf,2!)!). -–Gjan-

th))iUt'e.\)t,4't'DHtaYcmc

r<ttat<o)!ff'st on rapport aycc

t'(''tattot)('tif)~nc)<)u)'cinnta\<'

)~sëct'(''<i'm<)e t'urine. \),'KM;

Vtf),?. Dans ta parotide, ettc

di<!Y'i'f's<'t'))i)('tat de repos ou

d'at')i\'itt'().

CnLftS't'at'M.VH.'MS.

COMtt)KA)SO~' des corps qui en-

trcntdanstacontposition du corps

animât. ))(,<().–Chimique dans

)esang.V),48'

COM«USTt0~f. )X, .')S. Anatogie

m-ec tft respiration. t)),2'!<),9:'(;;

X\n. )()4. Ses phénomènes

dans )'o!'(;a))i.smc ne produisent pas

d'eaH.Vt,)!).–H))e ne se pro-

duit pas exclusivement par les

animaux. t\, 80. Elle existe

dans les deux rcg))OS.)X,i)}.–t.Ue correspond au mouvement.

)\,H' –L~chateur animale

c'trrespnnditdt' phénomènes r.hi-

n)if)uesdecOtnaustion.)X.

Htte domine fix'x ifs animam.IX.

''t)K.–),ente. iarcspirationtui est

comparante. \.2t3.–Dans quel

se)tsit(anten(eu<trecemnt.\m,

)'! t. -Travaux mn(ternes.\m,n:i.

Hxa~er6es dans)a iieyre.xm,

Page 152: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE At.t'nASËTtQUE ET ANALYTIQUE):!8

coMt~mvf/;t'< ~</iodecoMp<K'a-

<!)" P/ty.'tu/o~i'* coMpa)'o~.

C<tMt'AnA)Sf)K DES AKtMAUX

VU).2't.

COMt'LEXUS.XVn,4!

COMPOSÉS organiquos. Fixation de

i'azott. XV), 3!):

C()Mt'tt)SSS!0\ ATMOSt'ttÉHtQUE

ttf's ferments. XV)). t99.

C«MPRESStOK MU CERVEAU

Anesthésie. XV, )').

HES NERt'S commo mothode

futesth~sique. X)t, 3~.

DES OKGAKES. Son inûuence

su)' )a tc<nn6t'atu''o du SMg. VI,

)M.

RK LA TRACHEE. E))e produit la

tenositA. Vf. 96t). Doubte t'n'et

sur)acu)ot'atio))dus~ng.V),3M.

m.' VE~TME. Son innu.encc sur

la temp~t'tttm'e du sang dam les

nrosvais<teaux.V!,)6().

CONt'TK COUTTES. XV, 2)5.

CO~CEKTRATtON tita)e.XYU),t95.

COXCEf'nox de la vie. XVI, 343.

UM organismes vivants. XVt,

KM. De ta scioncf physiotogi-

()W-. XVI, ~4.

COXttANKES A MOMT tivrcs aux

ntt''ttefim pour te~ expenenees de

la YiviMctiou. vn). n: m; X),

5~)M; XV, M, –E\p. sur

h'panereas.XV,M'Voy.Cr!-

tttme~

COKOtTtOKS. )) ne faut pas tes con-

fondre !n'ec tes MuMs. IX, M8.

t)ETEMM<KA!s'TES des phëno-

m<!nM.X!,M)a.

MÉTEKMtXEES d'un phenom&ne.

XV),53,f.2,(}C;X.VH,MS,~83,5Ki.

EXt'EtttMENTALES. XI, 2)!).

tKTKLLKCruELLËS XVi, 3M.

MATEKtEH.ES tHMEft~TES

nu t'MOCttAtKES. XVf, M. D6-

tcrminoRa qui r~gtfnt t'apparition

dos phënomÈnM de ta vie. XVt,

(!2. <!(i.

ORGAKtQUES ou t'MYStOLOGt-

QUES dos ph~nonienfs. VI, tO.

Qui rÈgtent ta succession, te con-

cert, t'harmoMO des phénomènes.XVI, 345.

CONDITIONS t'ATHOMM.tQUES.teur inûnenco sm' la formatinn du

sucre dii!~ toioie.XtY.3jt.

Observations ctiniqURs.XtV,355.

MES fHKKOMUKKS XV, M.

t't)YStC<t OHMtQUHS des phe-

numeues vitaux <;tHmcntAh'f"i

XV)). 4(!0: XVtH. 42. C'est par

ieur intartncdifuro que te physioto-

giste peut agir sur les phcnomÈnM

vitaux. IX, tM. Déterminées,

extérieures, qui gouvernent l'appa-

rition des phénom&nns. XVI, M:).

PMYStOLOGtQUMS Voy. Co~

di'/ionif or.yfMi~ttM.

PROC)tAt'<)':S. Voy. Co~Mt'onft

M(tM'')'C/M.

CONUOB. Leur séjour à des hau-

teurs de 8,<XM métros. XVt, t'!0.

COKOUtT ALUn'HF. Voy. ~M~/y

(conduit).

mUAtM. Voy. B:7!aM-f.

PANCRKATtQUE. Yoy. Pancréa-

tique.

PAK()Ttt)tEN'. Voy. PaM<t~'<'M.

COPfftNE ~MfnEK). Voy..Mt/tCM con-

finé.

COKt't~)T entre des couditions orga-

niques prcëtak)ics et des condi-

tions physico-chimiques détermi-

j nées, c'est la vie. XV), 53, (!< St5.

COK.tOKCT'F (Ttssu). X, 31, 112

XYU), 96~.

COKJOKC'nvE. Sa seusibitité daM

l'asphyxie, n). 295. Action du

curare. !U, 285. Sa sonMbi-

lité. V, 8?. Voy. j/u~Me'~e cet-

`jonctivale.

CO~JUCAXSON. XVI, 306.

t COKKHXtONS organiques. X!X, U5.

COKKU (te). Il perd son attrait.

) XVIII, 86. Comparé à l'inconnu,

XVIII, 439.

C<~KQ'UKTES tlo t~ nature vivante.

X),6n.

!cO!<SCtEXCE.)X. )80; XVIII, 3'!3,

425. Elle a son Me~e dans les

lobes cérébraux. XVm, 302, 4t5.

COKSCtEKTK (HÈACTMN). Voy.Réac-

tion consciente.

(SEffs)BtHTÉ). Yoy. Se/Mt'4:

1 consciente.

Page 153: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. )39

COKSOKNTS (Mot-vEMH~M;. Voy.~0«t'Mi'')!~<CM))'f?t<.<.

'J').E~)V!TAL.VH.ii~.

CtWSUttVATtO~ df JY-uergie. XH,

-M.5t5.

CO~fSOMMATtOK d'oxygène pM-tes

animaux, !)f.)H.- Domatë-

riau\ uutritift. XV)t. )}0.

COMSOsm'IJO~ diabctjnuc. XJV,64.

CONSTtTtJTtOKAXATOMtQKE de

t'ttrc vivant, animal ou vëgeta).

XVf, !8t.

CHtMtQt;); des ~tres, elle f'st

distiuctf de leur morphotogic.

XV!, 2'M.

ELKMKSTAtRE des corps orga-

uisës. X\ f, '204.

MEMCA~E. X)n, i~.

COKSTtUCTEURS )\Enfs). Voy.?'< M)«<t'!e/<'u)' ~aso-ot)s-<t't'c<eur.<.

(;O~STKfCT!0?f du cattfia. e))o

disparait après uu court espace

detemps.XV,&53.

CONSTKtJCTWX des organismes

(loi du).XV),35:).

COKTAHtO~. XI, 'M. Putrid)'.

cxp. (te <'rif)R)e. X), 43. Voy. ufa-

~aa!)'M ';on<a~f'eM.M.

CONTE\'rtO?f des aninMtix. d'expe-

henM.Xf, 557; XV, n9.

Par tn cm'are. IX, tOO: Xtt. 3t5

XV. )C5.)M; XVU!, 3)0.

P:n'iesa)Mto!de<ideropium.XH,

i94 XV, )49. Moyens qui peu-vent être amptoyÉs dans les expe-riences surtach&JeuraMtMfc.~

XUjf, 57. Mccittuqup. XV, )):

Des grands animaux. XY, H2.

–Dur.heva.t.XV, tM. Du

bœuf. XV, t4(!. Par tes bou-cb: XV, H(;. Physintogi()Uf.Commcut il faut tenir compte des

'n'ets propres ot dM agentsdans l'interprétation dese\pÉ-

rMnccs.XV, tt; !!)t. t5t. Par

la morphine. XV, t50. Par h'

chtorhydratc de morphine. XV,151. Par l'opium. XV, )54.

Par)echtorofoniM.XV,]5'P&r )e chloroforme et la morphine

cnmhim's. XV, ).')')<<. Par

)'<'t')er.XV.).7. f~artechtf)-

ra).X\.).')S. \j)pr<'riat!')n je-

ttera)!'des moyensc')[it~'ntits.

n<

COXTtXftTK. C'est u)) caractère

det'e'o)utK'n.XVf,38.').

CO!«TKACTtLE(CHf.f.rf,K;. Voy. C<

/!</<* f~~<?'<7C/i/<

i~LÉttEXT). Son iutervcution daus

tou:!)osphëu()meuesuer\'f'u\.Xf,

3M.-C'est t.oujoursp:u'tcur iu-

termédiaire quc)(.'s nerfs agi", st'tit.

Xf. 284, ;))<). Action du système

nerveux. \t.!i'

(HATtÈnE). Amorphe, c'est en elle

que residf' )c mouvement s~rcodi-

quc.X,):

COKTMACT)t.ES (F)B!UM.. Voy. Fi-

6t'M.

(SUBSTANCES!. HHt's nf S0))t que

des formes de ptusen p)usp''rfec-tionnëes d'une ntëMe suhst.tncp.

X, ).'<;). H))es sf présentent sous

trois états: état amorphe, ceHu)e,

tibre. X,)&8.

COXTRACTtUTE. X\[, tii X\ tt.

46},'i(i7. --Action du cur:<re,

m, ;)()'). Comparée !'t la sen-

sibihte. X.VU, 4n. 'est un

comptexus. XVH, 4(:8. )n-

Nueuces qui la régissent. XVff,

4(!9.

OES AmÈMES. IX, fii; Xt,

3':2,~6;XV,3'!8.

MUSCCLAtKE. !H, 3(G X. ~?,

t8< X', Mt. Elle est dixtinctR

dMi'excitabifitc des nerfs moteut-!),

ta preuv'par )(!cur'ar< ))),«!.

–Expériences ce. sujet. H!,

3n. r:Uc est iudcpeada.ntedu

système ncryeux. Hi, :(.'< EUe

est détruite par le sutfo-cyanure

de potassium. f)I, ;h5. Des

muscles iuvo!ontaires,e)io n'est

pas ditTereute de la contraetitite

des muscles qui sout sous i'iu-

fluence de ta votonté. fV, 20?.

htOupuce de ).t chatcur. <V, 20!).

Le curare la sépare des pro-

priétés physiologiques de i'e)e-

ment nerveux moteur. iX, 160.

Page 154: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLH At.PnABËDQUË ET ANALYTIQUE<K)

t'He. réside <)an',)e.muse!e.X..

)8t. f'~tuneprnprietespcciate~

d~'s musch"), indepen(tantfd<'5j

)!<'rt<ni)es animent. Xt. 9:!).-

r;\p.(teXuhne.X).23?. –H\;)J

()~)!p))~k.\).9:t.'i.

iC~~TMACTtUTHttES VAtSS)':At;X.X\?8');)<htf'nca<)ps!

nerfs. \j.).ctio)t (tes t~'rfs~

mot~tu'sdusystonfor~anifjue.Xf,~-J!)' CaptJtain~.X),).

CO~TKACTt<tX.(.'cstm)p)~nO-n)cu"physi(juf!V)),'i~().

CA)t)HA~U)!. )';))(; produit'

t'imputsion cardiaque. ).4(i.

-Mt'St:m.AtKK.)n.~i<h,3HO;

IX,:18: X,III: XVII.O:}:XVIII,:

f\.M:x,)s.xv)f.o.):x.\m,!)). :8-Ses fm'mMprtSt'sa.u'

t)iyo~r!<ph('V,).–Sit vitesse.

h'):)')i. A)'f.)tn;f'ou au

:t);tsorn<'du courant d.mstc

))(')'fm()tcur.fV,)(!&influencer

<)';)a température sur fontnx'n-~

sitc.t,'t)().–hTitan<<i<)ui]a

dt't''rn)inent.X,[S.').–Etp(''rif*t)-:

ces ()('Hc)m))<))t.X, )')').–Tra-~ces de lIelmholt.z. X, ln\. Tra.

\'au\()e.Y()!kmanne<()fBœc){.X,~

!!)'HOf'consistndansuuMc-'

c<'nrcisscm''ntdp)afibref)))i~a);ne~

c\:)ctpn)<'ntcntar~<'U)'ct)()))'<'))e

)M'rd'(tonRunnr.X,2(.M.–Mo-:

dificatK)ns(''icctTn"[Ufsquist'pro-'

fhn'.cntafemontt'nt.X.XO?.–f

--Théories diverse'; à ce sujt't.'-`

X.O' Induite. X, 907.

Quantité de chatem'détruite. X,~?' M~taiiique. X, X80. Pa-

r.'idoxait'. X.38M.–Htic pfut

servir d'excitant aux nerts mo-

tf'urspux-memcs.Xt,).–EHe'

r<diosau~ veineux trt'))ou'

X).2-:). (:a)o)-iftcation. XU.t

'i~. –K)!e produit détacha-!

~;ur.XUt,)ii). --Appareils )T)is~en usage pour i<'cous)at(:f.X))f,!

).'<t).Statique GtdvuatnifjUf'XU). :):).YCt-, tes ainui))f'st

thcrnin-e)ectrique!i.XV,')84.-

K!)'et-;de)aro''pit'atit)tj.XV)),9)). l

-<))': LA )tATt;i),t~,4:

–t)ESS)')HXC't'H«S. contraction~

permanente. X,!t' :)'

COXTRACHO~ BKS VAtSSRAUX

<)tnn'su)tf'd'')'('xcitationKt~'a-

niqnRon grand sympathique. X),

')' –t'ar('n'ctr~<!)'\f'Ht,8.

–tm~AVHSSfE.f).'tns)amnrtpM-

ttHmorrhagie.V).(!(): V){.)';9.

VOCAt.K pt rp.spiratoiru du

stt'rn')-mast()!dipn.V,33H.

COKTttAMtCTtONS dans !<'s pxpo-

t'ipnc("i.\)V,i).-Knc'.tif'nnp))t

it!'f".{)erimen)!ttfur.f.8:X).

M3.–HUesticm)(.'nt'.ut\<'o))di-

tt()n'.<)e)'e\pcri<'n('('U).M<).

Vf); &'J'encM <)M/)'<T</tf/t)!')'<9,

f<!t7.7 Ct)H~'<:f<C<0!f'S.

COKTHE-Kt'UHUVH. Vf!), m, 3)8.

Son import-tnep dans ta syt~thè.se

~)y<'t~6nifjue. XV), 9:!0.

CO~TKE-EXt'KHH~CH. VHf, 98,!!)8.

CO~'TRE-POtSO~S. XV, i2< Kn-

dosmotiques.)!84.–Lfmen-

)eHr<t)'e)imi!).t)M!n.nt.)()2.

CONTROLE. Voy. ~<')-c<'s ~e

con/n'

CONTUStO~ des Mfincs postrrieu-!'("i, c))cmodi(k')osM9t)ttats des

Mp~)'ienc<sur).i.sensihiUtere-

currcnte. )V, .?.

CO?!VUt.StFS (Ac.MnEXTS'! dctM-mi-

nM par t'augmox.Dtion de ht

pression atmosphérique. XVtt,

f !).

COKVULStOKS. XI, 9~8. Leur

abseuce d~na t'cmpoisonncmcnt

par )ecu)'M'e. ))[.!)):Leur

siÈge dans le grand sympathiqufon dans t'axo ccr~bro-spina). iv,:}~ tntet'ne' Mort subite. IV,

3Tt. Du pneumogastrique. tV,

9'!4. Produites par injcctiou

de carbonate d'ammouiaquc dans

)GMt)g. VU, 3~,38.Dans la

nephrotomie. VU, 43.–Provo-

quées par la strycbHiue. Xf. ))).

De l'asphyxie, chfz if's animaux

dont ta o)0<'U(; cpJHicre a <!t6

coupée. X), 2 H. ))cs enfants.

Xf, :)57.

CUQ. Systtnic veineux de )a veine

porte t't système de Jacobson. tl,

3)5, 3t(!.

Page 155: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVHES DE CL.U'DK HEtiNAHD. tU

CO(tt)LL!; dcscutimatons. XV!.

2!)f;.

COtUti: MOhSALK. \\t. :!29.

DKLAmtttKKHRVHtJSt; JV,

~).

–tH'TYMPAN.Son mnueucc sur

la sensation ~u'}tati\('HX.

A)n'ation'ht!o))t.(tau.a;);)ri)-

ty'n'.V, !). –SasL'ction~.uts

t'orfit)c.V,)4.'). So!~aftinnsm'

!asf('t'cti'~niiafi\'ah'<;sous-ma\i)-

);tin;)4(;t),.277a:!(M.:t3C.

Sa sccUou. qui.supprtme la *.<

crctiot~ sous-maxiUah'o, laisse

[)('i".[stt'r la sccrction psroti-dif'uup, V, HO.–Action sur la

)at)gu''d'uafi!ctquienemanc.Y,

)'!). -Sou action sur )t'peut. Y.!??. Sesti<ge.s.n')7<

--Sa section produit tadeYiatinn

d~ta).)n~u'V,)'Sou:tctint)

faita;)j).'n'.]itr(!r(tune!('sausvci-

))<;u\d<')ag)au<!<<)u'na\i))aiH'.

YH,9' SouactioudHatatric~*

()ps\a~st'~uxdo)ftg)andesous-

i))<t\ii)aire.Vff,Ï77. –-Sonana-

tomic.e.\j).Yt],2ti!).:im.–S(.n

action sur tasubtingUMh'. VU,i0.!

–SonactiooparatysautHsurta

j.;)andt;S))u'i-ma.\i))air(;.X.)'?.

8on('\citatif)ndi)atek'svaiss('au\

d<sg).uidt;ssa)iv:urcs.\t,;)5s.

So))t'\fit.ttion.i[4.–EHt'

c.stjptift'fmoteui'dejagfaHde

su))hn};))a)f.XV,).4'Saga)-

Y:tnisation.\V,M3.

COKOOX sympathique Mr\'ica), sou

origine. Vi).3(!Posto'if'ur,

h")('n\'t'id'uuos<'ctiouuui)at~ra)t'

les effnts '"I,'un,o seetion,\lIJilatérale

sot~dire<:t<,pour)apat'ti<'infp-

rif'urf'()r)amocUH cpinicrG.et

croise-. ))ou)-]apa)'ti('up('')-ieun'.

X<. t:)i), M) Postérieur, sa

scctiou uuihttMMtoau~nteuteta

s<'t~si))i)itt''f.'t)<ttefnp(''r.ttUt'e.X).

2tlU. ertébral Irrinzitif.XI,

2<)f).– V~rtcbt'a)))t-uuitif.X\),

~iaLXVi,;i'i.

COtt~K !t''Et;n.t.ËT!oy.Ft'Mt'7<'<.<;OH~ft'f:Sa.«;)isibi)it<d;tn'i!'f)s-

phy\i<)H,Sasensibi)ite

pt'rsis<f'apr<siadisp!u-itiou()GIH'rsiste [qu'los la cü~puritiou de

l,ce)!ed(ita<ac('.fU,i(;Sa

sensibilité disparaît par i'.<)~tt)f.n

du sanction oj)ht))ah)uque.)(L'r,.

Sase!~ihiij)e. 8' -Sensihi-

)i!<'co;tservee<i;tns);tj);!rjh~iede !aci!]o!)ie!~epairc'8').

Desséchée. \YL:)8.

C(Ht<YAL.\f.t.(tt.

<;Om'SA~)MAL.Coi-pssi)))j<)''sfj))if-utrputdans'.acon-.tituti'tn.tH.

-40.- Comhi)).t['<o!t des corps qui

Grxrentditnssafompt~sitmn.fn.it).

–<om))an'n)U!t)c.)i'a.a.\)Jt.

m'MAt~f.cstutM' )n:tct)iH<\

XV))), ).

TH~'K('tOK.[X.8t:XV.?!M.

VtTAt. de ButTou. it n'cxisu' pas.XVt.2M.

CO<t)'S BUtEFtH~GH~-rs de l'oeuf.

V)),M.

–BRUTS compares au\ corps vi-

vants. )\.2'j!Y))). :t8.Vu\.

~C~c~f/CO~S~7'~<

–C.KAS.i!pf'h'')'ch('.s<fcC))p))').

X\,3t.–Leur origine c)~'x tes

animaux et tes végétaux. \\U.

3< Leut'ferment emntsif.(.

:<(). ~t Jeorsucriye.sdans

rœut')f.).-phosphore

dei't<;ut.t).7.

«tt<;A~'tSt':S. Leur coustitutiou

e)en)entaire.\V),j'U4.

POLARtSAÎSTS de t'œuf. XVH

M.').

ttESTtt'ONMES. L<-U)'s testons.

tY, <)).

–SAVAXTS. Leur roh-(tans les

sociétés modernes.XVUl.i-ifi.

StMPLHS. ynf, t3?. Qui cn-

trent dans taconstitutiott du corps

:u)in)!d.))).t<J.

–STtUKS.Eu'etsdeieurhtessure

tV, <!)().

–V(VAXTS compares aux corpsbruts. )X.3M:XY[H.Tou-

tes ipurs parties sont irrita)))es.

mais chacune rea~itd'une manière

particu)iere.X,M.–(.'estuuas-

semhta~e de particules.)[).o:i.

–Voy.o~y'!<'7M(/t'co<t'f)'<

S;)0)t<(;?ie!Mcur/x t'i''f)M/.<.

com'tsccmt.B)tmnu:\G);r<TS

x\n,M8.

Page 156: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAULE ALWtABEnOUË ET ANALYTIQUE)42

–InnuoncGdniatctnpératuredocertains sc)s et do f)U('~)U<'sgM.

vi,3!Xi.–fnnuences physiques

capahtes do ta modifier. V), 39'?.

–fdontitepntretetnecanismode

ces actions et j'influence ner-

t'cus,c.V),3i)8. -tnnuencedes

nerfs dans tes ~tandessativnires.

Vt). 2~0.De la parotide. Vt),:!38. Variabfe dans la rate. \')f,'t?4. -Deta~iandesous-maxit-

taire. Discussion.T.yMG)u~e et

ThiorneMc. Vif, 442, 449.

Dan'i!'asphy\if par ta vapeur df

charbon. Xtf. :!48. Daa!) !'pm-

poisonnement par )'aeido cnrhn-

[)ifjUf'.X)),:)7(!.

--ARTKtUEL. tt)nuenccdu"ysu''m<i

nerveux.Y),MM.

V)';ti\H~X, roujj;f dans <a \'('in<

rtnatn. V),58,O, .M.-Mxpe-<'ience~i.}5'). toffuencf des

m'rf'i.V),3:)t),3:8.f.Û).–[)at).<)p-

gtandfs.V<,Ï!M!. -Qui sort dps

muiteies i'état do fonction et &

f'otat do repos.Vf.308, 3)8.:t'M.

~)~K\p)''riencessurta~!and'*

sou!i-maxii)airo;Mpp()rt!.aYee)'c-

tat de fonction de t'orgaue. V),

!!U!),;)0). f'arinnuenccsnf'r-

veuscft.Vti,:M)')!tM;C)Mn-

gemont pendant t'ccoutement <)<'

la saih'e. \'n. :M!).

COUMAXJNE. XV{. 39).

COUt' nE CHALEUK. X)! 429.

COUP U'OEtt.en médecine. ViU, 3.').').

COUMAMT CUTAKË. tV, Ma. :t)a.

ELECTKtQUE. induit ou iadi-

rcct, continu ou int<:t'rompu, s~n

innuence sur les nerfs moteurs.

JV, )46. Pumt d'apptic&tion sur

un nerf. H', )5t. Ëtïets pro-duits par leur passée & tra\'cr< t);s

nerfs moteurs. tV, )(!(J.– Os

agistcnt de la mémo manière sur

les (itots ucrveu\ nioteurs (h's

nerfs mixtes et sur ceux. des ra-

cines rachidieunt'santerieures. t\,

)'!). Qui se produisent dans t<

muscios. )\ 30'' à 3)7; X. 2t)3.

Xt, 243. Uu cccur. IV, :!m.

Des muscles, des nerfs du cœu!'

<:OMt't SCt LES L~MPMAT'QmS

dut.umhricusa~ricotaayantcn-

}!;)ohef)<"tCorpuscu)mvcrts.XVf,

9'M,:)S<).

–ttKt'tCt?<t.)V.):)0:X.97.

t~'TACT.)V.):K'.

–yt:ttTScnK)"be''pardesAmi-

hps.X~).3S<).

CUtmKt.A't)0~f)es forces physi-

ques. X\t),t.<)A.

COMVtSAKT Fondateur de la c)i-

nique.XH.~M). –Professeur de.

mt'<t(*r)t)oauCo))e~edeï''Mncc.~

X)V.

COSMtQt!K~Mn.)t:u).ov. Afth'f!~

CO.'M~/MP.

COTES.t.eur)4 mouvements.Y).f'i3.~

COtL'.S''Staiss('!H)\. XV.)<)[)-

j<'<')inn';<tan''<(t*s\'K)ssMux.XV,

t.');). -S<'svei))0'XV,55.

Yi\'t''t'('tiou, m&uuct ûp<'ratoi)'p.

XV. 3~). Vaiss(*ma)'[et-iet. XV,

'!(!(!.

COUEK~OE inn.tmmatnn'p. XH, )!).

COt't.KHR nu SANC. \t, 95Ï, MS

X.2)!):X)r,)).- Da~s)'<'mpoi-

snun<'n]en<))!'r)'')\ftG()o(':trhone.

i)),n:).'xn,:)'i5.- Cho'.to fœ-

tus. \f. 254.- Dxnsdiff'Ét'otttM

espaces de mammifères. \'t.2.')5.

-)nf)))enc<du!iexe.Y),2a;)-–

]nnu"ncfde )'&< \'), 355.–In-

nucnccdft'ctatd'hitjerHation.Vi,2;tt!ttinuencodes nerfs. Vf, 268,

976, M3, a)9. ~:U, 3M; Vf!, 4.')) à

454. RUc r~sido dausies g)obu-

les. Vt. ). Lo sang ost rutitant

fhex )0!< (apint enduiM. V), 977.

Chn! )e lapin diabétique. VJ,

SIS.–Mans )o'! différents 6tats'

des organes. V), 9!n. Dans )<!

rein. V).Ï:)8,<!).Examen dc~

t'apparfi! portc-r~na) chez ios

greuoui))cs. \'i, H05. tntJtteuco

dGi'actepu)monaire.t,!i{!

Actif)nd< poumons. \').M't.

Action comparée de roxydode c.ir-

bone et do t'oxygène. V). :)88. :!iM.

–Son rapport avec (es quautitcs~

d'oxygène et d'acido carbonique

qu'M coutiunt. Vf. MC. Qnanti-

tcsahso)u('setreiatives.V),M(i.

Page 157: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

t)KS ŒUVRES DE CLAUDE HEitNAHD. )43

chcznnhpindontiamoetieaeté

coupée. V, t.Dumusc)c.i)s

semodinentaumomentde la

rigidité cadavérique. X,2()'t.–

Leurs pffets sur Jesnf'rh.X,r8.

COmABiT Mt SC~LAtRE tV, '!t~,i,

303. :!()?. Son indépendance.

32.').–).)f')a~r'*nouii)p.()7.

MUSCUt.U-Ct'TAKE. iV, :))t).

DH)aftr<'MouiH('.)V,3)).

–KERVEt'X. tV, 9)' :t"0, :!n.

Son indepeudMce. 22.'). –Prn-

pt-esiit)xnprrs.]V,2M;X,S!!iT.

Sa direction cat'Mtf'riso)('!4nerh

et constitue).) seule <iifre)'enre

rccne entre les dfu\ ordres de

fibres qu'il traverse. X,3)!);X),

~O8.t)('stccn(rij)~t(;dansies

nerfs sf'nsitif! centrifuge daus les

nerfs moteurs. X,)').

COURBES HH LA RKSt'tRATtOtt

dans un milieu confine. tf),2n.

COUBS t)'t;AU. Kmpoisoauement

des poissons. )U.'M.

CRAOtATS des diabétiques, con-

tiennent iis du sucre''etpertcnces.

t, 30i.

CRAXE (BASE ne). V, 332. Chez

tehpm.t,:MO.

CKAKtEK~'K ((;AV)TË) du chien. XV,

257.

CRANIENS (~EMs). \'oy. Nerfs cr()-

niens.

CRAfAUD. Voy. ~fMOt~ecra~nKt~.

CRKATtUN. XYHt,

MOKt'HOLfM.'Qt'E de l'être vi-

vant, animal ou végétât. XVf, t8).

–OM.A~tQUH.tX.!)), 138; XVI,

)?. )2')5t,20: 223, 34ti;XVHf,

t28.Comparée à destruction.

IX, M. C'est un des caractères

essentiels de la vie. XVt, 39.–

Pendant l'engourdissement. XVI,

11<). Elle est avec la destruction

organique dans une succession

neccsMit'e.XVt.tO'i!Sesptte-

nom('n(;s.XV),n'.).–hiiecom-

preaddcujL ordres de phénomènescommuns auxdenxrfgnes: syn-

thèse chimique, synthèse mor-

phoiogifjue.XVf.tSO.Voy.S'/M-

fA<'secr<'a<)'tce.

CREOSOTE dans le traitement du

diabète.M\().

CR!M)?<ELS Expériences faites sur

eu\H, i)!.Voy. C'jM~om-

nes.

CRtS des animaux en e\perie[)fe.\t.8.

CMtSES.Doctrine <)'Uippofr.)te.\f.(!L

CRtSTALUSArtO~ \\))f. <i!.

CmSTAUX. Lf)tr n'dmtt~rati~n.

X\i.t'n\.C<'Y;<)')4'«t)'tC)'M-

<Q~tttP('t.~jt'f/tK<<'f/)'f;&M.

CtUTtEtOL'Mexpci'imputat.Vfn.:)?.

De la m!thodn <pcrirm'nt~it',

c'est )'HXpcrK-fiCc. \Hf, ':8.

CntTtQt.')' 'est t:t n-chcrchc de la

v6ri!('enscparan) ccfjuicstyraide M qui est ta~ VUf. 3;

Apphqupc ta tnudeciue cxperi-

men<a)<n).:M:

HXt'KtUMEKTALE. t, )Ï. 2: f.

2j; Xt, M)i, M~ ). (. )-

–DotagiycogCtti.),<!()& 2'

Sur tes foncnoHS du panertias.. )f,

'i'70.<Aprnposdc)atcm'

p~'raturf: du saug. \t,)4.

Physiologique, exemptes. VH], :!()?.

Elle Hcdoh porter (juc sm-

desfaitset jamais sur des ntOts.\U!,

?' Pathologique et thérapeu-

tique. VÏH, ;t:)9. Nécessite de

l'instituer. XV. t6.

SCtE~iTtFtQUK L 2(!9

cnoctm'r. XY, )8: t89. –Meuss.

fv.n. l.

CROtSEMEKTS. )X. tt).

CROSSE ME L'AORTE. Origine de

ses branches. \V.3f;.

CROTALE. Squetette de la tôte. ))!,

3'.)U.

CROYANCES scientiHfjues, phito-

sophiqucs ouretij.;ieu'-cs,itne

<'autpasy(;nchaiucrt'i(tee.\)f).

?<).

CRURALE f.AMHttË'. Vuy. ~<c<'(.'c)')f-

ra&

tVEtKE). Voy. ~'ett<f ct'Kfa/e.

CRUSTACES, gtycogeuc. X\t!. t)').

CUtSSO!~ daas )'eau f'omparec a.

i'actestomacat. U, 4)8. Ana)yses

des gaz du sang. \i, ;?!.

Page 158: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAULE AU'MAttË'HQUE ET ANALYTIQUE Ei4i

C~tVKE.Y~y.<<'CMt')V,)

SK~<<'('

C~'tVK~'t;[~L).cm')!oy.K/M''Mt~

(';<))')'<

CULTUtt);.S~ni!)n~('n<ur)('sor-~

panis)))<'st~i:('t.'n)\.XVfii,):t!).

AMtH~'t.'LH \Vt'. n. –i

Ru ~h'i:('npp.n')'<'mj)<'is d'ami-,

()oH.\i\.ttM!. ))uf!;);c')~'tte~

par ta graisse. \)V.')<):).–nu gty-~cf~cnf'ptu'ta ttHiatiu'XtV.'i (!

))u!:t.oS'P'

i<Dn~h~"S'i"<

d'œur.XtY,(!:).

CUt'H<t-t'<)TASS)Qt.'K(L)ù';H~"ou~

)<HA'Ttf.YnY.~M"<'7''

Ct'KA)U'f,:ti:),3.').'t.~n:))[.M!);

X.)'n).n.–Anéantit )<~

syst<;in''u<'rv~u\f<)'e))m-t.pit[at('t~produit h'()ia))~t~arn(it'i<').),3't8:

\)t. :)<). :t.–Hn)pni''o<i)tcm''nt

par )(.urat'<).3(!:t:X.& X',

):!7.M.'):)tM):X)),:)8<i,!3<;XV,

''i<!).–K\pcri''nf("iSUfd<'a)apias.,

f,(!).8():Xf,)'if.-ApparitMn<)u

sucre dans)<'surinpsap)'e*irintoxt

cation p:!r te curare. ).<?.–

Un'aiti) pas sur h'sympathique;

i)('\a~')'<'h.'sf«)i('ti~)n-) nutritives.

).S).Sccrf'ti<)nds[!tS!Hive

aprt:"))'mp')isottuenx'ut.),!tSt.-

Aprt'st'~nipoisofinctncut.ie't sé-

crétion''s~nti) ctivocs par insuf-

natiot).).!)!«: Vt,i): VU.)M.–

jUfsurr~'ctinu (t'anima uxtu~spar~

co poison. Ht,M:);X\![t.M.Sou histoire.Ht. 299: X\ 402.

Sf'sctït'ts connus. Uf.M!).–

tticcrtimtMdetaHatttMttceapoi-!

sua.Ut,9.')< Scsproph6tti!)

phy''i<jUH'i't<'himi<)m"<.H),2.T'

~2<!(!Hxtractif)nd('snttprin-

cipo actif. m,2(!0.Snh!;t.!))Cf's

qui le détruisent, chtot'e, brome,

iodp. acides, aicatit), ~M~

dotc~. (H. 9('t.'MM.(!:).–Cnn-

trc-pni''m)s chimiques. )H,2ti3.

–Sonactiousurtestertnenta-

tioxs.))). '!(!).Action fiot'tes

v~t!tau\. )H,26;), :n8.- Son

at-tin)iSurtcsatin.]U,2e.'<,30(!;

~<<).), M8.–Sonactiouphy-j

sif))oniqu(;.Ut,2m.3s.U.4M,

)(; X.n:):X),t~(.)4C.–Faits,

rt)j)p<t<'spart<'sau)<'t)rs.)U,2(n.

Sonactu)nsurh*sani)fiau\,e\p.

Ut.'M!8,'M<). )''n'!)n);rcs expé-

riences. H). 97* –Grf'nnuiUos

c'mpoi'ionnc('s.fU.2':<)X.)8;X,

n9.X).)tl.4iS,i.')):XV.

t't.:t82.4()i:XVt)).'M2.–Dit]'f-reocf's d'absorption pat'tes'Utf'rsci!

sm'f.tcesttntfjueusf's.)U,28C,37S.

–Action toute spt'cia)e sur te

~\st~n't<tf'r\u\t~hu!it!esn)~-

niff'stati')t)s<))) syst.<m''nct'voux

et t.'tissc intact )(!syste)Uf mus-

cu)aire.)U.28t,3U.X)~,M.~

3~:),M;V,'«;ti;X,n:).–E\-

pfrienfH'i sur t'absorpti~n. ))!,

Mi,).i,<)<;XV.<n.–AKitsur ifs nerfs mnt)'urs,parah't(;)<"t

mou\'('t))(iut:) respiratoire! et fait

mourir par asphyxie,tU.98!<;

X~itt,n(),):!<Mc.'Mi!imf

pr<)<'h.)ind<-bmnrt.)U,2M.:)'4:

X. 2.M: X~tff, :??.– M'M-tappa-

n''nt<'apr~<temp(tisf)uuf*nn')!t.))i,

'~83,?8.'). it n'est pas a)tcr('p!tr

ksuc ~aMri()Ut'<u partes sucs di-

K('stirs.t)),Ï8i.–n n'est pasitbfiortto partes ntemhrane.t mu-

f)U''u'es')tt)t)iaca)ee).esica)<ni

<'Ot)j')ur)i\a)<tH,Mi.–(~n'f's).

pas un fait ahso)n.))),'Nt).

Absorption rapi()u dans tos pou-

mons. U).28(i.–ttf-st. ahs'tt'be par

la muqueuse r<*ctate,)naissurtout

partessurfacesmuquf'u'tt'srt'spi-t'atoit'esf'tparh'ssurfaefs~tan-

()ui!tU-es.!ii,2;Absorbe par

iamembrauc muqueuse i~M~-

nat<!desois<'auxctt)("ir('pt))e.s.m,

2S').–AbsortM'! parle jabot des oi-

soauLt.JH,2Si). -Son absorption

rGtutuMptusfaciiepat'rabsunenct'-

nt,2Mt,M3.–))M'cstpasabsorbH

)Mr)ap('attdesmatnmi)(';rcs<:t(h"!

oiseaux. Ut,?.–nf'stabsorhe

partapeau<h'sn'noui)tt's<)anii

CHrtaittM conditions. Ut. 2!)9.

Son absorption danst'cstomac,

r6t'()es6pitbctiut))S.iU,0'

Endosmose.UL~M.–Uest MM

Page 159: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD.

Ct.AUt)ËBERNAt!D.XtX. 10

tionmusf'.u)aire.Hf,34G.–Paraty-sie du grand sympathique.))),34!).

–Ktîetsprodnitssurtf'systomont'r-

veuxdesanimaminfériRnrs.)ff,

3S).En't'isur)es'.aog<ue').tff. l,

3M,tV.3«!En'otssurt'e-

crevisse. J)),3G4.–fte.stsansio-

nuencesut'tato)npcrature.tU,3(!h.

–tit~to par art'ët du la respira-tion. U[,3()!Sona('tionsut')ns

mouvemcntsducœur,exp.m,3T'.–Considère comme médicament.

))t,).t)n<'f<auraitùtre rf:-

garde commute contre-poison dp

la strychnine.nf.3?f!C<)ntn;

)('t6Mnos.m.:t'Xt,).–Sot)

action sur tes )imac(!s.))),3?8;iY,

3iC.– Compare a d'autres poi-sons. m, :;8.'< Kxpcriencodf;

K<iiHkcr.)ft,'iC).-Anaiy',(;physio-io~iqtu'des propriétés des systèmes

!n).ttcu!aires<itnerYeux.n),4(!3.

t'iperienceder(!!ikan.H[,i'!).-

Ses réactions. U), 4~3. -Ëtabtit.

i'independance et)a distinction

df't'irritabi)itemuscu)aireetdct'c\citabititc nerveuse. iV,t!)(!

Servant &montrcr)'in<tt'pendanc('

des nerfs etdosmusc)es.tV,ti)7.

--Son action sur tetuert's mo-

teurs volontaires. tV,342. 34.').–

)nnuenco sur tes mouvements vo-

)ontairea.t\345.-La'-ensihi)ite

des nerfs postérieurs rachidiens

coupes no réparait que quandl'empoisonnement est eomptet.V.

4M.empoisonnepastesnorfs

de sentiment, mais l'action renexe

ne revient (ju'aprea.t'cmpoisonne-

ment tompiet. V, ~!8. Ses etTets

sur les sec t'étions. V,M2.–tnsnf-

Cation après l'empoisonnement par

le curare. V!,i)3,30:), .)4;H,3t3,

Température chez un chien em-

poisonné par cot agent. Vf, 93.

Sccretiou rcna)e après empoison-

nement. Vit, 2!)5. Empoisonne-

ment, pression cardiornetrique.

VU, 3t2, 3)7. Urine après em-

poisonnement par cet agent. V)),

3)3 & 3)7. Sécrétion urinaire

aor~s reaipoisoanement. VH, 313.

action surtesnr~anesactifsdeta

circulation et ittt'entevt'pas au

san~ ses aptitudesphysioto~iques.

tH,3<).),–Jtn'tttMn'pas tes pro-priétés respiratoires du sa~g.tH,

S0(!Son action sur !a c!rcu)a-

tion pulmonaire. )U,3tn,30S.–

Son action sur le cœur et sut'ta

circutation.fH, 3)7, .!«'). 370.–

Son action.sur la contractilité.

n),3!M.–Action sur toscueurs

)ympha)iquesdcsgreaoui)tes.m,

3t0.–Action sur tct'œur dota

queue de t'an~~i))f;.t).),().–Sf;

effets sur les nerfs. ![f.;ti).–

Est-il un~enin? m,3!n.

3!)).–AhsHncfdccontutsion--

dans t'empoi.sofmemont par <'<'t

agent. )f),:i~Auj!nx'ntc-t-i)

t'h'ritabititc musculaire? tH, :!)<

!!2t.–8cu.<.it)Httcconscrv(:o<)!tn-i

rempoisonnomcnttU,Son

action surtosmusrtes.tt),)!),i7;

!V,)0!).–fta~itsurtcsys)t<ne

nerveux. Uf,!Mt!Xn'agitpasH il

)afots,(*tdanstcnH;mRSt*ns,sur

tes propriétés sc.asitivo'; et les pro-

priétés motriccf:)! agit sur le

systemencrvMux moteur et sur lui

scu),i)tedf;)ruit.ti).:t38,:t:!8.;i4t.

:!M;[V,);X, S~a~

tion passage reexchtti'idHfd'um'

)csionanatominue.t)t,33).–t) II

n'empoisonna pas les muscles ni

)('sg~ndes.)tt,3!!2.–})in'<;ret)C('

tt8SHset!'Ht!iaYCc)esf't!'ntsanes-

thes.inttes.iH,:)~:).–Son dosage,

)H, 3 <<. Son action comparée à

celle de la strychnine; il agit en

sfns inverse.[I),30,386;'X,!63;

X), US, 22-: XV, 427. U atteint

l'élément nerveuxmotaur, il taisse

intacts les nerfs sensitifs, les rnus-

clos, les autres tissus de t'orga-

nisnre, et laisse aux autres ëtements

organiques leurs propriétés physio-

logiques; il détermine la mort parla destrMction de tous !es nerfs tno-

teurssans intéresser les nerfs scn-

sitifs. Expériences de Claude Ber-

nard. H!, 34'vfn.a';<fx.)!);

XVm, 388. Action de la respira-

Page 160: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPIIABÉTIQUE ET ANALYTIQUE<46

:t)7.–])iso)e la propriété con-

!racti)e du muscle de tapro-

pnet6 motricedu nerf. tX, !8,

)(;()–Agent d'analyse physioto-

gique. tX,!8, HU. attaque la

iibrenervcuKoparsonextrÉmite

périphérique et non par son extré-

mité'con<ra)e.'X,)t),t8t.–t) Il

n'attire pas )aYo)ontc.!X,2t;

XVHLMS.–)! Il n'agit pas sur tes

phénomènes de l'intelligenco. IX,

*'t.tC!;X\'nf,?88.)n'atta<ju<!

pas profondementla substance

m6me du nerf moteur, mais il agit

<-omm'' s'il supprimait en quetque

sorte )e sang & sa périphérie. !X,

'}~. f~omme moyen contentif.

~,1f.O;XU,:i)5;XV,U!)C8;

XVIII, 310. –Se'ia\'ant!tgo'i.XV,

j~Comme moyen de savoir

si )csmusc)es doivent aux nerfs

leurs propriétés contractïles. X,

m. )) respecte i'cfemant uer-

veux sensitif, chez les mammifères

comme-c))t'?.)es hatt'<n:4ens.]X,

t(;].Son action comparée!* à

t'anémie périphérique. fX,t67.

Empoisonnement,on peut préser-

ver certains nerfs moteurs. X,

:~n.–Kmpoisonnementdes oi-

seaux.Xf,07.–Ke tue pas les

animaux dont la respiration estin-

depondanto de tout mouvement.

Xt,)3'Souintensitédaction

ost directement en rapport avec

l'activité respiratoire. XI, 131.

«eptitos empoisonnes. XI, 138.

Poissons empoisonnés, XI, )38.

)':mpoisonnement des mamtniferc!s.

XI, t38. –L'embryon survit ~a

mère empoisonnée. Xt,]:!)i.–

Ses effets comparés ceux do l'upas

antuu'. X), t:!9. Sou action sur

tes espèces inforioures. XI, t't0.

!t cesse d'agir quand le système

nerveux cesse d'exister. Xt,l'4C.

--Hest absorbé par la surface

interne des poumons. X!,iM.Y a-t-it des testons visibles dans

tfifi nerfs paralysés. XI, )42.

L'empoisonnement modifie )a mar-

che du uuido nerveux. XI, 144,

Agit sur les propriétés physiologi-

ques du système nerveux,et non

sur les propriétés physico-chimi-

que! X!45.N.;)a)."sc pas f)o

changfmt'nt physique apparent

dans tes organes. Xt,)~Son

artion sur les nerfs coupés. X),

~)~–Soninnucnccsur)aca!o-

t'itication. XUt,5' Périodes

successives de faction de ce poi-

son. XIII, 5!).–fn<por<ance de

i'ctude de ces période" XtU, 62.

Son <'<))(', dans l'étude de la cha-

leur animale. XHt, <?. Son rote

dans les expériences sur la cha-

]eur animale. Xt)t, 88. Expé-

riences pour supprimer le jeu des

muscles, X!t,).')7.–Son action

sur tes vaso-moteurs. XU!, 2)!).

Hxperiencos sur les nerfs dilata-

teursvascuta.irfis.Xin.Mt.–Son

Htituence. XIII, 30t. Son action

successive sur les divers nerfs mo-

teurs et môme sur les vaso-mo-

teurs. XUf, 301. Importance de

cette distinction. XUI, 3~. In-

jections. XV, 2(!i), :!5~. Son in-

nuenKC sur la lymphe. XV, 383.

Son influença sur l'exsudation do

la fymphe. XV, 38!). Hesuitata

acquis par l'expérimentation, XV,

408. Son action sur les glandes

salivaires. XV, 553. Son origine.

XVIII, 2M. Sa préparation.

XVIII, 239. Son emp)oi par les

Miens. XVtU, 246. Ses carac-

tères. XVfff, 247. Son action sur

les êtres vivants, XVitt, 250. -Son

isnocuite dans !es voies digesUve~.

XVIII, 2M. Son introduction

sous la peau. XVIII, 254. Hapi-

dito de son action. XVIII, 255.–

Symptômes de la mort. XVIII, 256.

Expériences sur le lapin, le

chien, la poule. XVIII, 257. Km-

poisonnement, d'un singe, d'un

Indien. XVIII, 260. Il détruit le

mouvement en laissant persister la

sensibilité. XVIII, 298. Il ne dé-

truit pas pour toujours l'élément

organique, il ne detormine qu'une

sorte d'inertie et d'engourdisse-

Page 161: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

.DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. )47

mentde)'e)ement nerveux moteur.

ment de l'<;l'mpnt nel,'vonx mO,tol,II'"XV)f),()'Moyen-i d'arrêter ses

<'f!'t;tspar)arespi)'ationartincie))e.

p.<r)a filature, par )'amputation.

A'mi.3U<Les différences de

<)osefontvarier)esen'fts.XV))t,

3U').–Le poison par.dyseurparex-

ccUencc des système'' nerveux mo-

teurs. XVtU,3iO.

<MAt!t!\t:.m,2<M):XV.)R'),<03;

\Vin,2!8.–Travaux de Pe)i-

kan.!H,3.–Ses caractères

chimiques.tH,2(;t.

<;tJ~A.T)OK des maladies. XV. 9.

<UKA')'H't;(P[!tSSA'<CE).oy.P)<M-

.<"MCfCM)'a/

<:t'tHOSfTHS zootogiques peuvent

devenir les points de départ, de dé-

couvertes fécondes.XI, 4!2, 421.

OUTAKE (CoCKANT). \'oy. CoM;M<.

-(.SvSTÈMH).tX,<;8.

CUTAKHE (EvAMKATMN). Oy. A'M-

~)0)'a<o~.

~StJKfACE) g)ycogette ctiez le fœtusX)V,.t94.

<V<t:K. Définition de la vie, X\i.

38. )i pensait que la physiolo-

~iedevattctreune science, ()'ob-

servation et de déduction anatomi-

que. XV:H,3!), 104. -La vie et la

niort.XVULtS.).

CYA.\)n'nm~UE (AcinE), anaiogiede son action avec celle de l'oxydede carbone. II!, H)3. Voy. ~'MMtt/M<'

(acide).

CYAKOFERR~MK de potassium (in-

ject,io!i de). XV, 330.

CYAXOGÈXt; est, d'après PHuger.

l'origine de la matière vivante

XVI, 222.

CYA7<mE JAUKE nu t'OTAS

SIUM et de fer daus les sécrétions.

L3()G.

CYANURE DE MERCURE Son ac

tinn toxique. III, 67, 103. Pour

sacrifier les animaux. XV, 221.

CYCLAMEN europœum, son action.

tn,300,4T!8esen'e<sgu:e!i

poissons.111,301,304.

CYCLAMtNE. Ses propriétés toxi-

qucs,m,4~.

CYDKDEH AXIS du tube nerveux.

tV.t2).tM,)X.)'X.2if!:XVm.

2'!2. -<ostpar)ui<j!)e';epropa-

sentins actions nerveuses.X, 266.

CV<t.Actions rencxcs cardiaques.

X<tt, 26!).

<;YSTt';ERQU!;S. Oycog~ne. XVft.

[)(!.

CYTOItLASTEHE XVI, )8G XVtI.

4.6.

CYTOftES, XVt, )88, 29'

nmESTË Monstruosités. tX, tt:.

M'AKS~AL. Appareil pour ta.

<cmpct'atur<coustant~.XV,4':6.

t8~.

nAMW<KtSME. XIV, t.,

HASTHE. Corps biréfringents de

t'œur. XV[f, M5. Lactose. XVH.

f'~i.–Réserve p!)osphatiquo chez

ta fœtus des ruminants, des ju-mentes et des porcins.XVH, 545.

DAVAtXE. Paratysie profonde du

faciaf. V, i~O. Anguillules du

b)e. XVI, 87.

)tAVY(Hump))r;Xt[,~8.

UEt;OCt')0~f opatine fournie par io

sang sucre soumise un passaged'acide carbonique. VH, 8U.

Kmu)siyo du foie. XIV, 302.

nECUMt'OStTK)~ spontanée dans

)esang.t,49G.–TraLYau:i. de

Liebig. XVt, )M).–tn vitro et

dans)'organisme.XVm,tt4.

t)E<;t)tJV)-.m'E. VU!, G). Art des

découvertes, J, t9, 2.')), 25:

Prévue et imprévue. I, t7. Du

sucre chez le fœtus. 2~9. E))es

so font en cherchant les faits, tes

)ois scientifiques. XV, 2).

MEtKHJBLEMEKT. Sorte de fer-

mentation appartenant aux végé-taux et aux animaux. X\'f, i70.

!n vitro ot dans l'organisme.

XYftt, tH.

MÉDUCTtOK. XV, 30. Dans le

raisonnement expérimenta). Vttt,~7. Voy. tt/c</t0~f df~Mc~'i.'c.

DKUUCTiOK AKATOMtQUE. :I, 2.

Ei!9 est impossibte. I[, 3.

Di':EX(Var/Sesexperiencessur)a

sensibilité de la moe)!e. XI, )94.

DEt~BKt~ATtON UU SAXG. V!,418;VH,)53.

Page 162: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAULK ALPHABÉTiQUE ET AKALYTtQUE<48

nËFttttUKË tSA\'(:). Voy..S<!M.?

~f'/i &)«'.

DEFtKtTtO~! dans les sciences. XV),

M.

)mKOMS.XVUt,20t. 'lOI.

–i)E).AVH'XVt,'M.–Aristots.i

XVt.2. Hurdafh.XVt.'Z.'t.-

K.tnt.XVt.Ï~Lordat.XVt.ae.

-)'retira)ius.XV),2f:Mut)<'r.

XV).7. –)':)frar<).XVt,97.–

Richprand.XVi.Hcrb~

Sp('ncHr.X\'),2't!ictutt.X\'f.~

28.- )'M))ctan.X\'),~8.–Cu-

\-ior.X\),8.

DKG.tGKMKKT (forces de). XVH,

'iM.

BÉnK~ÉRESCE\CK nt! LhfJ:

M)t!S')'histoiogi(]UC. IX, ~Ot.

tXTt':Lt~(.:TUKLL'! transmit)

par la génération. !X,9)<

t)KS t't.AQU~S 'te t'amnins du

ffctusd(;veau.X\'t,X\n,<i8.

–tt)!STtSSUS~)a suite (ics)pn-

guas pyrexu's. XtH, 428. -ExpH- ('·

t'ienc<s.X))f.4~))i'.<oi)'ff;t.

crittquodes trayaux modm'nos.

Xfff, 4;!f.

DEHH!'rtTtft'<.S!t(;&noeonscf).t-

tive ta dcsn-uction des spinaux.

V, :)()(!. thagc's de la saUve su-

b)mgua)c. XV, M:).Son méca-

nisme. XV, 5.t'Aperieuces.

XV, Mi. Happort avec ta. sK)ivc.

XVff, 28!.

DËL~UOCm'.Kfft'tiidotachah'ur

intcneurc.Xfn,?.

HKUtU!. XV))). 400.

OKMOCi!<!T!XV",40t.

DKMONSTKATtttX. Voy. fiat'iM't-

M<?;M<t<t<t'won~h'~<

DE~StMHTHES. XIV, !)8.

!)EKStTE des urines. X)V, !)9.

DEKTS. Tartre des <)f'nts. i), )33.

)!<iCtS:VËS du )apin, H )'<tat

normai et Sfipt jours aprts !tt '-t'c-

tiondaia.ciuqun'iniCp.'ure.V,tM.

MS~UTKtTtOK. L'ur6a moins abon-

dante dans j'uriuc dos ca.da.yrns en

est un signe. V)), '!2,

t)Kt'Ë~SH VtTAm. XVH[, t9j.

nt'f't.ACEMEX't'desgMdnsang

au n)oycn (te t'oxygène. de t'hy-

()roi;eN<f)('t'a.)te,etc.,f)if'ttcu)tes

et causes d'erreur. \), !);).

t)K)'()TS)'t.n)f:s.Lf'm-forma-

tion dans )csY.'nssc!i~X). )<).'<.

–Leurs effets hurt'economic.X),

)<)(!.nKt')U':SS);~R !X'Etu'). Voy.A't'

<~<<MCK;

!'K)'HHSS«~HtUTE.XV)),OtUKSttm:mALtS\T<0\ dans )<-

systcmc capiHait'a gcncn)). Vt,MC.

t));SASSH))LAT!0?<. X), 333; X)V,

M():XV)),'M),~8.i;XV[H,)8~i!.tppori,<!e!'activ!t"def'<'x

phcnomcnesaYcc l'activité fo!)<

tiounei)c.Xn'K!3.

D)!S<;A)tTt!S physiobt;istc.X\t),

428:XVfH,3(!8.–Oaditqn'i)

fa))ait mettre des faits &hp)ace

d~smots.Xf,4S().–S!tphysioto-

p;indofantai'iif'.X[,48t.– Il

)'f'fnnna!tdanst'*('crYfauunmt'-

faxisme physiotoeiquc. XVU!,

:!<).

t)KSOK))KKS KKttVEL'X chez )<

diab6tiques.t,4'!S.

I)KSOM<:A,SATt<t! XIV, 3<!0;

XV), 4) XVff. 48~.

HËS KEttFS MOTEUKS. )V.

tti).1.

OM(;AK«.)UE. XYf, 3i6.

MKSOXYttAXO~ t)U SAKG Ac

tions toxiques qui s'y rattachent.

U{,88.

HESSiCCATtON. Son action sur ics

ncrf<- motoura. X, 2(!'J. App.t-

rei[dc!tine~)'<'n)p(.her.IV,t88.

OES TtSSUS. XVf, 96. Kxpe-

rionccs de M. Chevreut.XVi, 87.

nHSS~S AKATOMtQUKS. Xi,

.M7.

UEsTKUCTUt'HTE du sucre dans

tfiSitng.suiMHtiaconceHtratioit

des solutions injectées et les os-.

pcces do sucre, t, 2)7,225, 228,

'!<X)V,209.

MESTUUCHOX AMYLACEE Ses

phénomènes.XV),232.

t'OACTtONXELLE. XVII, 4'!9.

Page 163: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES [)E CLAUDE tiEKNAft!). no

fH;STR!JCTtO~Ott<t~ftpr): X\<.

lIIèSTRUCTIONOf.U;NJQI. XVI'I)2.'),)Ï(!,1.')),~t'?;X\H,f\.M,4'

XVtti,)8t!('.Qmpa!'c'cac[-('ati(.n.

M,Mh–<<;stuf)dn.s<'a)'actôrps 's

es!(eniie!sd('tavic.XV),3t).–

H))c<'stavecjacrea<inn organique

datts un ci'fh'cdRSucccssifX) né-

cessaire. XYt, )m.P<'nu.H)t

t'cngnurdisscmfnt.XV), HO.

Se.tphcHomenp.s. XVf. i.'tR.

(comparée la reHovation.XVU,

M).

pAKcn)!AS. )!?;, 2') a

'). –PariuHammcHtoncht'o-

))iquo~t:t suite do fistule. VII,

;)!?.

J)i':STRUC'rtVi! (FHHMEKTATMX).

Voy.<(-i'Mfn<<OMa!e'sf)';<c<'tHf.

t)t;Tt:HM)~Att<~S 5 VOL(t\TAt t-

MES. Elles partent <t(!)'cncô))h!t)c.

tV.M). –KHt'ssHtt-ansmottcnt

pat')e.<! du sentiment.

<34).

J)t!TEHM)?ftSM)- \m, !M t\, 58,

no; XV, x), t?; xvn. sos; xvm,

t'),39,55.–Simp)eotcomp)o'iH.

Yn[,)M.Uy:tundctermi-nisnif absolu dans les conditions

d'c\i'it(;ncedesphcno)nenesnatu-

t-nis, aussi bien dans les corpsvivants que dans les corps bruts.

\'iU, ti;tX,2l4.– Pour y

arriver, dans tes sciences biologi-

ques comme dans les sciences

physico-chimiques, il faut rame-

nerie<iphénomene'}:t.des condi-

tions expérimentales définies et

aussi simples que possible. VIII,t22.estpossibte.danitje-

sciences biologiques comme dansles sciences physico-chimiques,parce que,dans tes corps vivants,comme dans les corps bruts, la

matière ne peut avoir aucune

-spontanéité. VIII, )32. Il existe

dans les faits négatifs comme dans

tes faits positifs. VIII, :))1. Il

repousse de la science les faits

indéterminés ou irrationnels. VtH,3t: !t exige que les faits soient

comparativement détermines. Vin,~H. C'est la cause prochaine

oudeterminantedf'sphennm<'nf's.

\))).383.s'app!i()uean\p))e-!iom'<'sde)a!!eucranonet<fet:<

notritio!).)X.2)i.–nn'f;xf!ut

pas la tihertemorate.iicnest

uneconditionneressaircftahso-

iue,!)n!ien()'f-n être ia négation.

tX,2:!3;\V). 5(!. 5t).(:2;XV)U,)i8.–tf est précis et ahsotu dans

les expériences bien faites. Xi,4'!(!)t est le principe, abso)u

de!aphysit))o~ic.commeco[uide

toutes tes sricncese\))erhnenta)e'i.

XVt,). :n8.–On a voulu t

tort exclure )cd(''termit)ism(;()c

la science de ia~K'.XYt, 5!).

Il est la seule philosopltie scienti-

<)()uo p~sibie. XVf, MC. Il rend

tat'tionpossibte dans les sciences

f"<pe)'impnta.)es. XV[,3.9.–La.

mct!)odo e\pcrimet)<ate a pour

))Ut.(]otelt-f)u.ycr.X\))),78.

Voy. Cause dffernitna'M~, Condi-

fiOMS<~<<')'W!Ha)~M.

nKTHHM)K)SMt; EXt'ERtMEN

TA),. Xf, 509; XIV, )29, 223. Il

n'admet pas les faHs contradic-

toires.VU), 304.DES MALAntES. XVIII, T~.

"KS MAXtFESTATtOXS VHA-

jm-i.XY!,54.–t) Il contient le

pt'oMeme de la science de la vie.

XVI, 55. f) permettra de tnai-

triser les phénomènes de la vie,comme nous maitrisons les phé-nomènes des corps bruts dont les

conditions nous sont connues.

XVt,55.

KEt t'H':KCMÈXES. C'est la ()c-

linition exacte des conditions dans

tesqueUcs ils se manifestent. XI,

5) t. La vie n'a pas d'iHf!uencc

sur)ui.Xt,528.

PH\S)OLOGtQUE XVI, 352.

Distingue du déterminisme phi-

losophique. XV), 54. Héponsesaux objections philosophiques.

XVI, 55. Dans t'organisme vi-

vant. XVI, C2.

DETEUMtStSME RATtOK~EL XI,

524.

DEUTOt't.ASME. XVI, 314.

Page 164: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLK AD'HABÉTtQUE ETANALYTtQUE-t:i0

faux, &.savoir <)u't! no so forme-

rait pas fie sm'i'e dans l'organismeanima). f,:M. –inftu~ncc c dnsf~

ma)adif'snig'87, –)n- ri

<1u()n('cdf)ar(~pi)-ation.t,;m.

tht'orif's. ),(!().tGnexif)n!< sur

i.i contphc.it.iot) de ces phénomè-nes. f.:iH().-App)n'ati(mtdn~

physio)ogif\).4)'(Ih('y.)cs

anim!)Ut.),4)8.–Organes ma-

)adesdans('f.'tteaf!'t'('<io[!.),4);).

)fypo'tt'oph!e des reins. ), ~M.

–Hypertrophie dos mfunbrancs

d(')'estom)tc.],~)'Ë<at(h)

ffu<),.i23.–Et.itdupancrcas.

i,Heaffion d'autres or-

ganes sur le foie. t, 4').

Symptômes. t, 43); X),:i:i2.C'est une mahtdieapyretifju'), l,

43).–Kst-i) suffi sammeot. carac-

térise par la p)'cs<*[ice du suf)')'

d.-msi'urinp.),4:!i.–Quantité

(ic!urinM.),440.–Ab'n'nc<)de

).t.sucur.t,.i-i'PhenomÈttn'i

tt<'r<mn. qui t'accompagnent, f.

4')!dh)euce()e')f('c~te;tts.), l,

4~5.t)tnH<)tt'odMm6dicam<;[Hs

ct)''r(!;inucs.t,4(!<C))C!!)cs)a-

pins.tV,'i<)0.–H~pCricnc.c.fV,

4t)4. –)(:<rHt(.'de)'urinod!tns

certains <t!(\i9s.–N'est p~t

produit chez les pigeons par la

piqûre du quatrième ventricule.

)V,4(:i. -('.haztf'.sgrcnouiUos.

JV.4M;XV)f.)(J4.–t.a.te~n

et )'6tat morbide du rein ne sont

pour ricndans le diabète. Y)),7S,

~').- Pat"ia,rp3t')!!)sofj)tion.

V)),'?9.–Permanent, ses causes

prochaines. Vti, 80.–h)t)u<*nM)

dnsy<it(''m<!uertOU\.Vn,84;XtV,

5C5. –ffypothcsenuiatu'ibnf

se!!phë)M)mcaes.'t)apa)'a)yf)icd<"<

t'aisscaux. X),*3m. Ses varices.

X!, M). 328, M).–Son his-

toire. Xr,;H).–Prono'itic.X[,

~:)(.–C'ea.tunf! maladie nerveuse,

due & un cxc~'a d'action du nerf

d~)!:tSMmitatf'urdnfoic,quicn-

trair)c)a.d(;MSfiimiiationprcma-

turuc d'une matière qui devait

BEUXU-:M)E )'A)ttE (R.tr.MES ))K f..t'

V"y. /fMC!)tf'.s

<<f ~!</<')<.r)fntt'p«t)'< j.t)KVKt.'tPt't!Mt:?<T Comparaison

des animaux et des végétaux.], l,

2<!9.- ))aus!«'sphcnomcnes)(")

ot'~aHisjnt'sviYantsnecr~Hntt'if't).i\)2.–t'arsriMion.tX. )()'

Par bourgeonnement ou pat'

m'gnx'ntauou.iX, !<)'t'~t't'c

dc<Yciopj)cment.X),48.–)n-

ûucnt'edciachateurextcneui'c.

Xn),t<1t.–An<!<4t.hcstHdesMs

p)n''))()m)''npapt'ot<)p)asmiqucs.X~,

2<i'?.Quatre types admis par

BM)-.X\'t,3'). -HappM't:t\c<'

icsphcnom&ne~ dC!H!r!t:0!X\ i,

38).\oy.A~'tOnt<}/ff.!A;.s)'o/oyi-

<~MM.

UHS AKTtCt'LMS. XV), 3'!8.

MU COHL'tt.X.iSO; XVHt, :<.

–JHHSXYttMESXVt, :().

tMt'AKt'AtT. m~jadiea <jtti f'n

resuttent.Xt,~).

tHJ LAt't~. XV), :;2b.

–t)H'}J)At)Mn''EHHS.XV).2(!.

t)HS MOt.HJS~LES HASrKMC

t'UM);S. X\ L :M').

t'H L 0):Ct t'ntMORDUL XV),

309.

DU L'OVrt.E. )X, )()'

–t))ESt't))SSONS.XV),2'

t'U SVSTKH): NKm EUX. i)

8'Mcroit a mesure qu'on s'<'t('!yc

dans)'ccht!Ut'an!niate.Xi,)!t.

–Mt;STtSSUS, usa~o du sucre, t,

25' M5.

HK LA TOm'tLt.K. XVt, :i37.

–BKS VHMS A SO)K. Xtt).:)3H.

JUKS V)!K'K)t)tKS. XV), :i2<

HKSZOOt'tn'TE.s. XVI, 3M.

DEVUTtU.~ des traits df la fa<-t'. V,

4).–Deta)jinguo.V, )':(i.

I)utypenor<u!t),ma)auie!)qu[cn

rcsuiteut.X),;)2.

DEX't'Mt~H. XfV, ;!04; XV)f, f.),

27!), MO.

OABETE. Xr,)6;XtV,M4;XV.

M.–Ktuuesphysio)f)i;ique.').), l,

33. Aperçu historique sur )os

théories. f,;)3.–KUes reposent

sur un principe physiologique

Page 165: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES (EtiVnns [)E CLAUDE BEftNAR!). (.-H

servir d'une autre manierait fa

nutrition.X).:M8.–ftest un trou-

bta de la fonction Rtyco~enique.

XtV.v.–Htndec))imiqueetp))y-

sio)ogiquc.X<V,5R.–))ctinition

et ctassincation defiditïercntes

formes dit diabète. X)V. M.

Dctinition par ses 'tymptumtM cx-

tcriRurs. XIV, R~. Traitement

par)'iode.XtV,7;45G.–Sapa-

tttogonio.anficnnesHx'orios.XtV,

'?5.–(;u)icu. XtV,7. no))o.

X!V,~C.<ieoias<'tG)M'ud<

vi)tc. X)V, 77. Jinucharfi.tt.

XtV.Tt.–MiaUx'.XiV,).–

!M(inition du pt'ot)i<mt' physio-

tOKifjue y relatif. XtV, 8)!. La

productioH du sucre.se rattache

aux phénomènes ~nnërauxdfta

nutrition. XtV, 87.Vues ~cn<

i'a)HS sur )es relation, qui existant

entre tuiettafoaoinn ~tycnRou-

qucdu f'oic.X)V,'i()).–(~rac-

tet'isë par ta ntyeosurif, il a pfmrcoadttiou nécessaire )'t!\aj;er!ttion

prcatabie do ta ~)yct;miH. X)V,

403.–Uaun<'cause pht'i pro-fonde que le symptôme ~tyccmieet f;)ycostt)'ic.X)V,Ut.–lotion-.

anatomo-pathoto~iques. XtV, 41.

Ses rapports ayuc. la glycosurie.

XtV,4f!innucncedei'aiimcn-

ta)ion. XIV, 42?. fnnucnce du

sucre donne dans t'a~ux'ntation.

XIV, 43: Il )-c.su)te d'une su!"

activtto fonctionneHo du foie. X)V.

4~7. Hxpos~ critique des théo-

ries actuot)M sur sa pathoj;Hni".

X!V,44A.–Ces t))';ori<'s reposent

toutes sur la g)y<:f.<'m:'se animate,mais cties supposent resotue'' d"s

question'! que la physiotogietaisse

encora indcc~es. XfV, 445. in- ir

dications retativos au traitement.

XIV, 455. Traitement par tes

atraHn!XtV,457.–Traitement

par t'acidc tactique. XtV, 45!).

Traitement p ar t'acide pheniqiif'.

XJV,4(!0.–Traitement par t'ar-

iienic. XtV, 4(i0. Traitement parla créosote. XtV,4CO.–Traite-

ment par ta gtyeerinc. XtV, 460.

D!Atn:TEAtRU.f,i3(!.

AUME~T.UMKdanstet casd'o-

blitération de )a veine-porte.X(V,

33t.

–ALTEn~T.t,i3<

-A)t-r)t.-tC!HL.).?!n.:tt:;)V.397:

V,i.');X,.4)8;X),8t;XfV,<M.

5C5. --Action du système ner-veux. t, 3S8. Modification') de !a

circu)ation.t,34<). –Pt'oMdë~

')c production par anc.inti'ii<nft]t

du.ysn''m'~ne!-t'f'u\c~)'cb)'o-spi-

naL),)"parcmpoiso))ncmet)tpar)<*

curare, ;par ajM;)to'm',suitc<)<'coutusions cet'ébmics. ), 348.

Consécutif A rctherisation.). 1,

3.')(!f*stp~<} produit par cer-

taines )''siousdupfanchpr du qua-trifme v<'ntricu)e. tV, 448. Pro-

(fuit par la piqûre du quatrième ven-

<ricuif, majore la section des

vagues etdu~rand sympathique.

[V,i.t)t,:iU.:X),2o:3:

X)\\3(j9,:t.S;Tf-mperaturedurnoum. tV,').'). Vt), ;).'<

KfTctdctascctiondci.imocth'

t'pinierp.V.~ii.–C.oagutabitite

plus grande du san! V!f:).

(.hextosanimauxentactation.Vn,

2' Par empoisonnement cura-

riquo.XtV,(};),:n;Nerveux.

conditions e\p('rimeQta)nsnfces-sairfs pour))' produire. X!V. ;)8().

--ttest toujours tempo rairc.XiV,

:!89.–Causes qui lui donnent ];t

forme temporaire. XIV, 389.–

Y a-t-i) arrêt d<' la dcsn'uciion ou

biene\aneration<te)apro<[ueHon(tu sucre i'XiV,;M!).H est pro-duit par une <citation et nou

par une paraiysie.XtV, ;)?.–

Hô)e des nort's vaso-moteurs. X)\

:t!M.

COKTtX'U. f, ~37.

tKsn'nm. Xtv, tn.

t~TKXMtTTEKT 43~

t'EH)!Kn!Qt. i, 436.

SAL!VA!KE. XV, 533.

TKAUMATt~U) I, 3)5

OtABETt~UJES, teur sang contient

du sucre, t. ;)7. L'autop.sie ca-

daveriqueu'indiquenast'etatphy-

Page 166: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAULE ALPHÂBËTfQU)': ET ANALYT!Qt)t!

température <)Uf'prot)\'e tosan;;

cn~~v~M~M~–

Circutation.V), )t n'absorbe

pas)cst'f'rments.X),~(<Physio-

t(''gicnperatoi)'e.XV,~i)'iinse

dctadistinf.tionentrete'iantmaux

et tes végétaux. XVt,);!3.oy.Cn'cM/~t'Ot).

)t)R)';STtt-'(CAXAL). Membranes vi-

brati)cs.X, )').

(t'EftMKST). Voy. /<'t'W<

–(TMB!).L(!sa)~<'stp)u!! chaud 11.

s:tsor<ief)u'~t<<)nen<t'e<t,8.').

–Ahft'n.'mccdf"! réactions. X,

H.t't.–Dh'mo en trois parties.

XVif.SM.

H!<.i\STii''S (ACTES' Leur succes-

sinn.n,).--(AGENTi!). Leur uoita dans les

ar'in)!tU!(et les végétaux. XVn.

a!2.

(r't.utcKs). Leur action successive.

)i\:i8().

–iL<(!t;n'm).XV,-4')<).– Leut-ap-

jMritiont'n rapport at'ec le dét'o-

toppt'moutdf's YiOo'iitcsintosti-

t)a)M.U,4.')0.–Artifice. X. VU,

2t!8.

(t'HÈNOMEXH~). Xcsume. )), 't&t.

(Sens). Voy..S~c~ </t~M<t/

tOCKSTtO~X, ) )4 XV, 4M XVH,

34!, 3M. 48S;XVUL2(}8,–LH

sucra passe dans le sang, mais

ne sort cependant par aucune sé-

crétton ou excrétion, t, ))4. In-

fluence sur la sccretion du suc

pancr6at)()UC.U,2M.–G)ohutes

du Mn~f,3H. Absorption de

set pruduits. H, M2. tnnmence

du systcmH nerYCUY. tt, 433, ~99.

Son but ftnat. )), 'i!)t. tn-

nucncedNcototstfiurtesimg.

tIt,)M.–Ga:;duMug.tH,n).

tn<]uoncf! sur t'oxygène. !i!, t )2.

–Sun arrêt par la piqûre entre

ios tubercutesquadri-jumMux. tV,

~ttit. Modification dn t'urine. V),

)3. Arrêtée par la mise &nu des

ractnMrachidiennes.V),)M.–

Variations physiologiques du pou)s

ea rapport avec tcii ibnetions di-

gestivet). VI, 22t. Son inQuenee

sin)f)Kiqu''dufoi<)8?.–Pt'(;-

s!'nrcdt)!.ucrt!dan't)M8erf)si-

(<). ~tjS. -Kncasdomoi't

subit f'.it il ad)) surre dans tous

tes organes.t.'t2~. –Dcsonh'cs

)x'j'v(')tx.),4'M.–Loururinu.), l,

Prcspnccdet'ut'eedatis

rurino.<i:n;VH,29. Chp!!

''n\)'t'.)u\'it'nt-c))<t()utCf)Gsbt)is-

snn'),4i9.8tipur.),'i~r<

Aumpsic. Vit, {?.–Prenant la

fi('vr('.X)V,'i~Leura)i[ncn-

tatint'.X)V,4'?9.ny.(.M'OM/)-

<)n~,Crnt:/tf~S<[)'7'F)M/t'n-

<!«'< <7t'M </<)aAe/u/'t.

!)<A<.N"ST)C.V<n,:)'?3.–t!ti)it<

df')'Ut'inf'.V!S,7.–Rstmn-

))p).\U),)~ t)est)'oi)J<'td(<)a

)n('d('<'i))"t)'()))sf'rv.)tion.X[,'i.')!<.

[)H)'Et~:SHd''s gtobu~'s biaocs.

XV, M).

)ttASTAS)<t! (FERMENT). Voy. ff)'-

M;f7i/<<M'</K<

tHAS'rAS)- Xn',9i'XV!,tG).XV)<OX. Stdimtsion.XVi),

:i.

Ar<)MAH.X)V,M.XVH.40,

M,Uf).

-sAHVAmE.n,)Mt,)(;o;xvft,

?S(!.

VMGMTAm. XIV, 30. XVt), <U,

[,1.

)HASTOt.t!. X\'t)[, 33).

n<TUHS);.Xt,59.–Comot.n'ap:ts

der6a)He!icientiiique.X),53~.

OXA'Qt'E. VH, CO.

t)K'.K)r<'S«!<. Théorie du diabète.

X)V,«8.

mtHtMH~CK'' tX)ttv)t)m;ï<t.)ES,

qui peuvent exister, soit )'<'tat de

!'at)t6,soitd:uts)'etat morbide.X),

990.

D)HERKKf:!AT!0?( t'HYStOLO-

G'~UE. XVI, 35!).

tn(.ES'rt)-(Aj'PAMn.).!) faut distin-

guer deux ordr<i~d'orgtut('s,)et! uns

agissant physiquement ou rnëca-

niqufniont,ies autres chimique-

ment. U, 23. Cette division est

en rapport avec les propriétés

physiques et chimiques des ali-

ments. H, 25. Modincations de

Page 167: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES t'Ë CLAUDE BERKARD. t:.3

Partesanim.-tux. XVtf.MÏ.

Par les animall\. XVII. :1:)'1.DtGESTtO~ UADM) \TS AHH

i!m,\Ott));S.XV)f, 3)7, ;!?<

–)t ALtME~rs mer)K\iS Xiv,

23!);XV[f,3)(!,32(!.33'

tt tHMt:\TS <:RAS XVf!, :)?.

nA)!Mt:~TS SCCMES. XV!)

32C.

ARTtUCtELLE !f, 3S2 Vftt,

m; XVII, M!. –Apres la

mort.X, )8!). tn titro.XV,

49< -Heaumur. X\!i,2<;t.

Sp.)))anxat][. X\)),9f!t'i(.do-

mannctGmchn.XVH, ''(!(!.

LeurGtetLM<aignc. XVII, 2f!{!.

't~LACASEt~fH. VU, 40t XVI!,

2!)7.

-MEt.AFKCH.E.t.).~)

MU LA HBR!~); XVH, 2!)5.

MASTtU~tJK. XV)). 30(!.

ttES GKAtSStS r«::t;TKt:S. Par

)cs))c.p:tncruat[qm'.X)t,:t')'4!)).

–Objections cievecs. V)).;)4'

.tm. Examen {ic ces ot'jeetiofts.

xvn.M'

<KTt;STt?<A).E. U,42i, 4!8, 4M,

4i7;XVU,3i).

ttESOS. XVII, 303.

C"EZ LES fLA~TM. XVU. 3M.

–ttKSttESEnVES. Par les végé-

taux. XV)), 33?. Moment ou ap-

parait le ferment digestif des ma-

tieres sucrées. XV)),{!).

t)H LA SACC)tAKOSË.X!V,24');

XVIf, 339.

SECO~OK. XVII, 3R6.

STOMACALE. X)t. 407 't 420.

Elle n'est qu'une préparation à la

digestion Tentabtede:! aibutninoi-

des. XVII, 303. Voy. SKC</a:<rif/Me.

UU SUCHE. Par la tevûrc. XVU,

3~.i.

DIGHSTtOK DE LA V!A?<nE XV)t,303.

DtMESTtVtt {Acnox). RMistance des

épithéliums. XVt), 30t. Son uni-

\'ersaHtc.XVH,32:<.

(CAVtTÉ). EUe est un appareil ex-

térieur h t'anima). XVU, 343.

Complication croissante de l'ap-

pareil dans la série des êtres vi-

vants.XVH,2~.

sur t'ahsorption d'nxygcne par le

san~,V),85.–Snninnm'nccsurtu

constitutiandci'urinc.V!).!).–Sno

it)f]uen<'e sur )cs phénomènes de la

vif'.Viii.X). Hû)c des actions

rcne<tes.X,38<Janucxccdes

causes moraics.X,38).–fart. des

phRuornenes mécaniques. X, 3SM.

–Lcsphpuomt'ne.s mécaniques sont

dusa desactions réflexes, de même

<)UO tes sécrétions digestives. X,

3.S7. Le*)ncumogMtt'iquf"!SO[)tsonsibtes. X!, )(!5. tn0netu'c de

la morphine. X)t, 2t'28).

KifccstNt'r&tcepari'opiuttt.Xtt,

)<i9. Elle s'accomplit malgré la

suppression du cerveau. XIt, Ï8:

–mtGestftiftinctcdftt nutrition.

XtV,435.Actes physiques et m6-

caniques.X\i9;i;XVn,a<').

Actes chimiques. XV', .i83; XVt),

249. Borelli. XV, -;9; Va-

)isnieri.XV.M.–Keaumur.XV,

~9t;XV)),M;). -Spathtizant.XV,

'i!).'). Leuret et Lassaignc. XV,

't97.–Lessensatioua en rapportavec son tray.iiine sont pas abolies

par la section dupn''umogastriqu<

XV, 553. Modifientious de ia mu-

queu.sc stomac<t!e. XV, 5(!i. L'c-

pithetium se détache. XV, 5M.

La bite est secretae pendant ses in-

tervaiiei!. XV, 5!)8. importance

dot!isGC)'etionbi)4air6.XV.5!)').

C'est une fonction préparatoireà )a nutrition, accessoire quand ou

considère celle-ci dans son essence.

XVtf, 3t). 1. Ilistoire des théories

de la digestion.XVI!M.-Etpc-rience de Stévens. XVn, 'j64.

Proprement dite. XVH,2'

OpÉree dans les pretniO'es voies

di~estives jusqu'à l'intestin grcte.

XV)[, 283. Sa durée. XVII, 305.

Hôte de la bi)e. XVit, 307.

Quatre espèces. XVII, 32(!. Voy.

/(&0't0?t digestive.

DtGESriOK DE t.At,BtJMt~E

XVtt,M6.

DES ALIMENTS. JX, 97. Mo-

ment où apparalt le ferment diges-tif des matières sucrées. XVII, 339. 1

Page 168: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTtQUE ET ANALYTIQUEt54

sance, G))f ne tient pM compte do

la nature des excitants. X,8~.

nOCTtUKK OtS t'MOt'tUMTKS S

VtTAt.t!S XYH. ~0. 4f!8 XVttt.

t.t.

OM.TtUKES MATMR)AHSTt:S

XV),4t.

t'HYhtOLOGtQMES Dans l'anti-

quitû.XVt),402.-t)!tus)e moyen

&gc. XVU, 4tt. Dans les temps

modernes. XVn,'i'Mho()e

contemponuno.X\H, i~S. Leur

~votution aboutit. )a constitution

de la physiologie généralo. XVII,

450.

t't.ATOK!CtE~!<ES. EUes ropous-

!f"")~ science.XVU,40G.

YtTAHSTHS. X\ 4t.

n()SA(:Et)UCt;RAttt' t'f, X3).

RES MKDtCAMËXTSongouorat.

)n,3:ii.[)t':S t'«tSO~<S, on rapport avec to

poids des animaux etin'ecta quan-

tité do sang. 343.

nu SAKH par les poisons. V!, t !H.

))U StJCME dans le t'oie, t, C2.

Dans l'urine. X)V, ))8.–Uan-)

)cMug.X'V, )')!);XV,4M.

Hcfnic!-s pcrfcctionnctnRnt!) do

l'appareil. \Y', 481.

!)OSH.iX,!t8.))cs poison!H),

)u2;X),4i2.- KUuMuteditK-

ronciete.s médicament!; et les poi-

sons.XH,44'

ttOt.!L)EUH produite par injection

de sel marin sous tapf'au.I,?').

–Son iuOucncc sur la sensibilité

r<curre))te.)V.5S.i)onneepar

rc\eitation d'un nerf sensible. IV,

').').–Son influence sur les mou-

vements du coeur. )V, 3.'<;t. Sa

tranemiss'on, ma!gr6 la destruc-

tion des gansions itttervertcbranx.

V, 539. Son influence sur t.'t

temperaturH du sang. Y!, 155.

Elle din'ef8 de la sensibitit~. Xf~

2M!. Sa production. XI, :i45.

Sous l'influence de certaines excita-

tions. Xt, '.iMi. Voy. ~'j c~f)0n duM-

<0«rf~A'f, /M/fi!<!OM (<OM/OKt'CMSC.

COMTE. Dans to t'aisonnemont ex-

perimentai.VtU,8,85.–C'es.tla

DtGt:STUKS (PttopM~rÈs). X\'H,

24'2.

–(SMnKTMKs). )X. ~S; XV,

XV)i.S'!(i.K))t-!4sontdues~dos

actions renfxcs.X,38'

~mt:s). K~citatinn g6n6ra)o pro-

duite pari6thpr.)n,<t't'M-

s)~f'derurÉc.V)!,X~)no-

cuit6du<'nrarc.XVt)<,3M.

tH<;tTAt.H. Sou .u'tion sur !e<tfnHs-

c)f"X),).At't'<)nr!)C.tioti<)u

<'œurtnngtcmpSM'nntdepa)'!t-

hscrit'9 autres muscics.Xt, SU.

–Maas(aM\'M.XU(,'44'

D!GtTAL)~H.)X,)(!X).)&0.

MH.ATATKt.'RS(~ERM). Ycy. N<')'<

<<<~<f~ A'C' t"!SO-t/'7a~

~!<)'S, t'MO-O'i/a~'Cti)'

Bn.ATAn"N t'U)')!LA)RH Xt)),

2a7. Par la beUadono itpr&s sec-

tion do la X" pain'. V. 90.'). Pa)-

Mctionttufitetcf't'vicatda grand

i;yn)pat))i<jue. Y, 53.').

D!LATAT)Or< ttESVAtSSKAtX

!n<1uf.!Mce do la sen'iibttu.o. V, !)~G,

5!)!. produite par )<s uerfs du

!ty9)<'nx'ct')'c))ro-'ipin!<).X, 40!),

–Ui):)t:uion active.X),2.') (!;Xi)),

!M. Co phénomène est actif et

n'est pas le resuttat d'une dixteu-

sion purement passive. X), '?5~.

Quir<'su!K'dc)~M'c<iondUR)'a.nd

sympathique.Xf,'2M–OUatatiouionte des capittairt" XI, ~7?.

Par effets renexes.XHf. ~:t!).

tttxno~. Préhension et contention.

XV,)H.0<MËCTM!CES (FoHCEs). Voy.fo'-CM

(/f)'<cfr;cp~.

UtSC))'H\); EXt'KntMHriTAU:

X\ C. i)e t'cxporimcatation phy-

siotogique. XIV, )M.

MS~ME nucteatro. XVt, 30t.

HtL'MKDQCES YH, )(!3. La ni-

cotine. tt!, 408. ËTipMence do

PoiseuiUo X). 7;

OtVtStOX ce)hi!iuro. XV!, :<()?.

Endogène de la coHutc. XY), 302.

D«CTH)KE. c'est une théorie nuel'on regarde comme immuabia.

YtU, :t85.

DE BKO~'N. X, 80. Son insuff)-

Page 169: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES (EU\'RES DE CLAUDE BERNAHD. <5'i.

base de t'expérimentât ion. VU), 3M.

DOUTKt'ttH.USOt'm~Ut: \V!f).

78.

DOUVES OU tOtE Glyco~t-nc.

xvtt.nc.

BUAUSME.C'est le caractère essen

tietdu système nerveux.au peint

detuephysiotogique.Xt.t~.

–)U;St')BAKHnE.XV)),Mt.

V) ) AL contraitc ta pttysioto~ie.

XV)[,)4<. –Son origine. XVH.

)C(..V()y.Di<a~<'ctft~ï'or("

<<2/~Sj'

Dt.'ALt'tR pfëtonttun <')cs phcnom~-nes chimiques,che7.tt'sanim:iu\et les végétaux. Xt\\ )(?.

–vtTAt.E. xv!, ixu.xvn. )x.Théories dans tes deux règnes.

XVt, t29. En rc~-n'd de la phy-siotogic gen6ra)e. XVi, ) ~0. Unc-

trinoc)'ront''c<)m.)ttrihue)a des-

truction organique aux animaux,

et la synthèse organique aux vé-

gétaux, en tant qu'il s'agitdcs

principes immédiats.X\n, 33.

t)Ut!())S (Jacques) dit Syh'ius. Voy.St//u~us.

DfBO)S-H Ët'MO~'O. Expériences.

fV, 2)~Apparci) pour étudier

)'etcctricitcmuscu)aire.X,3()<

DL'CttH~Kt! (de Coutognc). Ses

expériences sur la fontractititM

muscu)a.i)'e.X!,23!

D~C'.AUX. UcYetoppement des vers

!tsoie.XH),92t).

DU<.C)T);.XVH,M.

DULUr<(. et tH':St'RHTX. Expérien-

ces sur la respiration. XV! 2fM!.

CU.M~S. Mapport sur j;t fnnctio!)

g)y<'ogeniquedufoie. f.~tO.–

Hononce it la physiotngio et se faitchtmiste. IX, t'i~ Antagonisme

chimique, physiquoetmecanique

entre iesanimaux et les végétaux.

XVI, )3u. Discours aux fune-

)-ai)ies de Ci. Bernard. XVUf, ;).

DUunKKtJM. )), 3M XVU, 3)'

De rhommc. U, )85. Du chat.

If,34'Dutapin.n,34~

Modifications des fibres muscutai-

rcs. I), '4M. Glandes do sa tu-

nique. XV, &82.

nURE-MKt!);. son rô)e d'après (.a-

)i<'n.XV,;):

MfKHK des e\p'ric:)Cf's. XV, )73.

t)YNAM)QH;. Voy. A'~<< ~7;anit-

que.CYS)'EPTO~E.XV!t, 30). S5G.

UYS'EK produite par la respira-tion artincietie. XV, t37.

BYTtQt'ES, teur .système nerveux.tV, MM). Mouvement, de rota-tion. tV.)«.

EAU. fnnuence sur la productiondu sucre et de la matière gtvcn-

geno. ), )i8; V!f, .{j8. So-

iubititc des gaz. H', !OS.

Son injection dans ta sang n'aug-mente pas la quantité de la bije.

V). 3: La vesicute du fief s'en

iunhre. V[. 3.'). Sa formation.dans t'hypothcse d'une productiondacida cat'booifjuo par combus-

tion intersthif-nc. VI, ;).). H\-

pcrienco. Vt, ;2. Fournie pn

plus au sang arterie) par la lym-

phe. Vf, 43!). i.4t. tntiitration.'Vf,'i(! tnjection dans le .ang, ;cs

cm-ts. Vf, :!i VU, ~-i. Injectiondans le sang fait passer i'aibumino

dans tes urines et dans la bito.

Vtj, 2)1. Comonant du chloro-

forme et de t'cther eu dissotution.

X((, 5!). Comme milieu pour tes

êtres vivants. X, .if!. Condition

première de toute manifestation

yita)e, élément indispensable a )a

vie. Vm, 20< XVtt, -Anes-

thesic par l'eau chaude. XV, )(!'t.

Odoroformo pour anesthesier )e~

grenouities. X)!, :')<i.–Froide dans

)o traitement du rhumatisme ccro-

br~). XU), -~8. Ëxperiencessurson inHuence dans !a vin )a!ente.

XVf, ';). Son innuence sur )a

vie constante. XVI, Ui. Xous

savons comment e)io se forme, "t

non pourquoi. XVHJ, 56. Voy.~cc<!0n <e«:<.

CttEX LES t'tABETtQUES.Vient-cHa toute des boissons? t,442.

DAKS LES HQftOKS DE L OK-

GAK'SME. VI, 30. ECots de

Page 170: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABËTtQUE ET ANALYTIQUEi:i6

t'injcctiond~t'Mud.tni) te système

vasrutaire.Vt,3'Kxperiences.

V),KAU t)A~S L'onn~XtS~E. Limites

f'tf'nduf'sct~ri'iesqu~ticspoun'a-

rk')'ta quamitc d'eau qui c~itte

dans)'organiM))t',V),).–Son<*t-

('s,sadimiuution,cousefjuencos.

V), a' M.Sa formation. Vt,'i~);Y)t,<M.–tticn ne prouvela formation d'eau dans t'orga-

t)i'<mc.\f,'H.Uncs'cnforme

p.ispar combustion dit'ectp.XVfi,

MS.

-<tEt.AS.~t.!V)'d'o<tprovi('nt-

e)!c?Yt,3M; Vtt, 2~EUe

\'ieat)'!nti<rcn')cnt(.)u sang.V)!,'i.')S.

)tU S.<G. VI, 4(!3. !)es gros-

sosotpoites veines. Vt, <).–

Augmoute par )cs boissons. VI,

~3!).–Scsoî'igtnpapossib!f's.Vt,

i-42.–Variations d.tnsic rapport

fpncxi'itc entre !a proportion d'eau

''tceift'des mat~riau~. soldes. Vf,

'.i.').-Sa()t)antitc.X!),49G.

ntiSSEOmrtt~S. KUe vient

doMnf;.Vt,-t:!9,4!C.

)'t;V)C))Y. H))o rend tous les

liquides animaux aicaiins. VU,Ht).

)E ttHK LH.Liquida pancft~atinuo.V!:!M.

ECCttYMOS)!dan'! !ocfBura]a

suite d'injection dausta carotide.

tV, 5C. !)ans le cœur, après in-

jection du sang vers le cceur. VI,50&. Uano l'oreille, Il )a. suite

de la scctiou des nerf!; do i'ore))te.

VH, 3M.

MCH~NHH n):S (:AX t))USA~G )U,

ni); Vf, 3:)i), <'ti). Par tes pou-mons. uf, 13~ x, sn xn, KM.

L'oxyde de carbone y met obs-

tac)o. Uf, )8;i. Li). respirfttioneatun phenomeHede cette (iaturo;la combustion, non. Ht,22t.

ECttAKCt;s VtTAUX. La gtyeose en

est u.~ ciÉment eMontie!. XVil, 3.').

KC«AUtH:NK~t U):s OMËtH.ES

chez le lapin, par la tfoction do la

moette ôpinitre. JV, 44t.

t;CHAt'm;MEKT DU SAKG. XUf,

ML –«est, jusqu'à un certain

dc~rads température,ta condition

necfs';airedH)amort.XfH,35).–

('.cm'iirnitc, pour tes animaux à.

sang chaud, est dn'i nu $dc{!res'

p)us6)<'y~c que la température

norma)c.X)U,353.

tcmn~t~K.ftf.a'jt.

t nmxo))r:RM);s. XVII, 247.

tRLAMt'S)K.Sucre dans les urines.

I, 435 VII, 138.

tC()msDHMf:n):C)XHdet'ïnde.

n.'i'M.–D<-Montpcnier.X!,42!;

XVtr,t28;XVin,)a-t)'tonic.

XVi!,M5.

–n):At'H)t.OSOPmEi)KLA

NATtmE.Xi.~S].

E<;Ot'LKME.'<iT des liquides dans

des tubes inertes, dans des tubes

ft'f;auiscs, dans )cs vaisseaux d'un

anuna) vivant.),fi).–Hxpcricu-

cc').f,).Kxpcrienccsdf;Poi-

scuiih' 72. Conchisions. III,

S).

ECm-:V!SSt. Effets du curare, de la

strychnine et du sutfo-cyanure de

potassium. 11I, M4. Oycogùnc,

XVn,))0.

KCTOXEHME. XVI, ~)9.

ECT()P)E du ca~tr, observation de

Herinp;. VI, 10(i.

EDt.'C~'XOK. Allures qu'elle fait

acquérir. tX,2)6.

Ht't'HT. Ses relations avec la cause.

IV, 17. Le lien qui le rattache

à la cause n'est pas caractérise

par la succession. XVII, 3!)8. U

est tid à la cause par le phénomène

de réciprocité. XVH,3M.

mCAt.. Kxpcricnccti prouvant

qu'on peut 10 produire part de

)'cnret g6n6rat. XV, 329.

tSFtETS MHRtCAMENTHUX. Voy.~<<d<ean«):<eMj; (efîtits).

TOX)QUES.Voy.'roM?Me.< (effets).

Et'FOKTS. Le foie expulse davan-

tage de sucro dans le sang. t, 936.

ELABOMATtON nutritive. XVf), ) t8,

<35,366.-tntMtina)e.XVH,368.

ELASTtO'tE. XVI, 245. Du

tissu nureu~.tX, H6.–Art6-

Page 171: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. i:i7

ELEMENT CtHMtQt'E. Rnmparu ¡.

!'et<*m<'nt physintogi~ue, leurs dif-

fere)ic<'s.)X,'M.

Ct~THACttL): Voy. CoM<)'ae-

<t/? 'ctcmcnt').

(;LYt:<t~t(H ): Voy. C~co-

~~tt~M" ff'icmcnt).

LVM)')t\T)QU~. Voy. ~.ym~/ta-

tt~tt~ (ctcment!.

MOH)'tt<H.<QUH Le d! roier,

chez les L'trc-i vtYantrS, est. ta. o;t-

tu)c.XV),)tii.MtJSCCLAtKK. Voy. jf!M')''f

(ciemcnt.

Kt'.ttVKt'X. tX, 0. Son an.t-

tomio chez les invertébrés. )V,

5~8. Ses fo)'incs les plus ~im-

pi)'s.!V,MS. Atsucia.tioudf's

mc'mfs)')cmcnt'idmst('sn<'t'>

cr&U[ens(;t()!ins)csnprfs!'achi-

diens.V, Hô)t'dusan~.)\.

)'2T.–(,n)t()ttionsdevit.dit6

dan'.tosan~.tX, 2'Sa t'urine

anatomi'[m;.t\3.–nrautdi-

tinguct')of0t'pseth;scxu'cnihca.

iX,2:C'(;st)mvcri).:tbic

organisme t''icmcntaire.[\. 3!

Ct'ntt'a).]X,:t'Comment il

perd ses propriftos. XU, T!9.

Centra), actinu do t'hydrat. de

ch)or.tt.XH,2.

!\)-:)!.Y<:tX MUTEt;K.tX,M;

X,2!X\H), 2~t. –ncst.

distingue da t')')cm);nt scn.sitif

pat'tecurarf'.tX,)!).–f)c-<t

atteint piu'tucuraroquienseparf

les proprMtes physiotogiques de !a

cc'nt)'actUncmu')Cutah'c.tX,i()t);

XYH),2<8. C.atn;n,X,t.S.-

Wafker.X.TM.-Ch.ti'-nctMa-

gendie,X,3~ r.

~~KVE) X SK~StTtF. )X, )');

X,'j3'XVtn,Ucs.di-

ttugu~dt't'ctcmf'nt moteur parte

curarf. tX, ). La Mrychniu';

est son poison. tX, 2). Il est

respecte par le curare, chez tes

[MatnmLfei'es et chez les hatt'act'*[).s.

!X, !6:. GaUen, X, 2:!8.

1Watkpf, X, 2:!8. Ch. Bett et

Maget)die,X. 2:}'.). Il estattcmt

par les ancsthesiqu~s, XU, H'J.

ricHo. !X, in. Musculaire. tX,

1

H8.

1X, 1 l î :\tuscul2ire.

I!i,Et.ASTtQUE (TMStj). IX. t)8.

ELECTmOTK. Cnmmo e~citMt <)p-

p)Muu au\ nerfs. !V,)')2.tn

nucncosurtesoorf'! moteurs, t~.

H2.)(i'X,M!). -A courant

constant et continu. )V,)49.

Son action sur les nerf'! mo«'ut-s

suivant son intensité, le sens dn

courant, etc. ËtnerioncosdH Lon-

gel, de M&ttRUCf'i, do Housscau.

)V,)C:n()-)8't.t'tperit'nccs

doC).)}ertMrd,diYer'n"ncri()(tf's.

tV.)85.Eftcdin'er('<!o)apro-

pri6t6nerYeusHmott'icc.tV,3'S.

tunuencesur la salive. VU, 'i.i.

–Soninnucncesuriesucp~n-

cre~tiquc. Vn, 25t. Pour coa-

gu)R)')e pancréas. \'tf, 2.X. tn-

fluence sur la vie. X, ~i. Son

action sur les musctes. X, )M; Xt.

8&. C)assif]fa<ion de ses cn'ts

d'après )t)<i diOcrences d'intensité

des courants. X,S8i.–Son ac-

tion sur les nerfs sensitifs. X, ?3.

–Dccontact.XV,40;).Voy.(.tf-

rntih c7ec~'t'?i<M, t'.Ee~tttt/Xc <<

<)'/f/Me, Ej'c;ff.t)t~ e/<'c~'<f/Mf~, t'.f'

C!'<ft<t'~ e~c~'t~uc, /t't<an< <~M-

<)«'a~!0't<'i'fC<t'~<«'.

A~tM-~LH. X, 20: \'oy.))!

maux ~~ch't'</Me' Pot'sïonifC /cc~'<-

o's'.

MUSCULAtRE. X, '!02. A t'('~t

do repos. X, 20.'). La surface

est électrisée positivement et le

MnU~n~emM~X,M~

Appareil de Dubois-tteymoud pour

retudicr.X,2t)6.

~)!ttV)tUS[;. X, 2~.

Et-ECTtUQUrS (At'pAMtLs). Voy

~;)a)'ft'/i. e<<'c<)'«'.s', (.'Ait~tc c~f.

<)'t;e, ~~M, ï'~t'rnto- ~~et.'<

)/!«'

~PHÈKOMÈ~Es) comparet aux phe

nomènes nerveux.t\2t0.

E'.ECTmSATtttK de l'oreille aprè:

section du sympitti~quc. Y, A!2

ELECTROTOKtQt't; (ÉTAT). VoyE<a< ~~e<)'o~onf<p.

KLECTROTOXtSME. X, 289.

Page 172: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE<S8

t:t t;MKK T t'nVStOMCtQM); Com-

para !trc)emcnt chimique,

tcursdiffcreotes.iX.).).

)'t.ASMAT<~t'K. Voy. Ma.tHia-

~f/<' (ctcnK'nt).

t'LASTt~UK Voy. Plastique (t')c-

mf'at').

)~);ME~iTS ANATOMtQt't;S, tHS-

)OLOm~t<:S, <))t<!A~)Qt')ES,

)~: IX, M, !)3, )); X, )9,G);

\))f.5; XV, 3!M; XV)), <<;

XV))), )!),(!).–Leurinnuf'nce

propre dans )('!ij)!'oprMtC!! des

principes intm~di~ts désires, vi-

vants.))!,43.Leur rigidité Mda-

v~ri<)uc,)X,2')i'!nopOt)-

vent jamais tiostipptccr physio-

to~iqncmpnttasunstcsautt'ei).

)X,().–Le fait mcrno dateur

viuuscett'icie le milieu inté-

rieur organique. fX, 43.– In-

Oucnt'c de impression du sang.

JX. 47. fi est CtnittOfnmcut des-

tructib)o et périssable. IX, 9:

Leur nutrition. IX, !)4. <<'st en

<'u\ que s<'p:)ssc).'t nutrition. IX,

!)8. Leur d(~<'t)('rcs<'(.nc<' uttcur

)nort.tX,)0);X),)t);XH,)38.

-LcurrcdintCKration.fX.tO).–

Leur rc~cn~r.'tt.ion. IX, )0t. CH

sont dus organismes 6)t''Mntaircs.

tX, 10:).–Actifs et passifs. tX,

115. La physiologie g~ncratf' est

l'étude de leurs propri<:tes, df

tcurs manifestations isoiccs et dos

manifestations comp)o\M ()ui nais-

scntdetcurarranj;om:'ntcnor-

ffanisme!. plus o" n'oiu'. tit'ves.

IX, )3C; X\')J, 4. Leur dine-

renciation est le grand principe<)cperf(;ctionnMncnt organique.

iX,nC. Il y en a pour qui

t'oxy~&no est inutile on m(';mo (M-

te).<;re. )X, )8' Lf sang srt6-

rie)scrta)cur respiration, et)e

sang veineux à leur alimentation.

IX, )88. Leur formation évolu-

tive n'est pas une génération spon-

tanec.)X,2t'C'est sur eux

<]u'i)<autaKH'.)X,2G.– C'est

en eux que résident la vie et les

prop)'iGtf':svita)cs.X,2:i29;X!,

4:!?;XV,')4,303.is))'entrent

en action que.tous )'innu"ncodea

!ci!stinns parties <!u milieu qui

tes entoure. X.24.–L'action dos

irritants se produit sur eux. X,

M.–fts sont invariables dans

t'essence de tours propriétés, dans

endroit du corps qu'ilssoient p)aces;i'intensite do ces

propriétés peut sente varier pour tetueme ciment. X, !)5. –C'est sur

eux que les médicaments et les

poisons agissent. XI, 83, 8' 49C;

XtL 382. Ils ont des propriétés

différentes.X!.8i. -Modinesp~r

tes ngents. XI, 84. Les poisons

sa ~tissent jusque eux, et agissentsur eux. XI, )'), 432 XV, :<;)().

Ils doivent avoir des propriétés

identiques par leur nature dans

toute la Mricanimate. XI, 292,526.C'est en eux que résident tes

causes des mafadips et qu'il faut

cho'chct'tc'! lésions organiques qui

6unt)!t('!tuMdc)amort.X),4M,

ftT!. ('est en eux que se trouva

)'Mp)ication dos phénomènes do la

vie. XI, 493, &()' 5:!2. L'expéri-

mentation physio)ogique rechc)'-

rhe leurs propriétés. XI, .')08.

t)s sont doues de propriétés

physiologiques. Xt), 383. Leur

vie dans )e mUicu intérieur. XiH,

(i.–LeUt'rote dans la chaleur.

XIII, )3ï. Sur lequel po-te

l'action toxique de la chaleur ex-

térieure. XHL 36). Leur auto-

nontM. XV, in'f. Les poisons

portent jusque eux )'ana)yse expo')'iment<))o. XV, 88. Leur sotida-

<-i)e.XV,90.–Leursfouctions. XV,

!?. La circutation s'exerce pourtous tes ctements. XV, 290. Ils

reçoivent par les capittaires l'ac-

tion des agents toxiques. XV, 350.

Classés par Mayer. XVL 184.

Leur anesthésie successive. XVL

3M. Au point de vue de la res-

piration. XVtf, ~7. Le physio-

logiste les modifie, au moyen de la

nutrition, our agir sur les orga-

Page 173: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVUES DE CLAUDE BERNARD. )S99

ni<imt'syiva!)ts.XVn!,tM.–La

!!('nsibititepstnnede)curspru-

pri6<esfondamonta)cs.XV))!,2TJ.

--Mâture )curind6pendanco,i)s

n'ont d'etTat physiotogiquc quf

par l'ensemble de leurs rapports.

XVIII, 9M. Voy. Ot~an~Mf-jf

".f'H~.t<'M, /i<n'<tf)OM des élé-

ni<'Mh.

Kt KMEKTS t)U CORFS nfMAtX

X.M.Kt'tTHKHAL'X. Voy. fp!t<

~aMJ; (c)ements).

GLANfUJLAtMKS. Voy. C~a;M-

/ftt')'M (ctement.s).

HiSTOUX~QUKS.Voy ~e

)?ie;<h an'~owiçt~s.

<HU.A?()QtJ)';S. Voy. jb'/cmcfits

f~t <<0')i!t<'S.

ttVAtHOUES.Voy.OMr~Mff (c!c-

tnents).

--KKSCtKA.TOtRES. Voy. ~M~tra-.

~off (ct~montsj.

~U SAKf.. IX, 40. tnn'mnc.e

<)):' la chatcur cxtcheure [n sans

dfvtenttrssMp'dement veineux.

x)n. :n2.

OKS TtSSUS. Voy. &<'MM)<s ana-

~Mc'

.t;t.unXA'rtOX, ses voies c!f<

tives.It[,46;Vt,i~ Est!c

meilleur contre-poison. )tt, t02.

Theorips tnedicates fondées sur

ce fait. VII, 2)0. Modinée par

la quantité des substances. VH,2.8.

DU FER dans le sang. VI, ~6, 448.

–t'AULHFUtE des substances.

m, co.

n);S GAZ. !tf, t6t.

t'AR LES CLAKt~S. VI, «(!,

iM.

nE)L'<ODE.),3i[

t'AR LOttGA~tSME de l'excès

de chateur. XIII, 450.

DE L'OXYDE HE CARBONE. )tt,

tM,t6t.MES POISONS. Ut, t02; XI, 442,

452. Elle se fait habitueUemest

par les poumons. XI, 'M. Si

elle balance t'absorption, le poi-

son n'agit pas. Xi!, 85.

EUMtPtATtOX t'AR tK t'OUMO~fdes poisons };a/.eu\intrnduits dans

)'app!t!'eiidi~esti'on dansh* sys-tème Yf'ineu\ gênera). ))),)'

!pérte!tc<'s.tt! -))ethy-

dro;;)''nesn)fnre.m,)8. ))essub-

stancesvo).iti)es.)j).58;V!t,<0.

t'Ut'K<~CH'EMOR);H)t:n.

-(k'moyend'actioncstce)ui()ui

est te plus notre portée. \),)n.

–t'AXt.HRKt.Y. V).ï6t.

PAU LES SAUVAS de certaines

sut)sHncfs.H,'jt!;V)j,tr)8.

ttt:S SKLS DU SAKG VI, 4i(!.

t'ES SUHSTA~<<:t:S MÉKtCA

MENTEUSES. XU, 2:)i.

))t;S SUBSTA~Ct.S SOU'BLES

introduites dans le sang. 1\, 88.

MES SUBSTANCES TUX~UES

XU.-M;.

t)U SUCRE se fait seulement par

qu(i)qucs)iquidcs.),X(J~.

–ME L'UREE. VU, :!<

Et.t~ATmNd<<a)iments.XVn,SO.

E).tX)R de iongue vie. XI, ''i(n.

EMBAUMEMENT avec le chloral.

Xtf, !}t:

EMBOtTEMEKT des germes. XVt,

311.

EMBOHES. VI, 4<!C.

EMBKYUCÈ~'E (CRU.Ct.E;. Voy. Cel-

ht/f eM~r'/o~pnc.

KMBKYOGEXtE. XVt, 3)A.

EM)mYO(;E?<tQUE !PÈMO[)E). XVf,

3)3, :U6.

(TYPE). Voy. Type fi6ryo~<<-

t!)~Uf.

EMBny'OLOGtK fondée par C. F.

Wo)tT.XVt,:it'

EMBHYUX. IX, JM. Ses tissus

ne donnent p!<'i tous du sucre. I,

3!M. Son système nerveux a ses

analogues dans les types anato-

miques des invertébrés. IV, 5tt.

Indépendance des mouve-

ments musculaires. X, )5~. II

sur~'it.~iamcrcempoisonnceparle curare. XI, 138. hinuence de

[la chaleur extérieure. Xi)!, 402.

L Apparitiou de l'appareil circu-

latoire. XV, 305. Son indé-

pendance. XVII, a!). Gtycogone

Page 174: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAfiLE ALPfrABËHQUE ET ANALYTIQUE~0

dite. III, 103. Des poissons dant

tes cours d'eau. Ut, 295. Com-

paraison dos ditt'rs ompoisonue-

mct)ts.nf,:t3'3;).38.fn-

iluf'ncodsiatjuantitudusang.

Ut,)2,3:)5.–Mécanisme desdi-

vers empoisonnements. It),3()3.

–Par transfusion. Vff, 459.–

Locaiiscs.teurutititcdanst'aua-

lyso physiologique. VtU, 182.

)tû)c dos veines. XI, 92. Liga-

ture des veines. X], M. Hutc

dfM artcrot. Xl, M. L'abseoco

de tout changement physique

appnMutdanstc'iorganess'observc

chez fcssujcM empoisonnas,com:f!8

chez ceux qui succombent &det

afroctioas maladives. XI, HC.

AttëMtions microscopiques du sys-tème neryoux. X), ')M. Us se

ram<'nnnt&ut)d6ternu<)ism<'con)-

p)<ixe..XVtn,t2. Voy. /f~<'?)ie,

Caft~n~/Mp (acide), Cto-arc,

<o.c/e"~OM, A'teo<t~p, 0.<<; de

caf&Kc, ~OMO".

KMULStt' (FMKMENT). Voy. fo'tKCMt

~MM/.«/

HM~LS'KE.Hf.!)7;Xm,33);XV).

t(i:i; XVII, 35~). Heagi-isant ayf-c

t'a.mygdaiinodansiefiang.jtt,!)'

VI, 4M' Formation du sucre.

VU, 4M. [njectiou dans les vei-

nes. )X, )S5. Son action sur

t'amygdatine. Xl, 74. tnjectMs

séparément dans le sang ou prises

séparément paria bouche, elles

ne produisent aucun effet nuifiibto.

X!).–tnjecteoit ou absorbées si-

mu)tancmsnt,e!)es donnent ).t

mort.X!, Sous son influence

l'amygdaline fournit do )ag;)yco'.e.

XY'tf.f'M.

HMCLStU~. XVtt, 3)4,49;).–Sa ra-

piditc.XY)t,3iC.

ttES MAHEKES GRASSES. XV,

M3.

EMULStVE (MATtÈnt;). Voy. ~f!<;t're

eHiK~tt'e.

t!NCEt'HAt.R. )i est )c point de dé-

part dos déterminations volontai-

res.IV, 34).–Mots de la bles-

sure de diverses parties da cet

d:mssetMuexM.XV)!,GO.Voy.

C/co<jfe"<<

EMB)tY< t"S MAMMtFEKES.

(;)ycngeuoso.X.V)),t.

tu: t/tUSEAU. Giyeogonesc.

XV)),555.nu t'UULET. Oycogcne. XV!

9.

EMBKY«r<~AtKES(FEtJtL).ETs).Voy.

f't<t'< cni&<OM)!Ot'<'i!.

KMnKYOt'USMAUQt ES (C.H.H!-

LEit).Voy.L<M/f.<fH!&f!/Op/a.!Mn-

<t</MM.

EMË't'tQUH. Injection dans le sang.

V)t. 4t!6.

ENMA<~St.EMnr<fT do r6s<;rt'cs.

XVI, )' i)e mat6riau\ nutri-

tifs. XYH, i'i0.EMOttH~. XV)f), 358.

EM)')'<tuCt.t.XV)f,404.

EJm'ttYSm)Ktraumati<)UO produit

pariatosionpu)n)nnai)'ccoasecu-

tivo~!a section despneumo-gas-

triques. V, 308.

t:Mt')MtS.'HE.Vf)f, )2~; fX,t~);

Xt,3'),4)0,~n,4t<),5Mi; Xh',

8.'<; XV, t:i. A été Forigine df't.

8cit'u('es..V~n,:t:i.–Lame-

dccinoMpCt'imentatos'en aort,

fomma point d'appui nécessaire.

YU),:)~Onestquat'expt!-

riencc inconsciente. VU), 35'

Ha toujours p)'éecd6)a science

expd)'imoata)e.X).4M.–Uaus

t'pxpcrimcnmtion physio)ogiqu<

Xt, 505, 5)4. Dans te traitement

du diabcte. XtV, 85. PÉt'iedo

nécessaire da i'6vo)ution do ta me-

dMine. XV))), (!). Voy. ~po'

me'a.'ioft eM~t-'t~Mt',~/e<~Mu<e

en!/)!rt'y:i<

t;X''K<tHtËMTAtj. Xf, 4S5,

513.MKtXCAL. Xf, 4, 323, 3!)0.KAHO~KL. XtV, ;!7.

SOKKTtPt~U! X!, 398.

EMt'OtS U'AMtHOX. Action de ta

saiivc. Vfi, 253. Pour la culture

du giycogene. X)V, 4(iC.

KMt'OtSO~KKMt~T. X), 18. Va-

riétés des actions toxiques et mc-

dicMMnteusos. !H, 53. Sa rapi-

Page 175: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE CERN.UtD. t6i

LLAUDEBEM<AM),XIX. i

organe. IV, 'i90. Organe distinct

do)amno))HcpiniHreetdesr.'M'i-

nesdesnert'srac'iidiens, quoique 111,

juxtapt.sH. X!,)9i.– Son rôle

prcpon()erant. dans l'anesthésie.

Xtt, H.). Diabcte dans Io~ aûec-

ttor. do )'.X)V,3tj9.–Se:! loca-

lisations. XVtH,3!)'

Ë?ft)f:tUHQLE (MÉTHonE). Voy. ~Me-

t~0<~ M'/f)'n:h/~e.

EKOOSMUMETtUt! avec du sa;)~.

VU,4C2.

ENDOSMOMETRtQUES (ExFÈMEK-

CEs) Avec différents sangs. V)[,M!.

E~t'USMOSE. III, 82; tX, ':0.

Sur ta vivant et'turtemot't. J,

!?!).–Expéi'ieact! do PoiaouiUe.

!f),83.–Explication de l'action

des poisons, m, 8;Avccte

curare et la muqueuse stomaca!e.

H),303.–Exptique l'action des

médicaments. Xf,7.

EKHOSp~RM); du Phaseoius muiti-

ftorus. X\'J, 302.

E~DornEmjM.XVtl,~5.

EKnutTS impermeabins. IX, t83.

Sur la peau, ils tont baisser la

tnmperaturH et aff&tent la gtyco-

génie. I, 206.

EKHKGtE. Sa eonserv~tion. X\I{,

2t.5)f..

E~);MVATtO~. !V, 390.

E~(;MUKntSSEM):xr VITAL. Son

mécanisme. XVI, t03. Produit

par te froid. XV),KM.–produit

par la chaleur. XVI, )0t. Msis-tance des êtres engourdis. XV[,t05. Mécanisme de t'osciitatMa

vitale. XVJ, !09. Création etdestruction organiques. XVI, no.

Passager, il n'exige pas des ma-tériaux de t-csf'rve comme )'cn-

gourdiMement prolongé. XVf, Il 1.

EKGKAt.SSHMENT des animaux

XV)f,2f!,29.

E~HËGtSTREURS (AFp.tRElt.s). Voy.

~~p<j!)'et~e):<.(/M<)'eM;

EKSËtCXEMEN'r théorique ouiNen-

tal, est un contre-sens pour l'essciences expérimentales. XVI, 38 i.

Scientifique. XVIH, 95. Du

Collége do France. Vnv.Co//t:~<;(~fficc.

!!?.Tt!Smornidc'Xf,;YM:XVHI

~<o'j)o::iqup-,XV,)8.

K~TOttt:KM[.Vf.:i!9.

E~TOZOAtKES. OycoKf'nc \V[rHt..

ENTRAVES ou E~fTRA~O~S XVti~ii.j.

EM'UMXOtSEM~T des mouvo-

m.;nts.jV,,88.i!M.

E~t'Ct.EAT)t)\ des glandes ne te-

nantp)usf]uopa)'r.n-t~)~[t3Ut.

P,

EKtJCLHnLAtKE fËTAT). Voy, ~~<e'<f~o/a!rf.

EKYËLOrpEdfs nerfs. IV, ]9t.

MuscuiairR. \'oy..MMi.'ct~a~v.

Vitei)ino.XVf.:i)i.

Ët'AKCHMME~TS so-oux, innuencodu grand sympathifjua.V,5;j'

Sanguins dans )'<)rci)ie par lasection de tous les nerfs VII,3M.

Et'tBLASTE. XVt, 3):), 320.

Et'tCUX)!. XVII, 40.

Et'H)t.:BMtQUK (MÉTHODE). Voy.~io./p ~if/ct-m/~c.

Et'tCit~ESH. XVI, .!):);(!, .')-

KPtL);PS)E. Mouvements ëpiiept.i-formes consécutifs 't certaines lé-sions de la moe)JR. IV. tS9. Hys-tcritbrme, produite at-titicienctuent

par section d'uae partie de lamopUe cpinicre. IV, 490. Pro-ductiou artificielle d'accès XI,2-M;.

Ét'rt-OHUAt.RfCELMLE). Voy. Cel-~<'<? 'M<Ac~ Hf'f.

(SÉCRËTiox~ du jabot du picf-onVH,H.

Ët'<Tt)Et.!AUX (ELÉMEXTs). IX, 68,84.

(REVÊTEMENTS). Voy. ~UP~M~?!~

f'pt</te<i<[u.c (/es ntit~MemM

(TtsSL's). XV)II, 267.

Et'tTMELtUM. IX, 70; X, 35, 111XVII, 75. Son rô!e relativementà l'absorption du curare dans l'es-

tomac. Ill, 302. Expériences.

111, 302. Se détache pendantla digestion. XV, 564. G)yco-

Page 176: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHADËTÏQUE ET ÀNALYT!OUE162

gène. XVH, 96.–Sa résistance

ai'action <Ugcstiye.XVH.3M.

Et'tTttEmM t~TESTtXAL II,

4M.

t~L JABOT des pigeons en lac-

tation.V)!,2.9.–Ana.(yso.VU,

2i0.

VtttRATtLË dans les poumons.

U!,6).

EftXOOTtESdes b&tes écornes.

YU), MO.

Et'U!St.Mt~T dans Ics~n'ispctions

desracincsMchidionues. tV, !'8, M.

E~tJA'tOr< des fonctions nutritives.

IX, 92.

EQU'HtittATtON alimentaire, éta-

biie par ie foie. t, !a5.

EQUtt.tmU! entre !'orgat)istne et

iGmitieuo&i! se trouve p!ac6.J,

1M.

HH t.A Tt:Mt't!KATtJRE en un

point donné, ses causes. XUt,

128. Hôte du poumon. Xtit,

tOO.

KQt'tVALEST endosmntiquc du

sucre, augmenta par injection de

sel marin sous la peau. I, 22!).

Mécanique da la choeur. XiH,

398.

EHAStSTHATE. A )9 premier ou-

vert un corpshumMn. X)!, 3; XV,

297. Hegftrde les artères comme

dos canaux aériens. XV, Si.

EttEMACAUstË XVt, n5.

ER!HP«!S.XV,)84,t89.

EHtU-UKS. t, 2~9.

EMmttTtO~ mal comprise est un

obstactoat'a.vancementde~Mien-

ccs.Vtff.MS.

EmJt'TtVt-.S (FtÈVMs). Voy. ft~?'M

e't'Mpftt)M.

ESCLAVKS. Ils servaient dans ran-

tiquitô a faire des expériences. XI,

5~6.

ESMARCM. Bande Mastique. X!

2'!3.

ESt'ACE. Impossibilité de la défi-

nir. XVI, 23.

ESPÈCES. !X, 110. Influence sur

l'oxygène. Ht, tt. On pourra

en pro<h'e de nouvelles. IX, 113.

AKtMALËS ou VEMETALES

Elles ont leur point do départ dans

j'œuf. XVI, 309.

ES)'):C);S cm.t,ULA!RES Leurva-

riabiiite.XVt,S.'<5.

!;S!'RtT i!Xt'KmM)~TAt. IV, ?7.

nUMA! Son cvoJution, trcif!

périodes. XVIII, 79, Voy, Sct'cMces

de /'M;)' !<.

tf:x<t AKR!E!t. XV! i53.

MEtttCAL. Ses itiusions sont un

obstacle au développement de ta

médecine Gxp6t'intenta)c.VHf) 35(.

Actuel. XI, 409.

t'mn)s<n'mocK. xv!t!, s~

Utile t'expÉrimontatcu! VIII,

S8t.

M!CTMJM. XVH, -iM XYMI,

tG3.

–nECTËt'n ''tnHRAf..XVUI, n2.

D); St STÈMK. XI, ~82.

KSt'UtTS A~tMAt,'X. IV, 3; XVI,

246 XV)!, ~)3. Théorie ruinée

par Haller et Bicbat. XII, 9.

–VtTAtJX.XVtt,-it4.

MSSKKCt: t)H TtMEBEKTntKE

Son'passage dans les urines. VII,

~8. Son odeur no passe pasdans t'urine, chM les a)bumiuun-

quM.VH,2)3.–ËUmin6ep!n'tt

bile. Vtt, 2t3. Voy. !'<)-<&e)~/«)t<

ESSO~t'H'.MHNT après i'abhtion

des doux spinaux. V, 30G.

HSTOMAC. ti, -407. Passage du

sucre chez les diabétiques. 308.

Hypertrophie des membranes

dans le diabète. 422. Pour-

quoi ses parois ne sont pas digé-

rées par le suc gastrique. If, 407.

Son influence sur les substances

rendues toxiques par des change-

ments de composition..Ut, 66.

Il n'absorbe pas le curare. Ut, M3.

Absorption du curare, rôle des

6ptthé)iums. III, 302. Vaporisa-tion de l'éther, produisant la rup-

turo de l'organe lorsqu'il est en

trop grande quantité. III, 4t6.

Une. sensation partie de i'eatomac

pent-ettc déterminer les sécrétions

Mih'.tires.V,]60.–Hypothèse

d'une communication directe avec

le rein. VII, 15. Ingestion d'al-

Page 177: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE HURXAKD. 163

~Tt)t;R. fH. 4)3.nje'n dans

théine porte.),MS,3M;)H.437.

–HUe fait apparaltro le sucre dans

tes urines, t,23S, 353.–Son in-

fluence sur ta sécrétion du suc

paf)crcatique.n.2(;t!,4)').–

Comme contre-poison de l'acide

prussiquo. 111, 3~Son action

locale ou excitante.!H,4t4;XVt!t,

29.'). Son action sur les sécré-

tions. Ht, 415. Sa vaporisation

dans l'estomac produisant la rup-

ture de t'org:t!ictu:'sf)u'itest en

trop grande quantité. Ht, 4)<i. Il

produit une excitation générale des

voies di~estives. t)!, 417. Surac-

tivité de la circulation et de l'ab-

sorption.417. Production

sinputicre de vaisseaux chytifères

btancs, e\ptication de ces phéno-

menes. tn. 4t' Son action sur

le chyte. tt), 4n. Sur tes chyli-

teres. Ht,4t9.–Nécessite de la

graisse et du suc pancréatique pour

qu'ils se produisent. iU, 419.

Krrpur des opinions contraires. IH,

~g0. Son action sur la formation

du chyle, III, 421. Seseffets

aneathesiques. Ht, 42;t. Son ac-

tion sur l'absorption. !U, 423. Sur

les mouvements vibratiles. t!t, 4'!5.

Son itiOuence sur les sécrétions

intestinales, exp. do Cf. Bernard.

III, 426; VHt. 3tt. Son action

sur les sécrétions intestinàtos

comparée à celle de l'alcool. III,

~~(;. Ingestion d'éther conte-

nant de la graisse ou dissolution,

pour prouver que les vaisseaux

chylifères n'existent quo chez les

mammifères. Ht, 429. Son ac-

tion sur tes sécrétions internes, et

particulièrementsur la sécrétion

sucrôt'du foie, comparée à l'action

det'atcoot.nf,-t3a,4M.–Mëca-

nisme de cette exagération sécré-

toire. H!, 437. -Son action sur le

foie. III, 437. Sou action directe

sur les nerfs et les racines. IV, 90.

Etude de ta sensibilité récurren-

te.IV, ?', 103.-Son influence sur

l'apparitioudes chytifères. Vit,

bumine. Vf), ~f:Absorption )

après iatigatsre du pyiore et sec-

tion des vagues. Vit, 2.')' Le

prussiate n'y fait pas de bleu de

Prusse. Vft. 374.– Importance des

expériences. XV, f'M.–La por-

tion pyloriqueconcourt seule à la

sécrétion du suc gastrique. XY,

56;). Effets produits par la gal-

vanisation des pneumogastriques

et du grand sympathique. XV, 57:

Des ruminants. XVII, M4.

Il est défini parie caractère acide

de sa sécrétion, et non par sa

forme, sa situat.ion, sa structuro,

ou ses rapports. XVII, 2M. Ce

n'est pas en lui que s'exerce l'ac-

tion du médicament. XV))), 18.

Les atimcnts agissentsur tui sans

que nous en ayonsconscience.

XVIII, 221. Membrane mu-

queuse pendant la digestionet à

jeun. XVIII, 378. Voy. ~ty<OM

~oMtaea~, ~K?«eM<' s~rMacft;e.

ETAT CAD~Y'EM'CUE

MVXAM'~UE. IX, )7M.

):n;CTH"-TU~'0~ récipro-

que des nerfs. XI,30:

E.\UCLHOLA'HK. XVI, 200.

-FKttKtLE.Xt,347.

–t'0!:TAL. XVtf.58.– Des verté-

brcs !t sMgfroid. XYH, t03.

anmcntH. Détruit la giycogene.

tSS. Symptômos généraux. XI,

90. Sa généralisation. XI, 9t.

En rapport avec l'activité des vais-

seaux et des nerfs. XI, 91. Com-

paré l'état physiologique. XI,

22t. c'est une perturbatiou de

l'état physiologique.Xf,M8.

t'AT"0'G'QHE. H n'est qu'uue

modification de l'état normat. XI,

,;3j). Son étude doit se faire

simultanément avec celle de t'ëtat

physiologique. Xtf, 3M. Son

innuence sur la présence du sucre

dans le sang. XIV, 211.

ynvstOLOG!QrE.Soa étude doit

se faire simultanément avec celle

do l'état pathotogtqHe. XII, 326.

–STAT'O~

–YI)-AL.XtV,3Gt.

Page 178: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUEi64

4M.–tnjcctiontdanstesan~.

'VU.4M.-Son action démontre

rafnnitûciecnva.X).7'Riimi-

nation par le poumon. XI, 7S.

Comme anoathesiqno.XH, «);

XVjn.43'tnhaiatiott de va-

peurs. X)).!)8.–htjcction sous-

cutM~e.Xt!.M:XV,Mi.–8on

influence sur la forma.tion du g)y-

cogène. XtV, M!). Comme

moyen contcntif.XV, t57.Voy.

h)./<'<'f!Md'<A<*t'.

ETHERtSATtOK. XU, A3. Pro-

duit Je diabète.I,3aC.–Sonin-

nuence sur la sensibilité t'ticur-

rente. !V. 90 & f03. Du lapin.

XV,)62.–Duchat.XV,)(!2.ETHKS. Rapports f~Ut Mtstent entre

eux par leur nutrttion, c)iMun

pour soi.t,iM.

AMtBO)iD':S. XYt, 207.

ESGOUMDtS. Voy. /<<!t'!<MC<

tf<~EK!EUKS. !)s ne sont.pas né-

cessairement les plus simples, aust-

tomlquement et physiotogi~ue-

meut. IX, 10.

MOKOCE)LH!LAntES. XVH, m.

fMOT<H't.ASMtQU):S X\'t. )8!).

VtVAiSTS. Us sont p6rit4Mb(osou

mortels. )X, !)).–Statique chi-

mique. !X, 92. I.eur Cyotution.

IX, t25, 228; XI, 47. Leur de-

gré d'orgaaiMtiM) histoiogiquo

n'est pas toujours reprësento par

les classifications zoologiquos. iX,

153. Mitiaux qui les entourent.

X,3'L'eau comtne milieu. X,

A6. !b renferment trois ordres do

matières 1" MfH~res mu)6rates

9* MaUcros organiques mais non

orgM)isÉns S" Éléments organi

ques. X, 61. Parties similaires

et diMunHMt'es. X, 99. Leur per-fection organique est proportiou-

netia à la différenciation plus ou

moins grande des parties. X, t0().

Ils offrent trois ordres de phé-nomènes )° Physiques 2" Chimi-

ques 3° Vitaux. X, H3. Mouve-

ment. X, t22. Ce sont des méca-

nismes. X[)), 5. Ils peuvent

faire du froid et du chaud sur place

&aido de teursyitcmR nerveux.

X!fL32<fnnuenGedo)acha-

leur extérieure. XUL 335. Com-

ptexito des phcoomcnH" qu'ils pré-

sentent à étudier. XV, 3' LfUM

divisions. XVI, 131. Coiteson.

XVI, 131. Linné, XVI, )32.

Lamarck. XVI, t32. Btainvijto.

XVL )M. Leur création morpho-

logique, XVt, t8t.–Leur constitu-

tion anatomique. XVI, tii!. La

ceUuto est leur dornier élément

morphologique. XVt, ).S4. Ils

Mnt MrMtcrisés par la forme. XV!,

292. H faut distinguer la nMtifro

de la forme. XVI, 2M. 3.(.'est

un nrotoptMrnit façouaC. XVf, 203.

Leur morphologie est distincto

de leur constitution chimique.

XVt, ao-4, 297. Leur nMMnxf.e.

XVI, 383. Leurs caractères les

plus généraux et les plus constants

sont la génération et ta nutrition.

XV!. 3~ XVIII, )8~, 1M.

Comparfs aux corps bruts. XVIII,

38. Ils ne manifestent leurs

fonctions que par t'e\ercice simul-

tané de la combustion vitale et do

la synthèse organique. XVU), )!)'?.

Voy. PAeMon.~x'! des élres t't-

vants.

ÉTUVE pour !'etudo du mécanisme

delamortparla chaleur. XUL 363.

EUCAt.YKE. XVII, 3t.

E'LCA~Yt'TOSR. XVH, 2'!9.

EUGLENA VtKtms. VI, 209.

ËUt'HOhBfA cotinifoha. tU, 245.

EVACUATiO~S. Critiques, elles

peuvent être assimilées à t'elimi-

nation det corps etrMget's.tt, 69.

EVAt'OKATtOK CUTANEE. Son

rôle. XIII, 3t0.

EfonjTtOK-tx, 9t; XVII, ~M.

Matadies se rattachant au dctaut

ou à la perversion de l'évolution

normale. Xf, 52. Est un (tes

caractères de la vie. XVI, 33.

Ë)io se confond avec la nutrition.

XVi, 3M. Elle a pour caractère

la continuité. XVI, ?5. Cette loi

s'appliquo son seulement à l'indi-

vidu, mais à chacune de ses par-

Page 179: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

UES ŒUVRES DE CLAUDE BER\AfiD. )6S

ties. XVI, 98(!. t'un simptophau-

ctte de t'être ~pparait in'anttoutf

org~nita'ion.XVii!, !M.

EVOLUTtOX tn;S AUME~TS

XVf(,3G~–Ucsatim<'atsgt-a'.

danst'organisme.XVff.Kt.

CM)M(QUEXVU.90.

COSTOCKNÉE X\'f, 3M.

Bt;S t)OCTmSES t'HYStOtO

GtQt'ES. E))<) aboutit à ta cnnsti-

tutiondetaphY~ioJOKieguuerate.

XVt!, 450.

OE f/t:S<'ntT HtJMAtX tMis

périodes. XVIII, ';9.

ME L ):TKt: ViVAKT IX, t2:

928;xr,4t.

HLYCOCtS~tQUE. XVJ.2M: XVU,

8"Kmt)ryonn)nre.X!V,4M.

t~K LA. MËOEOKE scientHique.

Xf.MO.

M')KB)!nE. Elle n'est souvent au

tbudfju'ut) empoisonnement. XI,

-i:!f.

–C!t(,A?f)OUt'XVUt,207.

–t)K L'OVCLU. XVUt, 2)0.

IH:S PttEKOMK~ES V!TAUX

!X.)3'?.UK LA FnYS)OLt~.tE. XVI, 5.

DES f LAQUES AMXtOTtQUES

XVi!, 66.

rHAYO~MEE.XV). 3M.t)ES SOE~CES. tX. 131, 22t

X!.404;XV!:I,1M.

MU SUCRE dans t'oi'gaaismc.

X\i!,4t.

–SI.'METmQUE DouMc.XVt, 326,

3M. Simple. XVt, 328.

EVOLUTiVË (FottCE). Voy. ForM

~!0<t<<tM.

EXACTtTUME Physico-chimique et

phyMotogifjue.XV.'H!

EXCEP'rKtK. C'est un mot annscien-

ttftqn". VU!, 119. Eu médecine.

Xt,2t9.EXCtTAmUTE. XI, 165. -'fiede-

mann, X, 83. Des animaux sou-

mis à l'action de la morphine. X!t,

t96,?23,2(i3.

ELECTRtQUH des nerfs moteurs

pursoumixtes, critiques nou\e))es.

IV, no. t9t. Expënences. )V,

173. Conditions dans lesquelles

iiest nécessaire de se placer pourconserver au\pht''n0!n6nes)eur

<'arac«'rephysio)o~if)ue.f\18t.

-t)('smusc)es.t'.)4.

HXCt) AtOUTE FOX<:T«)~EL

t~t' P.))f'precf;<e)a m'irt des tis-

sus. !X. 2);.

n): LA MOHLH; Et't~tHttE !V,

24').

t)ES ~fERFS YH, 4.')4, ~57.

!)ans les nerfs moteurs. e))e est

distincte de la coutraftihitite mus-

<'utan'<t!ipreu\R par )e<'nt"n'c.t)!,

XtC. Ses rapports avec i'aftion

nutscutah-e. (V, !?. Son indé-

pcnd.mce et sa distinction prouvées

& t'imte du cm-are. tV, !'?. KUe

est, pendant, un certain temps,

ptna p;rMtd'! d!ms it's nerfs coupes

<iu'& rct:n nnrnu). X!)(i. M'MO.

K)te partx'ipc Ffiattatinn des

pi'oprMtesapMtunescctionc&tn-

p(t''tc. X[, 207.– <<ttc~ugmenta-

ti~ncstun(t''<;p)'pmi<')'sindicc'i

d'unamot-tproch.iittC.X.f,09,)!

<<te augmentatioa se m!initest,e

d'abord dit!)-, )<'tronc principe!,

puis dans les sros'if's branches quip[t entaut-nt, puis enfin d~ns tes

ramifications (Gnninaie'i.Xt, 239.

–Snsdiversdegres.Xf.80.

~EHVECSH morbide. XI, 2t5.

nES T)SSfS YtVAKTS Sns va-

riations chez des animaux d'fspecesdin't'rRntes peuvent se rctrnuLver

chez un seul et mémo individu,sctoa les conditions physiologiquesdans tesqueUesi) est pjace.Xt,

a3S, M2. Ette augmente dans

tou!! les tissus peu de temps avant

la n<or:. Xt. M8. E))<! varie chez

les divers individus d'une même

espèce. Xt, 29t. Et plus en-eot'o chez les animaux d'espèces

(tin'erentcs.Xt,t29.

EXCtTA~TS. XVt, 2~t. Leur in-

~ueacesurIesnerfsnioteurs.tV,

)M. Leur action sur la sensi-

biiitô inconsciente. )V, 320. Le

corps excitant ne cède rien au corpsexcité. X, 84. Sensibitite du sys-

tMnesympathique sousicur action.

Page 180: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE Af.PHAnËTtQUE ET ANALYTtQUEi6<;

X!,3M.–LcH[-ianncnr.GMrh

g)ycogM)eM.XV!),3'!8.

EXCttANTS Et.)C))tt<jrESdes

nerfs. !V,:tO:n;Vt), 268.

L<'ursa<-tions.X),?:!3.

EXTEtHEMKS Leurs cn'ets sont

modifiés par 1"8 lésions du système

nprveux.Xt.SÏ&.

–nu<.nAKn stMt'ADnQt'E Ils

produbent!'c'itension.X),35'

–nEUmnTAnmTE x\), 251.

NERVEUX. XI, :!()).

KtJTKtTtFS. tX, '.)9, '})R.

ft!; LA SKCKKTt<M (iASTM

QUE.XVtt,'Mf.

EXCITANTS (NBKM). Voy. Nerfsexcitants.

EXCITATION. S.t dist'nct'on avec

l'irritation, t, 367. Exomples et

appJiMtioa<i.S68.

GALVANt~~H des nerfs, e))n ar-

rête )o cœur. X\')U, .')-i4.

«U OtANn SYMt'ATOtQtJE

Elle produit dos mouvements dans

les mn'-ftes do ta vie extérieure.

IV, 367.

METAUJQt'R des nf'rfs. tV, 303

!t3f!Duncrfdeta.patte~.ttva-

noscopiq))ede)!t);renoui]!(!.)V,M<.

DES Mt'SCt.ES. Y, ~63.

HES KERFS. V, <63. –Des nerfs

moteurs.)V,tCl.–D'unMrf scn-

si)'lo,n)tedonn(!nncdc'u)euretun

mouvement &soo extrémité. IV,295.

nu SYSTEME CEXEBRO Sf!

NAL. Elle produit des mouvements

internes. !V,6'EXCITATIONS DOULO~ttEUSES

Elles augmentent les pu) sations

ducmur.Xt.M).

E)L':C'tM)Qt.tKS des nerfs. tV,

t44, 303 h ;!n V, 4G:J. Appli-

quée sur les di<Tcr<'ut,s nerfs sym-

p!tthiqueset)'!)chidiens.<V,00-32G. Des muscles. V, 465.

EXTERtEftES. Hcaetion sur le

c(cur.tV,374.

MORALES. E!)cs MM, au pointdo vue physiologique, des ph~no-

mÈnesdesansibi)itf'.X)n,3t3.

MOTK!CES. Elles sont conduites

par la mooUc. tV, 332. t.eur )o-

ca)isation.3a0.

EXCtTATtOKS SKKStTtVKS. EUcssont conduites par la moelle. IV,332.

KXCtUStYtSMt; expérimentai, Il

nofautpasenfaire.Xi,523.

RXCt~E't'm'RS ROMANES). Leur ac-

tion peut être caractérisée par

l'analyse du sang avant et apr&s

)'or~ano.Vn,34,2H.

EXC!H-:)'H)N \'), 4(;2; V)!, < IX,

M, '8~. –omp!co~ tftt.f'rrc-

tionct()istinj2;u!ed<*)ast;cr6tif)n.

I,i'H),6.–EUQne«nt':ut

pas e){c)u'iivementpar un organe.

Y!). 33. H&)e du poumon. tX,

85, !M!e du syttÈmo nerveux.

!X. 8S.

t!Kt'<iAt«E. On y t-ntrouve )at-

bumine injectée dans le tissu cel-

tuhiro, les poumons et les screu-

t.e!)X,t!)?.Voy.(/<'M'.<.o'<.

EXKnCtCE vioh'nt, production de

ia<-)M)cur.X)n,4oO.

MXHAt.ATtO~ n<;S GAX.A<-tiond&

j'oxyde de ou'bone.m,t').

t.\TKST'KA).E. XVH, :)<i2.

n);s Mt:Mn)HA~f:s st;)u:t;S) s

h)f!uencn df ta destruction de cor-

t<')ioes parties du grand sympatih-

<)Ue.V.53ti.

OKS SUMSrAKrt:snAXEt;S):S

Contenues dans le sang pcndaut.son passage dans les poumons. XII,

6t.

!!Xft;CTATt<)~. VU!, S62, 3':2

XI, CO, 6}. 423. Absurde dans

certains ça* rationneUo dans

d'autrcsci)'<'oiMtancc<i.XJ, 6L Yoy.~f!c<.i'?)<' 'c~c <<<<

KxpEmHKCM. VIII, n,'2; XI, ~s;

XVIII, 80 Magendie en est par-

tisac. III, 8. Ct; n'est au tnnd

qu'une observation provoquée. V,

29; VIII. M. Active et passive.

Vni, t5. En acquérir, c'est autre

chose que faire des expériences.

VIII, 20. –EUe provoque ou engen-

dre l'observation. Vtt),212. Elle

est te criterium de la méthode ex-

porimentate. XVIII, '!8. Elle est

Page 181: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVKES DE CLAUDE BERNARD. 167

ia médiatrice entre le savant f'ties

phénomènes qui i t'environnent.

XVIII, 82.–Htte sert de point

d'appui & la physiologie. X\tH, l,

439.

EXt'EMtEKCHS. En faire, c'estautre

chose que (t'acquérir (feFexpe-;

rienco. VU), 20.– Conditions ana-

t.omi<)uesopern<o)res. VUf.&H.

Conditions physico-chimiques

du miiieu intérieur. ViH.ïUG.–

Conditions organiques. V!i),2tl.,

Pourquoi elles n'ont pas rcussi.

Xt,9)9.–Faites dans les m&m')ii,

conditions elles donnent toujours

des résultats identtques. XI, 2)9.

–EUos ne servent, dit-on, arien

expliquer. XI, 'i28. Bien faites,

elles sont soumises & un detemii-

nismo précis et absolu. Xt, 4'!6.

Elles donnent do.'ifaittsurie'

quet'ion doit finaloment raisonner.

XI, MC. t! faut apprendre J'art

d'en faire. XI, Miï. Leurs dif{t-

cuites. XV, G. État d'esprit né-

cessaire pour eu institue;'dehon-~

ncs.XVj.K' i'!9.–D;)ns)eur!

interpretatiou,if fautf'uu'compte

des effets propres aux agents do

contention physiologique. XV, t.')!.

–LMUrdurce.

StJtt LES AXtMAtX <X, ?

Faites sur les diverses espèces

animâtes, utilité qu'on peut en ti-

rer pour la meuMine. V[H, 'ïi-t.

Elles sont permises. XI, 427.'j.

COMt'AKATtVES. VU), 98.3t8;

XtY, 241 XVI), 43. Elles sont

iudispcn.Mbtos pour bien coucturo.

tV,)6.

SUR LES COXnAMXES A

5K)~T.X),54' &M;XV, C'

').

–CO~iTnADtCTO'RES, ma) faites

ou mauvaises, VU), 20i;Xt,32a,

4'!e,M3.5t~,582;XU,9t,atC;

Xttt,:)00;XV.

DE COK'fHÔLE. Leur nécessite.

XV,9.

SUR DES CMMtMELS XVtt,

411.

PAU DESTmJCTtOJf VUI, H

EXt'Enn~CES SUR LES ETRES

VtVA~TS. XI, 468.

–S'MLt«)M'tEXV,73.

–E\MEt)EC)'<EX!,5H.

t'nYStOLOf.tQ~ES. tV, i8.

Précision et fausse preciMou.21,

98.–RL'nc\i!!ns!.ur)!'urdifn<-ut)e.

!): XV.(;Leurs conditions

pa)'tifuii<!rcs.)i,2)t.–Servant de

point (le départ à des ttteorics mc-

dicah'!<.X),4(!t.–LeurutHitû.

X),0;XU),C.

scR t.KS rnrn)StQt;ES, xi,

5t7, MO.

t'A~ ttEOt~TECttATtOrf. XVH,

3i)8.

HA~S H:S SCU:KCËS PHYStCt)-

C)n~tQt;);S XI, 512.

su~ LES sut't'uctES xi.

5-i1.

–t'<tUR VOtR. Vt,5;m,X8.

2~.

KXt'EntMEXTAL)E (MHCEcrNE). Voy.

~f<<'p'nef.r~f!f<<

(PATHOLOCJE). ~'f)y. ~)t't'te;)<«-

<tOM /M</t /"y«j't«', ~'f~/tO~OOtC C.7;-

~!<')'')t)fM<<

~THÈKAfEUTtQ'CE). Voy. Expé, imen-

/ff''o'< </te)'<t~f;t)~!<?, y/to'ap~M-

<cM<<fn:o~a/<

EX)'EtttME~'TAL);s (ScrEtCEs). Voy.S'etc<ej:/<e<nt<*)t(t!<s.

EX) EKt~)):XTATE!.n. iV, )8 Vtt,

~:8;\IH,28.–tidoit.6troth(:o-

riciKn et praticien. \'U!, 8. Dans

le raisonnement expérimental, il ne

se sépare pas de t'observation.Vnt,

39. t) doit douter. fuir les idées

<i\cs. et garder toujours sa tiberto

d'esprit. VIII, C3. Il no créa

rien, dans les sciences des corps

vivants, comme dans celles dos.

corpshruts;UnofMtqu'obeirau~

toisdu!anature.V![[.i45.–L'es-

prit philosophique lui est utile.

\1U, S8' Il ne doit pas faire

deshyp~thtsesirrcati-i.i.btes.tX,

Ut.–tt agit sur les phenome-

aes,iine)Rscrce pas.XViU.74.

Il peut plus qu'il ne sait. XYU!,

'). Voy. J/<ec;?t pj:p!:)';<M*;?!<a-

<e~

Page 182: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

EXt'KK)M)!TArtC?< !F. )9; tV.)

4.):t,'i.(!,i'Vf.)&2'8;!

Y)),3T':Vin.7.3f).:)M;!X,

l:!2:X)],3;XV,x!,2.i,M~

L'induction anatomiqup ne peut

en être sep;u'cf. )),)).–Diffi-

cu)tcs tenant au\ tendances <)e~

t'experimentatenr.tV,)!t~'est

une.ohsertati(!npro\'oqnf''<8;j

Xt,<8.Sf'u)c elle doit juger la

Ya)f'urdo)'i()ccpt'pcon<;uc.tY,)i.~

–S(*spf')'fcc<ionnptnt'n<s.Vt,

""Con<!if}~r.ition$(;xp('t'im<'nta)cs)

commt) ))'au~ÈU'c'i~'h'ants et auxt

corps bruts.))t,)()).–Son but;!

itf"'t)am6modans)'ctud<'de'i)

phénomènes des corps vivants et

dans)'etudcdesj')i)f"!om'c'f"

corps bruts. V)M,)t2.;Xf,t.'i;

M)'K~capourb.tsch'doute.~

\'t)), 3&).– Ktte constitue !a'

basudota. m<modKCxpCt'imen-,

)a!e. Xf,4)().–Raisons pour

tos<jue))cseUon(';t<'proscrite. Xt,~

'i2<Sf-s conditions. XI, 445.'

('est li voie dans laquelle doit

se ttutKf'r ia médecine Ctpt'rimen-

ia!c.X!iC8.–K))c):tit)'emontM-aux causes des phenonH'nes. X!,

&7i-– C'fst avf'c son aide f)u'U

faut<tudier)etphënom<;nesc.))i-'

miques et mécaniques do )'orga-

ttismc. XV, 301. Ro)o de M~-

gendie. XVI, 9. Soute méthode

cn)p)oycr en physiotogie. XVI,

!7. Elle peut 6tM appliquée &

tous les phenomfnes naturels.

XV!tf, 61. Voy. ~7t«~/M M~en-

mentale, ~t''< e~~f!Mfy!<ft/,C'/n<<

<MtM M't t'MMl<< C)'M)?i

e.p~<'<H)pn<a/, Cf)<!)~M' <<f'tMf~-

<<!<?, De~rMMMme e.r~ert'MCH~

Dtsc!p~c e.i<'r<M<'?)<a~< EM~

rti.'we <'rp~'<wen<«/,J?6't< M;p~'t-

mental, B.t"Mt'Ut!me e.)' MMt-

tal, Idée e~~rto~M~a/c, ~~<to</<*

ej-rtMM<a/< P;'a<f<yMC e.ryx'rt-

mentale, /iat:OMneMcft~ c.f/x't't-

mental, Ha<<o?M~Mnf? M~x~'tm~t-

tal, Recherche M~M~M~~

Technique Mp~rt'HMMto~e, ~<')'tfe

cz~<fM<;?t<a/<

EXt')!tUHE'\TAT)ON COMt'ARA-

T<VE.Vfft,2t.

KMt'ttUQUK. 'X, 6; xr, !.)4,Sun t.KS Kïn~s vtVA~is.

Considérations expérimentâtes spc-cia)es. V)U, )()), )50. Son em-

ptui n'est pas empêche par la

t-pontanuite df's corps vivants. VtU

)0t, !!T!. m)c doit porter sur

les animaux vivants d'une organi-

sation c)ott'!C. X, 2!

St.'tt L')t(H)MK. Xt. Mi).

Mt;))tc.tj(.E xr, M? xv, co.

Ses conditions. XI, 'i)9.Voy..Mf'-t/Mi'tf fj:~ )';m<;t)~

PA't'HO),«(;)QUt; des phënomu-ncs tbttctionneii) de j'organisme.

XV, v[. Voy. fa~o/o~'i* c.t~f'r;tMCft~~f.

SUR )ES t'HKKOME~ES !)[;

LA vo;. Rt)e est ia plus difficile et

]a plus complexe. XI, 'i'!H.

PHYS'CnCtHMtQUH comparée

a t'cxpt'rimcntation physiologiquo.

X), :!Ï(!, &(?.

'tYStOL<t<QUE XV, 5. Ses

difficultés. IV, &i. Les poisons

sont les plus commodes de tous

tes moyens. XI, )29.–Distinctions

ëtabiins avec l'observation ctini-

quc. XI, i32, rw2. Elle est plus

t'omp)inu6e que t'experimontatinn

chimique. X), 3'!6. )M)e df

t'empirisme et du rationalisme. Xl,

&05, 5<'t. Comparée l'expéri-

mentation physico-chimique. XI,

508. Son but est de recherchef

les propriétés des déments. Xf,

M8. Son histoire. XI, 529.

Son rote. XIV, 8t. –Sa discipline.

X)V, )M. Ne peut être sup-

piece par les analogies anatomi-

qnes. XV, 292. L'histologie

doit lui être subordonnée. XV,

293. Voy. Physiologie M'p~'i'MM-

~/e.

KATtOK?fHLLE XV, 7.

BANS L);S SCIENCES DE LA

VtE.Xt, 4'n.

SCn:~T)FtQUE. XI, 515.

TUERA t'KUTtQUË des pheno-

moues fonctionnels de t'organMme.

Page 183: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BEHNARD. )C9

rer les fonctions des nerfs cérébro-

spinaux.X),3M.ov.~CM/(~pr~,

~~)/)/<fytp/t;C!a/f, jt/ctMt)';))fn/<

de/f<<;<N)'t!)-a/f;!<ac)a/< Pa-

)'a/yst~ faciale.FACtAL <\EHF). Expériences de

sensibitito récurrente. IV, 48,)),

79,89, 90. tnnuence sur les

mouvements de la narine. 3.–

li appartient la memcpaire phy-

sio)ogiqueque)e!rijumcau.V,)7.

–Anatomie.V,n,2~Proccdt''

pour le couper dans la caisse du

tympan. V,18,32. )7.'<Expérien-

ces. V,t!).–Hest moteur. V,)').

Son développement en rapport

avec la variété de ses fonctions. V,20. EtTets de sa paralysie. V,

20. Ses anastomoses. V, 23,

t82. !t est sensible il tient sa

sensibititc récurrente de la &" paire,

et!)afaceHadetas<nsibi)it6

directe qu'il doit t'accoSement

de rameaux venant de la 5' paire.

V,?}.-Ses propriétés. \r<

U est dejit sensible au sortir du

crâne, cette sensibilité lui vient

d'une branche qu'il reçoit du

pneumogastrique. V, 27. Ex-

périences. V, 28. Sa partie extra-

cranienue. V, 31. Son influence

sur les mouvements de la face.

V, 32, 40. tnuuence qu'exercesa section sur tesmouvement-ides

paupières et de la pupille. V, ~!2.

Effets de la paratysie sur t'œi).

V, 32. Sur le nez, V, 3(!. Sur

les joues et les lèvres. V,8.–

Influence de sa section sur les

mouvements de l'oreille. V, 3!).

Son arrachement. V, 43, Ht.

Sa portion intracrànienne. V,107. Dilficultés de t'oxperimen-

tation sur cette partie. V, 10'

Sa portion iatracranienne chez un&non. V, 110. Considéré comme

une racine antérieure, formant

une paire nerveuse avec le nerf

de Wrisberg, qui constituerait la

racine postérieure, hypothèse. V,109. Cette hypothèse est inad-

missible physiologiquoment etana-

XV, v). Voy. Thérapeutique expé-

t'!M"K~<

EXPEtUMEXTATMXTOXtCOEO

GtQUE des phénomène!) fonction-

nets de j'organisme. XV, Vt.

EXt')KAT!0!\ t'mMO~AHtE.Sa~

brifvet6 après t'at'tation. des deux

spinaux. V, 306. Son rôle. Xft,

398.

EXHHQt!ER I) n'est pas possible

de tout expliquer. Xf, i'!8.

EXSUMATUt~ de la tymphe. In-

fluence du curare. XV, 38!).

EXTEKStt)?! sous i'actiond'CMi-

tants du grand sympathique. XI,

357. Voy..WoMMMMh' <fe.r<MM<M!.

EXT)K)'AT)U?! RES KEttfS V, 43.U'UK KEt~. VU, 43 52. Corn-

parce !t la destruction de ses

nerfs. VI, 49C. Chez un chinn

pourvu de fistule gastrique. VU,M.

EX'rnACTtOX du suc pancréatique.Il, 2)t !t M' 32!).

EXTKAtTS t')tAttMAC';UttQUt:SProduits composition mal d6n-

nie. XH, 81. Hemp)Més en thé-

rapputique par des principes actifs

chimiquement purs. Xtt, 81.

D'opium. XII, ttit.

EXTttAOt<GAK'Qt;E (Mt~Ec). Voy.

A/t'<< <'x<ft'teMt'.

EXTMEMHÉS NERVEUSES Voy

A'f~M'4M (extrémités).

FACE. Après la disparition de sa sen-

sibilité, persistanco de celle da la

cornée. Ht, 236, Prédominance

de la puissance nerveuse. V, 12.

Influence du faciat sur ses mou-'

céments. V, 32, 40. Déviation

des traits. V, 41. Mouvements

MOuenccs par le trijumeau. V,

46. Tic douloureux. V, -47.

Paralysies superficielles et pro-

fondes. V, )22. Sas mouve-

ments. V, t80. tn<luenco du

grand sympathique sur la pression

du sang. VI, 233. Cit-cuiation ca-

pillaire. VU, 311 32t. Est ta

seule région ou se rencontrant 'e*

conditions nécessaires au succès

des expériences destinées ectai-

Page 184: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABETIQUE ET ANALYTIQUE170

tomiquement.Y,!)!Sapara-

lysie. V,H3.–Para)ysiede)a

portion interne et de la portion

externe. V,t[.t)39.–Sapara-

)ysiea)teretf!f;out..V,)M.–

Section dans !ecrAne.V,]'it.–

Avulsion. V, )4). Son indépen-

(ianceduueWde~Vt'isherg.V.ftt.

Altération du go&t produite chez

le chien par la section du facia)!

dans)ecri'tne.V,f42.–ScsotTcts!

sur la tangue.V,t42.–ttnotient!

pasMussmdepeudancetasocrt;

tionparotidicnne.V,m.–Ë)Tets

df sa section sur la salivation. V

tSO. Chez un fœtus de chcva).

V,K;2.–Efret<i de sa sectiondans tecra.ne sut')& gustation. V,

t't.– Expériences. V, 175.

Son innucncc sur les mouvements

du voile du palais, V, t~8. Ex-

périences. V, 489, 484. Cor-

taines opérations pratiquées sur

lui produisent la salivation. XI,

2U6. EfTets de la section, XI, 38S.

Sa section chez )'hom<ne et !o

chev!t!.Xf,'i9L Sa section

chez dos animaux différents, f'Uc

produit des effets différents, XV,~

421. Uosuttats de la section do

ce nerf: )" Au-dessous du trou sty-

io-mastoidicn 2" dans t'intériour

du rocher. XV, ;)20. Voy. S<i('tf

~f!ir<

FACtAL)!(ARTÈftE). Voy. ~<)'<' /'a-

CMt~.

FACt,'Lrt: nt: MÉDKCtKH. Son en-

seignemcnt.f,]();n.v;VUf,~80.i

Xt,400.4M,46);XtV,2;XV,)0.~

–tH;SSCUt.'«:)!S. Création de la

chaire dsphysiotogio gCtl~ra)e.i

XV!,2.~11, ï.

FACULT);V~GËTATtVH do Mint.

ThomMd'Aquin.XV).M9.

FAf;)Jt/H;S t~XKLLHCTUELLES.

XVIII, 419.

F.ttM. La sensation persiste âpres!

la section des pneumogastriques.

V,.ii5.

FA)S<:KACX (RESptnATomEs). Voy.

FiM~ovt'o~M (faisceaux). Voy.¡fAtTS. t, 13, tt, )G. Comparés 1

aux théories en physiologie. I, 9,

!3.ML -Leur certitude. !V,3f!.

–Quand ils sont en oppositionavec une théorie régnante, il faut

accepter les faits et abandonner la

théorie, lors même que ceU~-ci,

soutenue par de grands noms.est

gcnerafcmcnt adoptes. VtfLMS.

–La principe du déterminisme

exige que les faits soient compara-

tivement détermines. Vt!L 3H.

C'est sur cu< et nou sur des mots

que doit porter la critique expc-

rimenta)e.V[[[,i2.–nnehut

pas leur substituer tes mots. Vf)!,

329. Les mots ne doivent pas eu

faire perdre de vue iaréatitë.VHf,

3.')A.–La toi d'un ensemble de

faits constitue la science. X),4:!1.

faut ramener les idées :.jx.

faits, et non les faits aux idées. XI,

485. Leurs interprétations sont

relatives aux connaissances que-

nous possédons. XL 503.– Qu'est

ce qu'un fait. XV, 40. Sa défi-

nition par Chevreul. XV, 4).

Distinction du fait et du jugement

auquel il donne )i<;u. XV, 42.

Différence du fait et do son inter-

prétation. XV, 4!t. ]) ne paraitettraordinairo que parce qu'il est

indéterminé.XV, 47.

FAtTS ABSUKBKS. Voy. Fu<7.! er-

ronM.

COK)mn!CTOtKKS. )9 XV,

50. Ils ne sont pas admis par 10

principe du déterminisme. VIII,

304.–t)s retardent la marche de la

science. XL 4)6.

KXRHKES ou AttSL'nnES. Leur

introduction dans iaMienco est

favorisen par l'habitude des o'ipti-

cations vitales. VIII, 354.

HX<:t:t'T)')XSELS. Leur signi-

ncation. HL 3'!9.

n'KXfKKU':KC);,ct leur interpré-

tation. VIII, 332.

)~HKT<!<tM)KESoutnHAT!OK-

KKLS, ils sont repoussés de la

science par )o principe du détermi-

nisme. VIII, 313. Ils retardent

la marche do la science. XI, 416.

Page 185: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. rt

3i0.-1.32.–r.fr~to chimie")')"

)asa)ivenes'p'n')'<'oque''ur)'"t

fecuh'nts cuits. \Vt), 285.–A'

tion de la sécrétion pancreati'jn".XVtf, 3t.'). Voy. ~/iw<<.t~o~ /'f-

fM;'M<)'Tt/!ntC))<.<f'M/<

FEMELLE pleine, empoisonnée parle curare, t'embryon survit ~)a

mere.Xf.t38.

FEMMES EK C(H,'Ct)E. Sucre dam

les urines.f,43.f, 138.

FE);,sonc)iminationdusang.V).448.– Son absorption. V),itS.

–[)ans)a)]ih~etd~ns)<!Stt~

tions. VI, 448, t49.-Forme un

sulfure dans la bile pal' faction de

i'hydrogene'.)i)furc.Vt,44').

Injecté dans le sang, son innocuité

a t'ctat de lactate. Vt, 4S'J. In-

jection dans le sang. ~H, tt'.).

Voy. /«dM<'e de /'e< Po'oj-e t~'

/;)', Sels de /'f'

FERMEXf ALBUMIKEUX XVH.

355.

ALBtJMtXOStQU): XVIt, 49~

ALCOOHQ). E. X\n, t20.

MtASTAStQCK des fecutents.

XVn.35.0.

EMtJLStP. XVU, Sti, 948, .!).').

Des corps gras. XVft, 3.'<<J.

Sa préparation. XV)!, S.')0. Uc'i

végétaux. XVII, ~)'

GLYC"GE~i)Qt.'E. ]V, 4':2, 4'<.

GLYCOStQCE. XVt!, :})6. t).:

couvert par Paycn et Per-ioz, Uou-

chardaLtetSandras.XVH,333.

Époque d'apparition. XYtf, ~)4.

Nature chimique de ~transfor-

mation. XVII, ~M. Sa ditTu-

!iion.XVt[,4'M.

-t~VEttSH.\ XtV, 3)5; XVf, )(M:

XVI{,t2t,3<!).3~8,4M;XV".

232. Découverte. XIV, 257.

w

SAPONtF!A~T. XVII, 3)), 3i.S.

nu SUC GASTtUQUE XV)t, 33

Ff:HMt;KTAr«~.<, 3;tC; XI, 7<:

XVI, 158 XVII, 321 XVUt. (.

231. Pour constater la présence

dusucro.t.t'J.–Opare-t-Gneht

destruction du sucre dans le sang

ï, 243, 24&. Mode de destruc

tion du sucre dans le sang. f,24'

FAtTS NÉGATIFS. Considères

seuls, ils n'apprenncnt jamais rien.

VIII, :)();'<)s ont leur déter-

minisme comme les faits positifs.

YHt.jtf.

FA!VKEiHrn.'). Système nf'ryu;c

des invertébrés. IV, 505 a5).').

FALLOt'E Kcunit tes parties si-F ALLOI'¡' lIéunit les parties si-

mi)aires.XV<,)8).

FATAtJSME.VtH, 383; XVI, Mi;i

XVIII, 55.–tt conteste et nie ta

tibertemorate.XVf,(!'2.

FAt;X f'MSO~'S. XI, 29t.

FEtiRtCtTAKT, sa calorimétrie.

Xm.4)8.

FEBMtLE (C.HÀLECN). Voy. CAa/eur

/M~

(ËTAT). Voy. ~a<&)-

(Fn)sso'<). Voy. F;07t /<t~.

FECO~i'ATiO~. IX, t05; XVI, ;i07.

Antérieure, ieur mftuence. tX,

2)3. Période de la fécondation.

XVI, 3t:), 3)5.

ARUFtCfËLLE. VHt, t55; !X,

))).

FEOJLK. XVII, 50. Son influence

sur la formation du sucre dansiez

foie. !,)36,t:Sa digestion.

I, )5). Matière chyle use qu'il

produit. )G.'). Action du suc

pancréatique. Il, 3'M. Sa pe-

netrat ion cst-e))epossib)e dans le

poumon? III, e.'<. Yoy. ShO'c de

/<-CM~.

AKtMAm. Dans les poumons et

)esmuscie!<doYeau.258.

FECtJLE~f't'ES (MATtÈRES OU SUB-

STA;<CEs). XVtf, 4a0. Ne sont-

elles pas des excitants du foie.

429. Rote de la salive. !t, t45.

Actiou du suc pancréatique. H,

328. Action du suc gMtt'tfjfM.

H,40t.–Leur forment digestif

dans les animaux et les végétaux.

XVII, 331. Leurs réserves. XVII,

3.'i5. Leur ferment diastasiquû.

X\tt,35().

FÉCt'LEKTS. Le foie tes transforma

en .uuo substance émulsive parti-

culiore. t, !a7. Leur intluence

sur le diabète, t, 445. Siège de

leur digestion. XtV. 239; XYU,

Page 186: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

!nccsMnt<*da))*i Ja nutrition. I,

2(!2.–(P)«-rtOn)t''ne.s de') donnant

)it'uautpr)n<'i)M),<s actions chi-

mif)u<'sd<'rorK!HU'<mc.t,2(!3.–

S!'{).t!'t{iat)*i).t fonction ~tycog:6-

nitjue.), 3~!).- tnOuencode

)'o\ydedef.n'b()nc.)U,J9),200.

-Action du curare et des poi.soM.

))),Ï(i.'). Produit-ottciesgMdu

sang.\),!)."<f).-Action de divers

fcrmont<i.n,)91.–L~(!;eteone

te'idc'fruit )).is.V)),tS~EUe

c()rr("'ponda.umouY('mcntot~.ta

chatem' animale. )X. 9ï. Pour

t'analyse d'ut'in<XtV, 07.–

Ana)oj;ica\'ec la putr<hction.

X\'),m.–Anasthé'iiodcso.s

pht''no)U~MS))t'otop)asmi<jt)M.XY!,

2(!7.–Leur division. XVI),

–-t,euruniversa)i)(-.XV)t,388.–

]n t'itt'n et dans t'organismc-

XYU),))t.

FE)~));~T~ffONALCOOLIQUE.

X)).t)3;X\U,St:?iese

produit pas dans l'organisme. t,

24(i.Ses conditions. X\'t,)C~.

nKSAt.tMt~tS.Théorie.XVU,

2Gt. –VauUe)mont.XVn,2(!t.

Syh'im. X\')[. 'ÏM. Willis.

X\'H. '!M. –Boy)e. XVtf, M2.

Ut:STM'<.TtVH.XVU,2tG.

ttLË ALX tKHMHKTS iF!GU

MHS. XVf, )6t.

(.t.tCO'.tQU)!. XV)t, n9.

Des muscles et des poumons, chez

)<;8f(t-ms.~25'a.97;VJ!, tM;

XtV,f,50,M(!.

–tît'TERK! X', 34~.

LACTt~f)! ditus )ea musc)M et

poumons de fœtus devoaux.f, 1,

M'!itM);YH,134;XtV.4M.

nt: LA MATtEXKGLYCOGÉKË

dMs)efoie.U,)M.

NUt'KtTtVË. X\'tt, 386.

–t'UTmHH.Vt, ~)5;XVt, 174;

XVII, M3. Dans te sang, <Mte)--

tnm<;epM-h!anM'f9.Vt,40'

HAKS LE SANG. t«, !)7 Vt, 48),

4S.'); Xt, 48.–Substances capa-

btosdet'EmpÈcher.Vt.SC).–

SpontAttée produisant des altéra-

tionsdusftt)g.Vt,49't.– ei& a

veine MM-hcpatique. VII, tM.

Ktto est la source de la chaleur

attim!tto~X,t!)t.

H;KMt;!STAT10~ Ï)U SUC PAN-

CKÉAT'QUE. V! 390.

ttUSHC~EHUtUtK, sous l'in-

fluence de la ligature do la veine

porte. Vt), 200.

t)AKS LES TISSUS, cttc est

la source de la chaieui* animale.

fX, )9).

FKKMKKTESCtBt.ES (SueMi;). Voy.SKf.'rM /MW!<<<'sef~/M.

FEttMEK'rs. XI, 42 XVI, 94 XVU,

480, 48!); XVIII, t!)5. Leur ac-

tion dans l'organisme. III, 87.

Leurisotement.Vt, 4M. –Leursé-

o-etion. VI, 46). Leur spcci~M

d'action. VI, 438. Injection dans

te <;Mg. V!, 499. Leur action sur

la matière glycogène. VII, tï9.Action de divers ferments sur la

fermentation. VII, f3t. !e sont

pas détruits par te froid. V![, !5.

htjcctiou dans les veittHS. Xt,42. H!) ne sont pas ab.'iOi'Ms par

t'appareii digestif. XI, 76. Com-

mune xux deux règnes animal et

végétai. XVI, )6). iis agiasent

pour tMHsfcrnjt*)' et décomposerles produits df's réserves nutriti-

ves. XVI, t(i2. Leur compres-

sion atmosphérique. XVII, t99.

Voy. ~uM'ede Ato'c, ~ono~M fer-

n!<'n<t/<*t'

–At-BUMtPfOfDES. XVII, 491.

DtHns'nrs. XV!t,327,33<. 4

etpÈcos. XV)!, 32' Des ma-

titres féculentes dsms tes animaux

et los végétaux. XVII, 33). Des

matières sucrées dans les animaux

et tes végétaux. XVII, !M8. Mo-

ment oü il apparatt pour la diges-

tion des réserves ou des aliments.

XVII, 339. Cpnera)it6 de ce

fennont. XYU, :)40. Des ma-

ticros grasses dans les animaux

ot les végétaux. XVH, 346. Des

matières aibuminoidss dans les

animaux et les végétaux. XVII, 3M,3M.

MHUtmS ou YtVAN'fS. XVI,

Page 187: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES (EUVRES DE CLAUDE RE!)NAnD. 173

influence sur la sécrétion df't

ghnde.speutempoi~nnnertamas'.o

tota)odusan.a.X),ttJO.

FtBHEMt'SCC),.ttMt:.tX,)C,]fM).

i9~;X.3t):XV)H.2f;'<,t28.–S.:s

moditications en arrivant dans tH

duodénum. )t. 4M.–HHepeut

exister sans sYstf'tncnervf'ux-X,

t!!0.–Striée, eito n'est pas seu-

iement spéciale aux organes du la

\'ieaniraatf;.X.)G).–ti.))eest

toujours en rapport avec le sys-

tL'mo nerveux. X, 1C2. Lisse ~t

striée.X, )(! X\[).4(;8.-Reu-

nion dcsRhrf'SKn faisceaux ou mus-

ctes.X,)(;C.–Kt)epn. se dû fê-

tat de repos t'ct~t d'artivitc sous

l'influence df's in'imnts. X, )87.

Effets de la chateur. X, )?).

Elle ne peut se rontractcr quedans un milieu convenabie. X, )!)!).

–Etto revient sou état primitif

par )'cta~ticite de son env&toppo.

X, 200. Dans la contraction. c!)c

se raccourcit t't !;agn<'exacte-

ment en )at'gcurf0(ju'<'))o perd

en tongueur. X,200. Constitu-

tive des muscies. X!, 43. Les

différences d'<'t's;anisation sont la

cause des difrHt'cnces fjuisf'pa-

reut tes nerfs moteurs de la vie

organique de ceux qui président

au mouvctnent votontairc. Xt, Ï4(!.

Sa coagulation chez les ani-

maux tués par la chaieur. XH!,

3ÏO. Ses noyaux. XY~ tSS.

KHRVKt.'SH. IX, tOO; X, 98, m

XVt)f, 2<:9. fCordu de ta;. tV,

t2). Sa structure. tV, t32.

Continue. f))o n'exii'te pas pour les

iBouve~ents rénexes. tV, 3~

Le curare l'attaque par sou extré-

mité périphérique et non par son

extrémité centratu.tX, ti).–Sou

trajet dans la moelle epinicr)'. X,

3t3. Les anastomoses se font

probablement aux extrémités ter-

minâtes des nerfi;. XI, 180. Dans

quelques cas, l'union s'opère sur

un point plus rapproche des cen-

tre! XI, t8t). La seule diHe-

rctico entre les deux ordres est

lRO;XVn.3M.<M.Fermenta-

tions quUeur sont du<'s.XY!,t(i4.

–Leuranest.t~'si<XVf,276. 1.

tEUMEXTS INSOLUBLES, XVII,

328.

DE H~TESTfK XVH, 3~;

BE LA LEVURE ME tHERE

XYH,.M-

PAXCRËATtQUES XV)), 3~9.

Leur séparation. XVII, 3.')).

SOLCBLËS. XVI, t(;0; XVII,

328, 49~. Leurs actions S)' re-

trouvent dans te n'ne minera).

XVt. fSO. Leur uou anesthésie

XV!, 2n.

–'VtVA~!TS. Voy. f~)7!cn~.< ~~tt'-Ci!.

FËKRt'K. professeur de médecine

au C'&g;o do France. X)V, 20.

FEUtLf-.KS p[ot!g6esdansun liquide.

XVtLMf!.

FEtULLET (lu hlastoderme. XVt,

3t!). Corné ou .sotsitiyo-cutant'

XVI, 320. Embryonnaire. XV),

317. GermiMtif. XVI, 3n.

!ntMtino-g)an<luj:urc. XVf. 32).

FEULLE) DES RUMtKA~iS

XVH,25t.

t'tBRE. IX, 100.

CRLU.'LE lisse. XVtt, 468.

–CEREBRALE.XVn),M9.

COMTt!'<'L!E (Théorie de t~. X!,

t9t.

COKTRACT!t,E DES VA!S

SEACX, elle joue un r6te im-

portant dans toutes )os réactions

chimiques de la vie. XI, 2-48.

Sa paralysie ne suft)t pas & expti-

quer la dihtaHon. X!, ~f.

COXTRACTtLË r<0'< VOLON-

TAtRE. Elle sert à lier au sys-

tème nerveux les troubles produits

par la section du grand sympa-

thique. XI, 2G2.

ELEMEKTAtHE. Action de t'o-

xygèuc.Xt,M.

MOTRICE. Sa constitution. X,

244. Sa terminaison dans la

Cbra musculaire. X, 247. Ses

caracti'rM physioiogiques. XI,

87, t85. Elle est aplatie. XI,

185.–Existe-t-eUe dans les raci-

nes postérieures ? XI, t8~. Son

Page 188: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE~74

donnée par la direction du courant

nerveux qui la traverse.X!, 308.

Happrochee du type c.ellutaire. XVI,

185. Voy. ~na!!f<'MÔ.!M, Con~.

ytB!tEt'tt)M<rtVE.!V,!20.

SKOtETOtMK des nerfs moteurs

du grand sympathique.XUt,~tC.'

S~KSUtVH Ses caractères phy-

siologiques. XI, 8 i8a. Elle a

une forme cylindrique. XI, i85.

Existe-t-eXe dans tes racines

ante'rieurcs.XI,t8i).

DU TISSU CEt.HJLA)BE, pro-

venant d'un morceau de viandecrue qui avait été digéré dMs!"

suc intestinal mixte de chien. H,

4.i.').Voy.C<M~M'<'(tissu/.

TttUt'tHQUK dps nerfs moteurs

du grand sympathique. XIII,

2tC.

ftBKE~SH (TCM9UR). Yoy. ?'MMeMt'

/f~t'CM<

fntMKUX (TMSt:). IX, !)6. Ë)as-

ticité. IX, )]6. Résistance. IX,

ne.

ftEtH~E.t. 903 Yt, 45'! IX, 62 XH,

tC, 21, 9~ XVII, XT!. SoiuMo.

V), 48. Sa quantité n'est pas en

rapport avec la coagulation du

sang.Vt,4!V!f,]52.–Soa!n-

<!uenM6urta coagutation.Yt,

453. Ses analogies avec. l'albu-

mine. VI, 454. Variations de

quantité dans les din'ërsnts points

du système circulatoire. VI, ~M.Ëtat dans le sang. VI, 4M, 466;

vn.t-tS.–DanstesMcrctions.VI,'

457. Son influence sur les phe-

no'nenes mécaniques de la cu'-

culation. Vf, 465.– Sonroto,

physique. Vf,-{6<i.– Son in-

f!ut'nce sur la fluidité du sang. VJ,

4'!S. –No donaepas seule auMng

ta propriété de se coaguler. VU,

taï. Kt)e disparattdans le sang

des glandes. V![, 152. Elle dis-

parait dans le rein. VU, )M.

Elle ao doit pas être confondue

avec la substance musculaire. X,

K!S. Ses modifications inQam-

matoires. XI, 104.–Eiieaug-jmente dans la nevre. XI, 348.

Dans la culture du giycogenc.

X!V,467.–DusangdeMûche. i.

XVI, 98. Sa. digestion. XVII,

295. Action du suc gastrique.

XViI.295.

HHRtNË AMt!)ON. Son innuenM

sur la formation du glycogène.

XtV,54).

FIBRINE PEPTOKE. XVft, SUC.

F!EL. Voy. Vésicule a'f< /!c/.

HÈvaE XI, 228, 3!0 XHf. 405; XV,

t5, 97.–Arrête la gtycoRénie.t,

4)5. Et quinquina. Vin, 366,3~6.

Provoquée. XI, )4. Doctrine

dePmeit'.tde Broussais. X!, !0f.

Tendances actuelles de la science.

X!, !0). Ce n'est pas le seul

mode par lequel les afTections gé-nérâtes produisent des lésions lo-

cates. XI, tOC. Frisson initial.

XI, 34' Sang veineux. XI, 348.

La fibrine du sang augmente.

XI, 348. Elle Équivaut & ]~ pa-

ralysie du grand sympathique, ex-

périences qui y sont relatives. XI,

348; XIII, 29G. C'est un phéno-

mène purement nerveux. XI, 349.

Ses causes. XI, 3i& XHJ, 437.

Ce n'est qu'un mot, qu'unepure entité. XI, 593 XH, 382.

Théories anciennes. XUt, 410.

La distribution de la chaleur n'est

pas seule modifiée. XIII, 414.

t! y a surtout modification en plus

dans la production. XtU, 416.

Preuves expérimentales. XIII, 4t7.

Modincations de la respiration.

XUt, 418. Combustions exagé-

rées. X!f[, 4)9. Acide carboni-

que expire. XIII, 420. Urée ex-

crétée. X] )t, 421. Perte de poids.

XHt, 423. Importance de l'élé-

ment chaleur. XIII, 426. Effets

do la chaleur fébrile. XIII, 42'?, 446.

Altération des muscles, XIII,

429. Acide carbonique dans les

urines. XHi, 432. MIo du sys-

tème nerveux XIU, 43G. Théo-

rie nerveuse. X!H, 439. Elle

est l'exagération des phénomènes

physiologiques de combuiition, par

l'excitation des nerfs qui régis-

Page 189: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. ns

sent cet ordre dophénomènes.'F

F

xm,445.–Applications théra-

peutiques, XtU,4't'Action

de la digitaie. XIII, 44' Réfri-

gération.X))!, 440.–EHeestune

exagération de l'activité des nerfs

méduUatres vaso-ditatateurs ou F

calorifiques, XtH, 462. Son in-

fluence sur la présence du sucre t

dans le sang. XtV, 211. C'est

un phénomène provenant des

troubles qui se passent du cûté t

du système nerveux. XVtH, 2)6.

F<ÈVRE AUËKOMEKMGEE Xtfr,

40?.

AKGtOTE~tQUE. XIII, 40'

CttKX LKS AKtMAtJX. III, 425.

–CttEX LES DtAMËUQUES XtV,

4';3.

ËHUPTtVES. Elles sont un exem-

ple de lésions locales consécutives

à une maladie générale. Xt, ]0~.

JAUKE. Dissolution des cellules

du foie. VU, 2)C.

MÉNtKGO GASTRIQUE. X)H,

407.

Tt'PHOtDE. Traitement par les

bains froids. XIII, 452. Histo-

rique. XIII, 4.')2. Hesuttats con-

nus. XIII, 453. Réfrigération

continue. XIII, 454.

HGUtEU, fonction glycogénique du

foie. 486.FtGUKES Voy. Fer-

m<'M<

<FtH!T CERVICAL du grand sym-

pathique, sa section sur des che-

vaux. tU, 380 IV, 485. Sa gal-

vanisation, avant et après le

ganglion sous-maxitlairc. V, n0

X!, 344. Sa section fait dilater

la pupille. V, 535. Son excita-

tioaproduitteresserrementdet'ar-~

tere carotide. V, 535. InSueuce

de la section sur la coloration du

sang. VI, 268. Effets diHerents

obtenus suivant que l'on fait sa

section au-dessus ou au-dessous

du gangliou corvical supérieur du

grand sympathique. VU, 305.

Exp.VJf',306.

–CtHAtRE direct et indirect. V, 86.

tLETDUGRA~HSYMt'ATHtQUH

V, 9. Dans le muscte. X, 37.').

La section est une cause de pré-dispositions morbides. XI, 30.

K):ttVEt X SUCHKtEt R do la

parotide. V(F,33i<.

t<.tttATtOr< comparée sécré-

lion. VI, 462.

tIfAUTE )X, 203. Co n'est pas

une loi physiologique, une loi de la

nature. XVI, 338.

~tST~~ES Pour se procurer los li-

quides digestifs et notamment le

sucgastrique.XY.498.–Tenta-

tives dcR.de Graaf. XV, 501.

B)L)AttU;S t, 98 VII, 202, 22t,

383 XV, 599. Procédé pour les

établir. V[f, 209.–On les prati-

que généralement dans le but

d'empêcher la sécrétion de passer

dans le duodénum. XV, 599.

MASTtUQC):S 382 VIII,

).'); IX, 77 XV, 275, 5;)C XVII,

267. Du Canadien du D' Beau-

mont. ![, 382; XV, 26, 498 XVII,

267; XVIII, 378. Animaux qui

conYiennentaI'operation.XV,556.

Diverses manières de procé-

der. XV, f);<7. Méthode de Bton-

dlot. XV, 5~7 XVH, 269. Modifi-

cations de CI. Bernard. XV, 557.

ModiScations de M. Blondlot. XV,

558. Démonstrations expérimen-

tales. XV, 558.

tKTtiSTtKALES. VII, 399, 401.

t.~MPHADQCES. Expérience.

Vit, 64. Chyieuses. VU, 66.

PANCREATIQUES. !f, 130, 298

303; VII, 39f; XY, 591. Sur

un chien de berger. H, )97. Il

est impossible de les faire perma-

nentes. H, 214; XV, 592. Chez

l'homme. II, 298. Action du suc

pancréatique. H, 329. Inllam-

mation chronique et destruction.

V!I,396.

t'AKOTttttEXMES. Manue! opé-

ratoire pour les pratiquer chez di-

vers animaux. H, 53. Chez le

cheval. XV, 511. Chez le chien.

XV, 511.

SAUVAtMS. XV, 506, 509.

Page 190: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUEi7<!

InfiucnM du système nerveux sur

!eur persistance. V,~M.

'1FISTU ES S fOMACALKS. Chcx un

rhiet) nephrotomis~. Vtt, M. Voy.

ft.</«/f~ ~<?'MM.

FtXA'ftOtdct'axotesurIascom-

post's organiques. XVI, 39.

FtKCMtS ''mpoisonnee~ de rAme-

riq )io du Sud, flèches poisons.

M!). 2tS XI, i&O XVn),

2;iVt:niade'i).X!,299.Voy.

~'0;.<!()« <~M/?<'cAM, )'<'M<MdM

~MM.

FLHXXM (Mouvements de). Xt,

3M. Voy. ~ifo'<t'<'m<'n<~ «e ~cj't'oH.FL~)t)t!S digestifs. Voy. ~~e~t/j;

ncrvmtx. Voy. A''rt'cM~; –Pha-

!'yn(;ic!)s.Voy.7tn~H~t<M.

rLOCKE~'S. Son <togc ptr 0. Ber-

]ecervMu.X.V[[t,'tt2.Voy.A'CBKf/

t)7<

FOETAL (ËTAï). Yoy. J~;a< /~<f~.

FOETAUX (Ttsscs). Voy. ?'M.!Mt' /<K-<'f?M.

FOETt'S.rX,)08.–Gtyfo~neet

(;)Y<'ogcu~<!<).2:)!), ;){)S; X)V,

IS3. nt?rroatament 3S8 ¡XIV,)83. !\t)rM)a)ement diabétique.

I,98!). 408.–Sucre contenu dans

ses tt~nides. 3M. Coutourdu

sang. Vi, 25t. Leur sang con-

tient-il de t'oxyg&no ? D'au vient-

i) ? Vi, 400. –Propriatee du sang.

Vf, 400.–Urines aJcattaes de-

venant acides par i'evaporation.

Y!t,34.–FcrmcntMtons~tyeosi-

quM dans ieii iniiscje:). V!), '~M.

Empoisonnes par io curare. Xt,

tM.–tFoiodui.XiV.AOC.–Lc

charbon de )am~;rot)t*seprop!)g<'

pash)ui.XVt),M.–Gtycogf'n&so

dMsiesg!a)]de'Mmusde'ict

!('sannexe:XV!],5M.Voy.<!m-

Ht'fM, G/fO'?<'?!)'f/(B<a~, ~M«:~ du

/(f~«, <7r<'ft' (~M/X<M.

–H'O'SEAU.JX,!)!).

–UtSS KCMt~AK'fS, des juments

et des porcins, réserve phoopha-

tinuo.XVIf.M5.

UE VEAU entoura de ses mfn)-

branc~. I, 404. Dans l'amnios.

XVU, 65.

FOtE. XV, MA. !) est charge de ja

fonction gtycogoniqne qui jusqu'a-lors était restée iucoMue. 37,

M; XI, 33!. Il renferme tou-

jours, chez l'homme et chez les

animaux, de fort'") proportions de

surroa )'cttttphyaioto(tifjue. t, M

X)V, 40: Dos&ga du sucre. ),

(<2. Observation chez l'homme.

), C' sur tes ani-

maux dans Muta i'echoUo zooio-

gique. ), U9. Topographie ana-

tomiqusdo la production: du sucre.

I, 83 XIV, 2!)3, 298. Le sucro

ne' Saufitit s'y conserver tonKtemps.

], 9t. tt dottae une sccreiion

interne, le sucro ou le ~iycogenR,et uno sécrétion cxtëricure, ).t

biie. f, )M, 508 tX, ~8.

Mce~neratc' de sa structure chez

)c<t mammifères, t, )0t V)), 2)5.

)i distribue la matiOrp. sucrée dans

i'organismc. {, f [2. Maticres en

rapport avec le sucre. J, )3~.

htttucnce du cancer sur la sccro-

tion du sucre, f, );M. hinuence

des hydatidL's bur la Mcrétioa du

sucre. t, t3't. )! [)'Mt pas tra-

vorsé pftr la graisse. ), ]'!C. Une

nourriture tucree et féculente tui

donne une décoction iaitPUM. ),

]M. 153, t62. I) étahlit une 6-

quilibration atimentaire. f, it5.

Son rôle vis-à-vis des matières to-cuientes et sucrées, t, f57. !t

les transfonHe en une substance

Én]"!s've pMticuUcro. t, 157.

Expériences comparttivas. ta7.

t'reuves divf'Mes. t, )f)tt. Sou

anatomie. f, 167. Circulation hé-

patique.), )t!N. )72,nC,)8t.–Sos

cellules. I, )(!!). -Ses yaiMMUx. t,

t72, t7t. Conditions anatomi-

ques qui (aYO'iM'nt la circwtation.

t80. Mécanisme de la circu-

latiou I, 180; VU, )? XtJf,

t)9 XtV, 9t). L'autopsie cada-

v<!riqtM n'indique pas son état

physiologique chez iesdi!tb6t.iqu<M.

I, !S2. Ses matadies détruisent

le gtycog&ne. t, !SC. Le sang qui

en sort a une temperatare plus

Page 191: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

t))'S<Et'tKS))EC).At'[))-:t!H~At!U. n?

C.L.u'[)EBK)~Ann.Xt~. t2

e)'~p't.M;t:Vt.7.87.-Tom-

p'raturodus:u)e;, [)rtM'(''d)''0)<t'

`hlifjUPtesnf'rf'sGdpv~'rspdanstc

san~. {, ?; Pf-ndauties f'n'orts

et)fsmonv('mf'))ts.itt'\puts<*<)a-

vanta~c de sucre dans tesan}!.).

I;Mt!Dépuration du sans;

ST!Condens&tioodHsuo'c.), l,

2' Distribution des nerfs.), l,

M!,M7,~M. tnnuf.nc<-<i<-

(asoctiondt'tpnf'umo-gMtriques,

au-dessous des poumons. t,M6;

V,4~t.–Sotid.tritct'onctKMtnctie

avec !c poumon. I.S.M. --P~-

tl~4Çr,i.,rt ul,r,ar_artyca tlu surra dansd't('ti'intp"nt:)"6o du sucre dans

te foie d'un aaimat mort dansccr-

taiucs conditions. –.tn-t

nucuccde)a.set't.iond)'t:tmoe)!e

'.tn'taprûdttctiondusuct'f'dansh'

foi)'. t,~t: -Mo)'t:ttasuitedo

)x cassation dt'st's fonctions, t.I,

-4H.–Section de'; nerfs sympa-'

thinncsqnis'yt'f'txh'nt.t.'H't.–

Son <'tatd:ms)e diabète.),433.–

Discussion sur ses fonctions.), l,

468.– Troubles dt'tacircuhtion,au moment de la suppression de

)acircu)atio)tp)aconMire.t),4'ii).

–Ëtiminationdc'i substances.[!t,

(')().–Action de i'ethcr.m, 437.

Vaines bitiaires. )H, -t4). La

matière gtycngene s'y accumuio

après section do la mooUe. )V,

444. tt s'infittre avant les autres

organes daus les injections d'eau.

V!, 35. Causas de t'hypersecrë-

tiondusucfe.t),9; –Méca-

nisme de tafortnation du sncrc.

\)(,U:t;X,))5.–LaLma!ioreat-

bnminotde s'y forme apr~s ta mort.

VU,tU.–Uestt'oriKinedptoutto~'1f, 111. -Il Il est l'origino de tout

le

sucrodct'orga[)ismo.V)t,U7.–

Son extirpation ct)ez les grenouit-

te'i. Vit, U9. Ff-rmcntation de

!amatt&r«g)ycngcne.\<[,)'!(!

Proportion dR tamatifre gh'eo~oneet du ti*su etran~"r dans io foie

des divers animaux. \'H, )84.

tnuuencc de la Ugaturf de la veine-

porte'-ur ses fonctions. \t,2(M).

Rochprche du sucre. VU), 291.

--Fonction ~h'co~enique et piy-

co~f'.nesifjUc.tX. S():Xi\M:

2i)'). 30f.t!3: X\H.'<). -Sa du-

p)iciteoi'si;a!n()U~.annont-efpar)a

ph;n)!C!fau!h'))]~opar)'ana!o-

mie.)X.83. i)nf'cot)ti(.ntph)s

d('-<uh.,ta)n'en!yco:ttafintt<'

p)usn'ursma)adies.X),H3.–Pro-

duction de la R)ycose.Xf. 24'

Anas).ou]ost's(jniassur"ntsttcircu-

tation.X!, ;!(!).- Sans: ycineux.

Xi)t,j!S.–(:atorincation.X!t),

)8').-Sonr<'))e.XFV,?64.

Considt'')';ttions historifjues. X)V,

9<j!i.t)a~.it en retenant tf'sut'ro.

XtV, 2'!).–Son<)e contme

s~xu'cn constante dfsucrH.X~V,

2').–))u''ou\C!'ted~t'cxi-tte))ce

dus.ucre.XJV, *'8:). Matipra

cmH)s)tc.X!V,3()?.~j).- Dc-

c')tti()npmutsivt'.X)\.W.–Le

sm'rf'in~Ms'y frao-iformeen

!)yco!<'nt'.X)V,:t9). ~.Formation

du g)ycoge!M'.XtV, 3:!7.– Par lui,)c système nervf'uxexcrc~son ac-

tion .sur )a~t;'fo;!en6<;6.X)\iM.Sou r)'))f dans la uotrition. X)V,

43C. Sasurae(h'itH)onrtionn<')to

produit le ()iahete.Xt\n.–H II

ne doit pas prcscnter df tosious

anatomiques dans le diah&t~. XtV,

438.–Lieu d'élection de )a for-

mation g)ycogéninuc.\Vf,8.–

GtycogcnH en dehors de )a période

d'tiibernation. XYU, 102. Modi-fications des atiments. X\'U, SC9.

Action des atiments sucrés.

XVU,3').– Hesit'entrepotdes re serves gtycosiques.X~n,3':< Voy.t-.t't'e /t~K< Ct'

/u/c.t </M /0)f, Ci''CM/a<f'Ott t<M /bt'c,

~<~a<t /M, ~.n~o'/e ~M /b!f. SangO~i'XfK.K <<!</()tC, rt'S!i<! f/tf /0)'c.

fom (SËr.MTtOX ~r). t~nuence du

système nerveux. L 2!)<i. Kxa-

gcrcf; par la piqûre de !amoc))e

aHongee, i,29'?. –Action de

i'ëther. Ut, 43. Action de i'e-

theretdet'a)cooL![L4.').').–fn-

nuf'nce de la piqûre du plancher

du quatrième Yentricute.tV, 463.

Son mécanisme. IV, tC.').

Page 192: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTiQUE<78

tOtt'nn.tAtt<EXVft,)07.

DE CHEVAt., vu par sa face in-

férieure pour montrer les commn-

nications vasculaires directes qui

cxiiitpntcntt'etaveiue porto hépa-

tique et la veino cave inférieure.

!,m.DUCHtEX.I!4M.

DES DtACETtQUES. Autopsie.

t,42a.

DU F(W-;TUS. Gtycog~no. VU,

t35~ XtV. 506.

GLYCOGEKtQUE. XVif, 107.

--GKAS.)3'

D'tXMtME, <!iascqu6 suivant !e

trajet dos \'aiMO!*ux. ), tM.

--DES tKSECTES. t<M).

–LAVE. V)t,]H);XtV,)8), 300,568. Formation de matière al-

bumi~o:de et débite.Y)f,)3'

Formation do l'albumine. VU, ]3(!.

Yoy. ~nuaye ~u foie.

-NERVEUX.),t3:i.

DES <*()tSSONS. M contient du

sucre. XVII, 99.

DE St.'t't't.tCtE. H contient du

sucre.t,tii),a0.

FOUE. XVIII, <00.

tO?<CrtON CULOKOfHYLtEKNE

Voy. C/ttofo~/t~e (fonction'

DE DtGESTtOK. XVII, 242, 3M.

Voy. D)'ye<<H.

<,LYC(X:E?fESt~UE. Voy. G/y-

cof~n~«e (fonction).

GH'COGÉNtQUE. Voy. G/yco~-

?tf</M<

BES'RATOtHE. Voy. ~MpMt).<o!e (fonction).

FONCTIONS. XVf!, 485. Leur

dépression dans l'asphyxie par )'air

conftM~. Ut, )2< Tronbto subit,

mort subite psr action bfusque. Uf,

296. Etat de fouction des glandes.

VI, 32f. Influence de cet état

sur te sang des organes.

VU, 18. D'un orgauo, carMtÉ-

risée par l'analyse du sang avant

tt aprUs t'organc. VU, 34. Pour

ta connaitrc,i) ne sufntpasdc com-

parer et assimiter son instrument

fonctionnel organifjua à un instru-

ment inorganique, il faut ctu-

dier!<")CitractÈres propres et les

conf'.itions d'activité fonctinnnotte

do ['otomont organique. IX, 220.

1- Leur localisation, lour corn-

plexit6 en rapport avec la fré-

quenco des maladies. XV, 06.

EUes ne sont que des moyens.

XVII, !&0. Leurs rapports avec

les nrganos. XVIII, 40! Com-

parées aux propriétés.XV)ft,~2!).

Voy. ~<-ittt<f'/bn<'hoMnp<!f, Centres

/one<tOMne/ Circulation /b')C<'Mn-

KeHe, DMh'MC<!Mtt fonctionnelle,

~.<:c!<aA!hM /onc<ton?M/<< Irrita-

&<~ /'o.i'<!0."?te/e, Z.~s)e~M /'onc-

<tOHMe~/M, ~ecaKt.fnM.! /bnc<to?t-

nels, ~Mt /bKC~OMMC~M.tOKCTtONS ANIMALES. X, 110.

CEREBRALES. Voy. Cérébrales

(fonctions).

MEMOPOtETtQUES. Voy. M~

mopotW<yMM (fonctions).

NRMVEUSES. Voy. NM'MMM.

(fonctions).

NUTtUTtVES. Voy. NuM<w.<

ft'Ottetiona).

ttK RKLATtUK. X, t()5

SHXUKH.KS. Voy. Scj-M~M

(fouctions).

VËCETATtVES. X, tC&.

OK LA VIE ANIMALE. X, t0&.

UH LA VIE ORGANt~UE. X, 105.

Part qui appartient aux actions

rénoxes. X, 3M.

VtTAms, elles sont mieux iso-

f6e!t chez les animaux supérieurs.

X, 102. Relatives t" & l'indi-

vidu, 2° à t'espace. X, ttX!. Com-

parées aux fonctions animales. X,

tt(). Leur localisation. XVIII,

M?.

FOKMTtOKNKMEKT différent des

machines vivantes. XVt, t50.

FONDEURS, Insalubrité de cette in-

dustrie. lU, M.

fONTE DU RKtN. Vn, 30.K)K<:E CATALYTIQUE. Voy. Ca<a-

/y<!<y«e (force).

ÉVOU'TtVE des phénomènes.

IX, 223. Ses manifestations

morbides. XI, 50. De l'œuf et

des cellules. XVIII, 210.

Page 193: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. t79

FORCES t'HYStQUËS ou MECA-

KtOUES XI, 223 XVt, 5.'<. Leur

corrélation. XVII, 24, .'t)5.

SE!fS)TtVES. XVt,2t4.

DE TEXSSOX XVII, 48R. Voy.r~Mto'

VtVES. XVII, 48C.

FORMATtO~f cellulaire tihre. XV!.

!!))!. Pleine par rajeunissement.

XV!, 30'

FORME, elle est nécessaire pour

caractériser t'être vivant. XV!,

29'1. !t faut la distinguer de la

matière chez l'être vivant. XVI,

292, 352.

FORMES 9ttKERAt.ES et formes

vivautes. XVI, 296.

FORMATE do potasse. XV!, 392.

FOMttQUE (AonE). XV!, 3)2.

Produit par t'hydrate do chloral,

sou rôle. X! 302.

FOSTER. 'Iheorie du diabète. XIV,

4f!.

FOUQUtER. Phénomènes observe!)

chez les paraplégiques. XI, 202.

'FOYER de calorification. Voy. Ca-

~ort/!M<!OH.GLYCOGËN!QUE. Voy. G~cOt?~-

)!)~M.

FRACTtONKEMEKT du vitellus.

XVI, 3t8.

FRERtCUS. Pancréas, n, 336.

Origine de l'uréo et de l'acide uri-

que. VII, 60.

PRtt.OtUFtQUE (KERF). Voy. Ner/

frigorifique.

FRISSON initia! do la novre. Xt,

34'! XIII, 408.

FROtD, son influence sur la sécré-

tion du sucre il arrête la forma-

tion du sucre et diminue le nom-

bre des respirations. Expériences.

J, 188,190,

191. Influence sur

la gtycogenie. 191, 194, )98.

Influence sur les cochons d'tnde.

I, t9t. État à ~oun.t93.

Son action sur i'organismo. VI,

51. Influence sur la coagulabi-

lité du sang. Vt, 415. Ke détruit

pas les ferments. V! 135. In-

fluence sur les mouvements vibra-

tiles. X, t45. Effets sur les

t'ORCt; t;XC!TO-MOTR!t:E. Ses va

riations.X,3M.

MECAX!Q!'H produite par tes

animaux. XV!, )3'

MEDtCATKtCE. Voy. JfMiM-

(Wfe ( force j.

–XERVEtJSE.Voy.A~'MMM (force).

pet<<«yue (force).

VITALE. III, 4; !X, 133, 13',

224 X, '!6 XIII, 6 XV, xtv

XVI, 6, 46, !8, 244 XVII, 403

XV!H, 38, 50, tU, 153, tC3.–

Elle est une force organisatrice et

uutrUi'e, ma{s elle ne détermine

pas ia manifestation des propriétés

do la matière vivante. V!!f, 353.

Ce n'estqu'une hypothèse. Xt, )26,

449, a06. Comparée aux forces

physico-chimiques. XI, 49t.

Rapports avec la synthèse chi-

mique. XV!, 225.

FORCES, leur transformation. IX,

29. C'est un rapport, une reta-

tion entre la cause et t'effet. XI,

449. Rien ne se crée ni ne so

perd. XVIII, 76.

CHtMtQUES. tX, 222. Miné-

rates elles sont les [n('mes que

tes forces chimiques organiques.

xvtff, n5.

DE DEGAGEMENT. XVfI, 48G.

DE DÉVELOPPEMENT chez l'a-

dulte. XI, 48.

NRECTtUCES des phénomènes,

elles sont morphologiquement vi-

tales dans les corps vivants, les

forces exécutives sont les mêmes

que dans les corps bruts. ÏX, 233.

MOTtUCES. XVI, 244.

DE LA NATURE. VIII, 129.

PMYStCO-CHtMtQUES, celles qui

sont nécessaires au fonctionne-

ment des propriétés de la matière

vivante sont les mêmes que celles

qui président à la manifestation

des propriétés de la matière brute.

XI, 4t)t. Comparées à la force

vitale. X!, 491.

pnYSMLOC!QUES. Elles conti-

nuent à agir dans l'état de maladie.

XI, 68.

Page 194: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABt, AU'HABÉTtQUË KT AXALYTtQUE)80

UYisfction'i.X),?. –Son in-fluence sur )<!s nerfs du seuti-

meut.X).3i.*).–Sou action sur

)f's<tr<'s vivants.XI,4!)2.–Ancs-

t))esiep.ir)efn)i<).X)[,:)t. ))

anu'<n('. t'engourttissemcnt. XV),

<M. -Action sm'i'airvicie.XVit,

tC3.

m~TS acides, Mycose. XVII, 279,

Voy.SMm'f/e/'tHtt.

Ft;MMK. hut-U fumer'? ttt. M8.

MAt~t: LVMt'MAttQUES. XI),

M;XV,.U9.

GALACTOSE. XVU, ~'), 2';9.

GALES. Autrefois 0!!C!M!]3L!saait

son <ivohttion, !tujom'<t'hu! on

connaît sa c!tHit('et Mnd~tft'mi-

nisme. V!H, 3'!5 Xf, 3. f~5; XV,

4!). Sou traitement rationnel.

X)\H:i.

GAt.tK~: faiMit des dissections sur

des animant vivants. t. VU), 174

XV,()f.L)'pt'rc<tc)aphysio-

)of!ie, f't )o pt'cmier des oxpet'i-

mf'nt:ttcurs.X),53),ia;XVn,

H!). Ses cxp~riencea sur des

porcs <*t<)c<! singes. X),Mt.–

Sath6ori('d(',titcircu)ation.X!t,

~;X\9!)L –Hôtfido~duM

mërc. XV, tt3. Absorption. XV,

333.–U!matysG)'<.))'ga!)i!<mf)cn

pMtiossimUaires.XVf, t8t.–

Coction des alimenta. XV)!,'!6().

GAULEE, promoteur de la méthode

experimentate.Xf.'t'?').

GALt.. Son opinion sur rexpcct~-

tionet)'intOt'vention.Xt,6t.

GALH?<AC)';S. P)-a))<!nsion et con-

teation. XV, tU.

GALLOIS. Origine do l'urée et. de

l'acide urique. V)!, 60.

GALVAM. Expérience. !V, 2t().

GAt.VANtQt'H (ExaTATMti). Voy.Excitation galvanique.

GALVA!<<tSATU)~ UË LAUKtCU-t~Attm. Son influence sur ia vas-

cularisation et la température de

rorei)[e.5i2,5)G;V!),3:!4.

DE LA COKME DU TYMPAN.

Sas effets. XV, 543.

DU FILET CEUVtCAL avant et

rapr6-,)('gang)io))sous-mati)!a;rf.;sécrétion dai)s)!'s deux cas.V,)?<)

-Seaof)'et!X),34i.

(.ALVA~tSATtOK MESF, CA\

<,HUXS SEMtLUKAtRES. XIML 4.

HUGRAM) SyMt'ATfttQH;Y, )!?, 5!5. –DansdiYartps

rcgions.tV,396.–Che:!)("; che-

vaux,ct'fct.ftUt'ia chaleur et la cir-

cu)ation.t,29).–Du bout péri-

phérique coupé. Xt,NG2.–Op-

prime ou âbotitit'sproprietts

vitates.Xf,:)<3.– Pendant la

ms'itication. XV, i;!9,Ses ré-

sultat! XV, 520.

HES KEHFS Elle cmp&ch'!

~absorption du poison. XI,386.

MES NERFS DE LA RATT.

V)),M6.

nUKERF SPLAKCHKtQUE Vïï,

t'!4}tn6;X),3M.

Ut! L'OMEtt~m. V, 5)2. –~p).<~section du sympathique au cou.

V,;<t'Expérience- V,5~.

–Sasen'otssur)acha)eurde

t'orei))c.V,o)3.–tn<]uencodola section des nerfs. V, 5)4.

NUf~fEUMOGASTRtQUE ou

OES VAGUES. V, M3; V[f, 221.

Avec ou sans empoisonnement

par )o curare, elle produit t'atïtit ducœur. ftt, :M8, 366, 368. Elle !u'-r6te les mouvements du cœur m

3'!9;V,38).– Elle ne les arrête

plus chez un animal empoisnnuc

par le curare. Uf, 373. Du bout

sup6heurdesY!tgucs,c))c M-r6te tess

mouvements respiratoires. IV, 3'!).1.

Elle détermine l'apparition du

sucre dans le sang ot dans lesurines. V, 435. Son action sur

le rein. VI, 309. E)lo change la

réaction du sang et du caiiïot. VIt,220. Elle arrête les battements

du cœur. !X, <i6. Et du grand

sympathique, effets produit sur

l'estomac. XV, 513.

GALVAKtSME appliqué au cœur et

aux veines chez !e foetus. I, 38!),408. Appliqué aux glandes et

Page 195: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CL,UJ[)E HKit.\Af!t). t8t

centres or'rveux distinct! Xt.M'

--Ont-i)s une influence pmpresurt('s:t<t')nst!tso-nt0triretfjuisontsoust~ dépendance du p;rand

!-yn'pa!hi<iUf'?X!8.–)'tiAant

functiffa décentre, teur autono-

mie tempcrairo.X)), 388.- ~ou-

YeUe-i<"tperiences.88.

(.AKGHO~S nK L AB«OME\ Leur

sensibitite.Xt.3~.

–CHRVtCAt'X.Leurab'ation.V,

4),i8.'ta)98;V)),tM.–C.erviMi

supérieur, procctte pour son ab).t-

tiqn.Y,5;i),M6.–C-ct'vicaux

infcrieui's, int!uo))cc <tc leur abla-

tiou sur les mouycmems du ca:ur.

.')!!). <~<'r\icat supet'ieur du

{:)':tnd!-yfnpat))i((ue.\fi.XU.

Hfffts di!ÏGt'onts obtenus suivant

qu'on fait, la section du fUftcer-

Yic!dau-df'ssusou!tu-des'.ousde

ce gan~tion. V)), M5. Son

action sur la glande sous-tnaxt)-

tairp. \')). 30.'), M.'<, ?' ExpL'-

ricuccs. \')), ;!()(;. Kn'cts df leur

extirpation, tnouy<;mcnts péris-

taltiques qu'ctte produit. \U,

.i.

nu GRANn SYMPATtUQtJE

!V.n(:;)\,38;X,Ht)9~XtH,

3n. P~ricarditH par teurabta-

tiou. IV, )83. Leur sensibi)it6

et leur excitation ren~M, innueucn

')Urt'oeitetsurtecœur.)V,~24.

3<i8. Thoraciques et abdomi-

naux, leur iuûuenco sur tes mou-

vementspertstattiquesdR l'intes-

tin. !V, 3a9. Les n)ets du grand

sympathique ne tiennent pus leurs

propriétés motrices des g~ngUons

qui se trouvent sur leur trajet. V,

iG8.–Exemptes d'ablation. V,530. F.n'ets inuammatoires. V,

ML–Us peuvent être tecpHH'e

d'une actionraftu~e.X,344.

)KTERVEHTËBRAUX H, 233;

X,293–Leur soudureayant pro-

duit une anomatio dans la distri-

bution de la sensibilité Mcur-

ronte.IV.t08. Usages pour la

nutrition du nerf. tV, 934, 23~ a

2H. Experieucos sur leur rota

aux autres tissus. V!t, ?6!<. Son

action sur tes nerfs coupes. X.[,

''ti.

-Ai'et.atnonna).t)apitp!ttsf'uergiquem('ntsur)f'sn'')'fs)noteurs<)uosur tes fibres scns!-

dYfs. Xf. 22.'). Apres ta sertion

f!eta tnoe)!ecpiu'ts(',i);t~i<

tnotns ~ner~ifjuentent sur )<'s 's

n''rfs moteurs que sur les tibrf's

s''nsiHYe-X),2'Se<.tnfo!)-

\<'nien<s dans tosfxperio'nccs sur

)<'System''nerveux.X.t,Mt.

CALVA!\OMHTR)!.XY,4M. Son

<'mp)ot dans t'6tmdf des tempcra-

iui'efi. Xf!f, 83.–Lecture tiRia

Hiiîcrencetietetnporaturf'.XUt,

84. Voy. ~~<pH;'e!7 ~a/unnoMe~

'/M<

(.ALVAKOSCOPtE. Voy. A'<0/-

t'N;tO.Cf~)'f/M<

(tA~CHO~f MK LACt A!\t)H SALI-

VAtRE SOCS MAXtLt.A<KK !X.

:!8. Gah'anii-ation du <i!et cer-

\ic.at.V,)'!0.–Chez le chien,

scs)'&ppûrta&t'ectesn~)'f'i.Xt),

M'

Ot'HTHALMtQtJE V, 2M

Son abtationetitt'Yela sensibilité

de la cornée. U), 2:!(i.

t'KEMtER mORACtQUt: S~

Mnsibitite. Xt, 3~t. Ses con-

n["tiousnerveu8es.Xt,3.')4.

SfHMKO-PALATtN. Son an-a-

chement, procède opératoire. V,

!).'<, KG, tC). Sa destruction

n'empêche pas sécrétion paro-

tidienne des'en'ectuf']'. V, ta'

t!Ai'<GHO!<iNA)RË (CEU.m.E). Voy.Cellule ~"M~Ho?!MMi')'e.

(SYSTÈME). Son action sur les

gtandas diffère de celle qu'exer-

cent les nerfs moteurs. XV,

59a.

CAKCHONS. X!n, 9U. Leur

soudure, sensiMUte récurrente

anormale. IV, t0' Leur struc-

ture. t\ t2C.– [nHuancesur la

nutrition. tV, 23&, 2<5. Nutri-

tion des membres par suite d':t-

bhtion. tV, 26'). Leur action

sur le trajet des nerfs. V, t6i).

Us ont eto considères comme des

Page 196: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE)82

GASTRIQUE (SÈcaÈTtoN). Elle est

troublée par tasection des pneu-mo-gastriques. V, 4)C; VtL37a

XV,Mt).–MxperiRnces.Vtt,37!)

La portion pytorique de l'estomac

y concourt seute.XV. 5M.Ë)i

mination des sels de fer et du

prussiate de potasse. XV, 565.-

Différentes substances étiminees.

XV, 565. funuence dos atcatins;

Ette est activée par les excitants

alcalins. XV, 5?0 XVII, 289. Ses

cxcitantB.XV!f,29).

(Suc). Voy. Suc y~<~M<

GASTRO-!STMST)MALE (SuMACE).

L'absorptiou est infidèle. XII,

6G.

GASTROTOMtE. Cotto opération

chez le chien ne preM'nte~encra-

temont pas d'inconvénients sé-

rieux. XV, 56t.

GASTRULA.XV), MO.GAUTIER (A.). Chlorophylle verte

Ht chlorophylle blanche. XV!,

3)3.

GAY-DUSSAC. Gaz du sang. XIII,

2t. Putréfaction. XVJ, 174.

GAZ en contact avec le sang. ïiO.

Actiou des différents gaz azote,

acide carbonique, oxygène, hydro-

gène arsénié, sur ta disparition du

sucre dans le sang. f, 2t), 2~3.

Leur solubilité comparative dans

l'eau et dans le sang des diverses

parties do l'appareil circulatoire.

III, 108.Échange

dans le pou-

mon. i! tg8. ÈHmtnation par

le poumon. 1II, 161. Leur solu-

bititûdantit6sang.U[,t63,)M.

Mort subito causée par l'injec-

tion brusque de gaz dans le coaur.

III, t63. Ils ne passent pasdans le ventricule gauche. )J!, f<!4.

Capacité d'absorption du sang.

III, )68 VI, 285, XV, 36). Leur

dissolution dans le sang. Explica-

tion do l'action de l'acide carbo-

nique. Action de l'oxyde de car-

bone sur l'absorption et l'exhalation

des gaz.U!,t69,n3.–Diminution

de leur volume par la respiration.

III, 203. Dans les capillaires.

physiologique. IV, 235. Pro-

pt-ictesct.U!!age<)V,a5.–irri-

tation mécanique. IV, 265. Leur

destruction enlève l'action rcf!exe

sans cmpt'cher la transmission de

tadou)eur.V,M9.

GAKGHOXS LYMPHATIQUES.

Ont-ils un rôle dans la nutrition

des glandes? t, 26t. Leur en-

gorgemeut après extirpation de

la rate. VU, 22.

MÉSENTËRtQUES cotoros en

noir par le sulfure d'argent ou de

cuivre. VII, 382..

PEtUt*HER!QUES Action de la

morphine. XII, 289.

DU PLEXUS SOLAIRE. Leur

sensihiHté. XI, 353.

HACmntEKS. Leur soudure, avec

MomatiM de la sensibilité rëcur-

rente. IV, )()(!.

–SEMt-HJNAtRES. Galvanisation.

Xt, 3M.

DU SPINAL. IV, I26.

SYMPATHtQCËS. X, 309. Leur

innuaMe. V.MO. Du maxillaire,

sous son inuuenco)a glande sali-

vaire sous-maxillaire peut entrer

en sécrétion. X, 344. Sous-

maxillaire, il dépend du cerveau

pour sa nutrition. X, 347. Hypo-thèse de Bichat. XU, 285.

GAKGRÈKtt des parties dont les

vaisseaux sont oblitérés. XI,

36.

CARREAU. Respiration des plantes.

XVU.iM.

GASPARD. Expériences sur le dé-

veloppement de t'cBuf. XI, 4S.

Expériences sur l'injection de

substances putrides dans les vei-

nes. Xt,C2.

GASTEKAXE. XV!t, 28S, 2S.t.

GASTÉROPODE. Développement.

XVI, 329.

CASTRtQUM (AcmE). Son r&]e.

XVII, 291. Sa nature. XVH,

293.

(DIGESTION). Voy. Digestion gas-

<)<~M<

(F)STOLE). Voy. Fistules gastri-

ques.

Page 197: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE DEHXARD. t83

VI, 30. On no retrouva)

pas les quantités d'oxygène et

t

d'oxyde de carbone ajoutces au

sang, au moyen de l'oxyde de

carbone. Vt, 384. Influence de

leur température sur ta couleur

du sang. Vt, 396. Injection sous

la peau. Vit, 4'i3; XV, 2t6.

Leur élimination. IX, 204. tm-

munit6 des mouvements vibratiles

& leur action. X, 14'?. Quantités

dissoutes dans le sang. X, 22).

Leur échange est facitite par lepoumon. XH, MO. Qui compo-

sent la vapeur de charbon. Xf), j3M. Mot créé par Van Hetmont.

XVII, 151). Voy. Échanges </a-MM.

GAG MtLAnAKT comme anesthé-

sique.XH,;t8.

tNSOmBLE, introduit dans 1e

système circulatoire, il produit

Iamort.HI,)60.

uu SAsc. XII, 24 XIII. 24.

Dans les divers états d'abstinence

et de digestion. III, Ht. Dans

les sangs artériel et veineux,

avaut et après section du grand sym-

pathique Absorption d'oxygène

par divers sucs et formation d'a-

cide carbonique à leur contact

avec l'air; Expérience sur le che-

val. VI, ÏaC. Leur échange. VI,

33!). Leur recherche et leur

analyse. VI,354,at6:),3'!8;VU,161 à n6; XVU, 156. Provien-

nent-ils d'une fermentation ou

d'une combustion? VI, 355.

Leur déplacement au moyen de

t'oxygène, de t'hydrogene, de

l'azote. VI, 355. Modification par

la section du sympathique au cou

surtechevat.Vt,356,–otsur

le chien. VI, 360. Analysés par

la cuisson. Vt,3(!l.–Procède

nouveau d'analyse. VI, ;)65.

Leur déplacement par l'oxyde de

carbone analyse par t'oxyde de

carbone. VI, 368;tX,52;Xff.'t88.

Analyse comparative dans le

rein et dans la veine rénale. VI,381. Analyse comparative pen-

(tanttntt'aysijeticrepnsdf's

muscles et des gtanftns. XI, 2'!3.

Leur exhalation pendant le pas-sage du sang dans les poumons.

XII, (!). Emploi de la pompe à

mercure pour !eur analyse. XH,

491. Travaux de Setschenow.

XV, 446.

GAZ SYLVESTRE. XII, 36'! XVII,

t(:0.

TOXtQfES. !tf. tOA.

GELATtNK. XYt), 298. –!nnucncc

sur la formation du sucre dans le

foie. <;?. 137, tiS; VII, 4)8.

Produit du sucre dans le foie,

donne une décoction opaline. f,

139, 454. Expérience. 148.

Masque la réaction du sucre.

46t. Existe-t-eUe dans te sang?

le charbon animal no la précipita

pas; durée de la vie avec ingestion

de gélatine. V!, 4'!4. Existe

dans la matière glycogène des

foiesdeboeufetdosmuMtesdu

fœtus malgré la précipitation par

le charbon. VII, m. Influence

de l'injection sur la formation du

sucre et de la matière gtycogène

dans le foie. \'H. 4t8. Pour la

culture du gtycogcne. XIV, 4C7.

Son influence sur la formation

de la matière glycogène. XtV, 510.

--Elle est une source do glycose.

XVII, 125. Alimentation à la

gélatine, XVII, 128. Son pouvoir

glycogénique. XVII, 3~.

CE~.t!E. Elle n~ détruit pas les for-

mentttions. VII, t35.

GEMMATtON. XVI, 308.

GEKÉRAUSATtON IX, m.

GEKERATtON. IX, &), 103. Ses

phénomènes no sont pas en dehors

du déterminisme scientifique. IX,

214. Elle transmet les dégéné-

rescences intellectuelles. IX, 216.

Hôte des mouvements vibratiles.

X, 133. Est un dos caractères

de la vie. XVI, 33. Elle carac-

térise l'ètre vivant. XVJiJ, 184,192.

ALTERNANTE. IX, 213.

DES MMTMS. iX, 213.

Page 198: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAULE ALPHABÉTIQUE ET AMALYTtQUK)!<

GKK)!KATtOr< KLTtUitVE. XViit,?().

–SKXUHt.m.desinfusoiro.s.tX,

iM.

–SfOKTA~)':K.)X,KM,t;)3,2t6.

Hxp~noncc.J,~89.

(:E~'ti:SH.i)esccUu)es par forma-

tion tihn'.XY), :)()?. -Par di-

vision, t'hcxh'.svégotaut. XV!,

~(«.(.hcxics animaux. XVI,

MO. Or~ittiMtrif.('.XV)H.2().

GE?<H: Et'tUKMt~tJK. Vi)t, 3tt

GK~tTAUX (OKHAKEs). Membnmf's

4IsYibratti[('s.X,t2!).

GK!St')'0-t:Mft\'AmES (Vo)Kx). G!y-

co~&ue chez: h) fœtus. XIV,

MO.

(:t:)<M)':S.tX,')[,)OR:XV[),&)'

XVUt, ):t2. )!?, 'M8. Lcuf<-m-

boitement. X\'). ~)).– Leurboitomout. ?C1`I, 311, 1.

Leurp)-epxiste[tC('.XV),3)~LHur

pr6form.uiot).XVt,~))2.–Pout-tes!

spcrmatistes, c'ost t'anima) sper- )

nMti()ue.X\'),t(!Pour tes

ovistcs, c'est )'<.nuf.XVt,3[<).

OKHAFt~HHS founus par )'an-.

\'t,~8'

GKnM)~'A'r)t'Ft:t;!n.t:T). Voy. FeMt7-

<< </<nti';ta~t/ 1

~<:)t.tt)~. Voy. A'0)/(!M ;yM'mtM<t<'y.

GKttMt~ATtOK, est toujours ac-

compa~ttco de formation do ttucrc.

!,2M!,ï<:i–h)ftH6t)ce<)et'oxyd()docarhnnc. tiï, )!)t, 200.– Ann.s-

<h6'!if'()t' Ms phénomènes pro-

top~snufjuM.XV),h)- (t

nuHncodt'impression tttmospfKiri-

qup. XV)), )9t<.

att1l0SP,!iéri-¡A.\tMALt;. ), 96~, <<)!.

MES GMAtNËS. XV)t, 359 XV!tt,

9?'). Sot! anost!Msio. XV), M!?.

(.t':RM)NAT)Vt! (TACHE). Voy. ïac'~

~MiM~f.

(VKSt(:6[.K).Voy. t'<<i'et</ey<'rM)!H</!t'<

GESU;<t. XVn, 9M, '!89.

GESTATtO~, son inOuonce sur la

proftuction du sucra, f, ti)'

GLAKMKS. )X, (;{);X, !)). -Cirof-

):ttionm6c<tnif))io et chimique.), l,

tC8. Ne prfsontGnt pai; de ma-

tière gtyco~ne dans leur d~vetop-

pement. ), 9.')9. Leur structure.

i). ;). –Lpm' ctMsification. H, -}.').

–AhM)fpti(j;)parJnsg)!mdes.t!.

)08:Xf).n7.–f-;MM absorbent

rapi()ement tes poisons.n,tC');tH,98ti. A))'iop)ion da prussiatc. H,

t]).–En<'sahKor)~ntriode.f),U). 1.

Ct'ttutesdos glandes. U, 3'!0.

EHesabs()['h(;])t le curare.)t).?8S.

Kttc'. ne sont pa-i empoisonnées

par)RCUt'3rf'.)H,:)3'Cou)aut'

du s;)))g Y('incu\. t, 20G. (~-

)'Mt6rie)tk)ne de t'etat foncHonns)ou df repos. VI, 3~t. Activité

glandulaire comparée & t'acth'ite

muscuiairo. Vt, 32-4. E)in)ination

électivo. V!, 'ii(!, 450. La tibrino

<!t!S)Mra)tdanstf!ttt'SM)g.[t,m.

OxygànH dans le sang veineux.

Vf). )C8, 't3t. Galvanisme, VII,2MS. Sang rottftn et sang noir,i))f!ue)teo nervotse. VU, 970, 2'!8.

La coutour du sang veineux est

d<tenMin(''e j)!n- dcax ordres de

tx'rfs. V)t, 270. Leur enuc)6a-

tion, )ot"iqu'"H('s ne tiennent ptus

()ue pat' i'arttre. Vit, 30t.– Cir-

cuiation. VII, 32;) & 334. Leurs

n<'rft).Vn,-}:)).–(:ou)eurduMn(;,

quand elles sont en fonction, Mp..

deG)uf;<Vtf,OX,449.–Lour

comjMaition.X,M3.–Phéno-

mènes qui suivent la suppreasiou

tf)mp)6te de leur système ner-

veux. X, 398. Leur destruction

est amenée par une sécrétion

énergique ot continue. X,30H.

Lcut' régénération. X, 400.

Elles sont de doux espèces Se-

paMnt du sang les matériaux de

leur sécrotion, ou veMttnt leurs

produits dans le mitip.u circula-

toire. XI, )00. En pleino acti-

vité, elles fournissent toujours un

sang Yf'incux rouge. XL 27f).–

Influence du système nerveux. XI,

3f3. Action dn grand sympathi-

que. XL 334.– Leur sang. XHL t6'

Elles présentent les mêmes phé-nomènes que dM muscles, au point

de vue de )'o!cvation de tempéra-

ture. Xtt), HO. Leur étude au

Page 199: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

HES ŒUVRES t)E CLAUDE BEt<KA[!U. f.S.'i

p<)intdf'4Ued<')aM!f')'i!)('s!!(!n.

\Ht,n.)';f.-Leur tissu. Xi)),

:)'?.'<. –i'ouvoit'ai'sorbantdt'tGtu'

surface intente.XV, &tt.–Hftf's

.s~)))t pourvues dftroi.s ordrf'sdi!"

titx'ts de nerfs, moteurs, sensititx

<'t~ang)ionn!!ires.XV,ol8.–Uit-

ft'renct'entre t'action du système

~nutionnaire, et ce!)o qu'ei)es

exercent sur tes ncrfsmoteurs.XV,

M.').Leur seosib4)ite augmente

avec la section du urandsympa-

t)ti<ju<XV,.536.–Lt'Ut'Mnoibt-

ttiurc~tivc.XV.5: –heur

rOK!(ianaies combustions. XV!,

HO. –t';iycof!;e))f;.X\'t!<

Leur fonctionnement,et!'<*ts sur la

rt'<j)ir!ition.XV)f,3)().Voy.~c'

~M~/<tnf/M,A'Mh'!<<o't</M~~an-

des, ~f! !'t'M.)* </fS 0)'~MM

g'<o?tf/ti~<ï!)'<?~.

GLANnES BE BKtJKXEtt !t, 3MXaturo prccii)~ un teur sécré-

tion. XV, r.89.

~U t~MSTUS, gtycoEcnie. XVH,

&

HKMOPOtETtQUES Xf, )00.

tKft:sTt!sAms. vn, :m.

LACKYMAt.ES. tnnuence <)e la

section de la cinquième paire.

V,'M.

mn'HAT!Qt!ES !X. 84.

M.tMMAtKKS, formation dusucre.

1,465.

–MASSETERtffEftu lapin. ff, M.

MA.X)LLAtRES, expériences sur

le -.ang. Xt, 2'!0.

DK MK)NOat)US, innuence do

);) section de )a einfjuieme paire.

\,M.

-MUCtt'ARES.M.

DE LA MUQUEUSE STOMA-

CALE. Elles sont tasourcu r~ettc du

suc ~a<ttriquo. XV, 5(; Preuves

cxpcrimentak's. XV, 5~2. –Expé-

riences da Prévost et Leroyer. XV,

562. Résultats identifjucs chc;!

les herhivore!i. XV, 5C3.

DE L'OEIL, apr&s section de la

cinquième pairo. V, U2.

–PASCKËATfQUE. Substances .Hi-

minecs. XV. 580. <~on)paraisuu

a'ec)("i landes sath'asrc- XV,

.'<S(!.

GLAXt)!: PAmn!)tE VU. ~S: XV,

.')<). Uu <-hion.t).C;XV.)().-

SuppScntC't!t;urc.i!)< Cc))uh;<

Ktaudu)aires.if.)!t. ){('('h<'t'<'hf.

V.t.')t.Sa sécrétion, ses !!Crfs.

VtL3).'(. Son ti)et nerveux se-

cn'tt'ur.VU. ~X8. ('.auteur

ruti).')nt<' ()c son sang. VU, 3~S.

–DitTct'anc<)vectas~ous

ma\iHaire,aupointdovu('de)in-

flue~nce gangliounaire. XV', SIB.nueuee ~Mutionnaire. X\, .8.

La sum'co dateur innervation est

dans les uerrs moteur!}. XV, ftt!).

Son nerf moteur. XV, .')2t.

Pourquoi )e granf} sympathique

n'exerce sur eHc aucunu actiou.

XV, M~

–SAHVA!RES. Vtt, 20 2~ XI,

20; XV, 2!M, &)3; XVUt, M2.

Historique, i), M.–DiMiuctif))t

e(a)))ie par ]es anatOiNistes. !),M.– Structura comparée che/.

t'hummo et les animaux. Il, .'f~}.

Leur destruction. U, Leurs

cellules. )t, 3S. Chez les oi-

seaux. U, –Chc/. les rcptitos.

40. CiaMincations anaM)mi-

ques. H, 44. Oassiticatious

pftysioiogiquos. )!, ~5. Leur

destruction par des injections dans

tcurs conduits. !L !t4; V)t,2.

359. Action du système Nerveux.

!f. <68 Vn, 3T!. napprochc-

m<'ntavec!epaucrÉM.I!,1':0;

XV, a8C. Action du f;rand

sympathique. Y, t<!3. Leurs

URrfs.V,Ki(i;Vfi, W.–In-

nuence du sang. Vi), '?9. Leur

circulation et influence des uerh

sur )a spcrctiou. Y' T! M8 a Mt.

Procède opératoire pour expé-

rimenter. Vn, 283. Circu)ation.

V)!, 29' Apres section dp.s

nerfs, sécrétion continue do saiivc.

Yi),3'2. 3M.–Subjuguâtes,

teursncrfs. VU,!M8.– Leur.

vaisseaux sout diiates par t'etci-

tatiou de la corde du tympan et du

nerf moteur de ht glande parotide.

Xt, 258. Sang veiueu~ qui les

Page 200: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE!86

1 G)ugoetThiernesse.V[!,4t9.

K!tperienc<fU)')"jetde!tanK.V)!,440.–Action du sympathique sur

sacircu)ation.Vtf.47.').–Gan-

ghon nerveux. tX. 98. Elle peut

entrer en sécrétion sous J'influen-

ce du ganglion sympathique du

maxillaire. X, 344. Action

réflexe surette. X, 3Ct.–Eu

repos et pendant la contraction.

X, :MG. Action paralysante do

la corde <)u tympan.X,;i!)7.–tn-

fluence de la morphine.X)),28C.–

Expérience sur cette glande. pour

démontrer les nerfs dilatateurs

vasculaires. X)H, 227. Diffé-

rence avec )ag)ande parotide, au

point de vue da l'innuencft gan-

gtionnaire. XIII, 5)8. Son nerf

moteur comparé au nerf moteur

de la parotide. XV, 5~4. Leur

disposition anatomique est la

même chez to chien que chez

thomme. XV, .~40. Sun canal

excréteur chez le chien. XV, M4.

Sa région. XV, M. Voy. Cir-

c'f/a<toy! de la ~~Ttt~e sou.<-MfMt7-

<at)'c, Nerfs de la glande sous-

t7inj;tMa!)'e, Sang veineux de la

glande .MM-m<M!7/<nrf.

GLAKttES STOMACALES, ne se

laissent pas colorer en bleu parle bleu do Prusse. V), 38t.

SUBUNGUALE. t), 38, '!<, 90;

XV, 541. -Du chien. U, 'i7, !M.

Action de la corde du tympan,

elle en est [o nerf moteur. VU,340; XV, 542. Sou canal est

indépendant du canal de Whartoa.

XV, 540. Disposition anatomi-

que. XV, 543.–Sa région. XV, Ma.

Ce n'est pas une gtando en

grappe chez t'hommo et chez la

plupart des animaux. XV, M7.

EUe ne présente qu'un seul con-

duit excréteur chez le chien. XV,

547. 11 faut pour qu'elle appa-

raisse que la glaude soit excitée.

XV,.M8.

TAKTAtUQtJES. n, 134.

HE LA TUNIQUE DU DUOOE

KUM. XV, 582.

baigne. XII, 499; X))!, t<!8,)80.

Au))ointdcvuf'<)e!aca)orincation.

X)U, H.'). Leur affinité étective

d<'))]ot!tt'~e pat'ffiMretttQs expé-

riences. XV,<]4.– Action du

cur!trt'.XV,533.Yoy.Ct'rcM/a~t'M

des <<!t!ct<t salivaires, (K!t!j/~on~

des glandes ~H/)M!M, A~ <<

glandes so/tt'nf'M, SaM~ );e!~<'MJ'

des glandes ~a/tpairet, ~s~sfaMJ,'

des .y~fM~M sa/tMM'M, ~<'iMM <~M

glandes salivaires.

GLAMtE SOUS MAXtLIjAtKE H,

M, 90 XV, Ma. Vacuoief g'aBdu-

laires, )t, 39. Chez le chien. tt,

T:,90;X,394;XH), 228.– Action

des norh sur la sécrétion. V, t(i9.

('.outour <in sang veinent. VI,

299. :K)9; VU. ~2. 449. K)[o est

pourvue de deux ordros de nerfs,

les nns dérivent du sy~tèm'; SM-

Rtionuaire, les autres du nerf

facial par t'intermadiitire de la

corde du tympan. VI, 326; XV,

;)<(). Action différente des deux

nerfs qui s'y rendent. VI, 326.

Expériences. Vt, 32?. On ne

peut actuellement en tirer des

couclusions grcuérales. V), :(29.

Rapport de la couleur du sang

veineux avec l'état do foncHon de

l'organe et innuenM des nerfs.

Vt, &0t.– Procèdes pourson~tuda

expérimentale. VU, 2 t. Le grand

sympathique rond noir le sang vei-

neux. VU, 274. Action dilata-

tric<'do)acordedutyn)p!tn,Vff,

27~, 330. Exparioncos. VII, 282.

--Ses veines. VII, 283. Plaie

pour agir sur le vivant. Vit, Ma.

Ses nerfs chérie chien. VJf,

28!<; XIII, 228. Transfusion.

V!), 296. Ses nerfs. VU, 30!,

325,329, 43[;XV,54~Leur

j'oie et leurs propriété!). Vff,3M.

Action du nerf myto-hyoMien.

VII, 304 à :)08, 311, :)3t, 333.

Action du ganglion corvical eupc-

riour. VH, 305, 325, ;)27. Circu-

)atioacapi)taire.V)[t,3))a32t.–

Sa circulation. VU, 325, 329. Son

sang. VU, 431. Discussion avec

Page 201: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. i87

ment dans les liquides secrètes.

Vt,4f!0.–Leurro)H.V!,400;XH.

22.–Durée de leur vie. V!.t'!).

Leur diminution. Vt, 4!<0.

C'est en eux que se passent )''s

phénomènes chimiques de la res-

piration. )X, 4t); X)), 400. Sous

l'action des modifications innam-

matoires de la fibrine. Xt, t04.

Action de t'arsenic. XI, Ht.–

Leur destruction ou leur altéra-

tion entratoe la mort. Xf, 440.

Séparation du plasma. XII, )C.

Leur constitution chimique. X!I,

410. Leurs fonctions. XII, 4)L

Phases successives de la divi-

sion cellulaire. XVt, 306- Au

point de vue de la respiration.

X\H,)80.

GLOBULES BLANCS. tX, Gt XH.

40). Us constituent i'e)cmcnt

plastique du sang. IX, C2. Se

développent sous t'iunuence du

sucre, t, MA, Leur <!iapedese.

XV 39!. Des animaux supc-

ricurs.XV!L24.').

GLOBtJUXE du sang. XII, 4)),

4M; Xfi!, )9?; XVII, 277.

GLOSSO PUARYKGtEK (~EKF;

Voy. Ne''y <y<o!so-~Aa)'~?tyt?n.

GLUCOSE, s. m. On doit dire Glycose

s. f. Voy. ce mot.

GLUGE ET TH!EMKESSE, Colora-

tion du sang veineux g)andu)aire

dans les glandes en fonction. VII,

442,449.GH!TEK (PAIN DE). XtV, 425. Voy.

Pain de ~/M<en.

GLYCEMtE, elle a pour conse-

nuenee)ag)ycosurie.XtV,H4.–

Elle est corrétativo à la glycosurie.

XtV, 141. Son origine alimen-

taire. XtV, 159. Histoire criti-

que. XIV, IG2. Essai do critique

expérimentale appliquée son

étude. XiV, t88. Influence de

la saignée. X(V, 412. Influenco

de l'abstinence. XIV, 4f2.

ALIMENTAIRE. XtV, 127.

AKtHALE. XVH, 46.

EXt'EtUMENTALK XIV, t~t.

XORMALEoufHYStOLOGtQUE.

GLANDULAIRE (AppAM)L'. Voy.

¡Sa?;o de /'a/!pa''f:/ ~<MK<M~atr?. f

–(SYSTÈME) du fœtus, gtycogèno.

XtV.505.

(TMso). X)H, 325; XVIII, 267.

Ses réactions, H, 368. Action

de l'alcool. III, 433. t) est une

source constante do chaleur. X)H,

t83.

GLANDULAIRES (ËLÉMEfTS'. IX,

68.

(OKGAKEs), circulation douMe. t.

t68, t86 Vif, t65. Comment on

doit c&rMterMcr leur état fonction-

ne!. V, 323.

(VACCOLEs). Voy. ~MCMO<M .?/an-

dulaires.

GLAM~LES buccales. n, 93.

f.USSOK.theohoderirritabUite.

X,C5;XV),24:);XVft,i33.

GLOBE OCULAIRE, son exploration

pour constater la perte de la sen-

sibilité dans l'asphyxie subite, ttt,

235. Ses mouvements. V, 218.

Nerfs moteurs. V, 222.

CLOBULE DE GRAISSE émulsion-

nee.H,3n.

GLOBULES DU SANG. I, 200; Vf,

452, 4SO; )X, i3; 48, <;t, 95; XII,

)C, 32G. Pendant la digestion.

!f,3n.–Action de l'oxyde de

carbone; il agit uniquement sur

eux il les paralyse, on depia-

çant i'oxygene; il les tue en les

empoisonnant. Ht, )83,t8'Vi,365; JX, 50, 207; XI, 85; XH,

39~, 402, 409. Action du sang.

Jtf, )87. Ils ne sont pas al-

tcres anatomiquemont, leur con-

servation parait être plus proton-

gée, III, )93. Détruits par

l'acide pyrogallique au contact de

i'air. )!i, 222. Sur l'animal vi-

vant, ils ne cèdent pas leur oxygène

&i'acidopyrogaUique.H!,222.–

La couleur du sang y réside. VI,

271. L'oxygène y est fixé à l'é-

tat de combinaison. VI, 366; IX,

186. Ils tombent au fond du

sérum, memesm'tevivant,chez

le cheya). Vt, 432. Leur lieu de

formation, passent-ils normale-

Page 202: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAULEALPi!AMT!QUE ET AXALYT!QL');<88

Donne tien atous)("i produits

t'H!'sniidon.Vit,)M.–)nf)uo[ic<'

dp t'injcftion de gélatine sur sa

formation dans iefoje. Vf),8.

Sa formation dans )'amniot

dnhetus dos ruminants. IX, )()<).

-t~)on'existfp)u'.dansjefoie& ic

tanndeptnsioursmatadies.Xt,

)!-t. Sa composition chimi~ne.

X!V,30:Ses dérives. XtV,30:

--Saprocipitation.XtV,3():

Los matH'rt'SMOtcca peuvent se

tMustormcrcngiycogÈne.XtY,

.38.–EtiGuf'setrausformopxs

cnsucrodati.sJcsmusctes.XtV,

'!?!(). Tetitatives cxpënmcuttUcs

retativenicntàson origine !th-

mcntait-c. X< 4<![. Sa cuttm'o

par t'atbumiue.XtV,-4 (!EUc

est iosofutdc dans ('atcoot potasse.

X)\4H7.–Innuenccdetagct!)-

tinc sur sa formation. X!V, 5t0.

tunucncf! df la );o<nmesm'sa for-mation. X!V,)28.Influente du

su';rcsu)'saf<))')t]a.tion.X)V,M4.

-fnnueucRdeiagtycoscsursa

formation. X(V,M' Son in-

Ouencc sur la fortnation du gtyco-

genc. XtV, M!). tunucnce de

!'eth('r sur sa formation. XtV, 5!M.

–Jnfiucncc de la fibrine amidon

sur sa formation. X[\)4).–h~

nuent-es diverses sur sa. destruc-

tion. XIV, M2. Hetttions qui

existeut entre sa présence dans

les musetc!! Gt dans le fnio. X!V,

5)4. Roiation de sa présence

avec la reaction des musctos. X)V.

.')HO. Ses réactions. X\'t[, ~<.

Son instabUite. XVH, 5C. Son

absence dans les séreuses. XYt),

Son 6votution. XVH, 80.

Mccattismo de sa formation. XVtt,

Ot.–Son absence sur le trajet

des artères.XVtt,9~Dans )'c-

tat hiberna.). XVH,)0'{. -Chez

les mo)tusf)ues gastéropodes et

acephates. X\'H, Un.–Sa rota-

tion avec tanutrition du système

muscu)airc.XVt!,t3).–Sapro-

ductiona'est pas empêchée par la

veino-porte. XYU, 3'!). Expe-

X)\)'~C:\V, -Expériences.(

Xf\on<titi(insexpcr)- 1.

meuta)<'sft<'nti) faut tenir compte.

X)V, f'S. –('est un phéno-

mènephysioto~ifjueconstant,chf'x

t'ttomme et )e'i animaux,et inscpa-

M).te<!e~nu)n<iot).X!V.2M,4()2.

–HH<'présente une osciiïation

physioto~ifjueinfe'-s.'tnte, Xt\,

409.–E))e est, dans toutes les

f*s)n''<'es t!numa)f's,indépendante de

)'ahm~tatinn.X)V,~t't.

<.LY<:KMU: t'ATHttLOCtQUE Sou

exagération pr6a)ab)o est ta con-

ditin[tUeceMX!e du diabète.X[Y',

-M9.Kst-c))c indépendante de

!imc))tatif)n?X)V,'S'22.Lé-

sions atMtomifjues qui sont ta con-

sÉqucncc de son exagération. XfV,

.4M.

GLYCKKt~E. Rans !c traitement du

(!iat)ete.X)Y,4CO.

(.LYCOCEMtQUËS (Oscn.t.ATM.fs).

Yoy. 0.<e<f~< y/eoct'~i'yMf~.

<,LYCOt.E~H (CE[,r.t!Lt:). Yoy. Ce/-

<yccty<'Me.

jMATtËBE ou t'KfxarE), ou CLYCO-

<,)EKE.V)'t,2')t;)X,8t;Xt\

-M~ XYU, 3'!0, 5)9. Cnmpara-

tivement'.tnr trois chiens nourri.s

aYHC);c)atinc,K~seetcau.ï, I,

t4!);V!8.–K)tc est détruite

par les maiadies du foie Hx-

pericncc.t, <8< JnHuences

diverses, âge, sexe, etc. I, )!?.

E)io préexiste dans )H sucro. tV,

46G. Sou procède d'extMC'tO! 111,

tV, «;< Sa préparation.

468; V)],Son isolement.

!V,'i(;!). Ses caractères phy-

siologiques et chimiques.!V,-t70.

–Sa transformation en suer'

n', m; x!v, :)');; xvn. M.

Mécanisme physiotogique de cette

transformation. et par suite sa

production. !V, '476. Hffets de

la section de )amooUe.)V, 482.

La getatine y existe daus tes

foit'sdehucufet)csmusc)esdu

fœtus, matgro ta précipitation par

le charbon. VfJ, <25. Actiou des

acides et des ferments. Vit, t20.

Page 203: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

I)ES Œt'YRES DE CLAUDE BER~AtiD. 189

période ()'hihcr));uinn. XV!), )02.

-LYCOt.KXE HANS LES GLAN-

nES.xvft.tG.

"Et'ATQt E Voy. G/yc~~MC f/M

foie.

CHEX LES t~SE<:TES.X\)f, 03.

<:HEX LES LARVES t)E MOU

CHES.X\U,m.KES MUSCLES, t. M) )X. )73;

XfY.4'2'i,544:XVn.7.

nAKS LA t'EAU X\n, ~2.

Dans les :tunc\cs d'' la peau. XV]J,

13.

DAKSLE PLACENTA '.)("! ron-

geurs. XVII, <j). i)es carnas-

stet-s.XY)t,C:

UAXS LES rLAQUES DE LAM

XHtS. Chez h.'s rumiuants. X.\H.

<?.

DAKSLA SmtACE CUTAKEE 1:

du fœtus. Xt\. ;:)'<.

MA~S LES SUKFACES MU-

QUEUSES. X\n, 14. A la sur-

face de la muqueuse mtestin~tc

du fœtus. XtV, 4!)8.

nAFfS LE SYSTÈME HLA?(DU

L.AttŒ du fœtus. Xf\, .')~.

))AXS LE SYSTEME KERVEUX

du fœtus. XtV.)()).

DANS LE SYSTEME OSSEUX

dufœtus.X)V,M)t.

CHEZ LES T~~tAS.XVU, Ht!.

DANS LES TISSUS FOETAUX.

XVU,Dans les tissus li-

mitants du fœtus, surfaces cuta-

nées et muqueuses, cpithe)!ums.

XtY, 403. Dans !os nssus inté-

rieurs du fœtus. XtV, 50).

DANS LE TiSSU MUSCULAtRE

du fœtus. XiY, &M.

SUR LE TRAJET DES VAIS-

SEAUX. XVII, 64.

SUH LE TRAJET DES VEUSKS

X\'if,!)3.

VEGETALE, son anaiogie avec

ta g!ycogëiie auimato. JV, 478.

CHEZ LES VERS nE TERRE.

xvn.u~.

DAXS LES VtLLOStTES de l'am-

nios chez les rumiuants. XVU, 64.

DANS LES YOtES GENtTO

UR!KA<RES du fœtus. XIV, 50U.

rien!'espou)'jt)f;eriapo-ihi)i!edc

sa transformation. XV)). 3').

itÓ d()

t

<.LYCO<;J:~E A~itMAU; Son ana-

)ogi(!aY('ciagh'FOS(;nev6gÉtatp.

)V.;78.

DAXS LES ANNEXES M:

L'EMORVO~.XVtt.t.O.

CHEZ LES ARTICULES XYH,

Hf).

MESASTtCOTS XtV. 4M.

HA~S LESCMLLULES M; FOU;

X[,3:!().

CHEZ LES CIIENILLES. XVII, I!t.').Ct'YLEUSE, formée par sucre

et amidon, l, «!). jl.HAKS LA CtCATRtCULE DE

L'OtSEAf.XVtr.i)'

-CUEX LES CRUSTACES XYn,

uo.

CHEX LES CYST1CERQCES

XVII, UG.

Ct)EX LES DOUVES DU FOtE

XYU, )Ki.

CHEZ LES KCREVtSSES. XVH,

tt0.

DANS L'EMBRYON DU POU-

LET. XVH. ')5.

CHEX LES Ei\ TOZOAtRES XVH,

ue.

–DAKS L'É['tTt)EHUM XVII, 96

DU FOETUS, existe daus les pou-

mons,les muscles de foetus de veaux

et non dans les glandes ni dans

le système nerveux, pendant tour

d~velol>pement. I, 253, 25J.développement. t,2.')3,25i).

S'aeeumule dans le foie, après sec-

tion de la moelle. IV, 44't. Dans

les muscles et dans le foie de f<e-

tus humains.Vt),)3.'<.

DUFOtEouMEt'ATtQUEVU,t23;X!V,t8),544.–Apparei)

pour t'obtenu'. VII, t24. Sa fer-

mentation dans )e foie. VII, t2G.

–t)ans)e)bie)ave.V]t,t3'

Influence de !'a.Um<Mmttion. X!V,

308. Sa formation. XtV, 33'

Du fœtus. X!V. 500. –Le foie

est le lieu d'etection de sa forma-

tion.XV),X38.-Cheztesoiseaux.

XVII, 9' Chez tes poissons.

XVII, 99.–Eu dehors de la

Page 204: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE)90

GLYCOGEKESE CHEZ LES MP-

TtLES.XVH,)()t.

CH EX LES rORTUKS. XVtt, 103.

CHEZ LES VEHTKBJtES & sangfroid. XVU, 08.

G L Y C 0 G K K Ë S t Q UE (FoxcTMN).

XYH, 88. Voy. Glycogénique (fonc-tion).

GLYCOGENEStQUES (Ttsscs). Leur

rt'action. XVtt, t3). Voy. G~-

C0ty<'?!<<t' (tissu).

GLYCOGE.~E.),3M; m,<39a4CO;

IV, 46.')-) VII, tH, 1M. Dé-

truite par !'é'at morbide. [, 188.

–htnucncadu froid. J, )9), t94;

t!)S. Arrêtée par des enduits

sur la peau. f, 206. Critique

expérimentale. t, 960 2'!5.

Examen des objections faites. I,

2m, t5t. !nnuenc<; de la sec-tion des vagues au-dessous des

poumons. I, 33C; Ytl, 137. Ef-

fets de la section de la moelle. I,

3':< & 38.3. Effets de la chaleur.

1,371. Part de l'action nerv euse.

3' !nnuenco de la moeUe

épinière. 3'!2, 384. Sa perver-

sion. 1, 383. Son arr&t amène la

mort. t, 411. Arrêtée par la

fièvre. I, 4)o. Travaux confirma-

tifs de Lehmann, Poggiale, Le-

conto. t, 47t. H<~um~. 485.

Discussion. 487. Influence

de [a suppression de la circaiatioa

du foie. VII, 13G.ANIMALE. YIU. 289: XYL 2Z8.

EXAGEREE. XtV, 437.

FOETALE. 388.

DU FOIE ou HEPATtQUE.

VU, 97 IX, 80. Est constante

et indépendante de la nature de

l'alimentation. t, t57. Théorie.

XtV, 306. Deux phases acte

chimique, acte physiologique ou

i.-itai.X)V,307.

VÉGÉTALE. IX, 82.

GLYCOGÉNIQUE (ËMMEUT). IX,2)0.

(FMMEXT). Voy. fefMitit glyco-

~<'M!~MC.

(FoE) Voy. Foi'f glycogénique.

(r'osMMN) du foie. 31, M8, 505,

GLYCt'GEXE t)AKS LES VOIES

RKSPtRA T<ttRES du fœtus. XtV,

MM.

GL~COGt~ESE. X!V, t8! XVU,

33. Circonstances expérimen-

tales, importance de leur examen

critique.X)V. )8). Procedesope-

ratoires, h'urimportanco.XtV, t8t.

Le système nerveux exerce son

action sur elle par le foie. X!V,

403. Ses rapport*! avec i'aHmen-

tation. XIV, Mf). Ses rapports

avec )o protoplasma. XV!, 3.tU.

In<!uencc de l'asphyxie. XVU, )00.

-Ses rotations st'cc la mue. XVII,

tH. Son caractère ~aéra).

XV! t3' Son caractère vital.

XVU, t38. MueMe des exci-

tants. X\H, 378.

AStMALE, decouYorto. X!Y, 80.

OAKS LES ANNEXES DU FOE-

TUS. Xti, 5a5.

HAKS LE CORPS DE L'EM

BRYOK des mammifères. XVU,

EMBRYONKAtnK. XV!, 237.

hAKS LHMBRyOK n'OISEAU.

xvu. t:n.

CHKX LR FOETUS. XIV, t8S

-DU FOtE OU HKt'ATtQUE XIV,

2S~, 2M. Examen dos critiques

faites à cette théorie. X)V, 3i3.

Théorie vitaliste. XtV, 347.

DANS LES GLAKDtiS DU FOM

TUS. xvn, &)&.

-CHEZ LES GRENOUtLLES.XVU,

!0i.

DANS LES MUtTRES grasses.

XVII, 108.

–CHEZ LES tNVERTEBRES XVII,

tOfi.

CHEZ LES MAMMttEKES peu-

dant la vie embryonnaire. XVtt,57.

MAKS LES MUSCLES du fœtus.

XH, 555.

DANS LOEUF DE MOUCHE

xvn, i3'UANS L'OEUF DE L'OtSEAU

XV! m, 555.

CHEX LES OISEAUX. XVH, 57.

FtnStOLOCtQUE. XIV, 273.

CUEX LES POISSONS. XVII, 98.

Page 205: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRESDE CL.\CDE HERXARD. t9t

5)t):t)f.440;n',i66:XV!f.4;)t f

–t'Hc ne rommancenu'itune cer-

I(

taine période de )avieintra-uté-< (

riM.i.H~unu''nces(jui agis-

sent surette. !.[:)i.t)Huence

de t abstinence. f, ti!C. tnnuence

de l'alimentation. ), H3. Chcx

)e fœtus, t, 23!). tunuence

des nerfs. t,~2'Sa. perver-

sion. f,t.–Hxpcpicncesitft'

sujet. ),.tT2!t'arttcuiaruc'-de

ces pxpcneHces. 3'!2. Part de

ta.f<'rmf'ntation.I.3').–RfYUH

succincte des objections faites h la

décou\'ert.f.448.–Résumé des

fait--qui retahUasent. 1.480.–

EOt't'sttroubtéepartasectiondu

))n!'umo-p;astriqtM.Y',43t.–E!<f

i)'ari<'nd('commtmavt;c)e'! acci-

dents d''t'a)imGt)tation.VH,)n.

)nnueuc<! de ):< température.

\tf. ):Sa découverte. Xi~.

n4:XV,'?i).T)'a\'auxconfirma-

tifs. \fV, )'!G. Objcetions et in-

terpretations diverses. XtV, H!).

–Vues~'net'ate'. sur ios relations

qui existent entre e))o et le dia-

bète. Xt\. 40t.–S.tdif)u'iion.

\VI[,

(tLVCOCKKtQfE (FutHR). X!V, MC.

–Constant. XtV,3').

~SKcnÈTtox) du foie. tV, 4C4 X,

4)' Mécanisme de l'action ner-

veuM.t2~Ho)e du pneu-

mogastrique. 329. Hû)e fies

poumons, i. S29. Mte de la

moeHecpiniere.338.

--(SYXTHÈSE). \'0y. Sf/M~Me '?'CO-

;y~Mf<ytM.

–'('t'MEOME:. en générât.VU,?,Uti.

('['NSL'i. Voy. /<MC<'OM~ du <M~U

<<'o'/ftt~Me.

CLYCO<.)É!StQUES (CELLELEs). voy.

Ce/<M/es<ir/i/<'o<y<ftt~MM.

(GRAxm.ATtoxs). \oy. (rt'aKM/a-

<!0nt' ~<t/C')y~~<Kff.

(MLscf.Es). Voy. AfM<c<e~ y~coy~-

n!<jft<M.

(t'LAUtJEs). Voy. P~O~MM ~yco-

~<'nt</Mf5.

(t'OL'MOXs). Yoy. POMMOM~ ~CO-

~M)!Mf)'

f.YCO(,t:~tQt'f:S (PnopniHTÉ~. dfM

poumons du fœtu. ),;(!))!.

LYCOS); ), 38: X!V. -2M: XV)!,

)8. 34. M).–Limites de sa des-

n'Ut'ti))i)ite dans )'or!inisme. t,

'?'Hcsn)tatsd'e\pcrif*nccs.

I,t2~tnnuenccdudt'sredcconc''))trationdetadissoiution.L I.

?~innuf'nredatacomhinai-

sou du sucre avec te sel marin. 1,

*8.–«esuhatsd'expcriences. I,

2M. Sa réaction sur)''réactif

cupro-potassifjue.enprcat'ncRde

rat))umi[)ose.H,4'i!;).–Sonia-

ftuencf'surhtformationduRtyco-

~nc.\tV,~3'Hncf'sttin~it'-

mf'at f'ssGQtie) dans les échanges

vitaux. XVI), 35.–K)te existe

not'maiemcut dans l'organisme

animal, elle y prend naissance.

XY[!5.–Sescaractercs.XVt!,

4~Kneseformedans)'or~a-nisotc animal et dans t'or~ani~tnf

vcuctai par le même procëfie.

XVII, 49. Son origine chez

les animaux et chez iesYfgu-

taux. XVU, tn. Ses sour-

ces priccipates sont l'amidon

animal ou végétai ou la saccha-

rose, changés eu glycose par lesferments gtyeosiquc et inversif.

XYU, m. Elle est formée par

la iactose sous l'influence du sue

pancréatique. XYU, H2. Four-

nie par l'amygdaline sous l'iu-

nuence de l'émulsine. XVU, )23.

La saticino en est une source.

XVII, n4. La gélatine en est

une source. XVU, t9a. Le tan-

nin en est une source. XYU, t25.

Sa transformation invorse en

amidon. XV)!, 127. Kn réserve

et en exercice, chez les animaux et

chez les vénaux. XVII, 3~4.

Sa régression. XVU. 376.

MAKS LE fOtE. Sa production.

X[.9;T.

DES FRftTS ACIDES. XV!H79

DE L'INTESTIN. Leur absorp-

tion. XIV, 262. Leurs transfor-

mations. XtV, 2C3.

DANS L'OEUF. XVII, 81.

Page 206: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAftLE ALP))AMT!QUE ET ANALYTIQUE)'

tion''&!amcd<;cm<Xt,M.').–

frontispice du De.<Kf'<'o~<-

ct'M~co.\V,59.

(;KA!i<<t:S.XVf.3S.–Leurvie)a-

tente, expériences.XVL <). ~L–

Leur as.simitation avec i'H'ufn'R'it

pase\act8aupoint<tevu{'deta.

vio)atcnto.),!)'Leurton-

~cvHt'.X\).3!)0.–Lcur:'sp)n'\ic.

XV!t,!8!).– Leur germination.

XVU. :).). XY))).2M.

f;KA!SSt!.f,ÏU?.Sf)niunucn<c

sm')afoi')n:)tinnthtsurre<)anaic

foie. !,tH(!,):ti.Ne tra-

verse jM'itofoio.Lt'i (i.-Losncrc

se''han~R-t-ttcn graisse.t,tC!

–inHuetK'u sur la production <)u

sm'rt'et de la matière j!);co~ne.

),)}8;n.-U8.EUe provient de

la transformation du sucre par te

foie,<')ip.),)f'tnje<'t<'c dans

les g!andf'~sati\'ait*e'i,c))c les dé-

truit.)),))~Acidification de ta

graisse.t),&t'tf'rptwn';hM.

tes oiseaux.n.:)H.–Absorption.

U,t.–S:t)bnMtion.)X.m;

X.'iU' Son passage dans les

urinas.fL):M a. f48.–Sa diges-

tion par le suc pancréatique. VU,

!)))' ML– Action du suc in-

testin~L \'tt.8:<05.–

t'our)aeuttureduf;)ycot<ette.X)\

~M.–Action de la hite.XVU,

:.)()'). Voy.C/o&M/e ~<v.Mf,/n-

ypc<t'oM de y<'a~<

nES AStMAtJX. Son origine.

XVII, 30.

KMt'LStOKKKE. )!. ~t7. Par

te!<uc[)ancr6ati<)ue.\UL96~.

DU LAIT. VH, Ï:)u.

KKUTRË, objections c~'vees

contre.Mdigostionpartasucpan-

c['eati()ue.Vtt,M'i<!3.)'~anu)n

do ces objections.YiL3M.

MAKS LU TISSU Ct:LLUt,A)nt:.

)X,2)7.

GRAtSSKMSE <AUMK'<TAT)0~ Voy.

~/<MM~0?< ;Vft~CMM.

CttAKM MKKTKLK (~'HftF nu). 8en-

<!ibititerccurrcn<e.y)),M.

fiKAKn nyt'Ot.t.USSK. \oy. Nerf

yx:n(/ /)oy/o~e.

n~.)mitt''t'\ist!H)tav!H)tritu'ttba- f

(it,n.n.S.'t.–Variations pt'n-

dfu)t!'inf"h~i"X\t),8H.

<;t.(:<'SnmJSA~(:.)''uri<t)'nii~

avt'ct'tU'HX'diahetitjUftcticsucf't'

d<'f6ctt)c.XtV.2M.- L'-urpas-

!ias<'danst<'sanK.X.)\.a(t3.

-iH!L'UK~)'X~

CLYCUS'QCK (t'')t"MH'<T). Voy. Ff'-

xt''ti/<cn.<t~x'

FEftM[-~T.t'rfnx)Yoy.~<<-

f~)M~~t/c') .<!<<

CLYCOStQt'KS (XHSEnvEa). Voy.

Hf.~~M~~M~MM.

(;COS<tUt:3H,4'!):Xt,M.

XiY.(:t,(n,t7t.- KUot'stit)-

dt'j)''n<tantt'<t(!)ap())yurit'. !«'

–S«nm['fa<nstnt'.Vt),m.–h!-

n~ent-('<)u!.y6.t6n)f'nerveux.X~

';)._E)tt!n'es<<juc):t<'t)n')<

f)u<'))cHd<')&K)y''<MK')'

–Kt)ct<')t''t:trr(')a<n't'&).ntyf'-

)ni<tY,)'

pt~mc.X'V.Ses rapports

at<r)t'di!tbt<c.X)V,i(7.

-AHMt;KTAmE.Xt\.S;(.

KXt'HMtMHKTALE. Son tm'ca-

canismc. X!V. M3.

UUMMK.XVH.S'). Sonin-

uneocc sur i.i formation df'hma-

tit'o~!yco'iiqut*.X1V,S.

(.OUT, w" aUcration dans ):) parfi-

)ysiH<;tufMi:t).V,HO.Son:

tcMtiou dans t'h6n)ip)t''gi<' hci~tt'.

V,)2'Sonattt!'rati<')ndansh)

part)ysie do la forde du tympan.

\t''A.HX.–Son:tttëratif'n,chc?.

le chien,aprcsta section du fada)

dans)c<-r&ne.V,M't)Jf!u<)Ufo

de la corde du tympan. V, m.

Sfs nerfs. V, ÏM. Son organe.

V. 23!).

GOUTT!)!KES dn Schwann. XV,

)t'd)'t'n'Ut!On'.XV,ttf);–

dcB)oudtn<X.V,'a'0.–d<'C)!m()c

Bernard.XV, )M. –)nst<))ation

(iei-anim:n'XV.)St.–BrM66

deC). Bernard. XV, ):)ï.

GHAAF()<<'gni''rd('8ucpam-rt''ati-

que. Il, n' Il a conipris ce

que (tavait ~tre t'cxpcrimentation

physiotogtque daus sos app)ica-

Page 207: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

!)ES (EUVRES DE CLAUDE BERNARD. )'):ta

<;nA!<rn ttOMMH il est fonction de

Mntetnj)<i.XV))f.9-

CKA~O SVMt'A rttt~tUH (\EnF tV,

M7,3)7;V,!<~&O.M:');V",

37. Son rôle d:)n'; la circulation

d'u!)or);anf*.t,34t."Scnaction

dans la région cervicate. (, 30.

Procède opératoire, f, MX. Rc-

suttats. t, 342. Le curare n'agit

pas sur lui. 38). Parah'so par

le curare. Ht, 34!). Action de la

nicotine. Ht, 40A. -Ses ganglions.

)V. t'!6; !X, 38. Ses retations

anatomiques avec les paires npr-

v't'neR rachidiennes, tV, 29'?, Mt.

Analogies et différences df

structure. IV, 2'M. Ana!tg)cs et

différence!; do propriétés. )Y', 2!)!).

Comparé aux nerfs du système

cérébro-spinal. IV, 300, 317 X,

<2);Xt,MO, Mi;, ":?, 344.

E~p~rience'! dh'urses. tV, 3n.

Son action motrice et son action

<tt!ns)tiYe.(V,St9&r.–h-rita-

tion des diverses parties, grande

variété d'offet~ obtenus. )V, 324.

Mouvements produits par son ex-

citation. IV, 358. Donne lieu à

des mouvements réflexes sans in-

tf'rveation de )a moelle épintcre.

1 V, 364. Ses excitations peu-

vent produire des mouvements

dans les muscles de la vie exté-

rieure. IV, 36'?. -Sa ligature dans

)*' ventre détermine des mouve-

ments dans les membres posté-

rieurs. tV, 310. Sicgo des con-

vatsions. !V, 374. Effets sur )a

salivation. V, 160, )65. Chez )e

fœtus de cheval. V, )62. Son

action sur les g)and< salivaires.

V, !63. Ses filets ne tiennent

pas leurs propriétés motrices des

ganglions qui se trouvent sur leur

trajet. V, t68. Son action sur

les sécrétions Mth'aires. V, i'!0.

Son influence sur les mouvements

defapupitte.V,ï)0&2t7;V!

336. i) agit sur t'œi) comme Ja

nicotine. V, MO. Difficulté ac-

tuelle de son histoire physiologi-

que. V, 46!). Son influence sur

!aca)orifit-!)tian.Y.4'M;Vf.):M!.

X),t.–)nfh:onrcdpsanc'it))6-

si<jUes.Y,M)'Sona<'tionsur

iavascutarisa'inn.itfaitcontractfr

tes vaisseaux. V,)t)4;Xf.?5C:

XV,M~Sapara!ysiG.V,)09.

Son action dans ta production

surp)ac<;detaehat<;ut'.après!a

!igature(!esv<'inp<.V,)()8,.W).–

Ablation des ganglions. V. &30.

Son action sur ta formation du putdans les muqueuses et dans les sé-

reuses. Y, .)N) VII, 428. Son

influence sur)'œi).V, oM.–

Effets sur l'inflammation de œit

V, aM. fnnnonco sur la pteurd-

sie et la péricardite. V, 536. Son

influence sur les cpanchements sé-

reux. V,5a'SoninOuencesur la

pression du sang dans la face. VI,

9M. -Son inftuen''c sur la forma-

tion du caillot blanc du sang. 'Vf.

'!t0.– Son action sur )a<'omposition

du sang. V!. 4f7, -i2~, 430. Du

cnu. son influence sur la pression

du Mng. VI, 42i, 4?~. 49. ln-

fluence sur la coagulation du sang.

\t, 434. Son innuenco sur la

eireulation de !a tète. Vt, 4M.

A~Mnsur~SM~M)MSM~-

tMM.2~M~

Il read noir le sang veittom de

la glande sous-maxillaire. VU, 3~4.

-Sensibilité récurrente. V!t, M4.

Ganglion cervical supérieur.

VU,30a. Sa Sensibilité. VU, 325,

333, 420. Action snr les sécrc-

tion'i sus et sous-pytorique. Vff.

3M,40:'<Action sur ia~frf-

tion intestinale. Vt), 3!!), 405.

Influence do M paralysie sur tes

sécrétions, il s'oppose à la sécré-

tion par son action sur la circula-

tion. Vit, aT); XI, 336.–Sesori-

gines à la moettc et son origine cer-

Tico-cephaiique. Vtf, 396; Xf.TSO.

9M; X!tf, 212. Son action sur la

circutatiott de la glande sous maxi)-

laire. Vn, 475. 0 est coostric-

teur des petites artères, et ralen-

tit la circulation capillaire. IX, 64.

Ses cellules dans la moelle épi-

CLACDEBEHfAKD.XtX. 133

Page 208: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALffIABËTIQUE ET ANALYTIQUE)M

nipre.X,3)5.–Ses actions re-

nexes.X,363.–Ses filets dans le

musc)o.X.3'!5.–Mouvoments

réflexes qui so produisent sous

so)iaction.X.38');Xt,3.'<). –Ses

nerfsproduisKntieresscrretneut

des vaisseaux. X, 40!). Sa para-

iysie augmente l'activité des phé-

nomènes chimiques. X,4t0.–

Son rôle général. X, 421. Hap-

port avec la pathologie vasculaire.

X[,)04.–SonrôtedansriuOam-

mation. X), t04. Son point d'é-

mergence. X!, SAS, 3'?'i.–Ses

fonctions. XI, 261. Ses fonc-tions chez fo<( batracions. Xf, Mi.

On sait aujourd'hui pourquoi il

émane de la moelle cpini're. X),

9')' Le mot yt'aod sympathique

doit être rayé du yoeabutairc scien-

tinque. XI, 'Mt. Son action sur

les glandes. Xt, 33~. C'est )c nerf

de la nutrition proprement dite

ou ptutot de )'a.'<~iini)atiou. XI,

336. Il modère la circulation

et diminue la température. XI,

33'Ses propriétés sensitives.

XJ, 3. Son infiuence va.so-

mot'-ice.Xt,3G),3'iM.tGstte

nerf des yaisseau<, présidant aux

phénomènes des circulations lo-

caics. XI, 3'!3. )i possède deux

ordres de sensibilité. X~ 3'!i!.

Il scmbto agir sur les vaisseaux

par les anastomoses. XI, 383.

Expé'Mnce. X!, 383. Kst. .'o

seul nerf qui ait la propriété d'a-

gir sur les phénomènes circula-

toires ? XI, 38' Considérations

historiques et anatomiques. XIII,

Ma.–Fibres trophiquos dos nerfs

moteurs. XUt, 2t6. Fibres sé-

crétoires des nerfs moteurs. XIII,

'!tC. Il tient sous sa dépendance

les phénomènes circulatoires. XIII,

222. tt constitue un appareil fri-

gorifique. X))t, 223. Son action

thermique. XUt, 288.-C'est un ap-

pareil d'arrct, un frein. Xtff, 30'

Son rôle dans t'a~idite.XH),30'

Importance du rôle do la scn-

sibilité comme point de départ dos

actions rcHexes qm s'y produisent.

X!)t,3(n.–Action frii!orinqueou catoritiquo et conditions phy-

siologiques qui tt"i provoquent.

X))),3)6.–Cordoncorvicatchex

techevat,expériences. XtU. 3)9.

–Son inertie et sa ,'iuractivitÉ ré-

pondent h des ph~nomÈneschi-

mico-p))ysiquos bien détermines

ettoutafaitopposes.Xt0.334.

–SoHinnuonceKm'tayenosito

du sang peut se rattacher en partie

à son influence sur la chaleur.

Xiit, 3'!G. Expiication des rai-

sons pour tcsquettosi) n'exerce

aucune action sur tes parotides.

XV, 5Ï5. Voy. Cellules du ~)Wt<<

<t/n<A!'<j'Mf~ Cfrt'/M/f/M

~<!M~ sympathique, Gunglions du

grand ~yMpa</«~Me.

(.KAND SYMt'ATHtQfE (GALVA

KtSATtON CU NEKt'). V, .~98, &)5.

Dans diverses régions. IV, ;)2G.

KHets sur la chaicur de t'orei))e.

\))3.–Chez les chevaux, ef-

fet sur la chaleur et la circulation.

Vf,)).–EUe produit la con-

traction des vaisseaux. XI, 2.')7.

Galvanisation du bout périphé-

rique coupé. XI, 2(! Elle dé-

prime ou abolit les propriétés

vitales. XI, ;M3. Pendant la

mastication. XV, 5i9. Effets sur

l'estomac. XV, 573.

(SECTMN OU NERF). I, i9 Vnï,

M?; XV, 28?. Section dn fUct

cervical. ))[, 380.–HHen'empc-

cha pas la piqûre du 4* ventricule

de produire le diabète. IV, 453.

Influence sur les mouvements des

paupières et de la pupille. V, 32 !t4~.

Effets sur la chaleur, galvanisa-

tion de l'oreille, effets sur i'ceii. V,t5),~73.–Effets sur la salivation.

V,)6i.–E))o fait rétrécir la pu-

pitto.V.ËMmoudet'in-

fluence qu'elle exerce. V, 473.

Section au cou. V, 473. Modi-

fication de la température de ta

tête. V, 475. Expériences com-

paratives sur les nerfs qui se dis-

tribuent à la face. V, 479.-Cha

Page 209: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. i9S

)eu)'dcrorei)te,par[!aivanisation*

directe.V,)!2.–Action de lachlo-

roformisation sur la chateur de t o-

rei))e. V, 512. Des rapports qui

t'xistontentretavascutariMtionet

la calorification des parties après:

sa section. V, 513.–LeseRets.

delacatorincationproduitspat'ia

sf'c.tion peuvent se compliquer de

phénomènes inflammatoires chez

un animal affaibli. V, 5t8. Pro-

cède pour le couper dans la poi-

trine. V,5tt).–Expérience! V,

5)9. De l'intestin, effets sur la

température. V, 520 VI, Ha, 154.

Ktto produit des inflammations.

V, 590. Influence do la destruc-

tion de certaines parties sur l'ex-

halation des membranes séreuses.

V,<9(!Apres la section, chez

le cheval, t'air inspire par la na-

rine diminue. Vf, 235. Section

aucou sur le cheval, modification

des gaz du sang. VI, 356. Expé-

rience semblable sur un chien.

VI, 360. Intluence de la chaleur

produite sur la coagulation du

sang. VI, 4)7, 430. Chez le

mouton, ses effets. Vt, 4'!3.

Effets différents obtenus, selon

qu'on fait la section du filet cer-

vical au-dessus ou au-dessous

dugang)ion.V!t,305.–Expé-

riences. Vif, 306. La section

de ses filets est une cause de pré-

dispoMtiOH morbide. XI, 30. Ses

effets. XI, ]6- 341, 380 XV, 53'L

Effets d'une section complète

sur les branches. Xt, 211. Enets

de la section du pneumogastrique.

XI, 211. Effets sur la chaleur ani-

male, la température augmente.

Xt,ïM,26<,2'!9,38Û,384;X[H,

130, 207, 285. Elle détermine la

dilatation vasculaire. XI, 256. La

sensibilité augmente par la section

de ses diverses branches. XI,26t.386.–LamoeUeepinierepréside tous les phénomènesconsécutifs à sa section. XI, 263.

Elle fait passer le sang artériel

presque pur dans les veines. XI,

2':3.–Hnetsdct'inanniou.XL287.–EUeexatteif's propriétés vi-

t~ies.X!,3i3.–Lesangconservo

sa eouteurvermento en traversant

)cscapi)).tires. X),34G. Elle aug-mente la pression du sang sur un

poiut.ettadiminuesurunautre.

XI, 381, 394. Modifications chi-

miques que le sang subit. XI,

385; XIII, 3)'). Elle augmentele ton musculaire, Xt, 386. La

sécrétion de la sueur augmente.

XI, 386. L'élévation de tempé-rature n'est pas un accroissement

absolu de l'activité fonctionnello

que peut dépenser l'organisme. XI,393. Les phénomènes s'atté-

nuent ri mesure qu'on s'éteigne de

l'époque de la section. XIII, 321.

fis disparaissent par la section

du bout périphérique. XIII, 324.

Le sang veineux est plus chaud.

XIII, 323. -Elle augmente la sen-

sibilité de la glande du côte cor-

respondant. XV, MR. Exemplesde phénomènes aaaipgues qui se

passent en d'autres points dn

corps. XV, 536.

GRAND SYMPATiUQUË (SYSTÈME).

XIII, 200.

GKANULATtOXS GLYCOGEXt-

QUES. XVII, 105.

GRAPHtQUE (MÉTHODE). Voy. Mé-

<Ae~ yra/)/tt~Me.

GRAS (AUMENTS). Voy. ~l~me?!<s

gras.

(CORPS). Voy. Cor/)t' ~)'a~.

GRASSES (MATtERESOU SUBSTANCES).

XVH, 280, 495.–Théorie de la

formation du sucre à leur dépens.

t, 451. La salive n'a aucune

action sur elles. II, )45. Elles

sont émulsionnées puis acidifiées

par le suc pancréatique. U, 254

XVII, 313. Absorption. !t, 305.

Le tissu pancréatique se com-

porte vis a vis d'elles comme son

produit d'excrétion. H, 350.

Action du suc gastrique. I!, 401.

Elles ne se forment que dans les

plantes et passent toutes formées

dans les animaux. XtV, !6~.

Page 210: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTtQUE ET ANALYTIQUEi9t)

Ëmutsion. XV, M3.– Action par-

ticulière des ~crë!ion< atcaiines.

XV, M4. Leur ferment digestif

dans les animaux et JM v<g6taHX.

XVU, :!4C.

<!NEFFM fX, M9.

A~tIàIAI.E. IX, 123, 7Th X, 32().AMMALE IX, <93, H4 X, 3M.

TECETAt.E. !X, )M.

GKtÉHAKT, analyse dos sucs d'une

plante. XVII, t).

GMNOftLtjES <)ig6t'ees vivantes.

Jf, 409. EmpoisonuÉes par le

curare, m, :6; [X, 18; X, n9,

255; XI, t4). «S. t'.t XV. n3.

382, 4M XVIII, 282. –Leur zys-

tème vasculaire. Ht, 344 XYM,

284. Leur système cerÉbro-spi-

nal. Ht, 339. Sur laquelle on a

supprima les communications vas-

culaires et conservé ies communi-

cations netTeusos. !V, 903. Sur

laquelle on a tsoM le train posté-

rieur. IV, 904. Excitation m6-

tallitlue du nerf de la patte gah'a-

noscopique. IV, 304. Courant

muScutatre. tV, 30~. Courant

muscuto-cutttn6. IV, 3) Coeurs

suppiomontaires. IV, 385. Dia-

b&to. IV, 464 XVII, )04. Action

comparée df Foxyde do carbone

et df l'oxyde carbonique. Vt, 488.

Leur utilité pour te physioio-

giste. V[n, Mt XV, 69, H.

Empoisonnement parla strychnine.

rx, 22. OEiMptMge. X, (!!)).

Préparées Mf! fUttuièrc de Galvani.

X, iXÏ.–Sujett d'expériences. Xf,

55" –Procèdes pour les itnMthe-

sier, immersion en eau chtorofor-

m~R. X! 5C. Exp. avec la mor-

p!)inc, XII, !?. t:t)as sont

réfractaires it la morphino. XII,

2t0. Empoisonnées par l'oxyde

de carbone. XtT, 445. Con-

tention. XV, t4). Anesthésie

cMorotbrmique. XV, )6!). Sacs

fymphatiques. XV, 2<t. CceuM

tymphatiqtM-s. XV, 381. En

hibernation. XVn, 101. –Oyco-

gon~M.XVtt. tOt.–Préparées pour

j'experimeatation. XVIII, M3.

Tuées par décapitation. XVIII, 342.

GREKONLLETTE. H, M.GRIFFES. XV, )83.

<<t!ATKRtA vnnencinrum. Ht, 2)5.

GUEKtSON des maiadios, part <

l'art et de la nature. VIII, 342 XI,

~24.–Spontaut''e,trea)itcen

e!-ttt)Mnoatt'M! par les faits (-Uni-

ques. XI, 62. –Le médecin peut-il

bien prétendre qu'il guérit son mn.

lade? XI, 438. C'est !e but do la

médecine. XI, 459. Voy. jiW de

~M~t'!)'.

GUSTATÏJFS(KEMs). Voy. A~r/~

cM<a<<.A.

GCSTATtOK.V, 238. Rôle phy-

siologique de la salive MM-fMxit-

hifc. n, 74, '!0;XVH,M4.–

Influence de la corde du tympan.

V, ):X. Effets de la section du

facial dans le crâne. 174.

Elle n'est pas sous l'influence ex-

ctaMYC de la &* paire. V, 239.

SYMKOCYTODE.XVI, 188.

UABtTfUE. XVIII, 4M.–Son iu-

fluence sur )a tolérance d'un mi-

lieu vicié. m, t21. Modifie les

organismes. \t!),2t3.

IIALLÉ, professeur de médecine au

collège de Franec. X)V, S6.

MAtLLKR. XVtt, 434. 443. IJ su-

bordonnait la phytiotogie à t'a-

natonne. VHt, tS5. Deux pro-

pMet<!s vitaies <° irritabifitti

(contracti)ité) siégeant dans la f)-

bre musculaire 2° sensibilité sin-

geant dans la fibre nerveuse. X.

11, tM XVf, 2<&. Pat-tiea aen-

sibles et parties insensibles. Xv,

82. Voy. Aft*f'~&<7t7<* Aa~'M/Mc.

«ARtCOTS. Lactose. V~, 23), 2:i.

MAMHOtttË préétablie. XV!J, ~32.

HABVEV. Circulation du sang. XI,

532 X!J, 6 XV. 298 XVII, ~M.

MASAKt). Son rôle dans l'observa-

Hot). V))t, 240, 33.

MEt.MHOt.TX. Contraction muscu-

laire. X, <M.

MEt.NUMfT (Vau). Exp. sur la retpi-

j-ation des plantes. XV)f, 158.

Fermentation des aliments. XVII,

261. Idée morbide. XVIII, 72.

Voy. ~re/«'e de Van Helmont.

Page 211: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. )97

!)tEMATtM:.XH,i).XVU,M8.

R!!e peut former du sucre, t,

MO.–S~trMJsf'fmMtion en sucre.

).a97.

MËMATOCH)LUR<KEXVH, 63.

HHMATO CRtSTALUBfE XH

i20.

MEMATO m.OBUH!<E !X, 50

XH. 2' Aiterce par l'action de

t'oxyde de carbone. H[,t8'

L'oxyde de carbone se combine

plus fortement quf l'oxygène

aveeeUe.U,2':9.

ttKMATOLOH! pathotogique. Vt,

41R.

HEMATOSE. Vt, 332 XH, 6.

Comparaison avec la pcriodc sé-

cretoire des it6cretton:i. VI, 34'

Intervention du système ner-

ttiux. XI, 9M. E.<p. sur son

siège. XII', 7.

HKMATOZOAtnES. <X, )i)3, 2n.

MEMit'iLEGtE. Conservation de la

sensibilité de h cornée. 236.

Chez les animaux. IV, '4M.

Faciale, avec attemtion du goût.

V.)'!2.

HEMtSPH'ERES CEREBRAUX

Leur ablation Expërienr.'js. IV,

4:0.

MK.tUTE. XH), 414.

MEMODVNAMtQUE IX, M

HKMOnTNAMOMÈTRK. IV, 210

Vt,tC4.–8aeotnp~r:tMonMcc

le cardiom&tre. VI, t<n.

HHHOGLOBtKE. Xtl, 27; XV, 444;

XVII, !80. Ses propriétés. XH.

412, M' Action de l'oxyde de

f;tfbono.XH,4t'i'Sacombi-

u!tiMU avec l'oxyde de CMbonc.

XU, 437.

OxyCAttBONKE. Spectres. XH,

t:'0.

UXyGÉXEti. Spectres. XH, 428,

-i~.

MENOMÈTME.XHt, 24t. DifTe-

rentie). tV, 2M;Vt, t6' 209.

MEMOMETBtQUE (PttEMMf~. VI,434.

HEMOMÉTmQtJES (RxpMRtEKCES'

VI, 164, 268 296.

(tit8THtJME.\TS). VI, t64.

HEMOPOtETtQtJES (F'oxcTtot!)).

Ëttes sont génératrices du milieu

iHicrieur, et cons~rva'ncee d<' M

composition coHtitantf. !X, 68.

(GLANOEs). Voy. C~an~M /MMO-

pnf~~MM.

UEMORMHAGtE Mouvements dans

les membres après section de la

la moelle. VI, 20f). Le sang coûte

t'utitant, et l'an'&t (le la respira-

tion ue fait pas noircir le sang ar-

tériel. VI, 3M.–Produite par in-

jection de ferments dans le sang.

Vf, i99. L'urine conte âpres

avoir été an'ûtëe par la section de

la moelle. \'U.m.- -Son influence

sur la présence du sucre dans le

sans. XtV, 213.

HKt'ATtQOS (AftTÈM'. Yoy.tFM

A<~a'«<

(CA).OK)F!CAT[OX) Voy. Ca/Ofi'/tM-

tion /<~pa<«;Ke.

(Ct)tcuLATtox). Voy. Cit'ft~a/iOM

du foie.

(Gn'GOGÈXB). Voy. G/yCO'/MC du

/'0)<

(GLYCOGENBSE). Voy. Glycogenèse

du /'OtC.

(GLYCOo~NtE). Voy. G/coyeKie

du foie.

(ixfusMX). Voy. /7t/'MtOM /t</)a<

CMC.

HHt'ATtQUES (CEMULEs). Yoy.Cellules du foie.

(VEtXBS;. Voy. ~ttte< A~a<t-

~M.

HERACMTE. XVU, 404.

HEUBtVOKHS. XIV, 90 XV, .M

X\U, 9~7. Acidin cation des urt-

ues par un milieu oxygéné. Ht, t30.

Urines de la digestion. VU,

)().

ttttRBST. Pancréas. Il., 3tG.

HEREDtTE. IX, H)t, 110, m, 216;

XVI, 342.

HKRtKG. Force do pression du

cœur. Vt, tOC.

UKmssOK. Moyen de le maintenir.

XV.Ht.

MERUPUtLE. XVH, 4n. Défini-

tion de la médecine. Xt, 2.

HETEROMEME. IX, fiM.

Page 212: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE198

HKTKHOLO(;t;ES (PMDt!:M). XV,

)4.

HÉTKROMOMt'HES (Tisses). Voy.jf'Msu.t/t~/ft'OMiorpAf*

H!BKR?fAT)()M f, )«) Yttf, 2)3

)\o: X)).3-!t;XHt.t'i,3C1,

3!)7 XIV, ;M!4 XV, 3f!, !? XY[,

!)3, 103, ))().–Son ini!uenc<'sur

ta production du sucre, t, <38.

in<1ucnfe sur i'oxygènp. ))), ))3.

Son ionuencesuria couleur du

sang. V), 25(i. Son influence

sur l'absorption d'oxyct''no par le

MnR.V),285.–Chez les gronoui!-

)es.XVtf,)Ot.–Gtycogène.XV)!,

i02.–Sucre dans le foie en dehors

do cette période. XVII, 102. Voy.~nt'~MM.-E/i!'A<)<.<

tttt'POCKATE. Définition do iam6-

deciue.Xt,9. –Doctrine des

crises. XI, Cf.–LHp('!t'e de la

mcdf!cin('.X),55.–Fondateur

de la médecine d'observation, te

premier ctinx'ien. Xjn,XVtt,

i08. Coction des aliments. XVII,2<:<).

ntt'i'OCaATJQt'E (MÉOBO'.E). Voy.~Kt/<*C!'M /t~)jt)OC''n/)</t<f.

Htt'POCKATtSME. Vttl, 345.

mt'POCHATtSTE (MÉDEK!'<). Voy.Atc~cM /t<ppoe;'a<M~.

XtPP~BtQUt: (ACIDE). VII, M. Il

disparalt par l'abstiMnee chez les

herbivores. Vft, 63.– Provient de

ratimentation? V!). C3.– !fypo-thèses sur son origine.Vtt,(!4.–Sa proseuce dans des cas inorbi-

des. VII, 64.

tUSTOCEM~SE. IX, 99 X, 1':

XV),!8~;XVn,4M.ntSTORE. Voy. S<:t<-ttcM histori-

ques.

))t: LA CHAtRB DE MBMCtNE

au Collège de Franco. XtV, ).

'USTOtMH NATUHELLE des ma-

ladies. XI, 45'

HtSTOLOCtH. fX. 16; X, n;

X)V, <t!; XVII, 4M. Elle doit

être subordonnée à t'e~perimcn-

tation. XV, 2!)3.–Créée par

Mayer. XVI, 184. Voy. Éléments

ana<OM!t~Mf!, P/t~f;oM!e~es A!t'<o<o-

fyi'~MM, Physiologie At<<0~yt~Mf,~~HOt'a~'O?! ~<0/0~t'~M<.

HOFFMANN. Dénnition de la méde-

cine. XI, 2.

HOMMH. Pris pour point de départde la classification des phénomA-nes ;)<' la tic. X, )03. Il obéit

aux fois de h Mtm'e au lieu de !eur

commander. XI, !)5, 40C. Ex-

périences faites sur lui. XV, '!3.

-A )CEtjS FIXES. JI est dangereux.

tV, H).

HOMOLOGUES (TMStjs). Voy. Tissus

~OMO/O~tfM.

nOftTAL et laboratoire, VIII, 256.

fndisponsabte pour )'ctudo de

la médecine. XI, -4M.

MOt'PE-SEït.ER. Putréfaction. X\'),

nfi.

HUILE. Son injection dans Jo pou-mon rend i'urino acide. VII, 22.

i HUtT!t!ME PAIIIE. Ses origineschez le chat. V, 32'

HM't'RKS. Leur génération. tX,

2[3. Oycn~enèse des uuitras

grasses. XVII, t08. Bourrelet

embryonnaire. XYff, )t)9.

HUMEUtt AQUEFSK. VII, 408.

VtTMEE. \'tt, 40a. Prasencc

de t'urce. VII, 32.

m'Mtt)tTt!. Son influence sur les

mouvements vibratiles. X, 116.

Condition extrinsèque de la vie.

XVII, 7. Son rôle dans ia fonc-tion cbtorophyttienne. XVH, 233.

i MUMOUtSTKS. XV)t, ~3a.

MUKA et'cpitans. Ht, 245.

HUXLEY. Antagonisme chimique,

physique et mécanique entre les fi

animaux et tesvëgatamf. XVI, )~7.1.

MYt)ATtt)ES du foie, leur influence

sur la sécrétion du sucre, t, t34.

MtMMATE UE CHLOHAt.. XII,

299. Sa décomposition. XII,

300, &25. Point de départ des

recherches physiologiques et des

applications medicaies. XII, 300.

Théorie de 0. Liebreich. XII,

301. Son emploi thérapeutiquedans le tétanos. XII, 303. Mo-

des d'administration dans tes expé-

riences. XH 30~. Accidents

Page 213: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES (Et!V[(ES DE CLAUDE KKn~AHi'. )M

HYttRURH DE BE~70tLE XVt,

3:0.f

HKSAUCYt.E. XVL M).1.

H:'G!K~E.K)!ea pouroL.jetd"

maintenir tes conditions des mani-

ft"!tationtde)ayie.Xf,4U'

HYt'EMEMU'tu cerveau dan~t'a-

uestb('sie.X)i.)2t.

tttPEHt;ST!H;S!t! V,)0. –Consc-

cntivca)a section de )amoei)e.)V,

33'Consciente ouincoascientc,

suivant que cette, section est in-

complète ou eomptfte.!V, 33T.

–Produite par tadom-section de

)amoet)c. tV, 48'.). Médn)tairc.

XI, 20). Xcrveuse. XI, 211.

].')ans~'snrrfscoupt'Xt,2U!.

HYt'EKtiLYCEMm. Ses troubles.

XfV,4;).

HY['EtH'YREXtE XtU, 4;8

ttVt')-;RTMOP!t)Ëtie!i'<in.sdan9!e

diabète. ). 420. Des ntembt'a-

nosdat'estomacdaastediabÈn'.

t,4M.

HYt'NOTtSME XI, 20.

XYt'OBLASTË. XVf, .), .2t.

HYPORËKME X\t, 32)

HYPODKKMt~UES (txjECTtO~s) ).

Voy. Injections hypodermiques.

nVt'OGLOSSE (XËBP). Voy. Nct'y

/t'/p0~<0i'se.

UYl'OTnÈSE. Son rôle. IV, 10.

Ce qu'elle est <)ans la méthode

experunentate. VIII, 384.

Scientifique, c'est sur sa vérifica-

tiou expérimentale que repose la

méthode expérimentale. VIII, 384.1.

Elle est Je point de départ de

ta t't'che)'c))e experimentate. V)U,

38;). L'expérimentateur ne doit

pas les faire irréalisables. !X,))4.

Leur utilite dans !"s sciences.

~M; XV), 32.–Leur

usage en physiotogieexperimen-

tale. XV, 3?.– Ues chimi-ites, au

sujet des synthèses dans le proto-

plasma vert. XVL 213.

nYSTËRtE. État des nerfs. XI,

239.

HYSTEKtQUES. La sensibilité de

la peau détruite renaît par une

piqûre.iV, 2~3.

demnrt-.nbitc.Xn.30H.–Pré-

cautions j)uur!cs éviter. X!(Xi.

de mort phesiolomques. ~IIpré-!–HfTctt!pbysio)oginucs.X)),3()'

–Doses. \tL 307. –C'est un

hypnotique et non uuanesthest-

sique.XH.30i).–Sacombinai-

sonavec l'opium. XU, 3)0.–Sa

combinaison avec tochtornforme.

XII, 3)t. Théorie de son action

intime sur les éléments nerveux

centraux. X!t. 312.–Sa combi-

naison avec les substances aihu-

mino!dos.X)[,3)2.–Sespro-

pt'ictcs autipatrides. XH, 3)2.

Ses applications chirm'Kicates.

X)!, 31-1. Fâcheuse tcud.'ttfce de

le substituer aux anesthésiques

proprement dits. X[[,3!5.

HVUKE de Trembtay. XVH, 2K!.

Développement. XV!, ~M. Les

parties isolées peuvent vivre. X\'f,

:)63.

nVDnOCAttBO.'fEES (MAT)KttES ou

SUBSTANCES).XVH,)8,2'!8.

ttYonOGENH- Sou action sur la

disparition du sucre dans le sang.

f, 24). 243.– Déplacement des

(;azdus.mg.Vt,5.

–A. RSE~tE.Sou action sur le sucre

dusang.t.Xi~Hend)esaag

très noir. ), 94S.

–CAKttOKE. XU, 362.–t) n'est pas

à proprement parler toxique. XII,

3~4.

SUt-t-'URK. Actinn toxique. ))!,

52, 5~. Ëiimination par le pou-

mon. t[t, 58; Xi, 93. Chez )cs

g)'('noui))es,iicolore)'intcstiu.t)!,

3.')).–Arrête tes mouvements du

cœur.V!t.')0.–Forme avec la

bile un sulfure chez l'animal vivant.

Vt, '450. !t est toxique, si ab-

sorb6pa.rtRpoumon;inon'cnsi(',si

absorbe par t'intestin ou te tissu cet-

lulaire sous-cutané. !X, S.'t. Son

mode d'action. XI, 439. Empoi-

sonnement. XU, 3~t; XV, 310.

!njections.XV,2(i5,52.- Ab-

sorpttou.XV.M3.

HVDROPHOBtH. XI, 38.

UYDROTOMtK de Lacauchie. VI,463.

Page 214: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAf!t.E ALPHABÊTiQUE ET ANA).YT)QUE

tATRC CHtMtE. XV)!, 49; XVI!

)M!.

XVII, ,11,;

l,

'1

¡;,¡;,

)ATK<) CHtMtSTt:S XVUt. )M.j

tATR<t MKCANtCtKKS iiï, 4

XVtU. U)(!. Leurs hypothèsessur la chsfeur antntttf. Xt!), )9.

Théorie tmcMtuque de la diget-

tien. XVt), 363. DoreUi. XVII,

3tK;. Boerhaavo. X\'H, 263.

P]tc:urn. XV)), 263.

)ATRO-MË(:ANiQUK. XVH, Mt

tCTKKt: MALIN. Dissolution des

cei)utM du foie. VII, 216.

tBÉE soumiM & t'experience df-s

faits. \'Uf, 7. Ne doit pM être

enchaînée aux croyancos scieuti-

fitlues, philosophiques ou retigicuses. VH[. ?0. U faut la rMM-

ncr au fait, et non le fait à L'idée.

)X, 485. Sa formation. XVIII,

42:

EX.fEKHMEKTA)LE. cugendree

par f'it<tuition. VIII, &?. Engen-drée par le senumc))t. Vtt). 5'

F)X);. IV, L'homme à idée

fixe est dangereux. IV, [0.

MOKmttt-. de Vtm Hetaïont.

XVIII, '!2.

t'MECONÇUE. !V, 9. File doit

toujours Nre soumise à la v6nH-

cation expérimentale, tV, 12.

L'expérimentation seule en doit

juger la valeur. IV, t4.

A PtUOKt. Vti), 48.

t&tOSYKCRAStES. IV, 36'?; VIII,t! 'X, in~X),22.

!<i!0 AERmK (PMxaf-E). XVf),)M.

IGNORANCE scientififjue, eUo est

un obstacle au d<Svetoppam<}nt de

la médectne expérimentale. Vt)t,

3&t.

tLH)StOF<8 de l'esprit médical,elles sont un obstacle au défetop-

pemeM de la médecine expéri-

mentale. VtH, :).')f.

)MBUt)TtON des tissus, le sang[s'inftHre pas les tissus, pourquoi? T

VI, 4<i4.

M)MEO)ATS (PNNCtpfM). Voy. Pr<;t-

cipes wtMie~t')~.

!MHEKSiON dans l'eau contenant

unchioroformeoudet'otheret)

disM)ution.XH,59.

tMPRKSStOri d'un agent extérieur.

Sa transmission. XVt, 985.

UOMLOUm';USE. K))o amené ut)

~bMMetnent de température dans

)e sang. Xttt, 29!).

t~CUNSCtENTE, elle est trans-

mise par les nerfs sensitifs du

système organique. Xf, 298.

SEKStTtVE. influence sur les

mouvemants du Meur. iV, 267.

Son trajet. IV, 3~3. Elle ne

peut s'exprimer que par des mou-

vements. XI, )69. Elle est

transmise par les racines poaté-

rieures.Xt,]83.

tMt'ULStOPi CARD!AQUK V!. n3;

XI, 36i XV, 8~. EUe varie

d'intensité. !V, 290; Vt, 2H.

expériences. VI, tT4. Effets de

la section des pneumogastriques.

VI, 22~. Elle vient de la coatrae-

tioncMdia.qua.[X,'Ki.

INANITION. IX, 88 XYU, )39.

Expérience de Chossat. XI,

)'i0. Effets morte)!) produits par

une secousse inattendue chez les

animaux réduits & un grand état

de faiblesse. Xt, 120. Influence

de la température sur la durée de

hvie. Xt, HO. –Ses en'&lachM les

animaux qui ont subi la section

de certaines branches du grand

sympathique. XI, 287. Ses e(Tots

sur les urines. X!v, 91. Son

influence sur la présenco du sucre

dans le sang. XfV, 210.

tKCKHT<TUtH! des Mieucos bioto-

t;i()Ma.XV!6.

tKOStOKS. XV, t95, MO.

INCISIVES, leur accroiMemoat

chez le lapin après la section de la

branche maxillaire inférieure. V,tOO.Voy.O<!tt<

~KC!TAM)HTK. X, 81.

INCONNU (t'), il est plein de char-

mes. XVUt, 86, 439.

tNCOKSCtEKCE. Voy. Impression

inconsciente, Mouvements incons-

cients, Se~M~to?! inconsciente, Sen-

~&t7i~ !MCO?MCtM)<<

200

Page 215: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES (ECVR~S DE CLAUDE BERNARD.

tKCO)MHJ)'T<B<HTK drs cieux.INCOlUlUI'1'IDIUTt: des

cieux'lXV))t,)';t. 1.

INCUBATION de t'œuf de pouSc.

X\'U),C3. -inf!uencesur)a

g)ycost'dc]'œuf.XVU,8C.

t~nH,(''(:o[ps de médecine. X),4Ï2.

tNOËTKttMt~fSMK XVI, M

tNMY!MJ.Vm,)5S.

INDUCTION, dans le raisonnement

expërimenta).Vnt,XV,3U.

Voy. Méthode i'H~'MC<<t'p.

ANATOMIQUE. 9; XV, St.

Elle ne peut pas se sépare de

i'expAt''met)tittion.U,n.

INERTIE do la matière. X, 94.

Des corps vivants.XV!t,<6(t.

tPfftt.TKATt~X d'eau. Vt,4(i3.

'AMMATtON. XI, 350; XII, t9

XV, 379. La sensibilité ano-

mato des parties euCamntÉas dé-

pend des racines po'.t&i'Mures. IV.

tt. Produite par la section du

grand sympathique. V, jÏO.–

Influence des nerfs. V)t. 332.

Chronique et destruction du pau-

créas, 11 la suite de fistules, VII,

396.–)RO)o du grand sympathi-

que. XI, )0't. Son mécanisme

physiologique et son r&ie dans la

patho)og;ie.X),324.Voy.Co:<cnHf

tn/!aMMa<ot;'e.

-REL'OEtL.Effets dusympathi-

que. V,534.

tMFt.fKNCES MORALES. Voy. ~o-

t'M/e< (innuences).

t?tFLUX ttEhVEUX. Vitesse de ta

transmission. !V,930.–En'et';

observés sur les os par sa sup-

pression. XI, 14. Effet produit

par sa suppression sur le muscte.

Xi, 14.

INFUSION HEPATIQUE. XVH, 308.

t~FtJSOtKES. XVI, 80 XVIII, 4?,

177, Me. Génération sexueHe.

)X, 102. CiUés. X, )26. Mort

apparente. XII, 156.

tKGEKMOUSZ. Respiration des plan-

tcs.XVtf.'G'

INIIALATION anesthésique, ses

avantages. XH, M,M.– Des

vapeurs de chloroforme ou d'éthor.

XII, 58.

t\JECTtON. Précepte-! pour la

faire. 9)9.–ApparcUs. XV,

iM.–Manue! opératoire. XV,

90<

DAC!DE CARB~~tQUE dan<

le sang. Ht. )36; XV, 9(!f;. Sous

tapeau.Itt.t3C.–Dans les ar-

tprosetdansiesveines.V[t,i(;H.

D'ACIDE PYROGALDQt E

dans le sang. elle passe dans tesnriues. )!t, 222. Asphyxie. !)).

:92.–EUe faitdisparattrR Ii.

sucre dans le foie. n),23.

D'AUtUMiKE daus )<' sang. \)).4M.

D'ALCAL! et de sucre dans )e

sang. !,2t'). 245.

n'AMYGDAUtE dans les veines,

tX,)8a.

DE Btt~E dans le sang, ralentis-

sementdu poujs. \)t, 2)(i.

DANS LE COEUR par l'artère,

mort. IV, 56.

DE CURARE. XV, 26!), 354.

DU CYANO-FERRURE DE PO-

TASStt!M. XV, 330.

PAR DOUBLE DECOMPCSt

TtOitpt'ouvanttc passage des

artères aux tymphatiques. Vf),

t2),tM;XV,3'4.').

D'EAU en excès dans le corps.

Vt, 32. Dans le système vascu-

laire. VI, 3!. Dans le sang. Vt,

3t; VU, 29, M4. Dans le sang,

otfets sur les diverses sécrétions

sur la bile en particulier, etifn'en

augmente pas la quantité. Vt. 33.

-Dans le sang, elle diminue l'aci-

dité de i'urine. VU.M.–Dans le

sang, elle fait passer l'albumine

dans les urines et dans la hitc.

VU, 3) t.

D'EMETtQUE dans le sang. V)t,

4(!6.

D'EMULStSE dans les veines.

!X, )85.

D'ETHER et d'ammoniaque dans

~a veine-porte, donne tiau à l'appa-

rition du sucre dans l'tirino. ), 353.

Dans le sang, accélère la respi-

ration. Vtf, 46C.

DU FEU dans le sang, VII, t;9.

Page 216: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAHLh: ALf'HAUËTiQUE ET ANALYHQUE202

t~JMTtOK nu FERMENTS dans

tesim~.produis.tnti'hcmori'ha~ie.

VJ, ~K). Hatf )osyf)i(ia!<. Xf, -4*

-t)E<<AX,injf'<'tionbrus<jUedMs

le foem-, obstruction du poumon,

cause de mort. tH,i63.–Sous

la peau. V!), ~3.

DE GRAISSE <t!H)<! te conduit

des glandes ~ativah'M pour )<i~

dt'truiM. tt, Uâ YU, 9f' '~M.

tt'HtJtLE dans )o poumon, rend

!tKidotareac)JLOadc['ut'inc.)t,

9-

t) )tYt)ttOfjKXE SULHJRE XV,

9(~M.

nYt'OOERMtQUt: ou SOUS

CCTAKKt. Xi, '444 X!). f)OC XV,

au). –))'un()')oiutMtidGch)oro-

fu)'mooud'ct.)iCt'.XU,f't).–Ce

procède ne réussit p& citez les

aointaut & Mn~ ct~ud, explication.

X)t.M).–i.)emo)'j)hinc.X.t),t').

-D.-ch)()M).Xt[,S05.–fDS-

trumettMion. XV, 9t4.–Ma-

oue) operMoire. XV,Xt5.– D'air.

XV,aK;He)!ai'.X\t(!

].)e)inuidesotdeMtides.X.t6.

Cousid~Kttions gcneraies $ur

les résultats obtenus.XV,2t!).–

U'éthcr.XV,).

f~TMA-ARTEtttmL): XV, 2(;C.

MTMA-VKtXKUSH. Xti, ~) XV,

'!&3j:t.–Avec une scrit)gu.<'& à

petite canulo ac6rcc. XV, 3(i't.

nK LEVUKE DE tt)EME dans te

Mng.J,M7;VJ,'i8(!.

Dt!S L!QUt))t:S KTMAKGERS

dans les voies circulatoires. VU,

4(!e.

LOCALES 11effets locaux. XV,

3Ï8.

DES MEOtCAMEXTS. Xt, 449.

])E MËRCUHE dans le saug. Vit,

4(i(i.

DAKS LE MUSCLE. XV, 3t3.

M UXYDE OE CAKBOKË dans )c

sang. 111, )M. Dans les M-t~re!i.

Ut, )(U.

DK PEROXYDE DE tER dMs

les veines. M, !85.

DE PRUSSIATE DE POTASSE

et de sel de fer. Vt, 482. Et

d'ioduredo potassa dans les con-duits sativaires. VII, !)). thtus

)esvciue<.IX.)M;XV,269.

t;tt':CTtO?!nESAMLR<)an'i)'!tr-

tizre, mécanisme de faction des

nerfi!.Xt,96.

BE SA?<(t vers le cœur, pnut

causer la mort. VI, 50t.nj<'c-

tions comparatives du sang ~rté-

ric) et voue ux. Vf, M5. Passage

du sucre dans la bile et d'autres

sécrétions. VU,H,M,30t,3ir'.

Oe sang ~rt~ric), e))t* tait.)'6app!t-

raitrf les propriétés (!<"<.troncs des

uerfs et des centres Herveux. !X,

56. Do sang putrctia. X!,

Do sang puM* dans les veines

d'animaux mourant dH f~un. XI, 4t.

M)! SEL MARIN sous )a peau,

elle produit do h douleur et

augmente l'équivalent endos'noti-

tjuc du sucre, i, 22!).

DE SEKUM dans le sang. VU,

~64.

SOtJS-CtJTANEE. Ycy. /'t;'<'c-

~i'0~: A'/pO</C''M!~MC.

UE SUBSTANCES PUTRtOKS

dans les \'em<!a. Xt, ti2.

OE suc PAKCttKAfiQUË. VII,

:!90.

t)K SUCRE avec du sel taMiu.

l, tM. Dans la veine-porte.!,tGi.Dans)'i))teettinetd!m&

le tis~u ceUutaii'e sous-cutané. ),

2['22t,9!t. Dans les vais-

seaux. VU, 70. Dans le sang,

consëcutivoment les aniataux sont

tristes. V)t, 86. Prolongée, e"e

arendutMt'6i[i'inM)adM.Vtf,87.

–ME SULFATE HE QUMtKE dans

tcMng.t!,t66.

ThACHKALE. Xfr, ':3. Obser

yationsctiniques.Xtf,14.

D'URKE, elle n'empoisonne pas.

vn,8c.

DANS )fjKS YAtSSEAUX DU COU

et du pli de t'aine, manuel opéra-

toire. XV, 255.

YEtKEtJSE do chtora). XIt,305.–

D'air, XV, 220.

tNKEMVATtOK des petites MtÈ-

ros. Xftt, 2't' Ses rapports avec

Page 217: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERKARn. 20:!

vaisseaux. \'H,)).–Pnhno-

naire.sMen'ctsmccaninucs.XV.4M.

tKTKLjDGE~CE. rx, )80; XV!M.

'n, 3'!3,4);. Son retour

après ta transfusion.IX, M.-Le.

curare n'agit pas tut'ses phéno-mènes. )X. 2:, [(!t;XV)!(,'MS.

E~erf'~idt'. dans ]f'i)ohcs cé-

rébraux. XV!U, 39-}. Yoy. Cf.'t~M

M<€~<'C<);t'A<, Co~<j';7!0?M <n~t'C-

~Me/'M, D<f'Mi'<'Mc<*?!ec :'t)~</ec-

~<?, FocM/ tH~t.c<M<M.

MTERCOSTAJL ~'Enr). Voy. Aw/'Ï/~<C~A/

MTJEnFt;K)~Cf; XERVEt'SE tX,

(!nypothew.XUt,:3~,3n.Objections. XU!. 233. Dis-

cussion. XU!,93i.

t~TEnttUt'T). de Puh'crma-

cher.)Y,o.

t~TEnVERStO~f du sucre de canne

png)yco-,<'eten)Gvutost'tV,

3)f.; XV'If.). Gcncratitc du

pheaorn~no. X\f. Si5.

ÏK T E ttV t: HT E B R A L ;G \'<r.uo'<).

Yoy.<j'a~o't!'?)<e'f~'<e7~'a<.

!KTKRVKKT! ~SccKE). Voy. SifO'f

m~ru?)' i.

t?iT);STt~. Absorption du sucre.

!,n6.–tnjections de sucre, t,

Sn, M), ''28.– Orifice des con-

duits hi)iaires et paocrMtiquHS.

J',)S;. -t)uc)uen.){,3M.–S.T.

rëMtiou.U,4:)8;Vt,M;H,200. (~o)oré par i'hydrogcne sul-

furc.H!,?~).–Mouvements pe-

ristttttifjues. tY. 3j9. 365. Leur

température et iouueuce des oerCs

sur )eurtempera!urect!cur mou-

vement. Vf, )i4. Putsa.tions ar-

tcrioitesapr~s section des nerfs.

VI, t!5 Les sets ammoniacaux

y prennent ains~nc" après aMa-

tion des reiB'}.U,56.–Si

gorges de saa~, pas de mouve-ment peristaltiquc. Vff, 405.

–Mouvements, par suite de l'a-

Mation des gan~ious cervicaux su-

périeurs. \tf, 4&4.–L'hydrogène

sujfuré, même ausorbe, est inoSen-

sif. tX, 85. Etimination de t'aree

taca)ori(iMtion.Xttf,26t.–Se-'

rapports a\'f-c la t'u-eutation.xnf,

967, ?'!?. Du cœur. XHf, 2G2.

–DasYaissRa.u~.Xtti,6:<

Des gtandss parotides, elle a sa.

source dan" tes nerfs moteurs.XV,j

3)i).t)etag)andosous-maxi)-

t:tirc.XV,5~.

tKOCl'UTtO~ XV, 208.

t~OCE~')'XV<f,5t().

~OSt~E XVH, M. 279.

tKSAUVATtOFf t!, tM.

t~SËC'rES.Lfm' bite, Leur foie. t,

)0.).- Sujets fi'exp~rieHees.Xt,

55.'). Gtyt-o~He. XV)!, n:i.

tXSKXStBLK (StMstmf.rrÉ). Voy.

Sf?i ;;?'<<'<<<'tftM' .)&/('.

1!SSOLAT)0~. X)ft, 4M.

t!<SOLUB)L)TK des mati~ros orga-

Dit)ufs.t!f,(!).

t~SOLUBLE (F!:M)t:XT). Voy. Fo'-

MCn<M.!C<:<4/<

tNSt'tHATtO?! P~LMOMAmE Sonrôle. XII, S9!}. Voy. Air M~'

)0)')'C.

!!<St'!nAT!0\ DRS MEOECtXS Ce

n'est que de la fantaisie. \'ff[.3.')8.

INSTINCT. XV!ff, 4]9. Il s<:

rapporte et s'.))'t'été chez les ani-'

maux aux quatKcs physiques do

l'alunent. U,2~; XVH.2M. Voy.

C<'n<MttMft))c<<

INSTITUT DE FRANCE Sa mis-

sio[t.XVm,4M.

tKSTtTUTS t'ttVStOLO<:tQUES

]M,t:VHJ,(!0;!X.23):XlJ

4t4; XVIII, m. –En Atiema~oe.

XV,C5;XVI.!3.

t~STRUMENTS -li hcmomén-iqups.

VI, )6t. De recherches institn-

tauees. Xf, 501. D'un usage

gênera dans tes vivisections. XV,'

182.

'KSTRUMEKTSDEt/ORGANtSME

vtn.i'j).

INSUFFLATION. Vt, 93, 505, 508.

Elle fait apparaiti'9 le sucre. t,

35),3C),3S3,Mt.–D'airdMS

les poumons. m, 3'!4,38i.

Après l'empoisonnement par le

curare. VI, 99, 309, 314; VII, 31:3.

Effets sur les reins et ieurs!

Page 218: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTÏQUEM*

(taus)p cas d'ablation des reins.

X),0.–SensibUitAdMncrh.X),

3.Trani-formittionades~ty-

cosHs. XtV, 2(t3. Proeëd~ opé-ratoire qui permet (!c suspendre

etdor6ta!)th'atternfttivement.)o

passage de la bile dans l'intestin.

XV, CM. Ferment im'srMf.

XVH, 3~ Voy. /)<<ofp<!OM t)t-

~x~/tf; Dt~f.<<«)a M<M<Mn/e, S~a-

&0)'a<t0!t M)<e.<<~M<<< ~p!f/t~<t!tM

M<~<.?ta/, Ej'/«t~<tbn H!/e!<M/f:

FM<M~e iM~M~M~ .MKMMmc;

tn<f.<<;n<tM.r, ~oM)'eweH<.< p~rM-

<a«tf/Me.<, A~M~MCMsc intestinale,

Ne'S; <<c l'intestin, ~ttaet'o"

/e!<)~a/< Vers intestinaux, l'illo-

sités intestinales.

t~TESTtN Gt<Ét,E. f'ormittiou du

sucro de fccute. XJV, 2t8.

<~TKST)!<<AL (CAMt.). R&te des

no'ja da[<)! les parties tous et sus-

pyloriques. \U, 345.

-~Se(:).V8y.St<Ct'M~<t«a/.

t~TËSTMALUS (SH<~KÈTM!S!)). VH,

:n!); IX, 75; xv, a~; xvn,

~)' Actiou de t'othHrcoatjM.ree

& celle de l'alcool. Ut, 4M; Vttt,

;t)4. Action du système ner-

veux. Y!), 3i3, :!<(!, S~Action

du sympathique. Vtf, 37!) & 4()5.

ExpÉnenccs. V! 388. Kt)e!-

modtfieutica principes sucres.

XVtt,3t8.

tKTKSTtXAUX (L)QumKs). n, ~5.

Avant la grossesse. !), ~&0.

Leur réaction Mdf)~ du pyloreest entièrement vMiablo. XV.

.'<0.

MocvEMKTs}. IV, 3&9. P~ris-

taltiqnes. 3M, 3(ti<. Us fout

défaut quand l'intestin est gorgéde sang. Vf), 40;). Par suite de

l'ablation des ganglions cervicaux

supNt'Murs. VU, 454. Voy. A/oMt.

ments pf.'t'x/a~~Mes.

)KTKST<KUm<AKMUt.AtRE(tËt)n.

).HT).Voy.f'~M)7J'<'<w<M<uto-y/an-'/M~<!t't-e.

t~TOXtCATMKDES' KËKt'S. XI,

M:).

PAUt OXYHE UF CARBOK)!

Ana)y'}ude<sympt<')mo'ig!'adue)'i.

XII, 4:M. Mt'canistue du retour

& la vie. XH, i:M, Chronique.

xn,4t9.

tXTOXtCAT~tN Pt TRtDS spouta-HÉe de cause uerfeuse.Vt,.497.

M TRA-OHftAKtQUK (MfUEc). Voy..Mt/;t'Mt'e;'f<'M;

Ci'Kt.ÉOt.QUtE). VO)'. M~O~~TOTtOK. X\'t)t, 80. EHc

cn~'ndt'e t'idÉo oxporimeutaie.

\!i), .')'

MEntCAt.E. V)[t, 339.

tNUHNM. X\'tf, 2').

tKVKKStt-' (~EMENTJ. Voy. Ft'<'MMt<

"t's:t~ .1

t~V<MStON par to sue intestinal.

X\t),3t9.

!?<VEMTEBRES. Paneras. Il, 4M.

SystÈma uervem. IV, 505 5t5.

iMoMYf'men~ vibratUa~. X, )31.

ORut'. XVII, 95. –t.)yco~n~so.

XVtt, tOC.

tBiyESTtGATKUR. Vttt, 2.<.

INVESTIGATION. YHt, i). Voy.

Méthode c!'t~t'e~<~aho?!, ~faMon-

Mt'M<'M< M!t'ej!<!S'0<

t'ATUOLOntQUE ET THKj~A

tKUTtQUE. VtH, 333. Appli-

[)UÉa & ta mûdaeuM expérimentale.

\'tH,383.

t'MYStOt.OGiQKE. t, t2. Hx-

p~ritNCut&te, olle doit &t!'e dirigée

sur )M phenomeuNs o)'f;aao-tro-

phiques des êtres vivants. IX,

128.

~VOt.UT!OK. XVI, 311, 316.

tODE, s'élimine incompI~'temcBt pM'

)e< M'ioee. t, 3t[. Son th'Mrp-

tio)) dans tes glandes. U, tt).

Détruit iocm'~ro.tU, 26), 262,

9(!3. Dans la s<;<;)'~tio<t )M~e.

Vt[t2'i).-Sonpa'isaj;ed!mf.t~

salive. VH, XM, :6<. Son éli-

mimtioo.tX, 90(!. –Dans te

traitement du disMto. XIV, 73,

4~6. Voy. Mae<t/' w/<

tOntJRK ttH fHM. ËHmhMtion par

)ftM)iv(!.H,!M).

DE POT~f.StUM dans tes socré-

tiona. f, 808. f;)uniu6 par la

hite.U.3)'M. Injection

Page 219: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVHES DE CLAUDE BERMABD. 205dans les conduits s&i i~aire' VU,

1

2M. Son passade dans t'urinc.

Yn,26),383.asMge<!aM)..suc gastrique. VU, 383. Son 6ti-

mination. Xtï, 295. –Dans la !i6-

crëtion salivaire. XV, &14.

)tHS. Sa sensibiiM directe & !a lu-

mi~re. V, 9). Sa paralysie. V,

909. Actiun de )a lumière snr

ses muscles. X, )&(). Action

réflexe du nerf optique. X, 3;<9.

Voy. Muscles de /'M't<.

tRKtTABtLtTE. tX, !&; Xi, 142;

Xv'I, 2ax, 2so; XVII, a,i~, hs.t, ~as;XV~ 242, 280 XVitI,M3, ;6t, 465XVttt, ta8, 3M. Htstoiro de )athéorie. X, Gt XVt, 243. Gtis-

Mn. X, (?; XVf, 243. HaU<;r.

X, ?! XV!, 24~. Yirchow,trois ordres. X, 8't XVI, 348.

Barthex. XVt, 244. Borden.

XVt, 244. Broutais. XVI,

248. Considérée eotume pro-

priëtë fondamentate des tissus

vivante. X, (!4. Em'Miyo des

nerfs coupés, c'est un phénomène

pathologique. Xt, 220. C'est

un des premiers symptômes pro-

duits par l'action du curare et de

.certains antres poisons. Xf,'2M.

Kt)o a son Mè~a d~n~ le proto-plasma. XV!, M9. Elle est une

propt-iéta du protoplasma. XV!, 241.).

Ses anasthciiiants. XVt, 251.

Ses excitants, XV!, 2«t.

AboUc par les anesthésiques. XVI,

289. OiMinguëo do la Mnsibi-

iité.XVJ, 289; XVII, 2:25.

DE DBVELUt'fEttENT X,M.

fOXC'rMHf.fEU.iË.X, 84, SC.–HALLKMENKE. XV, M, 169,

406; XVIII, 287.

MUSCULAtRE. Ht, 352, 358, 867,

37f X, !86. Est-eHo aagmen-

t6epar!<jcm-aM?)H,3tC,324.

todëpendante des nerfs. U!,

350. Son indépendance et sa

distinetioo do t'oxcitaMite ner-

veuMai'aideducu)-Mt;.tV,t96.Eiio est détruite par la chaleur.

IV, X09. Augmentée par sec'

tion de la moelle. V, 12. Ses

variations. XI, M2. Elle aup-

mente quand toute int]ueHCf Hf'r-

ycu~'estsuppritnef'.X!,9:M.

HtRtTABtHTE KUTMtTtVE X, 8 i,

80.

nu fKOTOPLASMA XVf. ?;,).

9M.

DESTISSUS chez les animau\ a

sang chaud et à sang froid.

!3?.2)t.

VtTALE XVI, 253.tRRtTAKTS Trois classes suivant

leur nature f physiques; 2°chi-

miques; :!° Mtaux. X, 86. Leur

nmtite et leur quantité. X,')).–Leur quantité dépend à la fois de

l'intensité propre de i'agent em-

ployé et de ta sensibilité de l'or-

gane in'iK:. X, 91. Leur action

se produit sur les éMments orga-

niques et non sur les organes. X,M. Qui déterminent la con-

traction musculaire. X, 185.

tis font passer la fibre musfu-

taij'edei'etatdorcjjosat'et:))

d'activité.X,t8'

CHtMtQUES. X, t8' aM.

ELËCTMtQUKS. SensibUitc dc~

nerfs. X, 38C.

MKCAKtQUES. X, 96' 3M.

MES KEHtS MOTKtJRS. X, 9(!4,2<i7. Ils agissent en modinafit

leur état physique. X, 2tt. 1.

CES NKHfS SENSITIFS. X, M!.

-h'ritauts mécaniques. X, 322.

–irritants physiques. X, 323.

Irritants chimiques. X. ~4.

–PHYS!OLUGtQUES.X, tO'

PHYStQUKS. X, (89. 3jg.

tKH!TATtO~. Sa distinction avec

l'excitation. 367. Voy. CM'cNtt

<<<aho".

JËLECTMtQUH des nerfs. X, 277.

Elle oxige un changement ra-

pide daus leur état électrique. X.

M 8.

DU GKA~U SVMPATHtQHGrande tarieto d'effets obtenus

dans ses diverses parties. 1\,

3'M.

MÉCANIQUE des ganglious inter-

vertébraux. [V, *?.

Page 220: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE206

tRKtTATtO?! NEUVEt SK particu-

ticre aux animaux artincietfcment

diabétiques. tV.'i"i.

DES KEHFS SENStTftS. X, 3)8.

frt'itatioH motrice. !V, .?!).').

Du t'frÉbt-o-spiaa), ce nerf aug-

nx'nte l'activité des phénomènes

chi!t)i<)Ufs en réagissant. sur le

grand sympathique. X, '4 ) t .h'rita-

tion (to'manentc, ses effets. X~,9~.

~U'rtUTtVE et tormmth'e do

Broussins. XV!, M!).

DU PKEUMOf.ASTtUQUE. PM

nomones reOeMS qu'elle produit.

)\n).

tRMTATtONS St!CCESStVESabou

tissant h production d'un mou-

vement. X, '<?, 9:)3.

tSOLEME!ST dos fcrmcuts. Vt, 4.)9.

tViH;SSE. \t), M t. Son traito-

uMtU. !if, 8). EHots sur los

tiYiscctious. Xf, 28.

JABOT DES OtStiAUX. XVII, M3,

288. Absorption du cm'ara. m,

28'). Ji absorbe les venins. tit,

:n.'i.

nES t'tCEONS. tX, ':4. 8<'cr6-

tion )MHudt)-tact6e. VU, 235, 237.

Sou ~pitMiium, Y! 239. Sa

sécrétion épithéliale. VII, Mt.

JACKSON et t'cther. XU. 41.

JACOBSOK. Système veineux chnz

le pigeon. H, ~t4. Chez le coqrussc. Il, 9t5. Chez le coq aor-

mand. Il, 3)6.

JACUBOWtTCH. Constitution des

cellules de la nioeUa épinière. X,

30'i XI, 255.

JAUNR D'OEUF, lactoso. VU,M<,23S.

t'our la culture du glycogène.

XIV, 46!). t)e poulo. XVIII, 836.

JET DU SANG de la glande sous-

nia!Li)!ah'o. V)), H!).

JOUES, leurs mouvements. V, 3.

Effets do leur paralysie sur la

mastication et la préhension des

aUmsnts. V, S8.

JOURS Cm'nQUES, doctrine d'Hip-

pocrMe. XI, fit.

JUCEMËNT.\Ut, 24.

JUGULAIRE interne. XY, 25' Voy.t'CMC y«~M/H)~.

KtMACAGUERO III, 246.

KÔLUKER. Exp. sur le curare, îft!6t.1.

~KOU'OnKS IX, !<):; XVf, M.

Leurenkys[etne))t.XVJ,8f.

KOKfiKOPttE. f!J. 248.t:OUM!SS. XVn, )M.

KtJXKK, ses '"ipedpncos sur la

contractititomuMu)atre.X),239.KYMOGRAt'HtOK XtH, 94).

KYSTES, influence sur la sécrétion

du sucre. !,)3'5.

t.ABOHATOtm' iX, tM. H! 235;

XV, 2, t02; XVIII, M.'<. Et hô-

ptt&), VIII, 2M. et clinique.

X)V, 81. Au bord de la mer.

XV, t03.–Sou installation. XVI,

)!D'enseignement et tahora-

toire de rechorcho. XVI, 38).

Indispensable au physiologiste.

XV))), M.

t)t! MEMEKME. XI, ~), AO).

HK fHYStn~OGtK expérimen-tale. XI, MO; XIV, t8; XV, M.de Kuhne, à Amsterdam. XI, 540.

de Ludwig, à Leipzig. Xi, 540

XVI, 15. Il doit réunir la vi-

visection, la physico-chimie et

l'histologie. XI 5M. Histori-

f)ue.XV,64,d<'Pesth.XV,(i.).

DU t'HYStOLOGtSTK et du mé-

decin expérimentateur. YtH, *M'!

X!,413.

LACRYMALE (GL~NOE). Voy. Glande

lacaymale.

LACTATE dans la salive. Il, t.t5.

DK ~ER. Son innocuité, si injecté

dans le sang. VI, 482.

LACTATRHf, influence sur )& sé-

crétioq du sucre. J, 197. Sucre

dans J'urine des femmes. 435;

YJ~, )38. Diabète artificiel cite!

les animaux en lactation. Vif, 223.

Du pigeon et du perroquet.

VII, 237.

LACTRE ~SÈCttETMtt). V! 2'M a 3'i2

tX, 75. Chez l'homme. VII, 225.

Influence des nerfs. VII, 233.

Son mécanisme. VII, 234.

Du pigeon, Vtr.M~.

LACTÉS (VAtSMAUx). Voy. ~ax-

eaux lactés.

Page 221: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. M7

LACTIQUE (ActnE). H, ~:)7. Pro-

cède pour t'obtenir. !,389.–1

Provenant <!<) musch"; du hous

deYcau,sonextractio[!.f,3!).').–

Sa dans la rigidité ca-

davérique. X.2M.–Dan', )p

traitement du diabète. XfV.i.'):).

tFHttME~TAfMK. Voy. /Ct'Hti'H<a-

<!07:/<te<t~«P-

N'oy.

LACTOSH. XVf!t,27!),

.'<-)~Ui!ns)cshat'icotst'tdat)s

tf-jaune d'œuf.U,2~t,2M.–

t)anstc!!utdec)<tf;ine.X)y,t6'

–F.th'<'sttr.;msfot'mc'eeng)ycoso

pM'ic suc pancréatique. \VH.

!M.t.

LACTUSOMENtE. X!V, !(!

LACHKAtttK (SYSTEtt;) des aui-

maux inférieurs. 3)-

LACUKKS iitterorganiqu~s. XV, :!)9.

LA)';?<N)':C, professeur au Cottc~e

(ht'Mocc. X!,tx;X)\97.–

Découverte de l'auscultation. XI,

4M.

[.A<T.Vjf!,2-M.4'XVJJ,35).

Atbum'mc. YH. 228. Ses prin-

cipes constituants. VU, 22'

Mécanisme da sa formation. VU,

2~4. Passage des substauccs

médicamenteuses. Vff, 2 40. Pax-

'iat;odumet'cuM.YU,241.–Sa

sécrétion. \'n,t~;tX,).Voy.

Sels ~M tait, Sucre du lait.DE PIGEON. Sou analyse. VU,

:)40.

LAtTEUSES (TAr.HEs). Voy. Taches

//i!~M~

(~MXES). Voy. U'nM <a:<eMM.

LAMARCH, l'orgasme. X, 82.

LAME muscuto-cutance.XV', 320.

Fibro-iatestinaie. XV!, S20.

LANCETTE &. vaccin. XV, 2UX.

LAKGAGK. il a précède ):t gram-

maire. X), 565.

LANGUE, ea'ots du nerf facial. V,

tM. -Action d'un filet émanantde la corde du tympan. V, )'!).

Sa déviation. V, n6. Après la

section de la corde du tympan. V,m. Voy. Lingual (nerf).

LAPIN, moyen d'obtenir l'urine.

H9.–PaM)'Ms.I!,2'!t.–Tu-

)MjMduiary!ix.!U,3').–r!(;n-

dudiab6tiqnR.tV,i()u.–r'.xpe-

!'iH)if.('V,i()'t.–Ti',Ht~fnrntu<n

anintaftt sang froid. Xt,).};X)V.

:!(!).Suj< d'expériences. X).

.'<.)Y. E~pc~'ie!!c~'s avec )e cu-

rare. Xf,)}). -Sonmi~auchfo-

roforme.[,t.–Manière de )e

saisir. XV, H().–Fi\e.sur la

tabic a vivisection. XV, ]2.'t.–

Sa Contention. XV, t39.–Appa-

rei)do<zermak.XV,)4u.–Son

dct'eioppNnf'ut. XYt, 3?t!.

LAt'LACE, chutcur animaie. i\, i.

LARMES. VU, K!).

LAKMtMEMEr<'r produit par i'~ci-

tntionduhontcf'un'atdet'.mt'i-

cuhire. V, ;<n, ~18.

LARVES ttE MUUCitES, au poiutde vue du gtycogcne. X)V, i<;i

XV[f,)):i.–Aupointdcvu~dt'la nutrition. XVii, J:)(;. \oy. aEt;/<<t' ~t'M.

LARYNX, tubage ehn.! le )apiu. {H.

3'~i).–Mouvements voc<iu\ ft

rMS()u-atoin"i. Y,~)i,~t:). Voy.

~t(~c/M ~at'y?!t/!e;M, ;V<;t'/x /~t')/;t-

'/fs, Hf;w<'ftMj /a<'f//i~e;.

LASSAtGKË, paneras, i!, 3iG. Voy.~j' et ~.û~ia~

I.ATMKTE (V)E). Voy. )'!<' ~i~H/c.

LAVAGE nu t't)tE. Voy. Foie /«;

LAVOtStER. t'hcnom~m-s ~m~

ques chez les êtres vivants. t\.')8. Rcvoiution (ju'it a at-conipiifdans t'etudf de la chaieur animaic.

IX,i)8;Xt,27(!;X)!2t;xv.

-4M; XVIII, )M.–Considère )a

rei-piratMa comme une combus-

tiun.)X,3,M;X.2t;);X)!, ti;

XV)t,m.ï():Viif,)22.-Com-

bustions organiques. XV,;i4,;(00;

XVt, tC' Ses dMouvcrtes ont

donne fimputsion ta physioioKicgcaërafc. XV, 8.); XVt, 7. A vu

les deux phases du travaiivita).

XVt, t28. Le principe reste

vrai. XVif, MU. Les détails df

la théorie sont inexacts. XVII, 20.').

LEBLANC (Fetix;. Viciation de l'air

par la combustiou du charbon. XU,379.

Page 222: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPnABËT!QUS ET ANALYTIQUE208

t.EKtTtn~XVH.M?.MCOXTK. Travaux fnnnrmatif!) de

fa~tycogcnie. J,4?t.–Rcc))';)'-

cht's sur la fonction gtycogenique

du foie. 1, 505.

H;HMAPf?f Transformation de l'hé-

matinceu!!Ucre.t,39?.–Ana-

)yse9 du sang de la veine-porte et

des veines hépatiques. t,~<!8.–

Travaux conûrmatifs de ta g!yco-

génie.f,4*!). 1.

t.EtBpi<x. xvn, ~t.

)mNX.Pancréas.)!, 339.

LEPOCYTOnE. XVf, t89.

LMStOK produisant la ptUftiya.ie

d'une partie des centres nerveux,

influence sur la coloration du

Mng.96C.–Étendue, pou-

vant exister sans avoir détermina

pendant la vie df,') symptômet

gr!tY<<!).X), H!).–Portant suri'~p-

pareil sensoriel, effets généraux.

Xt.29(!.

t)YNAM<QUt- Xt, 449.

tOKCTtOKSKLtE. XIV, T!.

–t.OCA~)'Xt,')l.–SesMtatinns

avec les matadios générales. XI,

101.

f)KRAK!QtJE, i) faut la cher-

cher dans le milieu iutériemr. Xt,

450. Des tissus, c'est en aUe

qu'il faut chercher la cause de ta

mort.XI.450.

VITALE et altération anatomi-

que.Xt,)4'

t.ESStVM du corps, c'est t'urtne.

V!î,6.T.

M~COCYTES.IX, fit XVn, 245.

LEtJRET et LASSA'CNE. Suc pan-

créatique. 11, n6. Digestion.

XV, i9~. Digestions artffir.ielles.

XV<t,M(!.

LÈVRES. Leurs mouvemeuts. V,

M.–Kfr(!tsdc)eurp!n'a)y'iiosur

iamastication et la préhension desahments. V, 38. Influence du

facial sur teurs mouvenients. Y,

39.

LKVULOSE. X~V, MO XVII, 34,

27:), M). De l'urine. XtY, 100.

LEVULOSURtE. XIV, 333.

LEVUtHE DE tUERË. f, 25S VUt,

353; XVt, M; XVftf, ~S). fn-

jectÉedaasieeM)~2i'yt,

48C.–L'infusion &frnid bien

<i!treedevc)oppodoia!eYuresi

l'on ajoute du suer'J,9f)t.–Se

devRtoppo dans )e scrum sucré. t,

95~Saformittioopf'rmetde

constater Jtpi-f'scnce du sucre.

!;):Soo ferment inversif. Vf).

.t-!2. E))c digcro te suo-f). XVJf.

343.

LEVCtiB t)U YtM. XVi)). ?3).

t~EYDtG. Ciassmcation des tissu".

X.97.

î.ESAaRS. XV!, 3e;

~)BEKTE MOKAt.E. E))a oe sau-

raitCtt'eoMtuc.nig~néopartn

(Mtermiaisme. !X, 333; XVif, R2.

Le dotefntinisma lui est in-

(tM)K'ns!tb)8 au lieu d'en être ta

n~ation. XV!,M,&a; XVH!, itX.

Elle est fontesteo et nMo par

tofatathme.XVt.C~.

HCMEKtKK. XVn, 27').

t,tHBtG. Th<orte de ta nutrition.

XVtt, SM.

MGAMEiST primitif de Remak. JV,

tït.

UGATUME. Ette arrëto les eiTets

du CMare. XV!ft, 306.

t)E t.AKTËHE HËt'ATtQCE. 1,

4M.

nM t/AKTEKE KENA~E (effets

(teta).Xf,)9.

DU CANAL cnO[.KDf)QUE, exp

do Ci. BernM-d. Vnt, 892.

DES MKMBRES XV, n6

nt! KEKF t'HRÉKtQUK, par

Wmis.JV,lM.

ntf t'Vt.ORE, absorption par

l'estomac. Vff, 2AT.

OE t/OESOPHAGE, Mp. de

Sodittot. Xt, SG.

CU SItMt'ATHtQUt! dans )<'

ventre dëtormino des mouvements

dans tes membres posterisur*).

!V,M.

DE LA TMACttEE pour produim

i'Mphyxie. ïïf, 22t, 225, MO. Vf,

509; X!f, 470. Pour rendre !f

sang noir. Vt, 502. Examen cri-

tique de cette expérience. Vf, 50~

Page 223: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

t)HS ŒUVRES DE CLAUDE BERNAHD. 209

CLAUDE UERNARD, AiA. ); ir

LIQUIDE CÉPHALO MACtHRtKK.

Voy. Cep''ia~o-rac/ttf/teyi tiquidc).

t'AXCRÉATt~fE Voy. fa'icrea-

tique (liquide).

LIQUIDES. Leur écouiement dans

des tubes inertes, dans des tubes

organisés et dans les vaisseaut

d'un animal vivant. III, 7).

Expériences. III, 7). Expérien-ces de Poiseuille. III, 72. Leur

écoutement favorisé par l'ammonia-

que. UI, 72. Leur écoulement

retardé par l'alcool. tn, 74.

Conciusious. III, St.–Leur ab-

sorption. !X. 70 XV, 364.

Injections. XV, 2)6.

ALBUMMOtHËS. Voy. ~/&uM:-

n~fdes (liquides).

A?f!MAUX, ie sucre ne passe pasdans quetques liquides. t. 303.

Leur respiration. Vt, !90. Réac-

tion fixe ou mobile. VI, 20, 3(!, il,3'!?. Dans tous, t'm-ee existe. V!33. Leur réaction varie. VII,)8<i. L'eau de Vichy les rend

atcatins. VII, 191.

OK.ESTXjFS. Voy. D!)~ (li-

quides).

EXCUKTES, comparés aux liqui-des secrétés. VU. 6.

MJ FOETUS. Sucre qui y est

contenu. 398.

tNTERSTtHELS. VI, 29.

)KTËSTiNAt;X. Voy. ~<M<<-

MaM~ (liquides).

ORGAKtQUns ou DE LOR

GANtSME. Moyens d'y consta-

ter la présence du sucre. L 48.

DitTusion du sucre. I. 318.

Leur importance.Vl, v. --Normaux

et pathologiques. VI, 29. Leurs

caractères communs. VI, 29.

Leur classification, d'après leur

réaction acide ou alcaline, VI,36. D'après leur réaction fixe

ou mobile. V), 38. Influence

de ta pression du sang sur leur

formation. VI, 206. Considérés

comme produits de sécrétion de

cellules vitales. tX, 122. Atté-

rations provoquées. XI, )5. Leur

reproduction. XI, 67.

Bruits respiratoires et ralentis-sement desmouvemcnM du co9ur.

Vt, M!). Ktte n'empêche pas le

cœur de battre après la section

des vagues. Vf, 514.

LIGATURE DES VAISSEAUX. Elle

empêche l'absorption du poison.

XI, 285.

UES VEINES. Production de

chaleur dans l'oreille par l'action

du sympathique. V, 508, 509.

Dans l'empoisonnement. XI, 92.

ME LA VEINE-CAVE, influence

sur le sucre du foie. VII, 136.

OE LA VEtKE-PORTE. XIV,

3H!; XVH, 37i. Mort consécu-

tive. VI!, 196. Influence sur la

fermentation du sucre de la veine-

porte. VII, 200. Autopsie des

animaux. XIV, 339. Elle n'em-

p&che pas la production du gfy-

cugoDe. XVII, 371.

HG?<EUX. IX, tt!) XVt, t34.

JLtMACES, sécrétion biliaire et sé-

cretio!! du sucre. J, 101.

HMAÇONS, expériences sur la sccré-

tion de la bile. XV, 598.

HMtTE de nos connaissances, elle

est la même dans les phénomènesdes corps vivants et dans les phé-

nomène*! des corps bruts. VIII,

(3ï.

DE L'0'MfGÈKE dans un milieu

respirabte. III, t20.

HK6UAL (NB!U'} !X, 3t. Son

influence sur la sécrétion salivaire.

VII, 265. Ses actions réflexes.

X, 36}. Son influence sur la

sécrétion sous-maxillaire, XV, 5~t.

Elle appartient à ta classe dos

actions réflexes. XV, 5~2. -Preuve

expérimentale de cotte hypothèse,

XV, 543. Voy. Langue.

LIQUEUR CUtVRtQUE. Substances

qui peuvent la réduire Leur éli-

mination. XIV, )93. Pour doser

le sucre, formule. XtV, 19' 198.

Procédé opératoire, expériences.

xrv, 198.

LIQUIDE ALLANTOIDIEN. Voy.~~anfoMteM (liquide).

CELLULAIRE. XVt, 191.

Page 224: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE2t0

UQUtDES t'ATHOLOGXQUES V)!,428. 1

SECRETES. Les globules du

sang y passent-Hfi normalement ?

VI, 460. Comparés aux. liquides

excrétés. VII, 6.

LIVRES. Comment le physiolo-

giste doit consulter, Vtff. 24!).

LOBES CEREBMAtJX. Leur abia-

tion. IV, 493. C'est en eux que

réside la couseience et )'iHtG))i-

gence. XVU!, 392, 415. Leur

ablatiou chez les pigeons. XVIII,

398.

LOBULE DU FO:E. !87.

LOCALISATION des actions toxi-

ques ot médicamenteuses. tH, 41,

56. Auatomique des maladies.

VIII, t96.–Des phénomènes fonc-tionnels do l'organisme. XV, v.

Des fonctions ds la vie. XV, M;

XVIII, 367. Des phénomènes

de la vie. XV, 83. Do l'encé-

phale. XVIII, 392. Phréuologi-

que. XVIII, 413.

LOCOMOTION (Phénomènes de).

tX, 9.

LOI. 14. Préétablie qui r~gia

l'ordre et la forme de fa vie. XVf,

62, 66. Préétablie qui règle )a

succession, le concert, l'harmonie

des phénomènes. XVI, 345. EUc

est la relation entre la cause et

l'effet. XVIII, 73.

DE CAUSALITÉ. XVI, 340.

DE CIRCULATION MATÉRIEL-

Î.E. XV! 51).

DK CONSTRUCTION dos or-

ganismes. XVI, 353.

DE DIFFÉRENCIATION et de

division du travail. XVI, 357.

DES GRANDS NOMBRES, le

médecin n'en a que faire. VIII,

242.

D'INERTIE des corps vivants.

XVn, 466.

MORPHOLOGIQUE. IX, )27.

DE NOBILI. Quatre périodes. X,

283.

OMANO&ENtQUE. Elle pré-

existe à l'organisation qui en est la

conséquence.!X, 228.

LOt DES OSCILLATIONS gtycoce-

niques. XIV, 409.

DE PERFËCTtONNEMEKT orga-

nique. XVI, 358.

DES PHÉNOMÈNES. VJtt. )4a.

Il faut les découvrir avant do

prétendre les manier. XI, 40C,

424, 511.

DE RITTER. Six périodes. X,M).

LOIRS. Expériences de vie oscillante.

XYJ,!t).

ï.OMBA!RE (RÉEMjt). Altérations

des racines nerveuses après leur

section. TV, 243.

LOMBAIRES(rfEttfs). Voy. Nef/s

lombaires.

LOMBO-SACRÉ (PLExus). Voy.F<<M~ ~OM&O-MCr~.

LOMBRIC. Son système nerveux.

IV, 507. Corpuscule tymphMi-

que ayant englobé des corpusculesverts. XVI, 298, 380.

LONG. Emploie le premier l'éther

pour insensibiliser des malades.

XII, 41.

t.OKGET. Racines rachidiennes. IV,

35. Usages du suc pancréati-

que. VII, 363. Discussion sur

la sensibilité i-écurrente. VII, 370;

XI, 517. Mouvements de rota-

tion produits par la piqûre des

pédoncules du cervelet. XV, 45.

LONGÉVITÉ des graines. XVI, 390.

Humaine. XVIII, 433.

LOWER. Expérience sur le siège de

l'hématose. XIt, 7.

MJCA. (do) Recherches chimiquessur la racine de cyclame. ttf,4~1.

MDWtG. Ses expériences sur !'in-

<tuenee de la pression du sangsur l'abondance de la sécrétion.

X!, 366. Son laboratoire à

Leipzig. XVI, 15.Lt/MtÈRE. Elle altère la nicotine.

iH, 406. Sensibilité directe de

l'iris. V, 9t. Suivant sa direc-

tion, la pupille se resserre ou se

dilate. V, 215. Son influence

sur la vie. X, 54. Son action

sur les muscles da l'iris. X, t80.

Page 225: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES (EUVHES DE CLAUDE BERNAHD. 2H

–Son influence sur le proto-

plasma chorophyDion fait opérer

lasynthësRdescorpsternairps.

XVi, '3. Son influence sur la

respiration des plantes. XVII,

168.

LYMPHATIQUE (AppAREn,). Physio-

logie opératoire. XV, 94).

(SYSTÈME). XV, MO. Voy. Cfpt/-

<a!t'es lymphatiques, Circulation

lymphatique CorpK!C!M ~?~-

phatiqtdes, Gaines lymphatiques,

Glandes lymphatiques, Sacs ~'x-

phatiques, Vaisseaux ~/M/a<

ques, Veine.. /~mpA<!<t~[M~.

~YMPHATtQUES (ËLÉMENTs). fX,40.

(FISTULES). Voy. Fistules lym-

p/toft~MM.

(GAKGnoKs). Voy. Ganglions /yM-

phatiques.

(VAtssEAt!!i.). XV, 308. Leur

passage aux artères prouvé par

injection, par double décompo-

i!ition.Vn,)':t,t:2; XV, M5.

Communiquent.its avec les capil-

laires sanguins? IX, )M.– Le rc

seau capillaire met en rapport

les voies circulatoires sanguinesavec l'origine des voies lympha-

tiques. X!, 367. Exp de

Magendie.XV, 335. Leurs ori-

gines. XV, 344. Voy. ~M.MM!M'

lymphatiques.

LYMPHE. VU, ~3 XI!, 22. Pas-

sage du sucre. 319. Les ani-

mauxqui n'ont pas de lymphe,n'ont point d'urée. J, 319. Eau

qui en vient. VI, 43!). EHe

fournit de l'eau en plus au sang

artériel. VI, 444. Rapport avec

l'urée. VII, 31, 65. Présence

dusucre.Vn,))9,3t5.–Le

prussiate jaune de potasse y passe.

VII, ':58. Son écoulement. VII,414. Passage de diverses sub-stances. VII, 414. Son action

sur l'altération do l'air. VU, 420.

Sa respiration. VII, 420. Abs-

sorption d'oxygène. Vtl, 42t.

tnOuence du curare. XV, 383, 389.MACtHKE PNEUMATtQUM mer

cure. XV, 231.

MACHEES VtVA~TES Leur

fonctionnement différent. XV!. )j0.

–Comparées aux machines uva-

peur.XVnt,47.

MACnOtRES.Apparei) pour les écar-

ter chez le cheva.).XV, )48.

MACROCOSME. VIII, 34 IX, t35

XVII, 403; XVIII, eo, 118.

MAGENDtE Suc pancréatique I!,

t':6;–Xt,483;XV,43.–Sonctoge

par C).Bernard. !U,t.–Partisan de

i'expéhence.fft,S;Xf,tx.–Fixela méthode expcrimentate dans la

médecineetiaphysioiogie.!H, 9.

-Il n'admet que le résultat expé-rimentât brut. fjt, 10 IX, 6; Xt

482, 515 XV, 60. 63; XVI, 9;

XVIII, )8. Démontre l'existence

normale de phénomènes physi-

ques et chimiques dans l'orga-nisme. III, )' Fonctions des

nerfs rachidiens et des racinesrachidiennes, distinction des nerfs

moteurs et sensitifs.])!, 20; IV,

34;!X,t3,)54;X,23!);XV,408.

Professeur de médecine au

Collège de France. III, 21 XIV, 29.

Sensibilité récurrente ou en re-

tour. III, 24 VH. 3-!0; XI, aU.

Bibliographie. III, 3).–Expé-riences sur rotfaction.V,226.–

Expérience sur l'élimination du

phosphore. XI, 78. Expériencessur la rétine. XI, 196. Expérien-

ces sur l'absorption. XI, 285. Re-

cherches sur le choléra. XII, 325.

Considère la circulation comme

suivant les lois de l'hydraulique.

XIII, 224. Ne saigne pas dans

la pneumonie. XIV, 225. Veine

porte. XIV. 26' Mouvements

de rotation produits par ta piqûredes pédoncules du cervelet. XV,

45. Expériences sur les lym-

phatiques. XV, 335.

MAGKUS. Analyse des gaz du sang.

XII, 489 XUf, 23 XVII, 156.

Sang artériel et sang veineux. XV,

461.

MAINTIEN de la vie. XVI, 383.

MAtTREetétève.XVnf,95.

MAITRISER son cœur. XVIII, 365.

Page 226: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TARLE ALPHABËTtQUË ET ANALYTIQUE2)2

Mit. jouer aucun rA!f. XI, 4~.

Résultant d'un développement im

parfait. X!, 5!. !tMuttM)t d'une

évolution pervertie, produites pat

une (M\'i:ttioti du type normal.

XI, M. Se rattachant au dé-

faut tl'évolution normate. XI, 52.

La nature n'est pas toujours

capable de les guérir. Xf, 70.

Influence du système nerveux sur

ieurs symptômes généraux. XI,

!?. Cousidcrëos coninte la con-

sÉquencc de lésions mat<h'ieUM.

XI, 100. SoHt-c))es la cauM ou

t'efTot d'atteratioas morbides ? XI,

101. Comment elles produisent

la mort. XI, 112. Action du

médecin. XI, U7. L'anatomie

pathofogiquc ne suffit pas it oxpfi'

quertoutes les modifications mor-

bides. XI, 119. Il faut tes pro-

duire artificiellement pour en bienétudier le mécanisme. XI, 128,

324, 497. Leur action modifie

nos tissus d'une manière gra-

duelle au lieu de les désorganiser

brusquement. XI, !62. Dir-

férences individuelles. XI, 2'M).

Mouvements réflexes. XI, 3.')(!.

La. pathologie a pour objet

leur connaissance ot celle dH'i

conditions qui les déterminent.

XI, 408. Part de l'art et de ta

nature dans la guérison. XI, 424.

Leurs causes résident dans les

éléments anatomiques. XI, 5?7.

Elles sont d'autant plus nom-

breuses que i'orgMMSM est plus

perfectionne et les fonctions plus

complexes. XII, MT XV, 9S.

Leur curation. XV, 9. Elles se

ramènent à undéterminiMie com-

plexe. XVIII, 72. Voy. Causes

des maladies, Curation des ma-

~t'M, Déterminime des mala-

diés, Physitilogie des maladies.

MALADIES AlGUES. Leur influence

sur l'état diabétique. t8'

CES AMMAUX comparées à ca)-

les de l'homme. Xl, 44.

ARTtFtCtEHES. VIII, 200

XV, 28.

MAt, DES BAM.OKS XV)t, )9:

MAL MES MONTAGNES. XVII, t9:

MALAH!E XI, :)24 XVII, v.. _o.

Elle chango t'ctat anatomiquc et

physiotogifjuc des organes. i, 1M.

Influence do cet état sur l'as-

phyxie. Ht, )n, t20.– Elle n'M<

pas un symptôme isolé, mais une

série de xymptûmes. Xt, 17.

Produite dans le corps vivant

par les agents chimiques. XI, 33.

Les forces physiologiques cou-

tinuent (!'ag!r. XI, (M.–Ce mot ne

doit s'appliquer qu'à une affection

générate. XI, 9). Ses effets res-

scmb)et)t à ceux des poisons sous

tous les rapports. XI, <M, 122,

tM. Considérations générales

su)' sa nature. Xt, t26.– tnsufti-

s~nce des principales dÈOaition!)

adoptées jusqu'ici. XI, tM. --C'est

un mot sous lequel nousrémuMOM

un ca.sembto de ph6nom6nes con-

comitanM ou successifs. XI, 533.

Connue experimentatement.

Xt, 577. Elle n'est pas un mode

di<Mraut MsentieHcmaat de la

santé. XIII, :?!. Elle cot'ret.-

pond il une fonction normale cor-

rospoodaate, dont elle n'est

qu'une expression troublée, exa-

gérée, amoindrie ou <mnutee. XIV,

M:. Elle est constituée par le

dérangement survenu dans un

mécanisme fonctionnel normat,

par une perturbation vitale. XIV,

;iM XVH), 3M. Elle est un

des caractères de ia vie. Xv't, 34.

BE BtUHHT. VII, 140.

MAiLADtES. Font-elles duipaMitro

le sucre. I, 93, 135, 368, 372.

Leur influence sur la sécrétion du

sucre? I, ia&. A)t6ratioM du

sang. VI, 'i'!6. Leur classifica-

tion. Vf! <95. Localisations

anatomiques. VIII, <96. Parti-

cuiieres & chaque espèce animale 1

et non transmissibles aux espèces

voisines. XI, f!. Qui résultent

du développement pathologique

des cellules. XI, 44. Dans les-

quelles le système nerveux ne pa-

Page 227: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BEHNAHD. 2)3

54. Ses variétés. XVt, )9C. !i8.

Ses diverses. XVf. MS8.

Elle résulte d'un connit entre

d~m facteurs. la substance orefa-

nisée vivante et le milieu. XVII,

L'usure mo]écu)aire est en pro-

portion de son intensité. XVIII, t88.

MANIFESTÉE (Vm). \oy. t'ie mani-

festée.

MAMXtTE. XYU, M.

MANOMETRE à air libre de Poi-

seuille. Vt. t6.'). Différentiel.

XUt, 94t. Dans l'artère carotide

du chien. XVt![. 35t.(.

MARMOTTES, fonction glycogéni-

que. t, 140. Leur consommation

d o\ygcne rëtat de sommeil hi-

berna) et à t'ëtM de veille. III, tt3,

Exp. do Regnault et Reiset.

Xt!, 328. Moyen de les saisir et

de les maintenir. XV, UO. Vie

oscillante. XV!. HO.

MAKirK. Asphyxie par le charbon.

XU, 332.

MASSE tKTEKMERtAtMK entre

les ffuiiiets du blastoderme. XVI,

319.

PROTOt'iLASMtQUE XV[, t8S.

MASSETKRtiSE (GLANDE). Voy.

R/fïM~c m<?M~Mr:~e.

MAST)CAT)OK. XVII, 253. !n-

fluence de la salive parotidienue.

U, 48. Effet de ta paratysie des

joues et des tevre*). V, 38. Ré-

sultats de la gafvaaiMtion du grand

sympathique. XV, 519. Rap-

ports avec la salive. XVII, 284.

MATÉKtAUSME IX, M7 X, ~7

XVI, 49, 41; XVUr, t5!. En

physiologie, il ne conduit à rien

et n'explique rien. XVIII, 36L

Voy. Doc<MM matérialistes.

MATERIALISTES. HI,4

MATÉRIALITÉ des phénomènes.

XV. 55.

MATEMAM ÉTRANGERS, avant

d'être utilisés pour la nutrition.

ils passent par deux états, l'état

d'aliment digéré, l'état de réserve.

XVII, t34.

KUTMTtFS, réserves dans la vie

latente, XVt,102. Leur emmaga-

9<A)LADtES COKTACtEUSES Les

1animaux qui sont le plus exposés

sont les moins sensibles aux poi-

sons nevrosthéniqnps. XI, M.

ESSENTIELLES Vttf, t!)7 XI,

127. Comment on peut en ad-

mettre i'existence sans blesser )cs

principes de la science. XI, !9'?.

GENERALES. Leur relation avec

tes lésions locales. XI, tf).

CE L'HOMMt' compaMM aux

maladies des animaux, paraH~tc.

X[,44.

LOCAtLES. Leurs effets généraux.

X), !?.

PARAStTAtttES. Voy. 7'at'a.n-

~M.

VtMLENTES. XIV, 84. Les

animaux qui y sont. le plus expo-

sés sont les moins sensibles aux

poisons nëvrosth~niques. Xf, M.

MALFORMATIONS. XVt, 33.

MALIQUE (ActDEi.XV), 3:)2.

MALTOSE. XVII, 2'!9.

MAMMAtRR~GLANnE). Vny. C~?tde

MantmaH'c.

–(SÉc<tÉ'rM!f;. Son mécanisme. \'n.233.

MAMMUFERES. Les éléments ana-

tomiques sécréteurs de la bile et

ceux du sucre sont confondus et

mëfangés. t, )05. Leur hile

n'est pas sucrée. LU!. Em-

poisonnement par le curare. XI,

t38. Propriétés du tissu muscu-

laire. XI, 23~. Développement.

XVI, 326. Glycogénèse pendant

la vie embryonnaire. XVII, 57.

Voy. CEM/' de matHn!t/~re.

BtAPfDMAGOttE employée comme

anesthésique. Xt[, 36.

MANÈGE. Voy. J)~OMteM<~t<~ de ma-

n~e.

MAKtE aiguë. XI. 29.

MANtFESTATtOK D'UN PHEKO

MÈNE, double condition t" un

corps, 2° un milieu. X, 5.

FHYStCO CHtMtQUE, e!!e ne

change pas dénature, selon qu'elle

appartient à l'état de santé ou de

matadie. XIII, 394.

VITALE. Son déterminisme. XVI,

Page 228: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE2)4

MATtÈBEGLYCOGÈKE. Voy. G~

cogène.INERTE. Les agents qui excitent

ses propriétés exercent aussi leurs

influences sur les propriétés de la

matière organique. XVUL 121.

ORGANISÉE, les procédés orga-

niques qui lui sont inhérents sont

étudicsparfcphysioiogiste.JX,

136. Ses mécanismes et ses

propriétés sont exprimés par les

phénomènes vitaux. IX, 224. La

physiologie génerato en étudie tes

propriétés. XVIII, US. Le phy-

siologiste agit sur ses propriétés.XVHI, 12t.

SAUVAUME Voy. Sa/:fO!M (Ma-

tière).

SUCBEE. Voy. Sucrée (Mati&re).

VERTE. Sos cellules. JX, 95.

VIVANTE, Elle ne peut pas être

créée. !X, m.– Sa spontaneite.jtX,

134. C'est de ses propriétés que

résultent, à l'état de santé comme

à rotât de maladie, les phénomènes

présentés par les êtres vivants.

XI, 126. Ses conditions d'activité.

XI, 490. D'après Pfluger, le cya-

nogène est son origine. XVI, 222.

MATtÈRES ALBUMINOIDES. Voy.

Albuminoïdes (Matières).

AZOTÉES. Voy. Azotées (Ma-

tières).

COLLAGÈNES. Voy. Collagènes

(Matières).

FÉCULENTES. Voy. fc'CM/f~M

(Matières).

GRASSES. Voy. Grasses (Ma-

tières).

HYDROCARBONÉES. Voy. Hy-

drocarbondes (Matières).MtNERALES. Voy. Minérales

(Matières).

ORGANIQUES. Leur solubilité et

leur insolubiUte. JH, 65. Spé-

ciales aux sécrétions. VI, 462.

Matières organiques, mais non or-

ganisées. dans l'être vivant. X, 6!.

PROTÉIQUES Voy. Protéiques

(Matières).

PtJTRU)ES. Voy. Putrides (Ma-

tières).

sinementetteur consommation.

¡

XVII, 140. Voy. liéserves de nîaté-riau.~ »ats°iti/s~nM.K ))M<t'!<</t.

MATERtAUX ORGANIQUES du

sang. Vf, tM.

MATHEMATtQUES appliquées Ma

biologie. VIII, 226. Voy. ~M/Me

~<!M~m<!<!<yMf, !ft<M~M<

~~Mf.

MATIÈRE, elle n'a pas de sponta-

néité, pas ptus dans les corps vi-vants que dans les corps bruts,elle est inerte par elle-même. VIII.

1:32 X, 24 XI, 509. Son cir-

culus. IX,!)3.–EHe n'engendre

pas les phéuomÈnos qu'elle msn!-

festc.tX, no; XVJI,399;XVm.

133. Elle est de trois ordres

dans t'être vivant: ]'' MatiÈres

minëraies 2" Matières organiquesmais non organisées; 3'Èiements

organiques. X, 61. La science

expérimentale a pour objet do dé-

terminer les conditions de ses ma-

nifestations phénoménales. XI,

489. Sa nature nous échappe,nous ne pouvons étudier que ses

propriétés.X!,529. -Les manifes-

tation de la vie n'en sont pasJ'oeuvre. XVI, 52. Il faut la dis-

tinguer de la forme chez t'être vi-

vant. XVI, 292, 352. C'est sur

elle et par elle seule que l'action

est possibte. XVII, 399. Sonactivité. XVII, 432. Rien ne se

perd, ni ne se crée. XVIII, 75.

Voy. Activité de la waf~re, Pro-

t" t~M< de la matière, Spontanéité

de la matière.

AMORPHE. C'est en elle querA-side la vie non définie. XVI, 292.

AHyLACEE. Voy. Amylacée (Ma-

tiore).).

AMYLOtOE. Voy. ~y/oM<- (Ma-

tière).

BRUTE. Elle ne peut pas être

créée. IX, !H. Voy. Matière.

–CHYLEUSE. Voy. Chyleuse (Ma-

tière).

CONTRACTILE. Voy. Con<t'ac-

tile (matière).

ÉIWLSIVE du foie. XIV, 302, 311.

Page 229: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BER'<AH[). 2)S

MATIÈRES SACCHAROtDES Voy

SoeeAttrof~e~ (Matières). IILSALINES. Voy. Sa/:):M ~Ma-

tières)

1

MATTEHCC: Expériences. IV, 2i3.

MAXtLLAJ&E Voy. BroMe~e ma.i":<-

laire, Glande ~ia.Et~atrc, A'ery

maxillaire.

MATTEU classe les éléments des

tissus et crée l'histologie. XVI,

t84.

MECAMCtSME. XVt, -{9. Con-

ception de la vie. XVII, 428.

MÉCANIQUE (FoME). Voy. Force

mécanique.

MECANtQUES (!RB!TA'<Ts). Voy.

/rrt[a7t<~ mécaniques,

(PHÈHOMÈKES'). Voy. P~~MOtnëMM

meMnt~MM.

MÉCANISMES FONCTIONNELS.Ils sont distincts des propriétés

vitales. XVII, n3.

RESPHtATOtRES, teurs vanet~s,

et unité du but. XVU, HS.

Troubles auxquels ils sout expo-

sés. XVII, )82, 192.

VtTAUX, en tant que mëca-

nismes, ils ne diffèrent pas au fond

des mécanismes non vitaux. IX,

m XVIII, t2G. Leurs poisons.

XVII, 183. Empoisonnés par

l'oxyde de carbone. XVII, 183.

La physiologie générale en expli-

que les procédés. XVin, 118.

MEDECIN, selon quelques prati-

ciens, c'est un artiste et non un

savant. VIII, ~56. Utilité pour

lui de la physiologie. Xl, 9.

Il doit bien connattre l'action des

médicaments. XI, 71. Sou ac-

tion sur les maladies. XI, 117.

Ses dissidences avec le physiolo-

giste. XI, 322, 328. Son rôle si

la médecine était une science d'ob-

servation pure. XI, 420. Il est

forcé d'agir. XI, 422. Peut-il

bien prétendre qu'il guérit son

malade. XI, 438. Comparé au

physiologiste. XIV, 52. Voy. In-

tuition médicale, Tact médical.

EMPIRIQUE au lit du malade.

VIH, 361, 36'

MEMCtK EXFEMtME;fTATËUR

Vni,364.) doit chercher con-

stituer la science mcdicaie sur les

<nemes principes que toute autrescience Mpérimentate. Vit!, 366.

Comment il devra se comporterau ht du malade. VIII, 386. Son

laboratoire. XI, 413. Il ne doit

pasnég)i~er)actinique.X!,572.

Voy. R<'p~)'tm<'M<a<!OM médicale.

HtPPOCRATtSTE au lit du ma-

lade, VIII, 366.

PttATtCtEX, son rùtc dans la

société. VIII, 360; XI, -98 Ses

devoirs envers les malades. XI,

4) t. Doit concourir ta consti-

tution de la médecine expérimen-

ta)e.Xt,4U.

SAVANT et médecin systémati-

que. VIII, 361.

MÉDECtKE. Applications de la phy-

sioiogio. I, 29. Son problème.VIII, 5. Doit-elle demeurer une

science d'observation ou devenirune science expérimentale'? VDt.

34, 344; XVIII, 60. Selon quel-

ques praticiens, elle n'est pas une

science. VIII, 334. Elle n'est

pas destinée à devenir une science,

mais un art. V! 356 XI, 3, 43'

455 XIV, 36 XV, 8. Elle a sa

base scientifique dans la physio-

logie. VIII, 346. Qu'est-ce que

iamedecine?XI,2.–Nécessite de

connaitre les autres sciences pour

l'étudier. Xt, tt.–Apphcationsdes

vues générâtes sur le système ner-

veux. XI, 3)2. Son histoire. XI,

3ta, 397. Elle est une science,

mais non encore développée. XI,397,46t. Ses trois offices

d'après Bacon. XI, 407. Ou art

de guérir. XI, 4(n. Elle n'est

considérée souvent que comme une

industrie. Xl, 410. Elle est

une science d'expérimentation.

XI, 418. Il faut distinguer un

état antiscientinque ou empirique,

un état de science d'observation,

un état de science expérimentale.

XI, 425, 457, 566, 578. Elle est

en retard sur les autres sciences,

Page 230: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE2i6

parce qu'elle est plus complexe.

XI, 426. Ce qu'elle est aujour-

d'hui, et ce qu'elle sera dans l'a-

venir. XI, 482. Elle n'est con-sidérée souvent que comme un

métier. XI, 45&. Elle est une

demi-science, ou une science con-

jecturale. XI, 455 XIV, 37 XVIII,

t8t. Son but est le traitement

et la guérison des maladies. XI,

459. Ses rapports avec la phy-siologie. XIV, Si), 51. Son union

actuelle avec la physiologie expé-

rimentale. XV, 58. C'est une

science appliquée. XV, t ). C'est

une science qui apprend a eon-

naltre les phénomènes do la vie,

normaux et anormaux, et les modi-

ncations qu'ils subissent de la partde divers agents. XV, 22. Voy.~r< médical, CoMp <<'a' eu M~e-

cine, Pt'a<)~Me médicale, Sciencesmédicales, Statistique médicale,

Systèmes médicaux, T/t~Wte~ m~-

dicales.

MÉDECINE ACTIVE. Elle doit avoir

pour base la physiologie. XI, 316,

468. Comparée & la médecine

etpectante.X!,42).

CLINIQUE. Elle n'est pas exclue

par la médecine expcrimentaie.VIII, 257. Elle doit avoir la pre-mière place dans la médecine

expérimentale. VUJ, 350. Voy. Cli-

nique médicale.

CONJECTURALE. Elle doit né-

cessairement précéder la méde-cins cefiMse, qui Mt la médecine

experimentate. Vnt, 3'!4.

Em'tR!QUE. XIV, 83. Elle

n'est pas incompatible avec la

médecine expérimentale elles

doivent être au contraire insépa-

raMes l'une de l'autre. YHt,

359.

EXPECTANTE. VIII, 345.

Comparée à la médecine agis-

MBte.XI,42).

EXPÉRIMENTALE. I. 31 VIII,

171, 199; XI, 996, 418, 454, 530,

56t XIV, 83 XV, 101 XVII,

vt.–Ette comprend la pliysiolo-

gie experimontaio, la pathologieexpcrimcntata et la

thérapeutique

eupérimentaie; elle étudie tes

phénomène!! physiologiques, pa-

tho)ogiqaes et thérapeutiques.VtH. 6; XI, 417, 497. Moyensnécessaires à son étude. VHt, 247.

Elle n'exclut pas la médecine

clinique. VIII, 257; XIV, 42.

Critique appliquée. VU!, 3;)3.

Obstacles philosophiques qu'ellerencontre. VIII, 343. Elle dif-

fère dam son but de la médecine

d'observation. VIII, 344. EHe

se sert (te l'observation et de l'em-

pirisme commepoint d'appui né-

ceMaire. VIII, 341. Son devo-loppement trouve un obstacle dans

l'ignorance scientifique et dans

les illusions de l'esprit médical.

vni, 35t. Elie n'est pas incom-

patible avec la médecine empiri-

que elles doivent être au con-

traire inséparables l'une de l'autre.

V! 350. Ce n'est point une

théorie médicale nouvelle. VIII,

363. Elle n'est que l'épanouis-soment naturel do l'investigationmédicale pratique, dirigée par un

esprit scientifique. V!H, 372.

Elle comprend le problème médi-

cal dans son ensemble et renferme

la médecine théorique et la méde-

cine pratique. Vm, 379. Elle

ne répond et ne se rattache &

aucune doctrine médica)e, ni à

aucun système philosophique. VIIJ,

SM, 3M. EUe est antisyatéma-

tique et antidoctrinate. VIH, 3M-

Son avenir. XI, 408. Son

dévetoppoment sera long. XI, 409.

Le médecin praticien doit con-

courir à sa constitution. XI, 4tl.

Elle est la médecine active qui

modiSo l'organisme. XI, 425, 430.

Moyens de ta développer. XI,

425. Son domaine et son

champ d'action. XI, 434. Elle

fait la physiologie des maladies.

XI, 457, 460. Elle correspond à

la thérapeutique. XI, 458. ?f'ap-

plique la physiologie h i'iuterpro-

Page 231: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARO. 217

talion des maladies que là où les

faits le permettent. Xt,46a.– Doit

se lancer dans la voie de l'expéri-

mentation. XI, 468. Elle a pour

objet d'analyser les phénomènes

de la vie. XI, 502. Et de repro-

duire les conditions qui les modi-

fient. XI, 502. Ne peut pas être

fondée si la physiologie n'est pas

constituée. XI, 56' C'est un

édifice toujours en voie de cons-

truction. XI, .'<8t. Son objet.

XIII, 8. Principes qui doivent

dominer dans son étude. XIII,

3!)2. Part qui, dans son histoire,

revient au Collège do France. X)V,

39. Elle n'est pas un système

nouveau de médecine, mais la né~-

tjon de tous les systèmes. XVtf[,83.

MÉDECINE H<P''OC)&ATtQUE Xl,

434.

LÉGALE. Applications médico-

légales de rexamea spectrométri-

quo du sang. XII, 433.

MODERNE. Elle doit envisager

le milieu intérieur. XUt, 7.

D"OBSEttVATtO?f. XI, 418, 454;

XIII, Elle diffère dans son

but de la médecine expérimentate.

Vin, 344. Elle fait l'histoirc

naturelle des maladies. XI, 45'

Elle a pour objet le pronostic,

le diagnostic et la nosologie. XI,

458.

t'HVStOLOCtQUE do Broussais.

XI, 464, 483, a69 XtY, 40.

PRATIQUE. XI, 397. Elle

peut et doit acquérir !s môme

degré de certitude que les autres

sciences. XIV, 36. Comparée à

la médecine théorique. XV, f!.

FROFESStOKKELLE. XV, 16.

SCtE?fT!)FtQUE. XIII, 3; XV,

16. Résulte d'une union intime

de la physiologie et de la clinique

Xi, 21. Son évolution et son

état actuel. XI, 560. Ses condi-

tions; XIV, 33.

THÉORIQUE comparée à la mé-

decine pratique. XV, n.

DES URINES. VU, XIV, 90.

MËDtASTtKE (CAVtTÈ). XV, 2'!C.

HEDtATjE~nS PLASTIQUES. XVII,

4)5,425;X\U),!63.

MEuiCAS:E*:TS énergiques, leurin-

fluente sur les symptômes du dia-

bète. L44G.–Leur dennition.

III, 3'i XI, '!). Compares aux

poisons c'est tout un la dose

seu)o!esdi)ïé)-snci< Ht, 53; XL':),

430 XfL 442. Leur action gé-

néra)e.ULG1;XL8(,225,29a.

Théorie de leur action. !tL'?0,

81, 102. Leurs oppositions. !!),

102 X! 2n.–Leur dosage.H),

334. Leur passage dans le lait.

VU, 2M. Leur action n'est pasla même dans t'état de sanh-

et dans l'état de maladie. XI, M.

Leur différence d'action ex-

pliquée par le système nerveux.

XI, 28. Différence avec les

aliments. XI, '!t. Ce sont des

substancea étrangères recono-

mie et parcoBséqueutdes poisons.XI, 72. Leurs effets généraux.

XI, 8(. -Ils doivent être considè-

rés comme des phénomènes phy-

siologiques. XI, 82. Euvisagés

comme des agents physio)ogiques

d'une nature partientière. XI, 83.

–Lesacgeaest)evc))icu)e.X),

83. Généralisation de leurs ef-

fets. XI, 83. Ils n'agissent passur les organes, mais sur !es cte-

ments de tissus d'une manière en-

tièrement physiologique. XI, 83,

87, 49C; X!L 382. Leurs effets

généraux sont en rapport avec l'ac-

tivité des vaisseaux et des nert~.

XI, 90. Ua agissent avec plus

d'intensité sur los nerfs coupés. XI,

208, 214. Leur aMnite eieoivf

sur les organes maiades. XI, 2!f!.

Leur action sur le système

nerveux semble au premier abord

en augmenter les propriétés. XI,

224. Leur absorption. XI, 442

xn, 280, 294. Injections. XI,

443. Mode d'administration et

conditions d'action. XIt, 84.

Leur association. X)L2~t. Leur

élimination. X! 294. Distincts

retirés de ta môme plante. XiJ,

Page 232: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUES)8

518. Leur action ne s'exerce

1

pas dans J'estomac, mais dans !<'

milieu intMorgauique. XVIII', t8.

Ils ne sont actifs que parcequ'ils pénètrent daus le sang.

tVU[,)M.

MÉDICAMENTEUSES (AcTtOXS). Itf,

53; XI, '!3, 81, 225. Leur locali-

sation.111, 56. Din'erencos exp)i

quées par des modiHcations de

l'absorption. XI, 28. Le médecin

doit bien les connaltre. XI, '!i.

Ne peuvent pas s'expliquer par les

propriétés eMtusivemeat chimi-

ques des médicaments. XI, 76.

Expliquées par l'endosmose. XI,

Comparées aux actions toxi-

oues. XV, 296. EUes ne sont au

fond que des empoisonnements

iucomptcts. XV!3)3.

(SuBSTAN'CEs\ ït!, 38. Variétôs

de leur action. I!t, 53. Voy. jtMt-

Mmeoh.

MÉDICAMENTEUX (AGENTS). Leursvariétés, tiï, 53. introduits

dans l'économie, ils dirigent habi-

tueXement leur action plus spécia-lamant sur les organes malades.

XI, 215.

(EFFETS). Leurs théories. Ht, M.

Théories physiques. )tt, 69.

Théories chimiques, lit, 8C.

Théories vitates.tH.t02.

MÉDICATIONS actives. Xt, CO.

Rationnelles. XI, SM.

MEMCATRtCE (FoRCR).Y!tl, 36:XI, 6t. C'est une force physio-~gique.X',64.

MEOUt.t.AtKjE (TmE). XVJ, 322.

MÉDUSAIRES. XVH, M7.

MELE~tTOSE. XVtt, M, 279.

MEUTOSE. XV)t, 34, ST).

MËUTtJKtE. XtV, 64.

MEMBRANE. IX, 69. Cellules

vibratiles réunies en membrane.

X, 127.

MUQUEUSE. Voy..MM~t-MM

(Membranes).

SÉREUSE. Voy. S~'pMMï (Mem-

branes).VIBRATILE chez les vertèbres.

X, 128. Principaux organes

dans lesquels on la trouve 'voies

respiratoires, caaa) digestif, orga-

nes génitaux mates et femel-

les, etc.). X, 120.

t!TEt.L!NE. JX, )07 XVII, M4.

Ses vaisseaux dans )e foetus

d'un poulet. XVII, 9;}.

MEMBRES paralysés, les mouve-

ments apparaissent au moment de

la mort parhtmorrhagif'. Vt, 'i(M.

Leur reproduction. IX, 101.

Leur ligature. XV, t Ki.

POS'rERtEtJMS.Mouvemcutfide-

terminés par la ligature du sym-

pathique dans le ventro. IV, 3~0.

Pai'aiysês par ta section de la

moelle épinière. VII, nï.– Voy.Ntf't f~M membre posM't'eM' ~t-

nes ~M membre pot~rfeMr.

MÉMOtBE. Elle est annihilée par

l'anesthésie. XII, 53.

MKNtKGO-CASTK!Q)UE (FIÈVRE).

Voy. Fièvre Mt~tn~o-g'<?~Kf.

~tEPHfTtSME. Voy. ~M' M~/t~

que.

MERCURE. Son action toxique, III,

6' Excitation métallique des

nerfs. IV, 303. Passage dans le

lait. VII, 241. tajections dans le

sang. VII, ~66. Il est le poison

de la tnatièra végétale verte. IX,

207. Voy. Cy<!tt«r<t/f m<rct<r<.

MERGET. Phénomène de thermo-

diffusion. XVII, 236.

MÉROBLASTtQUE (OEu?). Voy.OEM/' m~)'0&<<<t~M<.

MESEKTERtQUES (GANGLIONS). Voy.Gangliom M~et!<~r!OMe.

MESOBLASTE. XVI, 3)9.

MÉTALLIQUES (PotsoKs). Voy.

Poisons M~a~ff.

(SBLs). Voy. Sets tn~a//t'~K~.

METAPEPTOKE. XVII, 301.

METAPHORES, qui répondent à des

réalités physiologiques. XVIII,

362.

METAUX. Leur action sur t'econo-

mie. Mt, 90. -Du sang. XIJ, 3).

METHODES, leur rôle dans les

sciences. f, M9. Il ne faut pas

les confondre avec les théories.

YIU, 383.

Page 233: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUYHES DE CLAUDE BER~ARO. 2<9

METMOCE ANALYTIQUE. Xt, 126.

COMt'ARATtVE XVII, 4t./j.

OEDUCTtVE VUf, 78.

ESDERMtQUE XV, 208. 326.

EPMtERMtQUE XV, 207.

EXPÉMMEKTALE 1!, Avant-

propos et leçon IV, ), 6 VI, t

& 27,36 IX, <i, 227 XI, 40). &05

XV, 4, 25; XVIII, 37, 4M. Rôle

de Magendie. Ht. 9 XV, 60, 6.

C'est un raisonnement à l'aide

duquel nous soumettons nos idées

à J'expérience des faits. VttI, 7.

Ses caractères, VIII, 71, 384 XI,

401. Applications à i'etude des

phénomènes de la vie. VIII, 265.

Etio repose sur la vérification

expérimentale d'une hypothèse

scientifique. VHt, 384. Son im-

portance eu physioiogie et en pa-

thologie. X!, 126. Elle a pour

base l'expérimentation, XI, 4 )6.

Appliquée aux corps vivants, elle

n'est pas différente de celle qui

s'applique à l'étude des corps

bruts. XI, 475, &63. Elle se pro-

pose de remonter à la cause pro-

chaine et de trouver le détermi-nisme des phénomènes. XI, 478;

XVIII, 78. Il faut toujours partir

des faits. XI, 480. Elle doit em-

ployer à la fois les faits et le rai-sonnement. XI, 487. Appliquée

en particulier à i'etude du sang.

XII, t. Elle a pour but de trou-

ver l'harmonie entre la raison pure

et les faits du monde extérieur.

XIII, 210. Elle a son criterium

dans l'expérience. XVtH, 78.

GRAPMtQtJE. XV, 53.

INDUCTIVE. Vt! 78.

D'tNVESTtGATMK dans tes re-

cherches de médecine expérimen-

tale. XI, 445. La même, pour les

sciences des corps vivants et pourcelles des corps bruts. XI, 56t.

Expérimentée, il faut la perfec-

tionner. XI, 582.

NUMERtQUE. XV, 48.

A POSTEMOM. t, 292; VIII,48.

A PRIORI. 289 VIII, 48.

MÉTHODE THEHMO ELECTRt

QUE. XV 464.

SYNTHÉTtQt;E. XI, 126.

MÉTHYLE. Voy. ~<-y~<<' de ;)!C-

thyle.

M!ASNES III, 50, 95.

MtCROCOSME. VU!, 34; IX, 135;

XV!403;XVIU, 60, 117.

MICROSCOPE. XV, 230; XVI, !8:

Voy. ~Ma/OMit'Mttcroscopt~MC, Pa-

M')/oytc microscopique, t';t'MM-

tions M:c''<MCOpt<yMM.

MILIEU AMBtANT. Sa richesse

en oxygène n'est pas ta seule con-

dition nécessaire à l'entretien de

)a vie. UI, 134.

CHAUD et sec, comparé, au point

de vue de la différence d'action.

avec un milieu chaud et humide.

XIII, 34t. Historique et critique

des expériences antérieures. XUi,

342.

CONFINÉ. III, 213. Respira-

tion. III, 115, i90. Moineau

placé dans ce milieu. III, ]2~.

Influence de l'acide carbonique

sur ia mort. III, 132. Les ani-

maux meurent tout autant par la

présence de l'acide carbonique que

par la défaut d'oxygène. tU, tS4.

Rendu mortel par la vapeur de

charbon. H!, 158. Absorptionde l'air par respiration. U!, 203.

L'animal qui y respire fait di-

minuer l'air. III, 2M. Vicié par

la respiration, il diminue de vo-

lume. Ut, 205. Courbes de la

respiration. III, 217. Voy. ~K' con-

/iK~, ~t~iO~pAcre confinée, /i~pt-ratton dans un milieu co?!t<.

COSMIQUE. Voy.t~M exté-

?MM'

ÉCHAUFFÉ. Mécanisme de la

mort lorsque les animaux y sont

placés. X, 231.

EXTERtEUH, COSMIQUE ou

EXTRAORGANIQUE. IX, 41, 96,

182; XI, 435, 495; XtH,XV,M7,

242; XVII, 3; XVIII, 45, 4t.

Équilibre do l'organisme avec lui.

III, t26. Sa composition chimi-

que. VHI, 109, !28, 2t0. Qui

Page 234: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE220

XVI, t)5. Conditions extrinsè-

ques générales qu'il doit remplir.

XVft, 3. C'est en lui que le mé-

dicament exerce son action. XVIII.

48. \'oy. Air </M ntt~'M, r~Mp~ro-

<«~ f/M milieu o~aMt~Uf.

MtHKU tNTMAONGAKtQUE Voy.

Aft/«'M intérieur.

MACtK)Ct)SM!Qt!M et MtCRO

cosMtQUE. vm, 170.

ORHANtQUE. Voy..Vt~eM !7)~-

RESP!RAMLE,limite de l'oxy-

gcne. fn, 120.

VtCtK, inftuencs de t'habitudo

sur !a toi~rance de ce milieu. III,

121.

–VtTAtt.S~ constitution chimique,

condition intrinsèqua des phouo-

mènes vitaux. XVII, te.

MILIEUX. XVI, M7. Ils sont da

deux ordres )" milieux cosmi-

ques on extérieurs 3" milieux or-

ganiques ou intérieurs. X, .M.

La médecine antique en avait

compris l'influence. XI, 43a.

ARTtUCtELS XVII, 17.

–tNTtMES. VIII, )()8.

M!NEKALK8 (AcTtONs). Il n'y a pas

opposition ou incompatibilité en-

tre elles et !es fonctions vitales,

mais parallélisme et retation di-

recte et nécessaire. XVIII, 44.

(FoMfEs). XVI, ?8S.

~MATtÈBES OU SUMSTAXCES). XVII,

98). Leur passage daaK les uri-

nes. V)t, 148. -Dans !'etre vivant.

X. 6t.

(ScrENCM). Voy. Sciences minéra-

~M.

MtKEKAUX. Action des ferments

solubles. XVI, t60.

MtNEKAUX (ALMENTS). Voy. Ali-

ments M:H~'aM.E

(SsM). Voy. Sels mt~c~M~.

MtRBEL. Tissu cellulaire. XVI, 184.

MtTMa!BATtSME IX, 178.

MtTSCHEMt.tCH. Putréfaction. XVI,

176.

MODALITÉ vitale. XVU, 514.

MODÉRATEURS (NERFS). Voy. JVer/t

modérateurs.

entoure les êtres vivants. X, 3'

[j'cau comme milieu pour les

f~trf's vivants. X, 46.–Sonin-

f!uenc<! sur le milieu intérieur.

\\f, )<M. –Sonindépecdancevis-

h-vis du milieu intérieur, chez les

animaux à vie constante. XVI, tt9.

MtHEtJ EXTHAMMGAN!QUE Voy.

W<7teM M:M)'.

ÎNTtSKtEUR ou tNTRAORGA-

KtQtOE. VI!t. )08; tX, 4), M, 96,

i8!; Xt, 435, 495 XV, :<)'?, 242

XVI, t~, 360; XVII, 3; XVIII, 45,

47, 120, 2'H. Rôle général du

sang. VI, 41. Le Mngconsider&

comrun toi. Vt, 42 X, 5 i. C'est t

en )ni que se passent les pMno-

mènes physiologiques des organis-

mes supérieurs. VIII, f07. Ses

¡

conditions physico-chimiques dans

les expériences. Vt!T, MC XU!, III,

9. Sa température. IX, 42; XIII,

9. Aliments qu'il renferme. IX,

42. Il s'use et se vicia par le

fait même <!e )a vie des éléments.

IX, 43. Sa viciation par los poi-sons. IX, 47. -Les fonctions hemo-

poiétiques sont ses génératrices et

)cs conservatrices do sa composi-

tion constante. IX, 68. C'est t&

que sont créés les principes immé-

diats. tX, 94. Son atmosphère )

est viciée de la m~mo manièrepar

les animaux et les végétaux. iX,

!)(i. C'est dans ses éléments que

se passe la nutrition. IX, 98.

Son refroidissement. IX, (83. U

no faut pas !o confondre avec te

sang. XI, 440. Comme champ

d'action do la médecine expéri-

mentale. X), 434. Il faut y cher-

cher les lésions organiques. XI,

450. Vie des eiéments anatomi-

ques. XIII, S. Maence du mi-

lieu extérieur. XVI, !04. Son in-

dépendance vis-à-vis du milieu

extérieur chez tes animaux à vie

constante. XVI, n2. Sa fixité

est la condition do la vie libre, In.

dépendante. XVI, 03. Le sys-

tème nerveux est l'agent de l'équi-

libration de toutes ses conditions.

Page 235: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES GEUVHES ME CLAUDE BEHKAKD. 2~t

MOELLE ALLONGÉE. Sa piqûre

exagère la sécrétion du foie. 1, 297.

(.Sa piqûre, expérience sur un ta-

pin. 3)ï. Sa piqûre. l, 32C.

Durée de i'cffct de la piqûre. I,

338. innuence de la piqûre sur

la circulation abdominale. 34!.

Centre respiratoire. IV, 392. Cen-

tre de la circulation abdominale.

IV, 392, 46.'), 4~, 483. Blessure

<te divers points. IV, 397. Cen-

tres de sécrétion. IV, 400. Sa

section a une influence directe sur

la quantité de l'urine émise. IV,

4U. Effets de son ablation. IV,

493. Avec les origines des nerfs

de la 8' paire chez le chat. V,

327.

MOELLE ÉPINIÈRE. Son rôle dans

la sécrétion glycogénique. 338.

Son inOtMnce sur la glycogénie.

t, 3'!2, 384. Action de la strychni-

ne. Ht, 387 ;)V, 44, 342. Les

racines antérieures correspondent

aux nerfs moteurs, les racines

postérieures aux nerfs sensitifs.

!V, 24 X, 238. Sensibilité ré-

currente.IV, tt0. Sa structure.

IV, t2' 329 ;XI, 186. Du Sa)mo

Salar. IV, 128. C'est d'elle que

le nerf moteur tire ses proprié-

tés. IV, 222. Son excitabilité.

IV, 249. Région cilio-spinale. IV,

320. Ses propriétés intrinsè-

ques. IV, 328; X, 30t; XI, 159,

190, )M. Organe conducteur

et organe central. IV, 328, 37C.

Ses fonctions, expériences. tV,

332; XI, 170, )82. Elle conduit

tes excitations sensitives et mo-

trices. IV, 332. Observations de

Stilling, de Van Deen. IV, 334.

Exp. de Brown-Sequard, de Lud-

wig Turck. IV, 334. –Transmission

de la sensibilité. IV, 337. C'est

par son intermédiaire que se ma-

nifeste ta votoaté. IV, 344. Quel-

ques mouvements réflexes inter-

nes ne paraissent pas obéir à une

impulsion venant de la moelle.

IV, 358. Sans son intervention,

mouvements réneMS dus au sym-

nathiqun.IV, 964. Centres

divers. IV, 37(!, SSG. fsotement

artificiel dune partie de tarnoetie.

tV,377.–Cfutre cardiaque

diabétique de la moei)e. IV, 380.

Centres circulatoires. IV, 382,

–Centre desmouvements de

flexion, d'extension. IV, 387.

Son influence comme centre sur

certains mouvements de la vie de

relation. IV, 38' Son influence

sur les actes mécaniques de la

respiration. tV, 388.– Centre

respiratoire. IV, 388. Faisceaux

respiratoires. !V,39f. Prise en

elle-même, elle est dépourvue de

sensibilité. IV, 395; V, t<!3; XI,

!!)4,t95.–Offre un centre sé-

crétoire salivaire. IV, 399.Elle propage l'influence de la

piqûre du plancher du 4* veu-

tricule. IV, 441. Son action

sur les organes splanchniques.

IV, 48t. Son influence sur

certaines circulations locales. IV,

482. Influence dos lésions sur

la circulation abdominale. IV,

482. Influence sur la pression

dans les gros vaisseaux VI,

189, 201. Origine du sym-

pathique. Vtt, 386. Ses rap-

ports avec les nerfs sensitifs. X,

297. Idées anciennes. X, 299.

Elle n'est pas la simple conti-

nuation des nerfs rachidiens. X,

301. Elle n'a ni sensibilité ni

faculté locomotrice. X, 30~.

Examen des expériences invoquées

en sens contraire. X, 304. Tra-

vaux de Jacubowitch sur sa cons-

titution. X, 307. Cellules ner-

veuses. X, 307, 333. Cellules

do sentiment et cellules de mou-

vement. X, 3)0. Commissures

des cellules sonsitives et des ce!-

lules motrices. X, 311. Trajet

des fibres. X, 3t3. Cellules du

grand sympathique. X, 315.

Organe de transmission. X, 329.

Fonctions des racines. XI, 183.

Sa sensibilité propre lui vient

des racines postérieures. XI, f87,

Page 236: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TA!)LE ALPHAHÉTJOtJE ET ANALYTIQUES22

!M, )95. Considéréeautrefois

1comme formée par la réunion da

toutes les fibres nerveuses conte-

nues dans les racines antérieures

et postérieures. XI, 193. Cettemanière de voir était conforme aux

idées de Charles Bett. XI, 194.

Organe distinct de l'encéphale et

des racines des nerfs rachidiens,

quoique juxtaposé. XI, !94.Elle est destinée à percevoir desvibrations nerveuses. Xf, )95.

Elle devient insensible, quand elle

est séparée des racines posté-rieures. XI, 198. Pour le dé-montrer, il faut arracher tes raci-

nes postérieures au lieu de les

couper. XI, 199. Elle est un

centre nerveux indépendant de

l'encéphale. XI, 205. Elle est le

centre d'où partent toutes les

ramifications périphériques des

nerfs. XI, S50. Préside à tous

les phénomènes consécutifs à la

section du grand sympathique.

XI, 263. Influence du cerveau

dans t'anosthésie. XII, 109. Son

influence sur les nerfs dans l'a-

nesthésio, expériences. XH, 109.

-Voy. Ce~u~'«f<aMoe</e, Raci-

nes de la nioe/

MOELLE ÉPINIÈRE (DESTRUCTION DE

t.A). Elle arrête les cacurs lympha-

tiques. IV, 386. Arrête les vais-

seaux lymphatiques et non les san-

guins. IV, 386. Expériences do

Legallois sur les effets de la des-truction totate. XI, 118.

(PIQUREDE

LA).Sa marche, mon-

trée sur une tête de lapin. I, 30t.

Elle rend les animaux diabéti-

ques, expériences. IV, 397, 4M.

(SECTIONDE

LA) au-dessus du

ronflement brachial expérience

sur des lapins. I, 383. Phéno-mènes singuliers produits sur le

foie. I, 384. Hypothèses sur

ces phénomènes, t, 385. Etat

des organes. I, 385. Hypéres-thésie consécutive. IV, 337.

Elle fait augmenter la puissance

nerveuse. IV, 376, 378; V, 12.

Section entre io plexus cervical e';

le plexus brachia).IV,3t8.–

Produit accumulation de forcenerveuse. tV, 3'!8. Diminue lacircufation. IV, 379, 482. An-ete

la sécrétion de l'urine. !V, 38t à

44);Y!f,]'!2.-Eeretssur)acir-culation abdominale. IV, 38:.

Elle n'agit pas d'une manière né-

cessaire sur les mouvements du

cœur. IV, 382. Influence sur ta

circulation et )a pression du sang.

IV, 382 VI, 180, 200. Section

de la moitié, 'exaltation de la sen-

sibilité récurrente, exp. IV, 393,

395, ~M X, 329; XI, 200. Ses

effets. IV, 441; V, t4. Elle pro-duit t'écbaun'ement des oreilles

chez le lapin. IV, 441. Ses effets

sur la matière gtycogène du foie.

IV, 444, 482. Ses effets, mou-

vements réflexes. IV, 445, 458.

Avec piqûre du quatrième vontri-

cule. IV, 458. Température

après sa section. IV, 482; Vf, 102.

-La demi-section produit d'abord

hypéresthésie, puis épilepsie. IV,

4M; XI, 20!. L'irritabilité

musculaire augmente. V, 12.

Après la section, courants électri-

ques des muscles, des nerfs ducœur, chez un lapin. V, 15.

Ses effets sur le diabète artificiel.

V, 544. Paralysie de la vessie

et des membres postérieurs, mou-

vements reparaissant avec con-traction de la vessie par la mort

par hémorrhagie. VI, 260; VII,!ï2. Sang rouge dansla veinerénale, veine porte, absorptiond'oxygène par ce sang. VI, 36t.

Effets produits par une section

compiète. XI, 202. Produit les

convulsions do l'asphyxie. XI, 2) ).

-Fait disparaltre le sucre du sanget du foie. XIV, 369.

MOELLE NERVEUSE. IV, t2t IX.

17; XVIII, 272.

MOFETTES. XII, 36t.

MOtGNON des amputés. État des

extrémités nerveuses.Xt,t9t.

MOINEAU dans un milieu connné.

Page 237: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. 223

III, )20. Sujets d'expérience.

Xï,555.

MOLÉCULAIRE (RÉtiOVATioK). XV!i,

221, 484.

(Usuns). Voy. Usure moléculaire.

MOLESCttOTT Sécrétion du sucre

et de la bile dans le foie. 508.

MOLLUSQUES, ovu)ation. XVI, 308

Leur développement. XVI, SM.

Glycogène. XVII, tOT.

MONDE StUERAJ~. Sa mobi)!té et

son évolution continuelle. XVIII,

l'!t.

MOKÈRES. XVI, 189, 297.

NO~OCELLULAtRES (ËTMS). Voy.

Êtres monocellulaires.

MOKSTRUOSn'ES. IX, ]2;XY!,335.

MONTAGNES (MAL DES). Voy.

Mal des Montages.

MORAILLES. XV, 143.

MORAL. Son influence sur le phy-

sique. IX, 91; X!M, 3t3. In-

fluence du physique. X, 221.

MORALES (CAMES). Voy. Causes

morales.

(EMn'ATMNs). Voy..E.):c)<a<toMs

t7!0'<!<es.

(INFLUENCES). Elles se ramènent à

des influences physiques. X, 221.

(SCIENCES). Voy. Sciences ~ora~M.

MORBtOE ~ËTAT). Voy.a< Morose.

(PHYSIOLOGIE). Voy. Physiologie

morbide.

(PROCESSUS). Voy. ProM~~m mor-

At'/e.

(SËMB). Voy. S~'t'e morbide.

MORBIDES (ACTIONS). Leur analo-

gie avec les actions toxiques. XI,

t09, 129.

(ALTÉRATIONS). Voy. Altérations

morbides.

(CAcsEs). Voy. Causes morbides.

(ENTITÉS). Voy. Entités morbides.

(EvoLCTMNs). Voy. Evolutions mor-

bides.

(PHÉNOMÈNES) produits à volonté

en agissant sur divers points du

système nerveux, sans introduire

dans raconomie aucun principe

nouveau. XI, t3. Qu'il parait

impossible de reproduire au pre-

mier abord, et qui sont cependant

p)acés sous la dépendance du

système nerveux, et que le phy-

siologiste peut développer expé-rimentatemeut. XI, 15.

MOHB)[)KS (PKÉMsposfTMfs). Voy.P!'edt~os:t)o"s f;,o)'&tdp!.

(PntNCtpEs). Y ea a-t-il qui soient

inexplicables par !es données phy-siologiques ? XI, 16. Leurs effets

peuvent être combattus f par la

neutralisation; 2" par l'élimination.

XI, 117.

(SYMPTOMES). Voy. St/wpMmM.

MORBiftQUES (AGEXTS). XI, 3.

MOREAU (A.). Vessie natatoire des

poissons. XV, 293. Discours aux

funérailles de Claude Bernard.

XIX, 89.

MORGAGNI fait un groupement

des parties altérées. XVI, 18L

MORt'HEtQfE (SOMMEIL). XII, 508.

MORPHtKE.XH, 172, l'i5, 20t, 507.

Elle est moins toxique que l'o-

pium à doses égales. XII, 172.

Injection sous-cutanée. XII, )'!5.

Absorption par la surface des

membranes séreuses et la surface

pulmonaire. XII, n6. Excita-

bilité particulière des animaux

soumis à son action. XII, 196.

Théorie de son action. XII, 196.

Elle supprime l'action cérébraie.

XII, t96. Expériences sur tes

grenouilles. XII, 196. Théo-

rie de son action excitante. XH,

t9'Différences selon les espè-

ces, selon les variétés, selon les

individus. XII, 198. Son action

soporifique contentive. XH, t98.

Effets sur les cobayes. XH, 207.

Les oiseaux y sont peu sensi-

bles. XII, 207. Effets sur des

rats. XII, 209. Les grenouilles

lui sont réfractaires. XII, 210.Son action sur les animaux. XII,

211. Sur quel élément orga-

nique agit-elle? XII, 212. Son

action directe sur le centre ner-

veux céphalo-rachidien d'animaux

à sang chaud. XII, 213. Elle

modifie l'action cérébrale. XU, 215.

-Son influence sur la digestion.

Page 238: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

lABt, AH'f~HË't'tQL'K KT AN.~i.YTfQUt!:M4

X)),9]'Sonm<tuoncesurtcs

actions rënexo~.xn,2)9.–EMi-

tabilité qu'elle produit. XII, 223.

Nature de l'excitabilité exagérée

qu'elle provoque. XII, 263.

Théorie de sa. combinaison avec le

chtoroforme. XII, 266. Cas dans

icsquels l'association est sans effet.

XII, 2C7. Son influence sur les

s6cr6tions. Xff, Mi. Sou ia-

Ouenco sur la digfnUon. XII, 281.

Son influence surla glande sous-

maxillaire, Xtf, 286. Son ac-

tifa sur les ganglions périphéri-

ques. xn, 28S. Toiérssce cet

alcaloïde. Xtf, 291. Expérien-

ces. XII, Mt. Accoutumance.

X)),M3.-Efrot!iderhabitude.

X)), 20.i.–Tt~oMedeiitto-

terMce. Xtf, M6. Sommeil

qu'elle produit. Xtt, 508. Moyen

de contention. XV, t50. Gom-

biMOC avec ta chloroforme comme

moyen contentir. XV, )5?, tM.

Voy. CA/o')/f/r<;<e de n<o)'/)At<tp,

C/~ot'o/brmc et Morphine.

N()hPHOt.O(.tK. Elle est distincte

do la constitution chimique des

êtres. XVt, Xi)).–De )'&t.re vi-

vant. XVf, 297. Générale. XVI,

300. Quatre procédés. XVI, 30t.

Spéciale. XV!, 309. Son

origine et sa cause. XVI, MO.

Elle dérive de l'atavisme, ds l'état

antérieur. XVI, 932. Rapports

avec la physiologie. XVI, 335.

YitsSe, e!!e doit être séparée de la

phénoménologie vitale. XVI, 342.

Voy. C~<!<t'OMMO''pAo!o~t?MC,~<'ti!

~torpAo~oy~MM, Sy~~M Mo'

p/to~Oj~Me, t~tuM morphologique.

MORS employés pour le chien.

XV, 136.

MORT. XVt, 40. A la suite da la

cessation des fonctions du foie, par

an'6tde]ag)ycogenie.J,4H.–Son

mécanisme anatomique. Ht, 283.

Causée par injection du sang vers

le cœur. VI, 504. Elle peut être

produite par des causes diverses

qui ne méritent pas toujours Jenom de maladie. IX, 9t. Elle

engendre ia vif. IX, M.–Com-

ment elle est produite par les

maladies. X), 112. L'anatomie

pathotogiquo a'e<p!iqua que ses

causes immédiates et mécaniques.

XI, Ht. Uu des premiers indi-

ces est J'augmentation do t'eMi-

tabilité du nerf après la section.

XI, 209, 2t3. C'est le contraire

de la vie. XI, 43). Il faut en

chercher la cause dans les lésions

des etementa histotogiques et des

tissus. XI, 450. Ses causes

réelles. XI, 500. Sans lésions

anatomiques. XV, 422. État

qu'on ne comprend que par oppo-sition à. la vie. XV), 28. Est un

des Mfactôt'es de la vie. XVI, 3t.

MORT PAR t/ACtOE CARBOM-

QUE. III, 140. Voy. Cs~oM~M

(Actdc).

AKATOMtQUE. III, 22' Expé-rience de Bichat. III, 228.

PAR LES ANESTHÉS!QUES. Son

mécanisme. XII, )M.

APPARENTE. Après empoison-nement par curare. III, 283.

PAR ARRÊT DU COEUR. Voyez~r)'~< </x ca:Mr.

PAR ASFHYXtE. Par la vapeurdecharboo. XII, 332.Voy.Ay;M<HES CELLULES. Elle constitue

la mort de l'organisme. XV, 307.

PAR LA CESSATION DES FOKC~

TIONS DU SANG. XII, 320.

PAR LA CHALEUR. Xf!, 3C6;

XV, 9?. Son mécanisme, toM-

f(ue les animaux sont placés dans

un milieu très ectMUfM. X, 231.

Ses causes. XUI, 335, 347. An-

ciennes expériences et théories.

X!H, 335. HecherchM moder-

nes. XIII, 836. Nouvelles ex-

nêrionces. XIII, 347. Appareil.

XtH, 347. Arrêt du cœur. XIII,

356. La rapidité do la mort dans

l'étuve humide n'est pas due uni-

quement à l'absence d'évaporation.

XIII, 357. Êtuve pour son étude,

son mécanisme. XHt, 363.

DVNAJUtQUE. Eïp. de Bichat.

!H, 228; tV, 462.

Page 239: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE CEH~ARD. 22:i

<.t,A~))E BERN~nn. XIX. fa5

MORT t'AH ECCttYMOSE du cœur, t

suite d'injection (te san~.iV,:)S.

ftt; LELEMENT HtSTOLUGt

QUE )X, )0) X!, 499; XII, 138.

t'AR MTRODUCTtON D'U~f

GAZ insoluble dans le système

ci)'cu)ato)rc.t,t60.

DAKS UN M<L)EU COXF!~E

fnfluence do i'acide carbonique.

tH, )M.

DES MUSCLES. fX, t8t.

BES ?(ERt'S.!X, )64. Des ncrfs

moteurs et sensitifs. IX, M.

DE LOHGAKtSME. Xft, 138.

Elle est constituée par la mort des

cellules. XY, 30~.

PAR LOXYttK DE CAMOXE

Son mécauisme. XII, 382.

PttYStOLOGtQUE. !n, 227, 228.

RAPtDE. XH), 4M.

t'AH t.A SECTION DES VA-

GUES.xn,34.

SUBtTE. Cautée par injection ra-

pide de gaz dans le sang. ]! )63.

Par action brusque, trouble su-

bit dos fonctions, III, 226. Par

convulsion interne. III, 374.

DES TISSUS. Elle est précédée

par des phenont&aes d'excitabilité

fonctionnelle. JX, 26.

MORULA. XVI, 318.

M~RVË. XI, 39.

MOTS. !) ne faut pas les substituer

au); faits. VIII, 329. Ils ne doi-

vent pas faire perdre de vue la

réit)it6 des faits. VHt, 355.

MOTEURS (NEMS). Voy. Nerfs wo-

leurs.

MOTEUR OCULAIRE (NEM). Voy.

~)'<eM''oculaire.

MOTILITÉ. XV), 281. Elle est

une propriété du protoplasma.

XVt.Stt.MOTRICE (RKACTMtf). Voy. ~f<c<f0?t

motrice.MOTMtCES (ACTIONS). Ettes ne sont

pas généralisées. X, 3iC.

(ExCtTATMM~. Voy. Excitations

motrices.

(FOME~). Voy. foreM motrices.

(RMntEs). Voy. Racines mo/rtCM.

MOTRtCtTE. Propriété qui de tout

tcmpsactë rapportée.'ni sy-tenif

n<'rv!'u\.Xf,n2.

MOUCME. Voy. (KM/' f/" ~A?.

MOUTON. Section du puf'umos;;)-i-trif)UC.V!,4'!3:Vn,4ii.iC.

–Effet!} f.ieiasecuo.u du sympa-

thique. Vt.m.–Sujpt d'xpe-

)'iences.X!).'j.').–Pour~noion

nej'anesthésiepas.Xt!, i'

Moyen de le maintenir. XV. Ht.

MOUVKMHKT. !V, 3!; fX, '):

XVtU, 268. Le foie expuhe tla-

vantage do sucro dans le san, t.

236. Sa solidarité avec la sen.sihi-

lité.IV, 3!5, 306. -E~t i) iudu))Ct)-dant de la sensibilité Expericace.

!V, 2tT. –faflKenceduscQtiment.

IV, 248. En rapport avec la

sensibi[ite des parties. IV, 9a. à

266. Produit par les racines

sensittves. IV, 965, 2T5, 'M.

Produit par l'excitation d'un nerf

sensible, Mu extrémité. IV,

Ma. Transformation de la sen-

sibitité en mouvement. IV. 295.

Transmission par la moet)e. IV,

328, 338. Par excitation du

sympathique. IV, 358. Leur c!)-

trc-croisemout. IV, '.88, 492.

Rapports avec le pouls. Vf, '24.

Il correspond à des phéun-mènes chimiques de combustion

ou de fermentation. IX, 9~.

Produit par un circuit d'irritations

successives. X, 90, 292. Dû !t

des propropriotés purement phy-

siques. X, 123. Cellules de mou-

vement. X, 3t0. C'est en lui

que se traduisenten définitive !es

phénomènes nerveux. X, 3.)). )i

exprime des impressions scnsiti-

ves. XI, )69. Déterminé par les

racines anterieures.Xt.t83.– tin'est pas, avec la sensibilité, le

seut phénomène qui dépende du

système nerveux. XI, 24t. [m-

possibilité de le définir. XVI, 23.

Anesthésie de ses propriétés

protoplasmiques. XV), 2.1&. U

est détruit par le curare. XVH),

298. Voy. Cellules de n<o«f*-

M~~N~ew~Hf~

Page 240: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE Â!.PHAUËT!Ot.'E HT ANALYHQUE226

MO~VKMt~TS AMtBOiOES dos

f)!)d~)t's.XV),200.

tttt<'t\~m~SX,!23.

--<:t~);tmES.Yoy..MOH))eMen<!t!)-

~)'ffft7e.

))H COEUK. Leur indépendance

8p6cmie,m,3tM.–Leurs rap-

ports irfc.c le système nerveux. Hf,

3t8.–Ac)i&nducurMe.!)),3':9.

–Arr5t6.'jpan')ag&tvanisationuu!

pncumogastriquH.m,:n2.–tn-

nm!ticRdot!ts<:nsib[!it<5.tV,2()7.

tunuence des racines Mchi-

dieanos. exp. hetaornétriques. JV,

Sf! –hiftuanca de la chaleur. IV,

383 V, 400. !Bftuonee de la

douicut-V,38!Causes qui

pouvant les intluencer. V, 3!)< ~~04.

tn(]u(*t)ce de t'atit~tion ttcs gan-

glions cervicaux inférieurs. V, ~3i.

Arrutcs par t'hydrog&ne sutfuro.

Y), '}&!). Leur ralentissement,

après la ligature de la trachée.

!<(?. )).') no aoBt plus arr6t(;a

par la ligature do la trachée, (juand

les vagues aoutcoup('!S.I,&)~.

CO~SCtËSTS. X, Sat.

BES CÔTES. V), r.t3.

–t:T~FORM~~Scoa<i~'cutih~ à

certaines lésions de la moelle. IV I

<i'<9.

CHEZ LES ÊTRES VIVANTS. X,

]'!2.

tt'HXTE'<S<0?<. Leur centre est

d.n)'iia.mooHc.35<i,M'

HXTEhXES. tunueuco des sou-

s.ttiofMiuteracs.IV, :'(!

–nt'.LAt'ACiE.Y, fftO.–ta-

nuencudufttciat.V, M. -In-,

fluence de la section du triju-meau. V, M.

t)E FLKXtON. Leurs centres

d.!HM]~nMeUe.tV,35.},38'

Voy. ~c.r!'M).

UU GLOBE DE !/OEtL V,

2t8.

tXCOMSCtENTS. IX, tSO X,

~.t;x.m,M),an8.

t~TEKKES. fnOuence de la sen-

stbiUtoincoDScieute.IV, 3K.

tKrESTt;SAt.'X. Voy.. /c!<t-ttauj (mouYemeots).

MOt VjEMt~TS )~VOL<~rA!KHS

"M;!V.3!().X.3.));XYn!,'Mt,2t8._ItE MAX È(;f,par suite de tosiondf's

pédoncules ccrcbetieux.XV[n,:t9't.

MA~iS L).;S MKMBHES posté-

rieurs, dcterminés par la )iga-

turo du sympathique dans le ven-

tra. IV, .'i70. Par hémorrhagi",

après section de ta nio<'t)e. Vf, 200.

NU SCULAtHKS Ht. 952, 35)

X, )'!4, ].')C. tuvotontait'M. <![,

.)M. De la vie organique, III,

367. Produits dans tes muscles

de )a vie cxtërMuro par les excita-

tion*) du grand sympathique. tV,

S6~ Comparés aux mouvements

vibratiles, X, tM. Leur indé-

pendance pendant uno grandepartie de la vie embryonnaire, X,!~2.– Leur cause réside dans une

substance particulièro contractile.

X, 15'

HE LA. KARtXE troubjes par la

Mction du nerf pneumogastrique.

V), -t'!9.

tmHAK!Q!JES. invotout~ircs et

inconscients.XVifH,M),3)8.

MES fAtJMEBKS V, 3)9.

Influence qu'exerce sur eux la

section du nerf facial et du grand

sympathique. V,2.

t'EtUSTALT)~UES dorintestin,

ionuence des ganglions sympathi-

ques thoraciques et abdominaux.

IV, 359. Amenés par i'afTtibtis-

6etHt:nt de la circulation. IV, 365.

Par section de la moetio épi-

niere. tV, ~8t. Mauqueut dan~

les intestins gorgés de sang. Vt),

40ù. Par abtation des ganglions

cervicaux supérieurs. VII, 454.

UE t'HOGMKSS<0!< en avant

produit'ipara'ip)ty)tieetparbje!)-sure de certaines parties du cer-

veau. )V, t!M.

Mt! LA t'Uf'LLE. Voy. PM~tKc.–DK KECUL. )Y, 4M).1.

RECUKttEK'fS. tX, !a. n n'yen pas de véritables, XUt, 3)2.

Expériences. XIII, 3t2.

KKt'LEXES. Ht, 3.'<8; )V, 34 (,

Page 241: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUYHKS DU Ct.AtJDK i!HH~i.\H[J. 227

)asphy\i.'f)uie:ire<u)te constitue

)en)ccanisn)eprn'')mindHiamf)t't

p;)rief))i';irf'.i)),7i.–Arrêtes

par la Ks!a')i''at~)t) debout supé-rieur des yai;u~)V.7!Leur

acceteration qui. lors dft'aus'nen-

tationde)acha)'uranima!ecoin-

''ide avec l'accroissement des con-

tractions (!uc<cu!pfut en f~t)'e

indepentfante,dans certains cas.

Y,4<)).–fnnu<'ncesuriat''mpe-

r!tturedusa'.);V),).')7.– tn-

ftucnce paralysante des actions

)-ef!exes.X,:iM.–Paratysespar

)ecut-arc.Xt.84,t)0,):M.

MOUVEMENTS OH HttTATK)~

Par blessures des pëdonruies ducervelet. tV,-m(;; XV,45.–Sui-

vant l'axe du corps.fV,.i8:).r'.nrayon da roue. XV III, 395.

t)t,' SANG dans les vaisseaux

capiHaire!i.tX,C~.

SAMCOUtQUES.X, )2t. tM.brésident dans une matièrHcotnrac-

résident dans une matière contrac-

tite amorpho. X, f53. CaractC-

res de cette matière. X, 154. Ils

existent chez les végétaux. X,

).).

St MPATtUQt!ES V, 54).

UHS VEGËrAFX. XVJ, 256.

VtBRATtL):S ou <:tHAtBKS X,

)2~, )25. Action de l'éther. III,

425.– Ils résident dans tes ce[-

lules vibratiles. X, )25. Chez

les iavertebres. X, )27. Leurs

caractères. X, !3). Leur con-

stance et leur persistance long-

temps après la mort. X, <2, !48.

Leur rôle dans l'accomplisse-ment do la génération. X,)X:

Ils sont indépendants du systerne nerveux. X, t36, 15t). !)-<

ne sont détruits par aucun poison.

X, 136. Ils sout suspendus

par les anesthésiques. X, )3T.

Leur intensité et leurs di-

rections. X, !37. Appareil de

Calliburcés pour mesurer leurs va-

riations d'intensité. X, 139. Con-

ditions de nutrition. X, t45.– In-

tluance du froitl et de la chaleur.

X, 145; XIII, 371. Influence de

3t7;V.;)'!);!X,:n;X.34!,3i;),

3A);X), 2(M.La fibre nerveuse

continuen'<ist(!pas.fV.3.'t9.

tntornns.h'ur variété. !V,3.')<

;t'!L-- Ils sont t'eneci)isp!n-

même cmth'e quêtes mouvements

réflexes externes. !V, 358. –tn-

ternes. quetques-uns ne parais-

sentp.isobeir&uueimputsion ve-

nant de )!tmoeUe.tV, 3.j.8.–

Kxpcriences. tV, 3a9. Après une

tonguo abstinence. IV, 3(i3.

Chez !es divers animaux. JV,:M;3. -Dus au sympathique sans

intorvputiondc la moeHe.!V.

3m.– Par intervention de la

moelle et par te sympathique. IV,

364. Sympathiques. IV, ?!).

Leur nature. X, 30.'). Ils sup-

posent une action des nerfs sensi-

tifs sur les nerfs moteurs. X, SUC.

Involontaires et inconscients.

X, 3i2. Leur mécanisme. X, S.')).

Ils supposent le concours de

trois ëtements nerveux f un

nerf moteur 2" un nerf sensitif;

3" une cellule servant de centreentro les deux nerfs. et en outre un

muscle qui est l'organe direct du

mouvement. X, 352. Leur im-

portMce.X,3M.–)ts sont les

plus communs de l'organisme.

X, 3M. Leur intensité sur un

même animal parait en raison in-

verse de celle des mouvements di-

rects. X, !)54. –Généraux et

spéciaux. X, 361. Leur cons-

tance. X, 3'! t. –Dans la digestion.

X, .j8?. Du grand sympathique.

X, :t89. Augmentation de leur

intensité. XI, 2~2. –Chéries ani-

maux morts récemment. XI, ï55.

Dans les maladies. XI, 356. Qui

M produisent sous l'action du

grand sympathique. XI, 3.')).

Voy. tt/ttUUfM-'n~ Mc~MK')~

AfoMt;emni< )nuo<oKta!)'es.

MOUVEMENTS DE KHLArtOK,

chezlesdytiques. IV, 510,

–NESt'tttATMtHES.Diminuantpar

te froid, augmentant par la chaleur.

L 194, t97. Leur cessation;

Page 242: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAULH Af.P)!AHËT]Qt'E ET ANALYTiQUE~8 8

la sécheresse ot de t'humidit~.X,

t46.-)mmumte à l'action des gaz.

X, li7. Action des acides et. des

alcalis. X, )t1. Leurs causes. X,

)4!f. Comparaison avec le mou-

vement muscu)aire.X,)M.–)n-

depcndancevis-~visdusystÈma

nerveux.X,)M).

Mf~VEME~TS )'E LA V)E OMA

!S!Qt!Ept()!')~yie extérieure,

soti(iat'it(!()eces phénomènes avec

ceux de la sensihiUt6.iV.366.

[)E t~A VtK HE M);LATtO?f In-

fluence de la mocUo f''pini&)'o

comme centre.tV, 387.

VITAUX proprement (lits. X,

124.

VOt.ONTAtRES. IV, 30; IX,

180; X, 3.')). tuOuenca du cu-

rar(!.r\3t5.–Vf)y.f~o/o)~<MOVU~i At.M. Ses doctrines physio-

togiques.XVff.'if'

MOYE~KES. V)t[, 226.

ML'CU'AKKS (Gt-~snEi!). Voy. (j/ff~-

f~S ~)~Ct~<A'.

MrCtQUE (AMUE). XV! 280.

MCCUS. VII, ~5. Salivaire.

);)<J.

1;10. VII1, 212 XVIII, IcJ2. 1MUH. VI! 2)2; XV! t92. Ses

relations avec la glycogenèse. XVtt,

tu.

MUDLEn (J.). Hypothèse de )~ sur-

charge d'agent nerveux. XI, 203.

Nt7L<.Ett(W)LH.).Apn6e et dys-

pnée. XV, 438.

Mm.TX'~tCAHON CELLULAtBE

XV!,30).

MUQUEUSE CONJONCTIVALE.

EHen'&bMrbopMta curare. )!t,284.

'NTESTtNAm, d'un fœtus de

ve:tu. H, 450. Des oiseaux etdes reptiles, elle absorbe le curare.

nt.MH.–Gtycogeueche?. le fœ-

tus. XIV, 498. Absorption du

poisoti.in.Gt.

RECTALE. EUe absorbe )e cu-

rare. III, 288.

MESPtRATOttUE.Ette absorbe le

curare. !H,M!i.

STOMACALE. Elimination du su-

cre. I, 303. Elle n'absorbe pas

le curare. !)). 28t.–Endosmose.

Of, :)(M. tnHuence de la section

des vagues sur son aspect, chez un

chien fistuté.. V,.t2).–Modifica-

tionappOt'tM'tt'absorption,pariasection des nerfs vagues. V, -4?!).

–Cotorceennoirpartesun'urc

d'argent ou de cuivre. VII, 382.

Ses glandes en tube sont la source

réelle du suc gastrique. XV, MU.

Ses modifications pendant la

digestion, et à jeun. XV, f)(it

XVIII, 378.Voy. (;/uf)(/e! ~f- la

mt/nueMM .!f''XHOf'a/<

MUQUEUSE YMS)CAt,E. EUe n'ab-

sorbe pas le curare. tff, 284.

MUQUEUSES (MEM)))tA!<Es). Leurs

facu!të:; absorbantes retiitives. fH,6). Absorption du curare. II1,

X83, 286, 378. Action du ncW

sympathique sur la formation du

pU!V,MO;Vn,M8.–t/ttrces<'

décompoM à leur contact. VII, '~),

M.

(SURFACES). Différences d'absor-

ption du curare. III, 280. Leur

sensibilité. XI, 355. Glycogène.

XVt),

MUQUEUX (SYSTÈME). tX, 6)!.

–(TMso;.XV)J!,267.

MUSCLES. IX, )5. Fermentation

giycosiffue.&?, 397; VJ),t34.

Fermentation lactique. t, 25'

39'! X)V, 429. Matière glyco-

gène. l, 30t IX, n3; XIV, 427.

5~; XVII, 77. Propriétés du

sucre qui y est contenu, t, 4M.

Action du curare. Ht, 319, !i7

XIII, 157. Ils no sont pas em-

poisonnés par le curare. )U.332.

Action du sultocyanure de po-tassium. III, 350. Leur irritabi-

lité. !!f, 35). Action du soufre.

ÏH, 355, 386. Actions variées

dos poisons. 36t, 366. Exci-

tabilité électrique. IV, t94 V,465. Leur structure. IV, <96.–

Leur indépendance vis-à-vis des

nerfs montrée par le curare. !V,197. Paralysie. IV, 205. In-fluence da la chateur extérieure.

IV, 210; XIII, 365, 383. Leurs

Page 243: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUV!(ES L)E CLAUDE f!HN.\t!t). 2')

courants É)pct)-iqucs.)V.3(K!h~n;

X,2(M,X(~; Xi,Quantité'

d'étectricité nécessaire pour tes~

fairo contracter. V,(!3.–Hxcita-

tiou. V, 4f!3. Couieur du sa;)~

veineux de'imu'tCicsa.t'étatde

fonction et a l'état de repos. VI,

MS,)8&3;)<).–Activité txu.sfu-

tairecomparéc~t'activité~iandu-

)ai!'t.),2t.–Ëtudedusaug

artériel et veineux dans te fousete

paralysé, le muscle en tonicité, et

le muscle e[tcon)raction.Vt,3u;

Yn,tM;xn,~M;xHf.n'

Leurs propriétés souttaisséc.sintac-

tespm'f'uxydedecaFborte.Y'f,)));

Xit.;i8:).–L'oxydcde carbone

n'empccue pas tes pbenotnùnos

d'Myf)atio!t.V!,403.–))ss'aitè-

t't'nt & l'air et donnent autant d'a-

cide carbonique qu'tts prennent

d'o\y~<nc,iln'cttestpasdem6me

pour ttisanp;.V),403.–L'oxyde

de carbone en exhaie de i'oxygeue.

VI, 40.'). -Le curare en isole la pro-

prictc contractile de la proprtét6

motrice du nerf. IX, ]8: X, )79.

Leur nutrition. !X,'iS. Leur état

de fonction est nécessaire pour que

la nutrition s'opère.!X,8.–Pro-

priétés etectriques. tx, 29. Pa-

ralysés par les nerfs moteurs. IX,

38. Terminaison des ueri's. !X,

158. Leur mort successive. !X,

)6't. Vaisseaux qui y sont con-

teuus. X, tGS. !<erfs qui y sont

contenus. X, 16! Boivent-ifs

aux nerfs lours propriétés contrac-

titf's? X, 114, Hatter et ses con-

tradicteurs. X, )Ti'). Du curare

comme moyen de résoudre cette

question. X, m. Le curare ne

touche pas à ioufs propriétés et

détruit les propriétés nerveuses.

X, n'J. La contractilité y re-

sidc.X,)8t.–Ai'ctatderepos

et à l'état d'activité ou de coutrac-

tion. X, t8C XVH, MM. Ilsont

deux propriétés, irritabilité et con-

tractiUté. X, t8G. Action do ['é-

tectricito. X, !92 XI, 85. Ac-

tiou du système nerveux. X, 193.

L'intensité de ses fonctions est

!ief'N.desphcnomt'[)'")physico-

chini!quesquist'pas«'nten)ui.

X,20!Sone)ectricitea)'état

derepos.X,0.). t}ss''modi-

ncntau moment <)c!ari~idite cada-

vérique. 20:).–ïïya sc!))'"

mcntcoincitfftx'e entre !eurs ;))«'-nomenf'setectriquesettenrcon-

tractiiite.X, 2)0.–Les poisons

qui détruisent ]a ('ontractitite

muscutairc n'ont pas nccessaire-ment do t'innuonce sur les cou-

rants e!ectriques des musc)es.

X, 3 H. Ils sont le sie,:c princi-pal de la combustion t'f'spirat'tirf.

X, 20. fnftuence de t'ctat de

contrac.tionouderepossurt'act.i-

vite de la combustiof) respiratoire

quis'yaccnmptit. X, 220. Quand

ils sont fatigues, le sucmuscutau'e,

~)catm & )'6t!it norma), devient

acide. X, 926. Action du nerf

moteur. X, 2SÏ. Le nerf moteur

en est i'excitaut; ils restent a

i'etatdereposctdcre!achem(;nt,

tant que Je nerf tBoteur n'e.st pasexcite. X, 2G;; XVtU, ~i). Le

nerf moteur agit sur lui en modi-

nant son état physiologique. X.

2'!2. Son triple état suivant les

variations d'intcnsitf' de l'influence

nerveuse. X, 3'!2. Fiiets du grand

sympathique. X, ~). Ses nerfs

moteurs. X, 37.). Ses nerfs sen-

sitifs. X, :H5. Ses nerfs vaso-

moteurs. X, 3T.'<. Section des

divers nerfs. X, 316. Les actions

reuexes sont de deux genres, lesunes produisant ]a contraction, tes

autres le retachement du muscie.

X, 39t. Effets observes par ta

suppression de )'i))f!ux nerveux.

XI, 14. Action de la digitale. Xt,I,

85. Action de t'upas antiar. XI.

S5. L'augmentation de teuf ac-

tivité est t'uno des causes princi-

patesqutdcvetoppettt la seasibitité

de certaines régions du corps. X!,

t68. Ils participent après ia sec-

tion des nerfs au suro'oit d'excita-

bi)nc. XL 200. Pendant le tra-

Page 244: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TARLHALt'tLU!ËTK)URETAN.\LYT)QUE2:!0

vaUmuscutairc.tc sang veineux

devient noir, et rouge quand ils

s()nt(')trej)os.X),t.–L~ dis-

parition do t'o~y{:t''n& correspond

:tf'e)6va(t0tt()o la température.

\t.2'!7.–Rigidité chtorotbrmi-

que.\tt,m. -jisaontdecou-

leur foncée dans t'asphyxie par

t'acide carbonique.XU,tG.–Ca-

)ori)ication.XH),m.– Leur

source Cùtorinquc.X)tf,m,]5~

Leur respiration etementairo. X)!),

H'i.–tts présentent fcsitt&mes

pheaom<*nos que les glandes au

point de vue de i'~evation de la

tompcraiurf'. XIII, iïO. Leur

rigidité so produit une tem-

pérature moins ëtevéo que celle

où te sang perd ses [)t'opri<}tcs

physiologiques. Xtit, ~m. Ils

résistent moins que le nerf mo-

teur )a chaleur eUcrioure. XU!,

3S.'). Seujs des etaments es;eu-

(ic)sd<)'orgaf)iame,it)!sont atta-

qués par ta chaleur extérieure. X))),

3SC. Leur aXeration dans la t!o'

Yre.XU),429.–Legtyco~uouf!

s'y transforme pas en sucre. XtV,

4M.–Présence du Mcre.X!V,431. Peuvent-ils devenir une

source du sucre du sang? X)V,

43).–Rcta.tio)) de )eur reaction

avec la présenco de la matière

gtycegcn(!.XfV,M().–(ajection

dMstomu!;c)o.XV,2t!Ce

n'est pas une machine thermique.

XV)t, 50?. Leur combustion

n'est pos directe. XV! f)!!).

Voy.~e<t'i~ mM.«'M/a!< Ca/of<

C<!<)0?!niM<CM''a)!rf',C<K/<MM.tt'M-

~a!t'M, C/Mt't' tn!<~e!f/~t''< ComAM)'-

<)'o'i <<!( wtMc~, Contraction M'

C!~<tt)')', Co!<r<tM< !M~CM<att-e,

Coi/r~M~ ~ec<r)'~t<e.< des m)Me~

~<iCi'M MM.!CM/<t!'re, ~<ee<t-)ct'<e

MttM't~ut're 7*M MM~CM/at)'e.<,

/r' )'<a&t'~M <yt)fMM/aM'c ~ûMt'c-

ntC)t< mMSf.'u/at't'e, A'c< Mo~e~r

du mu-fc~, Nerf fe;M)<< dit MM<-

c~,A'e<mtMf'K~<tr<fMt-ah/<:c

'MMCU/M)')'C, P"t'4'0?! Httt.!Ci</ai'rt'

Réaction 6!:< /M~!< musculaire, fte~-

p/t'<7<i0~ MM('M/<v, Rt)!eM;' m~-

et<t'<Sfi'yt'<?:fM'M;M!<MM~t)'e,

.Sf!!M:tt!a!)'<t«'mK~K/a!'r'C,

yo?t MfMCM/Htt'f, rottM MM.!CM-

~'ttt'c.

MtSC~ES ATttEKMO SYSTALT!

QUKS. X, )S!); X))), 369.

ttf FOKTt'S. Production du su-

cre. ), SM, 388. Extraction de

)'acide tactique, chez le veau. f,

M~). Fermentation gtyco~ique.

V)), t3~. Matiërc gtycogAne,

chM t'homme. \'U, t3. Fer-

mentation g)yco<iq)if chez le vMu.

XIV, 550. GtycogeB&M!. XVH,

555.

GLYCOGENtQUES dans )~ vie

YÉgeta)e. 2M.

OE L'mtS. Action de la tumi~rs.

X,)9C.

t~AKV~GtJËKS. V, 3)8.

CE t.A KtJQt'E. Titubation due

&teur section.tV,49C.

t'HAHY?<GtE?!S. Lcm- action.

V,3M.

THEnMn SIfSTAt-TtQUES X,

)89:XfU,3t!).

DE VEAf. Fermentation lacti-

que. 2. .'tM): V)), i:!t. –Ft;-

cute anima)?, t, 268.

t)E LA YU': ANtMAt.E et de la

vie organique, leurs propriétés

physiologiques sont-ettM les mô-

mM?!Y,08.

DE LA VtH KXTRKtEUHE, mou-

vements nroduitspartc.s Mfitations

du grand sympathique. tV,3<!7.

DE ).A VU; DE ttEt.ATtO\, ac-

tion des nerfs moteurs.t\ 906.

.MUSCU).A!HE (AcTMN). Ses rap-

ports avec i'excitabUité nerveuse.

tV, tM. Distinction de ces

deux propriétés. )V, 08. Expé-

riences nouvelles à i'.tidc du cu-

rare.tV.t99.

(ELEMENT), tx, 9,38; xvnr, 273.

Hôte du sang. IX, ttt,2~ –Le

su)focyanure de potassium en est

topoisou.!X,2).–Hases con-

ditions do vitaiité dans )8 sang.

IX, M. Il constitue un vérita-

ble organisme e!6montaire. IX, 2C.

Page 245: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BEHNARD. 23)

RRLLE. Enseignement de la phy-

sioiogief;ënera[e. XVI, i.– Trans-

lation as ta chaire de la Snrbonne.

XV!,3.

MUTATIONS CntM!Qt ES vitates,

sont entretenues )):u' t'o~y-

g"ne et la choeur. IX, 2t ).

MfDSME congénital. XV!)), iM.

MtCOttEttMA HM/ Sa culture.

XYt, 3!8.

MÏCROXVMAS. XVII, MO.

MYEUXK. X!)I, :n0.

MYLonvoinn~ (.\ERF). Voy.<

t~~oAt/Ot/tfM.

MYOCRAPHE. !V, 9M.

MVOLKMME. X, tGS.

NAISSANCE des êtres. X\J, 383.

t)u<BU! XVIII, 33t.

KAMCEtKE. X!t, <8), )9f. Est

l'agent narcotique par excellence

Ctp. X)t, )8t. DiffK-utto de se

la procurer. XH, )8C. SotumeU

qu'elle produit. X!], ~t0. Ses

effets chez l'hommo. Xff,<t3.

KAnCOTtNE, ses effets. XII, 188,

20(.

NARCOTIQUES. Xn, t95.

KAMtNES. Influence du facial sur

leurs mou~emt'nts. V, 3. Leurs

mouvements. V, M, !97; EtTets

de la paralysie des narines, chez

les chevaux. Y, 3(:. Exp. V, 37.

Influence de i'anastomo.sc des

vagues sur ses mouvements, V,t8). Elles sont le siège de mou-

vements réflexes indépendants des

sensations perçues par la cin-

quième paire. V, tSt.– Ces mou-

vements ont-ils leur point de dé-

part dans le pneumogastrique ?

V, )8!. Ces mouvements sont

tensib)emcnt diminués par la sec-

tion de l'anastomose que le pneu-

mogastrique envoie au facia). V,182. Expériences. V, 182.

L'air inspiré diminue chez le

chien par la section (les vagues.

V, 501. Même phénomène chez

io cheva!, après !a section du sym-

pathique. Vf, 235. Voy. ~oiit'e-

t;i<'?:<f ~armc,

~ATtJftE.F.)te est un grand artiste

Mt.'SCt.'LAtM)E(E.sYE).opt'X,tG8.

DémonstrationX, 168.

¡(PnapnfÈTK). Démonstration ex-

përimentate. X, n3. -hut

opérer sur desanimaut supérieurs

parce que !('s fonctions sontmieux

sépare''st'hf'xcux,et sur des ani-

maux & sang froid parce que !c-

p)n'nf))nenesYit:m\y''ontp)us

tents.X,t'!3.

(~St;BSTAME). X, t59. Ses rap-

ports avec les enveloppes, les os,

te')ystffnenervt'n'4.X,]a9.–

Elle ne doit pas être confondue

avec la fibrine.X,]63.–Ses dé-

férents <5tats.X, )(;

-(SYMHME!X,a;X,!56;X\t,

SM.–La curareteiatssf intact.

!tt, 311. La strychnine le laisse

intact. t!<, 35i. Action d'une

dose forte de nicotine. H!, 40(!.

Analyse physiologique de ses

propriétés au moyen du cm'arp.

III, 4C9. Effets produits sur lui

par la suppression de l'influence

fn'rYeusH.Xt, 230. n'entre

jamais dans un état de repos ab-

)iotu,X!,T!L–De hvio orga-

nique, la chaleur extérieure en est

uu excitant direct. XIII, 36T.

Rotation de sa nutrition avec le

giyco~cne. XVJ), 131.

(Ttssu).X,Ut;XVtU,C'Se'!

propriétés. tV,)97.–S~rM~

tiens.Vtt,4'!3;X!5'X.V)t,m.

Parallèle de ses propriétés

chez les batraciens et eho.! les

mammifères. XI, 23.'). Source

de chaleur dans t'asphyxia par

l'oxyde de carbone. XJL 4'!5.

Uu fœtus, gtycoge.nc. XtV, &02.

(TaAVA)L~. U développe la cha

iour. XV, 483.

MUSCULO-CUTAKE (CouRANt). Voy.Courant.

MUSÈLEMEKT du chat. XY, 109,

Du chien, X\ toi. Avec une

forte ficelle ptacoo en arrière d'un

mors de fer. XV, 118.

MUSELIÈRE anesthésique. XH, 52.

Pour l'anesthésie du chien. XV,

[59.

MUSÉUM mnSTOinE KATU

Page 246: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAULE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE-2

ferh'ure est scnsith'f et motrice.

V, 98.

NHKF MOTEUR OCULAtKK COMMU?<.V,Mt.–Sa<!isinhutiou.

V, 201. Ses fonctions. V.'io:

MOTEUR OCUiLAtRE EX TKMNK

Son arrachement,ses ef!'('t'V,

202.

–MOTEUtmELA PAMOTtOE XV,59~. Son excitation dilate les

vaisseaux des glandes salivaires,

XI, 258. Ou a suppoM qu':)

émanait du petit pétreux. XV,521. Il est fourni par le facial

au nerf ~uricuto-tempora) super-

<!cici.XV,M-i,M'MC. --Dû-

couverte de ce nerf. XV,524.

Description do l'expérience parlaquelle on est arrivé &cor<i<;u)-

tat, XV, f<94. U accompagne la

nm?[i))ai)-eiDterne.XV,M4.–t) Il

semble &trf fo cottgenère de )a

corde du tympan. XV, 62&. Sou

trajet et sa distribution. XV. M~.

–Compare au nerf moteur do la

sous-maxillaire. XV, 594. Cette

dernière est infiniment plus sou-

sible à l'action des agents oxte-

rieur'i<)uo)a.pM'otide.XV,;)M.

Kiitimation do cette différence.

XV, 535. Moyens divers do

modifier, d'augmenter ou de di-

minuer cette sonsibifite relative.

XV.

MOTEUR DE LA SOUS MAXtL-

LAttU! compare au nerf moteur

de h parotide. XV, 534.

–Mt'LO-m'OOÎKK. Action sur Ja

glaude sous-maxiMaire. Vif, 304 it

308, 3i),33),33S. Son action

sur la sécrétion salivaire à la ma-

nière de la corde du tympan. VU,

304, ;!()?, 331. Il agit sur i'art ère

faciato, fadUate. V)J, 307.

OESOPHAGtEN. Effets produitspar la division complète de ce nerf.

XV, 555.

Ot'DQUK. Son action renexe snr

l'iris. X, 3&9. f! est destiné à

percevoir les impressio[Miumi-

ncuses. XI, 195,

PATHETtpUK. Voy. Pa</«.'<t'ot<e.

~œth~.Vnt,)M;tX,)2:);XV:,

:); \\))f. )3t. M(;. L'homme

ne la (t'uni)) qu'en obéissant a

M's)ois.V)U,t4i);X),~&

Sa part dans fa guérison des

maladies. VIII, 349.–Ses er-

reurs, [n'cc~s[t6 d'en diriger les

t't!'t)rts.Xt,C3.– Pas toujours

eajj.ihic (te guérir icsmatadjes.

XI, 70.)dc6et't'on<(!u pou-voir qu'ctte exerce iiurrhotntM.

X),t)4.–L'homme ohcit~ses

)oi';autieu<)c)eur commander.

X!}()<XV)U,73,3i5.–Laacif'nco a pour r!*su!tst d'agh' sur

elle. XI, 5t0. Voy. PAf'tiow.~iM

</e/o))~<rc.

~AUïtiK MÉmCATmCE.YH!,)Gt,

36&;X!,43;t,~3.8.

nt':S t'Ht;?fOMKK).:S. XVU, MO.

r~ASTtQt'H. XV)!, 4)5, ~5.

VtVANTH. La phyMotogic gënë-

rateapourbutdotacnuqu~rir.

IX, 230.

XATt'REt.t.ES (Sc)EffCEs). Vûy.

Scx'<fe<<7ia~r<t'ii.

~Et'XRtTE aibuminouse. \'tf, :!C,

[.() Doubtc.apr~s injection pro-~

!ot)g<desucrHdaU3t<jMng.Yn,~

S.S.–Vny.<).

XÉt'HKOTOMtR. Convutsion.s. VU,t3.– Voatisst'mcut. nf. 47 & 5C.

KEMFACOtJST~UE.Y,24).

AtJKtCULAtME. Voy. Aurieu-

&

CEKVtCAt.. Voy. Cervical.

FAC'A' Vûy. Fac!a'

GLOSSO t'HAttYNG!EK.V, 240.

Son rnHuonco sur les mouve-

ments du voile du palais. V, n8.

BU GRAKB OE.\TKLE. Yoy.

G)'«~f/7?fM~M.

HYPOGLOSSE. V, 24t; jtX, 3<,

)M.–Une tient Pas sa sensibilité

récurrente de la cn)quit''me paire.

V, 241.

<K'fEKC(tSTAL. Xtjt, 20S.

HKGUAL. Voy. Ai~M~

MAXtU-AtME. La branche supe-rieure est exclusivement sensitive.

V, M. Son influence sur )'ot- j

faction.V,M.–La))M)]chein-)

Page 247: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES (EUYHES DE CLAUDE BERKARO. -J33-1

r<t:RPt'ET!TPKmm;XOnasup-

posHf)uc):'(''taitdc!ui qu'émanait

le nertmotf'ur de la parotide. XV,

KL

t')UtE!<!tQm Sa ligature par

WHtis.)V,t:t!).

SCtATtQUE. Son action ne fait

pas disparaître la sfnsibitito ré-

currente. tV,8C.-Expériences.

X),)M.–Hesuitat de sa section.

Xi,]')'

St't~AL. Voy. S/)Ut<

TntJUMEAU. Voy. T)'(/MmMM.

TYMt'AKtCOUKGUA~ XV,

54').

!)E WiLUS, sa sensibilité vient

de plusieurs sourco.s.tV, )OS.

–DE tVtttSBERG. V, 108, t'!0, n9.

C'est une racine d'ori~inp du

grand sympathique. V, )H. Il

est iudeppndant du facial. V, t4t.

)!ameau.< fournis dans le ro-

cher. V,it't.–Sa destruction

supprime la socrotion paroti-

dit'BHC. V, )ù'?.

KEKFS. Influence sur la formation

du sucre. t, 326 VJI, )8' Leur

influence sur la fonction g)ycogc-

nique du foie. ), 327. Leur dis-

tribu<iondaasiefMe.],33i.–

!nnttcnce sur la salive sous-maxil-

laire. 1!, 75 V, tf!9. Influence

sur la digestion. If, 439. EfTets

du curare, il isole la propriété

motrice des nerfs de la propriété

contractile des muscles, il détruit

les propriétés des nerfs, et laisse

intactes celles des muscles. Ht,

3)<,3)3,3M,333,339;V,'i88;

IX, )8; X, n'). L'irritabilité

musculaire en est indépondante.

Uf, SM. Actions variées des

poisons. t)t, 36!t)s sont asso-

cies par la sensibilité récurrente.

IV, 29, UO. Renflement des

bouts, sensibilité récurrente sur

ua chien conservé après opération.

IV, 47. Action de i'éther. JV,

90. Persistance de leurs pro-

priétés après leur section. IV, )t7.

Expériences. IV, ))7. Leur

texture. IV, )2t,)3}. Leur?

onv<oppcs.<V,f?).–Leurs <'x< i-

tations électriques. IV. tO.Witt à

3)7', V.4(!Vn,2(:'<effets des

courants etf'ftriques constants et

continus. tV, <4;t: X, 27S.–Ap-

psrfii destine empêcher !c<'r

dessiccation. tV,)88.Leur in-

dépendance vis-à-vis des muscles

montrée par le curare. )V, t!)7.

–Actiondf'iachateurexterif'tn'R.

!V,2)():XitL383. Courant

propre des nerfs. IV, 'M8. Leur

nutrition. IV, M5a245;fX, 28.

–tnnuenceduj;an};)ionintcr\'er-

tébrai pour leur nutrition. !V,

'M5,245.–Coupes, renflements

des bouts. IV, 259. Leur in-

flaence sur la circulatiou. IV, 2G8

~M6,-i8t;V,1!;V!,i80,OU.

M9,M),24:):Vn,30!)&:H4:X).

~3. Excitation meta)ti')Uf par

le mercure. !V, 3(M. ('est parleur intermcdinire que se mani-

feste la votontë. IV, ~44. Le

coe~ir (~ii est intl~~p(~tidaut. 1% 382,cœur en est indépendant. JV..382,

383.–Leurxctionsurtes sécré-

tions et les phénomènes sécré-

toires.tV,.i(M:Y!),61,343.–

Leur innuoacc sur les actions

chimiques. IV, .t80. Séparation

des propriétés physiologiques et

électro-motrices. V, 2. Leur

classification. V, 5. Leur extir-

pation. V, 43. Quantité d6)ec-

tricité nécessaire pour les faire

contracter. V, 63. Action des

ganglions. V, 16!). Coupes, ré-

tablissement de la sensibilité. V,46~. Influence de leur section

sur la galvanisation de

V,5t4.–Température de tate'fi

couverte, après leur section. Vt,

}3e a )40. Pulsations artérielles

dans l'intestin, après la section des

nerfs. Yt, t45. Influence sur la

pression du sang. \),t80,)89,

200,Mi,MO;XU).'M3.–tn-

Ouencesuriepouts.VLS'M.-

lanuecce sur la coagulation du

sang. VI, 235, 255, 435, 453, 45'

–JauueDcesuri.isudation.Vt,

249. Influence sur la Yeno'ite

Page 248: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTtQUE234

du sang. VI, 2M, 293. Muence

sur la conteur du sang. VL2M,

M3. :!)*), M6; VII, !5!&4r.{.–

Influence sur la couleur des sangs

artériel et veineux. VL27R,33f,

339.–Modifications du sang. Vf,

288. Action des nerfs qui se

rendent dans la glande sous-maxil-

laire. Vf, 326. Leur innuencs

sur la couieur du sang veineux.

Vf, 398. Leur iuitucnce sur la

tetnperatnro du sang. V!, 399.

Influence sur ta coa.guia.bitite du

sang. Vf, 415. Pouvant déter-

miner des fermentations putrides

dans le sang. VI,4!)7.–tunuence

¡surta sécrétion iM(c<Vtt,2.M.–

Influence, sur la sécrétion des glan-

des salivaires. VU, 9CS, 272, 977.

308, 324 xnt, )'!9.– Deux ordres

de nerfs déterminent les varia-

tions de couleur du sang veineux

dans les organes glandulaires.

VII, 270. Leur sensibitito sous

l'influence dci'abstincnce.VH,

294. Frein des organes, expé-

rience sur la glande salivaire. VH,

325, 3~t. Influence sur l'inflam-

mation.V!I, 332. Leur influence

sur la circulation des vaisseaux do

la tête. VU, 334.–Leur rôle

dans les parties sous- et sus-pyfo-

riques du canal intestinat. VII,345. Leurexcitabiiitc. VU. 454,

45' Leurs propriétés reappa-

raissent par l'injection de sang

artériel. IX, &(!. Leurs inuuencefi

sur les circuiations locales et ca-

pillaires. IX, C7. Leur termi-

naison dans les muscles. tX, 158.

Leur mort successive. IX, !(!'t.

Leur régénération. IX, 218.

Oh'erMs espèces denerfsquisc ren-

t)entdansunmuscie.X,)68,3'!a,

Est-ce à eux fjua les muscles doi-

vent leurs propriétés contractiles ?

X, )74. Vitesse de la transmis-

sion nerveuse. X, 267. Irritation

électrique. X, 277. Leur sensi-

bititeit t'irritant électrique. X,

!M. –Courants électriques quileur sont propres. X,M7.–t)s

sont caractérisés par la direction

du courant nerveux. X,3t9._fn memf nerf peut transmettre le

courant dans les deux sens. X,

319. Leur sectiorj. X, 376.

Ils sont de deux ordres dans tes

vaisseaux, ceux du gr.tudsympa-

thit)uc<)uiproduisot)ttc resserre-

ment, et ceux du cérébro-spinal

qui produisent la dilatation. X,~0!).–))t. réagissent sur tes tissus

etemcntaires. Xt, 82. Leur ac-

tivité en rapport avec les effets

généraux des poisons. Xl, !M.

Les effets généraux des medica-

illellf,5 aent c:n. rap174rt. aFv'C leiàrmottts sont en rapport avec !eur

activité. Xt, !)0. Leur activité

on rapport avec l'état morbide. XI,!)). Mécanisme de leur action

dans l'injection de sable dans

i'artere.Xt.OC.–ExposotM

contact de l'air, modifications

qu'ils subissent. XI, 97.–Para.-

lysés par le curare y a-t-il des

lésions visibles? XI, ti2. Opi-nion de Jacubowitch. XI, ]~3.

Les modifications qui surviennent

dans ses propriétés se rattachent

habituellement A i'ëtatdostissu!!

auxquels il se distribue. XI, iM.

Division anatomique relative

aux propriété!) des deux grandsordres de nerfs. XI, t72. Ils

peuvent devenir insensibles aprèsl'ouverture du canal rachidien. XI,.tM. Modifications qu'ils subis-

sent après une section transver-

saie compiete. X!, !9u. Coupés

par un instrument tranchant, ils se

reproduisent.Xf,)9f.–Ëcrasës

ou dosorganisos, ils ne se repro-

duisent pius. Xf, )9t. expé-riences de Waiier sur leur section.

X)[,<92.–Coupas, phénomènes

physioioginues qui se développent

dans les nerfs après une section

complète. XI, Ma. Coupés, ils

présentent pendant un certain

espace de temps une excitabilité

plus grande qu'à J'état normal,

XI, 206, 907, MO.–Les impres-

sions produites sur les nerfs ne

Page 249: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVftES DE CLAL'M BER.\ARD. 23S

doivent pas être confondues avec

la perception cérébrateqoinous

en revête l'existence. XI, 2CG.–

Expériences. XI, 20S. Coupés,

les médicaments et les poisons

agissent sureuxaYocptu') d'in-

tensité.Xt,2U8, 2)4, 21G.)s

ne sont pas seulement des excita-

teurs, ils sont aussi des freins

iis agissent plutôt comme un frein

que comme un excitant. XI, 209,

335.– Hypcresthésie. XI, 2tt.

Coupés, hyperes<hésie.X!,2i3.–

Coupés, action du galvanisme. XI,

2t4. Coupés, action du curare.

XL!M.–Leurinnuencesurja

<;ontrMti'!të des vaisseaux. X!, 2) 5.

Leur susceptibilité toxique. XI,

2)7. Coupés, leur irritahiiité

excessive est un phénomène patho-

logique. XI, 220. Leur intoxica-

tion. XI, 223. Leur état dans

l'hystérie, la paralysie et chez les

anémiques. XI, 239. Leurs ac-

tions chimiques. XI, 2~5. Ils

n'agissent dans les réactions chi-

miques de la vie qu'à titre d'exci-

tateurs. XI, 2~9. Toutes leurs

ramifications périphériques par-

tent de la moetto épinière. XI,

250. Leurs origines dans tes

cellules nerveuses de la moeiïo

épiniére. XI, 2A5. Leur action

sur les vaisseaux. XI, 257, 308.

Leur antagonisme. XI, 258. Ils

agissent toujours par l'intermé-

diaire d'éléments contractiles. XI,

284, 310. Leur galvanisation

empêche l'absorption du poison.

XI, 28(!. Leur rôle dans la nu-

trition. XI, 28' Divisés, alté-

rations qu'ils présentent. XI, 289.

Leur action. XI, 29). État

électro-tonique réciproque. XI,

303. H existe deux ordres do

nerfs, qui sont de même nature,mais qui sont destinés à des rôles

dinérents. XI, 305. Présidant à

la nutrition des tissus. XI, 30C.

Présidant à l'activité fonctiounelle

des tissus. XI, 30(!. Il n'existe

pas deux ordres de nerfs, les uns

sensitifs, les autres moteurs. XI,

30'Laseu)edifferen<'erce))e

entre ces deux ordresdctibrcs est

donnée par la direction du courant

nerveux qui les traverse. XI, 308.

Impossibilité de concevoir iso-

lémeut l'existence de l'un ou l'au-

tre de ces deux ordres de nerfs.

Xf, 308. Leur compressiou

comme méthode anesthésique.

XH,3.').–ff)f]uencGde)amoeiia

dans )'aaest)té',ie.X!f, )():).Ac-

tion du chloroforme. XH, Ht.').

Leurs propriétés sont laissées

intactes par i'oxyde de carbone.

XtJ, 3S9, 44:). Leur source calo-

rifique. X! )59. Production de

la chateur dans le nerf.XtH.tG3.

Leurs rapports avec la tension

vasculaire. Xttt, 2t.'). Leur exci-

tation galvanique arrête le cœur.

XVIII, 34t. Yoy. ~c~i'~e n<-)'-

t'eMe,Ce//M~')ir'rt'<t~L'<M~t'e~

M~'t'eMT, Co!<t'<;7)< ?;e)'(;f*tt.t', Dé-

so'M Kpr~'eM. J~/ec<)'iCt7e !)e)'-

veuse, E'ct<a&!7i't'c nerveuse, E'.cct-

<a?!<f! HCt't'fM-r, /&)'<?< HC<'M<?:<~M,

Fote nerMM. Gany~oM~ des nerfs,

6)'aH~ ~M~a</tt~M<?, 7y//p<')'M/A~-

sie MfrMKM, /n~M-c ~f;'t'cM~,/a<!07i ?Mrt'?M.M, ~<M'<p)tce

Kf'UfMf, Moelle nerveuse, Pt!:)'M

7!M't'eiMPÏ, Pf~Jt~e ?;et't;eK.«', P/P.EM!

nerveux, Rnci;tM Ht't'uetMM. ~0:-

sibilité tt~'tL'eme, St/H!pa</t~ue,

yt'<!)Mm!ss;o?t )tert)CMse, Unité ?ter-

ueMM, ~!&)'a<!m:Tte''MMs<

NER~SABDOMt~iA~X. Expériences

de Claude Bernard. XI, U9.

ACCELERATEUMS de la circu-

tation capillaire. IX, 65. Car-

diaques, XI[[, 2'!3.

ACCESSOIRES aux organes dessens. V, t!)9.

-U'ARKÉT DU COEUR. XIII, 274.

CAt.OtUHQCES.V,)!6.fS XUL

2. Leur paralysie. XIII, 443.

CAKDtAQUES. XU), 263.

CEKTtUFMES et nnrfs centri-

pet(!S.X!!),2t5.

CKHEMMO SPtKAtJX XI, 99~.

Comparés au grand sympatiti-

Page 250: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAHLE ALP!tABËT)QUE ET ANALYTfQUt:MQ

f)ue.)V,30t);Xt,24a,2<i.,39G,

3i4.–Lespxperiencesdestinees

à <'<ai)'erieurs fonctions doivent

être faites sur la face. XI, 30~.

Il fant les isoler soigneusement

desntetssympathiquesdans.tou-

tes les expériences destinées à

éclairer teurs fonctions.XL304.

Leurs propriétés. Xf,37~Yoy.

A'c<<' t/M~M~c~'e&ro-t'naM.T,

Nerfs sMA't~i/s du cf'r<'Aro ~i;;o/.

XURt'S C!HA)UES Seustbititc. V,

S'22!i. Leurs fonctioas, expé-

riences. V, 88, 90.

–m' CUEUR. Effets de l'excitation.

XVIII, an.

CO?<STR!CTEUKS des vaisseaux,

ou Vascutait-cs. 'U, ~Tï X!tf, M'

235, X89. Lour antagonisme

avec h's nerfs dictateurs. VII, 273.

–Uessn't~res.fX,64.

–CHAKIEKS.V, -Classifications

aoatomiqucs. V, 5. –Pi'opriot.osct

fonctions. V,C.–Les mêmes

éléments nerveux sont associés

dans les uerfs crânieHS et dans les

net'fsrac))if)iens.

UEPUËSSEUHS. Xtt!, 36G, 268.

UtLATATEURS des vaisseaux

capillaires. VII, 277. Leuraota-

gonisme avec les uerfs constric-

teurs. VH, 279. Des artères. IX,

65. Leur origine est encore mal

connue. Xf, 260. Leur influence

sur la chaleur animale. X)! 61.

Voy. ?/< !;<!)'o-<~)~/<t(eM!

EXCtTA~TS. Ils produisent au

fond la même action que les nerfa

paralysants. X, 273. -Expériences

sur les tissus d'uu lapin a sang

froid. X, 273.

MU FOIE. I, 332, 33' 3:0.

FtUGtmOFtQUES. V, 5)0 !t 5t8;

XUI, :!90, :i0~

GALVAr<fOSCUt'!Qt!ES chez le

)apin.)5.

DE L GLA!f))E SOUSMAXH.-

LAtME. \'U, 288, 303, Mt; XV,

&40. Leur rôlo et leurs pro-

priétés. VII, 304. Chez le chien.

VII, 2«8; X)H. 228. Sa circula-

tion.Yt[,3M,Ma.

tftERt'S Ct;Stit.AN))ES.\U,43).

¡

Nlm.'S DES (H,NIH:S. 41, 431.

Ils sont de trois ordres distincts:

moteurs, .sensi'if! et gan~Uottnai-

res.XY,)t8.

M):S (;t.AKnES SAUVAtRES

V,((!C;)f,:Mi.– Apt-Micursection, il y a. sécrétion contiuueiie.

VII, :), ~38.

–MSHLA'SUESSUM.tXCUALHS

Vjtf,8.

nu GOUT. V, 2M.

t)H LA GRKKOUtLLE H),

339.

GUSTATtFS. V, 3')0.

HKt/tK't'ESTt~. Leursensibitit~.

X~3M.

BES !NVEHTEBRES. Heche)--

c)iesdeM.E.Faivre.tV,50.)& a

5t5.

fLAMYKGES. Leur destruction

chez do trè!! jeunes auinMut. Y.

312.

LOMBAtRES. Leur anatomio,

chez te ehien, au point de vue de

la sensibilité récurrente. JV, C:j,

~).

UU MEMBRE !'OSTEmEt'K

Racines rachidi<inn<'s qui entrentdans leur composition. IV, 66.

-M!XTES MACHttHHifS IV, 9:

V,.i58;X),)t2. –Sensibiiitérc-

cun'onte. IV, )t0; V, 46). Ac-

tion des courants électriques sur

leurs ûteta nerveux moteurs. IV,171. Heeherches de Ch. Bett.

XI, 172. Expériences de Magen-

dif! et de Müller. XI, t'!2. Le~

animaux Mféi'ieurs se pr&teat

mieux aux recherches y relatives.

XI, 173. Effets de la section.

XI, t9' Ils se cicatrisent apt'eaun certain laps de temps et re-

prennent leurs fonctions. XI,

t83.

MOMËKATEURS. XIII, 276,

MOTEURS. !V, M, 113, )3< V,

468 j M, t5;X, M7;Xt,8?;

XIII, 2)5. Magendie. tiï, 20.

Leur excitabilité est distincte

de ta contractilité muscutairo, la

preuve par )e curare. III, 316.

Le curare agit exclusivement sur

Page 251: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES !)E CLAUM BERNARD. 237

L"uractinn sur to coeur. !V, 206.

Ils tirent )em"-proprit't('sde)a.

moc))e.)V.222. Lf'nrmort.tX.

2.ara)\'seurs des muscles.

IX,3S.–Le curare est porté il

!f'urH\trcmitu périphérique. [X,

)8i.–Bcttcroitqueies racines

antcrieurf'snontam'unf'sensihi-

lite, et les racines postérieures

aucune facuJténtotricp.X, 239.

Ils ont une vie propre dans

t'ensemhte du système nerveux.X,

2.')).–Leur action. X, 25t.)s

se nourrissent paria ce))u)ccen-

tra[e.X,2.')2.–Marche que suit

en eux la disparition des propriétés

\ita)es.X,3.')3. Ils s'empoisonnent

par rextrptnite musculaire, X, 2M.

Le curare les distingue des

nerfs sensitifs. X, 2.a.–Leur ré-

p;cnération.X,GO.–Ha sont les

excitants du musc)e.X,2G4.–

Leurs irritants. X, 2M,2H'

Leurs conditions d'activité. X, 26.'<.

Action de la dessiccation. X, 269.

Les irritants agissent sur eux en

modifiant leur état physique. X,

271. Ils agissent sur le muscle

en modifiant son état physiolo-

gique. X, 272. Ils sont excités

par les nerfs sensitifs. X, 292. La

courant nerveux est centrifuge.

X, 319. Dans l'empoisonnement

parie curare, on peut préservercertains nerfs. X, 337. Ils peu-

vent quelquefois produire des

symptômes généraux. XI, 9S.

Leurs différences avec les nerfs

sensitifs, après une section com-

plète. XI, 22t. La contraction

musculaire peut )pur servir d'ex-

citant. XL243.– Ils puisent

leurs propriétés dans des systè-

mes capillaires différents de ceux

où les nerfs sensitifs puisent les

teurs. X!t, 274. Ils résistent

plus à la chaieur extérieure que

!emuscie.XUt,38.).–nssont

!a source d'innervation des glan-

des parotides. XV, j)9. Leur

action sur les glandes diffère do

celle qu'exerce le système gan-

<'ux.Uf, 338.3. Le curare1

)t-s empoisonne. !33<);'V, )!)9;

v)n,2T:;xt.s4,no.t3u:ft!,

30!lis peuvent 6).re)est''s sans

qufie*! nerfs sfnsitif.s te soient.

tH,3.')3.–t.a strychnineles

laisse intacts. Ut, 3,'<T.–Leurs

terminaisons. !V,)2!);X, 24'

Le~r origine et leur distribution,

!V, ).')-t. Leurs réactions sous

tinuuenco des différents exci-

tants. !V,t!!(i.–Excitant nor-

mal, la volonté. IV 138 XVIII,

347. Excitants artificiels. tV,

)3.S,)4&Excitants mécaniques,

chimiques.bi)e, sel marin.IV, t4).1.

[nnuence do l'eiectricite. IV,

t.4'! X, 2C9. Courants iadxits

on indirects. IV, t46. Courants

continus et interrompus. 1V, 148.

DitK'M'nce dans leur action. IV,

)51. Action chimique et phy-

siologiquo. IV, 152. Points (!'ap-

plication d'un courant sur un

nerf. IV, 154. Effets produits

par )e passage d'un courant a

travers un nerf. IV, !GO. Dé-

sorganisatton et excitation. IV,161. Fatigue du nerf électrisé.

IV, )G~destitution~o

ses

propriétés par te renversement

des courants. (V, 164. Contrac-

tion musculaire à t'entrée ou à la

sortie du courant. IV, 165.

Action de t'otcctrite, expériences

des auteurs. IV, 167. Leurs

conciusions. IV, )6' Kxpérien-

ces nouvelles. IV, )6S. Exci-

tabilité électrique. tV,t70,)94.

Fatigue du nerf par excitation,

dessiccation, contusion, section.

IV, 184. Réactions qui corres-

pondent aux différentes périodes

de son affaiblissement. IV, 185.

Difficultés de l'expérimentation,

iorsqu'on agit directe meut sur les

racines. IV, )89. Dans la mort

lente, le nerf périt de ]a périphé-

rie au centre, et non du centre il

la périphérie. IV, 193. Leur

action sur les muscles de la vie

de relation. IV, 206 X, 262.

Page 252: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABm ALi'nAUÊt'tQUE ET AMALYTtQUË238

~.tionnaire.XV, ."fM.–Ttut qu'ils

glionnaire, XV, ,.2,0, ils qu'ilsne.o))t pas excites, Us restant

at'étatdoroposoudere!ache-ment.XYnt.34t.–tnftueuce de

1tasens!bihte.XVf!r,7.–Voy.

~'ft'f)f(~CM-OCK/<f.'COMMM?i,

A'<'?'MO/CM)' 0<-U'<.<t)'<'M<<')'))<

Ner/'mo/f'K)'df~aparo<!W<f'r/' ff"<0<CMr~t'/a.<0!<njfM'i«c«)'e.

KEHFS MOTECKS CEKEBKO St'tKAt x Ils agissent sur les tissus.

X!,3()0.

–Mordus MU CLO)!): OCU-

LAtRK. V, 922.

1Mt'Tt:CRS !t!J Mt 8C!.Ë. X, 3~5.

MOTt:Ut(S !)); L'OE)L. V,

2UO.MOTEUKS nE H SHCn)!T)OK,

Us dihtent tes vaisspau\.XY, a37.ils

dilate,nt

lesvaisseaux. XV,

5:1i .1'MOrm'KS nu SYSTEME OU

GAKtQt'E. Ils u'agissem que sur laMntrsctiiit~ vasculaire. XI, 299.

MOrEUBS 0)E LA VtE OKGA-

Nt~UE. Us sont absolument sem-

bhb)cs& ceux qui président au

mouvement volontaire, XI, 24C.

Ils se distinguent des nerfs

moteurs qui président au mou-

~emcntinyototjtAirepart~din'e-ronce d'organisation des fibres

muKutaires.Xt,M(!.

MOTECttS VOt.O~fTtmES. Ae

ti('uducu)-a)-(',)V,3}S,!)t.'<.

ME MUUVEME~T, XVIII, 3U3.

Mt'SCULAnmS, XV, 4t! Pa-

t'ath~e avec les nerfs vaso-moteurs.

XIII, 20Il;nE t.'<)Ë!L. Sonsibiiitë recur-

rente. V, 221, M5.

OLFACDt'S. V, 22f!. Obser-

vations d'absence de ces uerfa.

V, M7. Cette lésion [t'était

pas diagnostiquée pendant la vie.

V, 221.–Leur destruction. V,M(!.

ME LOREU LE. V, 5)G. A la

suite de leur section, ecchymosesdaHSi)'ot-ei)ie.V)),:}:t6.

I.OKCAKtQCES. Leur disposition

anatomique explique l'opinion des

anciens anatomistes & cet ~gardXt.M7.

–CEL'0)L'i):.V,}).

KKtU.-S t'AKALYSANTS t)s produi-sont au fond la m~ttie action quenerfs cMitants.X,ÏT3.MK LA t'MAL Leur sensibilité.

Xf,3M.

t'~EU.M<)(;ASTn<QLES Voy.

PHeM'nOy<<<t<f!.

HACmmE~s tv. M. 232.

Expérience. JV, 'i2;V,'i8t.Leur turgescence. tV, 57. Ana-

tomie opératoire chez le chien.

IV, 63. Sf'nsitifs, iuf)ucnce ~ur

les mouvements du cœur. IV.

'C' Excitation etoctrique. tV,300 326. Les mCmas ctcmcntsuerveux sont associas dans les

nerfs rachidiens et dans les nerfs

crâniens. V, T.–PostÉricurs,re-tour de la sensibitite après la sec-

tion. V, <6S. Leurs fooetinas. )X)(', )), )~ tM. Expérien-tes diverses sur leurs propriétés.

Xt, H:). Leur sensibilité, XI,177. Leurs racines constituent

un organe distinct de i'eucëphatoot do la moelle épinière, quoiquejuxtaposées. X), )9'i.Fonc-

tions des racines antérieures et

postérieures. Xt, 5)7. Voy.

A~ wt.efes'rac/ttdteyM.

nE LA ttATË. Action sur la

contraction. V)f, '}2.'<. Leur gal-vanisation. VU, <2(i. Destruc-

tion. Vft, i9l.

DU KKCTUM. Leur section di-

minue la température du rectum.

VLtM.

KEFmSKATEmtS. XHt, 307.

DU tmtK. Leur section produitt'urOmie. Vf, 4!)6; Vtf.M.–Leur destruction, VI, 496; Vt!, 3!).

Leur section et leur galvanisa-tion modifient la sécrétion uri-

naire.V)L)66.t'!().–Leur sec,

tion doterntiua la mort en pro-

voquant fa gangrena de l'organeet on produisant un virus putrideà t'intericur de l'économie, XI, 20.

–H)ESt')mATUtKMS.tX,)3.

HK LA SECtŒTtO~ SAUVAf-

RK.V.iM.

SËCKEtûtHES. X)tL2t-

Page 253: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES fEUVRES DE CLAtJDE BEHKARD. 23)

NEm'SRP.SSt~SSt'KOAFX.X~tS.t)); LA SE?!S!B!~i V, S

XVIII, !)2. –Leurs réactions

sur)ec<t'ur.XYnL3.')().

SE~'Stttt.ES. Leur excitation

donncuncdouteuretun mouve-

ment a son extrémité. !V. 2!).').

–St:?<sn'tfS.t\22;V. 4<!8,

fX.tf.:X,93~,2!)t:Xif[, 2).

–M;'gendif'.HL 20.–Le cu-

rare tes laisse intacts. Ht, ~42.

–Leurs terminaisons. !V,t9');

X, 2')5. La volonté a-t-etie

besoin de leur auxiliaire? {V,2.)3.

Leu:' innuence sur les tnom'c-

ments du cœuf. !V. 2C.S. Leur

inOnence sur la pression t'ascu-

)airo.(V,M?.–Leut'irritation.

IV, 9').'); X,3i8.–Mouvements

produits par ieur excitation.

295.–Comment ils meurent. )X,

2.') Xf), S?; Le curare les (!is-

tingue des nerfs moteurs.X, S.).').

–Hs'iontf'xCttants~uBcrt'njo-

teur. X, 299. Leur structure.

X, 2!)3: XII, )37. Leurs rap-

ports avec la moc))e épinière, X,

29' Le courant nerveux est

centripète. X, 319. Leurs irri-

tauts. X, 33). Action de ]'e)ec-

tricite. X, 323. Action de la

strychnine. XI, 84. Leur sec-

tion supprime les symptômes gé-

uëraux qui suecÈdent aux injec-

tions de sable dans les artères.

XI, 95. Effet de leur irritation

sur ta circulation generate. XI,

9' Leur irritation permanente.

XI, 97. Leurs différences avec

les nerfs moteurs, après unescc-

tion complète. XI, 924. C'est a

son extrémité périphérique que

la sensibilité commence dispa-

raltre dans l'anesthésie. X!L U5.

Ilspuisent leurs propriétés dans des

systèmes capillaires différents de

ceux où les nerfs moteurs puisent

les tours. Xtt, 2~4. Leur exci-

tation produit un abaissement de

température et une augmentationde la tension vasculaire dans les

artères. XH!, 298.

~t;HtS St~S!t)tS DL Ct;Rt;BRO

S!tL. i.irritation augmentf

t'activit~t~'s pftenom~nns chi-

miquest'ur~is'iantsurie grand

''ympathiquc.X,<f). 1.

SEXSiTU S SrMUSCLE X, .).

SC~StTttS DU SYSTÈME «M

GA\tQt'E. fis ne transmettent

que des impressions dont l'animal

n'apascouscience.Xf,298.

SKASORtAUX ou St:~SOKn;t.S

V, 8.

DU SEXTtMEXT ÏX. )72

Lom'.s fonctions sont abotics parla stt't'choiue.}!). 3~ Ne

sont pas empoi~onuos par le cu-

rare. V, lunnencedu

fi-oid.X),;);

s))'t.A~<;))~iQt.'Es. v, M6 xm,

2CC. Effets de leur section

iu(!uence sur les veines. V, .')2ë;

Vil, iït à ne; Xnt. 205. -Leur

galvanisation influence sur les

veines.Vi),ni&]':n;X~ 3~.

SVMj)'ATt)tQUES. XI, -")7.

Section de ceux qui se rendent au

foie. t, 4) t. Excitation électri-

que. tY, 300 à 3'!6. Ils donneront

l'explication des phénomènes ca-

lorifiques. XIII, 220.

THEMUQUES. XIII, 431 XVf,

t)6.

TRODttQUHS, hypothèse. XIII,

2t' 'M7, 2;!).

VA~t'ES. \'oy. ~a<fs.

YASCU~AtRKS. XIII, 2).').

Comparés aux nerfs musculaires.

XH!, 2t:). Voy. N.r/'i.'f~M~c-

leurs, Nf/s fh7'<fa/f«rs, .er/'<

MtO-~t~'<"<M'

YASO-nn.A t'ATEURS ou dita-

tateurs vasculaires. XHt, 22 23~,

XIII, 348. –Démontres par une ex-

périence sur la gtando sous-maxil-

tMre. XIII, 22'?. Démontres par

des expériences sur l'oreille du

lapin. Xfft, 230. E\p. avec te cu-

rare. XHr,29L –Leur mécanisme.

Xttt,239.– Voy. ;Ve<T.' </i~<t~f«~.

VASO-MOTKURS. t'oy. ~o-

mo~U)'

DE LA VIE ORGA?f!QUË, et

Page 254: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE A[J'[!ABËT!QUE ET ANALYTIQUE2K)

poisons est plus rapide. XI, Ma.

Les réactions chimiques qui

s'opèrent dans i'organismo vivant

lui sont soumises. Xt,ï4'i.

Thermique. XIII, 32n. Elle est

portée au cceur par ioa nerfs

pneumogastriques. XVfff, 36).

NKRVEfSE (t'AiM). Voy. Pa~.

(PA~~A~,YS~E). Voy. Para~c.

(i'MFR)ÈTÉ) motrice, elle diffèredo i'otectricitd. !V, 228. Nous

n'agissons pas sur elle. XVI, 291.

(PutssANCE.) Son augmentation par

section de la moeUc. IV, 3'!6, 3~8;

V, 12. Sa prédominance dans

]a face. V, 12.

KEHVMUX (AcTE). Sa relation avec

tes phénomènes chimiques qui se

pMsont chez les êtres vivants. VI,289.

(AFPAMH.) cerébro-spina) et <phn-

chnique du lapin. I, 330.

(ÉLÉMENT). Voy. Ë?<:MM< Hf)'-

veux.

(FfLBT). Voy. Filet nerveux.

(FmtM). IV, 4. RapidM de sa

marche. XI, m. Modifications

de cotte propriété dans l'empoi-

sonnetttent par le curare. XI, )'H.

(PHÉNOM~fES~ ou mécaniques. XI,

46. Accompagnant le diabète.

443. Ils sont do deux ordres.

IV, 21. Comparer aux phéno-

mènes électriques. IV, 210.

Ils so traduisent en définitive par

un mouvement. X, 351.

(SYSTÈME.) ÏX, 9. Ne présente

pas de matière glycogène dans

son devetoppoment. 259. Son

action sur la production du sucre.

1, 288. Son innuenco sur la sécré-

tion du foie. t, 296. Son action

dans le diabète artificiel. f, 328.

Son influence sur la sécrétion

paLMtidienns.68;XV,5n.–

Action sur les glandes et les sé-

crétions sativaires. H, i68 Vtî,

267. Son influence sur les phé-

nomènes digestifs. 433.

Théories vitales lui rapportant les

en'otsdes substances toxiques.

III, 102. Le curare en abolit les

nerfs de la vie animale, la diffc-

rance est plus apparente que Jer6e))c.X),296.

KEKVEtSR tAcTKM). X))t, :;)).

Son mécanisme dans la pro-

duction du sucre. 1, 322.

Idées qui ont guida dans la dé-

couverte des faits indiques. t,

323.–Son mécanisme dans la

sécrétion glycogénique. 32'

Sa partdauslag[ycoj;enie. ),

3'!2. Hat-eUo tra!tsmis(! au

cœur et au poumon par les pneu-

mogastriques ? V, 404. Dans

les phonomÈne" chimiquos. VJ.

272. Son méMNisMe. VI, 2T!.

Experienca. V!, 273. Vaso-

motrice. IX, 68. EUe so pro-

page par le cylindre de l'axe.

X, 266. Sécrétoire. XI, 263.

Diverse. XI, '!99. HMexe

multiple. XI, 305. Thermique.

XH), 289. Chimique. X.)H, 29),

319. Frigorifique. XIII, 291.

Sensitive, eUe vient retentir

dans le eceur. XVIII, 352.

–(ALTHRATMK), CO~)S.CUtivo~~a

section dos racines de la deuxième

paire rachidiennecervicate. tV,ï!!L

(ËxTRKM)TÉ). Son état dans les

moignons des amputés. Xt,)9).

f,Foxcï[o!f) vftf-o-ntotrice. IX,

68. Nous n'agissous pas sur

elle. XVI, 2!)0. Elle périt par

la suspension de la circuiation du

sang et est exaltée par son exagé-

Mtion. XVIII, :!54.

(FoMCB). X, 73. Accumulation

produite par section de la moelle

ep4niere.!V,3'm.

(tKFUiEKcE). X, 263. Goûteurs

diverses du sang veineux. VII,3M !t 324. Knets do ses varia-

tions d'intensité sur le triple état

du muscle. X, :2. Le dëvefop-

pement des tissus en paratt in-

dépendant. XI, 45. Sa <up-

pressiou rend les tissus plus irri-

tables. X!, 209. Effets produits

par sa suppression sur le système

musculaire. XI, 230. Quand

etie est supprimée, i'action dos

Page 255: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BE!t!<At)D. 24 <

CLAUDE BEttMM. XtX. ~g

pancréatique. Vf[,3{H; XV, 588.594. Son action sur les sécré-

tionsintestinales. Vif, 378. Exp.

V! N88. Sou influence sur la

production du pus. V)), 428. Son

influeuce sur la nutrition il n'est

pas indispensable & la productionde ces phénomènes. VIII, 295; X,

405; XI, 17. Son influence sur

les phénomènes de calorification,

exp. de Cf. Bernard. VIII, 2M.

Il n'exerce pas une influence di-

rccto sur l'absorption. IX, 73.

Son rôle dans l'absorption, la sécré-

tion et l'excrétion. ]X, 88. Ses.

propriétés varient selon les races.

IX, )7G. Il est sans influence

sur les phénomènes organiquesévolutifs. IX, 2t5. Les mouve-

ments vibratiles en sont indé-

pendants. X, i36, !50. Rap-

portsavcc ta substance muscuiaire.

X, t59. Les fibres musculaires

peuvent exister sans lui. X, 160.

Son action sur les muscles.

X,!93.–tt comprend le sys-tème cët'ebro-spiaaf, et ie sys-

tème du grand sympathique. X,

235, 421; XIII, 205. Il se ra-

mené anatomiquement a deux es-

pèces d'éléments, des fibres et

des cellules. X, 350.–Son ac-

tion sur la constitution et la com-

position chimique du sang. X,

373; XI, 269. Son action surla combustion respiratoire. X,373. Son influence sur les

phénomènes chimiques de l'orga-nisme. X, 402; XI, 244. Il

agit sur les phénomènes chimi-

ques par l'intermédiaire du sys-tème vasculaire. X, 409. H n'a-

git pas directement sur les phé-nomènes chimiques; il se borne

à mettre en présence les éléments

qui doivent agir les uns sur les

autres, en vertu de leurs propriétés

spéciates. X, 419. H sert à la

manifestation des phénomènesnormaux de la vie et aux réactions

pathologiques. XI, !2. En agis-sant sur lui, on peut produire à vo-

manifestations. III, 30, 326.-

Ses rapports avec les mouve-

ments du cœur. Ill, 346. La con-

'-racti)it6 musculaire en est in-

dépendante. Hf, 353. Chez les

animaux inférieurs, comparaison

des effets produits parie curare,

la strychnine, le sutfncyannre de

potassium, III, 36t. Analyse de

ses propriétés physiologiques au

moyen du curare. III, 463. Son

importance. IV, 1. Idée des an-

ciens sur ses fonctions. IV, 3.

État de nos connaissances sur ses

propriétés et ses manifestations

gene'-a'es. 'V, 20; V, 2; XI, 159.

Anatomie générale. IV, 120.

Excitation électrique. IV, 144.

Chez les invertébrés. IV, 505.

Des sangsues. IV, 505, 507.

Recherches anatomiques et

physiologiques do M. E. Faivre.

!V, 506. Des rotateurs. !V,

50G. Son perfectionnement en

remontant la série; son déve-

loppernent s'accroit à mesure

qu'on s'eteve dans l'échelle ani-

male. IV, 50T XI, 13. Du

lombric. )V,507.– Des dyti-

ques. IV, 509. Des inver-

tébrés, les types anatomiques

ont leurs analogies dans la

période embryonnaire des ani-

maux supérieurs. IV, 514. Son

influence sur la persistance des

<istu!es sativaires. V, )58. Est-

ce par son intermédiaire que la

chaleur agit sur le cœur? V, 399.

Son influence sur la chaleur

animale. VI, f29 XIII, 159, t99,

203. Son influence sur la colo-

ration du sang. VI, 266, 2SJ, 290.

Son influence sur l'absorption

d'oxygène par le sang. YI, 284.

Son influence sur la coaguta-tion du sang. VI, 414. Son in-

fluence sur le diabète. VII, 84;

XtV, 565. -Son intervention dans

t'urination. VII, 164. Son in-

fluence sur la résorption de la

M)e. VII, 216. Son inHuence

sur le pancréas et la sécrétion

Page 256: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPttABÉT!QUH E't' AMA).yT:QUH-m

tonte des pMnom~nos morbides.

sans introduire dans t'eronomie

aucun principe nouveau.X),1S.

Uticntsous sa dépendance des!

phenomèoe', morbides qu'i)para)t

impossible au premier abord de

reproduire, et que te physiolo-

gistepeutdcvetopperexperimen-

ta)emcnt.X),).').t)cxp)ique)a

différence d'action des médica-

ments. XL 28.–Son 6tat. cxpfi-

quetcsdifrcrcnces de l'action des

poisons sur divers animaux. XI,

34. Maladies dans lesquelles

itueparaitjouer aucun roto.Xt,

t5.– Son intervention directe

dans !osef!'cts des poisons. Xt,

'.)~. Son inftucnco sur los sym-(((i

ptômes gencraux de toutes les

maladies. XI, 99. Sonin-

fiuence sur tousies actes do la

vie.Xt,)H< Son caractère

oasentictau point do yucphysio-

ioginue, c'est le dualisme, X~

)'?;La sensibilité et la mo-

tricitcsontdesp['(ipt'iett''squide

tout tomps lui ont ëta rapportées;

ce ne sont pas les seuls phéno-mènes qui en dépendent. Xf,

172, 244. subit, dans toutes

ses régions, )'ex~g6ration des pro-

priétés physiotogiques qui s'oh-

serve dans les piu'ties séparées

de l'encéphale. XI, MG. Ses

propriétés semblent au premier

ahotd augmentées par l'action des

médicaments. XI, 224. Ses ie-

sions modiflont les effets des ex-

citants extérieurs. Xf, Ma.

Troubles dont il est exclusive-

ment ]c siège. Xi, 228. MtK-

rence esscntieiia entro ses deux

graudes divisions. X),229.–

Il intervient dans les phénomè-

nes de l'Ir6matoso. XI 210.

Son influence sur les pheaome-

ncsdei'abso)-ption.X),2S3.

Cotte inf!ucncadeponddasonac-i 1

tien sur les vaisseaux. XI, 287.

Excitabilité divers degrés.

XI, M9. Sous son influence,

les tissus peuvent passer do l'é-

tatde repos à l'état d'activité, et

([o t'Oa.td'tctifitc&f'etttt de re-

pos. X!8'i n'existe earea-

titu que deux systèmes, t'un seu-

sitif, l'autre moteur. X),2:)!<

tfe~tdestinô&t'aireregnerDtat'-

monioet!tro)es diverses parties de

)'organism(!.X), ;!<)'?. Ses ac-

tions sur tes autrcstisstus. et sur

Jui-meme.Xt.HX).– Snnin-

Huencp sur les organes gtandu-

iaircs.Xt,;US.– Soninnueace

Burter<;it).X).t3. Son ac-

tion sur les circulations locales.

XI, MC. –t):~it sur l'élément

contractile. XI, 3'Ses alté-

rations microscopiques par divers

empoisonnements. XI, tM.

SoHr6)Gr6gut:ttnur.X!tf, f'M,

32'Ses rapports avec ht circu-

lation. XtU,) joue le rôle

d'où frein dans la mMbinf; vivante.

X)H,9M.–H sertài't'tro vivant

pour faire du froid ou du chaud

surptaco.Xt[f,S24.–exemptes

emprunte!) amxorgani'ime.t m(o-riours et aux réactions chimiques

pourfaire comprendre ce rû)c. XHt,

!!29. Actiou de la chaieur exté-

rieure comme agent toxique. XIII,

S8t. Son rôle dans la ncvro. Xttf,

4:)R. Son induonco sur la glyco-

surie. X!V, '!). I) exerce son

action sur la giycij.;caGse par te

foie. X!V,403.–Ctyco~ône chez

le fa;tus. Xt.V, 501. --Son influence

surles cceurs veineux ettymphatt-

ques. XV, 389. Son influence sur

la production du suc gastrique. XV,

5.ït.–n est )'agetit de i'equiti-

bration de toutes les conditions

du milieu intérieur. XVf, <t5.

Il préside aux phénomènes fonc-

tionne!s.XVU,)!6.–Sonaction

sur le coeur. XVIII, .'i:)8. Voy.

C~tf~'o-~tn~t~ (Système) et SyM-

pa<Me (Système).

MEMVKtjX. (Tisse). X, 111, XVin,

267. Conservation protongce do

ses propriëtes après la mort, chez

un animal à sang chaud. V, tt.

Expérience. V,tS.

Page 257: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

MS ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. 2t:!

"fERVEt'XCt'L'fjK.JX. XVIII.

270. Priminf.[V.)20.–Sa

structure. IV, 121.

~EKViSTES.X.~6.

~EUTRADSATtOK des poison,.

III, 54, 100.

~EVHALGtE FACtALE section de

iaeinquicme paire. X),)0~t.

KÉVRH ËME tV. 120.

KEVKt~)'XVH,M8.

rtEVROSTHEXtQUES (Potsoxs'

Voy- /'o'.<s.

rtEWTt)~, il a dit (ju'i) fallait dé-duire les ttteorics des faits. XI,

480.

NEZ, e)Tets de !:t parajyif du fa-

c!a.). V,:K!Ses mouvements

sous l'influence des anastomoses

du nerf vague et du facial.182.

MBBMËS. Xf. 244.

KtCOTtNt;. iU, S')~ Son action

so localise sur le système vascu-

)ah'ccapiUairc.!H,M!).–Action

d'une dose )'aib)e sur le pneumo-

gastrique et le poumon, i!), 401.

Son action sur )e cceur avant

et après la section des vagues. H).

402. Lorsque l'action est in-

tense, elle porte sur io système

muscu)aire.Ut,40C.–EHeapitsur iegraud sympathique, tn.

40;). Elle s'aMre la iumiere.

II1, 400. Elle est diurétique.

Ut,408,-H).–Ë))e augmente la

pression du sang. Uf, 40!). Ré-

cente, elle produit do la raideur

musculaire. Ut, 4U. Action sur

t'œi!. V, 220. Elle agit, comme

le sympathique, sur FœU. V, 220.

Empoisonnement par cotaient.

Xf,4M.

NIELLE DU BLÉ. XVI, 88.

KOBtH, ses lois. X. 98:

NOEUt' COULAKT. XV, )OC.

Pour Hxer les membres. XV, 125.

!'<'OEUMVt't'AL.),3f.V,38:

X!V,88;XV,')3;XVIIf,4t6.

KOtXVCMtQCE. Dangers qu'il y aa

a. employer l'extrait. XII, 82.

NOrt-Ai\'EST)!EStE des ferments

sotu)~es.XVf,2'!7.

~OSOLOGtE Vf! !'). K!)n est

tohjptdetamcdf'finfd'nhsf'rva-

)ion.Xf.4.')S.Aux t~mps an-

ciens. XV, ;)6. Voy. E'M<i~'i; ?ifoo~o-

'/i'7!«'<.

~OSTOCHApparition âpres )a

p)uip.XV[.8<).

KOmuUTUREsncref~etfécutentc

donneau foie. une décoction lai-

teuse.t.')0,)5:t6' 6-2

~OYAU, ses rapports avec le proto-pta~ma.XVt. !:)(;.

DE CELH'H;. Xff.))' XV),

)8t,t98; XVU), t'n. Organi-

quc primitive. )X,9;).–C'est uu

vct'itabte organe générateur. iX.

tCï.

DE LA l~BRU MUSCULURE

XVt,t88.

HEMM~ATU XVf, 3t4

PRtMH')F. XVf, 309.

t'ROTOt'LASMtQUE. XVI, 188,

{M.

KOYKS. XV, 4:0.

~UOLEAHtES VÉSICULES~. Voy..C!~fX ?!MC/Mt)VX.

NUCLEOLE. )X, 100 XVt, 19).

)9'). Sa constitution. XVI, )99.

–SesYacuoh'.s.XVt,t99.–Sou

rôie.XV'f,90f).–Ses mouvements

amœboides. XVf, 200.

XUCUSOUJ~ES. XVt, ''00.

KUMERtQUE tMÈTHOUE~. Voy. ATc-

</tM<e~Kn)~<y;;f.

NUQUE. Voy..MM.<c/M de la KM-

?~.

PfUTmTtOK. tX, 9t; XVII, 24),

:t6(!, -)S5. Mapports des êtres à

ce point do vue, chacun pour soi.

t, tM. Comparée chez les ani-

maux et chez les végétaux. l, 261

t!, 9o:4M,4!)7;Vt.34).–Fer-

mentation incessante. t, 2M.

Fonction intermédiaire entre l'ab-

sorption et l'assimilation, sa néces-

sité. IT, 495. Influence des gan-

g'ions.'V. 235~245.–E)te no parait

pas altérée par la section des raci-

nes rachidiennes postérieures. IV,

256 à 26(!. Influence des sen-

sations externes. IV, 373. Mo-

difications de ses conditions pro-

Page 258: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉHQUE ET ANALYTIQUE2~

duisant des attorations du sang.

VI, ~78. L'urée est un produit

de décomposition. Vit, 3),32. -1Hôte du sucre. VIII, 288.3)8;

XVn.tH.- Inf1uenc.e du sys-

t&ma nerveux. VIII, 295 X, 405

XI, 17, 287. Dans ses phÉnome-

nes, les organismes vivants ne

créent rien. IX, 92. Son bilan.

tX,92.–EHo n'est qua la géné-

ration continuée. tX, 92 XVH).

t36,t92.–E))o n'est directe ni

dans l'organisme végétal, ni dans

l'organisme animal. IX, M, 97,

208; X!V,43~; XV!33.–

Le sang lui sert d'intermédiaire.

!X,9'ËUo se passe dans les

éléments du milieu intra-organi-

que et da.ns les éléments histolo-

giques. IX, 98. Elle est conti-

nue. IX, 98. Ses phënomcttes ne

sont pas en dehors du détermi-

nisme scientifique. IX, 2)4. Ses

perversions sont l'origine de tousles tissus pathotogiqucs. XI, n.

Influence des uerfs vaso-mo-

teurs sur ses troubtes. XI, 312.

Elle est réglée et gouvernée par la

sensibilité. xm, 309. C'est le

phénomène )o plus général de

toutëiément organique. X!V, 81.

Examen générât de ses trou-

bles. X!V.~33. Elle est distincte

de la digestion. XIV, t35. Rôle

du foie. X!V, ~36. Expériences

pour montrer que tous ses phé-

nomène* eMent'efs se passent au

niveau dos capillaires. XV, 308.

Est un des caractères de la vie.

XV!, 35. Réserves pour la nutri-

tion. XVI, 121 XVU, t36. Elle se

confond avec t'évoiution. XVI,

383. C'est le caractère le ptus

général et ta plus constant de l'être

vivant. XVI, 387 XVIII, iM, t!)2.

Son caractère gênerai. XVU,

J32. Les matériaux étrangers,avant d'être utilisés par elle, pas-

sent par deux états, l'état d'ali-

ment digéré et l'état de réserve.

XVH, 134. Ses prouminan'es.

XVII, 241. Elle est préparée par

la

digestion. XVH,3tl.–Théo-

ries. XVH, 381. Rapport de ses

phénomènes avec le déveioppu-

ment. XVtf, 381. Dans le sang.

XVn.382.-Théorie de Liebig.XVII, 3M. Modifications qu'elle

exerce sur les organismes végé-taux. XVIII, 139. Elle sert au

physiologiste modifier les été-

ments histotogiques pour agir sur

les organismes vivants. XVIII, t39

–n'y a aucune différence dMS

sou essence, malgré les variétés

de l'alimentation. XVIII, 326.

Voy. *!M!t'!< jÉ/a<wa<tOK

MMh't<tHe, ~Ct<«n<! 7:t<<t';<t/

fe'?MMt<a<)on< nutritives, ~'ft'<a-

&t7t«7tM<ftt)<n't'<a<tonnM<)'t-

<<t)e, JtfaMrMM-E K!<t<</<, Oscilla-

tions 7!M~'t<tt'e'f, fo/yMOt'pAM~)~

nM/r:7< ~<<<o~ MM~t/ttf.

serve de moMt'faM.E nutritifs, j!

M~fe!MMt)':<tHM.

NUTRtTtON AKtMALE. IX, 96.

DIRECTE. XVI, 140.

D'UN ÉLÉMENT HISTOLOGI-

QUE végétal et d'un éiément his-

tologique animal. !X, 94.

BES GLANDES. Les ganglions

lymphatiques ont-ib un roto? t,

ML

!MPARFA!TE. XI, 56.

BES LARVES de mouche. XVII,

136.

CES MEMBRES, par suite d'a-

biation du ganglion. IV, 264.

CUMUSCJUE. E!]a ao s'opère que

quand il est on état de fonction.

IX, 28,

NU NERf. !X, 28. Usages du

ganglion intervertébral. IV, 234.235h245.

DES NERFS MOTEURS. X, 253.

«ES TtSSUS.InCuaHcedes nerfs.

XL 306.

rnJTRtTtfS (PHÉ!<OHÈ!<ES). IX, )38

XVU,!x,)2,4'!9,485.

NUTRtTIVE (GÉttÈRATiox). XVIII,

205.

NUTRITIVES (FottCTtoxs). Le cu-

rare tes exagère. 1, 381. Leur

équation. IX, 92.

Page 259: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

HES (E)JV!ŒS DE CLAUDE BRKN,\nn. 2M

7tt?T!UT)VES (ScMTA'<cEs~. Trans-

portées par te Mng~teur desti-

nation, XI, 83.

M VS'f ES. Oxyde da carbone. XH.379.

OBUTÉMATtON DK LA VEINE

fO«TE&!a suite dephiebite.

VII, )94. Son influence sur )a

formation de la hile. VII, )95.

A son entrée dans te foie. XIV,

3'!0.–Expériences. X)V,9'!).–

Observations ctiniques. XtV, 2'!2.

Diabète alimentaire. XIV, 33i.

OBSERVATEUR. VIII, 28.

OMSERVATtON.tV, t3; VIII, )),

t2,36t:tX,~32; Xt.t33.478;

XH, 2; XV, Xi, 3, 2i. S'appuyer

au:' e!!e, c'est autre chose que

faire des observations. VIII, 20.

Rôle du hasard. VIII, 346, 335.

Elle est le point de départ de la

recherche expérimentale. VHI,2C6. La médecine expérimen-

tale s'en sert comme point d'ap-

pui nécessaire. VIII, 347. Elle

apprend la forme des phénomè-

nes. XI, 5~. Voy. ~f/M?!?

d'observation, Sciences c!'o&!?''t'a'-~t0)t.

ACTtVE. VIII, 14.

CHKtQt'E. V! StT. Néces-

sité de comparer avec elle les re-

cherches expérimentales. Xt,H5.

Ses rapports avec l'expérimen-

tation. XI, )32, 572. Elle doit

précéder tes recherches expéri-mentales. XI, 414.

tNVOLOKTA'KE. V! 27i).

PASStVE. Vt!I, 14,

DES PHENnMËitES. X!,4)9.

PROVOQUEE, préméditée ou en-

gendrée par l'expérience. V)!

40,272.

PUKE. Son rôle. IV, 9.

OBSTRUCTION DU POUMON par r

injection de gaz dans le cœur.

m,t63.

OCCLUSION DE LA TBACHEE

Ses effets. Vf, 509. Expérien-

c<i. VI, 509.

OCULAtRE (Gt-oBE). Voy. Globe

oex~trc.

–(NEttF). Voy. Nerf moteur oculaire.

ODEtJMS Passade des matières odo-

rantes dans l'urine et dans!a

bi)e.Vf!.2)3.nans!e)ait.V!

241.

OEOÈME amené par section des

t'acises postérieure! !V, 256.

OEIL. Sa sensibilité dans asphyxie.

!)!, 215 Vf!, 32. Influence des

gansions. IV, 324. Effets de la

paralysie du faciat. V, 32. Ac-

cidents qui surviennent après la

section du trijumeau. V, <!t.Ses altérations après la section de

la cinquième paire. V, 85. Ses

glandes, après la section de la cin-

quième paire. V, 92. Effets de

la section du grand sympathique.

V, 151, 473. Ses nerfs moteurs.

V, 200. Mouvements du globe.

Y, 2)8. La nicotine agit sur lui

comme le sympathique. V, 220.

Influence du grand sympathique.

V, 53!. Effets du sympathiquesur l'inflammation de t'ceit. V,

.'t3t. Humeur aqueuse. Vf!,409. Voy. Glube Of!)' Globe

~c <'<)'!<fh!n!eMr n<}rMf!<s~K-ntfto' t':f)'~< Nerfs de /'o')7.

OESOPHAf.E. les aliments s'y accu-

muient après la section du pneu-

mogastrique. V, 4)0. De gre-

nouille. X. 139. Sa ligature. XI,

6C. Expériences sur ses fonc-

tions. XV, 551. Effets de )a

section du pneumogastrique. XV,

552.

OESOPHAGIEN (\ERF). Voy. Nerf

<MOpAn<y!<'t).

OEUF. IX, 104, t06, 229 XVIII,

)33. Il est un devenir. IX, 110.

C'est un centre puissant d'action

nutritive. IX, 110. En agissant

sur lui, on doit pouvoir opérer des

changements dans les organismes.

)X, 111. Son développement.

XI, 46. tnuuence de )a chaleur

extérieure. XIII, 402. Son assi-

miiation avec la graine n'est pas

exacte au point de vue de la vie

latente. XVI, 92. offre la vie

engourdie. XVI, 104. Son anes-

thésie. XVI, 275. C'est le point.

Page 260: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TA))),)! AL[')!AnËT)QUE HT ,<ALYTtQUK~t6 V

do dcpart (h's f'spf.'ff.'s aniutates ou

v~é(:des.XV).:t09.–Ues<.)c

~ermepour)M''ovi.stos.XV),3H!.

--G)ycos('V)),8t.- Quantité

de ~)ycose<)ui y existe avant et

pendant i'incubation.XVU,8.').–

<~ut'ps polarisants. XVft, M!).

~orpsbiretriu~ents.XVt!)3).

–Kx~men des (litrét'CHtes subs-

tances qui y sont. contenues.

XVt!t3).–Matières atbumi-

no!des. \vn,534.–Corps ~ras

phosphores. XV![,53~. –innuence

do i'oxygcnc sur la manifestation

de l'idée cr6ttric<' ou évolutive.

\VU), 136.–Sa force evt)tuti\'c.

\vn], 2)0. Voy. Jaune t~M/

«Et.'F t) AKACHKtHË. X\ t. ~28.

CELLULE.X, 20.

ttËS tKVKRTECKKS. XVI), 95.

t)E LARVE. tX, )(M.

MALK et fonrelle. tX. 107.

DES MAMMU JEKKS IX, )<j8.

MEHOBLASH~UH X\i, :tiU

nEMOUCHt' e'ycogen&se. XYU,

)3~

MES OtSEAt'X. XVf. M.'): XVfr,

t3'G)ycugcncsf.XVt),.]:)f).

OLOBLASTtQUH. X\I, 3~i).

DE t'OCLE. Son incubation.

XVH!,(!3.

PH)MO«MtAL. Son développe-

mcnt. XVI, 309.

M VEtt A SOIE. X)[f, 329.

Influence de la chaleur oxtérieure.

XIII, 403. Vie intente.XV), U3.

OtES. Influence de l'alimentation,

saug chyieux. i, )M. Préhen-

sion et contention. XV, n2.

OISEAUX. Glandes Mtiv~ires. t), 3~.

Ils n'ont pas do chyiiffres. Il, 3t2.

Pancréas. )!, 465. Sue pan-

cr(iati()ue.j)f,tM.–i'upiUe.V,

2ta. Ligaturo de ia veine porte.

VII, t9' Empoisonnement par)a curare. XI, i;!7.– Sujets d'ex-

p6t'iences.X),555.–Soumisau

chtoroforme. Xtl, 55. Ils sont

peu sensibies & )a morphine. XII,

207. Leur température. XIII,

343. Préhension et contention.

XV, !)]. Moyen de tes ane~-

thcstpr. XV. )M. 0-;uf. XV).

Ï9.'):X\)t, i37.–G)ycogettes<.

XV)i,5~ Giycogcnedansia

cicatricutc. XVf), !)2. Giycogcn';

dufuif'.X\U.U'))an!it'(But'

etdan'i)'etnbryo[).XVU,555.–

Voy. ûfïu/' d'oiseau, Température

<~<<OM<?«M,r.

OLFACTIFS (XEftM't. V. Nerfs o/-

/N'<'<t.

CLFACTtOK.Influence de la bran-

che maxillaire supérieure. V, M.

Ë\p6rienccii do MaKsndie, V,

!9<Sesucrfs')p6<'i.m\obser<

V, 29(i 93' Sa diminution pro-

duito par une tumeur tibrouse )a

base du crAoe. V, M'4.

OJLUKK, transplantation du pé-

rioste.JX,)~.

OLOBLASTtQUE(ŒuF). Voy. ~tt/'

0~o4/<!<<<~Me.

OMBtUCAUX ~'A!MEAU:H. Voy.f'at.f.tcaM.

OMPitVOMES. XYU, 2.)'

Ot'Ht~ATtONS. Font-cites dispar&]-

treiu sucre?!, 9: <!). 308, 3Ti.

Et)e& sont moins gravea, quMd

iasensibitito estfimoussée ou

cteiuto. )V, 2'!U. Sur les che-

vaux vivaats à Alfort. XV, 76.

D'un usage général dans les vi-

visections. XV, )95.

OPKMA'jrOiMti (PHMMLON)E).

Voy. Physiologie op~ra<ot'c.

(TECHXtooE). Voy. ï'<'c/t~tyt<e opé-

Mt<o))'e.

Ot'HTMALMtQUE. Voy. jB)-aMeAf,

Gnt)<f0?:.

Ot'tUM. X)f, )G3 XV, 20. Sa fa-

culté dormitive. VUf, )38; XI,

)<?, 448; XVU:, 57. Ses effets,

XI, 225. Employé comme anM-

thesiquo.Xf[,38.–n produit la

somaotonce; exp. Xt), )ti&. )t a

uus action contutsivantc. XII,

i69. tt arréM la digestion

exp. XII, t69. Il est plus toxi-

que que la morphine à doses éga-

les; expériences. XII, 172. Son

emploi comme moyeu de conten-

tion dans )cs expériences. XII,

tH4 XV, )!)!, Combiné, avec le

Page 261: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES !)Ë CLAUDE BEHKARD. ~t"

sont)u-!fr!-ms.Vn.9'3'it.-Quan-

tited'o\y~'nernntenue()ans)csor-

~aues en repos et en fonctions.

V:r.4:f!s()i<Terent()usf!))stra-

tum d'après Btainvin'j.Vnt.tOO:

XY))),0,!0: C.e n'est pas

sur eux que les irritants produi-senticur action. \)!).-L'extir-

pation suhite dun organe ne

dnnnepasuneideejustedesac-

ti"uspatHo!ogifjties. X{,)<!2.–

)'n fonction, sources de chaleur.

XU),t3U;XVnt,3':8.–I)son)

tous un double système de nerfs

constricteurs, et de nerfs dijata-

tcurs.X!tt,'?35. –En état de re-

pos. XVtn,3'!8.–Leurs rapports

ayecte.s fonctions. X\')n,~U3.–

Voy. Activité ~c< organes.

«KCAKES BtHAmES. Voy. Bilial-

;'<;s.

Gt'?«TA~'X. Yoy. G'')t~aMJ.

GLA~'nULAtRES. Yoy. G/<M</M-

/N!')'<'S.

SECHETEUHS. Voy. S<'Ct'<'<eM''f

(Organes).

DKS SENS. Voy. Se'M.

SPLA~Cn?itQt;ËS. Voy. S~an-

c/tnt~Kf~.

.Rt?fA!RES. Voy. t7)'n<M.

OKGA~tQUE (CAt.oMDCA.Tto- Voy.Cu~o<'<ca!'0)).

~CHAt-Ecn). Voy. C~n~Mf.

(CoMBt-'STMK' Voy.Com&!<<!07:.

(CRHATfOK). Voy. C)'M~fO~.

(RÈSOKGANHATMf. Voy. DMOr~a-

?)<sof'on.

(ËYou;TM!<). Voy. ~uo/M~in.

~MtUËn). Voy. j/t/t'eM )7t<~r:cMr.

iPEnFECTMK'. Voy. /'<')'/fe<)b~ et

?)"<'f'<'<M?"'C?t~.

(HÉxovATtox;. Voy. Rénovation.

(SonDAKtTÈ). Voy. So/a;')<ë 0)'-

c~n~tt"

jSïfTHÈSH). Voy. S'/nt'.e~e.

(SvsTÈ!<E).Yoy. ~t/s<en)eo'an!«'.(THÉoxtE), Voy. Z'Ae'M.

(TRAOTtON). Voy. rt'adt<!on.

'TRAVAIL). T')-at'<!t/.

iVn.:).Voy.~t'f.

ORGANIQUES (CKH-ULEs). Voy. C~-

/M<M.

ch!ot'(tfnr)nc. an("-t))esic mi'Hf'.j

Xt),9it. Sa<'0tubtuaisonav)'c

!hy()raU'd':ch)ora).xn.3i().–

Rcchen'hcs cx.p6rimcntates.xn.

504. -Son emploi danstetude de

!ac)ta!curaui<na)c.X!)!,6~

Sonactionsurtachateuranimatc.

XVt~,2iG.–Voy.~<M/of.~M(~

/'optum.

Ot'POStTtOKS MÉntCAMENTKL

SES.nf,)9.

Ot'TtQt'Ë ~'t;RF\ Yoy.'s'f)-op<)?!

0!t)EtLLR, son~chautTpmcotch!'?.

le iapittapr~s section dota moct)'

6pinh':rp.fV,.ii).–Effetsdeh

paraL)ysn)dnf.n'ilt.V,3').–in-

Ouem'c de la section du facial sur

ses mouvements. V,39. Ëxpc-

riences.V.t).–Section de tac.M'do

du tympan. V, t-t5.–Produc-

tion de la chaieur, par l'action du

sympathique, après la )igatui't'

des vpittf's. V,08, 509.– Action.

sursa<'ha)cur,deta.ch)oroformi-

sation apr&s section (lu nerf sym-

pa.thitjueaucou.V, 5)2.Sa

galyattisatiou après section du

sympathique.Y,5)2. -Effets de

la gah'anisation sur M chaieur. V,

513. Les nerfs qui s'y reodent

iunucncosurtitYascutarisationpt

tatcmpcratura de l'oreille. V,.'))C.–Mouvement produit par

t'excitation do l'auriculaire V,

539. Épanchement sanguin et

ecchymoses pat'ta section de tous

tesn('rfs.Vn,33G. Du lapin,

expériences démontrant les nerfs

di)atMeursYascutair<'s.XU),230.

OKEH.LETTE. X\!i), 3-M.

Droite. XVtft, 3M.

ORGANES. )X, 63. La maladie

change leur état anatomique et

physiologique. 190. Les gan-

glions du sympathique ont-ils sur

eux une action ? V, t68. Leur

température comparée à celle du

sang. VI, 140. Couleur du sang

dans leurs difTëreats états. Vt,2a7.Leur fonction caractérisée par

l'analyse du sang avantet après

)'organe.VH,34.–Les nerfs en

Page 262: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE AU'UABÉDQUE ET ANALTHOUK248

ORGANIQUES (CENTttM). Voy. Cen-

I<t'M.

(Cmcm.ATMM). Voy. C~CM~M'M

locales.

(ËLÉMNTS't. Voy. É~MH~.

(Gt:xxEs). Voy. R<-)'MM.

(LÈsioM). Voy. /.<n.! oryan~UM.

(MATEf'tAt'x). Voy. ;~<f')'iatu-.

(MATtÈHES). Voy. Ma<)~M 0!~f!-

~"M.

(MoCVEHEKTS). Voy. Mouvements

organiques,

(NERfs). Voy. JV<')' organiques.

(PUÉNOMÈKES). Voy. Phénomènes

organiques.

(PKtNCtfEs). Voy. Principes O'~N-

niques.

(SUBSTANCES). Voy. SM&~anCM.

(SYMPATHIES). Voy. Sym~x~/ttf'

o'e['uM.

(Tfssus}. Voy. TY-MM.

ORCAKtSAT!0\. IX, tt5; X, 7

XfV, 360; XVI, 4f, ~7 XVff, 3,

48&. Sa constitution. 11I, 40.

Elle ne se réalise pas d'emblée.

IX, )'!6. Elle est une puissance

génératrice continuée. iX, )26.

Elle est la conséquence d'une loi

org<tt)ngeoinu<* qui pt-dc'n'.te. iX,228. Son étude au point de vue

de la zoologie. X, 7. VtVMttc.M*u)<' elle peut servir au dévotop-

pement desprincipes virutent~.Xf.

37. Elle est un des caractÈrcs

de la vie. XVf, 32. Agents chi-

miques chez los êtres vivants.

XVn, sn. Voy..PAtitMM~iAt

~'<aMMa<tOM, ~t/n</<c o~aH!MMee.

OMGAMtCtSME de Rostan, XVII.

448.

ORGANISÉE (MATtÈM). Voy. Ma.

<«'fe o)'$a'!)4'

(STNTHÈM). Voy. St/n~t~C.

OKGAKtSMH.X, 3.–Destruction du

sucre. I, 217. –Origine du sucre.

f, 283. Pénétration des poisons.

III, 5C. Son équilibre avec le

milieu où il se trouve placé. III,t2C. !nuuence du froid. Vf, 51.

Formation de l'eau. VI, 439.

Particules intimes. VIII, )08.

Modifié par l'habitude. Vf!f, 9!3.–A A mesure qu'iia'~teve, les

différences anatomiques et physio-

logiques s'aecroissent. !X, H6.

Le système nerveux est destiné à

faire régner t'harmonie entre ses

diverses parties. Xf, 307. Il se-

rait connu, si on connaissait com-

plément un seul poison. XI,~4C. Son analyse. XI, !,3t.

Une substance n'agit sur )ui

qu'en passant par le sang. XM. 86.

Sa mort. XII, 138. Sa per-fection est en rapport direct avec

!o nombre (iMmttiadie.t.Xn, 32'

Différents points de j'orgauismnoù devra être étudiée la tempéra-ture. XIII, 7S. Il utilise quel-ques-unes des formes do la cha-

leur extérieure. X))), 3')5. La

physicfogio comprend son étude

dans ses états normaux et anor-

maux. XfV, .t. a, en chimie

comme on mécanique, des procé-dés qui lui sont particuliers. XV,

:i0'Sa mort est constituée parta mort des cellules. XV, 307.

Tombcat'ctat d'indifférence chi-

mique. XVf, OS. Exemptos prisdans le regn~ végéta) et le rcgneanimal. XVf, 69. Son perfec-

tionnemeut, che!' ies animaux à vio

constante, consiste maintenir

dans le milieu intérieur les condi-

tioas intrinsèques nécessaires à )a

vie des éléments. XVL )t2.

Hô)e inconnu de i'otygÂnc. XVr,

171. Analysé par Galien en

parties similaires. XVI, !).

L'irritabilité et la motilité du pro-

toplasma lui servent de trait d'u-

niou avec )e monde extérieur.

XVI, 242. Loi de sa construc-

tion. XVI, 353. Il est construit

en vue des vies élémentaires. XVI,

354. Son unité morphologique.

XVL 357. Son unité. XVI, 386.

M ne s'y forme pas d'eau parcombustion directe. XVH, 208.

Sa rénovation moléculaire. XVII,

221, 484. Voy. ~M~c l'or-

</a~tM;e, Liquides de <'o~c~MMe.

Page 263: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES (EUVfŒS f~E CLAUDE BEf).\Aftn. 2H;~J

t!f)nnc!!c:t)a quantité de San;: qui

traverse le foie.f,))5.

OSCtt~ATtOK NUTRITIVE. XVII,

3';5.

VtTALM Son mécanisme. XV!,

t0.'). Son mécanisme dans l'en-

gourdissement. XVI, )0'h

OSMOSE. !X, 70.

OSSEUX (CANAUCULES).!X,i?).

(SYSTÈME). Gtycogene chez le fœ-

tus. XIV, 501. Voy. <?.<.

–('r;ssu).!X,t20.

OSTEOTOMES. XV, )90.

OtJtE. Nerfs de fouie. V, 2;).

OUMAR!t),2U.

OVAtRE. IX, t06, 2)3.

OVARIQUE (CELLCLE' Yoy. C~-

/M/C.

OVAR!QUES (Êi.ÉMEMs). XVIII, 131.

OVISTES. Pour eux, i'œuf est JR

genno. XV!, 316.

OVOGEStE. XVI, 311.

OVOGE~tQUË 'PKRtonE). XVÏ, 313.

OVULATION spontanée. IX, )0<.

D'un mollusque lamellibranche.

XVI, 308.

OVULE. !X,9t, t06; XVt.309: XVII,

457; XVHt, t39. Ses conditions

de vitalité ou de développement.

IX, 108. Primordial. XVJ, 314.

Son évolution.XV)t[,2tO.

OXALIQUE (ActDE). XVH, 280.

Son origine dans l'urine. VII, 60.

OXALUMtE. VU, 60. Voy. DfNMfsc

0.<:ft/<f/Mt.

OXYCAKBOXE (SAXu). Voy. Sang

<MyM'*&n?te.

OXVCARBOMEE(AspHtxtE). Voy.

~Spt!/J:t" 0;)/Mt''&on~f.

OXYDATION détruisant le sucre

dans l'organisme. 9t7. De

i'hématine, elle forme du sucre. t,

399. Dans le sang. m, 89.

Ses phénomènes. VI, 3'H. Des

éléments des tissus, produit-elle la

chaleur animale? XI, a~G. Du

carbone et de l'azote. XVII, Mf!.

OXYME DE CARBONE. Ut, )57 X,

)86; X)t,362, 375, 380, 405. Ses

propriétés toxiques- III, 5?, to6,

)80. Son injection dans )e sang,

sa solubilité. H!, 160. Injection

OnGAMSME AKtMAL Sa co.npH-

sition chimique ctcmentairc.tn,

40.–C'est une machine vivante.

xv!tf,M7.

COMPLEXE. XVt, 35.').

ËLEMKKTAtRK. Vttt, t!6

XV!M5.–Laphysio)ogioge-

ncraietc considère seu).X,3.

A ce point de vue, tous les ani-

maux sont identiques. X, 10. La

vie y réside. X, 2~. Nom donné

aux éléments histotogiques.X!, 45t.

Voy. J?/em~! antt~oMt~Mfs.

t)KS ÊTRES VtVAKTS. t[ y a 3

considérer un ensemble harmoni-

que de phénomène!). Vtff, 150.

YtVANT. Action do l'ozone. III,

)45&);<6.– t) nf crée rien

dans les phénomènes de nutrition

etdodéve)oppement.IV,'J2.–Ses

procédés comparés à ceux de la

chimie. XIV, 138. Son détermi-

nisme physiologique. XVt, 62.

Sa conception. XVI, 352. Le

physiologiste agit sur eux en mo-

difiant les éléments histologiques

au moyen de ia nutrition. XV[!f,

139. Mutilé, il teud à se re-

faLire.XVH!,n:.

ORGANITE éiémactaire. XVI, 387.

ORGAKOGEKbSE. IX, 138. Voy.

~otO'<?aMo~nt~Me.

ONGAKOTMOPHtQUES (PHENOMÈ

NES) des êtres vivants. tX,t26,

138; XVIII, t36. C'est sur eux

que doit être dirigée t'investigation

physiologique expérimentale. IX,

128.

ORGASME. X, 82.

ORIGINE des choses. !X,tl4.-

Des ceUutes. XI, 47.

OS. Rapports avec la substance mus-

culaire. X, 159. Effets observés

par la suppression de l'influx ner-

veux. XI, H. Digestion des os.

XVII. 303. Leur régénération.

XVUf,<32. -Rote du périoste

dans leur formation. XVIII, 432.

OSCILLANTE (VtE). Voy. Vie os-

C)7h)!<e.

OSCtDLATtON GLYCOCEM!QUE

XIV, 2it,409. Elle est propor-

Page 264: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLK ALPHAtiËTIQUK KT ANALYTfQUË~50

dans tes artcres. !ff, )<!). Sous

qHe))f'forn)f'i)!e)imino;nou-

vcties recherches. )<),)(}); XII,

439.'437,4:)),458.'4.9. -ttpst

t''<'sveuenoux.t)i,i63.–C'est

un poison qui agit sur le sang.t)f.

'(!6,]95;Xif, 389.–Absorption

par le sang. m, t69,n3;XU,

i32.nf)uencosur)'abMt'ptionde t'oxygène et sur ]'fxhatatiot)

des autres ga! tU, )t;9,)'!3.–

Goûteur et propriétés du sang dans

l'empoisonnement par cet agent

expériences comparatives.!)t,n9;

Vi,388,394;X)!,31!5,S~

Son contact rend le sang rutilant.

)U,t').–Cheïunchien vivant,

qui en respire, le sang veineux dc-

viontrouge. U), 180; Vt, 3)i' –n

tue et empêche te sang artériel de

devenir vcineu\.)U, )8t.)p~M-

lyse les globules, et met obstacleaux échanges gazeux dont ils sout

les agents. U), 183. –Theorieii par

lesquelles on a cherche a expliquerles effets do ce gaz. tU, 189. Il

déplace t'oxyganedu sang. Ut, )84.

–Un seul lavage suffit pour eu-

tever tout roxygono du sang. 1H,

184 VI, 371. Son action altère

)'hematog)obu)ine. tU, t8' Il

altère physiologiquement les gto-hu!es du sang. UJ, t8' Empoi-sonnement par cet agent. III,

)89;Xt,tM;XH,i56;XV,90,9),289. Action sur la germinationctjes fermeutations. 11!, j'tt. MO.

Sous son influence, la sépara-tion du sérum semble être t)[us

parfaite. J)t, )92. Les globulesne sont pas altérés anatomique-

mect; )eurconMt'vatioH paramètre

ptuspro)ongoe.n),i93.–Ana)ogiede son action avec colla do J'acide

cyanhydrique. Ut, 193. Effets

consécutifs de son action, III, )9R.

Paralysie secondaire. Uf, 196.

Effets toxiques plus rapides chez

les individus vigoureux. Ht, )9'

–Son iunuence jointe aceUe de

l'acide carbonique. III. 209; \'t,MC. Pour l'analyse des gaz du )1

saug.Yt, 305, 375, 3'!8, 385~387,

39U~3!)5;t),)(!7an6;)X,52;

XH. 488.–)i est le poison du

globule rouge sanguin et il agit

uniquement sur lui. Vf, 365; tX.

207: Xt, 85; Xf), 397, 402, 409.

Il défait la combinaison de

t'oxy~eueavocIeRtobuteMcguin.

Vt,36G.–U détermine la mort

parcequ'i)d6p)aeeinstantanÉ-

mentt'oxygeuedesgtobutesdu

Mt)g.Yt,366,368;tX,50;XH,407.

dégage !'oxygenodusang,mieux que tes autres gaz.Vf, 367,

38&;YU, 43')! dégage l'acide

carbonique avec augmentation du

\'o)ume. Vt,3~().–M.a.)gr6sa

présence, l'oxygène du sang peut

disparaitM avec le temps. VI, 383.

On ne retrouve pas la quan-tité ajoutée au sang, au moyende l'oxyde de carbone.Vf, 38~

Son action sur l'oxygène des tissus.

VI, iOt. U n'empêche pas les

phénomènes d'oxydation dans tes

muscles, et l'acide carbonique se

produit en rapport, avec l'oxygène

disparu. \'I.02.-I!t'x)taia de

Foxygene des muscles. VI, 405.

Sa préparation. Vf, 406. Son

action comparée à celle de l'acide

carbonique sur des grenouilles,

l'oxyde de carbone en exhale de

t'oxygène. YI, 408. Pour déter-

miner les proportions d'oxygène

du sang. VII, 431. Analyse du

sang du roin. VII, 431. Respira-

tion. VII, 470.–Use combine

plus fortement que l'oxygène avec

)'hënMtog)obuiiae du g)obu)e du

sang; expériences de CI. Bernard,

VtJI, 27!). Marche et symptômesde l'empoisonnement. IX, r)t XH,

419. Ji produit une paralysiedes éléments respiratoires du sang.

IX, 51. Retour à la vie. IX, t86.

Anciennes recherches sur ses

propriété délétères. XII, 379.

Mécanisme de la mort. XU, 382.

Différences de susceptibilité chez

les divers animaux. XII, 387.–

Il laisse intactes les propHetës

Page 265: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES <E!JV[!)':SDE CLAUDEMR~AftD. Mt

des muscles et dps nerfs. X)t, 389, )

4)5. -–))s'opposf':t('a))sorption

(fet'ox\'g'ne.X)f,3')).–ttexjeve

par suite au sangtaprnpriétéd'oi

treteoir la vitalité des tissus.

Xtt, 3<)2. Sa combinaison avec

t'hénMg)obittt!.Xft,!)7, i.'i?.–

Hffct anesthésique il n'y a pas

là une anesthésie proprement dite.

X! 4M.–Sa fixation, XII, 43'

Intoxication. Xf), .M. Em-

poisonnement de pMnouiUes. XII,

44& Sa transformation en

acide carbonique dans l'économie,

XII, 459, 4e&. Sa destruc-

tion. Xtt, 463. tntoxicatiou du

sang. XH, &02. Au point de

vue de l'hygiène. XH,528.

Produit par tes portes on fonte

ou en fer,'iesoftets.X)),&'M

1- Recherche physioto~ique. XH.

530. Hecherche chimique. X)).

530. L'asphyxie es' caractérisée

par l'abaissement de tempéra-

ture. XIII, tH6. Comme moyeu

d'analyse physio)ogique. XV, 443.

Sa présence dans le sang cons-

tatée par la spectroscopie. XV. 444.

–Recherche du modo d'élimi-

nation. XY,4t8. NouveUes expé-

riences. XV, 448. Poison des

mécanismes. XVII, t'!3.– Voy.

Asphyxie par /'o:M/c~ (/e co'&onc,

/ig!p)' a<:ott w:MeM~a:')'e.

Son actionOXYGÈKE. !H, KO. Son action

sur la disparition du sucre dans le

;nig.I,24t,243.– Sa dépense

dans l'acte respiratoire. tU, t!U.

Influence de l'abstinence. III,

U2.–tnf)uonce de la digestion,

derâge,do]atai))e.m,U2.–

Influence de l'espèce, de l'hiberna-

tion. I!I, H3.Consommation

par les animaux. ttt, Ii3. Con-

sommation par les marmottes en-

dormies, épuisement dans l'air parla respiration. HI, 't5. Expé-

riences entreprises dans le but d'é-

tablir sa proportion minimum pour

un milieu respirable. UI, 115, !20.

En eMes,!rt, HO.–Excitation

gccératc produite. !M, 129. As-

phy\ic daus t'oxygène non renou-

ve)e. H), )3L–))ans)es tissus,

.'tctiundni'n'.yf}e<)c<'a)'honc.VL

'<<)). -Lesmuscicsettestissus

à l'air en prennent autant qu'its

donnent d'acide carbonique, hn'en est pas <)(.)!<me pour !f

sang. V!, i03. L'oxyde de car-

bone on exhale des muscles. VI,

40.'). Respire, il rend l'urine

acide. VH, 22.–Son absorption

par la tymphe. te chyteettc sang.

VI!,42t.–C-'estunexcitantnu-tritif. tX,99.–Peut être inutile,

ou même de]6tere, pour certains

éléments et certains tissus. IX,

187. Il est iodispeasabte pour

entretenir tes mutations chimiques

Yitates.tX.2n.-L'air lui doit

ses propriétés, comme milieu pro-

pre it entretenir la vie. X, -43.

Son action sur iesnbresetemen-

taires. XI, S3. Sa respiration s'ac-

comptit non dans les poumons,

)na.isdans)eMngetdansiapro-

fondeurmên)edestis',us.X!,2'!2.

Sa disparition dans les muscles

correspond a t'etëvatiou do la tem-

pérature. XI, 3'!7. it en est au-

trement dans les glandes. XL 278.

Indispensable a. la vie des ani-

maux. XV, 98. Expériences sur

son influence dans la vie iatento.

XVI, 73. Dans la vie constante.

XVLU8.–Son rôle inconnu dans

l'organisme. XVI, n!. Neces-

sairo au plus grand nombre des

êtres vivants. XVII, 9. Son in-

nuence sur la respiration des ptan-

tes. XVII, t68. Privation d'oxy-

gène. XVII, t8t. Réserves. XVI),

!90. Son influence sur les ani-

maux et les végétaux.XVILt96.–

Ses effets torsqu'ii est en excès.

XVII, t96.– Sa tension. XVII, t9'

Son rôle dans la respiration.

XVU, 203. Déficit d'oxygène.

XVII, 307. Son rôle daus les

phénomènes physico-chimiques et

les phénomènes physiologiques.

XVIII, 122.- Son influence sur la

manifestation de l'idée créatrice ou

Page 266: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPnAnÉTIQUE ET ANALYTtQUE'i2

niqueqn'on en peut retirer. VI,

3')4,3'!8.–Absorbe par le car-bonate do soude. VI, 378. Peut

être contenu en plus grande quan-

tité dans )esangréna!n:tHantque dans le sang artériel. VI, 381.

Il est en proportion plus faibio

chez les animaux affaiblis. V!, 382.

[) finit par disparattro avec le

temps malgré la prÉMnce de t'oxyde

de carbone. VI, 383. On ne re-

trouve pas la quantité ajoutée au

sang, au moyen de l'oxyde de car-

bone. VI, 384. Action sur la cou-

leur et les propriétés du sang. VI,38. 394. Sa quantité en rapport

avec la couleur du sang. VI, SOC.

Dans )c sang des fœtus. VI,

400. Exhalé par l'oxyde de car-

bone. Vf, 4M.

OXYBEMOGLOKtN):. Ses carac-

ttrM. XH, 427.

OX(t!\E. ttf, H4. Sa nature. III,

)45. Ses propriétés chimiques.

III, t45. Son mode de prépara-

tion. tiï, t41. Ses effets physio-

logiques. IfI, )49.– Ses relationsavec les diverses conditions mëteo-

roto~iqufs. m, t55. Du sang.

XVtt.M).

PAIN DE CLUTEPt. XIV, 425.

PAIN DE t'0!;nCHAU. III, 300.

PAIRES NERVEUSES HACm

BtE?fKES. Leur unité physiologi-

que. IV, 3), M. Elle est établie

par )es phénomènes de la sensibilité

récurrente. tV, 21, 98. Point de

communication do cette propriété,

de la racine postérieure à la racine

antérieure. IV, t<)0. Caractères

des deux racines. tV, t09. Leurs

relations avec le grand sympathi-

que. IV, 297, 3'!).-Modifications

que subissent leurs racines après

avoir été coupées. XI, 191, 388.

Expériences. XI, 389. Voy.n<!CtttM Det'oeMM <~M paires rit-

chidiennes.

'AJLAtS. Voy. Voile du palais.

'ALEOKTOLOGtE. VIII, <92.

'AGACEES universelles. VU!, 3M

XI,, 423.

évolutive renfermée dans t'o'uf.

XV!U, !.M. Voy. ~<p/y.r~ <<'M.!

~'O.C'M~.

OXYHEKE t)AKS LE SASS. V!,

3.3<).354;t!X,5~;XV,4-H.–Sa

dissolution dans divers sangs.

107. Sa ttotnbitito dans le sang,

influence des états de digestion et. j

d'abstinence. !H, t08. Son ab-

sorption par le sang qui a subi l'ac-

tion do t'oxyde de carbone, ttt,

)<!9. Emploi de l'oxyde do car-

bone pour le déplacer dans les gto-

butcs du sang. fH, <M; VI, ?5,

MC; !X, 50; X", 40?. Un scu!

lavage d'oxyde da carbone suffit

pour enlever tout l'oxygène.

t8<; VI, ~7). N'est pas enicva

par acide pyrogallique. 222.

Capacité d'absorption dans je

sang artériel. VI, 2M. Dans le

sang veineux. Vt, 282. Action du

système nerveux sur son abMr-

ption par le sang. VI, 284. In-

fluence de la digestion. VI, M~<.

tnnucncc do iétat d'hibernation.

VI, 285. Quo deviant-ii dans les

phénomènes capillaires intimes de

la rircutation. VI, 34). Absorbé

par ta sang après la section du

nerf sympathique au cou chez le

chcva). Vf. 356. Absorbé en

grande quMtM par te sang do )a j

veine-porte quoiqu'il soit rouge.

VI, 36). Absorbe par'le sang

roug'' de la veine renafe, après sec-

t'"n de la n]M))e ëpiniere. VI, 30.

!) est combine avec ie gtobuie

sanguin, cette combinaison est dé-

faite par l'oxyde do carbone. VI,

366; !X, )86. Sa Quantité dans

les sangs veineux, suivant l'état de

fonction ou do repos veine rénale,

veine porte. Vt,'3(n; Vtt, t5t.

L'oxyde do carbone le dégage

mieux que los autres gaz. VI, M'

38. V!t, 431. [)iMimu)6 dans te

sang. Vf, 374. En moindre quan-

tio dans )e sang veineux que dam t

le sang artériel mais cette quan- t

tito en moins no correspond pas f l'

la quantité exacte d'acide carbo-

Page 267: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES !)E CLAUDH !!Et~ARD. 2M

PANCREAS. XV, .M3. Son atro-

phieda)ts)odiaheto.i,42a.–Cri-

tifiueexpÉrimGQtate de ses fonc-

tions.)!. n0, MS;Vn, 35'! &M8.

–Rapprochefneatavec!esg!i)nde'}

sa)itaires.!),n0.–Historique.

Il, HO. Confusion du pancréas

ntdesg)andessa(ivaires.U,t'!4.

–État des coanaiMancea sur ses

fonction*) avant les recherches do

Ct.Bernard.U,)'Parquettes

circonstances CI. Bernard a été

ameBe&faircdMOxpëriences.

n9.–D8i'homme.U,18a.–Du

chien. H, t92. Son aspect dans

les divet'i'a" cooditiocs. )f, ]9(!.

–Du lapin. Il, 2'!).–Procède

qui consiste )e détruire sur ptacM.!),M4,2~9 293. Ses affections 8

chez t'homme. !f, 292. Du chat.

H, 3M. Son tissu et ses réactions

caractéristiques. 354~378.–

Considéré dans tascrioantmate.

U,4C2'Chez les oiseaux. Il,

4C5.–Du pigeon.466.–Chez

)osrepti)e!H,4'!4.–De!; pois-

sons. tt, <9, 487. Du turbot.

I!, M'Chez les invertébrés.

488. Physiologie comparée. Il,

490. Supplémentaire ou secon-

daire du b<zuf. t!I, 420 VII, 354.

358. Sa coagu)abt!it6 par !'e)ec-

trtctte, comparée à celle des salives.

VII, 252. A)humino. V!t, 342.

Discussion avec Ph. Berard. YI!,

38' Sa destruction par inflam-

mation chronique à ia suite de fis-

tule. V)!,M6. Influence du sys-

tème nerveux. XV, 588.–Expé-

riences sur des condamnés à mort.

XV, 51)2. Faits cliniques qui

~iennentar!tppui.X.V,;H)2.–Na-

ture de ses fonctions. XV, 594.

Cancer du pancréas. XV, 594.

fcmtett~ pancréatiques, Fis-

tules panc~a<H< Glande po;)-

créatique, Suc paMCr<'nf)~~e.

t'AKCRËATtNE. V!U, 329; IX, '!8;

XVII, 312.

FAKCREATtQUE (LtoumE). Tra-

vaux de Ëber)e. VU, 364. Expô-rienco de Magendie. XV, 43.

t'ANCttEATtpUK !SH('.BKTM.'< Vif.

3;2;tX.?8;XV)t,.)H. -KO.-cs.t

intermittente.)!,)').').–Conditions

quiinnupntsur(')Jf.)f,)8.–Kx-

p6'icn<-eft!cesujet.n,)M. -)n-

ftucufc de t'extirpation do t~ rate.

!t,2)'t[)nuctK'ede)'ether.tH.

4)9.–SfS[)orturhatior)x.V)),i.1.–

!nnuencH du système nerveux. V!

3~, 34< XV, M;. Expériences.

VU, 385. Sa composition. XVII,3)). Sa réaction atcaiinu. XVU.

3)2. Son action sur les matières

grasses. XV)t, 313. Son action

sur les féculents. XVtf,3t;). Son

action sur les substances azotées.

XVn, :})6. Ses propriétés. XV,

584. Expériences. XV, 585.

Propriété fondamentale. XV, 593.

(Sfc). Voy. Suc joa~n'~<<f/!<f.

(Tmu). H, 354 3'!8. Distingué

du sue pancréatique par le chlore.

Il, 24Ï. Ses propriétés. Il, J50.

Il so comporte, vis-vis des

matièros grasses, comme sou pro-

duit de Microtiou. ![, 350. Cette

propriété le caractérise, n, 351.

réactif fondé sur cetto circous-

tance et propre à faire rcconnaitre

le tissu pancréatique partout où il

existe. I!, 352, 368.–Se;} réac-

tions. H, 354. Voy. lléactions

du tissu pancréatique, So/Mttbn

a~uex~e du <!MM pf;ncr~n'M?.

PANCRËATtQUKS (CoNDUtTs). H,

181. Dispositions anatomiqueschez t'hommc. H, t82 XV, 5'!5.

Leurs orifices dans l'intestin.

II,)St.–Cheziochion.18'

Chez les oiseaux. H, ~89. On

place un tube sur un chien, tt, 190.

Sumuntéraires che.! io bœuf. Vn,

358. Sa régÉneratioo. XI, 65.

Situation de leurs orifices exter-

nes. XV, 5'!6. La bindito de i'ap-

pareil excréteur est uu vestige de

l'état fcBtat. XV, 5'!8. Disposi-

tions anatomiques de ces parties

dans les différentes espèces ani-

males. XV, 578. Différents pro-

cédés opératoires. XV, a'!8. Ef-

fets de la ligature, chez les animaux

Page 268: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAULE A).t't!ABËT!QL'E ET ANAL\TtQUE2n44

exftusiv<'m''ntnournsd<'su))st!~)-

ces~ra'-sps.XV, ,')!)'t.–Lf'urs

connexions avec t'appareitbUiair~.

XV.9C.

t'AKHOht~A MOKUM XVI, 380.

t'A~t.')!M.)['A~SK.XV)!M.

)'A)'AVE!U~E Ses effets, expé-riences. X)),ts'

t'At'tLLK DE L AMKMS. Comp~-

tt'n)f')Hd6ve)oppee.X\)!,<!i).

KKHVEUSK. X, 3!M!.

t'AnAC';t.SE.XV)[,4n.

t'AHA<;LOm!H~E. X:f,4t'<2~.

t'AMA(.t.YCt)St:. X)V, 446.

t'ARALKCtTH):. XV), ~M.

t'AKALYS<Htec(tn()aiM,co)ls<'cuti')-('

à)'at'tiot]duch.')['bof)ctd(!)'ox\(~;

de cat-bonc.U),M!Ses di-

verses sources et sesdiH'pMnts

mé('anistne!t.tV,0'2.–Ëtatd<

nerfs,X),23').

nH LA C)KQU)ÈMt! t'AttHE Avpf

c~nsery[ttio))dR)as('t)sibi)itcdoIa

cornée. Y,8!).

HE t.A COKnf! Dt! TYMPAN. A)

t~rationdugoùt.V,t~).

-DUFACtAL.V,0,n:Seset'-

fetssur ['a;i).V, M.–Sescnctssur

)enez.V,3(!SesetTets(iUrie.s

joues et les livres. V, ~8.–Ses

cn'ets sur t'orf'iUe. V, ;!9. Obser-vations rncueiUics chez t'immme.

V, tH. Be sa portion intpruc

et de sa portion externe. V, t5 A

t3!). Atteration du j~oùt. V, !20.

Superf)cieUe et profonde. V. )29.

HKS HBRES COKTKACTtLES

des vaisseaux, cttcuesufntpM pour

expJiquer)eurdi)atation.Xt,35?.

UU~RASfD SYMt'AT)))QUH V,M)9. Par te curare. !M, .'t4!).;Ot9. Pac le curare. III, 34(1.

Son intluencc sur tes sécrétions parson action sur ia circutation. Vif.3'). )!He augmente t'activito des

phénomènes chimiques. X, 4)0.

DE L'iRtS. V, 909.

nES JOUES ET DES LEVRES

Etïets sur la mastication et. la pré-hension des atimonts. V, 38.

LOCALE. Au moyen do tasions

corcbratos. XVtU, 3U3.

PARALYSA DES MEMBRES pos-

térieurs. par la section de )amoette

('j)iniere.VH,2.

DU MOUVEMENT. FX, 23.

MUSCULAtRË !H, 352, ?0, 37)

1V, 205.

DESKAH)KES. Chez les chevaux.

V, 36.

NERVEUSE iït, 352, MO, 37);n',205. U'uno partie des centres

nerveux, inftncncH sm' la colora-

tion du sang. \'t, ï6(;. Surve-

nant dans les deu~ ordres dH

nerfs. tX, )<). Des nerfs calori-

fiques considères commn refrena-

tcurs des combustions. X[!f, 44;i.

HE LA t'AUt'tKRH superieuro. V,~4.

DU t'HOTOPLASMA. XVtf, 227.

DU St;KT)M);NT. )X, 23.

DE LA S):PTtEMK t'AtKK V, m

DE LA TKOtStÈME PAtKE

?():

DKS SPtKAUX. V. M~.

DES VAGUES. V, ao'

DES VAtSSEAUX. Hypothèse quilui attribue les phénomènes du di.)-

bète et du ptyalisme. XI, 9(!7.

Progressive. XtU, 3(M.

DES VASO MOTEUttS. XIII, 'i~O.

DH LA VESStE. Par section de la

moettu. v). 9CO; vn, nx.t'AHAMKCtES. IX, )02, 213; X,

tï6.

t'ARAMECtUM BUMSAtUA. XVI,au.

t'ARAt'EPTOKH. XVH, 301, :i5S.

t'At<APLEG!QU).;S. Phénomènes

qu'ils prosentent. XI, 202.

t'AKAStTAtKES (MALAtuES). Condi-

tions de développement. XI, :).

t'AMAVtfELUFfE. X\n, 534.

PAROIS MTESTfNALES (RÈAC-TMXS nEs). XVII, 2M.

PAROLE. XVIII, 420.

t'AHOT)DE (C[.M<M:). Voy. (;/a~f/?

yM<'o~M<N<'t'M<o~K)' </c /apat'o-<t<

PAROTtDtEN(CANAL ou CoKDmT).Chcx le cheval. XV, a05.

Chez le chien. XV, 507. Com-

ment on y introduit des tubes

Page 269: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES (EUVUES )tE CHUOE HHR~fARO. 'M:i

chez le chienet tscheva).XV,)0~).MM!. Pmpt'iRtf' ()< saiives

ainsi obtenues. XV, M):).–Ei)<

dift'crpntatf'c les diverses es-

paces et nttf'tqucf'ois chez divers

individus de la mt'me espèce.

XV,)()'T.- Explication de cette

contr:tdiction apparente. XV, 50M.

t'AROTtDtKKKE (FtSTCLE. Voy.~M/M/cp<:)'0<'0'iM?!<

!SAt.r\'E). \oy. Sf~tt'cpnro~-~~pM?~.

–(SËCHHTM.'<).V)!,M.XV,)08.

tnnm'Ut-0 du système nerveux.

fI,6f;:XV,)T.–K!)epcr-!i',tf.

malgré la section de la corde du

tympan. V,)M.Rn(! n'est pas

sous la dépendance du nerf fa-

cn!.V,).'<t.–Supprin](''cpar)adestruction du nert'deWrisher~,

eUa peut s'effectuât', toMqoe )c

f;an[;)ionspheno-pa)atia quirc.

coittograndnerfpctt'eu~acMseul détruit. V,)57.–Souca-

Mct<t-c intermittent. XV, &08.–

Di(i'érentesmanièresdo!'('\('iter.

XV, M8. Iufluence de la

t* paire. XV.M).

PARTttjÉ~OGE~ESE. JX, 9)3.

PARTtCULES <P!TtMES df- tor

ganismc.VHt.tOS.

t'AKTtËS On&AIStSKHS et parties

organiques. XVU, tH. –Voy..t6~lion < )Mt'<M.

StM!LAtRES et parties dissi-

mUairc'i des êtres vivants, X,99.

i*ASStOKS, les fairo taire. XVU!.

M5.

PASTEtJK.Acides tartrifjues droitet gauche. )X, S.'). Générations

spontanées. iX,!()i.–Théorie

organique. XVI, 160. Putréfac-

tion. XV), tTt. l,

PAT«ETtQt't: (?<E)!f). V, 20), 22).

Chez t'homme. V, 202. Chez

te lapin. V, M2.

PATHOLOfUt. ses liens avec la

physiologie.t,3S;Xi,i3,3~),

3M,M7;XfV,v,3M,M5.475.Elle a, avec la physiologie,

une méthode commune d'inves-

tigatinn. Xf. 3:tf!. j.;)),. a

pour objet i!t('nun:tissa!edes

n)a):)di('sftdes<'f)ndi<ionsquiies

de(erm[ne))t.X).i"8.–Les lois

de ta vie sont tes mêmes :t)'etat

pathotoRiquequftt'etatphysioto-

g'que.X),.i68.–Yoy.)~oM~.

~M</iO/0~<<N!;pn~t(,~)y;

Kfper:H!e;<!f;Ot! pa~tO/e,

/m~/M/o~tc~)f;<oytyMf,)t;M<i-

'(/<'npa~;o'f.f/te~p/,e,j,

pf~/t0~t~M<P/)t/<!<oy:o_

/o'?H<Rfnc<t~tj.a</tO/09!<e.s',

S~m/j<dmf.!jna</to<t'<tM,7it's«.<

pa~/M~t~~M, ~p~t.o'io/M pa~t«-

/0~t~MM.

t'tTttOLOCtE CELH!t.AtRE. XI

.M.

CI:Itr üita(.I:. ~4til, 4p0.-CEHt:nKAL).XV[n.4<)0.

Ctnn'AREE. L m.

i;XPÉK)ME~T\t,); Xt, ), )~,iiï. 0))jct <h) cnm-s. X). :).

Pr<);<rammH<!))fou!f, (2!<, ).')8.

Son but. Xf. :)n. Ëno est

itm'parahte <)!' la p))\'s;o)ogie expc-rimcutafe dafis so') .-naucement

sciet~titiqup. X[. ;)T). Voy. gj~;fi-rtm('M/0;t ;.H</(n/ ~;«.

tiK~'EHAt~ p)'ob)).!iues qu'elte se

pose. XV, 28'.).

MtCROSCOt'tQfH. VM!, t')7.

VASCULAtttE en ['apport avec to

graud sympathique. X). [Ot.

t'ATUOt.OGtQCES ;{'H<.RetTs) qu'ilest impossible d'imiter artHiciot-

temcnt. Le phy-iioiogiste y par-

Yieudra-t-H"Xf,)(!.

t'.tTtK (Cni., professt'ur do méde-

cine au Cotfcgc d.' France. XiV.

)'

t'ATTË GALVAKOSCOPtQCE. X,

287. De ta gf'unottitfo, <cita-

t.Hionm(;taHiqm'dunerf.IV,3U4.

t'AUPtEHE. tnnuencc qu'e~recsur ses mouvemems ta fiMtion

du uprf faeiat et du grand sym-

pathique. V, !!2. –Supérieure, sa

paralysie. V, ar't. Xictitante ou

troisième paupière, ses mouve-

ments. V. ï)!.).

t'AVY. Théorie du diabète. XtV,

450.

Page 270: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAULE ALPHABÉTiQUE ET ANALYTIQUEMC

résultat de la fonction de l'organe

qui l'exprime. XVIII, 3').

t'KPSt\H.)!,3m;!X,77; XV!.

)C3 XVit, 268. 2i)t, 394. 355, 497.

Sa dia'usio! XVI), 358.

''Et'TO~E.Vi, 458. Ses caractè-

res distinctifs. XVII, 296, 29!).

Gastrique. XV)!, 357.

PEPTO~tSATiON XVII, 307.

PERCE t'LEVKE de Magondie. XV,

l!)t.M7.

PEKCEPTtUN CÉRÉIIRALE, XI,

206; XVI, 285. Elle nous révèle

l'existence des impressions pro-

duites sur les nerfs, et ne doit pas

f'tre confondus avec elles. XI, 206.

Exp. XI, 206.t'EKFKCTtOK ORHANtQCH d'un

être, elle est proportionnelle à la

différentiation ptu!; ou moins

grande des parties. X, 100.

PERFËCTtOifKEMENT ORGANI-

pt'E. Son principe resida dans la

différenciation des éléments. IX,

nG. Loi do perfectionnement.

XVI, 358.

t)E L'ORCANtSMË. Chez les

animaux vie constante, il con-

siste a maintenir dans le milieu

intérieur les conditions intrin-

sèques et extrinsèques, néces-

saires à la vie des éléments. XVI,

U2.PÉRICARDITE parabtation des gan

gUons sympathiques. tV, i83.–Par

influence du sympathique. V, 536.

t'ÉRtMVStUM. X, 168.

PERtNÈvnE. IV, 120.

t'ERtOUEUYOHEi'OQUE Voy. Ovo-

y<)t'f;Me.t'ERtOSTE. Sa transplantation. IX,

124. Son rôle dans la formation

des os. XVIII, 432.

t'ERtSTALTtQUES (MOUVEMENTS).

Voy. ~OMt)eHt<'n<

t'ËKOXVKE t)E FER. Injection

dans les veines. IX, )85.

t'EBmOOUET. Sa lactation. VII, 237.

PEKSPtBATtOK insensible. Y!)78. Ses variations. VU, 178.

Ses rapports avec la perspira-

tion pulmonaire. VII, t79.

PEAU. Le froid sur la peau arrête

la formation du sucre et diminue

I!Pla rt)';piratiou.t88.)98.–Re-

couverte ed'u!tYcrnisinipe)'mGab)o

à i'air; l'animal meurt avec refroi-

dissement et avec le sang rouge

dans le rein, le sucrej disparait dans

ta foie, et ta matière glycogène

reste. 1, t98; VI, 227; VU, 181.

Injection d'acide carbonique. III,

136. –!nf)uence de sa sensibilité

sur la seasH)iht6 des parties cor-

respondantes. tV, 251, 2M. La

sensibilité détruite renalt par une

ptqure chez les hystÉriques.tV,

253. Elle consti! uae sur-

face respiratoire active chez cer-

tains animaux. IX, 69. Sen-

sibilité des nerfs. XI, 355. Kous

ignorons ses fonctions, nous ne

pouvons donc pas exptiquer ses

maladies. XI, 429. Résultats

dinerenta de l'application do la

chaleur extérieure sur la surface

cutauee. XUt, 3H. Cellules gly-

cogènes. XIV, 49~. Glycogène.

XVII, 'i2. Introduction du cu-

rare. XVIII, 25t. Voy. Cellules

g~/co~ctte' Ct<<aM<* (Système)

~s de la peau.

DES GHENOUtLLES Elle ab

sorbe le curare dans de certaines

conditions. III, 292.

DES MAmMtt-'ÈRES et des oi-

seaux, elle n'absorbe pas le curare.

UI, 292.

PECQUET. Découverte du canal

tho'-acMue. XU. 8 XtV. 2G5 XV.

299, 3M.

PEUOKCULES CEREBEt.LKUX

Leurs lésions produisent des ntou-

vements de manège et de rotation

en rayon de roue. IV, 486; XV,

45;X\'ttL395.

t'EHRAN. Propt'Mtes physiologo-

toxicologiques du curare. III, 471.I.

–Curariue.U),473.

PMNtCtLmjM GLAUCUM. Ne se

forme qu'avec le contact de l'air.

Vf, 489.

PENSÉE. Son mécanisme est in-

connu. XVIII, 371. Elle est le

Page 271: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

f)ËSŒL'Vf!Sn)';Cf.ACt)E))!)).\AfU). 2:i7

C),Amt;Hi:H'<A)<[). )'

t'KKTt':)H';)'OU)S<)<instaHevrf.

XUi,

t'MRTES))ESAX(. modifiant tes

r<istitt!Hsdesexpcri'!ncesdesen-

si):)i)it(''récurrcnto.!V,58.

t't;RVEHS)uKde!ag)ycogGnie.i,

l,.83.–De ).t nutrition. e))es sont

t'ori~iae de tou'< [es tissus patho-

to~ifjUcs.XL)'!I.t'):T)Tt');rK);UX (XEKF). Voy.

A'e)'f<t~~f'J'.

t'fH~iHM. Le cyanogène est (nri-

gined('tam:ttiert'Yh'aute.X\').'23?.

t'HAm'GtK~t.Ft.noE,)4~.

t'nAUVNX.V, 3'~i.Yoy..MMC/<'i;

~M~

i't!EX!J!(Ac!!)E!.Pou!'t-ctan.t''r

ta(test)'u<'tiot)<.htsur)'edans)o

sa[)j~.X!V,2()!'t.–Oansto traite-

ment ()udiahcte.X!V,-}C(!.

ft)EXCMÈ~<ËS. Conditious o)'g:mi-

ques ouphyaioto~iquc-tquten

Mgtentht.succession, le concert,

)'harnK)t]ie.Vf,!<);XVt.ai.t.–

!iy :i un déterminisme abaotu

dat~stcurs conditions d'existence.

Vi)t,t)5,t5);X[,M)!),5)t;X\'),

5?!. tfs doivent, être ramenés &

d';s conditions expérimentales de-

tinies, aussi simptes que pos'-ibte

pourarriver au deter<ninism' \'nt,

)2Ï.–Moyeu!) de les produire.

YHt,]i3. Leurs causes. \'H[,)

ti3; XL'!88.–Détermines ou~

indéterminés. Y)f[,2t0.– Le!

determinisme<'ncst)acausop!'o-

chainf! ou déterminante. VffL!

383. Manifestes, mais non an-

gendres par la matière.IX,tiO;!

\vn, :!H!): XYtH, ):!3. Leurs!

forces directrices et évolutives~

sont morphoioginuerncnt vitâif";

daus tes corps vivants, tours

forces executives sont les mêmes

que dans tas corps bruts. iX,

223. Condition de leur mani-

festation. X, 5 XVti, 400.

Il fautdecouvriricurs lois avant

de prétendre les manier. XI, 4<)(!, I>

49-}, &tt. Les connaitro, les

prévoir, et agir sur eux, tels sont

les buts des sciences. Xf, 4.')8.

))s sont exptiqncs par t'etude des

propr~'t. dota matière. Xt,iS8.

i.eur anajyse expérimentale.

X)..i9:f.'expe)'imentationtait

r.t)onter~)eurc;iuse.X!.57t.–

L:'nrm:.tt')'i.')!m').').–(con-

ditions physico.chimif~ues déter-

minées,extérieures.qui on restent

l'apparition. XV). G?,<!G,3i.').–

Leur nature. X\f),}()0.–Leur

distinction avecjes propriétés.

XV[f,}f!j.–t.ephysi'))<s;i'tc~u

detKrmiue les conditions c)cm<'n-

tairc<V)H,0. -L'experimcn-

tatcut'asitsurcux.otnctt'scrce

pas.XVn{,7~.Vo\Ca!<.tMf/<'s

~)/t~HOMtCMt'S, .St)/tf/<;t';j'f/f'i~)/tf-

~M.

t'ttK~OMH\HS A~ALYDQt'ES

~oy. ~A~tiuHtf~f' /i)t!c~'o?Mi('<.

–t!.<CL<)<;)Qt't';S.~cprochps adres-

ses aux médecins.et inatfnndes. a

regard dateur i~noraucc des c.m-

sc~d~'cfs phénomènes. Xï,~)'t.

<:AnAVK)H<~)'KS opposés aux

pbcnotf~'nHS organiques ou vitaux.

Xt\M.

CALO)urt<.)UK.S. Voy. C<</?'Y;-

/OH,Cc;/(~'f/i~u<'< (phénomène')).

CATALYTtQt'HS. Voy. C'a/a-

~/<<e.<.

–CHtMtQUnS co)!ipa)-L's aux phé-nomènes vitaux,tX, 8).–fttvitro

compares aux phénomènes chimi-

ques dans )~ corps vivant. XV),

225.

–CtttMtQUES OK L'On&AKtSMK

t, 2H tX, 3. M. fh sont indé-

pendants de la vie. ils ne t'engen-

drent pas. \f. ii)(). tn~uencf;

du systemt' nerveux. X, KM.

Le système nerveux n'agit pas di-

rectomcntsur eux, il agit sur eux

part'intermediaire du système

vasculaire. X, !0i), 4t9. Leur

activité augmentée par)apara-

tysie du grat~d sympathique. X.

4)0. C'est ie secret (inat de tou-

tes tes actions toxiques. X[ff, ~88.

Leur prétendue duaiito chez

iesanimauxct tes végétaux.X)V,

)G< U") doivent être étudies

Page 272: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLH ALFUABÉTtQUE ET ANALYTIQUE258

PHEKOMHXt.S ÏUSTOLOGtQUESou [H; HKVKLOFPKMiEKT XI, 4G.

MECANtQUËS DE LORGA

NISME, ils doivent être étudiés di-

rectement par l'expérimentation

et non déduits par analogie des

faits semblables empruntés à la

mécanique pure. XV, 3(H.

MORBtnKS. Voy..Mor&tdM (Phé-

nomènes).

DIs' t~A KATURE, la vie en est

une modatitc. !X, tM. La

science expérimentale s'en rend

maîtresse. XI, 4HO.

NEUVEUX. Voy. N~r!)eM-c.

NUTHtTtFS. Voy. ~<)~<

OBGAN!QUES. Voy. Mt'~omf'-

nes t):~M.r.

D'OKGAKtSATtOK propres aux

êtres vivants, l'anatomie est insufO-

santo poM- en donner i'idée. tX, 137.

ME L'OKGANtMtt. Voy. F/<e-

nomènes c/M~t~Me~, Phénomènes

M~MM!M<'t', 7~f.'K~M~:M vitaux.

ORGANOTKOfHtQUËS Voy.

0)'~a;!o<ro~~t~u<?!.

PATMOLOGt~UES, ils sont une

déviation de t'CMt normal. XI,

444. 11 n'y a pas de séparationréelle entre eux et les phénomè-nes physiologiques. XII, 2. On

aboutit toujours comme terme

d'analyse à un agent d'ordre pu-

rement physique. X!U, v.

PHYStCO~MtMtQUES, à leur

existence sont liées les manifesta-

tions des propriétés des corps vi-

Yants. VUt, 104. ii n'y a pas

d'antagonisme entre eux et les

phonomenes vitaux. VIII, 135.

Leur harmonie parfaite et néces-

saire avec les phénomènes de la

vie. IX, t33 X, 122. Ils sont

les mêmes dans les corps bruts et

dans les corps vivants, quant aux

lois qui les régissent et quant à

leurs produits, ils ne différent que

par les procédés et les appareils à

l'aide desquels ils M manifestent.

IX, 222. Les phénomènes vitaux

ne leur sont pas réductibles. X,

114. Ils servent de conditions

par l'expérimentation. XV, 301.!r

ifs ne sont pas ou antagonisme

avec les manifestations vitales i

y a un accord intime, un parât-!

lélisme parfait. XVI, 48 XVfJt,!

Leur diminution pendant

la vie engourdie. XVI, 108.

Comparés aux phénomènes chimi-'

ques in vitro. XVI, 22fi. De des-

truction, ils sont distingues par les

)U)esth6sif)Ucs des phénomènes!

vitaux d'organisation. XVI, Ï72.

t'ttEKOMHKES CtKCULATOtRES

Voy. Circulatoires.

DES CORPS VtVAKTS ET DESCORPS BRUTS XVfR, 65.– Dans

leur étude, le but de t'experimen-

t:ttioncst)ememe.ViU,tt2.–

Ils ont toujours une double condi-

tion d'existence. YJtt, t27.

i~aUmitMde nos connaissances

est la même. VIII, UH.–Hs

sont tous deux soumis au dëtcr-

minismo.fX,2!4.

DE MÉV):L(H'PKMENT. Voy.

/A''?tOMM!<<AtX<<)~0~'<yMM.

DtGESTtFS. Voy. D:yM<t/t.

EmCTtUQUES. Voy. B/ec~'t-

ques.

ËLKMENTAtRES. XYt, 371.

DES ÊTRES VtVAKtS, leur

complexité. X, f) XV, 5,32. Cette

complexité explique pourquoi tes

sciences biologiquos se sont déve-

toppeMptufi tard que les sciences

physico-chimiques. X, 5. Ils

résultent, it l'état do santé comme

à l'état de maiadio, des propriétés

de la matière vivante. XI, tM.

Leur manifestation est nécessaire-

ment liée & une destruction orga-

nique. XYU), 189.

FONCTtONKELS ou ANALYTI-

QUES de l'organisme. XV, v, xv

XVII, tx, 22, 47i), 485 XVIII, t95.

Leur localisation. XV, v.-Leur

explication. XV, v, xm, 84. Expé-

rimentation pathologique et théra-

peutique ou toxicologique, XV, v).Leurs agents chimiques. XVII,

48' Le système nerveux y pré-

side. XVII, 516.

Page 273: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES t)E CLAUDE BEitKAnD. 2:)

aux phénomènes vitaux. X, 117. t

M)e do t'oxygène. XV! f2.

t'HEKOMEKt:S t'HVStOLOC!

QUES, leur complexité, difncuttes

attachées à leur étude, I. 2;).

Dans les organismes supérieurs.

ils se passent dans des milieux or-

ganiques intérieurs perfectionnes

et doués de propriétés physico-

chimiques constantes. VIII, 107.

Réduction au kilo d'anima). VIII,

M' Leurs rapports avec les

phénomènes physiques. XI, ta'

Il n'y a pas de séparation réelle

entre eux et les phénomènes pa-

thologiques. XH. 2. On aboutit

toujours, comme terme d'analyse,

à un agent d'ordre purement phy-

sique. XH!, v. Rôle de l'oxy-

gène. XVIII, t22.

t'MïStQtJES,teurs rapports avec

les phénomènes physiologiques.

XI, i;)7. –Leu)' accord intime avec

les phénomènes vitaux. XVI, 48.

PLASTIQUES. Voy. ~astt~M&s-.

PHOTOPLASMtQUKS Voy. Pro-

<Op~'ÏMi'~U<;S.

RESPtKATOtMES. Voy. /<M/~)-a-fOtrcs.t)E SEKSATtOX. Voy. Sensation.

SYNTHETIQUES. XV, xv.

DE LA VIE. XVI, 125.

Influence de la pression at-

mosphérique. VIII, 209. In-

fluence de la digestion. VIII,

213. Application do la mé-

thode expérimentale. VIII, Mo.

Regardés comme impénétra-

bles. IX, 3. Leur harmonie

parfaite et nécessaire avec les

phénomènes physico-chimiques.

X, 133. La physiologie géné-

rale a pour objet la recherche de

leurs conditions élémentaires et

pour but l'action sur leur appari-

tion. IX, 230 X, 8; XVI, 377.

Leur division et c)Msincatios. X,

97 XVI, t25. Classification en

prenant l'homme pour point de dé-

part.X, 103. Classifications phy-

siologiques. X, 111. -Le système

nerveux sert à leur manifestation

~)'ëtatnormat.XI,(2.–t!sst)ut

indissolublement reliés )osuns

aux autres et doiventêtre étudies

par les mêmes procédés dans tous

les cas. XI, 131. La physiologie

expérimentale doit s'en rendre

maîtresse. XI, 469. L'expéri-

mentation sur ces phénomènes est

la plus difficile et la plus com-

plexe. XI, 4i6. Pouvons-nous

tes modifier? XI, 490. Leur ex-

plication se trouve dans les élé-

ments organiques. XI, 493, 507.

Ils s'accomplissent dans les élé-

ments. XI, 532. La chaleur est

une condition essentielle a leur

manifestation. XHL, \'t. La mé-

decine est une science qui apprend

& les connaître, dans l'état de santé

et de maladie, et étudie les modifi-

cations qu'ils subissent de la part

de divers agents. XV, 22. Leur

localisation. XV, 83. -Leur clas-

sification en phénomènes physi-

ques, chimiques et physiologiques

proprement dits. XV, 286. Le

déterminisme permettra de tes

maîtriser. XVI, 55. Deux grands

groupes, destruction et création

organiques. XVI, 125. Cette di-

vision caractérise la physiologie

génératoetembrassedanssagé-

néralité toutes les manifestations

vitales. XVI, 126. Leurs mani-

festations sont régies par la phy-

siologie.XVIII, 100.

PHÉNOMÈNES VITAUX ou ORGA-

NtQUES. VIII, 325; XVi, 29-

368 XVIII, 45, t95. Parallélisme

avec les phénomènes physico-chi-

miques. VIII, t35 IX, 81. Il

n'y a pas d'antagonisme entre eux

et les phénomènes physico-chimi-

ques, mais bien accord intime. VIII,135; XVL 48. –Modifiés par la

taille. VIII, 213. Le physiologiste

ne peut agir sur eux que par l'in-

termédiaire de conditions physico-

chimiques déterminées. IX, 134.

Ils sont soumis aux lois de la

physico-chimie, et réalisés à l'aide

de procédés vitaux. IX, f36.

Page 274: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TA!)mALP))AHÉTiQt.'f'{TANA:rtOL'H2<:0

Lnurcvoiution.fX, ).?-)'

httifs,te système n''rvcmests:n)s

in<!ucnce.X, ~t. Ils sant

t'cxpt'os'iion des mécanisme!! et

des propriétés de )'t matière or-

paaisce créée par la force vitale.

et n'existant pas en dehors d<-

l'organisme. IX, 224. L'air en

est une condition.X,4).–)!s ));'

sontpasrcductibtcsauxphpnotuc-

nes physico-chimiques. X, 114.

Ils ont pour conditions tesphcno-

m~Hesphysico-chitniques.X.tn;

XVn, 460. Leur nMt)if)'st!)tinn

est etroitemeut )iÉe & co)]() des ph<

HomÈnes physico-chimiques. X,

)T2. Opposes oux phénomènes

cadavériques. X)V, 350. !ts ren-

trcat dans t'ordre des ~ctes

physico-chimiques. XV, M, 8C.

-obeissent~(t<oi'XV,5L

))s sont les manifestations des

propriétés des tissus. XV, '!0.

U'orginisMton, i)fi font dittin-

gués par les anestht~iquM des

ph~aomtucs chimiques de des-

truction. XVI, 9' Deux types

t" phénomènes t'om-tionnots ou do

destruction organique, 2" phéno-

mènes plastiques, ou nutritifs, ou

de fynthJiso organique. XY'tt, H,

'!2, 4':< 4':9. HA)e de t'~zott'.

XVII, 11. Hûtada l'acide car-

honique. XVII, H. Ils consti-

tuent les deux phases du travail

vital chfz tous !f's êtres vivants.

XH). 99. Ils dérivent dM lois

générales de la mocaniqua et de

la physico-chimie. XVIII, ))3.–

L..urunitë.XVm,X;!<

t'HJÉ~OMMNOLOGtE VtTALK, doit

ôtre separéo de ta mot-pttofogiovitale. XVI, 842.

PMtt-OSOPHES, comment ils con-

çoivent la sensibiUto. XV), 289.

I'M<MSOfMtK, son rôle dans les

sciences. VIII, S8' Ëttc a en-

fanté les systèmes ou la MoiaMi-

que. XVIII, '!9. Voy. DoM~ p/

/0.!0~!?M< Ji! ~/<)~~0/'A!?Me,

Sj/ft~te! philosophiques.

–DELAKATtJME.Xt,48).

t!tL«SOPntt: SCtKXTtHQt K ï,

')!t3),2r)!ThcoricctfMts. 1.

9. 29). Prëcieinn i))usoire de);)

phytoto~ioetdMtonditiotMpu-

!'fmeutphy'!i<ju'),!?9.Ca-

ractères htes et inconstants, im-

portance <!a)a)))'distinction <)a;)t

tag)yeog6nif!.Vn,)n,f22.–Ses

moyoa.t.VJt.tCt).–<)oap0))t-

prineipe )e déterminisme. XVt,

:)'?. Voy. C<<)'/Mt'f:<'M<??Ut',

/)~f<'rMt'n!n!c, E.]';);t'fHfH<a~u)!,

,M<'7/<0~i'r/'i'tH!'?!<

!'ttt..Httt't't!. ob)it(''raUon de la

voincporte.VILtiM.

t'ttLEUMAStKS M'tificie))es. X!,

1.

324.

~'ASŒS artifieielles. Xi,

t'HOSt'ttATH tcrrouxdanif la sative.

)t,t33.–Hc'iOt'Y('phosph:tti()u<'

che.ttas fœtus de*) ruminants,des

jumentésct des porcins. XV)f,

5~.

t'ttOSPHORE dans )'nrg~nism' tU,

~Ï. Son action démontra )':tffi-

ni:66)ective.X), Ëtimim'

par )f poumon.Xt, 78.

''«OSt'MOtUQUË (AOBt;). XVH,

)9.

)'HOKAT<CN. V, 3t).

t'HOTOt'OOBtn V, M. Son

sif'ge. V, 90.

t'nnEKtQUE (~Kf). Voy..Y~

p/t~nt'~Mf.t'HREN~LOGtt!. XVUr, <!9.– Voy.

~.OM/M<t<'t'')K.tp/f)'<'no~M<'ï.

t'HTmStQUES, gr.mdo qutmtttc

d'acide nriquo.Vt!, l.

t'MTMtSURtEsucr<io.)'4;XfV,

60.

t'HYStCt)' compare au phy'.ioio-

gi!tt(-.XVnf,68.t'HVS)CO-CtHM<QUE (VtTAt.MMb'

Voy. ~~HfMe p/;f/.):\oc/<!Mt<-

~MC.

P)tYS!CO CtUMtQUES (PHÉKO~-

NBS). Voy. /OM~'M< /~A~0-

C~tMt'~MM.

(SctEfCES). Voy. &<'7!<'M/iy.t!CO-

C/ttMtt~UM.

t'UYStOLOGfK. Appticotions des

sciences phyMCO-ehimiques. f, X?

XV, 60. Sas applications & la

Page 275: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DF.S(EUVtŒSr'Ërj.UDKBH!A)i[). Mf i

t('nc)'df')'t*re\iyant.tX.M.-

indcpend.'mtf; des sciences na-

ture)!e<.t\,2:i4.–K!tecstfa

science <)csphcn')mt'ncsdf! ).'t1;1

vie.X,-t:XV,:i, )9:XV!

i'2.–Snnutiiite.aupointde

vuedumdecin.\t.9.–Ses.

rapports avec la clinique. XI, 10.

–)<; a, avec la pathologie, une

méthode communed'investi:;ation.

Xt,3')(!E))eest~founai-<-

s.inccdesmaniff'stattonsttetavie

& l'état normai. Xl, 401.–De

toutes les sciences,eUe est celle

qui est le plus immédiatement ap-

p)icah)o&);t médecine.X!, 428.

–S[)nf;nseiKn'*ntenteuAUema-

H[)e,ent<u.ssi(',0))Hoi!ande.X!.

.4- M!); XVf,0;XV!tf,)t6.–

Ont'aappetooie roman de la

médecine.X),4'!t; XV,)).–Kc

diffère pas des autres sciences par

ses principes, ni parsa méthode

d'investigation. X), M'i.– Sa ptace

dans les sciences. XI, M.'). Son

autonomie. XI, 538 XV), 4.–

Son enseignement eu France.Xf,

M9; XVIII, t'tf;. Elle a ses

exigences indispensahles. XI,

.')i9. Si elle n'est pas constituée,

ta médecine expérimentate ne

peut pas être fondée. Xt, .'<G' Sou

importance. XH!, i. L'tittto des

expériences. XtU,&(!. Elle com-

prendt'otudcdet'ot'ganismedans

ses états normaux et anormaux.

XtV. 5; XV, iC. Ses rapports

avec la mefiecine. X(V, 39, 5!

XV. Son histoire présente

trois périodes. XtV, 4(i. Ses

progrès.XV, 14. Son caractère

scientifique. XV, 20. Son ovo-

)utiou.XV),5.–Définition de

son domaine. XVI, ti. Initiation

e!) France. XVf, Influence

deLavoisier.XV!L'experi-

mentationestiaseuie méthode a

employer. XVf, n. Le détermi-

nismeestabsotu..XVt,;)!).–Ses

rapports avec la morphologie. XVt,

335. Sa division. XV!, 3i9.

Elle comme toutes les sciences

médecine. ),'M.– Son union

nécessaire avec la pathoiogie:

Les lois de h vie sont tes mêmes

ftt'étatphvsio)f)piquequh.r('!tat

patho)0!:ifjue.),3t;X),t3,3'~).

:).;<M'M!8;XV!.v.3.')9,4<).').

4'?5.– Sa précision illusoire. l,

)~intervention et inûuence

do la chimie. t,3'!4; XV,:t0().-

Ses applications à la pathologie

du diabète. t, 4n.–K))H a pour

objet d'étudier les ph<nonHint's

des êtres vivants, deconualtrt-

les lois des phénomènes de ia via,

do déterminer les condition', ma-

terieUes dateur manifestation et

d'agir sur !'appahtion do nesphe-

oomènea.Vm. H3;XV). ~n;

XVHf.tOO.–Ses rapports .tv-'c

i'~n:ttomie;cUcdoit.Èt.r<; séparée

dt't'anatomin: comparaison avec

)'.inaK)mic.VH). t8:)X, ''M:

XiV,53;XV, 2M; XV),4,&;

XVttt.HM.–HUenepeut~tr''

expliquée directement ni com-

plètement par l'anatomie; e)it'

n'en est pas la déduction. Viff,

)S(i;XVti),)05,)07.-Fausse ap-

plication à la médecine. VIII, 34:

–Htiacsttabasescienttnnuode

ia médecine active. Vm, 346 XI.

3t(i,.468.–tnûucnce française.

tX.t.– Elle n'est pas une

science naturelle, mais une

science expérimentate eHo doit

agir sur les phénomènes de la vie.

.lJX.t:)2,9H);XV!.6,3~;XV)H,

t0t. Elle ne doit chercher ses, llt,

ba.sesnidanst'hypothesedesvi-

talistes, ni dans tes vues exclusi-

ves des physico-mécaniciens.

mais seulement dans la structure

organique des êtres vivants. IX.

t3' Obstacles matériels et

scientifiques qu'elle rencontre.

)X,)'iO.–Eito n'est pas dudo-

maine des naturalistes. tX, m.

Son vrai point de vuu est 1

point de vue nutritioniste ou tro-

phique, qui n'est tui-meme que

l'évolution organique envisagée

dans toutes les phases de l'exis-

Page 276: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAKL)'; AU'HABËTtQUH ET ANALYTIQUE262

expérimentales, pour principe, io

ddterminisnfp. XV), S78. E))a

viso)'actioa.XVn,39.A)'e-.

poquedeiaKHnai-iMoee.XVtf,)~3C. –Cou.'iidërée parCuvie;comme une science d'observation!et de déduction anatomique.!

XV)H,3t),)M.–Sonrû)ocon-!

fjuërant et dominateur. XV!tt,))0.–EUe doit servir de h~sea à

toutes les sciences qui yeutent ar-

river & régir les phénomènes de ta

nature vivante. XV! Ht.–t~Ue

est distincte et indépendante data zoologie et datit botanique.XV!if.i';4.–EUe doit éclairer

les mécanismes de ta psychotogieit n'y a pas de ligne de séparationentre elle et ta psychologie.XVttI,

t4' ~3). E))o prend ses racines

dans les sciences physiques de )a )

nature, et eieve ses rameaux jusquedans les sciences philosophiques

dei'esprit.XV~O, K)<).–EUo

s'appuie sur )e sentiment, ta rai-

son et i'expûrionce. XVU), 4:)9.

\'oy.i('<)OM~tyïf'o~t'~ues, ~;)a-

lysep~to~t~.e,

Doc~ttM

pAi/tto/o~i~Mf.t, E~af pAt/sio/o~t-

que, B.C/~)'t<<t<'t ~Ay~M~)j/tt<

E.q~c')';meM<a<tons p/t~stO~o~~MM,Foreet p/t'o/o~'<j'MM, /?Mh<M~

pA~o/o~t<yue~Kt)es<a<<o?MjO/

ïiO~O~t~tft' /)')'!<«?!<.< p/ty!!0~t-

?Me', j'.a<'o''a~0!re de p~t'oh)~te,PAt-MOM~tM ~At/ttO/O~t~MM, P)-

<p0~0~t ~<oyt<yMtM, /Mt:(:-

M~pAy~)'Of'Oy~Mf.°, SM'eHCt;~ p~y-

ïtO~gt~M, ~yH<<- ~/t!0~0~<-que, Sy~~mM ~~K)/0~tyMM.

PHïSMLOGtE ANATOMtQUE

XVUI, t06.

CMtM!QL'E X)V, 137.

COMfAMiE. VUf, ta3; iX, )8!,

XVt, 375.

DESCMtPTiVE. XVf, 3~.

EXt'EmmENTAU!. X[, ~nX!V, 4) XV, 100, tOt. Son dÉ-

vetoppement, son évotution ac-

tueUe. f, t'i!. Elle est ia partie

scientifique de ia médecine. \'Uf,358.–JEUe doit constituer une

science autonome et indépendant'tX, !M. Etio n'explique que M

qu'elle prouve. X', 465. !)!e doit

se rendre maîtresse des phénomè-nes de la via. X!, -i(!9. Ëjfe n'a

pu commencer à sa constituer quevers la fin du xvm* siècle. XI, 472.

Son enseignement en France.

XI, 4'!t. Elle est la premièrebase de j'cdince medicat scientifi-

que. XI, 5~. Elle est insépara-bje de la pathologie expérimentalodans son avancement scientifique.XI, a'!9. UMge des hypothëses.

XV, :n. Son union actuelle avecla médecine. Xv, 58. Hôte des

vivisections. XV, 81. -Elle a pourbase tes sciences physico-chimi-

ques. XVIII, 58.

PMVStOLOGtË GËNERALK. XVI,

372, 376;XVH. vit. Découverteset progrès principaux en France.

IX, !). Sa piace parmi les sciences

biologiques. JX, t3) XVII, 39).Sa marche, son but, ses moyensde

devetoppement en France. IX,~). –EUe est la physiologie deséléments actifs de la vie, des élé-

ments histologiques, ou des radi-

cauxphysio)ogtques. tX, t3C, 225.

--Elle a pour but de conquérir la

nature vivante et d'agir scientifi-

quement sur les phénomènes de

la vie. IX, 230. Son point de vue

danst'otudedot'organisation. X, 8.

Son objet est la recherche des

conditions élémentaires despheno-m~nes de

!a vie. X, 8; XV! 39.

Elle néglige les différences

spécifiques ou génériques pour ne

considérer que les organismes élé-

mentaires. X, 9. Elle ne peutadmettre la classification des phé-nomènes de la vie qui prendl'homme pour point de départ. X,)09. Son enseignement au Mu-

séum d'histoire naturelle. X!, 473;

XVI, i. Les découvertes de

Lavoisier lui ont donné l'impul-sion. XV, 85. –Probfèmes qu'ellose pose. XV, 289; XVm, 99.

Elle est caractérisée par la division

Page 277: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES (EUVRES UE CLAUDE BEXNARD. 263

df'sphonomèaesdotavicendes-

truction et création organiques.

XVt,)26.–Aupoiutdavuedfta

<i!is.iM Viiaie. XVI, !4<). Httc

embrasse la physiotogio des plan-

tes et Cf'Uo des animaux. XVII, 2.

Son origine. XVII, 390. Cons-

tituée par i'évoiution des doctri-

nes physiotogiques. XVII, 4~0.

Ello est l'étude dos propriétés des

etëmonts anatomiques, de leurs

manifestations isolées et des ma-

nifestations complexes qui nais-

sent de leur arrangement en or-

ganismes plus ou moins élevés.

XV! 4.i9. Elle étudie tes pro-priétés de la matière organisée et

explique les procédés et mécanis-

mes vitaux. XVIII, 118. Voy.Chaire </? ~~to/oyt'c.

rt<YS!OLOGtE HtSTOLOGtQUH j

XIV, 49 XVII, 459.

DES MALAOtES, elle est faite

par la médecine experimentate.

XI, 457, 460.

MORB!DE XI, M

NORMALE. XI. 5,1 XV, n;

XVII, vt.

OPEMATOtRE. XV, t.– Phnd'un ouvrage dogmatique. XV, v.

Son arsana).' XV, IM. De

l'appareil circulatoire sanguin et

lymphatique. XV, 241. De l'ap-

pareil digestif. XV, 49!. Histo-

rique de la question. XV, 4i)3.

–PATHOLOOQUH. VIII, t9~ XI,

5'!t;xv,n;xvn,vt.

XUOLOGtQUË. XVIII, tOG.

t'MYStOjLOGtST);. Compare au zoo-

logiste. VIII, 194. Comment il

doit consulter les livres. VIII, 249.H no contemple pas seulement

tes phénomènes de la nature, il

veut agir sur eux. IX, 127. Ilne peut agir sur les phénomènes

vitaux que par l'intermédiaire de

conditions physico-chimiques dé-

terminées. !X. 134. Il étudie les

procédés organiques qui sont in-

hérents à la matière organisée. IX,t36. Il peut dévotopper expé-

rimentatemeut des phénomènes

morbides qu'il parait impossibtode reproduire au premier a)<nrd et

qui sont sous la dépendance du

système nerteM.X!).–Setdissidences avec le médecin. XI.

32!,3'M;XtV,52.–Son)aboM-

toire.X[,4)3.– Comment il

comprend tasensibiiité.XVt, 283.

Comparé au chimiste et auphy-

sicien.XVtf),(i8.–Sonbutestdc

déterminer tes conditions éiémen-

taires des phénomènes. XVHf.70

Chimiste, physico-mécanicien.

xvtft, in. Vitaliste. XVIII,m.i Il agit sur les propriétés de

la matière organisée. XVIII, 121.ti agit sur les organismes vi-

vants, en modinant les c)ements

histotogifjues. au moyen de la nu-

trition.XVUf, )3!).

t'Ht'S!QUE, son influence sur le

moral. [X, !)) X, 'i27. Influence

du moral sur lui. XIII, 313.

t'Mt'StQUE. Emprunts que doit lui

faire la physiologie. t, -M; XV, 6o.

Voy. force~;)/tt/s!f/«M, P/~MO)?!fn''<

physiques, S't'fnc~! pA.UM.

t'mTOBLASTE XVI, 194.

PHYTUPHAf:ES (Axttucx). Voy.~tti!nMM.E p/tf/f'Op/in~M.

t'tCEnc. Ut, 241.

t'tERUK DK ME31PIIIS. Employé''comme anesthésique. XII, 36.

t'tGËO~. Système veineux de la

veine porte et système de Jacob-

son. J[, 314. Son pancréas. Il,466. La piqûre du quatrièmeventrtcuic ne produit pas le dia-

bète, mais arrête la digestion. iV,

461. Jabot en lactation. VII,''36.–Sa sécrétion (actee.VH,2:t' Son lait. VU, 3'tO. Sujet

d'expériences. XI, 555. Préhen-

sion et contention. XV, Ut.

Fixé sur la table à vivisection,.

XV, )26. Après l'ablation des

lobes cérébraux.XVt!I,3')8.

PILES diverses. IV, 145. A auges.

IV, )50. De Gronet. XV, 238.

t'tNCES. XV, 183. A collier. XV,

106. Des bouviers italiens. XV,

t46. Incisives. XV, 190.

Page 278: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABt.K Af.PfiAHÉTiQUE ET ANA),Y)]QUt-:26t

PILES EH;<:n<)Q< ES )V, i44.

))e!'uh'macb<-r.nf,:)););!V,M3.

It'tXËt,,deih)!tiond<'hm6<)ocine.X).

2.–fJromittespartiesqu'i) con-

sidère comme analogues.XV),!S).

PtXtTt:.XVn,33.

t't~CKE HE LA A MOFt-L) Rond ht

animaux diabétiques. )V,39~,46?.

MU t'LAifCHK~ t)t' QUATHtK

ME VEM KtCUt-E Voy. Mtnc/tft-

<~«<yt<a~'i't~te ~C)!/rtt'i<~t',pMa-

<t't~««:t~"f)'tC'<

ftTCAtnx. Uefinitinn de )« médo-

cice. Xt, 2. force triturante de

t'estomac.X\'n,263.

PLACENTA du 'apiu, ceUu!es ,y-

cogenifjues. XYf, 2!)t. Des ron-

geuM,g)ycogÈnf.XVfJ,(i).–Ue',

carnassiers, g)ycog'ncXVn,C~.

Voy.Ct'CM'ft<:oM/</ac<'M/~t:)'

PLA'E ouverte, scse(!'ptt.X),{)7.

–Mcente.XI,tfj3.

)'LA~AUU:.JX, )0! XV!, 363.

t'LA?<Cm!tt nu QUATMtÈMt; EK

'fmCUH- Sa piqûre. JV, 397,

458.–Che~)c lapin. )V,-i 06.–

Propagation da son influence par

la moelle ~piHiore. tV, 44).

Lésions qui ne produisent pas le

diabète. IV, -t't8. Expériences.

)V, 4't8. (:autMri<,ation. <V, 't4S.

Lésions des corps rostitbrtncs.

tV,'t5L–Suppt't'ssiondei'ut'ino.

IV, ~;)ï. Influence de )a piqurf

sur la sécrétion abdominale et sur

la sécrétion du foie. IV, 463.

Dernières expcrionces. V, 5i4.

Diabète par piqûre. VjfU,304.

Voy. pua<)'«'w<' t)C7t<t'c«/e.

t'~AK'fES. Action du curare. !)!.

3C5. Leur raspiration. XV), 9'!3

XVn,t6!).-Leur rôle réducteur.

XVtJ,)42.–HMistance&t'M-

phyxie. XV!L t8(i. Digestion.

XVII, 340.

t'LAQMËS AMX~O~~Q~J~:S Leur

évolution. XV)t, 66. Glycogène

chez les ruminants. XVII, 66.

A un état de développement très

avancé. XVII, 6~. Leur dégéné-

rescence.XVU,(i8.

CELLULAIRES. XVI, i91, M&.

t't.AQ~ESC)t<tKtALt:S<)ps pachy-

dermes.XVU,)M.

GLYCoGEK'Qt'KS de !'amni.)s

du fœtus dsvcau.XVt.~at.–

Leur dog~neroacenco.XVt, 337.

PLASMA ttUSAKG.tX.tif.lM.

Xf,.i4);XH.)C.–Séparation des

g!obu)<'s.Xtt,)6.–('estunvc-

rit.abtf'mitif'u intérieur. X)f, 21.

Matériaux qui te fnmpo~ent.

XH, 98. Primitif. XVt. :!09.

t'LASMATtQH: fCEt.f.HLE). \'oy. Cc~-

/<

(Ët.RttEKt). )X, )26; XVIII, 131.

(TMÉoRfE). Voy. ï'/tfortf yH'o~o-

p&Mt7tt~t<c.

)'LASMOUH;S. XVJ, 255.

t'LASSOK. XVt, )92.

t'LASTtntJt.AtKË. Voy. ?7«'or~

~)<M<Ï(/M/<!tt'<

t'LASTtKULES.XVt, tM.

PLAST!QUH (AmfHNT). Voy. Ali-

mMth.

(ÉLÉMENT) du sang, il est consti-

tua par le g)obu!eb)anc. IX, (3.

–(MÈCtATEUR). Voy. ~tMM~fM'tM-

<f~t~.

t'LASTtQUES (NATUKES~. XVII, 415,

M5.

(PHÉNOMÈNES). XVII, )x, 22, 479,

485.

PLATE LONGE. XV, 144.

t'LATON. XVII, 4ÛS. Voy. Dee~'iXM

p/<0?!!C!'eM'tM.

t'LEUREStE par influence du sym-

pathiquo.V.MS.

t'LEXUS iLOMBO SACRE. Chez )<

r_Itie n_n t I 66. Pro-chien, anatomie. V, 66. Pro-

cM~ opératoire. IV, <!7.1.

MËMTEM. V, 458.

SOLAtME. XV, 6'!2.–Scusihi)it.6

de ses g~ngttons. Xt, :);)3. Voy.

Ganglions du p~M'M .M/at''e.

St'LAKCHNIQUKS. X!n. 265.

t'L! DE L'At~K. Ses vaisseaux. XV,

2M, 2~0. injections dans les vais-

seaux. XV, .)5. Vivisections.

XV, 255. Chez le chien. XV,

2'!). Voy. Vaisseaux du pli de

/'<!t'M<

t'KEUMA. XIII, 0.

t'NËUMO-GASTRtQUES om \A

Page 279: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

))t':S Œt~'CES DE CLAUDE CEXNAHf). 'f;

<:t!ES ~Enrs;. 3t't. fnnucnce

deïascctn}EtStit'tpt'uc!i's!fdu

~ucre dans te t'oie.L'!SS.:4~t:

V!),t:n.–).t'nt'r'.)[('dat~s)ase-\'11, 1:\7. /tll' rÙle duos la sé-

c ration s~K<u<t,Mn.–

f~eur section entre )''ponmttn et

)efoie.t;)j2.–Anh'p'.iedf

ranimât. ),'tt!t.–Dsn'arretent

l'animat. l, 41:1. ns n'arrêtent

pas )o cœur, âpres emprisonne

ment par te curare. t)f,i8.–

Leurrât'anisatio:tar!'<iet('s mou-

vements du cœur.!]), 3(!S,3<;8,

:n-2; \38t,!X, (!C. )'Ac-tion d'utif'dosefaibjsdetticotiuf'.

!U,Ot.–Usn'ontpasdeseust-

b:)i!é récurrent". <V,9f,i)6.–

phÉnomènesr6<!exR.St)ue produit

leur irritation. !V, 3~. La gal-

vanisatior) de h'ur bout supérieur

arrête les niouvnments respiratoi-

res. tV, 3~. tnnuence sur les

mouvements rc''pirat,~irt.'s,dutho-

rax. IV, 3'!?. Lpu)' état convu)-

sif.tV,3'!t.–La section n'em-

pêcha pas la piqûre du quatrième

votitricuic de produiroto diabète.

)V.45:).–Hsti))opointdede-,

part des mouvements reOexe.'i dont

les aarines sont le siègo. V, )8!.

Anastomoses avec le facial. V.

t82. Chez t'homme.. V, 2':t.

Leur para)ysie. Y, 3U' Son

histoire, ses fonctions et ses pro-priétés, sa section produit la mort.

V, 344 !).):SensibUito non

constaute. V, 3ta. Effets de

la section sur les poumons. Y,

3M.–Expériences. V,a&B.–

Lorsqu'on les a coupés à un ani-

mal, la mort qui survient n'est pas

nécessairement, la conséquence

de l'asphyxie. V, 354. La !e-

sion pulmonaire consécutive 1,

leur section produit un emphy-

sème traumatique par un') dis-

tension mccauique du tissu du

poumon. Y, 368.–Apres leur

section, les rMpiraUona sont plusrares et. plus iarges. V, 369. Leur

section. V, 3'!t; XU, Xot.n-

nuencesnrtacircu)ation.V,3':6;

\'t,M3,227;H,32t.– tn-

nueï)cedciast'cï.xmsu!i)!nu-

vcme[)t'<duf'fr)ir.V,<i.Lf

nom))redfspt))s.')tion<'cardiaquesest considt'rat))ement augmente

V,E\p<'rie))fm. X'8.

–Leurgaivanisatit)n.)0:t;\tt.

2'H.–Ktfetsdotasertionsuri.t

respiration et surtc', contraction~

d~ cœur cht'j! tes animan\~Mn):

froid.V,395.–Sont-itsta voie de

transmission df"ac!t(n',s nerveu-

ses au cœur et au pnutnon'V,

'404.–Expériences. V,404.–

Leur section dans te crâne. V,

4M.–Expériences. \t()'.1.–

EiTets do la section sur les orpa-

nos abdominaux. V,4)~La

sensation do )aiaim persiste. V,

4t5. –Lesatimcntss'accumu-

lent dans t'œsopha~e p<n-a)yse.

t~6.–Lasecreiiott~tstriquoest

troubtee.V.'t)~Expériencessur les mammifères et les oiseaux.

V,'4t6.nf]uencc détour section

sur t'aspect de la muqueuse sto-

macatechex un chien nstute.V,

'42!Modifications apporh'cs parleur section <)ans l'absorption sur

la membrane muqueuse .stomacate.

V,9U;Vn,2.En'etsd<a

section sur los fonctions du foie.

V, ~3t. La fonction gtyeogeuique

est troublée. ,')!U.–Expériences.

Y, 433. Effets de la section sur

les urines. V, 433.–Sa~Kh'ani-

sation détermine l'apparition d)t

sucre dans io sang et dans les

urines. Y, 435. Expériences. V,

43.').–Observation du retour des

propriétés nerveuses dans un

pneumo-gastrique fatigue par la

g~h'anisation. V, 450. Obser-

vation du retour des actes physio-logiques auxquels il préside,

après la section do ce nerf. Y,

456. Après la section chez le

chien, t'air inspire par la narine

diminue. V, &U4. EKets de la

section sur la pression arterieth'

et sur t'imputsicn cardiaque. Vf,

!2' Action de la galvanisation

sur le reiu. VI, 309. S:), section

Page 280: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAtiLE At.PHABÉT!QUM HT A~ALYTIQU);;M6

rosm'n~K ~couiement d<"<

liquides dans de petits tubes.

Ut, 72. Expériences hemome-

triques.Vt. )fM.–Hémodyna-

mique. IX, 46. Mouvement du

sang dans les vaisseaux capillai-

res.tX,C4.– Expériences sur

les diurétiques. XI, 76. tt consi-

dère la circulation comme suivant

les lois de t'hydrautique. XIII,

224.

t'OtSOXS. ïït, 38. 2:!9 XI, 19t.

Dosage on rapport avec te poids

des animaux et avec la quantitédo sang. f, 343. Absorbes rapi-

dement par !es ghndcs. il, '09;

!!ï,288.–Ce sont des réactifs

de la vie. !!), v, M. MOnition.

m, 3' Lieu d'action. ))!, 4~.

Absorption. III, 48. Dans

les trois régnas. 1)!, 49. Mode

d'action sur les grands systèmes.

)!f, f)2,328. Action sur les ap-

pareiis de la vie de nutrition. !tf,

f'3. Comparés aux aliments et

aux médicaments la dose seule

les ditTorencie des médicaments.

i)),M;Xt,t.4:M;XU,442.–

Leur neutralisation. ïït, 54, 100.

Leur pénétration dans l'orga-

nisme, dans le système artorie).

III, 5t!. Absorption par la

membrane muqueuse pulmo-

naire. III, 6t. Substances ren-

dues toxiques par des change-

ments do composition qui s'effec-

tuent avant leur arrivée dans leur

champ d'activité. U!, 05. In-

Ouonce de t'estomac et du poumon

sur des actes chimiques. Ht, (?.

Action physique, chimique et vi-

tale de certains poisons, ttt, (!

Leurs doses, ttt, )02; XI, 442.

Leur élimination. Ht, 102; XI,

442, 452. Leurs effets difTorent

suivant l'état de vigueur ou d aH'ai-

blissement de t'animât.tU.FM.–

Y a-t-it un poison dans le sang? tt),

223 XV, M9. Leur action sur la

fermentation et la végétation, tt),

265. Des poissons dans l'eau.

111, 293 a 30t. Agissant sur les

troub)u<e9 mouvements de la na-

rine. Vt,'i'!2.–Sa section ch<

te mouton. V!.4'?3;Vt), 414, 4)' i.

–Leur section ne ralentit pas les

mouvements du cœur. VI, 514.

Apres )cnr section la ligature de

la trachée n'empêche pas le cœur

<)o battre. Vf, 5)4. Leur section

rend t'urine acide. VII, M.–

Leur galvanisation change la

réaction du sang et ducai)tot.Vf!,

220. -ttssontpt'iv~sdcsenaiMtito

chez les animaux h jeun, ils de-

viennent sensibles pendant l'acte

do la digestion. XI, 165. Effets

de la section sur le ~rand sympa-

thique. XI, 211. t. EtTots de )<<ur

section sur t'fBsophagf. XV, 552.

Conclusions erronées qu'on a

tirées de ces résultats. XV, 552.

L'opération n'abolit aucune

des sensations on rapport avec le

travail de la digestion. XV, 553.

EnetadeteurgaivMtMtiottsur

l'estomac. XV, a'!3. EO'eM de

l'excitation. XV)H. 3;<. Ils por-

tent les innuenccs nerveuses au

cœur. XVU!, a61. Voy. Co))t;t~-

sions.

PKEUMOKtE consécutive a l'action

de la vapeur du charbon. III, 198.

Saignée. XtV, 325.

COKTAOEUSt! des bêtes t

cornes. XI, 40.

POELES E~! t'OKTE ou en fer,

leur insalubrité par la production

de l'oxyde de carbone. X!L 528.

POt-CtAU!. Travaux conftrmatifs de

la glycogénie. 471. La ma-

ttereauerooset'ormo-t-cHopar

l'action digestive dans le foia et

dans le torrent circntatoire?!, 503.t'CtOS des animaux, dosage des

poisons. 343. Voy. Pf)'<? de

poids.

POINT NUL ou tadin'erent de la

température sanguine. XIII, ))S.

–VtTALdcF)our(!ns.XV,93.

POINT MM VUE anatomique ou or-

gantnue.t!,)5.–Physiotogtqueou fonctionnet. Il, t5.

t'OtNTE DU COEUR. XVIII, 322.

Page 281: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES CEUVnRS DE CLAUDK ft)-:)!~A)!n. '*<i7

iadie.sfmstfiustesrapports.Xf.

)t)!t,iM,)M.-)t-i se {dissent

jusqu'aux eiementsanatomique-)sur lesquels ils agissent. Xt,)21,

4M; X)t. 382. Symptômesconstants qui succèdent't!t'ur in-

troduction dans j'econnmif!. Xf,I!9.fh sont les plus commo-

des de tous tes moyensd'cxp)''t'i-

mentation ils offrent par leur

action d'immenses avantages il

l'observateur physiologique. X).

]29.)3t.–Hivers degrés de la

rapidité avec laquelle leurs effets

se manifestent. XI, 130. Pé-

riode d'incubation qui précède

l'explosion des phénomènes ca-

ractéristiques. XI, 131. Possi-

biiito d'une guérison radicale. XI,)3t. Absence souvent comptctede lésions visibles. XI, 131.

Differeuces d'action entre les ani-

maux de m&me espèce. XI, tS6Entre )'adu)te et te jeune ani-

mal. XI, 196. Entre l'animal

après la naissance, et l'animal

pendant la vie fœtaje. XI, )M.

Ils agissent avec plus d'intensité

sur tes nerfs coupés. XI, 208,

2ti,)e. –Leur action sur le

système nerveux. semble au pre-mier abord en augmenter les pro-prieté!}.X),X'2![.eur action

est plus rapide quand toute iu-

fluence nerveuse est supprimée.

Xf, 235. L'absorption peut être

empêchée par la ligature des

YaiM<}ttas:.Xf,285.–L'absorp-tion est empccheo par la galvani-

sation des nerfs. XI, 286. Leur

action. XI, 292. Co son', pour

)e physiologiste, des agents capables de modifier les phénomène-)

do la vie et même de les fairn

cesser complètement. XI, 430.

Actions générales ot actions loca-

ies. Xt. 4-H. Un seul poison

complètement connu nous don-

nerait la connaissance de l'orga-nisme entier. XI, 446. Il n'agit

pas, sifétiminationet t'absorptionse balancent. Xi!, 85. Accumu-

branchies des poissons. Ht, 29'i.

Actions v.'u'it'f's sur ies nerfs.

III, 30.–Action sur les mus-

c!<*a.U',MR.–Action comparpf

desdiyerspoisons:su)fo''yanure,

strychnine, curare, etc. m,8~).

–Us servent à doser )a quan-tité de sang. Vf, 4)9. –{ns-

truments et agents de t'ana-

lyse physiologique des propriété~

destissusvivants.fX,)R;X.tT!:

X!f,27'4!!8;XVtH,39H.)s

vicient )o milieu intérieur. IX, 47,

Ils ne détruisent pas les mou

vements vibratiles. X, )3<

Ceux qui détruisent la contractt-

!it6 musculaire n'ont pas néces-

sairement de t'inituenee sur les

courants électriques des muscles.

X, 211. Différence de leur ac-

tion sur divers animaux. XI, 33.

–LesditMrcncesd'actionsurdi-

vers animaux etptiquces par l'état

du système nerveux. XI, 3<. Le

sang en est le vehicuie. XI, 83.

Influences diverses sur des tissus

homologues. XI, 88. Ils innuen-

cent diversement les animaux

d'espèces diverses. XI, 88, ]35.

Leurs effets généraux sont en

rapport avec l'activité des vais-

seaux et des nerfs. XI, 90. Us ne

peuvent agir sur les tissus et les

organes qu'en traversant tes vais-seaux artériels et par l'intermé.

diaire du sang artériel. XI, 93:

XH, 3*!). Ils sont quelquefoiséliminés avant d'y parvenir. XI,

93. Leurs effets peuvent sou-

vent se rapporter à l'intervention

directe du système nerveux. XI,

9't. Importance de t'apparei)

pulmonaire au point de vue de

leur élimination; c'est par lui

qu'elle se fait habituellement.

XI, 94. En faibles quantités, ils

peuvent circuler dans le sans,

sans mettre la vie en danger. XI,i,94. –Activité extraordinaire, lors-

qu'ils sont absorbés par la surface

putmonaire. XI, 94. Leurs ef-

fets ressemblent & ceux de la ma-

Page 282: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAtiLH AL)'!f.\t!ÉTJQUEET A~ALYTtQUE268

)a!inn successive. X!t, 4.M.

Leur emploi pour porter t'anatyse

cxpëmnentatojusquosuria'i (Mo-

ments anatomiques. XV, 88.

Leur influence sur les cœurt

veineux et lymphatiques. XV,

3.S4. Utilisés comme moyens do

vivisection. XV, 401. Leur an-

tagonisme. XV, 42C. Leur in-

nuencosnrIasecr~tioaMJiyatro.

XV,a33.–ftiinesont actifs que

pierre <)U'tis pénètrent dat)a )o

Mnf:.XVt)!,i38.–nssout~)a

fois agents de (tcstruction de la

vie, moyens de guérison dt"! mala-

dies, et instruments d'anatyse

p!)y'.io!ogiquo. XVU!, 2:n. !i9

parcourent trois étapes. XVIII,

279. At'r&t~'i (t.utt les Ycmsa ou

dans les arttVres. XV11I, 98f. Voy.&ipOtMnMfMC"<A', F<!M. ~Oi'fhM!.

t'OtSOKS A ACTt<~f< MSOBG~Kt-

SATR'CK. XI, 2!M.

AMMtUCA~S. XV:it, 23'

FKnMENTtt'ÈKKS. Leur action.

)!L 70. S8. 9.

–t)ESt'KCn<S.!)),3!);X,)'?7;

XVUt, 938.

UES MKCAKtSMES VtTAtJX

XVn, )!!3.

j(.MKTAH.tQUKS. m, 90.

MUSCULAtnRS. tX, )M, )82;

Xf, )«!. Leurs efTets geuÉmux.

XI, 153. Ils se divisent eu deux

classes, ceux qui agissent sur le

cocu)' et ceux qui agissent eur le

système musculaire. XI, !a3.

~todifications qu'ils am~ueut dans

les propriétés physique!! du t!MU

musculaire. Xf, )&C. Modifica-

tions an~togues à celles qui se

produisent apr~s la mort. XI, t56.

NËVKOSTm!K)<~t't:S. Les ani-

maux qui y sont les moins sensiMss

sont ptus exposés aux nMMies vi-

rulentes et contagieuses. XI, 31. 1

t)ES PROPRtETES YtTALKS j<

XVII, t83.

POISSONS, Pauercait. JI, 479, -i87. t

Leurs poisons dans t'eau. Ht, it

M3a30).–Leur empoisonnement

dauf les cours d'eau. I11, 295. )

En'cts()(t)acyc)amino.tf[,0).

304. Kmpoisonnes par le curare.

X!,)38.–<;ircu)ation.Xf,3M.–

VeMictMtatOtrf'.XV,2:)3.t')c-

vetoppcment. XV), 32'?. Leur

foie contient du.'iUCf'e.XVn, 9!).

Oycog~nÈse. XVtf, 98. Gfy-

cogene dufoie.XVU,!M. Voy.

B)'<t!K'/t)M', Cn'ex/a~oM, ~c~~te na-<H<Ott'<

POtSSOKSEt.t:CTKtQUt:S. XVm,

ne.

t'Ot~RtMETtmS. Xt\, <UO.

POLARtMETKtt!. XV]), 3~9. Voy.

/ty)parf7~ /)o~a~:fM~t~«e!.

P<)t.AK)SA't'tOK pour reconn~tro

jap)'eMnccdusucre.J,M.

POLYOU'SX!. I. 44< XIV, (!~ <?.

yot.VMOKt'tHSME ce))u)aire. XVL

855. Nutritif. XV)t, 38i.

POLY't'EhydMiro. tX, t0).

t'OLYt'HAGn. X)V, M, <?.

rOU-URtË. I, 34<i, 4)9; XIV, 69,

C4, 6G. K))o est indépendante

[!<')!tg)ycosu)'i6.),.ti7.–Artifi-

cieUe. ), 34' Observations Mp6-

rimo!)M.tes.t,i8.

t'CMMKS [tE TEUKE, acte nutritif

en deux périodes. XVII, 134.

PO~U'E A MEttCt'nK. XV, 2:)).

Son usage daus t'anatyso des gaz

duMng.X)[,i9t.

ME GAY-M'SSAC pour injections

gazeuses.XV,3<it.

t'CMCS disséqués par Vësa.to. XV, 68.

Appareii de contention, d~prÈs

VeM)(!.XV,n't.

i'~RTAL, cultive la physiologio

eKpërinientaiu ii hit un cours do

physiologie experimcntAte au Coi-

lège de France. Vin, 2G2 XIV, 40.

Professeur de médecine au Col-

lèga do France. XI, ix; Xiï, 334;

XtV, 20. Asphyxie par ia vapeur

de charbon. X)), 334, 345.

'OBTE A)<;mLLM. XV. 202.

'OUTH MK~AL (AppAKEtL;. Voy./f6t".

'OStTtVtSME.VUf,387.

OTASSH. XVI), t9. Rend vis-

queux !e suc intestinal du tapin.tV,

452. Voy. fo'M<e de yof<Mse,

Page 283: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

t)ES(EUVH);S!)E CLAUDE )!A!tn. "M ~-)

minatinudt'seai'etdct'oxydf'de

carbfjue.tH.H'.t.Son obstruc-

tion par injection de gaz dans je

CfBur.tH.fM.–Atterationspn-

c!a!ea!!isuit(!d'injHCtionsdacid<'

pyro,m'ique fiant !e sang.)!222.

–Absorption rapide du curare.

)!),28G.–Action du curare.)!

:)9.–fnsufnation d'air. i)),i,

~S't.Actiond'unedf)sefaib)ede

nicotine. t)!,40).Kft'ets de la

section de-, pneumo-gastriques.

V,M2.–Latesionputmonaire

consecutiveahi section dcspnen-

mo-gastriques produit un en)phy-

sème traumatiquc. V, ~(!S. Les

nerf!i pneumo-gastriquea tour

transmetteut-its les actions ner-

veuses ? V,404.–Modifications

do température qu'ept'uuvH le

sang en le traversant. Vi, K)Ï.

Température du sang avant et

après )o poumon. Yt, !()').–Son

action surtacouteur du sang.\f.

S34. Circulation du sani:. V),

n2;\VfH, 3'). L'injection

d'huiterendacidotareactionde

)'urino. YH, 32. Ëhmination

das substances vo)ati)es. VH, HO.

–]i n'est pas le siège exclusif

de ta combustion respiratoire.

!X,58.–n n'est que l'organe

specin)de)'ahsnrptionftdei'c\ha-

iation gazeuse de l'organisme vi-

vant, i) no s'y acco<np)it qu'uu

cchan~- de gaz. IX, 5t); X, St4;

Xtt, 33t). L'hydrog'na suiturc

est pour lui un toxique, s'il est

absorbe. )X,f!Sonro)e<)ans)'cxcrction. !X, 8.'<. ).'a)butnine

injectée se retrouve <!ans i'axcro-

tionurinaire.)X, )'.)')~)imina-

tion de )'et))er. Xf, T8. Ëtimina-

tion du phosphore. Xt, '!8. Ac-

tivité axtraordioaire des poisons

forsqu'its sont absorbes par la sur-

face pulmonaire. X!, 94. Absorp-

tion du curare par sa surface in-

terne. XI, )40. Ce n'est pas en

lui que s'accomplit la respiration

do !'oxygene. XI, 272. Pendant

que le sang le traverse, exhata-

f'rMMt«~UH?~o'«'ro-

f/')~)<<<?~)0'<'t.<

NOTASSE CAUSTtQUt:. Son action

surie sans; poursonanatyse.V).

t'0't'ASSH;M.Voy.fi)'o~!HX,('t?tf)-

/'f)'t'M''e,C;/a'<M)'e,if~'tre,St<f/h-

C)/<t';Kt'<

POt'ntU; Dt: CHAHKOX Action

toxique.!)), 63, (it.

POULE. Voy. Qf~M/' po;

POt!t,S. VI, 22!t XVIII, 332. Sa

fréquence. V), 220. Ses varia-

tions physiologiques en rapport

avec t'ctat des fonctions digestives.

VI, 22t. Rapport de sa fréquenceitvec. la production de la chaleur. VI,M2.– Rapports avec les mou-

vements, ,ec la température du

sang. Vf, 224. Rapports avec

la eh!i)cur aniamte. VI, 935.

Rapports avec l'activité do la res-

piration. Vt, 22f). tnf)uence

df's neri's. V), 22!). Son reten-

tissement par injection de bite

dans to sang. VI), tic.–Cas où

il se propage des artères dans

les veines. XI, 37 Veineux

par reflux. XI, 3'n. 1.

fOMMON. Fermentation gtycosique

et lactique chez le fœtus de veau.

I, 95': &9G!, :)!)' VH,)~;XtV.

f)M. Oycogenique, dans la vie

fœtato. f, 258, 388. De veau, fc-

cule animale. J, 3.')8. Son rote

dans la sécrétion glycogénique. t.

329. Sa solidarité fonction-

neUe avec le foie. 3M. Se.s

propriétés glycogéniques, chez le

fœtus. 3'M!. Etimination des

poisons gazeux introduits dans~

l'appareil digestif ou dans le sys-

tcmc veineux général. III, .')'

Ë)iiniMtio!i d'hydrogène sut-

furé et de substances volati-

les. III, 58. Épithélium vibra

tile. l)!,6t. –Ci)svibrati)es.

H), 6t. La pénétration de la fc- !é

cule est-elle possible? III, 65.

Son ionuence sur les substances

rendues toxiques par des change-

ments de composition. III, 66.

Échange des gaz. IH, 1S8. Éli-

Page 284: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHAHËTtQUE ET ANALYTIQUE~c

tion des substances RM*'twsquiy 5

sont coutermes.XU,(!).–C'est

par lui que tcsancsthfsiques

doivent être administrcs.Xn,i<8.

Sa perforation dans les expé-

riences sur rasphy]tie.XH,!t4.'<,

3.')2.–Caractère éventuel de cet

accident. XH, 345, 3M. -Méca-

nisme do ces ruptures. XII, 3~, 1,

3M.–Absorption do t'acido car-

bonique pat'un seut poumon.Xit,

310. Inspiration ot expiration.

XH,3!)8.–Son rôle dans la modi-

fication de la chaleur animait'. XIII,

98. Son rôle dans t'oquiiibrc

catorifique. XIII, t'X). Msuitats

diMrccts de l'application de la

chaleur extérieure.sur ht surf'at'e

pulmonaire. XIII, S.M. Ses lé-

sions après la respiration artin-

cietie. XV, 4'H. It n'est pas Je

foyerdet!tchaieuranima)o.X\

~8' Modification des atiments.

X\'[), 3M. Voy. Circulation,

<i'fa<tOMpM~MOM<)'f,/nspt)'<

<)on ;)M~n~MH"'t', //MM/~a<X/M p"<-

nt0"<!t'rc, ~/M</M<?)Me pu~)!OMi'r<

~u<)M('na!re (Acte), ~M/oto~nt're

~ApparcH), Pti<woMat''< (Surface),

Hc/rot'~MSMnent pM<wo;tat''e, /ie~-

)~tr'<<t0'<.

t'OURt OUR BU t'KHT Section du

sympathique. ), 18; V, ~~0; VIII,

298 XI, M), 3'!3; XU!, 20'

t'O~RQUtUUKS CHOSES (Le). Nous

ne pouvons je connaitro, il nous

échappe. VBt, t37; XI, 110, 448;

XVUt,55.

POUVOtK ABSORBAIT Voy. Ab-

~M'tant.

t'ttA'UCtEN. Voy. ~dectM prati-

CfC)!.

CKATtQU)' Elle précède la théorie,

XI, 't, 56A. Comparée à la théo-

rie.XJV.38.

KXPERtMENTALE. Sur les êtres

vivants. Vtn,t6!

MEOtCALE. EUo est une chose

extrêmement comptexe. VUl, 359.

Sa mobilité. XIV, 225. Voy.Médecine ~rn~~ife.

t'UKCtStOX daus les expériences

physio)op:i()ues, fausse précision.

!.2'28.

t'RÉDOSt'UStTtOK contre i'xs.

phyxie par un anaibtiMement an-

térieur. Ut, U7.

MOMBtBK. Chez t'homme. Xh

23, 2C. Causées par la section

du nerf sympathique. XI, 30.

PMYStOKtGtQUE Chez

)'!)omme. XI, 2; 26. –Différences

entre les diverses classes d'animaux

et entre les animant appartenant a

la même espèce. XI, 2't.

PHEEXtSTEKCË du germo. XVf,

3)2.

t'BEPU"MAT'OK du germe. XV,

3t2.

t'tuhtENStON DES ALtMKNTS.

XY)i, 252. -Effets de la paralysio

des joues et des lèvres. V, 38.

DES AK'MAUX. XV, )04. Dos

grands animaux. XV, )42. Du

cheval. XV, t'42. Du bœuf. XV,

146.

t'ttESS)OK ABTËRtKLLK VI, 170,

t'i, )9.i. Constance de la pres-

sion ]atera)e dans le système ar-

tériel, IV, 2T!Expériences. Vf,

f!4. Rapports qui existent entre

la pression constante et ta pressionintermittente. Vf, )iM. Expé-

rience. VI, t95. Elle est cons-

tante. VJ, 211. Observation

comparée de la pression dans les

deux bouts d'une même artère cou-

pée. VJ, Bt). Chez des animaux

de taittadinerente. VI, 211. Ef-

fets de la section des pneumo-

gastriques. VI, 227.

ATMOSPIIÉIUQUE. XVII, 192.

Son influence sur les phéno-

mènes de la vie. VIII, 209. Parmi

les effets du changement de pres-

sion, il faut distinguer les effets du

changement lui-même, augmenta-

tion ou diminution, et les eS'etede la

rapidité du changement. XVII, 192.

Effets de la diminution. XVII,

)92, 200. Sa variation agit, non

pas en tant que variation mécani-

que, mais en tant que variation chi-

mique de la composition de l'air,

Page 285: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DLSfEUVRESOE CLAUDE BEnNARft. 2:)

S.VH,i95.ËtTets de l'augmenta-

tion (tfpresston.X\m.–Ac-

ctdontsconvu)sifs.XVH,19.').

Sou inHupnce sur la germination.

XVII, t98. Modification du sans;.

xvn,2o~.

t'Rf:SStO?! CAROtAQUE. VI, )'

194.

CARmOMETRtQUË après em-

poisonnement par !c curare. Vit.

312, 317.

DU COEUR droit. IV, 2'Sa

force. VI, 106. La pression cons-

tante est Hutte dans les vontri-

cules Expériences. VI, 114.

OAKS H:S GROS VAISSEAUX.

Influence des nerfs et de la moelle.

Y!, 189, 201.

HEMOMÉTMQUE. V), 434

MU SANC. !X, 4G. Augmentée

par la nicotine. III, 409. Dans

rintertOir du ventricule droit du

ceeur- !V, XTT. Influence des

racines rachidiennes. IV, 282.

Uiminuee après section do la

moelle épinicre ou même ouver-

ture du canal vertébral. IV, 382.Dans le cœur. Vt, 10' 194, 199,

200. Dans les voies circulatoi-

res. VI, 163; XI, 362. Moyens

employés pour la mesurer. Vt,

164. Influence de la section de

la moelle. VI, t80, 200. In-

fluence des nerfs. VI, 180, 200,

230. Influence sur la formation

des liquides organiques. VI, 206.

-Dans les différentes parties du

système artériel. VI, 208. Ré-

sultats din'erents en opérant avec

divers instruments. VI, 208.

Pression différentielle dans les di-

vers vaisseaux. VI, 209. Péri.

phérique et centrale. VI, 213.

Deux ctMens' opposés par leur

pression. VI, 218. Dans la face,

influence du grand sympathi-

que. VI, 233. Influence

du grand sympathique. VI, 424,

428, 434. Son influence sur

l'urmation. VII, 161. Happort

avec la sécrétion. VU, 269 XI,

;i66. -Elle résulte do la tension

artérielle. tX, M. –Son influ-

ence sur la vie des éléméntt histo-

)ogiques.)X,4' –Augmente)'sur un point, diminuée sur un autre

point,apr<s).ifioctiun du sym-

pathique. t\t8).3:)i. Rap-portsaveclcsn''rfs.XU!,2)3.–

Uistinguo l'augmentation de pres-

sion, et l'augmentation du nom-

bre des battements du cœur

Xft),2(M.

t'RESStOK VASCt LA!ME. XH!, 2 i ).

!nûuence des nerfs sensitifs.

ÎV, 282. Expériences avec le ma-

nomètre différentiel. XIII, 2<).1.

VEREUSE. Vt. 20~ XIII, 2;8.

t'tU;SSO!R D HEttOPUtLE XVIII,

38t.

t'KEtJVE.H, ')'

t'REVtStOK, but des sciences d'ob-

sen.'ation et des sciences naturel-

les. !X, )3: XI, 458; XVU, 393.

Dans les sciences d'observa-

tion, rendue possible par la con-

naissance des lois. XVt, 379.

t'RtËSTLEY, comment il com-

prenait l'exposé de ses expérien-ces. VI, x!. Kxper. sur l'anta-

gonisme physique, chimique et

mécanique des plantes et des

animaux, au point de vue de leur

respiration. XVI, t:!4 XVit, )6t.

Lacunes de ces expériences.

XVU.)C2.

t'iUNCtPE GLYCOGÈNE. Voy.

6/yo~te.

tGNO-AERtEK. Voy. ~no-a~-f:'<M.

DU SANG. Principe actif, condi-

tions particulières qui en règlentla quantité. XII, 85.

Y)TA!L. tX, 3 XI, Gt XIII, 6

XVI, 6; XVIII, m. C'est une

hypothèse inutile. X, T!. Indé-

pendant, on ne peut pas le trou-

ver. XVI, 124.

t'RtKCtPES. Dans les sciences, il

ne faut pas les confondre avec les

théories. VIII, 302, 383.

ACTIFS chimiquement purs,

leur usage en thérapeutique, au

lieu des extraits. X!I, 81.

Page 286: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAt;).tSA).)'HA))ËT[<jUEETANA).Y))Qt!t:'~2

t'Mt\Ctt'~S U.!M):TA!nt;S Voy.l'III~ell'ES

Af.U'¡;¡"'A.IIŒS. \'OJ"I

~/u~~?f/f/

–tMMKtt!A'<'S.or{;s;)if)t!pset!nnr-

j{a[nf)ues.Ui.O;YH),)39;X\H, 1

i!),?).–Lf'u!-constitutioH.)f!,42.II.h) ftm'nce propre des étemenis

<iur)cur.<) propriétés. ]J!,43.–jt)s

sento'ee~pariosanuuauxettt'i

<û~taux.)X,80;XV)!,2).–f)s

sf)ntrrpôsd~n'!)'ni)iou intérieur

org:t):)i<)ue desYÉgCtaux et des

animaux.!X,9'i.–C!'t';csphysio-

)n~iqu"mRutpar)e!iVt''gc<!)t)'<,et

pour eux, quoique HnatotHunt con-

sommes par )e!t animaux. tX, 95.#

–))a MntfornMS paries aui-

nt;)u\.X,'tOG;X)V, «!Leur

synthèse so fait chei! )es aninutux

et tes végétaux. XV)), 2't. Voy. j

S'/?)</tM<' f/M priy<t't/~tH)H!<

f)'t'a<.<.

cles porincipes

irrtnrd-~M<)KUU)!;S. Yoy. fVo)'&«/M(pria-

Ktpc.<).

<)R(;A?<)QCHS dans j'air.

488.

--St'cnKS.oy.SMf''<'i!.

–VHt~t.);r<TS.Voy. )~'rM~M<

t'MtKGm, son a\p6rionca sur )~

conUt~ion pt)tri<)< X!, '')*

t'n<))(ABU.)TK. VU), 9:!3.

t'ttOHLMMt;.Stjuese))0-.oat.!f)))hy-.

sioto~if" et la p~thotOftic f!c'f~.

XV,X.~).–))et!lphy!iiotosie;!

conn~n'ctes fois des pt)9norm''n(;Si

dohti'! fit agir turi'~j'pitrition!

docc'tphet)om&nf's.XVf,3!T.

Phytiioto~ique et m~iiM), che)'- )

cher!'c:tp!u'ttion

do:phonutnAuCt

de)asMt~<phy6io)o);!ot)orm~)o)!de ta ntatadio (physiotogie ptthofo- j

giqu<')ct en dcdutt'eiet moyensd'action (thérapeutique). X~'J~t't.

i'RORHSSUS MOtUttHK imitô aWi-

HcifUcmt-nt.X!

t'tU)fUC)tO~ CAf,«<UHQtJE

Voy.C<o/K<

t'MOtH'ns H)ÉTt:KOm(.Ut;M

Voy. /o/<MM.

t'ATH<t)LOS)QUES Voy. Pf<-

Mo/Uf.

ON SKCKETtON. Voy. Sec)-

<Wi.

!'tt ()'(;t)KSd.'t !]'!)e.<! scioncetphy~if)-

logiques.XV))t,:n.

PRSG!U:SS!~Jf. Voy. ~OMt-cm~i'<

f/epr(K~)'M'!0~.

t'nOJHFKKA ) t(~ vita)c. XV!), ;).

t'KOMO'tt;t'US de ta. science, j(.ur

rt')io.Xf.4<)2.

t'no~os'rtc.vnf,?:).– n'rst

!'objet(is la médecine d'observa.

tn)U.X),t5S.

t'nUt'nYLAXma pour but <6vitcr

)ede\e)ctppetncntde3con'1itio!M

morbides.Xt,'K)S.

PnOt'R)KT!s, ieur d4stin<'tion Mue

ia'<pbenomeaes.comp)ox[;s.X\tf,

Oit. Comparées aux t'oueiions.

X\'tf),4''9.

–CtUMtQU~S. V))I, )t!t, :!M.

UHS COim'S VtVANTS, teurii

manifestations sont )i<;t!!i t'exis-ma»iCostatious sonC lides l1 l'eYis-

tonco de certains ph~notnf'a"!)

physico-chimiques f)ui en rÈgieti).

t'a()pari<ion.\)t!.tU4.

mt!HSTtVt;S. Voy. Dt'~c~iWs.

ttK LA MATtHKH, )eur 6tu(ic

dott expliquer tes phénomènes

que nous observons.Xt,4)i8.

UHLAMATtKK): VtVAKH:.<'))cs soutinst~biosct mobites. Xf.

<9N.

MOTtUCES, tf'ur sëpar&tion des

proprict<isensitive!).tft,:(M.

MUSCULAtKKS. Voy. ~t~cu-

~afrt'?.

KKKVEt'St-:S. Voy. A')')-ue«M.<

(propriétés).

PMYStOLO(:tQt!)':M MtttysCES

psriecu!'a!'a.!H,4~3.

t'HYSt~tJ~S. V))!, tCf, 953.

LeMt' opposition aft-c les pt'oprM-

t6svit<)es.X\'n,4i;).

t'HOTO)'t.ASMt~t;t!S Vay.

~t'ofo/j~o~nii'~MM.

SKKSt't'tVKS, leur sëpaMtiondes

propriétés motrice:).H),3<!0.

MKS TMSM.S Yt~ANTS, e))e.t

peuvent &tre saisies ft scrutées.

Xf, 563. E))es peufent être ;i)!a-

ty<i<9!! par les poiMas. Xt!,

272.

VITALES. VU), t6), ;!53; XVf,

49,2t9,369;XV)i,46t;XyUi,

Page 287: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVUËS DE CLAUDE !!Ktt~A[)P. 2' :3

('.L*t;!)E)!K)tXA))n.Xt\.

))),m,)M.–de)iir.hat.tn.5:X.I

)<n:XV)f,i!4-5: XV!

–Hihjs résident dans )(;s6)Mmcnts

organique!}. X, t2*K))esnH

sont que tes proprictesphysiquesctchinjiqnfsdt' t.T. matiM'c vi-

vante.Xt, 101. Leur dispari-

tion dans tes tissus est toujours

produite par des ajtoratiotis ni .)<

t'ietics. Xt, t.')S. Ë~attces par la

section du grand sympathique. XI,343. Hepr!mce<! ou abotifs p;u-tt galvanisation du grand sympa-

thique. XI, H43. Elles rentrent

dansjestoi'ideiaphys.iqueotdc

!a.h:mio.XH,4M.–F.))e';so))t

distincte'; dos moc~nismos fonc-

tionnets. XVII, n3. Leurs poi-sons. XVH, t8; Selon Uorutiu.

X\!t, 449. Opposition av~'c

les propriétés pttysiquea.XVU,~i. HHcsnosont que descom-

ptoxus de propriétés physiques.

XVft,'t'HUesnt'sontquodanate'~cGUutesvivantc'i.XVtH,

''03,23~.

t'ttOTOM~KBA t'RtMtïtVA XV[,

190, 297.

fROTEtKE.Jn,<0;XVU,B~7.

PROTÉIQUES (MATtÈMS) du saug.

XH,2'

t'RCTtSTES. XY~f, 2~5.

t'ROTO(;H?!ES fMMORMAHS.X.VL)90,M.

P)K)TOPiLASMA. !X, )0û; XVL2M.X~U~M.-ne~)a

substance vivante antérieure ta

ccHute. XVJ, t8~. La ceMut'} Mu

vient.XVt, tS!UMS les cel-

tu)M Testâtes. XVI, 190. Il

est le corps vivant de la cellule

dans les deux rognes. XV), t{)3.Sa constitution. XVI, )!)3.

Sa structure. XV), )i)a.– Sa

complOMtô. X\'[, tOS.– Son

roto dans la divitiou du noyau.

XV), )!)6. S«s rapports avec le

noyau.XV), t!)(!Destinentdes manifestations de )a cellule.

XV),i!)8.–tt ne limite pas le

règne animal et le rcgno végétât.

XVI, SOS. Ses rapports avec la

H)yco~nese.XV),93:). –)tpos-s" !'irr!tahi)i[e<'t)am(~tdite.

X\t,94).–<,es proprie~e'i cons-

tituent )e trait d'union entre for-

nanisme et h'monde cxteriour.

XVt. 9ia.-Sonirritabiiito.XVt,

T'H,t,)i.–Xous agissons

'.ttr)ui.XVt,T.)).–r)nerc))re-'ipntf; (j)t")i)vi<s.tn<) f'ot-mo spéci-

tique. X\)f,2;)2.–L'6t)-cwant

e!-tunprot.op)asma)aeonne.XV!.~93.–Sa paralysie. XV)f,B2'

t'KOTOPLASMA C))).Onut'nvL

Ht:K ou VERT. XV), 309. Son

rniedamsiasynthÈsc organique.

XVt, 9)9.–Hopef-cia. synthèse(ics corps teruairt'a sous t'inftucnce

f)o)a)umi6rf'.XV),)9.–ntn-c

Sttncncrgx'dH la radiation so-

tftire. XV), 9)3. Il est faraf~ris(''

par la fonction <:h)orop))y)Hcnne.

XV!2.!0.–I) peut apparteniraux deux n'~np~. X\')t, '().

tKCOLOUH. XVt, 90'). 9 h!.

SonrotadansUtaynthH-iOOrgani-

'juc. XYt, 3n. Il opère des

t-ynthescs c<)ntp)ex(" X\'f, X)7.

Expériences de M. Pasteur. XYt,2)7. ji nn peut incorporer ie

carbone directement. XY). '!)9.

Il emptuie t'Énergie caiorinquo.

X\'f. '~0.

-VERT. Voy. Pi'o~~wac/tht'o-

~/t<f«''<.

t'RO Tuf't.ASMATtQtJE (RKSEAc).

Voy. <M«-at;.

)'HOH)t'LASMtQUE (MASSE; Voy.~<me.

(XoYAU). Voy. A'oyo;

–(T))Èo)UH).Yoy.ï'A('ot't<:pro<o/)/a.

Wtf/fte.

t'KttTOt'LASMtQUES (ÊTnEs). Vov.~M.

--(PnÈxoMÈKHs de germination,

développement et fermentation,

)eur ancsthasie chez tes animaux

et)csvegottux.XVt,2RT.

--(PttopRtKTÈs) du inouvemcntctde

Ja Mnsibititc, leur anesthesie chc.!

tes auimaux et tes \'6{;6tau\. XVI.~M.

t'tturosOMA. XVt, 32).

Page 288: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE~4

PttLMOMtttE (ACTE). Son in-

nuencesur!acou)eurdu!'anK.

Vi.SM.

–(Apf'AHE)L~.Son importance M

pointdevuedot'étiminationdu

poison.Xt,9'i.

(CoMBCMtO~.) Voy. C&')~us<;o«

pM/MOMatff.

--(MESpmAT!ON).Voy. ~Mptt'ah')~!<<monat')-<

–(SmfACK). Absorption. Xf)~2.

–(Vt:XT!LATM!i).oy. tfti~H~W.

(VÈstCft.E). Yoy. t'~tCM~ pu/mo-

na!p.

PU~SATtOKS AmÉtttEt.LES. Y!,

m. Dans l'intestin après sce-

tion des nerfs.t,)4a.

CAMOtAptJES. Vf, H?. Leur

augmantaHon après ta section du

pneumOKastriquf!. V, 3T!. –Aug-mentées par les excitations dou-

toureuMs. Xt. 39t.

VEREUSES.Xt,3'!).

PUPILLE, effets do la section

du facial et du grand sympa-

ttufjue sur ses mouvements. V,~&44. tnftMncc de la

3' paire. V, 203. Ses mouve-

ment').Y,203,)(),2'!4.–Sa

dilatation par la belladone apn'ssection do la 3'paire. V, 205.

Influence du nerf sympathique sur

ses mom'emonts. V, 210 ~t'

V!), 33(i. Son resserrement et

sa dilatation suivant la direction

do la lumière. V, 2)a. Chez les

oiMauiL. V, 2t5. Son r~trécis-

«'meut dans la section du !;ymj)a-

thique.V,4';).–E))o("itdi)atGn

par la section du filet cervicat du

!Mnd.ympat))i(juoauite)td'(;(rf

contractée. V, 53.'). Son ctat

dans t'asphyxie. Yt), too. Voy.

R~<!<<t~0);~t;pt'~trp.

t'~KCATtFS X),n.

PMRGATtVES (.AcTtOXs) par endos-

mose. )tf, M.

t'U'Ut'tCA'nOK do )'atm')sphw.

XVII, 229.

t'US. InQuence du système nerveux

et du nerf sympathique sur sa

production. V)), 428.

PROTOXYnK n'AZOTE comme

anesthesique.Xt),38.

fKOTOXOAtMES.XVH.245.

PRUSStATE lm POTASSE. Son

ahsorption par les glandes. 11, 111.

–8onpMsagodanstec))y)e.vn,H'Gi).)nofMtpasdRbteude

PrusMdanst'estomac.VH.SH.

Son passage dans les vaisseaux

tymph~tiqucs.Vjff,4)9.–Passantdans l'urine. XI, 326.

JAUSE Son 6)imiuation par les

reins. VI, ÏCt. Injectés dans le

saug. Vt, 482. Injection dans

les conduit!. MiiMires.Vi),S54.

–!ipa,ssodusangdansta)ym-

pt)f,ost6)imin6par)a. salive

fjuant) il est injecté en gMuda

<(uanttt6 dans Fartere carotido.

\'U,2;)8. !njectionsd!ms)es voi-

nes.fX,t8.'<J[nj<'ctions,X~,2<)!).

–Pour mesurer taraptdimdn la

circulation. XV, 3'!().– Ëttminë!

par la sëcrction gastrique. X.

Mf..

ROUGE, modifié par le rein. Y!

)t, 12.

PRUSStQCt: ou ClfA~HYttRtQUK

(Aot)EL XV, 4)&. L'ethcr en

est le cnntre-poison, III, !7.

Empoisonnement par transfusion.

VH, 'iM. Kapiditt'' do son ac-

tion. tX, H XV, ~)'i. Son ac-

tion sur le MriMon. XI, !');).

PoursacrifiM'iesanimau):. XV, 9:t.

PSKt'DO FIBm~E. V!, 48 Xïn,

3':9. Du sang. Vf, 4&4 VH, )

)M.

PSO)MQUE(VtcE). X)V, 8t.

t'SYCHE de Pythagoro. XU!, C;

XVH), tM.

PSYCttOMt.n' scfi tn~ca.ci.smes

doivent être eclairos paria p))y-

sioiof; XVUt, «I. Il n'y a

pas de siguo de séparation entre

elle et la physioto~io. XVt)f, 43t.

PTYAUKt. H, )M IX, 7C.

PTYAUSMK. Hypothèse fjui attri-

bue ses phénomènes à la paralysie

des vaisseaux. XI, Ï6'

PUISSANCE CURATtVt: XI, 61.

!fEttV)':tJSE. Voy. A'f!'t)ftM<?.

Page 289: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

L'S(E!<ESf)EC)~C[)H[!Ett'<A)tU. 2-5

PfTREFACTtO~ Vt. iM XVI.

n3;XVn.,S)f,.M2.–E)'e ap-

partient aux animaux et aux v6(!f'-

'aux.XVt.n~Théories. XV),n!Gay-Lus!.ac.XV!,t'!).–

Appert. XVt,m.Schwann.

XVI, ni. –Pasteur. XVI, n).

Son nna)ogicavecies fermenta-

tions.XV), nt.

H!;S Amn;rs. Théorie. XVff,

?(!().–)''ti<itontcut,XV)[,9(,0.

Chese)den.XV!f,2R).

t'UTRtOËS (MATURES OU S~MTAX-

CES), produisant des attcrMions du

sang. V[,49'Injection!! dans

les veines. Xt,<t'fTRtDtt'K. Voy. Co'~ft~tbt! p;<

<<)!< DeptMpi~nde, F<-rMeM~<-

tion pi~fif/f, Intoxication pu-~'<o'e.

t'YLURE, absorption par l'estomac

aprèssaUgature.VU,)'

PYREX!KS, dëgeneresccnco des

tissus. XHt,428.

<'t MO<,AHLATK DE t'OTASSEdans

te sang. [! Mi.

t'YttOGALUQUE (ActM). Injectiondans le sang, passe dans les

urines. tft, 299. Les globulesdu sang sur l'animal vivant ne

lui cèdent pas leur oxygène.

2'M.–Au contact de l'air, dé-

truit les globules du sa.ng. tti,222. Asphyxie par injection de

cet acide, in, 92'Jnjectiondans le sang, altération spéciatedes poumons. J!f, 222. Injectédant io sang, il fait disparattre iu

sucre dans le foio.U[,3'2~.

t'YUOXAM. XVi), M.

<'YT)tAt:ORË. Psyché de Pytha-

gore. Xf)I,ti;XVtt't, )(!Har-

monie des nombres et motempsy-

cht)iie.XV!),.t02.

QrAmujCMEAUX. (TEMEMULES).

Voy. ?'MAefCM/M.

~CAHHËME VKNTKtCt LK. Chez

un tapin.t,299.–Sa piqûre fait

apparaitro le sucre, son innuence

sur la circulation abdominate. IV,

iOO, 463.– Sa piqûre rend l'urine

sucrée.!V,40f).–Sa piqûre rend

)'emissinnd<')'urineph)sfaci)e.

)\, ia!). Su piqûre, chez tpspi-KCOtis, ne produit pas je diabète.u~isarn''te!a digestiot). !V, 40.

'-es f!Tcts produits par ses

iesionssontexptiquespartacircu-

!ationa))df.miua)e.Xt,2R3.–Cer-taines lésions déterminent )'s)hu-minurie. X), ')(; La piqûre du

plancher produit le diabète X)

''6:t,33:X)V.3G'),8a.-Voy~

~)t'f?)-f/t<~Mn<).t(.i,.t.fHfr)Cu/f

QUERCtTE. XV)!. 33.

~~K~E. Voy. SK~fe ?M:Mi,,c.

<t't?fQU!~A. V{!f, 3RR, 3'!R.

HACKS, caractèresphysiologiques.

VfH, 2)2. Variation des pro-priétés du système nerveux. )X,~6. Chez les races inférieuresla résistance vitale est plus deve-

ioppeo. XI, Si. Chez tes races

plus élovées, la sensibilité ner-veuse

est plus développée. XI, 24.

)tAt:mD!E?t(CAKAt.). Procèdes opé-

l'atoire.,i pour t'ouvrir. XI, t'!4.–

Après sou ouverture, les nerfs

peuvent devenir inseusihteii.Xf18t.

KACmDtE!f~t!S (CELLULES!. Yoy.C'M<ftt:e''ft'!<M.

(PAtREs). Voy. PHt)'ts nfft'FMes.

–iRAOXES'. Voy. fff)c:'<t<:< ;jfru~tt.!Mdes p<)'e.< t-nc~t'/tcnttfs.

H.ACHtDt)ti:~S (GAKGLM- Voy.f't<~t'OM.

–('\EM-s).oy.~r/c'A;f/;Ct)i!.

nACHtTtSMUartiticiet.Xt,).ttACtKE BUL)tA)KE 'COURTE' V

S8t).

MEt)UL)LAmEfGBAKM). V, 2M.

nACMKS Aj\tEmt;t-RfS Voy. /t<!

C/ttM Oio/rt'cp~.

ME

LA CtK~CtEME PAIRE. Voy.

CtM<yM!eMCjt)a')?'e.DE LA t)ELXtËME PAmE

Expérience faite sans ouvrir tes

artères. tV, X3< Cervicale, aXe-

rations nerveuses consécutives

la section. tV, 237.

MOmtCES ou APfTEatEURES

tV,<i3, t[3.–Expériences.IV, ]H.

Interprétation des faits. IV, ur).

Page 290: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

T,U![.H A[,f'))Am;TiQUE ET A~AL~TtQLE2~ i;

Action des courantsëfectriques.

tV,)'H.–E))escorms))ondet)t:fU\

nerfs rut) tours. X,9:;8.–Eih's

''ont!!t'nsi))tes.X,2M.–E))cs

servent 2a déterminer les niouvf-

mcnts.Xi,)S3.–Ont-e)tesdns

titjressensitiv(<s?X).)85.–E)tcs

continucnt.~vivrt; parte bout con-

tra) dont t'extromiK'se transforme

'n une petite tumeur, taudis quele bout périphérique s'atrophie.

X),)9t.–Leurs fonctions. XI,&tT.

RACEESKt:RVËUSES t)ES PAt

hES hACt))DH!KNES. IV, 2~, 34

Xt,n:i.–Leur origine.!V,2~

Leur distribution. IV, 26, Ëpui-sement cause par teur~ivisoction.

IV, 58-60. Anatomie. !V, 63.

Qui entrent dans la compositiondes nerfs du membre postérieurchez le chieu.!V, 66.Expé-riences de !;ensibi)it6recurr<'ntu.

tV.'?5att2;Vi!f,3M.–Ronne-~

ment de leur extrémité après la

section. tV, 9'Leur associa-

tion deux à deux. IV, 105. Ex-

teptions. IV, t0j. Leurs fonc-

tion'i.iV,!)3;Xt,i83.–Leurattëration après leur section dans

la région lombaire. IV, 243.

Leur sensibilité. tV, 246. Leur

influence sur la pression du sang.IV, 282. L'opération de leur

mise & nu agit sur le sang et arrête

la digestion. VL 123. Elles se

divisent en sensitives et en mo-

H-iees.X!,t6i.–Chez le chien,leur disparition anatomique, Xt,175. Moditication qu'oUos su-

bissent après M'aircto coupées.Expériences. Xt,tm,388,389.

Organe distinct do t'encophaieet de la moeUe, quoique juxta-

posé. Xf,!M.

POSTEUmuMES. Voy. ~aon~

sensitives.

SENSITIVES ou POSTKtUML-

RES.V),63. 232, 2M. –Leur con-

tusion modifie tes résultats des ex-

périences de seusibitit~ récurrente.

tV, St. Usages et fonctions. tV,

n:i :t 120, Mfi; XI.5H.–Leurs

ca)'ach';rManatomif)HM.)V,M*

–Expérience sur la deuxient)'

paire cervicale sans ouvrir les ar-

t<'t')'!i.!V,3(!Apres leur sec-

tion,rcuncmcutfhthoutcentratct

desorganisationdubout périphéri-

que. fV, 240. C'est d'ettes quf

dept'ndiasensibiiitoanonnatedcs

parties cnf!ammë8s.)V,2i5.

Hxperieuces. !V,255à2C6.

(~deme amené parieur section.

IV,'25C.–Leursection ne parait

pas altérer la nutrition. fV, 25(i a

?C6. –Produisant les mouvements.

)\ 265, '!?5, M5. Leur iunuRncf!

sur fes tttouvcntMnts du cœur. )V.

2M7.–E~cscorrGspotidentaux

nerfs!;ensitih.X,238.–Ah'ursfonctions se rapportent tuuj<jur!<les variations de ta sensibilité. XI,ttit. –KHe'; sont les dt'miut-esà 11

perdre )asensihi)iteot les pre-minr<!s à [a recouvrer, chez fes ani-

maux soumis & )'auosthesie. XI,).Si. mies servent & transmet~

tre les impressions sensitives. XI,183. Otit-cUes des fibres mo~

trices?XJ,t85.–Leur section

détruit toute Mnsibi)it6 dans lesracines motrices correspondantes.XI, )8< L'extrémité périphéri-

que s'hypcrtrophie. XI, )i)).

Voy. Co)!<M/o?! afM )'<;e:?iM pos-/<CM<'M.

HACtNES DES VEGETAUX. Ab

sorption do t'acide carboniqueXVH,2M.

RACK.XYJf.tM.

MAUtATtO~ SOLA<hE. EUe donne

son énergie au protoptasma vert.

XVI, 213.

RAHtCAUX DE LA ViK. IX, t362~.

MAtSM. Voy. Sucre de )aMt7!.

RA!SO~f, elle enfaote les systèmesou la scolastique. XVIII, 79. Sestroubles sans lésion matériello ducerveau. XVIII, :i'!U. E)ie sertde point d'appuiàiaphysjotoKieXVfH,4M.

MAtSOKKEMENT. VDL 23. t) ne

Page 291: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

HMŒ.t'VHKS)'EC).At~KREH~ttrt. 2'; 7

contient pas t'en'enr en hti-mf'me.

X!.48ft. j.

RAtSO?)"\EM!:?(f t)EMO\STt<A

T"

–EXt'ntttMt~TAt. VtH. )!, 48.

T!,85.L'expérimentateur ncse

spparepasdot'obset'vatinn.vfn.)

t?iVESTtf,ATtF VU). '?.

KAJt!U?<tSS<;ME?<T X\'L 3CC.

RAMAt'X LARYMiES. soppricur f't

inrcrif'Ut-.V.;it8.–Hcf-uitat'i va-

ries detcur section. Y, ~i!).-

K~p)it'<ttio)).V,3M.–Ex))('riencRs

V,Mt.

HAMOK. H), ?53.

!!AKV!EM. rapproft'o <) type Cf))u-

i:tirei!t!ihrnnervf}ut(;.XV).)8.

RAffËL A LA Vtt; XV, t:;t.

t<ATS,sotUtiisattc)))<)rofo)'me.XH.

M-–)'n'etsde)amot'p)ti)n;

9<K).-N;)rcotise<XH,;)H.

Moycus de tes saisit' et (te les

maintenir. XV, t)0.

HATE. iX, Si XV, 2M. fnftuencc

de l'extirpation sur la sécrétion

pancréatique. )!)'Sonnb)a-

tionn'emp&chop.ts information

dei'urccnidei'Midcuriqne.Vt).

72.K'itirpat)0!)dc)ar.ite.V)),

'i2t. --Sur des jeunes chiens. \).

iM.–Apres son extirpation, tes

~ans:lionstytTtphatiquessen~or-

gcnt. V)t, .422. (~ou)eur va-

riahle du sang. Vj), 434. Con-

tr:tftion.Vn,.42~,4'Circut.i-

tion MpiHairo. V)), 'tM XI, :!(!

–S<'a.nerf').Vf{,X.').–Destruc-

tion des ncrt's.YH, 42' Régé-

nération. iX, )()2. Sanp; veineux.

XH!. <88.– Vny. Ctrc)~a<<o;! da'

~o )-ofe, i\'< de /H ra/f, Sa?!y M!-

?<'?M.r'/<r<~<

MATtOK d'entretien et ration d'ac-

tivité. XtH, 400.

RA'f)OKAHSME. Xf, 48).

MXt'ERUIH~TAt.. Xt, 485, 505,

5)4.

HAt!H! professeur de médecine

auCoUege. do France.XtV,'i!3.

tmACTtF ttË MAKCESWif~ X!V.

H 4.

nu ftOETTCER.XIV, )t?.

ttEAf:T)t HES <;KH~ LES HLY

'.OC'~tQms. XV)!. <).

<H'RO t'fUASStQUE Action

su)'i<ucre.t.4')teduit.par

tec)))oro!f)r~)e.).3.'t'))ece)e-

!-Un"!Jf!Urs!apr~M't'CC<!<)suC'

'juandc''tte<!<'rnif're substance est.

m<)an,t''eavect'a))iun)innse"[.8.

F.xamen <)e cette opimon. t. 4.')9-

K\p'n~ncfs.ï,t.'ti~.

nt; t'Ët)n?«,. \[V, ni.

tOME. X\ .');.

nE M00)t< XtV. ))().DE TROMMKK. X[V, ))3.

HEAC'ftt'S proprps~ (tistinKUer les

sucres et a les recounaitre dans

les divers tiquidcs animaux.t, M.

Rcsistancu des Ypnms. X). ).~2.

CtttMfQCES. XV, ?.'i«.

PttYStOLOOQUËS du sucre.

x!v,in.

–HELA V<K,tes poisons.)tt,)9.

«E~CTtON des médecins hy<tro-th6<-apiste.<X{,2'").–A fa sti-

mulation des agents extérieurs.

XVt,?~.

–ACHtH du sang, elle est impos-

sible pendant iayifj.Vt.tO.–

[)c t'urine.VU,9ià2'))u tissu

muscutaire.Xf,t57.–Ru suc

gastrique. XV,)(!).

AL(:AtL.t\E du sanj;. f':st-e))e

duea.descarbonates?expGripnc('s.

V), ;t'J. De l'urine. VM, 2[ 27.

–COKSCtEKTE. XVt, 283.

-Dt; CURAGE.lU,4~3.

!tU (.LYCOGÈKE XVit, .5.

nu HtjYKOSE sur ie réactif cu-

propotassique en présence de

)'a)buminose.H,4'!5.

nE L'tKTESTt~. H, ~S; Vf,(,

38. Ses rapports avec la réaction

de)'urme.!t,'t.):VU,t9.

MES HQ~ tDES tKTES UNAt X

Au de!à du pylore, ei)R est entiè-

rcmf*ntyariab)e.XV,)';0.

DES HQmnES )tE LOKGA

!f)SME. V), 36. Fixe et mobile.

Vi,38:Vn,)8G,3':7.

M«TH)CE. XV), 2.S:

UES PAMOtS t?iTESTt?!ALES

XVI!, MU.

Page 292: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAt!t.i';ALi'i),\[!ET)QU).t':TAXAL'tT;Q(Jt-:~8 8

KKACTtO~f M' SAKH. Vi, 4)) )X.

48. Changea par !a ~aivattisation

des vagues. VU, 220.

–t)USUCt'AKCttÉATt~tJK)),)K.

–M;LA.SMEtJK.).;<VU.)S)!,

i8M, )?),)!)).

nu TISSU MUSCCLAtME \H.

t':3; XVU, ).

tH! TISSU t'AKCRKATtQH: )!,

3M.

HKS TiSSCSAKtMAUX. )), .?«.

DES ftSSCS GLAK!« LAttt~S

H,3(!8.

HKS TtSStS Ct/tCOGENtQ~ES

X\ti.)3).

–nESmU?<ES.n,4M;Vt,:)8.

Rapports avec la réaction tntcsti-

M)e. )f),.t. VII, )0.

MEACTH~'S <;mM<~t'KS. qui s'itn-

con)p)isseut. dans is sang entre les

ctôtNeats nnncraux ft tes matc-

hauxot'ganifjuc.'i. !)!)(); Y).4t!).

–CoUcstjuis'opArcntdanst'O)'-ganisme vivant soHt .sou!))iM8 & )'in

th~'Htc Merveusa.Xt,94<. –C.etkt

qui s'optent aud('()ans<)e t'eco-

tK)t)tico)~'is9t'utautm~ntef;h)i<

que celles tjui s'opèrent au dehors.Xt, 2)7. --KI)esaj)))a)'tienneHt en

t;:eucra) & rot'dre des fennenta-

u<M]s.Xt.X~De)aYie,h"(

uet'f'i n'agissent f)U'& titre d'exciia-

teuf's. XI, Ï49.

MES MtJSCLKS. Lout- t~tation

avec la présence de la matière

gtycog&He. XfV,560.

–ttËSrfKtttS MOTEURS JV, )3G

!<iUTRtftVESou TMOt'mQUMS

XVi, 983.

rATHO~tX.tQUES. Le sy'ttc~'nerveux 6ert~)eur)t)Mtf<tati()j).

XI, i'

!tU SE?<T!MEKT. Leur gcaera-

)i!;ation.!t),M;J\5t.

DU TUBE OtGESTtt- Leur atx'r-

naLncctaionKd~tubodigestiC.X,384.

RjÉAUMt.'n.Kxporicnco.urhdi~os-

tiou.XV,-)m;X\')),C:Oige<

tiomartificit!ites.X\')t,3m.

HECAM<ER, protesseur de niede-

cmo au Coiifga de FraHco. X)V, 29.

HECHAt FH;M<f <:<)[)sideratio!)<

gen(jM)<'saut'sf'sc:mso!X))),m.

HCCUKUCMR ËXt'MRtME~TAU;

Kt)Rapourpni))tde(!cpat'tutt<'

obs(!t'vat)o[).VfH,2<:(; E))e a

pour point df départ une hypo-theM OMHne théorie. Yiit.Ma.

Xccessit~ (ta )a comparer aux ob-

servations c)i[)i(jU(;s.X[.))&.

scmxTtFt()rE.Yin.2.').MMCU'ttOOTH. Eite Cin-.tCtérhe )n

!icH (!c cause a efTet. X\'n. :<!M.

ttÉCOAG)L't.A'n< du sang. Y'f, 08.

HËCTCM, le curaro est absorbât)))'.

n),84.–Tf'mp6Mtm-n<t!tMte

dia'K'to aritficie). IV, 455; V! -45;).

–8atetnpCMt.urf.V[,)~0.–La

;5t'<:tt0t! de ses ucrfs dintinuo sa

température.t,!59.–Ane!:n.MM('

par te rontum. Xf), 69. Vo).

~fMyMeM!!f w~<!«'.

m':C~'L. Voy. Afo)<t)pn!tyt< </<* )'«*«'.

ttMCUKnKN'T (MocvEMKï). Voy.~OMt'emt'/t< recu~'M~.

RKCUMKE~TE (SEfSMtDTÈ). Yoy.SfM~iAtAM.

KEHtNTKGKADOK. IX, 900: X\),

M2; X\'Ht, ~')7.

–CKtSTAt,LMK. XYt, M; XYf!).

n3.

-BE L')!t.KMt:T. fX. )0h

HMMt'CTtOK. H))e u'fst pas pro-

duite etctush'ement par ies v6~c-

taux.tX,80.–E)ieeti<)t<id&ns)(;s

deux règnes. IX, 9t. Cette

putSMnccest & fou maximuM daus

tes vPgetMX. tX, !)-i, 208. Com-

pitt'co la co[ttt""ttiot!. XVii, .')!:).

KKt'LEXtj (KÉFt)MÉnATtuN'). \'0t.7i~t~e'h'on.

iSESttBtUTKj. V'ty. Sf'nstAt~tf;' )'<<-

~M-c.RHt'mXKS fAHT)u.\s;. Vf))-. ~C/M)!

t't')'f.<.

~MocvHMEM's). \oy. A/OMeeHte)t<.s

/<rfi.

BEt'XKXATFUH (\EKt-). Voy. ?)/

)'<r<<!t<t<eMr.

H~t'ttt(.ËttAKTt-: (THÉnÀ)'RCTtQUE').

Voy. ir/teropeM<«~.

nEt'tUHEH.A.TtOM dans le traite-

mt'nt de la Rt'vro. XH!, 4~)9.

Page 293: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

[)ES ŒL'VRES f)K CLAUDE fiERK.Uif). ~79

!M.').–rumination du sucre.), 1,

~i3.–Hypertrophie dano te dia-

'-ete.t,42().–Modificattonsde

température du sanR.Vt,i3~.

f~imiuation des substances. V!,

S'if.–Uciimmetupru'i'iate.V!,20. ~tat fonctionnet et état dp

repos, rouleur du san~.Vt,M.

''98, M'.). :). M8.–t'our.)uoi)e

".Ut~ veineux reua)cst-itrou!;e? `?

\).29S.–Apparci)portRrena)<'heztcsK''euuui))es.ex;tmenau

peintde\uc()et:tcou)eur<)usanp;.

Vi.0.').–AftiondehKa)vanisa-

tinndupi)eumo-!ta'tt'i()ue.V).0').

–ttc.spirationd)! tissu. Vt,30'),

'4tM.–Anaty-c compara tive des

t:axdosang.du)'t'nt~td<')a

v~inf'renatc.V).38t.–Fonctions

f<r)rcu)at)f)tt.Yf..i!)C:Vjf.):,)~. A

)')t:\t.3(i5.–Destruction des

nerfs. Vf..t9< Vit. :).–Extir-

pation des deux reins nu d'un

St-utrcin.t.4'.)(!;Vjr,8.43& 1

M;Xt,9U.–Actions chhniqucs

quis'yaccotnptis'tCnt.VH. !().–

))mudifi<'tep)u'.siat<rotief',)acidc

benzui()Up. les suhstancf~ odnra n-

tps,['c-iscncndcn'n''b~ntt)inc,)("{

asperges. VU, )().)). )9, 2)3.–

thpothcse d'une communication

dit.ccteavcc)'nstomac.Yf),)d.–Voies cachées entre te rein et

i'cstomac;.substance qui passade ('estomac au rein sanssc re-

trouve)'pat'(oMd.')ns)esanj{.

)t!,t'Uptimincetnesecrete

~.st'u!-éf.V'),JX.St:La

secliftnde')pr)'sproduitruremie.

Vf). 38. –Ah'ati'))). expériences,

etTets.suppteancedetautrerein.

Vif, 40; tX,<n;Xt.t8.–Fonte

()urein.VU.).–r;.ecdans)e

.sang, après )enr extirpation. VU,43 :t ~2. Après leur extirpationle suc gastritjue devient ammonia-

cal et augmentede quantité. VU,

1

.'t0.–Apres leur extirpation. la

formation du suc gastrique n'est

plus intermittente. VU.;)) a. M.

) –Apres teurab)ation,)es sets

) ammoniacaut prennent naissance

continue dans la fièvre tvphotdc.

Xfn,4M.

KEmtf,E<tAnoafnmt.t:x);.<fs

pheHomf'ncs. du m~mc quf r<'u\ dp

f~iorifiMtion.peuvent )''tra indé-

pendants du t'ëtM des vaisseaux.

XIII, 297.

ttEmOtntSSEME~T inegat du

cœur. t, 204. Des petits mam-

mifères. IX, 45.–Uumitif'u in-

térieur. iX, t83. Considérations

générâtes sur ses causes. XIII, )94.i.

–t'utmonairc. XIII, 191. De

t'animai.XV, 395.

tŒGÉ~E<tAT!0!< dtei! les animaux

infcricuMetchezteiiatumaut'iu-

p6riours.X!,6.').

nuCOKMJtTfA~CnÉATtQUM

\),6&.

t)E L'EtjMME~fT. IX, ÏO).

–t)t':LA<;LA~t)E.X,t(M).

HES KEKt'S. tX, 2t8.

t)KS NEKFS MOTE~BS. X, ?60.

-Sa marche. X, 20.

MES OS. X\'m, ;32.

nE LA MATE. )X, 102.

REHtME. Son innuenco. XYU, 377.

–Dohviandc.XVn,

REGXAULT. Sources de calorique.

XV, 35.

RECKAtJLT et KEtSET. Kxperi''o-

ces sur la respiration. V)! 3;

X\'H, 20i. Hxpériencos sur les

marmottes.X!f,328.

ttEGKES DE LA NATURE. Hntre

animaux et végétaux, chacun fonc-tioune pour soi. I, 130. Produc-

tion et destruction du sucre, carac-

t6res communs. i,)3t.–tJnitc

vitaia.XV).)?!).–LHur(!it)'eren-

ciation.XVt.tM.–Lept'oto-

p)asm~pst)cMt'p!tY)vat)tt)e)aceUuicd.instes deux règnes.XVt,

!!)3. Ils ne peuvent être Jimites

parieprotop)asma.XV),2Ui).

HËtiKESStOK de h giycose. XVJI,3'!6.

ttEm t.Ar!OK CALORtFtQUEVoy. C<<o;-)/ï</M<' (Hegu)ation).

)tEt?f. Sa sensibiiitu excrétoire n'est

pas eveittée par une très petite

proportion de sucre dans tM sang.

Page 294: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE A!.PHABÉ'r]QUEET ANALYTtQU)!?80

dans)'intcstin.\U,M,M!Sadans l'intestin. Vtt, M, 5C. Sa

I)~sionn'estpourrtf'n')an<<t~f)ia-

b~tf':i)n'cnf'stj)!t'<dt'u)~)n<'pour

)a)uuminurie.V)!0.–Mcuftu

<));tiad('pariuj(*ctioupr()h)n~t'c(t!

sucre.V)).8'Sastmctun'.Vii.

).')().–Qup))cmodt<icatiof)fait-i)

cprouvcr au'<a<tt!juitt'traverse? '?

\n. ).'().–(..<)))()i(,it)n<'physiques

'h'facircuia)io)).\)f,)5t.–Sann

v('h)t'n\n.)ft).)<!)))'!tn'

disparaît.vn.t.Ap~r)<'[K's.

Vn.tC(:it)':(!;XU!.)(;8.-).!t sec-

tion'tes nerfsi!~]nesurh'0('ration

c(<'a))sc)amort.it,K!n(!

0\ygt!)K'd!tns)a'iat~f'incu\.

'm.KjM.–Kt)'(;ts()H)'i')'-uft')<ttiot).

Vt),9i)).–Aprt''st'cnip()is')n))e-

mt'nt.par)ncM)-are!.VH.3~m.

San~ anatySt' par t'oxyde <)f

carboof'. VU, 49). –Quantité

(t't~y~t'nc contenue (fans t'ornant'

eu repos cton fonction. \t).):t.

–K\perienre()('GIu~csnr~tCou-

)curdusan~]),-i'i'i. Knca-.

fi'ah)atiot),t'nreocstciimin('f'parht

surface intcstina)e.X).t!J.–)))-

OtK'nce du système oo'Yettx.X).

ari.–(;a)o)'ifiratioa.Xm,)8'

tj("i<)frcd<')'ur[ne t'npst-i) un pro-duit patho)ogiquc"X.tV,tO.–

Voy.JW~'<<'Ma/<(ft~)r!ca<tf)M

t'<'Hft''t'.C<tpt:<<e!M'-t'<'n~/<(t)'-

Ct</N<tt'</M.er<A'M't~<

''<')~, ~~M/<'(Sccreuo))'<t'Mo<c.s'

(Anastomuscs), ~a!)~ fet'teM~ f/t<

tï)):, Sang ;M/, ~f!MM <-<'))<!<<

itELAT!!t'r<(foKeTto:tnt!).X,]05.

–Yoy.t't<</ere/<!<t')M.

KUMAK, ses opinions su)' la eontrac-

ti)itc muscutaire. XI, 2!M.

Kt.MKtX.S MEMO~~KS. Vm. :!(::);

X!, ;ï;

HENAtSSANCE. Lit physioiogic a

cette époque. X\'i), 4:!f:.

REKALK (S)!;c)t)!:Ttu\). vn. ).')).

Ap)'<s insut'Oatiori et Ctnpoi.soxno-

ment par curare. V)), ï:)!').

KEKAms (ANASTOMOSES).XVt),

(Y'E)NtM). V. )~MM t'n/<t.

ttEXAN. Discours de retcptiou à

t'Acadfn)ieft'aucai'(().X)X,3.

KEKOVATMK. Compara &)a dM-

trnftion.XVn.Mt. --Moto.n-

!atru(!ci'<)!-KaHisnic. XVii.ï'~j.

48;0)-~anifju<\XV)if.j:8.

Hisito)o!{i()uc.X\'H(.)92.

)<KOM<:AKtSATtOK XV!)t, )8(i.

R):t'AtmT)U!\ CALOtttFiQ~E

X.[U,2').KEPOS DKS RLAXOES. V). :!?).

HË)'ttODt'CT<Or< <k's mf'mbrcs. iX,

)Ut.–Xoco'taitiS tissus chc.:

t'hoa);t)C. XI, G<<. !)ps )'CYt''tc-

mGnt.i!epithctiau\<)esmuf)UCHSM

ot dostiquidc'idRt'or~anismo.

X).<n.

~)Et'M<)<H'CTtOj\.Seso!'ga))cscheï

)csOp))idi!'ns.XVf,~)().

)ttîPTU.H!-i.G)a~de<.K!))iYai)'m.)).

'40. Pancruas. t), 'i. Hmpoi-sonncs par )e rurare. Xf, )38.

(..tytogcncse. XV)f. tUt.

RÉSEAU CAt'tH.AtHK. Met en rap-

porth's voies ciret))atoire<i!n)-

guine.s avec t'on~inc d(". voies

)ytnphatiqucs.X),3C'?.–Soxfic-

vctoppemcntctsa'tisposition.XY,

SX).–i) est indcpcnftantfh) resta

det'apparfitfircutatoirp,aussi bien

au point <tc vuodo sa M'*n('st' <)U'au

p')iftt<t('vucdcsestunct.im<s.XV,

:M2.

t'ROTOPLASMATtQUE. XVi,

29!).

KKSEKVES OE MATEK!AUX NC

TtUTtt'S. XtV, M; XV), )2).

m;XVtt,):t6.–M!tns!avio)a-

tento.XVt.tM.–EHfs.soutu'-ces

Mpifi f'mcrttpat'if' animaux ré-

vctticspCtidaxtt'cnsMur'ti.'tSonpnt.

XVf,K)8.–Lfm'npfcssitopou)'la vio oogourdic. XVt. t )0. KXcs

no sont pas nécessaires dans t'cn-

Som'dis.'iement passager comme

dan!re!)gout'disscm(~)tpt'nh)ns~.

XVI, tt). –Leurentmagasine-

mct~t.XVi.H:Leurs produits'iont<ransf'ormf's<'td)'('ontpo<i)'s

par faction des fomtcuts. XV),

t<i:Lettrr6)c.XVtt,)i().–

Leur digestion chez )t"i végétaux.

XVU,332.–V(jy./i<im<'H<s(/<'reM)'M.

Page 295: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

[)HS<EUVt!M))E:CL.U'[)EHRRX.U!!). ?) f

KES):ttVES n)!FE<:ft-t:?)TS X\tf

M.

GLYKOS!QH:S f.c f~ip en est

t'futreput.XV! :(;.

-n'OXYGHKE.Xvn. <!)().

–Ptt()SPMATt~t.'t!S.C))~x!~f')''tus,

des ruminants t'tdcs pnrrhis.!

XVH.M.

KHStSt.t~CE A t.'ASP!)YX)K

Des pentes. XV!f. )M< !)cs!

jeunes at)itnan<tS'.).

–ALAC)tA<m'tt<;XTEKtt:(KË

<Ut.eet)nccan)'mc.XU).4t).

XES KTKES E~GOURDtS. \V),

!0.'<.

–ALAt'tttVATtO~nAt.tME~TS

X.4&

nu TtSSU F!BKEUX )X. OR.

VtTALE. Plus (icmioppf'f) <-hM

les races inférieures. XI. '2\.

)c<'r.icpsintericm'es.X).t. iKESORt'TtOK nt!LABt).t: !))!

nuc))ce(fu'st);tn<!t)('r~;u!f),~

'2)(!.

RKSt'tRATtOrf. t!f. !);): V. 3t();

tX..iO;XV[.f20:XVn.)tf,)~7,~

MU.–Le t't'oid fait diminuer )('

))ombM(ies)'cs))irath)ns.t. t!)t.:

–tnf)u<'m'osur)G<)ia))<tf't;)t'

–Ch<<if'))aj)i)i.sf)if)U<<t,X;)'t.!–Ëpuiscmc~tdc t'oxyucncdo-

)'air.U),t)f).- Limite d'yRf~f'!

dans M fui)i(;arf'sp!rab)<])!

)'(). -Kt)c vicie h; miticucno-i

<in(', et te tait diminuer (te vn-!

turne. fff. M.EUc diminuer

t)ne,itmo'<ph(''re)imitep.m,908.'i–('est, uttphennmf-nn d'échange.'

c)!editfcrcs<)usccr!ippo!'t.(tet!t~

cnmbu'ition.!)!. 3)!), M~ ï'').'

M(!;Vn,)t.–Sa()~ntitn<)

rapport avc< la quantité du sanp. j

iff.-MC.– f,< c)<raf'ct)ic<~)!

t'arrêtant. tU,3(i8. –!nflu<~if<~

(i!')amn('Uet''pnii)'r(;snr ses acte*.

nu'camques.IV. :;8S.– t.c n~rfspi-na! est son nerf anta~ofuste. V.3-4: H))c est plus r~rc et ptus

tarKC âpres la section dps pncum'~ )

~.tstrifjuns. V, 3C:). )';)î(.'t.s de h

seoinn do pnf'~mo-Kastrifjuc. V.?.'). tnnucncc sur la e)).t)pur <)u

!!af~.Y'f.);)7-)!f!appo).ts<j<j

'-Ohacti\'iteavef)cpon)- Vf.?.

-"S.['jn!f!resif)');{f-ottie!irdu

sann.V).i:Acce!ce~par

injectio!td'e(her<tans)es;tnf.V)).

-i<!<nf'st~nedesph<'tff!n''tt<'s

distincts, che?.).inima) et chez )e

Yeg.'t.t). IX.').Ktje est un<-

c"Ut!)usti<Mtdapt'"sf.a\"isie]'.X.

9)3:X!n.9?.–)'t)ee~tcc.mpa-

rah)c~unccutn))usti.'n!en)e.

ïr!;XY')),));').S~sr.ati.n)s;ncc

)f!t;i). ;!?.)')~~t~)!f.n~s,

rhimi()u<<jui'<fp!tss~nt().ih'.)e

!;)ui)t))n roug.xn. ;()!).–))ans

t'asphyxie p:tt')()!;y())'f)<'cat')~~e.

X)!.4'!3.–S<nfMhti.'a)i<<<)ans

la fièvre. \m. 4)8. –S~)m-

<)uen''c'-urta circulation. XV,

!i.SO.–Base dota ftisuoftiof) pn-

tt'o)~ animaux <'t)f'svct:('tanx.X\t, )3t. –nistnritjun. \\f).

t.).–T))<o)'i<\sphv<.ifjm"n.

t.')}.–Aristutc. \\U. !Ca-

tien.X\'tt.)M.–))c-;cartf"<V)!.

t.')?.–Boerhaav~.X~j). ).')-

Th<'orif"!mc<'ahiqn~s.f),)'

Hales. XVU.tM.–TtH'orics

c!)i<niqu~s.XVft.[.')9.ta\'oM'.

XV)). ]M. B)ack, \VU. ).

Prietttcy.XVtt,].).–).a\'oisi<r.\YU.).4.-LaKran}.:(\Vff, ).

–BcntOuiUi.XVU. ).')'Spat-

tanz.imi.XVU, ).')(;. Varict~s

(tes mécanismes )'('piratoircs.pt

utUt6<iu))ttt.XV)f.n:t.–Trou-

)))es auxqucts ces mécanisme-;

sont exposés. X\')t, ~8' )'.)'

CpRtunf'r''pr't''tf't;ra)e.XVtf,

!7.–Expériences de Priest-

tey.XVi), )<!).–Expériences

<te Re~nautt. et Hei-ct. X\tt.

–)'J!e)~e<.tj).is))neft)m-

t)n"itiut), c'est une fermentation.XVH. '!)?.–But. et moyens.

XV! 9!3.–PnM)m-tif)~()e)a

cha)p())'.X\'n.2)i.–['r~p)'emp[~

dite, c'est un phénomène fonc-

tionne) d'ordre purement, chifni-

nue.chex tes animauxettf's végé-

taux. XVt). 23: Hiïetsdtt fonc-tionnement des t:)andes. X\'ff.

'!)().–Scsett'etssnr!ac'')ntrac-

Page 296: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAJiLE AU'MABËTtQUE ET ANALYTIQUE2M

tinnmuscu)airt'.XVn.U.–)'~)''

sprcduita)aproprictt'd)t~)()))u~'

.<'a)t~ui))'j)'ia!)rontaft<)c)'ai!'ab-

sorba i'o\yK'<t('~)~t)ct'afh)('

carbonique. XVitf, 2fi8. –V'ny.

CoH!<'K.!<!f7) )'e~)'ra<0t')'<?. OtM-

/Mm<' )'Mp!a<ot'<'?, AffM;M)e<

i'M~t)'n<0!t'S,~OMt)f'n!Mfii)'M/)!-

''a<())')'M,<<M<')'('.<<'<t<Oi''?,

A'M'/s t'es/t)''ft~)'M, /'t)Mn!on.

RESPtKA DOK HES AKtMAUX !X

;)8;XV).73.–K))on'<~t ))!<<;)o-

C!t)isec()at)Sunorgan(*.tX.))'

Tous )cs tissus et tous te'! ctc-

ments respirent. IX,tS.

SAKS APPAMKtL. XVU. )').

ARTtFtCtEt.LE. Uf, 9.M. M. I.

38i,M.508;XV.m,M!

Au~niont~i~ssccrcttO~st't tnit

passer !('sucre dans t'uri~c. t.

3.'))..M),V!.93.–Rctab)i.s'.a))t

(t'ahord les artcs mt'caniqucs. puis

!G'!aL<'tcs<'hin)iquc!'t de fa respira-tion, t)f. 93'(~)mmn moyen

d'(''tndcdc]'a<'tifndusanf:nnir

snr)c'!('r!:ancs';ccr<t<'ur<t.).5<);).

Pour r<tab)it* t'anima) onpoi-

''u)tt)6pa)')pf)iraro:c))earr&tc

)<"icR'fts f)u<'urar<XI, Ut'

X\)f,;«)<A!)parci)<!0tnp!oy<<.

xv,2-M.–Soum<t.x\r).–

Appar<'it<fc'chw:utn.XV,2<

–Comme moyen (t'ana)y.se phy-

sioto~iqne.X\t3().–HHt' }~~

duit t'apnee. XV,'}3C.–Lésions

despoumo!i!i.XV.44t.–KHc

produit la (iy.spn6e.XV,'t3'

Dans t'asphyxie. X~ii,tM.

DAKS UKR ATMOSt'HiEMU COi~

F~EE.nt,)().CHL()H<)t'um.tE?tKE. (: est un

hit nutritif. XVU, 9:4.

t)U CUYLE. V)), 'i'M.

MES ELEMENTS. )X,58: XVtf,

JT!t.c san~artcncttuifst des-

tine.!X,)88.–H6)e')fs ftements

anatomiques.XVn,m.–Hûif'

des R)ohu)cf!(])t sang. XY'n.if'tO.

-Mte()e)'oxyf;t)tc.XVH,2<):

Kxpnricnccsde Uuionpet Onsproti'.

XV U, '<!(?. –Voy. /<<'s/):)'aftOM~M

ntu.<c/e~, <!M/)t)'a<t'OM <<<'< <!ssM!.

HESPtUAHON DES HQUDES

Vt.~90.

SE LA LYMPHE. Vt!, 420.

DAKS < N MH.tEU COMttKE

III, ))A. !9)). fiMUon d'oxygène

pt accunmlatiou d'acide carbo-

nique dans le san~ III, 2t;i.

)'pe)'iences. )!t, 2)5. Courbes

(le ta respiration. tH, 2H.

MUSCH.AmE. 3t) X. 2)2.

2)'); XIII, t<4. )4' Action (h)

curarf. 34< Avec oxyde

de carbone. Vt, 'i()&. tnftucnce

()<' la tctnperaturc sur son iaten-

sité. V), UO.

l'iOCTUm~HOtirespn'ation à t'om-

bre. XVtt, n9.n'OXYnE )))! CARnO~K. Chez

un chiea vivant, e))e t'e!)<) son sant;

vf-ineut rouge. iU, nf); Vf. 38~

\'J), 470. Propriétés de ce sang

t'ougc. ttt. ]80. f9t.

nA~TS t/OKt'CE~K. E))o donnea t'orinp ta réaction acide. Vil, 22.

DE L'OXt'GÈXE. KOc s'accntnpHt

non dans les poumons mais dans

le sang et daus ta profondeur

mf'm<' de nos tissas. XI, 272.

M;S t't.A!<Tt:S. Voy. ~e~pi~no?;//M ;~<y~M'.

PULMO~AtKE. Comparée a la

combustion. Hf, 219, 22(i. C<'

n'est pas une combustion, mais

un échange de gaz. III, 2t9. Ex-

périences. III, 221.

DU SANG. Vt, 4(M.

DU THORAX. IV, 312.

HE8 'SSUS. !X, 5S; X! tM.

DU TtSSU CEMEMBA~. VJ, 4<M

DU TISSU DU FOtE. VI, '40t.

Dtf TISSU DES REINS. t, 309,

404.

DES TISSUS VEGETAUX. XVtI,

178.

DES YECÉTAUX. IX, .8; XVI,

2'); XVU, )58, )ti'); XVIII, 230.

t'~perienees do Van Hetmont,

\f), )f<8. KxpcricnctM de Sa-

)uccs. X\U, )63. expérience''

d'htgt'nhonsz. XVi[, !(!7. Hx-

periences de Saussure. XVH, tt!8.

Hxperienccs (te Sencbier. XVtf,

Page 297: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES (EUVRES DE CLAUDE REHNARD. 283

tions extrinsèques. XV!, 70. Ses

conditions intrin-.eques. XV). 7)

--Ëxpiication.XVL!)f).

t(ÉT~ACT!mK X, 79

MEYËTKME~TS Et')T)!EHAUX

des muqueuses. leur reproduction

X).(i7.

KEVtVtSCEKCK X, )!7.

ttHLMATtSME CKRKBKAL Traitf

par t'eati t'roidf. X)U, t48.

RtK~nesacrcH.rienneseppt-d.tX,M.

R!M<D!TECARAVERtQt;E iX. ]73;

X, 229. –Dcs~tenMnt.s.tX.27. Les courants c)Rctri'ju''sdes musciesse modifient. X. ''09.

–Marche et variation do ce phé-nomène. X, 22!).–Sit cause. X.32!). Production d'acide lac-

tique. X, 230. Sa productiondans certaines circonstances. X,

230. Prématurée. X), )M.

Chez les animaux tués par la cha-

teur.Xm, :)C,0.

CHLOROtOnMtQUt;. XJf..)7

DES MUSCLES. XI), ).

RtOLA~. Professeur de médecine au

C,t)t!t;gedsFrance.XtV,n.

KtTTER. Ses tois. X, 28t.

ROtDEtJK Mt SCt!LAHtt:. PtoduitRparia nicotine. )![, 4)t.

HO~'GEURS. Manière de les saisir

XV.HO.

KOSKifTHAL. Apnce et dvspnee

XV,.43!).

KOTATEURS OU ROTtFERES

XVI, 83; XVn[, ns. Leur systeme nerveux. t\, 506.–Mort

apparente. X]), Ht;.

tUtTATtON.parbtessureduccrtf-

)ct.!V.48(.Voy..MoMt'f)<)M!<<

f/f~o~<<'on.

Rt)USSKAC!Ém. L.). Les courants

ptcctriqut's agissent (te la même

manière sur les mets nerveux mo-

teurs des nerfs mittes et sur ceux

des racines antérieures t'Mhi

diennes.JV.t'!).

XUMt~AKTS. Leur estomac. XVIi.

2M.– Feuinet.XV)i,2;)t. t.

SABm (txjncïiOKs nt;). Dans tos

artères.XL!);).

(f!8.–InHuenfede tatnmif're.

XV)!,K!8.–In<)u"n<'cdf't'o\yi!ene.\\)),)C8.–)-.)ie doit t;t.rc dis-

tinguée dctitfonctionehtorophyt-

tienne. XVII, )<).

OESt'tRA rO!RË iAcTE~. XVI!, 92.

DÉ))cnsGd'otygcne.nt,UO.

(A)'i'ABE[L). Température. Vf, t()3.

Type schématique. XVt). n<

!C)M<")'RB). Dans la ;noe)te. tV, :!8S.

–'(FoMTfON'). XV!t, t-4' Sf".

caractères de nécessité et de con-

tinuité. XV![, 148. Unité des phë-1

nomènes essentiots. XY'U, )49.i

Variétés des mécanismes fonc-

tionneis. XV't, tt'). Sa signifi-

cation physioiogique. XV!f, 220.

Moyen scientifique de la distiit-

p;t[6r de ia fonction chtorophv)-

ttenne.XV)t,Mr).

KESt'tRATOtKES (AuMESTS). Voy.

~/tHte?t< tvs;)t)'~o'rM.

–.ËLHMEXTS.t.XVU, )T!,20C.–

Dans le sang, ils sont paralysés

par i'oxydo de carbone. )X, f)).

(t'AtSCBAUx') de la moeHc. [V, 3:)!.

(PffÉKOMÈXES). Leur identité. XVH,

H6.

(Vo'Es). Membranes vibratites. X,

120. Oycogèue chez le t'oatus.

XtV,500.

KKSSERREMM~t MKS VA)S-

SEAUX. Produit par les nerfs du

grand sympathique. X, 40'J.

RESTtFORMËS (CotU's). \'0)-. Corp.!

~'M~o/'Me.

!tESt]LTATS PRATIQUES. Sont

toujours en rapport avec la partie

accessible des questions scientifi-

ques.Xt,))0.

BESUKKECTM?i d'animaux tués

parte curare. U),223.

tHETtNE. Expériences de Magondie.

Xt,jt6.

MErOUMALAVtE!X,2~;XV.

422. Dans l'empoisonnement

par t'oxyde de carbone. )X, t8C.

Dans l'empoisonnement par ie

curaro.XVI!I.9(}2.

RETOUR ME t.A YtE LATENTE a

la vie manifestée.XVI,Ses

conditions. XVI, 70. Ses condi-

Page 298: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

T.\[iLEAL.PH.U!Ér!OUEf-:TA'<ALYT!0)'E38).t

SACCnAMFtCATtOK do t'amidon.

XVn,H.SACCttAKtME) Ht; de Sotoi), XiV.

!();))c.h.)t(.t.X)V,)<)8.

SACCHAmMRTtUE. Scnsihititc rc-

!ath'odMp)'<)c6d('s6.accbarimctr[-~

qups.X)V,i(;

SACCHAROntES {MAïtÈHE~. \e

soHt-<'tte<! pas des excitants dti~

t'oie.I,tM.

SACCHAMOSt:. X\tf, :i4. De )'u-

rine.XtV, K)C. -S:t digestion.~

XIV, :;Q; X\'n, Mi). E)ic est

UHe rpser\'e inipt'oprc )a nutri-

tion et. doit Ctre transfornico et)

g)ycoso.XV!),E'<tunt'dt"

snm'cos pt'incip.'tt<'sd<j{;h'<'o,se.)

xvn.m.SACS LYM)'nAT)QUt':S de ia ~i-c-

nouiUe.XV,ti. t

SA!(;KEt- \'t. 4.'). Son innucnco

'i~r)a.r!)pi(!it0()npa's:tf;e(htsuc)'o!

fhrt.'i tes urines.i'2~St)ui!i-'

t)«C!)cc sur L't scnsibiUte rccur-

rente. IV, .'<'?. S< )nf!ucncG sur

)a. cotoration du sang. Y'). 'i()t.

I)ansrasj)))yxie.Xf),~8i.–Son!

ionucnce sur t.t prësencc du suerc

danstHMnR.X~V.2)0, .4)2.–S~~

)'rc<)u<'nce dans ta prcmif'ro moitié

dR co si<c)e. XtV, Mt. D:nis)~~

ptx'ufnonie. XiY, 22i).

SA!'<TË CLAtttK t)t:T!LH! (H

Ëtudo des causes premHM'es. V)!

:!M.

SALAMANDRES. XVI, :<63.

SADCtNK. XVtt. 3.')4. E))e est

una source de g);'cose.xvn,4.

SAL!CYLATE OE METHYLE XVf,

3M.

SAt.tCt'H!. Yoy. ~.</<)'!<r<: </e M<'f-

Cf/~f.

SAUCVUQUH (AcmE). XV), 393.

SAUGEKtKE. XVtf, ]94, 354.

SAUVES (MATtËtUM'. Dan<i te suc

pancr~atiqM. )[, 'MS.

SAHVAtME(AcTE). H, :<S<).

(CE~TKE). Rcou)o)nft)t de sati\'R

!)pf(''s piqûre. V, j5<).

~:))U;U!.AT~ VU, 30') MO.

–<,f)tASTASt;Voy.J)~M/Me~<t~

('~t't'f.

SAf.tV.Uttt! (RANf.LM'i). Voy. H<H!-

~Oi'!M/<

-(MAT!H.'iH't'a!'t!R're. t),j3().

(Munt's). Vf'y. ~?<CMf .M/t')'f.

!SKCK6TtO.'<).f[,!01';V,)()3.)M;

VH,'M:t,'M?.309.&3~;iX,75.

Aprct empoisonnentent par )<'

curare. 3iit. Son m6canistnc.

]f, )05. (unuenco de i<t ciu-

<')uif';mH paire. V, )().). Ses oo'fs.

V, !)(! Pf'ut-o))'*)''t)'cd6te)'t))iue':

parmtf Mnsatio!) partie de )'R!;to-

mac? V, t<!(). Action du gracf)

sympathif)UO.V,)Ï<).–influence f)':

tUvcrsfs substances. Ëxp~rioncf"

V)t,XM.–[nnucnMdunerfii!)-

guat. VU, 965. fnOHencc du sys-

tt'-mc ncrvGux. \[, 26~ 343, 3<();

Xft!, )79. Par excitation dos

afrfs. V)t, 968. Action du nerf

myto-hyoidien. Vtf. ;!(M, 307, 33).

–(!ontinueHe,!tp)'f<) section de.s

Hfrfsdan';te)ntodc)âgtando.

VU, M5, 328. Provoquëe par la

vue des &timcuts ou )('m'présence

dan$ la bouche. )X, 89. Actions

roOctes (juil~ produisent. X,38t.

iodure <)a potas.'iiuin. XV, ~)'i.

E)!e peut êtra provo<]t)ëe p<tr la

piqûre ftf'certains c(*utr"-<no'-

veux. XV, .")!!<. )n<]uence du tri-

jumeau. XV, 59!. tnuuence des

poisons. XV, 533. Voy.Sa/:uah'o?).

SAUVAfMES (CoNMiTs). injection

de prussiate et d'iodure do po-

MMo.Vn,:M.

–(FfSTUHSS}.Voy.M/M/M!!a~t-

fat'rM.

(Gt.ANDEs). Voy. G/a'H< ~<<fa!

t'PS.SAt~tVATtOK. Effats du gr~ad sym*

pathique.V,t<:0,)C5.–Ën'et')d&

ta. section du norfiaciai. V, t60;

X), 9CC. Voy. Sf;/i)'atre (sécrétion).

SAUVES. VU, M; tX. ':(!;XV, 50).

Le sucre n'y passe pas. t, 303.

No renferment pas de sucre, t, 3f)5.

–Leur roio et teuMusages mé-

caniques et chimiques, tt, 46, M.

!tt6');tX,PMsageete!i-

minatioa de certaines substances.

U,'J<Vtt,58.–Ëiimin!ttiond8

Page 299: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES (KUVftËS;)ECLAL't)!! BERNARD. 28:i

t'iodurc du f'')-.ft,'J'.).('reprit'

tés physiques do c'tes qui snut

<[!'acteristi<)U("; destissus j~tandu-

)aii-es.ff,t<M.-Quantité:, secre-,

tees.)f,t)ti;)),9i9.–Présence

des carbonates atca)in'),!3i.–

Prosenco (tes phoi-phatet terreux.

U,!3~).–Présence des lactates,

dMSutfittes.eKtcschtorurcsatca-

)ias.!t,!35.–Eties n'ont aucune

action sur tes matières aihuminoi-

desnisur)csm:t[i!'rcsgrass<'s.U,

)'t5. Leur t'fde sur les matières

f6cu)eotes.U,]'!5.–Leur action

comtMaeeavecceUedusuca;a.stri-~

que. It, 4M. CompxrM au suc

pttrtCrë!m!jue.U,~);)t,2(;3.

~4:i, 4()t. Son 6cou)en)e)jt après

])iqû.rcduccntresa)ivairf'.V,5.')0.

D'où provient i'e.nt? injection

dansiesang.j,53;n.'ï4'

Sa réartion. Vit, 2<4, Ït!), 2GO.

Caractères physiques. VH, ~'44.

Présence du suHb<'ysttm'e df po-

tassium, il n'existe que là. VU,

24<i, 2t!). Condition et subs-

tances qui en augmentent la vis-

cosité. VU, 949, 250, 9ALJnHuence do l'électricité. \'i), !;)!.

AnaLiyses comparées des sa-

tives, leur coagulabilité comparco

u.ceUe du pancréas par l'électricité.

VU, 2.')' Son action sur l'eau

d'empois d'amidon. VU, 2;~i.

Passage de l'iode. VU, ïai, M).

Ëiimineta prussmte jaune de

potasse. VU, 258. La vue de

l'aliment provoque sa sécrétion.

Vtf, 259. Pendant son écoule-

ment, le sang veineux, change do

conteur. VU, 39i). Atbuunue.

VU,34!Trois espèces bien dis-.

tinctes. XV, 502. Expériences

sur les carnivores et les herbi-

vores. XV, 503. Toutes les

substances peuvent passer dans la

salive, quand elles ont été intro-

duites en suffisante quantité dans

le sang. XV, 5(2. Quantité qui

imprègne les atiments. XV, 554. jEttes ont des usages physiques

Isien rapport avec la mastication, la

ptj<:)a!if)))et)ad''siu[ition.X\)i,

9S't.er~fechiniiqn('<)'')asa-

iiv!'est purement a<'<'et',oirn. il

n'appat'tient')U'at.)sa)ivf'd''s::)an-

duieshuccaies et ne s'exerce que

sur tes fecutcnis cuits. \VH,85.

–l)iasta.sesa)i%ai!'e.vn,286.

Voy. BaM de la .n<?.

SADVK ARTtUCtELU; f!. )()3;

)X,<

tt~CCALt: U, 'M. Composition

chimique.)),').').

t)t!S ntABETtQt'ES. i-xpft'ipn-

ces. f. ~!0;(. Présence du sucre.

Yf!.2;5.

M!XT);. f<. H8; XV, 50). Ses

propriétés physiques. !t, U8.

t'rnc~tM pour )a)'ecu<;i)iir chez

t'hommc, le chiRn, te c))eva). H,

!)S. Composition chimique. H,

)9.'t, ]43. Matières ori;ani<)ncs.

n,]?C.–Matières iuct'~atiiqucs.

!t, )3). Pt'escnce du suifocya-

uuredcpotassiunt.)).);).').

t'AfK)TtU<E\~t: )t, 47 Au

poiut de vue physique, fhimiqtu' et

physio]0f;[()ue. )), 4' Son m-

fluence .suria mastication. {(, 'i8.

Son iBnucncc sur la soif. )!, 50.

K\p<'riencescotaparati\'es. )),().

Scscarac,t6res physiques, ti, 60.Sa composition chimique, n, t!3.

–Sps propriétés. XV, 505,5M.

S<)CS-M.4XtLLAtHK. H, 7i a 86.

Proo'dô d'onraetion. U, ~2.

Propriétés physiques. !t,2.–

Composition chimique. !<3.–

Son rù)e physiotogiquc en rapport

avec te phcnomt'ttf de la gustation.

)!, 74. )a<]ueuce dos nerfs. H,

Expériences sur i'f'couie-

ment de cette sativp sous t'in-

ftucnce de diverses excitations gus-

tativcs.tf,t!.

SUBtjtKGUALE. Ses caractères

distinctifs. H, 8') & i)5. Ses pro-

priétés speciaics. XV, 548. H))e

n'apparait que tentement torsqu'on

excite la glande. XV, 548. Ë))o

sert surtout a )a déglutition. XV.

54!).

TOTALE.U, )H.

Page 300: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAH).EAL('HA!i)':Tt(H]!KTA~ALYT!Qr)';280

la digestion. Hf.tOH.–L'abstt-

nence en diminue la quantité, fiï.

)09;Vt.4'!4.–[njec<io))d'acid.'

carbonique.H!,t36.–Sonde pour

yinjerto-ifs substances. !)f,)37. 1.

Procéda pour t'obtenir sans

qu'ii ait )n contact de t'ai)-. H),

)65.–Aspiration dusang.!)).)<?.

Action de j'oxyde de carbone.

t'[,)t!(!,]<)5;.Vt,388,394;XU,

:?'). Absorption des gaz. III,

iM; VI, 9~).–Absorption de

ro'iygenepa.rteMngfjuiitsnbiJ'action de t'oxyde de carbone, tn.

)0!).) devient rutilant au fon-

tactde t'oxyde da carbone "tc"tte

co)orationpcr'iifitt).n!.)'!<).–

échange dans )e sang. !)f, H!).–

Action sur les g)obui<!s. Ht, t87.

–Pyroga))atedepotaMf'.m,). 1.

–Jnjcctiond'acidspyMgaOifjuo.

Uf.MX.–nnecèdopasson

oxygénait t'acidepyrog.lUiqne.

)U, '!Ï2. Contient-ii un poison?

III, ?23.–Action du curare. [)!,

9<:i,:i06;Vt,M)5,M)8.–Le cu-

ra rf ne lui enlève pas ses aptitu-des physiologiques ni ses proprié-tés respiratoires. [)f,;)M.–Sa

quantitë influe sur les en)poi')0n-uemeuts. i)t, 3M, M.'). Sa quan-tiniest-GJtRt'H rapport avec la

quantité respiMtoire?Hf,3:)<

–L'eau dess~crotionsonYient.

IV, 439; V), 466. La chaleur

modmeiies conditions dentouve-

ntent.V, 39'fnj''ctiond'cau. VI,3' Doit ('-tre conMdcre comme mi

mitiou intérieur org.'tnique. VI, 42;

X,5?;Xf,X)V,l:M.E(ï(.ts

(le sa sotistt-,tctioli ondo sasoustractiof) ou suppression.

Yf, 44; X)), 2'!3. Son innuoncc

.')ur)cstis.sus.V),'i.').mpor-

taucedHson~tude.gcnéraiitcssur

t'e)iquido.Vf,~7;Xn,tO;XV,

9;), 2'.M). Sa température. \'f,50.–Propriétés, calorifiques chai-

les animau<&.sang chaud etitMnRfroid. V), f)0. Modifications do

température qu'il éprouve en tra-

YerMntiapparei) digestif. Vf,t.

Hxpériencet. VL ?' !t se

SALMO SALAK. Sa mneUe epinifre.

)V,i98.

SALAtI. Sa moella épinlè,'c.

IY, 128.

SA[.CES.espiratio[idc<)p)a)Jte'i.

XV)J. )(;

SA!«.t,4'XH.t();XV.2i".

X~))), M.Chez tes (tiabe-X VIII, :J2", Chez les diahÓ-

ti'juesi) contient du sucre, t, 49.

–Son examen comparatif, avant

et Son examen.comparatif, avantctapres)efoie,('hexuncarni-

vorc.}'!<Le pramic rjne f.ontiput pas d<'traces de ma-!

tiercssuct'ccs, te sccoHf.) en ren-

fermée!) grande''prt) portion! f,

8t1. ou grandes qui traversv 1.SO.–La<)nantit6f)uitravcMe(c

(t)i<'estprop~r(,iot)ne))oauxo'ici)-

tittions fie la fouctiou sccrétoifc do

'iucrc.),));).–Procédé pour le ti-

rer du cœur.), )')[),t<i~

Lesucrps'ydeversepartotoie.I, l,

2;!3.–Hncontactitvocdin'et'ents

gaz, expériences.t,9<0.–Le su-

cre no se détruit pas dans te sang

pa)'h;passaged'<~yt;Gu<ij.Action des gaz sur ~disparition'

du.<.))cre.),t.–L'tnjectMtt<f'at-

cati';dëtriut-i)ie')Uere?t,'i.t;).–

Le sucre se détruit par oxydationet t'ennentation. t, 2.4')ajectio[t

detevùredc))ierc.L''47;VL4M.

Présence du sucre, f, 2':5 X)[,2i). Sa dépuration par le foie.L2T!Limite do la (iUMtiMde~sucre qu'it peut. contenir sansi

nu'i! passa dan~t'urine. ![().

Dosage des poisons en rapportavec la quantité do sang. f, St;

Combin.tison de ra!))utn)np avec

)atibrtt)e.)fJ,4.');\),(!7.–Sou

.H!er<ttion par dos substances <)uisont étrangères & sa composition.

iïï, M). Oxy(fatious et (tesoxy-

dations. HI, 8'). Heactitma qui s'yy

opèrent. J)). i)0. Fet'inenta-

tious. U), !)~; V), ~~), M. ).'i'S. Keac)Mt):< de i'e[uu)'<it)e,et de )'amyg<ta)ino. Jiï, 97 \L48' ).)issotution de t'oxy-

gène. )tt, !&'?. Absorption de

t'air.tf), )()' Sohthiiitë de

t'cxygeue.n), 108.–Quantités

de gaz qui y sont dissoutes. H),)(? tM, )7:i; X, M). Pendaut

Page 301: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUV!!ES DE CLAt'ûE HËR~AHR. 287

trouve constamment p)usf'))<'<u<)& a

sa sortiedu tube digestif qu'itsc!)

entrce.Vt,S5.–Modiftcationsdc 'c

te)nperatnrot)u'it éprouve en tra-

versantt'.tpparei! respiratoire. VI,

)<)!xp(''hcnces.V).i()8.–)n-

(!uence.da)'<)pet'a<iondc)ami&ea it

nu des racines rathidiennes. Y!,

)'M.–Une fait que repartir la

chateur.V).)3o.–H est moins

c))au')')UR)e''organes d'où itsftrt.

V!, !;)!).–Expérience- \'f,)40.

SatCtnpct'aturecomp~rM~cpUe

dHSorg!taes.V).i4().Pression

comparée. Vf, 90!). Pressio;) pt'-

riphcriquc, pression centrate.V),

2t3t.–S~coutf'urrutifttntechex

tes lapins enduits. Vf, 9' Sa

Muteurchcxif'titpiudith~tiquc.

Vf,2'!8.–Action du-systëmo m'r-

veux sur l'absorption ()'<~ygt.)(\

\384.–Influence de la ftit;ps-

tion.t,8.).–tnûueneedet'etat

d'hiberna.t.ion. Vt,<Modifi-

cation pin'tes nerfs. V(, 288.–

fnnuencedeia respiration sur sa

MUteur. Y'f. 3.Présence do

t'oxygène. Vf,3;)7,3.')t;t\

XV,'441.–Influence de )<t tempé-

rature sur l'action de )'acidet'!ir-

boni()ue.\t,3~0.–Absorption

d'<)\ygf'n<'Gtpr<is<'nct;d'aeide car-

bonique avant etaprcsia section

dunerffytnpttt.hitjueaucouchei!

)8chcva).<,3M!. –Attention

d(! t'ur son contact, emph'i df

t'air pour deptacer l'acide carbo-

nique du san~. VI. !)M! 3th). tf

i'oute rut))ant chez un animât qui t

[tteurtd'hcmorrhagieett'arretde ¡

(aresptt'atiottitefaitplusdan'scoça!! noircir te s:n)~xrte)'ie). Vf,

3.')'). Substances citpabtes d'em-

pechertes.fermcntatioMdanste

!'ang. Vt, 3(!t. Oxy~eue dissi-

mute. VI, 3~. –Henduruti-

tant, puis noir j)ar te carbonate de

soude. V[,3'?<Action de ta

potassecaustique-V),Son

anatyse par t'oxyde de carbone. Vf,

!i!-i5&3;Ma.i').').-Action de

roxygene sur sa conteur et sur ses

propriétés. Yt. 988, 3i)4.–tn-

f))!('Uf() df'St)t')'f"ut' ~tempéra-

ture. Y!, *!?).t~nu<'nee(!H'i

saignée et <)'' divers.et'-sur sa

cotoration.Yt.40t.–Sa respira-

tion. Y!. 40: –Ajair.it ne

uounc pa!'autan! <)a~'if!c c~rboui-

fjuetjui) prf'ndd'oxyKi'nc. d,

«M.–Sa réaction.\),).–Sf's

propriété.p))y<nf;))es.\), in,4(!i.

–Sa reaction acide <\st impt)<-

sib)c pendant !a\io:);tt'c;u'tio!)

atcaiinccM-fttedun&'it'scarho-

n:ttes?K\pcriencH.),t)~)-

thx'nco dota température et du

système nerveux'.ur)a coa~uta-

tioa.V),4t4.–Coa~u)abi)ite.Y),

;!4:Vt!,i07.–Action du sym-

pathique. Vf, 4n,4'<,4:iO;H,

T't 308,Mt.–Sa quantité.Yt,')18.–tn&uftisance des procèdes

dn dosage. VI,4)8.–Mort par as-

piration rapide du sans ducuL'ur

avecuti<i',e;'it)~ue; mort plus ra-

pide &jnuu. Y), 4!'). –Dosa~o

par ]f!s poisons. Vf, tt!).–Ahc-

rationi<ma;utierc,n.')i)-coaKutat)Hit"qni'icmanttestcettajoutautdc

!'ea!)fhpzi'.niima)tm''parie cu-

rare da~sia K'ine-porte. )'.tpe-

ri)'ncc.f,-i2<).–Sacoasutabiiitechez U[i chien ma!a<)c opère des

Mcine';rae)udiennes.Vt,i'2'

Sacoagutahitit.e.ptusgrandea 1

jeun et cheïiesaoimau'L diabéti-

ques aniHcip)s.\[,t~Ses

gtobutestonibctjtaui'ondduse,-

rmn. même sur te vivant, <'))(')('

f'he\ai.[,i:Actiondu car-

bonate de'. n.ude.Vi,4:t.'<,t~(!

Hapports de ta composition avec

!c:! produits de sécrétion. \'[. i.

–A)stet'iau\f)ui)nisou).commons

avec )("- secrctioii.'t. formationd'eau dans t'organi'imc'Kau dans

le sang de'i grosses et petites vei-

nes,eau venant de t.ttympt)e,fes

hoisi.onsaugmmuextreau disant:.

Yi, !:)!).–MMeriau\(]Hi)tonrnitatKii''crction.s.YJ,t-tU.–Lesanga 11

jeun est )e san~ typo. Y), Hu.

Présence du <er.\i,ii.'i. –h-

Page 302: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAOLE AU'[A)iËT!QUE: ET A~At.ïTiQUE288

sorptionnt~timinationdufpr.V),

1

44S.–Matériaux organiques.

4.')'Sesch'mentspa.ssent-its

dans )os sécrétions? Vf, 4.')' -¡

P;))'a))pif'avac)<!sproduit*)d~sf-

crption.Vf,«M).–Ouantit(')d'<;au

qui y est contenue. Vt, 46: X)t,

4')f<Sfixquivsontcont.f'nus.

Vt,4(!4:X)),(~)r)'i!!fntre

pas)cs)issus, pourquoi? V),4<!}.

–tat de la fibrine. Vf.4C<<;

VH. X8. Ses prophètes physio-)oK'qucs.VJ,4<!8.–Sa fluidité <!c-

pf'nd df la fibrine. VI, 473. Con-

ticnt-U (]o la gfitatino? Vt, 474.

Ses altérations fhn'. tes matadics.

Vf, 4Ï< Altérations possibtes,

feuf's ttivcM mccftftisntc' VI, '}??.

A)t('')'ation.spar modification (tes

rapports f)R quantité do ses f)c-

monts. Vf, 4' Attération par in-

troduction d'un priffeipt* fermonti-

t'cr('enu()u dehors. Vf,4'

Ahcratiun par modification des con-

ditionsqnjpr<i<.id('nt&ia nutrition.

Vf, 478. fractions chimiques quis'yaccomp)isMt)t entre jes<ie-

monts ntincraux et les matériaux

organiq<u"i. Vf, 48).–Injectionde pt'utsiatf jaune do potasse et do

sel de fer. VI, 4~3. Combinai-

son chimique dan*! le sang. Vf,

48?.nnocuite du ter injecté &

f'Otat.dc)acta.t.e.Vf,'48'L(!

MoudcPi'ussenes'yproduitpas.

VI, 48a. A)t~ration!i produites

pM'de!;maticre!t putrides venues

du dehors. VI, 4!)9. Action dos

maticrest putrides. Vr, 4!):i. Atte-

t'ations par fermentations sponta-

ncesoudecauseintoj'nf).Vt,'i!)4.

Dccotnpositions spontanées. Vf,4!)C. SVorfs pouvant dtitorminer

des fermentations putridos. VI,

4!)'Hcmorrha~iGproduitcpa.r

injection do ferments. Yt, 4M!).

Sa couieur. Vt, 50' La ligature

d<;)atrach6e)o)'endn~ir.Vf,5()3.

–Jnjoction.VI,f)OC.–Substances

qui passent do l'estomac au rein,

sans se retrouver dans te sang. Vft,!C, )7. –L'iujcctiond'eau diminue

j'acidite de !'uriuc.\Jt. 22.–Effets

det'accnn)u)ationdef'nre<V)t,

?.–Présence dot'uree.VfI.O.-

Sets ammoniacaux. V[f,5(i.-)'.t:

sucre disparai!. quand le sang de-

vient noir dcnnitivement.V!S!).

Accumutation de sucre.Vn.93.

r:tatsde)'atbu)nine,V)f,48.–

fnje(;tinttdefer.V)f,<4:).–QuG)ie

modification épt'ouvc-t-ii eu tra-

versant le rein? V)t,)5).–Une

tient pas de )a fibrine seu)a)i

propriété de se coaguler. Vif, ).')2.

Une injection d'eau dans le sang

fait passer rathumino dans [o sang.

VII, 211. Son ana)yse. avant et

après l'organe, peut caractériser la

fonction et l'action des organes

sécréteurs et excréteurs. VU, SX.

–!njecti')ndehite,)'n)onti.ssc-

mcntdupouts.VU, 2))!M~~

<i<;atiofMpar)tp'a)vani'!ationde'!

Ya<;u<'s.V)t,920,3:).–Lcpn)s,-siate jaune de potasse y passe.

YH.258.nf)uencosur)a;;)ande

sa!ivaire.Vi),2<!9.–Vuef;enet'a)p

surM~e)aboration.VtI,4)2.–

Absorption d'oxygène. Vn,42[.–

Détermination des proportions

(t'o~ygenepart'otydedocarbouo.

Vj), 43). –Hxperieuces endoMio-

metriquo!i.V)),'i<!I.–Injection

d'albumine. VII, 4(!3. Injection

de sérum. Vff,<M.– Injections desulfate de quinine. Vit, -iCO.

Injection d'acide carbonique etd'éther. VII, 46C. Ses ttUera-

tious.Ytf, 46'H apporte aux

ctc'tnentsntuscufaires et nerveux

les conditions de la vie. ]X, ]S.

C'est en lui que résident les con-

ditions de vitalité de l'élément

musculaire et de Jetement ner-

veux. fX, 22, Son rôle en con-

tact des éléments musculaires et

nerveux. IX, 27. U est à la

fois liquide nourricier et liquide

excitateur fonctionnel des eiu-

montshisto)ogiques.IX,4t,52.

Variations dans ses proportions.

IX, 47. JI offre une reaction

neutre ou aicafinc, nMis jamais

Page 303: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE HEfi~ARD. 28:)

L.LA):[)EtiKKXA)U),\)X. ]UU

Hcide.JX.48.–Phénomènes ca-

tatyti'jues.tX, M.–L'oxyde de

carbuue produit une paralysie deses éléments respiratoires. tX, 51.

–FibrinR.!X,St;X)),27.–Pré-

sence de tatbumine.tX,62; X!

27. Le globule blanc constitue

son etoment plastique. IX, 62.

Ji n'est pas )e résultat direct de

l'absorption alimentaire. IX, 7!).

Sa composition. IX,9;XU,

16. Etiminution des substau-

ce~sotubtes qui y sont introdui-

tes. IX, 88. C'est un inter-

medMira pour la nutrition. }X, 87.

Ses qualités et conditions neces-

ssirea pour la nutrition des élé-

tueuts. !X, 98. Formation d'a-

cide carbonique. IX, 187. Les

fermentations et les combustions

respiratoires qui s'y produisent

sont des sources de la chaleuranimale. !X, i9). Son anaiyse.

JX, 208 XI, !)6, 27) XII, li,

487, '}97. –1) diffère du suc mus-

culaire. X, 170. Sa constitu-

tion, action du système nerveux,

X, 373. Importance de son rôle

dans la vie et dans t'économie.Xt,

36 XII, S20. Las médicaments

ne sont actifs que parce qu'ils y

pénètrent. XI, 83 XVIII, 138.

C'est parce qu'ils y pénètrent

que les poisons agissent. XI, 83

XVIH, 138. H transporte des

substances nutritives à leur des-

tination. XI, 83. Les poisonsen faibles quantités peuvent y cir-

culer sans mettre la vie en danger.

XI, 94. U peut être empoisonne

par l'influence des fibres motrices

sur la sécrétion dos glandes. XI,

100. Influence du système ner-

veux sur sa composition chimique.

XI, 26!). C'est en lui que s'ac-

complit la respiration de l'oxy-

gène. XI, 272. Sa vénosité, ex-

perieHces.XL280.-II conserve

sa couleur vermeille en traversant

les capillaires, après la section du

sympathique. XI, 3~6. En con-

tact permanent avec les tissus. XI,

3<!9. Modifications chimiques

qu'il subit par la section du grand

sympathique. XI, :i8a Xttf, 3t9.

Ses altérations consécutives. XI,

433. tt ne faut pas confondre le

mitieuinterieurftveHtesang.JX.440. App!ic;ttion de ia méthode

expérimentait; a son étude. XH, 1.

–Hématose. X!), 6. Ëtudie au

niveau des divers organes, et aux

moments de repos ou d'action de ces

organes. Xft. 13, Coagulation.

Xtt. t6. Sa réaction alcaline.

XH, 23. Son alcalinité. XH, 24.

Matières protéiques ou aihumi-

noides. Xtt, 2' Éléments azo-

tes. XU, 28.–Eléments non azotés.

Xn,20.–Métaux. XU,3t.–Prin-

cipe actif qui y est contenu. Xft, 8.').

(Jne substance n'agit sur t'orga-nismo qu'en passant par le sang.

X!t, 80. -Cette )oi vërinee parlechioroj'orme. XU, 8' La cessa-

tion de ses fonctions amène la

mort. XII, 320. Son utilité varie

selon les animaux. XII, 322. Mo-

difications curieuses dans le cho-

iera. Xt{, 324. Ses relations avec

la respiratiou. Xft, 325. Étude

spectroscopique. X)), 425, 43C, 4aC.

Applications medico-iegaies de

son examen spectrometrique. Xit.

433. Topographie calorifique du

sang en circulation, premiers ré-

sultats obtenus. XUf, (09. i\'ou-

vetle iocatisation. XU!, !)).

Est-il une source de chaleur ? 1 XIII,

132. Combustion. XIII, ]35.

Modifications thermiques. XIII,

323. Action de la chaleur exté-

rieure. XIII, 373. Limites de

température ou il perd ses pro-

priétés physiologiques. XIII, 377.

Cette altération se produit à

une température plus élevée quecelle qui amène la rigidité des

muscles. XIII, 317. Son ab-

sence est un phénomène morbide.

XtV, i33. Progrès réalisés dans

les procédés d'analyse. X[V, t35.

Sérum, XIV, t33. Manière

de le traiter pour y rechercher et

Page 304: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABETIQUE ET ANALYTIQUE2{)0

doser le sucre. X!V,t90.–C!))o-[ r

roforn!e.X!V,tU4.–Présence des

urates.XtV,)!)4.–Commentte~

conserver dans !cbHtderana)yse,

lorsqu'il acte obtenu par la sai-

gnoe chez t'homme.XtV, 208.–

A Fctat norma), il contient du

sucre. XIV, 209,-KM.–Le encre

en est un otement physiotogique

et non morbide.XiV.220.

Anatyse du sang fourni par un

sujet normai. X)V, 23C. Son

!!)yco(!Hnkjua.XiV,23'tden-

tit('dGsg)yco"esdai'urinod)a-j

bétique avec le sucre do foeute.

XtV,iO.–Passage des f;)ycosos. ü!.X!V,2«!Destruction (iusucrf;.

XIV, 327. Diverses espaces.

XV, 3<M.–Etudes physiotogi-

ques au moyen do substances qui

y sont introduites. XV, 3!)8.–

Présoncedeitpoisons.XV.!i!M.–

Acide carbonique dans io sang.

XV, 440. Présence dH t'oxyde

de carbone constatëo par la spcc-

troscopic.XV,444.–r'.tudi6en

tui-m6mc,aupointdevucdcses

cot'ditions physiques et chimi-

ques. XV, 460.– Amibes du sang.

XV), 298. –Sesmoditications par

la pressior) atmo.spherinuo. XVft,

202. Nutrition dans to sang.

xvn,M2.–OMno.xvn.5ot.

Apporté au cerveau pa.r)esar-

tcres carotides et vertébrales.

XVÏft, 36). Son action sur le

cerveau. XVIII, 3~1. Voy. Caillot,

Chaleur t/HM~y, C!)'cu/a<!0't,

Co<yftA-.i'7< Cof.'y'M~a.'M-K, ~o-

t'a<on, CoM/CM)' f~M .<a')')', )')'/<&rt-

nation, Eau </M sn~y, 7?'(aM~'<

MP~f f/M MK{', ~/t'Mf' du <a/ty,

f'c)'Me't<a!~oH.!(/~?M/et<y,

<t)*)M?, CM.: du sang, C~O&U~M,

(~o~M/M; G<;yeos~, ~~M.'o-g~o-

buline, ~e< du .Yfn'y, AMoM.E f/M

xotty, ~<?KMMM?!< du sang, Ojry-

~~?te. Ozo'x*, P<<t' M~

PrCMtO') ~<!HyMt?!e, ~M~)OH du

sang, Réactions du ~'M~, Se/.< </t<

sang, S~rK~),S/)ec<~oM«7'<e, Spec-

troscope, Stto'f f/M ~a?! yeMp~-

t'C~re <~K MM< T'y'aM~Mi'Mn f/tf

sang, !/)'<! <'M,U)'<'e,t'd7tO.

SANG DANS L'AORTE VEXTMALE

Sa température. Vf, M.

-CE L'At't'ABEtL CiLA~nUt-A)

BE.Xtff.tG?.

MANS LARTEME AORTE S.t

tompératuro. Vt, 83.

OE jLARTKMt: HEt'ATtQUt

Forme-t-il iabite? VII, !:); )!):).

ARTEMU;L X)f. )t. <8<i XY,

244, 4Cf XVt)!, 2M. L'oxyftf

do Mt'bonc t'cmp6chc de devenir

veineux. !)), )8). Sa tempéra-

tuj'e.V),at.–Exameu compara-

tif avec le sang veineux. VI, 25C.

279,33ï,;)tO;IX,M.–GMdu

sang. Vt, 95H. lNf)ut;uco des

nerfs sur sacouleur. Y!, ~~(!, 3S),l,

339. Sa capacito d'absorption

d'o.\yg&ne. VI, 282 XH,i'n.–

Dans le cas de niort par Mmor-

!'hagie,i!ttcaoi)'citp)uspari'a)'-

r6t de la respiration. VI, 3M.

Quantité d'oxygène plus ;;r&nde

qucdan'i)esan~Y(!in!'ut.V[,3'!},

3~8. OxygctK' moins abondant

que dans te sang veineux. Vf, 38:<.

Eau fournie en plus par lalymphe. VI, 444. !uject6dansio

sang. V!, .~0~. Tran'ifusiot). Vt,

515. !t f'ontient d'autant moins

d'oxygone qu'il s'éloigne du cœur.

tX,53.nject6,iifaitr6ap-

pat'attre les propriétés des troncs

des nerfs et des centres nerveux.

!X, &6. n est destina !t la

respiration des c)emonts. IX, (88.

Auteurs <{! i'o: tro:!<'é mains

chaud que le sang veineux. X, Xt5;

XUt, 3t). Par la .section du ~rand

sympathique, il passe presque

pur dans tes veines. XI, 213.

C'est par son intermédiaire que

le poison agit sur les organes.

XH, 371. Dans les muscles.

Xff, }!?. Compare ax Mu~ in-

toxiqué par l'oxyde de carbone.

XU, M?. DitTerenco do tompe-

rature avec le sang veineux. Xt)!,

33. Auteurs qui t'ont trouve ptus

chaud que le sang veineux. X)f),

Page 305: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUSE !!KR?<AttD. 29)

3~Sa température dans les di-

vers points de son parcours. XIII,

tïï. Avant et après les organes.

Xf!f, !)2. L'oxygèue disparait-

i!?X)H,)3).–Sou étuda dans

le muscle paralyse, le muscle en

tonicité et le muscle en contrac-

tion. xm, )4?.–Caractères diffe

rentieis avec ]o s;tt)g veineux. X!)f,

)<Excès de sucre.\[V, 9:);).

–C'cstiosangveincuxtiespou-

mons.X.V,3in.

SANG CHTLEUX. Par alimentation

sucrée. Xi' –inQueucctic

J'alimentation chez les oies qu'on

ongMisse.J,l<!5.

SAKS LU COEUH.. Sa. chaleur

·nI ~nX!!f,S!9.

HEt'tBRtKE.Coagulation VI

M~

CHKXLE F(K:Tt;S. Ses propru;-

tes.Vt,40(). Contient-Udf

l'oxygène, d'où vient-il .? VI, 101).

UAKS LES Gt.AKUES. Quantité

d'oxygène. VU, 431. Sa cou-

leur dans les glandes on fonction.

Expérience de Gtuge. VU, 442, t')9.

OE LA ULAKUE SOUS-MAXtL

LAtME.Vn.43).

CE L'HOMM):. XtV, 2*'9.

tNT~XtQCM. Par t'oxydo de car-

bone contparo au sang artériel.

xn,(~.

~-0<R. Par iKctioQ de t'hydro-

gène arsénié, t, 243. Compareau sang rouge. V!a5,50'i.-

Son h)aptitudo&. à entretenir tayio.

VI, 500. Sou action sur les or-

gane&{,:)02.–Ua'etitretioHt

pas les sécrétions. \Mo.–

Moyen d'étudier son action sur les

orgaues sécréteurs par la respira-

tionart)!iciH)te.Vt,)()~Ses

propriétés. VI, M' .MS. Dans

les glandes, influence nerveuse.

Vtt,2-!0,~t!.

DES ORGANES SECKÉTEURS

Pendant leur état do fonction et

de repos. VI, 2!)7, 32t.

–OXt'CAHBt~iE. Sa couleur. Xt[,423. Ses caractères. XU, 425.

t'UTREftE. Injections. XI, 41.

SANG OA:SS LA RATE. Sa cnutenr

Vit.424.

OAXS t.E !<Et?f. Modincation (!o

température qu'il éprouve.V!,)33.

--Rutitant.i) peut contenir plus

d'nxygeneque tosangartërie),

pour(,!j0! ? V' M'. Anafyse par

t'oxyde do carbone. Y)), 43). Sa

rou)nur,t;xperieucodcmuKe.Jt4M.

) ROUCE. Compare au sang noir.

~t,25.'<,MT.–ttportfeatuiia-

gant de sa transtormation Yfi-

ucuse.V!4). Dans les glandes,innuence aerveuse. VII, 210, 2'!8.

SUCRE. Soumise un passage de

CO', il donne ensuite une décoc-

tion opaline. VII, 8f).

t)AKS LES VAISSEAUX. Ses

propriétés, expérience. VI, 47, 2'j.

YEt~Kt.'X. \V, 2t4, 2':3, .t6tX.Vttt, 2)4.–Prophètes de ce

sa ng rouge. !tt, ni), ;!)).–j) 11

devient rouge, chez un chien vi-

vant, qui respire de l'oxyde de

carbone, m, )8(); VI,M'

Est-il toxique parce qu'il contient

des principes organiques detétcres.

))t,2?3;V),4;)9,&()3,f,o' &!s.

--Différences de température avec

le sang artériel. VI, &; \t)), 33,

4.Gazdusau~.Vt.XM.-Examen comparatif avec )e sang

arteriet.Yf,)t!i),3:5[(!:)\~

.')4;XU,H,.48fi;Xn!,t6'

Houge. Vt, 2â' !nnu<-nce des

uer[')}sursa.cuu)cur.V),ÏÏ(i,i!2S,

33), 339. Capacité d'absorption

d'oxygène: J~xp. YI, K8'2, 283; XH.

itH. Il devient noir pendant le

travail musculaire, et rouge quandles muscies sont eu repos. M. 308.

:(); Xi, 2n.–Quantité d'oxy-

gone suivant l'état de fonction ou

d8 repos. V),3(!Y)t. ).'<t.–

Quantitti d'oxygène moindre quedans le sang artériel. Vt, 37~, 378.

–Injecte dans io:.ang. Vf, &0;).

Son action sur les tissus. Vt,50(!. K'est pas rendu tonique

par l'acide carbonique. VI, &U9.

Transfusion. Vf, ;))5. Dans

Page 306: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYDQt't':292divers organes, !cur'!dincrf;nt0!t

1périodes de repos ou d'activité.~

Vft,t8;xn, 495.–Goûteurs~

<!i''et'sc.sp.'trio<!uancesaervcusfs.!

vn.309~324.) est dMtin6&!

l'alimentation des éléments. IX,

188. Auteurs qui l'ont trouvé

plus chaud que )o sang artériel.

X, 215 XIII, 3'J, 171. -Pris

dans son ensemble, it est habi-

tueUement noir, car le systèmemusculaire n'entre jamais dans un

état de repos absolu. Xf, 27!.

li est rendu très noir par la con-

traction musculaire. X[. 27!.

Effets de la syncope. Xt, 27S.

Sa chaleur ne dépend pas toujoursdes phénomcoes d'oxydation dans S

los tissus qu'il traverse. XI, 2'! (i.~

–Dans la fièvre. Xf,3i8. –L

Auteursquii'onttrouyÉ moins

chaud que le sang artérieh X))t, j:it. Avant et après les organes.

X))!,))2.–Sa topographie calo-(~

rifique. Xtrt, n! Son étude

dans le muscle paralysé, le muscle

entonicit6et)omusc)oencon-i

traction. XIII, t4'Saruti-!

lance. XIII, 3f9. Sa coagutation

rapide. XIII, 320. t) est plus

chaud, après la section du grand

sympathique. Xt)!, 323 Pré-

sence du sucre. XIV, 2)5. tm-

port~nce do cette étude. XV255.

j-SANG VEINEUX CEREBRAL Ins-

trumentation et manuel opératoire.

r

XV, 258.

VEtKECX DU FOIE. XHt, 188.-

Comparé avec le sang de la veine

porte. VU, 132.

VEINEUX DANS LES GtLASDHS

Sa couleur est déterminde pardeux ordres de nerfs. Vf, 2!M, 322

VU. 270, 442. Oxyganoqm y est

contenu. VH, 168, 43).–En

pteiae activité, il est toujours rou-

ge. XI, 270.

VHtKEUX DES GtLANDtKS SA-

UVAtRES. XIII, t80. Change-ment de couleur pendant l'écoule-

Iment de la salive. VU, 32!).–

Particularités pendant f'etat d'ac-

tiYitc.Xtt,499;xn[,)6S.

SANG VEtNMfX DE LA CLA~D)

SOUS-MAXtLt.AtnE.Observatiot)

sur sa coloration. Vf, 3;),9. Rap-

port de sa couleur avec l'état fonc-

tionnel de cette glande. VI, 299.

H apparalt rouge sous i'action

de la corde du tympan. Vtf, 272.

Le grand sympathique le rend

noir. VU, 27.i.

V)it~);t;X MCSCtJLAtKE VI!,

!53 XII, 499 X!ff, !53.

VEtIVUJX t)E LA t'AKOTtDE.

Différence de coloration à l'état de

repos et retat d'activité. XV,530.

VtitItEUX DE LA HATH. X!)i,)8~.

VKtMEtJX DU t<EtK. V!, 99C \'n,

t5(; Xf, 270; X)r[, )8t. Pour-

quoi est-il rouge ? VI, 296. Hap-

port de sa cotomtion avec j'ctat

fonctionnel du rein. Vt, 296. Sa

iacutte absorbante pour l'oxygène.

Vf, 359. Après la section de

la moeUe opinièro. VI, 3R). Com-

parcitvectosangdetaYeinepnrto.

VJ, 382. Oxygène plus abondant

que dans le sang artériel. Vf, 383.

–Expérience. VII, )M& )76.

n est habituellement d'un

rouge vif. XI, 2'!0. Particu-

larités. XIII, 168.

DE LA VEINE CAVE. Celui quiarrive par la veino cave inférieurs

dans le cœur droit est toujourssucré. f,)2'Expériences on-

(ioamometriques de la matière

colorante. I, 466. Dans la

veine cave inférieure, i) est

plus chaud que dans les artères

Xi!?.

Dt: LA VEINE t'OKTE. I, 200,

468 Vt, 83. Expériences en.

dosmometriques de la matière co-

lorante. I, 466. Quantité de

sucre. J,A)2.–nabsorba beau-

coup d'oxygène, quoiqu'il soit

rouge. VI, 36L Après section

de la moelle, analyse do ses gazpar la cuisson. Vf, 3Ci. Ana-

Page 307: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLÀUCE HERNARD. M3

)y66part'o\yded"cai'bone:Mm-)lysh par l'oryde de carbone

com-¡paré avec le sang de la veine ré-

na)e.Vi,82.–Action énergiquesur l'amidon,comparaison des sangs

porte et hépatique. VU, t32.–

Forme-t-it)abi)e?V!f,t;)S.19a.

Analyses comparées avec le

sang des veines sus-hépatiques.

XIV, 268.

SAXR BESVEtKES HEPAUQUES

t, 200, 4C8. Instrument spécial

pour l'obtenir. t, MK. Quantité

desucre. 512. Sa température.

VI,89.–Fermentation. VII, )33.-

Analyses comparées avec le sangde la veine porte. XIV, 268.

DU VEi\TH)C)J!.E droit, il est

ptuiicttaud que celui du ventri-

cule gauche.t,2t'

VIVANT. État de t'aibumino. Vt,4<;S.

SAXHDt;<tATE. Ne se propage pasde la mère au fœtus.XVU,59.

SANGSUES. Effets du curare, de

ta strychnine, et du sutfocyanurede potassium, III, 3(i2, H~8 IV,S46. Leur système nerveux.. [V,M7.

SAKCtJt.N (SYSTÈME). Topographie

calorifique. XV, 4CO. Instrumen-

tation. XY, .t03. Coup d'œii his-

torique. XV, <();Appa.rei'sde M. d'Arsonval. XV, .;S3. Pro-

cédés opératoires XV, 4'! 6.

Tracé graphique et schéma. XV,<82. 1

SAKCtJt~S (ÉLÉMENTS). Voy. Ë/<

~!fM/~ du .t'~i~.

SANTÉ. XVH, yj. Différences

individuelles. XI, 220. Elle

n'est pas un mode différant essen-

tiellement de la maladie. XU).

39!.

SAPO~ftFtCATtO~. XVII, 28t, 315,

'!95.–S.t)enteur.XVU,3M.

SARCODE. X, 153; XVI, 194.

SARCOMtQUE (MoovEMNT). Voy.j!~OMt<f~icy;< .tareod~Mc.

SARCOLEMMt! X, ]68

SARCOt't!AGt-:S (ANMAUx). Voy.~tMt'Mù'!M ~arcopAa~M.

SAUSSURE (Th. de). Antagonisme

chimique, physique et mécani-

que entre tes animaux eties

v''gétaux.XVt,t.5.espiratioB'

d"sptantes.XV!f<;8.

SAVAIT, Il cherche la vét'iM pourla posséder. Vftf, 389.– On

ne le fait pas dans les cours, mais

daastestaboratoires.XL54.3-–

Quand il connait le déterminisme

d'un phénomène, il s'en est renduma!tre. XVII1, 68. H a ~'expé-

rience pour médiatrice entre lui

et les phénomène'! qui l'environ-

nent. XVIII, 82. H ne cherche

pas pour te ptaisir de chercher,

mais pour le plaisir de trouver.

XVIII, 88. Compare à l'artiste.

XVIII, 36(;. Voy. ~ctM sa-

vant, ~ert~f du savant.

SCALPELS. XV, t86. Leur ma-

niement. XV, t9G.

SCAtU'A. Nerf spinal. V, 24'

SCEt'T)CtSHE, il enfante t'indéci-

sion. XI, 409.

sCHLEtnEM. Théorie cellulaire.

XV!, t8;.

SCHUTï,t!?iBERGEK. Combustions

dans l'organismo animal. XIU,

133. Putréfaction. XV[, n8.

SCHWAMK. Putréfaction. XVI, n4.

Théorie cellulaire. XVI, 184.

SCIATIQUE (NERF). Yoy. A'e' Kia-

tique.

SCU~CE. Degrés successifs de son

développement. XI, 6. Les qua-tre périodes de son histoire. XI,

6. C'est un ensemble de faits

dont on connait la loi. XI, 43').

Elle cMr~-pond~ àla raison, c'est-

à-dire une connaissance déter-

minée f)t absolue. XI, 431. Elle

a pour résultat d'agir sur la na-

ture. XI, 510. Elle n'est au fond

que l'étude des circonstances des

choses. XI, h23. Elle est une.

XII, 404. EUe diffère de l'art.

XV, 9. Sa caractéristique. XVII,

392. EUe a pour but la prévi-sion de l'action. XVI!, 393. Re-

poussée par les doctrines platoni-

ciennes. XVII, 406. Elle ne con-

tredit pas les observations et les

Page 308: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYHOtJË294

données d9tart.AY)n,))'.vo;.

PA!<O.M~<' .<C!f!t<«t'.

SOKFtCEPttYStOLOGtQ! E.XVttt,

t59.–Sa conception. XV), 3':i.1

Voy.P~y.to<o~M.

–!t)Et,AVtE. XJ,.i'!T.– Son

problème est contenu dans le dé-

terminisme des manifestations vi-

tate);.XVt,55.ËUe ne se dis-

tingue point/quant à son but geue-

ral, des autres sciences. XVII, 894.

SOEKCKS, rôle des méthodes. l,

289. Chacunf a son problème,

et ses procédés. VIII, )64.–

L'érudition mal comprise est un

ob!!tMie&!eur!'va"c'm""t.V"t,248. Elles ont )eu)' origine dans

l'empirisme. VtH, 334. H&)'' de

la philosophie. \tt,3S~–Leur

<vo!utiou. tX,!3t,Mf;X',4f'i.

-E)!cs'o distinguent pa<')c!)0hjets

~u'eUes étudient, et selon les tdces

qui prësidcnt !our étude. !X. j

)t!Kf)M<nt(tet))fpoint<t<t<'

vue distinct'! et successifs, d'abord

connattrcet prévoir )t~ph<*))n-

m('<nes naturels, découvrir teurs

causes titementairas, puis agir .<u<'

ces phénomènes, atit) de les mo-

dinerctde)esma)t)-i'ier.X!ift8;

XVm,('.)5.–E)tt'ns sont ja-

mais «')'mit)6cs. XI, t60. Elles

se développent d'autant plus faci-

lement qu'cUe'! sont plus Hrapie~.

XI, 41t. EUes no procèdent que

par l'auilyse et la synthèse. X),

49?. Utilité des théories pour

)<'nr avancement. XH, 497.

Utiiite des hypothèses. XIII, 19,

209. On ne doit pas les dénnir

pal' leurs applications pratiquas.

XV, )(). DénHitions. XVt, 2'

Leur but. XV)), !i!)t. La science

do la vie no s'en distingue pas,

quant à son but gcn6ra!. XV)),

39~. Leur <;)assit)cation. X\'t)t,

99. Elles ne doivent pas ~trc

classées d'après ):t considération

de l'objet étudie. XVtU, !U3.

Elles procèdent analytiquement

dans leur développement. XV)H,

143.

!SCtEKCES ACCESSOtnES, <!)i''s

sont plutôt les scicntf's au\i)ia.ir"i<

de)am(;dccine.vm,tf:!5;Xt,'H!.

Nece'-sitodc les ronua!tre pou'

étudier )amc()cc!nf*.X),U. I.

At'i't.tQt'EES. XV, )0.

BtOLOetQUES IX, 23) X\'H).

)()2.–Le retard dans leur dcve-

toppements'c~ptique par la com-

ptetité des phenontene') des (''très

vivants. X, 5.-E)!es reposent

sur les mêmes principes et ta

mémo mëthod<' que les sciences

phyuco-chimiqtiRS. X, a. Dis

tinga~efidetMience'tphysieo-chi

m!fi:XVt,38!). Le'n-in-

C(.'rtitudf.X\'n,«6.

t)ES COtH'S BRUTS et scicncps

des corps vivants. XYHt, )').

OE L'KSt'ft<T. XVftf, <0&.

C.omperpt's aux sciences de la ua-

turo.X),i':0.

EXPEKtMKKTAt.MS VIII, ]8,

M; XI, <?o; xvt, M; xvnr. eo,

)0[.–Et)es ont pour objet do dc-

tcrmincr les lois électives des

pt)6nom<'nes, les conditions dM

mauifPs<atiot!sph<'nomMna)cs(fR

la nature. IX, 3R XI, 489. f:)tcs

snntconquërantt"i.<'tvtsent&i'!<c-

tion.!X,)32;Xf,458.–t'.ompa-

rt''Ma'M!'ciet!('e<)atutf'ties.iX,

9'M.–H~ps sont oLëcutives:

C.ompM'ees aux sciences d'obser-

vation ou contcmp)!Hivox. tX, 233.

BUes ont toujouM~tc pr6c<!f!ces

par l'empirisme. XI, t59. Elles

ne tnarchoat que d'expAn'HtM'} en

expériences, XI, 466. ËUes s<-

rendent maitrcsses des pb6t)o-

mèncs de la nature. XI, 4'M.

mfi's ne sont jamais ttnies. X!, 580.

)'~ies sont esspntteUcmcntCtpti-

cativcs. X)f, M6. Leur certitude.

XIV, !!< Les hypothèses matë-

rialistes et spirjtuaiiMM de la vie

leur sont ~trangCrea. XVt, 43.

Elles ont pour principe Je détermi-

nisme. XVI, ~8.L'a<tiot) est

rendue possible par le determi-

ni<me.XV!,3~9. -L'enMtgue-

ment théorique ou mental est un

Page 309: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

HES ŒUVRES DU C.m;[)KBEt!N.\)t)t. 29 :i

<)c)action du sang noir par la

respiration.'irtif'tcie))t't,M).').–

!ts se caractérisent par t'anatyso

dusangquientreetquisart.VU,

34,9t4.–Ace))uiesiiteset.~ à

cellules caduques ou solubles.

Vi!,93.'t.

SUCRÉTtONS.)\,6S, ;3. Aucune

ne contient normatement du su-

cre. f,!)2.–])yadeuxcircu)a-

tioH'i, )'uno mécanique, Fautra

chimique, t. )<t8.–Ëtiminition

du sucre.t,~t)2.–8peciatite des

ditït'rentes substances qui;'pas'

sent. f, .05. Prt'scucc du sucre.

f,30<Présence du cyanure

jaune de potassium de fer. t. 306.

Iodure de potassium. 1, M6.

Distinction de la '.t'cn'tion et do

)'excrpnon,t.3.t2,V!<)2;V)t,6.

Définition. t, 343. Aug-

mente'; par la respiration aruti-

cie))e.~3.t,Mt.–Activée parinsufflation après empoisonnement

parte curare.f,38);Vf,93;).)5;).

–Diminution dans l'asphyxie par

l'air confiné. U), m. Action de

t'ethcr. tU, 4t5. Ses centres dans

la moelle allongée. tV, 400. Sou

mécanisme. !V,46~;X, 390.

Théorie. tV. t65. Action des nerfs.

tV,')6.):\U.343;tX,88.–

Conditions mécaniques, chimiques

etphyMo)t)!iques.V,~3;Vf,46t;

\U,)(;6.–Action du curare. V,

542. Effets de l'injection d'eau

<ian~ le sang. Y!. 33. Comparai-

son de ia période secretoh'eavec

t'hcmatosc.Vt,34'Soneau

proviontdusanK.Vf,'43!),4}C.–

Matehaux fouruis par le sang. VI,4i0. Toutes les sécrétions n'e-

ti minent pas toutes les substances.

\t, M'Présence du fer. Vf,

;48. 44:). Hecoit-eOe les élé-

monts du sang. Yt, 4. L'atbu-

mine n'y passe pas normalement..

V!,4~ Latthrino ypasse-t-eUe.

Y[.45'Variationsdes quantités

de f)brinc.[,4.i'Matières

organiques qui lui sont spé-

ciales. Vt, 462. Comparée à la

contre-sens. X\t,

M).–Leursmoyensd'action.XVIf,4<M).

S<:tE~C':S tttSTORtQUES XYH),

no.

M)ÉMCAH!S Rapports avec l'art

mcdic.a).X),9.

Mt~KRALMS XV)![. 60.

-MUMA!,ES.XV!n,))0.

-~A')'unt:t~Ks.x),~o;x\'m,

)0t,406.–KUe-iuecherchent

quetestoi-icontomptativesdes

phénomènes et ne peuvent abou-

tir qu la previsioa. !X, SF), )?.

Comparées aux sciences expe-

rimentales. XI, 9~t. Comparées

aux scM'nces de t'esprit. Xf, 4'!0.

--i.'OBSi~VAT'CK. Vtt), t8,M;

XVUt, :<)).–Et'e.ditTcrent des

sciences expérimentâtes. Yt)t,

:i4t.–EUes.'iOatcontemp)atives:

comparées aux sciences d'f'xpëri-

meatation ou executives. XI, 233.

–Ettesontpom'))ut!a prévision.

X). 458. La précision est possi-

h)<i par la comiaiManco dos tois.

X),3-i3.

t')tYS)CO-CntKtQ!JES Leurs

app)icatioHS&taphysioiogie,I,2'i.

–K))ns reposent sur les mûmes

principes et la tueme méthode que

les sciences bio)Qgif)ues.X,

Expériences. Xt.<t2.–D~m-

puëesde):t!!ciet)c''bio)ogifjue.

XVf,38!).–HUess<)nt)abasc()o

la physiologie cxperimonta)o.

XVU), 58. \'oy..E;iir!tMM<a<tOt!

~/t!/StCO-c/ttMt)'~ue.

–HYSt<.H;t:S.XVtU,t5!).

t'OKËS. XY, tO.

SCIES. <?; XV, 188, t80.

SCtSSt< tX. 102. Simple do la

cellule, X.Vt, 302.

scot.As'nQfE. xvnt, '!&.

SECUKRESSE. Son influence sur

les mouvemeuts \'ibrati)es. X, t46.

SECOUSSE tKATTE~OUE, effets

mortels chez des animaux réduits

auu faraud état de faibiesse par

)'ittanitio)).Xt,iSO.

SECHETEUMS'.OMAXEs). Leur sang

pendant les deux états de fonction

et de repos. VI, M'; a 32t. Étude

Page 310: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAULE ALf'HABËTtOUEET ANALYT)QUE2')R

fiXration. VJ. 4<!2. Elle n'est (tas

t'ntrctemK~par )esM(;[)oir,V),

505.–Passade du sucre .'t)a suite

d'mjpcttotttdan!) le sxn~. 212,

299,30),i5.- Sotiabondancf

est sous t'in~unncc de ia preMXH) r

du sang. VU, ?69: Xf. 366. Ac-

tion du grand sympathique. Vtt,

27~, 27? & ;!OS, ;!3). fnftuence do

la paraty-ie du grand sympathique

par son action sur la circulation. VH.l,

~t').–C'estunproduitdeta nu-

trition spRoatc tics tissrts. IX, 9()<).

Elle n'est pas une pure modi-

Hcatiem vascuiaire. IX, 205. In-

Oueneo dos actions t'Anexes. X,

383. Énergique et continue qui

ani&tto )a destruction do la g)andc.

X, 399. Son rétablissement .'(

l'état normal. X, 'i<M. –tnfluencH

du systèma vasculaire. XI, 24C.

Le grand sympathifjun s'y oppose

en agissant sur la circulation. XI,

33G.–)r)nuencodc)'ane!;thesif\ i

Xtt,)57.–tnftuence do la mor-

phine. X! 281. présence du

sucro chez iM diaMtifjucs. XtV,

Les nerfs moteurs de la

sécrétion dilatent les vaisseaux.

XV, 537. \oy. Ce~u/e <<er<'fo:')-e,

Nerfs mo~Mt'.f de /<t sécrétion.

Nerfs sécrétoires, Sels des ~M-f-

<t'0!M.

SKOtETtOPf (PROOPtTS DE). Leurs

rapports avec ta composition du

sang. VI, 439. Paraiioie avec )c

sang. Y!, 460.

(TBOUBLES M). XI, 228.

ABMMtNAn:. Voy. ~A</oMt-

nale.

ALCAMNE. Elle exerce sur les

substances grasses uut) action par-

tieuftÈredi.frereutGdccetiedusuc

pancréatique. XV. ~M.

BtHAHm. Voy. ~««tt're (sécré-

tion).

CtUMtQUE. fX, 20).

CONSTANTE. IX, 75.

COKTtNUE. IX, 7. X, 399.

OtGES'nVE. Voy. UtyM~t!f.

EXTËKKE. VII, 4)2; IX, 73, )23.

MES FERMENTS. VI, 46t.

9 SECKETK)~fnUt'f)U:Voy.o~

,1

SÉenÉ1'fON ntr

"'°, m.

Voy. ~>i~·.

HASTBt~t~E Voy. ~'ai-<M<

Gt.YCOGENtQUE. Voy. (;<-o-

~M.

tNTEKMtTTEKTE IX, ~5.

I~TEn~E V!), 4)2 fX, 73, t?3.

Action do )'6thf'r.!U, i35.

t~TESTtNALE.Voy.~i~~t'na/M

(sécrétions).

m.f J~BOT des pigeons, Ma!o-

gue ]a sécrétion )aet6o ftcs m.')n)-

mifÈres. VII, 236. \oy. A'&o<.

LACTEE. Voy. f.<!c<~ (sécrétion).

MAMKAttU- Voy..)fan)M<;trf

(s6cré)io))).

ORGANIQUE. !X. ''Oi.

PANCRËATtQUK.Voy. P<)f~<t-

~'<

fAMOTtDtHKKE. Voy. /o~

(~tM~f.

t'HVStQUE. !X, 20!.

t'SKUno-LACTEE du jabot des

pigeons. Vtf, 235, M7.

NEKALE. Voy. /<~M/<

SALIVAIRE. Voy. Salicaire (s&-

o'ëtion).

SOUS-MAXtLLAtttE. Voy. SoK<-

maxillaire.

SOfS-~vmntQt'E et SUS t'Y-

LORtQUH. Action du ~rand sym-

pathique. VM, 37)!, 405.

nu SUC GASTRtQUK. Voy..Sxc

gastrique.

DU SUCRE. Voy. Sucre (sécré-

tiondn).

ME LA SUEUR. Elle augmente

après la section du grand sympa-

thique. XI, 3M.

TMANStTO'RE. IX, 75.

Unt~AfRE. Vov. 6'<M<!)'t-e.

CMEX LES VEGETAUX. IX, 200.

SECTtOtfS CARAtERtQUES. Voy.

Cad~uM.SEtttLLOT. Expériences sur la Hga-

ture <!o i'coMpttage. XI, (36.

SKOtMENTS de l'urine. VU, t0.

SEEGEM. Théorie du diabète, XIV,

«6.SEGME~fTATM~r. IX, 107. Par-

tiette. XV!, 3)9.

SEL MARIN, injecté avec du sucre.

~)59. Il produit de la douieur,

Page 311: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAL'nE BER~AtU). i

nnm~nesds vie de nutrition. )\.

~:t.

)~S)tm tTK t~C~Sfn~TE nu

BRCTE.X)U,():XtV,S.'<.

t?<TEK?tt: fnHucnc" sur tes mou-

vemfntscxternf"),)V.3t)'Ex-

périence". !V,~f!8.

iF.XSHttUTE.tX. !<,t.X.3;

X\t,280;X\'n,4M,4');\Vftf.

368.–Abotin par )'asp))yxi<'su-bite. ïn.2.5.–Conservée dattS

i'empnisnnuementducnrare.t)),

3n;X\')H,2'JS.–Anormale des

parties enflammées; eUe<)cpcnd

des racines postcrif'ores.JV. *?}.').

–Le mouvement en est-i) indé-

pendant. tV.24' –).csmou\<

mcntssont en rapport.ivecfUc,

Uyacnti'eeuxsoIi<)at'itc.!V,5!!

& 26(;, ~06. Ses rapport avec la

votontc. la voiont)' en est une

forme. )V, M3, 3~. tnnucncc

sur les moUYemenis du c~ur. ÎY~

2(! Mesurée à. )'aidG du car-

diom'tre. tV. ?68. Variahto chez

le chien, suivant divers états phy-

sio)ogi()ues.iV.();n,M9,3)~,

3)8.–SieUeestemousséc ou

Éteinto. tes opérations sont moins

graves. tV, *!ï(). t\t!e se change

en mouvement. !V, ');'<. Sa

transmission dans la mneUe épi-

nière. tV. :<31. Sa transmission

dans les centres nerveux. tV, S.'<t.

Elle a une sorte de tension. !V,

355. SoMaritc de ces phéno-

mènes avec ceux de mouvement do

taviGorgMiqueetdetaviecxte-

DeUTe. tV, 366. Variété de ses

formes. V, t). Son retour, après

section des nerfs postérieurs rachi-

diens la sensibilité ne reparait.

après l'action du curare que (juand

l'empoisonnement est comptet. V,4R8. Influence sur ta dilatation

'tes vaisseaux et la température de

l'oreille. V, .'))6,5t8. Ce))utes do

Mnstb'Utf'.X,2!)4.–Moyen d'en

mesurer le degré chex divers ani-

maux. X, 39M. HHe augmente

chez un animai auqnc) on a coupé

une moitié de la moeUo. X, 3TJ;

fjuand on l'injecte sous la peau, ('t

augmente i'équh'atent endosmftti-

quo du sucre, tcsotfatcdc soude S

[)cproduitpasccte(T!'t.I,2'M).–

Son action sur les nerfs moteurs,

tV.Ht.

SELS. Employés avec i'ofyde de car-

bone pour i'anatysf du sans. VI, S

3'jn{)uencedf)<: m'tempéra-

ture sur écouteur du sang. Yt,

396.

AMMOKtACAtX Hs prennent

naissance dans l'intestin après l'a-

b)ationdesreins.VH,54,5C.

CE FEB Injectés dans le sang.

VI, 't82. ËHminos par la socra-

tiang3ii<tr!quc.XV,&C5.

–DULA!T.V!f,239.

METALUQUKS. Action sur r~-

conomie animate. III, 90. Arrêt

du coeur sous leur innuonce. !U,

350.

MtXERAUX. Dans !a sang et

dans les produits do sécrétion.

VI,US.

DU SANG. Vt, 4M, 4M X! 30.

Élimination. Vt,44(!.

HES SECMETtOPfS. VI, ~M, 44(!.

Voy. S~cj-t'o;).

SELEf~TtON. !X, tU.

SEMEtOTtQUE. De la glycosurie.

XIV,~).

SEMt-LU~AtRES (GANcuom). Yoy.G~n~a?K seMt-<M?)at!'f~.

SEKATOK. Théorie du diabète.XIV,

4M.

SENEBtEtt. Respiration des plantes.

XVtr,)68.

SE~fS. Influence des cinquiÈme et

aeptiemo paires sur les organes

des sens. V, 17 & 'M3. Nerfs ac-

cessoires aux organes des sens.V,)'?. Nerfs des sens spéciaux.

X, 3t8. Voy. j~M'y.! des sois.

–tKTtMË.XVtU.Mi.

MUSCULAtRE. !V, 2~8 XH!,

M9. Expériences, tV, 2~8.

SEtSSATtttX. XVni, 920. Phéno-

mène!! de sensation. !X, 9.

–BRUTE. Voy. Sensation !MC<MM-~

ciente.

EXTERNE, Influence sur les phé-

Page 312: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TA[!).t': AU'f)ABET)QUK KT A~ALYT!QUt':2M

X[,'}UU.–Sesmoditications.XL

)M3.–St'SYariationsserapportent

toujours auxfunctiona des racines

postori~'m'<'s.X!,i(!4.-Eitt!dis-

pa.rait da.ns tes t~eris pneumu-gas-

)riqu("<.ch<ï)esanitn!tuxajoun,ct

réparait pendant t'aete de la dtges-

tioo.Xt.tCf).–Dévetoppoepar

t'ausHK'ntationdot'activitemuscu-

tatre.Xt.!H8.–t'ropriétt:(]Utdc

tout temps a et6 rapportée au sys-

tcmo tiervcut. X(, t' Pr~Mu-

tions à prendre pouri'entrctenir.

X), )84. E))e difiero de ta dou-

Jour. X), 2()C. KUo n'est pas

avec tH mouvement it! seul phc-

t~)m)'ne()mdcpe))dpdusystcmf

nerveux. Xi, 2'i4. Elle anRm~nt~

par suite de t~ soctu.)n df: diverses

braachox du grand sympathique.

XH.Ïf!),8t!Sa perte ost une

manifestation csscntiptto do t'a.nes-

th~sie. X!),n3.–Danst'ane!

thssie.ptte commeoce h disparaître

& rcxtromito périphérique du nerf

scnsttif. Xt). ):<. Son influence

surtMphonomCncsdccalorififa-

tioxetsuriatcmp'-rature.X))),

9'.)3. Elle anHine u;) abxiMf-

jïK'nt <)(! tftnpt'raturo dans le

sang.XU), 2!)!]. –tmportimce

de so))r<')t<'cnm)nepointdo départ

des actions rf'nt'xesdan'i)e RM ud

sympathique. XtU, 301.– Ces

phenonenes .sont toujours r<H]exe9.

XH!, MS. Ette régie et gout'erne

la circu~tion et par)')uite la nu-

trition. XUI.30!).–K)to est rin-

tc!!)gonco des organes. Xftf, ;!09.

Anestitesie de ses propriété'!

prf)top)asmi<)U(tS.XY*[. 955.

Compnrce & t'irritabifitô, o!)o en

eatunedc!' (ormûa. XV[, 289; XYU.

2M, ~75. Aboiie par les aoM-

thésiqucii.XYi.XiiS.–Comparée

~]act)t)tracti)ité.XV[t,4~.

EUc est un comptexus. XVft. 46'

Heactio't motrice, trophique.

XVU, 472. Simple, XV't), 473.

V6~ta)o. X\')I, 474. Dans !e

re t;no animât et dans )e rogne vé-

géta). XVtU, 2 tO.–EUo est Me des

propriétés fondamonMi<~ds tous

fesoiemcntsorgn.nicjUM. H!,223.

Action du où-are. XViit, 288.

–Son influence sur !esnt'rt's ma-

teurs. XYiU, M'Vo).<<<M~

de ~f!M<At7!7< Nerfs de ~?~M!A)7i'M.

SEKStBiUTE AU CHLOROFOKME

Variable selon les animaux, cxpti-

cation de ce fait. XU, M. Ordre

dans lequel elle disporatt des

diverses parties. X)!,56.

CtKCCLATOiM);. XtU, :m9.

SANS CONSCtKKCK. Voy. SM-

St'&~t~Mt<:OnscMM<f.

COKSCtEXTE. tV. 3t<); IX, 37,

'80 XVI, !83. ManitMa da voir

din'6rentes des philosophes et des

p)~ysio)og)stGs~ce sujet. XVf, 289

Seule adnttso par les philo-

sophes.X\m.2!!).

0)': LA COKKEt:. Persiste après

la disparition do celle do la face.

)it.2!C.

OtMECTK V,7 7.

EXC)U!TO)KE OU REIN. Elle est

pMé~eittoe par une très petite pro-

portion do sucre dans te sang. I, '&.

MES GAr<f(it.tO?<S HMt'MATt

QUKS. IV, :;M.

nES GANGLIONS DE t/ABCO

men. XI, 3'!8.

t)t:S GANGLIONS DU GRAND

SYMt'ATtUQUK. tV, X<;8.

<;EKKKA)L)K MK BOKDEU XVI,

34~; XVn, ~42.

UES GLANDES. EUc est relative;

Démonstration Mp<Srimenta)o. XV,

M'

OH HALLEn. X, 7) XVI, 245.

tKCOKSCtf~TEouSANSCOrtS-

<:)EKCE.tV,9),a}0;)7,

180; X, 326; XIII, 272; XVI, 283.

Son influence sur los mouve-

menM internes. IV, 32?. Action

-spcciitte de certains e\citMt!9.tV,

MO. Elle s'explique par les

commissures des flbres dans la

moaUe épiniere. X, 327. Du

système sympathique. XI, 360.

Manière de voir différente dos

philosophes et des physiologistesà ce sujet. XVJ, M3.

Page 313: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

[<ËSCEL'VftESDKCm't)E!!Htt.\A<tU. :")9J

E~SUtHH E tNSE~StBL) du sys-

tème sympathique. X).3<!<

UK LA MOELLE !h')~tH:)!Ë V.

4C3;Xt,t94.–H))c provient des

racines postérieures. X), )8'i, t')4.

)95.

DES NEKFS f)jf)u''nre du )'ah-

stinencc. VU, 293. A t'irritant

étectrique. X, X8(!.

nES KERfs ctHAmHs V, tn.

223.

DES KERPS DE L'INTESTIN.

Xf,3M.

DES NERFS BE LA PKAU XI,

355.

BU PtEKF SYMPATHtQU<! VU,

3Ï&,333.

DU KERF ME WtLUS.EUe vient

de plusieurs sources. IV, )08.

KERVËUSH. Xt, t89. P)u!;dc-

yetoppoechextesMcosoiOYécs.

Xt.24.

nE L'OEIL Daas tasphyxie. )[:,

935.

--MEt.APEAU.Soninnueocesur

la sensibilité dos pitiés corrcs-

pondautRs. IV, 2.it. 2;.4. Dé-

truite, etic rt!na!t par une piqûrechez les hystériques.IV, 253.

PEKÇUE. IV, 3M.

DES RACINES MACmOtEK

NES. !V, 2t6.

RECUMKENTE ou EN METOt R

nt,M;tV,9tht)a;V.~4G2;

Vtt,3~);\m. 3M;tX.t5C;X,

243; Xt, 36, t8:i,5n,52t.-Ex-

périences par lesquelles on la cou-

state. tV, 2~. EUo associe les'

nerfs. tV, 29.–Historique de sa

découverte.fV,3~Vicissitudes

de cette question. tV, 3. –Con-

ditions dans iesqueites doit ctre

observa te phenomoue. fV, 3(!.

Expériences. iV, <0. Chien con-

servé après opération, r~nMement

deshoutsdenerfs.!V,4'Hu

facial. tV, 48, &), ~9, Si). 90.

Expériences. iV, a5. Conditioat

qui en modifient les résultats,

pertes de sang. IV, M;. Contu-

sious desMCines postérieures. IV.

57. Influence de la saignée. IV,

~)7.–Dnu)eur excessive, )V.s

–Variétés in(tivi()uct)ps.)V.);J.

–(conditions sp<cia)e")V.('

Kxpericuce, sur tes racines. tV.)

~)i5. –Anomalies apparentes.

fV,'?.'). Explication. )Y.).–11', i:a. Eylicutioo. 3V, i:

Ne disparait pas par la section du

nerf' sciatique. tV. 8< Sa mani-

festation a~ta cautérisation. )V, 89.

–tndueuce de tetherisation.)\.

9t). )m. Manque dans le pnen-

mogastrifjuo.tv,!)).– K'e~istc pasdans te va~u". chien réfractai)')'.

maladie dt')appau,p)aicsi,;U(''ri)'s

après ouYertm'c du caaat yertebt'a).

!V. !)(;. Sur un chat. tV, 96.

Rcunumcnt de t'extrémit6 des ra-

cines après leur seetinu. tV, 9'i.

Ses phénomènes établissent runite

do la paire nerveuse. tV. ')8. –Sa

distribution. )V, 98. Sa propa-

gation. t\)i).)()t.–Anoma)ie

gaussa distribution produitepar

la soudure do (teux~an~Uons ner-

veux intervertébraux. )V, t08.

Dans )a;noeHe.tV,t)0.–Dans

les nerfs purs, dan'iiesncrt's

mixtes.tV,t)<).–Sooexattation

par section dota moitié de la

moe~p, exp.fV, 39a,3')5.,484.

–DMnerf-.do)'mi). V,'2'

Ma.–HXcpf'ut être déterminée

par la pression exercée par le

cœur.Vt,)90.–Du ~rand sym-

pathique. VU, :i04.–Des nerfs

du~t'andt)<'nte)c.Vt),'4.'<;).–Des

racines rachidiennes antérieures.

cxp. de Lon~et et de Ma~endie.

Vitt, MM Xt, .)(!. 5)' Anatyse

dfM p!))';nomeaos. XI, m. Pcut-

ei!eëtrcexp)'nuee par les anasto-

moses qui existent entre les nerfs

sensitifs et tesnerfs moteurs. X~

]':9. Opinions diverses retativos

a son origine. XI, t84. Est con-

sidérée comme te rësuttat de la

renexion des Mhres sensitives qui

reviennent de la périphérie au

centre. XI, ]84. Preuves a t'ap-

pui. XI, )8f<. Les expériences

destinées & ta mettre en )umiere

doivent être pratiquées sur des

Page 314: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TA)!t.E ALPHAtfËTÏQUE ET ANALYTIQUE300

paire. V, )0f!. Sa constitution*

dans je conduit auditif interne. V.

t09.– Portion infra-crânienne.

V,t40.–Saparatysie.V,m.–

Son influence sur la sécrétion pa-

rotidienne. XV, 521. Voy. ~'ae!~

(nerf).

SEREUSES (CAVITÉS). IX, 69.

~MfSMMKANES). Action du HCt'f syttt-

pathique sur la formation du pus.

V, 590 VIT, 4?8. Muetice de

fa destruction de certaines parties

du grand sympathique sur t'e~ha-

lation. V, M6. L'albumine in-

jectée se retrouve dans l'excrétion

urinaire. IX, t97. Absence de

glycogène. XVII, '!5. Voy. ~nt-

&)'ffKe i~eMM.

(SoBfAcEs). Leur sensibilité. Xf.

355. Absorption. XH, 71.

SEREUX (ËPAtCfOMfENT). Voy. ~O't-

c/«WM~ scrcM.r.

(SYSTÈMB). )X, 68.

(VAISSEAUX). Voy. Vaisseaux.

SE)t)t! MORBtn)!. XI, )8.

SKMMGUKS. XV, !U3. A vis et

de Ilravaz. XV, )99. De Bour-

guignon. XV, 2t5. Voy. ï'M&f-tv-

rtn~"<.

SEBJAMAtt.KTHAHS. Son ac-

tion. iU,297.

SEROStTE. Vit, ~06. Présence

du sucre, chez les diabétiques. f,

at8.Voy.Si't'<<M.S~'<-M.C.

SEnoT~E. XVII, es.

SKttfEPfTS (venin de). Ut, 50, 312,

389; Vf, 46).

SEtUHi-ORtH)LLES,Serre-cotes. XV,

144.

SEHTULAMEMS XV, 305.

SEMUM.I,MO,2M;V)!,464;xn,

!S XfV, )35. Sucré, il s'y d~ve-

loppe de la levure de bière et des

globules apëciam. J, 2!')5. !) est

toxique. Jtt, 09, 22!), 22i Vf, 472;

Vf!, 4M.– Sa séparation sous

l'influence de l'oxyde do carbone

semble Ctre plus parfaite. Ut, U)'

Les globules du sang tombent

au fond du sérum, môme sur le vi-

vant, chez le cheval. VL 432.

tnjection dans le sang. Vt!, 46t.

animaux supérieurs. Xt, )84.

Expfh-ifncos diverses.X),)S8,)9<

EHe est atteinte par tes anes-

thcsiquesetdisparattiaprcmiore;

des paires nerveuses rachidienues.

X!t, )5t.

SENStBtUTt! KKFL'XE tV. 3*!t.

))-:X RETOUR. Voy..St/~t&iYt~ re-

t'M~'cn<<

MES S~HFACES Mt'QUEHSES

KT SEREfSKS. Xf, 35.').

SYMt'ATHtQCE. X!, 3.).

DU SVSTÈME SYMt'ATinQtJE

sous t'actton des excitants. Xt,

359.

S)'S!T!F (8YMÈMK' pro-

gressive de i'Mfsthesif. Xtt, t37.

SEKStTtFS (NERt's). Voy. A'<< MH-

<t<)/

St-:KStTn'E.X\'), S. XVH!, 925.

SENStTtVK (Ct:f.t.ELE). Voy. C<K~<

SK~St'm'ES (AcTMKs,. LGur geué-

ra)is!ttiotf.X,!i)5.

(ExCtT*T)OSS). Voy. RK!<a<MMM.

–(FoMEe).Voy.F<;t'<'M.

(t)tt'M.MfO'<s). Voy. /M/M'M.!tMtS.

(PttOPftt~T~s\ Voy. Prf)pr<~<< MM-

~!7)~M.

(RACMEs). Voy. tfafttM.t .«n.o~'K.

SEKSOR)):~ (AppAKE)L). Etfets goM-

ramd('s)tisian'Xt,22(i.

St~SORtELS (!<<EKFS).V. S.

SE~iTtMKKT. tV, 3t. GcnéMti-

s&t.ion de ses rcaMtons. !U, 3&9

tV, 351. Son influence sur )e j

mouvement. )V,248.TrMMni'}-}

sion par )a mocUe. fV, 328, 338.

H engendre l'idée experiman-

taie. Ytu, 57. –![ a cr66 les yën-

tés da ).t foi, c'Mt-à.diro ia theo-

!ogie. XYU!, '). U sert de point

d'appui & phyMotogic. XVH!,

439. Voy. C<t</M .sfM~m'H)',

Nerfs t~M .tM~tmeM~.

SE~fTtMEKTS. sont toujours ac-

compagn6s par des action rC-

neMsducœur.XVUt,3f!().

sm'TfÈME t'AtKt!. tnnuenca sur

les orgattC!! des sens. V,n & 2~!).

Phanon~nes consécutifs it sa

Mction,c<)fnp!tt'6!)& ceux consé-

cutifs & ta section de h cinquième

Page 315: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DRS(E!;VRES))KCL.U'[)r-;Bf;H.\A[U). .~tf r

SKUVt'.T découvre la circut~tiot)

pu[tHOBatre.Xi!,5;X\2~8.

SKTSCm~O~ Cax du sang. XV,

4-;<i.

SKXE Inuuencc sur la sécrétion du

sucre. !,)97.– !nf]uencesur)t'

g)ycoe!Pne. t,~99.– Influence

sur Jacou)ouruusang.V),255.

Influence sur tes manifesta-

tions do favie.YtH,2)2.

SEXUAt.tTEtX, )05,2);).–t'io

se réduit des questions d'aii-

mentation ou de uutt'itia))

br}-otmaircs.[X,n;XVUf,t39.

SE'<.t;ELm(FoM;T!ox).!X,iO(;.

–(GÉKÉ))ATM'<t)y.GMf)'n~o'

S";CH "H LA VtK. On ne )e cher-

chep)us.X\m,M2.

StMt'S< et le chto'oforme. X)f, 44.

SIKCES. Dissèques par(.a.)ien. Vti),

)S3; XV, 6' Attimaux d'c'ipô-

riences. XI, 55t. Moyen de les

maintenir. XV, U).

SOt'.tnnuoncedcta.sativoparoti-

dicnne.!t,50.

S<.H.AtHE(PLMcs).Voy.P~j"M<f!o-

/a)''f.

SOHt)Att!TH fonctionnelle du foie

et du poumon. t,:K<o.–Ucta

sensihi!i(6Rtdumotn'em<?nt.fV,

2~5, 3<)fi. Des phénomènes de

destruction et de création orga-

niquc,eH6 prouve t'unite vitale.

XVJ,t5t.– Org~nifjHodans l'é-

conomie !tnimatc. XVttt, '!(.

SOUBES. Injection. XV, 216.

Absorption. XV, 365.

SOUJBtUTE des yeniDS et des vi-

rus.m,5t,95;Vt,M.–Dos

matières organiques. i[!, 65.

De roxygeae. III, t07. Des gaz.

!!), !63.

SOLUBLES (FEMENTs). Voy. f<

'eM~M/Mt<M.

SOLUTION AQUEUSE DU TISSU

PANCMEATJ~UE. Elle a tes pro-

priétés du sue ptacréatique. II,

240. Réaction caratterMtiquc

du chlore. JI, 242. Action du

chlore 1" i'état frais. II, 247

2° torsqu'i! a subi un commence-

ment d'altération. !t. 248;–

~°h)r'!<j)!')t est cf)!)!ptt!tement ci-

tera.U,2~'J.

SOMMEtL. Xi), tit; XV!ff. 38i.–

Le ''ervaauett frappe d'anémie.

\)f,)!4.– Uroinfidennnpa''

avec la congestion mais avec j'a-

némie du cerveau. XV))!,38'

AKESjTUHStQCE Xt!. Hi S.

–CHK)HOiK)KMtQLK Hxpë

riencc.X!I,(2f.

Mt; LA CODEt~t. XII, 508

MCHfttEt~t'E. X!t, 508.

DE LA NAttCEt~E XII, 5!0.

SMM~AMB~USME. XI, 26.

SOMKOLEKCE. Produite par l'o-

pium. XII, 165.

SON. Sa propriété nutritive. Vff.

474.

SO?iU)E. Pour injecter les substances

dans te sang. H), !37. –Avec sty-tet central pour les fistules sali-

vaires. XV, 50(;.

CAX~ELEK.XV,)8t.

TMËKMO ELtiCTmQCE. X!!t,

Tt.XV,46!).–tJispositMn;!et

construction. XV, ~(!i). Engai-

née. XV, 'i(;a. Nue. XV, 479.

SO!')ttSMES. I, 279.

soumet;. XVH, 3;. 27!).

SOft~H. Voy. Cff'tot)n<e de sot~e,

~t<<t~f/t'~OKf/<?.

SOUDt.'KE de deux ganglions ner-

veux intervertébi'auxayant produitune anomalie daus la distribution

de la sensibilité récurrente.tV,

t08.

SOt'FFLET. Pour ]a respiration arti-

flciolle. XV, 225.

SOPFFUATfCH. KHc empêche te

chyle de s'écouler du eaux) thora-

ci<jue.Vn.6H.

S<.tt;t'Mt:. Dans t'orgauisme. III, M.

Son action sur les muscles. III,

355, 386.

SOUHU-MUET. XVHt, 4Ït.

SM'S-CtJTAKEES (!NJECTMf3.) Voy.

Injections /))/~ct.fe;'Htt~uM.

SOUS-M.AXtt.LAtRE (SAUVE). Voy.S«/)ue.

(SÉ<;)!ËTfO'<). V, ]!6. Action de

la corde du tympan sur cette sé-

crétion. V, H'C VU, m à 308.

Page 316: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAHU'; ALPHABÉTfQUE ET ANALYTIQUE302

Expérience. V, )4t. Son

mécanisme physioiogique. V, MO.

Elle est supprimée par la sec-

tion de la corde du tympan.

V,)M).–tnf!uenee du nerf lin-

gual. XV, .')4).Voy. CtM~~i

MM<Maj't~ft)'f, G/a?t~ ~OM~-ma-

xillaire, A'er/' mo<eMf été la .)td<'

~OM-a~iï!)'e, Sa/!ee MtM-~tn-

.cf</att'<

St'ALLAKZA~t.Digestion XV

495. !)ig(!Stious artificielles

XVU,SC~Expérience sur le

suc gastrique. XVII, 265.

SPECtAUTE de la transformation.

X\'f),9).

SPKCfAUTES :'RAT:Q:JES 8 en

médecine. Vnt,3':t).

SPÉCtFtQUKS. VU), S(i3 XI, 423.

St'ECTMES de t'hémogtobiuo oxy-

t;enéa, réduite. Xtt,4M, 4M.–

De l'hémoglobine oxyMrbonée.

X!t,<M.–Dat'h6mog)obin< 11

demi réduite. XJI. ~57.

SPËCTKU~KTMtE du sang, appti-

cationsruédico-)é;;ate!i.Xn,'i!;St.

St'H<:TROSCOt'E appliqué )'c-

tudn de l'asphyxie par l'oxyde decarbone. XU, 437.

SPECTROSCOt'n': du sang.XII,425,

436. Ëtude du sang incompiète-

ment intoxiqué par t'oxyde do car-

hone.X)f,-i M).–Spectre de ré-

duction partiello. Xit, i.'<7. Hy-

pothèse et théories diverses. XII,

457. Pour constater la présaucedo t'oxyde de carbone dans le sang.

X\tit.

SPËNCKM fUEnnEMï). DéËuition do

)aYie.XVf[),)!)i).

St'EKMATtQUK (CELUJLE). VoyCellule.

St'ERMATtQUKS (AtfmAux). Voy.

~)?!!M]n!t.t:.

SPHKMATtSTHS. Ils considèrent

l'animal f)perm!<tif)ue comme le

germe. XVI, :ti(i.

S~EMMATOXOtUES X, 133.

St'HËNO-t'At. tT)~ (GAKGLtOt). Voy.CaM<y/t'o~<p/«'Mo-p<!<a~H.

St'mKCTHKS. Leur contraction

permanente. X,;m, 377.

SPHINCTERS t'RELACU~AtKES

De quelques trticuics. XV, 3)4.

Leur analogie avec J'ensemble

forma par tes paroi* muscutaires

(tes artérioles des animaux supé-rieurs. XV,!)t5.

ME LA VjRSStE. VU, t73.

S)'!KAL (GANGnof). Voy. Ga'M~.

(NEnf). V, 244. Son histoire

physiologique. V, 2t5. Galien.

V, MC. itiis. V, 946. Scar-

pa. V, 247. Cb. Bel). V, 248.

tiitchof! V, M Son an~tomia

chez rhommo et les animaux. V,2M, 274. Ses propriétés. V,

2&9. Partie intM-r~citidienne.

V, 2S7. Partie p~tM-crânienno.

V, 288. Ses fonctions. V, M),Si*). Procédés do destruction

chez les animaux vivants. V,291. Ablation complète des

deux spinaux. V, 2M. Discus-

sion des Mporieuces et eonc)u-

sions. V, 29.'). Son extirpation.

V, MT. Aphonie après leur

ablation. V, :!<)(!. Essoufflement

après leur ablation V, 306.

Brièveté de l'expiration aprèsteur ablation. V, 3U6. Sa des-

truetionentritinettt gène data.

déglutition. V, 306. Paralysie.

V, 307. Sa destruction chez

de très jeunes animaux. V312. Ses fonctions. V, 319.

Usages do la branche externe. V,MC.– Il est le nerf fmiagoniste

do la respiration. V, 343.

St'tKALES (RACMEs). Voy. MactnM

<B!Ma~M.

SPtKOXA. XVII, 430.

St'tRtTUAUSME.fX.M? XVt,i2.

St'mo(.YnA.x\'t, 38t).

St'LAXCH~tQUES (~EnM). Voy.

A'ft'/s ~/t[y)eAnt~ttf.s

(OxGANEs). Action de la tnoe))e

~pinièro. tV, 48).

(PLBxus). Vay. f/e.~M.

SPOKTAKHK (GËKNRATMM). Voy.G~MM'<t/!on.

St'OKTANEtTE DES CORPS VtVAK'f'S. Elle no s'oppose pas !).

t'empioide l'expérimentation, VIU.

Page 317: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. .i0;!

)0),377.–Eito n'est qu'appa-'

rente. XVftt, 4),)2t.

SPOKTANEtTiS DE LA MAT:f:RE

XV!t(, 20). Ëtte n'existe pas plus

dan~tMCorpsbrutsqueda.cstes

corps vivants. VIII, 132.

nH LA MATtÈBE VtVA!\TE

!X,t34.

SQUELETTK des) arthropodes ou

articulés, il est extérieur. IX, 119.

Des vertébrés, il est intérieur.

!X,))9.

STAttL et l'animisme. X, C7

xvn,4~.

STAK~tt-'S. Expériences sur la sec-

tion uaUatérate de la moelle. X),

2!M.

S t'ATtQHË des animaux et dt's vé-

gétaux. H, 495. Chimique des

êtres vivants. !X, 92. Voy. BM ~t

statique.

STATtST!QUË. VUt, 226, 238. 373

XV,48;XVU,fOO.–Ëi)one

donne que l'état des choses, et non

leur raison. IX, 98.

MEtttCALE. Xt!, tO) XIV, 83.

STENTOR t'OLYMOm'ttUM. XVJ,

210, 212, 380.

STER'«)-MAST()t!)tEN. Sa contrac-

tion vocale et sa contraction res-

piratoire. V, 336.

STEVHXS. Exp. sur la digestion.

XVtf,2G4.

STOMACAL (AcTE).n,88). Sa

rapidité. Jt,it3.–Compare avec

la cuisson dans l'eau. Il, 418.

STOMACALE (UtGEMmx). Voy. Di-

gestion.

(FMTULE). Voy. FM~M~e ~<on<a<'<

(GLA~nf;'). Voy. G/M)t'/f.

–(McQL'EUSE).Voy.MM~Me'Me~<o-!

MHM/f.

STRAKGULATtOK. Xtt, 470.

STintES (CoMs). Yoy. Co~M .<<rtM.

STUOMA des pachydermes. XVII,

.3.

STRYCHKtKE. Comparée au curare

elle agit en sens inverse.34). t,

386 ;!X,t63;Xt, 148,227; XV,,

427. Eiie abolit les fonctions des

nerfs du sentiment, et laisse in-

tacts les nerfs moteurs et tosys-

tème musculaire. III, M'! XI, 8').

–Etïets produits sur ta système

nerveux des animaux inférieurs.

i!L3<!).–EtTets sur les sangsues.

tIL 3(i2. )'tï<ts sur les ccrevis-

ses. HL 3(!4. Le curare ne sau-

rait être regarde comme en étant

le contrepoison. III, 37R. Sou

mode d'action. DL38&; IX, )(;2.

–Mécanisme (Jeta mort. !(!,387.

Son action sur la moelle et les

raciaes. jtf,387 IV, ~t, 342.

Poison de t'ciément nerveux sen-

sitif. IX, 21. Kmpoisonuement

d'une grenouille. 1\, 22. L'em-

poisonnement ne peut pas être lo-

calisé. X, 337. Provoque des

actions rétlexes et des convulsions.

XI, H). Neiaisse pas de chan-

gement physique apparent dans

les organes. Xf,)-t8.–Empoi-

sonnement par celaient.XV,t2G.

STRYOiNOSCastetnœaua. HL 2M.

-Tarifera.iU.2-

SUBUXGUALE (GLAXUE). Voy.

(j~'t'if~ ~!<6<)H'M/f.

(SAUVE). Voy. S«<!t;e ïu&~t-

~)M~.

SUBOBtUNATtO?! des vies été-

mentaires à l'ensemble. XVL 3M.

360.

SLBSTAKCK ttLASO'K Ses pro-

priétés. IV, 329 Elle est sim-

ptement conductrice. X, 312.

Ses fonctions. X. 330.

–CKtSË.Shs propriétés. IV, 32'i.

–C'ost en elle qu'est te centre

desactious rcftexes. X, 313.-Ses

toacuons. X, 3~0.

–MUSCULAtHf:. Voy. ~MM/a!)~

(Substance}.

SUBSTANCES ALBUMtKOtKKS

Voy. ~<AMMtiy!Ot'/t'i;.

–AZOTEES. Voy. Azotées.

CONTRACTtLES. Voy. Co~rac-

lites (Substances).

–t-'ECULE~fTES. Voy. /c'<</f)!<t~.

GRASSES. Voy. 'CrnMe.t (Ma-

tières). ï.

MyDKOCARBONEES Voy.</r~<?'&on~

MËD!CAME~TEUSËS Voy Jlé-

Page 318: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAtiLt! ALPHARËTIQUE ET AN.\t,YT)QUE30~

</iMMf))< .Mff~f'afMM/ftMM (Subs-

tances). I.SUBSTANCES H!~EKALES Voy.

AfM!<'t'a~

I~UT)UT<VES. Voy.' ~Vi<'<<)'t)M.

CMf.AKtQUES. Synthèse indi-

recte. XVt, 3~2.

PUTMDES Voy. P«/)'d<

fOXtQt t:S Voy. 7'o.t-tfyMM.

–VEKK~HUSES. Voy. )~!<'))MM<

SUBSTHATFM. Distinguo do For-

gane. VUf, )ao; XVIII, 3':0, 402.

Vital. XV), 35).

SUC CASTMtOUE I1, 38X VH, 3'!5

XV, a6t XVII, 288. OitTérentes

manières de se )o procurer, et de

)erecm'iiiit' pourranatyso. !f,3S2,

XV, atH. Ses proprietM. n. 383

& 406. Sa composition chimique.

lI, 3!)0: XV, 57t. ArUficiet.

Il, 3Un !X, 'M. Son action sur

ifs dh'crs a)itne!)ts. Il, 400.

Son action sur les matières gras-

ses et sur les féculents. Il, 401.

Son action sur la chair mus-

culaire. )I, 402. Son action

chimique. t), 403. Pourquoi

il ne digore pas les parois (te

l'estomac. Il, 401. Son action

combinée avec celle de ta salive.

H, 409, Viande do bccuf cuite,

digérée par le suc. !),4t5.–Qua-

titos différentes chez des animaux

différents. Il, 4)6. Son action

combinoe avec celle de la bile. Il,

422. !i n'aitèra pas )o curaro.

Ht, 284. Ammoniacal, après ex-

tirpation des reins, sa quantité

augmente. Vf), 50. Sa forma-

tion n'est plus intermittente. Vit,

5) à 56. H peut contenir du

sucre. VII, t8. AMration, pas-sage des .substances. VII, 374 à

3T!, 38: Présence de i'ioduro

da potassium. VII, 383. Sa

sécrétion. IX, '??. Tiedomann

et Gmelin. XV, W.–Proprié-

tés particulières. XV, 56).

Réaction acide. XV, 56t. Cette

propriété se retrouve dans toute

l'échelle animale. XV, Mf.

Sa source réelle est dans les

gtattdeacntubadaiamuqueuso

stomacale. XV, 5<;2. Comment

on réussit le mieux h en séparer

tes substances aiimentaires mé-

tang6es.XV,f)M.–Liquidetqui

y sont juvariabiemfntmeiangés

et dont il est impossible d'éviter

)a présence.XV, &70.–Sonaci-

ditoneutratist'sparfesiiquides

atcatins.XV,5'iO.–tnûuencedu

système nerveux sur sa produc-

tion. XV, 57f.– Exp. de Spallaii-

z:mi.XVn,'J65.–8on acidité

n'est pas un fait primitif, c'est ]a

résultat d'une modification do la

sécrétion.XVit,28i).–Son action

sur les atbuminoMes simples, fi-

brine, albumine, caséine. XVII,

295. Sou action sur les aibumi-

noïdes comptetas. XVII, 303.

Son fermeutaibuminosique. XV!

35&.

SUC t~TESTtKAt.. 4* Vt!, 3n,

388 XVII, 3)8. Mixte, son

identité chez les différentes eapÈ-

ces animales. JI, 444. Ses pro-

priétés physiologiques. U, 445.

De lapin, il devient visqueux par la

potasse. )V,452. Ses propriétés

sur la graisse. Vif. M?, 383, 40~.

Son rote. XtV, 2f<7. Procédés

pour t'obtouir. XtV, 257. –Inver-

sion.XV!t,3[9.

–MUSCULAtRE. X, 1M, 22!).

Sa constitution. X, 170. Il diffère

du sang. X, 170. -Ses variations.

X, 226. Alcalin à l'état normal,

il devient acide dans un muscle

fatigué. X, 22fi.

PANCREATtQUE. )t, n5; 1!,

2)taS'n,3~a352;Vn,2jt,

255, 26' 34t; XV, 574. Procé-

des ompioyos pour t'obtenir, tf,

175. ProcodM de Graaf.

175. –Magendie. !<. n6.–

Leurot et Lassaigno, t76.

Tiedemann et Cmeiia. Il, 177.

Son extraction. Jt,i9i,2)C.–

Normal. 209. Anormal. JI,

209. Ses propriétés. H, 211 à

277, 329; Vff,M5.–Sa sécré-

tion commence avec la digestion

Page 319: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BEt~ARD. 3P:i

Cf.AKM BEHNAttD. X[X. 20

s<te d'opérer <imuttan'tnent sur

un grand nombre d'animaux, lors-

'1"'onabosoindR~r;]u<icsquan-t'tcs. XV,9).–propriétés pré-

''nmcesdf'ce]if)))it)n<'h")'!if)mme.

XV,.5;)' SonacHonsurtes

substances grasses ()i)~'re de celle

tics sécrétions a)ca)incs. XV, 594.

–Htransf'orme)a!actosoeng)y-

cose.XVtf.l22.

!SUCS tUGESTttS. ))s n'altèrent

pastecurare.Hf,98:Factices.

Ebede.XVff,'i68.–Leuriden-

tite.XVft,2'!).

St'CS 0'U~'E t'LAKT). Leur ana-

)yse.XVH,tt.

SUCC);SS!0~.Elle ne caractérise

pa-iteiiendecause~ctTet.XVn398.

SUCKE. I, 39, 204; XVII, 33. ses

variétés. XVII, 33.

DANS L AtJMt~TATtO~ Son

influence sur le diabète. X[V, 423.

DANS LAt't'AttEfL (;<)tCLLA

TOtRE. Expériences de Claude

Bernard.XVJf, 4).

DANS LES A!<TÈRES. XIV, 2t5,

MO.Voy.~t~M.

nE BETTEttAVE. t, 38; IX, 95XVII, 279.

DANS LA BILE. VU, 9)2, 299

30),3t5.

iïE CANNE. I, 38; XIV, )4?, 250;

XVII, 34, 279. Son interversion.

XVI!,34!.Voy.CM.'ifAs!<c;-e.

CIIEZ LES CHRYSAHUES

xvn,n.

DANS LE CHYLE du canal tho-

racique. 32: X!V,20).

DANS L'ESTOMAC des diabéti-

ques. 1,308.

–DE FECULE. I, 38.-Son iden-

tito avec les glyroses du sang.

XIV, 240. Sa formation dans

t'intestin grète. XIV, 248.

FEMMËNTESOBLES. XV!I, 279.

DANS LE t''0)3')'tJS. Influenceda

la gestation sur sa production. I,197. Sa découverte. 239.–Sa.

production dans les muscles et les

poumons de foetus en voie de dé-

veloppement. I, 257. Cette pro-

stomacale et dure.ipi't's ta di-

gestion. H, 2''2.–)nnu"nco de

I'éth<)[,2.'< inf~n'nccd'!

la digestion, tf. 2'tnnuenrn

'les vom!ss"mt'ts. tt,227.

Sa composition chimique. JI,

230.–Matières satines et ai-

buminoides. H. 23C. Principe

actif, ses réactions. H, 239, 358.

Présence dusutfatedechaux.

ff,242.–Distingué du tissu pan-créatique par le chlore. Il, 342.

Action du chlore, )° t'état frais.

tf, 247. 2" Lorsqu'il a subi un

commencement d'attération. It,

248. 3° Lorsqu'il est complète-

!'sen!.a!téré.I!,249.–Son ac-

tion physiologique. H, 253. t)

émulsionne, puis acidifie les ma-

tières grasses neutres. H, 254.

Preuves de ('action physioto~ique,<"part'anatomie.it,2(i9.–2° Par

la suppression de l'action physio-

togique.H,2'!2.–Sou action sur

les matières féculentes. H, 328.

Son action sur la fécule. J[, 329.

Son action combinée avec celle

t!o)abite.)t,4t2.–Chei!)es

oiseaux. H, 4<!9. Son action sur

la bile. Il, 47t. Comparé à !a

sa!ive.tt,4'!t;Vt!,2(!3,343,404.Influence de l'électricité. VII,

25). Caractères qui le dif-

férencient des salives. Vn, 34t.

Digestion dos graisses neu-

tres, objections élevées examen

décès objections. VII, 34' 352, 363.

Ses usages, discussion. VU,348,303.–Experience.Vtf.385

& 388. Sa fermentation. VU,

389. Son injection dans le sang,

expérience. Vif, 390. Digestion

des graisses, expériences. VII,397,40).–Ses propriétés irri-

tantes. VII, :!99. Après sa sup-

pression, état des chytifères. VII,399 à 4f) t. H émutsionne la

graisse et forme le chyle blanc,

expériences de Claude Bernard.

VIII, 269. Expériences do Ctaude

Bernard. VIII, 329. Expériences

de Magnndie. XI, 4S3. Néces-

Page 320: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPHASËTfQUE ET ANALYTIQUE30C

duction n'a pas tien dans les autres

tissus. !,9M.–Ces phénomènes

rentrent dans l'ordre des fermen-

tations. *!a9. Tous les tissus

dct'embryonn'eodonaentpas. i,

!!9}. Contenu dans les iiquidesdes fectus; sa nature. J, 398. Sa

présence dans )'a)!antoide. ), <()2.

Ses usages dans la vie intra-

utérine pour empêcher l'infiltra-

tion des tissus. t,408.–Expé-

riences. 1,409.

SLCKK ))AKS LE FOIE. 57

XfV, 293. Discussion sur sa

formation et sa localisation. t, 57,

83, St. H existe toujours dans

le foie, à l'état physiologique.

I, 59. Son dosage. 62, 'i0.

Quantité contenue dans te foie.

6S. Sa tMtnro. J, ?). Son

analogie avec le sucre de diabète.

t, '!a. Celui qu'on rencontre

dans le foie est secret~ par cet

organe. 82. !i ne vient pas

de l'alimentation; il existe dans te

foie avant toute espèce d'alimenta-

tion.i&,8<Expériences.f,G.

Topogr.tphia aoatofniquc de sa

production, t, 83. Hcfutation

d'une prétendue localisation. 8a.

–Une saurait sa conserver ion!;

temps dans )o foie. 9t. U

disparait, bientôt quand on cm- j

pêche le foio d'en produire. t,S2. Sa quantité ne varie pasdans )o foie avec la nature de

t'atimeutation. I, 93. Les osci)-

lations do la fonction sécrétoire

sont proportionnelles à la quan-!j-

titu de sang qui traverse !o foie.

J, ))&. Ces oscillations phy-

siologiques 60 trouvent chez les

diabétiques. I, )!!). Schéma de

ces oscillations ù t'etat normal et

pathotogique. t, 122. Matières

du foie en rapport avec le sucre.

I, 134. Influence do )'a)bumine

comparée à celle de la graisse, de

Ja gélatine et de la fécule. )3<137. L'abstinence le fait dispa-rattre. t37. La gélatine en

fait. L 139, 454. Influence de la

'1graisse sur sa formation. )~.

It'fus fermentescible que les autres.

!,K!i.m se transformant, il

produit la graissf.Lj67._Le

foie le déverse dans le sang. t.3t!). Sa condensation dans le

foie, il ost retenu par le foie. f,

2~; X, 271. Influence de ta

section des vagues au-dessous des

poumons. 33' 36). L'agoniele fait disparaître. J, 369. Sa

production spontanée dans le foied'uu animal mort dans certaines

conditions, t, 37: Manuc-t opé-ratoire de t'expërience. 373.

Hypothèses sur la production doce phénomène. 373. La géla-tine en masque ia réaction. J, 46).

Il disparait par injection d'aci()e

pyrogaiii~ut) dans le sang. H), 223.–Dans le choléra. VU, H).–

Causes de son hypersécrétion dansle foie. VU, 92. Mécanisme desa formation. VJI, 93; X, it; X)V,*!t):t, 298. Cette formation se faiten deux temps. VU, 93. La ma-

tière glycogène préexiste. VU, 113.Le foie est l'origine de tout le

sucre da l'organisme. VII, t)'

Influence de la ligature do la

veine cave. VU, 136. tanuencodu pneumo-gastriquo. VU, )37.

Influence da f'oMtératton de laveine porte sur sa formation. VU,)9a. Influence de la )igaturode ta veine porte sur sa fermenta-

tion. VII, 200. Influence de l'in-

jection de gélatine sur sa forma-

tion. VU, 418. Sa recherche,

expériences de Ctaude Bernard.

VU!, 291. Le foie en est unesource constante. XIV, 2?3.

Découverte de son existence dans

le foie. XiV, 283. Son originedans le foie. XIV, 283. Ingéré,il so transforme dans le foM en

glycogène. X!V, 321. Sa for-mation serait un phénomène cada-

vérique. X(V, Si8. Kxpëriences

qui réfutent cette théorie. XIV,349. Influence dos conditions

pathologiques sur sa formation

Page 321: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVHES DE CLAUDE BEHNA.RD. 307

X)V,3at.nnucncGdf!)at(:m-

jjt'ratnrcsursa formation. XtY,I.

~()i.–Chez h's animaux à sang

<'haud et à sans h'oid. X)V. ;<C~

)!di'!p3!'aStp3!a section de la

tnoeUecpinit'rf. XIV, 3C8.

Moyens propres it on augmenter ta

production. X)V,~S8.–t) existe

A t ~tat norniai dans te foie. XIV,

'i02.–Origines possibles, autres

-<(u(:ie foie. chez le sujet sain et

<'heï ta sujet mahute. XtV, MH.

f~t'xistcdansiefuie des poissons.

XVII, i)9. En dehors de la pé-

riode d'hibernation. XV! K)T.–

<est. un excitant du foie. XVU,

38C. Voy. foif.

(Sr:CKÈTfu;< Hc) dans )e foie. I.

95, )m, MS. KHe n\'st pas syn-

<:hrouiqu('a.[3LS(''t'Mttont)itia!.rc,

<'))8SGm)))<i&treindopt'ndante.), l,

97.–tnnuencoducancf'retdcs

kystes du foio.t.t.'ii.–Inftueiicc

des maladies. t, )S.'). htÛuHncR

du froid, t, )90.–tonnoncede

iachafeur. J, )!)(), i:)G. –tnnu~nce

du sexe, de la iactation, de l'âge.

!,H)7.

SCCKt<: HE FtHJtT. I, 38.

t?fTt':KVjEMTt. Sa formation.X!V,

'!aO;XVU,3'H,49i.

HAKS L't~THSTtX. Son absorp-

tion. 1, 176. –injections, 1, Xi'?,î

M),228.

OEt-AtT. t, M; VU, 2St;

XIV, nt:XVH, m. –Uans

l'urine d'une femme rccpmmeut

accouchée, t, -t33. Dans t'urine

des fomnes ectamptiqucs. 435.

RAKS LK HQUOE C):PttAH)

HAt:t«0)EN. 3!4; XIV, 2U5.

UAXS LES HQUtHËSAKtMAUX

Réactifs propres à les distingueret a les reconnaître. 1, 39, 48.

Action du réactif cupro-potassi-

f~ue. t, 42. Sa din'usion. J, 3t8.

BAKS LES HQ~tOËS AN-

KEXtELS. XVII, 70.

MANS LA H'MPttE. 3)9.

('~nttitions dans lesquelles s'effec-

tue le passage. J, 3ii). Son ori-

gine. vn, nn, 315.

SUCK); «ES 3U;SCI.I.;S. Ses pro-priétés.40C.–Conditions cxpe-rimf'ntaies artiCcie!h's ['our le

constater.XtV,i28.Vov.;)/c/c.<.

nAXS t/OMCA~tSM); I, ;!(!:

\!V,70.–[) Il est produit par une

fonction.')nima!e dont )e diabète

ncst qu'un état patho)o:;ique.),!!?. Jnnuence des alcalis causti-

ques, t,40.–Constatation do sa

pr.'sencc par la fermentation, i,

t'.). Sa prcsenco reconnue parla polarisation. f,a0.–Sa re-

cherche par tcmptoi du charbon.

f, :'< Hecherctte par le sutfate

de soude. S~. Sa production,comme sa destruction, est un

phénomène-appartenant aux doux

règnes des êtres vivants.5G.):!t.ti apparait avant la naissance.

!,S7.idisp.)raitounonpar)esn~~dies et opérations.I,U:i.i5,

;i(iS,;)T.XtV.ï%{nnuct)ce

<io t'aiimentaHoa. t, ;)t, i:tc, )fht.

tt est un produit de sécrétion et

nond'excrëtiot).I, t08.–t)ne

sort pas du sang à l'état physiolo-

i;ifjue et ne se trouve dans aucun

liquide versé au dehors, pas mt'me

dtt)s)abi)e.t03.–Kxpcriencea

contradictoires co sujet, causes

d'erreurs, j, 109. Circonsta.accs

~ui peuvent en modiner la sé-

crétion, l, 132. Attërations

de la substance hcpatinue. I,132. Circonstances qui inuuont

sur sa production, t, 133. Absti-

neace.t38.–Hibernation. J,

)~t.–ËMmen comparatif sur

trois chiens nourris, avec gélatine,

graisse et eau. );8; Y)J, 4t8.

Celui nni provient de l'alimenta-

tion ne passe pas :t cet état dans

la circulation générale. iat).

forme,avec t'amidon,iatnatierc

g!ycoi;nechyteuse. t, tf!5.

Secbange-t-iieuErai!i!ie?i,t6;).

){o)e do la circutation dans sa

production. ], 16' Sa formationat'reteo par le froid sur la peau. i,

188, )9!i. Sa destructibilité

suivant la concentration des solu-

Page 322: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLEAt.PrfABËTJQUEET ANALYTiQUE308

tiens injectées. 2)7, MS, 998,

SHf.)(')!tructibi)it<'dcsdiv('(cs

osp<cos da sucres. 9)9. Kx-

pericncf'scomparativf.s.t,~)!).–

Une doit pCH(';tr''r qu'en pctiips

quantités à la fois dans )'or~a-

nismc.298.–Son~;qnita)ent

endosmotiquo augmente par in-

,jectiondoM)marin&ous)apfau.

f, 229. Sa destruction. t,S~t;

X)V,3'!7;X\')!,8').–Th~)rie

de la destruction par tes atcatis

dusang.t,2t4.–Théorie de la

destruction par jafennfntation:

P)'<'uyf"'AJ'appui.t.9if!. 2<7;

X)V,32S.–Quet!e("!tr("!ptce

dof'<')'ment!ttionquis'opCrea!n<ii.

T, 248. Détruit par oxydation.

!4'tJsage*) dans les ani-

maux. S;)1, !5?. M2;

489.–S.i formation accompa-

gna toujours la germination. t,

9.i6, SCi.–Examen do t'an-cienne théorie de sa production

c~ctu'iivoparfe'! végétaux.68.

Point de vuo do cette t.t)ént'ic

vis vis des questions physioto-

giques.J,9'!0.Kr)'eursdcdoc-

trines, de méthodes et do hit9.1, l,

2'f.–H\porioncefbndamen<a)c

pour )a théorie do sa production

dans For~ani'ima anima!.), 2'!3.

Son origine. 283. Action

du système nerveux sur'(a pro-

duction. 388, 3Ïf!;Vtt.i81.–

Influence de la section des pneu-

mogastriques sur sa production, l,

SS8. Il ne pa~so pas dans quoi-

ques liquides animaux. 903.

Son f'mninttion se fait seulement

par quelques liquides. 303.

Jt ne passe pas dans )a salivo. I,

30! La salivo n'en renferme

pas. J, 305.–L<) crachats en

cont[ennent-ih'3()5.–Méca-

nisme de l'action nervfuse dans sa

production, f, 3Ï9. Sa produc-

tion continue. I, 33~. L'insuffta-

tion le fait apparaitre. t, 35), !!6),

803, 381. Procédés de reche-

<:hes.I,5(!,460,4M.–ttM

forme aux dépens d'une matière

a)))umincn.')C)nsoh)b)c.t,3');).-

Prt'nYptphysiniogi'jUf's. ).<).').

Preuves <'h!mif)uns.t,3!)f!s.'

prëscncodanstouttf'sorg.inf"

<'hpz)esditthctif)ufsn)nr(ssnhit'mont. l, 4''?.Tth'nrie dosa for-mation aux dépens ries matio'ct

~)-assM.),4.')]. –Fnrm6 paria

~iande mammaire. 4H.')

Figure schpmatifjufroprcwnta)) t.

i'ensemhtede sa production et de

.sadin'usi~ndan.st'nrganismc.J, 1,

'i8).–Son absorption. !),32L–

Lapiqt')radut)uatt'i(''tnf't{,'utri-

cu!e)efttit.<)t)p;tratt)'e.!V,'i()(),

4M. La matière f!h'0jïf''nc

pcoxi'.t<fV,4SC.–Transforma-

tion de la matière g)ycog&nc.tV.4'?:)))ais!!8 produire des v6-

getatioos. Vf, 'i89.– Il peut

f'x['!tft'(tans)<*aucgastt'i()ue.vn,

'!8. Sa diffusion. V!), !;<).-

Constatat.iondt'sapr(isenc('ptr)a

f()rmtti('))de)!t!evûredebiero.

Vtt, )33.UapportsdosaL

formation avec )a:iR''retiot)bi-

Uair'i. Vf[,()<Etimino par)abi)o. V)f,!t). –Sa forma-tion par)'6mu)sirje eti'aniyp;-ditHfie. V)!, -!73. Sonrùie

(tanaf'accompU'.scmHntdcaphe-nomHUO!tde nutrition et dodovo-

topponent des animaux et de~

pfantetet sa destructMHd~ni!

)'orgat)tsme, expériences deCiauds

Barnard. VU!, ï8C, 3t8, )X, 209;

XVU.m.–tJsf'f'ormaehoxtes

animaux par uu mécanisme Men-

tinue&ce')ui()n'onobMr\'ocho~

te9YCg('tau\.)X,8f.).–He<'uehis-

torifjua et nritifjue de la fjUMtion

de sa formation dans t'organisme

anima). X, ~08 XI, 327 X[V, )<4.

–Saproductiondansfodiab&to

se rattache aux phénomène'! g~n6-

raux de ta nutrition. XtV, 8Ï.

Hcact.ifs physiotogifjue.s. XtV, )t7

Son histoire dans les deux rA-

gnos animât et vëgÉta). XtV, t42.

Vient-it toujours desatimentsf t

XIV, tM. Uôcouverte de sa for-

mation permanento dans l'orga-

Page 323: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

MSŒCVtŒS UH CLAUDE UK)!NAtt[). :K)'t

!t!Limite de la quantité

que pf'ntc''n!<'nii')e sang sans

passer dans !u)'isf'.LK)0-

i''or)nuparoxy<)ationdet'béma-

tine. t,~)9. –Causes d'erreur

dans i'apprcciation des quantités.

nf,i3!),'ii.'<Uapj)araitaprcs

tanatvanisationdespncumogas-

tnqut's.V,t3.'<Hn'etsdf'sinjec-

tio[i-i.Vn,4h8't~<Hdi~onde

son passade (t.t!)'i)'tu'it))'.Vn,5,

8~).–St)naccumu)cHioti.\tf,(!,

M.–Aj) t'es t'ild'jction dans le

sang, tes animaux sont tristes.

\H,86.–fnjectionpro)«ngce,

néphrite double. VU,88.) dis-

parait, quand le sang devient noir

dHnuit.i\cn)ent.vn,8:).–(constate

partafonnati'nide)a)c\'n!'edohicr<VH,iM.–Sarot'h('rche.

\t\)~,)90,rj:).–)).iste!L il

rotatnunnal dans le sang; son

absence est un phënomcne mor-

bide. \)\t3.XO'J.'iU2.–Son

dosage. Xn', i:M,t~9;XV,<S7.

–('.ummeuts-i présence a-t-eite

echappoanombre d'observateurs? '?

\tY.Ï.)~Sa destruction est

retardée par le suihtte de soude,

par l'acide phonique. \t\, 208.

Par l'acide acétique. XtV, 20!).

Sa destructibitite. XtV, 209,

3')nnuoncedHt'aLiimentation,

dcrinanition.XtV,2)t). In-

fluence du la saignée. X)V, 210.

Influence de t'état pathotonique.

X)V,2U.–Influence dehnevre.

XtV.SU.–OsciUations. X!V.2tl.

–Influence doi'hemon'hagie sur

sa présence. XtV, 2t3. Sa répar-tition. XtV, 2)5, 229. –t).nuonce

de l'abstinence. XtV, 2)' C'est

u!!etementphysio)ogiquectnon

morbide. XIV, 220. De t'homme.

XIV, 22~. –Son origine. XtV, 2'!5,

281. I) disparait par la section

de la moelle épinière. XIV, SUS.

Dans l'état physiotogique il pro-

vieatduLioie.XtV,4U3.–Le

muscle peut~U en devenir une

source? XtV, 43L Sou dosage

par la burette. XV, 489. Son

nisnio animât.Xt\,tG).)'<'ut-i)

<trc(or!nHpard<'sa)nn).iu\?Xt\,

Hn.– S<~turigiN"a)ifnentairt'.

X)V,)T3,?38.–S~n dosage par

la liqueur cnivrique.XtV.tm.

Sonintcrver.sio!)eng)ycoscett'<)

tcvu)osc.XtV,3L'Ya-t-itc\a-

gération de production, ou arrêt

<!<-destruction dans te diabète arti-

<i<;ie)'X)V,38:).–Sa)ormattoo

est un phénomène physiologique

qui peut servir demcsureit )in-

tensité des phénomènes vitaux.

XIV, 405. Il se forme pendant

la vie comme après la mort. X[V,

M5-–Soniuuueace.surta.tor-

mation de la matière ntyco~c~e.

Xt\):)4.–Son évolution. XV1I,

4t.–Sa formation. XV!t, 47.–

Caractère chimique UHSf!. forma-

tion. XVtt,t3U.–Sa digestion

par)a)avùre.X\)f,34: Ex-

pcnencespout'juger la possibititc

do M transformation. XV]). 3'J.

<!tJCHEMHMA[StX.XV!f,4.

-HAFiSmum~f. Apres )'injec-

tiot), les reins deviennent malades.

VH.87.

t)AMS LA. SAL!VE des diabé-

tiques. VH, 245.

DAKS LK SANG. I, 2': XII, 29

X)V,t3t.–Chez les diabétiques.

f, 5' Son deveMementdans le

sang par le foie. 233. En pe-

tito proportion, il n'éveille pas la

sensibilité sécrétoire du rein.

235. tnuucnce de dttîerents gaz

surMdispantion.I,2i),243.–

–UnosedotruitpaspariepM-

sage d'oxygène, f, 2U. Action

det'hydrogënopuret.at'sentO.I, l,

243. innuecco do l'azote sur sa

destruction. J,2i3.–Est il dé-

truit par les alcalis ou les fermen-

tations?!, 243, 245. Se détruit

par oxydation et fermentation. 1,

24' Sous son influence, les g)o-

butcs blancs du sang se devetop-peut. I, 255. Sa présence dans

le sang. 2':5.–Époque do cette

découverte, t, 275. Conditions

de la production de ce phénomène.

Page 324: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TARD! A).P)!ACÉT)QUË ET ANALYTtQUH3)0

dasaga par lo halton. XV, 480. Voy..S<&W/<C~.

St'CttH DANS t.E SANG AHTE-

ttn'L. Son excès. XIV, 23.

Dans les artères, les proportionsde sucrf sont sensiblement cons-

tantes. X!V.<04.

HANS LE SANG VEINEUX. XtV,M9. Quantité do sucre com-

parativement dans le sang de la

veine porte et des veineshepa-

tiques Rapport do la commis-

sion. 1, S7, 512; Vif, 133. Sa

prasenco. X!V, 215. Dans lesveines, les proportions de suo'e

varient avec le point de l'économio

quci'oa considère.XtY,4M.

OAPtS L) S SEC!!ET!(iNS. Au

cune sécrétion ne contient nor

malement du sucre. !,M2.–

Excepte toiiquide cephaio-ra-chilien. !,)'); Vf, !!()?.–Que)-

ques sco'ctions soutoment )o iais-

scntpat-icr. !,3!)5,3()C.–Sot)

chmination par les dh'ersfs secrc-

tions. 302. Par t<s reins,

par la muqueuse stomaeate.J,!

~SontMMagehhsnito!

d'injections dans le sang. Vtf

2)2, M!), 30), 3)5.–Sa pre-

.cnccd.tn'iJesdivet'sGSsccrctions

tie'idiabëtique.'i.XtV.'rg. 72.

MAKS LKS S)!ttOS)TES. Chezles diabétiques. 3)8, 3)9.

RAKS t.K SYSTÈME CtttCC-

~ATOtKK en général. Conditions

qui le font apparat) t'a. t, 234.

DANS HtTtSSU CEtLLULAtttE

soM-cutane.t,2t'22t,M(!.MANS tj S TtSSCS nM<t~t-

~Ut;S. Moyens do constater sa

présence. 48. Endosmose du

sucre dans les tissus, chez l'ani.

mal mort ou vivant.][,m.1').–

Sonusagodanstedeyeioppemontdes tissus. 257, 395.

DESUKtKES. t'!4; X!V. 0~Son apparition accidentelle et

M présence passa~ro. J. H.}, -i35.Production artificieHe de ce

phénomène, t, )75. L'absorptionà jeun produit une urine sucrée.

!7<i. Passe dans les urines saut

l'influence d'une circulation exa-

gérée.t76.–Son passage dau'<les urines; rapidité innuencea pardh'eMes causes, par sa)f;n6e li-mite de )n destruction. ),22~

Mu)tip)icite des causes qui peuventie faire apparaitro à la suite d(;

injections. J, 229.–L'ët.t)erte

fait apparaître. I, 238. Décou-verte de sa prosenc') dans t'urine

des fœtus. J, 239, 362, 402; VU.

t;}5.–Circonstances de ce phé-

nomène.f,3:.t9.–)f devient inex-

pticabte dans la théorie de la des

truction du sucre dans le poumon.f,240.–Son passage dans les

urines sons i'infiuence de la res-

piratif)nartificie))e.f,j,36t;

VI, 93. L'injection d'ether et

d'ammoniaque dans la veine portodonne lieu à son apparition. II,353. Son apparition à la suite

de l'intoxication par le curare. 1.366. Sa présence dans J'atian-

toMe. t. 4M. Explication da ce

phcuomene. f. 4M. Chei: les

diabétiques. ], <33; XIV. 72.

Sa présence fiut'fit-eito pour carac-tériser le diabète ?f, 434.– pro-

duit par l'éclampsie. f, 435.

Pendant la lactation.t.43. V![,138. Des femmes en couches etdes

éclamptiques. I, 435; V!f, ]38.

J) apparait après la gatvamsa-tion des pneumogastriques. V,435.–Son dosage, X)V,t)8.Est-i) un produit pttthotogique du

rein?XtV, i49.– Ëxiste-t-it nor-

ma'emont danst'urine? XtV, 39t.

Voy. <tt' stlcrée,

DANS HSS VA!SSf:AUX. Injec-

tions.ViI,(!Hecherchodatts.los différents vaisseaux. X)V, 2-0.

Kouvettcs e'-periencos. XtV,22!).MA~S t.t!S YAtSSEAL'X ~YM

PMATtQUKS. J, 320.

t'AKS LHS VEGETAUX. XIV,t4<).

SUCKt'E (AuMEKTATtOS). Voy. /)/

~«"f/a~tû" .t'herc'

(MAT)ÈnE). XVn, 33, 493. Ses

Page 325: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. 3H

caractères chimiques, t, 38. Elle

est formée par les animaux.1,57.

Sa distribution dans l'organisme

parie foie. !,)t2.–Le foie la

transforme en une matière omut-

siveparticu)icre.)57.–Dé-

couverte sur sa ~coération et ses

usages dans l'organisme. L250.

Nécessite do sa présence pour

la production du ferment de la le-

vùre de bière. 254. Décou-

verte de sa production les

muscles et dans les poumons du

fœtus. 388.–L'animât en a

constamment besoin. 1, 410. Sa

formation ne serait-elle pas loca-

lisée dans un point do l'organisme '?

452. Réfutation de ces opi-

nions. 455. Se forme-t-elle

par l'action digestive dans le foieet dans te torrent circulatoire?),

503. Son absorption. )X, t98.

Sa formation. XVf, 142. Ses for-

mations nutritives. XVf!i9.–

Sou ferment dizestif chez les ani-

maux et tes végétaux. XVH, 938.

SUCRÉS (AuMENTs). Voy. /t/:H)M<~

sucrés,

–(PKtNCiPEs).Modifies par la sécré-

tion intestinale. XVII, 318.

SUOATtOif. Influence des nerfs.

Vf, 249. Conditions physioto-giques qui y président. V!L t8'

Influence de la circulation. \'tt,187.

SUEUR. Vif, m IX, 81. Son

absence dans le diabète. L 442.

Théorie à ce sujet. I, 443. Va-riétés do réaction. VI, 37; VU, t8C,

)8H,t!)0,t')). –inftuencedet'abs-

tinence sur sa réaction. VI, 31.

Rapport entre sa sécrétion et celle

de l'urine. VU, )' Analyse.

Yft, ]'). Composition chimi-

que. Vf), t80. Contient-oUe un

principe toxique? VU, 181. –Com-

paraison chimique avec t'urine.

V!f, 183. Parties constituantes.

Vif. 185. -Expériences. Vif, 188.

Sa sécrétion augmente après la

section du grand sympathique. XI,

386.

SUICIDE par les vapeurs de char-

bon.XH,332.

SULFATE. Dans la salive. t35.

DE CHAt'X. Dans le suc pan-

créatique. ![, 249.

DE CUtVKE Elimine par la bile.

V", 2!2.

DE QUtXt~E tnjcctions dans le

sang. VU, 4GC. H agit dans la

fièvre intermittente, sans que nous

connaissions le p'mrfjuoi et !o

comment. Xt. 30, 32!),.4S? XIV, 82.

DE SOUDE. Son emploi pour la

recherrhe des sucres. 53.

Injecté sous la peau. I, 229.

Pour éliminer les matières albu-

minoïdcs du sang. XtV, l!).i.

Pour retarder la destruction dusucre dans le !-ans. XtV, 208.

SU).t''nYt)M<QLE (ActDE). Son ac-

tion. XI, 4~9.

SULFUCYA'ftJHH DE POTAS-

S)t!M. i) existe dans la salive mixte

et il n'existe que dans la salive. Il,

tSa VU, 2!G, 349. -Son action sur

les muscles, il est un poison spé-

cial do l'élément musculaire. III,

350 !X, 2). U arrête le cœur.

!!), 351. )t détruit la contracti-

lité musculaire sans afTecter, pri-

mitivement du moins, le système

nerveux. !)t, ~)55. Effets pro-

duits sur le système nerveux des

animaux inférieurs. III, SHt.

Effets sur les sangsues. HI, 362.

Effets sur les écrevisses. UI,3M. Sou action, mécanisme de

la mort. 11!, 385. Ses proprié-

tés toxiques, IX, 16t.

SULFURE. Forme par la bile et t'hy

drogène suifurp, chez l'animal vi-

vant, exp.Vt,450.

B ARG!:KT ou DE CUtVRE. Co-

lorant en noir la muqueuso sto-

macalo ainsi que les ganglions

mésentériques. Vil, 382.

SULFUHE (HynMGËXE).Voy. ~y~)'o-

ye~te ~U)'StJt't.tC!ES. Le foie contient du

sucre. 249. 250. Expériencesfaites sur eux. XI, 547.

SUFft'UHATtOX. XV, 39.

Page 326: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE AU'HAUË'HQUE ET A~ALYTiQUt';2i2

SUKCttAKCEttAfiE~t~KnVEMX

Hypothèse ()cMf)))er.X).?!

St htACE t:<L)'H'AK)':t!. Voy. (.«/<

!!<*f.

(;ASTI\O'I:'<i1'liSTINAI.E. \'oy.1

<;ASTM~ )XT<STtNAt.E.

Voy.

<fnt<)'0-!);tM<t?!C.

t'tLMO~AtKH Voy. /wo-

natf'e.

St <UA<;ES Mt'~CEt.'SKS. Voy.

j<<f/!<ex.!M (Surfaces), S<'y!.n~t'<c

~M <Mr/m'f.! Mtff/~etMc.

–St:<t)~'St':S.V<)y..S<<!7/<7i<fd"

~M~ftCM !~r<'tMf.t. St'f~!<P.s' (Sur-

faccs).

SUSCEt'T!B!t.)TK varia))[e fies ani-

maux rigoureux et des animaux

afTaibUs.XY.~K.

'rOXtQUt!. Xt, 9M.

–OES KEKFS.Xt.ïH.

SUS-HEPATt~~ES (VHMES). Voy.

ft'tHM.

SUT~CRUS. XV, )9C. 902.

Sy~VtUS (Jitcquc!! Dubois). Profes-

seur do mcd<'(-joe au Coth'')!~ de

Ft-aftce.X)V,te;X\'U,4~Fermentatim) des atimetttt. XVH,

26~.

SYMt'ATHtËS ORGANiQUËS Xtt!,

25t.

SVMPATMtQUt; (CoMMK) Ct:KYt-

CAt.oy.Cot'doM.

(F)LET). Voy. f</e< <'<'r!)t'e< afu

yand~f/M~nt/o'~Mf.

(GA!«.[.)o'<). Voy. Gan~~OM .t'/m-

pn<i<

(SKXsmtt.tTÉ). Voy. S"n.t'&'H<<

(SYSTEME). Peut-i) modifter ia tom-

p<'ratHredusa)tgntdu)')t)tc~tin?

Vf, )4~. h est te regntataur do

ia circuhtion t-apinaire. fX, 65.

Sa itensibijité sons faction des ex-

<-ita~ts.X),359.–St!tansibiiitM

sans conscienco. XI, 360. Sa

sensiM)itein!<ensib)e.Xf,3M.–

Comparé avec te syst~no cÉrébro'

spitta). Xt, 37'?, 9S8. Voy. ~n-

jtA</<~ dM .<t/.<Mn<e ~)'/M!pu<At?Kf.

SYMt'ATttt~fHS ( Moo~EM~Tfi).

Voy. Jtfo!~eMeM<! ~m~a<A<~MM

ct)~nM-J)fo<ci<

(KERM). Voy. Grand ~y~ipa~f'~Me,

jiVC)'n!~a</«<yMM.

SYMt'rOMrs !ttnnntm:s <n fA

TH<tt.<X.)<~rKS)!,Aner;tn\(!e)'

t:ttmorbtd<\ X),!)<).–Produit!; psrdes moyens artificifits.X), )2.

K)tp)!quMdiif)r''stefip)'h«'ipfs(te

taphysio!o!;it'.Xf,)2.–(;enc-

rautf't!ncat)'i,!<')it'SMpportFtin-

tim)!t.X),l()'.).))snesontf'n

)'ë.dit6que()c') phénomènes p))v.

sio)ot;i')ues plus ou moins c'xagu-

res.XtV.C.

Sy~iC<)''<; fil, 2:t2; XVt)t, 3M.

Ses e<<'ts sur le sang veineux. XI,

2~.

St'KOVH!. \'<t, 409.

SYKTMESK. tX, 4!)~ XVt, 39).

Knpa)-ticutiet'.XVt,2Ï'

–"K'ALf;"«L.XVt,3'M.

AMVLAOÉK. XVf. SM. Ses

ph6nomt')))ps. XVt, 2;i2.

ASStMtLATtUCt:. XVHt, )95.

CHtMtCO t'HÏSM~UGtQ)DË.

XYt, 203.

cmMtQUf;. fX, 222; XV!. 20;);

XVH, M. 5)8; XVIII, 205. K!!o

est ttndcs phénomènes communs

aux deux rÈg'tM. XV), 180. Sss

Mpport!) avec la force vitale. XV),

22?). Compat'cf Li la synthèse

morphoiogiqup. XVI, 3ù0.

Ct)LOHOt'nYLH)Hi\~E XVI,

9)3.

–CKËATtttCE. Elle est nécessaire-

ment chimique, mais elle a des

prot-cdt's qui lui sont speciau]:.

XV<,20C.

(!t.t'CO(;)EMQUK. XIV, 312.

Car~ctÈt'M principaux chez les ani-

maux et les végétaux. XVt,23).

fNUmHCTt' Seuto oLtMiuo pour

les aubstunces orgftuiqn.es. XVt,

392.

MHS MADÈRES ADtUMtNtM

DES. XVJ, 201.

MOMPHOLCCtOUE. XVI, 203;

XV)),2t.&2j).–Ëttaestunde!sph~nomÈnes communs aux deux

r<gnc&. XVt, !80. Ht)a est dis-

tincte de la synthèse organique.

XV f, 293. Comparée à la syn-

thèse chimique. XV), 3a0.

OMt.ANtQUË. IX, 222; XVI, t29,

Page 327: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVn~S DE CLAQUE Ci':HKA):t). :n.! ;s

M');XVH,)x.24,'t'),&t'i;XVt![,H),)m.– Hôtcfinpt-o-

tophsmachtorophynien.\Vf,9)'

–)!ô)"tiup)'ut~p!!tsmaiucn!a!'c.

XVt,2H.–Ëtattiotaqto'stion.j

XV[,}).–HyjtOtht'M'sxmn'cttes.~

XVi,2'M.–Et~'est distincte df;i

t~syuthcscmorphoto~iquc.XVi,)

2'.)9.– Attribuée aux tcgctaux.~

XV)!,2.t.

St~TOUSt: OUGAXtSATMCE

xvt,.}!);xvn,.ts9.UtK,A~tSKE. X\ t, ''?.

t'HVS!<H.<tM)Qt!H. Vit), t5(i.

UtIS t'tU~Ctt KS tMMt:~)ATS

EUo se fait chez les attimaux et

chez les végétaux. X\ H, 24.

UAXS t.K t'KUtUt'LASMA

VERT. XVI, 2!

t!f VtTRO. XVUf, ))4.

SÏK'<'nKT)QUK (MÉTHOOE). \'oy.

jM<i</tO'~C i'tt<?t<M(*.

–(Ptit:xuM);H).Voy.7'/t''?!0'~(''te~

.n</«'<<~i/es.

SYKTOKtKt:. X, iM; X:tt, S70.

Sa coaguhtion. X, 2;!().

SYSTEMA't'tSATtOt. C'est uu en-

kystement sciettttfique. \'t!i, 3m;

XVtU,90.

SYSTEME ABSORBANT. Voy. ~&-jarAaH<.

AttTKKtKL. \'uy. ~<t')'i<

CAt'n~LAUtK. Yoy. Cu/<a;e

(SystÈme).

CEKEBMO St'tKAt.. Yoy Cc'(!

&0-~tM'<

CtUCULATOtRE. Voy. Ct)-eu<o-

<ott-e.

CUTANE. Voy. Ct<<aH<

GANGHUNKAtHM. Voy. Hati-

~~t«H'«!<)'e.

GLAKUtJLAUtE. Voy. C~u-

~<t<r)'.

LACtJKAtKE. Voy. jC-actMiait'e.

LYMt'HATtQm; Voy. /.)/M~)/M-

<t~Ke ~Syste!nu).

MUQUKUX. Voy. ~M~MMM ~Sys-

teme).

M~'SCULAtRE. Voy. ~«Mi~aù-t.

KERVHUX. Voy. AM-MM (.Sys-

tunte).

UtKjtAKtQUt:. Voy. A'M' mo-

~<s', A~ ~f'/i. f~f ~m)?

SYSTEM)': <tSSEt;X.Voy.OMCMJ;.

–SAX(,)~.Vny.tvt;)f;.

i SH~StTtF Voy. ~r.<

!–SEKm;X.\oy.~c;K.t;.

SYMPAttH~H; Voy. ~/M!pa-

f/t«/<tf'.

!–VASCtJLA)H)'oy.MS<;M~!t)'<

V't.:<Nht;X. Voy. 't etiiettj; ;Sys-<<'mc'

t)): LA VH: UKGA~itQUt:. X!f).

2t).').

SYSTHMF.S. Co sont df~s hypothèses

auxquetit'.s ut) a t'amène ht~iquc-

m<'nt)tistaitS!t)'ai<(n(turaisoune-

ment.Vitt,S;).–ihsMtM~

tantes par ta. j))u)osoj)hit!HI,').

MEUtCAtJX. Xf, .i<M, 4S2. 5~0;

XVUi.ti; –)ts ont fait leur

temps. X!t'.K).

t'MtLUSOt')non;s X\n), 8!

'*nYStUL<)(.<QCi s \i, 4~.

SYSTULE. XVH[, 3:tt

TABAC. Sou emploi est-il saiutau'e.

tH, M!)~.

'TABASCHm ou TABAxm. XIV.m.

TAKLE A VtVtS):CT)0~ XV, 116,

tXt, t24. t)e Magendie. X), ;)&

–C)au<)<:H!'t'tt.n'd.X!ta'

TrausformHe en diverses formes

dogoutt.iL'rt"i.XV,i~)j(:.

U). LABOKATOUtt;. XVtU, 3 H.

TACHE G):KMt~AT)VË ou de

Wagner.tX, )0'i;XV),3H.

i LAtTKUSE. XV, .t.').

'TACT. Ses cor))Uscu)HS.IV,)30.

Voy. Co'y<Mt'K<f.! t/<t <He<.

TACT MËmCAL. VHi, :i:), :).i.

T~i~tAS. Gtycogèue. XVU, tKi.

TAtLLE. httluence sur t'oxy~cnc.

tH, 1)2. Modifie )csphMin-mènes vitaux. \Ut,2t3.

TALRUALm d Austraiic. XH!, 403.

TAMB~RA t.~Vt~tt. XV, ï.!7.

,TANKt?<S.it!}sot)tm)esourcode

glycose. XVM. t2.).

TAUCHAKOt't'. inHuence du curare

sur)tt)ymphe.XV,3t)3.

-i TAtU)t<,MAt)t:S. XVt. !i4.

Page 328: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE AU'HABÊTtQUE ET ANALYTIQUE3!4

TAt~'ET. n~composition do t'hy-

dratf'do<'h)ora).X)f,A25

TARTAtU~UKS (GLANDES). Voy.

Glandes.

TARTKt; DES CENTS H, !M.

T.tKTKt()t~S (Act))F.) Droit et ~au-

che.<X.:}5;X\'t.3')2.

TECHKtQUE EXt'EtUMEÎfTAM:

Xt,4').

OfKKATOtm! Nécessite de t'e-

tablir en physiotn~it!. XV, 4.

TEt~OLOGtE tntra-organinup.

X\'[,340.

TKMPEMATUKE. Son innuance sur

l'action dn )'a!'i()c carbonique sur le

sat)n.Y!,340. 8onin<tuanco sur

)adu)'éf't)eiacotttMctionmus':u-

laire et t'iuteHsité di< la respiration

musculaire. ~'t, 410. –froide, son

influence sur la coagulation du

sang. Vf, 4tt. 498.–Son infiHCUca

sur les fonctions (:)ycog~))0! du

foie. VII, 135. h)t!net)K8 sur )a

Yi<)J,t)7.–(~mma condi-

tion do la vie. X, 50. Ses timi-

tes chez les animaux. X, 5). Son

innuance sur la durée de )& vie

dans )(i cas d inanition. X), 120.

tnf!uencc de son c\a~f'ration sur

l'animal. X)n,M4.–Ë(o~e.XV)t,

H. Son infhjcnco sur la v<

tatioaetsurtavinMimatc.XVff,

13, 14. !!assc, Mn influence sur

la végétation. X\'ft,t:t.

AKtMALK. Son inftuoncG sur la

formation et la sécrétion (tu sucra

dans io foio. J, )'X); XtV, 964.

Abaissée par des enduits sur la

peau. 206. Son abaissement

dans t'asphyxie pM l'air MnHnë.

!tf, )26. EXo ne subit pas d'in-

fluence dans l'empoisonnement

par)ccn)-aro.![t.3(!8;Yf,9!t.–

Après la section de la moelle. IV,

482 Vf, )09. Son influence sur

tesmowonMntsduetcurchcy.io':

animaux Il sang froid. V, 39.

Ë9'6tsdc)aMKtiondusympathi-

que de l'intestin. V.MO; V),)45,

154. Dan'; t'apparcit diKCsti)' et

it;foie.Yf,5,8'Scsrapport!)

avec )c pouls. Vf, 2!4. M' Aug-

mentée par la section wnitatërah

des cordons po'.tëriout's. X!, 2<X!.

Elle s'élève souvent de nuet-

ques dcgref avant la mort. Xt, 240.

Son "iëvat! après ta sectiot*

du sympathique. XI, 2M, :!80, 384

Xttt, 9H5. –Sou cit'yation dans les

nmsctes correspond a ia disparitionde Foxy~one. Xt, 9'!T. Son auj;-

mentation cofticidc avec )'accn)cra-

tion de i~circutation dans )ns mu!<-

ctef et dat~s les glandes. XI, 278.

K)!e est. dimmn<*c par !o gt'an(t

Nympathiquo. XI, 337. Son in-

f)ucnec sur la circulation, XI, ;i'n.1

Ë))e n'est pas un accroissement

ahsctu de l'activité fonct!onncnf

quo peut ncpenspr t'organisn)!

Xf, 3'M. Son etëvatioa passa-

gcrc dan!) i'asphyxio par priva-

tion d'air. Xt[,4':4;X!!t, 195.

DitTercnt') points do t'organismoon

p))e devra <trc étudiée. XHJ, '!(!.

Emploi <)u gah'anomctrc pouf

son étude. XIII, 83. Son cquiti-

bre en Ut) point donne. XUt, 08.

Divers procèdes pour t'ahaif.xer

fhci! un animal. XHJ, )M. R)h'

subit un ahaissement dans l'as-

phyxie par t'o~ydo de carbone.

XtU. )9< Muencc de la sensi-

bitito. X))t, 29:). Abaissée par

l'excitatiou du nert' fientitif. X))t,

298. Constante, apparcii de d'Ar-

sonva). XV, 4~< 485. La plus

élevée est dans io tissu du cerveau.

XYtH, 390.

TKMfEHATURE DES AKtMAtTX A

8AK<. CHAUn. !X, 44. Elle n'est

pas ab<-o'"tMe"t f'*e. X"), tOQ.

MHS OtABEHQlJES XtV, 4?~.

nu MttHKU OKHANtQUH into

rieur. tX, 49.

RES OtSKAUX. Xm. 34~.

[)E L'OREH.~E. Influence de ta

sensibilité et df."t nerb. V, ~'Xi,

518.JUtJ nKCTt'M. V!, )40. Dans

)o diabète artiftcic). !V, 455; VU,

455. Diminuée par ta section des

nerfs. VI, 152.

OU SANG. Vf, M; X, 2)5; XII,

Page 329: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRHS DE CLAUHEBEtt~AXD. 3tS.

n;xnï.3:4'?;xv.4(u.–Qui

sort du foie,e))c est p)use)evee.1305. Expériences thermometri-i'i

ques,procèdes opératoires.),20'

VL ?5. Dans tes deux ventricu-

!es.t,3!0.–A-4.')*,cansctamort.

!V,!0'.).–Danstcs divers points 1

de son trajet. VI, (!4.–Meth't'te

thennomëtriquo. Vf, (?. t'ro

cédé expérimenta). VI, 6'.). Mo-

dinee en traversant le tube di~

tif. Vt, '!4. Modiftec en traver-

sant l'appareil respiratoire. Y),

102. Avant et après le poumfm.

VI, tût. Dans le cœur. Vi, )()(;,

tt4. Expériences. VI, t)4.

ModiBcatious dans le rein. VI, )3!.

Compiti'ce avec celle des orga-

nes. Vf, HO. Modinec par le

système nerveux sympathique. Vf,

)44. Influence do t'asphyxie.

VI, !5;'). Jntluence de la douleur.

V!, m. Influence des mouye-

mcnt.srespiratoirc'}.V!,t5~tn-

ûuouM de la compression dos or-

ganes et du ventre. VI, ta!).

Dans ses rapports avec les pouls.

VI, 224. influence des nerfs. Vf,

399. Dans le cœur droit et dans

le cœur gauche. !X, )!M. Déter-

minée par ]ocatt)et(''rismedu

cœur. xnf, 'n, SO. Elle est su-

périeure dans )o veotricute droit

à celle du ~entricute gauche. X)t!,

88. Influence de )a température

de l'air inspire. XH!, 98. Point

nul ou indifférent. X!t[, n5. La

Mnsibi)ite y amené un abaisse-

ment. X!H, M9. Abaissement

produit par les impressions dou-

loureuses. XH), *!99. Limites

où il perd ses propriétés physioto-f;i')Uf's..Xt)! i.

TEMt'MKATt MH nu SA?<n ARTM

tHEL. VI, 54; XIII. :M. Expé-

riences. VI, 54. Critique experi-

mentale d'anciennes expériences.causes d'erreur. Vf, 58. –Dans

i'aorteventratH et t'artcre aorte.

Vt.tt!itetuo des recherche".

faites snr la différence de tempéra-

ture do ces deux sangs. X)H,3i.

--Auteurs quionttrouvete'-an~

:))'terie)ph)s)'h;)udque)ev<'ineu\.

X)<),4.–Auteurs qui onttrouv

!csa))i;veineu~p)uschaudq))e).')i'-

terie). XH). :).–Dans tes (jivpr.,

points de son parcours. XIII, 111.

r~Mt'En\Ttn): nu SA~f. vu

.)':<X.M;A!n,M.4.)'

pericnces.Vt,54.–Critiqua e~pe-

rimenta)ed':)nciennes expériences.

causes d'erreur.V).)8.Dans)a.

veine porte et les veines, hépati-ques.Vf, 83.

t)E LA TÈTE. Effets de la section

du ~rand sympathi'jue. V, 4').

Couverte, après section des nerfs.

\'t,t:!6a.)'t!).

OE L'UKKTEttE. \'t. )fM)

THMt'S.tmpo'isihitMdetcdcnnir.

XVt,2:

TKKAtt.LES. IV, 6.S. Incisives.

XV, 188.

TE?<0<~S.X,t(;9.–DGs~ec))c-

XVt,9~.

TEKStO~. La sensihitite a une sorte

de tension. !Y,).').–t'orcesde

tension. XVII, 48(i. Voy. ff))'<-p.<.

ARTEntMLLK. Produit la pres-siondusan~X,4(;.

–nHL'()XYt;);XK.X\)f.1')7.

VASCt'LA'nE. XUt, 9' Rap-

ports avec les nerfs. XIII, 24.').

Augmentée dans tes artères par

l'excitation du nerf sensitif. XUf,

S'JS.

TÉKMBt!r<Tnt?(E. Modinec par te

rein,passe dans))"; urines et dans

)ahito.VH,8,!),)~Voy.~f.-

XMM~t~~M~M~

T!HtTtCt;t.E. !X, j0(!,2~.

TKTAKOS.Traite parte curare, III.

3T!;X),).–Xmptoitho'apeuti-

que do l'hydrate do ch)o!'a).XU,

M3.

TËTH. Sa température, influence des

nerfs. Vt.t:!fi:t)40.–Circu)a-

lation. V)!, 3:!41 atn. Voy. Ct'-f-K-

lation </P' t'f!t!M'!M.B de la <<

~t~MM~~n~~

tt)'; LAt'tX. Pour montrer )a. mar-

chede(apiqùre<ie)a.moe))e.t,:)0).

THHUAt?!)' Son action convutsi-

Page 330: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE: ALPHABÉTIQUE ET ANALY'tfQUE3)6 fi

\;t))te. Kxpcrienccs. Xt), HS.

Ses ettets. Expériences. XU,t9t),

2?.S.)t4.Titt':0),OGtK. Crcf'c par !e Muttment.

\un,

Tt)):()H)E.K)ie est le point dette-

part dn)a recherche c\))Mt'imcn-

'a)o.Vm,ï.s. Quand a))o est

)'))"pposition avec un f:tit,i) faut

abandonner ta thcut'if'tCt&ccepter

~fait. V))), 988.–C'c<. t. une hy-

pothèse Ycri<!éL'iU,:)85.–K))c

<tf!itp)'t''C('()er)psapp)icationsvet'i-

tabtHment scientifique! M, <tt.

J.apra(if)tMhj.tret<'tte.X),&():).–

)~)edc\'i''nt)o0amueau()irectcur

d'une pratique f'f(facf'.Xt,M!6.–

<~)mp.H'ec&)a.j)r;)tjnun.X-[V,H8.

–CKt.O.ULAtMK. X, i8, 27; XVf,,

!8t:XV)),

UMf.A~tQUH. Cagniard de La-

tonr.X\'I,)<M.–T)n-pin.XV),

t(:t).–Pasteur. XV!, ((M).

f'LAST)))t t.A)ttH. XV!, t!M.

t')!tU)Ct)'LASMtQUË ou t'LAS-

MADQUE. XVI, )~.

TttKOMtËS. Comparées aux faits.

0. '!&), 2i)). Eu physiotogic.

f,t-t,)f!]) ne faut pas tes

<'onj'or)d)'oa'i'eeic'im6thodc!')ou

iosprmcijx'~dctaM'ieuee.V!)!,!t83. Leur uHUte pour t'avanec-

nn'ntde') sciences. X!t,4!n.

UUA~tSTES de [a vie, Otitre les

animaux ot tes végétaux.XVJ,)3).

Mefut~tion gcnëraie. XV!, t40.

MEUtCALKS. ËUe$ ont feuf pomtdo départ dans dos expériences

physiologiques. Xt, 4G5, &C9.

Ttt~KAt'KmtQtJH. XV, )8; XVI!,vt. Ses principtM Mtionnct.s. XI,

M), G), 3M. )';ttH a pour objet do

faire cesser t("i con()H.Joo~ morbi-des par des mécanismes appro-

pries, quand eUcs ont troubte )es

phonomenes normaux. Xl, '408.

Contre ta ehatenr Mbri)e.X!H,4't'

t:Xt'EK)MKf<rAt.E. XI, ~H.

Yoy. ~y<!?'tMCH<H<<OM </<~<e!<<<-

<;Mt'.

-MEmtfiKKAKTE. XHI, 45i.

SCtKM tHQm:. Xt. 329.

THKn.U')';UT<Qt'<(Ac'n('f<om-

p:tMc~i'acu~ut()xiqnf.Xf,443.–

K)i<'n'cstc()f!tpi'i.s~f]uep:)rt'.t<;tiot)

t<Dxiqm'.X),4~

–(Fo[tCK!m,36.

'rt!KmA~uH.xv,M.THKMMt~UK (AutiMHKTATfON). E))e

n'est pas )~consf;ju<*ncc directe

du)trf't)0t)vc))('me~tp)usrapida

dusxng.X)t),280.–Kxjx.'ricn-

ccsdftnonstrutn'tts.Xttt.X.–

Codei'nicf'phcuont~nc pourrait

!)'ctre<)in')~c')i)st;f)ue!)cetiu pre-

mier. ~t!t. 28t.

THt;t<M<ËS ~KHM). \uy. A'M'<

</«')'n!M<f.

THEKMO-CMtMtK. X!!t, iïX.

THERMO KnHJStOX XVU, ?3C.

rnEMMO-Ët.ECTRtCtTE.Yûy. ~t-

yMt'</<-<ppa)'ft7. jt/g</««<'e f/'o'Mo-

d/t'C<?'«/MC, Son<<<~ </tt'~)/!M-f'/ec~'t-

<i't<M.

Ttt)!<tMO-K).t:CTfU(tUES (ExPÉ

R)K'<CB$). Leur inetattation. XV,

4M.

Ttt)':RMOMKTKES. De Wa!ff)'din.

Vt, 6' ~0, 'ia. MetMtatifjues.

X)H,(!7.

TOKHMOMETRtE diniquo. XH!,

39t.

TitEMMOSYSfALTtQUËS (MM

C!.Es).V('y.U.!C~.

TUCHACt~UE (CANM.). XV, 253.

Prosence du chyte sucre provcaant

du foie. I, 320. Le chy)e cesse

de~'ecou)et',p!tr)aMnH'ra.uco.

VU, <!(}. Découvert par Pecquet.

\V, 999, ~34.

TUO&AX. tit-spir~tiû)]. IV, 3M.

THYMf!XV,2M.

TtC n(mt~UHt.~X de la face.

V, 47.

TtEOEMANN. L'cxcitabi)it<i. X, 83.

etGM~HK. Suc pancréatique. !t,

m.–Hxpcrionces sur )M con-duits bi)!!tires. Xt, e&. Suc gas-

trique. XV, 4!)7. Sécrétion bi-

Uaire. XV, 600. UigMtions

Mtiticienes.XVi!,26C.

T)SSU AOtt'O-CELHJLKUX. Voy.

-'t <?- ec~«/eit.c.

Page 331: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒtJVfŒS DE CLAUDE BERNARD. :!t7 1

t~Lfsromhx'.tinn'! respira-

toires et tf'sh'rmf'ntations qui s'

produisent, sont des sources do!)

c!)a)ouranimaie.L\.t!)[.– !,rs

sécrétions sont 'tes produits <)"

leur nutrition spéria)e.L\,200.

<-)assincationdeBichat.X,)4.

C(assif)ra<ion(ieLeyd)s:.X.2'?.

Proprié)étvita)csdei!ichat.X,

)()'Leur déveioppement parait

indépendant de touto int1nf'n''n

nervensn directe. XI, 4~J.f'!n-

rcproductionrhc, thomnn'. X),

M.–Leurs rapports avec )f*<iap-

parei)sgencrau\.Xt.8t.–i<t''a<

<inndfSt'aissMm.Xi,83.–)!)'ac-

tiondfs nerfs.Xt,8?.–Lfs poisonsno peuvent agir sureuxqu'ontra-

v<'rsant)t'syaissf'!tuxartcrie)s.Xf,

M.–La disparition ftcspropriuh's

vitaif"! est toujours produite par

desatterations matHricitcs. \).

1~8.–La nature de ces aht'ra-

tions reste souvent inappreciatdeet inconnue.X),).')S.–Modifie'!

graduencmentpartc'imatadieset

nen désorganises brusouemeut. XL

tM.–RitTerenfeentroiestissus

doncs do seusibiiiteettes autres

qui ne tosontpas;i)n'existe en-

tre eux qu'une dift'prencf'de de-

gré. X), !)!A leur état se

rattac))onthabitue)tement!esmo.

difications survenues dans )espro-

priétés des nerfs qui s'y distri-

buent. XI, )f!5.–Us deviennent.

p!usirritab)es,f)u:tndtinuucnce

nerveuse est supprimée. XL'!?).

Comment, chez tes animaux infe-

rMttra, fis jMaveftt acquérir tes pro-

priétés qui caractérisent tes ani-

maux supérieurs, et réciproque-

ment.X!,2t(!Leurexcitabitit.

augmente peu de temps avant )a

mort.XI.t8.–C'est dans leur

profondeur que s'accomptit )a res-

piration de t'oxygène. XL 'J.

Ils peuvent passer de t'etat de re-

pos~tetat d'activité, et (jet'ctat

d'activitô i'etat de repos sous

i'mûuence du système npr\'en\.

XI, 289. Ils présentent un dcgrc

TtSSU CARTtLACtKKUX Voy f'

<)/~f/!t!f)<.r.

–C'L~t'<.A)R)'Voy.Cf~M/tt;'t'e.

–ïtKSCMt.t.t't.t.'Srnstees auto-

nomes, romprenant )<"iepithe-

tiumsct!cs{;),indes.X.)i!.

-CH!mt!!<AL. Sa respiration. Y!,

404.

C<tOXCTtt'. Voy. Con/o;!e/<

KtASTtQCE Yov. hYas<)'f/K'j

(Tissu~.

–F!B<mt]'X.V"y.ft7jrf!<Tis'<<!).

–NU FOm.Sa respiration. Vt,M4.

GLA~UULAtM! Yoy. (j:H<~t-

~)<*e.

–Mt'QUEt'X.Vf)y.MM.r(Tis.st)t.

MCSK)'t.At)t)' Yoy..)<!<.<cu~i'c.

NMttVEUX. Voy. N.-fcctu- (Tissu:.

OSSEUX. V(~ ~<<<.t-.

PA!\CftEAT<~Ut:. \'oy. f~~e'-M-

<)'~Mf.

t)U RE<X. Sa respiration.

:«)!).

TtSSUS. Endosmose* du S)) <'t'f'<'))''x

t'animât mort ou vivant. t,)4S,~

)~).–fsagcdnsncr'*()ans!eur

(icvetoppcmcnt. t, 957, :).').

Leurs réactions. H. 370. Leur

irritabitito chez les animaux~sang

chau') et asan~ froid.n',t37,9n.

–Leut'intiucttccsurtesM~.V),

4.').–La chatftu's'y produit:

c'est en em quo rostdont )es!

foyers dnca)oritication.V!,H.').~

Expériences. Vt, ):)< L'acide

carbonique s'yforme-t-i)?\'t,~t).i

Action de t'oxyda do carbone

sur l'oxygène. \'J, .Mt. Leur res-

piration cicmentaire, ils respirent

tous. V!, 40: )X, 58; X!!L ).i4.

t)s s'altèrent & )':)ir et donnent au-

tant d'acide carbonique nn'ijs

prennent d'oxygens. Yt. 403.

Lcurimbibition.Y!,4(!t.–Ac-

tion du sans; ~einem. VI, MR.

Catvanisnte. VU. 2(!8. Leur mort

est précédée par des phénomène!;

d'excitahititô tbnctionneUe. ~X, 28.

Considères comme produits do

sécrétion do eettntes vitatfs. !X,

)ï2. II y pn a pour qui !'oxyg''neest iautiie ou mëmo dc)etere. )X,

Page 332: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPttABÈTtQUE ET ANALYTiQUEJtS g

bien digèrent d'excit~bitite chez

ic.sd~'erstndn'IdtM d'une m6me

espèce.X!,29).–Et plus encore

ch' tes animaux d'espèces (lif-

f(~'(!utcs.Xt,2'.)[.–Leurexcita-

bithuvarit'chez un même indi-

vidu,selon tes conditions physioio-

giquf's.X!,2'J2.–Act)ot)<ies

nerfs moteurs cerebro-spinauji.

XI, 300. l,es nerfs présidenta leur Mtivito fouctiotjneife. XI,

<M(!A('iott<)usy)it<n)cr)t')'-

veu!X).;it!).–Lacirc)t)atioa)o-

'caicn'aj)pi)<'aitf{)t'aYec)eut'dayc-

i()ppemeut.Xt,3()!i.–U')Sontet)

contact permaticut avec le sang.

X!,3(!!).–Ut'autyct)crchertcs

fusions organiques <juiMt)t)a.

came dcht mort.X),a0.–Leurs

ciments sottt doues do propriétés

phyi.io)0);iquf's.X!t,S!i3.–J~

catoriftMtioaest.uMfaeuUoqui

tcur appartient à tous. X!!I,tH3.

–LcuMde(!;cn('r<iMnccs&!a

suita des longues pyre~JM. XIII,

~2f<. Leur autonontin. XV, x<f;

XV!. 2'47. Ils [n.tuifestcnt teurs

prop)-i<!tc"ipartf."<p)téaomÈ<tOS<'i-

t~ui.. XV, 7u. LcurdeMiccatifo.

XVL9C.–Lpot'compositioncst

i<<tMSRdeJ<)di.ti)]ctiouentretes

animaux et tes végétaux. XVI, t39.

Leur Mmbuttioa. XVII, 38&.

Voy. Com&tM~tO!: f/es <Mi!tt.~ /)~f-

?M''e<ce?t('M«'e.!<MtH~MM<

nnH~OHM~Mf~, t'Mm?n~! de~ <M~tM.

'l'ISSUS AC't'tFS. )X, [20.

tH! L'ËMBttYO?<. Ils ne donnent

pas tous dusucre.394.

Kt'tTtHEHAUX. Voy. Cpt<MMM;<:

('t'iMus).

–t-'<)ETAtJX.G)ycoj;ene.XVn,7).

–t;H't:<tGË!ËS<QUE8. Voy. Gly-

<;0<yM[c)!tyMO.

UETKKUJtORPUKS. Ils MMem-

blent aux tissus normaux et obéis-

sent aux meme~ lois. XI, 53.

ttOMOLOSUES dit'arsemetit ui-

OueucëspM certains poisons. XI,88.

OKCA~tQUKS. Moyens d'y con-

stater la présence du sucre. t, 48.

t'Assis. IX, 120.

t )SSUS ''ATOOt.O(;!QMHS. !h ont

)'jttr origine d~M tes perver~ious

do)it))H<rit.ion.Xf,)'

–SAtSS. Nécessite de les c.omptt-reriuM tissus pathologiques. XI,

YMHTAUX. Leur respiration.

xvff.ns.

VtVA~TS. fX, C2 XVII, 45t.

L'trrita!.)i)it:e considérée Mmma

um' do teuM propriétés fondamen-

tit)ns. X, M. Us jouissent indi-

yid~eitenjent de prophètes distinc-tes et speci~tes. XI, 82. Leurs

propriétés physiologiques avant de

disparaître <'n entiet-, subissent

une série de modmeatioHS tt'os im-

porhtntM connaitra. XI, 162.

Variations da )'cxcit~bUité.Xt,M8.

Lou.ra propriétés peuvent &tre

saisies et scrutées. XI, 5(i3. Com-

ment ils perdent feu)'!< propriétés.

X)!,X73.– Ils ont toujours les

mêmes propriétés, mais avec unQ

httensito v.tri.tbfe. Xtt, 279. Voy.

P<'0~«C~ d<M hM!~ MM~f~.

Tt r!JMA'nO<\ <!ua & la section det

muscles da h nuque. JV, 4!)C.

Htfe n'a pas heu chez tes oiseaux.

!V,'t9C.

TOLERANCE. ]X. n8;XH, 296.

D'un milieu vicie, influence de

l'habitude.m, 121.

TOK MUSCULAtHE. X, 201, 372.

H ost augmenta par la section

du grand sympathique.Xf,386.

TO~USMUSCU~AtRE. Xttf, 309.

VASCCjLAtM;. XV, 390.

'rOKn KEX ou torche nez. XV, t~,)M.

TOKt'tLLE.X, 203. Développe-ment. XVJ.32?.

TUMTUKS, gfycûgéa&se. XVII, 103.

KtUKBt~LO~ VHAL. XJU, ~5

XVm,)85.

'«tUMKEt'on'r, profMMur au Cot-

lège de Frauce. XtV, 18.

TOUKNOtHMËKT suivant l'axe du

corps. IV, 48'

T<(XtCO)..OGm. Voy. Jî.cp~wM<t<a-<K)H <u.!c<co~o<)'[~«e.

TOXtQ~ES (AcTMKs). IJI, 53.

Page 333: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. 3)9·J

RM.Xt,)' –f:)imiaation.X!f,

2!)'t.–Ponr!esrcconnaitro,ii il

fauties avoir isolées et les con-

nattre de façon à toujours les re-

irouver.xn.3);).

TKXtQt'ES (Sfsr.npT)))!t.n'Hs). Voy.

S)<.<<t4t7)'t'</a.rt;fs.

TUACi!KALH (!jRCTto-i!. X!f, ~3.

TKACMEE. Tubage tacite chez )o

pour supprimer t'air et produire

i'asphytie.Uf. 23 Sa (-nmpres-sion produit )avËt)()<)it6.V).3f;!).

Doubic ciTet de la compression

sut-htCo)orttiondusang.Vf,tt.

Sa pour rendre le sangnoir. Yt, 502. Son occiusion.

\'I,509.–Bruit') respiratoires

après sa ligature et ra)ea<iss('ment

des mouvements du cœur.V!,f<0!).

Injection par la U'&(;hcp. XU.

mACHEt; AKTKHK. XV. T)~. Voy.

Ligature dela <)'~e/tfe nWc'

TKAOtTH~K, en médecine. Xt, 3?3.

ORGA?ftQt;E tX. t)()

TRAtt'mU~T. \)f. 373. Des

ma)a<ies,c'c'itte))utdc)a méde-

ciue. XI, 4.)3. Du diabète. X)V,

85.–t''on<)es sur )o mode d'ali-

mcut~tion.XiV,'42'h

THA~St~OttMATHON UKS FORCES

!X, 2!).

TMA~StUStOK DU SAKR. VI, 4G9

4' IX, 5. 192. n'animaux

empoisonnes a dos animaux sains.

i)J,3))2.–Possibilité det'opercrd'un animal d'une espèce à un

animal d'une autre espèce. Vf,~t.– Causes d'insuccès de cette

opération. \'f. 4':2. -Comparative,avec sang artériel etsangvRiueux.

Vf, 5t5. Do la gtando sous-

maxillaire. VU, ?:?. Modo d'em-

poisonnement. t[, 459. Retour

do l'intelligence. )X, 5G. C'est

tt proprement parh'r une trans-

plantation de i{<obu)esi-ounes.XU,

3!)6.–Danstasphyxie.XH,483.TKANSMtSSK)~ ~EtHEtJSK. Sa

1

vitesse. X, ;:(!'?.i

TRAVAtL. pour contenir le bœuf.

XV,t4G.

Leurtoca)isation.L47,56.–

Leurs variétés. Ut, M. En gê-

nera). iïi, 55. Par décomposition

des substances ifi~rccs. H!,(.7.

–Quisera.ttachcnthunedcsoxy-

tta'iun du san~. tn, H8. Des

substances qui forment avec le

sang ou avec les tissus des com-

hinaisonsstabtcs.ULSO.–DM

substances qui agissent sur l'or-

ganisme a~ia manière des fer-ments. itt, M. Leur analogie

avec tes actions morbidss.Xf, )OM,

t29. Leur nature. XI, )2..i.

Comparées aux Mtittns thérapeu-

tiques ou médicamoutcuses. XI,

442 ;XV,2UG. Leur mécanisme.

X)),4!'3.–E))e''ahf')utissenttou-

te-~àun phénomène chimique.

X)U,388.

TOXtQUËS (AGHKTs). Leurs variétés.

Ht, 53. Hef!exions guner-iies sur

leur mode d'action. XHt, 38~.

Apptioniondeceatdcesaut étu-

de!; do physiologie pathologique.

XtfL3M.–Us portent par iesc~-

piUairet sanguins,jeuraction sur

les cléments destissus.XV, 350.

(Eitt'ETs). Théories de! ttt, 68.

Théories physiques. H[, M.–

Théories chimiques. U<, 86.

Théories vitatcs rattachant à une

action spéciale sur le système ner-

veux les en'ets des substances qui

traversent l'organisme sans que

leur passage y soit signalé par

des modifications physiques ou

chimiques appréciables. III, 102.

(GM). Voy. Ga:.

(StiBSTANCHs). !tt, 38. Leur in-

uocuitô torsqu'eHes sont, localisées

en dehors de leur champ d'action,

HL4'Leurs conditions d'ac-

tion.)H, 6t. Qui formentavec te

sang ou les tissus des combinai-

sons stables. III, 90. Qui agis-sent sur l'organisme à la manière

des ferments. 111, 9t. Arrêt du

ccaur. H!, 350. Leur absorption,

IX, )')7; Xtt. 294. Peuvent être

épuisées de t'orpanisme, quandta vie est artincicHement proton-

Page 334: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TA! ALPHABËT!QU! ET ANALYT!QUt:320

Tnyt'StSK. XV). ]03; XV:f X!'?~n.

'ft!nAG)':(!ehtra<-h<f.f!t(-i)e('hf'i'

)ahpin.t.)M.–t)ut<u'ynx,chez

!e!!tpi!7H.

TUttt':avec';csf(''ux!)mpnu)es.XV.

237.–Tuhost'rin~ue destinée &

rec)[ei))ir)f'ssativH<) pures.)f,)6f!.H'ftH mCEST!t Vf); Dt~)/

MHHt LLAtRt: Voy. ~f'~Moi?~

(Tube).

NKttVEtJX. Voy. ~)'t'?!M.T~HUnCULUS BARANTHJS V)

ti)2.

Qt'AnntJUMEAtJX. Expënpnccs

')opiq&)'e';(-)iez!(!tpip;eot)S).tV.

'i()l.–Arr6tf)cia digestion IV-4f!).

VALVULAtnES. VI, !99.

TU.'Ht;UR t'tttKEUSt; de la baM du

crâne produisant une diminutiot.de l'olfaction et la cecitu. V, 9:M.

TU~tQUE du duodénum. (G)andc';de )a). XV.)83.

TUttH~T. Poncreasdu. !f. 487.

Tt.'MCK. H~perieuces sm' t'augmen-Mtiou de ta sctt'.ihitho aprAs ta

Mct.io!id<')x)noe))R.Xf.20U.

Tt'tU't~f. Thëoria org~niquo. XVI,)M).

't'YMt'AX. Voy. Cor~ du ~M/jf!ti.

TYMt'A~tCO-H~(;t!AL(NEM).Voy.

?; /yn!p6~ttCO-/in~Mf!<.

TYKRADL. Antagonisme chimique,

physique et mécanique entre tct

animaux et les végétaux. XV}1M.

TVPH CELt.ULA)RE. rapproche

dc)!tnbt-of)Ot'vous('.XY),)8a.

KMBuYOt.KttQUE XV!. 3M.

TV)'tt()U)K (t'tÈVHK). Voy. fiM')-~

<)Aot~e.

ULCHMATtOKS do la langue et dM

iÈYrcssut't'cnue'iducùtoMrn"

pondMt ta section do la cin-

<)uiHme p~irc. V, ]<)ï.

UKtt'oMMA'no~t. tx, ni.

UNtTE DES LO!S de la vie. XVf,)4ï.

MOK!tf)LOCtQUK dn iorpanisme. XVI, 357. Dcmnnstra-

tions diverses.XVt,35'

TKAVA)L.LoidndifTerenciationet

de division. \Yf,?.

--Mt'SC),A)tt<Voy..VMfM~«'<

–t)R(,AK~tt').ttapourt-6su)-

Mntc)acha)puranima!e.XV!3!X.

–VtTAf..L)tvoisierenavutcsdeu<

phases. XV), t28.

Tttt:nALOSt;.X\)t,:)'t.:79.

TM)';t't)t)tV)TAt.deMichat.XtV,

8:);XV,!):i;XVH,(5~.

TmC)t<)M<MA))K. X, )'M!.

TK~UMHAU~M~.V, .tf),)(!a 11

HC.–Uappartifnt&tatn6mn

paire physioiogiqucqttoJeHf'rr

f.x'Mi.V, n.–tnnn<'ncode*'a

~~t'tiot) sur tfs mouvements dota

face. V, 46.–Spt fonctions. V,

*iS.–E'ipo'K'tiCcsft!'Matent) if

''t(Io8chaw.V,-t!).–Vt)('d6

Ch.f!pU.V.4i). –PMcédodt!

section. V,)).–Conséquences de

la section.V,fM. ))i5~)08.–Ac-

<'idt'n~<)ui surviennent du cote

<).'t'œitapt-csia section du t)0t-f tri-

jumnan.V.h'f.–LacCcitocst

consécutive et non primitive. V,

<)')'<peri<'n('e<).(i2.–A)tc-

t-atioudf nutrition. V,t!Ex-

périences. V, (i8. Kranche

opht))a)mif)no.V,8i.–t)rancho

)nMi))!tirc supérieure. V, 92.–

MaxiHairo intérieur. V, H8. Sa

section avant te t:suf!uMl do Gas-sey.X)[.28').–8oninnu<!aceaur

ta sécrétion saUvaire. XV, 532.

Voy. /i;"<?;cAe ~/t<AH/Mt'~Me.THOCART. XV, 192.

'tR())S<EMK t'AtKH. Son arrache.

ment. V,9();Expérience. ii.V,

Ma.–SuutnHuencMSurittpu-

pi))e.'<20~Ses mouvements.

\ÏM.–Ap)'ës.Msection,d))a-

tation do la pupinn par ta be))a-

<)nno. V, 2()à. Paratysie. V, 20!).

TROJA. Asphyxie par ta vapout' de

charbon.X! 3):

TRO~r Cm'!tA)L)()t't:. XY. 949.

rKO~cs anAOUAUx xv, 2~).

TnOt'tUQUE (MACT!0!<). Voy.~MC-ftoH!t~)<<[)e.

TK«Pt)tQl;ES (NEHFS\ Voy. JVm'/s

tt'0~/t<y!«'i'.

Page 335: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DHSŒUYnËSDEO.AUDHiiEfttS.UiD. 32 <

Ct.AUCEMERSMU.XtX. <~

tionnempoisounepas.Vtt.M.-

Kn'cts de son accumulation dans

!esang. V)!, )-;st-e!)eun poi-sou \')f,:t'Procède pourt'extraire. VII, if). Dans le sang

âpres )'e\tirpation des reins.Vjt.

i)&M.~).:xp.Vtt,4).c.<e p

combine pas avec des acides. Vif,42. A-t-elle une origine corn

mune avec l'acide urique VU,M. expériences. Vft, 6.').–

L'urine d'hommes et d'animaux

matadesn'cn contient pas. V)!,7).Sa formation n'est pas ompèchée

par)'at))atioudoJarate.V)!Moins abondante dans t'urinn

des cadavres, c'est un signe de

dénutrition mais non d'abstinence.

YM,2.-Dans la sueur. V)),i83.–H~e n'est pas formée parle rein. !X, 8(!. Ëjiminefi parla surface intestinale, dans te cas

d'ablation des reins. \[,)9.-

Kxcretee, dans la fièvre. XIII, 421.Kt foie. XfV, 470.

UKENtE. VII, 29 a -i0. Produite

par la section des nerfs durein.

VI,4aC;V)f,38.

CKETEKK. Sa température. Vt, 100.

UKtNAtRË (AppAKEtt.). Action des

cantharides.Xt,

(ExcnÉTtt)';). Voy. ~o'~to!

(ORUAXE). S'i) disparait, t[ est con-

fondu avec l'organe biliaire. IX,8'

(SÈCRÉTto~). Vt!, t.')) (G4. Ar-

rêtée par la section de la moelle.

tV, M)-4H VII, m.-Sonmc-

canisme, VU, )i)6.–Sa théorie.

Vit, ~5~. –Expériences. VII, ](!(!.

Sa modification par section et

Raiv-tnisation des nerfs du rein. VU.

)<?,)'!<Sesrapportsaveci<t

socrctiou da la sueur. VII, H'?.

Apres l'empoisonnement par le

curare. Vil, ;)t3,;it7.–Rapportavec la coloration du sang de ta

veine renate, exp. de C!. Bernard.

V'Ï~.

UBt~'AUms (VotEsi. Leurs maladies

rendent )'uhnoatca)ine. VII, 24.

UM~ATtOK. VU. 156. Théories

CK!TH NEKVEUSE. IV, :tÏ.

HE LOKGAKtSME. XVI, 3.S(..

MES t'HEKOMEKES VtTAtUX

XVU),23C.

DES PRINCIPES AL!M):XTAt

KE! et des agents digestifs, dans

les animaux. et les végétaux. XVU.

3X2.

VtTALE XVII, x, t49.!4<). Dans

les deux règnes. XVI, )M. –Prou-

vée par iasotidarite des phénomènes

de destruction et de création orga-

niques. XVI, )5). Et variété

fonctionnelle. XVI, 3~

HKtVKRSAUTE de l'action diges-

tive. XV!), 3':3.UPAS AKTtAR. IX, XI, tM,

450. Son action sur les muscles.

XI, 85. Ses effets comparôs à

ceux du curare. XI, tM.

tJHATES dans le sang. XtV, )94.

L'MEE. KUe fait défaut che: les ani-

maux qui n'ont pas de lymphe. ),

3t9. Dans l'urine des diabéti-

ques. m VII, 29. Comme

médicament. J, ~40; Vf, 450.

Sou étimination. VI, 4;)0. L'abs-

tinence en fait augmenter la quan-titÉ dans t'urine. VII, 13. Se

décompose au contact des mu-

queuses. V)!, 24, 28. Sa pré-sence dans l'urine. VII, S8.

Conditions qui en font varier !a

proportion dans uu même poidsd'urine. VU, 28. En grande

quantité dans l'urine acide jeun.VII, 30, 189. Son origine. VII,31 X, 6U. Sa distribution dans

l'économie. Vit, 3i. Ses rap-

ports avec la lymphe. VU, 31, C.').

Produit de décomposition de la

nutrition. VU, 3), 32. [)ansl'humeur vitrée de t'œi). VII, 39.

Existe dans tous les liquides.

VU, 33. Ëtimmee et non so-

cretee par le rein. VII, 33.

Heproduite artificiellement. VU,

3~ XVI, 391. Quantité etiminëJ

en vingt-quatre heures. Vil, 35.

Son passage dans les voies diges-tives. VU, 35. Obstactes à son

élimination. VII, 36. Son iujec-

Page 336: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAHt.E ALP!!ABËT!()UE KT A!SALYTiQ~E3 M

basK'es sur les conditions physique*!de iacircutationrcnate. VI), ).')'

Conditionsphysioiogiqucs.Vfi,

!5&n(]uencet)u cœur par

augmentation do pression. Vit,

!<!).–)ntcr\'enti<n du système

nerveux. V[),tG4.Voy.Kre'<0)<

MrtHafrf et <t'tMc!M'~ (sécrétion).

t'Ht~'E. Viï. G; !X, 86. Moyen de

l'obtenir chez te )apin.),lj8.-

Apparition accidentelle du sucre.

t,n4.–Passage duf'aftjtnniftc.

ne; rn, 45; vu.an.-Lf

sucre y passe sous l'influence d'une

circu)~tiouexag<reo.t,n6.–Pas.

sage du sucre, t, 22'i. L'éther

fait apparaître le sucre, t, 238.

Muttipticit~ dos causes qui peuvent

y faire apparaitre Io sucre !t la

suite des injections, t, 229. f!)i-

mine)ncO!Bp)etemctiti'if)de.t,3)). J,

PMsagedusucre,aousi'innueuc<!

de la respira tionarti(!rie)te.t,3.')t,

:iC);V),9:;t.–A)asuitedot'in-

to~it'atMft par le curare. t, .*)6C

Y)t,:i)3!t .in.-Présence dusu-

cre de lait chez tes femmes ré-

ccmnient accouchées, en tactation

Gtc<;tampttqucs.433,t3!);V!),

138. La présence du sucre suffit-

elle pour caractériser le diabète?), 1,

49t. Présence passagëro du

sucre, f, 435. Sa quantité dans

)e diabète. L44f).–Son rapportavec les boissons ingérées. ), MO.

–Rapport de sa réaction avee

la réaction intestinale. ![, 45; VU,

<!).–SaroMtion.<5!);V!,38. Son aeidineation, chez les

herbivores, par un mitieu oxygène.130. Sa rareté dans carmins

cas de diabète. tV,<26.–Jn-

ûucnce do la section de la moo))''

allongée sur la quantité 6miM.

IV, 44t. Son Onission rendue

plus facile par la piqûre du qua-

trième ventricule, IV, 459. Ef-fets de la section des pneumogas-triques. V, 433. Modifiée parta digestion. VI, t2. Elle est la

tf'Mivo du corps, )e témoin destroublos de nutrition et peutservir

au diagnostic. VU. 6.X)V,8t.

-importance medicatede son

étude. VU, i. Est-eUe un

p )'odt)it de sécrétion ou d'excré-

tion'Vt), t.–Variations de corn-

position. Vit,!).–tnOuf'ncedp

l'état d'abstinence ou de digestionsttt' sa constitution. Vtt, !),]!):

XtV, 91. Ses sédiments. VU,

tO.-L'ahstinencefait augmenter

t'uree.V[[,)3.–Sa reaction sous

t'innuence de l'alimentation. Vil,

18. Sa reaction varie avec l'ali.

mentation non azotée, seulement

si elle est en excès. VU, 20.

Kt.pcrionccs.VU.2).–S!tt'ea<

!!on scide, sic&'hie. YJ[, 2) H

–Prend la réaction acide pendantla respiration daniit'My~ëne ou

apn'"(i'injec.tio)'d'huit) dans le

poumoa. VII, 2.'2. Son acidité

diminuée par injection d'eau dans

le sang. Vf), 22. Rendue alca-

)ine par tes matadies des taies,

uriuaires.VtF, 94.–L'abstinence

modifie sa réaction). V)), 9;). Sa

réaction ehczJRt animaux en al-

laitement. Vit, 2.'). Présence de

ruree.Vtt.M.–Sf concentre

par son séjour dans la vessie. VU,2t).–Grande quantité d'ureo dans

l'urine acide à jeun. V)t.30,t89.

-Ot-i~ino de l'acide trafique.Vft,tt<). Chez les hommes et. les ani-

maux malades, elle ne contient

pas d'uroc.Vn, '!).– L'uréemoins abondante dans l'urine des

cadavres, c'est un Mgne dodenutri-

tion, mais non d'abstinence. \'I),

'!2.–L'm'eo et t'acidc urique exis-

)"nt après ablation de )a rata. Vtf,'(2. L'abstinence y fait passer )a

matière coiorantc de la bile. VU,

'!3. Passage du sucre du sang,

exp.Vf),)}:). –)anst'afimenta-

tion graisseuse. VU, 90. –Passagedo la graisse. VU, i:)8 il 148.

Présence du sucre. VII, 139; XtV.

'!2,9f.–Passage de l'essence de

térébenthine. V)f, HS. Coule

dans la mort par hemorrhagie

après avoir été arrêtée par section

Page 337: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

MSŒrV)tES[)EC).Ut)HtŒHN.U![). :t~3

')")am<M')h;.V!f.)79.–Cf)<))p;)-

r.tisun chimique avec )a sueur.

ij\tt.)S.').–Le passage des odeurs

delasper~e.deif'sscnce(h'tere-

benthinen'apasiieu chez les atbu-

minuriques.Vn,3.–Passade

de)'ioftnrGdepotassiuf<t.vn,2(!).

S83.- A jeun, eUc est acide chez

tous les animaux pa rc<j<)U'its vi-

vent tous aux dépens <te leur

''ang.8(t.–Scstrat~st'orma-

tions pitthotogiques artittticUe.s.

\t.t.'). 1: Pa'"<a~f'<)uprussi.'ttpdépotasse. X),f{26.- t'rc~cncf

'tt't'acitte carbonique pendant )a

fi"t'e.XH),'i:!2.–Sonpoid~spc-

<qup.XtV,:)8.–S!t densité.

\iV,mi.-G!ycos'.X)V.XM.–

Saccharose.XIV, )U().–Lt''vutosf.

X)\)<)().–Souana)ysc.procèdeschimiques. XtV, HM. Procèdes

physio)«niques.X)V,)tO.–Son

anatyst'par fermentation. Xi\

)!?.- Les))frpyp<.is!c-t-i)nor-

ma!Gmeut?Xt\Ji.oy.;)/<!f/<

CUt''C<<'fM)'t?!C~.

UtUKED'At<STt!'<)';r<Ct:.Yoy.t')'.?t<'

tt'jt'mc/t'.

-AOt'H. XIV, M. Kendu~

acidf'par injection d't)ni!('(tan<-)f

poutnun.Vtt,?.–){et)dncaci<h'

par la section du pneumogastrique.

VU. 8.

At.BtJMt~).;uSE. Par absorption

d'a)))umincajeun.),t'.

ALCAHîSH. XtV, 90. Rendue

ateaiine, chez iechiea eu diges-

tion, par le carbonate d'ammonia-

que. VU, Ï2. Chez ia foetus, de-

venant acide pa.r)'cvaporation.

Vt),M.

DU CHtEK. Carbonate d'ammo-

niaquc.V!),23.

CMYLEUSE. Voy. C/t'KS.s s

(urines).

nES DtABÉTtQUES t, 433.

Sucre. ), 433. Preseoce de l'u-

ree.1,43~. Présence de i'acide

urique. t, 438. Présence do t'at-

bumine. 439. Son identité

avec les gtvcoses du sang. XtV.

~40.

rm~tt; M t~ RtRESTtf)~ (;))M

!f's herbivores et chez les carni-

v.es.V![,!0.

"ES FOKTt'S.Presf'nfpdu sucre.

',2M.M.40:;VH,54,t:tj.

LAtTt:CSE ), )64.

~'OHMA[.E.(.f'st!'uriufd~i'ah'-

'inencp.VU.j.'t. Snnanaty.)'.

.\f\. Qi.–Prnf-edesft'anaJysc<jua~)tative. X)\ ').'). Caractfrf's

")'Kauo)('ptif)U''s.X!V,9.').–Ca-

r:tct<'rosj)~)arimetriqm*sdt*)a~)\-rose et df la sarcharosp. X!V, 100.

St'CREE. \'tt, ':4 a 8:). Par

ubsorptif) de sut'rcit.jott).)':(;.–)'ar piqûre (lu quatrième ven-

tm-u)e. IV, 40.').

VtSpUEfSE. Pondant rabsti-

n('uc~.Vt).}'<)(),

rtUQUE t.tCtDE VU, Dans

)'))t-i[)edcsdiahctif~)cs.t.i38.–

Son ctiminatinn. Vt, 450. Rap-

ports entre ses variations et celles

f)f j'urco. Vf), .'<7. Variations

suivant tes conditions fonctionnel-

)''s.V!i,n8. –est pas un pro-

duit df combnstinn infumpifte, oi-

scanx.n,)8. K\pe)'iences.YH, 59. Origine commune de

t urëe et de l'acide uriqn< exp.

deWfjhtcr,Frerichs,GaUf)is.V)i.

tit). Sa formation n'est pas em-

p~c))t'c par l'ablation do la rate.

VU, i2. En grande quantitécttRziespht)tisiques.VH,'H.

CSURE MOLECULAtRE Elle est

proportionnelle à t'intensité des

manifestations vitates. XVIII, 188.

L'iaiCCLJËPrimordiatc. XVI, t9).

VACC'NATtON. XV, 208.

VACUOLES glandulaires de la

gtimuti sous-mMittaire. Il, 39.

Du nucléole. XVt, t')9.

VAHUES (NEttM). Voy. P;feMwo~a<-

<r:MM (Nerfs;.

VAtSSKAt'X. D'un animal vivant,

ecoute)ncntdes.)iquides.H!.7].

Pression différentielle. Vt, 209.

Proprictés du sang. VI, 2'!3.

Injections de sucre. Vn,6.–Us

reçoivent deux ordres de nerfs an-

tagonistes, des nerfs du grand sym-

Page 338: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAt}LHAt.i'HAtiËTtQUEHt'AF<A),YTtnUK

pat!tiqu<'qtttpr<M)uis''nt)<'m'r'M-

serrement et des nerfs du System)'

<'frébro-spina!t)Hiprovoqnent)f'ur

di)atation.V)L2~:X,469;X', t

257.–Gangrena des parties dans

)esquf'))f"~ihsontf)b)it6r6'i.X),!?.–f)s réagissent sur les tissus

''(éntt'ntaircs. XI, 82. Leur acti-

vttéenMpportavecicscft'Htsge-

ncraux des poisons et des mpdica-

ments.X!,9<).–Leur activité eu

rapportavec)'ctatmorbide.Xt,8f.

Mécanisme de leur action, dans

i'injection de sable dans !a)'tAre.

XI, !)6. FormatioM de d6pùts

putrides.. X),)05.–Lour!!tU)r('s

contractites jouent un rûio impor-tant dans toutes les rMctioas chi-

)ntnuesde]avi<X),t8.-L('ut'

dilatation active. X!,2M!;X)f<,

225. Action du grand sympattu-

que; il sembio agirsur eux par les

mt)~sto)noM"i,itiesf.)itMt)tt'acter.

XI, 256, 383; XV. 53~. La pat'a-

lysie des fibres contractiies ttc

suffit pas pout'exptifjuer leur dila-

tatiot).XJ,25'Leu!'f;o[)t)'actiot)

r<')su)M do l'excitation galvaniquedu grand sympathique. XL 2~.

L'origine des nerfs dilatateurs

est encore mal connue. XI, 260.

Hypothèse qui attribue a leur

paralysie les phénomènes du dia-

bète et du ptyaiisme.XL26'Le double courant qui résulte de

l'absorption ue s'y produit pasaussi longtemps que le sang eir-

cule. XI, M4.-Action du sys-tème nerYeuï. XI, 28~, gos.

Les nerf~ agissent sur eux par )'in-

tormédiaire d'ctëments contractiles

comme partout ailleurs. XI, 310.Contractions par enet réflexe.

XIII, 238. Leur innervation.

XIII, 26!). Lnur état peut être

indépendant des phénomènes deréfrigération réflexe et de ceux de

c<)orincation. X~f, 297. –HectM!

che du sucre. XIV, 229. Recou-

Yertd'um:!amo))c de tissu adi-

peux. XV, 2(it. Son isolement et

paM~Re d'un double ti). XV, 262.

Lcut'!) propt'K'tf" XV, 377.

Oyco~ene sur leur trajet. XVi!,

(!4. Voy. Coti/f:t'<:7!Y< jDi/~t-

~!e<). "a'Ao'n~ StMCM/rc.

VAISSEAUX (Gnos). !nt!uence de la

compression du ventre sur !a tem-

pérature (h) sang. V!, )<!0. Leur

pression, influence des nerfs et de

la moctte. Vf, 189, 20). Leur

disposition chez le chien. XV, '45.

C.hox la taupe, et la chauve'

souris. XV, -24' Chez te castor

et )'))omme. XV, 'Mf. Chez )<)

chat et le porc. XV, ~8. Chez

le cheval et le mouton. XV, ~48.

Chez le lapin. XV, 250.

Leur cathëtorisme. XV, 280.

ABSORBANTS. XV!t, 363.

An't'EntKLS. LMpoi.M)M doit'cnt

tes traverser pour agir sur )e.ttissus. XI, !)3. Du cou, opéra-

tions. XV, *:(?.

CAt'tt~LAtKKS. Voy. rapH/a't-c.MU COtJ. Leur Matomic topogra-

phique, chez le chien et le )apin.

XV, 254. !njections, manuel

np6r.itoi!'c, XV, 255. Op<'ratioo)isur les vaisseaux art(''rio)s. XV, 2<!C.

CHYDt-'ÈKHS. Voy. Chylifère,.

MU FO)K. n2, )'!4.

MES GLANMKS SADVAmES

Ils sont dilatés par i'cxcitation do

la corde du tympan et (tu nerf mo

tf'ut' de la gtanda parotide. XI,258.

LACTES. XVII, 364.

LYMt'HATtQt'ES )X, 63.

Présence du sucre. 320. Ils

MHt ttrrûtt, par 'a destruction de

la moe))o. !V, 386. Leurs rap-

ports avec les capillaires sanguins.

VU, t2);XV, 344. Passage du

prussiate do potasse. VII, 419.

Découverte. XV, 334. Expé-riences de Magoudie. XV, 335.

Expériences nouvelles, XV, 336.

t)E LA MEMBKANE VtTELUNEd'un fœtus de poùlet. XVn, 93.

Dt':S MUSCLES. X, )68.

OMBtUCAUX. XV!f, 65

OU t'H DE t/AtN)!. XV, 254,

M. 'HO.

Page 339: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES (EUV)iES t~ C.HUDE BER~ARO. :fM

VAtSSUAUXSANRUtNS. iis ne sont t

pasarr('tc$pa)')ad<'structi()i)()e):t

mof))<V,3S(;.

SHK)':UX.Xf.:«!8;XV.3'<

DE LA TETE. tnuucnce tles tierfs

su<'i~circu)ation.V!),334. 1.

VAHS~tERt Ui~e~tions. XV, H);

VALVULES nU CftEUM Leur t'A)".

Vt,t9'XVnf,3M.

VA0. XI, )50.

VAPt:!JR H): CttARttOK H) ÏOa

–E))<:rendn)nrtc))cmiUeu<'<'u-

HnÉ.Ut.tM. –Pa)'a!ysK'f't'ou-

dai!'c.t)!,t9G.P~numonin<'ott-

t6cutivM& sou action. III, 198.

Hecherche de l'agent toxique.XH.

~57. Gax qui la composent. Xj). j

96!.Voy.t't;!<*pa<e!!t'H-

p<'fft'<'c/ia)'&ott.

VAKtAtHHTE RHS t:St'KCES c )

tu)aires.XVt,3M.

VAK<HTKS. tX, m. Fonction-VARII;TI-:S. IX, 111. f'Olll'lion-

nelles. XVI, 35': XVf). )49.

Ycgëtajcs. XVIII, )3').

VASt:ULAmE ~)'ATftOLOG;E). \0y.Pa<Ao<Of/;e t'n.«'t~<e.

(PKESSMNj. Voy. P)'<'S.!iO)! t.'<MCU-

/at)'<?.

(SysTÈME).iX,M.–Detagrc-

nouiite. Ht, 344; XVt){, 28i. )t)-

jettMU d'eau. Vi, M.–n sertd'iu-tet'niediatre pour l'action du sy-

tème nerveux sur les phénomènes

chimiques. X,40!).–Son mftuenc~'

sur les sccrcttous, Xt,'MC. Sau-

guin et. lymphatique, sa topogra-

phie générale, XV, 944.

(TE!i'ito~'). \'oy. ï'eM~tOM unscx

~ttre.

(ToNfs). Voy. roHfM t'Mc;f-

laires.

VASCULAtRES (KERt-s). Yoy. N''r/')'

uaseM~Mtt'c!.

VASCULARtSATtON. KtTots du

grand sympathique. V,50~. Ses

rapports avec la catorification.

après la section du grand sympa-

thique. V, 5)3. De l'oreille,

influence desnerfs. V, f;!G.

VASE (Amibes de la). XVI, 297.

VASO-COKSTtUCTEURS (NERFS',

XV.348.

VASO n)t,A) ATEt KS \)'n~. Vny.

~'t' ~M7\~ et .Ypr/ t's<)-

f<t7'~ff~'ttt'

VASO FORMATntCES (.Et.t.tt.Es

XV, M).

VASO MOTEtIKS '~EKt's'. tX. <!(:,

!)('; Xf. 37'); X)t!. 2t~. )i)'); XV.

'M8,3i8. :). i)0; XVI, !)(!

Leurs actions renexes. X, 36C.

))u muscte. X, 3'). Ils sont de

deux ot'dres. XI, M. C'est sur

leur (i.'t-Qutprtc ')UR repose l'his-

toire des circulations locales. XI,

~t<M. Leur influence sur les

n'ouhtes de la nutrition, XI, 3)3.

i!s n'gutat'iscnt la circulation

capillaire. XI, 395. lls sont des

nerfs calorifiques et frigorifiques,XI, 33&. ParaXete avec les nerfs

muscutaires. XHt, 2)'). Action

du curare. XH!, 2i!). 301. Para-

tysie. Xt)), 440. Leur rôte dans

le diabctc artineie). XIV, 3M.

Histoire de leur découverte. XV,

38. Lymphatiques. XV, 385.

VASt'-MOrKtCKS (AcTMNS'. Les

ganglions ont-ils une tunuence

propre sur celles qui sont sous la

dépendance du grand sympathi-

que' XJ,378. t)irectes et ré-

ne\es. XIII, 2M, 2.')5.

V'):At*. Voy. ~'OK«t<Ms de t'fatf.

VËCËTATtOK. Action du poison.

III, 26~. influence des tempéra-

tures élevées et des températures

basses. XVif, f3.

vËCKTATt<f<S. La gélatine et le

sucre les laissent produire. VI, 489.

VEGËTATtVES (FoxcTtONs). X, )05.

VÉGÉTAUX. XI, 492. Chez eux,

comme chez les animam, chacun

(onctionno pour soi. t, t30.

(.omparës aux animaux au point de

vue des phénomènes de dévelop-

pcment et de nutrition. 26*

Statique des végétaux, tt, 495.

Action du curare. III, 265, 3Ï8.

Ils ne sont pas des appareils exctu-

sih de réduction. IX, 80. Leur

opposition avec les animaux, vraie

au point de vue chimique, n'est pasvraie au point de vue physioto-

Page 340: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TAHLK ALPUAtiE'HQUË ET A~ALYTtQUK~26

giquf.)X,'M.–Lapuissancer~-

ductive est à son maximum. )X,

94,308.–Sécrétions. fX,2U().

!tsvi\'cnt de m&mc que h'~ ani-

maux, mais ils agissent (!i)1cr)'!n-

ment sur t'atmnsphere.fX,'M'i.Us possèdent le mouvement sar-

codique.X,)55.–Présence (tn

sucre.XtV,)43.–Opposes aux

animaux. XVI, 133. Distinguas -s

des animaux par la respiration.

XV),)9t.– Leurs mouvements.)

XVI, 2M.–Compares aux ani-~

maux.XVn,Doctriuc erro-

née qui icurattt-ibueja'.yatjt~sc

org&nique.XVH,23.–AsphyxieI`s& l'ombre. xyH,tS;lHnue,j,c

deroxygtne.XYff.tM.–tistK-

sont pas caractenscsparta fonc-tion ch)ornphy))iennp. XVt), 2').

Le végétal se confond avec la

chorophy))f-.XV)t,2:!9.–Digt's-

tiondesrcs.crYes.XV)).33'

Leur ferment éu)u)sif.X\'t!)M.

Voy.~t'~?tMd'<t,'M~u)'<St«'rt'

daH.! les f~t'~u.r, rt.«i! )~~<

<<tM;E, Variétés t)~<<M.

VEtNËS.iX.C:); XV, 308; XVt)!.

322. Galvanisme chez les fœtus.

I, 389, .408. Injection d'atbu-

mine. VII, 147. tnnuenco de ).i

section et de la gahanisation des

nerfs sptanchniques. V)t,)'t,n().

Injections d'acide carbouiquf.

VH, 46C. Injections d'amygda-)ine et d'emutsine. tX, 185. tu-

jections de peroxyde de fo'. IX,t85. Injection de prussiate jaunede potasse. tX, )85. Injection

de ferment. XI, 42. tnjcction de

substances putrides. XI, 82. –Lcur

rûte dans l'empoisonnement. X),

92.–expérience de Magendic.

XL 92. Leur ligature dans

l'empoisonnement. X!. !)2. )n-

jections de carbonate d'ammonia-

que. XI, ]<)< Cas ou le poutsse propage dos artères dans )e<i

veines. XI, 3'!t. injections in-

tra-veineuMa.XI), 7); XV,2:')j,353. Sucre dans le san~ des yci-

nos. XIV, 229. 404. Injection

'tair. XV, MO.Opération in-

tr.t-vciueuse, manuet opëratcirf!des opérations préparatoires. XV.

2(! fnjectionintra-YcincnM',

avec une seringue &petitecan)tte

ac.(';reo.XV,2M.–)':tt<!Ssonttes

organes tes plus essentiels de t'a))-

sorption. XV, :)iï.–Absorption

par tes veines. XV. 349.–Leur

origine.XV, :5.–Gtyco~cf~esur

)eurt,rajet.XV!t,93.–Poison qui

y est arrêté. XVUL ML Vny.

Cn'CM/a~tO)! t-c;)ie!M< Injectiont'<'ty:<'M4'c,<'M!OM,fM~a<!on.

VE)!fKSB)L!A!nKS. !n, 44); VH,

198. Du chien. Jtt,.t43.

CAVES. XV. 24- Ctrcu'a'iftf!.

!,t'!9.–En('tde)a)igaturest)rle sucre (lu foie. Vtt,)3C.–Du

chien. XV, 280. Leurs embou-

dans le ca'ur. XV, 9ii.').

Voy. Sa' de la )'<'Me cave.

CAVt; ANTEKtEmE. XV, 9.i!).

CAVE IKFEKtEURE. Le .sang

qui arrive par cette veine dans )e

coeur droit est toujours sucré. 1,

Ol. Communications yaacu-

laires directes avec la ycine portehépati'jue. I, H). Chez le che-

val, n3. Son catt)eterism<

XH), t)6. Le sa));; est pluschaud que dans les artères. X))),117. Elle est une source d'e-

chaunemont. XffL ]93.

CAVE SUt'EKtEUt'K XtV, 9T).

Elle est une source de rofroidis-

sem<'nt.xnr,t22.

DU COU. XV, 255.

CRURALE. XV. 270.

OË t~A GLANDE SOUS NAXtL

t.AmE.Vtt,M3.

OES CLANHES SAUVAtMES

Leur sang. XIII, i80. Voy. SaM.~<& t'et'MM a!f< <j'<f!f:(~.t ~a~it;).M.

–HËCATtQUKS. Sucre dans leur

sang. f, 27 VU, t33.–Leur struc-

ture. 183. Elles sont muscu-

laires et dépendent de la veine

cave. t85. Analyse du sang.

t, 200, 468: XIV, M8. Tempé-rature du sang. Vt. 83. Voy, S<M.</

~St'M'nM/tc/M/t~xe.t.

Page 341: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

!))!S (EOVfiKS DE C!.A)!DE [)E)!'<R[). 3~

C/7'CM/<fo?t ~c la veine ~'c!'<f, OA/

<<ra~to'i~<'f~)'f')!<'pO)'<f,t)aMy

~~ï7t/*7/<r~por~.

~'Kt~'ES RE\A~KS Coutf'ur rougp

du sang veineux. Vf,58.2fi).

508; XI, 970: X)U. )M. Sang

rnugf-tt!'acu)t" absorbante pour

J'oxygène. V),3M.–Quantité d'o-

xygène dans le sang veineux.suivant

le cas de fonction oudt'repos. Vf.

367 V)t, ). Anatyse des gaz

dusang.Vf,8).– Rapport de

la coloration du sang avec la sécré-

tion de t'urine. YtH, 2'!2. Voy.

~an~ des ffi/t' ''('MM/e~.

St!S-XEPATtQUf:S. Analyse du

saug. t. "00, 4C8 X:V, 968. Voy.

Veines /tf~Mft'g)fM.

V~t~EUX (SYSTEME). XVHI, ~7.

De la veine porte et système de

Jacobson, chez le pigeon. Il, 3)4.

Chez le coq russe. !3)a.– Chez

le coq normand, n, :i](i. Pres-

siondt!saag.V),205.A sang

noir. V!,?5* –Cette distinction d''

couleur esttropahso)ue.V!,953.

Antagonisme entre ses deux

portions, XIII, 122. Sa disposi-

tion anatomique. XV, 256.

VENEKEUSKS (SUBSTANCES). XI, t33.

So divisent en deux classes

celles qui se combinent chimique-

ment aux tissus, etcet)esquicircu-

teutiibrement dans )e sang. X!,19:

V. Poisons, ï'o.t'M"x (substances).

VENINS. Ut, 50, 60. Leur solubi-

lité. !!I, ~t, 9a VI, 60. Le cu-

rare est-il un venin ?!tf, 3)2, 3't5,

:<9[.–Absorbes par te jabot desoiseaux, ft!, .). Leur action.

!H, 38!). (considérations géné-

rales. XI, ).~). Leurs propriétésdiffèrent sous ptusieurs rapports

de ce qu'on avait supposé. XI, tM.

Ils offrent souvent un degré

très élevé de stabilité chimique.

X!.<M.isrésisteuta)'action

de la chaleur, et à divers réactifs

énergiques. X!,tM.–Us empoi-

sonnent i'anima) qui les fournit

lui-même.X[,)5~.

nH cnA''Aun. vm, 3)~ IX,

VE<?<KS nEJACHKSON. Chez oi-

seau.!f,3).');V'n,)99.

C]]('Z 1'1'!)-JUGULAtHE. Xt)!, U3. Pr"-

c6d6pour)a découvrir chez Fani-

isa! vivant.). 3)9.–E'iterne.ma-

nue) opératoire de la mise itou.

XV,MO.9.-Duhpin.X\.

266.

LVMPHATtQ~E (G~'<MR\ XV.

253.

nUMEfUBHEt'OSTEtUEfR XV,

?55.

t'OMTE. XtV, 2f! Sucre dans

le Mng.t. 27; Vtf.fM.–injec-

tion de sucre. I, !6). Commu-

nications vasculaires directes avec

!a yeiHe c~vo inférieure. [, )'

Ctrcui.ttiou. i,!T!;X!V.].-

Sa structure. 181. Anatysesdu sang.t,300. ~68; XIV, 368.

L'injection d'éther et d'ammonia-

que donne lieu à l'apparition du

sucre dans l'urine.t,3a3;!H,'t3~.

Chez le pigeon. IJ, 3t'i. Chez

!e coq ruMR. !), 3t&. Omz le coq

normand. H, 3)6. Température

du sang. V), 83. Sang veineux

rouge, après section do la mnette.

VI, 36t.– Quantité d'oxygène dans

)o sang veineux, suivant l'état de

fonction ou de repos. VI, 3C7 VU,

154. Son sang fournit iasécre-!

tion biliaire. VII, 193. -Son obli-

tération a ta suite de phlébite. VU,tM. Influence de son oblitéra-

tion sur la formation do la bile et

du sucre. VII, 195. Sa ligature.

Yn, t9(i;X!V, 316, 339. Mort à

la suite de sa ligature. Ytl, t96.

Sa ligature chez les oiseaux.

V!9'?.–(;hMie chien. VII,

)99. Influence de sa ligature sur

les fonctions du foie. Vi!, 200.

Chez l'oiseau. VII, 469. -Son obli-

teration~sonentrcedanslehit:.

XIV, 'MO. Expériences. XIV,

2'!t. Observations cliniques.

XIV, 2i2. Diabète- alimentaire

dans les cas d'oblitération do ia

veine porte. XIV, 334. Sa tiga-

ture o'emp&che pas la production

du p;)ycogene.XtV, 371. Voy.

Page 342: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE ALPftABË'noUE ET ASALY'HQUK328

dxn.s fo )-oin, )o sucre disparait ffau.s

le fuie <;t)!tmati~ro reste. !)s'

Vt,2'!7;\U,t8).Voy.~caM.VEMS INTESTINAUX. VU!. 177.

VE)!S A SOtE.Vte latente de i'mur

VFits

A ~Olti. Vie latente do l'œuf'.

XVt,93.VEKS DE TERMK. Gtveogfne. XV)t,

H.').

VKRTEBHAL (CAN~n. Anatomie.

!V.6.T. ta<<trumR[ttS))our en

pratiquer rouYt'rturc.iV, M.

Après sou ouverture, t't pressiondn saug diminue. IV, 383.

(CffOto~). Voya. f.'w~y! t'<Y<

VEKTEBRAt.ES (.AMÈXES;. Voy. Ar-

~<t~<<'Af<M.

V!!KTKSaS§. LeHr squelette cgt

intërieur. IX, ])9. Mombraneft

vibratiles. X, ):!8. Leut- dcye-

ioppemnnt.. XVI, 3:(!. A sang

froid, j;)ycf)ftenti!}<XVt),!)8.

VKSALE.XVH, 422.

VEStCtJLK BO.tAtKK. Réaction do

la bite. Vtt, 2!C. On en retire

habituellement la bile. XV. M'

Bt.ASTt)RERMtQCE XVf, 3f8

DU FtEt<. E))e s'inSitre d'air et

d'eau avant les autres organes,

'tanaio<tnjectionsd'eau.Vf,:)5.

t.HMMt~ATtVK ou do Purkinje.

'X,nn;XVt,3M.3!),3H.

KUCLËAtME. XVI, 200.

t'ULMONAtRE. IX, ]!?.

VESStE.E!)e n'absorbe pas le cu-

rare. ttf, 2i<3. Dans la pxMiysicpar section de la moelle, elle se

contracte par mort. pMtximor-rh<tf;i<i.Vf.Ï<M;Vtf,n'Parson s6ionr da.ns cet orgitne, 1'u-

rine M concentre. VU. 9!).

Sphincter de ))n'es$ic. Expérience.

VH. l'i2. Voy. ~<yxeM.!c M'M-

<'<t/

VESS[H NATATOIRE des pois-ions.

XV, 292.

VfAKMR de bœuf cuite digérHe dans

le suc ~strique. tt, 4)ij. A

jeun, tous Jos animaux sont carni-

vonM. YtU, 9<n. Autopsie d'un

chien nourri de viande. XtV, Ï9?.

Cotumo régime. XVII, 4:).

Digestion, XVU, M3.

t62;X!50.).')3, Mortf)

pour les grenouittes, inoifensi~

pour les crapauds, d'âpres Vut-

piati.V!f{,f.t;Xt.3!M,Mt.–

Expériences df(~audaBeruarf).

VtU,3n.–LadiH'erenCHestuuc

question do quantité. XI, MO.

vt:~)KS nEs tmcm:s xt, 9!)?

t)tt St!nPK?<TS. tU, M), 3)2. 389;

Vt.M).

DE LA VtPEttE. Son action. I)!,

390.

VÉNOSITÉ. tnnucucf' des nerfs. \').

':50, '!93. Prottuite par la com-

pression de la tMchee. Vf, 269.

En quoique consiste. VI, 283,

28R, Expérience". XI, 9.M.

hiOaent'e du grand sympathique.

X)U,3'!C.

VEKTtLATtOK PULMOMAtKH

XtU.MS.

VENTRICULES. XV~J. S2Ï. Tmt)

p<!)-ature du sang. l, 2)0. Le

Mng du vcntru'utf droit est pluschaud que cctutdu votttrictttc

(;!tuche.J[,:t<;XI)I.)iS.–L:t

pression constauto y est nu))e.

VI, m. Voy.puHj'Wftne M~-

<)'<<'M/C.

DROIT. XV~t, 399. Pression

du sang. IV, Ï7' Voy. San~ du

Mn<WcM/e6ft'0!

GAUCHE. Les gaz n'y pasapnt

pas. X!t!, )(i~.

SUCCEKTUKtJÉ. XVJt, 289.

VËRATRtKt!. XI, t50.

VÉRITÉ. Le sfaut la cherche pour

!!tpoM(;der.Vtn,9M.–HUen'(!s.t

jamais compt&te, etic ast toujoursrelative. XI, 4n. Sa recherche.

XVULO~.

EXPERtMKSTALE. Vtt), àf, 9:t.

EUeett.subjecth'e ou extérieure.

V))f,5t.

MATHEMATtQUE. Vni, 93.

MU SAVANT. Elle ne contredit

pasia vérité de l'artiste. XVUf, 3j8.

SUBJKCTtVK m OMnCfty~.

Vût,53.

VERNIS sur la peau, impenneabh;

Ai'air, fait mourir avec rM~'oi

diescment, et avec le sang roug<;

Page 343: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

BUS ŒUVRES UE CLAUDE UK~AKD. :!2'J")

VtBUATH~S t.CEt.n.'t.ES!. Voy.Ce.~M/t's.

..C)[,sj.Voy.C~)'t6)~<.

i.MHMBRAKEs). Voy. ~e'~AmM' t't-

A/'S~t'/M.

~MOUVEMENTS Voy. ~fo'W~~

t'iA)'a<t/M.

VtBMATtOKS KEKVËUSHS. KHes j

sont perçues par la mocXet'pi-

niere.Xt,).').

VtBttMKS. LeHt- f.utture. XV), 2tK.

VJCE rS()H!Qt.'E. Voy. ~urty!VtCtE (M)UEt; Vny. ~;7tcM t'tcic.

VIDE. Son emploi pour l'analyse desgaz du sang. XU, 'i9).

Vtm;S VtntUS. Professeur .(<; mé-

decine au CoiMgf do France. Xtt'.

8,)3.

VIE. XV, 3, M XVi)f, M'). Son

Mécanisme en gênera). Hi, 39.-

N'est pas engendrée par les phi;-nomeaes chimiques qui en sout

indépendants. VI, 490. Le sau~

noir n'est pas apte à l'entretenir.

V). !)0(). C'est la création. VHf. )t6) XV!, 40; XVIII, M, )9:).

Il faut en étudier les jonctions sur

)ewMt.VHf,)M;X[,445.-Ses agents essentiels. Vtff.fUt.

Influence de la température, quien est une condition. VIII, 20~

X, 50; XIII, 401. L'âge en m~-

dine les manifestations. VUt,9)t.Influence du sexe sur ses ma-

nifestations. VU! Elle

n'est qu'une condition physique

qui existe ou n'existe pas. VU),

328. Ce n'est qu'un mot qui veut

direignoMnce.VU), SM.–Scs

manifestations résultent du conflit

noeossaire entre des conditions or-

caniques préétablies et les condi-

tioo&oupropriCtespnysico-chimi-

ques déterminées du milieu exté-

rieur :Kousne pouvons saisir et

connaltre que les conditions ma-

térielles de ce conflit. IX, 5; XV[.

M,66,34.'<K))e<ist<!ng:en()ree

par la mort. JX, 99. E!)o n'side

dans la puissance d'organisation

qui crée la machine vivante et re-

pare ses pertes incessantes. tX.

iM. KHcnest qu'une moda-

titndesphenomèrics~cneramftola nature. fX.~i.Xvm,!)'

Ktmort.tX.)3'm)en'ennen-

t)roriet!,ef)e se crée ni force, ni

matière première.iX,225.–Ë))e

i'e'.ida partout dans le corps hu-

main,eUe a son siège vèritabtcdans

iesorganismesè)ementairesouéi('-

ment~histoto~ique'. des tissus. X

2:t;Xt.i~XV,:)t,03.-Les

atimentsensontuneconditinn.X,

4ti.–tnnneucf'doJatumi)'t'c.X,

.'ti.–ionut'nccdot'tUt'cu'icite.X,M.–i'tttuencc du systùme ner-

veux sur tous ses actes. X!t:L}f)f!uc!tce du système nerveux

sur ses phénomènes chimiques.Xt,2t4.–Comment 0!t)'a consi-

dérée. XI, Ot.–Comment agir

sure)te?X!99.apa'id'm-fluence sur )e déterminisme des

phénomènes. X).;)28.–t) Il n'est

pas nécessaire d'on connaitret'cs-

Mnce.Xt.Mtt.–nn'yapasdeux

--ciencesdehYie,etifnefautpas

distinguer les ici!; de la yic~t'ctat

pathologique des lois de la vie

l'étatphysiologique. X),M8.–

importance du rote du Mn);. XII,320. Les eouditionsde ses ma-

nifestations sontpuromcntphysico-

chimiques. XIII, vu. Sa cou-

teption. Xt(t, XVt, 343. Son

siegon'Gstnuiio part et il est par-tout. XtY, 88. C'est f'ensembte

des phénomènes qui existent chez

les êtres vivants. XV, 02. Théo-

ries anciennes. XV, 93; XVIII,149. La vie totale de l'individu

est !a. somme des vies partiellesdes <e.menta de tissus. XV, m.

État qu'on ne comprend que par

opposition à la mort. XVt, 28.

Définitions. XVL 30. L'Eucycto-

pedie.XVf,30;XVtn,5[.–Sectard.

XYt, ;!0. Duscs. XV!. 31.

OMcimens. XVi. i! Lsa]arf-

XV!. 3!. –KosMs. XVf,3). –On

peut la caractériser, mais non la

définir. XVt, 32. Ses caractères

gëneraut. XV!, 32. Or~anisa-

Page 344: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TABLE At-P!<At)Ë')'!QUE ET ANALYTJQUH33't

tiuu.XY),3?.–(.encrati<)n.X\).

39.)~o!ution.XVL:!3.<u-tr<t'<'f.Xyt..H.- Maiadie.cadtt-

t-ite.mnrt.XVLS~HhinviUe.

XVt. 3(;Ticdcmann.XVf.3G.

–t')ourens.XVt,:)(!Création

et destruction organiques, sont

)e.'<caractC)'esMsenti<')sd<')avie.~

XV), 39.–C'est, la mort. XVt,4);

XVm.!i)8.–Hypothèses spiri-

tua)isto et materiatistc. XV(, 4*

Nous les repoussons cgatement

hors de la physiologie, parce

qu'elles sont insufnMntes et ctran-

gèreti~ta science expérimentale.

XV!, 43. Ses manifestations tie

sont !BHV)'e ni dH !s maticre

d'une force indépendante. XVt, M.

Son ordre et sa forme sont t.

relies par des lois prdctahttas.

XVt,6' –HUe ne saurait s'e!

ptiquor par un principe intérieur

d'action. XVt, 66. Le conflit

entre les conditions organiques

préétablies et les conditions ph)'-

sico-chimiques du milieu exté-

rieur n'est pas une lutte, mais une

harmonie.XV),6'Ei)f!Mpre-

sento&noussou'9troi'< aspects qui

prouvent la necessito des coadi-

tions physico-chimiques pour la

manifestation de la vie. XVt, (i'

Réfutation des théories dualis-

tes entre les animaux et les vegc-

taux. XVt. 131, MO. Unité de

ses fois. XVt, )~. C'est une

putréfaction. XVI, )76. Mits-

cherlich. XVI, ne. –Hoppe-

Seyier.XV!.t'!6.Schut:en-

berger. XVI, 178. Le proto-

plasma la représente saM forme

spécifique. XVf, 292. Etto n'est

ni un principe ni une résultante.

XVI, 344. Elle est indépendante

d'une forme organique détermi-

née. XV!, 3M. Son maintien.

XVI, 3M.–Comment elle est

comprise par les chimistes. XVH,

SU. Comment elle est comprise

par)6!tYitaHstes.XV!I,9!

Conception me.caniciate. XVII,

4?8. Elle est l'ensemble des

fonctions <j)<i résistent & la mo"t

.,Bi':)!at).XV!i-iG;XVn!, )C).

Ette est une cause premiern

nui nous échappe. XV!tt, t3~.

Ët!c est une combustion. XVIII,

Ht!. Comparut) à un Nambean.

X\UI. )!)t. On n'en cherche

plus !o ~ga. XVfit. Ï02. S~

basa physique. XVI1I, 234.

f.esccnutfs en sont le si6ge.

XVIII, Ï34. Voy. Actions ft~/M,

Co)'pît!tt;a?)~, Dépense vitale, Dtta-

/t!N!e M'<a/, DMa/t<e < ~a~, Echan-

'/M MtaMr, R(at)-'<<a<. ~<ret vivante

f<rme?t/< vivants, fonc~MM! de la

t'ie, Fonctions vitales, ~')'!<f!A:h~

f!<a~, ~.e.an t):<a!e, ~ant/'M~-

lions )))<a/e', M<t<t!MM vivantes,

Matière vivante, J«<'can!MM vi-

taux, ïMt/t~M Ct~f~, ~fo</<M U!<C/~

J)~ot<t'enMM<s Nt'~aK.r, NœMtt vital,

0~ct/<a<<OM4't~<a~i, P/t<!nom~n< de

la vie, Phénomènes vitaux, PrM-

cipe vital, ProH/aMon u«a~,

~'0/9r< f,M, Résistance

ftt/e, ~<0!«' à la vie, Sc'MM de la

vie, St~~e de ta vie, T'M.<M~ t):fa'f~

Tourbillon t)t<a/, r''auat! vital,

t/?!<M vitale, Vitales (fonctions).

VIE AMtMAt.E (système nerveux

de la). X!H,M5.

CEH.Ut.Amc. XVf. 367 XVII,

458. Son r0)e. XVI, 361.

COKSTAKTE, t~ttEPEKOANT);

ou MBM. XVf. tn XVII, 6.

Elle dépend d'un perfectionnement t

organique. XVf, tt2. MMnco

da t'CM. XVt, U4. Influence

de la chaleur. XV!, tt6. 'n-

fluence do t'oxygène. XVt, 118.

La fixité du milieu intérieur en est

la condition. XVI, 113.

KNCOt-'RME. Influence de la

chaleur. XVf, 104. Diminution

des phénomènes chimiques. XVI,

108. Sa cessation. XV), tOfi.

Nécessite des reoervM.XVf, t )<).

–tKnm'EKOANTË. Yoy. ~!?coM.

tante.

t~TRA-UTEMME. Usages du

sucre pour empêcher t'iunitratioti

des tissus. 1, 408.

Page 345: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

t~S<KCVtŒS)'E<LAU!)K)!K)~'A!!n. ~r.)

VtE)LA'rt!'<TE.t\)Lt8:};\V).M.M;xvn,e;xvnt.t3.-K~'<)

une vie arrêtée et non'timiuué~

XYf,<).–Retour ~~Yiomani

fes'6e.XVL'!0.–fn<lut'nced~-

reau.XV!t.- tnOuencedHrt'-

t.ygënectdet'afr.XVi, h)

nuencedet.tchatcur.XV),~).

Phénomènes chcz)f*saniman\.

XV), 80. existence de:) êtres M

cet état.XVt,92.–Mécanisme du

passage a.f'ctctat.XVLXM.

liéserves des matériaux nutritifs.

XVL)()3.

--HBKE.Voy.t'Meo~t<?!<<

-MAKtFESTKE.IX,)83.–Mcc;t-

nitœa du retour~ cet 6tat.XVf, )t) ).

–KOPi MEt'iK! e!)e résida dans

la matière amorphe ou plutôt mo-

uomot'p))e.X\'),2!)'

OMHAMQUE. Son innnpnce sur

la vie de rolation. XI, 360. Sys-

tcmH dela vie organique. X)H, 20.

Voy. A/OMt~m~M~ lie la )'te o<n;«-

que, Ne's de la vie n;<tti:~Me,

Nerfs M0<<'ur~ de la vie o'~OMt~u'

OSCtLLAKTE. XVI, t02 XVII,

6. Elle appartient à tous les

végétaux et à un grand nombre

d'animaux. XVt, t02.

[)E ttELATtOK. Son inHuence

sur la vie organique. Xt, 360. Voy.~oufe'ne~~ </e vie de fe/aho'i,

M)<C/M~'e<<!K!e~e;a(M)t.

VtESELEMENTA!RES. C'est en vue

d'elles que l'organisme est cons-

truit. XVI, 354.–Leur autonomie.

XVt, ;!M. E))os sont subordon-

nées t'ensemMe. XVI, 355, 360.

VM.UEU&. EHo fait varier l'effet des

poisons. III, 120.

VILLOSITÉS OE L AM'<f()S, chez

les ruminants, glycogène. XVtI, 64.

tMTESTtNALES. Leur dÉvetop-

pement en rapport avec l'appari-

tion des différents liquides diges-

tifs.H.~M.

VIN. Voy. <.emh'< t/K vin.

VIPÈRE. Sa tête. III, 390. Action

de son venin. III, 3&0. Compa-

raison avec le chienenragé. XI, 3!).

Voy. )~f'< la D~et'e.

VtRCH(W.')rf)itnr')r'sdirrita!)ih-

t6:ionction!n')ie,nutritive', de do-

vetf)ppf'mont.X,84:XV).2i8.

Pa'ho)o~iecc)ht)airc.Xi.M.

~tRtJLEKTS .)'nf\<:[pES.. t~ oc ;u

~t.nt M dcvt'tt)pper<)U:tu sein

d'u)](;0)'t:a)!s.ttH)n vivante.X),3*. 1-,

VtKHS.))[.5(),<!0.–[.t'ur-,o)u))!-

)ite.jn.)),!)~).<!(). Tantôt

répandus dans toute !'ëcon~n)ie,

tantutiorahs!) sur f)Ut')<)Ups point'* s

pafticu)ic)'s.Xt.38.

t'UYSU)LU(.t()tJ) S XI, S8.

VtSATEt«;0.8.

l'ISCOSI'rÉ d~ la salive. VII, 'M'.),

2M,2.).

YtTAt~S ~o~K'noxs,. XV). ;!?<).

Il n'y~pas opposition ou iucom-

patibilité entre elles et les actions

mittHrates. mais parallélisme, ~'t

relation directe et nécessaire.

XV)tt, 44. Voy. Fo/)<'<t0ns t't(n/f<.

VtTAUSHM. X, i6; XVI, 4' t~,

?25 XVII, HA, iM XVUf. );)'(.

179. Yoy. Ooc<)'t"M t'i/a/i.s'~M.

DE BtHHAT. XVU, 218.

PHÏStCOCHtMtQm;. XV. x\:

XV)t.~90.i'!8.

PMYStQUE. XVn. 2)9, 4~ &24.

VITALISTES. ïït. 4; IX, t3:t: XYU,

4)5; XY)!f. ))).Leurs hypo-

thèses sur la cha)euraMma)e.X)H,

)8. Comment ils comprennent

)!t\ie.XVn.2n. L.

VtTAUTE.SonrMe, (t'apres Gerdy.

VHt,Mt. De )'ot-u)e. ]X, 108.

Supérieure de certains animaux et

decertains organes.XI,88.

VtTEt.H!<E (MEMBRASE'. Voy. ~Mt-

brane vitelline.

VITELLUS. IX, !OÏ XVIII, 193.

Primitif. XV!. 30<). Secondait-)'

ou nutritif. XVI,3t4.– Sontrac-

tionnemeut. XVI, 318. Voy. E~ttc

/o/)pe vitelline.

VITESSE de la trausmissioa uor-

~euse.X.M'

VIVANTE (!<ATORE). Voy. A~M)'~ M-

I

Mn:e.

VtVtSECTtONS. !!), 14; VH!, n2;

IX,t6,t44;Xt,4)2,:)44;XV.

). 66, 398 XVIII, 3M. Sur tes

Page 346: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

TARLE ALP!)ABËT:OUE ET ANALYTIQUE;i32

cotKittmne<àmor!.Vfi!.n3,

Préjuges. V)H,)?a.- Sensibi-

)itCMa~ér6cde!cu)'sdûtractPurs.

Y')ft,)'!ti.–Happ0)'(satee)'ana-

tomie normate. VHt, t82. )!ap-

ports avec l'anatomie pathotogi-

que cites sections cadavoriques.

Vt)[. t95. KfTcts du froid. X),

??.E<stsd("! anosthësiques

et de l'ivresse. XI, 98. Objec-

tions et justifications. XI, M8.

Lenrut]!i«'.Xt,&aO.–t,'<t-

)it6dcsa~eethésiqu<*s.X!,&M.

NotioQs qu'ettos donnent sur

la circutatioa du sang. XU, 4.

Leur histoire. XV, HS. Choit

d<M animaux. XV, SS, ~3. Lem"'

résultats sur les animaux sont ap-

pticaMeii t'hommc. XV, HS.

Dans quetio timitc. XV, M. _o.

H6fMt!ttion des attaques dont etiM

sont t'objet. XV, '!3. Accidenta

chirurgicaux des vivisections XV,

78.–Determinntioo du leur r<*))a<'n

physiologie expérimentale. XV, 81.

CpCMUons préliminaires. XV.

)OÏ. Apptrcitf et instruments

d'uu usage f;<}n~r.t). XV, )S2.

Opération!) d'un usage gëaAra). XV.

)i)a.– Emploi des poisons.XV,

40).–Surfecouetiepjide

t'aino, manuel opératoire. XV, 9&t.

Voy. ?'nA~e <4 ut!)t.!M<'t'o~

VtVtSECftOftS MtCRUSCOt'!

~UES. XV, 399.

MTHOMCt~UES. VIII, 200.

VOtES cachées entre l'estomac et

terein. V)f,t6, n.–nigMti-ves.

Voy. DMe~tM~. GÉnho-

urinaires. Voy. C~)!<o-M''tM«t~M.

Respimtoit'es. Voy. HesptM~o't'e~.VOILE DU t'ALAtS, ses mouve-

ments. V, H' tnuuence du

facial et dttg)oMo-p!t<tryngMn,(,ses mouvementé. V, n8.

VOtX, mécanisme de son aboiition.

V,306.

VOLKMANN. Contraction muMu-

)aira.X.t97.

vOt.ONTE, excitant normal des nerfs

moteuM.)V,);!8.–A-t-e)iobe.

soin de l'auxiliaire (tes nerfs sen-

sitifs. IV, M; Ses rapports avec

la MU)iibi)it6.iV,:M.–Sa ma-

nifeste par i'intermédioiredes nerfs

etde)amoeM8.)V,3.est

qu'uno forme de !a.senMbi)it6.!V.

!!4T.–Etfo n'est pas atteroe par)o curare. tX.'ït; XVH!,M8.-

Son influence sur les ncrfsmo-

teurs. XHU, ;i47. Voy.~ufe-

MM<~t)o/ot)<a')'M.

VOMtSSEMEKTS, influence sur la

sécrétion du suc p~ocr'ëatifjue.n, 227. Dans la m'phrotomie.

Vtf,4~56.

VORTICELLE. X, ]96.

VUE. Son organe. V, 900.

f~LP:ASf. Nerfs rachidione. fX, !<.

Hacine postérieure ou ~ng) ion-

n&ira du nerf hypog)osse.!X, ;)!,);'<!).

Expériences ont- le venin du cra-

paud. XI, f)M. Discours aux

funérailles de Oaude Bernard.

XVt.Ytt.

WAn-'KMntN. Thormom'itrc mé-

tastatiqua. VI, 07. Thcrmom6tr<'

maximum. Vt, '!0. Thermomëtre

(tiffërentM).Vt.9.

~VAt.K)SM. EMtnents nerveux settsi-

tifs et moteurs. X, 238.

WALLER. Propriétés et usages d<"t

gang)ion!)int('rYert6braux.)V,M&.

Expériences sur la section det

nerfs. XI, 192.

et BUOCE. Origine du grand sym-

pathique. XIII, 212.

WKtSS et DOCK. ThéoHe du diabète.

XtV,t49.

Wtt,M8. Fluide nefveux.!V,4.

Ligatura du nerf phrénique. )V,

t89. Nerf spinal. V, 'ï~C. t'er-

mentation des aHments. XVII,

269.

W~HLER. Origine de l'urée et de

l'acide urique. Vft, M.

WOLFf (C. F.), fondateur de t'em-

bryologie. XVI, Sn. 1.

WOOBABA Ht, 241.

XV OtH!tfE AMMALE. VH, H4

XtV, 904 XVII, 53.

VEUX U'ECKEVtSSES. XVII, 55:

X.tMMERMANK. Son traité de l'ex-

përicnce.XV,M.

Page 347: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

MS ŒUVRES i)E CLAUDE Hf';))N,\[U). :):(:!

XOAMYHK): XtV. )8:

XOOLOfim. V)H. )8t. Son point

deYUf'[)aa'!('Rtud<*df'('organisa-

tion. X, '?. Elle est distincte de

la physioiop:ie. XVftt, 144. ~oy.

C/Mt't/tCH~OM.! :00/0~)fyM' CM)'fO-

~i'~t ~OO/oyfyUM, y/iyst&~O~ JOO-

/o~i~)ff.

XOOLUGtSTK ni phytioioi~-itt'. VH!

t94.

M<))'ttYTt;s.!RU!-<)ove)oppnmf)nt.

XYt,Mf).

ZO«St'EKMK. )X. !OC.

XOOSt'UnES (ies atRUt's. XV!. 306

ZYGKKMA. XVt. 380.

~XYGOSt'UKES. XV). 301.

Page 348: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)
Page 349: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

BIBLIOGRAPHIE

DE~ TRAVAUX SCIENTIFIQUES

ET tUBUOGR.~PtHK Bt06RAPH!<jLK

DE CLAUDE BERNARD

Par Godefroy MALLOIZEL

SoM-))'btmth<cM<'eMM't''<d's~<t"<

Page 350: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)
Page 351: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

CLAUDE BERNARD. X!X. 22

BIBLIOGRAPHIE

DES TRAVAUX SCIENTIFIQUES

ET BIBUOGR.\)'t![K BtOGRAt'HtQUE

DE CLAUDE BERNARD

I. BIBLIOGRAPHIE DES TRAVAUX SCIENTIFIQUES

1843. j~at. Recherches anatomiques et physiologiques sur

la corde du tympan, pour servir à l'histoire de t'hemi-

p!egiefaciale.

AntM~fs mëd:co-psyc/to!o;/{fjrM<'5, t, 1843, p. 408-439.

Archives générales de tH<!f~t'c<?M, H, f843, p. 332.

jFror:ep's JVohseM, XXVHi, 1843, col. 21 S.

~'t'eH!!<')'e ~Mt'<tC. Recherches anatomiquns.

Description de la corde du tympan dans l'homme, p. 4)0.

Ganglion sous-maxillaire, p. 4H.

Auatomie comparée de la corde du tympan et du ganglion sous-ma\it-

laire, p. 'HM.

10 Dans les mammifères, p. -t!6.

2° Dans les oiseaux et les reptiles, p. 418.

neM.E!~?7ie parh'e. Recherches expérimentales.

Propriétés de la corde du tympan, p. 420.

du nerf lingual, p. 421.

Usage de la corde du tympan, p. 42t.

Influence de la corde du tympan sur la gustation, p. 4?j.

Influence de la corde du tympan sur les glandes sous-maxillaires, sub-

linguales et tours conduits excréteurs, p. 427.

Action de la corde du tympan sur la muqueuse linguale, p. 42!).

Influence de la corde du tympan sur les mouvements do la langue et duvoile du palais, p. 430.

lanuencede la corde du tympan sur l'audition, p. 433.

Faits pathologiques, p. 435.

1843. 7 ~e~H~'c. Du suc gastrique et de son rôle dans

la nutrition.

Thèse pour le doctorat en médecine. Paris, i843,in-4°, 34 pages.

JoM'na~ dep/KM'MMCte, V, 1844, p. 428-433.

Froriep's Notizen, XXtX, <844, col. 33-3:i; XXX, 1844, col. 7.

Page 352: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

t38 t!)!!L)OG)'APtf)K E

Gazette mcfhcff~. t84.4.

.~fc/ dfmed., IV, i844, p. 389.

~')'Mtt~)'<'pa!'<tF.

Oct'origincetdotanaturophysiotfgiquedusucgastrique.

Des caractères tiusucgastrifjuf et do sa.preMncedans l'estomac, p. )~.

(2) De l'origine du suc gastrique et do sa nature, p. )3.

Origine (tu suc nasttiquo et mécanisme de sa production, p. )(!.

Recherches sur la nature physiologique du suc gastrique, p. 32.

HfM.CMMe ~<M'<M.

Du rôle que le suc gastrique est destiné hrcmptir dans la nutrition, p. 27.

( 1) Action du suc gastrique sur tes matières alimentaires, p.

(2) Rôle du suc gastrique dans la nutrition, p. 28.

Questions sur diverse!! branches des sciences mcdicatos.

~) Des membranes muqueuses au!c diMrents âges de la vie, p. 32.

~) Du traitement de t'hydrocephatito aiguë, p. 33.

(3) Quel est le traitement qui convient aux anévrismes de i'artere a~i))aire ?'?

Quels .sont les cas qui rcctament la ligature ne cette artère, p. :)3.

(t) Des ventouses et de leur théorie, p. M.

i844. Recherches expérimentâtes sur les fonctions du nert

spina!, ou accessoire de Wiiiis étudié spécialement

dans ses rapports avec le pneumo-gastrique.

ArcA. gén. deme~ IV, <8t4, p. 397-424; V, )844, p. Si-96.

Cornpt. rend., t847. XXtV. p. 7!6-7<8.

M~moM'M des S«''an<s étrangers à f'Ac<t~<!m<e des Sciences, XI, )85t,

p. 6''3-776, avec 2 pi.

Ce mémoire, imprimé en t8t't dans les /t)'c~!fMy~ M~d. a remporte

le prix de physiologie expérimentale à l'Académie des sciences pour

l'année )!)45. L'impression dans le Recueil ~M savants ~<aMyf~ n'ayant

eu lien que cinq ans après, j'ai pu répéter mes premières expériences, en

instituer de nouvelles et compléter mes recherches par des additions qui

ne changent, rien au fond du mémoire.

P)'<'M)('t'e~)a)'(te.

(1) Exposé succinctdes principales opinions émises sur les fonctions du nerf

spinal, WiXis, Scarpa, Ch. Ben. Bischoff, p. 69a.

(2) Réfutation do la doctrine qui confond anatomiquement et physiologique-

mont tes nerfs pncumo-gastrique et spinal comme les racines antericuf'o

et postérieure d'une paire rachidienne.

(a) Le nerf spinal peut-it être comparé sous le rapport anatomique 11ia

racine antérieure d'une paire raehidienne dont le pncumo-gastrique

représenterait ta racine postérieure, p. 702.

(A) Le nerf spinal peut-il être compare physiologiquement ta racine

anterieuro d'une paire Mcttidiennc dont le pneumo-gastriquc repré-

senterait tara eineposterieuro?

(f) Sous le rapport de sa sensibitite récurrente, p. lOC.

(2°; Sous le rapport de ses propriétés motrices à l'excitation gal-

vanique, le nerf spinal ost-i! comparable à une racine rachidienne

antérieure? p. 709.

(3°) Sous le rapport de sa fonction motrice, les vivisections domon-

Page 353: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES TRAVAUX DE CLAUDE BEH~AXD. 33~

trent-etiesfjuete spinal est la racine antérieure du pneumo-

~ast<'if)ue,p.7)). 1.

D<<;)'tem<' pnrhc.

Hxpose de recherches anatomiqucs et ph;sio)oxi')uesnouve))es sur te

spinat.etdeductionsquoapeutentirerre)ativementauxfonctionsde

ce nerf.

(JjAnatomie du nerf spinal chez l'homme.p.)'

!?) Kemat'ques anatomiques sur le nerf spinal chez les animaux, p. 72'

<;ti Des propriétés du nerfspinat, p. 729.

T)'o)<téme~ar<t<

Fonctions du nerf spinal démontrées par l'extirpation des nerfs spinaux.

(~Description du spinal sur les animaux vivants.?.?.

(2) Abtation comptôtc des deux nerfs spinaux, p. 7;).

(a) De l'aphonic ou ablation de la voix après l'ablation des deux spi-

naux,p.7~.

(~;Genc de la déglutition, p.).').

('!)Usa~cdo)!th('anc)iGf'![terneduspi))a),p.7M.

(a) Brièveté de l'expiration vocale, p. 7(!0.

(~) De l'essoufflement dans les grands mouvements ou dans i'eubtt.

p. 703.

(c) Jrreguiarita dans la démarche des animaux, p. '!6~.

(5) Théorie des fonctions du nerf spinal. p. 7H').

(~Conclusions,p. T!t.

1844. 32 a~ Recherches physiologiques sur les subs-

stances alimentaires.

Expériences comparatives sur le sucre, l'albumine et

la gélatine.

En coHaboraUon avec Barreswill.

Comptes rendus de !'Aca(Mm!e des SeMH'.es, XVH[, )84i~ p. '783-'78S.

Journal dep/tCt'Htact'e, V, t8'H, p. 42~-428.

1844. Expériences concernant t'innuence des nerfs de la

huitietne paire sur les phénomènes physiques de la di-

gestion.

En coUaboratton avec Barreswm.

Comp. rend., t" M6m. 1841, XVIII, p. 993-!)99. –2" Mcm. Octobre

1844, X)X, p. H84-t288. 3" Mém. Juillet t845, XX), p. 88-89.

Fronep'sJVottM~XXXin, 1845, col. 3it-3i4.

JoMm. de p/tar~ VU, )845, p. 49-aS.

Are~. ~eft. de méd., V, 1845, p. 233.

1844. Des matières colorantes chez l'homme.

Thèse présentée et soutenue à la faculté de médecine de Paris.

Concours pour l'agrégation. (Section de physiologie et d'anatonue).

Paris, t844, in-4", 57 pages.

Page 354: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

3K) BtRUOSR~f'fHH

Matières colorantes des liquides,

t" Matières coiorantes du sang, p. 7.

Oua)astdans)e'ian(;!esi6gedeta[nati('t'e''o)o)'a!)!F.p.)?.

Hemato-gtohuiine,p.t3.

Hematine,p.tS.

Hemacyaninc.p.S).

Physiologie do la matière cotorante du sang,p. 28.

Mo fatnatièt'c coiorante du sang chez te t'a'tus, j). 28.

!)et'inuu.enc''desnerhsut'!aco)ot'ationde)'h('rnatinc,p.:M.De la regencration de t'hematine et de sa destruction, p. :tt.

5'' Matières coiorajttes de la bitc.

Matièra colorante bifiait'c do Lchmann (BiUfcine de Simun;, p. S~i.

Physiologie de la mati&re cciontnte de la bile, p. 35.

Origine de la maU&te cok'Mnte de la bile, p. 37.

Matières cotOMotes des urines, p. M.

Pt)yMo)ogie,p.4t.

Origine de la matière colorante des urmes, p. 42.

Proprietos gendMtM des matières cotor.mtcs dos Uquidas, p. 43.

Matiti'oscoiot'aotcs anormales observées dans tes tif~uides, p. 4j.

Sang bleu, p. 'i&. Lait bleu, p. 46. t.'rinM btcues, p.Matière colorante jaune, p. 48.

noire,p..4't.

Matièrecotot'!tfttcde'<so)ides.

)" Matière colorante de t'œit,p.!)).

do )apeauGtdMchOY('u\,p.)4.3" (ju cerveau, p. M.

Met~nine,p.&

1845. yaMMt'er. De i'aitpration du goût dans la para)ysie

du nerf facial.

Archiv. gén. df'mM., V!, 184S, p. 480-496.

1846. Ligature du canal cho!6doquc.

Société pMom((<tgMC, f~~S, cité par CI. Bernard, iti<t-o(tMch'OH (: yn

médecine eTpcnmeHto~e, Pans, i86S, p. 322;.

1845. Traité complet de J'anatornie de rhomme, com-

prenant la médecine opératoire, par Bourgcry et H. Jacob,

i" Édition, publiée de 1832 à i8S4, en 120 livraisons,

avec 726 p}.M. Claude Bernard a commencé it coDaborer en 1845 il a donné un

concours passager, en préparant des pièces anatomiques qui ont été des-sinées par JMOb. Son uom ne figure pas sur los titres de la premièreédition. Il 6ta étranger à la nouvelle édition, encore bion que son

nom ait été ajoute su!' te titre.

1846. 23 ma~. Des différences que présentent tes phéno-

mènes de la digestion et de la nutrition chez les animaux

herbivores et carnivores.

Page 355: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DJ'.STtiAVAL'X M CLAUDE BERNARD. 3H

Ccmp. ~:J.. XX!t, '846, p. S34-537.

MM/~<<Mde <lei:t/t'Mi'<' Je Médecine, Xt, t84C, p. S64.

JoMrn. f~ep/KH'm., <846, M, p. 36.(-36~.

Erevan /OM?'!M<M'' praAKxcAe C/tCM~ XXXtX, t8)6, p. 44-48.

A~'M. gén. de mc~.(vo[. auppt.), )84<), p. i32-t3S.

F)-or«'p's A'o<eH, XXXVfff, i847, col. ~!)-t33.

1846. t6 MO!~e?K&)'c. Note sur la xyioidmc con.sidërce comme

substance aHmentaM't;.

En collaboration avec Barrf-swiH.

Comp. '-end., XXIII, i8t6. p. 9itt.

1846. Expériencessur la digestion stomacale et recherches

sur les innuences qui peuvent modifier les phénomènes

de cette fonction.

Arc/«t). s'<'n. ~em~. (vol. supp).), 1840, p. i-9.

Des otats différents de l'estomac, p. 3.

1846. Remarques sur quelques réactions chimiques qui

s'opèrent dans l'estomac.

A)'cM~. ~n. de HMM. (vot. suppl.) (846, p. 201-209.

()) Estomac dans l'état physiologique, p. 201.

)°Aticn du suc gastrique sur les substances métaUiquM, p. 20?.

2" Action du suc gastrique sur les atcatis vogHtaut. p. 205.

3" Action du suc gastrique sur les substances de la nature des ferments,

p. 20R.

~2) Estomac dans t'ctat morbide, p. 208.

1846-1854. Précis iconographique de médecine opératoire

et d'anatomie chirurgicale. Paris, 1846-1854, 1 vol. in-18

jésus avec 113 pt. dessinées d'après nature, gravées et

coloriées. Nouveau tirage Paris, 1873, in-18 jésus,495 pages et 113 pt.

En collaboration avec M. Ch. Muette.

tt existe de cet ouvrage des traductions anglaise, allemande,

hollandaise, italienne et espagnole.

1847. Mémoire sur le rôle de la salive dans les phénomènes

de la digestion.

Archiv. ~K. de méd., XUf, t8t7, pp. i-M.Ileller Archiv /'Mr physiologische und pathologische Chemie, tV,

<847, p. 04, t69.

JoMrn. de p/ia:-M.,Xf, f847,p. 125-127.

1847. Avril. Sur les voies d'élimination de l'urée après

t'extirpation des reins.

En couaboration avec Barreswili.

Page 356: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

~42 MBUOGHAMt)!:

Arc~tM. ~)). de Mi<'(< XtH, i847. p. 44H-46S.

!)upMcëdem)snnHaa~eponrrpfhet'ch<')')'urecdans)esang.p.4.')).Du développement <tcs produits ammuoiin'aux dans les liquides de l'intestin

aprè<ia))~phrotf)mic,p.45'

1847. 26~'Mj!M. Du mode d'action de la strychnine sur te sys-

tème nerveux.

Bulletin de la SfCt~Mp~~omf~t~Me, <847, p. 7i.

L'~t~M<, ~'oMnttt! des sociétés savantes, )847, p. 2H.

1847. 3.;M: Des conditions qui favorisent, le développe-

ment de la sensibilité récurrente et de la sensibilité sans

conscience.

Soc. pMo)K., i847,p. 79.

t'~H~t<M<,i847,p.24S.Mouvements réflexes.

1847. Expériences sur les nerfs pneumo-gastriques et spi-

naux ou accessoires de Witlis.

Comp.r<'Kd.,XX!V,i8i.7,p.746.

1847. i6~'M~/c<. Recherches sur les causes qui peuvent faire

varier l'intensité de la sensibilité récurrente.

Comp. rend., i847,XXV, p. 104, t06.

1847. Modifications apportées à la pince de Hunter.

jtf~MOtfes de <« Société de biologie, <834. Cité par Claude Hernard

dans la Notice sur les <)'<Mau': juin t8S~, p. 40.

1848. ~éune)'. Expériences sur les manifestations chimi-

ques diverses des substances introduites dans l'organisme.

Arehiv. ~K. de méd., 4° série, XVf, pp. 62-85 2<H-232.

(t) Des ('Otnbina.isuM dans lega:i~

et !M ditr~ront* t'quMes ou tiMU$ du

corps,p.!)2.

(2) Des fermentations dans )o sang, p. 79.

(3) Décompositions dans le sang, p. 2t9.

(<) Oxydation dans le sang, p. 32t.

1848. 2 /et'r<cr. Constitution physiologique de l'urine et de

la bile.

Soc. pMom., J848, p. t4.

1848. 29 aut't/. Sur les usages du suc pancréatique.

Soc. p/K'<otM., f 848, p. 34.

1848. 28 ao: De la présence du sucre dans le foie.

En collaboration avec BarreswiH.

Camp. rend., XXVII, i848, p. 249-83-St4.

Page 357: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES TRAVAUX t)E CLAUDE BER~AHD. 343

1849. Janvier. Présence du sucre dans les matières vomies

par un diabétique.

Mem. Soc. ot'o~. t849 (C. R.), p. 4.

1849.'AtHMer et février. Action toxique de l'atropine. Sur le

tournoiement.

mm. Son. Mo! i849 (C. R.), p. 7 à 9-13.

1849. 3 février. Influence de la section d&s nerfs pneumo-

gastriques sur les contractions du cœur.

Mëm. Soc. biol., <849 R.), p. t3.

1849. 3 février. Du passage incomplet des substances intro-

duites dans le sang par les voies circulatoires.

M~n. Soc. biol., 1849 (C. R.), p. <3.

1849. 3 /~M'Mr. Influence de la section des pédoncules

cérébelleux sur la composition de l'urine.

Mém. Soc. biol., )849 (C. R.), p. <4.

1849. 3 /<M?-. Sur l'indépendance de reiement moteur et

de l'élément sensitif dans les phénomènes du système

nerveux.

Mëm. Soc. biol., 1849 (C. R.), p. 15.

1849. 3 février. Sur le tournoiement qui suit la lésion des

pédoncules cérébelleux moyens.

Soc. pMom., i849, p. 2t.

L'M~t, 1849, p. 52.

1849. 7 février. Influence du système nerveux sur la pro-

duction du sucre dans l'économie animale.

L'Institut, 1849, p. 130.

Soc. philom., 1849, p. 49.

1849. 17 février. Paralysie de l'œsophage par la section des

deux nerfs pneumo-gastriques.

M~K. Soc. biol., 1849 (C. R.), p. 14.

1849. 19 février. Du suc pancréatique et de son rôle dans

les phénomènes de la digestion.

Mém. Soc. Mo! 1849, p. 99-Ha.

L'Institut, 1849, p. 65.

Page 358: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

't.BtBL!OGRAf'H)E

An?t. de c/m., XXV, p. 474-484.

~dma?! JcM?-H. prak. chem., XLVIII, ~849, p. )02-HO

Arc/tM.~n. dem< X)X, t84!). p. 60-

Froncp's JVottMM. VU, t849, cot.SH-H6.Joto-n. pAfM-m., XV, )849, p. 336-346.

Comp<. rend., XXVftf, i849, p. 249-2S3.

i) De l'extraction du sucre pancréatique et (tes conditions f)o sa sëcn-t.iof.p. tOO ().xp Au début no digMtion). (K~ Il. En pleine diMf.-tion, p. )M). (K-!p. )! Pendant J'abstinence, p. t03).

(Jtj Caj-actères physiques et chin)i<juM du suc panwatxjue p j0~tttt) Propriétés physiologiques du suc paMr<S!Hir)ue son Mtion spécialE;sur les matières grasses neutres ctmMM en dehors (le rarum~f p. 108.fi\ Acuon du suc p~~atique <a h digestion étudiée sur rMima)

vivant son rôle indispensable po. l'absorption des nMtièrM gMMe.neutres et pour ia formation <(u chyle, p. Ht.

1849. 31 Ma~. Disposit.ion des fibres musculaires dans laveine cave inférieure du cheva!.

Mém. Suc. Mo< <849 (C. R.), p. 33.

1849. 31 Ma?' Mouvements des valvules sigmoïdcs.M~m. Soc. biol., 1848 (C. R.), p. 40.

1849. Avril. Chiens rendusdiabétiques.

~m. Soc. &M/ !S4!) (C. R.), p. 60.

1849. Avril. Du sucre dans l'œuf.

EncoHaborationavecM. Barreswil.

~m. Soc. &M~ )849 (C. R.), p. M.

1849.t et ~<M:. Veines établissant une communicationentre la veine porte et la veine cave inférieure

???. Soc. biol., )849 (C. R.), p. 78-87-100.

1849. jtfat.Autopsie d'un

diabétique.J!f~). Soc. biol., i849 (C. R.), p. 80.

1849. -/MM). Actionphysiologique des venins.

(Curare).Mém. Soc. biol., <849 (C. R.), p. 90.

1849. H~M~ Propriété du suc contenu dans l'intestin.M<'m. Soc. 6to! )849 (C. R.), p. )0i-t02.

1849. Juillet. Procédé nouveau pour couper lacinquième

paire de nerfs dans le crâne.

Mfw. Soc. biol., 1849 (C. R.), p. i04.

Page 359: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES TRAVAUX DE CLArnRRRnXAR~ 3~

1849. /)o~<. De l'assimilation du sucre de canne.

Mf;m.Soc.6toi.,t849(C.K.),p.it4,it:i.

1849. AoM<. Remarques d'anatomie comparée sur le Pan-

créas.

M~nt.Soc.Mo<t849p.~7.t)9.

tn<)icationsdesgpnres<)e poissons dans lesquels on acnn'-tatë jusqu'à,présent un pancréas glandulaire, p. ))8.

1849. ~ioK<. Cas d'atrophie partielle dela moe))c epinierc

coïncidant avec une atrophie des racines antérieures cor-

respondanteset avec une paralysie. du mouvement volon-

taire dans tes membres postérieurs, observé chez un

jeune agneau.

En coftaboration avec M. Davainc.

~<'m. Soc. biol., <8t') (C. R.), p. OO-ia).

1849. De l'origine du sucre dans l'économie animale.

M~.Soc. biol., )S49, pp. 12t-t33.

Arc/iH). ~K. ~<;M~ XVIII, JS49, pp. 303-3)9.

Bibliothèque uHh'et'seHe de Genëca, Arc~tnes, X, 1849, pp. ~0-73.

Rf~s~sMMdMs~

1849. Ao<)t~~M&Anatomie d'un veau bicéphale.

En collaboration avec M. Rayer.

Jfém. Soc. &M< 1849 (C. R.), p. i2<), 145.

1849. Octobre. Expériences sur la contractilité de la rate.

M~m. Soc. biol., <849 (C. R.), p. t86-<S8.

1849. ~VouM/re. Injection d'eau dans le système vascnlaire

du chien.

jf<'M. Soc. biol., 1849 (C. M.), p. no.

1849. A~MM&)'< De l'écoulement du suc pancréatique et

de la bile.

Aff'm.MC,6M!i849.(C.R.),p.i'!L

1849. ~cem~t'e. Destruction du pancréas pendant la vie

chez le chien.

M~t. Soc. biol., <849 (C. H.), p. 204.

1850. /eurtpr. Rapport sur un mémoire de M. Hiftelsheim,

Page 360: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

~t'i BIBLIOGRAPHIE

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En collaboration avec M. Brown-Sequard.

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Comp. rettd., XXX, t85(), p. 2i0 et 2M.

1850. 3 ~'HtM. Note sur une nouvelle espace d'anastomoses

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Comp. rend., XXX, <8M, p. 694-697.

Arc~M. ~('n. de m<M., XXHt, tSSO, p. :)60.

1850. yMt//c<. Faux hermaphrodisme (androg-yne masculin,

Gurit), observa chez un chevreau.

En coitaboration avec M. Rayer.

Mdw. Soc. biol., <850 (C. R.), p. i28-<30.

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Mém. Soc. biol., )8SO (C. H.), p. 160.

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Prix de physiologie expérimentale pour t8St.

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Page 361: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES TRAVAUX DE O.AfJt'E BERfAttf). :)t-7

CoHtp<.)-e~XXXtV,~a2,p.4)6.Archiv. g<*tt. de ;~(; XXtV,p. 383.

1850. 4 ?M~<'w&rp. M. Ct. Bernard prie l'Académie de vou-

loir bien le comprendre au nombre des candidats pour ta

place vacante dans la section d'anatomieet de xootogie.

Comp. rend., XXXt, i8:i~, p 6a9.

1850. 4 H0t)cm&r< A l'occasion d'une note de M. Stas rota-

tive à la présence du sucre de raisin dans le liquide auan-

toïde de la vache, M. CI. Bernard annonce que depuis

longtemps il a fait des expériences publiques qui démon-

trent l'existence du sucre de raisin dans l'urine des fœtus

de vaches et de brebis, ainsi que dans les liquides de

l'amniosetdet'aitantuïde.

Co'Hp. rend.,XXXt, i850, p. CM.

1850. Z~MM~'e. Action du curare et de la nicotine sur le

système nerveux et sur le système. musculaire.

Mém. Soc. biot., <8SO (C. H.), p. tCS.

1850. 9 f~ccM~'e. Du rôle de l'appareil chyHfere dans l'ab-

sorption des substances atnnentaires.

Compt. rend., XXXI, i8:i0, p. 798-802.

AfeAt~. gén. de m~d., XXV, p. H8.

1851. Octobre. Sur deux cas d'altération du foie et sur un

cas de fongus de la dure-mère.

En collaboration avec M. Cbarcot.

M~m. Soc. biol., 48St (C. R.), p. i~4-t38.

()) Granuhtions graisseuses du foio, p.')~4.

(2) Anatomie (lu foie atteint <te cirrhose.

(3) Anatomie d'un fongus (te ta tture-ntère.

1851. 31 oefo~'e. Sur les causes de l'apparition du sucre dans

l'urine.

En collaboration avec M. Charcot.

~m. Soc. biol., <8S< (C. R.), p. )44-~6.

1851. Octobre. înuuence du grand sympathique surtasensi-

bilité et sur la calorificat.ion.

M<'m. Soc. biol., 1851 (C. R.), p. <63-i64.

Page 362: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

348 BtKHOGi)AP)!!E

18S2. Janvier. Variations dans tes phénomènes de la diges-tion chcx les animaux.

M~m. Soc. MoL, i852 (C. R.), p. 4.

1852. i6/c!)W<?/ necherches d'anatomia et de phyioiogie

comparée sur les glandes sativaires chez l'homme et chez

les animaux vertébrés.

Compt. rend., XXX)V, i8S2, p. 936-240.

ArcAtt). a~. de fn~d., XXVIII, p. 360.

1862. 29 MfM'A'. De l'influence du système nerveux ~rand

sympathique sur la chaleur animale.

Compt. rend., XXXtV, 1852, p. 472-4'?:

~MAm. gén. de m<'d., XXVIII, i8S2, p. 39v.

Annales des sciences n(t<[<re~M, Zoologie, i854, t. 4* sérte, p. 176-)99.

1852. 8 c< i2 avril. M. C!. Bernard prie l'Académie de vou-

loir bien le comprendre au nombre des candidats pour la

place vacante dans la section d'anatomie et de zoologie.

Comp. tw:< j832, XXXtV, p. 53< et S68.

1852. ~<MH~-e. Sur les phénomènes réflexes.

M<'M. Soc. Mof., t8a2 (C. H.), pp. <49.)S).

1852. Octobre. Expériences sur les fonctions de la partie

encephatique du grand sympathique.

HMm. Soc. Mo< i8sa (C. H.), p. iSS.

i862. A~owMtA?~. Sur les effets de la portion de la section

encephaiiquedu grand sympathique.

Mém. Soc. <)M~ <852 (C. R.), p. i66.)70.

1852. Mémoires sur les salives (1 pL)

~<'M. Soc. Mo< <852, pp. 349.386.

Po~t Att?ia<< dt c/t!m., XVt!t, i8S4, p. S4-S9.

AreA:'t). gén. de méd., XXVIII, p. 360.

Considérations sur ta structure comparée des gtartdt-s salivaires chezi'hommcet ehctiasanimou!, p. 351.

Chapitre Des ditMrentes salives. Procédés pour tes recueillir, ieure

propriété, tourcompMitionchinfiquo, p. 355.

§ Stth'o mitte ou butMto chez t'hommeettet animam. A, Mmpo-<ition physique, p. 356. B, composition chimique, p. 360.

§ i). Salive parotidienno, p. 375. A, procédés pour l'obtenir, p. 3'!6.

B, propriété physiologiques et chimiques, p. 380.

Page 363: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES TRAVAUX DE CLAUDE ftËH~AHO. ;!t!)

1853. Expériences sur )'e)iminatio!)c)ecthe de certaines

substances par les sécrétions, et en particulier paria

sécrétion sativairc.

Arc/t)t'en.d''m<'d.,),)8S3,p.tt.

1853. '7 mars. Note sur la multiplication des phénomènes

qui resuttent de la destruction de ta partie cervicale du

nerf grand sympathique.

Comp. t'enc! XXXVt, f8M, p. 4)t4!7.

18S3. Recherches sur une nouveHe fonction du foie consi-

dère comme organe producteur de matière sucrée chez

t'homme et les animaux.

Thèse soutenue le 17 mars 18~3, pour obtenir le grade de docteur

es sciences naturelles, Paris, in-4, 97 p.

/inH. $c. M<Z(M~of;t(. X!X, i8~3, p. 282,340.

A)'cAH!fft.dem<M.,t,t8:i3,p.7fi2.

Do la nature du sucre produit dans )<j foie et <fe'i profrdfs )'mp)n\f's poursa recherche et son dosage, p. )6.

Démonstration c!ip<ime)t(a)Gdo)af<u'!))Mion du sut'['('(tant le foie de

l'homme et des animaux \'ertebre<, p. 3).

CHAF. Présence du sucrt' <iatts le foie <)'' t honxuc et (tes animaux vertu-

bro~ h l'état physiologique, p. 31.

CHAf. Il. Origine du sucre qui e\Mte dans le foie de ) homMte ot des aui

mau.t,p.'4!).

()) Le sucre du t'oie no provient pas du dehors, et est mdcpond.uft dt;

)aLnaturode)'a)ime<ttf!t!t)u.p.5<).

(2) Le sucre est produit dans io i'ox'. p.<}.

(3) tt y a deux origines possibles pour ta mati~t'c sucrée chez i'hommo

et chex les animaux leur importance relative, p. 58.

CnM. IH. Productioa du sucre dans le foie, ses périodes, son )nM:U)i'.mc,

p. 64.

(1) Oscillations de la production du Mcrc eu rapport avec t'abstineuce

et la digestion, p.(it.

(2) Le sucre se forme aux dépens de~ Rtcments du sang, p. '!0.

(:t)tnuuenc<*de)'aj.;e,dusox'otc..p.'T).

CRAP. tV. Do la production du sucre dans le foie des animaux invcrtehr.'s.

p. M.

(n MoUuMues i MoUus'jues Rasteropodes pntmones. p. 83.q

'2) ac(:ph:des,)ame)tibranches.p.8G.

C:)Articuies,p.87.

Conclusion genérate et propositions, p. !U.

1853. 30 aw~. Inuuence du sucre mctauge au sang pour

l'absorption de !'oxygcne.

AfctN. Soc. biol., 1853 (C. R.), p. 40.

1853. -/MiH. Expériences instituées pour déterminer dans

Page 364: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

MO BtUHOGftA.P)t!E

qucUes conditions certaines substances, qui sont habitue!-

toment gardées par le sang, passent dans )'))rinc.

Jtft'm. Soc. &M~ 1853 (C. R.), p. ~5-Sti.

1853.M<<. Sur les ph6tton«'ncs d'absorption qui s'effec-

tuent à la surface des conduits des glandes salivaires.

~m.~oc. t':o~ )8M (C. R.), p. «Mk

1853. ~o'K. Sur la destruction des glandes au moyen d'ia-

jection de matières grasses.

JMm. Soc. biol., i8S3 (C. !<-), p. <tS-ti~.

1853. 7 et 2t ~cpw~rt'. Recherches exp('runenta!es sur le

grand sympathique et speciatcmcnt sur J'influence que la

section de ce nerf exerce sur la chaleur animale.

Mém. Soc. de Mo~ i8S3, p. 77-)07.AW!. sc. M<. ZM/tM~M, t, i8S4, p.

176 à i99.

()) Le nerf grand sympathique est-it )e seul dont la section produise de la

coJarHication, p. 8.').

~2)))e')C!-iption des p)x''n«mènas df catoriHcitt.ion q maccompagnent sectiort

de la partie rervica~o du grand sympathique, p. 9?.

t3) K(rota de la galvanisation du bout cephsHqae du nerf grand sympathiquesur les pttenom&na!) de ta c!uo)'ittc:ttMn dans la tête.

(t) Hfft'tsde iachiorofunuetion sur la calorification. p. KtO.

Des MRports qui existent e~tro la Ya~cuhriMtion et la cotanticatioo des par-tics apr&s la section du grand sympathique, p. )09.

1854. JaHft~. Observation d'un cas de phthisie aiguë avec

aheration correspondante dans les reins.

En coiiaboration avec Hobin.

~M. S"c. biol., i854 (C. R.), p. t4-<S.

1864. 30yaMpw. Influence que la portioncervicalc du grand

nerf sympathique exerce sur la température des parties

auxquelles ses n!ets se distribuent en accompagnant les

vaisseaux artériels.

Prix de physiologie expérimentale pour i8:;3.

Camp. r<Md., XXXVttt, t854. p. 194.

1864. -A'tn.Expériences relatives à la manière dont on fait

l'endosmose à travers la peau des anguiUes et des gre-

nouilles.

MA?). Soc. biol., t8ot (C. R.), p. 72.

Page 365: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES TRAVAUX DE CLAUOK BERNARD. 3~)

1854. Notes ot' M. Bernard's ieciui'es on thé B)ood withan

appendice byWa)ter F. Atlee, M. D. t'hiiadetphia, i85i.

in J2, 224 pages.

1854. 26/KtM. M. CI. Bernard est nomme membre de l'Ins-

titut (section (le médecine et de chirurgie) dans la séance

du 26 juin 1854, en remptacement de M. Roux.

Comp. rend., XXXVUt, ~54. p. U4<.

Comp. )'en< XXX)X, )8S4, p. t.

1854. Rapport, fait au nom de ta section de médecine et de

chirurgie, chargée par l'Académie de rédiger un pro-

gramme pour ]e prix du legs Bréant.

Comp.)-eHc!XXX!X, <8St,p. 994.

1865.aK!;«?7-. Sur l'action du charbon animal par rapport

aux matières organiques, et particulièrement aux matièresatbummoïdes.

Jt~m. Soc. biol., i8aa(C. H.), p. ).

1855. Janvier. Sur les phénomènes gtycogcniques du foie.

~m. Soc. biol., iSot) (C. R.), p. 2.

1855. 12 mars. Remarques sur la sécrétion du sucre dans le

foie faites à l'occasion des communications de M. Lehmann.

Comp. !'ettt< XL, 1855, p. S89.

1855. 2 <H~'t/. Note sur la présence du sucre dans le sang de

la veine porte et dans le sang des veines hépatiques.

Comp. t'end., XL, 1858, pp. ?«!.

JoMfM. dep/MtrM.,XXV)H, i8a:i, p.H9-450.

1855. 2 aM' M. CI. Bernard présente, au nom de Fauteur.

Lehmann, une note sur une substance animale glyco-

gène.

Compt rend., )SS5, XL, p. '771.

1855. 24 septembre. Sur le mécanisme de la formation du

sucre dans le foie.

CoMp. t-etto! XLI, t8S5, p. 46i.

Jout'n. de p/«t)m., XXXI, t8a7,p. 344-3S5.

Ann-sc. Hft<. Zoo~'e, VI, 1856, p. 2)2-222.

1855.22oc~o6?'c. ~L CI. Bernard présente, au nom de M. Leb-

Page 366: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

3M -) [iIBUOGHAt'tHE

mann, une note sur la recherche du sucre dans le sang de

la veine porte.

Remarques a l'occasion de cette communication.

Comp. <'eMd.,XL), i8~, p.66[ et6t!S.

1855. 12 et 19 Houp?n&re. M. CI. Bernard présente au nom de

M. Stilling deux mémoires sur la structure de la libre ner-

veuse primitive.

A l'occasion d<' ces mémoire.-} quelques remarques relatives

à la structure de la moelle attongee et la détermination

du nœud vital.

Comp. rend., XL!, t8M, pp. 828-898 et 830.

1855. 12 ~6 Mo~e~n~'p. Réponse à une question faite par le

prince Cu. Bonaparte relativement au sens de cette expres-sion nœud vitaL

Comp. rend., XL!, )8aS, p. SM et 9t8.

1855. n~ee~M~'e. L'Académie élit M. CI. Bernard comme

candidat en première ligne pour la chaire de médecine au

CoUegcde France.

Comp. rend., XL!, 185o, p. i07L

1855. Leçons de physiologie expêrimenta!e appliquée à la

médecine. Paris, 1855-1856, 2 vol. in-8, vm-1030 p. avec

100 ug.

Cours de médecine au Collège de France.

Réimprimé, en <865 et en <874, sans changement.

1856. VaMUte; Rapport sur le concours pour le prix de phy-

sio)ogie expérimentale.

Rapport sur le concours pour les prix de médecine et de

chirurgie.

Rapport de la section de médecine et de chirurgie sur

les legs Breant.

Camp. t-end., XL:), tSHa, p. ~37-7-~8.

1856. yHMt't'er. M. CL Bernard présente un opuscule d<;

M. Castorani sur la kératite.

Comp. rcn~ XHt, 18S6, p. 1C8.

1856. J~Mw. Inuuence de l'alcool et de l'éther sur les se-

crëtious du tube digestif, du pancréas, et du foie.

Jf<M. Soc. biol., i8S6 (C. H.), p. 30-32.

Page 367: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES TRAVAUX M CLAUDHBEHNAR~. 35:!

CLAUt)EBEK!<ARO.X!X. 23

1856. Cf. Bernard communique uneiettredeM.Matteuc-

ci rotative <mx conditions qui font varier les ~re-

nouijiesja durée de la contraction moscuiaire.

<;omp.rM~XLfH,t8:!6,p.23t.

1856. ~«M. Innocuité de t'hydrogene su)fure introduit dans

tes voies digestives.

.tMm. soc. biol., )8:iR (C. R.), p. )37-)38.

1856. i.'w~)' 18 septembre. Recherches expérimentales sur

)at:e<np6ratureanimate.

Co~p. )VK~ X),), 1856, p. 329-33'

XL)! 1856, p. !iH~S69.

Des mnfUfic.ttions de température que le sang éprouve en traversant

)'apparci)(!igcst)f',p.~39.

n. Des )nof)ific.tti«rtS de température que ic sang éprouve on traversant

f'apparei)rcspiratoire,p.5(!).

expériences faites pour constater la <en)pe:'atur<' du '.an,; dans les cavités

duc<fur avant etaprest'appareU respiratoire, p.)(!<.

1856. 27 oe~.<&)'e. Analyses physiologiques des propriétés

des systèmes muscutaircs et nerveux au moyen du curare.

Cowp.M)t~XLin,i8HS,p.825,829.

t.eco<MSM)'/es.'<ti&staft(;cs(o.);t'j'ues,Pa.ris,t8:i7,p.463.

1856. Mémoire sur le pancréas et sur le rôie du suc pan-

créatique dans les phénomènes digestifs particulièrement

dans la digestion des matières grasses neutres, Paris, 1856,

in-4, avec 9 pL gravées et en partie coloriées.

St<ppM!HM< NMJ' comptes rendus de l'Arad. des sciences, tonte f, t8H6,

P.379-S63.

Cliapit?' 1.C''Mp~'f

Considérations anatomiques sur le pancréas, p. 38'

§ t. Des conduits du pancréas et de leurs anastomoses.

)"Chez)'hommo,p.383.

'2<'Chex)ec))icn,p.S8'

3° Chez ie chat, p. 388.

4*Chcz)o)apia,p.389.

i)°Chcztcchevai,p.390.

6° Chez le bœuf, p. 390.

'!°Cheztemoutonot)a.chevre,p.3!M.

§!). Structure du pancréas, p. 391.

§ Ht. Des pt'opM&teit chimiques spéciales au tissu du pancréas, p. 393.

f Le tissu du pancréas aciditie rapidement les graisses neutres, p. 393.

2° Le tissu du pancréas fournit en se décomposant une matière coto-

rante particulière, p. 403.

Page 368: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

3S4 BtBUOHfUPfUE

S" Le tissu du pancréas possède la propriété de transformer i'amfdon

onsucre,p.4tt9.

C/t~t<rf7/.

Du suc pancréatique.

Procédés pour recueillir le suc pancréatique sur les animaux vh-~tts.

p. 412.

t''Sut')echieo.p.4t4.

T'Surtetttpin,p.4t8.

§ t[. Du suc pancréatique, de sa '«'cr~tion o! des modifications qu'il éprouve

pendant son extraction, p. 4)!).

[° Suc pancréatique normal, p. 427.

2" Suc pancréatique anormal ou altéré, p. 427.

§ !U. Propriétés physiques et composition chimique du suc pancréatique,

p. 430.

t" Propriétés physiques, p. 4:M.

Modification que subit le suc pancréatique quand on l'abandonne à

iui-mome après son extraction, p. 432.

2" Composition chimique du suc pancréatique, p. 4M.

Do la matière spéciale du suc paocroatique, p. 43'

§ tV. Proprictes physiotogico-ehimiquesdu suc pancréatique, p. 441.

Action du suc pancréat.ique sur les matières grasses neutres en dehort

de )'anima).

1 Le suc pancréatique émataionnc les gt-ahtes neutres; cette prophatu

lui est exclusive, p. 44t.

2° Le suc pancréatique acidifie les graisses cette propriété lui est

exclusive, p. 445.

Chapitre

Action du suc pancréatique dans la digestion de ta graisse chez l'animal

vivant.

§ t. Le suc pancréatique émulsionne les graisses et opère la formation du

ehyto, p. 45(!.

§ Il. Le suc pancréatique agit-il dans t'intestin chimiquement sur ta graisse

do la morne manière qu'en dehors de l'animal p. 46'

g U!. Perturbation qu'éprouve la digestion de la graisse par ta destruction

du pancréas chex les animaux mttmmift'ras ou par les maladies de cet

organe cheiit'ho'nme, p. 4'!0.

t'Ab!ittion du pancréas, p.4'!t.

2° Destruction du pancréas, p. 4?3.

3* Affection. du pancréas chez l'homme, p. 48t.

4° Fistules pancréatiquescitez t'humme, p. 4!)3.

§ IV. Qu'est-ce que le ctiyte ? p. 43U

Chapitre /r.

Rôle du suc pancréatique dans la digestion des substances alimentaires

autres que les matières grasses neutres. Théorie générale de l'action

du suc pancréatique.

§ Action du sucre pancréatique seul sur tes matières alimentaires fécu-

lentes, sucrées et albuminoides, p. M)2.

1 Action du suc pancréatique sur tes matières alimentaires lorsqu'il agit

de concert avec tes autres liquides intestinaux et particutiorement avec

le suc gastrique et la bile, p. 506.

§ III. Théorie générale de l'action du sucre pancréatique dans tes phéno-

mènes de la digestion, p. 5t7.i.

Page 369: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

t)ËS TiiAVAUX DE CLAUDE nERNARn. 3:i:;

C/p'7rft'.

))n pfmcrMS ft de son rôle cot)sit)'t't's daus la s~ric :mima)c.

') i.Dupanrroas et de snnr&tf chez ]"s oiseaux,p..T'i.

~f).H6)e<)upan<'r~aschez)esrepti)pset)espois<.<)tx.p.5M.

~t)!.t)tt pancréas dans les invertébrés, p.44.

ti)V.Phvs)(t)npict'omparendnp')nc)'6a'ipnif!cationdes()iffcr'*ncc<)<ip-e

volume rlu'il présente chez les animaux, p. M.

1857. Rapport sur le concours pour !c pri\ de physiotogif

cxp6rimenta)e de l'année 1856.

Comp. rend., XLIV, t8S7,p. 167.

1867. /et'rte?'. De réiiminatiot) de rhydrogcne suHuré par

!a surface pulmonaire.

/t?'c/< gén. t<<'m<!t<)X,<8S.7,p. )29-<35.

1857. ~Va?'.<. NouveHes recherches expérimentâtes sur les

phénomènes prtycogeniqoes du foie.

W<'w. soc. Mo< i8n7, p. t-7.

1857. 23 ma~ Sur le mécanisme physiologique de la for-

mation du stlcre dans le foie (suite', voir n. 2.4. septembre

t8SS.

Camp. rend., XL!V, i8:i7, p. U78-o8(!, f32:t33t.

1857. Leçons sur les effets des substances toxiques et mé-

dicamenteuses. Paris, t857, t vol. in-8, p. viu-488 avec

32 fig.

Cours de médecine du Collège de France.

Réimprimé en 1867, sans changement.

1857. ~a:. Nouvelles expériences sur le nerf facial.

M~tn. soc. biol., i847 (C. R.), p. M-60.

1857. 29 ~ti:M. A i'occasion d'une communication de

M. Sanson sur la formation du sucre dans l'econoiiiie, ani-

male, M. Ci. Bernard fait connaître de nouveaux faits

relatifs à la formation de la matière g)ycopène du foie.

Comp.n'tKt., XLIV, t857, p. i32S-t33).

1857. Juillet. De l'influence qu'exercent différents nerfs sur

la sécrétion de la salive.

M<'m.MC.6M.,t857((:.R.),p.8S-86.

Page 370: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

3S<i 8!BL!OGt<AP)nE

185*?. Note sur les quantités variantes d'efccfricitc nëcossafrc

pourexciter les propriétés des différents tissu-.

~Mf.Mo<f8S7,p.ti3-<!H.

1857. DeUe ossidazioni net sangue.

PoKt A)m. di chimia, XXV, i857, p. t09-HS.

1858. 25~aKi!Mr. Sur les variations de couleurs dans le sang

veineux des organes g)andutaires, suivant leur état de

fonction ou de repos.

Comp. rend., XLVI, 1858, p. <89-i65.

Journ. de <o postât., <8S6. p. 233-2~.

if<'m. soc. biol., f8SS, (C. R.). p. i-a.

Journ. de. p/tarm., XXXtU. 1858, p. 306-309.

jRetcheWArc~,<8S9,p. 673-676.

1858. ~fM't~ Sur une expérience relative à l'influence que

les nerfs exercent sur les glandes et particulièrement aux

phénomènesde circulation pendant la sécrétion gtandu-

laire.

M<'m. soc. biol., <8H8, (C. R.), p. 29-30.

1858. Leçons sur la physiologie et la pathologie du système

nerveux. Paris, i8N8, 2 vol. in-8, p. vm-i080 avec 80 Cg.

Cours de médecine du Collège de France.

Réimprimé en 1867 et en <875 sans changement.

1858. 9 aoM<. De l'influence de deux ordres de nerfs qui dé-

terminent les variations de couleurs du sang veineux dans

les organes glandulaires.

Comp. rend., XLVII, <838, p. 245-293.

Journ. de iu physioi., i, 4858, p. ti~.8-ci58.Joun). <f<tp~t< t, i8S8, p. 648-658.

Jouf. pA~m., XXXtY, )8S8, p. 227-232.

Reichert Archiv, 1889, p. 9~97.

American journal of Dental sciences, IX, t859, p. 280-287.

1858. 6 ~p~m~'e. Dotermination, au moyen de J'oxyde do

carbone, des quantités d'oxygène que contient le sang

veineux des organes glandulaires à l'état de fonction et à

l'état de repos.

Camp. rend., XLVII, i8S8, p. 393-400.

Journ. dep~Sto! t, t8f'8. p. 688-66S.

Jount. de pA<M'm., XXXIV, i8S8, p. 30&-3f4.

J{e<cAf'~A?-<J8S!),p.4i2-4i8.

Leçons sur les liquides de l'urganisme, Paris, t8S9, tome H, p. 431.

Page 371: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES TnAVAUX DE CLAUDE-: BEH~ARD. :7

1858. 8 f/cM'MO/v. Physiologie et pathologie, leçon ({'ouver-

ture.

P)!!OM médicale, t859, nouv. série, tome t, p. SU.

Leçons de pathologie Mp~Mfn~e, 2'' édit., i880, p. 32!.

1858. Observations sur la question des générations spon-

tanées.

A?tK. se. H<:<. (ZooL.). iX, 1858, p. 360-366.

1859. 3j'aMfM< Remarques concernant la question des gé-

nérations spontanées, présentées à l'occasion d'une com-

munication de M. Milne-Edwards.

Comp. fMt~ XLV! I8S9, p. 33-34.

1859. 10 ~aMt): Sur une nouvelle fonction du placenta.

Atin. M. ?M<. (ZOOL.), X, 1838, p. tH-<36,pl. 6, 7, 8.

C~Kp.refta! XLVIII, 1859, p. 77-86.

Journ. de la physiol., !I, )8a9, p. 3i-H, pl. ![t.

Jfém. soc. Mo! 1859, (C. R.),p. t0~-t07.

Tissus limitants. Surfaces cutanées et muqueuses. Épithéliums. Surface

cutanée, p. 123. Surface de la muqueuse intestinale, p. 127. Voies

respiratoires, p. 128. Mcmbraue muqueuse des voies gcnito-uri-

naires, p. 128.

Tissus intérieurs. Systèmes osseux, nerveux, musculaire, g)anduhure,

p. t2!).

1859. ~aKUter. Sur l'action des nerfs, sur la circulation et la

sécrétion des glandes.

M<'M. soc. 6: i8S9, (C. R.), p. 49-

1859. Leçons sur les propriétés physiologiques et les alté-

rations pathologiques des liquides de l'organisme, Paris,

I8S9, 2 vol. in-8, p. xv)-1004avec i8tig.

Cours de médecine du Collège de France.

Réimprimé en 1874 sans changement.

1859. Leçons sur la matière glycogène du foie.

Union médicale, 1859, n. 26, 35, 38, M, 56.

1859. 26~aMfter et 6 /ewM~. La circulation générale et les

circulations locales, influence vaso-motrice du nerf grand

sympathique. Leçon recueillie par A. Tripier.

Clinique européenne, 4 février et 3 septembre 1859.

Leçons de)M</to<o<eM'p~'tmen<«/e, 2° édition, 1880, p. 3tH.

Page 372: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

358 Ht8L!OMAPntR

1859 7'*fM't(' Sur la cause de la mort chei! les animaux

soumis a une hante tempf'raiun'.

M<'M.soc.&oL,)8:.9,C.R.i,p.Si-33.

1859. Le diabète, leçon recueillie par A. Tripier.

Clinique eMrppt'MM, f3 mars i8M.

Leçons de p«~to~6f!e t'a;p(~i'meM(<~(;<= volume, <880, p. 328.

1859. Rapport sur le concours pour le prix de physioJo~ie

exporimentaic, année )838.

Comp ?'<-Hd.,XLVJH, i8a9,p. 500,

1859. 4 aM':7. De la mati6rc gtycogenc considerëe comuic

condition de devetoppement (te certains tissus chex le

fœtus avant l'apparition de la fonction gtycogëniquo du

foie.

Cjmp. rMd., t8S9. XLVtH, p. 6?3-684.

Journal de la physiol., H, f8n8, p. 326-337.

1859. La fièvre, leçon recueillie par A. Tripier.

Clinique européenne, !) avril i8S9.

Leçons dep«</t0<&f/t'e e.cpt'tmenta~, T édition, )880, p. 340.

1859. 2Mt< Remarques:') {'occasion d'une communication

de M. Schifï K De la nature des granutations qui remplis-sent les c(')iu)eshcpathiqucs amidon animal o.

Comp. )-en<)!X):.V)H, i8M, p. 88t-886.

1859. ~t. De la matière giycogene chez les animaux dé-

pourvus de foie.

afcm. soc. &M< 1869, (C. R.), p. S3-S5.

1859.24~M<H. Proprietëa

seusitives dugrand sympathique

et mouvements rénexes qui se produisent sous son action.

Leçon recueillie par A. Tripier.

CH~t'/xe eut'op<!<;tMe, <6 juillet t~M9.

Leçons de pa(/to<0f?t< ea;p~'tmcM<<~(!, 2" édition, i880, p. 3St.

1859. lt~Mt~e<. De la présence du sucre dans te sang de ta

veine-porte et dans celui des veines sus-hépatiques Expé-riences de M. G. Schmidt analysées par M. Bernard qui, à

cette occasion, présente deux ouvrages danslesquels il a

expose les principaux résultats de ses recherches sur co

sujet.

Comp. rend., XUX, 1839, p. C3-64.

Page 373: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES TttAVAUX DE CLAUDE BEH?<AR))..?5<!

1859. 29 aoM~. Sur l'emploi du curare dans le traitement duu

tétanos réponse à des remarques de M. Velpeausur te

fait rapporté par M. Vella.

Comp rend., XUX, J8S9, p. 333-334.

1859. 21 not'c~&re. Remarques à l'occasion d'une communi-

cation de M. Il. Hintrac sur un cas de tétanos traumatique e

traité sans par le curare.

Cowp. M~ XHX, <8S9,p. 823-824.

1859. Recherches sur l'origine de la glycogenie dans la vie

embryonnaire.

~M. ~-oc. &M., i8S9, (C. R.), p. !02-i07.

1859-60. Lectures on expérimental pathology Lectures

on spinal Cord.

Medica! Times ..Md Gazette, 1860-6), in-4°, 35 Tf".

Leçons de pathologie ea*pe?'tm<;ntfde et Leçons sur les propriétés de la

moelle ëpMtt~'e, i vot. in-8", 2° édition, 1880.

1859-60. Operative physiotogy.

Medical Ttmes <tnd Gazette, i8ti0, )i.janv. tome n" 498, à 20 oct.

t8fi0, t. H, n° 338, passim, 15 numéros.

Leçons de p/~oo~o~te opératoire, Paris, t879, < vo!. in-8, avec Sg.

1860. Rapport sur le concours pour le prix de physiologie

expërimcntate et pour les prix de médecine et de chi-

rurgie.

Comp. rend., L, t860,p. 220-226.

1860. -Va;'s. Sur le rôle des nerfs des glandes.

M~t.Mc. biol., 1860, (C. R.), p. 23-M.

1862. 3 aoKt. Coup d'œil sur la science ethnographique.

Discours prononcéà l'ouverture de la séance générale de

la Société d'Ethnographie, le 3 août 1862.

mmot'res de la société d'Ethnographie, ~862, Ire série, t. Vtt, p. 283

à 287.

1862. 4-18-25 aoMf. Recherches expérimentales sur les nerfs

vasculaires et caloriuques du grand sympathique.

Journal de la physiol., V, <862, p. 383-418.

Comp. rend., LV, i862, p. 228-~36.

305-312.

34t-350.

Page 374: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

MO mBHOGXAP~E

Pt'cMt'ptepttWtf.

De la dist.inc.uon des nerfs moteurs yaacutaire!; et calorifiques d'avec les

uerfsmotcurs ordinaires ou musculaires, p. ;!S8.

())Dfs nerfs vascu)ait-pst'tca)~nt)(juc'i du membrf postérieur, p. N88.

(2)Dosnf'rfsv<tscu)air('sdun)Cfnbresupericur,p.3m.

f~tf~'<~Wf*p<H'<!C.

RMho-chps pxpcrimfntajes sur les ganglions du grand sympathique, p. <(?

(gang)i()n')us-maxi))Mrc'

r''OMifM<«,<)'<

Des phcnom~nps o<*u)o-pupt))aircs produits par la sccticn du nerf sympa-thique cervica); ils sont indépendants des phénomènes \a'c~)airc3 cato

riHfjuesde!at6te,p.4)0.

1862. i'septembre. ues phénomènes ocnto-puptUaircs pro-

duits par la section du nerf sympathique cervical )<'ur

indépendance des phénomènes vascutaires caloriques de

iatôte.

Camp. rend., LV, i8)j2, p. 38~-388.

1862. Rapport sur le concours pour le prix Aihumbcrtdt'

1862 (questions des ~cnerations spontanées~.

Comp. t'ett<< LV, ~8û2, p. S69.

1862. Rapport sur le concours pour le prix de physiologie

expérimentale de 1862.

Comp.t-t?)'td'LV,)862,p.MO.

1864. i5 avril. La médecine expérimentale. Leçon d'ouver-

ture.

6<tM«e M~<<Ma~ de P<M')S, n" t7, 22 avril t864..

Leçons de pathologie f;Bp<'nMC)t<a~, 1880, 2* édition, p. 396.

1864. Facmte des sciences, physiologie générale. Cours

année 1864.

Net'Me des cours !!CM!t<t~gue.< vol. t, i863-f}4, vol. H, t8f!i-(:S.

Ces leçons sont en grande partie la reproduction des Leçons s)t;' le

système Hetnett.'c faisant partie du cours du Collège de t-'rance

Paris, f8S8.

(t). Leçon d'ouverture. Des organismes. De l'anatomie générale et de son

histoire, p. 229.Do l'organisation, p. 230.

ftn. Dos milieux physiologiques, p. 274. Air, p. 2~5. t-;au, p. 275.

Aliments, p. 2'!(;. TempéMture, p. 2fC. Lumière, électricité, p. '!77

~i. De l'irritabilité, p. 30~.

~V). p. 353.

(V). Classification des phénomènes de la vie, p. 385.

Page 375: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES THAVAUX [!E CLAUDE nERNARf). 36)

t.Vt). Des mouvements chez tes êtres vivants.–Mouvement fitiaire.–

Mouvement sarrodifjue, p. 470-4 !)t.

i'u mouvement muscutairn.p.2!).

\)tt'i.t)e)a contraction muscutaire et. des irritants qui ta déterminent.–

Ritiftricitt'muscutairn,p.ji)(!.

(iX.Hespirationumscutaire. -Sucmuscu)aire.–)tii:idit''cadavcrifj!)'

p.(i:it. 1.

~X'.))unprfmotcuret(tesonaction,p.(!48.

tXii. Irritants du nerf moteur.–Ë!ectricitc nerveuse.p.fi8d.

~X))!.Dune)'t'SHn.sitifetdo)amoeHcepinierc.p.2!.

<Xn~. irritants et propriétés du nerf sensitifetdcia mneUcepinierp.–

K'.pt'riences récentes étabiissant qu'un ganglion du pran(! sympathiquepout jouor le rôle de centre dans une action rcOexe. p. 74U.

(XtV;.t.)esmouvementsrencxes,p.i()-28.

(XV).Theonfjd('s sëcretinns fondée sur l'influence des mouvements rcnexps

para)ysaf)ts,p.36.

~VI~. Consid<;ratio!fSgcncra)<'s touchant t'innuencR des d.'nx systomes ner-

veux sur les phonomènes chimiques ()c t'orcanisation, p. :j8.

1864. 25 ~<:H. Du rôle des actions rt'Ocxcs paralysantesdans le phénomène des sécrétions.

Jouni. (tnnt., de Robin, t8'!4, p. 507-3)3.

1864. 29 No~<. Recherches expérimentâtes sur t'opinm et

ses atcatoïdes.

Camp. Rend., i864, p. 406-4tH.

Jou)-ft.p/ta)'m.,XLVm.p.2H-2a2.

Arc/tt'). ~('n. de ?«'(< IV, p. 455-4M.

Mt'm.M'6fo~i86S,(C.H.),p.iOO-fOt.

()). Proprictës soporifiques des alcaloïdes de l'opium, p. 40'

(ft). toxiques ,p.'4H.!!U). Conclusions et réflexions, p. 413.

1864. i"'sep<eM6?-f. Etudes physiologiques sur que)qucs

poisons américains. Le curare.

Revue des DeMa; Mondes, <864. t" septembre, p. 185-190.

La science e.Bp('rwtM<ft~, p. 237-31S, )2 (ig.

1865. Cottège de France. Cours, année 1864-~5.

Revue des cot;fs sc~n<MM, vol. U, 1864-65.

La <" la 2~ et la 3' leçon sont reproduites d~ns les Z,M' de p<t-

thologie expérimentale, 2~ édition, Paris, i8~0. p. 4!8, 434, 4H;.

Les autres leçons sont en grande partie la reproduction des Leçons

sur~ssu<)i!<(tnM<!(o.MM etm~t'Mme't'~uses, Paris, 857, faisant

partie du cours du Coitège de France.

~). Discours d'ouverture. La médecine expérimentale et la médecine d'ob-

servation, p. 71.

(U). Du milieu intérieur comme champ d'action de la médecine Mnérimen-

taie.p.)09.

Page 376: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

:)M [!tBL)OGitAP)nh; g

UiLDe ta méthode d'investigation dans tes rocherche'< de médecine t'xpo-

rimcntatf. )'.<?.

.t\Y~.Le curarc.de son absorption etde ('absorption t'n~f'néra),p. t?).

~\)-t~.L'absorption en gen<'ra) et )'absorpti«n cutanée.p. f!6.

,\jn-L\).))cr!tbsorptionintestJna)f, Ct eu particulier de t'absorption du

curare paries voies digestives,p.]3~

.X-Xt-XU'.De )'absorption; pourquoi h'rnrareu'est-i) pas toxique dan;! to

canaiintestinat'p.ni).

XU) XtV-XV). Mécanisme de ta mort par le curare. p. 3)S-39.

iX\)-XV!t-X\'n~. Actions du curare sur les diM'ercnt'. nerfs moteurs.

Le diabète considère comme hypersécrétion. p. !!<

tXtX XX~. Des variations de force' du curare; de son origine et de ses

propriétés toxiques, p. ~i.

.XXt-XXHt. Do tacurarine et dct'arcoutumftnfo au curare, p. 3<M.

tXX)tt'i. Critique Mperimentate des tMYaut retutih au curare, p. ~9.

.XXtV'. .('~utparaison du curare et de la strychnine,

p. M).

~XXV). Action du curare sur )e ~rand sympathique, p. ~0'i, 53).

:XX\ Le nerf moteur emprisonne parie curare perd ses propriétés du

centre&):!Lpt';hphori<K!tpëriencesincditcs,p.4S.'<.

(XXV)!i. Kuractio" de la <-urarine, p. M!

(XXVt[)~. De la curarine. p. 44!).

~XXtX-XXX). Do t'antagonismc du curare et de ta <ttrychniu(\ p. 'i<M.

(XXXJ-XXX)f-XXXtt!). Le curare considcrt) comme moyen d'inYOstigat.MX

physiotogique. p. 486, 502, 5H. !):

(XXXtV). Action du curaro sur )e grand sympathique. Distinction de ta

mort naturcUo et de la mort parie curare, p.53).

(XXXV\ Action du curare sur iM nerfs ~'asu-moteurs. Explication det

phénomènes de )an6vrc, p.!)M.

..XXXV)). Y a-t-it dct nct-fs trophiques? Théorie des sécrétions, p. <)25.

~XXV~~). Quetto est l'action intime du curare? Le nerf moteur est-il

mort quand i) est sous t'inOuence de ce poison ? p. M4.

<XXX\'J))~. Circonstances fayorabtM ou contraire!! a faction du curaro ot

d'autres substances toniques, p. 638.

(Conc)usions goncratex du Cours).

1866. De ia diversHë des animaux scuniis à j'exp~rimen~-

tion de la variabiUtë des conditions organiques dans les-

quelles ils s'otTrcn~ a t'expérimen~teur.

JoM~t. a)«K., de Robin, n, i86S, p. 497-SO<}.

1865. Faculté des sciences de Paris. Cours de Physiotogiû

générale, année 1865.

/!e))ue des cours s<'Mn<t~</Mes, tome II, 864-65, tome tH, i86S-66.

Ces leçons sont en grande partie la reproduction des Leçons ~w les

Hgutdcs de t'M'j;«ttMM< faisant partie du cours du Collège de

France. Paris, )8M.

SK)' /M <)')'</M de <'o)'ya7!MMe e< en par<tCM/ter MM' sang.

Leçons d'ouverture.

Des miUeujt chez )os êtres vivants, p. Mt.

Page 377: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

))HSTttAVAUXD!;Ct.AU[)Ht!mt~AMD. 3't

(C.iassincationde-ifonftion'i de iavie. d'après iiirh;m. p.M2.

~Ctassitication des pr"pri!'tt's citâtes (tes tissus. dapresBichat., p. 3~

(:ar.iC!pre!!Renerauxetc).tSsi<i<'atinndes)i<))!Jdesdet'organistne,p.80').

Les liquides nourriciers. ).c sang, p. 83).

Températureetcoa~u)a))ititedusang,p.8i?.

Le p~m<t du .)H;/ et les </<otM/M )'OM'/e<.

(A).(j0n)positiondupias)nadusang.p.4.

ffi).t'artiescnsuspensiondanstep)asmadusanK.p.t.–Fibrine, p.

Atbumine, p. (!. Sucre dans le sa;)! p. Matières grasses danste sant;, p. 8. t.'D'e dans te sane, p. Globules routes, production

<itdestruc<ion,p.)0-t).–Oobutes rouges, leurs fonctions respira-

toiros.p.)'

L<' s~ttg. Les gtobutes biancs et te~ iniu~oires ht'matozoair<'s, p. )8.

Circutation,?. 1

Circuiation artérielle, p. 2:3. Prcssif'n du sang dans les artf'res, p. Ï't.

Circulation capillaire, p. 2~. ('.trcutation veineuse, p. 2' Cirru

)atinn()ota)yntphe,p.

Les sécrétions. Oassiftcation des sefrotions, p. 42. Sécrétions digos

tivos, p. 4.3. Sc''rMt.ion'< sativaires. p. 44. Sécrétions du suc ~astri

que, p. 45. Excrétion biliaire, p. !i –Secrctions pancréatiques, p. 4S

Phénomènes chimiques de la digestion, p. 4!). Sécrétions intesti

nales, p. 50. Les excrétions, p.)L Sécrétions rotatives a )a vie de

t'espace, p. 5!Sécrétion du lait, p. M. Sécrétions internes, p. G4

Sécrétions glycogéniques du foie, p. 55.

1865. 1er mars. Étude sur la physiologie du cœur. Les fonc-

tions du cœur et ses rapports avec le cerveau.

Conférence faite aux soirées scientifiques de la Sorhonne.

Revue des Deux Mondes, t" niars i865, p. 236-2:)2.

/<MMe des cours scientifiques, vol. lI, tS64-6S, p. 3t4.

La science expérimentale, 2" édition, Paris, <8'?8, p. 3)6-3ë6, !ig.

1865. 26 ~MM:. Notes sur les effets physiologiques de la

curarine.

Comp. !'e;td., LX, 1863. p. 1327-1329.

Journal de p/tarm., i86S, p. <!i3.

1865. 1" aoM<. Du progrès dans les sciences physio!ogiqu''s.

Revue des Deux Afo'tdM. i865 (août), p. u40-(!C3.

Lasn'eHeeea;p<'rtmeH<(~e, p. 38-98.

1865. Introduction à l'étude de la médecine expérimentale,

Paris, 1865, 1 vol. in-8, 400 p.

Cours de médecine duCoHège

de France.

Réimprime en 1871 sans changement.

1865. 2i <MM<. Note accompagnant la présentation de ses

Zc~Ms faites au Co~c~c ~'aHce, 7 vo). in-8, et de son

/nh'o~u<;<(OH a /'<'<«</<? de la me~c!Hec~e?'me;!<a/e.

Page 378: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

36t )<[BL[OGHAP)UE

C'OMp. ~:A, LXt, i86:i,p.32i.

1866. DeHo stato dell' Aibumina nel sangue.

Ant!~ de Polli, Xt.Ht, p. 36t-3(!

1866. Leçons sur !fs propriRtfs des tissus vivants, recueiHies,

rédigées et pubtiecs par M. Émi)e A)g)ave. Paris, !86&,

in-8, 492 p. avec 94 figures.

Cours de physiologie génerato de ta Faculté des sciences.

Ce volume n'est que la réimpression de leçons publiées dans la

R<;ntM des cour.! scientifiques, qui reproduisent en partie les icçons

publiées dans les volumes du cours de médecine du Collège de

France.

1867. Rapportsur les progrès et la marche de la physio-

tog'ie gencrate en France, Imprimerie impériale. Paris,

1867, i vol. grand in-8", 237 p.

Fait partie du Ref:Mt{ (les r"ppo)'ts SK)' les progrès des lettres et

srMHCM en France. Réimprimé sans changement sous !e

titre de f)e!<(phy!M~«' t;<!n~'o<e. Paris, i872, 1 vol. tn-s.

fnnuoncc française StM-ja physiologie mMieroc, p. 1.

fr<'n<if'rc p<:r<tf.

DecouvQrtcs et progrès principaux fis la physiologie générale en France

depuis vingt-cinq ans.

J'. Ph6nom6MS de sensatio) et de bconiot.ion. Systoncs et ~tcmcnts

nerveux et muscutatres. p. 9.

(tn.t'htnomènes do circulation et de respiration. Système Ya9Ci))aire.

Éléments sanguins et tymphatiques, etc., p. 40.

(H! Phénomènes d'absorption, do sëcretien et d'excrétion.

Système cutané, muqueux, eëroux. Éléments 6pith6)iau)i, glandu-

taires, etc., p. C8.

(tV). Phénomènes da nutrition, de génoration et d'évolution.

Etemeuts de cahute, ovu)o. genne, etc.. p. U).

<V). Phénomènes d'organisation et de connexions organiques.

Systèmes cellulaire, nbronit, cartitanincMx. osseux, etc. Etemcnts

cellulaire, connectif, plasmatique, otc., p. t)5.

R<M:<'mC ~)<<«'.

Marche de la physiologie goncrajo son but, ses moyens (te dëveloppomcnt

en Francf. Conclusion, p. tS).

Notes et documents & consulter.

Conspoctus de la science physiologique dans son ensemble, p. t5t, 23'

1867. L'observation et l'expérimentationen physiologie.

Réponse à M. Coste.

Comp. rend-, LXVI, )868, p. i284.

Reu«e des cot'rs scientifiques, vol. V, 1867-68, p. MO.

1867. 15 octobre. Le problème de la physiologie générale.

Page 379: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

~Ct'Me<fcs DcM.r~OM~ ~7 ft8 septembre), p. ~t8')'2.

LM.«'<Mc<'('.rpt'r!'meM(a~p.')9-i48.

1867. Sulli ~)"bultdet sangue. (Trans).)

Ann~t de Polli, XLV, )8<i7, p. <6<). i(i6.

1868. ~7ai. Académie des sciences. Les prix (te ph\'sio~)~ie.

tC). Bernard, rapporteur.)

Comp.~nc<M.,LXVt,<8t)8.

Reouc descours .!C<cKM~Mes, vol. V, <867-6~.

L'mnen'aUon du cœut- fKitpericnces 'to MM. E. et M. Cyon, p. 938).

Cenemt.ionct dissémination des beimittthM (Hecherrhes de M. Baillet,

u. 945).

!t 'i"g!t)'[) (Hc''her!;hes de M. Moura, p. i)4~i.

1868. Happort sur un inentoire de M. K. Cyon intitu)~

De l'action réllexe d'un des nerfs sensibles du cœur sur

les nerfs uDtcurs des vaisseaux sting'nns.

jM<nt. ttM< V, <868, p. :i37-3M.

1868.M:M.K~ef. Récentes expériences sur la vaccine.

JoMr)t. des S~M! i868, p. 362, 373, 4t8, 429.

niMussio!t'<nt'taYacc.ine& l'Académie de médecine (BM/<~<<M<'<f

M~t883-04., XXVUt-XXtX).–Conférence historique sur Jcnner. par

)eD'<~)rain,)8C&Vaccine etYariote.parA.Chauvcau. A. Viennois,

P. Moynot, t8C5. Mémoire sur la vaccine, dite priniitive, par Chau-

veau. Production experimentate de la vaccine naturctk!, impropre-

ment appelée vaccin spontané, par A. Chauveau (Compt. HcM~ 21 mai

1866~. Moyan de faire naitro par inocutation t'exanthemc vaccinai

généralisé, dit vaccin primitif, par A. Chauveau (Com~. «Mtf.,

~juintSO?).

1869. CoUege de France, médecine experimentaie. Cours,

année 1869.

Reu. des Cours sct'enh'M<'s, VI, 1869.

Les Leçons l, n, !)t et I'V ont été reproduites dans les Leçons de

palhologie expérimentale, Paris, i880, 2° édition, p. 454, 477, S05,

829.

Les autres leçons ont été reproduites et développées dans les Le-

ons sur les anes(/t~:f/Mes et l'asphyxie, Paris, i87a, in-8" (Cours

du CoUège de France).

()). La médecine d'observation et la médecine expérimentale, p. 99.

(H). L'expérimentation dans les sciences do la vie, p. 135.

(Ht;. L'empirisme et le rationalisme dans l'expérimentation physiologique,

p.t5&.

La critique expérimentale, p. !&

Magendie la sensibilité récurrente, p. L'<8.

(IV). Histoire de l'expérimentation physiologique, p. t94.

DHSTHAVAUX DRCLAU[))-;r!EH~AttR. :!t):.

Page 380: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

366 NBUOGXAPHtE

Los)nboratoires))hys.io)')gi<iues,p.t9'Vivisection: l'art d'expërimcntct'sur tes êtres vivants, ;).t')8.

Histoire des agents anesthésiques, p. '}<!0.

(V). Les agents anesthésiques considérés eomntt; moyens contentifs physio-

to~iques.p.MO.

j\'t;. Les agents anosthcsiques n'agissent que dan* te sang, p. 995.

AnesthéMe par te froid et la ch.'deur, p. X9<! et 348.

L'anesthésie est-elle une asphyxie? p. 2!)'

(\ftt. Théorie physiologique de t'anesthMie par le chtoroformo et t'ethor.

p.0.

L'actiondes anesthésiques porte e~ctativcmcnt sur les centres nerveux,

p. 310. 332. Elle s'accompagne d'une aneniio du cerveau, p. 9t3.

!V[t)).Thcorie physiologique de t'anesthasio, suite. Anémia ct'rebraie,

p. 3'M. L'action aneathésique (toscend par influence du cerveau dans

la mo<;))<' <'ph)i6re, n)!m cUe ne remonte pas en sens inverse, p. :).

L'anesthMie hisse subsister les proprictcs dos nerfs moteurs. C.om-

paraison entre i'Mcsthtsio et la mort naturelle du nerf sensitif ce narf

doit toujours être atteint par son extrémité centrale, et la porte de ses

propriétés commence toujours son extrémité périphérique, p. 335.

(IX). Anesthésie loc,ale, p. ;H6.

L'anesthésie se propage par influence à la moelle épiniore.

Anesthésie des grenomUe~ par i eau chaude, p. 348.

(~j. Hosume do la théorie physiologique de l'anesthésie, p. 381.

Actions du chtorofurmo sur )eaMcratio))!i et la respiration,

Mécanisme do la mort par le chloroforme moyen do la combattre,

P. 381.

AnestMsic locale, par i'éteethcite et le bromure de potassium, p. 384.

;\t). L'opium ot M': principaux a)ra)o!do8, p. K92.

(X.))). Les effets physiologiquesde la morphine, p. 446.

tX)H). Combinaison des effets de la morphina avec ceM du chloroforme,

p. 504,50'Action physiologique de la morphine.

(XtV;. Double action de la morphine, p. 504.

Action physiologique de la thebatue et des autres atcatoideado t'opium.

p. M!).

Ënerg") t'quo relative de roptum et do la morphine, p. M!).

(XV). Effets physiotogiques de la morphine; mécanisme de son action.

Effets sur la digestion influence sur les ganglions sympathiques et

sur les nerfs sensitifs, p. 54t.

Toicrance & la morphiue, p. 544.

(XVI-XVII). Le curare considéré comme moyen eontontif physiologique,

p.5'!3,50t.66i).

(XV)!X!X). Histoire physiologique du curare, p. 6C'), 6~).

(XX). Effets du curare sur les fonctions do l'organisme, p. C98.

1869. 27 mai. Académie française. Discours de réception de

M. Claude Bernard.

Édition in-4, imprimerie Di.dot et C~.

ËdHion in-8, Didier et C'

Rev. des C<K<r.< M<~< VI, t869, p. M2.

La science ea'pm'tm<n<a<e, 2' édition, 1878, in-12, p. 404-4t0.

Page 381: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES TRAVAUX DE CLAUDE BEH~ARO. JC7

Utoge de Flourens. Les fonctions des centres neryeui.

1869. 14 aoM~. Les sciences et l'institut. Discours de M. CL

Bernard à la séance pub'iq'tc a'tn"Uc des cinq Académies.

R~. dMcoMt-SMt'CM~y.. Yt, )869,p. S')3.

La science e.KpCMM?n<<t~, 2'' édition, Paris, i8~8, p. 4H.

1870. Collège de France. Cours de médecine, ann~e i870.

HeoMedes cou)- scientifiques, vol. VU, !8M-70.

La <" leçon a été reproduite dans les Leçons de pathologie e.cp~t-

MMta~c, 2° édition, Paris, )88(), p. a(i0.

Les autres ont été publiées avec de nouveaux développements dims

les Leçons s'M' les ftnes~t~st~Kes et ~'(tsp/tt/x'te. Cours de médecine

du Collège de France. Paris, i8'7S.

(1\. L'évolution de la médecine scientifique et son état. actuel, p. 242.

fn). Aperçu historique sur le sang et ses prophctus genëMies. p. 242.

([H,. p. 3H.~\). p. ~t6.

(V). p. :j)g.

(Vt). L'asphyxie par te charbon, p. 332.

iVU). p. :)34.

(Vtt) XXV). L'asphyxie par la vapeur de charbon, p. 350, 358. 3'!9, 38).

383, :)98, 3!)9, 42.'), W, 472, M4.

L'oxyde de carbone dans le sang anatysc spectroscopique du sang, p. -i~2.

Élimination de t utyde do carbone, p. 4'i5-<()4.

Mécanisme physiotogiquc de t'asphyxie, p. M.').

Actions sur les nerfs, les membres et tes landes, p. 507.

Traitement contro t'empoisonnement par t'oxyde <to carbone, p. 5U8.

Anatyse des gaz du sang au moyen de t'oxyde de carbone. Se forme-t-il

de l'eau dans i'or~nti.me, p. 509.

1870. La méthode et les principes de la physiologie.

Heuue sctenM~fjfMe, 1.1, 187), p. 38S.

Résumé par M. Lemaistro du Cours fait au Muséum d'histoire naturettcen 1870.

1870. Sur l'asphyxie par le charbon.

JoM-n. p/MM-m., XH, t870, p. <2S-J33.

1871. Action de l'oxyde de carbone sur tes globules du sang.

JoMrD. p/tarm., XHL <87t, p. 23~-266.

1871. Médecine expérimentale. Cours au Collège de France.

Influence de la chaleur sur les animaux. Leçons à VI.

Rev. M!fntt/ J. p. ~33 <82-i88.Ces leçons sont reproduites dans les Leçons stf;' la c/Kt~u; Cours

du Collège de France. Paris, i8'!6.

Page 382: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

:i<M B)BL)OG[tAP!UË

1871. Lxpt'sc des t'.nts et des principes de la ph.ysioto~if!

moderne.

.H<'M'e c~tftogt'ftp~t~Me (MemoH'M <.f<*~t Soct't* d'<HOSft'«p/t<e, L

t~ vol. de ta 2'scr.). Paris, Amyot, )8'7),p. 2M à 3H8.

1871. Leçons de pathoto~iecxp6mnenta)c. Paris, 187!,

in-8.

Leçons de pathotogie cxpt'rimentate et tenons sur tes p~<-

pri(''t6s de la tnoctte ëpinierc, édition, Paris, 1880, in-8,

x-);(~p.

Cours de médecine du Coltego de France.

Ce volume contient le coursnrofcssé pM Ct&ude Bernard au

Cottèg" de France en i8S9-t860; it avfut été recueiUi par te

1)~ Benjamin Bat) et pubtié par lui en anglais dans te Me~caf

Ttme'iHndCfttgMeen )8(!0-(it, etc'estennorete D''Mt qui .n'etra-

duit en français sa r6daction angtaise pour le volume ci-dessus.

1872. CoHè~o de France. Médecine expcrimcntatc. Cours,

année 1872.

La chateuranimatp.

~!<'oue scMHt:~<yue, )), )8'?i-)8'

Ces leçons ont été revues, corrigées et compteiees <h)ns les LMC!

sur~f c/ta~Mrantmo~e, cours de médecine du Colicge do France,

Paris. 1876.

(.r~ La canstitutiun phyucu-thmuque du tniiiou extérieur, p. 670.

(f);. La cha)em' anim~tc, p. 6'?2.

(U)). Les hypothèses yttah'st.ee, p. 84).

La théorie de Lavoisier, p. 842.

(tV). La température du sang, p. S~.

(V). HMMM'iqua dM e~pônetite!! (iepuis HaUer jusqu'en t872, p. 84.').

(VI-VH). Koptoi des ane~thosiques et du curare pour tM expenettces phy-

sto)ogiquc'p.89t.

Po'turbatMnsqutts peuvent introduire dan<)esph6~omènesM(oriqucs.

(VitH. MMuredea température.') dans t'organismo, p. M).1.

(!X~. Temp~r~ture'i t'et~thea du cœur droit et du cœur gauche, p. 945.

(X\ p.!M9.

(Xh. p.9'!t.

(XU). Latprnperature du stngartcrif' p. tO.!).1.

(XtU). La température du <:tng veineux, p. )049.

(X)V). Lc.s ëquiUbresMtonHquos, p. tt~.

(XV). RÔ)e du sang d&ns les ph~nom~ne~ caloriques, p. )060.

(XV<). Mûie catonfifjue du tissu muMut~ire, p. )06t.

(X\'t! p.[06<.(XVUt). p.!066.

(X!X). Hôte e~torifique dn tystèmo nervem, p. )06f.

(XX). Mta caforiHque dosi gtaudes, p. ttH.

(XXf). Les glandes sa)ivairc$, p. ]tt9.

Page 383: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES T!tAV.\t'X DU CLAUDE tiEH~ARD. :<)

CLA)'UKf!Ett!<AtU).\(X. ?4-i

jXXft;.Les rcin'i.tf foie, )f's poumons et le cœur, p. tt2f).

~XXtUi. De (asphyxie,p. )).).

(XX!V). p.))<!2.

t\XY.(nnu(!nf't'()us\t.t:nn'np)'teu'<.suriaca)f))'ification,p.t)8{).

<,XXVi,. p. H')).

(XX\)t). Les n''rf< moteurs du grand sympathique, p. )j'):i.

(XXVHf'.LegrandsympathifjUC et )a<'ircut.ttion.sanguine,p. )'02.

(XX!X').).f"-nerfs t.xo-a~'t.eur-iGtta pression du sang, p. )?').'<.

{XXXi.Les nerfs vaso-moteurs et ta pression ()u sang. p. )2<)M.

fXXX)). Action des nerfs sur )e cœur, p. )2t).

.XXX!).)'t)erfd<'pr<'sseuretiacircu)ati()ndusanj;.p.)')S.

jXXX)it).Le~randsympathif)UCOt)acireu[ation,p.t2;!<).

(XXXt\').f.cnprf constricteur, p. )~2.

(XXXV'i. t')e la tenMbititt; dans ses i'appurM avec ia ratoriRcation, p. t'M~.

(XXS\ ?.)'

(XXXYUt.Hôie de la sensibilité <i!t[).si'organism'p. )2~f!.

(XXXVtit'. fnnuft'cc <)u ~ramt syfnpstthique sur cottstitutiuit du sang.

p.t2M.

'XXX)X).Lps températures tocatps dans ('organisme, p. )2M.

(XL). Applications pathologiques,p. )'at.

1872. 15 ma?~ Des foucUons du cf'rvcau.

ReMue A's Deux MoH~ts i8~2. (m.irs), p. ~73, 38~.

La Sc!f!ice <'j?p<')'imeM(tt/ p. 3G7-4Û3, 4 fig.

1872. 23 Ma<'A. Caiurificatton dans l'asphyxie.

M<'m.Soc. &M~ 1872 (C. U.), p. 83.

1872. 18 wat. Merfs secrc~ur~ );t nerfs vaso-fnotcnr~ des

landes sativan'cs.

M<'m.MC.&toL,t872(C.R.),p.H)8.

l872.8~K:~c<.Hvo)uUon du glycogene dans )'œuf des oiseaux.

Comp. ~nd., LXXV, )872, p. Sa-S'

Ouverture du. pii cacheté depoM le 3[ mai") t8G4, sur ia formation de

toati&ro g)yco~ne c!)R.! if"! animaux.

1872. 8 ~<«/ Sur la formation de la maUcrc glycog~n)'

dans tes animaux.

C'omp. t-en~ LXXV. j8?2, p. H9-60.

-/OKrH. p/t<H- XVf, <872, p. M9-424.

/tnM~de Potti, LVt, t873, p. 292-297.

1872. i3~Mt~e<. Exoph'.hahnie par irritation nerveuse.

mm. Soc. <)(~ 1872 (C. R.), p. i94.

1872. 2 ~'(.'e/M~e. Réponse à ta note de M. BouiHaud « Sur

la théorie de la chaleur animale.

Comp. rend., LXXV, t872, p. tS74-t57M.

Page 384: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

3700 B))i)JOGRAPH!E

1872. Happer) sur l'ouvrage de M. Chauvca", 'ntitutc « Les

vimscttcsniatadiesvirutentt's.i! ~s

Re).'Mes(;ten<t/)'()He,U)~812,p.S7i.

1872. Action du curare surt'ëconomie animaL'.

JoMt'H. p/M?'M.,XV, i872, p. 'J90-393.

l872.M.iLehcani)naUdo).a),ediproprieiacataIitiche(Trnns).

A)tHa!t del'oUi, L)V, )8'2,p. 28<-287.

1872. Muséum d'histoire natureUe, physiologie generaie.

Cours de Fannée 1872. T~cçons sur les phénomènes de la

vie conunu~s aux animaux et aux vegeta.ux.

~c~xe sc<t!<)/K/M< m, i872-'73.

Heproduit. avec plus de devetoppetnent dans les LeçoKS f)t<r les pAf<-

iiomënes <!e ~t t!M c0)nmt<!ts (tua! ant'tMM.E et NMa't;f'g<'<<!Ma). Cours

de phvsiotogie generutc du Muséum. Paris <8'!8, tome t, avec

pt.etfig.

.)).Last'n'ii)iititeettentt)uvt!tnent,p.0.

~H).LaLresi)iration,p.t'!4.

~H). L'eau et t'!ur atmosphérique,p. t'i.

t[V').)''tj)'m!it,if)ndc'i)))'incipe!itmme(!iats,t'!9.

~V). La g)ycogene auinu)c, p. 20i.

p.05.

(VU). p.t0.

~'Ur!. )).)!.

(IX;. Ducou\'erte <te ta. matiÈre g)yco~c«c, p. SOS.

~X). Analogie du ~);'cngt'nf? et de )'.)tni'iur). La giycogcnie dans tfs deux

règnes,;).305.

(Xt). Lt ~tycogéme n'nst pas un phenomt'inc caftavenque, p. !M'

(XU). La gtycogétMse dans te foie, p. 370.

(XIU). Le système nerveux et la ~tycogênÈse hépatique, p. 313.

jXîV). La giyco~cfiMO poudiint la vie embryonnaire, p. !n4.

(XV). La gtycugen~e chez les OtMaux. p. 316.

~XV~. La gtycogettose chez les animaux a Mng froid, p. 3~8.

(XVU). La gtyco~en&se chez les invertébrés, p. 40i.

(XV!)! Carnctf'Tn gênera) de innutritiom't dota gtycogenese, p. 40:.).

(XiX;. htonite du ~tycoK~ne attima) et de t'anudon végétât au point de vue

d6spropn(*t<sp)'ysiques,p.44!

XXI. Origine et formation de ta g)ycosodan)i les animaux et les végétaux,

p.t.

(XXI). Origine et formation de la glycose dans les animaux et les végétaux

p~n.

(XXH;. Conditions qui inOuent sur la giycogcnese, p. 4,')0.

1873. CoUC~e de Fra.nce. Médecine expëriaientate. Cours

de t'iinnÉe 1873.

R~MSc:CMt'/tgxe,!V, i873.

Ces leçons ne sont que l'ébauche des Leçons SMr ? d't3&f!<e et

Page 385: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

r)ESTf!AVAUX!~CLAf;[)E:)E)!AR[). 371

~yco~eHese, cows de ?M<;f<eet):e f~t Co~e de Frétée. Paris, )87'7.

ivoi.in-8.

{}). Histoire de iachait'e de nteded~e au C"cge de France, p.Mt.

!U).L'evotutiondata rn~'decine scientifique,p.HM).

jit~.Ëtudcctiniquo du diabète, p.'tiC.

!(Vt. Symptômes du diabète, p.)i2.

.~V~ La pathogenio et )e traitement du diattete. p. Oi4.

VL. La nutrition et les urines, p. M!7.

,V)!-V!)[). Diagnostic spécial du diabète, ?.!< 0-')'!t.

Recherches du sucre dans tes urines,p.9'; O-i~t.

Lesaccharimetre.p.!)T!.

Procèdes chimiques, p. '.)').

t'X). Ë'udc de ta marche du diabète. Dosage du sucre (fans )~ uritx-s

p. :6.

(X). Attaty.st' physioif'gifjup du diabète, p. !())'

'D(-htg)yccmie,p.)H)8.

(Xt). La p;h'ccmi)' phy-iotogiquc. p. )<))!).

(\)I~. Dosage du suo'f dans le sang <)esdifT!-rfnts\aissfaut. p. HH).

(X)Hj. Origine ahmctttaire du suc dans le sang. p. )0(;<).

(XH'\ Digestion du sm-t'o de fant~es. p. )«<!?.

(XV'. H6)('du foie dans la seconde digestion ct<)ans la Ktycf'n'ie. p. «?4.

(XVt).Ler<)ioestun('sourcophysioto){i<p!C<)c(;)ycose,p.)n)H.

<XVtt). Le tissu hcpatif)ue& )'Mtat physiologique est une source constant<-

de Mycose,p. )10').

(XVm). Mécanisme de ta fonction g)ycos';niquc (tu foie. p. )))<).

Matiercgiycogcne.p.H)?.

(XtX). ))ou)))e fonctino <;)ycope)te.sique et g)ycogcmf)Ue du foie, p. H~).

(XX). formation ot destruction du sucre dans tosang. p. ti.'S.

Conditions diverses de ta gtycemie et de la glycosurie. p. H.).

Ligature de la veine porte, p. ))(!0.

(XXt;. La gtycogenic hcpatinue interprétée par les yitaUstcs et considérée

comme phénomène cadavérique.?. H0<.

(XXH). Deux ordres de phénomènes physiologiques les uns d'organisation

et ti'assimitation.ios autres d'assimilation et de desorganisation.

Applicationde ces idées a. la glycogcnio hepauque et arr~t de la for-

'mation du sucre dans le foie et dans le sang, p. 34.

!\X!H). Du diabète artinciel, p. M.

fXXiV). P.

(XXV). Théorie nerveuse du diabète artiiiot'l, p. i).

'XXVt!. Hesumo des levons du semestre. Vues nouvelles sur le diabète,

p.'i3.

1873. Muséum d'histoire natureHe. Physioto~ie ~('nc-rate.

Cours de l'année !873. Leçons sur fes phGftOnK'-tte~de la

vie communs aux animaux et aux végétaux.

HgDue sct'eM<t/~t«~ V, i873.

ReproduH. avec plus de développementdans les Le?oHi sur les p/'c-

HomettM de ~t vie com~iM)~ <!M.c (HMM<(M.B et <ma; t'~€<aMJ'. Cours

de physiologie générale du Muséum. Paris, 1879, tome )!, avec

pLetfig.

Page 386: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

~2 );)HL)OGRAfnn': u~

~.Histoire des thc'H'ie~dn:di*)t,i()Uf's de !.i vie,p.J).

(ff. L'unité vitttc dans tf~daut règnes. -L'irritabititf'nutrithectfirri

tabititefonctionne))e.p.:t31.

(m).).esprc)imin!ures(te)an))t)'ition,p.343.

(!V;. Histoire'in.! theorict chimiques <)e)!t digestion, p.3'!?.

(V.Les aliments,p. 3'!5.

(V!).Lestrois'.a)i\'esettadi~estit)nsaiiYaire,p.4)6.

(\'t)). La digestion );astri()u",p.'i?0.

(YHt). )'.<).

(!X).La biteetfa digestion dtiodcttaie, p.4S9.

(X).Les )tt'<"des de Brunner.–Le suc pancréatique,p.4M.

~)~M~~M~m~P~

(XH). Harnionia d"f! pheno'nene.s chinainues dos diverses diiteiitions.

L'inHuence du syste.nie nerveux, p. -iM8.

(X!U). U)'it('< dc$ principes ahmentaires et des agents digestifs dans têt

ar)i))MU!fCtdan!<)e<t\eg~taux,p.&)2.

(\tV). Quatre Mpèces de diKCStint) et quttre espèces de fermenta digestif''datâtes animaux (;t)f'sv~!{Ct!ttM,p. &t3.

Atiments tecutents, sucres, ~ras, a)butninoido%.

{XV). Ferment digestif des tnaticres t'ecutentes dans les animaux et les vo-

pntaux,)).~t4.

(X\'i;. Ferment invcrsif ou ferment digestif des matières sucrées dant les

animauxcttes végéta m.,p.5K!.

<XV!)). Fermeot dige.stif des matière'! crasses dans les animaux et dans tes

ve(!;6tau~,p.!))8.

i\\tm- Ferment digestif des matières a!butni"oidM dans les animau! et

dans te. YC~etmix, p. MO.

<X)X.). Absorption intestinate, p. &M.

(XX). ScM)ndo digcstioft. Foie. H&)o f)e~ roscrt'es, p. 535.

~X\!). Les théories sur ta nutrition. Happot'tsdot phénomène!) do nutri-

tion et do devetoppement, p. 5:i!).

1873. 8 /et)Wef. Passade de )';ur des canaux gtandutaires

dans les capiUaires.

aMm. A'oe. &to~ i872 (C. H.), p. M.

1873. 2!) Mf/ Constdct'ations généraics, !'e)atives fa la g]y-

cogfnese animale.

M<?m. Soc. MoL, <873(C. H.), p. i28~M.

1873.10 Mat. Action de l'excitation des nerfs sensitifs sur la

ca'cutation et sur la gtandc sous-tnaxntaire.

M<'m. Soc. &M< 1873 (C. R.), p. n3.

1873. n mai. Remarques sur les nerfs des reins.

~m. Soc. &K~ <873 <C. H.), p. <84.

1874. Muséum d'histoire naturelle. Physiologie genôrala.

Cours de l'année 1874.

Leçons sur les phénomènes de la vie, communs aux

animaux et aux végétaux.

Page 387: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES Tii.\V.U'X HE Ct.AUDK [!E!i'S'Ann. :);

Ji[(T!<C5'<'t'<'n~/t~M;,Vt),t87!.

Heproduit avec plus de dt'vetoppemcnt dans les L'wtis <);)' les p/x'-

M~mëttes de ~<t~;e commuas ttM.c«HtmHX.Ef< a'fa* );<<'<(Rj.r. Cour~ <to

physiologie gcnendo du Muscum. piu'is, i';7!i, tome tf, avec

pLctng.

I). Nutrition et génération. p. M!).

tn.Coup d'œi! historique sut')a~et'<'ra!ion,p.K<}.

()!)'OEuf Ht ovogenese.p.:m.

~V!oh)tion. Maturité (ie t'muf. p. M).

~V).Sexuatftëdet'œuf.–Prefecottdation.p.3'

'V)~. Fécondation do Ffcut'. Ëiement mâ)c, p. ~'2.'<.

(\'t[). tmp)'i''gnat)o~ de )'(')t'ment fem(!))e part'ctRmcntm~tf. p. 3t').

~V'tl' Va)''et(i d.ms tes procèdes de génération. t'oite dans ie principe.

p.3M.

i)X).Pt'emier.sphëno)))èn('sputt't'yf)t;t'niques.–Ft'actionncnn'ht.p.S'

(,X). Formation (hihtaiitodcrmf. p. ~t').

(Xf). Organisatiott du hiastodcnm' Formation de i'cn]br)'on, p. M2.

~\)t' Formation de t'amnios.dn la Y(".icu)comhi)ifa)(')eta))an)oidc,

p.3!)t.

(X)[[t.K('!atif)nS('in'uta(oircsf')ttt'f')cfœt)]'!CtSt;s annexes,p. :)!)(!.

~Xt~). Conditions de la vie de t'onbryon et de la vie dt; )'adu)tc. p. M9.

iXV). (~!uf<b' pnutp, sa composition, p. '4U.

~\vn. OEttfdc pou!c. Ses ph~n'HU~ucs de d~vetoppenitcut. p. H'f.

\Y!Ï; C!ycogf~!ît'sc dans j ccut des oiscau\. Gtvco~~n's'' dansrcînht~f!)

des oiseaux, p. in.

.nt). Ctycogc'n'sedans les atmcxMdc t'cmbryon dpsmatnnn'R.'t'c~. p. ii!).

fXfXj.GfYCOKe"dants)ef())'psdo)emb!'y~ndcsn)a~nm)f<'ro'p.t.')!.

iXX). Synthcsc chi)t)i(j)tc de la nutrition, p. iR7.

~XX!). Synthèse histo[ogif)uc de ta nutrition, p. 'mt.

(XXff'. Rapprochement entre t'evotution embryonnaire et t'e\otution de

réintégration, p. -t'!9.

(XX!t!). Ret'apitutation generatc, p. 414.

1874. Le sang el la gtycetnie.

RrMMe !eten<)'~M, VU, t8~4.

('.es leçons ont 6t6 reproduites avec des additions considéMbtes

dans tesL~ûtts sur le a!M<6t'<c et ~a fjf~co~e'f~e ati:'m~/< Cours de

médecine du CoHege de France. Paris, )877, ) vol. in-8.

(t Ëtude du sang au point de vue de la glycémie ftormatt; <'t pathoiogique.

Du miticn intérieur. Eta.t actue) de la physiologie ce sujet.

He la chimie biologique évolutive. Des procèdes chimiques dans t'or-

ganisme vivant. importance de t'etude du sucre dans )e sang. Pian

et but d'une étude critique et ctperimentate de la g)ycemie, p. 508.

tff). Histoire da sucre, Du sucre végéta); sucre do canne connu des

anciens. ttistoriqna et, critique Witiis. et le diabète mie))eu'

Oobson Cawtt'y; !<o!)o; Kicohts et GueudeviJte WoUaston

Vauquetin et Sega)as Ambrosiani et le sucre dans le sang. Mac-

Gre~or; Ëtitt de la question en 1847, p. 5)0.

~H). Historique critique de ia. g)yc<'mie depuis )847 jusqu'à nos jours.!ni]uence des idées régnantes. Prétendue duatitë des phénomènes

Page 388: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

.'<T4. !!iB).tOGf<APttHi: l;l

chimiques <'hcy.~sveg''ti)U\ et h'saninmux.–Les an hnau\ peuvent iis

formerdes matières crasses?–fement-tisfot'merdnsucre?–Origine

<t)imcntaire du sucre. Mcouvt'ric des fonctions gtyc~geniques du foie.

–Travaux eojdh'jnatifs,–Objections et jnterpf'fations diverses.

!mportanf'c de )'e\!tmen critique des circonstances e')periment.'t)es et

des procèdes opératoires, p.5)ft.

(!V). Conditions d'une veritabte science critXjueetperhnentate.–(,arar-

«*res qui permettent de reconoaitt'o h' sucre. Procèdes pour ctiminer

les substances qui troubio)! ces réactions. )~sage du .suXate de sonde.

Substances qui peuvent produire des réduction!! analogues à cônes

ciu stzero. hEayoins pour dünainer Ies dirc~.rst·s causns d'errenr, p. :r22.du sucra.–Moyens pour ciimineriesdivcrsesc.'tusesd'erreur, p.<M.

~V). Hcsagc du suo'c dans )t; sauj;. Oosag'' par ]a fo'mpntation cause''

d'erreur. Maouet operatoiro du dosage par ia !)qunur d8 r'chiin~.

Catcuisà f'tfeciue! –CaicuJ.t et <MtMHs n""e.sa!)'MpM)ra:'t'iYM'& h

df't~rminfrhttjuattt.it~ahsohx'dc .surrc contenue dans ta saitj; ou ditus

uu tissu organique.–Kxpet'tHnces. –Hocherch<"idusm')'od<ms)<!

iifjuide c~pha~o-rachi.dien. te chytR et h' sang, p. M.').

(\ t). Ëtudm critiques des circoustauces qui nut pu di)uncr des retuttats

négatifs ou<'o;)<Mdictoi!'<"i. Moyens df; .s'opposer à la <)estruc<iotidu

sucre; Rxtemporancite de hrcfherche; sulfate (te soude; acideacc-

tique. Etats qui pouvent innuer sur la proportion du sucre cont-euu

dans sang; saignée; inanition.– Expcriettcos. –Diucroncc ctitrc )"

sang artuhct et ie sang ~'ineux, p 53S.

1874. i4Mia~ Physiologie du nerf trijumeau.

M<'m.Soc.~M., )874 (C. H.), p. i!i0.

1875. Coit~g'c de France. La médecine et la ))hysio!o~i<

Cours dt'')'a))nee 1875.

~t,<t' M:fn< Vftf, <87S.

Ces leçons sont e!t partie la reproduction des Z~ofM ~r les

.$M~<OHCM <oj~~M. Paris, <8M7, < voi. in-S, et des ~ecoM~tc'/M

hgMtdes de t'or'~«Mtiime. Paris, i8S9, 2 voL in-8.

(!). D!M~ <'r~n'<M </M K'i'MCM M<'<~tf<M.

Ce* branches ne doivent point &h'e 'l~Mes c')'"e mbMt'tmo'tt

di.stim'tp'i.–Laphysiotogieonc'ittetronc.comruuncttaba'ic.–

But de la physiotogic. Histoire dos points <)c vue successifs aux

qucts eitf s'est ptacde. La physio!ogic <!oit f'trc aujourd'hui ta

.science d<\s t')a<)M)]ts axatontiqucs. P))ysiojoj.;ic expcrimcntato.Nécessite d'une discipiine c~pcnmcntaie. Objet, spécial du cours,

j).n.

(H). t.'«na<OH!M et rMp~r)Me'!<a<<o'i p~yi'<o<')~<~u<

Anat0)nic et phyMofogie. Lot anatogics .tnatontiquca ne peuYMnt

suppjecr à t'cxponn'iontatMf physin)<)gi<~))c. Hcyuc historique dos

faits et des théories retativos a. la circulation. NouvoUes tutni&ros

apportées par la chimie moderne. Les phénomènes chimiques.comme )os phénomènes mécaniques de t'organisme, doivent &tro

étudies directement par t't'xpenmcntation et non déduit;) par ana-

iogic des faits 'sembtabtas en)pt'm)tc<! & )a chimie ou A la mec.tttiqun

pure. –Kn chimie commR en mécanique, les procèdes de t'orga.nismolui sont particutiors, p. 'HO.

Page 389: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

t)Ea TRAVAUX HE CLAUDE BER'<ARO. T7*;

.!)! /pa)'<')< t'!)'<'tt~~o;red<T;<.< <'<'M.!<'n:A/ de /'o)'v/a)tt.Mf.

L'H appareit circulatoire n'est qu'un apparei) de perfectionnement.

Apparition <)e cet apparci) rhex i'embryon. Sa forme citez tes

animaux inférieurs. I)i!er"nte'; parties dont il se compose chez

les animaux supérieurs. tmportance des vais.e.tu'i capillaires,

Diverses expériences pour montrer que tous tes phénomènes cssen-

tiels de la nutrition se passent au niveau des capiitairps, p. 777.

!Y). jLf ~~<<'H;e c~.)t'~n:t'<

~tudc <)u système capittaiff. Système hn-unaire des animaux infé-

rieurs. Sphincters pretacunaires de que)()ues artieutes leur ana-

)o~ie avec t'ensembtc forma par les parois muscutaircs dos arté-

rioles des animaux supérieurs. Capinaires san~uifts et capiHaires

jymphatiques. neveioppement et disposition des reseaux capil-

iairos; ils sont indépendants du reste de l'appareil circulatoire aussi

bien su pM"t do vue de leur genèse qu'au point de vue de leurs

fonctions, p. ').

(V). ~J<)W/)<<0').

Les capillaires so~tt par exce))enre tes agents ()c t'absorption.

Absorption par tes surfarcs internes et externes. Dos injections

toratos !t effets tofftux. expériences prouvant qu'on peut produire

à part l'effet ioca! et i'etTet généra). DiOerentes phases :t con-

sidérer dans t'absorption, p. H.0.

tVI). Les t'Ot'M f/e /'f;t.s'0t'<0tt.

Capillaires sanguins et tymphatiques. Idées anciennes, sur les voies

de t'absorption. Découvertes des vaisseaux lymphatiques.

Expériences de Magcndie. Expériences nouveUes. Les veines

sont les organes les plus essentieis de t'absorption. p. 85:t.

(V!I). /tnpp0;'< des MMM< lymphatiques aMC les <;f)p~/ai')'M sanguins,

p. 9):

(VIII). /<t.!0)-p<t0': ttt~'t'n' Absorption M-/<~n~, p. 9)5.

(IX). Les trois p/t<i<M de ~'«&.Mt'p<ion, p. 917.

(X). Origine des n'Mf. C<eM)'~ p~tpAer~fM ffincMj: et /yM/)A''<UM,

p. 994.

(Xt). ~MK<~<tOn des ~f)<p/<e~. D)Hp~<<e~-? f<e.< globules blancs. Les

divers Mn~ !<'t'!t'M. p. 995.

(Xt!). Les vivisections. Les poisons comme tKS<)'UMMnh plus (<f'~)es

ffaMa~f C~tMt~ <.C CMt')'< p. t )5.

(XIII;. Les poisons cotnf))e méthode de t'tUMfchon. Acide pt'M.Mt~ue;

strychnine, p. HSO.

(X!V). nf'pi'aMo?) a?'<t/4'cteHf,p.HM.

(XV). J'0.t'yde </ec<!t-ton<' et lit ~/ty~!0~e des y~o/)M/Mf/M MM.?. ~u-

velles t'ecAe~'c/fes, p. t'M9.

1875. Leçons sur les anesthésiques et sur Fasphyxie.

Paris. 1875, 1 vol. in-8, vn-536 pages, avec "? ti~.

Cours de médecine du Collège de France.

M. Mathias Muvat a mis en ordre et coordonoë ces leçons, et y a intro-

duit les résultats fournis par les plus récontes expériences.

1875. Muséum d'histoire naturelle. Physiologie générale.

Cours de rann~e t875.

Page 390: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

376 MBLiOGnAf'HtE

jfiet;Kesctf'nf<~Me,tX,<873.

Reproduit avec développement dans les Leçons sur les p/teKo?nen<

de <.t vie com?KM):s «xa; «Mi'maMa: et (fK.c ~~<jr6'<<H<j;. Paris, < 878, 2 vo).

in-8.

(f). Ptace do ta physiologio dans tes sciences biologiques, p. 385.

~H). Ëvotution historique ct phitosophiquodota physiologie, p. 38S.

~H). Antiquité, p. :i8').

~Y).Moyeu4sc,p.3')'

(V). Temps modernes, p. 3!)S.

iVI). ),!) physiologie & t'époquo actuelle, p. 443.

'~VUt. Évolution tontompnt'ame do la physiologie, p. 4M.

(V)U).Latheor)8<'c))utMre,p.448.

(fXj. Loi <if! constitution dcsor~anismcs. p. 4()(i.

(X). Conditions physico-chimique': de la vie des ceUuJGs et des organismes,

P.4C7.

(X)~. Principe!; immédiats produits par tes orgimismM eiamt'~taircs

p.4':(.

(X)t). des ~Mmpnts anatomiques et les restrictions qu'cftecomporte, p.-4'

'X))!). Doctrine des propriétés vitaics. p.-}94.

(\tV. Les pheBomAneH vitaux etcmentaires et leurs conditions physico-

chimi()ue'<,p.i')(!.

(XV). Division dos phénomènes do la ~io en phénomènes fonctionnels et

phénomènes nutritifs, p.)80.

(XV!). Speciatite des agents chimiques des phénomènes fonctionneis de

)'orgauisme,p.58).

(XVII). Speciatite dos agents chimiques d'nr~anisfttion dans tes êtres

vivants, p. MS.

1876. iOaoM~. façons sur ta chaleur animale, sur les eflets

de la chateur et sur la fièvre (analyse).

~MocMtMn /~(Mça<e poMt- <'at)aKeemet!< des sciences. Session de

Nantes, p. 9C2-963.

Re~Me sc:etKt7.. )X, i87ti, p. ~a.

JoMni. de p/M?-m., XXH, i8'!K, p. 294.

La science e.rp~'MKen~ p. 2)3-2t7.

1875. i5 fM~. Définition de iavie. Ijes théories anciennes et

la science moderne.

Revue des Deux ~fo?i~M, <87S.

La Science e~p('rtmett<n~, 2" édition. Paris, )878, p. < 49-2t8.

1875. 26 oc<o6t'p. De l'emploi des moyennes en physiologie

expérimentale, à propos de l'influence del'effeuillage des

betteraves sur la production de la matière sucrée.

Comp. t-end., LXXXt, i87H, p. 698-703.

1875. 5 MoueM&?'e. Action du curare et de la strychnine sur

!esj?renoui)fes.

Page 391: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES TRAVAUX Df! CLAUDE RER~AHD. 3-n

Mf.'m.S'-)e.oM~t87~(C.n.p.6.S-8;i.

1875. 2') HOMm/e. Réponse aux no~es de M. Duchartre et.

de M. Vioiette, présentées dans )a séance du2~ novembre,

a propos de reu'cuiHcment (!es betteraves.

Comp, rend., t.XXXf, tb7;i, p. 999-t002.

1875 20 décembre. Remarques critiques sur tes théories de

la formation des matières saccharoïdes dans les végétaux

été!) particutier dans la betterave.

Cowp. ~H(L, LXXXf, 1875,p. tMt-)236.

1876. Leçons sur la chaleur animale, sur tes etïcts de !acha-

!eur et sur la lièvre. Paris, t876, in-8, Yf))-t7! pa~es avec

8 Hg.

Cours de médecine du Collège de France.

M. Mathias Duvit) a coorftftnnc ces leçons, et y a introduit les recherches

)!<)uvc))esde'rautet))',ai))si')))elGsrcsu)<atsd<'s travaux [~sptus)'c<'))ts

entrepris sur tf-m~mo sujet.

Traduit en aUernnnd par A. Schuster. Leipzig, t8':6, t vol. in-8.

1876.12 et i9./MW, 7 e< t4 ao~<. Critique experimenta)c sur

la glycémie. Des conditions physico-chimiques et physiolo-

giques à observer pour la recherche du sucre dans le san.ij.

./OMrM. <<erfiHa<o~!M de Robin, Xtt, t876~ p. S33-S52.

JoMm. de chim. et de pA~t'o; tX, t87ti, p. ~OT-2~8.

Comp. rend.. 187~, LXX~H, p. m.-lt9; i73-!79; 777-783, t3ai-

1357 tK)~-)UO; LXXXttf, p. 369-377 ;4C7-H3.

JoMrn. P/tonMCte, XXIX, 1876, p. iH6, 26S, 40).

A. Des moyens physico-ctumifiucs propres a déceler la présence du suer';

dans le sang, p. 533.

(t) Coagulation du sang par la vapeur d'eau surchauffée. p. 53t.

{2) Coagu)<ttion du saug par t'atcoot, p. Ma.

(3) Coagulation du sang par la sulfate de soude, p. M5.

Des conditions physiologiques & remphr pour constater la présence du

sucre dans le sang, p. M' i.

(1) En dehors du corps, après son extraction des vaisseaux, te sucre se

détruit rapidement dans le sang, p. M8.

('!jAu dedans des vaisseaux, après la mort, le sucre disparaît rapide-

ment du sang, p. M9.

I. La glycémie ne diffère pas chez les animaux carnivores et herbivores

e))e est indépendante de t'aiimentation, p. f,42.

Il. Dans le parcours du système artériel, le sang renferme une proportion

de sucre sensiblement identique, p. 545.

III. Dans te système veineux gênera) la proportion de sucre est variante,

mais toujours inférieure à cette du sang artériel, p. 545.

I. Le sang des veines sus-hépatiques est plus sucre que le sang artériel et

quc)esangde)aveineportc,p.54'

Page 392: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

~8 MUUOGHAPHiE

tt. ),p sa<~ <)'' ):t voi«c fave info'icHt'p s'cnrirhit subitement en sucra, fn'ant

d'cntrpr dans le ça! m',aut)iveaut)udt''vprsumpnt<!<'s veines ~us-hcpati'

f)Uf's,p.M8.

1876. ~«~/c/. Ëtbérisation appiiquée aux végétaux et aux

animaux.

M6m. Soc. biol., )876~.t!.).p. 2C3-280.

1876 La sensibilité dans le règne animal et dans le n'gne

végétal.

Association /')'OMC<tM!epoM!' rn!;a!!cemfn< des sciences, session de

Ctermont-Ferrand, t876,p. S2.

La Science e.cpf'i'MHe~Mte, p. x< 8-236.

1876. Discussion surt'inuucncc de !'encui)!('mon). des bette-

raves.

.4 M. /Wm('. pou)' !'«);a))e. ~es MMHCM. Session de Ctermont-t'cr-

rand,it<7e, p. 903.

1876. 28 oc~?'< Anesthesic pouvant être produite, chex

tous les êtres vivants.

M~m. Soc. biol., i876 (C. R.), p. 312.

1876. !8 ~eccM~re. Note sur un moyen rapide de dosage de

ta chaux au moyen de la magnésie, et sur l'application de

la magnésie à la défécation des jus sucrés. En coUaboration

avec M. Hhrmann.

Comp. !-<'K~ LXXXIII, t876, p. i239-)2M.

1876. Critique expérimentale sur la formation delà matière

sucrée dans les animaux.

Ann. de c/ttm. e< </c p~ VftI, i876, p. 3fi7 38~

1877. H a~?' )!ecberches sur ta chaleur animale.

Mem.Soc. &<oL (C. H.), )877, p. t7M.

1877. Levons sur le diabète et la gtycogenese animate.

Paris, J877, i vol. in-8, Vt[[-â7<! p. avec une <ig.

Cours de médecine du Collège de France.

M. Mathias Duva) a coordonne Ma leçons, et y a introduit les recherches

nouvelles de l'auteur, ainsi fjue les r~auttats des travaun les plus récents

sttrtediabOteettagtycogM~se.

Traduit en allemand par Posner. <878, < vot. it)-8.

1877.7 M!N!. Leçonssur le diabète et ta glycogenèse animate.

Comp. Mttd., LXXXtV, i877. p. 9<)9.

H()~«<' médicale, <878, p. 63-64; 74-76.

Page 393: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES TRAVAUX nE CLAUDE HHHNAUn. :!TJ

1877. 12 M'ot.Aoditedusuc gastrique.

~i.Soc.Mo~.tC.t;.),)877,p.2H.

1877. 28 ?na<. Critique experimentate sur ta f~nciiou~iyco-

~ëniquedufoie.

<'omp.Mtd.,LXXX!V.i877.p.i20i-)207.

Jot~-H.dep/tunK.,XXVi,)877,p.3SO.

Axn. de c~<m. f< p/«/s., X), 1877, p. 2~6-28't.

(.)) Démonstration e\penmenMte de la propriété, ~tyogenique'h) f.)i"pet)()antjaYie,p.t2()}.

(?) Démonstratif))) ex;)t''r-imet)ta)e de la persistance de )~ propriété ~tyco-

(!<'mnin~(tufoic:tpr)'s)amo!'t,p.)2()4.

(9', t!!tp!'j'ta'd').ig)yMgt'niR hépatique postmortcm, p. )'!().

1877. i(!/M!H. Fornmtion du suc gastrique artificic).

JMem. Soc. 6to;. (C. R.), )8T7, p. 293.

1877. lO.eM~'c. Critique cxppt'in~-nt.ite surh; mécanisn~-

de la formation du sucre dans le foie.

Comp. r6Hd.. LXXXV, {877, p. ai9.S25.

AKt!. de cAtm. et de ~Ay; Xtt, )877, p. 397-40ii.

JoMn:. p~a/'m. c<eA!M!e, 4e série, XXVU, mars )878,p. 260-265.

T/te Lancet, (878, Il, p. 2a9.

(A).MatiÈreg)ycog&rteduft)ie,!).t'iO.

t H.. Ferment diastasique du foie, Mï.

1877. CoHegede France. Cours de medefiue.anttee i8'?7.

Reuue sc!e)tt!/ï~Me, 1878, XtV.

Reproduit et développé dans les Leçon:, de y/~M~e ùpo'«~t;e.Cours de m~decMB du CoMd~e de Fronce. Paris, tS79.

(t). Médecine et phyMotogie, p. ~0.

(tf;. Observation et. cxpprimeutation, p.

(!tf). Fait et dëterminisnM, p. 77'

(IV). Les tahoratoires. leur installation, tcur rùtc, p. 7HO.

(\'). Les vivisections. Perfectionnement des procH<h;s. p. 7!)!

(VI;. Le ))ro))icmo cxpet'ime:)!a), p. 802.

1878-1879. Leçons sur les phénomènes de ta vie communs

aux animaux et. aux végétaux. Paris, 1878-1879, 2 vut.

in-8, xuv-9e8 p. avec 4 pt. col. et. 50 fig.

Cours de physiologie générale du Muséum.

M. t)Mtre, qui rodigë t'en~embta du Cours de physiologie gcn6ra)e fht

Muséum, a donne ses soms )a publication de ces deux yohjmes, dottt le

premier a dte eotieremt'ftt ret'u et corrjgu par M. Ciaude Heruar<).

Page 394: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

380 B!BL)MftA)'t!)f':

1878. La science cxp'ri'i!f.'n!alc. Paris, t878,ivoi.[n-t8

jcsns,440 p.,fi~. dans)<'texte.

2" édition. Piu'is. (878, t vot. in-)8j., 4M p. avec taures.

))i~M~rsdoM.Dnmasau\f)!nerai)tes<!('('.)audcBernard.p.(. 1.C.)ande Bernard,par Pau) Hcrt, p.). Paris, ]2 février t8'!8.

~M~MdM~~M~p~M~M~t)~~

''rob~mesdo la physiotogiegcMraic, p. 9<)()5 décembre ).S(!?).

t'efinition de la vie. Los theuries anciennes et )a science moderne p, )4'~

(t5m!tt)<i'!o).

Laeha)eura!iimate,p.Ït3('MM(tt)875).La sansibitito dans to règne anima) et dans )c règne végata). p. 2)8, (t8~fi).~tudoa physiofogiquossur qne!q<t<"i poisons amoricaim. Le (;urar<~ p. 3).=)

(!" septcmhre tM't).Étude sur )aphysM)ogic<)u cœur, p.})'?()''mars j86.')).nos fonctions du cen-c.t)), p. :t67 ~jf) mars )8'?3).Discours de receptiof) & i'AcadÈmio fran<;ai',c.. (F)ourcns Les fonctions du

cerveau,p..M)t,27 mai )8M).

La'(''f))t.if.'ncofjt.i~))t,e))p)usfj<)() la )",)<! discours d'ouverture de la

.spaoce pu)))i<)ue annue));' des cinq Académies prononce par M. 0.Beroard. comme président de t'Aradetnie des sciences, te H août t86').

Les tn6moircs rontcnus dans ce volume so trouvent teur rang chronoiogi-f)U('daus)ahibUn~raphie.

1878. La fertnentation aicooHquc. Dcrnifres expériences de

Ct. Bernant.

Comp<es t'ttMfMs. LXXXVH, i8'?8, p. )28.

Ret'MeiiCte~M~ue, XV, <878-<8TJ, p. 4!).

.~otu'K.dep~m. e(t.{ec/«m;c,voLXXV)tt, t878.p.327.

GMeMem~d'tca<)8'78.

1879. Leçons dephysiotogie opératoire. Paris, 1879, 1 voL

in-8, xn'6i 4 p. avec ti6 fig. noires et coiorides.

Cours de médecine du CoUège de France.

Les M premjAre- 'pçons furent rodigêes par M. Mathias Duval sous ies

yeux do M. 0. Bernard, revues et corrigée!; par lui. Les autres avaient6tô pubhecs en angtais dans [a ~<)'M< rtM~it nnd Goïe~p par M. Benj.BaH et ont <M retraduites en francait par M. Gitaton Decaisne.

1846. Notice sur]es travaux de M. 0. Bernard, candidat

pour une place vacante à l'Académie roya)e de médecine

(section d'anatomie et de physiotogie). ln-8, 8 p.

1850. Notice sur les travaux d'anatomie et de physiotogie deM. Oaude Bûrnard. Paris, imp. L. Martinet, s. d.In-4, 38p.

18S2. Notice sur les travaux de M. Claude Bernard, candidatà une place vacante à l'Académie des sciences dans ta sec-

tion de zoologie. Paris, 1852, in-4, ~0 p.

Page 395: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES T!!A\UJX DE CLAUDE UKR~AMR. 38)

1854. Notice sur les travaux de M. Claude Bernard, Paris,

juin i8M, in-4, 46 p.

II. BIBLIOGRAPHIE BIOGRAPHIQUE

fUtSCOURS i'fiOXOfCKS AUXOBSÈQURSHHM. f.),AUMnE!UU)

)-[':S.\MEr))t6FHV)!!)-:i)!878

M. J.D.DUMAS,membre de rtnstitut(Academie des scienceset. Académie française), au nom duCiunseit supérieurde) Instruction pub)ique.

~o~M~J~v.~n~Jou)' des .Mt'fOtt.s, <878, p. i2t.

Com;). t'fnd. de FAcftd. des sctf.ce.f, t. LXXXVi p 4C2

Ga~.m~<878,p.99.

L<t Sctence M'Mn~~e. a" ('ditton. P.n'is, ~878, p. i.

M. BoutLLAt:!). tuemi)r'' de !'At'ad6mic des sciences, au nomde t'Acadmnie des sciences.

CoMp. rcH~. de i'Ac(ft<. f~'s sc<cftces, t. LXXXV), i)~8, p. 40~

Paris, ifnp.Uidût,<8~8,in-4".

M. VuLt'tAN, membre de t'Academie des sciences, au numde {'Académie des sciences.

Co)))p. rend. de <'AM'.<. des sciences, t. LXXXVI, j878, p. 407.

AfonK'e)<)'seteHt~qt«', t878,p.49i.

Leçons StM'~fs~AdHo?nëncs de ~<r<t:, par Claude Bernard Paris i8;8t.t.p.vf).

M. Paul CEnvAis, membre de t'Academie des sciences, aunom du Muséum d'histoire naturcHe.

Comp. )'<id. de FAcad. des SMemes, l. [.XXV!, i878, p. 4j~.Paris, imp.Didot:,in-4",8p.

M. LAUouLAYE, membre de t'Academie desinscriptions et

beHes-tetLres, au nom du CoHeg'e de Franco.

Paris, imp. Didot, 1878, in- 4 p.

M. MuxtÈRES, chancelier de !'Academic française, au nomde ['Académie française.

Paris, imp. Didot, t878, in-i", 4 p.Jottm. dMsat)'.f)t<s, <878, p. ~3.

M. Paul BHRT, professeur à la Facult.6 des sciences, au nomde la Faculté des sciences.

Page 396: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

3M MUOGKArfUR

~.<t~<t<UM,fMv.~T8.p.2h).

Lt'çons sur les ~/t<tMM~nesf& fte, parOaude ~erourd, Paris, <878,

!.),p.XXY(.

M.Arnuin<tAf()nKAt,ttK'tnbre()('Aca<iefniedemc(iec!n<

.mnont<h'rAcat)p)nic'()t'' )ncd<'cint\

MH~.d6-rAc~.<~M~Of6v.i878,p.i27.

<T<j:.m<'(i,i878.p.<)9.L'~to-'e de C<oM~eBent(t)'d. Paris, i88), p. 89.

M. DuMO?<ï)'ALUEn, spcr6tah'c ~émh'.d dt* la Société df

bio)<~i(\!m )tt'm de !a Société (iebio!')~ie.

<!ftz.Medtttt,'e,<878.

~em.SocdeMo~ t878.

~° ;Un')C.LES)t«)m)A)'tHQUËS

R):AU\~ iU.. –C!aude Bernard. Leçon d'ourerturc du cours

dcpbysiotogicàiaFa.cuUëdcNfincy.

f!<t!)«'Mf't<ic(~<'f<f'JEs<,i878.

T!rugeàpfn-t,m78,in-S",2()p.

Bm!ï (P.). Claude Bernard.

L<t Rf'pM~h'gtM /'t'<H!ç<t:'i!e, <2 f'v. i878.

Â'tSctt'Nee cj;p<'r!'mot<<< 2' édition. t'aris, <878.

U~HT (P.). Soci<~t<! de btoio~ie. Discours de P. Ber(. <-e-

cctnmen) <)! prcsifh'nt perpétue] de la Société d<j bioio-

~ie, 28 décembre (878.

/<ee. scient., t8'?8-'7H, p. (t)a.Gazette méd. de Fons, i878, p. 637.

U'T (P.i. Les h'~vaux de Onudc Bernard. Association

scientifique de France, conférence à la Sorbonne.

AMoet'<tftO)t scMM<t~t<c <!e PriUMC (Btd~<)'n). t870, n° S')), p. 32H.

~('UM<!~CtCK~ < 87!).

L'tt'Mfre de U~:<~e Bentftfd, Paris, t88<, p. 39.

boucm'T (H.). Claude Bernard.

~<t~<<A<}p~aua',2î;juin)878,p.S77.

BovEt< (IL rM;). Ciaude Homard.

Pro~~ ~W<M! i6 février )878.

Bnocmx. Claude Bernard.

Gazette des Mpt'hïtM', 0 février <878, p. tS3.

CuAUFFAnc. Claude Bernard.

He~ue des Deux i!foM(<es, t878, 15 novembre, p. 272.

Page 397: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

DES TitAVAUX DK CLAt'DK BERNARD. :i8:S

D)!)ox(ippere).–Claude Bernard.

/iet)!<e<~sfnntef,t.S7.S.

Tirageiipnrt,kt-8",i~p.

DuvAL (Mathias!. Oaude Bertiard.

HeuMe de philosophie positive, mai et juin )S78.

F)-:f!itAM)(A.). –Oaude Bernard et la science contemporaine.

Paris, )S7'), in 8°, 32 p.

Fo)!STER(~.).–Oaudc Bernard, a )cct))t't'()'')i\'<'n'd!o tin'

Sf:'ntOt'c!ass<)fphysi())()~vatthcpby.i~)<)~ic!))Labor:)tory.new Museun), Cambridge.

T/te D)'t(M~ medten; Juin-Mf~, i, <8-?8, p. SO et 559.

LATorn (A[n<!df'c). Omide Uernard.

!tMn M~dtMde, 12 février 1878.

MoGxo (i'Abbc). <mdn Ucruard.

Le.!Mo'«<es, iS78, LV, p. 403.

XAYtLLH (H.). Ctaodc !rnard. Les t)h<')t')mf''nes d'- la vie.

sctott CL Heroard. Critique sur ses )c''o!:s suricsphcnr)-tncnes de ia vie communs aux vc~etaux et aux animaux.

B!& M~tM' de M~~f. LXtn, !S78, p. ~8.

PtCARt).– Ctaudc Bernard.

L'/Ot m<M<C(t<, n" 7, 1878, p. 245.

t'~CAnn.– Leçon d'ouverture du''ours de phvsiofu~if'))mars )8'i"). Lyon, IS7U,in-8.

PocofET ((<.) et HoBtx (Ch.). Claude Bernard.

JoM)'M(t< ~e r<H!<i<OMtc et de ~t ~/t!/StO~J~M, )K78.

REXA?; (Ernest). –Discours prononce !e jour de sa recepiionà t'Académie française. le avrH t87~.

Paris, 1~79, imp.t)i.dct.,iu-4.18-19, lîbr.!'i)n't879,iibr.Ca)nm)mLeYy,i))-8.

P. 3.~'(rtto'e de C~tffJc Bernfird. Paris, i88), p. 3.

RtCUE'r (Chartes). La métaphysique de Oaude Bet-nan)

d'après Letourneau.

RcMfe scient., i879, XV: p. 303, 377.

RtCKUX.–Claude Bernant.

Ga-:<'Mem(,c<~<i6f6vriet'[878.

RiTTt. Claude Bernard.

Ann. !t)~tco-psyc/to~)~ues, !878, p. 3t5.

Page 398: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

384 B!tt).)OHHAt'MtE DES TRAVAUX DE CLAUDE BEHKAHt).

BoussHAC. De ()u<<{ucs erreurs (te Claude Bernard.

t.'tMOtt mf'difai'e etiictetit. Rt't'ms, 1880, tV, p. )5t, ~S7, 2)7, 2?2.

Sc)<(t:)tEL (C.). Chmdc Bernard ''t. son principe du crité-

rium expcmnenta!.

~'<!me humaMB au point de fMC de ta science et/;Mo~)-(ip/t:gue, sui');t't'd'M/t~ Ko~ A' C~Md<! Bernard, par C. Scha'be!, 2' édition, < 8~'<,in-8.

A. B. Claude Bernard.

Jota-Mf~ de pAftrmKc'e, ntars )87~, p. 222.

<~)aude Bernurd.

Rc<;Mc sct'cn<)/~t<c, XIV, )878, p. '76t.

Oaudo Berniird.

JuMmeti de m~ecitte et de e~M'u)'~M, col. 49, i878, art.. 10744.

Ctaudc Bprxard.

~'«<Mrt:, JuxrH. f/'s'eKc< i878, )4 fevr-, p. 304.

Ctitudc Bcrttard.

Cff:e«e /m&(<om~~<fM'< <S fév. i878.

Oaude Bernard.

La rn6M)~Htë~:<;f)fe, n" 496, i7 février ~878.

t~tindc Bernard.

~t~em<'H)c ~<it'<ut~, 2S f6v. <878.

(~audc Bernard.

JL(t.<(<«M, ~878, 2 nmt's.

Ctaud'-Bernard juge par E. Benan.

Re! ~«~ M< i87i), IV, 233 & xM, 308 a 3)0.

OMMtM<o(e <orMM, 1879, XV, 2H, 2H7.

Ctimdc Bernard.

jtfed<c«< J'tmM, ), i878, p. 212 et 234.

Ctaude Bernard.

T/<e LtMtM*t, ), i878, p. 248 et 256.

Ctaudc Bernard.

77te IMM/t ModtM~ JoMma/, t, <878, p. 239, 260, 384, 42t.

ntaudc Bernard.

~er~ter KhnMK/te ~oe/t<'MSf/in/'<, <878, p. <09.

ERRATUM

Page Ï(M, cotounc 2, ligne 8, ajouter la tomaison Y)t.

Page 399: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

CLAUDEf}ERX<nt'tX.

M J

TABLE DES MATIÈRES

Introduction paj'Mathia'<Ht;u, v

Lœuvre de Claude Bernard. )

t. f~.At'nt: t!f;))'<A)tf) par K. RE~ mf~tthro de i'Acadcmie française

ctdet'Acadcmiedcsinscriptions et. bf'Hes-iettre'i. 3

n. LM rtt~YAUt !)): ('Aunt; BER'<AKt) par )'a)tt UEKT, professeur

d('phy8i()t()gie~r~e&)aFacu)t(''dps sciences. :)i)

H!.CLAC))EBEKXAK~p.in'ArmaadMonHAt.m(-'n)brcdft'A<'ademic

ftctTtcdecht~ 8~

Tabte alphabétique et analytique des matières contenues dans

les oeuvres de Claude Bernard f)8 votumf's).par le D' HocHn DE

).ACoK))HAtE, ancien interne des hôpitaux. 9a

Bibliographie des travaux scientifiques et bibliographie biogra-

phique de Claude Bernard, par Godefroy MALLOt~Et., sous-bibtio-

thcca'rcauMu')éum()'hi<toh'cnat)))'et)c. 33~

Page 400: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

LEÇONS D'ANATOM!E GENERALEt-'AtTRS AU COLf.Èt.E DE FRANCE

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Par le D' J -A. LABOULBÉNE

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Page 401: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

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Par H BEAUNtS et A. BOUCHARD

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Le nt&me. grande édition in-folio, dunt il ne rosto que peu d'exemplaires, formant84 pages de h-xte in-fn)io à 2 coionnes, et 84 planches tirées d'après les clichés

primitifs, dont if sur ptaques normales, représentant l'ensemble des expériencesé[ectro-physio)ogiqnes. 200 fr.

PHYSIOLOGIE DES MOUVEMENTS

DÉMONTRÉE A L'AIDE DE L'EXPÉRIMENTATION ÉLECTRIQUE

ET DE L'OBSERVATION CHKtQUE

Par le docteur G. B DUCHENNE (de Boulogne).

Paris, t86' 1 vo). in-8 de 8T! pagns avec t0~ HgurM. 14 fr.

DE L'ÉLECTRISATION LOCALISÉE

ET CK SON APPLICATION

A LA PATHOLOGIE ET A LA THÉRAPEUTIQUE

PAR COURANTS GALVANIQUES INTERROMPUS ET CO.')T)))!)S

Par le docteur G -B DUCHENNE (de Boulogne).

ï'fO!t<'Me f~MH.

Paris, )< t vol. !n-8 de M'-) 00 pages avec 235 figures et 3 ptanches. )8 fr.

ENVOI FRANCO CONTRE UN MAKOAT SUR LA POSTE.

Page 402: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

tJ!!HAm! J.-H. BAtLUËnE ET FILS, <<), hUH t)AUTEFEU!LLE.

Ch ROBIN

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<'tdct'Acad~ïniGdcn)6decim'.

ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE CELLULAIRES

OU DES CELLULES A'<[MALKS Et- Y!Cr:TALES,

DU PROTOPLASMA ET DES ÉLÉMENTS MMAW ET PATHOM6!6UES QUI EN 0[!)!VH)T

t'at'tS. !S'!3, ) 1 vol. in-8 de xx\Hi-Ci<) pa~es avec 83 figures. Cartonné. t6 fr.

TRAITÉ DU MICROSCOPE ET DES INJECTIONS

DE LEUR EMPLOI

DE I.EUXS Ai'PUCATiOfS A L'ANATOMft: HL'MMKH )T COMPAHÉH,

A t.A PATHOLOGIE MHn'CO-CHiRt'IU.fCAI.K,

A t.'ftt'-TOmE NATURELm AKtMAL).: );r Vt:(,KTALH ET A L'HCONOMft: AGtttCOLK.

Dst/.rtpMf édition, t'et'ue et c!M~n)en<<'e

t'aris, tS'!7, ) 1 vol. ir.-8 de xxn-HOO pages, avec 336 figures et 3 penches.

Cartonné. 20 fr.

.EÇO~S SUR LES HUMEURS NORMALES ET MORBIDES

DU COUPS DE L'HOMMEE

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DeM.Mfme édition, e0)')'!<yce et au~wen~c.

Paris, t8~, 1 vol. in-8 de xn-t003 pages, avec 3;j figures. Cartonné. 18 fr.

Mémetre sur le développement embrycgcMt~ue des hirudinées. Paris,

'8~6, i"'4, 't'!2 pages avec 19 planches tithographiées. go j'j.

Mémoire sur t'éT«tnt!on de la notocorde, des cavités des disques interver-

tébrauxetdeiourcontenugétatineux, Paris, )868,H)-'tda2t2pagM,avec)2pi. 12 fr.

Histoire naturelle des vésettmx parasites qui croissent sur t'homme et les

animaux vivants, Paris, 1853, 1 vol. in-8 de 700 pages, avec atlas de )5 pi. <;n par-tiH coloriées. ](;

Programme dit cours d'htetoto~te professé à la Faculté de médecine de Paris.

Deuxième édition, revue et davetoppÉe. Paris, t8'!0, 1 vol. in-8dexL-4t6pa"Ha. (! fr.

Mémoire sur let objets qui pes-est être caase-vés eM prt'parati~ntt

microscopiques, transparentes et opaques. Paris, )856,in-8. 2 fr.

Mémoire contenant la description auatomo-pathologique des dtversett

espèces de cataractes capsulaires et lenticulaires. Paris, !8j9,in-4deC2p. 2 fr.

Mémotre sur les mediacmtton!) de la muqueuse utérine pendant et aprèsta grossesse. Paris, )t!6!, in-4 avec 5 planches tithogr. 4 fr. 50

Traité de chimie am&tomtqme et physiologique, normate et pathologi-que, ou des principM immédiats normaux et morbides qui constituent le corps de

l'homme et des mammifères, par Ch. ROBIN et YERMtL. Paris, 1853, 3 forts vo-

lumes in-8, avec atlas de 46 planches en partie coloriées. gg fr.

ENVOt FHANCO CONTttE UN MANDAT SU)! LA t'OSTE.

Page 403: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

UnRAmtEJ.-n.)!A)Lt.U;XEETF[LS, )'),)tUE!t.TKFm')U.E.

LEÇONS SCtt LA PHÏS[OLO(UE COMPABKH

DE LA HESP1HATJONPar P&mt BERT

ï'Mff:s8P"rdeph;8'to!icC(jtnt'a<~càtaFac<itt6<)p~sC!e)iC!'s.

Pati<)8'!0,)\'ot.de.8Sj'!)ji:f!a.Mec).<')f)~))t'f*s. )<)fr.

THAtTË D'A~ATOMŒ COMPARÉE DES ANIMAUX DOMESTIQUES

Par A CHAUVEAU

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l'aris, ]S'!9,)Yot.r.in-8 de vt'9*)2 pages,av!'c3(!8Rg~rcit))oires(*tco!ori<!e' ''tfr.

THAtTË DE PHYSK)LOG!E COMPARÉE DES ANtMAUX

CONStUÉKÉE DANS SfM R\t'f'OM'S AVEC LHS SOEKCES NATUHEt.LEa

MÈUKOKE, LA XOOTECH~tE ET J/t;CONOM)t: HDnALK

Par G COLIN

rfof''s'iptn' n !'Eco!c ~~t~r'nairt' d'Atf~rt, mcmbt<* de t'Aca(]6)!)ie de n)6dc'ne.

DcM.t'~WCCf~iM!.

Pnn!}.187t-)8'!3.Yo).in-8,a''<'c'!06 figures. '!Gfr.

LES ORGANES DES SENS DANS LA SERIE ANIMALE

LEÇOKS D'ANATOMtK ET UE PHYSIOLOGIE COMPAREES

FAITES A t,A SOXBONNE

Par !e docteur Joa.nn6s CHATIKf

Maître de cûnfët'ences à Ijt Facuttë des scîeHces de P:uis,Professeur e~reg6 a t'Rcoie supérieure de phtruMett.

t'aris, !8SO, ) vo).in-8 de 740 p~K~ ~<'o 136 figures interM)6es dans le texte, tï

ÉLÉMENTS D'ANATOMtE COMPARÉE

DES ANiMAUX VEHTËBHËS

Par Th. H. HUXLEY

Traduit de par M" BMSET.

Précédé d'une introdMtton par te professeur Oh. ROB!N

Paris, )S'!&, ) vo). in-)8 Jésus du M8 pagef, avec )~ figures. (; fr.

LA VIE

ËTLDES ET PROBLÈMES DE BIOLOGIE GÉNÉRALE

Par P. E. CHAUFFARD

Professeur de PatMogie ~nerate 4 h FaeuiM de médecine, inspecteur gen~rK) do t'Uni'ersite.

Paris, t8'!8, 1 voi. in-8 de &26 pages. 7 fr. hO

Et!W FKAKCO CONTttE UH MANDAT SUR LA POSTE.

Page 404: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

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AXGKH. ~cu~etutx <'t''met)<« d «nxtntnte chtrur~icatf, par Bf'nj. AsRER,

chirurgien do t'hûpi~i Saint-Antoine. prof''sseur agrégé de )at''acuité.Paris. t8Mi~

tvo).in-8,det05.')pages,av<'c)0:!)ng.et)atiasin-4de)~p).co). 40 fr~

Séparément le texte, 1 vol. in-8. '~0 fr. L'atlas, t vol. in-4. 2:, fr.

ttiMAR (A.). StfHctHFe des gaH~Ucss seFTfS:! Anatonuo et physiologie.Paris, )S'!S, in-8, 68 pages. 2 fr.

HOUCHOT. jt~a ïte et ses attributs, dans leurs rapports avec la philosophie etla médecine ï' ~t<OM. Paris, i8'!<i, in-i8 jésus, i~O pages. 4 fr. 50

CADIAT (0.). CFtataîUn, StiatomiH et dÉ-e!oppemsnt, usages et régénération.Paris, i8':t!,in.8de80 pages, avec 2 planches. 2fr.5o

)Ëtnde anr t'aMatOtmte netrnmte et les tnmenra du sein chez la femmeParis, t876, in-8 de 60 pages, avec 3 p). et 20 fig. lithog. 2 fr. M)

CRUVEI~mUR Anatomie paih<tl«jtr!que dm corps humain, ou Descrip-tions, avec figures tithographiées et. coloriées, des diverses attérations morbidesdont le curps humain est susceptible. Paris, !S30-).S4. 9 vot. in-folio, avec 290

ptanci~escotoriées. 4;)6fr.

Traité d'anatomie pathologique. Paris, tS;9-t86~, 5 vol, in-8. 3& fr.

DALTON. <*hyttolog;'e et hy!e <'e< écoteo, des collèges et des familles.

Paris, t8'!0, 1 vol. in-!8 jésus de 59)< pages, avec <:8 f]; 4 fr.

HËBROU. ''a t'e; différentes manières de la concevoir et de l'expliquer. Ortéans,

t~69,in-!8jesm,2)!pages. 2fr.DEP)EHR[S (A.). ). TTratté de phyah~o~e genf-mte. ou Nouvelles Recherches

sur la vie et la mort. Paris, 1842, in-8. '?fr.M

UONtt~ ~A.i. Cours de tntffttecnpte comptémentaire des études médicates, ana-

tomie microscopique et pitysiotogiqnodes f)uidesdei'économie, Paris, t844, tvo!.

in-8de5à0pa~e- 7fr.RO

DOKK~ (A.) etFOUC\ULT(L.). Atlas du coura de microscopie, exécuté d'a-

près nature au microscope daguerréotype, par le docteur A. DoNtÈ et L. Fot;c.tm.T.

Paris, 1846, )<'o!.in-fo)iode 20 planclles gravées, avec un texte descriptif..i0 fr.

DCC[.OS(F.). La tie. Qn'eti-tu?B'<mvteMattt? Oit Vttt-tu? Paris, t8~8.

!vo).in-)2de204 pages. 2fr.DURAND (A. P ) )Ëtude m«a<<ttmi<)Me sur le spt["~ent cellulaire contraf

tile et le tissu connectifdumuscte cardiaque. Paris, )8'!9, grand in-8~ t)& pages,avec 3 planches. 3 fr. 500

DUTROCHi.T. Mémotre« pour tter~tr à 1 hit(t«!)re mnatomt~ue et physio-

totrtttue det) Té~t&nx et des nninMMX. Paris, t837, 2 vat in-8, avec attas

de30ot!mehes. (;tr.

ÉLOUI. Mecherchet h!atot<t~t<)meti sur le <t<en eonnectif de la cornéedes animaux vertébrés. Paris, )8iit,t vu), in 8, avec6p'.co). 6 fr.

']' Encyctnpédie anatomique, comprenant l'Anatomie descriptive, l'Anatomi

généMie, t'Anatomie pathuiogiqne, Dnstoire du Développement, par G.l'. BtscHOt'F.

HEM.)!, HUSCHKE, SCt:MME)tft[K6. F.-G. ÏHEtLE, G. VAt.KKTtN, J. VOCEL, G. et E. WKBM.traduit de l'allemand, parA.-J.-L.-touKnAN, membre de t'Académie de médecme.

Paris, i8<3-)847, 8 forts vol. !n-8, itVnctUa~m-4. L'ouvrage complet (75 fr.) 32 fr.FLOURENS. Mémoiref) <t'n<t«tomte et de phyetotos;<e eomparéett, conte-

nant des recherches sur f les lois de la symétrie dans le Règne animal 2° lemécanisme de la Rumination; 3° le mécanisme de la respiration des Poissons;

les rapports des extrémités antérieures et postérieures dans t'Homme, les Qua-

drupèdes et les Oiseaux. Paris, m4, gr. in-4 avec 8 planches coloriées. H fr.Methcrchex tnr le «etet«ppement des os ft des ttemta. 1841. in 4

t40p.avect2p).coi. 10 fr.Anatomie ~énerate de la peau et des membranes muqueuses. 1843, in-4,

)04p.avec6p).cot. 6fr.

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position chimique du corps humain. Paris, 1843, 2 vo). in-8, avec 5 pt. (15 fr.) 8 fr.

HUGUEMN. A't«t«tmte des eentrea mer~eux, par Ht!(,BE?t)!<, professeur à

t'Université de Zurich, traduit par Th. KEf.t.en et annoté par le docteur MathiasDuvAL. Paris, t8t9, in-8 de ;t<!8 pages avec t49ngurcs. 8 fr.

LEBERT fratté d'Mntttomtë pa)h<tt«Kt<)ne et j~énérnte epécinte, ou Des-

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ENVOI FttANCO C.nNTn);: UN MANDAT SUIt LA POSTH.

Page 405: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

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VtKËY. Me la phytttotegte dans ses rapports avec la philosophie, Paris, t8t4,

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VO<;HL ) TTft<tt d'anatomie pHth«!<t<r:q"e )céM<.MÏe )847, in-8. 4 fr.

X!ËCLKR (Martin). Atentetté et aKoVent, applications physiques, physiologiqueset médicales. Paris, )8'!4,in.t3,)'!T!p!'g<'s..ifr-50

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EKVOt t'HASCO COKTtU: t'N MAKUAT SUR t.A t'OSTH.

Page 406: Bernard, Claude (introdução e índice das obras completas)

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