bernard, claude (introdução e índice das obras completas)
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L'oeuvre de ClaudeBernard / notices par E.
Renan, Paul Bert etArmand Moreau ;
introduction par MathiasDuval ; table [...]
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque H. Ey. C.H. de Sainte-Anne
Renan, Ernest (1823-1892),Bert, Paul (1833-1886),Moreau, François-Armand (1823-1881),Bernard, Claude (1813-1878). L'oeuvre de Claude Bernard / notices par E. Renan, Paul
Bert et Armand Moreau ; introduction par Mathias Duval ; table alphabétique et analytique des oeuvres complètes de Claude Bernard par le Dr Roger de la Coudraie ;bibliographie... par G. Malloizel,.... 1881.
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Bernard, Claude
Oeuvre.
JB. Baimère
Paris 1881
des documents m!crof!tmés
Symbo!eapp!!cabte
pour tout, ou partie
Ong'na! t!!<s!b!e
MFZ43-T20-10
Symbole app!!caMe
des documents m!crof!tmés
Texte déténoré –reHure défectueuse
MFZ43.120-11
pourtout, ou parité
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L'OEUVRE
f'KF:
CLAUDE BERNARD
ŒUVRES DE CLAUDE BERNABD
CHEZZ LES MÊMES Éf'tTEMKS
COURSDE MÉDECINEDU COLLEGEM FHANC)-:
LEÇONS DE PHYSIOLOGIE OPÉRATO!RE
f'ari'i, i879,)vot. in-8 do 040pages, avectt<!Hg. 8 ff.
tLe~omt Ae ph~xtoto~te expértmentale apptiqueeà ta nt~deeine,fai-tes auCoU&gode Franco.Paris, 1855-!856,2 vo).in-8 avectOO{Sg. !4 fr.
JLe~eme «nr te* etTet* de* tmbttttnceo toxt~Mett et médicament<!NMa.Pa!'ts,t857, tvo!.in.8,avec33 Og. ') fr.
t<e~«M <mr tft phyttote~te et ta pmtheto~te <!mty~t~me "efveux. Pari'i, t858,3voi.in-8. avec79ag. H fr.
<<e~on< tur tea preprtét~tt phyt(t<'to}tt<)uet et tes tMrat.ions patho-logiquesdosiiqwMeade rorgamisme.PM!s, t859,2 vot. in-8 avecHg. (~ fr.
J~e~mM <)" pathnte~te expéttatenittle. Pan~, )8'!t, 1 vo). in-S de604p~gos. f f'r.
t<eçom< tut tea anesthésiques et an)r l'atphyxte. Pans, MM,tvoi.in-Sde 529 ptLges.Mecftg. t fr.
JLte~ont tMr la chaleur tmtmatf, sur les eû'ets ds h chataur et surlaS~re.PMh, t816, 1 voi. )n-8de ~t pages awcag. fr.
t~e~omt sur te <tt~hAte et ttt ~t:r<:<tfréttè«e MtmmtePem, !g?7,!YO). in-8 <ic&7Cp&ges. fr.
COURSDE PHYSIOLOGIEGÉNÉRALEDU MUSÉUM
LEÇONS SUR LES PHÉNOMÈNES DE LÀ VÏE
COMMUNSAUXASiMAUXET AUXTÉe&TAUX
Paris, )8~-t8~9, 9 yo). in-8, avecÛg.cH pt. )&rr.~pai'~tMt.'Tomc]), i8~9, 1 \o).i)t-8,do5a0p.,&ec3p).<!tf<g. 8 fr.
LA SCIENCE EXPËMMENTALE
fMMtsDESSetEKCMmïMOLOOtOUM.PMBt~MSSB):tt PBYSfet.06f<!<K~R<<.tt.MYtt. m TMtoBtseAKCtMKM~TH SCJMCKMODEBM):.
t.*CH~MURA'!)M~t.E. H SËSStftUTt. M CBRtM.–n C<BUR.I.)! CMVJStCBtSenU~"StitCHPTMXAt.'ÂCtO~M)t~m!<jHSt.
OtSeo<JMB'OCV]!«TUMmnse*!<CftPCBt.[QCfi*KKU«.H!DMC;K!)~C*C~MtM.Oetfjtcme <)<'OH,~8~8,1 YOt.in-tSjësus de 449pages, avecMHg. 4 fr.
tntrodwettoM & It im6deet«e expértNtemtttle. PMis, tM5/t yoLin-8 da~OOpages. l fr.
Précitteono<Trap''t<tMe de médeetne opératoire et ~'am~tomtecMm)r~ic~e. No)«)Mit<tt'aye. ) vot. in-t8 jesus, 495 pages, Mcctt3pianches,Sguresno!ros.Cartonne. 25 fr.La même,figurescotorioes.Cartonne. 48 fr.
Mi9(!CoMi«t,.t;'p.<-t!it<'r.CMTti.
CLAUDE BERNARD
')"'rJ.nnAa[.tKm':AF<M,t.t.
I. (JE U V R E
D
CLAUDE BERNARD
INTRODUCTION
FarMATtHASRUVAL
NOTICES
Pxr F. RKtAK, PAUL BE!tT et ARMAND MOUKAt
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE
des ŒaTrMMBptetestfeOaude Bernard
Par )<!))'' !)OC,EHn)':H COUDUAtK
Anc"'n'nt';rn~ttMh&p't!mx.
BIBLIOGRAPHIE DES TRAVAUX SCIENTIFIQUES
McmMrts, Lectures et CommuniMtiaM au!: Académies et Sociétés sat;)))))'s
ParG.MAH.OtXB).
son~-DihliUthéeaire ,lit \lueénm d'tlisfoire nat.nrrlla.
PAIUS
UBRAHUE .B. BAtLUÈRE ~r FtLS
~9.HnfHfmt<'rcumf,pr('Sfhtbou)e'm'iS!'i))t-G'et'n'a"t
~8~ i
T~itsfh'ui~~sprve't.
Avec un portrait de Claude Bernard
Y) INTRODUCTION.
Le caractère essentiel de toutes )es publications de
Claude Bernard est celui d'un rccucii de faits la théo-
rie n'y est qu'accessoire et provisoire il en résulte que
par exempte les expériences publiées dans la tondue
série des volumes du C'o~s de ~ec!?;e <ù< Collège de
France forment une mine inepuisabte ou chacun aujour-
d'hui et pendant longtemps pourra venir chercher les
faits nécessaires pour tel ou tel ordre de recherches.
Mais comment arriver aces faits, sans nn guide alpha-
bétique, sans une table qui permette de retrouver telle
expérience dont t'expose est venu, ainsi qu'it arrivait si
souvent t CI. Bernard, s'intercaler d'une manière inci-
dente dans l'étude d'une question appartenant en appa-
rence à un tout autre sujet ?̀?
D'autre part les opinions théoriques de C!. Bernard
ont pu paraitre parfois contradictoires; par exemple sa
manière de voir au sujet des vaso-moteurs constricteurs
et dilatateurs a été diversement comprise, et pour ies
opinions en apparence ou réellement contradictoires
qu'on lui a prêtées, on a pu trouver dans ses leçons des
passades propres a appuyer ces interprétations. C'est, il
faut le répéter, que Ct. Bernard ne faisait de théorie
que comme échafaudage provisoire pour élever rédiuce
des faits, et que ces idées théoriques, ces échafaudages,
il les considérait comme destinés à disparaître, et les
abandonnait ini-meme des qu'ils devenaient i'nutitcs ou
dangereux. C'estia toute une série d'évolutions scienti-
fiques qu'il est curieux de suivre, et dont la plupart
marquent des dates mémorables soit pour l'étude du
diabète, soit pour celle de la chaleur animale, ou de
l'asphyxie, etc., evotntions dont on se formerait une
idée fausse et incomplète en s'en tenant a quelques
passades pris au hasard sur chacune de ces questions.
Une table indicatrice rigoureusement renseignée per-
mettra a chacun de reconstituer ces sortes d'historiques
)XTRO[)UC'r)0!S. vu
de ta pensée du maitre, et ce ne serapas i'un des moin-
dres services que rendra le présent votunie :)u point <ie
vue de la critique expérimentale et de la philosophie de
ta science.
Claude Bernard avait senti pour lui-même ta uéces-
sité d'un pareil guide aiphabctique qui lui permit de
retrouver rapidement dans ses volumes de leçons, véri-
tal'tes cahiers d'expériences, les faits et tes idées théori-
ques qui devaient servir de point dedépart a des expé-
rienccs plus récemment entreprises. La Ta~ qui est
aujourd'hui puMiée, il ravait commencée lui-même
et poussée déjà assex loin. Ces premières notes du mai-
treont été religieusement conservées et fondues avec les
indications plus comptétes qui portent sur toute ta série
de ses travaux.
On trouvera dans cette 7aMc, non seulement i'indica-
tion de tous les faits nouveaux que contiennent les vo-
tûmes ou il rassemblait le résultat de ses recherches et le
résumé de ses expériences, mais encore « ces formules
élégantes et simples, selon t'expressiou de M. J.-H. Du-
mas()), ou l'imagination du
poète se mete a [a rigueur
dugéomètre.
Les éditeurs ont eu t'heurcuse pensée de faire précé-der cette 7'a/<' de t'étoge de Claude Bernard, prononcé
par M. E. Henan, torsqu'it est venu prendre séance a
l'Académie française: de ta conférence de M. Faut Bert
surses travaux, conterence qui est un exposé métho-
dique de ces grandes découvertes; ennn desparote.s
émues prononcées par M. Arm.oreau sur sa tombe.
Après la ?a/c, a pris ptace unebit)tiograp)tic très
comptètc. rédigée par ~t.Godefroy Mattoixet, sous-
bibliothécaireau Muséum d'Histoire naturette, qui
.J) Oumas, Ri.!CûM;< ~D'on~iff aM;)- /'Ht:f<ru!7/M de C/. Jïcryxt)'~ Ctamt~Bernard,<sc;M!c<'f'.rpf)'<Mit':iff;/f'.j):)~:R tu.
~'TMOt)UC'fJO.
Février )881.
comprendà ~fois~iiste
chronologique des travaux de<:taude Bernard, avec une
anatyse detaiHee de ses
pf-ittcipaux mémoires, et l'indication des diverses noticesconsacrées à honorer ta monoit't-du maitrc mnstn;et cher.
Appcte a revoir cette iongut'notneociahtn'. cctin-
vcntinrc d'une de nos plus gt-andcsrictu'ssesscicntiti-
<[)tcs, not)~ pcnscf; sereportait sans cesse au temps où,
dans une collaboration plus directe, nous écrivions soussa dictée la pensée (!u niaitre; c'est
pourquoi, dans cettesorte de
compienientactuet de coHahoration. c'est avec
ie scntitncnt de prendre part à une œuvre modeste,mais absolument utite, que nous avons
accepte de pré-senter au
publie 7'~A'~e~e c~
«'M/M~!<e
~M~'CA'COMï/J~/p.S </e C/<(? F~-MN~
.MATmAs DUYAL.
L'OEUVRE
))E
CLAUDE BERNARD
PAhil
Ernest RENAN, Paul BERT
et Armand MOREAU
1
CLAUDE BERNARD
Par E. RENAN
Membre Jet'AcadetuiefrM~.u'ie
ctdei'A.c<).(i<mn'd«tc.cri;)HHnset];e)tM-Let)ri's(ti
MESSIEURS,
Ce grand cardinal de Richelieu, comme tous les
hommes qui ont laissé dans l'histoire la marque de
leur passage, se trouve avoir fondé bien des choses
auxquelles il ne pensait guère, certaines même qu'ilne voulait qu'à demi. Je ne sais, par exemple, s'il
se souciaitbeaucoup de ce que nous appelons au-
jourd'hui tolérance réciproque et liberté de penser.La déférence pour les idées contraires aux siennes
n'était pas sa vertu dominante, et, quant à la liberté,ou ne voit pas qu'elle eût sa place indiquée dans le
(i) Discours de M. E. Renan, prononcé le jour de sa réceptionà l'Académie française, le 3 avril t879. ~ous devons à l'obligeancede M. Ernest Renan et de M. Calmann Lévy de pouvoir reproduirece discours, dont il existe une édition séparée, dans le format in-octavo librairie Calmann Lévy. Prix: t !r.
4 CLAUDE BERNARD
plande l'édifice qu'il bâtissait. Et pourtant, voici qu'à
deux ceut cinquante ans de distance, l'Apre fonda-
teur de l'unité française se trouve, dans un sens très
réel, avoir été le fauteur de principes qu'il eut peut-
être vivement combattus, s'il les eût vus éclore de
son vivant. Cette compagnie, qui est après tout la
plus durable de ses créations (depuis deux siècles et
demi, elle vit sans avoir modifié nn seul article de son
règlement!), qu'est-elle, Messieurs, si ce n'est une
grande leçon de liberté, puisque ici toutes les opi-
nions politiques, philosophiques, religieuses, litté-
raires, toutes les façons de comprendre la vie, tous les
genres de talent, tous les mérites, s'assoient côte à
côte avec nn droit égal. La règle de la maison de
Mécène, vous l'observez
A</ ~M 0/ M/C~
D/~oi'' hic a<~ est yt~a ~oc~o/ est locus uni-
CM~Më A«t<
Réunir les hommes, c'est être bien près de les récon-
cilier, c'est au moins rendre à l'esprit humain le plus
signalédes services, puisque l'œuvre pacinque de la
civilisation résulte d'éléments contradictoires; main-
tenus face à face, obligés de se tolérer, amenés à se
comprendre et presque à s'aimer.
Que vit, en effet, Messieurs, avec une admirable
sagacité, votre grandfondateur? Une chose qu'on a
exprimée depuis avec beaucoup de prétention, mais
qu'il fit mieux que de proclamer en paroles, qu'il
appliqua; je veux dire ce principe qu'a un certain
degré d'élévation, toutes les grandes fonctions de la
vie raisonnable sont sœurs que, dans une société bien
PAR E. RENA~.
organisée, tous ceux qui se consacrent aux belles et
bonnes choses sont collaborateurs; que tout devient
littérature quand on le fait avec talent; en d'autres
termes, que les lettres sont en quelque sorte l'Olympe
où s'éteignent toutes les luttes, toutes les inégalités,
où s'opèrent toutes les réconciliations. Séparées en
leurs applications spéciales, souvent opposées, enne-
mies même, les maîtrises diverses du monde des es-
prits se rencontrent sur les sommets où elles aspirent.
La paix n'habite que les hauteurs. C'est en montant,
montant toujours, que la lutte devient harmonie, et
que l'apparente Incohérence des efforts de l'homme
aboutit à cette grande lumière, la gloire, qui est en-
core, quoi que l'on dise, ce qui a le plus de chance de
n'être pas tout à fait une vanité.
C'est là l'idée mère de votre Compagnie, Messieurs.
Elle repose avant tout sur ce que je serais tenté d'ap-
peler le grand dogme français, l'unité de la gloire, la
communauté de l'esprit humain, l'assimilation detous les ordres de services sociaux en une légion uni-
que, créée, maintenue, sanctionnée par la patrie. Le
génie de la France avait déjà donné la mesure de sa
largeur en créant Paris, ce centre incomparable, où
se rencontrent et se croisent toutes les excitations,
tous les éveils, le monde, la science~ l'art, la littéra-
ture, la politique, les hautes pensées et les instincts
populaires, l'héroïsme du bien, par moments la fièvre
du mal. Le cardinal de Richelieu, en fondant votre
Compagnie (! sur des fondements assez forts (ce sont
ses propres paroles} pour durer autant que la monar-
chie» laConventionnationale, en décrétantl'Institut,
le premier Consul, en établissant la Légion d'hon-
6 CLAUDE BERNARD
neur, furent conduits par la même pensée c'est que
l'Etat, fondé sur la raison, croit au bien et au vrai et
en voit la suprême unité. Toutes les noblesses leur
apparurent comme égales. La gloire est quelque chose
d'homogène et d'identique. Tout ce qui vibre la pro-
duit. Il n'y a pas plusieurs espèces de gloire, pas plus
qu'il n'y a plusieurs espèces de lumière. A un degré
inférieur, il y a les mérites divers; mais la gloire de
Descartes, celle de Pascal, celle de Molière, sont
composées des mêmes rayons.
La plupart des pays civilisés, depuis le xvt" siècle,
ont eu des académies, et la science a tiré le plus grand
profit de ces associations, où, de la discussion et de
la confrontation des idées, nait parfois la vérité. Votre
principe va plus loin et plonge plus profondément
dans l'intime de l'esprit humain. Vous trouvez que le
poète, l'orateur, le philosophe, le savant, le politique,
l'homme qui représente éminemment la civilité d'une
nation, celui qui porte dignement un de ces noms qui
qui sont synonymes d'honneur et de patrie, que tous
ces hommes-là, dis-je, sont confrères, qu'ils travail-
lent à une oeuvre commune, à constituer une société
graude et libérale. Rien ne vous est indifférent le
charme mondain, le goût, le tact, sont pour vous de
la bonne littérature. Ceux qui parlent bien, ceux qui
sentent bien, le savant qui a fait de profondes décou-
vertes, l'homme éloquent qui a dirigé sa patrie dans
la glorieuse voie du gouvernement libre, le méditatif
solitaire qui a consacré sa vie à la vérité, tout ce qui a
de l'éclat, tout ce qui produit de la lumière et de la
chaleur, tout ce dont l'opinion éclairée s'occupe et
s'entretient, tout cela vous appartient; car vou&
PAR E. RENAN. 7
repoussez également et l'étroite conception de la vie
qui renferme chaque homme dans sa spécialité comme
dans une espèce de besogne obscure dout il ne doit
pas sortir, et la fade rhétorique où l'art de bien dire
est confiné dans les écoles, séparé du monde et de
la vie.Cet esprit de votre fondation, vous le conservez
admirablement, Messieurs et m'en faut-il d'autre
preuve que ce que je vois en venant occuper aujour-
d'hui le siège où votre indulgence a bien voulu m'ap-
peler ? Pour ne rien dire de pertes récentes et si
cruelles que seule votre Compagnie pouvait les en-
durer sans être amoindrie, quelle variété je trouve
en cette enceinte, quels hommes, quels caractères,
quels cœurs! Vous, cher et illustre maître, dont le
génie, comme le timbre des cymbales de Bivar, a
sonné chaque heure de notre siècle, donné un corps
à chacun de nos rêves, des ailes à chacune de nos
pensées. Vous, bien-aimé confrère, qui trouvez dans
une noble philosophie la conciliation du devoir et de
la liberté. Ici je vois la poésie souveraine qui nous
impose le monde qu'elle crée, nous entraîne, nous
dompte, sous le coup impérieux de son archet ma-
gique; là (ces contrastes sont votre gloire), le sens
droit et ferme de la vie, l'art charmant du roman-
cier, l'esprit du moraliste, et, ce que notre pays seul
connaît encore, le rire aimable, l'ironie légère, Ici la
foi sincère, l'art excellent de tirer d'un culte bien
entendu pour le passé la dignité de toute une vie, le
repos dans des doctrines qu'il n'est pas permis de
qualifier d'étroites, puisque de grands génies s'y sont
trouvés à l'aise; là une négation réfléchie, calme,
8 CLAUDEBERNARD
sûre d'elle-même, et donnant à l'âme forte qui s'y
complait le même repos, au caractère d'acier qui s'y
plie la même grandeur que la foi. Ici la politique sin-
cère, qui, dans nos jours troublés, a cru, pour sauver
le pays, devoir retenir aux maximes qui l'ont fondé;
là une politique non moins sincère, qui s'est tournée
résolument vers l'avenir et a conçu la possibilité
d'une société vivante et forte sans les conditions qui
autrefois paraissaient pour cela de nécessité absolue.
Et dans l'appréciation du plus grand événement de
l'histoire moderne, de cette Révolution qui est de-
venue comme la croix de chemin où l'on se divise, le
symbole sur lequel on se compte, que de pacinques
dissentiments! Ici la foi dans le signe qui une fois a
vaincu, l'enthousiasme des jours sublimes où un
souffle étrange courut dans cette foule et la fit penser
et parler pour l'humanité, la hardie assurance de
cœurs virils, disant à leurs aînés, comme les jeunes
gens de Sparte « Nous serons ce que vous fûtes
là un loyal effort pour peindre dans toute leur vérité
des scènes funestes et dont on voudrait dire, comme
L'Hôpital de la Saint-Barthélémy
A~c~ ~?' M<M/a? jt~a~Mr cn/~a gentis.
Où est donc votre unité, Messieurs? Elle est dans
l'amour de la vérité, dans le génie qui la trouve, dans
l'art savant qui la fait valoir. Vous ne couronnez pas
telle ou telle opinion vous couronnez la sincérité
et le talent. Vous admettez pleinement que, dans
toutes les écoles, dans tous les systèmes, dans tous
les partis, il y a place pour l'éloquence et la droiture
du cœur. Tout ce qui peut s'exprimer en bon fran-
r'ARE.REKAN. 9
cais, tout ce qui fait le grand homme ou l'homme ai-
mable, a chez vous ses entrées. Il y a une source
commune d'ail dérivent le bon style et la bonne vie,
le bien-dire et le noble caractère. Vous enseignez la
chose dont l'humanité a le plus besoin, la concorde,
l'union des contrastes. Ah si le monde pouvait vous
imiter L'homme vit quatre jours ici-bas quoi de
plus fou que de les passer à haïr, quand il est clair
que l'avenir nous jugera comme nous jugeons le
passé et que, dans cinquante ans, on traitera d'en-
fantillage les batailles où nous sacrifions le meilleur
de notre vie
Voilà le secret de votre éternelle jeunessevoilà
pourquoi votre institution verdoie, quand le monde
vieillit. Tout s'embrasse dans votre sein. Ailleurs la
littérature et la société sont choses distinctes, pro-
fondément divisées. Dans notre pays, grâce à vous,
elles se pénètrent. Vous vous inquiétez peu d'en-
tendre annoncer pompeusement l'avènement de ce
qu'on appelle une autre CM//M?'<?,qui saura se passer
du talent. Vous vous défiez d'une c?<<r<? qui ne rend
l'homme ni plus aimable ni meilleur. Je crains fort
que des races, bien sérieuses sans doute, puisqu'elles
nous reprochent, notre légèreté, n'éprouvent quelque
mécompte dans l'espérance qu'elles ont de gagner
la faveur du monde par de tout autres procédés que
ceux qui ont réussijusqu'ici.
Une science pédantes-
que en sa solitude, une littérature sans gaieté, nne
politique maussade, une haute société sans éclat, une
noblesse sans esprit, des gentilshommes sans poli-
tesse, de grands capitaines sans mots sonores, ne
détrôneront pas, je crois, de sitôt, le souvenir de
10 CLAUDEBERNARD
cette vieille société française si brillante, si polie, si
jalouse de plaire. Quand une nation, par ce qu'elle
appelle son sérieux et son application, aura produit
ce que nous avons fait avec notre frivolité, des écri-
vains supérieurs à Pascal et à Voltaire, de meilleures
têtes scientifiques que d'Alembert et Lavoisier, une
noblesse mieux élevée que la nôtre au xvo" et au
xvm" siècle, des femmes plus charmantes que celles
qui ont souri à notre philosophie, un élan plus extra-
ordinaire que celui de notre Révolution, plus de fa-
cilité à embrasser les nobles chimères, plus de cou-
rage, plus de savoir-vivre, plus de bonne humeur
pour affronter la mort, une société, en un mot, plus
sympathique et plus spirituelle que celle de nos
pères, alors nous serons vaincus. Nous ne le sommes
pas encore. Nous n'avons pas perdu l'audience du
monde. Créer un grand homme, frapper des médail-
lons pour la postérité, n'est pas donné à tous. JI y
faut votre collaboration. Ce qui se fait sans les Athé-
niens est perdu pour la gloire longtemps encore
vous saurez seuls décerner une louange qui fasse
vivre éternellement.
Ainsi, en conservant votre vieil esprit, vous con-
servez la meilleure des choses. Vous admettez tous
les changements, tous les progrès dans les idées les
cadres, vous les maintenez, et, de tous les cadres, le
plus essentiel, c'est la langue. Une langue bien faite
n'a plus besoin de changer. Le français, telque
l'a
créé le xvn" siècle, peut servir à l'expression d'idées
que n'avait pas le xvn° siècle. Assurément, quelques
modifications de nuances sont nécessaires. Même le
cardinal de Betz aurait besoin d'un moment de ré-
PAR E. RENAN. [)
flexion pour comprendre certaines phrases de Tur-
got et de Condorcet. Turgot et Condorcet remar-
queraient, s'ils pouvaient nous lire, que, chez les
meilleurs Écrivains de notre temps, le sens de quel-
ques mots, tels que ~M/«/Mn, ~a/M?:, f~'<?~)<?-
Mpy~, ~MMMM<?H/, ~/M?'z/o~, a pris une extension
répondant à certaines idées philosophiques. Mais la
langue est bien la même on ne la trouve pauvre,
cette vieille et admirable langue, que quand on ne la
sait pas on ne prétend l'enrichir que quand on ne
veut pas se donner la peine de connaître sa richesse.
Toutes les hardiesses sont permises, excepté les har-
diesses contre vous, Messieurs. On ne vous brave ja-mais impunément. J'ai remarqué que cela portaitmalheur. Dans mes plus grandes libertés, la crainte
de l'Académie a toujours été au fond de mon cœur,
et je m'en suis bien trouvé.
Merci donc, Messieurs, de m'avoir associé à votre
Compagnie et à votre œuvre. Comptez sur moi pourvous aider à étonner les personnes qui n'ont pas le
secret de vos choix et n'en comprennent pas toute
la philosophie. Vous n'êtes pas une distribution de
prix. L'hérésie la plus dangereuse en ce monde est
de réclamer en tout une justice rigoureuse, que la
nature n'a pas voulue. Justes, vous l'êtes jusque dans
vos délais. On arrive a votre cénacle à l'âge de l'Ec-
clésiaste, âge charmant, le plus propre a la sereine
gaieté, où l'on commence à voir, après une jeunesselaborieuse, que tout est vanité, mais aussi qu'unefoule de choses vaines sont dignes d'être longue-ment savourées. Mes confrères de l'Académie des
Inscriptions et Belles-Lettres, qui me connaissent
12 CLAUDEBERNARD
depuis vingt-deux ans, vous rendront ce témoignage
que je suis bon académicien, bien exact dans l'ac-
complissement de mes devoirs. Comptez sur mon as-
siduité et mon application moi, je compte sur de
charmantes heures àpasser parmi vous.
Ces maximes fondamentales que j'essayais d'es-
quisser tout à l'heure, vous les avez admirablement
appliquées, Messieurs, le jour où vous choisissiez
pour confrère l'homme illustre auquel vous m'avez
appelé à succéder parmi vous. Claude Bernard fut
le plus grand physiologiste de notre siècle. L'Aca-
démie des Sciences fera son éloge elle exposera ces
découvertessurprenantes qui ont porté la lumière sur
les opérations les plus intimes des êtres organisés.Ce n'est pas le physiologiste que vous avez nommé,
Messieurs dans les élections de savants illustres,
c'est l'homme même, ou, en d'autres termes, l'écri-
vain que vous prenez. L'intelligence humaine est un
ensemble si bien lié dans toutes ses parties, qu'un
grand esprit est toujours un bon écrivain. La vraie
méthode d'investigation, supposant un jugementferme et sain, entraîne les solides qualités du style.Tel mémoire de Letronne et d'Eugène Burnouf, en
apparence étranger à tout souci de la forme, est un
chef-d'œuvre à sa manière. La règle du bon style
scientifique, c'est la clarté, la parfaite adaptation au
sujet, le complet oubli de soi-même, l'abnégation
absolue. Mais c'est là aussi la règle pour bien écrire
en quelque matière que ce soit. Le meilleur écrivain
est celui qui traite un grand sujet, et s'oublie lui-
même, pour laisser parler son sujet.« II se sert de
PAR E. REN.\i\3
laparole,
écrivait. M. de Cambra: à ~otre secrétaire
perpétuel, comme un homme modeste de son habit
pour se couvrir. )1 pense, il sent, la parole suit. ))
Principe admirablement vrai Le beau est hors de
nous, notre tâche est de nous mettre à son service
et d'en être les dignes interprètes. Avoir quelquechose a~ dire, ne pas gâter la beauté naturelle d'un
sujet noble, d'une pensée vraie, par le désordre,
l'obscurité, l'incorrection, le faux goût, telle est la
condition, essentielle de cet art du bon langage, quecertaines personnes, bien à tort, se figurent distinct
de l'art même de penser et de trouver le vrai.
C'est en vous souvenant de ces principes que votre
attention se porta sur un homme voué aux travaux
en apparence les plus éloignés de ce qu'on peut ap-
peler la littérature. M passait sa vie dans un labora-
toire obscur au Collège de France et là, au milieu
des spectacles les plus repoussants, respirant l'at-
mosphère de la mort, la main dans le sang, il trou-
vait les plus intimes secrets de la vie, et les vérités
qui sortaient de ce triste réduit éblouissaient tous
ceux qui savaient les voir. Écrivain, certes il l'était,et écrivain excellent; car il ne pensa jamais à l'être.
Il eut la qualité première de l'écrivain, qui est de ne
pas songer à écrire. Son style, c'est sa pensée elle-
même et, comme cette pensée est toujours grandeet forte, son style aussi est toujours grand, solide et
fort. Rhétorique excellente que celle du savant! Car
elle repose sur la justesse d'un style vrai, sobre, pro-
portionné à ce qu'il s'agit d'exprimer, ou plutôt sur la
logique, base unique, base éternelle du bon style.
Rhétorique au fond identique à celle de l'orateur,
i4 CLAUDEBERNARD
f<qui ne se sert de la parole que pour la pensée et de
la pensée que pour la vérité Rhétorique au fond
identique à celle du grand poète Car il y a une lo-
gique dans une tragédie en cinq actes comme dans
un mémoire de physiologie, et la règle des ouvrages
de l'esprit est toujours la même être égal à la mé-
rité, ne pas l'affaiblir en s'y mêlant, se mettre tout
entier à son service, s'immoler à elle pour la mon-
trer seule, dans sa haute et sereine beauté.
Telle est la raison qui fait que, depuis votre fonda-
tion, vous avez eu pour confrères Mairan, Buffon,
d'AIcmbert, Vicq d'Azyr, Cuvier, Claude Bernard et
le chimiste illustre qui continue à l'heure qu'il est
dans \otre sein cette glorieuse tradition. Vous repré-
sentez l'esprit humain. Comment le plus beau fleuron
de l'esprit humain, la science vous serait-elle étran-
gère? Vous ne voyez, il est vrai, que le résultat;
l'œuvre pénible du laboratoire n'est pas votre do-
maine. De même que, le soir, en admirant l'éclairage
de nos grandes cités, nous jouissons de l'éblouis-
sante lumière sans songerau
récipientobscur où elle
se prépare, de même vous assistez à ces éclosions
merveilleuses sans vous préoccuper du travail maté-
riel qui les amfne. Vous acceptez les conquêtes défi-
nitives vous constatez les transformations que ces
merveilleuses découvertes introduisent dans toute la
discipline de l'esprit. Qui ne voit que Galilée, Des-
cartes, Newton, Lavoisier, Laplace, ont changé la
base de la pensée humaine, en modinant totalement
l'idée de l'univers et de ses lois, en substituant aux
enfantines imaginations des âges non scientifiques la
notion d'un ordre éternel, où le caprice, la volonté
PARE~EKÂM. 15
particulière, n'ont plus de part. Ont-iis diminué l'uni-
vers, comme le pensent quelques personnes ? Pour
moi, j'estime tout le contraire. Le ciel, tel qu'on le
voit, avec les données de l'astronomie moderne, est
bien supérieur à cette voûte solide, constellée de
points brillants, portée sur des piliers, à quelques
lieues de distance en l'air, dont les siècles naïfs se
contentèrent. Je ne regrette pas beaucoup les petits
génies qui autrefois dirigeaient les planètes dans leur
orbite la gravitation s'acquitte beaucoup mieux de
cette besogne, et, si par moments j'ai quelques mé-
lancoliques souvenirs pour les neuf chœurs d'anges
qui embrassaient les orbes des sept planètes, et pour
cette mer cristalline qui se déroulait aux pieds de
l'Éternel, je me console en songeant que l'infini où
notre œil plonge est un infini réel, mille fois plus su-
blime aux yeux du vrai contemplateur que tous les
cercles d'azur des paradis d'Angelico de Fiésole.
L'homme d'État illustre dont la mort a produit un
si grand ~ide dans votre Compagnie laissait rarement
passer une belle nuit sans jeter un regard sur cet
océan sans limites. <'C'est là ma messe, u disait-il.
Combien les vues profondes du chimiste et du cris-
tallographc sur l'atome dépassent la vague notion de
la matière dont se viviliait la philosophie scolastique
Et, quant à l'âme qui menait, à un moment donné
avant la naissance, s'adjoindre à une masse qui jus-que-là ne méritait aucun nom, mon Dieu! parfois jela regrette, je l'avoue; car il était facile de démon-
trer qu'une telle âme, créée tout exprès, se détachait
sans peine du corps qu'elle avait cessé d'animer
mais, en y réfléchissaut, je retrouve plus d'âme en-
CLAUDEHERXAHD
core dans ce mystère sans fond de la vie, où nous
voyons la conscience émerger de l'abîme, comme un
rameau d'or prédestine, et l'œuvre divine se pour-
suivre par un effort sans un, où la personne de cha-
cun de nous laissera une trace éternelle. Le triomphe
de la science est en réalité le triomphe de l'idéalisme.
Heureuse génération que la nôtre Combien de mar-
tyrs de la science ont voulu voir ces merveilles et
n'en ont eu que l'incomplète divination Jouissons de
ces connaissances que tant d'hommes illustres n'ont
fait qu'entrevoir, et, quand l'horizon se charge de
nuages passagers, quand nous serions tentés de mé-
dire de notre siècle, songeons que ces héros du passé,
unJordano Bruno, un Galilée, donneraient dix fois
encore leur vie pour savoir le dixième de ce que nous
savons, et qu'ils estimeraient de telles conquêtes trop
peu achetées de leurs larmes, de leurs angoisses et
de leur sang.
Et, quant à la noblesse des caractères, comment
reprocher i la science d'y porter atteinte, quand on
voit les âmes qu'elle forme, ce désintéressement, ce
dévouement absolu à l'œuvre, cet oubli de soi-même,
qu'elle inspire et entretient? Ici encore, nous n'avons
rien à envier au passé. Au saints, aux héros, aux
grands hommes de tous les âges, nous comparerons
sans crainte ces caractères scientifiques, attachés
uniquement à la recherche de la vérité, indifférents
à la fortune, souvent fiers de leur pauvreté, souriant
des honneurs qu'on leur offre, aussi indifférents à la
louange qu'au dénigrement, sûrs de la valeur de ce
qu'ils font, et heureux, car ils ont la vérité. Grandes
assurément sont les joies que donne une croyance
PAHE.HENAN.
CLAUUH BMKKAM. X!X. 2
assurée sur les choses divines; mais le bonheur in-
time du savant les égaie; caril sent qu'il travaille à
une œuvre d'éternité.. et qu'il appartient à la phalangede ceux dont on peut dire 0/ù'<w~M) ~MM~r illos.
Claude Bernard, Messieurs, fut de ceux-là. Sa vie,
toute consacrée au vrai, est le modèle que nous pou-vons opposer à ceux qui prétendent que, de notre
temps, la source des grandes vertus est tarie. H naquitau petit village de Saint-Julien, près de Villefranche,dans une maison dp signerons, qui lui resta toujours
chère, et où il passa, jusqu'aux derniers temps, ses
moments les plus doux. « J'habite, écrivait-il, sur
les coteaux du Beaujolais, qui font face à la Dombe.
J'ai pour horizon les Alpes, dont j'aperçois les cimes
blanches, quand le ciel est clair. En tout temps, jevois se dérouler a deux lieues devant moi les prairiesde la vallée de la Saône. Sur les coteaux où je de-
meure, je suis noyé a la lettre dans des étendues sans
bornes de vignes, qui donneraient au pays un aspect
monotone, s'il n'était coupé par des vallées ~bragéeset par des ruisseaux qui descendent des montagnesvers la Saône. Ma maison, quoique située sur une
hauteur, est comme un nid de verdure, grâce à un
petit bois qui l'ombrage sur la droite et à un verger
qui s'y appuie sur la gauche haute rareté dans un
pays où l'on défriche même les buissons pour planter.de la vigne!
Bernard perdit son père de bonne heure dans ses
premières années, comme au début de la vie de pres-
que tous les grands hommes, se plaça l'amour d'une
mère, qu'il adorait et dont il était adoré. Comme il
apprenait bien & l'école, le curé le choisit pour enfant
<8 CLAUDEBERNARD
de chœur et lui fit commencer le latin. Il continua
ses études au collège de "Villefranche, tenu par des
ecclésiastiques; et, la situation de sa famille ne lui
permettant pas les années de loisirs, il vint le plus
tôt qu'il put à Lyon, où il trouva, chez un pharmacien
du faubourg de Vaise, un emploi qui lui donnait la
nourriture et le logement. Cette pharmacie desservait
l'École vétérinaire située près de là, et c'était Bernard
qui portait les médicaments aux bêtes malades. Déjà
il jetait plus d'un regard curieux sur ce qu'il voyait,
et il y avait dans « Monsieur Claude» comme l'appe-
lait son patron, bien des choses qui étonnaient ce
dernier. C'était surtout à propos de la thériaque qu'ils
ne se comprenaient pas. Toutes les fois que Bernard
apportait à l'apothicaire des produits gâtés « Gardez
cela pour la thériaque, lui répondait ce digne homme;
ce sera bon pour faire de la thériaque. w Telle fut
l'origine première des doutes de notre confrère sur
l'efficacité de l'art de guérir. Cette drogue infecte,
fabriquée avec toutes les substances avariées de l'offi-
cine, quelle que fût leur nature, et qui guérissait tout
de même, lui causait de profonds étonnements.
Il était jeune, et sa voie était encore obscure devant
lui. 11 essayait toute chose il eut un petit succès sur
un théâtre de Lyon avec un vaudeville, dont il ne vou-
lait jamais dire le titre, puis vint à Paris, ayant dans
sa valise une tragédie en cinq actes et une lettre. Il
tenait naturellement plus à la tragédie qu'à la lettre;
mais le fait est que la lettre valut pour lui mille fois plus
que la tragédie. Elle était adressée à notre judicieux
et regretté confrère M. Saint-Marc Girardin. L'hon-
nête homme que nous avons connu se montra bien
PAUE.RENAK. t99
dans cette circonstance. Il lut la tragédie, fut très net
et conseilla au jeune homme d'apprendre un métier
pour vivre, quitte à faire ensuite de la poésie à ses
heures. Claude Bernard suivit cette précieuse indica-
tion, et combien cela fut heureux, Messieurs Auteur
dramatique, il eût ajouté quelques tragédies de plus
au tas énorme de celles qui attendent à l'Odéon les
réparations de la postérité; il est douteux qu'il fût
devenu votre confrère. Ainsi, en tournant le dos à la
littérature, il prit le droit chemin qui devait le mener
parmi vous. En réalité, sa vocation était scientifique.
La médecine, qui est à la fois le plus honorable des
états et la plus passionnante des sciences, fut l'occu-
pation de son choix.
Les facilités qu'on a créées depuis aux abords des
carrières scientifiques n'existaient point alors. La
société humaine a été jusqu'ici ainsi faite que la
recherche pure de la vérité ne rapporte rien à celui
qui s'y livre. Le nombre de ceux qui s'intéressent à
la vérité étant imperceptible, le savant vit, non de la
science, mais des applications de la science; or, de
toutes les applications de la science, la plus indispen-
sable a toujours été la médecine. Aux siècles barbares,
la science n'en connut guère d'autre; presque tous
les savants du moyen âge. musulmans ou chrétiens,
ont trouvé l'appui nécessaire à la vie en se disant
médecins car l'homme le plus brutal et le plus fana-
tique, quand il est malade, veut être guéri. On peut
dire que, si l'humanité s'était toujours bien portée, la
science et la philosophie seraient vingt fois mortes de
faim. Claude Bernard, déjà invinciblement attiré par
les problèmes de la nature vivante, embrassa la pro-
20 CLAUDE MH~iAM
fessiou qui se trouvait, eu quelque sorte a sa portée;
mais des deux grandes parties de la médecine, l'art
de guérir et la connaissance du sujet à guérir, la
seconde eut toutes ses préférences. Disons-le, Ber-
nard était aussi peu médecin que possible. 11 était
sceptique a l'égard de l'autel qu'il desservait. Le mé-
decin, comme le magistrat, applique des règles qu'il
sait n'Être pas parfaites, et, de même que le meilleur
magistrat fait souvent faire peu de progrès a la légis-
lation, de même le meilleur praticien n'est pas tou-
jours un savant. Sa tâche est presque aussi difficile
que celle de l'horloger à qui on demanderait de cor-
rige:' les irrégularités d'une montre qu'il lui serait
défendu d'ouvrir. Or, ce que cherchait Bernard,
c'était le secret même des rouages intérieurs; cette
montre, il la brisait, l'ouvrait violemment, plutôt que
d'admettre qu'il fût permis de la manier à l'aveugle et
sans savoir clairement ce que l'on fait.
Ilexpia
comme il convient sa supériorité et ses
dons exceptionnels. La physiologie, quand il débuta,
n'avait guère de place dans l'enseignement. Lors de
la division des sections dans le sein de l'Académie des
Sciences, eu 1795, division qui, par un privilège sin-
gulier, est venue jusqu'à nos jours presque sans
modifications, ou ne conçut la science de la vie que
sous le nom de M~fA'c/w. Claude Bernard paya cher
la gloire d'être créateur, Il n'y avait pas de cadre pour
lui. Le temps était plus favorable à une littérature
souvent de médiocre aloi qu'a des recherches qui ne
prêtaient pas à de jolies phrases. De son entresol de
la cour du Commerce, Bernard lutta seul. 11 y avait
dans la vie pauvre, ardente, du quartier Latin d'alors,
PAR E. RENAN. 2t
tant de !0t, d espérance, de loyale et généreuse fra-
ternité, que nulle épreuve ne l'arrêta. Avec son ami, te
docteur Lasëgue, il essaya, vers 1845, d'établir nu
laboratoire de physiologie. Cela se passait rue Saint-
Jacques, près du Panthéon, avant que des trouées,
désolantes pour ceux dont elles dérangent les souve-
nirs, eussent fait pénétrer l'air et le jour dans ces
sombres ruelles qui n'avaient point changé depuis le
xive siècle. Le laboratoire n'eut pas plus de cinq ou
six élèves, et l'établissement ne fit jamais les frais du
hangar qui l'abritait ni des lapins qu'on y sacrifiait.
Mais Claude Bernard y conçut l'idée de ses expé-
riences sur la corde du tympan, sur le suc gastrique.
Il essaya les concours, et y échoua complètement; il
n'avait pas les qualités superficielles qui font réussir
en des épreuves où c'est un défaut d'avoir des idées,
et où l'on est perdu si un moment on se laisse aller à
suivre sa propre pensée. Son air était gauche et em-
barrassé, et les brillants sujets qui croyaient se par-
tager l'avenir ne lui prédisaient qu'une carrière médi-
cale des plus modestes.
Quelqu'un qui ne s'y laissa point tromper, ce fut
M. Magendie. Le sort, on serait tenté de dire une
harmonie préétablie, avait attaché Claude Bernard au
service de cet homme éminent, à l'Hôtel-Dieu. Ja-
mais le hasard n'opéra un rapprochement plus judi-cieux. Bernard et Magendie étaient en quelque sorte
créés pour se joindre, se compléter et se continuer.
Si Magendie n'eût pas eu Bernard pour élève, sa gloire
ne serait pas le quart de ce qu'elle est. Si Bernard
n'eût pas trouvé la direction de Magendie, il est dou-
teux qu'il eût pu surmonter les énormes difficultés
22 CLAUDE BERNARD
matérielles que la fortune, par un jeu malin, sem-
blait avoir semées devant lui, comme pour lui rendre
méritoires les brillantes faveurs qu'elle lui réservait.
Chose singulière Le premier abord de l'homme
qui devait être son initiateur à la vie scientifique lui
fut désagréable, presque pénible. Magendie, avec ses
rares qualités, était peu aimable. Son accueil rude
déconcerta le jeune interne, et un moment Bernard
méconnut la rare chance qui lui était échue. Magen-
die, lui, n'hésita pas longtemps. Au bout de quelques
jours, sachant à peine le nom de son jeune élève,
ayant remarqué ses yeux et sa main pendant une
dissection « Dites donc, lui cria-t-il, d'un bout de
la table à l'autre, je vous prends pour mon prépara-
teur au Collège de France. A partir de ce jour, la
carrière de Claude Bernard était tracée. Il avait trouvé
l'établissement qui seul pouvait convenir au dévelop-
pement de son génie.
Grâce, en effet, à la complète liberté dont jouit le
professeur dans cette école unique, Magendie, sui-
vant les traces de Laënnec, faisait sous le titre de
« Médecine un cours de recherches originales sur
les phénomènes physiques de la vie. Magendie n'était
pas l'idéal du médecin il était trop critique envers
lui-même pour pratiquer un art qui consiste aussi
souvent à consoler le malade qu'à le guérir. Mais c'é-
tait l'idéal du professeur au Collège de France, tou-
jours cherchant le nouveau, ne visant en rien au
cours complet, uniquement attentif à éveiller chez
ses auditeurs l'esprit d'investigation. Comme le vrai
professeur au Collège de France, il ne préparait pas
son cours et donnait à ses élèves le spectacle de ses
PAR E. RENAX. 23
doutes, de ses perplexités. Bien différent de ceux qui
prennent d'avance leurs précautions pour éviter l'em-
barras que leur causerait un entretien trop immédiat
avec une réalité qui leur est peu familière, il interro-
geait directement la nature, souvent sans savoir ce
qu'elle répondrait. Quelquefois, quand il se hasardait
à prédire le résultat, l'expérience disait juste le con-
traire. Magendie alors s'associait à l'hilarité de son
auditoire, il était enchanté car, si son système, au-
quel il ne tenait pas, sortait ébréché de l'expérience,son scepticisme, auquel il tenait, en était confirmé.
Avec ce caractère, il devait laisser à son préparateurune
part considérable dans la direction du cours.
Claude Bernard faisait l'expérience de chaque leçon
avec sa prodigieuse habileté d'opérateur, et, à la troi-
me ou quatrième séance, Magendie sortait de la salle
en disant du ton bourru qui lui était habituel « Eh
bien, tu es plus fort que moi. »
Ce que Magendie, en effet, avait voulu, prêché,désiré durant quarante ans, Claude Bernard le fai-
sait. L'expérience en physiologie n'était assurément
pas une chose absolument neuve. Descartes, dans les
heures fécondes qu'il consacra à la science de la vie,en eut l'idée la plus claire. Harvey avait vérifié la cir-
culation du sang sur les daims des parcs royaux, quelui livrait Charles I". Haller, Réaumur, SpaIIanzani,avaient imaginé les moyens les plus ingénieux pour
prendre la nature sur le fait. De graves objectionss'élevaient pourtant contre l'application de la mé-
thode expérimentale à la vie. Le grand Cuviers'eu fit
l'interprète. La vie est une, disait-on l'attaquer dans
sa simplicité est impossible attaquer chaque partie,
CLAUDEBERKAM
la séparer de la masse, c'est la reporter dans l'ordredes substances inertes. On opposait trop la. nature
inorganique à la nature organisée. On se figurait quela vie résulte de forces à part, que les faits qui se pas-sent dans l'être vivant sont assujettis à des lois tontes
particulières, qu'un principe secret préside en cha-
que individu à la naissance, à la maladie, à la mort.Lavoisier et Laplace rompirent le charme et créèrentla physique animale en prouvant que la respirationest une combustion, source de la chaleur qui nous
anime. Bichat secoua le joug de l'ancien vitalisme,sans pourtant réussir à s'en dégager complètement.tl restait un principe mystérieux, en vertu duquel les
phénomènes vitaux, contrairement aux lois des corpsbruts, semblaient n'être pas identiques dans des cir-
constances identiques. Voilà ce que Magendie niatout à fait; voilà ce que Claude Bernard réfuta pardes expériences sans nombre. En
s'appliquant à pro-duire les faits mêmes de la vie, en
s'ingéniant à les
gêner, à les contrarier, il réussit à les soumettre à
des lois précises. La physiologie ainsi conçue devint
la sœur de la physique et de la chimie. Dans les corps,vivants, comme dans les corps bruts, les lois sont im-
muables. Le mot d'~c~'M est antiscientifique. Ce
qu'on appelle exception est un phénomène dont une
ou plusieurs conditions sont inconnues.
L'expérimentateur Claude Bernard était admira-
ble, et jamais on ne fit parler la nature avec une si
merveilleuse sagacité. Difficile envers lui-même, il
était pour ses systèmes le pire des adversaires il cri-
tiquait ses propres idées aussi âprementque si elles
eussent été celles d'un rival; il s'acharnait à se démo-
r,\R E. REN.\K.
lir comme l'eût, fait sou pire ennemi. Aucune preuvene lui paraissait solide que quand une contre-épreuvevenait la confirmer. « Le grand principe expérimen-
tal, disait-il, est le doute, ce doutephilosophique, qui
laisse à l'esprit sa liberté et son initiative. Le raison-
nement expérimental est précisément t'inverse du
raisonnement scolastique. La scolastique veut tou-
jours un point de départ fixe et indubitable, et, ne
pouvant le trouver ni dans les choses extérieures ni
dans la raison, elle l'emprunte à une source irration-
nelle quelconque, telle qu'une révélation, une tradi-
tion, une autorité conventionnelle ou arbitraire. Le
scolastique ou lesystématique, ce qui est la même
chose, ne doute jamais de son point de départ, auquelil veut tout ramener; il a l'esprit orgueilleux et into-
lérant et n'accepte pas la contradiction. Au con-
traire, l'expérimentateur, qui doute toujours et quine croit posséder la certitude absolue sur rien, arrive
à maîtriser les phénomènes qui l'entourent et à éten-
dre sa puissance sur la nature, x
Le courage que Bernard montra dans ces luttes ter-
ribles contre un Protée qui semble vouloir défendre
ses secrets fut quelque chose d'admirable. Ses ressour-ces étaient chétives. Ces merveilleuses expériences,
qui frappaient d'admiration l'Europe savante, se fai-
saient dans une sorte de cave humide, malsaine, où
notre confrère contracta probablement le germe de
la maladie qui l'enleva; d'autres se faisaient à Alfort ou
dans les abattoirs. Ces expériences sur des chevaux
furieux, sur des êtres imprégnés de tous les virus,
étaient quelquefois effroyables. Le docteur Rayer me-
nait de découvrir que la plus terrible maladie du clie-
2e CLAUDE BERNARD
val se transmet à l'homme qui le soigne. Bernard
voulut étudier la nature de ce mal hideux. Dans une
convulsion suprême, le cheval lui déchire le dessus
de la main, la couvre de sa bave, « Lavez-vous vite,
lui dit Rayer, qui était à côté de lui. Non, ne vous
lavez pas, lui dit Magendie, vous hâteriez l'absorptiondu virus. » Il y eut une seconde d'hésitation. « Je me
lave, dit Bernard, en mettant la main sous la fontaine,
c'est plus propre.»
C'était un spectacle frappant de le voir dans son
laboratoire, pensif, triste, absorbé, ne se permettant
pas une distraction, pas un sourire. Il sentait qu'ilfaisait oeuvre de prêtre, qu'il célébrait une sorte de
sacrifice. Ses longs doigts'plongés dans les plaies sem-
blaient ceux de l'augure antique, poursuivant dans les
entrailles des victimes de mystérieux secrets. Il Le
physiologiste n'est pas un homme du monde, disait-
il c'est un savant, c'est un homme absorbé par une
idée scientifique qu'il poursuit il n'entend plus les
cris des animaux, il ne voit plus le sang qui coule, il
ne voit que son idée et n'aperçoit que des organismes
qui lui cachent des problèmes qu'il veut découvrir.
De même, le chirurgien n'est pas arrêté par les cris et
les sanglots, parce qu'il ne voit que son idée et le but
de son opération. De même encore, l'anatomiste ne
sent pas qu'il est dans un charnier horrible; sous l'in-
fluence d'une idée scientifique, il poursuit avec délices
un filet nerveux dans des chairs puantes et livides, quiseraient pour tout autre homme un objet de dégoûtet d'horreur. »
La fécondité dans l'invention des moyens de recher-
che répondait chez notre confrère a la profondeur des
PAU E.RENAN. 27
institutions. Ce fut un vrai coup de génie d'avoir su
faire du poison son grand agent expérimentateur. Le
poison,en e0'et, va où ni la main ni l'œil ne peuvent
aller. M atteint les éléments mêmes de l'organisme,
s'introduit dans la circulation, devient un réactif d'une
délicatesse extrême pour disséquer les éléments vi-
taux, désassocier les nerfs sans les lacérer, pénétrer
les derniers mystères du système nerveux. C'est par
le poison, ainsi qu'on l'a très bien dit, que Bernard
« installa son laboratoire au sein de l'économie ani-
male il eut son réseau de communications instanta-
nées, sa police secrète, si l'on peut s'exprimer ainsi,
qui l'avertissait du trouble le plus furtif. M Miracle 11
rendit la mort locale et passagère, locale par les em-
poisonnements partiels, passagère par les anesthési-
ques et de la sorte, au scalpel qui mutile la vie, au
microscope qui en fausse les proportions, il substi-
tua ce que l'on a très bien appelé l'autopsie u~'a/~e,
sans mutilation ni effusion de sang.
Ainsi se produisirent ces étonnants travaux sur la
formation du sucre chez les animaux, sur le grand
sympathique,sur les mouvements réflexes, sur la
respiration des tissus. L'unité de la vie fut, de la part
de Claude Bernard, l'objet des plus fines observations.
A côté du système central, il trouva en quelque sorte
des autonomies provinciales, des circulations locales.
Le cœur ne fut plus le point unique d'émission de vie.
A côté de cette principale source de mouvement,
Bernard trouva des réseaux de circulation capillaire
ayant leur vie propre, leurs accidents, leurs maladies,
leurs anémies, leurs congestions en dehors du grand
courant de la circulation générale.
CLAUDEBERNAHO
Comme tous les esprits complets, Claude Bernarda donné le précepte et l'exemple. En dehors de ces
mémoires spéciaux, il a tracé à deux ou trois reprisesson D~co«~ /a M<~o</p, le secret même de sa
pensée philosophique. C'est à Saint-Julien, loin de
son laboratoire, pendant ses mois de repos ou de
maladie, qu'il écrivit ces belles pages, et notamment
cette /o</Mc~'OM /<! M~/ccif/M f~n'M~ qui le
désigna surtout à votre choix. !1 faut remonter à nos
maîtres de Port-HoyaI pour trouver une telle sobriété,une telle absence de tout souci de briller, un tel
dédain des procédés d'une littérature mesquine, cher-
chant il relever par de fades agréments l'austérité des
sujets. Le style scientifique ne doit faire aucun sacri-
nce au désir de plaire. On n'égayé ces graves matières
qu'en les rapetissant. C'est surtout quand il s'agit du
style de la science que le grand principe évangélique« Qui perd son âme la sauve H, est aussi un grand
principe littéraire. C'est en pareil cas qu'il est vrai de
dire «Soyez aussi peu littérateur que possible, si
vous voulez être bon littérateur. »
La parole de Claude Bernard était, comme son
style, pleine de bonne foi, d'honnêteté. «M n'essayait
jamais, dit un de ses meilleurs élèves, de produireun grand effet, et, se figurant les autres à son image,il pensait que la recherche de ce qui est devait snfure
à les passionner, comme elle le passionnait lui-
même. » A l'exemple de son maître Magendie, il
faisait de son cours le spectacle vivant de ses recher-
ches, initiant le public à tous ses secrets. On assistait
au travail de sa pensée. La science ne veut pas être
crue sur parole, et les cours du Collège de France
PAU E. REKAN. 29
ontpour objet de montrer aux
yeux de tous ce qui,
d'ordinaire, se cache dans les laboratoires. Bernard
pensait en parlant; il pouvait en résulter par moments
un peu de confusion. L'objection lui venait, le trou-
blait. Les pensées se heurtaient dans sa tête au milieu
d'une exposition; l'idée d'une expérience lui traver-
sait l'esprit, l'arrêtait court, le rendait distrait. Mais
tout à coup la lumière éclatait. Dans sa conversation
avec ses élevés, dans ces causeries ou « il faisait,
selon l'expression de l'un d'eux, l'apprentissage de son
génie » il était admirable. « Il y a dans tout ce que
j'écris, avouait-il, certaines parties qui ne sauraient
être comprises par d'autres que moi. Ce sont des
germes d'idées que je dépose en quelque sorte pourles reprendre plus tard. » Dans la conversation, ces
flots de vérités pressées débordaient en toute liberté.
La plus haute philosophie, en enet., résultait de cet
ensemble de faits constatés avec une inflexible ri-
gueur. Comme loi suprême de l'univers, Bernard re-
connaît ce qu'il appelle le <~<?/M~(?, c'est-à-dire
la liaison inflexible des phénomènes, sans que nul
agent extranaturel intervienne jamais pour en modi-
fier la résultante. Il n'y a pas, comme on l'avait dit
souvent, deux ordres de sciences celle-ci d'une pré-cision absolue, celles-là toujours en crainte d'être
dérangées par des forces mystérieuses. Cette grandeinconnue de la physiologie, que Bichat admettait
encore, cette puissance capricieuse qui, prétendait-
on, résistait aux lois de la matière et faisait de la vie
une sorte de miracle, Bernard l'exclut absolument.
« L'obscure notion de cause, disait-il, doit être
reportée a l'origine des choses elle doit faire place
30 CLAUDE BERNARD
dans la science à la notion du rapport et des condi-
tions. Le déterminisme fixe les conditions des phé-
nomènes il permet d'en prévoir l'apparition et de la
provoquer. H ne nous rend pas compte de la nature,il nous en rend maîtres. Que si, après cela, nous
laissons notre esprit se bercer au vent de l'inconnu et
dans les sublimites de l'ignorance, nous aurons au
moins fait la part de ce qui est la science et de ce quine l'est pas. '<
Être maître de la nature, tel est, en effet, selon
Claude Bernard, le but de la science de la vie. 11
pensait, après Descartes, que les espérances les plushardies sont dans cet ordre permises, et que la science
des êtres vivants doit apprendre à subjuguer la nature
vivante, comme la physique et la chimie subjuguentla nature morte. « Dans toute manifestation vitale,
écrivait-il, la nature répète une leçon qu'elle a appriseet dont elle se souvient plus ou moins bien. Pourrait-
on apprendre à la nature une nouvelle leçon, et sa
mémoire la reproduirait-elle dans une série d'êtres
nouveaux? Je le crois; c'est toujours ma vieille idée
de refaire des êtres, non par génération spontanée,
comme on l'a rêvé, mais par la répétition de phéno-mènes organiques dont la nature garderait souvenir. ')
Quoiqu'il parlât peu des questions sociales, il avait
l'esprit trop grand pour n'y pas appliquer ses prin-
cipes généraux. Ce caractère conquérant de la
science, il l'admettait jusque dans le domaine des
sciences de l'humanité. « Le rôle actif des sciences
expérimentales, disait-il, ne s'arrête pas aux sciences
physico-chimiques et physiologiques; il s'étend
jusqu'aux sciences historiques et morales. On a com-
PAR E. RENAN. 3)
pris qu'il ne suffit pas de rester spectateur inerte du
bien et du mal, en jouissant de l'un et en se préser-
vant de l'autre. La morale moderne aspire à un rôle
plus grand elle recherche les causes, veut les expli-
quer et agir sur elles; elle veut en un mot dominer
le bien et le mal, faire naître l'un et le développer,
lutter avec l'autre pour l'extirper et le détruire, »
Les récompenses vinrent lentement à cette grande
carrière, qui, à vrai dire, pouvait s'en passer, car elle
étaitàelle-memesapropre récompense. Notre confrère
avait eu les rudes commencements de la vie du savant,
il en eut les tardives douceurs. L'Académie des
Sciences, la Sorbonne, le Collège de France, le Mu-
séum, tinrent à honneur de le posséder. Votre Com-
pagnie mit le comble à ces faveurs en lui conférant
le premier des titres auxquels puisse aspirer l'homme
voué aux travaux de l'esprit. Une volonté personnelle
de l'empereur Napoléon IH l'appela au Sénat. D'il-
lustres et douces amitiés le consolèrent, des mains
affectueuses furent de tous côtés attentives à lui dimi-
nuer les difficultés de la vie des élèves tels que Paul
Bert, Armand Moreau, ses amis de la Société de bio-
logie, recueillaient toutes ses paroles et l'assuraient
que sa pensée était garantie contre la mort. Sa tête
magistrale, toujours méditative, était devenue extrê-
mement belle à soixante ans. !1 travaillait sans cesse
et pourtant il ne savait pas ce que c'était que la fati-
gue, car il ne poursuivait jamais l'impossible; illais-
sait lapensée venir, sans la solliciter. Sa sérénité
était absolue il savait bien que l'emploi qu'il avait fait
de sa vie était le meilleur. Sa fête de tous les ans, les
vendanges de Saint-Julien, suffisait pour réparer ses
3~ CLAUDEHERNARD
forces. « J'ai dans l'esprit des choses que je veux ab-
solument finir », écrivait-il en 1876. Une maladie
grave, qu'il avait traversée victorieusement, semblait
n'avoir fait que redoubler l'activité de son esprit. En-
touré de sa famille scientifique, il s'avançait vers la
vieillesse sans paraître en ressentir les atteintes. Les
projets qu'il roulait dans son esprit étaient plus grands
que ceux qu'il avait jusque-là réalisés.
Dans sa marche hardie vers les derniers secrets
de la nature animée, il arrivait, en effet, aux confins
de la vie, aux sources obscures de l'organisme. Peu
à peu la différence entre la physiologie animale et la
physiologie végétale s'évanouissait à ses yeux. Le
germe de la vie, des deux côtés, 1"' paraissait le
même. La plante, comme l'animal, est susceptible
d'être anesthésiée. Même certains ferments peuvent
être atteints par les agents insensibilisateurs, et, pour
une moitié au moins de leur être, ils semblent s'en-
dormir. Claude Bernard touchait ainsi au problème
par excellence, au problème de la fermentation, im-
pliquant la question même des origines de la cellule.
Il y consacra toutes ses réflexions de l'été de 1877;
il annonçait à ses disciples qu'il croyait avoir trouvé
la voie pour arriver à ce sanctuaire impénétrable. 0
fragilité de la vie humaine ô jeu cruel d'une nature
marâtre qui se plaît à briser stupidement une tête
formée par quarante ans de méditations et où va éclore
la plus belle combinaison du génie La terrible ma-
ladie à laquelle il avait échappé dix ans auparavant
n'avait pardonné qu'en apparence. Elle revint plus im-
placable que jamais. Il mourut sans avoir pu réaliser
son rêve il mourut triste, pensant à l'idée destinée à
PARË.REXAN. ;j~
CLAUDE BERNAMO. XfX. g
périr avec lui, et disant « C'eût étépourtant bien
beau de nuir par là!') J)
H a fait assez pour sa gloire, et sa trace sera éter-nelle. Sa religion était la vérité il n'eut jamais ni
mécompte ni faiblesse, car il ne douta pas un momentde la science; or la science donne le bonheur, quandon se contente d'elle et qu'on lui demande que ce
qu'elle peut donner. Si elle ne répond pas à toutes les
questions que lui adressent les avides ou les empres-sés, au moins ce qu'elle apprend est sûr. Pour être
acquis par des osciliations successives, les résultats dela science moderne n'en sont pas moins précieux. Cesdélicates approximations, cet affinage successif quinous amène à des manières de voir de
plus enplus
rapprochées de la vérité, sont la condition même de
l'esprit humain. La science donnait ainsi à notreconfrère tout le calme que procure la certitude d'avoirraison. Il ne portait envie à personne; il croyait aveu-la meilleure part.
Claude Bernard n'ignorait pas que les problèmes
qu'il soulevait touchaient aux plus graves questions del'ordre philosophique. Il n'en fut jamais ému. 11 ne
croyait pas qu'il fût permis au savant de s'occuper des
conséquences qui peuvent sortir de ses recherches, il
était, à cet égard, d'une impassibilité absolue. Peu lui
importait qu'on l'appelât de tel ou tel nom de secte.Il n'était d'aucune secte. !I cherchait la vérité, et voilàtout. Les héros de l'esprit humain sont ceux qui sa-vent ainsi ignorer pour que l'avenir sache. Tousn'ont pas ce courage. Il est difficile de s'absfenir dansdes questions où c'est éminemment de nous qu'il s'a-
3~ CLAUDEUER~AHD
git. Ignorer si l'univers a uu but idéal, ou si, uls du
hasard, il va au hasard, sans qu'une conscience ai-
mante le suive dans son évolution; ignorer si, a l'ori-
gine, quelque chose fut mis en lui, et si, à la Un, un
soir plus consolant lui est réserve ignorer si nos ins-
tincts protonds de justice sont un leurre ou la dictée
impérieuse d'une vérité qui s'impose, on est excusa-
ble de ne pas s'y résigner. Il est des sujets où l'on
aime mieux déraisonner que de se taire. Vérité ou
chimère, le rêve de l'intini nous attirera toujours, et,
comme ce héros d'un conte celtique qui, ayant vu en
songe une beauté ravissante, court le monde toute sa
vie pour la trouver, l'homme qui un moment s'est as-
sis pour réfléchir sur sa destinée porte au cœur une
flèche qu'il ne s'arrache plus. En pareille matière, la
puérilité même des efforts est touchante. Il ne faut
pas demander de logique aux solutions que l'homme
imagine pour se rendre quelque raison du sort étrange
qui lui est échu. Invincibiemcnt porté à croire à la
justice et jeté dans un monde qui est et sera toujours
l'injustice même, ayant besoin de l'éternité pour ses
revendications et brusquement arrêté par le fossé de
la mort, que voulez-vous qu'il fasse? Il se révolte
contre le cercueil, il rend la chair a l'os décharné, la
vie au cerveau plein de pourriture, la lumière a l'œil
éteint; il imagine des sophismes dont il rirait chez un
enfant, pour ne pas avouer que la nature a pu pousser
l'ironie jusqu'à lui imposer le fardeau du devoir sans
compensation.
Si parfois, à ces contins extrêmes où toutes nos
pensées tournent à l'éMouissement, la philosophiede notre illustre confrère parut un peu contradic-
t'ARE.RENA~. :tK
toire, ce n'est pas moi qui l'en blâmerai. J'estime
qu'il est des sujets sur lesquels il est bon de se con-
tredire car aucune vue partielle n'en saurait (''puiserles intimes replis. Les vérités de la conscience sont
des phares à feux changeants. A certaines heures,
ces vérités paraissent évidentes puis on s'étonne
qu'on ait pu y croire. Ce sont choses que l'on aper-
çoit furtivement, et qu'on ne peut plus revoir telles
qu'on les a entrevues. Vingt fois l'humanité les a
niées et affirmées vingt fois l'humanité les niera et
les affirmera encore. La vraie religion de 1 âme est-
elle ébranlée par ces alternatives? Non, Messieurs.
Elle réside dans un empyrée où le mouvement de
tous les autres cercles ne saurait l'atteindre. Le
monde roulera durant l'éternité sans que la sphère
du réel et la sphère de l'idéal se touchent.. La plus
grande faute que puissent commettre la philosophie
et la religion est de faire dépendre leurs vérités de
telle ou telle théorie scientifique et historique car
les théories passent, et les vérités nécessaires doi-
vent rester. L'objet de la religion n'est pas de nous
donner des leçons de physiologie, de géologie, de
chronologie qu'elle n'affirme rien en ces matières,
et elle ne sera pas blessée. Qu'elle n'attache pas son
sort ace qui peut périr. La réalité dépasse toujours
les idées qu'on s'en fait toutes nos imaginations
sont basses auprès de ce qui est. De même que la
science, en détruisant un monde matériel eufautin,
nous a rendu un monde mille fois plus beau, de
même la disparition de quelques rêves ne fera que
donner au monde idéal plus de sublimité. Pour moi,
j'ai une confiance invincible en la bonté de la
f) CLAt'[)Ef!Ef<KARD
pensée qui a fait l'univers. « Enfants disons-nous des
hommes antiques, enfants! qui n'avaient point d'yeux
pour voir ce que nous voyons! « Enfants dira
de nous t'avenir, qui pleuraient sur la ruine d'un ~7-
/~w/M chinierique et ne voyaient pas le soleil de la
vérité nouvelle blanchir derrière eux les sommets de
l'horiy.ou »
Vous résolvex cesgraves problèmes, Messieurs,
par la tolérance, par votre boune confraternité, en
vous aimant, en vous estimant. Vous ne vous eilravex
pas de luttes qui sont aussi vieilles que le monde, de
contradictions qui dureront autant que l'esprit hu-
main, d'erreurs même qui sont la condition de la vé-rité. Votre philosophie est indulgente et optimiste,
parce qu'elle est fondée sur une connaissance étendue
de l'esprit humain. Ce désintéressement qu'un obser-
vateur superficiel se croit en droit de nier dans les
choses humaines, vous savez le voir, vous à qui l'é-
tude de la société apprend la justice et la modéra-tion. ?se trouvex-vous pas, Messieurs, que les hommessont trop sévères les uns pour tes autres? On s'ana-
thématise, on se traite de haut en bas, quand souventde part et d'autre, c'est l'honnêteté qui insulte l'hon-~
néteté, la vérité qui injurie la vérité. Oh' le bon être
que l'homme Comme il a travaillé Quelle somme
de dévouement il a dépensée pour le vrai, pour lçbien' Et quand on pense que, ces sacrifices à un
Oieu inconnu, il les a faits, pauvre, souuranj.jetésur la terre comme un orphelin, à peine sûr du lende-
main, ait! je ne peux sounrir qu'on l'insulte, cet
être de douleur, qui, entre le gémissement de la
naissance et celui de l'agonie, trouve moyen de créer
PAUE. R)-X. 37
l'art, la science, la vertu. Qu'importent les malen-
tendus aux yeux de la vérité Éternelle? Le culte le
plus pur de la Divinité se cache parfois derrière d'ap-
parentes négations; le plus parfait idéaliste est sou-
vent celui qui croit devoir à une certaine franchise de
se dire matérialiste. Combien de saints sous l'appa-
rence d'irréligion! Combien, parmi ceux qui nient
l'immortalité, mériteraient une belle déception La
raison triomphe de la mort, et travailler pour elle,
c'est travailler pour l'éternité. Toute perdue qu'elle
est dans le chœur des millions d'êtres qui chantent
l'hymne éternel, chaque voix a compté et comptera
toujours. La joie, la gaieté que donnent ces pensées
est uu signe qu'elles ne sont pas vaines. Elles ont
l'éclat elles rajeunissent; elles prêtentau talent, le
créent et l'appellent. Vous qui jugez des choses par
l'étincelle qui en jaillit, par le talent qu'elles provo-
quent, vous avez, après tout, un bon moyen de dis-
cernement. Le talent qu'inspire une doctrine est, a
beaucoup d'égards, la mesure de sa vérité. Ce n'est
pas sans raison qu'on ne peut être grand poète qu'a-
vec l'idéalisme, grand artiste qu'avec la foi et l'a-
mour, bon écrivain qu'avec la logique, éloquent ora-
teur qu'avec la passion du bien et de la liberté.
Il
LES TRAVAUX
DE
CLAUDE BERNARDPar Paul BERT
Professeur Je physiologie ~CH~r~k à la Faculté des scieuccs (!)
Mesdames, Messieurs,
Je n'emploie pas une vaine formule oratoire en
vous disant que je me sens profondément ému. Bien
que la vie scientifique, que les travaux de Ciaude
Bernard, doivent seuls nous occuper ici, je ne puis
écarter de ma pensée de douloureux et récents sou-
venirs. Il y a un an à peine, presque à pareil jour,succombait celui que tous appelaient maître, et qui,
pour quelques-uns de ceux qui m'écoutent et pour
moi-même, était le guide de tous les jours, le protec-
teur affectueux et dévoué, en quelque sorte le père
scientifique.
(~ Association scientifique de France. Conférences de la Sor-
bonne, février t879.
K'() LES TRÂV.UXf)E CLAUDEBERNARD
La. coïncidence de ce funèbre anniversaire anc-c?mente encore pour moi le sentiment des difficultés
véritablement effrayantes que présente la tâche que
j'ai aujourd'hui à remplir. Lorsque je l'acceptai, il ya déjà bien longtemps, je me laissai plutôt guider
par la piété filiale que par la réflexion celle-ci est
venue a son tour, et, dans ces derniers jours, je me
suis senti comme écrasé.
Il faut, en effet, que dans le laps d'une heure, sans
le secoursd'expériences d'aucune sorte, je m'efforce
d'imprimer dans vos esprits une idée exacte, une idée
complète de ce que fut Claude Bernard. Il' faut que
je vous le montre d'abord, en plein laboratoire, sou-
levant les problèmes, saisissant les découvertes,
hardi et prudent, inventif et patient, conuant dans
son coup d'œil, et défiant dans ses conclusions
étonnant chaque année le monde savant par quelquedécouverte étrange et riche en déductions, ne se
lassant jamais à la poursuite des idées, ne se reposant
jamais dans la victoire, aussi digne d'admiration parl'initiative que par la ténacité, et tout cela avec une
sagesse tranquille, une sorte d'aisance et de simplicitésereine qui caractérisaient son génie. Il faut que jevous le montre se repliant sur lui-même, se prenant
pour ainsi dire, lui et ses œuvres, comme sujet d'é-
tudes, et alors, assignant à la physiologie sa placeau milieu des sciences expérimentales et conqué-
rantes, indiquant de main de maître les conditions de
la certitude dans sou immense et obscur domaine,
traçant les règles de l'expérimentation dans leur ap-
plication pleine de difficultés à l'analyse des phéno-mènes vitaux, devenant, lui le créateur par excellence,
PAR PAUL BERT. H
le maître de la critique, démontrant que la médecine
ne peut. se constituer que sur la base physiologique,
et protestant contre d'imprudentes et hafives applica-
tions de ses propres découvertes à la science mé-
dicale. Puis enfin, vous attendez de moi que je vous
expose ses idées sur le déterminisme des phénomènes
vitaux, sur la dénnition et la conception de la vie,
sur les doctrines célèbres du vitalisme et de l'orga-
nisme, et peut-être en est-il parmi vous qui, se faisant
une idée fausse de ce puissant et prudent esprit, pen-
sent qu'il a pris parti dans des questions élevées et
insolubles qui éternellement diviseront les hommes.
Cette vue générale jetée sur le vaste sujet que j'ai à
traiter devant vous n'est faite, ni pour vous séduire,
ni pourme rassurer. Mais, puisque
aussi bien le sort.
en est jeté, permettez-moi de ne plus tarder à entrer
en matière, et de m'en rapporter pour le reste a la
bienveillance, dont, à cette même place., on m'a
jusqu'ici honoré.
Les premières publications physiologiques de
Claude Bernard datent de t843. Attaché à la fois au
service médical de Magendie comme interne, et à sa
chaire du Collège de France comme préparateur, il
soutint en cette année une thèse pour le doctorat en
médecine 6'M?' le .wc gastrique et son ~/c ~a~ /w-
~MM, et publia un mémoire sur l'A~oM~ /«
M~~M/o~~ de la corde </M ~?:~M. L'année suivante,
il envoyait à l'Académie des Sciences un travail sur
I'M/?M<~ce que les nerfs ~/?pM~a~M<?~ exercent ~r
les phénomènes c/~M?yMM la digestion stomacale.
Ainsi, dès ses débuts (il avait alors trente ans), il
étudie à la fois et les phénomènes auxquels Bichat
LES THAV.U'X DE CLALUE JtERXARD
avait donné le nom caractéristique de ~p/M/M~~ </p
vie o~M~ ou de MM~?o/i, ceux de /« vie a~a/t'
ou relation, et l'influence que ces derniers peuvent
exercer sur les autres. Dans l'étude énumérative
que je vais faire devant vous, étude dans laquelle,
vous le devinez, je devrai laisser de côté bien des
travaux, soit parce qu'ils seraient d'une exposition
trop difficile, soit parce qu'ils ne présentent, par rap-
port il tant de brillantes découvertes, qu'une impor-
tance secondaire, c'est cette classification qui me
servira de guide.
Au premier rang, comme chronologie, des travaux
de Claude Bernard sur les phénomènes nutritifs, se
placent ses études sur les liquides digestifs, salives,
suc gastrique, suc intestinal, suc pancréatique. Deux
faits considérables en ressortissent surtout.
On croyait jusque-la que le but unique des actes
digestifs était de transformer en matière liquide,facilement absorbable, les aliments solides la dis-
solution cle la chair et des matières albummoïdes se
faisant dans l'estomac, celle de la fécule sous la
double influence de la sauve et du suc pancréatique.Claude Bernard, après avoir précisé mieux qu'on ne
l'avait fait avant lui les conditions de ces phénomènes,
montre que la dissolution n'est pas tout et ne suffit
pas toujours. !I prouve, en effet, que le sucre de
canne doit, pour être utilisé par l'organisme, être
transformé dans l'intestin en glycose sous l'influence
d'un ferment que M. Bcrthelot parvint à isoler; quesi on l'introduit de force, par une injection directe
dans le sang, il est rapidement éliminé et rejeté au
PARPAL'LB'~Hr. 4:t
dchu: €e p~~uûf résultat est donc intéressant au
pointde vue de la 'héorie
généralede la digestion 5Vaai4
\¡Q VW J VA"
~JI'I. '1,,1.,
\1. .,lU"
UJ6\I'U
mais il l'est encore davantage pour le sujet qui nous
occupe, parce que c'est lui qui va mettre Claude Ber-
nard sur la voie d'une de ses plus belles découvertes.
Le second résultat est relatif à l'absorption des
graisses. On savait que, pendant la digestion, les
vaisseaux chylifères emportent de l'intestin une ma-
tière lactescente, qui a précisément occasionné leur
découverte. Ouvrant un jour (1846) un chien et un
lapin auxquels il avait fait manger des matières
grasses, Claude Bernard remarqua que, tandis quechez le chien les traînées lactescentes commençaientaussitôt après la sortie de l'estomac, chez le lapin, au
contraire, on ne lei- apercevait que beaucoup plus loin.
Examinant les choses de près, il reconnut que le
conduit excréteur du pancréas s'ouvre chez le lapin
beaucoup plus bas dans l'intestin que chez le chien,et que l'aspect lactescent n'apparaît qu'âpres le mé-
lange du suc pancréatique avec les aliments. La dé-
couverte des conditions jusque-là si obscures de l'ab-
sorption des matières grasses était faite.
Que de physiologistes avaient, sans voir cette dif-
férence, immolé chiens et lapins par centaines!
Claude Bernard la compléta, avec la ténacité dont il
a depuis donné tant de marques, par des preuves
multiples, tirées à la fois de la physiologie expéri-
mentale, car il parvint à établir sur les animaux vi-
vants une fistule pancréatique, et de la pathologie, en
montrant l'amaigrissement qu'amènent chez l'homme
les maladies du pancréas.
Tandis qu'il poursuivait ses recherches sur le suc
M' LES TnAV.U'X DE CLAIRE BERNARD
gastrique, un fait l'avait beaucoup plus frappé. Ayant
injecte dans une veine d'un animal une dissolution de
prussiate jaune de potasse, dans une autre veine un
sel de fer, c'est-à-dire deux sels métalliques, il vit quenulle part on ne trouve de bleu de Prusse, hormis
dans les cavités intestinales et sur la muqueuse vé-
sicale, c'est-à-dire, en réalité, hors de l'organisme,sur des surfaces excrétoires. Que si, au contraire,on fait la même expérience en employant d'une part
l'amygdaline, de l'autre l'émulsine, c'est-à-dire une
substance fermentescible et un ferment, on tue im-
médiatement l'animal par ledéveloppement d'acide
prussique que donnent ces deux substances.
Ce fut pour Claude Bernard le point de départ de
réflexions profondes sur les rapports des phénomènes
chimiques avec les conditions particulières que réali-
sent les êtres vivants, et sur le rôle des fermentations
dans les êtres organisés, réflexions qui le conduisirent
à d'importantes découvertes et à des conceptions
générales sur lesquelles j'aurai à revenir plus tard.
Vers le même temps, des expériences curieuses lui
montrèrent que, par des changements dans le mode
d'alimentation, on pouvait aisément faire disparaîtreles différences que présentent, sous le rapport de la
nutrition intime, les animaux herbivores et les ani-
maux carnivores. Plus tard, il montrera qu'on peut, à
volonté, transformer en quelque sorte, au point de
vue physiologique, les animaux à sang chaud en
animaux à sang froid, et réciproquement. Ainsi était
prouvé pour lui le peu d'importance que présententaux yeux du physiologiste les classifications justementétablies par le zoologiste; et peu à peu il se trouvait
PAR PAUL HERT. 4:i
amené à la conception de la physiologie générale.
Bien d'autres faits, sur lesquels je ne saurais insister
ici, venaient chaque jour agrandir son champ d'action
et le faire pénétrer de plus en plus profondément dans
l'intimité des phénomènes vitaux. C'est ainsi, par
exemple, qu'il montrait que si l'on injecte à la fois
dans le sang du glycose, de l'iodure de potassium, du
prussiate de potasse, on retrouve bientôt le premier
dans l'estomac, le second dans la bouche, le troisième
dans la vessie, chacune des glandes gastrique, sali-
vaire et rénale ayant un pouvoir électif qui tient aux
propriétés intimes de leurs éléments constituants.
C'est encore à cette période des débuts, si prodi-gieusement féconde, qu'il faut faire remonter la plus
importante des découvertes qui aient été faites dans
ce siècle sur la physiologie de la nutrition.
Magendie avait déjà montré qu'il existe dans le sang
de petites quantités de sucre; mais tout le monde
avait cru que ce sucre provenait des aliments. Or, dès
1848, Claude Bernard, en étudiant les conditions de
la formation et de l'absorption du sucre dans l'intes-
tin, avait été amené à penser que le sucre du sang
pouvait venir d'une autre source que des produits de
la digestion. Le sang qui ramène ces derniers de l'in-
testin dans la circulation traverse, comme chacun
sait, une énorme glande, le foie, oh les canaux qui le
contiennent se distribuent en ramifications capillaires;
de là naît, par des tubes de plus eu plus gros, un
nouveau système de vaisseaux qui unissent par aboutir
au voisinage du cœur dans la grosse veine qui ra-
mène le sang des parties inférieures du corps le pre-
mier système est celui de la M?~c ~o?' l'autre celui
LKSTnAVArX!)ECL.\rt)EHRRKAnn
1des veines .w.s'. Or, pendant la digestionmême des matières sucrées, il y a plus de sucre dans
le sang de ces dernières, dans le sang qui a traversé
le foie, que dans celui qui y va et sort de l'intestin.
Bien plus, si l'on nourrit l'animal exclusivement de
matières ne contenant ni fécules ni sucres, ou si ou le
garde à jeun, le sucre disparaît complètement dans le
trajet entre l'intestin et le foie, tandis qu'on en trouve
toujours en abondance au delà de cet organe. C'est
donc dans le foie que s'est formé ce sucre. Le foie, à
côte de la bile qu'il excrète, fabrique donc de la ma-
tière sucrée qu'il verse dans le sang.
La publication de ces faits produisit une grande
impression elie ouvrit à Claude Bernard les portesde l'Académie des Sciences, et justifia la création en
sa faveur d'une chaire de physiologie générale à la
Faculté des Sciences.
Ce n'était pas seulement l'inattendu de cette dé-
couverte qui mit en émoi le monde savant; elle ve-
nait renverser une barrière artificiellement élevée
entre les deux règnes animal et végétal. On ensei-
gnait, en effet, jusqu'alors, qu'aux végétaux seuls il
appartient de produire des principes immédiats, les
animaux ne faisant que se les assimiler ou les dé-
truire. Or, Claude Bernard montrait que, pour le
sucre, tout au moins, cette formule est excessive, et
il allait bientôt faire un pas de plus dans cette voie en
prouvant que l'animal fabrique non seulement le
sucre, mais la substance dont il dérive.
Mais cette brillante découverte ne fut pas acceptéesans conteste. Des polémiques passionnées furent sus-
citées, auxquelles les physiologistes et les chimistes
PAtWAt'LSEHT. t-7
prirent part et aussi les médecins, car Claude Ber-
nard n'avait pas manqué d'indiquer aussitôt les con-
séquences de sa découverte pour la théorie du diabète
sucré.
Elles rendirent au maître ce service de l'attachcr
avec ptus d'ardeur encore à la défense de la vérité
découverte. Il eut à lutter d'abord contre ceux qui,
s'appuyant sur l'antique théorie de la séparation des
règnes, déclaraient « qu'il leur répugnait de voir les
animaux produire ce que peuvent leur Fournir en
abondance les végétaux, et le produire pour le dé-
truire aussitôt. » A quoi Claude Bernard répondait
spirituellement: «II me répugne, à moi, d'admettre
que les animaux, qui ont une vie bien plus complexe
que les végétaux, ne puissent faire ce que font ces
derniers c'est un point de vue sentimental, mais non
un argument sérieux. o Apres les ratiocineurs, vin-
rent les expérimentateurs, et il n'est peut-être pas de
spectacle plus curieux et plus saisissant dans l'his-
toire des sciences physiologiques que celui de cette
lutte entre un homme de génie, maître d'une vérité
dont l'évidence nous semble aujourd'hui si claire, et
un aussigrand nombre de contradicteurs accourus
de toutes les régions de la science; il n'est pas de
spectacle plus instructif et plus intéressant que la vue
des efforts qu'il fait pour varier à l'infini ses preuves,
pour envisager le phénomène sous tous ses aspects,montrer l'influence qu'ont sur lui tant de circon-
stances venant soit de l'organisme, soit de l'extérieur,
et saisir avec une étonnante précision le point faible
d'argumentations et d'expériences spécieuses, mais
mal conçues et mal conduites.
48 LES TRAVAUXCE CLACf)Et!ERXAtU)
Enfin, un fait dominateur fut découvert qui devait
fermer la bouche aux contradicteurs. Si, à travers
des vaisseaux sanguins d'un foie détache du corps,
on fait passer un courant d'eau, il arrive bientôt un
moment où le foie, complètement lavé, ne contient
plus trace de sucre. Mais si alors on l'expose à une
chaleur analogue à celle du corps, on y retrouve,
quelques heures après, le sucre en abondance. Il
n'était plus possible de nier, après cela, la formation
du sucre dans le foie, la ~/yc~/<w? ~w.
Et cependant Claude Bernard ne s'en tint pas là
il voulut isoler la substance d'où provenait le sucre,
et il v parvint. !l arriva à extraire en abondance du
foie une sorte d'amidon, le ~yco~c, qui donne nais-
sance au glycose sous les mêmes influences et dans
les mêmes conditions que la fécule de pomme de
terre.
La bataille était gagnée mais Claude Bernard n'é-
tait pas homme a se reposer sur des lauriers. M cher-
che et trouve à la fois sous quelles influences se
produit le sucre, a quelle dose il faut qu'il existe dans
le sang pour apparaître dans les urines, comment il
disparaît normalement, quelles circonstances l'empê-
chent de se former, d'où vient le glycogëne, dans
quelle situation anatomique on le constate. Nous ver-
rous tout a l'heure quel rôle joue en ces phénomènes
[e svsti'me nerveux. Je dois me borner à vous dire
ceci te glycogene est formé dans le foie aux dépens
du sucre des aliments, sucre dont cet organe empêche
l'excès momentané de se répandre dans le sang. Il
peut se former aussi par la transformation des ma-
tières albuminoïdes, comme !e prouve la curieuse
PAR PAUL CERT. j.9
CLAL-DEBt:M.AM,X)X.
expérience des larves de mouches nourries à la viande
dégraissée, et qui se chargent deglycogène.
Formé dans le foie même, sous l'influence d'un
ferment local, le sucre est versé au cœur droit et,
lancé de là dans les poumons, s'y détruit en partie,si bien que le sang du cœur gauche n'en contient plus
que de très faibles proportions. Ce sang artériel s'en
va, traversant les organes, et dans les capillaires, on
il est amené, il perd, il oxyde sans doute tout le reste
de son glycose, si bien qu'il en revient à peine dans
le système veineux en général.
C'est donc pour brûler, pour produire de la cha-,
leur, de la force vive, que se forme le sucre. C'est
aussi dans ce but que leproduit le
végétal la bette-
rave l'emmagasine pendant la première phase de sa
vie, pour pouvoir, en la brûlant ensuite, trouver la
force nécessaire pour pousser hampes, fleurs, fruitsainsi font le tubercule de la pomme de terre, l'oignonde la jacinthe, le grain du blé, avec leurs réserves en
fécules ainsi les fruits, magasin de force et de cha-
leur pour la jeune plante. Partout où se fait le déve-
loppement, partout apparaît le glycose, avec son
ancêtre, le glycogène, et dans les tissus des embryons
en voie de développement, Claude Bernard les re-
trouve toujours.
!1 avait donc ainsi non seulement rencontré une
fonction nouvelle de la glande mystérieuse que les
anciens anatomistes entouraient d'une sorte de res-
pect superstitieux, mais découvert l'une des grandeslois du
développement des élémentsanatomiques qui
composent les êtres vivants l'amidon apparaissant
partout, en vue de produire le sucre, générateur de
SO LES TR.\YAt'X[)E CLAQUE BEttXARt)
la force, et cela a lieu dans la germination, comme
dans ces actes d'évolution embryologique que
Claude Bernard désigne sous le nom de ~cr~Ma-
tion cw/Ha~.
Ces vues générales devaient amener Claude Bernard
à l'étude de la production de la chaleur dans le corps
des animaux. Il l'aborda en recherchant les din'6-
rences dans les températures des divers points du
corps, et notamment du sang artériel et du sang vei-
neux. C'est ainsi que, dans les membres et a la tête,
le sans qui part du cœur est toujours plus chaud que
celui qui en revient. Mais, inversement, si l'on com-
pare le sang du cœur droit avec celui du cœur gau-
che, on trouve toujours le premier plus chaud que le
dernier. Ainsi, la première série d'expériences venait
a l'appui de la théorie qui, depuis Lavoisier, place
dans le poumon le lieu de la production de la cha-
leur la seconde lui était contraire. Comment expli-
quer cette contradiction? Claude Bernard y parvint.
D'abord, ce qui réchauffe le sang du cœur droit,
c'est celui que lui envoie le foie. Cet organe, siège
d'incessantes modifications chimiques, est le point
le plus chaud du corps, le plus actif foyer de la cha-
leur animale. De plus, si l'on prend les précautions
nécessaires pour éviter les déperditions de calorique
par contact avec l'air extérieur, on voit que le sang
artériel des membres est moins chaud que le sang
veineux.
C'est donc dans la profondeur du corps, dans les
tissus eux-mêmes que se produit la chaleur animale.
C'est la nutrition, dont les phénomènes chimiques
aboutissent toujours à une oxydation, qui lui donne
PAR t'.U'L BEfiT.
naissance. Sa génération n'est donc pas dans lenou-
mon.où, bien au contraire, se fait une déperditiondue au contact d&Fair froid et à l'évaporation.
tl n'est donc pas ctounant que lorsque les organesentrent onactivi.té, leur température s'élève en'con-comitance avec l'oxydation plus active qui se faitdans leur profondeur. C'est ainsi que s'écitauffe unmuscle qui se
contracte, et que, simultanément lesang qui le
traverse devient beaucoup plus non-quedans
t'etat de repos.
Ouant au sang, .tjoue principalement le rôle de
régulateur de la température, ici gagnant, là perdantde la cha!eur, et, par le
mélange de ses diverses par-les, par sa course incessante, empêchant les échauf-tementset les, refroidissements locaux excessifs. Carl'exces de la chaleur est chose redoutable entretoutes, et Claude Bernard prouve que lorsque la tem-
pérature générale du corps est e)evée artificiellementde 3 ou 4 degrés, la Goniractiiité musculaire disparaît,le cœur s'arrête et ia mot-t survient.
Et catte conception (le sang régulateur de la tem-
pérature, et en même temps excitateur des oxyda-tions, va amener Claude Bernard à rechercher'et àtrouver les conditions qui président à sa
circulation,qui, bâtant ou ralentissant son passage à travers les
organes, augmentent ou diminuent les températureslocales et les phénomènes locaux de la nutrition.
Je vais vous parler dans un moment de ces ma~i-
fiques travaux, qui amenèrent la découverte de l'in-fluence du système nerveux sur les circulationslocales ou, comme on dit en abrégeant, la découvertedes nerfs f<Mo-~o~
M LES TftAYAFXDE CLAUDEBERNARD
Aussi bien, car il faut me hâter, j'arrive aux études
plus spécialement relatives au système nerveux. Ici
les circonstances dans lesquelles je suis placé me for-
cent à ne citer que pour mémoire les travaux sur les
usages controversés du nerf facial, de la corde du
tympan, excitateur de la sécrétion sous-maxillaire,
du nerf moteur oculaire commun, du spinal pour
lequel il imagine la curieuse méthode opératoire de
l'extirpation, du nerf trijumeau, sur les conditions
de l'excitation électrique des nerfs, etc. Je ne puis
même insister sur ses mémoires sur la lésion du pé-
doucule cérébelleux et sur la sensibilité récurrente,
malgré tout l'intérêt qu'ils présentent non seulement
par les faits qu'ils renferment, mais au point de vue
de la méthode et de la critique expérimentales. Les
expérimentateurs les plus habiles avaient conclu
d'une manière diamétralement opposée. Claude Ber-
nard reprit les expériences, et, servi par sa sagacité
merveilleuse, il montra comment ils avaient tous à la
fois tort et raison raison dans les faits, tort dans
les conclusions, parce qu'ils n'avaient pas vu la diffé-
rence des conditions dans lesquelles ils s'étaient, à
leur insu, placés.L'étude du système nerveux et aussi celle du sys-
tème musculaire n'ont jamais paru attacher beaucoup
Claude Bernard que dans leurs rapports avec les
phénomènes de nutrition et en cela, il montrait le
sentiment profond de la physiologie générale, car la
nutrition est partout dans les règnes vivants, le mus-
cle et le nerf n'étant que des accidents de perfection-
nement. Mais on lui doit d'admirables recherchesmontrant comment les conditions mêmes de la nutri-
PAR PAUL )tt-:nT. M
tien, la circulation du sang, le fonctionnement des
glandes, sont, chez les animaux supérieurs et chez
l'homme, sous la dépendance du système nerveux.
En )849, il fait voir que lorsqu'on coupe le nerf
pneumogastrique, le coeur accélère ses mouvements.
Déjà, en 1846 (1), il avait constaté que si on excite
par l'électricité le bout périphérique de ce nerf, le
cœur s'arrête aussitôt. Voici donc un nerf d'une
étrange allure le muscle auquel il se rend, bien loin
d'entrer en action sous son influence, se contracte
bien mieux lorsqu'il est coupé, et s'arrête lorsqu'on
l'excite.
Même effet sur les mouvements respiratoires lors-
qu~on excite, soit le bout central du nerf pneumogas-
trique, soit le nerf laryngé; ils s'arrêtent aussitôt
(1853).
Les nerfs d'arn~, ceux dont l'action consiste non
à produire un mouvement, mais a modérer ou à sus-
pendre un mouvement qui s'effectue, étaient ainsi
découverts. Mais Claude Bernard, alors préoccupé
d'autres recherches, à ses yeux plus importantes, se
contenta de signaler ces faits sans les poursuivre dans
leurs détails.
!l avait en effet constaté, dans cette même année
18~9, que, lorsqu'on blesse légèrement, n l'aide
d'une longue aiguille enfoncée à travers les parois du
crâne, un certain point très limité de la moelle allon-
gée, on trouve bientôt du sucre dans les veines de
l'animal, qui devient ainsi diabétique, pour employer
le langage médical. Fait bien étrange, et que rien ne
(t) Le même fait était, découvert la même année par les frÈrcs
Wcber.
StIt LES TRAVAUXDE CLAUCEBERtAM
permettait d'imaginer. Claude Bernard fut conduit à
sa découverte par la considération de la glycogénie
hépatique, qu'il venait de solidement établir, et parses recherches, sur l'influence du système nerveux
sur les sécrétions. Puisqu'on excitant le nerf qui se
rend a une glande salivaire, on obtient une abon-
dante salive, puisqu'en coupant le nerf pneumogas-
trique qui se rend à l'estomac on voit cesser la sé-
crétion du suc gastrique, ne pourrait-on obtenir la
sécrétion sucrée du foie en irritant le nerf qui s'v
distribue ? Or, ce nerf, c'est le pneumogastrique',
dont l'origine est précisément à la base de la moelle
allongée, il pique ce point, et aussitôt ses prévisionssont réalisées le foie se metàjeter d&hs le san& une
telle quantité de sucre qu'il y a bientôt excès, et quele sucre s'élimine par le rein.
Voici donc que l'expérience conçue en vertu d'une
hypothèse directrice semble la confirmer! Mais ce
serait peu connaître Claude Bernard que de croire
qu'il se tiendra pour satisfait. En piquant la moelle
allongée, même au voisinage de l'origine des pneu-
mogastriques, ne pouvait-il avoir excité d'autres nerfs
encore? Il se met àl'œuvre, et au milieu de difncul"
tés sans nombre, il arrive a montrer que ces pneu-
mogastriques ne sontpour rien dans l'affaire, puisque
l'apparition du sucre a lieu même lorsqu'on les a au
préalable coupés, et que c'est par une toute autre~
voie que l'excitation nerveuse setransmet à laglande
hépatique. M n'y a là, en réalité, qu'un cas particu-
lier d'une autre fonction physiologique qu'il décou-
vrait sur ces entrefaites, celle du système nerveux
sympathique par rapport à la circulation du sang.
PAR PAUL )!ERT. 5!i
Une expérience déjà bien ancienne, puisqu'elle
date de Pourtour du Petit (t727), avait montré que
si l'on sectionne, à la région du cou, le cordon du nerf
grand sympathique, la pupille de l'œi) correspon-
dant se contracte aussitôt. Claude Bernard refait
l'expérience, et il voit ce que personne n'avait vu avant
lui, c'est-à-dire que tout le côté de la face correspon-
dant au nerf coupé rougit, se tuméfie, s'échauife.
Le fait est surtout remarquable par transparence à
l'oreille, dont les vaisseaux sanguins à peine visibles
d'abord grossissent manifestement, ou les capillai-
res dilatés laissent si facilement passer le sang qu'en
piquant une veine, on le voit jaillir en cadence comme
si c'était une artère, et qu'il apparaît rouge et non
plus noir, n'ayant pas eu le temps, dans sa course ac-
célérée, de laisser aux tissus une forte part de 1 oxy-
gène qu'il contenait. Ce n'est pas tout: ces parties
s'échauffent, leur température tend à se rapprocher
de celle du corps, grâce à l'irrigation chaude d'un
sang artériel plus abondant, si bien que s'il fait
froid, il peut y avoir des différences de iO degrés
entre l'une et l'autre oreille. Enfin si, opérant sur un
animal de grande taille, sur un cheval, on protège la
tête par une couche de ouate contre le refroidissement
.extérieur, on voit la sueur mouiller le côté de la sec-
tion, dont la température s'élève sur place, à ce point
que le sang veineux qui en revient est notablement
plus chaud que le sang artériel, preuve nouvelle d'une
.production de chaleur dans l'intimité même des tissus.
Que si maintenant on excite, à l'aide d'un courant
électrique, le bout supérieur du nerf qu'on a coupé,
tous ces effets font place aussitôt à un spectacle exac-
Mf) LES TRAVAUX DE CLAUDE BERNARD
tement inverse. Les vaisseaux se resserrent, l'oreille
pâlit. le sang ne coule plus par la veine ouverte, la tem-
pérature s'abaisse au-dessous de son degré primitif.
Kous pouvons aujourd'hui expliquer bien simple-
ment ce qui s'est passé. Les petits vaisseaux artériels
sont munis d'nne tunique musculaire annulaire d'au-
tant plus forte, relativement, qu'ils sont plus petits.
Dans l'état normal des choses, ces petits muscles sont
en une certaine contraction moyenne, dite M/~c?'
qui détermine un certain calibre des vaisseaux et, par
suite, un état particulier régulier de la circulation.
Vient-on à couper le nerf sympathique qui anime ces
petits muscles, on les paralyse, ils n'opposent plus de
résistance au sang qui, poussé par le cœur avec force,
dilate les capillaires qui leur font suite et apporte avec
une abondance excessive et la chaleur dont il est
doué, et l'oxygène qui préside aux combustions loca-
les. Vient-on à galvaniser, au contraire, le nerf, les
muscles se contractent a l'excès, le sang ne peut plus
passer, ou ne passe qu'en très faible quantité, dans le&
vaisseaux presque oblitérés, et, de là, par une consé-
quence toute naturelle, la pâleur et le refroidissement.
Poursuivant ses recherches, Claude Bernard trouve
de semblables nerfs, t)<Mo-coH~c~M~, dans toutes les
parties du corps, mais moins faciles à isoler qu'à la
région du cou.
Ainsi, le problème de la circulation du sang, tel
que l'avait posé Harvey, se présentait sous une face
absolument nouvelle. A coup sûr, le cœur restait le
premier moteur à coup sûr, la circulation demeurait,
dans ses vaisseaux aux calibres variés, soumise aux
lois de l'hydraulique; à coup sûr, les expériences si
PAU PAUL HERT. STi
curieuses dont mou ami, M. Marey, a donné l'expo-
sition détaillée, restaient exactes et leurs conclusions
vraies (')). Mais tout cela se subordonnait à l'action du
système nerveux, qui pouvait, par son excitation ou sa
paralysie, changer du tout au tout les conditions de
la distribution du sang dans les canaux où il circule.
Ainsi les conditions vraiment physiologiques l'empor-
taient encore une fois dans le corps vivant sur les
théorèmes de mécanique.
A peine les preuves de cette féconde découverte,
dont jetais dans un moment vous montrer les appli-
cations innombrables, étaient-elles données, et la
théorie des modifications locales de la circulation
était-elle solidement établie, si bien que ces consé-
quences théoriques et pratiques en étaient déduites
par les médecins, qu'une nouvelle découverte, plus
étonnante encore,puisqu'ellenepeut guère être expli-
quée même aujourd'hui, venait redoublerl'étonnement t
du monde savant.
En examinant les effets de l'excitation des nerfs
sur les glandes salivaires sous-maxillaires, Claude
Bernard s'aperçut qu'en excitant certain d'entre eux,
il produisait non une contraction, mais bien une dila-
tation des vaisseaux sanguins équivalente à celle qui
suit la section paralysante des nerfs sympathiques.
II y a donc, à côté des nerfs M~o-co?M/nc~M~, des
nerfs t!<MO-~7a~<?M~. Comment agissent ces derniers?
(i) Voyez Chauveau et Marey, Appareils et expériences M)'dM.a-
p/t!qMM, (&WM?tS<ra<MH?!OMt)eM<:du mécanisme des MOMMmeH<s~«
CtBu?'par !'cmpM des instruments Ëwesis~'cïo'i, â tHdtccttMKScontinues
(Wm. de rAc<td. demëd., i863, tome XXVI, p. 268 à 319, avec
23 fig.).
S8 LES THAYAt'X DE CLAUDE REHXAtU)
Ce ne peut êtreendnatant directement les vaisseaux,
car nulle part il n'existe de fibres musculaires dispo-
sées de façon à produire cette action. C'est en para-
lysant, par un mécanisme encore inconnu, les nerfs
vaso-constricteurs, si bien que leur excitation fait le
même effet que la section de ceux-ci.
Ces actions vaso-constrictives et vaso-ditatatricos
peuvent être obtenues non seulement par voie directe,
c'est-à-dire par section ou excitation des nerfs, mais
par voie réflexe, c'est-à-dire par suite d'une excita-
tion nerveuse centripète qui va mettre en émoi soit la
moelle épinière, soit même les ganglions du sympa-
thique auxquels Claude Bernard attribue, par preuves
expérimentales, le rôle de centres nerveux.
Ainsi la moindre excitation des centres nerveux,
soit qu'elle vienne spontanément d'eux-mêmes, soit
qu'elle leur soit apportée du dehors, peut mettre en
action, ou peut paralyser dans telle ou telle région du
corps les nerfs qui tiennent sous leur direction le ca-
libre des vaisseaux sanguins. C'est ainsi, pour pren-
dre l'exemple le mieux connu, que le visage pâlit ou
rougit sous les influences morales, selon que les
capillaires de la peau sont gonflés ou vides de sang,
par suite de l'état des artérioles auxquelles comman-
dent les nerfs. Congestions ou anémies locales s~ut
ainsi sous la dépendance du système nerveux, et vous
comprenez la variété infinie des phénomènes qui en
sont la conséquence, puisqu'il s'agit tantôt de l'excès
de fonction, tantôt dela diminution
de fonction de
tel ou tel organe. Le froid qui frappe la peau para-
lyse le sympathique pulmonaire ou digestif, etc.) et
produit les congestions du poumon, les bronchites,
PARPAt'L BERT. ~99
les troubles digestifs par arrêt ou par exagération de
sécrétion. Je n'en finirais plus a vous citer des
exemples que chacun peut, pour ainsi dire, librement
imaginer les médecins ne s'en sont pas-fait faute.
Mais, lorsque la paralysie du nerf sympathique dans
une région est durable, ce n'est pas seulement un6
augmentation dans- la température et dans ta quan-
tnéde sang, une croHyM/~M des organes ([ni: et) est la
conséquence, it survient des troubles nutritifs, desin-
nummations, etici encoreles phônomenes sont inimi-
ment variés, à cause de!a muitipticité des excita~
fions, des réacttOBs nerveuses das organes qui peu-vent être mis en j~u.
tl est inutile d'insister pour montrep l'importancede premier ordre que présentent ces découvertes, non
seulementpour la physiologie', mais pour la patho-
logie etla~thérapeu tique. J'y ~endrai tout a l'heure
en montrant les àppUca.tionside l'œuvre de Claude
Bernard à la médecine.' Mais je dois maintenant vous
entretenir de travaux quiu'ont peut-être pas 6t6 moins
utiles, eux~aussi,à l'art de guérir, qu'aux théories
physiologiques.
Dès )847,C)aude Bernard, étudiant l'action du
terrible poison de la noix vomique, inaugurait une
nouvelle méthode dans les recherches toxicologiquesLaissant là lés vieilles classiu~ations, il arrivait à dé-
terminer, par des procédés expérimenta.ux inconnus
jusqu'alors, non seulement l'organe, mais l'élément
acatomique sur lequel se localise l'action du poison.)En i 850(1), cette méthode, appliquée au c«ra~,
(t) Le début des expériences fur le curare remonte juiu t.SH.
60 LES TRAVAUXUi: CLAUDEBKHKAM
devait lui fournir le sujet d'un travail des plus impor-
tants. Vous connaissez tous le poison des nëches dont
Alexandre de Humboldt a raconté les soudains et
terribles effets. Claude Bernard l'étudie, et ne se
contentant pas de constater, après tant d'autres, que
l'animal empoisonné se paralyse progressivement et
périt par asphyxie paralytique, tout en gardant jus-qu'au dernier moment son intelligence, il examine
après la mort l'excitant électrique en main, les divers
tissus de l'animal et découvre un fait de la plus grande
portée théorique.
Sur ce cadavre, les muscles se contractent parfai-
tement lorsqu'on les excite, et les nerfs moteurs, qui
d'ordinaire produisent leurs contractions, sont deve-
nus impuissants à produire aucun mouvement, mal-
gré les plus fortes excitations. Examinant les choses
de près, variant les expériences avec une ingéniosité
admirable, il arrive à montrer que le nerf moteur seul.
ou plutôt que sa terminaison dans le muscle, est la
seule partie de l'organisme qu'atteigne le curare, et,
de cette constatation, deux conséquences importantes
découlent.
La première, c'est que le muscle ne doit pas au
nerf, mais possède bien lui-même sa propriété ca-
ractéristique, la contractilité et voici tranchée une
question qui, depuis Haller, divisait les physiologistes.
La seconde, c'est que les poisons tuent par une
élection spéciale, que ce ne sont pas des organes
compliqués, commeon l'entendait jusqu'alors, le foie,
le cerveau, le cœur, qui sont tués par les poisons,
mais bien tel ou tel de leurs éléments constituants et
il montre alors la strychnine agissant sur les cellules
PÀRPÂl;LHEHT. tH
sensibles de la moelleépiniëre, l'upas antiar, sur les
fibres musculaires et d'abord celle du cœur, le curare
sur les terminaisons des nerfs moteurs. Il dédaigneainsi et rejette au dernier rang ces phénomènes d'en-
semble, qui avaient jusqu'alors exclusivement préoc-
cupé les toxicologistes, laparalysie, les convulsions,
les vomissements, les cris, etc. et, d'un seul coup,il atfermit les bases de la physiologie générale. Ce
sont les éléments anatomiques, les parties les plus
petites dans lesquelles le microscope puisse résoudre
les etresvivants, qui, dans l'état de maladie, jouentle premier rôle; c'est d'eux avant tout qu'il convient
de se préoccuper, et, pour leur étude, les poisonsvont servir du plus délicat et du plus sûr moyen de
dissociation et d'analyse. :ls seront des instruments
physiologiques qui pourront agir et pénétrer bien
plus avant que les grossiers instruments du vivisec-
teur. Claude Bernard ouvre ainsi une voie nouvelle
d'investigations qui sera des plus fécondes.
Une autre étude toxicologique, non moins belle
que celle du curare, vient corroborer ces conclusions.
Il régnait enmédecine légale la confusion la plus
complète relativement au cœur et aux symptômes de
la mort par l'action des vapeurs de charbon. Pour les
uns, elle est sans douleur, et les malheureux qui en
sont les victimes s'endorment paisiblement pour
d'autres, elle est affreusement douloureuse, comme
le prouvent les cris, les contorsions de ceux-là même
qui se la donnent volontairement. Telle autopsiemontre le sang rouge, telle autre tout noir et asphyxi-
que. Claude Bernard mit l'ordre dans ce désordre et
montra que lorsque le sang reste rouge, c'est que la
(H LES Tf(A\(.'X DE CLACDE HEHKARO
mort est due à l'oxyde de carbone, tl lit voir que
ce gax chasse l'oxygëa'e de son union avec la matiëre
rouge des gtobutes sanguins et se combine avec
celte-ci~sans changer sa couleur d'une nïàmèt'e appa-
rente, a*vec tant dénengie,, que toute absorption
d'oxygène deviën,t impossible, et que la mort par
asphyxie–une asphyxie d'espèce nouvelle– en estla conséquence.
Toutàl'houre le curare, empêchant toute tratM'-
mission du nerf au muscle, amenait la mort par une
asphyxie consécutive a la paralysie des muscles tes-
piratoires une asphyxie de cause prochain emecani-
que. MaiutJenant l'oxyde de carbone s'attaqua au
gïobuie sanguin, il tue par une asphyxie de ca~se
chimique. Mais il ne s'agit plus, dans l'un ou l'autre
cas, de la mort par le cœur, les poumons ou le cer-
veau, le fameux trépied vital do Bichat; ~s'agit d'u!Q
élément anatonanqua dont l'actton est indispeasable
et qui se trouve* dans tousles points les plus divers
de l'organisme, saisi par le poison et frappé d. im-
puissance. Qu'importe, àcôte de cette vérité simple
et saisissante, la variabilité indenuie des symptômes
à laquelle on s'était exclusivement attache jusqu'àlui et qui n'avait f'nt que leurrer les observateurs!
Mais l'étude de l'oxyde de carbone lui avait révélé
un fait qu'il ne laissera pas passer sans en tirer un
riche parti. Ce gax, vous ai-je dit, déplace loxygëne
du sang. Claude Bernard s'empare de cette propriété,
et il l'utilise àla solution d'un problème qui venait
à peine d'être soulevé, àl.'anayse des gaz du sang..M
lui devient ainsi possible de comparer, sous ce rap-
port, le sang artériel avec les sangs veineux de di-
PAR PAUL CËRT. 63
verses provenances; il montre, par exemple, que le
sang qui sort d'un muscle contracte a plus perdu
d'oxygène que lorsque le muscle est au repos, fait quicoïncide avec une élévation de la température du
muscle et se lie avec ses recherches sur l'origine de
la chaleur animale il montre qu'au contraire, lors-
qu'une glande excreteson produit liquide, sonsaugvei-neux est rouge, parce qu'alors ses vaisseaux sout dila-
tés, tandisqu'ildevientnoir pcndantia phase de repos,
qui est en réalité la phase de travail, puisque c'est
dans son intervalle quela glandefabriquecequ'elle ex-
crèteraplustard. Et se servantde cette nouvelledécou-
verte comme d'un moyen d'investigation, il arrive à dé-
terminer, par la couleurvariahie du sang veineux, les
phases d'activité ou de repos des glandes encore mal
connues etmontrc, par exemple, que du rein, glande
qui ne produit rien et ne fait que ultrer, mais qui fil-
tre sans cesse, sort un sang veineux toujours rouge.Tous ces faits se reliant à ceux qu'il avait découverts
déjà sur le rôle des glandes, sur la chaleur animale,
sur les nerfs vaso-moteurs, ou l'aidant à en décou-
vrir de nouveaux car rien, dans cette oeuvre im-
mense, ne reste isolé; toutes ces découvertes s'en-
chaînent, se relient, se fécondent l'une l'autre.
Car c'est là l'un des inconvénients de cet exposéénumératif et froid auquel il fallait bien me livrer et
où je m'arrête enfin, non parce que la matière, mais
parce que votre patience s'épuiserait. II eu est de lui
commode tous les procédés anatomiques, également
nécessaires et fastidieux, et qui, chose plus grave,donneraient une idée fausse des choses, si on ne re-
6't LES TR.At'X DE r.L,U'[)E BE!~AM
prenait, dans une vue synthétique, les notions analy-
tiques si précieuses qu'ils nous donnent.
Le moindre défaut de leur emploi dans les condi-
tions où je me trouve ici, c'est d'être nécessairement
incomplets. Je n'ai pu vous indiquer qu'une partiela plus importante, il est vrai, et de beaucoup des
travaux de Claude Bernard. Pour concevoir une idée
complète de leur prodigieuse diversité, il faut parcou-
rir, dans les publications de l'Académie des Sciences,de la Société de Biologie et autres sociétés savantes,ses nombreuses notes et mémoires contenant tous
l'énoncé d'un fait nouveau et généralement impor-
tant il faut surtout lire les 18 volumes in-8° qui con-
tiennent les résultats de son enseignement au Collègede France, à la Faculté des sciences et au Muséum
d'histoire naturelle.
Livres tous remplis d'expériences personnelles et
de découvertes. C'est là qu'il faut aller, si vous vou-
lez connaître le maître avec son esprit toujours en
action et cependant toujours calme, avec sa mer-
veilleuse faculté de tout voir, avec ses témérités ex-
périmentales qu'égalait seule sa difficulté a être
satisfait de lui-même, avec son prodigieux esprit d'in-
vention et sa patience non moins prodigieuse, avec
son étrange intuition qui lui faisait deviner en artiste
la vérité qu'il allait démontrer en savant, avec son
dédain des théories considérées autrement que comme
un instrument de recherches ou une satisfaction
transitoire de l'esprit, avec sa facilité à en changer,sa facilité plus grande et plus singulière encore de
changer de sujet d'étude, lorsque l'expérience lui ap-
portait un fait inattendu, avec son apparent désordre
PAR PAUL RERT. eg
et son admirableesprit de suite, mais aussi avec ses
a. omr (..o.a."U& t.N.l.V .H.}"}J" \1. OUIl.I, L .~cu~ aU.l tl't't.
inégalités de pensée et de style, tel enfin que nous
l'avons connu au laboratoire, ennégtigé, étrange-
ment attentif et distrait, prêt à saisir tout ce qui se
passe, et avec des yeux tout autour de la tête!
C'est là que vous admirerez la sûreté de son juge-ment, son dédain pour les tendances à l'absolu, pourla fausse précision, son sentiment exquis des expé-riences comparatives tout est
physiologique en lui,si profondement pénétre de la complexité des phéno-
mènes, de l'importance primordiale des conditions
qu'on ne doit jamais isoler de la conclusion. Laissez-
moi vous citer un exemple. Sous une vaste cloche
vous laissez un moineau s'asphyxier lentement; quandil se montre fort malade, vous y introduisez un autre
moineau bien vivant. Or, c'est celui-ci qui mourra le
premier; il est vigoureux et sain, et n'a pu supporterla transition brusque à des conditions fâcheuses où
l'autre'avaitété lentement amené. C'est ce sentiment
de l'influence fondamentale des conditions qui a tant
fait insister Claude Uernard sur l'étude des milieux
extérieurs et surtout du milieu intérieur du sau"- desa température, de sa composition chimique.
Et dans quelles conditions de travail a-t-il pu faire
tant de choses? J'ai vu, et j'y ai secondé le maîtrecette tanière obscure et humide du Collège de France,qui fut pendant longtemps le seul laboratoire de vi-
visection de France. C'est à ses protestations indi-
gnées que nous devons d'être sortis de ce triste état
de choses et de voir enfin s'organiser des laboratoires
où, d'abord, il est possible de vivre. Oui, c'est dans
ces conditions qui, devant moi, arrachaient des larmesCLAUDE BEMAM). X!X.
6t) LES THAYAUX DU CLAUDE BERNARD
a un illustre étranger, sans instruments, sans argent,
presquesans aides officiels, que Claude Bernard a
tant fait! La nécessité rendit ingénieux son génie; la
simplicité de ses moyens d'action étonnera éternelle-
ment lui, qui introduisit la physique et la chimie au
cœur de la physiologie, il dédaignait profondément
cette instrumentation compliquée dont. fait ses déiices
et sans laquelle ne peut vivre la physiologie d'outre-
Khin. L'antithèse entre lesmoyens
d'action et les
résultats le fait encore paraître plus grand.
J'ai eu soin de vous faire remarquer, à diverses re-
prises, comment presque toutes ses grandes décou-
vertes remontent aux débuts de sa vie scentinque. Un
exposé de titres, qui parait dater de 1851, contient,
en effet. le résumé de travaux sur les nerfs crâniens,
sur les liquides intestinaux, sur la glycogénie, sur le
diabète, sur le curare; les vaso-constricteurs ont été
découverts en t8ot. Ainsi, dans ces sept premières
années de son apparition au monde scientifique, il y
a comme une véritable explosion, et les vingt-cinq an-
nées qui vont suivre se passeront à développer, à
agrandir, a étayer de preuves nouvelles, à défendre
contre les critiques, les découvertes de sa jeunesse,
et surtout à les relier les unes aux autres et à les faire
servir il des visées d'un ordre supérieur.
Mais si, en 851, les faits principaux de son œuvre
expérimentale sont acquis, il ne semble pas encore
eu sentir lui-même toute la portée. Du moins son ex-
posé de titres les énumëre non sans détails. mais
avec une singulière sécheresse. Les témoignages de
ses contemporains sont d'accord avec le style de ses
publications, pour montrer que son génie ne dépas-
FAHi'At'LCERT. !/?
sait pas alors, par ses visées, l'horizon relativement
étroit d'un laboratoire de vivisection. Il coupe, i!
excite, il enlève, et, surtout, il regarde mieux que ne
font les autres, mais c'est tout; de conséquences gé-
nérales, même dans le domaine de la physiologie, il
n'en est pas encore question.
L'histoire des savants illustres est là pour prouver
que ce n'est pas un mal de s'ignorer soi-même et de
ne pas sentir trop tôt des prétentions à la grandeur.Claude Bernard les eut si peu que, vers cette époque.il se découragea et ne parut pas, en face des situa-
tions misérables que la France faisait alors aux
hommes de science, éloigné de reprendre le fardeau de
la pratique médicale. Heureusement il n'en fit rien.
et bientôt les préoccupations du professorat le forcent
à envisager d'une manière plus générale les phéno-
mènes à l'analyse desquels il s'était jusqu'alors ex-
clusivement consacré. Ce ne sont plus seulement des
faits nouveaux qu'il va découvrir, ces faits serviront
de base, puis d'étais, à des conceptions d'un ordre
plus général.
Claude Bernard commence dès lors à renoncer A
cette physiologie des mécanismes, dont la variété n'a
rien qui puisse attacher pendant quelque temps nu
esprit supérieur. Il laisse là les questions de rythme,de mouvements, de mesures. S'il détermine la pres-
sion du sang dans les artères, c'est pour étudif'r
l'influence que diverses conditions physiofogiqut's
exercent sur ses variations. Il abandonne ces sections.
ces arrachements de nerfs qui, avant lui, consti-
tuaient presque toute la physiologie des vivisections.
et dans lesquels il a excellé. Une vue d'ensemble i a
CSIl~, LHSTHAVAL'X M CLAUDE HEfiNARD
frappé et désormais il s'y consacrera tout entier.
L'être vivant est un lieu ou, dans des conditions in-
finiment variées, s'accomplissent des actes purement
physico-chimiques;mais ces actes constituent par
leur complexité, tout au moins par les conditions où
ils s'exécutent, une catégorie à part. Certains d'entre
eux. môme, auxquels i! convient de conserver le nom
de /~<o~«~ ~<r, sont spéciaux par leurs mani-
festations, sinon par leurs causes, aux êtres vivants.
Us sont exécutés, dans la profondeur des organes,
par les corpuscules les plus petits en lesquels l'ana-
tomie puisse, le microscope en main, réduire les
corps organisés; ces corpuscules, ces éléments ana-
tomiques ayant chacun leur autonomie, leur vie
propre, leur manière de produire, de sentir, de réa-
gir. Les organes, les tissus, ne vivent que de la vie
des éléments anatomiques, et la vie totale
de l'être est la source totale de leurs vies individuel-
les. Dans les êtres compliqués de structure, compli-
cation que de grandes dimensions rendraient a elle
seule nécessaire, les éléments anatomiques ne peu-
vent être en contact direct avec le milieu extérieur,
i!s ne peuvent y pniser directement ni les aliments
ni 1 oxygène, ils ne peuvent y rejeter les détritus de
leur nutrition, Il est donc nécessaire qu'un intermé-
diaire se charge de ces relations, leur apporte du de-
hors ce dont ils ont besoin, en emporte ce qui leur
nuit. C'est, suivant la pittoresque expression de Claude
Bernard, le milieu M~i!'<'M/ au sein duquel les élé-
ments vivent comme les animaux aquatiques dans
l'eau, et qui s'y trouvent, chez les animaux supérieurs.
vraiment en .6- c/<<?/ c'est le sang, courant
f'ARPAL'LBEHT. f:9
daus des canaux qui vivent eux-mêmes et qui, s'ils
changent de calibre, peuvent singulièrement modi-
fier les conditions de la nutrition élémentaire.
Envisageons maintenant de ce point de vue l'ensem-
ble des travaux de Claude Bernard, et nous allons les
voir concourir admirablement à une œuvre commune.
Le fait fondamental c'est l'indépendance de la
vie de chaque élément anatomique. Les poisons, cu-
rare, strychnine, oxyde de carbone, upas, qui frap-
pent exclusivement chacun tel élément, respectant
les autres, vont en fournir une preuve saisissante.
C'est la base de la physiologie générale, et Claude
Bernard, qui le premier a donné à cette expression
sa valeur réelle scientifique, ne se lassera jamais
d'en élargir, d'eu solidifier l'assiette. Sans cesse, il
revient sur cette idée; ses derniers livres lui donnent
la plus large place, et il invoque, pour l'établir, d'in-
nombrables arguments dont il fournit lui-même les
plus importants.
L'incessante activité de ces éléments, qui est la
cause et la conséquence même de leur vie, consomme
de l'oxygène, produit de la chaleur, consommation
et production qui augmentent lorsque cette activité
s'accroît. C'est ce que montre Claude Bernard par ses
travaux sur l'origine de la chaleur animale, sur les
variations des températures locales, sur le change-
ment de la couleur du sang suivant l'état de repos
ou de fonctionnement des parties qu'il traverse.
Mais ces éléments anatomiques, tout en vivant cha-
cun par lui-même, ne vivent pas exclusivement cha-
cun pour lui-même.
Citoyens innombrables de la république vivante,
T~' LES TRAVAUXDE CLAUDEUEHNARD
ils ont bien chacun leur indépendance, mais ils sont
iiesics uns aux autres par un pacte social, auquelil faut êtrefidëte sous peine de mort. Aussi bien,
si l'un d'eux, je veux dire, si toute une catégorie,vient à manquer, la dissolution sociale, la mort sur-
viennent aussitôt. Héciproquement, chaque catégorierend un ordre spécial de services à la communauté
entière.
C'est ainsi que la cetlutcdu foie assumantpour elle
seule une fonction qui dans les âges embryonnaires a
:)ppartenu a bien d'autres ccifnJes, se charge d'em-
magasiner l'amidon, de produire le sucre, dont le
dédoublement sera l'une des sources de la chaleur, et
paraît être, pour des raisons encore inconnues, l'une
des conditions fondamentales du développement et de
la nutrition ceUutaire.
Je viens de dire dédoublement, et non pas simple-ment combustion. C'est que, s'il est bien vrai quetous les phénomènes chimiques des êtres vivants ont
pour conséquence generaïe nne oxydation, il ne fau-
drait pas croire que tout se passe avec ia simplicitéd'un foyer ordinaire. C'est bien d'actes chimiques qu'ilest question, mais d'une chimie spéciale dont Claude
Bernard n'a cessé, depuis son premier travail sur les
sels métalliques et les ferments, d'étudier les condi-
tions et les produits, d'une chimie qui n'a guère son
analogie que dans les actes de la fermentation, si bien
que, d'après ses propres paroles, ce n'est pas à une
machine à feu, comme on le fait depuis Lavoisier,
qu'il convient de comparer un être vivant, mais bien
plutôt à la cuve en ébullition du brasseur.
Tous ces actes chimiques, qui bientôt useraient les
PARPACLUEHT. 7t
réserves de l'é)ément anatomiqnc,ne
peuvente.treri-serves clc: 1 c:m.4 aG~.w~. il,'
continues que grâce a la présence du saug.
Apres avoir bien nettement précise par ses expé-
riences sur les sucs digestifs et sur l'oxyde de carbone,
comment le s:)ngva prendre à la surface des muqueu-
ses les matériaux déjà préparés, il se demande si la
distribution de ce liquide réparateur ne se fera dans
toutes les parties de l'organisme que suivant les règles
que lui assignerait l'hydraulique s'il se mouvait dans
des tubes inertes. Et, devinant /)/qu'il n'en peut
être ainsi, qu'au contraire chaque région doit être
nourrie au prorata de son travail, il cherche et trouve
le moteur de cette justice distributive, ce système
nerveux vaso-moteur dont je vous ai parlé, régula-
teur de la chaleur, de la nutrition, de la force, grand
maître des sciences organiques, qui les lance ou les
contient suivant qu'il veut exciter ou calmer,
MM pO?M7'C vult.
Ainsi, vous le voyez, l'oeuvre physiologique tout
entière de Claude Bernard, dont les diverses parties
ont pu, dans la premièremoitié de cette conférence,
vous paraître si diversifiées et presque incohérentes
entre elles, se réunissent, s'appuient, se condensent
autour de la démonstration du fait fondamental et de
l'étude de ses innombrables variétés d'aspect la vie
chimique de la cellule.
Et je dis cellule vivante, et non cellule animale
seulement. Car il vint un moment où Claude Bernard,
ramenant a l'unité tant de phénomènes complexes,
arriva a montrer qu'au point de vue si élevé où il s'est
placé, l'utile division des êtres vivants en animaux et
en végétaux n'a plus sa raison d'être ou, pour mieux
~2 LES TnAVAf'X DE CLAUDECEHXAM
dire, que les éléments anatomiques, qu'ils soient par-tie constituante d'un animât ou d'un végétal, vivent
semblablement par des procédés chimiques du même
ordre. Certes, entre la cellule sensible du cerveau
humain et l'humble icvùre de bière, la din'érence
semble et est, en réalité, immense. Et cependant, un
peu de vapeur d'éther, qui engourdit notre cerveau,endort de menu; la levure qui cesse de produire l'al-
cool, quitte à se réveiller pour se remettre au travail,comme nous faisons nous-mêmes, quand l'évapora-tion l'a libérée. Que si l'on objecte que le fonctionne-
ment général des deux ordres d'êtres vivants est dia-
métralement opposé, que le végétal est un réducteur,
l'animal un brûleur, Claude Bernard, par la plus élé-
gante des expériences, endort par la vapeur d'éther les
cellules vertes, le manteauchlorophyllien, qui cons-
titue la vraie différence des êtres, et montre le végétâtfonctionnant alors comme un animal, c'est-à-dire
comme un appareil d'oxydation.
Ce dualisme vital, cet antagonisme fonctionnel entre
le règne animal et le règne végétal, vrai si l'on consi-
dère les résultats dénnitifs, ne résiste pas a l'examen
detaiDe des phénomènes. Ainsi, la digestion des fécu-lents, des sucres, des graisses, des matières albumi-
noïdes, est faite par la graine, en vertu des mêmes
agents que dans le tube intestinal de l'animal.
Ce n'est pas la qu'est, selon Claude Bernard, le vé-
ritable dualisme physiotogique. Oui, il y a bien, chez
les êtres vivants, et des phénomènes de réduction et
des phénomènes de combustion. Les uns ont lieu tou-
tes les fois qu'il y a formation de tissus ils sont la
caractéristique des périodes embryologiques. Les au-
P~.nPAt'LBEftT. 733
très son;, laconséquence
de l'action même des élé-
ments, des tissus, d(sorganes. La création organi-
que est la réduction, l'action organique la comhus-
tion. Mais cet antagonisme a lieu tout aussi bien chez
les animaux que chez les végétaux; il a rapport à un
ordre de phénomènes et non à une classification.
L'unité fondamentale, au sein de tant de variétés
qui la dissimulent, telle est la vue synthétique que
Claude Bernard dégage progressivement de ses études
analytiques, et qui finit, dans la seconde moitié de sa
vie scientifique, par hji servir de guide dans l'analyse
elle-même. C'est elle qui permet de le proclamer le
véritable fondateur de la physiologie générale, expres-
sion moins nouvelle que la science qu'elle désigne et
qui avant lui, ne couvrait que des généraiités ou mémo
des banalités sur une physiologie faite d'hypothèseset de vraisemblances.
Si l'œuvre de Claude Bernard, envisagée au pointde vue de la physiologie pure, peut ainsi se résumer
grâce à la vue d'ensemble qui a présidé à son édifica-
tion, il est plus facile encore d'en exposer rapidementla partie relative à la science des maladies. Pour lui,
la maladie n'est qu'une altération dans le fonctionne-
ment régulier de l'élément anatomique, altération due
soit a lui-même, soit a la composition du sang, du
milieu intérieur, soit au mode de distribution de ce
milieu. La thérapeutique est l'emploi d'agents physi-
ques ou chimiques qui restituent aux éléments ou au
milieu intérieur leurs qualités normales. Et c'est ainsi
que nous l'avons vu, de chacune de ses découvertes
physiologiques, tirer des applications médicales. Aprèsla gfycogénie vient la théorie du diabète, produit, non
74 LES TRAVAUXDE CLAUDEBERNARD
comme on le croyait jusqu'à lui, par le sucre des ali-
ments que l'organisme ne brûlerait pas, mais bien
par une suractivité exagérée du foie, excitée elle-
mcme le plus souvent par une maladie de la moelle
aDon~ée. Après la découverte des nerfs vaso-moteurs,
des expériences que je ne puis même indiquer ici en
montrent !e rôle dans les congestions, dans les inflam-
mations, dans les cicatrisations, et créent toute une
nouvelle théorie de la Hèvre.
Eu montant pour la première fois, en 1847, comme
suppléant dans la chaire de Magendie, Claude Bernard
disait audacieusement « La médecine scientifique,
que j'aurais pour mission de vous enseigner, n'existe
pas. Une bonne part de la vie de Claude Bernard a
été consacrée à en établir les bases. It a exerce en
cette matière une influence dont témoignent les
innombrables livres et mémoires inspirés de son esprit.
Il a, on peut le dire, transformé le sentiment des mé-
decins et montré que l'expérimentation peut s'accor-
der avec l'observation clinique. Et il est même arrivé
ceci, c'est que le besoin des conclusions hâtives, qui
est propre aux médecins, et cela est légitime, car
les importants intérêts qu'ils servent n'ont pas le
temps d'attendre,– s'étant fait jour bien vite, Claude
Bernard a dû s'efforcer de modérer, pour le contenir
dans les limites scientifiques, un mouvement qu'il
avait déterminé lui-même.
Telle est, résumée à grands traits, l'ceuvre expéri-
mentale de Claude Bernard dans le domaine physiolo-
gique et dans le domaine pathologique. Mais si consi-
dérables et si nombreuses que soient ses découvertes,
PAUFALLBURT.
si é'evés et si importants que soient les faits générauxqui s'en déduisent, tout cela ne pourrait suffit-e pourexpliquer la haute situation
qu'occupait Claude Ber-nard non seulement aux yeux dit monde savant, maisdevant tous les esprits éclaires, et son influence extra-ordinaire sur ses
contemporains. Ce qui en donne la
raison, c'es' q:il n'était pas seulement un découvreur,mais un fondateur et un législateur.
Certes, il serait excessif de prétendre, après Har-
vey, Hunier, Lavoisier, Magendie, qoe Claude Ber-nard ait créé la
physiologie, même la physiologieexpérimentale. Et cependant, il fit en son domaineœuvre de fondateur.
Jusqu'à lui, en effet, nousvoyons la physiologie
considérée comme une annexe, par les uns, de la mé-
decine, par les autres, de l'anatomie. Les seules chai-res qu'elle possède sont placées dans les Facultés de
médecine; les problèmes qu'elle étudie se résolventen cette formule étant donnée une partie du corpsqu'a découverte et décrite l'anatomiste, en trouver lafonction.
Dès ses débuts dans l'enseignement, Claude Ber-nard proteste contre cette manière de voir, dont l'é-
troitessenous para!! si étrange aujourd'hui. H réL-lame
pour laphysiologie un titre et une place à part. Il
montre que les connaissances anatomiques peuventbien expliquer certaines questions de mécanisme,mais qu'elles sont impuissantes à donner la moindrenotion sur le rôle des organes lorsque la
physiologiene les a pas précédées. De même, lui qui devait, parses découvertes, tant concourir aux progrès de la mé-
decine, il en isole la physiologie, dont il fait une
'7C tES THAYAUXDE CLAUDEBERNARD
science fondamentale et primordiale, et montre qu'il
convient d'en attendre le développement avant de
penser constituer scientifiquement la médecine.
Ayant ainsi rendu à la physiologie le service qu'a-
vaient rendu a l'anatomie Bichat et de BtainviHe, il
l'enlève hardiment au groupe des sciences contempla-
tives ou d'observation pour la placer a côté de la
physique et de la chimie, parmi les sciences expéri-
mentâtes, agissantes, ou, suivant son expression, con-
quérantes de la nature.
Mais, pour qu'elfe méritât ce titre, pour qu'elle pût
même réclamer d'être considérée comme une science,
il fallait que la physiologie fut sûre d'elle-même, que
les phénomènes qu'elle étudie fussent régis par des
lois fixes. Or, au moment où Claude Bernard apparut
dans la lice, le découragement était profond. Deux
écoles se trouvaient en présence. L'une était persua-
dée qu'en ce domaine périlleux, il n'était place pour
nulle certitude. Une sorte de génie capricieux, la vie,
le principe vital, dont l'intervention ne pouvait être
ni prévue, ni réglée, se faisait comme un jeu de tout
brouiller, si bien que les conclusions des expériences
les mieux ordonnées n'étaient qu'un décevant mirage.
« On ne peut rien prévoir, disait Bichat, rien calculer
dans les phénomènes dus au jeu des propriétés vitales,
dont le caractère essentiel est l'instabilité. ') Et celui
qui parlait ainsi était chef d'école. « Vous dites qu'en
physiologie les résultats sont identiques quand on
opère dans des conditions identiques. Je nie qu'il en
soit ainsi. Cela est exact pour la nature brute, mais
quand la vie intervient, on a beau être dans des condi-
tions identiques, les résultats peuvent être ditrérents. »
PAU PAUL BERT. T7-1
Q"i parleainsi?
Gerdy, chirurgienet
physiologistede
renom. A quelle époque? En !845, au moment ou
Claude Bernard venait d'expliquer, avec une sagacité
admirable, les raisons d'un dissentiment entre Brodie
et Magendie.
A côte de cette école qui, si elle eût été logique, se
fût croisé les mains et eût refusé d'agir non seulement
en physiologie, mais en médecine, école qui citait à
l'appui de sa négation systématique l'innombrable
série des contradictions et des querelles physiologi-
ques, s'élevait celle de Magendie. Le bon sens de
celui-ci n'avait pu être altéré par cette philosophie de
convention. Mais la connaissance de ces contradic-
tions, !a. multiplicité munie des conditions dont il faut
tenir compte en physiologie, le sentiment qu'il en est
beaucoup plus d'ignorées que de connues, avaient jeté
dans un doute singulier l'esprit de celui qui devait
être le maître de Claude Bernard, Il ne niait pas, lui,
il doutait à outrance. De conclusion, il n'en voulait
pas, et il ne craignait pas de déclarer, lui aussi, qu'une
même expérience peut donner des résultats différents,
tout en étant faite dans des conditions en apparence
identiques il se déclarait à l'avance vaincu, non point
'par un génie mystérieux, mais par le nombre et le
poids des inconnues.
Entre l'école de la négation et celle du scepticisme.
la science manquait de bases et les plus étranges con-
tradictions semblaient s'y être donné rendez-vous.
Claude Bernard vit du premier coup d'œil qu'il fallait
ran'ermir le solpour pouvoir
construire avec sécurité.
Des ses débuts, il s'attacha à quelques travaux de cri-
tique où il se montra aussi admirable que dans ses
i8 LES TfiAVAUX DE CLAfttE BE~'ARD
recnercnesongmates. Désormats sûr de lui-même et
de sa science, il marcha en avant sans discuter da-
vantage et chacun suivit son exemple la certitude
avait pris droit de cité dans le domaine de la physio-
logie, qui marchait ainsi de pair avec ses aînées, la
physique et la chimie.
Un jour ~'int, où, frappé par la maladie, éloignémomentanément du laboratoire, Claude Bernard vou-
lut faire profiter les physiologistes et les médecins du
résultat de ses efforts dans le domaine de la méthode.
Il écrivit son 7/<o~c/MM « /'<~Mf/<-de /« médecine ~n~-~M~/<i!/c. C'était en 1865 il était alors en possessionde toutes ses grandes découvertes, et il semble quesa gloire ne pouvait plus grandir. Cependant, ce fut
une révélation les hommes de science, les spécia-listes eux-mêmes furent frappés d'étonnement et
d'admiration, et l'opinion publique s'émut trois ans
après, Claude Bernard entrait à l'Académie française.C'e.st que, pour la première fois, étaient tracées, et
tracées de main de maître, les règles de la méthode
expérimentale, appliquées aux recherches exécutées
sur les êtres vivants.
C'est que, pour la première fois, étaient signa)és,dévoilés, avec la sagacité d'un pilote qui les a su tous"
éviter, les écueils que l'encontre, innombrabtes et
secrets, sur sa route, ic physiologiste expérimentateur.C'est que, pour la première fois, se développait
avec ampleur la critique expérimentale, cette critique
qui ~'a rien a voir avecl'esprit d'opposition ou de
controverse, qui cherche moins les erreurs que les
causes des erreurs, et qui sert a l'éducation scientifi-
que presque autant que ta découverte.
PAR PAUL BERT. 79
C'estque, pour la première fois, cette certitude de
l'identité dans les résultats quand les conditions des
pliénomënes sont identiques, certitude sans laquelle
il n'y a pas de science, était affirmée, démontrée, par
une discussion qui est restée comme un modèle, et
étayée de preuves presque toutes empruntées à ses
propres découvertes, en telle sorte que cette disserta-
tion philosophique prenait l'intérêt palpitant d'nne
auto-biographie. A cette certitude il donnait même
un nom, qui a fait fortune; il l'appelait le ~/cr/?~
MM'Mg.
Et avec quel art merveilleux il montre les condi-
tions du doute scientifique, l'utilité et le danger des
théories, le rôle de l'observation et de l'expérimen-
tation dans les sciences biologiques, l'importance, la
nécessité de l'intuition, du sentiment intérieur, de
l'hypothèse, pour engendrer l'idée expérimentale!
Un jour, permettex-moi ce souvenir personnel qui
concorde si bien avec cette partie de mon sujet,
dans la première année où j'avais l'honneur d'être
son préparateur, comme j'entrais au laboratoire, et
me débarrassais de mon vêtement de dehors Lais-
sez, me dit-il, votre imagination avec votre paletot,
au vestiaire, mais reprenez-la en sortant. ') Kn tenant
compte, comme je dus le faire, de la fine critique qui
se dissimulait avec tant de bonté, je puis dire que
Claude Hernard, comme expérimentateur, est tout
entier dans cette formule. Arriver avec son imagina-
tion, c'est-à-dire avec son idée préconçue, avec le
plan de l'expérience qui pourra servir à la résoudre,
car il ne faut jamais, disait-il, expérimenter au hasard
et M M//tc. Mais une fois l'œuvre commencée, devenir
80 LES TRAVAUX DE CLAUSE UEttXARI)
passif, en quelque sorte, pur contemplateur, ne pas
faire comme les hommes a idée fixe, qui n'interrogent,
que pour la forme, et font en même temps la de-
mande et la réponse. Tout voir, (;e qui est eu rapport
avec l'ordre de recherches poursuivies, comme ce qui
lui est étrange)'; accepter docilement ce que donne
l'expérience, que le résultat soit favorable ou défavo-
rable à l'idée préconçue, avec plus de joie même,
dans ce dernier cas, car c'est le signe d'une inconnue
nouvelle, par suite d'une découverte à faire. Puis, au
sortir du laboratoire, redevenir libre, reprendre son
imagination, réfléchir, conclure s'il en est temps, ou
concevoir une hypothèse nouvelle que lexperience
j':gera le lendemain ou même, si quelque fait plus
important s'est rencontre, laisser la le sujet primitif
de la recherche pour poursuivre ce filon imprévu.
C'est ainsi qu'alternativement actif et passif, esclave
et maître, l'expérimentateur peut arriver à dompter
l'inconnu tel est le spectacle que retrace Claude
Hernard avec l'intensité de vie qu'y peut mettre seul
un homme qui est a la fois acteur et auteur.
Mais revenuns au ~c/?!<M/~<?. Aussi bien est-ce la
la ba-e même de toute la vie scientifique de Claude
Bernard; c'est de lui qu'émane toute sa philosophie.
C'est sur ce roc solide qu'il édifie toute doctrine c'est
la qu'il s'est établi pour braver le scepticisme décou-
rageant et les caprices du principe vital; c'est là qu'il
se réfugiera quand il faudra fuir ceux qui voudraient
l'entramcr avec eux dans la roue d'écureuil de la mé-
taphysique.
Sans doute l'expérimentation en physiologie est
plus difficile que dans les autres sciences, parce que
P&n PAUL BERT. 8<
CHUCE BERNARD. XIX. 6
les organes sont multiples, les fonctions complexes,
les liquides et les solides mêlés de manière à ne pou-
voir être isolés; mais encore et surtout parce qu'un
trouble porté sur un point de l'organisme retentit
sur beaucoup d'autres, et qu'on peut être entraîné à
prendre le phénomène secondaire pour le principal,
l'effet lointain pour la conséquence prochaine tel un
homme qui croirait l'intelligence localisée au bout du
doigt, parce'qu'un panaris aura donné le délire. Mais
s'il est plus difficile de conclure, la conclusion n'est
pas moins certaine, quand les précautions nécessaires
sont prises et que l'éducation de l'expérimentateur a
été suffisante.
ïl n'y a pas dans les sciences biologiques, non
plus que dans les sciences des corps s br uts, de con-
tradiction dans les faits, il ne peut y en avoir que
dans les conclusions. Tout ce qu'a vu un expérimen-
tateur sincère est vrai, et si on ne le retrouve pas;
c'est qu'involontairement on s'est mis dans d'autres
conditions que celles où il était placé. Ces conditions
sont infiniment nombreuses et complexes leur dé-
terminaison exacte est presque toute la physiologie.
Les mots <?~c~oM, ~M'y~c/w~, etc., ne servent qu'à
masquer notre ignorance; ~w/~M~/b~<?M/-<<? n'ont
pas leur place dans le langage scientifique, qui doit
dire jamais ou toujours. La confiance presque naïve
dans les faits, la défiance dans les conclusions, deux
qualités que Claude Bernard posséda à un si haut
degré, procèdent du sentiment de la certitude, qui est
la base du déterminisme.
Et celui-ci non seulement nous rend le service de
solidifier le terrain où peuvent plonger leurs racines
82 LES TRAVAUX DE CLAUDE BERNARD
les sciences expérimentales, mais il nous ëer"i:'a. en-
core à limiter leur domaine, car il commence et finit
précisément là où il y a détermination.
La limite de nos connaissances est la même dans
les phénomènes des corps vivants et dans ceux des
corps bruts nous ne savons jamais que les rapports
constants de conditions et de phénomènes préciser
ces conditions est toute la science du physiologiste,
comme celle du physicien et du chimiste. Sans doute
nous cherchons sans cesse à marcher en avant, le
pourquoi a la bouche mais nous arriverons toujours
à une cause MW</e (Bacon), qui ne nous entendra pas,
qui ne nous répondra pas, et si nous croyons enten-
dre quelque chose, ce ne sera que l'écho de notre
propre pensée.
Faut-il donc s'arrêter là? Ne pouvons-nous donc
rien savoir au delà des conditions et des phénomè-
nes, et le problème de la vie sera-t-il donc toujoursinsoluble? Oui, dit Claude Bernard, comme celui de la
pesanteur et de l'afnnité; donner des noms aux pro-
blèmes n'est pas les résoudre. <'L'obscure notion de
cause doit être reportée à l'origine des choses; elle
n'a de sens que celui de cause première ou de cause
finale; elle doit faire place dans la science à la notion
de rapport ou de condition, » Et ici le déterminisme
règne en souverain il n'y a pas plus de sponta-
néité dans la matière vivante que dans la matière
morte.
Mais pouvons-nous du moins dénnir la vie? Mon,
« les définitions sont illusoires; les conditions des
choses sont tout ce que nous en pouvons connaître M.
Mais un maître a dit « La vie est l'ensemble des
PAR PAUL BERT. 83
fonctionsqui résistent à la mort. o Est-ce exact du
moins? Faut-il accepter cette antithèse entre les
forces vitales combattant pour le salut du corps et
les forces physico-chimiques qui tendent à le dé-
truire ? Non, a coup sûr, répond Claude Bernard;
il ne se passe dans notre corps que des phénomènes
dépendant des forces physico-chimiques. Mais elles
sont dirigées par une force vitale ? Nous n'en savons
rien, puisque cette force, si elle existe, ne se mani-
feste à nous que par l'intermédiaire des forces phy-
sico-chimiques, et que souvent celles-ci semblent la
diriger. Sans doute, il y a un arrangement régulier
des choses, une évolution, et dans l'œufun <M'
~ous reconnaissons un plan, mais c'est là une vue
de l'esprit a laquelle il ne faut pas donner une activi-
té matérielle; et puisque « chaque chose s'exécute
dans les corps vivants comme s'il n'y avait pas de
force vitale à quoi bon, nous, hommes de science,
inventer une puissance impuissante.
Ainsi, des phénomènes d'ordre physico-chimique,
mais s'opérant par des procédés spéciaux auxquels
il est bon de conserverie nom de vitaux, au sein d'élé-
ments microscopiques qui leur présentent des condi-
tions spéciales, suivant des lois spéciales, mais qui
sont les mêmes depuis la bactérie qui flotte dans
l'eau saumâtre jusqu'à notre cellule cérébrale, et,
malgré la prodigieuse complexité des faits, aussi
réglés, aussi déterminés que la progression des corps
dans leur chute ou l'union des acides et des bases;
en un mot, « des conditions matérielles déterminées
qui règlent l'apparition des phénomènes, des lois
préétablies qui en règlent l'ordre M uu conflit entre
8!. LES TRAVAUXDE CLAUDEBER~AHD
un organisme et le monde extérieur, conflit qui engen-
dre des phénomènes de création organique et des
phénomènes de destruction organique, voilà la vie, ou
du moins, voilà tout ce que nous en pouvons savoir:
or, c'est perdre son temps que chercher l'introuvable.
Ou du moins ce n'est pas faire œuvre de savant;
mais, dans le domaine dit déterminé, qui est le sien,
il ne faut jamais se lasser de marcher en avant. « Le
désir ardent de la connaissance est l'unique mobile
qui attire et soutient l'investigateur; c'est cette con-
naissance qu'il saisit réellement et qui fuit cependant
sans cesse devant lui, qui devient à la fois son seul
tourment et son seul bonheur. Le savant ne doit ja-
mais s'arrêter en chemin il doit toujours s'élever
plus haut et chercher tant qu'il voit quelque chose a
trouver. » Or il ne peut trouver que dans le domaine
du déterminé; l'indéterminé ne saurait rien lui onrh'
il appartient au philosophe et Claude Bernard s'en
écarte résolument.
Mais une telle prudence ne saurait sufnre aux fai-
seurs de systèmes. Et chacun d'eux de chercher,
parmi les hasards des rédactions diverses, quelque
fragment qui lui permettra d'apporter à l'appui de sa
thèse l'autorité du grand physiologiste. Messieurs,
il faut dégager Claude Bernard de toutes ces compro-
missions il n'est ni matérialiste, bien qu'il réduise
tous les phénomènes vitaux, même ceux qui se pas-
sent dans le cerveau à des actes physico-chimiques
ni spiritualiste, bien qu'il sente en lui et afnrme ia
liberté agissante.
Il se cantonne scrupuleusement au contact immé-
diat des faits d'observation et d'expérience, sans aller
PAR PAUL BERT. 8!i
plusloin que leurs conséquences les plus prochaines.
!I repousse également, ce sont ses propres paroles,
tous les systèmes de philosophie. Non qu'il ne croie
la philosophie utile, car « elle représentel'aspiration
éternelle de la raison humaine vers la connaissance
<)e l'inconnu. C'est l'esprit philosophique qui stimule
et entretient un mouvement salutaire dans les scien-
ces, qui, sans lui, tendraient au repos et se traîne-
raient terre à terre.') Mais Claude Bernard refuse
obstinément, et malgré maintes séductions, de s'enrd-
ler sous aucune banniètc; maintes fois, il proteste et
réclame son indépendance:« Il faut, s'écrie-t-il, bri-
ser les entraves des systèmes philosophiques comme
on briserait les chaînes d'un esclavage intellectuel. »
Or, ce qu'il repousse pour lui-même, il ne saurait
vouloir l'imposer aux autres. Aussi le voyons-nous,
malgré qu'on en ait dit et écrit, rester homme de
science, avec un esprit trop élevé pour se laisser
leurrer par un système, et trop loyal pour essayer
d'en leurrer les autres.
Au reste, ce n'est pas là, malgré ce qu'en ont dit
tant de journaux et de revues, ce n'est pas là qu'est
Claude Bernard, Il est tout entier dans ses admirables
découvertes expérimentales, dans sa conception nou-
velle de la physiologie générale et de la médecine
expérimentale, dans son analyse méthodique, criti-
que, des conditions de la certitude dans les sciences
biologiques.
C'est par là qu'il a dominé son époque pendant près
de quarante ans d'une vie dont la sereine harmonie
ne s'est jamais démentie. C'est par lit qu'il a suscité
au tour de lui tant de travaux et tant d'hommes c'est
M LES TRAVAUX DE CLAUDE BERNARD
par 1~ qu'il a transformé la physiologie, la pathologie,
la toxicologie, la thérapeutique c'est par là que son
œuvre vivra éternellement.
Et cependant la droiture, la sincérité profonde d&
Claude Bernard font qu'il n'est pas, dans le sens ha-
bituel du mot. un chef d'école. Il dédaignait trop le
système et le dogme. Mais ce qui est bien au-dessus,
il a été et reste le maître de tous les biologisles con-
temporains, de ceux mêmes qui l'ont combattu ou se
sont posés en rivaux.
Et si nous voulons, d'une autre manière encore,
nous faire une juste idée du rôle qu'il a joué dans la
science et dans l'évolution des esprits, employons a
notre tour une méthode de vivisection, cette de l'abla-
tion supprimons Claude Bernard par la pensée, et
reportons-nous à ce qu'était la science expérimentale
au début de sa carrière. La physiologie s'appelait
scepticisme, la médecine empirisme, la physiologie
générale rêveries, et la médecine physiologique sys-tème de Broussais. !I semble que des siècles se sont
écoulés: grâce à lui la physiologie marche d'un pas
assuré sur le sol affermi de la certitude la médecine,
sans rien renier des enseignements de l'histoire, sait
qu'elle ne prendra rang parmi les sciences qu'en fai-
sant œuvre de patience expérimentale. Deux mots
prononcés par des maîtres résument son œuvre tout
entière « Il ne fait pas, a-t-on dit, de la médecine,
il fait la médecine », et l'on a dit encore « Claude
Bernard n'est pas un physiologiste, c'est la physio-
logie ')
C'est à ce génie si profond, c'est à cette personna-
PAR PAUL BERT. 87
lité si puissante, c'est à cet homme si grand et si
simple à la fois, que la gloire était venue trouver sans
qu'il fit un pas vers elle, et qui s'était élevé comme
inconsciemment du rang de simple physiologiste vi-
visecteur à celui de législateur de ta méthode expéri-
mentale que le gouvernement de la République a
voulu rendre, par des funérailles solennelles, un hom-
mage réservé jusqu'à ce jour à ceux qui avaient servi
et illustré leur pays sur les champs de bataille ou dans
les conseils de l'État.
Il a voulu montrer par un exemple, dont la répéti-
tion ne pouvait qu'affaiblir la grandeur, que l'esprit
scientifiqne, l'esprit qui enseigne la recherche et le
culte de laloi, va prendre, dans la direction des cho-
ses publiques, la place dominatrice trop longtemps
occupée par l'empirisme, le caprice ou le sentiment.
Aucun honneur n'aurait pu toucher autant Claude
Bernard, si peu soucieux des honneurs, que de se
voir ainsi choisi pour caractériser une révolution
dont l'immense portée ne tardera pas à se faire
sentir.
Ht
CLAUDE BERNARD
Par Armand MOREAU
Mcmbro Je t'Acadcmiede médecine (!)
L/Académie de médecine veut aussi dire un der-
nier adieu à Claude Bernard.
En me désignant à cet honneur et en m'imposant le
courage de surmonter ma douleur, elle me donne du
moins la consolation de vivre encore avec le maître
pendant que je rends hommage à sa glorieuse mé-
moire.
Claude Bernard, dans son enseignement au Collège
de France a consacré ses efforts à constituer la mé-
decine sur les mêmes principes que toutes les autres
sciences expérimentales, et ainsi qu'il le rappelait
chaque année dans sa première leçon, à établir qu'il
n'y a qu'une seule physiologie qui comprend l'étude
de l'état normal et de l'état pathologique.
(t) Discours prononcé aux funérailles de Claude Bernard, aunom de l'Académie de médecine, par M. Armand Moreau, le
samedi 16 février 1878.
90 CLAUDEBERNARD
C'est ainsi que, pour lui, les expérimentateurs
qui ont cherché rapprocher la médecine de la
physiologie et des sciences physiques et chimiques,
Lavoisier, Laënnec, Mageudie, sont les vrais promo-teurs de la médecine expérimentale.
L'observation, qui est le point de départ de nos
connaissances, représente le premier degré de toute
investigation scientifique. En médecine, elle est in-
suffisante a nous fournir l'explication des phénomè-
nes il faut toujours en venir à l'expérimentation i!
faut passer de la clinique au laboratoire pour retour-
ner plus tard à la clinique.
L'anatomie est sans contredit au premier rang
parmi les sciences que le physiologiste doit posséder.
Haller définissait la physiologie, l'anatomie animée.
Cependant Claude Bernard enseigne que la structure
ne révèle pas la fonction, pas plus que la forme cris-
talline ne fait connaître la nature chimique d'une
substance nouvelle.
!1 explique que ce n'est pas en réfléchissant sur la
structure du pancréas, mais en suivant les modifica-
tions de la graisse dans l'intestin, c'est-à-dire en
suivant le phénomène physiologique qu'il est arrivé à
attribuer au suc pancréatique sa valeur et au pan-
créas sa fonction.
De même, c'est en poursuivant la disparition du
sucre dans l'économie, et non pas en examinant le
tissu du foie, qu'il a déterminé l'existence et le siège
de la fonction glycogénique. Ainsi Claude Bernard
distingue avec soin dans sa méthode expérimentale
le point de vue physiologique et le point de vue ana-
tomique en même temps, il demande et obtient la
PAR ARMAND MOREAU. Ot
fondation d'une chaire d'anatomie générale au Col-
lège de France, pour montrer que l'œuvre de~ Bichat
se continue et grandit toujours.
tl puisait dans une très-longue pratique des vivi-
sections, commencée avec Magendie, les données qui
lui permettaient de juger les questions directement,
et non plus sur la foi des autres. Chez lui, toute idée
formulée s'appuyait sur un fait précis, observé par
lui-même, et qu'il rappelait quand on discutait son
opinion. La force de ses convictions avait là son
secret.
Quand il commença, le moment n'était pas venu de
chercher des lois générales dans la science des phé-
nomènes vitaux. Avant les lois, il faut des faits, il
faut des découvertes peu de savants en ont fait
d'aussi nombreuses et d'aussi belles que Claude Ber-
nard. Vous le savex et vous n'attendez pas même que
je les énumère.
Revenant sur ces idées, dans ce dernier et triste
mois de janvier, il disait, en se promettant de ne plus
s'exposer au froid du laboratoire « Je puis mainte-
nant faire des synthèses partielles et j'intéresseraiautant que par des découvertes nouvelles » puis pre-nant un exemple dans cette fonction du foie que nul
ne soupçonnait avant lui. il ajoutait « Elle est très-
importante pour montrer que la nutrition ne se fait
pas directement après la digestion commence un
autre travail c'est aux dépens des matériaux qu'elle
fournit, que se fait dans le foie et d'autres organes
l'élaboration des principes nutritifs, et tandis qu'une
alimentation exclusive eût donné lieu à un sang par-
ticulier, il arrive, par le travail des glandes, que le
CLAUDE BERNARB
~ang possède unecomposition constante. » Ainsi le
~r milieu
f~~P~ ~gan.-sme, comme
ta pelle Claude Bernard, devient le même dans lesstères des Herbivores et des Carnivores
L'union de laphysiologie et de la médecine scien-
tifique apparaîtd'une manière éclatante dans sesre-chcrches sur
l'asphyxie parla .apeur de charbon.Claude Bernard montre, en en-et, que l'oxyde de
carbone se combinant avecl'hémoglobine détruit la
faculté capitale du globule rouge, celle d'absorberl'oxygène; tous les phénomènes qui se succèdentderi-~ntdo l'action du gaz sur l'élément
anatomiqne, l'as-P'.yx.e est
expliquée. L'analyse physiologique ne peutpas aller plus loin, et dans l'action des médicaments leproblème scientifique consiste désormais à détermi-"er sur quel élément
anatomique chaque médicamentporte son action en d'autres termes
expliquer lesactions
tl~rapentiques, c'est connaître les modinca-tions des propriétés vitales que subit l'élément anato-mique atteint par le médicament.
En rattachant ainsi les questions dethérapeutiquede la manière la plus étroite à la
physiologie géné-rale, Claude Bernard a ouvert les voies à une ~orîemédicale nouvelle c'est doue justement que l'Aca-démie de médecme
revendique comme siens la plu-part des travaux de ce vaste et puissant esprit et qu'àcette heure de deuil public, elle se sent particulière-ment atteinte par la perte d'un savant médecin
Nous perdons tous uncollègue affable et bienveil-
lant, la génération qui a suivi ses leçons perd un.u.de et un ami ceux qui, comme moi, ont passé delongues heures dans l'intimité de ce maître vénéré
PAR ARMAND MOREA)'. U:t
n'oublieront jamais ces conversations attachantes
dans lesquelles, devant nous, il faisait pour ainsi dire
l'expérimentation de son génie. Impressionnable et
cependant d'une volonté forte, il ne paraissait jamais
absorbé dans ses pensées. Son visage exprimait la
méditation et l'on pouvait trouver dans ses traits fins
et beaux pendant le repos la sérénité que donne l'ha-
bitude des pensées élevées et des recherches sérieu-
ses.
Il n'essayait jamais de produire aucun effet par sa
parole, et se figurant I&s autres à son image, il pen-
sait que la recherche de ce qui est doit suffire a les
passionner comme elle le passionnait lui-même.
Mais je m'arrête. Parler de l'homme plus long-
temps c'est aller au devant d'une émotion que ne
peuvent dominer ceux qui l'ont connu et aimé.
Adieu, maître
TABLE
ALPHABÉTIQt'H ET ANALYTIQUE
D)!S MATtÈHES CONTENUES DAXS
LESŒUVRESDECLAUDEBERNARD
(tSYOU.'MES)
Par le Dr Roger DE LA COUDRAIE
Ancien interne d~s h~ptt&ui.
INDEX
DES RENVO!S DE TOMAISON
Physiologie expérimentale. Tome (t;.
Il. Physiologie expérimentale Tome U.
!U. Substances toxiques et médicamenteuses.
n Système nerveux. Tome t.
V. Système nerveux. Tome Il.
Vf. Liquides de l'organisme. Tome t.
VX.1. Liquides de l'organisme. Tome 11 (2).
Y))).(. Médecine expérimentale.
iX. Rapport sur la physiologie générale (3).
X. Tissus vivants.
Xf Pathologie expérimentale.
XH. Anesthésiques et asphyxie.
X)ft. Chaleur animale.
X)V. Diabète.
XV. Physiologie opératoire.
XVf. Phénomènes de la vie. Tome 1.
XVU. Phénomènes de la vie. Tome ff.
X\f)f. Science expérimentale.
XIX. Claude Bernard et ses œuvres.
(t) U <~[c fait ptu~ic'Jf~ tir~~f"! de ce T<)!um<* sans chan~pm~nt )a set)!<* difMfpncc
con~i'-te en cc~u", dim:<c';)'tt't'[)iitir~}:t" ic t'tr'' (4 pa~<'s)et )'ava~t-pr~tHs(t pagëN), i,
pa~iué~ en cttilfrcs romaÍusJ tve sont' pax catrrpris darrs la pa~iua!¡(Jn généraia dn vrr
tux'c et daus t't'ft~in~ jtutf's ~f'gps, Us y foot com~rci. La {)r~ct)te tubic a ~té ffutc
d'npr';i tm <'x'')nphtirt' uu f< t~re ft ati'Mt-j'rt'p'tS sont cft'pt~ tt.tt's la pagh~t'~f) ~t~
nertde ~i' p~ a~c-.sf'urs d'cuctup~i"~ d~t! tCi'tpfs le ttt'f et )a ~r<î~))f<' ne so)~ )t!t-;
cmnjfrm '.hm-i Lt [iituin.tt'M n~oG~fe de~tott duuc diminuer de S unitt~t te eh)H'<f: de ta
pa.¡;:e dc n'II\'ui. Ain!'ii, atv divu de paFr: 0, li,res page 1.
(:tj Mëtnc ot)~et'~nl)u)t tu d~fcrcnce est de 4 p~et aeuiefnCHt fïM page 5~ ~<
pii~' t.
(3) La pr~sc'ttc tahte été fmte d'après t'~d!t~'n orig'Hate, fai-!ant partie du J?<'fM''t~
de /<o .~«' j~f/t.~ t~< ~<°.t '')! ~pj[ ~cx''<t'.f f~ /'r~~t~- Paris. t~7, t'Hf'ri"
toet'n' ttnpërmte. L''j't\rM~R pubtt'6 en ~72 s'a ie tttr''d<(7/<9~~ ~<rH~, M'c~
qH'tme f6 mpte~on !nms chan'gcment; tnj~h It u'~ pas 6té p~ssibJc d'ëtat~ht- UM cottC~-
danc': de pngtuatton.
CLAUDE BERNARD. XtX. 7
TABLE£ C-. xi J.J Li
ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE
DES MATtÈRES CONTENUES DANS
LES ŒUVRES ? (MM BERNARD
ABDOMEN. Hm'ts de la section du
pneumogastrique sur les orgaucs
abdominaux. V,tt5.–Sensibitite
des ganglions. X!, 3'!8. Voy. /<Mo-
M:t!M~e (cavité) ~Adomuia/e~ (sé-
crétions), Circulution abdominale,
Ganglions de /'a&f/OMfn, A'<')-/x
a&f<omM«MJ;.
ABDOMtNALË (CAVITÉ) du chien.
X VII, 372.
ABOUMtA'ALES (SÉCRKTMKS). Xt,
265. Influence d<' la piqûre du
plancher du quatrième ventricule.
!V,463.
ABLATtttN des parties. XVI, 3Ca.
ABSOLU. Sa connaissance exigerait
pour le plus simple phétMHnèM
la connaissance de l'univers en-
tier. XVIII, M.
ARSURBANT (Pouvota) de la sur-
face interne des glandes. XV,a)t.
Sa disparition pendant le cours
detasccretion.XV,5)5.
(SYSTÈME). XV, 33a.
ABSORBANTS (V.usM:AM). Voy.t''a<Me"M.c a~~or~oM~.
ABSORt'TtMf. tH, 104 IX, f!8
XII, 65; XVII, 2i2, 361. Ex-
périences avec le curare. Ht,
M2; XV, 3G' Sa suractivité
par l'action de l'éther. III, 41'
423. Capacité du sang artè-
rie) pour t'oxygène. Vi, 282.–
Capacité du sang veineux. Vf,
282. Le système nerveuxn'exerce pas d'innueuce directe.
fX, 73. Rote du système <tcr-
veux. tX, 88 XI, 283. Ses mo-
difications exptiquent les dinë-
rences d'action des médicaments.
XI, 28. Le double courant
qui eu résulte ne se produit pasdans les vaisseaux, aussi tongtemps
que le sang circule. XI, 28i.
Au point de vue physique, c'est
un simple effet de l'endosmose.
Xf, 284. Elle est retardët'. dos
que la circulation est rati'ntie.
XI, 285. Expérience de Mapon-
die. XI, 285. Au poiut de vue
expérimental et thét'apemi~uc, il
faut qu'elle soit rapide et rou-
tière. XII, 6' Elle a tes capii-laires pour agents par exceiif'nce.
XV, 323. Ses phases succes-
sives. XV, 332, 3M. Idcf-s an-
ciennes sur ses voies. XV, 333.
Ses organes les plus essentielsont les veines. XV, 342. \ou-
velles expériences pour détermi-
ner la durée relative de ses pha-ses.XV,36'
ABSORPTtO~ DE L'ACiBK CAM
BONtQUK, par la surface cutanée
TAHLË ALPUA.BËT!QUE ET ANALYTiQUE98
<'tsf)us-cutaut''f'. XH.3ti8.-Parr
t(~rnritj('<.XVt),2:!i.
ABSOttt'T«).\ ttt;~A)n, parie
sanK.Ut.un.–P.'u'Mspirfttion
().tnsu!)nu)iruc~nnn('tt,209.
m:t.'AHU'Mtr<i)!aj<!un,Mn
pa~dnnsh'~ut'inf'n.ï.~S.
–t)KSAH')n:KTS. !7.
–J)):SA\F.STHKStQUt::S.XU,~6.
–tU'Cf'tAnE su)'div<'r's mem-
branes nt))f)U<')iSt's.))!.9M.M3,
3':8;)!8: 39:i.–Rapide dans
~t's poumons.)U,'M6.–Parte jabot.
<)('S()i!i('au\.)n,2t(').–Ptus rapide!
!'tjt'tHt.t(!.?'M. {'.u'fapMudes
jtD'nuui)])"<)),):).–Dansl'Gsto-
)<iaf.Mt)t'()('C))ith<hums.n),302.
–tn(<ESTH't.)\2. EUcostk~st
dum'autre nKtmrcquctes absorp-
tions or<)iu:tires.)X,t'K).
t'A)) L'USTUMAC. Modincations
ftpportccspfo'htspctiondosttcrfs
\a}:ncs.).–Apres tigaturc
du py~)ri'et. section d("i vagues.
\n.
t;XTE)t'H. XV. i!(i'
t)t' t'*t';R dans h' san); et sou dM-
mi)U)tiot).\),~8.
t)t;s <4X. )\, fi!). Action df
)'o\yded''t':u'))on<))),m.–
D:)tis ta san~. \'). 98j. H~péricn-
<-cs.X\t(!).
t'AH t~tS <,t.AKHES. Il, t08
X)).nt;Y)f,M<).
x~S <:t~'C<tSES de l'intestin.
xn.a.
))t: mYOKOCKNE SULFURÉ.
XV.~G:
t~T<;STt)fAf.t!. t, !M XIV, 42t.
–t)t:L'nn)Hp!n'iosf;)andcs.n,tU.
))ES tJQt;!nt;S. !X, ~); XV, 3M.
«ES MATtÈRES At.BUM!?)Ot-
D):<.)t.MS;fX.)9S.
n!:S MATtKKKS GMASSES OU
tU:S (iKAtSSES. X, 30.'), 3M
JH.iM.–Hypoth&sfsaHatomi-
<)))< chimiques Ht physioto~iquet.)),<?.–Han'4)csqu~troc)asMs
<))' vert6hrRs. !). :!)<). Chez tes
f.i~.au\.)),:i!i,i:i4.
))) S MATtÈKt:S St'CKKHS !X,
)i)8. \oy. /t&.<o'y<t0t) ~M sMefe.
ABSOR!'T!OX DES MEMtCA-
ME~iTS. XH, MO. 9'tt. Ses va*
)'ia)i()nt.X),4!2.-Sareg)emen-
ta.tiou.XL'tt:
t'AK LA ME~tBhA~t; MU-
QU)USK STOMACAH! Voy. Ab-
M''p<)f)7t p<:t' <M<cntac.
t'Att LES MKMBRA~ES MU-
QUHUSES. tH, fi).
tH! LA Mt)tU'tt).\E t'a)' la sur-
face dos mombrancs séreuses et la
surface pulmonaire, XU. n8.
OE t/OXYUE D): CAKBOrtË.
XU,'}39. Parte san~, inuucnM
surj'absot'ptiond'oxygcfieetstju'
re!t))!t~tti(.)n([esau)rf's~ai'nf,tC9.
M'OXYHEK)' i'ar h' sang qui a
subi)'action()oi'axyd~t]ccarb{)M.
ttt. )(!i). innucncc (h; t'oxyde de
carbone absorbj par te sang. Ht,
)69. Pac le sang, action du sys-
tème nerveux. Vt, 984. ExpH-
cations d'observations anciennes.
VI, 28a. tunucacn de la diges-
tion. VI, 285. tt)f)u):[)cc de )'6tat
d'hibernation. V), 38.'). Par le
sang. après ta scct[«t) f)u nerf sym-
pathi'juc au cou <tu chM'a). VI,
3.'t6. Par le sang rougt* de la
\Hino r6natf, apK't scctton de ta
moelle cputi~rf. \i, 3(i!. Par la
lymphe, te chyle et le sang. VII,<2t. L'oxyde de carbone s'y op-
pose. XJI, 3')).
nES t'0)SO.\S. !tt. 48 [X, T:, t97.
Par !t mombrane muquauM pul-
monaire. III, 48, <if.–R6)c des cils
vibratiles. H), f'2. Par la surface
pulmonaire, tott acth'itc extraor-
dinaire. XI, 9i. Eito peut être
empêchée partatigature des vais-
seau\. Xt, 28f). Ello est a!np&-
ch~c par la galvanisation des nerfs.
XI, 28f!. Le poison n'agit pas,
si le phénomène de l'absorption
est baiancA par celui de l'ciimina-
tiou. XU, 8&.
DES PKOmjtTS Ht: LA DtGES-
TtO~f. !2.
MU t'XUSStAT): t)E POTASSE
Partesgtandcs. Il, Il 1.
MHS SUDMES. XV, :t(;5.
DES ŒUVRES DE CLAUDE CERNA iif). 39
Vn,G:).–Ette t'ait refroidir t'o-
reiHedestapins. diminuer la rM-
pir:ttinn.au!:)ncnt)'r).icircu)ation
tympttatique. Vtt. (;),().–Ktto
fait passe)'ta matier"d''ta hita
dans t'urine. \')).7. Luree
moi!)s abondante dans torinoda
M<).tvM est un sinnn, non d'absti-
nence, mais de de)~un'i)ion.).
'!).n<tuenccsurtasensibitité
des nerfs. \i),'Mi.–Sesoiïcts
sur les urim's. XtV, ')). Son :n-
nuence sur ):t présence du sucra
dans te sang. X)\, tt' Son in-
Ouencc sur la t:M!nn;. XtV, 4t2-
ACA[,t:fHHS.XV,:)").
ACAME ttK LA UALE. Vti), :5;
X), .<
ACCELEKATEfKS .XEKts). Voy-
A'~t'f a''jcf*/<)'f/<ft«'
ACCUS Ht'tLE)'HtUHMKS, pro-
ductioo artiticie))c. Xt. ï'Mi.
UH t''tt:VtH-ctudo doia ct!.t[co.r
pendant ses pehodos successives.
Xj!t, 408.
ACCtUË~rs OnKmtGtCAUX d
t'ivisoctions. XY, ~8.
COKVULStFa. \oy. C07!UM&'t/'
~accidents).
ACK'rtQUH (A<:H)E). Son excès nui-
sibto dans t'anatyse du sang. Vt,
~n8. Pour retarder ia destruction
du sucre dans le sau~. XtV, 209-
AC!UKS. Détruisent le curare, Ht,
'!(!), 2f:2, 9ti: L'urée ne se
combine pas avec eux. \'H, 43.
Leur action contparatiyo sur ta
matière gtycogcnc et tamidon~
VU, t2K. Action sur tes mouve-
ments vibratiles. X, )47. Voy.
~M/U~, /<C'<!Ot</</< Cot'&OMXyhC,
Cf/<)/t.,t/f/)<c, T''0;'M;~Mf, /)'U!~
act<<M, (jM~<)'!<yM~. ~t~Mf~Mf,
/~ac<f'/M'?, Af~/t~M, ~MC;Me, ~j:a-
f/«'M:~M(', ~Ao'tOt'!f/M<
PrM.<~i~«f~~t/t'('«yMp,H€ac<iOttt
nC;dM, Sa<tt't~Mt', t)t<<<~f/<C,
?<!)'<)~i;C, (/t't<<
ACt)nm:ATtt<~< des graisses. U,
2.')' K\periences à ce sujet. M,
2a'Des urines chez ies herbivo-
res par un mitieu oxygène, ni, t30.
ADSORPTION DES SUBSTANCES
Ai iMKKTAtRES Rois de t'appa-
reil chylifère, )!)().
Dt:S SUBSTANCES TOX!QUKS
Yov. ~0)Y~tO?i f<M ~OMO.
t)U SUCHE Il, 32t. A jeun,
produit urino sucrée, I, f!G.
Par l'intestin. nu. Voy..4~or~-
<t0)t des mn<tf'e. .sxo'cM.
t'AM LA SURFACE GASTRO-
tP<'t')';STtSALE. son inndetite.
Xt!, <?.
PAR LA SURFACE fULMO
NAtttt: Xi!, '!2.
i'AR LES SURFACES EX-
TEXTES ET t~TEKKKS. XV. :K4.
PAU LES St RFACKSCLAK~L
LAtKES.[),«)S:XH.]'?; VU,t<).
t'Att LES SUMtACES SKREU
SES. Xtf, 7).1.
FAR LE TISSU CELLULAIIIE.
I, ~!). Sous-cutat~. Xff, f;!).
rAR LES VEtKËS. XV, :149.
AttS'n~E~CE. V!H, 2)3; IX, <)8;
XI, 9<i. Le sang n'est sucré que
du foie au poumon. tt4. Son
innu';MC<' sur la fonction gjycogc-
nique. )3C. Elle fait dispa-
raifrc le sucre dans !e foie. ), i~H.
Son innu<;nce sur la production
du .stto-c. ), )~t8. Innuence sur
le sang. III, j(~. tuuueuce sur
les gaz du saug. III, Ht. In-
nucnce sur j'oxygenf. Ht, )12.
Ktte rend l'absorption du curAre
plus facile. )[f. 2:)i, 30: Elle
fait diminuer le liquide ccphato-
rxchidipu. IV, )m. Mouvements
r6ut'\M, tV, 3<!3. Son influence
sur la reaction de la sueur. VJ, :!?.
Elle diminue la quantité du
sang. VI, 4'!t. Elle donne )'urinc
normale. VII, )3. Elle augmente
t'uree dans t'urine. VU, ); Elle
contrebatance t'atimentation dans
son in<!uencn sur la composition
des urines. VII, 20, 21. Elle
modifie la réaction de l'urine, eap.
Vt), 2~. Elle la rend acide. VU.2&. Crines visqueuses, VU, 2.i,
30, 73. Elle fait dispara!tre f'acide
hippurique chez les herbivores.
TABLE AU'HABËHQUE ET ANALYT!QUEf00
AC'MTE nu SUC tiASTKiQUE
neutratispo par les liquides atca-
lins. XV, f'().–Cen'est pas un
fait primitif, c'est te résultat d'une
modification de la sécrétion. XVH,
28!).
ï)EL't'R!?<E diminuée par l'in-
jec<iond'eaudans)esang.VH,2'
Produite par l'abstinence. VU,
25, 2C.
AC~tSTtQUE(KEM). Voy. A'f'y
f)CO!M<t~MC.ACTE fUGËSTtF. Voy. n;</M~
NEKVHUX. Yoy. N'rMMj; (acte).
PULMONA!RE. Voy. ~M/MtO)Mtn?
(Mte).
nESt'mATOtRE. Yoy. JtM~f'-a-
<OH'c (acte).
SAUVAtRK.Yoy. Saift'a))'c(acte).
STOMACAL. Voy. S~om<M<~
(acte).
YtVtFtQUE do Staht. XVII,
42ti.ACHNOt'HRYS. XVII, '!<
ACTION. C'est le but d<s sciences
expérimentâtes.tX,):M;X).458;
XVH.SM.–Rendue possiMe par
Je dans les sciences
expérimentâtes. XVI, !9- La
physiologie la vise. XVU, 395.
Ette n'est posMMc que sur et par
la matière. XVII, 399.
–ASESTMÉStQtJE. Voy.es~-
sique (action).
CATALYTIQUE. Yoy. Catalyti-
que (action).
CEREBKALE. Voy. CtMAra/f
(action).
Kt't.UROPMYLHEKKH voy.
Chlorophyllienne (action).
MtGESTtVE. Voy. Digestive (ac-
tion).
MUSCULAIRE. Yoy. ~MiiCK~trp
(action;.
TttERAPEUTtQUE. Voy. rA'')-a-
peu<t?Me (action).
ACTIONS CtUM'QUES do l'orga-
nisme. Des phénomènes de fer-
mentation y donnent ticu.t,263.
Influence des nerfs. IV, 480.
Dans le sang. VI, 4M. Des nerfs.
XI, 245. Secrétaires. XI, 273.
ACT'OKS EXTKA ORt.AtitQ~ES,
etintra-organit)ues.Xt,43f).
MEntCAMEKTEt SES Voy. Jf<i-
f!!cam.<'7!<f:M<'x (actions).
Mt~ERALES Voy. ~a~
actions').
MOKBtMES Yoy. ;i/or6t'</< (ac-
tions).
MOTtUCES. Yoy. A~t'eejf (ac-
tions).
NERVEUSES. Voy. JVo'tx'MMS
(actions).
PHYStCO CtHMtQt ES X, 84.
–Cciiesquircg!ent)';sj)heno-
njene!! de la vie rentrent dans tes
lois de la physique et de la chimie
générâtes.fX,4.
PMYStOLOGtQt'ES. Elles SOM
)f'!}m6mGsch('zrho<nmcctchez
los animaux. XH, f)t8.
PfnGATtVES. Voy. PM'~a<:u<s
(actions).
KEFLEXES. XV, 542 XYHt, 3~.
–Hiics sont entêtées par la des-
truction des gangtions intervertc-
braux, sans empêcher la trans-
mission de la douieuf. V, 5Si).
Leur contre est dans la substance
grise. X, 3t!i. Leur centre mo-
dérateur. X, 343, 3j'i. Leur cen-
tre do production est d'ordinaire
dans i'axecerebro-spiuai.X, 343.
Le ganglion du grand sympa-
thique peut en être te centre. X,
344. Influence para)yMnte du
cerveau. X, 354.–Diverses es-
pèces. X, 356. Du nerf lingual.
X, 36). Sur la glande sous-ma-
xittaire. X, ML –Du grand
sympathique.X,M3.–Croisées
et uou croisées. X, 3(!4. Des
narfa vaso-moteurs. X, 36S.
Leur part dans les fonctions do la
vie organique. X, 380. Leur
rute dans la digestion. X,38).
Qui produisent la sécrétion sali-
vaire. X, 38L Leur influence
sur les s<5cr6tions. X, 383. Elles
produisent les phénomènes mé-
caniques de la digestion, de même
que tes sécrétions digestiv<;s. X,
38' Elles sont de df'u\ genres,
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERN.U<D. !<~
Tles unes prnduis.int ]a contraction
d'un muscie.ics autres son rf'tâ-
c))emcnt.X.39t.–Leurintluencc
paralysante sur te cœur. X, ML
Sur les mouvements respiratoires.
X,M2.Divers centres.X,403.–
Provoquées par la strychnine. XI,
111.Leurmécnnisme. XI,209.-
Innuence déjà morphine.XIL2)9.
Thermique. XUL 239, 29~
(cardiaque. X)n,2fi9.–Incons-
ciente. XHt,2'!t. Paralysante.
XHÏ, 3t(!. EUes modiHent )es
hattements cardiaques. XIII, 252.
Elles provoquent la caioriHca-
tion. X])t, 395. Dans te grand
sympathique, importance du rù)e
de la sensibilité comme poiut de
départ. XIII, :!07. Du cœur,
elles accompagnent toujours les
sentiments. XVIII, 360. Voy. Cen-
<fM f<'ttc<tOM t'p/!e~'e.
ACTIONS SKKStTtYES. Voy. Sc't
sitives (actions).
TOXIQUES. Voy. Toxiques (ac-
tions).
VASO-MOTtUCES. Voy. VaM-
!?:o/r!'MS (actions).
VITALES. Leurs manifestations
extérieures sous la dépendance
d'une action nerveuse. XI, 45.
Deux types. XVI, 347.
ACTIVITÉ CELLULAIRE. XVI,
368.
CÉRÉBRALE. Source de cha-
leur. XIII, )64.
FONCTtOKKELLE. Son rapport
avec l'activité des phenomèucs
de désassimilation en généra).
XtV,3<i3.–Sa mesure. XVII, 222.
DE LA MATtEHE. XV! 432.
MUSCULAtKE. Son augmenta-
tion est l'une dos causes principa-
les qui développent la sensibilité
de certaines régions du corps. XI,
i68.
NERVEUSE. Source de chaleur.
Xtt!,t64.
ttESORCAKES. Influence de cet
étatsurtacha[eur.xm,]38.
ADEXO-MÉKt~CËE (F)ÈYRE). Voy.Fièvre.
ADH'OCELULEfX (T)ssr La-
n*e))e qui recouvre le vaisseau,sa
section. X\,ÏGt.
AERAt'ox (condition extrinsèque
detavie.XVH,!).
AEROBU:s.X\)f,l(),)8.').
At ) A)BHSSEME?<T, c'est une pré-
disposition contre t'asphyxie. IIf,11 Fait varier l'effet des poi-
sons. Uf, )20. Proportion plus
faihle d'oxygène dans le sang. VI,
389.
AtFt CTtOKS. XI, 324.
GE~EMALES. XI, 91.
LOCALES. Ce no sont pas de
vraies maladies. XI, 92. Elles
doivent emprunter le secours des
vaisseaux ou des nerfs pour deve-
nir générâtes. XI, 9!.
XEhVEUSES sensitives et mo-
trices. XI, 227.
AFEtKtTE. X\H, 4C2.
CtUMtQt'E. VIH, a~.
ÉLECTtVt; des glandes salivaires.
V, 5)4.–Démontrée par faction
du phosphore, de l'éther, etc. Xf,
T!. Des agents médicamenteux
sur les organes maiades. XI, 216.
AGE. Influence sur la sécrétion du
sucre. t, tMT. Influence sur ta
glycogène. J, !!)!). Influence sur
l'oxygène. III, 112. Influence
sur la couleur du sang. VI, 255.
Modifie les manifestations de
tavie.V!)),2tt.AGENTS. Ceux qui excitent les pro-
priétés de la matière inerte, exer-
cent aussi leur influence sur les
propriétés do la matière organi-
que.xvm.~t.
CHtMtQUES qui produisent la
maiadio dans ]e corps vivant. XI,
33. Des phénomènes fonction-
nels de l'organisme. XVII, 487.
D'organisation chez les êtres
vivants. XVII, 5t7. De la chimie
vitale. XVII, 524.
DIGESTIFS. Voy. D!~M<t-.
EXTERtEURS. Leur impression.
XVI, 285.
MEUtCÀMEKTEUX. Voy. Médi-
MMe?!<eK.E(agents).
TARLE ALDtABËTtQUE ET ANAf.YHQtJHM2
AGENTS MftRMFtQUES. Voy. Vc"
tt~M~U~t'Uts).
–T<)Xt<.HJt:S.f)y.ro.'<*t'<yMM'tgN)ts).
AC~ËAIL Moyens ()o te maintenir.
XV.!N. t.
ACOJ«K. K))o (ai! disparaître te su-
CK'du foie.MM).
AMtJtt.LHS.XV.9M.
TtU:t)MO K~ECTtUQUES XIH,
JM; XV, t64. Graduation. XV,
4'):Piquantes,XV,4'!3.
A'MAKTATtOK XV, 'H.
AtME)tdctoutsoncœur,XV))),
36~.
AtKE. Voy. P~'t (ie l'aine et Trais-
XmM.f~M~f/e<'f!MC.
AIR. Son absorption parto sang.iïf,
)<)'Ëpuispmentdct'oxygÈno
pM'b respiration. t)f,H5.–
Qnantited'oxonoqn'itronfermp.
fft,ti5.- n.ins)e<'<t'ttr,<'om)'tt('nt
i)am('nf'ta.m()t't.!n,t(!i.–Sa
diminnti<)r)f)(Mn(!)'t)nima)rctpi)'c
d.')ns un mitiout'fouine. III, 203.
Absorption p!);' respiration dans
unmitieuconnnë.Ut.ïO:A A
son contact t'acide pyrog<tUit)UC dé-
truittc!4~)obutos<.tusM){{,n),2'
–Asphyxie par suppression ou pri-
fatiood'fti<t)!,230;X)t,~(i<).–
Sa suppression par obstruction de
t.ttrM)~(t.!n,23). –fnsum~
dans les poumons. !fr, !!74, S84.
La vésicule du net s'en in<!itre. Vt,
35. Son altération au contact
du sang. V!, 3a6 à aMa. Em-
ployé pour déplacer l'acide cat'-
bonique du sang. Vt, 356. Ger-
mcs<)rt;auique')((n'i)ff))i)'nit.Vt,
'i87.–Principes organiques. V),
488. Son contact est nécessaire
pour ta formation du PaniciUmn
t;)aucum.Vt,'489.–Soninnuonce
sur la fermentation ~tycosifjue des
muscles du foenis do veau. VU, t3'4.
–Actiondetatymphosurse.'ia)-
tcrations. VH, 421. Son contact
attÈre le chytc. VII, 420. L'as-
phyxie par privation d'air ontratne
une élévation passagère de la te<n-
pérature animale. Xnf,)9;'<
Nécessaire à la vie de tous les
ctros; Mjuhmt vitiB. V! 9f)f);
XVi!,it).–Sa t'iciatton paries
poisons. IX, 47. A)té)'e (tivt-r-n)-
ment par )<~ animaux et tes végé-
taux. IX, ih'). Comme condition
des phénomènes vitaux, X, '4t.–
f!(t()it&)'o\yKonc ses propriétés
comme milieu propre & entretenir
la fie. X, -43. Ancienne théorie
de sa raréfaction dans t'asphyxia
par la vapeur du charbon. X!f,
;!A8. 8a composition dans une
fournaise contenant du charbon en
tgnitiou. Xt!, 3'!4. Sa f'dation
par la combustion du charbon.
XH, 379. Injections sotts-cuta-
nCos.XV,2!< –!t).)ectionsveiHfu-
ses,XV,920.–Kxpariaocessur
son i<]<!uencc dans la vie latento.
xy!SanMc~!te.XYU,t.')).
U va au-devant de la cellule.
XY]), ni). Lacetiutc so dephce
pour venir à son contact. XVU,
tf9.
Altt COMfKtME. XIV, 440; XVII,
t95.
COKFtNtS. Asphyxie. !)), t2.').
Voy. /is/)Ay.t'j<' ~ar <'at'' <'OM/<~t',
~<Mo~p/<e''econ/)~, Milieu eoH-
/!n('.
DEt'm-OCtSTtQUÉ XV! !53.
t'tXE. XV! <ft.
FRA<S. Son action sur fa peau
dans XII, 482.dans l'asphyxie, Xft,482.
dans lat~St'tRË. )) difainuo dans la
na'ne apr&s section des YMuet
(chien). V, &M. !) diminue dans
)a narine chez le cheval après sec-
tion du sympathitjue. Yt, 93&.
Influence do sa température sur
)atG[ap6ratur('duMng,X)H,!)8.
MKPtUTtQUE. H!, t20.
t)U NHHEU tSTKRtËUR tX,
4t.
RARÉFtÉ. XVt. tM.
MSt'tRABLK. Ht, <05 )20.
RESt'tRE. Sa viciMion. XVB, )<!2.
VtCtË. Action du froid. XVH,
t6S.
AtMECERMt~ATtVE. XVI, 319.
A JEUfV. La bifc est en plus grande
quantité. I, 102. Coagulabitité
DES OEUVRES DE CLAUDE BERNARD. i03
plus grande <ht sang. VJ, fj.
Le sang est te sang type. Vt,
~M.–Touste'. animaux senonr-
rissentdevi:tnd(!;etp.doC.).t'r-
nard.VtU,2(!Lasensibititc
des pneumo-gastriqucs disparaît.
X!,t<!5.Voy.t<H<;nM.
ALBERT t,E t.HA~n. XVH, t)6.
A)LBUM!~K.20';XV)t,2~
Soninnm'nc''sm'tafot'mationdu
sucre dans le fuie comparée il
i'!H<!MC!)C<' de la graisse, de ta ~e-
~tinf-, de la fccuie, t3G, t:
Son!U)!i[)''pnonajeunp)'oduit)'u-
rine albujTtineuse. [, n5. Dans
l'urine des diabctiqttps. 439.
P&sMgedanst'urit)c.n!,45;Vt),
t38~t~EU<estcomhi!)CO
dans)<)sanj.;aYGct<i{ibru)c.)n,
45 Vf, -tM. Action du carbonate
de soudo sur t'atbuminc du sang.
Vt,43C.–Anatngieavcc[a<i))t-inc.
VI, -)5i. Hi)c no passe pas nor-
matemcntdanstessccrCt.i.ons.V!,
t;)' Son rutc physique. Vf, iM.
–Son état dans tosan~ vivant.
Vt,4(!(!;Vtt,M8; iX,C2;XU,
2' *-Scsvanctas.Yf,iC'
EHo se forme dans le foie ta\'e.
VII, !3G. Ingestion dans i'esto-
mac.VU, )<(:Dans les veines.
Vit, t-t7. Ëliminée par la bile.
\t.2[0.–Son passage dans ta bite
par injection d'eau dans te sang.
YH.Xtt.–Passo dans le sang,
après injection d'eau dans le sang.
VII, Ïtt. Dans le lait. VU. M8,
24).–Dupancréasctdettsa.-
live. VII, 3')2. Injection dans le
sang. VII, 4CS. Injectée dans le
tissu cctiutaire, tes poumons ou tes
séreuses, et retrouvée dans t'e\-
crétion urinairo. IX, t')T. Pour
la culture du gtycogÈne. XIV, 'iHS.
De t'oeuf desséchée. XVI, 99.
Action du sur gastrique. XVII, 2').').
ALBUMtKE PEfTOKË. XV)), 'M~.
ALBU~HKEtJSE (NÉPHRITE). Voy. A'f-
~A'')<<
(UtUKE'). Voy. Urine aMtfnitHCMiif.
ALBUMtKEtJX (FEMEXT). Voy. Fer-MM< n/6xHt!'ffeM-C.
~),B~"m\0!t)t:S t.x.jnoHs.neve-
toppemetX des ce)h))es~r~ani-
f)U''<t.'J~i.
–tM.tT!ÈRESO):S~t)'iTA'<Ct:s.\Yn.
4M.–KUessnntpreeipit~'f.spar
le charbon, t.<:). –L.tsahv')
n'a pas d'actions)!)' c)ies. fi.)45.–Dans)''suc panrr~aiifjuf.!t,9:M.– Ahswpti~n.i).
)X,):)8.–Eth's si-tonnent d.tna
)efoif'aprt".)an)f)rt.Vt).m.–
Leur fo'matioti (tans )~t'f)if)an'f'
\t, ):):Daus le sang. \H,
27. L~ur cumhinaisottavec
rh)-dMtc()'!ch)ftra).XH,:i)'2.–
Ëtiminccst)ans!e sang parte
sulfate dpsomL')\, ):)~.
Leur syn(he')C. \\), 20' Leur
t'ermcntdi~cstift)ansh's;u)intau'<.
et les \'e!ëtan\VU.:i;,0. :).').
–Action(iusuf~!)'.tri(j)n'VH,
2!!5, 30~. Leur dt~~tj.)n. \VH,
~t't)an'l'œnf.U,;)~i.V~y.
-'th'tf!e?i<S.<'<)ft!'t!oMf'F<'rWf)if.!
<)/&t<Mtnoi'deir, .S'/)t<Aë.e<t/«Hi-
KOt~t;.
t'KOTÉtQCES. \\U, 2~.
ALMUMtKOSE. tf. 42) ~), i.S;
X\),2iJK!,M'J.
AUtUMt~OStQO! ~rERME~'r~. V~y.·.
f'ermfn< a~)tM!Oiiif/M'
At.BtJMMURtK aruf)cn'))(!. t, :!i7.
Importance do ht lésion du
rein. VU, 7!). –oni-ymptoma-
tiquû d'une an'eftion des reins.
VU, )'i).–Par injpctmn d'eaudans tes veines et Yariatiun sous
cett.einnuence<]e)a<]uantttcdes
sets.YH,t43.–De!ci'mincepar
certMnestésionsduquatriemcYen-
tricu!e.X),2C;t.
ALBUMtNUm~CES. Le passage des
odeurs de t'asperge et de t esscnc'j
de térébenthine dans i'nrine n'a
pas Ueu.vn.2t3.
ALCAHKES (SÈcnHTM~'s\ Vuy. <;<
ct'~toft~a'~ea~'Hf'
ALCAUXtTÉ du sang. Xtf, 24.
ALCAH~fS dans )e traitement du
diabète. X(V,4;)' –Leurin-
Suence sur la sécrétion ~astriqua.
XV, 570. ))s ueutra)iscnt i'aci.
TABLEALPHABÉTIQUEET ANALYTIQUEiOt
dite du suc gastrique.XV, 510.
Voy. C<u'Ao?M<M c/co~t'M, C/~o-
7'K<'<'t'~i'('<9'/M~.At.CAt.tS. Leur injection dans )o
sang. 9)9. Ett-ce t'atcaii
dus.<)ngfiui()f'tru!t)esucre.L J,
24. Dctruitpnt )o curare. J)),
M), M9, 963. Servant à l'ana-
)ysp dt's gaz du sattg. V), 3f8.
Attinnsurtesntouvemcntsvihra-
ti)cs.X,)t'tts<)(''cotn))osent
l'hydl'ate de chloral. XII, 300,
CAt'STtQUES. Leur influence sur
le sucre. 40.
ALCALOtOES. Leur emploi pourune thorapoutiquo exacte ot pré-
cise. XI[, 8).
ttH L'optuiM. xn, tc<, n).Leurs en'Gta. Xtf,n-t.– Leur
mode (t'admini'itt'ation. XII, )7-4.
–Oi')tit)ctMt)(!c)et!spcoprif''të!)
hypnotiques, toxiques et convuisi-
vantf'$. X)), )!)),5t3. –Leur
c)assi<it'atjon tc)on J'~nergio de
leurs propriétés. XH, <92. Leur
emploi comme moyen da contc!]-
tion dans les expériences. X!
!9t XV. H9. Hochcrchcs axpc-rtmeuta)<'s. XII, 504. Propres
sop<'rinf(ues.X!t,505.
At.COOL. Accidents qui suivent sa
production dans le système eircu*
latoire. t, 246. H retarde l'é-
cout<'mGntde!!)iquides.HI,t<
Son action sur les sécrétions
'nte*t'na!e* cfn]p&ë<' & ceHe (la
!'<;(!)er. !)f, <!9 & 426. Son ac-
tion sur le tissu des glandes. jn,
433. Sou action sur ioa s~o'c-
tionsintf)'nesctparticu)iè)'emf'nt
sur )a sécrétion sucrée du foie.
tH,435.–Sa!Synth&XVÎ,3!)2.
POTASSÉ. La matière gtycog&no
n'y est pas soluble. X~ 497.
AMOOLtQt'E (FEBMENT Ct~'ERMES-
TATMK). Voy. fM-Men< alcoolique,
f<'f'm~!<a<tOM alcoolique.ALOEHYRE TRtCHLORE Xtt
299.
ALEURONE. XV!f, )M.
ALGtDtTH. Rôle du grand sympa-
thique. XHL 307.
ALGUES. AnthernMhJet des. XVf,
M6.–Zoosporesdcs. XV{,M~
A~tEXATtOM MEXTAM. XVIII,«X).
AUMEKTXVft, 272. L'instinct
des animaux so rapporte soule-
n]ent&Mspropt'iétesp))yM<]uoa.
Il, 23: XV![, 25' Action du
suc gastrique. )t. 400. Action
réciproque da FaUtnent sur t'ati-
ment. H, 4t4. Sa définition. UI,
38. Urine suivant t'aUmcnt. V!t~
t8. Sin vue ou sa prëMnee dans
la boache provoque la sécrétion sa-
)iv!nre.Vtf,253;fX,89.–Renferme
dans le milieu intra-organique. IX,
42. Digéré et absorbé, il ne va
pas immédiatement so fixer sur )as
tissus ou au sein des organes. IX,
')'?.–Comme condition de la vie.X,
48. Résistance à sa privation. X,
4!). Comparé aux médicaments
et aux poisons. XI, 71. Le sucre
en vient-il toujours. XtV, 159.
Quantit''idGS!tti\'<'<jui)'imprA-
gno. XV, &54. Son évolution
chimique. XVII, 90. Classifica-
tion de Liebig. XVII, )29. M-
~rt!. XV!), 135. Préhension.
XVII, 252. Modification!! chi-
miques. XVII, 255. Sa forme
physique. XV!t,X56,2H.–Sit
division physiologique. XVII, 275.
-TMohe de la putréfaction. XV![,
260. Théorie de Ja ccction. XVtL
260. Théorie de la formentt-
tion. XVn, 26). Dénnition par
l'évolution qu'il auit dans l'orga-
nisme. XVH, 273. Cinq classes.
XVII, 275. Leur identité. XVt~
32A. Leur digestion. XVII, 332.
Leur évolution. XVII, 3C'
Variétés de i'évotution chimique.
XVII, 367. Modincations dans
le foie et le poumon. XV~, 369.
Leur rôle secondaire. XVH,
520. Leur action excitante.
XVII, 521. Leur action sur t'M-
tomac, sans que nous en ayons
conscience. XVIJf,22). Voy. Equi-
/;A''a<fOM a/fM~ai~.
DES OEUVRES M CLACDE MttXARD. )05
AUMENT ALftUMtXOiDE Leur di-
ge',tion.XVtf,3!G.
Leur
cli-
gestion. Xl`II 326.
–AMYt.ACÉ.XVtt.278.
AXOTE XVft, 27(!.
FECCtLEKT. XtV, 4T!. Sa di-
gestion. XVH.3M.Voy. ~~)MM-
<a<t'ot: /<'CM~ri/< F~cM/fM<M (ma-
tières),F~cu~?!<f!.
(iRAS XVII, 280. Son cvotu-
tion dans l'organisme. XVII, 3).
Sa digestion. XVII, 3M.
–Mt~ÉRAL. XVH,8t.
PLASTtQUE. XVH, 129.
SE aSSKRVE. XtV, 4:;6.
RESP.RATOtRE. VU), 281 XVt!,129.
SUCHÉ. XV)!, 279. Sa diges-tion. XVII, MC. Action sur le
foie. XV!f, 3~i. Pouvoir gly-
cog~niquc. XVII, 3' 1.
AUMEKTt'AtREiBoL). Voy. Bol.
(CAfAL). Pendant la digestion. !f.454.
–(GLYCÉtHE).Voy. G~c<'mtea/M''M<a!tf.
(GLYCOSURIE). Voy. G~OSM~'M S~t-
me7!~a!re.
ALïMEKTAtKES (PmxMpEs). Leur
unité dans les animaux et les vé-
gétaux. XVU, 322.
AUMENTATtOK. Son influenco sur
la production du sucre, f, 94, t36,t63. Son influence sur la fonc-
tion glycogénique. t, 143; YH,H8.
Le sucre qui en provient ne
passe pas à cet état dans !& circu-
tation générale. t, )56. La gly-
cogene du foie en est indépen-dante. 1, ).')'?.– Son influence chez
les oies qu'on engraisse. 165.
Son action sur la réaction do l'urine.
VU, 18. Non azotée, elle fait va-
herta réaction de i'urineseutement
si elle est en excès. VII, 20. Exp.
Vit, 21. L'acide hippurique enn
provient-il? V!t, C3. Ses acci-
dents n'ont rien de commun avec
la fonctionglycogénique. VII, 117.
Elle est intermittente, !X, 98.
Son influence sur la présence du
sucre dans le sang. XIV, 210.
Son influence sur la formation de
matière ~)ycoj;(mcd.ins~f.,if.
X!V, 308. La glycémie norm.iio
<'ncstind(''pend.tntf'dat)s tnntf's
les espt'Cf'sanimajns. XfV. ;)!).
La~tycemifpathtjto~iquf'fncst-f'Hc indépendante? XfV. 423.–
Snninf)u<'nccsur)edia)M''tR.X!V492. Ses rapports avec la ~)yco-
g~ncse. XtV, 50!). De sp<i varic-
tés, on ne saurait déduire aumne
diH'erenM de nutrition essentielle.
XVtn, :!XC. Voy. NoMt-ri/M~.
AJUMt~TATtOK AZOTEH. ï, t4R.
DHSOtABËTtQUES. Xt\, ;T).
RES ELEMENTS. Le sang vei-
neux lui est destiné. )X, J88.
FECULENTE. J. t4!). Voy.)/m<')~ féculent, Fcctt/f~/M (ma-
tièrps'),f;'eK/<'yi/j,
A LA GELAT!~E. XVM. 128.
-GRAtSSEUSK. f, fi. t!tatd"s
urines, VH. 90. Elle donne des
urioc'! variées. V!),!M.
–I~SUFFtSAKTE. tX, 98.
SUCMEE. t49. Sang chy-
)eux,L)(i2.
ALLAtTEME~iT. Réaction de i'u-
rine.VH,2i,.
ALLAKTOiDE. Présence du surre
L40a.
AH.A?<TO)DtE?! (LtoonE). Vn, 'i09.
!) contient du sucre. L 405.
ALLURES acquises par l'éducation,se transmettant par hérédité. IX,2)0.
AMERAT!<Mi ANATOM!QHE Ses
rapports avec la tosionvitato.XI,147.
MORBIDE. Est-elle la cause ou
l'effet des ma!adies. XI, 101.
NERVEUSE. Voy. A'erttfKs<- (at-teration).
AME. XI, Cl.
ARCXtTECTOXtQUR X\ [r, 496.
DIRECTRICE. XVU. 415, 425.
PHYSIOLOGIQUE. IX, 3, 133;
XI, )2R; x[n,e; xvi, 48; XVIII,
111, 163.
)'E SAINT THOMAS D'AQUIN.
XVL 389.
Ua.[VE~SEL)LE. XV!), 403.
AMtBES. X, [54 XVU, 244. Vë-
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTiQUE!M
AMt'KKE Les quatre périodes de
)'f!is<oired'unesci8nc<X!,f!.
AMt'OtLH RE VAfER JI, ]M,
186.
AMP~TAT!0?< Elle arrête les effets
du curare. XVtH,3M.
AMPUTÉS. Voy. JMo!on.
AMYGnAH?i)! XU[, 3:tt XVff. M3.
Et emutsmc, injection dans )o
sang, rcaction. U), &? Vt, 487.
Formation du sucre. V)!, ~7:i.
tnjectio!) dans les veines. fX, t8F).
Aciion de t'emutsinc. XI, 74.
E))e tburnit de la ntycose sous
t'inftuence de t'~mutsino. XVII,
tM.
AMYLACHK (DESTtHJCTMK). Voy.
D«!«f<;0!
(M~TiÊKf;). XVn, 50. Animale.
tX, 203. Ses sources. X.V)[,)'ÏC.
(SvNTHRSE). Voy. St/M!AfM.
AMYLACKs (AuMENTs). Voy. ~<
ments nM!<!C~.AMYLOtOE (MATŒRE). Elle pré-
existe ~u suera dans )o foie. Vff,t[:j. Sa production dans ie
l'oie. XI, 330. Ses métamorpho-
ses dans l'organisme. Xt, 3!}t).
APfAËttOBIES.XVH, 10, 185.
ANALGt'StH. V, 10.
ANALOGIES AKATOMtQURS Elles
ne peuvent supp~or à l'expéri-
mentation physioiogique. XV, 292.
AKALTSE. Xt, ~97. Voy. AM~odf
an~M<
CHtMtQtJE. XI, 530.
EXPËmMENTALE. V[U, tM.
Des phénomènes. XI, 493.
Portée jusque sur les ciements
anatomiques par les poisons. XV,
88.
MATH~MATtQUK XI, 487.
–OKGAKtQUE. XVI, tM; XVU,512.DE L'ORGANISME. X!, M).
PtnStOLOGtQUE. Xf, 530;
XVU!, 301. Des propriétés du
système musculaire et du système
nerveux au moyen du curare. III,
463. C'est par elle qu'on atteint
l'explication d'un phénomène. XI,
507. Par les empoisonnements
ce<a))\.XV~255.–nehvase.
XV!,9:)'Uasang.XVt,ï!)8.
–DM infusions. XVf,298.–
Ayant cn~tohcdes corpuscuies
verts. X\),i80. Voy. ~M<
j~o:<s'.
AMntCH)ES(MouvEMEKTs). Voy.
JtfOMt'fn~!t~'N")t~<Jt'/M.
AMtnOK !X, 95; XVt),50, 2~9.
Et sucre, forment ht matière g)y-
cogt'ncc.hytetMR.65.–C<'t-
)u.tea YCgotatcs dans rostom.C du
chi<'n. 4.M. Action des xci-
dcs.Y!2a.–AcUo!)"("'g't'!UO
du Mn~ de la veine-pot'tf' compa-
raison des sang porte et hepati-
quG.Yn.'M.–Uastuoedo'!
BourcMprinripaicsdRgtycn'iC.
X\'ft.tt'S.tMM!tri.fic!:t[on.
XVH, .'i.f?. Dans tes deux r~gn~s.
XVJ!, 49. Sa tt-ansformMion,
XVII, M. Tt'ausfot'maHon in-
verse de la glycose. XVII, t9'
Il peut être ~).t fois un aliment
plastiquo et respiratoire. XV!t,
130.
–AKtMAL.Vn, )<3;X!V,:M5;
XVH, i8.
AMMOXtACAUX (SEt.s). Voy. Sels
nM:<?)07<)~CftM:f.
AMMONtAQH)!. L'injection dans la
veine porte donne lieu & t'app~-
rition du sucre, dans t'urine, f,
353. Elle favoriso l'écoulement
dcs)iquide!)ff,7'Voy.C<i:tAo-
Kt<C C<'am~!O~M~M~.
AMKtOS. Son contenu est sucre. ),
402. Du fœtus des ruminants,
gtycogcno. !X,)00.– Plaques
glycogéniques du fœtus de veau.
X\'f,234.–DuY8M.XVt[,65.–
t'apiHe comptetcment déveioppeo.
XVII, t, G!h Voy. 7'?/<' de /'SM-
M?OJ!, Plaques a~MtC/i~MM, Villo-
sités.
AMNtOTtQUE (LtoutDE). VII, MO.
Il contient du sucre, 405.
Ses transformations. 40'
AMORPHE (MATfËKE). Voy. ~a<e
an:o'p/if.
AMOUR fait palpiter le cœur. XVIII,
3M.
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. )07
localisés. VtH. )82. Par le
curare. !X, 18, ).'<9.–Partes
poisons. )X,i(i:X.n'XU,488;
XVIII, :!9(i. Par la respiration
artificielle. X\. i:!0. Par l'oxyde
decarbone.XV.-443.
ANASTOMOSES de la veine cave et
de!av"ine porto chexiecheva),
f!2. Du nerf facial. V, 93.
Du nerf vague et du facial,
innuencn sur les mouvements de
iaMrincctdunez. V,t8),)89.
Expérience'; a. ce sujet. V, t82
1!)8. Qui existent entre les
nerfs sensitifs et moteurs, peuvent-
elles Mp)iquer la sensibilité récur-
rente. X), )'). Des fibres ner-
veuses, elles se font probable-ment aux extrémités terminales
des nerfs. Xf, 180. Dans quo)-
ques cas, j'union s'opère sur un
point plus rapproche des centres.
XI, 180. Des vaisseaux du foie.
X!,30.'i.–C'est pareUo'-quo
)e grand sympathique semble agir
sur les vaisseaux. XI, 383. Hc-
nates.XV)), :('
ANATOMtE. Son rôle dans les re-
cherches sur t'être vivant. Il, 4.
EUe n'explique pas complètement
ni directement la physiologie.
V![!,t86;XYn!, )().On ne
peut en déduire la physioto~io.
XVIII, 107. Elle est insufnsante
à nous donner l'idée des phéno-
mènes d'organisation propres aux
êtres vivants. [X, 137. Séparée
do la physiologie. VIII, t83 !X,
230; XV!, 4. Son histoire. XI,
532. Ses rapports avec la phy-
siologie. VIII, )8;i: XIV, 52; XV,
292. Comparée la physiologie.XVIII. 145. Voy.i~a<!oy:<*x aM«-
<on:Mf. Appareils (Ma<omtf/tM.~Co'Mft7M/t'om anatomique, 7)~t<e-
<t0t aMa~omi'~Ke, OeMMs aM'o-
miques, ~<e".e?:~ anatomiques,Induction <f?!<.f<om!<e, /.oca/Mn-
<to?f~ anatomiques, PAt/s!'o~o~te
at!a<onttf/M<
ANATOMIE COMPARÉE. VIII, 191.
GENERALE. Son histoire. X,
Il X\')t.~M.–Ga)i.'n. X,
)2.–t)a))er.X,)3.–fondée
parMi(-')at.)X.4:X. )i:\V!,~'82.
A~fArOMtEMfCROSCHt'tQt pa-
t))0)ogiqUC.VH!,t9'
?<<)MMAt.E dans ses rapports
avec les vivisections. V)n.)M.
t'ATHOLOfifQtE \IY.
Dans ses rapports avec ta vivisec-tion. \tH, )').'). Ses prf'n') ont
été du plus grand sr'cours aux
sciences medicatcs. Xt. )!!).
Elle ne suffit pas pour t'\p)iquer
tontes tes modifications proftuitcs
fhnst'oritanismf'~t'etatdeniaht
die. X). ])!); XV, '.M. H)t< ne
peut expliquer que )e-. causes
immédiates et mécaniques de la
mort. XI, );'{.–Incertitude, de
ses résultats. XtV, (t.
AMATOMtQfES (ÉLÉMENTS. Voy.
Ë'niOt~' aHCt<OM:M.
ANCIENS. Leurs idées sur tes fonc-tions du système nerveux. IV,3. Ils n'avaient pas plus d'expé-
rience que nous, au contraire. XI,
436.
AKDROBLASTE.X\f, 3t).
ANËMtE. Périphérique comparée à
l'action du curare dans la mort
du nerf sensitif et dans la mort
du nerf moteur. IX, Hi~. Péri-
phérique, interprétation do la pa-
ralysie qui survient et des phéno-
mènes de la mort dans les deux
ordres de nerfs. tX.tfi.'j.–cen-
tKde, interprétation de la paralysiesurvenant dans les deu\ ordresde nerfs. iX, 1(:!). Complète,
périphérique et centrale, mort
des deux ordres de nerfs. ÏX,
171. Ëtat des nerfs. X). 239.
Du cerveau pendant le sommet),
elle coincide avec le sommci). X[[,
n4; XV'U, 387. Du cerveau
dans l'anestliésie. XU, 121. Lo-
cale par le procédé d'Ësmarch.
xn, 2~3.
AXESTHÈStAKTS, de l'irritabilité.
X\f, 25t.
ANESTIIÉSIE. V, 10; X\at. 2'!4.
TABLE AD'mnËTiQUE ET ANALYTfQUE~s
Lesra~inos postérieures Mnt!<Mderm<.r<"i:t perdre la sentihitttef't
les pt'<'mM'res!tta recouvrer. Xt,
)8).–Histoire dos moyens mis
en usage pour la produire. XII,
;).–)'~)c:u)nihite)antcmoiro.
XH,M.–EUc n'est pas une
asphyxie. Xft.M.–H!)op)acotcsanimaux qui y sont soumis dans
<)(;<<c<t)tf!itt<)tis(iif!'('t'Ci)te'!de)'c!ftt
normat.Xf), )<)().–Théorie de
)'. X)f. )0), )39. –EOet-st géuc-
r~Ms~e de la p~riphcrto au centre
jMr)arir<'u)ation,XtJ,)04.–Sous
)'it)uuf'ncedcf!centrf's nerveux,
elle !){* géltëraUso du contre à la
périphérie. Xtt, t!)8. Influence
du<;<'t'veausurJamop))f.X!J,)09.
–)n<1uencede)a!n()cUe'!ur)ea
nerfs..XH,)(M.–EHcptU-tdM cen-
tres. ncrvsu\.XU,t)),]4t.–EHe
se manifeste esMntioUement par
)aportodc)asf'nMbiIi(6.Xn,n2.
Phases d'hypercmie Gt d'snc-
mie du cerveau. Xt), t2). In-
fluence des centres nerveux. XH,
126. Son mécanisme. XII, m.
–LasonsibUitocommpnce~dis-
paraitreM'extremiteduuerfson-
sitif. XII, n!5. Rûto pr6poadc-rani de l'encéphale. XII, )35.– Sa
marche progressive dans le sys-tème sensitif. XII, t:n. E!)e se
réduit toujours au m6mc phéno-mène intime. Xft, )43. Son in-
fluoncs sur ie:) diveMes funenons
do l'organisme. XtJ, t&T. Sur
les sécrétion!XU, (M.–Sur!a
circulation. XII, t50.
AKESTHKStt! DES ANSUttJUJLES
dubfenieitc.XVf,9I9.
DES AKiMAUX. XV!, S&
Effets sur les vivisections. XI,28. Mis en expérieaco. XII, 47.
Pour les sacrincr. XV, 222.
PAR LA CHALEUN. XU, 9t.
PAR L'EAU CHAUDE. XV, )64.
Compression du cerveau. XV.
!7a.
-DES ÉLÉMENTS ORGANIQUES.
Anesthésie successive. XV), 2(!3.
PAR L'ÉTIIER. XVIII, 432.
AM!!8THES!E CES FEMtEKTS F!
GURÉS. xvr, 276.DE LA FONCTION CIILORO-
PH~LHEK~E dos plantes. XVI,
278.
FAR LE FKOH). XII, 91.
DE LA GERMtKATM?! des
~Mincs. XVi, 2<!7.
PAR !NfH!E?fCE. XH, [30.
Hcaiis~e au moyen de la chalour.
XtL 132,
LOCALE. Xf!, 00. !) n'y en a
pas de véritable. XH, ~). 1.
DES (MUFS. XV!, 275.
DES PttEifOMËKES FROTO-
t'LASMtQt;KS de germination, de
dfivetoppcmcnt, de feftnf'ntation
chez les animaux et les végétaux.
XVf,96'
DES Jt'BOPntETES t'ROTO-
t'LASMtQUES du mouvement et
de la sontibiUté, chci! les animaux
et les végétaux. XVt, 25&.
t'AR LE RECTUM. X!I, 62.
DES VEGETAUX. XVI, 257.
ANESTHÉStQUE (ACTION). Son mé-
canisme intime. X)f, t52.
(tXHALATMN). Voy. Inhalation.
(SOMfHtL). X!f, )')4.
ANESTHÉStQUES. X!1,33. Leurs
effeta diffèrent de ceux du cnraro.
Ut, 333. Leur influence sur le
grand sympathique. V, 502.
Leur action. X, 92; XVL 26L
lis suspendent les mouvements vi-
brttiiM. X, !37. Leur utiitté
dans les vivisections. XI, 559.
Procédés employés pour leur usa-
ge. XH, 46. Ils agissent sur les
centres nerveux. XM, 102. !i ya des agents divers, il n'y a qu'une e
MMtMsie.XIL t43.–Leurs ofTats.
XJ!, He. Mode d'absorption.
XII, <46. Atteignent le cerveau
puis la moelle. Xff, i~6. Frap-
pent la sensibilité au bout péri-
phérique du nerf. XII, t47. Doi-
vent ûtre administres par les pou-
mons qui l'introduisent dans )a
sang. XII, t48. Atteignent l'élé-
ment nerveux sensitif. XII, ~9.–
Atteignent la sensibilité recur-
DES ŒUVRES DE CLAUDE HEUNAKD. )09
rente qui disparxitta première des
pairM te nerveuses rachidiennes.
1Xff. ).'<).–Meranisme f)a iaXII, H.I, Mécanisme de la
mort.XU.t.')i).–Leuremptoidaas
los expériences sur )~chaiour ani-
male. XIII, 57. Leurs inconvé-
nients dans t'etudo de la chaleur
animale. XIII, M. Ils distinguent
tes phénomènes vitaux d'organisa-
tion des phénomènes chimiques
de destruction. XVI, 272. Leur
identité pour abolir la sensibilité
et )'!rritabi)ite. XVt. 289. Leur
Mtion sur ia fonction chorophyt-
iicnnc. XV! 226.
A!<«;'Ct;Ant~T);.Xn!.4t4.
AKGtOTÉ~tQUE (Fn~'M). Voy. f)<
ureanf/io~~tt~ue'.
AKGUtLmS digérées vivantes. ![.
409. Cosurs supptcmetttaires ou
accessoires. t\8(!: XV, 381.
AM.ULmLES du bte nieHc. XVt,
87 XVtH, 43. Leur anesthésie.
XVLMO.
A?itMALCCH;S dans i'air. VI, 489.
ANtM.tUX. ))s forment de la ma-
tiero sucrée. 5T. et végétaux,
chacun fonctionne pour soi. t, t3f).
Usages du sucre. 2.')t, 2.T!,
M2;V[,4M.– Comparés aux
vÉgétaux au point de vue des phé-
nomènes do développement, et de
nutrition. L2C2; U,2.')3, 495,
4i)'Vt, 34).–Us ont constam-
ment besoin de matière sucrée.
L 4)0. Consommation d'oxy-
gène. III, H3. Statique des ani-
mau\.H,4!)5.–Actionducurare.
Ji),(!S,280.–Rendus diabétiques
par la piqûre de la moelle, tV, :)'!
462. Leur emploi par i'homme.
VIII, n8. !is ne sont pas des
appareils exclusifs de combustion.
IX, 80. Leur opposition avec les
végétaux, vraie au point da vue chi
mique, n'est pas vraie au point de
vue physiologique. IX, 93. La
puissance réductiva est en eux
à son nnuimum. tX, 94. Us vi-
vent de méme que les végétaux,
mais ils agissent différemment sur
t'atmospI~re.IX20'I)ssont
tous identiques au point de vue
des organismes eh''mf'ntaircs.X,)0.–Us forment des principesunmedi.lis comme )es vt'rtaux.
X, 40<);XiV,t(~. –En état
d'abstinence ou en pleine diges-tion. Xf,2(i.–)ts produisent de
tachideur.X!It,);).–)nf)uence
8ureuxdet'exager;')ion()e)atem-
peraturo exterieure.Xm.334.–
Peuvent-ils former du sucre'XtV,
)(! Xouveitcs expériences. XtV,)<!U.–Leur distinetion en'ter-
restres, aériens, et aquatiques.
XV, M.–Vigoureux et atïaibtis,
susceptibilit6 variahie.XV.H5.
–HcveiHes pendant t'cn~ourdis-
scment,i)susentrapidcmentieurs
rcst'rves et meurent. XV). 108.
Opposés aux Ycgetaux.XVf.t33.
Distingués des végétaux par la
respiration. XV[,)34.–Force
mccaniquH qu'ils produisent. XVf,
t:n. Kespiration.XVt. 9':3.
Comparés aux végétaux. XVtf,).
–Hoctrineerroneo qui leur at-
tribue la destruction or.;ani()ue.
XVII, 23. Leur engraissement.
XVII, 9<i. 2'). Soumis a l'inani-
tion. XVII, )39. Leur rote com-
burant.XVM.ti3.–innuencedo
t'oxygène. XVII, t')6. Ils ne
sont pas caractérisés par la fonc-tion chlorophyllienne. XVH, 229.
Voy. CAa~M'' a!!in;<:<< <fe~MM '/e~t !:u~"t'e, H''<)'a<!o/! aMt-
t)'<!t< 7'e'"p~r<:<Mre <!K!))!
A~tMAUX Kt-KC rmQt ES X, 203.
U'KXPÉHtEKC)' Diversité de
ceux soumis & i'experimenta-
tion. ViH. ;'()(). Variabi)it6
des conditions organiques dans
[esquenes ils s'offrent à t'experi-
mentatcur. VIII, 200. H fautles choisir. VIII, 2t4 XI, M5,
55t XV, G6. Différences de pré-
dispositions entre les diverses clas-
ses d'animaux et entre les animaux
appartenant a~ia même espèce. X),
94.–De diverses espèces, diverse-
ment influencés par certains poi-
sons. XI,88. De même espèce,
TABLE ALPf!A[!ËTiQUE ET ANALYTIQUEi)0
diversement innunnees par certains
pniso))!<.X).!3ë.i('Mpp)'mtS<)o
faire'iureu\dc!;exp~riences.X![,
497.–))t!sdin'6ro))cosde\'oh]tne
ou des défaits de structure font
prcferct' certaines espèces. XI,
ù;M.–Leur contention. Xt,55'?.
–A))estht'siH.Xn,47.–Leurpre-
hensinn.X\t(M.–Piacessur
iatahh'ayivisoction.XV.rM.–
Procèdes ponriessacrinor. XV,
'MO.
AKtMAtX MtttE~ffAKTS !)s ne
(toitunt pas Otro coisidôrës comme
des animau~~ jeun.4().Voy.
JE'Hyf)Mt'~i.M<'?Hen<, Ht&ft'))a<!('H.
t~FËMH~'MS. Système nerveux.
!Y,)()5~5t5.–]hsopr6te!t)tmicuxaux. recherches surh'snerfs
mixtes. Xt, )' r'ormede
t'auptu'uitcircniat.oit'e.XV, 305.
SystOno bcunaire, XV, 3H.
t'ttYTOfUAGKS. t), 93.
A SA~(; CMACD. M, <')9 XUt,)2.).MU)'spropr!(!tcsnerYeus<'8
<t))tusFu]ftir<M!ion)tde!itt<juos<'t h
ccttt's des animaux ~Mn~froid.)4. Transformes en ani-
m.iu\ h sang froid ou refroidis.
vn).tM;X!t,3'S;XU],!Ch–
~(~n)Mt'es aux animaux & sangfroid. )\i')' –L~ chaleur
du sang jx'ut-eUc rester <hf' ?JX,44. -Leursmus.t-ies possèdentdes courants etectriquos comme
ceux des animaux h Mng froid.X, 204. Sujets d'expériences.
X). dM. Leur tempét-aturon'est pas absoiumant fixe. XHf,t()C. tis ne ae mattout pas on
t'fjuiiibro de température avec to
mitiou nui tes! entoure. XUt, 334.
\')y. fc"'p~'<i'~M'<f.
A SAX(; FMOH). Xt, 492; XH),i9.-t.enrspropri6tMt)M'vf'uf)M
etmuscu)aiLres!if)nt.id('nti<(ue'i!t Il
celtes dos animaux !t6!tnR chaud.
V,)).–Compare aux .minMuxit
sanjt chaud. )X. 4* n7. Sujets
d't'xpcriottct's. XI, &)3. Les phé-nomènes vitaux y sont plus )anta.
X,n3.
AKMAUX SARCOPHAGES. Il, 23.
St'EHMATtQUKS. i! <,ont tes ger-mes pour los spermatistes. XV!,
316.
SUPEtUEUKS ou d'une organi-
sation etevée, c'est sur eux que
doit porter t'experimetttation. X,
23. Che/. eu\, les fonctions vi-
ta)os sont mieux isolées. X, )02,
n3. C'est sur eux qu'on doit
pratiquer les expériences desti-
nëoa & mettre en !umiere la sen-
sibitité récurrente. XI, tM.
Différentes parties dont se com-
pose leur apparei! circu'tto're.XV,
308.
A TEMPERATUm: CONSTANTE
et & tetnpëra.ture yariabte. XVtt,
AStM)SMti. XVI, 42; XVU, 415,
~.5 XYtft, t~).
BE STAIIL. X, 6?
AKtMtS't'ES. [X, 133; XVIII, ttt.
ANOMAHË. tX, 112.
AKOXyHEMtE. X\n, )94.
AXTACO~t'i.'m': des nerfs dilata-
tours et constricteurs. VU, 2'!C.
ft n'e\Mtu pas entre les phéno-mènes vitaux et les phénomènes
phyMco-chimiques. VU!, )35.
Des médicaments, XU, 57). Des
nerfs. XI, 2M. Entre les deux
portions du système veineux (veinecave supérieure et veine cave in-
férieure). XUr, 122. Des poi-
sons. XV, 420. Chimique, phy-
sique et mécanique entra les ani-
maux et les végétaux. XVI, 133.
Priestiey. XVI, ;M. Saus-
sure XVi, ):!&. Dumas et
Bouitsingauit. XV). m. Hudey.
XV), ):n. TyndaU. XV), )39.
AaiTHËHUXUtUES des algues. XVI,
250.
A~THttUPOMH.tE. )X, 232; XYHJ,)03.
ANTIDOTES. t)f. 3n. Du curare.
[t), 26f, 262, 2(i3. De l'acide
pruMifjue(t'Cther;. ))),3'!7.
AK't'tQUiTH. Ses doctrines physio-
logiques. XVH, 402.
ANUS contre nature. VH, 3!)9, 401.
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. tti
APPARU! CHYUtEK): Voy.
C/t.t/t~f.
CtRCt LA)0)RE Voy. C~'cu/a-
<0!)'?.
–Mtt.ESTtF.V'jy.at;sh'
LYMt'ttATtQt E Voy. ~y)?!~A<
<t~Me(Appareit).
NERVEUX Voy.crufUJ (Appa-
ru).
t'ORTE RE~fAL Voy. Hf'M.
['t'LMO~AtKË. Voy. fH/M'JMtt-e.
HESPtU~TOtRH. Voy. ~Mptt'a-
/0!)'f.
SEKSO!t!EL. Voy. SMisn)-
–UBt~AtME.Voy~f/t-tyifore.
APt'Em'. Putréfaction. XVt, n4.
AfTtTUMES pathologiques. YfH
M~
AKACH?<n)K. QEut'. XV), 328.
AKAGO. Hccherchcs sur ('aimanta-
t.ioti.XV,9).
AKA~i'i'HJS. Tubereuh's \atva)aires,
leur rû)c. VI, t92.
Anc«ËE.!X.:);X),(!t;X!n.C;XVI,
tj.dfVanHf'h<iont.\Vi),t6t,
2);4t8;XV))f,M,H),)At,)G3.
AttCnEtSMt:XVH,4)5,'H't.
AttCHEtt DE MEUOOK. VU), n4.
ARCtnLECtfHE. XVt, Mi)
AREA Opa.ca. XVt, Mt. PcUncida.
XVt,2).
ARGENT. Voy. Su//M;'e d'a)'</en<.
AtHSTOTE. XVH, )<)').
AKKOLD. Sou opimon sur i'e~s-
tenco des raciaes de quelques Û-
bres seasitiyos dans les racines
antérieures etdequatques fibres
motrices dans )os racines posté-
rieures.X.t.tS.').
AKMÈTmL;<:<)EUK-H',2:M.-P.u-
la galvanisatiou du 'agtte, avec ou
Mnsenipoisoum'mcnt.partecnrara.
!U,t8,(.t),JS.–Par tes sub-
stances to\iqucs.!U,<().–Sous
t'm)lu('necdes'n'tsmeta))tqu)'s.tU,
;).0.–Pai-h's.nUu-cyanurude
potassinui. H!, ~). Mort pos-
Mb(e.2()t).–D.tns)anMrtpa.r
la chateur. \t)!, ~.)t!. –Sous t'in-
fluence de l'excitation ~ahanique
des nerfs. XVUt, :}4~. Voy. Nerf
d'G!'r<?< du CŒ)'.
AORTE. XV. 2H.–Chnxics fu-
seaux. XV, 94:).– Antérieure.
XV,'J4S. –Ventrate. tempéra-
ture du sang. VI, 8: Voy.C'-o.Mc
f~t'oo~'fe. 1
At''ttH)))':KS Organes (le la repro-
duction. XVI, :!)<).
At'<tOK)K. Apres t'abtatiou des spi-
naux. V,SM.
At'KEK produite par la respiration
arti(icie!)e.XV,~3t!.
APCMOKt'MtNH XIt, ;'))9. Son
histoire chimique. XH.5H).–
Voy.C/~o'<)/H<e<rMp&MOfp/tt<)e.
At'ONt~KOSE X, )C8.
At'Ot'LHXtt!. Suite de contusions
ccrebrajes. anéantit tf.'système
nerveux cût'iihrn-spinat et produit
le diabète, t, :i48.
At't'A!mtL à cthor primitif. XII,
M. D'intiatation anesthésique.
XU.)3. Destines à mesurer la
chaleur. X)H, f' Pour écarter
les mâchoires du cheval. XV, 1.48.
D'un usane gênera) dans les vi-
visections. XV. )82. Pour les
injections. XV. tiK).–Med'Arson-
val a température constante. XV,
4'?6, 48f). –Que t'experimentateur
doit toujours avoir tout préparés
soustamairt.XV,224.
GALVAXO-METtUQfE. XIU, i3.
vuLTA-t'ARAntQUE do Du Bois
JReymond. XV, MQ.
Aft'AKEtLS ELKCTtt!QUËS. IV,
152 XV, 238. KMimteurs des
nerfs. IV, HG. Voy. CAa<MM ~feL-
<r;f/Me~, Piles, ï7t?;'MO-~c<)-
</«<"<.
EKREGtSTKEUMS XV, 934.
t'OLAtUMÉTKtQUES XIV, )09.
TUEMMO EU.CTMQUES XIH,
(n.At't'AMEtLS AKATOMtQfES Ils
sont indispensables au jau de
t'organisme, non~io.XV,
;)<M.–Des être') organiques, ils
ont une morphologie qui leur est
propre. IX, t36. Generam, ih
sont en rapport avec tous les tis-
sus. XI, 82.
MtHAtRE.Voy.BHta:
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUEii2
AMSKKAt~ de la physiofogie opéra-
toire. XV. ]M.
ARSHKtC Son action sur )a dispa-
rition du sucre dans le sang.2it,
2t3. –Son passage dans les uri-
nes.V)),H8.–Sou action sur les
g)obuissdusang.X),86.–Fait
singulier d'empoisonnement, rap-
porté par C.orvisart. XI, )U.
Son action sur le mouton. XI, 2!)3.
Dans !o traitement du diabète.
XIV, 460.
ART. Son intervention est indispen-
sabtc.Xf,H~~nd~uM~
<imontetMriod'"n''pe'on!jR& à
t'autre. Xl, 437. Utfïcre de la
science. XV, 9. Ses donnÉsa et
ses obsorvatiCHs rie sont pas cûft-
troditpsparhseionce.XV!)t,3(!6.DES DECOCVËttTJËS tï, 2a!,
253.
MXt'ËtUMENTAL. 7.
M'HXFEKtMEKTERsur les êtres
Tiyant-i.Xjr,529,M7.
DE GUERtM. Xl, 407 XV, i).
MtÉtttCAt.. Hapports avec les
scioncetniedica)es.X),!i.
ARTKME AOHTE. Voy. /)o''<c.
CAKOTHtH. X)H, H:). Ecchy-moses dans le coeur & )!t suite d in-
jections. )V, &(!. Son resserre-
ment par excitation du filet sym-
p.'Hiiinucct'rviMtchexiecochon
d'tnde.V,53&tnjectioude
pru8siatedBpotaMo.V!f,2M.
Opérations. XV, MG. Appli-
ca~tion d'uu manomètre. XVIII, 35).
Elle apporte fc fMtog au cerveau.
XY)U,3<i).
CRt RALK. XV, 2~2.
FACtALE Action du nerf my)o-
}.yMdi<'n.Vt[,M~
!tEPA'rtQUE. Sa ligature. 'K!C.
Son sang fouroit la sécrétion
M)iaire.VU,)i):
KÉKALE. En'uts do la tigaturo.
Xt,f!).
ARTERKS. IX, <i3; XV, 244, 308;
XVIII, 322. Elles portent les
substances nutritives et toxiques.
Ut,47,6t).–)njcction<i'o\yd('dc
carbone. ))!,)(!).–Mort causée
par injection dans te cceur par l'ar-
terc. tV, 56.–Pression. Vt,n:
1<)2.)9<),207.–CoUpCPS, observa-
tion comparée de la pression dans
les deux bouts. Vf, 211. Leur
passage aux tymphatiques prouvé
par l'injection par douhte décom-
position. VU, t2), )22;XV,3i5.
Injection d'acide carbonique. VII,4(;6. EUes sont contractiles. IX,
64 X), 372, 376. Élasticité. tX,
m. Nerfs dilatateurs, et nf'rfs
constricteurs. IX, C4, 65. Leur
rôle dans l'empoisonnement. XI, Ha,
'aj"ctif,'ns da Mb!e. Xt, '?.
Leur structure.X!,3f!8.–Cas où
)o poutsso propage des artères dans
les vciues. XI, .'}7). Le sang y est
moins chaud f)M dans la veine-
cave inférieure. XIII, 07. In-nervation des petites artt'ret). Xflf,
247. Présence du sucre. XtV,
Si 5, 299, 404. Injections intra-
artërietiM. XV, 266. --Absence de
glycogène sur Jour trajet. XV')), M.
Poison qui est arrûtë. XVUt,
281. Voy. Élasticité arMr;<
P)~M:on artérielle, Pu/M<t! ar-
<tf//e, Sa?!y nr<<'t-te<, ren.!KM a;
M'eMe, D'ac/tM, ~at<!M<M: <~<
)'ARTÈRES AXILLAIRES. XV, 24').
VERTÉBRALES. Elles apportent
le sang au cerveau. XYt! 3<i).
ART~RtEiL (SYSTÈME,. XVJt], 278.
Pénétration des poisons. Jtt,
&6. Constance de la pression
)aM*ra]e. !V, 277. Pression du
sang. V!, )93, 208. Système it
sang rouge. V!,252. La distinc-
tion de couleur (rouge et noir) est
trop absolue. VI, 253. C'est le
milieu intérieur. XI, 440.
ARTERtOLES des animaux supé-
riours, analogie de leurs parois
musculaires avec les sphincters
pretacunaires des articulés. XV,
3t5.
ARTHROPODES. Leur squetctte est
extérieur. tX, U9.
ARTtCULES. Les éléments sfcro-
teurs de la bile et ceux du sucra
DES fKL'YRES [)E CLAUDE BERNARD. Il :1
<~At!DEBERt<A<tU.X(X.g
"fmbtent distincts. t. !M. f.fur'
sf)U')cttcostRxt<ri(!ur. tX.Hi).
Sphincters prctacunairf* XV.
!!)i.–Lourdcveioppempnt.XVt.
MK.–Giy<:ogcn<X\'n,n<
ARTtSTE comparé au savant.
X\Ur,6(!)y.A'<ï<t!f.
ASELLt. Chylifères, Xtt, t X!V,
2(!5:XV,2m),334.–Dec)'itcomme
un pancréas chez le chien un or-
gane qui n'pst qu'une aggloméra-
tion 'jn ganglions lymphatiques.
XV,)82.
ASPERGE, tutlucnce snt- )'urine. VU.
)t,)2. –Snno'tf~trnepits'if
pas dsna t'ut'ine chez !es aihumi-
nuriquM.Vn,2t3.
ASt'HYXtE. Xtt. 3)9; XVn, t84.
Predispositinn contrn i'asphyxie
p.n'ul.tan'aihtisst'ment antérieur.
)H.m.)n<)u('ncodf')'<jt!tt()o
ma)!K)ie.nt,H7!t)M.–8onmt'-
mBmmR.)n,t!;8,)0,28a,3(!5.
!tôted<'rMidf'c)trh(mif)ue.Ht,M~.
Sa cause. )H, 234. Subite, mé-
canisme de la mort. m. 9'*o.
Porte de la scnsiMUtc constatée par
l'exploration du globe oculaire.
III, 235; V)!, 455. Sensibilité de
la conjonctive et de ta cornée. HI.
3~5. Mouvements de progres-
sionea avant qu'elle produit. IV,
4M.–Son in~ucut'f) sur la tem-
pérature du sang. VI, 155 à tOf,
5)2. Lente, ses effets. Vt, 510.
Ëtat de ia pupille. VU, ~55.
Résistance des divers animaux. IX,
189. Convulsions chez les ani-
maux dont la moelle 6piniere a été
coupée. Xi, 211. Susceptibilité
diverse des animaux. XH, 328.
Ses divers genres. Xt!, 329; XHt,
)')5. -Perforation du poumon. X)!,
~45, 352. En vase clos, à quette
altération de l'atmosphère est due
la mort, à l'oxygène disparu ou à
l'acide carbonique accumulé. XII,
!t- Rapports avec la chaleur
animale. Xit, 468. Sort influence
sur la calorification. XII, 4'!t.
Moyens de rappeler l'asphyxié à
la vie. XH, 479. Action de l'air
frais sur iapoau.Xfi.i8'Hcs-
pit':ttinn!u-tifi<'h'))o.X)f.48Ï.
T)-ansfnsinnd)isan!XH. 48:
Saignée. X![, tSt. Snn innuenre
snr la f~ycni~'nese. XVU. )tX).
résistance des p)antes.X\t!,)86.
Résistance dcsjeunesanimau'
XVII, t89. ~oy. Co;ip:<(MM.
ASPHYXtE PAR L'ACIDE CAR-
BUKtQUE. Les muscles sont <)(;
couleur foncée. XII, 376. Voy.
Car&ont~Me ~~cidet.
PAU L'AtR COKFME. Chez les
oiseaux. !!{, H' )-M.–Phéno-
mènes généraux. Hf, t'). De-
pression de toutes les fonctions.
III, 126. Abaissement de la tem-
pemturf. U!, ~fi. Diminution
des sécrétions.m.t'
CARBOXtQCE. Xft, 479.
t'Ait Ct:SSAT)CK n<:S MO~YE
MENTS RESt'tMATOtMES Cf'st
le mécanisme de la mort par te cn-
rare. 111, 374.
t'AR LE CURARE. ti!. 383.
ttES GKAtKtiS. tt, )8<).
PAR tK.t);CTtt)~ n ACtDE PY-
MOCALDQUE. f)), 222.
PAR UGATLMK nE LA TRA-
CHEE. Ut, Mt, -H. -MO Yt, 509;XH,t70.
PAR OBSTRUCTION DE LA
TKACUEE. tfJ, 23t.
PAR LOXYDK DE CARBONE
TMM~c~m~M.X~4M.
Expliquée comme phénomène
chimique. XiL, U~. Théortc
des !-ympt')mes. XII, 432. Ap-
pUcatioMdnspectroscope.XI!,437. RospiMtion et calorifica-
tion. XU, 413. K))o est caracté.
risée par l'abaissement de tempo-rature. X!)t,t!)(;.
DANS L'OXY-tiÈSE non renou-
vaie.lU,)3).PAR PRtVATtO~ D'AIR. XII,
469. Elle entraine une élévation
passagère de la température ani-
mate. XII, 4?4 XtU. t9a.
-PAR STRAKGULATtOK XII, 470.
PAR StJPPRESStOK DE LAtM
III, 230.
TABLE ALPHABÉTtQUE ET ANALYTIQUEt
ASf'tnxm PAR LES VAPEURS
<t<: CMARB~N Xt), 3;!t. Histo-
rique deactude!t.X!J,33).–Symp-
!<~uosetmort.XI!,3M.–Carac-
tt''rt"tsur)ecadavre.XH,S!t't.–
Tr!utcmont.xn,33'NouYeUcs
('tudcs expérimentâtes. XH, 3't0.
Appareils. XH, 3M. –Critique ex-
p''rimMntatc des travaux antérieurs,
XII, :ti2. ('.outeur du sang. X)).
:M8. –h)nu('!)Mf)f!~f.ha)eu)'.
XU, Se: Kxpërimeutatt!. XU.
364. M)o (to l'acide carbonique.
XH, :!(i7. Signes qui permottcnt
de la reeonnattre. XII, 4.22. MG-
canisme chimique, Xtt, 09.
C'est une anémie. XII, ~3.
ttES VÉGÉTAUX & l'ombre.
XVM, 187.
ASPtRATtOM du sang du cmur. Ut,
)(!<
ASStMtt.AT)ON.X!,3~;XIV,8RO;
XVU, M.'): XVU!, t8' Voy. St/tt-<A~<~St))tt~<n'c<
ASSOCIATION des médicaments
xn,2n.
ASSYRIENS. Ils connaissaient l'a-
nosth~sie. Xli, S~.
ASTtCOTS, au point do vue du
g)ycogÈne.XtV,~M.
ASTHO'«)Mm. Elle est le type des
scicncead'obaervfttion. VHt, 3;3!-t;
XI, 419; XVUI, 59. Efte restera
toujouM une scieuce d'obserfatioa.
Xt. <M.
AS'fRUC. professeur de médecine
au Collège de France. XtV, tC.
ATAVtSME. tX, t<M. La morpho-
logie en dérive. XVJ, 332.
ATHËRMOsyStAMMQUES (Mus
ct.M). Voy. Muscles.
ATMOSt'HÈnE. Les animaux et !M
végétaux agissent différemment
sur elle. IX, 20' Purification.
XV!t,M9.Y<'y.P''M!tOMa<MOïp/«'-
ft~ue.
CONFINÉE. III, 20S, 210. Di-
minution d'une atmosphère limitée
part~respira<ion.U!,M8.Voy.
~)trcoM/!n~<esjt)«-(!<tOM~aMM/<f
atmosphère con/fn~.
DU MtLH:U INTÉRIEUR, viciée
de la m6m<* manière par les ani-
maux<'t!Msv6g6t!tux.)X,9<t.
ATMOSPHERE VITALE intérieure.
X!H,3M.
ATOMtSME XVIII, 150.
A't'ROt*Mtf':flu pancréas dans le dia-
bète.425.
j AUMTtF(CoNDun') externe, consti-
tution do la septième paire. V, 109.
A~mCL'LAtnE(NEM). Sa section et
sa galvanisation. Influence sur la
YascutariMtionGttatempoMtut'c
de l'oreille. V, 5)2, d!0 V]!, 334.
Son excitation produit dans
i'of'ei.iie un mouvement qui cesse
quand le facial est divise. V, 539.–L'excitation du bout centrât pro-duit le tarmoismeut. V, 517, 5t8.
AIJKOKE BOMEA~E. XI, H5.
AUSCULTATION. X!V, 27. Sa
découverte.Xt,4C3.
AUTONOMtK des tissus et des ët&-
ments. XV, xv).
AtJTOt'HAGtK diabétique. XIV, 64,
M6.
AU TOt'Sn! CAttAVKRtQUE chez les
diabétiques.E))ec'mdiquep!H('É-tat physiotogique du foie. {, 182.
Souvent elle est stérile. XI, 499,
5M; XVU), M3. Son insufa-saoce, telle qu'on la pratiquehabituellement. VIII, 198; XI, 1)3.
H9,447;XH,33!),384.
RATJO~MELLiE, immédiate ou
physiologique, son importance.
Vm,MO;Xt,n3,t4),446,&00;
XII, 839, 3'!&; XV,'96, 220; xvn),
282. Elle consiste à examiner
successivement et physiologique-ment tous les tissus et liquides
organiques. XI, 113. Elle doit
porter sur tous les tissus et se
pratiquer immédiatement après la
mort.Xt.447.
AUTMUTE. Ce principe, qui était le
fondement do la scolastique, doit
être abandonné. XI, 402.
AXE CEMEhnt) SPtNAL. Voy Ce-
re&ro-~M<!< (Axe).
AXIAL (CottMK). Voy. Coft/on.
AXILLAIRES (ARTÈRES). Voy. ~)'-
~'es <7/a!)'M.
DES ŒUVRES DE CLAUDE BEHKARD. Il
AZOTATE. XVtt.tS.
AZOTE. Son innucncf sur la destruc-
tion du sucre dans !e sang.),243.
Déplacement des gaz du sang.
t, 355. Sa fixation sur les com-
posés organiques.XVt, 393. Son
rôle dans les phénomènes de la vie.
XVH.n.–Son oxydation, XV!
5Mi.–Sa conservation. XVII
5M.Voy. ~m~i<f~:OHai:o<<'<
Aliments a:o~.<, ~'o<o.t'afe d'a-
AZOTÉES (MATtÈRES OU SUBSTANCES).
XVII, 18. Action de la bite.fr,43!. Fossibitite de leur transfor-
nration en g)ycog6ne. XIV, 338.Action de la sécrétion parrcréati-
<)ue,XVn,3te.
AXOTURtE. XIV, 62, 471.
ttACUX. Vulgarisation de la méthode
o!tperime[ita)<Xf,}~9.
BACTEtUntES !X, 212,
BAER, admet quatre types de dôve-
loppement. XVI, !!25.
B.UKS FROtttS dans la fièvre ty-
phoide.X!t:,tM.
BALANCE. XV, 22!).
BALBtAKt. Génération sexuelle des
infusoires.JX, 102. –Organesde la reproduction chez les Aphi-
diens. XVI, 310.
BALLON pour le dosage du sucre.
XV.-tM.
BALLOXS(MAt. BES). Voy. jM<t/~
J'J'a~OH.<.BANt)E ELASTtQUE de Esmarch.
Xt',273.
BAMBASCO (~!C~!<!M;<! a~uMo!).Son action. III, 29&.
B*.KTnEX. Irritabilité. XV!, 244
XVt!,426.
BARTHOUK. Les funeraittes du
foie.XtV,26C.
BASE DU COEUR. XVIII, 322.-DU CRANE. V,222.
PIIYSIQUE DE LA VtË XYHt,234.
BASILE VALENTIN, XV!t, 417.
BATIIYBIUS H~CKEm. XVI, 189,299, 395 XVIII, 235.
BATRACIENS, propriétés de leurtissu musculaire. XI, 235. Ex-
périences sur les fonctions du
grand sympathique. XI, 261.Cœurs accf'ssoirps ou supptcmen-taires.XV.38t.
BATTEMENTS DU COEUR XVIII,332.–Modifies par la Iigature dela trachée artère. V), .')()!).–t)s nesont pas arrêtes par jatigature dela trachée après la sectiou des va-
lues. Vf. 5) -Arrêtes par la gal-vanisation du
pncumogMtnquc.IX, 66. ModiMs par les actions
réflexes. XIII, 259. it faut dis-
tinguer l'augmentation de leur
nombreavec l'augmentation de la
pression. XHt, 265.
BEAUMO~T. Fistule stomacale du
Canadien. If, :)82 XV, 26, 498
XVtt,2<!ï;XVttf,978.
BECLARO. Contraction musculaire.
JX,9!1.
BMCCO DE MAVACtJME !U, 246
BEH. (Cn.). Fonctions des nerfs ra-
chidipM.t\3i;tx,)),)5.t.–
Nerf spinal. V, 248. Deux es-
pèces de nerfs moteurs. X, 239.Il croit que les racines antérieures
n'ont aucune sensibilité, et les
racines postérieures aucune fa-culté motrice. X, 23!).
BELLADttKE Dilate la pupille aprèssection de la troisième paire. V,205.
e)~ï.o!LE.Voy. f~f{rM!-e~e&MM!!<
BEPtZOÏQUE (ActM). Modifié par le
rein. VII, 11, 12. Son passadedans les urines. VII, t48.–Éli-miné par la bile, VU, 213.
BEMARt) (Phi).). Discussion sur !e
pancréas. VII, 387.BERNA~M (CLAUDE). Sa naissance
)''juillet )8)3.XViJ!,)6.
Professeur de Physiotogie géné-rale à la Sorbonne (t854-1868!XVtt,xxvt;XVm,23.
Membre de l'Académie desSciences ()8a4). XVH, x XVfft, 23
Professeur de médecine auCoU~de France
(1855-1878). XIV, 3t.Professeur de physio)ogie génerateau Muséum d'histoire naturelle
()86S-)878).XXIJ,3.
TA{!f.E ALPHABËUQUE ET ANALYTiQUË E<!6
)
Bt;R?fARO (Cf.ACDE). LactoM~nio
X)V,t6i).
Gtycogène ou mMièrf: g)ycog~ne
dufoie.XfV,)8).
Origine du sucre dans le foie,
expérience. XIV, 283.
Matière gtycogt'ne considérée
comme condition de f)cvc)oppc-ment de certains tissus chez le
fœtus avant l'apparition de la
fonction glycogénique du foie,
X)V. 4!)2.
tnaucnee de l'alimentation sur
la giyco~ecÈsc. X)V. f)09.
!!eiation.s qui existent entre
la matière gtycogènc dans )es
muscles et dans le foie. XIV,M t.1.
Fermentstio!) gtycosique dans les
muscles des foetus de veau. XtV,550.
Fermentations giycosinues des
poumons de VMu. XIV, 5?))i.
Rctatiou de la réaction des mus-
cles avec la matière glycogène.
X!V, f.60.
Sensibiittc )'e)ativc des proc~d~s
Mcc))a"m~triques. X!V, M!3.
–Fistu.M gastriques, XV,aM.
Fonctions 6)émentaires dans le
rè~nc animal et le règne vÉf;eta).
XVt, 29. )M XVU), )&9.
Anestiiesie par le chtoroforme ou
j'other des végétaux inférieurs.
XVI, 2li8; XVII, 226.
Fermentations. XVIII, 32.
Discours de réception à J'Acadc-
mie française. XVIII, -iM.
Discours d'ouverture de la séance
pubtique annuelle des cinq Acadé-
mies. XVm, 441.
Sa mort, discours aux funéraittM
par M. Vu)pian. XV), vu.
-DiMOursauxfuneraittesparM.Pau)
Bert. XVt, xxv).
DiMoursauxfun6fait)espafM.Du-mM. XVIII, 5.
Discours aux funefaiites par A.
Moreau. XIX, 89.
Notice par Paul Bert. XVUi, t&.
Son éloge à f'Academie françaisepar Ern. Renan. XIX, 8.
MEKMAKn (<At:n! Membre de~
)'Ac.dcmieF)'ancaiso (t868). X\)U,
M.
–Sénateur. X\'in,9a.
–H'<p')-if))ces su)-te grand sympa-
thique. f,)9;Xt,9M.
–Fonction ~tycogcnique du foie,
expérience.I.ft); XIV, ~.i.
–Ui.'<hôtoar<incioLt,t5.
–8u(-(;astriqup.t!,a94.
–Ë)ot:9deMagendie.JtT,r. r.
Analyse physiologique des pro
priétés des S!yst('mf's n)uscu)airo
et nerveux au moyen du curare.
tn.Ma.
-0]'dcdut.ympM).V,n9.
Nerf spinal. V, 291.J.
!\erfpncumog!tstt'i<(ue. V, 344.
–t''oichv'').VU,t!0;IX,S(;!
XIV, t8), 300, 5M.
–Fot)ctiouadupanC)'t''as.V)!,M8.
Saup; veineux, if plus chaud du
corps fstceiutquisot't du foie parles veines sushcpatiqut's. !X. (tf).
La circulation de la glande est
peu active, pondant l'absence d'é-
Mutcmectde la salive, fX, ?(!.
Nerfs de s6erct.ion salivaire, ils
jouent le rôlo de freins. IX,
~crfsëcr~tcur de la gtandesous-
maxillaire, il est un véritable nerf
dilatateur des vaisseaux. tX, T!.
Nerf «~créteur de la gtande pa-
rotide, c'est tin rameau de Ja bran-
che maxillaire inférieur!! de la
5'pai)'e.!X,
t'ropt'Mtos des tissus. X, 4.
La glande salivaire souo-maxij-
taire peut entrer eu sécrétion sous
l'influence du ganglion sympa-
thiquedumaxi))aire.X,3~,
Expériences sur riHfuencc du
grand sympathique sur la chaieur
amma)e.X!,3?.').
G)andesous-m!txiHairedu chien.
X, 394.
Expériences sur la sensibilité ré-
curreate.X),52).
!<erfs dilatateurs vasculaires, M-
p6rience.Xttt,2'S!
Influence de la sensibilité sur la
température. X1U, 293.
DES OEUVKES DE CLAUDE BERNARD. <n
MEBNARD (Ct.AUM). Ses travaux
I
par Paul Bert.X!X,a9.
–Tabieaiphahctiqueotanatytique
descta'uvretparieDoctenrMo-
E;nrde!aCoudraie.XtX,9.'t.
-Bihtio~raptiie.XfX.
BEttT'PAUL).Greffe animale.IX, )23.
n4;X,32(). –Air comprime.
XtV, 440. Oxygène daus le sang.
XV, 441. La variation de pres-
sion agit uonpM en tant que va-
riation mécanique, mais en tant
que variation chimique de la com-
position de l'air. X\'f!, )9a. Dis-
cours aux funérailles de Claude
Bernard. XVI, xx\-[.– Notice
sur Oaudo Bernard. XVIII, 15.
Les travaux de Claude Bernard.
XtX,;i').
ttEHTMEt.OT.Chateuranimate.XUt,
22. Thermo-chimie. XIII, n2.
Fixation de t'azote sur les com-
posés organiques. XVI, 393.
BKMXEnUS. Catalyse. XVI, t58.
BETES A CORNES. Epizootie. VIII,
~60. Voy. Pn<°MMOM!e co?!<a</M!M<
BETTERAVES. Acte nutritif en
deux périodes. XVII, 134. Voy.SMC)'e6<<;&e</e''0!)e.
BEUMUE. Vtt, 2:M.
BEZOLO. Expériences sur la rapidité
de la marche du fluide nerveux.
XI, t44. Innervation du cœur.
X!t!,262.
BtCMAT. Ligiiture de la trachée
pour rendre le sang noir. VI, 502.
Son expérience. Vt 50!).
Fonde t'anatomie générale des
tissus. tX,4 X, 14; XVt, t8t.
Oassnication des tissus. X, H.
Propri6téa vitales des tissus. X,
)0'! XVII, 444 XVUt, t59.
Trépied vital. XV, 93.
BtCOER et SCMMUtT. Pancréas. Il,
399.
BIÈRE. Voy. ~tw' d<' bière.
BILAN de la nutrition. IX, 92 XVH,
384.
BILE. VU, t9ï, 2(3 a ÏM, 388. En
plus grande quantité, à jeun. ),
)02. Des limaces, elle est sucrée.
1, 102. Des insectes, l, 105.
Elle n'est pas sucrée chez les mam-
mifères, expériences endosmomé-
tri<)ues.[)).–Sonactioncom-
bi~eavei'ceUedusucgastri'iue.
t), 422.–Son action sur les ma-
tiere'!ai;otees.n,4~i.–Son ac-
tion di~e-itive.U,4~!); Vft,404.–
Sonactinncomhinm'avecceUedu
suc pancréatique, tf, 442. Action
du suc pancréatique, tt. 471.
Son action sur tes nerfs moteurs.
IV, <4t.–K)te n'est pas augmentée
par t'injection d'eau dans te sans.
Vf, 33. Présence du fer. VI, 448,
44S.–Sulfure formé parte fer par
l'action de t'hydro~ene suifuré. VI,
44').–La matière coiorante passe
dans t'urine pendant t'abstinence.
V)[, 73. Formation dans te foie
tave.VH,]~Hst-eHe un pro-duit de sécrétion ou d'excrétion?
Vf!, tM, 200. tnnuence de l'obli-
tcration de la veine-porte sur sa
formation. Vt), t95. EtTets de
détournement de la bi)e.V![,202.
Hst-et)e formée par )e sangde la veine-porte ou par celui de
i'artere hépatique? VU, )M,)99.
Quantité sécrétée. Vtt. 207.
Elimination par la bile de quelques
substances injectées dans le sang.
Vft,2)0.–miminationdet'a)bu-
mine.vn,2[0. L'albumine y
passe, après injection d'eau dans le
sang, VU, '!tt. Elimination du
sucre. VH, 3U. Passage du su-
cre. VU, 212, 'K)9, 301, 315. -Eli-
mination de t'iodure de potas-
sium. vn, '!t2. Elimination du
sulfate de cuivre. Vt!, 2t2. Eli-
mination de l'acide bf'nzoique. VU,
2t! Passage des matières odo-
raHtcs. VH, 2t! Elimination do
ressencodete)'ehenthi!,)f*.VH,(3.
Elle :t la propriété de dissoudre
les ceiiuies du foie. V! 2)4.
Conjectures sur le siège de sa pro-
duction. VII, 2t5. Sa résorption.
VII, 2 )6. Sa reaction quelquefois
différente dans les conduits bi-
liaires et dans la vésicule. VII, 2t6.
Injection dans le sang, ralen-
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTiQUE
tissemGntdupou)'<.V)),3)C.–
Expériences. VII, 2)7.–Acide.causes de ce phénomène.VU,2(7. 1.
Manière de tarecuMUir. XV.597. Hetiroe habituellement de
!avesieu)ebi)iai)'e.XV,597.–
Objections à l'emploi des anesthë-
siques. XV, 598. EUe est sécré-tée pendant les intervalles de ladigestion. XV, M8. Blondlotcroit que c'est un produit excré-
mentitiel. XV, MO. Expériencede Claude Bernard. XV, 60t.–Procédé opératoire qui permet de
suspendre et de rotaNir ittternati-vement le passage de la bile dans
l'intestin. XV, eoS.–SonrOiedans la digestion. XVII, 307, 310.
Son action sur les graisses.
XVtJ.309.
BtHAtRE(At'pAM<t,). Ses connexions
avec les conduits pancréatiques,
XV, 596. Disposition anatomi-
que chez les différents animaux.
XV.&97.
(CANAL) de vache. Hf, 42t VH,359.
(Fott!). Voy. Foie biliaire.(ORGANE). En disparaissant l'or-
gane urinaire se confond avec lui,!X,8'
–(SiÈMÈTMN). J, 95, )0' H, 4M;VII, 206, 2)5, 383, 3M; IX, n;XV, 596.- Elle n'est pas synchro-nique à la sécrétion du sucre, elle
semble être indépendante. t, 9~
Cette vue est appuyée par j'a-
natomie comparée. J, tOO. Suc-
cession des deux sécrétions chezles limaces. J, tOt. Les élé-
ments anatomiques sécréteurs sem-
bient distincts chez les articulés.t, 103. Les éléments auatomi-
quos sont confondus et mélan-
ges chez les mammifères, t, t05.-Dans le foie. 1, 508; Vt),2)5.
Est-e))e fournie par le sang del'artère hépatique ou celui de la
veine porte. Vtt, t93. Ex-périences. VII, 195. Ses rap-ports avec la formation du su-
cre. VII, 206. Expériences. VH,
383.–Chextcs tim.içoas.XV,f<M. Son importance dans le
travail de la digestion. XV, 599.
Opinion do HaOcr. XV, 599.
Expériences deSchwann. XV, 599.
Expériences de Biondtct. XV,600. Expérience de Tiedemann
et Gmelin. XV, 600.
BH.tA.mE (VÉstMLE). Voy. r~cM<e
M/MH'e.
BILIAIRES (CoNCMM~.Leur orifice
dans l'intestin. H, 184. Réac-
tion de la bile. vn, 216. Expé-rience de Tiedemann et Gmeiin.
X}, 65.
(FfSTUt-Es). Voy. fM<M/M ~t-~a't'ct.
(VEtKEs). Voy. fetne!
BtOt.OGtE. V!M, 189. Applica-tion des mstthëtnatiqufMt. VIII,2M. Expérimentale, ses princi-pes.X,)42;X!,503.Voy.M<'))o-
m~'tet&M~o~~ufs, Sciences Mo/o-
giques.
BtOPLASME. XVI. 02.BISCUIT DE GLUTEN. XJV. 425,
477.
BISTOURIS. XV, t8~
BLAtKVtLt.E. DéHnitioa de la vie
XVn~ t98.
BLASTEMES. X, t9 XVI, 186, 300;
XVII, 456.
BLASTODEBME. XY!,3)8.Yoy. Vé-
sicule A/<M/0~rmt~M.BLÉ. Voy. Nielle des blés.
BLÉS de momie. XVf, 7t, 390.
BLESSURE du cervelet. Rotation.
IV, 486.
BLEU UE PRUSSE. Ne colore pasen bleu les glandes stomacales.
VI, 38). Ne se produit pas dans
le sang. V!, 485. Le prussiaten'en fait pas dans l'estomac. VIJ,374.
BLONULOT. Pancréas, n, 348.
Fistules gastriques. XV, 551, 558XVII, 269. Sécrétion biiiaire.XV, 600.
BOCAL pour l'éthérisation des ani-
maux de petite taille. XV, t62.
BOKCK. Contraction musculaire. X,197.
DES OEUVRES DE CLAUDE BERNARD. i!9
BOERHAAVE XVII, M: 4~4.
BOEUFS. Conduits pancréatiques
surnuméraires. t)],42t;V!t. 358.
Sujets d'expériences. X!, ~55.
Pourquoi on ne les anesthosio f t
pas. X!), 47. Préhension et con-
tention. XV, t-ifi. t
BOISSON de )'immorta)ité. XI, 407.
BOtSSO~S ingérées, leur rapport ) i
avec le diabète. 440.–Est-ce
d'e))cs que vient toute l'eau chez t
les diabétiques, t, 442. Elles font
augmenter le liquide céphalo-ra- 1
chidien. IV, 102. Elles augmen- j 1
tent l'eau du sang. VI, 4M.
BOLAHMEriTAtRi; après )'im-
prégnation biliaire. II, 441. Ex-
périences.XV,!t54.
BONNET. XVII, 2;,4.
BORCEU. trritabi)it6 et sensibilité
générale. XVI, 244 XVII, 427.
BORELLI. Digestion. XV, 493; XV!
263.
BOTAKtQUE. Elle est distincte de
taphysiotogie. XVHt, )44.
BOUCHt-:(co))ute8 épithéliales de )a).
Il, 42. Voy. (~aH~K~ &Mcc<f~s,
Salive buccale.
BOUCLES, Moyen de contention.
XV, 146.
BOULIMIE. 44t
BOURGEONNEMENT, IX, ~0~
XVt.308.
BOURRELET embryonnaire des
hultres. XVII, 109.
BOUSSt~GAULT. Anatyses compa-
rées du biscuit de gluten et de
quelques aliments féculents. XIV,
477. Antagonisme chimique,
physique et mécanique entre les
animaux et les végétaux. XVJ, 135.
BOUTURAGE des plantes. XV!,
355.
BOUTURE.IX, 102.
BOt'LE. Fermentation des aliments.
XVII, 262.
BRACHtAUX (TnoNcs). Voy. Troncs
brachiaux.
BRANCHE MAXILLAIRE. Du tri-
jumeau. V, 17, 92, 98. Supé-
rieure, exclusivement sensitive.
V, 92. Son influence sur l'ol-
faction. V, 94. Sensibilité
speciate d'un filet qui en émane.
V, 95. )nff'ricure,sensitive''t
motrice.V,98.
iRANCHE OPMTHALMtOUE du
trijumeau.V,85.
tRAKCHES DE LA CROSSE DE
L AORTH, leur origine. XV, 24'
tRANCHtES des poissons, poisons
qui agissent sur elles. H), 294.
tRAND Thérapeutique réfrigé-rante. XIII, 4,,2.
IRICOLE. XV, 144.
!RODtE Influence du système ner-veux sur la chaleur animale, X)H,
203.
BROME. Détruit le curare. III, 261,
'!6'M3.
BROMURE DE POTASSIUM, ses
etTetsanesthesiques. tX, tR2.
BRONCIIES. tX, 196.
BROUARDEL. L'urée ettofoie.XtV,
4-i0.
BROUSSAIS. Sa médecine physiolo-
gique. Xl, 464, 48:t, 509; X)V, 40.
irritabitité. XVI, 248. Irrita-
tion nutritive et formative. XV!,
389. Voy. Medec!'<c physiologique.
BROWN. Sa doctrine. X, 80; XVH, l,
449.
BROWK (Robert). Noyau de la ce)-
lule. XVt, 184. Voy. ~OKt'M)fM<
Brownien.
BROWK-SEQUARD. Transfusion.
IX, 55. Ses expériences sur la
production artificielle d'accès épi-
leptiformes. XI, 22C. Expérien-
ces sur l'augmentation de la sen-
sibilité de la moelle après la
section. XI, 200. Influence de
l'asphyxie sur la caiorification.
XH,4'!t.
BRUITS RESt'!RATOtRES après
ligature de la trachée. VI, 509.
j BRUNNEM. Expériences sur le pan-
créas, elles sont sans valeur. tt,
2'!3. Glandes de la tunique du
duodénum. XV, 582.
BUDGE. Expériences sur les fibres
constitutives du muscte. XI, 49.
et WALLER. Expériences sur le
point d'émergence du grand sym-
TAULE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUEt~O
pathiqu<V,i':a;X),2&2,3~.t
Bt!FH)x Le corps simple vital, il
n'existe pas. XV),2M.
BUt.BAtMK(H.<KtKE).Y,MO.BULBE. t))f)uf'nce de sa section sur!
tacircutationartorieite.Expérience'
singutipn'.V[, 950.–Sa section
ponrsacrincrtesanimaux.XV,9'!2.'
BURETT)! pour le dosage du sucre.
XV, 489.
CACHËXtE Xt, M.
CAHAVERtQUES (SECTfoss) dans
leurs rapports avec la vivisection.
Vttf,t!
CADAVRE. L'nrfe moms &bondaute
dans)urin<* est. un signe non
(('abstinence, mais de dÉnutritiou.
Vfi. 7). Yuy. ~tu/o/M'e cadavéri-
~Mc, t'<a< co~Ht'tçue, P/tt'M«-
M<*M<f M<~M'A'<~M<M.
CAUtJCt')' est un des caractëresd')
)tvi('.XVJ,3i.
CAG~tARR M); LATOCR Théorie
organique.X\f,)60.
CAtLLETTE.X\tt,9.M.
CAtLLOrnU SANG. t, 200; XIV,
135. Sa couleur. VI,2'!X.
BLANC. Influence du grand sym-
patliique sur sa fonxatioti, danfi
(nMngdecheva). VI, 240. Sa
coagulation. VI, 453.
CALCttJM.Voy.C~<ot'ut'<eca~:Mm.
CALCOGLOnfUKE XVif, 534.
CALCOSPMËHtTES. XVII, &34.
CALCUL, son emploi dans l'étude
des phénomènes des êtres vivants.
V"I,M(i.
CALUBURCÈS.Appareil pour me-
surer les variations d'intensité des
mouvements vibratiles. X, 139.
CALOtUFMATtUN ANtMAU! Y),
f<) ;X!H, 9.– Théories anciennes.
I, 20!). tnftuence du grand sym
pathique. V, 492. Ses rapportsavec la vascularisation, après ta
section du grand sympathique. Y,b13, Ses foyers résidant dans
tous les tissus de l'organisme; eUc
est une faculté appartenant à tous
les tissus. VI, t35; XUt, ii)3.:
Influence du systema nerveux.
VUt, 295. Influence de, ras-1
phyxie.XH,4'n.)Msi'Mphyxi~
par l'oxyde de carbone. XX,t73.
influence de la contraction
niuscu!;<it'e. X)t, 4!?. Sc~
causes. XH),)).–ht(!uenceducurare. XUf,.5ï.–Se9 rapports
généraux avec la circuiation. XIH,
181, 2'J, 278. Elle parait mar-
cher de pair avec la circulation.
Xni,9.')!t.–Ses rapports avec
~'H)nert'atM)).X!j[),2(!]. Les
phénomènes sont do doux ordres,
création da chaleur et répartition
méthodique de la chaleur crceo.
X! 278. Sunindépendance
sinon sa prééminence sur la cir-
culation. XIII, 284.- V~MtnMt'/cw.
XH), 287. JnOueocc dn la sensi-
Mtite. XIII, 293. Provoquée par
dos actions rëSexas. XIII, 2i);<.
Los phénomène!) de catorification,
de même que ceux de réfrigération
renexc, peuvent être indépendants
do l'état des vaisiteaux. XIII, 2')'
Yoy. C/tu/eM)', yfmp~o<u)'<
CALORtPtCATtOK FOKCHO?(-
NE~LE. XIII, n5.
CENERALE. X!U, 193.
-6ï.ANDUfLAtME. XIII, n7.
CES GLANDES SALIVAIRES.
Xt!t,H5.
HËt'ATtQUE. XU), t89.
–LOCALE. X))!.M5.
MOttBtDE. XtH, 393.
–MUSCULAtRE. XIII, 141.
OttGAKtCUE. X!U, 395.RENALE. XUJ, tM.
CALOtUt'tCUtE (PMCUCTMS). XUt,
417.
(REGULATton) normale, XIII, 449.
(HtfAt<TtTM!<). Voy. ~~a''<t<!OM.
(TopoMMHns). XVUI, XO.
CALORIFIQUES (NEtt~s). Voy. ~M'/<
ef~ori/Keit.
(PHÉNOMÈNES). Ils seront MpUqué~
par le nerf sympathique. XH), 220.
CALOmMETRt):. XtX, 4M. Du
f6bricitant.X)U,4t8.
CALORIQUE. Ses sources. XV, 35.
CANAL AHMENTA!RE.Yoy. Co?!H/.
BtHAtKE. Voy. B~/att-f.
CMOt.EDOQUE. Voy. C/to/tMo~Mc.
DES ŒUVRES DE C~tJDË BERNARt). i2<
dos am'nts toxiques. XV. ~t).
APtLLAtRES LYMPMATtQUES.
XV, 320. M;
-SA?«.m?<S. Mouvemt'ntdu &a.n~.
iX,64.–Le sang en los traver-
sant, aprt-'iast.'ctio!) du syn) pa-
thique, conserve sa couteurver-
meille. XI, 34(!. –Communiquoxt-ils avec tes t\'mpnatiques?tX, i!)4
XV.t4.
:At'SULES SURRENALES )X, 84;
XV,294.
:ARBONATES ALCALINS dans
!a salive. U, )3t. Y en a-t-il
dans le sang. Vt,'H'Est-ce à
eux qu'est due la réaction atcattne
du sang, exp. VI, 412. Action sur
la coagulation du sang. VI, 4:)5,4;M.
O'AMMOKtAQUE. Rend atcatim!
i'urmc des chiens en digestion.
V![,M.–Produit des convutsions
par injection dans le sang. V)), :n.
38. Injections dans les veines.
XI, tOC. Ses effets comparés &
ceux des fièvres ërupth'es. XI, Kn.i.
Nature de semblables )6sions.
XI, 107. -Doivent être considérées
comme purement mécaniques. Xi.
107.
-DE SOUDE. Nuisible pour l'ana-
lyse du sang. Il rend le sang ruti-
tant, puis noir. VI, 3'!<i. Il ab-
sorbe l'acide carbonique et t'oxy-
gène du sang, et ne le rend ptus
sous l'influence de l'oxyde de car-
bone. \t, 3~8.– Soir influence sur
la coloration du sang. VI, 40t.
Son action sur la coagulation du
sang. V), Ma, 4M.
CARBONE. H ne peut être incorporé
directement par le protoplasma in-
cotore.XV!,2<0. –Son oxydation.
XVU.&Oft. Voy. 0.0/dN <fF carton'CA&BOKÉ (HYDROGÈNE). Yoy. ~)/-
dro~fn~ carboné.
CARBONIQUE (ActM). Action sur la
disparition du sucre dans le sang.
I, 241, 243. Son influence sur la
mort dans un milieu confine. )tt,
132. Sa présence dans te milieu
confiné. Uf, 134. ti n'est pa&
vénéneux. tU, 135. Son injec-
CANAL BKiESTtt Voy. O'nMftf..
EXCUËTEt'tt t)E LA GLANDE )C
SOUS MAXILLAIRE chez le
chien. XV, M.t.
tNTESTtNAL Voy. /H<t'!<!7:<
t'AROTtDtËK Voy. Pi!o<M.
RACHtMEN Voy. Rachidien.
THORAOQM: Voy. r/tOt'ac~Uf.
ERTEBRAL. Voy. ~'fe&<
[)E WHARTON XV, 540. U
est indépendant du canal do la C
sub!mgu:de. XV, MO.
CANAUCULES OSSEUX. Voy. 0, C
~eM~.
CANCER D" FOIE. Influence sur la
sMrettOitd! SU! f, tM.
DU PAKCMËAS. XV, 59~.
CANNE A SCCME. XtV, 142. Voy.
Sucre <<<' Ct~;M.CANTANt. Théorie dudiabf.tc. X)V,
446.
CANTHARtUKS. Leur action sur
l'appareil urinaire. XI, '!t).
CANULES de<! seringues. XV, 193.
CAPtU.AtRE (CtKCtrLATtos) Voy
C~'CM~a<tOM capillaire, Réseau ça-
pillaire.
(PHÉNOMÈNE). Que devient t'oxy-
gène. V), Ml.
(SYSTÈMR). XV, 313, M. LOM-
lisation de l'action de la nicotine.
lll, 3!h). t)csartcri:tUsatK)n. Vf,
?6. S~ constitution. X, 414.
Importance des o\p6riance5 qui
s'y pratiquent. XV, 322.
CAftLLAthES (VAMSEAtfx). !X,~3,
C3, (94; X),440, XV, 3)5, 919,320,333. Action de la nicotine. !tt,
39~. Présence des gaz. VI, 849.leurs nerfs ditatateurs et cons-
tricteurs. Vtt, 2'! 7. Ils sont de
deux ordres. X, 4t5; XI, 365, 36'
Ils sont contractiles. XI, 3'!3.
Leur structure. XI, 368. Leur di-
latation lente. XI, 372.- Leurim-
portance. XV, 308. C'est à leur
niveau que se passent tous les
phénomènes essentiels de la nu-
trition. XV, 309. Ils sont parexcellence les agents do l'absorp-tion. XV, 323. Ils portent sur
tes éléments des tissus l'action
TA!iLEAL!'HAHET:Q'EETANA[.n'iQ)Jf;;~2
tion dans le sang sous la peau. !)).
t3<i. Mcfë en certaines propor-
tions aux gaz respirables, il faitmourir les animaux, tiï, t36.
Mort par son influence. tH, t40.
Action topique, locale et goncratc.
H! 4t.–Son rôle dans l'asphyxie.
ttt,20~. expériences. fit, M8.
Son innuencc réunie à cette de
l'oxyde (le carbone. !)). 209.
Son action délétère. iH, 2)0.
!n0uonce do la température sur
son action sur le s«ng. Vt, 3M.
Se formo-t-i) dans les titsue. V!,
341. Hypothèse de sa productionpar combustion interstitielle pourexpliquer la formation. VI, 351.
Dans le sang. Vf, 354; tX, M, t8~
XV, «O. Sa tbrm~tion ttors des
vaisseaux. Vt, 354. Insuffisance
des procédés de dosage par dépla-
cement ou par le vide. VJ, 3.')~.
!n0ucnce de la température sur l'ap-
pUcation do ces procèdes. Vf, 35(i.–
Expertences. t, 356. Sa forma-
tion après l'extraction du sang. Mo-
difications apportées par la section
du sympathique, au cou. Hxperien-
ces sur d<M c))e<aux. L'oxygèue dis-
paratt.Vt, 356. Dans le sang de-
placé par l'air. VI, 3.'<(!. L'oxyde
de carbone en dégage, avec
augmentation de volume. Vf, 3'!C.
Absorbe par 10 carbonate de
soude. VI, 378. Mélangé avec
-I!ng~~ln dQ ~b0n0. YI. ·"S!I(I.t'o~de de Mt-bone. VL 3!!f!. ta
Sa quantité en rapport avec fa
couleur du sang. VI, 396. Lesmuscles et les tissus à i'au' en
donnent autant qu'ils prennent
d'oxygène. U n'en est pas de même
pour le sang. Vf, 403. Ne rend
pas le sang veineux toxique. VI,
509. Le sang sucré qui est sou-
mis à son action donne ensuite
une décoction opaline. V!t, M.
Injections artérielles et veineuses
dans fo sang. VU, 4CS; XV,
266. Son expulsion. IX, ?.
H n'est pas un agent toxique pro-prement dit. IX, t89. Son rôle
dans la décomposition de t'hydrate
de chloral. Xtt, 303. Son action
dans l'asphyxie par les vapeurs de
charbon. Xt), 36~–Son absorp-
tion par la surface cutan~t* et sous-
cutan6e.Xt!,3(!8;XV,363.–
Expériences oùc8 gai!stabMt'bé
par un seul poumon. X)), 370.–
Uoutcurdusan~<l&nf()'«mpoison-
nemont peu' cet agent. X«, 376.
Exp6rtencescomparattvt's.X)t,37(i.
Formé par l'oxyde do carbone
dans t'ëconomie. XII, 459. Expiro
dans la fièvre. XU), 420. Dans
!es urines pendant !<* nÈvrc. Xt)!,
<!t2. Son rôle dans les phéno-
mènes do la vie. XV!t, )t. Sa
réduction par la ch)oropby)tf dans
)asp)antes.XVn,nt.–t)6com-
posé par les parties vertes des
végétaux, il paratt f'tro amené à
l'état de dissolution par les t'acines.
XVitf,23!E!.p<rteacfs.XVtf,2;M.
–ObMrvationede M. Morget. XVII,
2M.–Saproduction.XV!),M)t.Voy.
Asphyxie ~ar l'acide carbonique,
CARBOMtQUE (A~HYtK). Voy, As-
p/t~t< car&ont~Me.
CAROtA. Explications rationnellesdes effets produits par la constric-
tion. XV, 553.
CARDIAQUE (CoN-rnACTtot)). Voy.
Cctt~'ac~on.
–(tMPULMOK). Voy. /nt~)MMo?!.
(PRESSION). Voy. PffMtOTt.
(PULSATION). Voy. Pulsation.
CAttBiAQUKS (NBM$). Voy. JV~
cardto~MM.
CAKOMMÈTRE. Ht, 372; V). 166.
ExpëriencM pour ntosurer la
sensibilité. IV, 268 à 2M. Sa
comparaison avec t'Mmodynamo-
ntètre. Vt, )6C. tndtMtion!! qu'il
fournit. Xt,t69.
CARMtOMKTBtQUE (PBESstON)
Aprèt empoisonnement par le
curare. VH, 312, Siï.
CARNtVORES. XJV, 90; XV, &03.
Urines de la digestion. VII, 10.
CAROTIDE. Voy. ~W~-e CM'o/
CARTILAGE HYALIN. X, 33.
CARTtLAGtNEUX (T<ssu). IX, U9.
CASÉINE. VI, 4M; VU. M9;~VJJ,
DES ŒUVRES DE CLAUDE BER?)ARf). t~t
277. Action du suc gastrique.
XV", Ma. –Sa digestion. VU,
404;XVf),2!)7.
CASEtKE t'Kt'TOKE. XVti, M8.
CATALYSE. XI, M, 42. Travaux
de Berzélius. XVL 158.
CATALYTtQMH f.FoME). \'tH, 326.
CATALYTIQUES (AcTMNs). XVt,
<58.
(PHÉMMKMs). X, 8.4 XI, 46.
Dans te sang. <X,48.
8'1 Xi, 4(;.
CATARACTE diabétique. XIV, 412.
CATMETEMSME DU COEUB XV,
9~, 277. Du cœur droit. t, 126.
!)u cœur droit dans )<! but de
déterminer la tempëratuM du sang
veineux. XtU, 77. Du cœur gau-
che, difficultés opératoires. XtH,
80.
DES GROS VAISSEAUX. XV, 280.
M LA VEINE CAVE inférieure.
XHt,U<
CAUSALITÉ (Loi DE). XVt, 340.
CAUSE. Ses relations avec l'effet.
JV, 17. –I) ne faut pas confondre
les causes avec les conditions. IX,
228. De tout temps on a cherché
à y remonter. XI, 479. --Sa notion.
XVH, :?' Le lien qui la rat-
tache a l'effet n'est pas caractérise
par la succession, mais bien parla réciprocité. XVII, 398.
MTEBMtNAKTE. VU!, tM.
Le déterminisme est la cause pro-
chaine ou déterminante des phé-
nomènes. VIII, 383.
PBEMtÈRE. VIII, 325; XV, 54;
XVII, 397; XVtH, 53. -Il faut en
abandonner ta recherche qui n'est
pas de notre domaine et qui nous
échappe. IX, 221; XI, 406, 448,
488, 530, 562 XVIII, 183, 300.
CAUSES FtNALES. t, t64. Elles
se confondent dans la Muse pre-
mière, et n'ont pas d'existencedistincts. XVI, 336.
tMMBMATES. Voy. CaM'M ïe-
condes.
DES MALADIES. Elles résident
dans les éléments anatomiques.
XI, 577.
MATÉRIELLES. XV!, 56.
CAUSES MORALES. Leur inOuence
sur)adin'tion.X,:i8).
MOMBtDES. tonuenres diverses
sur'es individu". X). 23.–Ana-
logie d'action avec tes poisons.Xt,
108, )22.iï9.–Leurs caractère-,
essentiels. XI. )<)!).–Leur action
physioiogique.Xt.i09.
DES PHENOMENES XI, 488,
5'xv,5t;x\u,:tH'xv)n,
55. La science a pour objet dp
les découvrir, pour les modifier et
ies maîtriser.XVHt,t!)!j.
DES PME?<OMENES BIOLOGI-
QCES. Reproches adresses aux
mcdecins&t'egarddeieurisno-
rance, et mal fondes. Xt,t0!).
t'HVS!(:0 CHtMtQt'ES XV, x)\
SECONOES, tMMEDtATËS ou
t'ROCHAtNES. V)H. t.0..183
x\t, ;)6. x\n, M~; xvm, M.
La méthode expérimentale sf pro-
pose de remonter à la cause pro-
chaine. XI, 478. Le détermi-nisme a pour but de les trouver.
XVHt,~8,383.
CAt!TEfUSATtOK. Manifestation d)-
la sensibilité, récurrente. IV, 89.
CAVES (\'E<!<Es). Voy. t'e'MM.
CAViTE abdominale. Voy. Abdomi-
M/e (cavité) du Cœur. Voy.
CfBKf. (iranienne. Voy. C''f<-
nienne. Digestive. Voy. D«/M-<tt'e. Médiastine. Voy. Médias-
tine. Séreuse. Voy. ~cM<°.
CÉCtTÉ consécutive à la section du
trijumeau. V, 61. Produite par
une tumeur ilbreuse à la base du
crâne.V,234.
CELHJLAtRE (T)ss<j). tX, ttâ.
Sous-cutané, Injection de sucre.
t, SH, 221, 'M8. (Fibres du)
provenant d'un morceau de vian-
de crue qui avait été digéré dans
le suc intestinal mixte du chien.
H, 445. Sous-cutané, l'hydro-
gène sulfuré, même absorbé, est
inoffensif. IX, 85. Muqueux.
IX, 120. L'albumine injectée se
retrouve dans l'excrétion urinaire.
IX, t97.-GraMse.tX, 2)7.
Contractile. X, 153. Sous-ca-
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQIJEi24
<6!) tX.M.–AjeuH et en digestion.
!,nO,n].–Di'K)utM)Mr)tbi)n.
Y)t.9)4.t.em'{)isM)utiond!tn<t
la H~'rejauuo et l'ictère matin. VU,
3)R. Matière gtycngÈuc. Xf, 330.
CELM'~ES CANHUOKKAtttES.
X,Mt).
DES GLANDES, 370. S~))-
vaires. Il, ?. De la parotide.
n,nr..
GLYCOGHXES de ta pMU. XtV.
4M.
H~TCOGEM~UES ~aum re.ic-
tifs. XVH. C9. Dans le placenta
du lapin. XV), 234.
Gt.YCOGEMKSt~UES. X\~t.)9.
Ot! GKANMSYMPATH)Q~Edansi
la moelle épinière. X, 3<&.
MEt'ATtQUES. Voy. Cf~M/M f/u
foie.
tH!MATtt!BE VERTE !X, <)5.
DK LA MOKLLK ÉftMtHUK X,
3M;Xt,2.5.
MOTmCf;S. IX, n X, 9M, :!M,
8)0. –Et cellules MO-iitives, )<'urs
commis~uMf! dans ta nw)!e épi-
Dtëre. X, :i) ).
nE MO~VKMENT dans la mo''i)t!
i''f)tni<[email protected],:)t«.
MUSCtJLAtRES. X, M, !65.
KEKVKtîSES. X, 28, 245, 30?;
XVnt, '2?9. Ranhidiennos. )V.
)M; XVtft, 9n. Bipohtrcf!.
n', tM: fx, 17 x, 307. Apo-
taires. !V. )M: X, !)()?. Mu)tt-
polaires. IV, t~ X, M, MT, 308.
Périphériques. tV,M't)'' la
moelle épinière. X, 3M. Ot-if!i-
Bet des cerfs. Xt, 255. Elles
sont & demi coagulées par le chto-
roforme. X!f, t53.
M L'OEUF. XVIII, <93.
–OMAKtQUKS. Étude de leurs
coaditiona de développement. ),
252. Leur développement dans
des liquides albuminoides sucrés.
254. Spéciales, teur g~ndra-
tton.2M.
OVAtttQUES. !X, <02. 107.
Ft.ASMATtQUES. !X, 120.
SECRËTOtKES. IX, ~3. De
gtycogène.IX,
tanp, absorption. X)t. 60. Tra-
vaux dt'Mirhc). XV), tM.
CELH'ms tX. <M; X, 18; XV,304;
X\'f,)'): XV)). tM. -Loursc)6-!
m«nt<X.9t.–Matadtosquir~suttont do )eur dëvetoppement t
pat!)o)ogi()u'?. XI 44. Leur ori
gmc.Xf.47; Xt(,t87.–0nt-)-
oUcstoujourt une ce))u)p pour point
de départ ? Pt'uvpnt-t'Ucs se pt'o-
tiuirR quelquefois ''pontanemeut.
]X,4'Leur mot constitue ta)·mort de l'organisme. XV, 307.
Ello est le dernier élément mor-
p)h))o~ique des êtres vivants. XVJ,
)M. -Etteviontduprotophsmit.
XV), 18i. Lo protoplasma est ta 4
substance v~'autt) anterieuM h la
coi)u)e.XV), )8' –Lnproto-
phtsma est le corps vivant de )ft~''f'Outc dans it's dcot l'Agnes. XVf,
)'M.–Lt'pn')t')ptMmaf'st!'a~ent–
df* ses manifestations. X\ )98.
Division';ndog<nt'.XVt,:)<)2.
S~ ~cn~sf par formation libre.
\Yt, 302. Sa genèse par scission
simple. XVI, M9. Par division.
XV),3M,MC. –t-:ne!iad6p)MC
pourveniraucontactdof'ftir.XVtf.
179. L'air va an-devant d'etta.
X\'n,n!).–Sonrô)(-.XY)!,M2.
EU<i8ont)esiè);od(!i!tvio,et!
de toutes les propriétés vitales.
XVt)!. 2M. 2;M. Leur force 6Yo-
)utiv< XVtH, 210. Voy. ~~tt't~
cellulaire, P<t)t<to~<'e«M<atre. Es.
;~t'M ce</M/at''M, Formation M/tu-
~ttre. tt~Mt'de ceMM/n~'f, ~M/<fp<t-
cation cellulaire, PatAo/O~ M//M- j
laire, l'laque ee~M~StW, Pc~yMOt'-
p~Mmp cellulaire, ?'A~<n'M cellu-
/a<rf, Type cellulaire, Vie M~/M-
<a!M.
OH BLASTOMERMH. XV), 3)8.
CO?<TRACTtLt!S. X. )M.
CVUNKRtQUES X, 35.
–BMBRyO<j!ÈKB8.XVf,3tt.
–EMBRyOt'LASMAT'QUM. IX,i-)M. j–
~PtTnBtJAt.eS. IX, 69. De la
bouche. 42.
-DU FOIE OU HEPATIQUES.
RES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. )2S
CMLLULES t)R S);KSiBtL!TK X,
')4,3H.
tm SHNTtM!T dans la mootte
cpinicrc.X.SX).
SK?<StTtVKS. IX, f!. Et cei-
luh's motrices, tours commissure-i
<u<s la moe)!ccpit)iero. X, 3t).
H<' la moelle epinicre, action e~oc-
tiv du ch)ort'form< \)t, )H.
St'ERMATt~UKS )X, K)7.
VAStt-FttHMATRtCES. \V, 32t.
VEGËTAt.ES. Cuntooaat des
~minM de fÉcuiM. Il, 39).
Prises dans le duodénum. Il, M2.
D'amidon dans !'estoma<' du
chien. U, 4&8. –Protoptasma.XV). 1.
)'K). OdorophyUc. X.V!, :M().
VtBRATtms. X. :). MMs.
X, )25. C'est on (;))<'s que r~
sK)(; te mouvement C[h!ure ou
vihratile. X, fa. Meuaies en
membranes. X, )2'
VtTALES, tRurs produits de sc-
crétiou sont les tissus et les li-
<)uides do l'organisme. IX, 122.
CELLULE OEtJt'. XV), 385.
Ct:LHJLOSH. XVt, t3i XVU, 3~9.
CMLSE.Ses idccssur t'expënmentu-
tiM. Xt, 545.
CENTRES M'ACTMM RËF~EXE
X, 3M, 3M XIII, MX.
–FOKCTtO~ELS. XVIII, 418,
424.MSTtKCTtFS. XVIII, 4t8, M4.
INTELLECTUELS. XVIII, 424.
ME LA MOELLE Kt'tNtÈRE,
teutj-es divers. tV, 316, 39a.
('.ircu~toifM. IV, 382.
SERVEUX. )X, 37. Transmis-
sion de la sensibilité. )V,:)5t. –L6-
siom déterminant des mouvements
de progrestion <'n avant et en ar-
rière. IV, 49(). Dans leur circula-
tion, le liquide cepbaio-raehidien
joue le rôle de régulateur. tV, Mt.1.
–inftueact' de leur paralysie sur la
coloration du sang. V!, '!(?.
Action des anesthésiques. X.tl,
102. C'est de là que part i'n-
[K'fithésie. X)!, t) t. Sousten)' in-
fluence t'anesthesie se généralise
du centre à la périphérie. XII, t(M.
–!jf'Hrin!')u~!)ff'<).trts!'anf'sir)''sif\
\U,)2C. -Orixiue d<')'an<'st!!C-
Mi<n,t4).–i-ept)a)o-rach)di<u.
action directe df* ht morphiof.Xt),
2t3.–Lf'urpif)Ui'pr«Y"<juf'ta
*)Ccretion'iY.ti)'f'.XY,t.
CEKTtH:S OtGAKtQUES \\UI.
4)8, )24.
!H;St'!t<AT()tRES Voy. ~Mp:f-a-
~jt~sjcetïtï'f's:.
CEDtAUQt E ..Ttto~.); Vuy. rrottc.
CEPMALO KACtttUtE~ iL~cmE;
tV,-49j;Y)),Kn.–Pt-t"iMne<jdu u
sucre. t. )?), at't: Vt, 30' Kf-
ft)tsttcrécùu)('mf'n!.)V,j).–
L.t boisson le fait augmenter.
t'abstincnce le fait diminuer. !V.
102. U est moins a)<i)in ft privé
de sucre apt'Ès)ii mort, après
ouvct'ture<)M )a moo!)e. <V. ~!)A.
Son siège. IV, 'i!K< SRacar.H'tcres
physiques et chimiques. IV. t9(!.
Ptx'nojnt'ne-s cousëcunfs :t son
ablation. tV, 49' Sou r<He pro-
tecteur. tV, t)(M). Son rfMe ré«u-
lateur de la circulation dans les
centres ner't'eux.tV,M).–FMi-
lité avec laquelle il so reproduit.IV,o(M.– Ë\perieuces de liagen-
die. VU). :KO. Hechercho du
sucre..XtY. M.').
CERCLE DE LA GRANDE CmCt;
LAHUN. XV, 244.
CERCOMONAI)ES. X, tM.
CÉRÉBELLEUX t.PMCu!<cuLEa\ Voy,Pédoncules.
CEfmmmAL (Ttssu). Voy. Tissu cé-
r<'&r'a/.
CEMEBMAt,E (AcTtoK). EHc est sup-
prijmeepartiHuorphiuc.XH~i'M!.
Elle est mottifiee par la morphine.
XH.2t5.
CËREBKALES (t'oMTtoxsj. Elles
périssent par la suspeusion de !a
circulation du sang, et sont exal-
tees par son exa~erattou. XVIII,
3.
CEREBRAUX. (LoBEs). Voy. Lobes
<j''f6r<!M.E.
CEUEBRtKE. X\H, 537.
CEUEBBO-SPt~AL (~AxK). Siège des
convulsions. tV, 37~. i) est d'or-
TARLE ALPHABËT!QUE ET ANALYTtQUEf2('
Son tissu présente la tempéra-ture la plus élevée de tous lesorganes. XVIII, 3&().–Lësioas
produisant des paralysies locales.
XVUt, :)M.Voy. ~c~'M~c~-
brale, Anémie, Ctt'CM~~M/t co'e-
A?-a/< ~A~cA-f~fa/f, //M!M~A~M
c~t~MM', ~y~mj~, /.o~ céré-
~'nM9-, ~<o/o?M c~a/
ce~<t'07!, ~Ai/ma<Mmc e~'eAra~,
SfïMy t'eMM~-c <'<<CEttVEDET. Lésions de ses pédon-cu)e! Mouvements do rotation.
tV.S6.
CERVtCAL (FMT). Vcy. F:7<~ cer-
f!'M/.
(GAXeno'!). Voy. C<My~'Mc<'t'u:'e~
(SECOND NERF). Son anatomie. tV,64.
CIIAINE électrique. IV, 150.
CXAttt d'animaux empoisonnés, sou
innocuité. !< :t8).– Muscu-
laire, action du suc gastrique. H402.
CHAtKE nE MÉDECINE du Col-
!&ge de France. Voy. Collége de
fraKC'
CMAtKË UEPHYStOLOG)E GËKÉ
HALE créée à la Faculté des
sciences. XVf, 2. Transférée au
MMéum.XVf.3.
CMALEUM. Son action sur l'orga-nisme. )V, 51. Son action sur
les no'ts et les muscles, elle ar-
rête Cirritabifité muacutaire. IV,
2!!); Xft!, S8;). Résistance des
venins.Xf, (M.–Sonactionsurtes
êtres vivants. XI, 492; XHt, 335,401. Anesthésie par la chaleur.
XII, 91. Elle réalise t'anesthésie
par iaSuence. XII, t3' Son in-
fluence sur l'asphyxie par les va-
peurs de charbon. XII, 363.
ttxpérionces comparatives. X!f,3SS. Mort par l'arrêt du cmur.
X!t,:<C6;X)H,356:XV,9'
Condition M<entie))a il la manifes-
tation des phénomènes de la vie.
X]tJ, vt; XVII, 12. Ses effets.
XIII, 337. Cause et mécanisme
de la résistance. XHJ, 340.
dinairete centra do production
des actions re.uexes.X, 343.
CEttEBttO-SPt~AL ~SysTMME). XU).
20.'<)o)aj<enouiUe.))t,339.
–compare au système dn grand
sympathique.)V,297,3)7;X,42t;
Xt.)S8.–So)) excitation pro-duit des mouvf'montsi[)ternes.!V,
3C7.–Ses nerfs produisent la dila-
tation des vaisseaux. X, M!). Voy.
A'fr/S C<)'<'&)'0-t<'fMJ, Nerfs mo-
<<M)'t <r<'A)'o-spt))<!t<a;, Nerfs ~<tt-
sitifs M)'<<&ro-);f!aKj'.
CEKTtT~Rt! VIII, 239; XV, &);
XVIII, 78.
CEKVEAU. Etfets de la lésion de
ses diverses p<'rttes.t\)0.–
Blessures produisant dos mouve-
monts do progression en avant.
IV, 4')0. Face inMnouM. V, 9M;
XVtt),3'!&. Le ganglion sympa-
thique sons-ma\iUairo en dépend
pnurMnut)'itiou.X,t'Son
influence paralysante sur les
action!) réflexes. X, !!ot. État
d'un animal qui en est privé. X,~70. Sa suppression n'empêche
pas la digestion de s'accomptir.
XII, 28:t. Son innuonce sur la
utOf'He dans Fanesthosie, oxp6-
rieuees.Xn, )(?.–)) est frappé
d'anémie pondant te sommeil. XII,
m. Expériences en appa-rence contradictoires. XH, ttT.
Discussion. XII, 118. Hypëré-mie et anémie <)an'i l'anesthésie.
XU, i2!. Sang veineux. XV,
2.')8. Action du coeur. XVIII,355. Soiidarite d'actions r6ci-
proques avec le cœur. XVM, 300.
Le sang lui est apporté par los
artères rarotidM et vertëbraies.
XV)H, ;!6). –Ses fonctions. XytH,
3(i' Son développement ana-
tomique. XVH!, 3'!3. Sa forme.
XVIII, :m. Sa texture. XVIII,:6. Son perff'ctionnement or-
ganique. XVtU..)?(!. Ses condi-
tions organiques ot physico-chi-
miques d'activité. XVIII, 877.
Action du sang. XVIII, 377. Ac-
tion du chloroforme. XVIII, 385.
DES ŒUVRES DE CLAUDE BMKAR:). i27
Sèche, son action. XU), 3.')().
Humide, son action. XUi, 350.
Hesuitats différents do son appli-
cation sur la surface pulmonaireou sur fa surface cutanée. XIII,
35t. Ce dernier procédé est le
ptus nuisible. XUt, 355. Hcsu)-
tats des autopsies des animaux en
expérience. XIII, 35< Rigidité
cadavérique. XIII, 35< 370. Elle
est un agent toxique et son action
toxique porte sur l'élément orga-
nique. X)U, 30, 387. Influence
sur les muscles. XIII, MA. Est
uo excitant direct du système
musculaire de la vie organique.
XIII, !)(! Limite de cette action
excitante. XIII, 367. Elle devient
alors toxique. XIII, :!H9. lu-
ûuenco sur les cils et les mouve-
ments vihratiles. XU), -?!. Sou
innuence sur les éléments du
sang. XIII, ai2. Action du
sang. XIII, 373. Son action
conune agent toxique sur le sys-
tème nerveux. XIII, :!t!). Dit'n-
cuttés de cette étude. XUt. 381
Procède expérimentai. XU!, M?.
Application a cette étude de la
méthode consacrée & i'étude du
curare. XU), 389. Le nerf mo-teur lui résiste plus que le
nerf sensitif. XIII, 385. Elle
tue en attaquant un seul des élé-
ments essentiels de l'organisme,le muscle. X!t), 38H. Ëtude de
queiques-uaes des formes de son
utilisation par ['organisme. X)U,
-?. tnCuence sur les phéno-
mènes de développement. XU!,
401. Influence sur t'embryon.
XU), 402. Influence sur t'oeuf
de ver à soie. XIII, 403. Dan-
gers qui résultent directement de
son excès. XU), 42' Expérien-ces sur son innuonce dans la vie
latente. XVI, 15, Son innuence
sur la vie engourdie. XVI, )M.
Elle peut amener l'engourdisse-
ment. XVI, 104. Voy. Coup de c/ta-
~eMt', î'e)K/)~;a<Mt'e.
CHALEUR ANIMALE. IX, 59 X),
2i5;xn[,9;xv),t~:xv)i[.))(;.
2)3,388. Augmente les mouve-
ments respiratoires. ).t!)t,)9'
tnnuencesur)asoc)'etiondusucre.
j).!9C.–S Sa distribution dans)'or-
ganisme. f, 20!). Ses effets sur la
gtycogcnie.t.37).–SoninOucnce
sur la contractilité musculaire. IV,
209. Son influence sur les mou-
vements du cœur. )V.3K3:V.;()<).
–Kffotsdugrand sympathique.V,)5i;VI,!36;X),375.–Ënemo-
difie les conditions de mouvement
du sang. V, 3')7. H.st-e))p ix causa
première de la fréquence phis
grande des mouvements du cœur.
V,3m.–Agit-e)[onur)a coeur
par l'intermédiaire du système
nerveux. V, 399.–Expériences.
V,399.–E)te!tunc action locale
etspcci0fjue.s)irierœur,()uide-termiuo l'accélération de son acti-
vité. V, 401. Elle se produitdans les tissus.Vt, 135.–EHoest
répartie par le sang. Vf, 13~
Ses rapports avec le pouls. VI,22Ï,225.-ËUo se produit partout;elle se fait dans tous les organes.
Vt,225;XV.'i83.-EiTetdetagat-
vanisation du grand sympathique.
Vi, 23t. Influence de la chaleur
produite par section du sympa-
thique sur la coagulation du sang.
V[, 4n, 430. Elle correspond à
des phénomènes chimiques de
combustion ou do fermentation. IX,
9~. Elle a ses sources dans les
fermentations et les combustions
respiratoires qui se passent danste sang et les tissus. tX, 191.Elle est indispensable pour eutre-
tenir les mutations chimiques
vitales. IX, 211. Son influence
sur tes mouvements vibratiles. X,
145. Ses effets sur la fibre mus-
culaire. X, 189. Quantité dé-
truite dans la contraction muscu-
laire. X, 227. Elle augmente par
suite de la section do diverses
branches du grand sympathique.
XI, 20, 2~9; XHt, 130, 207.
Envisagée habituellement comme
TA!)LE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE)28
)('r~u)tKtd'un'*<'omh'Mtio[).X).)
~)!('.s)t)t('-t-<'))c d'une simp!
nxydatKtndf's etemontsdcnos!
tissus? Xt,'3~Produite ~'t~
;t)~«t'hce par )M modifications!
physi<)uf'sfjuis'op&r<'ntauseiu~
d~reconomic. XI, 2'!(!Pro-
duite par le frottement qui r('
su)tndf)'a<'<'c)crationd(*)act)'cu-!
)!ttio)t.Xt.)!SH.t rapports~
:)\'C('rftSphyxte.Xtt,4C8.–K\pt:-i
)'if)icos.X)I,46').–Ses sources
X)).4%Phn d'étude. XiH.
).').–Hypothf'MSt'itatMtM.X))),
18. Hypoth~aes chimiques. Xm,
18. Hypot))6s<) des Mtro-méca-
oiciena. X)! (9. TMvaux <!e
t~Yohier. xm, 2) XV, 460.
t'rovicnt-eUc d'uno combustion j
directe. XIII, 26. Ohjectiona
physiologiquos. XfU, M. Cou- t
ditif)ntdcsf'xp<!rit'n<'t!8pt)y!(ioto-
Sifjuns!tentreprcndt'p.X!t!,5<
Hmpiot das i)nf'~th6si<)ue~. XHf,
.')' tncouv6nt<'u(8 des ancsthé-
.i<)uf:s dMM sot) ~tude. XHt, (!
intitienco df'!< nerfs dttatataurs.
\)U, <!).– Son Étude par lo
chloroforme, Xf![, <<Kmptoi
dn l'opium pour son 6tude, XIII,
(}- –H6)f'ducur!trodan<;)H!t
c\pa)'icnces. XU), <)M, 88. Appa-
rcihdnstint'i'i~ttttnasurer.X.Ut,
<RMo du poumon. XIII, 08.
Sa topographie, faits acquis.
Xnt, )23. Ses foyers. XIII, )2A.
)n<!uenCo rcguitttrice du sys-
tMMn8rfeux.XfU,tM,)M, )!)!),
'*?). –Le sang en est-il une
source. XU), )3a. Rôle des 6)6-
monts organiques des tissus. XIII,
~n. tn~uonce de l'activité des
nr~"ea.XU!,)3i).)ana)cs
organos en fonction. XIII, t!)9.
Son sources dans les organes.
Xt)),)3!).–HO)edesmuM)cs
daus sa production. X)H,t40.–
Produite pal' la contt'action du
muscto. XIU, H8. Sa produc-
tion dans le nerf. X)U, t6:<.
Ln tissu glandulairo en est une
source constante. XIII, 183.
Mucnca dM phénomènes circu-
!stoi!-es.X!?M.–f;H)diee.-m
pointdcvucdumUieuiutfricnr.
Xff!,MS.–Son6qu[va)<'ntme-
<'a<iiq))e.XUf,M8.–Sa produc-lion par nu vioi~~rit. xiii,tion parun exercice vinh'nt.Xtf),
450.f'.)irnination(ie'«n)exces
par t'organisme. Xm, ;5(). E))e
n'a pas son foyer dans le pou-mou. XV, 483.E))e est dévc-
toppee par !e travai) muscutaire.XY, 483. Dans la vie cons-
tante. XVI, UC. --Sa produc-tion dans la respiration. XVII,2)4. Action de l'opium. XVi)),
2)6. )';Uc est <a rMuttantf! du
tMMji)org.ini<)ne.XV;U.;M!).–Elle est le principe de l'activité.
XYtU, 390. Y'oy. C<~or!ca<ton,
7'<'w~~a<Mr(' cn!MO/?.
CHAUSUR H'EKTMET(E~ et cha-
leur dynamique. Xf!f, 400.
FËBtUL)!. Sou ~tuds pandanth's
périodes successives do i'accè.~ de
fièvre. XIII, 408. EUo domine
tous les autres symptômes. XIII,
408. Sa Murce.'X))!. 49). Ses
effets. XIII, 42~, 44(i. Apptica-tionsthërttpeutiqtic'!}. XIII, 447.
Nature des comtuMtions qui eu
sont ta source. XIII. 435.
ME L'OREILLE. Sa productionsur placo pt)' l'action du sym-
p&thiquo après la ligature des
veines .V, 508, 509. Par gal-vanisation directe, après section
uu Bympathtque. V. niX.
Action de la chiorofoMusation,
après section du grand sympa-
thique au cou. V, f)t2.
DES ORGANES. VI, 40.
ORGAKtQUE. Son origine. XIII,39'
DU SANG. V), 49, 140. Dans
te foie et dans les parties
du corps, t, 306, 2)6. Par sec-
tion du sympathique, chez le che-
val. VI, 417. Peut-ette rester
fixe chez les animaux à sang chaud.
IX, 44. Dans tes veines, o))e no
dépend pas toujours des phéno-mènes d'oxydation dans les tissus
MSŒUVHESUE CLAUDE t)Et!)U). )N
CL.UJM: BEKXAM. XtX.
qn'iit)-:t\er-.f't,2'!<t.–DRns!H
C(t'U)'.X))).')!
C!:A'i!R!S<'h;!udf'setchambr'
hnnud''s.0.
CUAM<')GX<t'S'S\t'ncncu\.Xf.3!
<;tiAttBUJt .n.ttadie~nesRpropasc
pas dt;)a!i)'a au fœtus. \\J), L
.).
CHAftBf~'A.~t.MAt.pnurt'ntcvcr
!t'sutatit'rf".c<)hn'ant.f's''t<'rKani-
fjucs dans )csii(juidt"i animaux
~uit'cotf'ntif'itt du sucre. )..M-
t'r(:c)pi)''te''imattères!ttbumi-
noid<"t. Sun''mp~M pour t;t re-
cherche du fuct'e. <,& )i!'e
j))'t'rij]iif!j)a!-ia).;ut!HtH('.Yt,')'!4;
\<i.)3. \()y.PoMf/<dfc/ttt'-
/n.
(.:H.mBONYË<:KTA)L.Sacon)))U'
tif'n futnmc viciant t'air. Xtt.
:t.)a/~)o'«'ctar&o?:.
Ct<A'r.Sf'<t'iibi)it<rccu!Tcnto.){).
--Soumis au <'h)orf)t'oi'me,Xt),
.Mauit'rt'doh'MtStr.XV,
«?. Atauicrfdeif mu'ietcr.
t0!).Contention. X\t~8.
CHACK. Son innucncH sur la coftgu-
).thi)itcdusanK.Y'tto.
CUAtJVKS-SOC'tUS. Moyea de tes
n)aintt*nH'.X\,)t).
CHAUX. \oy.S!<</a~f<'<'c/taua;.
CU~i~iLUKS. GtyfOKf'tc. XVH, tt.').
CHM~'OT. Oxyde df carbone, XU,
:t8t),4~.
CMESKmEX. Putréfaction des a!
mf'nts.XVU,'i!Gt.
CHEVAL. r'o'K'.t. nt. Sujet
d'Hxpcripnces. Xt, 2.'), 55. XV,
~Comment on ['anesth(';sio.
Xit, 4' Opérations pmtiqueoa
sur tf choyât ~n'a'tt. XV,C.–
P<'<'hen'i!onetcontM)tioa.XV,t4'
CHEVMHAU. Moyon de to mamto-
nir.X\,n).
Cxm'KKCL. ncchcrches sur les
cor))SS)'a!i,XV,21.–Dt''finitton.
du fait. XV, -H. Dessicca.tioa
d)'sttMus.X\'f,97.CmEX.Panct'M)s.U,t92.–ne,
b<'rg<'rsur h'quf't on a pratiquer
une tistu)'; pancréatique. H,f'n.
Circon-'tanccs particulières. H,i
'M". Foi~)),4)2.–V<-inc<.
))i)if'))«'s.t)!ii:t.–S)'))sihi[i<c
n''f)n'r<-nt<)V.M! Sci~ihititp
\'a!'taht~sutva!tt.<!ivt'scla~ph\
.St.)i<Ki.)!i.n.9':n;V)!()!), :t0.
:!)S.' ).isat')'')av(.')HCp~rtf'.
\U.t'):).– )).ha-).?t. ï.
Httra~<\ifrf'ssf'fft'r~);t ti"
pt'rt'.X),). Sujets d'f'\n'
rit'n<-<L.)'Y.)~Sunnns
:m<')tto)'<)(ornn.(.t)m'i
[ic\ia!i(h',mtt"p't'an;tt\<'<ni-
pa)'t'(;dufni<ttt'<r~'u)s.<)«)~
t'att'.ctc.t\J'.H. –MitXK't'cdf'
je saisir. XV. i~).–M.um'rc()<'
tf'mus(.')pr.t<)'t)8.p-
))at'ci)<)<'t'i)ntpmi'))).d'apn'st!teCt'<t!tt.V,)).'<Fi\<ur)<')tahie
h\hisccu< \Y. f.C.avite
a)'dmrt[nai'H,:)'2.<urarise
par in~.s)io~f!f,
CUU~th) UCCUMMtSS.UtH; )\.
);4.
CHtMKME.t~furs'up()ic'nteat:nrc-.
n't;.
C<nM<ATnKS.)),43:
CMtMt)'St)nn)t('Y('~u"u~:u)stc~
qn<'sti<)!is))hysi<'h~i<)n''s.i.Ï'!t.S(" proct'dt'~ c'mpat't's
c<t)e)'or~!)))i-.mc vivant. XtV.
i;{.S.– Kt)!()ru<)ts'juo()('it)tu
faire ta ph)sio)osi't'0.–Son
innuf'ttt'HSurtaphysiQh~it'.XV,
!!t)(). ~oy.tc~OM' <m~Mt\
J/H'<< C/«Mt~M<t'yH/S ''At'mt-
~MfS, ~ttt<)/<t' C/tt')it~MC. C<S<;fK-
/t'0?<<tW9M<<'MC/i<WtfyM('
/i7< e/omf/MM..tJ'M<afto'j.<
C/ttMt)'/K<'<. ~t'<OM!t';iP! C/fim~MM,
Mt/st'o/f/te c/tt";t~M< /t)p/')'ct'~
<fW!~</< /f<'ac< c~)Mi'Me<,
~M!'<t«rts c~!Mi'f/«M, Statique
C/~M~/M~, ~A~f C~t~y~
!ter;HO-<<!nf!C.
BtOLumQUE. X)V, [3!).
t'HystOLOHKjUE 2U; MV,
un.
YtTALE. Ses agotts, XVU, .2 L
CtUM)SMt' ~)' ~4. Organi-
que. XV), ?2' Sa furmuip.
X'Ht, ).
CtmnSTt!S. IH, 4. Leurs hypo-
TABLE A[.MA8ËT)()tE ET A.\A[At)(Jt'H130
thèses au itUJetdh!) synthèses dans)
h' protoptasma. XV!, 2!
Comment ih comprennent !a\'ie.
X\!i,n. -Compareauphysio-
tot~is(e.XV!)f,(!S.
CmiSOtS. ))s co!tnaissatent tes
anest)tesifjUes.Xn.<
CHt'r)Kt:.)X.)j:):XVt.t:!4;XVH.
2').
CHLOKAL.Xtr. )()).?')').–Son
t)i''t0[rnchtmitjt)f'.xn,9t)').–An-
hydi'f. X)). 3!)!). )))jpc<ion
sous-futan~f'.XJt,~).–tnjpction
veineuse. X)!, SO.'). –Htnh.'tH-
mem<'n<)t. St;t. –Comme
n)a;c))cot))t'ntif.XV,)M.Vny.
/)f.(/r<.r<c~ef/~cr<t<
Cttt.ttMK.Son action sur ta Mtution
aquf'usp. du tissu p:tnc)'(''ati<))tf'.n. thn'i)'nt~ani),mc.'H,
4t.- ))tt)'uiHH curare. <H, M),
9<!?.< Son action sur!:t coa-
gu)!i(i')ndu&!H)s.Vf,i:).<K!.
CHLOR'tt MRATK t<\t)'OM<m
t'mp<')-X)).5'().–Mo<)e<)'em-
pb~M~K~t~~sMo~-
nup.X)),)9).-Sonne) ionmoui-
fi6<< par divers a;j;<'ats. X)t,M?.
--Sonactionp\citan«'.Xtf,)'
--nEMOKt'ntKK.Mnycn de con-
tention, X\ ).'<).
CMLOKOt'OttMt;. X)), iS. Mftuit
ta)inu('Hr''up)'o-{)otMsiquf.),)'
Etnptoyc prea'juc ('xc)usivcment
ponriasanhnau~misencxpH-
rt<'t)fc.X)f,;)<).–SeosibiJitpva-
riabtc St-inn h'aKnnnnux.X!)~
M\p.sur<ips)apins.X)),5'4.–
K\p.sur')f'soi<ie.iu\.Xi),M.-
r'p.surd('s!'a(s.XH,<5.–tn-
ha)ation'ft'Ya[)t'urs.Xf(,M.–
)))j('<if)!)snus-cntsn(''f'.X)), M.
–An;t.'n'e)t pourrit .ret'tjf'rfhf'.
X)),8S. Sommci) <;))'!) pro-
duit. XH, )'Oo~onac~iou
c)p('tivc!ttn')ac(')tu)c''<'n'iitiv<'de
)n muette ëpmouM'.XH, )')).
Son action consiste dans une
dMmi-coa~ntation de la substance
mt'medchtecnuh'tx'rïeuM.Xtt.
)!)3.–Sou action t.ur un nerf.
XH, t55. Ses effets toxitjues.
X)). )fH. 1. Moyens propres a
coro!)a<t)'('!f't<'fi<)ents<')U'itpro-
dttit.xn. )(!).– Son emploi
dans)'['!tn<)f!df')itcha)eurani-
maic.X!t).<!?. Manstesan,
X)V.)')4. C.omnx'moyen coi~-
«'ntif.XV.t.'d.-Sox pouvoir
K)yf<~t''nn)Uf'Vf),8.S(!!)
action. X.Sot) action
sm- h- cerveau. XVttt, ~K.
Vny. ff/~t~~f f'A/<)ro/'o<t<j't<~m/7 <<<<)* wi~Mf.
Cnt.OKOK~<ME ET MOKPtUKK
Efrets combine- Xt!2.)) II
n't'st pas indiffèrent (toftontf)!'
l'un avant t':mtre. XU,29'
E'<p~)-io))ces.Xff,3M.ppti-
<'a<iot)')hiact)ir))r~inotau\ac-
roufhentent'X!). 2S~. Hn
p))ysio)o~i(!C\[)t''t'i)UC[)t<t)c,t'('t)s':it
suj-toutiiut'tfchn'n,X.)J,2<
Théorie de ~acombinaiton.X)).
'!(!(!A~isMotaprc'tia morphine.if ajoute son action & cette <)e c~t
!i)c!t!o!<Jc.\n. ?'!< –(~nune
moyctifontentif. XV, t.')')<).
ET )tY))RATH Rt.: CtHLOMAt.
Combinaison. XH. 9)).
HT OftUM '-omhinës, aae-itfn'
sin mixte. XH.<t. 1.
CHLOnOFOKMtSATtOX Son af
tionsurh c)n)Gurd('i'o)'ci))f.
âpres M'ction du nerf ftynipattu-
(]U<'aucou.))S.
CMLOROt'HYLH! XV),2«), ?):;
))at!s ).t c<)u)<' t'CK<t;<)< X\ t.
MO.- .'Mmt !tf-i<i.-farh.t-
nique desp)aim's. XVH. nL t.
Voy. ~'o<op<<!<M <t/ot't~/t~
fie~t'ra<<o;t c/t/o)'o/j/<t/i6'7;< S~x-//iA'e c/f/oro~/c/~t~np.
Ct't.oRot'tnt.m;N~n(AcTHM) Sts
conditions. XVH. 9~.
(t'OKCTtox). XV)i. ''2)(. Son anf's-
)))Mic.XV).Ï7S.K))odoitt.)r,.
distin~uf f'de la respiration d<
phtnt<'s.XV)t,)(;'t.- Sitsi~oiHcit-
tio!)physi<t)o~iqnc.XVU. *('<).
Moyeust'i~ntiftfjuedcfadisti))-gtM'r de ta fonction respiratoire.
XVt),'i!).–C't'!itunp)H~iom~n(-
de outhuon,d'o)-t)rc synthétique
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. t3)
<:n't'L)FKRE(AppAttEtL.Snnrf))<'danst'absorpt.iou dessutt-itances
a)imen<airc9.f[.3t0.
<:HYHFMRt:8 V~tssEttx XA
2'.):),3:!4;X\t),:Mi4.)Knoxis-tentp!)sch(*ztHsoi*'eanx.)t.~)'
Le chyto y persiste après la
mort it'nte par injo<'tinn d'oxydede ('Mbone dans les artères, ti).
)62.Action ()et'et))er~ur)enr
apparition. tK.i(H;<~
Us))'t'xistHntquet'h''x)f'~n'am-
mifen's.ta preuve j).u'iu~fstinn
d'ct))ercn)ttnnantdn)a ~rai-st'
en dissolution. t: 42!). Apres
~suppression du suc pancréa-
tique. \f[.:<')9&i0).
CMYMË.n,tM.)t.2<M.
Sou e\amf)) micrtMccpifjU~, H, 4).i.
–Prisdans[a.partifpy)~riquR<)<'
Cpstomac d'un chien en digestion
d'aliments mixtes. U.4t8. –De
)apiB.)).4.');De chien.)Li'
CtCATMtCULE de j'oist-au. ~)yro-
~ne. XVH.
CtCATRtSA'HU~. XV. 3't \~m,
HÏ.
C)ttSTALL<?< X\ [, :}'
nES NERFS mixtes après la scr-
tion. I). t9:i.
Ct)HAtHt!Moc\'t:M;~Tf.Vny.;M'f-
ntftt~ f)t<n'H/f7<
CtHAtKES (Fn.ETS!. Voy. Ft~~x <
<M.n'
~ERM). Voy. t\'ft'/s et/i«;)'M.
CtHO-St't~ALK .tihCt.'x de la
m<M-!(<tV.320;4'!i:t.-Mt.;
XH).t:).
t;t).S VtBKATtLKS. ).ur rû)e dans
t'absurptiott du poison parta mu-
<)ueusepu)munairH.i)t,<i!Ac-
tion de ta chateur. \t)), .'iït.l.
Ct~~U'KME t'A'K)E. tunnence sur
tc'iur~anesdes'tt'ns.à~i.
_KHe fournit la seusihititerecur-
ren!<'dm)f'rt'fa<-ia).t.–Ana-
tomio.V.Sa section dans te
cr:tne.V,))–t'rocede.V..it.
t)an';tpcra<H'dnhpin.3.
Kxpericncc.EtTets de cette
opération, immédiats ptconsecn
tifs. V. :); Xt, ~SS. EO'ct. con
ou vita). XVH, 994. Action des
anesthet4iqnes.XVH.22G.–R"'c
do i'humidite. XV)i, 2:!9. Et'c no
caractérise ni les a)timau\.n) les
veKetaux.XVn.2-M.-K!)ecarac-
tcriseteprotoptasmavert.XVt),
2:!0.
CHLOROSE. Vt. 480.
CMLORt BKS a[ea)ius dans la
sa-(ive.tt,)~. III.
RE CALOUM. A<-t«'" s"
co~utMioodusMg.~t,
CXOtX DES A~tMA~X destines
aux vivisections. X~. Vo~
~tHM~M.C, !'tM!'SPC<iOMt'.
CHOLEttOQUE (C.\XAL). Ligature.
VU). M'
CHOtLEMA. Xt. 29. Sucre dans )<-
foiP.H,!)t.–Modificationsot-
ri<'uses du sang. XH,39t.–K~-
chct'chcsd<'Ma)!:c))dif.XH,X2;).
CttOH?<K. XVtt, .M.
CUOR!«K. ~'oy. M~ cAo~M~
CHOSES. Leur iinaiit)'. <X. 203.
CHOSSAT. inanition. XH. )ÏO.
jnnuencb' du système nerv<'u\ sur
).icha)<'ur<mima)e.XIH.M3.
OtRYSALUtES. Sucre. XVH. n4.
CHYLE.)'M&"con-
tient du sucre dans canat tuo-
Mfifjuc. ). :Mt'. Sa composition
chimique et son rùte physiotogi-
fjuc. U,320.–0 persiste dans
tes chy)ifères après la mort lente
par injection d'o\ydo de carbone
dans tes artères. !tt, t62. Action
de)'ethet-.t'[,4n.eMs<-de
a'efoutot- du cana) thoracique par
hsounrance.VH,<!(i. Passage
du prussiate jaune de potasse. \U,
(; (,<). Sa respiration. VU, 4M.
Son contact a\'ec. t'air t'aitère.
Vt). 42U. Absorption d'oxygène.
VU. 42).–mauc, forme par le
suc pancréatique. Vf)), 2<M.–
Hecherche du sucre. \tV.205.
CHY'.Et'SH tMATtÈRE~. produite par
)esucreetiafecu!e~!Mtier(.'t;ty-
co~ene?'i,tC5.
-.(U)U!<HJ.),Ki(!;Vtf.t4'
OtYLEUX (SAK',). Vuy. Su~y cA;
/fU-t'.
TAULE ALP!)ABÉT)QUE ET ANALYTIQUE)32
naretdeta section,avant et âpres h'1
{;:tn):))Ottd<;(<ass<V.<M.–Kxcm-
p)es<)esa destruction,soitdesdeu\ v
cotes, soit d'un sent, soitmenx'
dunehrancheisotee.V.).–A)-
<eratious de t'oeit âpres sasection.
\.M.'<Par:))ysif'!ivecconsf)'ta-
<to)tduia.st'a'<ihi)it6de)acornc<
\.h'.).–tttnu''m'c<t(!M''crt.inn
su)'taK~)<'tat'ryntak'm.
JttOucnccdosasc<i('))S)t)'!fs
~tande.sduMeibonuus.V.!)!
(.bez te rhcva). portion motrice.
Y,9!).–Sasf'(-tionf.ttt.mnur!r)os
]anHt'<<!u['fottt(!ei'titt).Y,)0).–
t!)('erationd!')a tangue otdf's
)cv)-cs.V,t<)2.–Les ()cuts s'u-
sent.. V.tO~Sontnituencesur
tess~c)'6tionssahTairf's.t().j.–
t'hOBompnt'sconsccutif'. Ain sec-
tion con]p.r.s h ceux consécutifs
~)ast;c.tion')~')!)S('j)ti<'fM ('paire.
V. )<)(!L<f'nsa)ionsp<'r<;tu's
par <')<<«'tttioftcpoxt'fotesdM
monY~'r))<'n(s)'~n<"t<i dont les na-
rines son) )<'sit'V,)8).–Ht))'
n<'ticu)pa''tanust.ttionsousMn
iunucn<'('<t'<uKivc.V', *).–Ce
n'R!'tf)asd'('t)('tjU<')<'f:ran<ihyj)o-
f;)ossoth'nt t. a spn.sibUitH récur-
rente. V,t.–K\j)'')'icn<'<'s.Y,'if'.t.–Sast'ctiondansiccasde
]ifY)'a)~io)'acia)c'.X), )!)!Sa
section dans te <'t'anc,nouY<')t<'
fludedes ''n'cts produits. XUt,
3:
CtRC~n n !BtUTAT!OXS succès
sivt'sprottuisaut un mouvement.
X,)0.CtRCUL~TfO~. XV,M'SonrOiG
dans i.'tprodu'tionf))) sucre.]('?.
Doubto dans tes !!t''cr<tions:
)'un<mc'cat)inu<)'autrechn'ni-
f)Uo.f.i(iS. -Kxa~rec,oUef!nt
passer le sncrf)dan'!i<'sunncs.), l,
<7<Ses n) édifications danstc
dianctf'artin<'if').).ai().ote
du~ran()'ym))athiq))('t'4[;X!,
:0'r.–hf<'urarn est sans action
sursf'snr~anf'saoifa. fi),<).').–
Sa suractivité par ('action de rc-
ther.t)),!)'Innueacedes
npr('s.i\(i8aM(!:V,(t;f.
??!t.MA;Xf.;i7.'i.–S<j.t)af)')ti)<ii~
sf'montamcnH des mouvements
peri'itahiques.3(!5. Action
toca)pdesn(.'rfsptd<')asf'rtion
d(')atn«f'))o.fV,-t89,4S<;Vf,)8<).
2tM;\t),()!)h324.–).eUquid<'
ccph:))o-rat'hidtonjouc)<'r<'ded<*
regutatcurdetacircutationdans
))'S('f'n(rcsnprvHnx.H')()).–<
nut'H<'ndunf*fp))eumn~astt'iquf'.
Y.:n(!;V!,2()X,!Ï'Vi!,Mt.-
Son acc~teration provient-fUe de
Cf'<i))ot.'tchK)<!U)'modinHtfs cou-
ditions <!<'mnm'<*mf))) du sa ri~.V,
!)' Ph(''nomt'))a;; physiques.
Vt, )(! )X,'iO. -Kffetdeh
~!th'aniMtion(h)f;rand!<ymj)!tthi-
quo.f.2.'i).–<~fjc devient ro-
xy~f'ncdans fes phénomènes fa-
piitaires intimas. \'),~M).–Hcja-
tiona.pptu'entf<')i)re tes actes n)C-
cani<)<M'st'ttt'spt)e[jomHt)esrhi-
mi~t)Cs.Vf.3'i'i. -Variatioo.tdc
quantité dfitihritH'dans iR!i dif-
fcrfnts pfintt du système cit'cuL')-
toire. Vf, 456. tnftuence de i!t
fibrine-su!'s'p)t<'nontcnM méca-
niques. \).'i<i.'). –)n<1uencesur
hi sudation. Y)[,i)j.7.–Ap)'i'i
i'empoi.sonnemf'ntpartecut'arc.
VU, ;!(7.–Sa t-apiditc.tX,
)M.–Jt)j!)';e par L. Rivière. Xt,
n'Son acc6)~r.)tion produit un
frottement.d'nf) résulte ta chah'ur
auima(o.Xf,8.Sonaccp)<'ra-
tion coïncide dans les muscles et
da)Tii<"ij{)and("aYt'c)'auKm('n-
tationde)atf'mpHt'atut*f'.Xf,8.
–LercseaucapiXain'mfitca
rapport les foies circuiatoires s;<n-
f;ninf'it avec Cortgint) des voies
)ympt)atiqUHS.X),~(n.–t'arson
rat''ntissemcnt,chc retarde i'ao-
sot'ptton. X), 28. tte~ie par des
conttitions physioto~inues, en df-
hors des eonditions physiques. X),
3~fnnucncHdetatompcra-
furo. X), ;}?7. Le gt-and syntpa-
thiqm'f."<tiH'!('u)uer)qu]a);i!'s(:
sur ses phenomones. XI, 38'
Son t'xccs d'activité, âpres la sec-
DES (EtJVRES DE CLAL'DE BERNÂKH. ):!3
tion du sympathique.n'est pas un
arfr~i~senten! absolu de!;) rth'ite'
f')n<'hem)eth~<jt)e peut dépenser
t'(trn;nnsme.Xt,)~. –Son his-
toire; revive historique des faits
et des tttenries y rotatives. Xtf,
:XV.M().ot]t)ns<to))n6es~
part'anatomic surte ca<~)t')'<
\)!otinn'-((f))in~f"ipart<'s
\i\i'ifctU)t)'Xtt.t.–Th60t'i<*<tf
(;.))i(;n.X)),4;n.-DpC(yu-
vM'tedeScrvHt.Xti,);XV,M8.
D<couvf't'tod'; Harvey.Xt),
(!; XV. 9;)S.– Kftcgctu't-atisc'
!'Kn(")t!!6i')"<)<!tttpénp))(h'iC!H)'
t'entre. \ft.)0<fnftupnccdH
)'an<"tt))~Stp.xn,)M).–Scsrap-
p~~s~cncrau~:n'ec).tc~)o)'ific.t-
tif)n.\)U,t8t.M. i':8.-(:on-'
'.if~n'cpa)'M.)~t'ndio<'tPoiscui))<
<)))n)(; suivant )ps)ois de t'hy-
'tranf)qm'.X!it,22t.–Lstcatori-fn'ation parait marcher de pau'avcc!
'')tH.X)ff,3.i!).))depcn<iancc,~
sinonpr6t''minenR('dctaca)o)'iti-~
t'ation.Xf)f,'28i.–)n!!ueaced!~
)urga)M'cpntra).XU[,Gt.–S)'s!
rapports avec )'int)e)-Ya<inH.X)n,t
'fi' 2' Rappnt'ts avec. )e s.ys-
tô!]i('acrt't'u\.XU),2':7.–ËHe!
pstrf~ccct~uvcru~opMta'.cn-
si))i)itc. Xt!)\ :}<)').–('.('rcie de ta!
Hrandccu'cutation.XY.t.–E))e
s'f'xt'i'ee pour tous tes <mfnts
.-tnat<)mt()Ut-s.X\M().V,'M(!
Sarapiditcmf'Stn'MaYCCtepru'i-
'.iat('dt'potassf.XV.M'),0.
–Appa!'ei)de)acircutatton,('x-
pcnf'nccs.XV,:m.–htnucncede
la respiration.XV,~80.–Apparf'itd<')a fraude, et df ta. petite cir-
rutation. X\in,:)-!i.–Sasu!i-
p''nsionamcne)a perte des t'onc-
tiuasccrebrate'ietnf'rveu".es,sot)
exagération c\a)tH)e-( manih'sta-
tion't cerebraies et nerveuses.
xnn, ~4. Yuy. Cerc~t~
'/)'nnc/f'ci)'CM~<to«,C<jett<S;!M{/,
S<s:~t/<'trc<~a<'):)'f.
CtttCCt.ATK~ ABDOMtKALE )n
Ouent'ede ta piqùrede la muette
attongec.t.S.tt.–ËH'etsdetasec-
tinnde)amneneepini<'re,entrete
p~n',c<'r\ic.l!et)ep)<ns)tt'.l-
<')na).)V.~S). KHeasnn rentre
<)anshmoe))<)Unn~(''e.tY.;t9?.
4M.')' iS:i. )t)0nenfede)a
pif))')re<htf~):)(rit'n~(.'nt)'ir!))e.
tV, i)))t. i(! )':))e'p)i(~te tes
pf)'cts produits [K)r)<'si~))s du
qu.ttri('t<ie\p))trit'uif'.f\tS'),
?<
CmcULATt<)?< nA?<S L At'fAKML
m<;t;STtt.~).7<
Att'fERtEH.H. htOttence de la
SCftiou du buthf'.Yi. ?.')().
t;At'H.LAt)<t:.Y),J~)8,<),
if: VU, :i:)\.);f, :!()!),
:!<!?: XV, X8' Dp h face et de
).iti:iandt''so))s-)na\i))!Un'.VH,3m
;t:Mt. -));)ns)a.)'a)<n.4').
Le sys.tf'njt'nervf'xx sympa-
thique nu est t<' regutatcur.tX,
<t)]f)uf'ncfdc''ne)'t8.)\,(i'
\).3'Son histoire. \t':0.–HUc est rcgu):u'i suc par tt's nerfs
vaso-moteurs.X).).
--CKKËMKAL)')i!. :)!<
DAKS LU COHL' \1, )~ \\))),
:J11.J
ntT)! nKUtVATtVt; XV, 3~.
nu FOtE OU U)S)'AT)QUE l,
)<!8,n?,)':(!,t8!U.)i~m,
U9;X)V,~4t.–<.ouditinnsana.-
tomiqucs qui !a. favorisent. ),)8<).
S<~nmccatiismo.),)84.–Ses
tmu))tes au moment ((e ta suppres-sion do ta. circotation placentaire.
It. 4tn. tnnuence de sa sup-
prcssionsurta~ty~'OKeaie. Vtt.t:i(!.
t.'f)XCT)OP<~EH.E. XV, :<).
Ktïet do t'irritation des nerfs sen-
-iitifs.Xf,')'
–(:E~<KKALM.\).X!, :{;<),<;),
')< XH).-M:t;\V)U.SL
ttA~'S Li'.S (,LA~t'S, e))e est
d!ut!)!e.8,!8(i:\)). )(.<. :i-25
tt):S GLANDES SAUVAtRES
Vn.~n,2!OS:'):!t<).
«K LA<;).A~nn S(HS MAXtL-
LAttttf. Action (!u ~raud sympa-
inique. VU,4':5.
TABLE ALPHABÉDQUË ET AKALYTtQU);t34
CORCtJLATtON HKt'AT)(HJE Vny
Ct'<t~OHf/t</o)f.
LOCALES Ot <m<;tKt~t')S
VLx;V)f.(8);)\.(M,;X).3(M,
3<3'it.4i3;X)n.Ï?:XV,:))9,
«');\V))!.38i.–influence de la
mo('Jtt-.tV,489.)nuuGnced<'s
nor~. IX, C'? XI, 3(i< Leur his-
toire n-posc entièrement sur la de-
couvf'rtf des nerfs vaso-moteurs.
XI, 30!). Elle tj'apparait qu'avec
)edcv('i()j)pomen<dcat)Mu'i.X<,
MM.–Le grand sympathique est
t'* n''rt' des v~isSMUx ctui y pft'HM-
dent.X), :)'
–M'H)'XATtQU)R.E)i<'augmente
quand la circulation sanguino di-
miauc.\U,:<).–D'autant plus
dëvctoppéoqu'ityaptus d'urée.
VU,(!Ses rapports avec la
circu)!t)ion veineuse. XV, 3-Ki.
MATERtEH.K (loi df) entre )<"<
ouxr<'gMs.XV),):!5;XVfLf)t<. l.
ORGANIQUE. Voy. Ctrcu/aftOH
locale.
PLACE~fTAtRE au moment d<-
sa suppression, troubles de la cir-
culation hépatique, n, 449.
CIIEZ LES POISSONS. Xt, 3H3.
DANS LK POUMON. Vt, t92
XVnt. 3':t. Action du curare.
!U,01,309.
DANS LA RATE. VII, 425; Xt,
365.
RENALE. Ses conditions physi-ques. VII, 151 a t64 XI, :?&.
OU SANG dans le cœur. VI.
t99, 200. Quand elle diminue,
la circulation lymphatique aug-
mente. VII, 3).
–HANS LA TETE. tnnueuce du
grand sympathique. VL 434.
)nnuem'ede!t))f'rts.V)!,334.
VEtNEUSE. XV. :tT). Ses rap-
ports avec la circulation Jympha-
tiquo. XV, 348.
DE LA VEINE PORTE LUÏ;
XtV,2':t. 1.
HANS LA VEINE CAVE, dans
le foie. t, )??.CIRCULATOIRE (AppAMn.). Phy-
siologie opératoire. XV, 24)._
E)ude expérimentée. XV, 292,
!i(M.–<<'stunappa)'ei)df'ppr-
tt'ctiOfttiHmcnt. XV, 3(M. Son ap-
parition chez l'embryon. XV, 305.
Sa forme chez tcsanimaux in-
férieurs. XV, 3t)5. Din'ereute:;
parties dont il se compose chez les
animaux supérieurs. XV, ;)(?.
!t)troduetiou du sucre. XV)t, 4t.
CHtCULATOHE (SYSTÈMH). XVU).
2T7. Conditions qui font appa-
ratU'etesuo-e.t.M't.–Accidents
qui suivent la production de i'at-
cooi.t,2M.–L'introduction d'un
gaz insoluble produit la mort. H),
)fi0.Pression du satu~.V), )<);
Xf,aG9.njf'ctionuef)ti<)uid<"i
étrangers, vn,4(!f!Du chien.
X)H,)2t.
ORCULATOtKES (CEKTMs). Yoy.
CM/)'M Ct< CM/0~0))'M.
(t'HÉfOMKriEs). Leur innnencn sur
la chaleur animate. X)U, 222.
Ils sont sous la dépendance du
grand sympathique. XIII, 222.
~VotEs). Voy. Pff.MiO?! dans les
f0t~ circulatoires.
CIRCUI,US de la matière. VH).
)~;fX,M.–Vita).XVn),7). J.
CISEAUX. XV, )84, 188.
CLASS~tCATtONS DES MALA-
tHES. ViH, )95.
DES PHENOMENES DE LA V)E
Vf)f,X,!)7. –CJaBsincatiorM ana-
tomitjues.Vm, !!)).–En pre-
nant t'hommn pour point de de-
part. X, (03. Elle est commode
pour la physiologie spéciale des
animaux supérieurs. X, 108.
Elle estiuadmissibte en physiologie
générale. X, t09. Classifications
physMiogiques. X, ])).
MES SCtEKCES. XYtH, 99.
ZOOLOGIQUES ne représentent
pas toujours le degré d'organisa-
tion histologique des êtres. IX,
)53; X, 99.
CHGKEMENT de la troisième pau-
pi&re. V, 219.
CUNtQUE. Ses rapports avec la
phyMotogie, XI, tO. Elle ne doit
pas être négUgoo par le médecin
DES ŒUVRES DE CLAUDE tiERNAtH). Oa
exp/'i'imt'nfatfur. Xt,2;XtV.j42. Fondée par <(n'\isaW.Xt!.
?! Ë[!'it'i~nf'ep!)r('.ur~isar<.
X(V.2.'). St's rapports avec
)e)a))0)'atoire.X!8).Y<iy..Uf*(~
Ct)!e<'it?it9't(~.i<t'a<fUMf/tnt-
'/M('.ï'/tf')'woai<i<))f*c~n;<f.
COA(;)ULABtHTÉdusanK.Vf,4)4:
\'t),4(n.–Chey.uu chien malade
opéré des racines rarhidieunes.
Y). 422. Plus grande :t jeun et
chertés animaux diabcti~uRsar-
tifictets. M,4M.Ue'.isa)ives
fompm-etiitceHe dupant'i'~aspat-
!ectncit<.Y!t,2.2.
<;OK.ULATtON OU CAILLOT
h)anc.),~M.
CES FtBKES MUSCULAtHES
c))M)es.animau\tu6spat'tacha-
)('U!))t,:)~0.
–<)tJSAKGr.xn,)(!tnnctCn<'e
<)usy!item<*Mr\'oux.V),*}3.').'K).
4t't. 4S.'),453,45~. intluenco de
)atempei-atu!'efroid<),U4,i:i8.
K'f".t pas en rapport avec la
quantité de fibrine. Vt, 4ti VU,
1M. Influence de la chatcur
produite par section du sympathi-
que. VI, 417, 430.Hxpericnces.
V[. 420. Inituence du Kran') sym-
pathiquo. Vt, 434. Action du
chlorure de calcium, du chlore,
du carbonate de soude. VI, 43.'),
4:!< Du sang dôiibrinë. Vt, 4a'
-Jn(tuecced(*!afib)'iue.\f,453.!
Cette propriété du sang n'est
(m due à la fibrine seule. \H,).'<2. Rapide du sang vf'iueux.
X)U,0.DE LA Sir?!TOK)KH. X, Ï30.
COBAYES. Effets de la morphine.
X.t), 90' Sujets d'expériences.
XV,UO.
COCCUHJS Amazonum. Son action.
n). 245, MO. --ToMcoi'f'nM.tft,
2.'):
COCIIONS D'tSnE. !nHueace du
froid. t, )9f.– Comment ou les
saisit et i<'s maintient. XV, 110.
COCTION des aliments. Théorie.
XVU, 200. Hippocrate. XVU,
2CO. Galien. XVU, 260.
ConEt~t; S';st'<Tt')<i. <p. XH. )8't.
.08. i.
C~Ct'X.U.'<(!').Mat!rcsprisfsdlln~ le ('<J'l'nm d'un lapin, Il, 4()O,dan-'tccœcuutduntapin. )!<!<).
f:<S.t.r!;[U S \V)t. 3i<
C<H:t'H. \i.<!t:<M:\Y))f,
3t(!. -Sonfathf'tt~'isntt'.), )2<
X\7!,2T!. Proccd'ipouron
(h'<'r!es;)n!). ]j?:)j). t(n.
t!etroidt-.semc))ti))L's.).t)4.
(~haui.s)neapj)h(jueche/.)nt'cc-
tus.),~8:),it)8.-h)jcctionbrus-
f)un<iei{az,mort.iH,K!Ain'
dans le cœur, fonnuent il cause h
mort.tH,)(:4.– Action du cu-
rare. Ht, 3U' :<). ~st pas ar-
rct~parta.sccu~ndnpneunto-gas-
triqua. apn". ompoisonnoncnt par
tecur.M-H.t)),M8. ArrcMpar)R suH'ofyanurc de potastimu. tU.
3~t.–Action(t'unHd()Sof.ii)))edc
UK'otnx', avant <'taprt"i la f'f-
tiondcs. vagues. iH,i()t. -)n-
JHCtJoo par t'arterc. mnrt. tV, 5C.
–Action <J<'snf'Wsmotcu)'s.)Y,
?<X!Remp)id'(!echymosesapres
iujectioa du saug vers )t; cœur.
iV, &(! ), ;))). InftuHuce des im-
p<'cssi<)t)s!4R)]sitiypss<)r'.<'sn]ouvp-
!Hpu<s.IV,Ï(i'influon'edt".
nerfs sonsitifs sur ses mouvcmentt.
IV,2(i!),282. --Courant e)fCth-
quo.tY,3()' --tnnuencc df'a
j.;augUoas. t\324.–Hcaction
deseMUationsextericurfisurte
cœur. tV, :!T). Son tudepen-
danceatec les nerfs. <V,M,
38! tonnence de ta moetic
epmn*rH.)V.:i8'2.–Latnoettecj)i-
nfro n'agit pas d'une manicre nc-
cessait'H sur ses mouvements. )\
!i82.–fnnuencHdcL't section du
pncmnoji;Mtt'i<tttCS)n-)t"imouvf-
ments, sf's contractions ctscu ai'rt't.
V,37<3!)~;)\.)i).').–Sp.smou-
Ycnicots sont arrÈtcs par la !{aha-
nisationdupncumo~astrifjUM.V,
38). -tnnut'nce de la tontpcrature
sur ses mouvements. V, 3!).'). La
chaleur est )a cause prcnticru de la
Mquence plus grande dH ses muu-
vements. V, 39' L'action de
T,\B).)'; AH'nA)tÉT!QUE ET ANALY'HQL'E<:i6
<ytM!,A'c)'/s'f/«fM')f)',fo<H~'dtt
f'CFMt', ~«/!fH~U~.< ~«'(~Of/Mf~, P)'M-
,"¡(ln, VI'lIh'Ít ldf'S,.t'!0~,)'<tM/<<.
de l'an-CCEUH AK<:):SS<~mt: de )'an-
~ui!tc.X\i.Sf.-Ocs tt.'ttracicns.
XV,;iSt. -Actiouduou'in-e.tU,
3)0.
–~UCtnE~XV,3M.
ttUtm' ET <tAUCt!t;tang
r()n~;f'~tn.san~H"h'ï!t.
-Droit, pression ftn sang. tV,
?~.
–nmL'HMBKYOXdHjMuh't.XV)!),
334.
-!t!SL'CM'XYtU, :)). U tl
n'est pâti Mutcmcnt t'nr~imccett-
t['att)o)acircu):)dondu''ang,i) il
Mt en outrcuncenO'o on viennent
roK'ntJ]'tontes iesartions M~
yeuses son.sitit'es.XVU!)'
Son action su;' te cft'vcaH. \\))f,
;iM.–So)k).n'tt,(! d'action', réci-
proques avec icc''r\fan. XVf)),
:i(;0.–Brisé pa.)'iadoutcur.X\')n,
:?'(.ro.ia\oir te!. X\!)f,3<i:t.
.–L:ttisjd(iu'i).XVfU.:)C.').–n Il
est plus tondre chexia~'mMHqut'
chCi;J'))0)n)~o.X\Jh,3(!(i.
–VMK~UX.tnHucncc du System''
[tcrvcuf.XV.iti;i.–it)t)tien(:edf"<
potsoo'i.XV.~St.
Ct~UMS mx'XATfQtHS des gré
noui))<"<.XV.!)8[.–Actiot)ducu-
Mre. tt), 3)0. Arrêtes par la
destruction de la )noeU(' epiniere.
iV,3M!)))nue!)ce du système
nf'r''eux. XV, M3. h)f]ue))ce dos
poi'tous.X\38i.
t'EKtt'ttKKtQCES, veineux et
tymph:)ti<jues.XV,38t.
SUt't'H-;MEKTAtHES de fa grc-
nouiUe. tV, 385. Ue la chimère,
tV, :i8(!. De t'anguiUe. iV, 38(!.
CUHMAÇOKS. Leur cu(jnH)o. XVt,
MC.
COH~;G.).PancrM'j),:MG.–
Température dos sangs. )X, )!)();
Xftt,47.
COLLAHÈXES (MATtÈMs' XVH,
2n.
COH-ECE DE t'-RA~CE. Sa fond!i-
tion par François t'~ ou ).'):)(). XtV,
)afha))'in's't'\f')'f'['-t-('t)op,tr)'in-
t<'nn)'')iah'odni'ysH'n)('nervcu\.
\i')!h-–L'a<'c'')cr;t!ion<!es(~).
artivitt'partit <)<)')!'))(h'c unique-
ment <t<')'aftinn!oc.'<)f et spnci-
iiqnodf'tachatf'ur sur h'cœur
mL'nx'.V.tO).–L'accroissotnfntmènrc. V, 4(11. I~weroissnrltont-
de ses contractions tantôt coincidc
avec )'a<'t'ch''ration des )nonv()-
met!)*) )'es))H'<)t<)i)'<'s)'ttai))(')te'it
i)!d<j)f't)(htn<.V,'t(t).Les nerfs
pneun!opa'«t'itju<'s iui tt'anstnf't-
)ent-its)("i actions ttft'ven'.e.s.V,
-i()-i. –Teinpet'))<nredusan~.V[,
)<)(!,))):X!f!):i.rei.itoadu
sat)}:(,~)'t!)i, )'):). MX).–
Ch-('utationdusans'.Yt,)~S,i!)'),
2()~;XVU!)t).Lapressmu
oxf't'<'ce.<)t)'))it pcut<)ftp~))i!)0t'
):t).('t)si))i)i)<'rcfU)'n'))te.V), )!)().
Hùio des Yatvntes (~so~
f)cesartt't'it;)s.),)ij9.–Sonin-
nxcm'M sur t'urinatior) par aug-
mentation do pression.YH,](!).–
Ses <'a\itcssontdr))))''cs d'une scn-
.si))iiitcspc<;i!Uo.)X, )')(!. –Sa
naissance, son développement.X,
!<!();))f,ai.–)H<]uenff'));)ra-
tysantodf's actions t'et1ex'X.
M!)t. –La fti~Mfcarn'teson
action )ons~'n)ps avant d(!p!) raty-
SOI' les anll'es muscles, XI, 88,se)')esau))'csn)uscH's.\t,8S.–
Son cathetcrismo dans Jchatdt;
d6tet'min<*r h température (kt
sanp;.X'J),?,8<).–tist.-ilpar
tui-m~mo une source c,a)orinfjuo.
X< t"2. –Soni'tnet'Mtion. Xf)!,
9M.–Hmhonchuresdc'iYHinc':
ca\'ps.X\2S.).–<ostun8ma-
chine motrice vivante. X\)U,3f).
–('<!Stunnutsc)('.X\'U),M'
ttYit)epromicretn)<:)trt.it!d<;r-
])ier.H),3~8.–Action dusys-
t<men)'rvuux.X\))),3:8.–Hetoit
dans son tissu un grand nombre
dut'anM.'amnct'vcux. XY))),3i(t.
--Hoactitmdesnct'fsdetascnsi-
httih'Hf, ;).'<(). Voy.(<')-(.'< f<u
('o;«r,/<fWM<.<f<MMMt',Ca~/<c-
<<'t's'm<C<c«/n<!();f,Kc~<~))et/M
MM)')M/);<)o~t'a)'f/ia'yM<MoM-
MM<'?!~ du ''a!io', A'o' cardta-
DES ŒUVRES DE CL.U'M !!H)!N.\R[). i37
4)i).atn~'dM('omhnstinf!qui
soni!;iso!i)'<f~'ta{'ha')''urf'
uritc.Xtt). !:).'<. UirccK'.est-cno
)asonrc~(h'taf)!!))<'t)r;)nin)atc.
Xn!).t'h('ori('dM)~\oisier.XV. ;)i. :'()(): <(: ))ire<'t(;.
vi\<'ou)<'nte.\V).«:7.t'
Ui)'MCtc,Ucn'<isK' pas.XVf,
)<M. -)ndiro<-t('XV!.)t:
Kutc <t8s~!ant)''s.).)':().
Cttm))ar('tta)'c<t~c<ion.f,<);
COMBUSTtOS nKSASStM)).AT!U
CE. XV))!. ):).'<.
<KTEhSTtTH;t.LK. Hypoth~sf
(tu))epM()uctH)))<i.t('idt'f'arbo-
ttXj'K*. pot))'p)if)ucr)a formation
dot'f'au.t,:)jh
–MUMt'SCm.Httenc~fpastti-
!'f')-tc.XV)!)tf.
<)HG.t~<tt'); Son sic~ rect.
X)).4'.)j:X)t(. ):)'f-;t')u\ft);
],av(nsier.\V.:)i.M(~t.t<!6.
Ot~fS t. OttCA~tSMK \?i)MAL
XU).t3~
)'SIQUI; compari.c il la ('01U-
l'HYStOUE comparer a
ta co~t-
hnstinnYitah'tn.t:)t.
Pt'LMO~'AttU!. Théorie, t.
Examen <<~ ('ctte Ox'orip. ). ?:?.
–Objections.),-2:!8.
–ttESr!R.t't'OUtK.\H.a(:;X\)).
M~–t,)a)!a(<*san:;(;t<i<);)t)cs
tissus.e))essont,t~'s';ut)rt'<'s <)<*).!
c))a)cu)'anima)<)\.t'.)t. Son
siège prtttcipa!cs) dati-st~'s nïusftf's.
X, 2H); XVH, t.Snnacth'i«-
()f''pend de t'etat de contraction ou
de repos du muscie. X, 'MO.
Ac<i<M) (it: sysfru'* nPrvcux. X.
UA?fSLE SAKG. XU). ):
MHS TtSSUS. XV)). :?.').
t'tTALH. XVtfi. tiX.
COMETES. Leur constitution. XV, .'<
C(tMMEKTt)'d<'s choses. \H), (:n.
COMMtSSt!HKS des <-pHu)<'s .f'osi-
tivcs et des ccUuics motrices dans
!;tmo<*))ct*piMit;rc.X.U. –Uf"<fibres dans)amoci)f <'pinicrf,
('Ues expliquent (a setMibititeiN*
<)tf.s<'i('t)te.X,!t'(t.
COMt'AHAtSOX. Vcy. Rrpt')'!<')ic<
coMt/)a)'n<<(;('t', A'.t'tMt'yi/a~oM
7.–C<'n'f'nrtitinde)'ediHcesous
LnnisX~.eni<!K).\f\).–
?<!)t))resp~['ia)e de son enseigne-
ment scientififjue. ).)(); )H.'M;
f\f,(:V!)f.:(8();X[,4t").
42'?,.tn);\)\,t.)0;XV.8,f?.
C<)L<t«A')')<)?tn!'SAX(;.)nf)uence
d'une )csi~)npr()(tt!i.<antiapa!'a)y*'io
d'unepartiedescentresnet'venx.
V),2M<i.–tntIuRncedusystcm)'
nc.)"HU\.Vf,2M!.28),:M<)n-
nucttCt'detasertinnftnfitetce)'-
viKa)()nK''sn~y'~fM~e.f,
'!<i8.–D'M)h!pciïettte)~<-on)-
uression dc Izt t.raehôe. \'1, l:l~.j)rc''si')H')(')a(rac))ce.).i)34.–
A!)"ma)it's apparentes fices&des
e(«)<)iti('ris'mj))<'xf)s.V),A()t.–
tn<1n(!;)''t'()et!t!<i~Hcect<tedh'ers
se)s.),4U).fnnuRT)C('(htcar-
bonatf de sonde.V), 40t.
f~' SA~'<. VK)K!tJX de )~]ande
s(Ht-maxi)t!)U'(*.Vf,2!)!). -–Gjan-
th))iUt'e.\)t,4't'DHtaYcmc
r<ttat<o)!ff'st on rapport aycc
t'(''tattot)('tif)~nc)<)u)'cinnta\<'
)~sëct'(''<i'm<)e t'urine. \),'KM;
Vtf),?. Dans ta parotide, ettc
di<!Y'i'f's<'t'))i)('tat de repos ou
d'at')i\'itt'().
CnLftS't'at'M.VH.'MS.
COMtt)KA)SO~' des corps qui en-
trcntdanstacontposition du corps
animât. ))(,<().–Chimique dans
)esang.V),48'
COM«USTt0~f. )X, .')S. Anatogie
m-ec tft respiration. t)),2'!<),9:'(;;
X\n. )()4. Ses phénomènes
dans )'o!'(;a))i.smc ne produisent pas
d'eaH.Vt,)!).–H))e ne se pro-
duit pas exclusivement par les
animaux. t\, 80. Elle existe
dans les deux rcg))OS.)X,i)}.–t.Ue correspond au mouvement.
)\,H' –L~chateur animale
c'trrespnnditdt' phénomènes r.hi-
n)if)uesdecOtnaustion.)X.
Htte domine fix'x ifs animam.IX.
''t)K.–),ente. iarcspirationtui est
comparante. \.2t3.–Dans quel
se)tsit(anten(eu<trecemnt.\m,
)'! t. -Travaux mn(ternes.\m,n:i.
Hxa~er6es dans)a iieyre.xm,
TABLE At.t'nASËTtQUE ET ANALYTIQUE):!8
coMt~mvf/;t'< ~</iodecoMp<K'a-
<!)" P/ty.'tu/o~i'* coMpa)'o~.
C<tMt'AnA)Sf)K DES AKtMAUX
VU).2't.
COMt'LEXUS.XVn,4!
COMPOSÉS organiquos. Fixation de
i'azott. XV), 3!):
C()Mt'tt)SSS!0\ ATMOSt'ttÉHtQUE
ttf's ferments. XV)). t99.
C«MPRESStOK MU CERVEAU
Anesthésie. XV, )').
HES NERt'S commo mothode
futesth~sique. X)t, 3~.
DES OKGAKES. Son inûuence
su)' )a tc<nn6t'atu''o du SMg. VI,
)M.
RK LA TRACHEE. E))e produit la
tenositA. Vf. 96t). Doubte t'n'et
sur)acu)ot'atio))dus~ng.V),3M.
m.' VE~TME. Son innu.encc sur
la temp~t'tttm'e du sang dam les
nrosvais<teaux.V!,)6().
CONt'TK COUTTES. XV, 2)5.
CO~CEKTRATtON tita)e.XYU),t95.
COXCEf'nox de la vie. XVI, 343.
UM organismes vivants. XVt,
KM. De ta scioncf physiotogi-
()W-. XVI, ~4.
COXttANKES A MOMT tivrcs aux
ntt''ttefim pour te~ expenenees de
la YiviMctiou. vn). n: m; X),
5~)M; XV, M, –E\p. sur
h'panereas.XV,M'Voy.Cr!-
tttme~
COKOtTtOKS. )) ne faut pas tes con-
fondre !n'ec tes MuMs. IX, M8.
t)ETEMM<KA!s'TES des phëno-
m<!nM.X!,M)a.
MÉTEKMtXEES d'un phenom&ne.
XV),53,f.2,(}C;X.VH,MS,~83,5Ki.
EXt'EtttMENTALES. XI, 2)!).
tKTKLLKCruELLËS XVi, 3M.
MATEKtEH.ES tHMEft~TES
nu t'MOCttAtKES. XVf, M. D6-
tcrminoRa qui r~gtfnt t'apparition
dos phënomÈnM de ta vie. XVt,
(!2. <!(i.
ORGAKtQUES ou t'MYStOLOGt-
QUES dos ph~nonienfs. VI, tO.
Qui rÈgtent ta succession, te con-
cert, t'harmoMO des phénomènes.XVI, 345.
CONDITIONS t'ATHOMM.tQUES.teur inûnenco sm' la formatinn du
sucre dii!~ toioie.XtY.3jt.
Observations ctiniqURs.XtV,355.
MES fHKKOMUKKS XV, M.
t't)YStC<t OHMtQUHS des phe-
numeues vitaux <;tHmcntAh'f"i
XV)). 4(!0: XVtH. 42. C'est par
ieur intartncdifuro que te physioto-
giste peut agir sur les phcnomÈnM
vitaux. IX, tM. Déterminées,
extérieures, qui gouvernent l'appa-
rition des phénom&nns. XVI, M:).
PMYStOLOGtQUMS Voy. Co~
di'/ionif or.yfMi~ttM.
PROC)tAt'<)':S. Voy. Co~Mt'onft
M(tM'')'C/M.
CONUOB. Leur séjour à des hau-
teurs de 8,<XM métros. XVt, t'!0.
COKOUtT ALUn'HF. Voy. ~M~/y
(conduit).
mUAtM. Voy. B:7!aM-f.
PANCRKATtQUE. Yoy. Pancréa-
tique.
PAK()Ttt)tEN'. Voy. PaM<t~'<'M.
COPfftNE ~MfnEK). Voy..Mt/tCM con-
finé.
COKt't~)T entre des couditions orga-
niques prcëtak)ics et des condi-
tions physico-chimiques détermi-
j nées, c'est la vie. XV), 53, (!< St5.
COK.tOKCT'F (Ttssu). X, 31, 112
XYU), 96~.
COKJOKC'nvE. Sa seusibitité daM
l'asphyxie, n). 295. Action du
curare. !U, 285. Sa sonMbi-
lité. V, 8?. Voy. j/u~Me'~e cet-
`jonctivale.
CO~JUCAXSON. XVI, 306.
t COKKHXtONS organiques. X!X, U5.
COKKU (te). Il perd son attrait.
) XVIII, 86. Comparé à l'inconnu,
XVIII, 439.
C<~KQ'UKTES tlo t~ nature vivante.
X),6n.
!cO!<SCtEXCE.)X. )80; XVIII, 3'!3,
425. Elle a son Me~e dans les
lobes cérébraux. XVm, 302, 4t5.
COKSCtEKTK (HÈACTMN). Voy.Réac-
tion consciente.
(SEffs)BtHTÉ). Yoy. Se/Mt'4:
1 consciente.
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. )39
COKSOKNTS (Mot-vEMH~M;. Voy.~0«t'Mi'')!~<CM))'f?t<.<.
'J').E~)V!TAL.VH.ii~.
CtWSUttVATtO~ df JY-uergie. XH,
-M.5t5.
CO~fSOMMATtOK d'oxygène pM-tes
animaux, !)f.)H.- Domatë-
riau\ uutritift. XV)t. )}0.
COMSOsm'IJO~ diabctjnuc. XJV,64.
CONSTtTtJTtOKAXATOMtQKE de
t'ttrc vivant, animal ou vëgeta).
XVf, !8t.
CHtMtQt;); des ~tres, elle f'st
distiuctf de leur morphotogic.
XV!, 2'M.
ELKMKSTAtRE des corps orga-
uisës. X\ f, '204.
MEMCA~E. X)n, i~.
COKSTtUCTEURS )\Enfs). Voy.?'< M)«<t'!e/<'u)' ~aso-ot)s-<t't'c<eur.<.
(;O~STKfCT!0?f du cattfia. e))o
disparait après uu court espace
detemps.XV,&53.
CONSTKtJCTWX des organismes
(loi du).XV),35:).
COKTAHtO~. XI, 'M. Putrid)'.
cxp. (te <'rif)R)e. X), 43. Voy. ufa-
~aa!)'M ';on<a~f'eM.M.
CONTE\'rtO?f des aninMtix. d'expe-
henM.Xf, 557; XV, n9.
Par tn cm'are. IX, tOO: Xtt. 3t5
XV. )C5.)M; XVU!, 3)0.
P:n'iesa)Mto!de<ideropium.XH,
i94 XV, )49. Moyens qui peu-vent être amptoyÉs dans les expe-riences surtach&JeuraMtMfc.~
XUjf, 57. Mccittuqup. XV, )):
Des grands animaux. XY, H2.
–Dur.heva.t.XV, tM. Du
bœuf. XV, t4(!. Par tes bou-cb: XV, H(;. Physintogi()Uf.Commcut il faut tenir compte des
'n'ets propres ot dM agentsdans l'interprétation dese\pÉ-
rMnccs.XV, tt; !!)t. t5t. Par
la morphine. XV, t50. Par h'
chtorhydratc de morphine. XV,151. Par l'opium. XV, )54.
Par)echtorofoniM.XV,]5'P&r )e chloroforme et la morphine
cnmhim's. XV, ).')')<<. Par
)'<'t')er.XV.).7. f~artechtf)-
ra).X\.).')S. \j)pr<'riat!')n je-
ttera)!'des moyensc')[it~'ntits.
n<
COXTtXftTK. C'est u)) caractère
det'e'o)utK'n.XVf,38.').
CO!«TKACTtLE(CHf.f.rf,K;. Voy. C<
/!</<* f~~<?'<7C/i/<
i~LÉttEXT). Son iutervcution daus
tou:!)osphëu()meuesuer\'f'u\.Xf,
3M.-C'est t.oujoursp:u'tcur iu-
termédiaire quc)(.'s nerfs agi", st'tit.
Xf. 284, ;))<). Action du système
nerveux. \t.!i'
(HATtÈnE). Amorphe, c'est en elle
que residf' )c mouvement s~rcodi-
quc.X,):
COKTMACT)t.ES (F)B!UM.. Voy. Fi-
6t'M.
(SUBSTANCES!. HHt's nf S0))t que
des formes de ptusen p)usp''rfec-tionnëes d'une ntëMe suhst.tncp.
X, ).'<;). H))es sf présentent sous
trois états: état amorphe, ceHu)e,
tibre. X,)&8.
COXTRACTtUTE. X\[, tii X\ tt.
46},'i(i7. --Action du cur:<re,
m, ;)()'). Comparée !'t la sen-
sibihte. X.VU, 4n. 'est un
comptexus. XVH, 4(:8. )n-
Nueuces qui la régissent. XVff,
4(!9.
OES AmÈMES. IX, fii; Xt,
3':2,~6;XV,3'!8.
MUSCCLAtKE. !H, 3(G X. ~?,
t8< X', Mt. Elle est dixtinctR
dMi'excitabifitc des nerfs moteut-!),
ta preuv'par )(!cur'ar< ))),«!.
–Expériences ce. sujet. H!,
3n. r:Uc est iudcpeada.ntedu
système ncryeux. Hi, :(.'< EUe
est détruite par le sutfo-cyanure
de potassium. f)I, ;h5. Des
muscles iuvo!ontaires,e)io n'est
pas ditTereute de la contraetitite
des muscles qui sout sous i'iu-
fluence de ta votonté. fV, 20?.
htOupuce de ).t chatcur. <V, 20!).
Le curare la sépare des pro-
priétés physiologiques de i'e)e-
ment nerveux moteur. iX, 160.
TABLH At.PnABËDQUË ET ANALYTIQUE<K)
t'He. réside <)an',)e.muse!e.X..
)8t. f'~tuneprnprietespcciate~
d~'s musch"), indepen(tantfd<'5j
)!<'rt<ni)es animent. Xt. 9:!).-
r;\p.(teXuhne.X).23?. –H\;)J
()~)!p))~k.\).9:t.'i.
iC~~TMACTtUTHttES VAtSS)':At;X.X\?8');)<htf'nca<)ps!
nerfs. \j.).ctio)t (tes t~'rfs~
mot~tu'sdusystonfor~anifjue.Xf,~-J!)' CaptJtain~.X),).
CO~TKACTt<tX.(.'cstm)p)~nO-n)cu"physi(juf!V)),'i~().
CA)t)HA~U)!. )';))(; produit'
t'imputsion cardiaque. ).4(i.
-Mt'St:m.AtKK.)n.~i<h,3HO;
IX,:18: X,III: XVII.O:}:XVIII,:
f\.M:x,)s.xv)f.o.):x.\m,!)). :8-Ses fm'mMprtSt'sa.u'
t)iyo~r!<ph('V,).–Sit vitesse.
h'):)')i. A)'f.)tn;f'ou au
:t);tsorn<'du courant d.mstc
))(')'fm()tcur.fV,)(!&influencer
<)';)a température sur fontnx'n-~
sitc.t,'t)().–hTitan<<i<)ui]a
dt't''rn)inent.X,[S.').–Etp(''rif*t)-:
ces ()('Hc)m))<))t.X, )')').–Tra-~ces de lIelmholt.z. X, ln\. Tra.
\'au\()e.Y()!kmanne<()fBœc){.X,~
!!)'HOf'consistndansuuMc-'
c<'nrcisscm''ntdp)afibref)))i~a);ne~
c\:)ctpn)<'ntcntar~<'U)'ct)()))'<'))e
)M'rd'(tonRunnr.X,2(.M.–Mo-:
dificatK)ns(''icctTn"[Ufsquist'pro-'
fhn'.cntafemontt'nt.X.XO?.–f
--Théories diverse'; à ce sujt't.'-`
X.O' Induite. X, 907.
Quantité de chatem'détruite. X,~?' M~taiiique. X, X80. Pa-
r.'idoxait'. X.38M.–Htic pfut
servir d'excitant aux nerts mo-
tf'urspux-memcs.Xt,).–EHe'
r<diosau~ veineux trt'))ou'
X).2-:). (:a)o)-iftcation. XU.t
'i~. –K)!e produit détacha-!
~;ur.XUt,)ii). --Appareils )T)is~en usage pour i<'cous)at(:f.X))f,!
).'<t).Statique GtdvuatnifjUf'XU). :):).YCt-, tes ainui))f'st
thcrnin-e)ectrique!i.XV,')84.-
K!)'et-;de)aro''pit'atit)tj.XV)),9)). l
-<))': LA )tATt;i),t~,4:
–t)ESS)')HXC't'H«S. contraction~
permanente. X,!t' :)'
COXTRACHO~ BKS VAtSSRAUX
<)tnn'su)tf'd'')'('xcitationKt~'a-
niqnRon grand sympathique. X),
')' –t'ar('n'ctr~<!)'\f'Ht,8.
–tm~AVHSSfE.f).'tns)amnrtpM-
ttHmorrhagie.V).(!(): V){.)';9.
VOCAt.K pt rp.spiratoiru du
stt'rn')-mast()!dipn.V,33H.
COKTttAMtCTtONS dans !<'s pxpo-
t'ipnc("i.\)V,i).-Knc'.tif'nnp))t
it!'f".{)erimen)!ttfur.f.8:X).
M3.–HUesticm)(.'nt'.ut\<'o))di-
tt()n'.<)e)'e\pcri<'n('('U).M<).
Vf); &'J'encM <)M/)'<T</tf/t)!')'<9,
f<!t7.7 Ct)H~'<:f<C<0!f'S.
COKTHE-Kt'UHUVH. Vf!), m, 3)8.
Son import-tnep dans ta syt~thè.se
~)y<'t~6nifjue. XV), 9:!0.
CO~TKE-EXt'KHH~CH. VHf, 98,!!)8.
CO~'TRE-POtSO~S. XV, i2< Kn-
dosmotiques.)!84.–Lfmen-
)eHr<t)'e)imi!).t)M!n.nt.)()2.
CONTROLE. Voy. ~<')-c<'s ~e
con/n'
CONTUStO~ des Mfincs postrrieu-!'("i, c))cmodi(k')osM9t)ttats des
Mp~)'ienc<sur).i.sensihiUtere-
currcnte. )V, .?.
CO?!VUt.StFS (Ac.MnEXTS'! dctM-mi-
nM par t'augmox.Dtion de ht
pression atmosphérique. XVtt,
f !).
COKVULStOKS. XI, 9~8. Leur
abseuce d~na t'cmpoisonncmcnt
par )ecu)'M'e. ))[.!)):Leur
siÈge dans le grand sympathiqufon dans t'axo ccr~bro-spina). iv,:}~ tntet'ne' Mort subite. IV,
3Tt. Du pneumogastrique. tV,
9'!4. Produites par injcctiou
de carbonate d'ammouiaquc dans
)GMt)g. VU, 3~,38.Dans la
nephrotomie. VU, 43.–Provo-
quées par la strycbHiue. Xf. ))).
De l'asphyxie, chfz if's animaux
dont ta o)0<'U(; cpJHicre a <!t6
coupée. X), 2 H. ))cs enfants.
Xf, :)57.
CUQ. Systtnic veineux de )a veine
porte t't système de Jacobson. tl,
3)5, 3t(!.
DES ŒUVHES DE CL.U'DK HEtiNAHD. tU
CO(tt)LL!; dcscutimatons. XV!.
2!)f;.
COtUti: MOhSALK. \\t. :!29.
DKLAmtttKKHRVHtJSt; JV,
~).
–tH'TYMPAN.Son mnueucc sur
la sensation ~u'}tati\('HX.
A)n'ation'ht!o))t.(tau.a;);)ri)-
ty'n'.V, !). –SasL'ction~.uts
t'orfit)c.V,)4.'). So!~aftinnsm'
!asf('t'cti'~niiafi\'ah'<;sous-ma\i)-
);tin;)4(;t),.277a:!(M.:t3C.
Sa sccUou. qui.supprtme la *.<
crctiot~ sous-maxiUah'o, laisse
[)('i".[stt'r la sccrction psroti-dif'uup, V, HO.–Action sur la
)at)gu''d'uafi!ctquienemanc.Y,
)'!). -Sou action sur )t'peut. Y.!??. Sesti<ge.s.n')7<
--Sa section produit tadeYiatinn
d~ta).)n~u'V,)'Sou:tctint)
faita;)j).'n'.]itr(!r(tune!('sausvci-
))<;u\d<')ag)au<!<<)u'na\i))aiH'.
YH,9' SouactioudHatatric~*
()ps\a~st'~uxdo)ftg)andesous-
i))<t\ii)aire.Vff,Ï77. –-Sonana-
tomic.e.\j).Yt],2ti!).:im.–S(.n
action sur tasubtingUMh'. VU,i0.!
–SonactiooparatysautHsurta
j.;)andt;S))u'i-ma.\i))air(;.X.)'?.
8on('\citatif)ndi)atek'svaiss('au\
d<sg).uidt;ssa)iv:urcs.\t,;)5s.
So))t'\fit.ttion.i[4.–EHt'
c.stjptift'fmoteui'dejagfaHde
su))hn};))a)f.XV,).4'Saga)-
Y:tnisation.\V,M3.
COKOOX sympathique Mr\'ica), sou
origine. Vi).3(!Posto'if'ur,
h")('n\'t'id'uuos<'ctiouuui)at~ra)t'
les effnts '"I,'un,o seetion,\lIJilatérale
sot~dire<:t<,pour)apat'ti<'infp-
rif'urf'()r)amocUH cpinicrG.et
croise-. ))ou)-]apa)'ti('up('')-ieun'.
X<. t:)i), M) Postérieur, sa
scctiou uuihttMMtoau~nteuteta
s<'t~si))i)itt''f.'t)<ttefnp(''r.ttUt'e.X).
2tlU. ertébral Irrinzitif.XI,
2<)f).– V~rtcbt'a)))t-uuitif.X\),
~iaLXVi,;i'i.
COtt~K !t''Et;n.t.ËT!oy.Ft'Mt'7<'<.<;OH~ft'f:Sa.«;)isibi)it<d;tn'i!'f)s-
phy\i<)H,Sasensibi)ite
pt'rsis<f'apr<siadisp!u-itiou()GIH'rsiste [qu'los la cü~puritiou de
l,ce)!ed(ita<ac('.fU,i(;Sa
sensibilité disparaît par i'.<)~tt)f.n
du sanction oj)ht))ah)uque.)(L'r,.
Sase!~ihiij)e. 8' -Sensihi-
)i!<'co;tservee<i;tns);tj);!rjh~iede !aci!]o!)ie!~epairc'8').
Desséchée. \YL:)8.
C(Ht<YAL.\f.t.(tt.
<;Om'SA~)MAL.Coi-pssi)))j<)''sfj))if-utrputdans'.acon-.tituti'tn.tH.
-40.- Comhi)).t['<o!t des corps qui
Grxrentditnssafompt~sitmn.fn.it).
–<om))an'n)U!t)c.)i'a.a.\)Jt.
m'MAt~f.cstutM' )n:tct)iH<\
XV))), ).
TH~'K('tOK.[X.8t:XV.?!M.
VtTAt. de ButTou. it n'cxisu' pas.XVt.2M.
CO<t)'S BUtEFtH~GH~-rs de l'oeuf.
V)),M.
–BRUTS compares au\ corps vi-
vants. )\.2'j!Y))). :t8.Vu\.
~C~c~f/CO~S~7'~<
–C.KAS.i!pf'h'')'ch('.s<fcC))p))').
X\,3t.–Leur origine c)~'x tes
animaux et tes végétaux. \\U.
3< Leut'ferment emntsif.(.
:<(). ~t Jeorsucriye.sdans
rœut')f.).-phosphore
dei't<;ut.t).7.
«tt<;A~'tSt':S. Leur coustitutiou
e)en)entaire.\V),j'U4.
POLARtSAÎSTS de t'œuf. XVH
M.').
ttESTtt'ONMES. L<-U)'s testons.
tY, <)).
–SAVAXTS. Leur roh-(tans les
sociétés modernes.XVUl.i-ifi.
StMPLHS. ynf, t3?. Qui cn-
trent dans taconstitutiott du corps
:u)in)!d.))).t<J.
–STtUKS.Eu'etsdeieurhtessure
tV, <!)().
–V(VAXTS compares aux corpsbruts. )X.3M:XY[H.Tou-
tes ipurs parties sont irrita)))es.
mais chacune rea~itd'une manière
particu)iere.X,M.–(.'estuuas-
semhta~e de particules.)[).o:i.
–Voy.o~y'!<'7M(/t'co<t'f)'<
S;)0)t<(;?ie!Mcur/x t'i''f)M/.<.
com'tsccmt.B)tmnu:\G);r<TS
x\n,M8.
TAULE ALWtABEnOUË ET ANALYTIQUE)42
–InnuoncGdniatctnpératuredocertains sc)s et do f)U('~)U<'sgM.
vi,3!Xi.–fnnuences physiques
capahtes do ta modifier. V), 39'?.
–fdontitepntretetnecanismode
ces actions et j'influence ner-
t'cus,c.V),3i)8. -tnnuencedes
nerfs dans tes ~tandessativnires.
Vt). 2~0.De la parotide. Vt),:!38. Variabfe dans la rate. \')f,'t?4. -Deta~iandesous-maxit-
taire. Discussion.T.yMG)u~e et
ThiorneMc. Vif, 442, 449.
Dan'i!'asphy\if par ta vapeur df
charbon. Xtf. :!48. Daa!) !'pm-
poisonnement par )'aeido cnrhn-
[)ifjUf'.X)),:)7(!.
--ARTKtUEL. tt)nuenccdu"ysu''m<i
nerveux.Y),MM.
V)';ti\H~X, roujj;f dans <a \'('in<
rtnatn. V),58,O, .M.-Mxpe-<'ience~i.}5'). toffuencf des
m'rf'i.V),3:)t),3:8.f.Û).–[)at).<)p-
gtandfs.V<,Ï!M!. -Qui sort dps
muiteies i'état do fonction et &
f'otat do repos.Vf.308, 3)8.:t'M.
~)~K\p)''riencessurta~!and'*
sou!i-maxii)airo;Mpp()rt!.aYee)'c-
tat de fonction de t'orgaue. V),
!!U!),;)0). f'arinnuenccsnf'r-
veuscft.Vti,:M)')!tM;C)Mn-
gemont pendant t'ccoutement <)<'
la saih'e. \'n. :M!).
COUMAXJNE. XV{. 39).
COUt' nE CHALEUK. X)! 429.
COUP U'OEtt.en médecine. ViU, 3.').').
COUMAMT CUTAKË. tV, Ma. :t)a.
ELECTKtQUE. induit ou iadi-
rcct, continu ou int<:t'rompu, s~n
innuence sur les nerfs moteurs.
JV, )46. Pumt d'apptic&tion sur
un nerf. H', )5t. Ëtïets pro-duits par leur passée & tra\'cr< t);s
nerfs moteurs. tV, )(!(J.– Os
agistcnt de la mémo manière sur
les (itots ucrveu\ nioteurs (h's
nerfs mixtes et sur ceux. des ra-
cines rachidieunt'santerieures. t\,
)'!). Qui se produisent dans t<
muscios. )\ 30'' à 3)7; X. 2t)3.
Xt, 243. Uu cccur. IV, :!m.
Des muscles, des nerfs du cœu!'
<:OMt't SCt LES L~MPMAT'QmS
dut.umhricusa~ricotaayantcn-
}!;)ohef)<"tCorpuscu)mvcrts.XVf,
9'M,:)S<).
–ttKt'tCt?<t.)V.):)0:X.97.
t~'TACT.)V.):K'.
–yt:ttTScnK)"be''pardesAmi-
hps.X~).3S<).
CUtmKt.A't)0~f)es forces physi-
ques. X\t),t.<)A.
COMVtSAKT Fondateur de la c)i-
nique.XH.~M). –Professeur de.
mt'<t(*r)t)oauCo))e~edeï''Mncc.~
X)V.
COSMtQt!K~Mn.)t:u).ov. Afth'f!~
CO.'M~/MP.
COTES.t.eur)4 mouvements.Y).f'i3.~
COtL'.S''Staiss('!H)\. XV.)<)[)-
j<'<')inn';<tan''<(t*s\'K)ssMux.XV,
t.');). -S<'svei))0'XV,55.
Yi\'t''t'('tiou, m&uuct ûp<'ratoi)'p.
XV. 3~). Vaiss(*ma)'[et-iet. XV,
'!(!(!.
COUEK~OE inn.tmmatnn'p. XH, )!).
COt't.KHR nu SANC. \t, 95Ï, MS
X.2)!):X)r,)).- Da~s)'<'mpoi-
snun<'n]en<))!'r)'')\ftG()o(':trhone.
i)),n:).'xn,:)'i5.- Cho'.to fœ-
tus. \f. 254.- Dxnsdiff'Ét'otttM
espaces de mammifères. \'t.2.')5.
-)nf)))enc<du!iexe.Y),2a;)-–
]nnu"ncfde )'&< \'), 355.–In-
nucnccdft'ctatd'hitjerHation.Vi,2;tt!ttinuencodes nerfs. Vf, 268,
976, M3, a)9. ~:U, 3M; Vf!, 4.')) à
454. RUc r~sido dausies g)obu-
les. Vt. ). Lo sang ost rutitant
fhex )0!< (apint enduiM. V), 977.
Chn! )e lapin diabétique. VJ,
SIS.–Mans )o'! différents 6tats'
des organes. V), 9!n. Dans )<!
rein. V).Ï:)8,<!).Examen dc~
t'apparfi! portc-r~na) chez ios
greuoui))cs. \'i, H05. tntJtteuco
dGi'actepu)monaire.t,!i{!
Actif)nd< poumons. \').M't.
Action comparée de roxydode c.ir-
bone et do t'oxygène. V). :)88. :!iM.
–Son rapport avec (es quautitcs~
d'oxygène et d'acido carbonique
qu'M coutiunt. Vf. MC. Qnanti-
tcsahso)u('setreiatives.V),M(i.
t)KS ŒUVRES DE CLAUDE HEitNAHD. )43
chcznnhpindontiamoetieaeté
coupée. V, t.Dumusc)c.i)s
semodinentaumomentde la
rigidité cadavérique. X,2()'t.–
Leurs pffets sur Jesnf'rh.X,r8.
COmABiT Mt SC~LAtRE tV, '!t~,i,
303. :!()?. Son indépendance.
32.').–).)f')a~r'*nouii)p.()7.
MUSCUt.U-Ct'TAKE. iV, :))t).
DH)aftr<'MouiH('.)V,3)).
–KERVEt'X. tV, 9)' :t"0, :!n.
Son indepeudMce. 22.'). –Prn-
pt-esiit)xnprrs.]V,2M;X,S!!iT.
Sa direction cat'Mtf'riso)('!4nerh
et constitue).) seule <iifre)'enre
rccne entre les dfu\ ordres de
fibres qu'il traverse. X,3)!);X),
~O8.t)('stccn(rij)~t(;dansies
nerfs sf'nsitif! centrifuge daus les
nerfs moteurs. X,)').
COURBES HH LA RKSt'tRATtOtt
dans un milieu confine. tf),2n.
COUBS t)'t;AU. Kmpoisoauement
des poissons. )U.'M.
CRAOtATS des diabétiques, con-
tiennent iis du sucre''etpertcnces.
t, 30i.
CRAXE (BASE ne). V, 332. Chez
tehpm.t,:MO.
CKAKtEK~'K ((;AV)TË) du chien. XV,
257.
CRANIENS (~EMs). \'oy. Nerfs cr()-
niens.
CRAfAUD. Voy. ~fMOt~ecra~nKt~.
CRKATtUN. XYHt,
MOKt'HOLfM.'Qt'E de l'être vi-
vant, animal ou végétât. XVf, t8).
–OM.A~tQUH.tX.!)), 138; XVI,
)?. )2')5t,20: 223, 34ti;XVHf,
t28.Comparée à destruction.
IX, M. C'est un des caractères
essentiels de la vie. XVt, 39.–
Pendant l'engourdissement. XVI,
11<). Elle est avec la destruction
organique dans une succession
neccsMit'e.XVt.tO'i!Sesptte-
nom('n(;s.XV),n'.).–hiiecom-
preaddcujL ordres de phénomènescommuns auxdenxrfgnes: syn-
thèse chimique, synthèse mor-
phoiogifjue.XVf.tSO.Voy.S'/M-
fA<'secr<'a<)'tce.
CREOSOTE dans le traitement du
diabète.M\().
CR!M)?<ELS Expériences faites sur
eu\H, i)!.Voy. C'jM~om-
nes.
CRtS des animaux en e\perie[)fe.\t.8.
CMtSES.Doctrine <)'Uippofr.)te.\f.(!L
CRtSTALUSArtO~ \\))f. <i!.
CmSTAUX. Lf)tr n'dmtt~rati~n.
X\i.t'n\.C<'Y;<)')4'«t)'tC)'M-
<Q~tttP('t.~jt'f/tK<<'f/)'f;&M.
CtUTtEtOL'Mexpci'imputat.Vfn.:)?.
De la m!thodn <pcrirm'nt~it',
c'est )'HXpcrK-fiCc. \Hf, ':8.
CntTtQt.')' 'est t:t n-chcrchc de la
v6ri!('enscparan) ccfjuicstyraide M qui est ta~ VUf. 3;
Apphqupc ta tnudeciue cxperi-
men<a)<n).:M:
HXt'KtUMEKTALE. t, )Ï. 2: f.
2j; Xt, M)i, M~ ). (. )-
–DotagiycogCtti.),<!()& 2'
Sur tes foncnoHS du panertias.. )f,
'i'70.<Aprnposdc)atcm'
p~'raturf: du saug. \t,)4.
Physiologique, exemptes. VH], :!()?.
Elle Hcdoh porter (juc sm-
desfaitset jamais sur des ntOts.\U!,
?' Pathologique et thérapeu-
tique. VÏH, ;t:)9. Nécessite de
l'instituer. XV. t6.
SCtE~iTtFtQUK L 2(!9
cnoctm'r. XY, )8: t89. –Meuss.
fv.n. l.
CROtSEMEKTS. )X. tt).
CROSSE ME L'AORTE. Origine de
ses branches. \V.3f;.
CROTALE. Squetette de la tôte. ))!,
3'.)U.
CROYANCES scientiHfjues, phito-
sophiqucs ouretij.;ieu'-cs,itne
<'autpasy(;nchaiucrt'i(tee.\)f).
?<).
CRURALE f.AMHttË'. Vuy. ~<c<'(.'c)')f-
ra&
tVEtKE). Voy. ~'ett<f ct'Kfa/e.
CRUSTACES, gtycogeuc. X\t!. t)').
CUtSSO!~ daas )'eau f'omparec a.
i'actestomacat. U, 4)8. Ana)yses
des gaz du sang. \i, ;?!.
TAULE AU'MAttË'HQUE ET ANALYTIQUE Ei4i
C~tVKE.Y~y.<<'CMt')V,)
SK~<<'('
C~'tVK~'t;[~L).cm')!oy.K/M''Mt~
(';<))')'<
CULTUtt);.S~ni!)n~('n<ur)('sor-~
panis)))<'st~i:('t.'n)\.XVfii,):t!).
AMtH~'t.'LH \Vt'. n. –i
Ru ~h'i:('npp.n')'<'mj)<'is d'ami-,
()oH.\i\.ttM!. ))uf!;);c')~'tte~
par ta graisse. \)V.')<):).–nu gty-~cf~cnf'ptu'ta ttHiatiu'XtV.'i (!
))u!:t.oS'P'
i<Dn~h~"S'i"<
d'œur.XtY,(!:).
CUt'H<t-t'<)TASS)Qt.'K(L)ù';H~"ou~
)<HA'Ttf.YnY.~M"<'7''
Ct'KA)U'f,:ti:),3.').'t.~n:))[.M!);
X.)'n).n.–Anéantit )<~
syst<;in''u<'rv~u\f<)'e))m-t.pit[at('t~produit h'()ia))~t~arn(it'i<').),3't8:
\)t. :)<). :t.–Hn)pni''o<i)tcm''nt
par )(.urat'<).3(!:t:X.& X',
):!7.M.'):)tM):X)),:)8<i,!3<;XV,
''i<!).–K\pcri''nf("iSUfd<'a)apias.,
f,(!).8():Xf,)'if.-ApparitMn<)u
sucre dans)<'surinpsap)'e*irintoxt
cation p:!r te curare. ).<?.–
Un'aiti) pas sur h'sympathique;
i)('\a~')'<'h.'sf«)i('ti~)n-) nutritives.
).S).Sccrf'ti<)nds[!tS!Hive
aprt:"))'mp')isottuenx'ut.),!tSt.-
Aprt'st'~nipoisofinctncut.ie't sé-
crétion''s~nti) ctivocs par insuf-
natiot).).!)!«: Vt,i): VU.)M.–
jUfsurr~'ctinu (t'anima uxtu~spar~
co poison. Ht,M:);X\![t.M.Sou histoire.Ht. 299: X\ 402.
Sf'sctït'ts connus. Uf.M!).–
tticcrtimtMdetaHatttMttceapoi-!
sua.Ut,9.')< Scsproph6tti!)
phy''i<jUH'i't<'himi<)m"<.H),2.T'
~2<!(!Hxtractif)nd('snttprin-
cipo actif. m,2(!0.Snh!;t.!))Cf's
qui le détruisent, chtot'e, brome,
iodp. acides, aicatit), ~M~
dotc~. (H. 9('t.'MM.(!:).–Cnn-
trc-pni''m)s chimiques. )H,2ti3.
–Sonactiousurtestertnenta-
tioxs.))). '!(!).Action fiot'tes
v~t!tau\. )H,26;), :n8.- Son
at-tin)iSurtcsatin.]U,2e.'<,30(!;
~<<).), M8.–Sonactiouphy-j
sif))oniqu(;.Ut,2m.3s.U.4M,
)(; X.n:):X),t~(.)4C.–Faits,
rt)j)p<t<'spart<'sau)<'t)rs.)U,2(n.
Sonactu)nsurh*sani)fiau\,e\p.
Ut.'M!8,'M<). )''n'!)n);rcs expé-
riences. H). 97* –Grf'nnuiUos
c'mpoi'ionnc('s.fU.2':<)X.)8;X,
n9.X).)tl.4iS,i.')):XV.
t't.:t82.4()i:XVt)).'M2.–Dit]'f-reocf's d'absorption pat'tes'Utf'rsci!
sm'f.tcesttntfjueusf's.)U,28C,37S.
–Action toute spt'cia)e sur te
~\st~n't<tf'r\u\t~hu!it!esn)~-
niff'stati')t)s<))) syst.<m''nct'voux
et t.'tissc intact )(!syste)Uf mus-
cu)aire.)U.28t,3U.X)~,M.~
3~:),M;V,'«;ti;X,n:).–E\-
pfrienfH'i sur t'absorpti~n. ))!,
Mi,).i,<)<;XV.<n.–AKitsur ifs nerfs mnt)'urs,parah't(;)<"t
mou\'('t))(iut:) respiratoire! et fait
mourir par asphyxie,tU.98!<;
X~itt,n(),):!<Mc.'Mi!imf
pr<)<'h.)ind<-bmnrt.)U,2M.:)'4:
X. 2.M: X~tff, :??.– M'M-tappa-
n''nt<'apr~<temp(tisf)uuf*nn')!t.))i,
'~83,?8.'). it n'est pas a)tcr('p!tr
ksuc ~aMri()Ut'<u partes sucs di-
K('stirs.t)),Ï8i.–n n'est pasitbfiortto partes ntemhrane.t mu-
f)U''u'es')tt)t)iaca)ee).esica)<ni
<'Ot)j')ur)i\a)<tH,Mi.–(~n'f's).
pas un fait ahso)n.))),'Nt).
Absorption rapi()u dans tos pou-
mons. U).28(i.–ttf-st. ahs'tt'be par
la muqueuse r<*ctate,)naissurtout
partessurfacesmuquf'u'tt'srt'spi-t'atoit'esf'tparh'ssurfaefs~tan-
()ui!tU-es.!ii,2;Absorbe par
iamembrauc muqueuse i~M~-
nat<!desois<'auxctt)("ir('pt))e.s.m,
2S').–AbsortM'! parle jabot des oi-
soauLt.JH,2Si). -Son absorption
rGtutuMptusfaciiepat'rabsunenct'-
nt,2Mt,M3.–))M'cstpasabsorbH
)Mr)ap('attdesmatnmi)(';rcs<:t(h"!
oiseaux. Ut,?.–nf'stabsorhe
partapeau<h'sn'noui)tt's<)anii
CHrtaittM conditions. Ut. 2!)9.
Son absorption danst'cstomac,
r6t'()es6pitbctiut))S.iU,0'
Endosmose.UL~M.–Uest MM
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD.
Ct.AUt)ËBERNAt!D.XtX. 10
tionmusf'.u)aire.Hf,34G.–Paraty-sie du grand sympathique.))),34!).
–Ktîetsprodnitssurtf'systomont'r-
veuxdesanimaminfériRnrs.)ff,
3S).En't'isur)es'.aog<ue').tff. l,
3M,tV.3«!En'otssurt'e-
crevisse. J)),3G4.–fte.stsansio-
nuencesut'tato)npcrature.tU,3(!h.
–tit~to par art'ët du la respira-tion. U[,3()!Sona('tionsut')ns
mouvemcntsducœur,exp.m,3T'.–Considère comme médicament.
))t,).t)n<'f<auraitùtre rf:-
garde commute contre-poison dp
la strychnine.nf.3?f!C<)ntn;
)('t6Mnos.m.:t'Xt,).–Sot)
action sur tes )imac(!s.))),3?8;iY,
3iC.– Compare a d'autres poi-sons. m, :;8.'< Kxpcriencodf;
K<iiHkcr.)ft,'iC).-Anaiy',(;physio-io~iqtu'des propriétés des systèmes
!n).ttcu!aires<itnerYeux.n),4(!3.
t'iperienceder(!!ikan.H[,i'!).-
Ses réactions. U), 4~3. -Ëtabtit.
i'independance et)a distinction
df't'irritabi)itemuscu)aireetdct'c\citabititc nerveuse. iV,t!)(!
Servant &montrcr)'in<tt'pendanc('
des nerfs etdosmusc)es.tV,ti)7.
--Son action sur tetuert's mo-
teurs volontaires. tV,342. 34.').–
)nnuenco sur tes mouvements vo-
)ontairea.t\345.-La'-ensihi)ite
des nerfs postérieurs rachidiens
coupes no réparait que quandl'empoisonnement est eomptet.V.
4M.empoisonnepastesnorfs
de sentiment, mais l'action renexe
ne revient (ju'aprea.t'cmpoisonne-
ment tompiet. V, ~!8. Ses etTets
sur les sec t'étions. V,M2.–tnsnf-
Cation après l'empoisonnement par
le curare. V!,i)3,30:), .)4;H,3t3,
Température chez un chien em-
poisonné par cot agent. Vf, 93.
Sccretiou rcna)e après empoison-
nement. Vit, 2!)5. Empoisonne-
ment, pression cardiornetrique.
VU, 3t2, 3)7. Urine après em-
poisonnement par cet agent. V)),
3)3 & 3)7. Sécrétion urinaire
aor~s reaipoisoanement. VH, 313.
action surtesnr~anesactifsdeta
circulation et ittt'entevt'pas au
san~ ses aptitudesphysioto~iques.
tH,3<).),–Jtn'tttMn'pas tes pro-priétés respiratoires du sa~g.tH,
S0(!Son action sur !a c!rcu)a-
tion pulmonaire. )U,3tn,30S.–
Son action sur le cœur et sut'ta
circutation.fH, 3)7, .!«'). 370.–
Son action.sur la contractilité.
n),3!M.–Action sur toscueurs
)ympha)iquesdcsgreaoui)tes.m,
3t0.–Action sur tct'œur dota
queue de t'an~~i))f;.t).),().–Sf;
effets sur les nerfs. ![f.;ti).–
Est-il un~enin? m,3!n.
3!)).–AhsHncfdccontutsion--
dans t'empoi.sofmemont par <'<'t
agent. )f),:i~Auj!nx'ntc-t-i)
t'h'ritabititc musculaire? tH, :!)<
!!2t.–8cu.<.it)Httcconscrv(:o<)!tn-i
rempoisonnomcnttU,Son
action surtosmusrtes.tt),)!),i7;
!V,)0!).–fta~itsurtcsys)t<ne
nerveux. Uf,!Mt!Xn'agitpasH il
)afots,(*tdanstcnH;mRSt*ns,sur
tes propriétés sc.asitivo'; et les pro-
priétés motriccf:)! agit sur le
systemencrvMux moteur et sur lui
scu),i)tedf;)ruit.ti).:t38,:t:!8.;i4t.
:!M;[V,);X, S~a~
tion passage reexchtti'idHfd'um'
)csionanatominue.t)t,33).–t) II
n'empoisonna pas les muscles ni
)('sg~ndes.)tt,3!!2.–})in'<;ret)C('
tt8SHset!'Ht!iaYCc)esf't!'ntsanes-
thes.inttes.iH,:)~:).–Son dosage,
)H, 3 <<. Son action comparée à
celle de la strychnine; il agit en
sfns inverse.[I),30,386;'X,!63;
X), US, 22-: XV, 427. U atteint
l'élément nerveuxmotaur, il taisse
intacts les nerfs sensitifs, les rnus-
clos, les autres tissus de t'orga-
nisnre, et laisse aux autres ëtements
organiques leurs propriétés physio-
logiques; il détermine la mort parla destrMction de tous !es nerfs tno-
teurssans intéresser les nerfs scn-
sitifs. Expériences de Claude Ber-
nard. H!, 34'vfn.a';<fx.)!);
XVm, 388. Action de la respira-
TABLE ALPIIABÉTIQUE ET ANALYTIQUE<46
:t)7.–])iso)e la propriété con-
!racti)e du muscle de tapro-
pnet6 motricedu nerf. tX, !8,
)(;()–Agent d'analyse physioto-
gique. tX,!8, HU. attaque la
iibrenervcuKoparsonextrÉmite
périphérique et non par son extré-
mité'con<ra)e.'X,)t),t8t.–t) Il
n'attire pas )aYo)ontc.!X,2t;
XVHLMS.–)! Il n'agit pas sur tes
phénomènes de l'intelligenco. IX,
*'t.tC!;X\'nf,?88.)n'atta<ju<!
pas profondementla substance
m6me du nerf moteur, mais il agit
<-omm'' s'il supprimait en quetque
sorte )e sang & sa périphérie. !X,
'}~. f~omme moyen contentif.
~,1f.O;XU,:i)5;XV,U!)C8;
XVIII, 310. –Se'ia\'ant!tgo'i.XV,
j~Comme moyen de savoir
si )csmusc)es doivent aux nerfs
leurs propriétés contractïles. X,
m. )) respecte i'cfemant uer-
veux sensitif, chez les mammifères
comme-c))t'?.)es hatt'<n:4ens.]X,
t(;].Son action comparée!* à
t'anémie périphérique. fX,t67.
Empoisonnement,on peut préser-
ver certains nerfs moteurs. X,
:~n.–Kmpoisonnementdes oi-
seaux.Xf,07.–Ke tue pas les
animaux dont la respiration estin-
depondanto de tout mouvement.
Xt,)3'Souintensitédaction
ost directement en rapport avec
l'activité respiratoire. XI, 131.
«eptitos empoisonnes. XI, 138.
Poissons empoisonnés, XI, )38.
)':mpoisonnement des mamtniferc!s.
XI, t38. –L'embryon survit ~a
mère empoisonnée. Xt,]:!)i.–
Ses effets comparés ceux do l'upas
antuu'. X), t:!9. Sou action sur
tes espèces inforioures. XI, t't0.
!t cesse d'agir quand le système
nerveux cesse d'exister. Xt,l'4C.
--Hest absorbé par la surface
interne des poumons. X!,iM.Y a-t-it des testons visibles dans
tfifi nerfs paralysés. XI, )42.
L'empoisonnement modifie )a mar-
che du uuido nerveux. XI, 144,
Agit sur les propriétés physiologi-
ques du système nerveux,et non
sur les propriétés physico-chimi-
que! X!45.N.;)a)."sc pas f)o
changfmt'nt physique apparent
dans tes organes. Xt,)~Son
artion sur les nerfs coupés. X),
~)~–Soninnucnccsur)aca!o-
t'itication. XUt,5' Périodes
successives de faction de ce poi-
son. XIII, 5!).–fn<por<ance de
i'ctude de ces période" XtU, 62.
Son <'<))(', dans l'étude de la cha-
leur animale. XHt, <?. Son rote
dans les expériences sur la cha-
]eur animale. Xt)t, 88. Expé-
riences pour supprimer le jeu des
muscles, X!t,).')7.–Son action
sur tes vaso-moteurs. XU!, 2)!).
Hxperiencos sur les nerfs dilata-
teursvascuta.irfis.Xin.Mt.–Son
Htituence. XIII, 30t. Son action
successive sur les divers nerfs mo-
teurs et môme sur les vaso-mo-
teurs. XUf, 301. Importance de
cette distinction. XUI, 3~. In-
jections. XV, 2(!i), :!5~. Son in-
nuenKC sur la lymphe. XV, 383.
Son influença sur l'exsudation do
la fymphe. XV, 38!). Hesuitata
acquis par l'expérimentation, XV,
408. Son action sur les glandes
salivaires. XV, 553. Son origine.
XVIII, 2M. Sa préparation.
XVIII, 239. Son emp)oi par les
Miens. XVtU, 246. Ses carac-
tères. XVfff, 247. Son action sur
les êtres vivants, XVitt, 250. -Son
isnocuite dans !es voies digesUve~.
XVIII, 2M. Son introduction
sous la peau. XVIII, 254. Hapi-
dito de son action. XVIII, 255.–
Symptômes de la mort. XVIII, 256.
Expériences sur le lapin, le
chien, la poule. XVIII, 257. Km-
poisonnement, d'un singe, d'un
Indien. XVIII, 260. Il détruit le
mouvement en laissant persister la
sensibilité. XVIII, 298. Il ne dé-
truit pas pour toujours l'élément
organique, il ne detormine qu'une
sorte d'inertie et d'engourdisse-
.DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. )47
mentde)'e)ement nerveux moteur.
ment de l'<;l'mpnt nel,'vonx mO,tol,II'"XV)f),()'Moyen-i d'arrêter ses
<'f!'t;tspar)arespi)'ationartincie))e.
p.<r)a filature, par )'amputation.
A'mi.3U<Les différences de
<)osefontvarier)esen'fts.XV))t,
3U').–Le poison par.dyseurparex-
ccUencc des système'' nerveux mo-
teurs. XVtU,3iO.
<MAt!t!\t:.m,2<M):XV.)R'),<03;
\Vin,2!8.–Travaux de Pe)i-
kan.!H,3.–Ses caractères
chimiques.tH,2(;t.
<;tJ~A.T)OK des maladies. XV. 9.
<UKA')'H't;(P[!tSSA'<CE).oy.P)<M-
.<"MCfCM)'a/
<:t'tHOSfTHS zootogiques peuvent
devenir les points de départ, de dé-
couvertes fécondes.XI, 4!2, 421.
OUTAKE (CoCKANT). \'oy. CoM;M<.
-(.SvSTÈMH).tX,<;8.
CUTAKHE (EvAMKATMN). Oy. A'M-
~)0)'a<o~.
~StJKfACE) g)ycogette ctiez le fœtusX)V,.t94.
<V<t:K. Définition de la vie, X\i.
38. )i pensait que la physiolo-
~iedevattctreune science, ()'ob-
servation et de déduction anatomi-
que. XV:H,3!), 104. -La vie et la
niort.XVULtS.).
CYA.\)n'nm~UE (AcinE), anaiogiede son action avec celle de l'oxydede carbone. II!, H)3. Voy. ~'MMtt/M<'
(acide).
CYAKOFERR~MK de potassium (in-
ject,io!i de). XV, 330.
CYAXOGÈXt; est, d'après PHuger.
l'origine de la matière vivante
XVI, 222.
CYA7<mE JAUKE nu t'OTAS
SIUM et de fer daus les sécrétions.
L3()G.
CYANURE DE MERCURE Son ac
tinn toxique. III, 67, 103. Pour
sacrifier les animaux. XV, 221.
CYCLAMEN europœum, son action.
tn,300,4T!8esen'e<sgu:e!i
poissons.111,301,304.
CYCLAMtNE. Ses propriétés toxi-
qucs,m,4~.
CYDKDEH AXIS du tube nerveux.
tV.t2).tM,)X.)'X.2if!:XVm.
2'!2. -<ostpar)ui<j!)e';epropa-
sentins actions nerveuses.X, 266.
CV<t.Actions rencxcs cardiaques.
X<tt, 26!).
<;YSTt';ERQU!;S. Oycog~ne. XVft.
[)(!.
CYTOItLASTEHE XVI, )8G XVtI.
4.6.
CYTOftES, XVt, )88, 29'
nmESTË Monstruosités. tX, tt:.
M'AKS~AL. Appareil pour ta.
<cmpct'atur<coustant~.XV,4':6.
t8~.
nAMW<KtSME. XIV, t.,
HASTHE. Corps biréfringents de
t'œur. XV[f, M5. Lactose. XVH.
f'~i.–Réserve p!)osphatiquo chez
ta fœtus des ruminants, des ju-mentes et des porcins.XVH, 545.
DAVAtXE. Paratysie profonde du
faciaf. V, i~O. Anguillules du
b)e. XVI, 87.
)tAVY(Hump))r;Xt[,~8.
UEt;OCt')0~f opatine fournie par io
sang sucre soumise un passaged'acide carbonique. VH, 8U.
Kmu)siyo du foie. XIV, 302.
nECUMt'OStTK)~ spontanée dans
)esang.t,49G.–TraLYau:i. de
Liebig. XVt, )M).–tn vitro et
dans)'organisme.XVm,tt4.
t)E<;t)tJV)-.m'E. VU!, G). Art des
découvertes, J, t9, 2.')), 25:
Prévue et imprévue. I, t7. Du
sucre chez le fœtus. 2~9. E))es
so font en cherchant les faits, tes
)ois scientifiques. XV, 2).
MEtKHJBLEMEKT. Sorte de fer-
mentation appartenant aux végé-taux et aux animaux. X\'f, i70.
!n vitro ot dans l'organisme.
XYftt, tH.
MÉDUCTtOK. XV, 30. Dans le
raisonnement expérimenta). Vttt,~7. Voy. tt/c</t0~f df~Mc~'i.'c.
DKUUCTiOK AKATOMtQUE. :I, 2.
Ei!9 est impossibte. I[, 3.
Di':EX(Var/Sesexperiencessur)a
sensibilité de la moe)!e. XI, )94.
DEt~BKt~ATtON UU SAXG. V!,418;VH,)53.
TAULK ALPHABÉTiQUE ET AKALYTtQUE<48
nËFttttUKË tSA\'(:). Voy..S<!M.?
~f'/i &)«'.
DEFtKtTtO~! dans les sciences. XV),
M.
)mKOMS.XVUt,20t. 'lOI.
–i)E).AVH'XVt,'M.–Aristots.i
XVt.2. Hurdafh.XVt.'Z.'t.-
K.tnt.XVt.Ï~Lordat.XVt.ae.
-)'retira)ius.XV),2f:Mut)<'r.
XV).7. –)':)frar<).XVt,97.–
Richprand.XVi.Hcrb~
Sp('ncHr.X\'),2't!ictutt.X\'f.~
28.- )'M))ctan.X\'),~8.–Cu-
\-ior.X\),8.
DKG.tGKMKKT (forces de). XVH,
'iM.
BÉnK~ÉRESCE\CK nt! LhfJ:
M)t!S')'histoiogi(]UC. IX, ~Ot.
tXTt':Lt~(.:TUKLL'! transmit)
par la génération. !X,9)<
t)KS t't.AQU~S 'te t'amnins du
ffctusd(;veau.X\'t,X\n,<i8.
–tt)!STtSSUS~)a suite (ics)pn-
guas pyrexu's. XtH, 428. -ExpH- ('·
t'ienc<s.X))f.4~))i'.<oi)'ff;t.
crittquodes trayaux modm'nos.
Xfff, 4;!f.
DEHH!'rtTtft'<.S!t(;&noeonscf).t-
tive ta dcsn-uction des spinaux.
V, :)()(!. thagc's de la saUve su-
b)mgua)c. XV, M:).Son méca-
nisme. XV, 5.t'Aperieuces.
XV, Mi. Happort avec ta. sK)ivc.
XVff, 28!.
DËL~UOCm'.Kfft'tiidotachah'ur
intcneurc.Xfn,?.
HKUtU!. XV))). 400.
OKMOCi!<!T!XV",40t.
DKMONSTKATtttX. Voy. fiat'iM't-
M<?;M<t<t<t'won~h'~<
DE~StMHTHES. XIV, !)8.
!)EKStTE des urines. X)V, !)9.
DEKTS. Tartre des <)f'nts. i), )33.
)!<iCtS:VËS du )apin, H )'<tat
normai et Sfipt jours aprts !tt '-t'c-
tiondaia.ciuqun'iniCp.'ure.V,tM.
MS~UTKtTtOK. L'ur6a moins abon-
dante dans j'uriuc dos ca.da.yrns en
est un signe. V)), '!2,
t)Kt'Ë~SH VtTAm. XVH[, t9j.
nt'f't.ACEMEX't'desgMdnsang
au n)oycn (te t'oxygène. de t'hy-
()roi;eN<f)('t'a.)te,etc.,f)if'ttcu)tes
et causes d'erreur. \), !);).
t)K)'()TS)'t.n)f:s.Lf'm-forma-
tion dans )csY.'nssc!i~X). )<).'<.
–Leurs effets hurt'economic.X),
)<)(!.nKt')U':SS);~R !X'Etu'). Voy.A't'
<~<<MCK;
!'K)'HHSS«~HtUTE.XV)),OtUKSttm:mALtS\T<0\ dans )<-
systcmc capiHait'a gcncn)). Vt,MC.
t));SASSH))LAT!0?<. X), 333; X)V,
M():XV)),'M),~8.i;XV[H,)8~i!.tppori,<!e!'activ!t"def'<'x
phcnomcnesaYcc l'activité fo!)<
tiounei)c.Xn'K!3.
D)!S<;A)tTt!S physiobt;istc.X\t),
428:XVfH,3(!8.–Oaditqn'i)
fa))ait mettre des faits &hp)ace
d~smots.Xf,4S().–S!tphysioto-
p;indofantai'iif'.X[,48t.– Il
)'f'fnnna!tdanst'*('crYfauunmt'-
faxisme physiotoeiquc. XVU!,
:!<).
t)KSOK))KKS KKttVEL'X chez )<
diab6tiques.t,4'!S.
I)KSOM<:A,SATt<t! XIV, 3<!0;
XV), 4) XVff. 48~.
HËS KEttFS MOTEUKS. )V.
tti).1.
OM(;AK«.)UE. XYf, 3i6.
MKSOXYttAXO~ t)U SAKG Ac
tions toxiques qui s'y rattachent.
U{,88.
HESSiCCATtON. Son action sur ics
ncrf<- motoura. X, 2(!'J. App.t-
rei[dc!tine~)'<'n)p(.her.IV,t88.
OES TtSSUS. XVf, 96. Kxpe-
rionccs de M. Chevreut.XVi, 87.
nHSS~S AKATOMtQUKS. Xi,
.M7.
UEsTKUCTUt'HTE du sucre dans
tfiSitng.suiMHtiaconceHtratioit
des solutions injectées et les os-.
pcces do sucre, t, 2)7,225, 228,
'!<X)V,209.
MESTUUCHOX AMYLACEE Ses
phénomènes.XV),232.
t'OACTtONXELLE. XVII, 4'!9.
DES ŒUVRES [)E CLAUDE tiEKNAft!). no
fH;STR!JCTtO~Ott<t~ftpr): X\<.
lIIèSTRUCTIONOf.U;NJQI. XVI'I)2.'),)Ï(!,1.')),~t'?;X\H,f\.M,4'
XVtti,)8t!('.Qmpa!'c'cac[-('ati(.n.
M,Mh–<<;stuf)dn.s<'a)'actôrps 's
es!(eniie!sd('tavic.XV),3t).–
H))c<'stavecjacrea<inn organique
datts un ci'fh'cdRSucccssifX) né-
cessaire. XYt, )m.P<'nu.H)t
t'cngnurdisscmfnt.XV), HO.
Se.tphcHomenp.s. XVf. i.'tR.
(comparée la reHovation.XVU,
M).
pAKcn)!AS. )!?;, 2') a
'). –PariuHammcHtoncht'o-
))iquo~t:t suite do fistule. VII,
;)!?.
J)i':STRUC'rtVi! (FHHMEKTATMX).
Voy.<(-i'Mfn<<OMa!e'sf)';<c<'tHf.
t)t;Tt:HM)~Att<~S 5 VOL(t\TAt t-
MES. Elles partent <t(!)'cncô))h!t)c.
tV.M). –KHt'ssHtt-ansmottcnt
pat')e.<! du sentiment.
<34).
J)t!TEHM)?ftSM)- \m, !M t\, 58,
no; XV, x), t?; xvn. sos; xvm,
t'),39,55.–Simp)eotcomp)o'iH.
Yn[,)M.Uy:tundctermi-nisnif absolu dans les conditions
d'c\i'it(;ncedesphcno)nenesnatu-
t-nis, aussi bien dans les corpsvivants que dans les corps bruts.
\'iU, ti;tX,2l4.– Pour y
arriver, dans tes sciences biologi-
ques comme dans les sciences
physico-chimiques, il faut rame-
nerie<iphénomene'}:t.des condi-
tions expérimentales définies et
aussi simples que possible. VIII,t22.estpossibte.danitje-
sciences biologiques comme dansles sciences physico-chimiques,parce que,dans tes corps vivants,comme dans les corps bruts, la
matière ne peut avoir aucune
-spontanéité. VIII, )32. Il existe
dans les faits négatifs comme dans
tes faits positifs. VIII, :))1. Il
repousse de la science les faits
indéterminés ou irrationnels. VtH,3t: !t exige que les faits soient
comparativement détermines. Vin,~H. C'est la cause prochaine
oudeterminantedf'sphennm<'nf's.
\))).383.s'app!i()uean\p))e-!iom'<'sde)a!!eucranonet<fet:<
notritio!).)X.2)i.–nn'f;xf!ut
pas la tihertemorate.iicnest
uneconditionneressaircftahso-
iue,!)n!ien()'f-n être ia négation.
tX,2:!3;\V). 5(!. 5t).(:2;XV)U,)i8.–tf est précis et ahsotu dans
les expériences bien faites. Xi,4'!(!)t est le principe, abso)u
de!aphysit))o~ic.commeco[uide
toutes tes sricncese\))erhnenta)e'i.
XVt,). :n8.–On a voulu t
tort exclure )cd(''termit)ism(;()c
la science de ia~K'.XYt, 5!).
Il est la seule philosopltie scienti-
<)()uo p~sibie. XVf, MC. Il rend
tat'tionpossibte dans les sciences
f"<pe)'impnta.)es. XV[,3.9.–La.
mct!)odo e\pcrimet)<ate a pour
))Ut.(]otelt-f)u.ycr.X\))),78.
Voy. Cause dffernitna'M~, Condi-
fiOMS<~<<')'W!Ha)~M.
nKTHHM)K)SMt; EXt'ERtMEN
TA),. Xf, 509; XIV, )29, 223. Il
n'admet pas les faHs contradic-
toires.VU), 304.DES MALAntES. XVIII, T~.
"KS MAXtFESTATtOXS VHA-
jm-i.XY!,54.–t) Il contient le
pt'oMeme de la science de la vie.
XVI, 55. f) permettra de tnai-
triser les phénomènes de la vie,comme nous maitrisons les phé-nomènes des corps bruts dont les
conditions nous sont connues.
XVt,55.
KEt t'H':KCMÈXES. C'est la ()c-
linition exacte des conditions dans
tesqueUcs ils se manifestent. XI,
5) t. La vie n'a pas d'iHf!uencc
sur)ui.Xt,528.
PH\S)OLOGtQUE XVI, 352.
Distingue du déterminisme phi-
losophique. XV), 54. Héponsesaux objections philosophiques.
XVI, 55. Dans t'organisme vi-
vant. XVI, C2.
DETEUMtStSME RATtOK~EL XI,
524.
DEUTOt't.ASME. XVI, 314.
TABLK AD'HABÉTtQUE ETANALYTtQUE-t:i0
faux, &.savoir <)u't! no so forme-
rait pas fie sm'i'e dans l'organismeanima). f,:M. –inftu~ncc c dnsf~
ma)adif'snig'87, –)n- ri
<1u()n('cdf)ar(~pi)-ation.t,;m.
tht'orif's. ),(!().tGnexif)n!< sur
i.i contphc.it.iot) de ces phénomè-nes. f.:iH().-App)n'ati(mtdn~
physio)ogif\).4)'(Ih('y.)cs
anim!)Ut.),4)8.–Organes ma-
)adesdans('f.'tteaf!'t'('<io[!.),4);).
)fypo'tt'oph!e des reins. ), ~M.
–Hypertrophie dos mfunbrancs
d(')'estom)tc.],~)'Ë<at(h)
ffu<),.i23.–Et.itdupancrcas.
i,Heaffion d'autres or-
ganes sur le foie. t, 4').
Symptômes. t, 43); X),:i:i2.C'est une mahtdieapyretifju'), l,
43).–Kst-i) suffi sammeot. carac-
térise par la p)'cs<*[ice du suf)')'
d.-msi'urinp.),4:!i.–Quantité
(ic!urinM.),440.–Ab'n'nc<)de
).t.sucur.t,.i-i'PhenomÈttn'i
tt<'r<mn. qui t'accompagnent, f.
4')!dh)euce()e')f('c~te;tts.), l,
4~5.t)tnH<)tt'odMm6dicam<;[Hs
ct)''r(!;inucs.t,4(!<C))C!!)cs)a-
pins.tV,'i<)0.–H~pCricnc.c.fV,
4t)4. –)(:<rHt(.'de)'urinod!tns
certains <t!(\i9s.–N'est p~t
produit chez les pigeons par la
piqûre du quatrième ventricule.
)V,4(:i. -('.haztf'.sgrcnouiUos.
JV.4M;XV)f.)(J4.–t.a.te~n
et )'6tat morbide du rein ne sont
pour ricndans le diabète. Y)),7S,
~').- Pat"ia,rp3t')!!)sofj)tion.
V)),'?9.–Permanent, ses causes
prochaines. Vti, 80.–h)t)u<*nM)
dnsy<it(''m<!uertOU\.Vn,84;XtV,
5C5. –ffypothcsenuiatu'ibnf
se!!phë)M)mcaes.'t)apa)'a)yf)icd<"<
t'aisscaux. X),*3m. Ses varices.
X!, M). 328, M).–Son his-
toire. Xr,;H).–Prono'itic.X[,
~:)(.–C'ea.tunf! maladie nerveuse,
due & un cxc~'a d'action du nerf
d~)!:tSMmitatf'urdnfoic,quicn-
trair)c)a.d(;MSfiimiiationprcma-
turuc d'une matière qui devait
BEUXU-:M)E )'A)ttE (R.tr.MES ))K f..t'
V"y. /fMC!)tf'.s
<<f ~!</<')<.r)fntt'p«t)'< j.t)KVKt.'tPt't!Mt:?<T Comparaison
des animaux et des végétaux.], l,
2<!9.- ))aus!«'sphcnomcnes)(")
ot'~aHisjnt'sviYantsnecr~Hntt'if't).i\)2.–t'arsriMion.tX. )()'
Par bourgeonnement ou pat'
m'gnx'ntauou.iX, !<)'t'~t't'c
dc<Yciopj)cment.X),48.–)n-
ûucnt'edciachateurextcneui'c.
Xn),t<1t.–An<!<4t.hcstHdesMs
p)n''))()m)''npapt'ot<)p)asmiqucs.X~,
2<i'?.Quatre types admis par
BM)-.X\'t,3'). -HappM't:t\c<'
icsphcnom&ne~ dC!H!r!t:0!X\ i,
38).\oy.A~'tOnt<}/ff.!A;.s)'o/oyi-
<~MM.
UHS AKTtCt'LMS. XV), 3'!8.
MU COHL'tt.X.iSO; XVHt, :<.
–JHHSXYttMESXVt, :().
tMt'AKt'AtT. m~jadiea <jtti f'n
resuttent.Xt,~).
tHJ LAt't~. XV), :;2b.
–t)H'}J)At)Mn''EHHS.XV).2(!.
t)HS MOt.HJS~LES HASrKMC
t'UM);S. X\ L :M').
t'H L 0):Ct t'ntMORDUL XV),
309.
DU L'OVrt.E. )X, )()'
–t))ESt't))SSONS.XV),2'
t'U SVSTKH): NKm EUX. i)
8'Mcroit a mesure qu'on s'<'t('!yc
dans)'ccht!Ut'an!niate.Xi,)!t.
–Mt;STtSSUS, usa~o du sucre, t,
25' M5.
HK LA TOm'tLt.K. XVt, :i37.
–BKS VHMS A SO)K. Xtt).:)3H.
JUKS V)!K'K)t)tKS. XV), :i2<
HKSZOOt'tn'TE.s. XVI, 3M.
DEVUTtU.~ des traits df la fa<-t'. V,
4).–Deta)jinguo.V, )':(i.
I)utypenor<u!t),ma)auie!)qu[cn
rcsuiteut.X),;)2.
DEX't'Mt~H. XfV, ;!04; XV)f, f.),
27!), MO.
OABETE. Xr,)6;XtV,M4;XV.
M.–Ktuuesphysio)f)i;ique.').), l,
33. Aperçu historique sur )os
théories. f,;)3.–KUes reposent
sur un principe physiologique
DES (EtiVnns [)E CLAUDE BEftNAR!). (.-H
servir d'une autre manierait fa
nutrition.X).:M8.–ftest un trou-
bta de la fonction Rtyco~enique.
XtV.v.–Htndec))imiqueetp))y-
sio)ogiquc.X<V,5R.–))ctinition
et ctassincation defiditïercntes
formes dit diabète. X)V. M.
Dctinition par ses 'tymptumtM cx-
tcriRurs. XIV, R~. Traitement
par)'iode.XtV,7;45G.–Sapa-
tttogonio.anficnnesHx'orios.XtV,
'?5.–(;u)icu. XtV,7. no))o.
X!V,~C.<ieoias<'tG)M'ud<
vi)tc. X)V, 77. Jinucharfi.tt.
XtV.Tt.–MiaUx'.XiV,).–
!M(inition du pt'ot)i<mt' physio-
tOKifjue y relatif. XtV, 8)!. La
productioH du sucre.se rattache
aux phénomènes ~nnërauxdfta
nutrition. XtV, 87.Vues ~cn<
i'a)HS sur )es relation, qui existant
entre tuiettafoaoinn ~tycnRou-
qucdu f'oic.X)V,'i()).–(~rac-
tet'isë par ta ntyeosurif, il a pfmrcoadttiou nécessaire )'t!\aj;er!ttion
prcatabie do ta ~)yct;miH. X)V,
403.–Uaun<'cause pht'i pro-fonde que le symptôme ~tyccmieet f;)ycostt)'ic.X)V,Ut.–lotion-.
anatomo-pathoto~iques. XtV, 41.
Ses rapports ayuc. la glycosurie.
XtV,4f!innucncedei'aiimcn-
ta)ion. XIV, 42?. fnnucnce du
sucre donne dans t'a~ux'ntation.
XIV, 43: Il )-c.su)te d'une su!"
activtto fonctionneHo du foie. X)V.
4~7. Hxpos~ critique des théo-
ries actuot)M sur sa pathoj;Hni".
X!V,44A.–Ces t))';ori<'s reposent
toutes sur la g)y<:f.<'m:'se animate,mais cties supposent resotue'' d"s
question'! que la physiotogietaisse
encora indcc~es. XfV, 445. in- ir
dications retativos au traitement.
XIV, 455. Traitement par tes
atraHn!XtV,457.–Traitement
par t'acidc tactique. XtV, 45!).
Traitement p ar t'acide pheniqiif'.
XJV,4(!0.–Traitement par t'ar-
iienic. XtV, 4(i0. Traitement parla créosote. XtV,4CO.–Traite-
ment par ta gtyeerinc. XtV, 460.
D!Atn:TEAtRU.f,i3(!.
AUME~T.UMKdanstet casd'o-
blitération de )a veine-porte.X(V,
33t.
–ALTEn~T.t,i3<
-A)t-r)t.-tC!HL.).?!n.:tt:;)V.397:
V,i.');X,.4)8;X),8t;XfV,<M.
5C5. --Action du système ner-veux. t, 3S8. Modification') de !a
circu)ation.t,34<). –Pt'oMdë~
')c production par anc.inti'ii<nft]t
du.ysn''m'~ne!-t'f'u\c~)'cb)'o-spi-
naL),)"parcmpoiso))ncmet)tpar)<*
curare, ;par ajM;)to'm',suitc<)<'coutusions cet'ébmics. ), 348.
Consécutif A rctherisation.). 1,
3.')(!f*stp~<} produit par cer-
taines )''siousdupfanchpr du qua-trifme v<'ntricu)e. tV, 448. Pro-
(fuit par la piqûre du quatrième ven-
<ricuif, majore la section des
vagues etdu~rand sympathique.
[V,i.t)t,:iU.:X),2o:3:
X)\\3(j9,:t.S;Tf-mperaturedurnoum. tV,').'). Vt), ;).'<
KfTctdctascctiondci.imocth'
t'pinierp.V.~ii.–C.oagutabitite
plus grande du san! V!f:).
(.hextosanimauxentactation.Vn,
2' Par empoisonnement cura-
riquo.XtV,(};),:n;Nerveux.
conditions e\p('rimeQta)nsnfces-sairfs pour))' produire. X!V. ;)8().
--ttest toujours tempo rairc.XiV,
:!89.–Causes qui lui donnent ];t
forme temporaire. XIV, 389.–
Y a-t-i) arrêt d<' la dcsn'uciion ou
biene\aneration<te)apro<[ueHon(tu sucre i'XiV,;M!).H est pro-duit par une <citation et nou
par une paraiysie.XtV, ;)?.–
Hô)e des nort's vaso-moteurs. X)\
:t!M.
COKTtX'U. f, ~37.
tKsn'nm. Xtv, tn.
t~TKXMtTTEKT 43~
t'EH)!Kn!Qt. i, 436.
SAL!VA!KE. XV, 533.
TKAUMATt~U) I, 3)5
OtABETt~UJES, teur sang contient
du sucre, t. ;)7. L'autop.sie ca-
daveriqueu'indiquenast'etatphy-
TAULE ALPHÂBËTfQU)': ET ANALYT!Qt)t!
température <)Uf'prot)\'e tosan;;
cn~~v~M~M~–
Circutation.V), )t n'absorbe
pas)cst'f'rments.X),~(<Physio-
t(''gicnperatoi)'e.XV,~i)'iinse
dctadistinf.tionentrete'iantmaux
et tes végétaux. XVt,);!3.oy.Cn'cM/~t'Ot).
)t)R)';STtt-'(CAXAL). Membranes vi-
brati)cs.X, )').
(t'EftMKST). Voy. /<'t'W<
–(TMB!).L(!sa)~<'stp)u!! chaud 11.
s:tsor<ief)u'~t<<)nen<t'e<t,8.').
–Ahft'n.'mccdf"! réactions. X,
H.t't.–Dh'mo en trois parties.
XVif.SM.
H!<.i\STii''S (ACTES' Leur succes-
sinn.n,).--(AGENTi!). Leur uoita dans les
ar'in)!tU!(et les végétaux. XVn.
a!2.
(r't.utcKs). Leur action successive.
)i\:i8().
–iL<(!t;n'm).XV,-4')<).– Leut-ap-
jMritiont'n rapport at'ec le dét'o-
toppt'moutdf's YiOo'iitcsintosti-
t)a)M.U,4.')0.–Artifice. X. VU,
2t!8.
(t'HÈNOMEXH~). Xcsume. )), 't&t.
(Sens). Voy..S~c~ </t~M<t/
tOCKSTtO~X, ) )4 XV, 4M XVH,
34!, 3M. 48S;XVUL2(}8,–LH
sucra passe dans le sang, mais
ne sort cependant par aucune sé-
crétton ou excrétion, t, ))4. In-
fluence sur la sccretion du suc
pancr6at)()UC.U,2M.–G)ohutes
du Mn~f,3H. Absorption de
set pruduits. H, M2. tnnmence
du systcmH nerYCUY. tt, 433, ~99.
Son but ftnat. )), 'i!)t. tn-
nucncedNcototstfiurtesimg.
tIt,)M.–Ga:;duMug.tH,n).
tn<]uoncf! sur t'oxygène. !i!, t )2.
–Sun arrêt par la piqûre entre
ios tubercutesquadri-jumMux. tV,
~ttit. Modification dn t'urine. V),
)3. Arrêtée par la mise &nu des
ractnMrachidiennes.V),)M.–
Variations physiologiques du pou)s
ea rapport avec tcii ibnetions di-
gestivet). VI, 22t. Son inQuenee
sin)f)Kiqu''dufoi<)8?.–Pt'(;-
s!'nrcdt)!.ucrt!dan't)M8erf)si-
(<). ~tjS. -Kncasdomoi't
subit f'.it il ad)) surre dans tous
tes organes.t.'t2~. –Dcsonh'cs
)x'j'v(')tx.),4'M.–Loururinu.), l,
Prcspnccdet'ut'eedatis
rurino.<i:n;VH,29. Chp!!
''n\)'t'.)u\'it'nt-c))<t()utCf)Gsbt)is-
snn'),4i9.8tipur.),'i~r<
Aumpsic. Vit, {?.–Prenant la
fi('vr('.X)V,'i~Leura)i[ncn-
tatint'.X)V,4'?9.ny.(.M'OM/)-
<)n~,Crnt:/tf~S<[)'7'F)M/t'n-
<!«'< <7t'M </<)aAe/u/'t.
!)<A<.N"ST)C.V<n,:)'?3.–t!ti)it<
df')'Ut'inf'.V!S,7.–Rstmn-
))p).\U),)~ t)est)'oi)J<'td(<)a
)n('d('<'i))"t)'()))sf'rv.)tion.X[,'i.')!<.
[)H)'Et~:SHd''s gtobu~'s biaocs.
XV, M).
)ttASTAS)<t! (FERMENT). Voy. ff)'-
M;f7i/<<M'</K<
tHAS'rAS)- Xn',9i'XV!,tG).XV)<OX. Stdimtsion.XVi),
:i.
Ar<)MAH.X)V,M.XVH.40,
M,Uf).
-sAHVAmE.n,)Mt,)(;o;xvft,
?S(!.
VMGMTAm. XIV, 30. XVt), <U,
[,1.
)HASTOt.t!. X\'t)[, 33).
n<TUHS);.Xt,59.–Comot.n'ap:ts
der6a)He!icientiiique.X),53~.
OXA'Qt'E. VH, CO.
t)K'.K)r<'S«!<. Théorie du diabète.
X)V,«8.
mtHtMH~CK'' tX)ttv)t)m;ï<t.)ES,
qui peuvent exister, soit )'<'tat de
!'at)t6,soitd:uts)'etat morbide.X),
990.
D)HERKKf:!AT!0?( t'HYStOLO-
G'~UE. XVI, 35!).
tn(.ES'rt)-(Aj'PAMn.).!) faut distin-
guer deux ordr<i~d'orgtut('s,)et! uns
agissant physiquement ou rnëca-
niqufniont,ies autres chimique-
ment. U, 23. Cette division est
en rapport avec les propriétés
physiques et chimiques des ali-
ments. H, 25. Modincations de
DES ŒUVRES t'Ë CLAUDE BERKARD. t:.3
Partesanim.-tux. XVtf.MÏ.
Par les animall\. XVII. :1:)'1.DtGESTtO~ UADM) \TS AHH
i!m,\Ott));S.XV)f, 3)7, ;!?<
–)t ALtME~rs mer)K\iS Xiv,
23!);XV[f,3)(!,32(!.33'
tt tHMt:\TS <:RAS XVf!, :)?.
nA)!Mt:~TS SCCMES. XV!)
32C.
ARTtUCtELLE !f, 3S2 Vftt,
m; XVII, M!. –Apres la
mort.X, )8!). tn titro.XV,
49< -Heaumur. X\!i,2<;t.
Sp.)))anxat][. X\)),9f!t'i(.do-
mannctGmchn.XVH, ''(!(!.
LeurGtetLM<aignc. XVII, 2f!{!.
't~LACASEt~fH. VU, 40t XVI!,
2!)7.
-MEt.AFKCH.E.t.).~)
MU LA HBR!~); XVH, 2!)5.
MASTtU~tJK. XV)). 30(!.
ttES GKAtSStS r«::t;TKt:S. Par
)cs))c.p:tncruat[qm'.X)t,:t')'4!)).
–Objections cievecs. V)).;)4'
.tm. Examen {ic ces ot'jeetiofts.
xvn.M'
<KTt;STt?<A).E. U,42i, 4!8, 4M,
4i7;XVU,3i).
ttESOS. XVII, 303.
C"EZ LES fLA~TM. XVU. 3M.
–ttKSttESEnVES. Par les végé-
taux. XV)), 33?. Moment ou ap-
parait le ferment digestif des ma-
tieres sucrées. XV)),{!).
t)H LA SACC)tAKOSË.X!V,24');
XVIf, 339.
SECO~OK. XVII, 3R6.
STOMACALE. X)t. 407 't 420.
Elle n'est qu'une préparation à la
digestion Tentabtede:! aibutninoi-
des. XVII, 303. Voy. SKC</a:<rif/Me.
UU SUCHE. Par la tevûrc. XVU,
3~.i.
DIGHSTtOK DE LA V!A?<nE XV)t,303.
DtMESTtVtt {Acnox). RMistance des
épithéliums. XVt), 30t. Son uni-
\'ersaHtc.XVH,32:<.
(CAVtTÉ). EUe est un appareil ex-
térieur h t'anima). XVU, 343.
Complication croissante de l'ap-
pareil dans la série des êtres vi-
vants.XVH,2~.
sur t'ahsorption d'nxygcne par le
san~,V),85.–Snninnm'nccsurtu
constitutiandci'urinc.V!).!).–Sno
it)f]uen<'e sur )cs phénomènes de la
vif'.Viii.X). Hû)c des actions
rcne<tes.X,38<Janucxccdes
causes moraics.X,38).–fart. des
phRuornenes mécaniques. X, 3SM.
–Lcsphpuomt'ne.s mécaniques sont
dusa desactions réflexes, de même
<)UO tes sécrétions digestives. X,
3.S7. Le*)ncumogMtt'iquf"!SO[)tsonsibtes. X!, )(!5. tn0netu'c de
la morphine. X)t, 2t'28).
KifccstNt'r&tcepari'opiuttt.Xtt,
)<i9. Elle s'accomplit malgré la
suppression du cerveau. XIt, Ï8:
–mtGestftiftinctcdftt nutrition.
XtV,435.Actes physiques et m6-
caniques.X\i9;i;XVn,a<').
Actes chimiques. XV', .i83; XVt),
249. Borelli. XV, -;9; Va-
)isnieri.XV.M.–Keaumur.XV,
~9t;XV)),M;). -Spathtizant.XV,
'i!).'). Leuret et Lassaignc. XV,
't97.–Lessensatioua en rapportavec son tray.iiine sont pas abolies
par la section dupn''umogastriqu<
XV, 553. Modifientious de ia mu-
queu.sc stomac<t!e. XV, 5(!i. L'c-
pithetium se détache. XV, 5M.
La bite est secretae pendant ses in-
tervaiiei!. XV, 5!)8. importance
dot!isGC)'etionbi)4air6.XV.5!)').
C'est une fonction préparatoireà )a nutrition, accessoire quand ou
considère celle-ci dans son essence.
XVtf, 3t). 1. Ilistoire des théories
de la digestion.XVI!M.-Etpc-rience de Stévens. XVn, 'j64.
Proprement dite. XVH,2'
OpÉree dans les pretniO'es voies
di~estives jusqu'à l'intestin grcte.
XV)[, 283. Sa durée. XVII, 305.
Hôte de la bi)e. XVit, 307.
Quatre espèces. XVII, 32(!. Voy.
/(&0't0?t digestive.
DtGESriOK DE t.At,BtJMt~E
XVtt,M6.
DES ALIMENTS. JX, 97. Mo-
ment où apparalt le ferment diges-tif des matières sucrées. XVII, 339. 1
TABLE ALPHABÉTtQUE ET ANALYTIQUEt54
sance, G))f ne tient pM compte do
la nature des excitants. X,8~.
nOCTtUKK OtS t'MOt'tUMTKS S
VtTAt.t!S XYH. ~0. 4f!8 XVttt.
t.t.
OM.TtUKES MATMR)AHSTt:S
XV),4t.
t'HYhtOLOGtQMES Dans l'anti-
quitû.XVt),402.-t)!tus)e moyen
&gc. XVU, 4tt. Dans les temps
modernes. XVn,'i'Mho()e
contemponuno.X\H, i~S. Leur
~votution aboutit. )a constitution
de la physiologie généralo. XVII,
450.
t't.ATOK!CtE~!<ES. EUes ropous-
!f"")~ science.XVU,40G.
YtTAHSTHS. X\ 4t.
n()SA(:Et)UCt;RAttt' t'f, X3).
RES MKDtCAMËXTSongouorat.
)n,3:ii.[)t':S t'«tSO~<S, on rapport avec to
poids des animaux etin'ecta quan-
tité do sang. 343.
nu SAKH par les poisons. V!, t !H.
))U StJCME dans le t'oie, t, C2.
Dans l'urine. X)V, ))8.–Uan-)
)cMug.X'V, )')!);XV,4M.
Hcfnic!-s pcrfcctionnctnRnt!) do
l'appareil. \Y', 481.
!)OSH.iX,!t8.))cs poison!H),
)u2;X),4i2.- KUuMuteditK-
ronciete.s médicament!; et les poi-
sons.XH,44'
ttOt.!L)EUH produite par injection
de sel marin sous tapf'au.I,?').
–Son iuOucncc sur la sensibilité
r<curre))te.)V.5S.i)onneepar
rc\eitation d'un nerf sensible. IV,
').').–Son influence sur les mou-
vements du coeur. )V, 3.'<;t. Sa
tranemiss'on, ma!gr6 la destruc-
tion des gansions itttervertcbranx.
V, 539. Son influence sur t.'t
temperaturH du sang. Y!, 155.
Elle din'ef8 de la sensibitit~. Xf~
2M!. Sa production. XI, :i45.
Sous l'influence de certaines excita-
tions. Xt, '.iMi. Voy. ~'j c~f)0n duM-
<0«rf~A'f, /M/fi!<!OM (<OM/OKt'CMSC.
COMTE. Dans to t'aisonnemont ex-
perimentai.VtU,8,85.–C'es.tla
DtGt:STUKS (PttopM~rÈs). X\'H,
24'2.
–(SMnKTMKs). )X. ~S; XV,
XV)i.S'!(i.K))t-!4sontdues~dos
actions renfxcs.X,38'
~mt:s). K~citatinn g6n6ra)o pro-
duite pari6thpr.)n,<t't'M-
s)~f'derurÉc.V)!,X~)no-
cuit6du<'nrarc.XVt)<,3M.
tH<;tTAt.H. Sou .u'tion sur !e<tfnHs-
c)f"X),).At't'<)nr!)C.tioti<)u
<'œurtnngtcmpSM'nntdepa)'!t-
hscrit'9 autres muscics.Xt, SU.
–Maas(aM\'M.XU(,'44'
D!GtTAL)~H.)X,)(!X).)&0.
MH.ATATKt.'RS(~ERM). Ycy. N<')'<
<<<~<f~ A'C' t"!SO-t/'7a~
~!<)'S, t'MO-O'i/a~'Cti)'
Bn.ATAn"N t'U)')!LA)RH Xt)),
2a7. Par la beUadono itpr&s sec-
tion do la X" pain'. V. 90.'). Pa)-
Mctionttufitetcf't'vicatda grand
i;yn)pat))i<jue. Y, 53.').
D!LATAT)Or< ttESVAtSSKAtX
!n<1uf.!Mce do la sen'iibttu.o. V, !)~G,
5!)!. produite par )<s uerfs du
!ty9)<'nx'ct')'c))ro-'ipin!<).X, 40!),
–Ui):)t:uion active.X),2.') (!;Xi)),
!M. Co phénomène est actif et
n'est pas le resuttat d'une dixteu-
sion purement passive. X), '?5~.
Quir<'su!K'dc)~M'c<iondUR)'a.nd
sympathique.Xf,'2M–OUatatiouionte des capittairt" XI, ~7?.
Par effets renexes.XHf. ~:t!).
tttxno~. Préhension et contention.
XV,)H.0<MËCTM!CES (FoHCEs). Voy.fo'-CM
(/f)'<cfr;cp~.
UtSC))'H\); EXt'KntMHriTAU:
X\ C. i)e t'cxporimcatation phy-
siotogique. XIV, )M.
MS~ME nucteatro. XVt, 30t.
HtL'MKDQCES YH, )(!3. La ni-
cotine. tt!, 408. ËTipMence do
PoiseuiUo X). 7;
OtVtStOX ce)hi!iuro. XV!, :<()?.
Endogène de la coHutc. XY), 302.
D«CTH)KE. c'est une théorie nuel'on regarde comme immuabia.
YtU, :t85.
DE BKO~'N. X, 80. Son insuff)-
DES (EU\'RES DE CLAUDE BERNAHD. <5'i.
base de t'expérimentât ion. VU), 3M.
DOUTKt'ttH.USOt'm~Ut: \V!f).
78.
DOUVES OU tOtE Glyco~t-nc.
xvtt.nc.
BUAUSME.C'est le caractère essen
tietdu système nerveux.au peint
detuephysiotogique.Xt.t~.
–)U;St')BAKHnE.XV)),Mt.
V) ) AL contraitc ta pttysioto~ie.
XV)[,)4<. –Son origine. XVH.
)C(..V()y.Di<a~<'ctft~ï'or("
<<2/~Sj'
Dt.'ALt'tR pfëtonttun <')cs phcnom~-nes chimiques,che7.tt'sanim:iu\et les végétaux. Xt\\ )(?.
–vtTAt.E. xv!, ixu.xvn. )x.Théories dans tes deux règnes.
XVt, t29. En rc~-n'd de la phy-siotogic gen6ra)e. XVi, ) ~0. Unc-
trinoc)'ront''c<)m.)ttrihue)a des-
truction organique aux animaux,
et la synthèse organique aux vé-
gétaux, en tant qu'il s'agitdcs
principes immédiats.X\n, 33.
t)Ut!())S (Jacques) dit Syh'ius. Voy.St//u~us.
DfBO)S-H Ët'MO~'O. Expériences.
fV, 2)~Apparci) pour étudier
)'etcctricitcmuscu)aire.X,3()<
DL'CttH~Kt! (de Coutognc). Ses
expériences sur la fontractititM
muscu)a.i)'e.X!,23!
D~C'.AUX. UcYetoppement des vers
!tsoie.XH),92t).
DU<.C)T);.XVH,M.
DULUr<(. et tH':St'RHTX. Expérien-
ces sur la respiration. XV! 2fM!.
CU.M~S. Mapport sur j;t fnnctio!)
g)y<'ogeniquedufoie. f.~tO.–
Hononce it la physiotngio et se faitchtmiste. IX, t'i~ Antagonisme
chimique, physiquoetmecanique
entre iesanimaux et les végétaux.
XVI, )3u. Discours aux fune-
)-ai)ies de Ci. Bernard. XVUf, ;).
DUunKKtJM. )), 3M XVU, 3)'
De rhommc. U, )85. Du chat.
If,34'Dutapin.n,34~
Modifications des fibres muscutai-
rcs. I), '4M. Glandes do sa tu-
nique. XV, &82.
nURE-MKt!);. son rô)e d'après (.a-
)i<'n.XV,;):
MfKHK des e\p'ric:)Cf's. XV, )73.
t)YNAM)QH;. Voy. A'~<< ~7;anit-
que.CYS)'EPTO~E.XV!t, 30). S5G.
UYS'EK produite par la respira-tion artincietie. XV, t37.
BYTtQt'ES, teur .système nerveux.tV, MM). Mouvement, de rota-tion. tV.)«.
EAU. fnnuence sur la productiondu sucre et de la matière gtvcn-
geno. ), )i8; V!f, .{j8. So-
iubititc des gaz. H', !OS.
Son injection dans ta sang n'aug-mente pas la quantité de la bije.
V). 3: La vesicute du fief s'en
iunhre. V[. 3.'). Sa formation.dans t'hypothcse d'une productiondacida cat'booifjuo par combus-
tion intersthif-nc. VI, ;).). H\-
pcrienco. Vt, ;2. Fournie pn
plus au sang arterie) par la lym-
phe. Vf, 43!). i.4t. tntiitration.'Vf,'i(! tnjection dans le .ang, ;cs
cm-ts. Vf, :!i VU, ~-i. Injectiondans le sang fait passer i'aibumino
dans tes urines et dans la bito.
Vtj, 2)1. Comonant du chloro-
forme et de t'cther eu dissotution.
X((, 5!). Comme milieu pour tes
êtres vivants. X, .if!. Condition
première de toute manifestation
yita)e, élément indispensable a )a
vie. Vm, 20< XVtt, -Anes-
thesic par l'eau chaude. XV, )(!'t.
Odoroformo pour anesthesier )e~
grenouities. X)!, :')<i.–Froide dans
)o traitement du rhumatisme ccro-
br~). XU), -~8. Ëxperiencessurson inHuence dans !a vin )a!ente.
XVf, ';). Son innuence sur )a
vie constante. XVI, Ui. Xous
savons comment e)io se forme, "t
non pourquoi. XVHJ, 56. Voy.~cc<!0n <e«:<.
CttEX LES t'tABETtQUES.Vient-cHa toute des boissons? t,442.
DAKS LES HQftOKS DE L OK-
GAK'SME. VI, 30. ECots de
TABLE ALPHABËTtQUE ET ANALYTIQUEi:i6
t'injcctiond~t'Mud.tni) te système
vasrutaire.Vt,3'Kxperiences.
V),KAU t)A~S L'onn~XtS~E. Limites
f'tf'nduf'sct~ri'iesqu~ticspoun'a-
rk')'ta quamitc d'eau qui c~itte
dans)'organiM))t',V),).–Son<*t-
('s,sadimiuution,cousefjuencos.
V), a' M.Sa formation. Vt,'i~);Y)t,<M.–tticn ne prouvela formation d'eau dans t'orga-
t)i'<mc.\f,'H.Uncs'cnforme
p.ispar combustion dit'ectp.XVfi,
MS.
-<tEt.AS.~t.!V)'d'o<tprovi('nt-
e)!c?Yt,3M; Vtt, 2~EUe
\'ieat)'!nti<rcn')cnt(.)u sang.V)!,'i.')S.
)tU S.<G. VI, 4(!3. !)es gros-
sosotpoites veines. Vt, <).–
Augmoute par )cs boissons. VI,
~3!).–Scsoî'igtnpapossib!f's.Vt,
i-42.–Variations d.tnsic rapport
fpncxi'itc entre !a proportion d'eau
''tceift'des mat~riau~. soldes. Vf,
'.i.').-Sa()t)antitc.X!),49G.
ntiSSEOmrtt~S. KUe vient
doMnf;.Vt,-t:!9,4!C.
)'t;V)C))Y. H))o rend tous les
liquides animaux aicaiins. VU,Ht).
)E ttHK LH.Liquida pancft~atinuo.V!:!M.
ECCttYMOS)!dan'! !ocfBura]a
suite d'injection dausta carotide.
tV, 5C. !)ans le cœur, après in-
jection du sang vers le cceur. VI,50&. Uano l'oreille, Il )a. suite
de la scctiou des nerf!; do i'ore))te.
VH, 3M.
MCH~NHH n):S (:AX t))USA~G )U,
ni); Vf, 3:)i), <'ti). Par tes pou-mons. uf, 13~ x, sn xn, KM.
L'oxyde de carbone y met obs-
tac)o. Uf, )8;i. Li). respirfttioneatun phenomeHede cette (iaturo;la combustion, non. Ht,22t.
ECttAKCt;s VtTAUX. La gtyeose en
est u.~ ciÉment eMontie!. XVil, 3.').
KC«AUtH:NK~t U):s OMËtH.ES
chez le lapin, par la tfoction do la
moette ôpinitre. JV, 44t.
t;CHAt'm;MEKT DU SAKG. XUf,
ML –«est, jusqu'à un certain
dc~rads température,ta condition
necfs';airedH)amort.XfH,35).–
('.cm'iirnitc, pour tes animaux à.
sang chaud, est dn'i nu $dc{!res'
p)us6)<'y~c que la température
norma)c.X)U,353.
tcmn~t~K.ftf.a'jt.
t nmxo))r:RM);s. XVII, 247.
tRLAMt'S)K.Sucre dans les urines.
I, 435 VII, 138.
tC()msDHMf:n):C)XHdet'ïnde.
n.'i'M.–D<-Montpcnier.X!,42!;
XVtr,t28;XVin,)a-t)'tonic.
XVi!,M5.
–n):At'H)t.OSOPmEi)KLA
NATtmE.Xi.~S].
E<;Ot'LKME.'<iT des liquides dans
des tubes inertes, dans des tubes
ft'f;auiscs, dans )cs vaisseaux d'un
anuna) vivant.),fi).–Hxpcricu-
cc').f,).Kxpcrienccsdf;Poi-
scuiih' 72. Conchisions. III,
S).
ECm-:V!SSt. Effets du curare, de la
strychnine et du sutfo-cyanure de
potassium. 11I, M4. Oycogùnc,
XVn,))0.
KCTOXEHME. XVI, ~)9.
ECT()P)E du ca~tr, observation de
Herinp;. VI, 10(i.
EDt.'C~'XOK. Allures qu'elle fait
acquérir. tX,2)6.
Ht't'HT. Ses relations avec la cause.
IV, 17. Le lien qui le rattache
à la cause n'est pas caractérise
par la succession. XVII, 3!)8. U
est tid à la cause par le phénomène
de réciprocité. XVH,3M.
mCAt.. Kxpcricnccti prouvant
qu'on peut 10 produire part de
)'cnret g6n6rat. XV, 329.
tSFtETS MHRtCAMENTHUX. Voy.~<<d<ean«):<eMj; (efîtits).
TOX)QUES.Voy.'roM?Me.< (effets).
Et'FOKTS. Le foie expulse davan-
tage de sucro dans le sang. t, 936.
ELABOMATtON nutritive. XVf), ) t8,
<35,366.-tntMtina)e.XVH,368.
ELASTtO'tE. XVI, 245. Du
tissu nureu~.tX, H6.–Art6-
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. i:i7
ELEMENT CtHMtQt'E. Rnmparu ¡.
!'et<*m<'nt physintogi~ue, leurs dif-
fere)ic<'s.)X,'M.
Ct~THACttL): Voy. CoM<)'ae-
<t/? 'ctcmcnt').
(;LYt:<t~t(H ): Voy. C~co-
~~tt~M" ff'icmcnt).
LVM)')t\T)QU~. Voy. ~.ym~/ta-
tt~tt~ (ctcment!.
MOH)'tt<H.<QUH Le d! roier,
chez les L'trc-i vtYantrS, est. ta. o;t-
tu)c.XV),)tii.MtJSCCLAtKK. Voy. jf!M')''f
(ciemcnt.
Kt'.ttVKt'X. tX, 0. Son an.t-
tomio chez les invertébrés. )V,
5~8. Ses fo)'incs les plus ~im-
pi)'s.!V,MS. Atsucia.tioudf's
mc'mfs)')cmcnt'idmst('sn<'t'>
cr&U[ens(;t()!ins)csnprfs!'achi-
diens.V, Hô)t'dusan~.)\.
)'2T.–(,n)t()ttionsdevit.dit6
dan'.tosan~.tX, 2'Sa t'urine
anatomi'[m;.t\3.–nrautdi-
tinguct')of0t'pseth;scxu'cnihca.
iX,2:C'(;st)mvcri).:tbic
organisme t''icmcntaire.[\. 3!
Ct'ntt'a).]X,:t'Comment il
perd ses propriftos. XU, T!9.
Centra), actinu do t'hydrat. de
ch)or.tt.XH,2.
!\)-:)!.Y<:tX MUTEt;K.tX,M;
X,2!X\H), 2~t. –ncst.
distingue da t')')cm);nt scn.sitif
pat'tecurarf'.tX,)!).–f)c-<t
atteint piu'tucuraroquienseparf
les proprMtes physiotogiques de !a
cc'nt)'actUncmu')Cutah'c.tX,i()t);
XYH),2<8. C.atn;n,X,t.S.-
Wafker.X.TM.-Ch.ti'-nctMa-
gendie,X,3~ r.
~~KVE) X SK~StTtF. )X, )');
X,'j3'XVtn,Ucs.di-
ttugu~dt't'ctcmf'nt moteur parte
curarf. tX, ). La Mrychniu';
est son poison. tX, 2). Il est
respecte par le curare, chez tes
[MatnmLfei'es et chez les hatt'act'*[).s.
!X, !6:. GaUen, X, 2:!8.
1Watkpf, X, 2:!8. Ch. Bett et
Maget)die,X. 2:}'.). Il estattcmt
par les ancsthesiqu~s, XU, H'J.
ricHo. !X, in. Musculaire. tX,
1
H8.
1X, 1 l î :\tuscul2ire.
I!i,Et.ASTtQUE (TMStj). IX. t)8.
ELECTmOTK. Cnmmo e~citMt <)p-
p)Muu au\ nerfs. !V,)')2.tn
nucncosurtesoorf'! moteurs, t~.
H2.)(i'X,M!). -A courant
constant et continu. )V,)49.
Son action sur les nerf'! mo«'ut-s
suivant son intensité, le sens dn
courant, etc. ËtnerioncosdH Lon-
gel, de M&ttRUCf'i, do Housscau.
)V,)C:n()-)8't.t'tperit'nccs
doC).)}ertMrd,diYer'n"ncri()(tf's.
tV.)85.Eftcdin'er('<!o)apro-
pri6t6nerYeusHmott'icc.tV,3'S.
tunuencesur la salive. VU, 'i.i.
–Soninnucncesuriesucp~n-
cre~tiquc. Vn, 25t. Pour coa-
gu)R)')e pancréas. \'tf, 2.X. tn-
fluence sur la vie. X, ~i. Son
action sur les musctes. X, )M; Xt.
8&. C)assif]fa<ion de ses cn'ts
d'après )t)<i diOcrences d'intensité
des courants. X,S8i.–Son ac-
tion sur les nerfs sensitifs. X, ?3.
–Dccontact.XV,40;).Voy.(.tf-
rntih c7ec~'t'?i<M, t'.Ee~tttt/Xc <<
<)'/f/Me, Ej'c;ff.t)t~ e/<'c~'<f/Mf~, t'.f'
C!'<ft<t'~ e~c~'t~uc, /t't<an< <~M-
<)«'a~!0't<'i'fC<t'~<«'.
A~tM-~LH. X, 20: \'oy.))!
maux ~~ch't'</Me' Pot'sïonifC /cc~'<-
o's'.
MUSCULAtRE. X, '!02. A t'('~t
do repos. X, 20.'). La surface
est électrisée positivement et le
MnU~n~emM~X,M~
Appareil de Dubois-tteymoud pour
retudicr.X,2t)6.
~)!ttV)tUS[;. X, 2~.
Et-ECTtUQUrS (At'pAMtLs). Voy
~;)a)'ft'/i. e<<'c<)'«'.s', (.'Ait~tc c~f.
<)'t;e, ~~M, ï'~t'rnto- ~~et.'<
)/!«'
~PHÈKOMÈ~Es) comparet aux phe
nomènes nerveux.t\2t0.
E'.ECTmSATtttK de l'oreille aprè:
section du sympitti~quc. Y, A!2
ELECTROTOKtQt't; (ÉTAT). VoyE<a< ~~e<)'o~onf<p.
KLECTROTOXtSME. X, 289.
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE<S8
t:t t;MKK T t'nVStOMCtQM); Com-
para !trc)emcnt chimique,
tcursdiffcreotes.iX.).).
)'t.ASMAT<~t'K. Voy. Ma.tHia-
~f/<' (ctcnK'nt).
t'LASTt~UK Voy. Plastique (t')c-
mf'at').
)~);ME~iTS ANATOMtQt't;S, tHS-
)OLOm~t<:S, <))t<!A~)Qt')ES,
)~: IX, M, !)3, )); X, )9,G);
\))f.5; XV, 3!M; XV)), <<;
XV))), )!),(!).–Leurinnuf'nce
propre dans )('!ij)!'oprMtC!! des
principes intm~di~ts désires, vi-
vants.))!,43.Leur rigidité Mda-
v~ri<)uc,)X,2')i'!nopOt)-
vent jamais tiostipptccr physio-
to~iqncmpnttasunstcsautt'ei).
)X,().–Le fait mcrno dateur
viuuscett'icie le milieu inté-
rieur organique. fX, 43.– In-
Oucnt'c de impression du sang.
JX. 47. fi est CtnittOfnmcut des-
tructib)o et périssable. IX, 9:
Leur nutrition. IX, !)4. <<'st en
<'u\ que s<'p:)ssc).'t nutrition. IX,
!)8. Leur d(~<'t)('rcs<'(.nc<' uttcur
)nort.tX,)0);X),)t);XH,)38.
-LcurrcdintCKration.fX.tO).–
Leur rc~cn~r.'tt.ion. IX, )0t. CH
sont dus organismes 6)t''Mntaircs.
tX, 10:).–Actifs et passifs. tX,
115. La physiologie g~ncratf' est
l'étude de leurs propri<:tes, df
tcurs manifestations isoiccs et dos
manifestations comp)o\M ()ui nais-
scntdetcurarranj;om:'ntcnor-
ffanisme!. plus o" n'oiu'. tit'ves.
IX, )3C; X\')J, 4. Leur dine-
renciation est le grand principe<)cperf(;ctionnMncnt organique.
iX,nC. Il y en a pour qui
t'oxy~&no est inutile on m(';mo (M-
te).<;re. )X, )8' Lf sang srt6-
rie)scrta)cur respiration, et)e
sang veineux à leur alimentation.
IX, )88. Leur formation évolu-
tive n'est pas une génération spon-
tanec.)X,2t'C'est sur eux
<]u'i)<autaKH'.)X,2G.– C'est
en eux que résident la vie et les
prop)'iGtf':svita)cs.X,2:i29;X!,
4:!?;XV,')4,303.is))'entrent
en action que.tous )'innu"ncodea
!ci!stinns parties <!u milieu qui
tes entoure. X.24.–L'action dos
irritants se produit sur eux. X,
M.–fts sont invariables dans
t'essence de tours propriétés, dans
endroit du corps qu'ilssoient p)aces;i'intensite do ces
propriétés peut sente varier pour tetueme ciment. X, !)5. –C'est sur
eux que les médicaments et les
poisons agissent. XI, 83, 8' 49C;
XtL 382. Ils ont des propriétés
différentes.X!.8i. -Modinesp~r
tes ngents. XI, 84. Les poisons
sa ~tissent jusque eux, et agissentsur eux. XI, )'), 432 XV, :<;)().
Ils doivent avoir des propriétés
identiques par leur nature dans
toute la Mricanimate. XI, 292,526.C'est en eux que résident tes
causes des mafadips et qu'il faut
cho'chct'tc'! lésions organiques qui
6unt)!t('!tuMdc)amort.X),4M,
ftT!. ('est en eux que se trouva
)'Mp)ication dos phénomènes do la
vie. XI, 493, &()' 5:!2. L'expéri-
mentation physio)ogique rechc)'-
rhe leurs propriétés. XI, .')08.
t)s sont doues de propriétés
physiologiques. Xt), 383. Leur
vie dans )e mUicu intérieur. XiH,
(i.–LeUt'rote dans la chaleur.
XIII, )3ï. Sur lequel po-te
l'action toxique de la chaleur ex-
térieure. XHL 36). Leur auto-
nontM. XV, in'f. Les poisons
portent jusque eux )'ana)yse expo')'iment<))o. XV, 88. Leur sotida-
<-i)e.XV,90.–Leursfouctions. XV,
!?. La circutation s'exerce pourtous tes ctements. XV, 290. Ils
reçoivent par les capittaires l'ac-
tion des agents toxiques. XV, 350.
Classés par Mayer. XVL 184.
Leur anesthésie successive. XVL
3M. Au point de vue de la res-
piration. XVtf, ~7. Le physio-
logiste les modifie, au moyen de la
nutrition, our agir sur les orga-
DES ŒUVUES DE CLAUDE BERNARD. )S99
ni<imt'syiva!)ts.XVn!,tM.–La
!!('nsibititepstnnede)curspru-
pri6<esfondamonta)cs.XV))!,2TJ.
--Mâture )curind6pendanco,i)s
n'ont d'etTat physiotogiquc quf
par l'ensemble de leurs rapports.
XVIII, 9M. Voy. Ot~an~Mf-jf
".f'H~.t<'M, /i<n'<tf)OM des élé-
ni<'Mh.
Kt KMEKTS t)U CORFS nfMAtX
X.M.Kt'tTHKHAL'X. Voy. fp!t<
~aMJ; (c)ements).
GLANfUJLAtMKS. Voy. C~a;M-
/ftt')'M (ctement.s).
HiSTOUX~QUKS.Voy ~e
)?ie;<h an'~owiçt~s.
<HU.A?()QtJ)';S. Voy. jb'/cmcfits
f~t <<0')i!t<'S.
ttVAtHOUES.Voy.OMr~Mff (c!c-
tnents).
--KKSCtKA.TOtRES. Voy. ~M~tra-.
~off (ct~montsj.
~U SAKf.. IX, 40. tnn'mnc.e
<)):' la chatcur cxtcheure [n sans
dfvtenttrssMp'dement veineux.
x)n. :n2.
OKS TtSSUS. Voy. &<'MM)<s ana-
~Mc'
.t;t.unXA'rtOX, ses voies c!f<
tives.It[,46;Vt,i~ Est!c
meilleur contre-poison. )tt, t02.
Theorips tnedicates fondées sur
ce fait. VII, 2)0. Modinée par
la quantité des substances. VH,2.8.
DU FER dans le sang. VI, ~6, 448.
–t'AULHFUtE des substances.
m, co.
n);S GAZ. !tf, t6t.
t'AR LES CLAKt~S. VI, «(!,
iM.
nE)L'<ODE.),3i[
t'AR LOttGA~tSME de l'excès
de chateur. XIII, 450.
DE L'OXYDE HE CARBONE. )tt,
tM,t6t.MES POISONS. Ut, t02; XI, 442,
452. Elle se fait habitueUemest
par les poumons. XI, 'M. Si
elle balance t'absorption, le poi-
son n'agit pas. Xi!, 85.
EUMtPtATtOX t'AR tK t'OUMO~fdes poisons };a/.eu\intrnduits dans
)'app!t!'eiidi~esti'on dansh* sys-tème Yf'ineu\ gênera). ))),)'
!pérte!tc<'s.tt! -))ethy-
dro;;)''nesn)fnre.m,)8. ))essub-
stancesvo).iti)es.)j).58;V!t,<0.
t'Ut'K<~CH'EMOR);H)t:n.
-(k'moyend'actioncstce)ui()ui
est te plus notre portée. \),)n.
–t'AXt.HRKt.Y. V).ï6t.
PAU LES SAUVAS de certaines
sut)sHncfs.H,'jt!;V)j,tr)8.
ttt:S SKLS DU SAKG VI, 4i(!.
t'ES SUHSTA~<<:t:S MÉKtCA
MENTEUSES. XU, 2:)i.
))t;S SUBSTA~Ct.S SOU'BLES
introduites dans le sang. 1\, 88.
MES SUBSTANCES TUX~UES
XU.-M;.
t)U SUCRE se fait seulement par
qu(i)qucs)iquidcs.),X(J~.
–ME L'UREE. VU, :!<
Et.t~ATmNd<<a)iments.XVn,SO.
E).tX)R de iongue vie. XI, ''i(n.
EMBAUMEMENT avec le chloral.
Xtf, !}t:
EMBOtTEMEKT des germes. XVt,
311.
EMBOHES. VI, 4<!C.
EMBKYUCÈ~'E (CRU.Ct.E;. Voy. Cel-
ht/f eM~r'/o~pnc.
KMBKYOGEXtE. XVt, 3)A.
EM)mYO(;E?<tQUE !PÈMO[)E). XVf,
3)3, :U6.
(TYPE). Voy. Type fi6ryo~<<-
t!)~Uf.
EMBny'OLOGtK fondée par C. F.
Wo)tT.XVt,:it'
EMBHYUX. IX, JM. Ses tissus
ne donnent p!<'i tous du sucre. I,
3!M. Son système nerveux a ses
analogues dans les types anato-
miques des invertébrés. IV, 5tt.
Indépendance des mouve-
ments musculaires. X, )5~. II
sur~'it.~iamcrcempoisonnceparle curare. XI, 138. hinuence de
[la chaleur extérieure. Xi)!, 402.
L Apparitiou de l'appareil circu-
latoire. XV, 305. Son indé-
pendance. XVII, a!). Gtycogone
TAfiLE ALPfrABËHQUE ET ANALYTIQUE~0
dite. III, 103. Des poissons dant
tes cours d'eau. Ut, 295. Com-
paraison dos ditt'rs ompoisonue-
mct)ts.nf,:t3'3;).38.fn-
iluf'ncodsiatjuantitudusang.
Ut,)2,3:)5.–Mécanisme desdi-
vers empoisonnements. It),3()3.
–Par transfusion. Vff, 459.–
Locaiiscs.teurutititcdanst'aua-
lyso physiologique. VtU, 182.
)tû)c dos veines. XI, 92. Liga-
ture des veines. X], M. Hutc
dfM artcrot. Xl, M. L'abseoco
de tout changement physique
appnMutdanstc'iorganess'observc
chez fcssujcM empoisonnas,com:f!8
chez ceux qui succombent &det
afroctioas maladives. XI, HC.
AttëMtions microscopiques du sys-tème neryoux. X), ')M. Us se
ram<'nnnt&ut)d6ternu<)ism<'con)-
p)<ixe..XVtn,t2. Voy. /f~<'?)ie,
Caft~n~/Mp (acide), Cto-arc,
<o.c/e"~OM, A'teo<t~p, 0.<<; de
caf&Kc, ~OMO".
KMULStt' (FMKMENT). Voy. fo'tKCMt
~MM/.«/
HM~LS'KE.Hf.!)7;Xm,33);XV).
t(i:i; XVII, 35~). Heagi-isant ayf-c
t'a.mygdaiinodansiefiang.jtt,!)'
VI, 4M' Formation du sucre.
VU, 4M. [njectiou dans les vei-
nes. )X, )S5. Son action sur
t'amygdatine. Xl, 74. tnjectMs
séparément dans le sang ou prises
séparément paria bouche, elles
ne produisent aucun effet nuifiibto.
X!).–tnjecteoit ou absorbées si-
mu)tancmsnt,e!)es donnent ).t
mort.X!, Sous son influence
l'amygdaline fournit do )ag;)yco'.e.
XY'tf.f'M.
HMCLStU~. XVtt, 3)4,49;).–Sa ra-
piditc.XY)t,3iC.
ttES MAHEKES GRASSES. XV,
M3.
EMULStVE (MATtÈnt;). Voy. ~f!<;t're
eHiK~tt'e.
t!NCEt'HAt.R. )i est )c point de dé-
part dos déterminations volontai-
res.IV, 34).–Mots de la bles-
sure de diverses parties da cet
d:mssetMuexM.XV)!,GO.Voy.
C/co<jfe"<<
EMB)tY< t"S MAMMtFEKES.
(;)ycngeuoso.X.V)),t.
tu: t/tUSEAU. Giyeogonesc.
XV)),555.nu t'UULET. Oycogcne. XV!
9.
EMBKY«r<~AtKES(FEtJtL).ETs).Voy.
f't<t'< cni&<OM)!Ot'<'i!.
KMnKYOt'USMAUQt ES (C.H.H!-
LEit).Voy.L<M/f.<fH!&f!/Op/a.!Mn-
<t</MM.
EMË't'tQUH. Injection dans le sang.
V)t. 4t!6.
ENMA<~St.EMnr<fT do r6s<;rt'cs.
XVI, )' i)e mat6riau\ nutri-
tifs. XYH, i'i0.EMOttH~. XV)f), 358.
EM)')'<tuCt.t.XV)f,404.
EJm'ttYSm)Ktraumati<)UO produit
pariatosionpu)n)nnai)'ccoasecu-
tivo~!a section despneumo-gas-
triques. V, 308.
t:Mt')MtS.'HE.Vf)f, )2~; fX,t~);
Xt,3'),4)0,~n,4t<),5Mi; Xh',
8.'<; XV, t:i. A été Forigine df't.
8cit'u('es..V~n,:t:i.–Lame-
dccinoMpCt'imentatos'en aort,
fomma point d'appui nécessaire.
YU),:)~Onestquat'expt!-
riencc inconsciente. VU), 35'
Ha toujours p)'éecd6)a science
expd)'imoata)e.X).4M.–Uaus
t'pxpcrimcnmtion physio)ogiqu<
Xt, 505, 5)4. Dans te traitement
du diabcte. XtV, 85. PÉt'iedo
nécessaire da i'6vo)ution do ta me-
dMine. XV))), (!). Voy. ~po'
me'a.'ioft eM~t-'t~Mt',~/e<~Mu<e
en!/)!rt'y:i<
t;X''K<tHtËMTAtj. Xf, 4S5,
513.MKtXCAL. Xf, 4, 323, 3!)0.KAHO~KL. XtV, ;!7.
SOKKTtPt~U! X!, 398.
EMt'OtS U'AMtHOX. Action de ta
saiivc. Vfi, 253. Pour la culture
du giycogene. X)V, 4(iC.
KMt'OtSO~KKMt~T. X), 18. Va-
riétés des actions toxiques et mc-
dicMMnteusos. !H, 53. Sa rapi-
DES ŒUVRES DE CLAUDE CERN.UtD. t6i
LLAUDEBEM<AM),XIX. i
organe. IV, 'i90. Organe distinct
do)amno))HcpiniHreetdesr.'M'i-
nesdesnert'srac'iidiens, quoique 111,
juxtapt.sH. X!,)9i.– Son rôle
prcpon()erant. dans l'anesthésie.
Xtt, H.). Diabcte dans Io~ aûec-
ttor. do )'.X)V,3tj9.–Se:! loca-
lisations. XVtH,3!)'
Ë?ft)f:tUHQLE (MÉTHonE). Voy. ~Me-
t~0<~ M'/f)'n:h/~e.
EKOOSMUMETtUt! avec du sa;)~.
VU,4C2.
ENDOSMOMETRtQUES (ExFÈMEK-
CEs) Avec différents sangs. V)[,M!.
E~t'USMOSE. III, 82; tX, ':0.
Sur ta vivant et'turtemot't. J,
!?!).–Expéi'ieact! do PoiaouiUe.
!f),83.–Explication de l'action
des poisons, m, 8;Avccte
curare et la muqueuse stomaca!e.
H),303.–Exptique l'action des
médicaments. Xf,7.
EKHOSp~RM); du Phaseoius muiti-
ftorus. X\'J, 302.
E~DornEmjM.XVtl,~5.
EKnutTS impermeabins. IX, t83.
Sur la peau, ils tont baisser la
tnmperaturH et aff&tent la gtyco-
génie. I, 206.
EKHKGtE. Sa eonserv~tion. X\I{,
2t.5)f..
E~);MVATtO~. !V, 390.
E~(;MUKntSSEM):xr VITAL. Son
mécanisme. XVI, t03. Produit
par te froid. XV),KM.–produit
par la chaleur. XVI, )0t. Msis-tance des êtres engourdis. XV[,t05. Mécanisme de t'osciitatMa
vitale. XVJ, !09. Création etdestruction organiques. XVI, no.
Passager, il n'exige pas des ma-tériaux de t-csf'rve comme )'cn-
gourdiMement prolongé. XVf, Il 1.
EKGKAt.SSHMENT des animaux
XV)f,2f!,29.
E~HËGtSTREURS (AFp.tRElt.s). Voy.
~~p<j!)'et~e):<.(/M<)'eM;
EKSËtCXEMEN'r théorique ouiNen-
tal, est un contre-sens pour l'essciences expérimentales. XVI, 38 i.
Scientifique. XVIH, 95. Du
Collége do France. Vnv.Co//t:~<;(~fficc.
!!?.Tt!Smornidc'Xf,;YM:XVHI
~<o'j)o::iqup-,XV,)8.
K~TOttt:KM[.Vf.:i!9.
E~TOZOAtKES. OycoKf'nc \V[rHt..
ENTRAVES ou E~fTRA~O~S XVti~ii.j.
EM'UMXOtSEM~T des mouvo-
m.;nts.jV,,88.i!M.
E~t'Ct.EAT)t)\ des glandes ne te-
nantp)usf]uopa)'r.n-t~)~[t3Ut.
P,
EKtJCLHnLAtKE fËTAT). Voy, ~~<e'<f~o/a!rf.
EKYËLOrpEdfs nerfs. IV, ]9t.
MuscuiairR. \'oy..MMi.'ct~a~v.
Vitei)ino.XVf.:i)i.
Ët'AKCHMME~TS so-oux, innuencodu grand sympathifjua.V,5;j'
Sanguins dans )'<)rci)ie par lasection de tous les nerfs VII,3M.
Et'tBLASTE. XVt, 3):), 320.
Et'tCUX)!. XVII, 40.
Et'H)t.:BMtQUK (MÉTHODE). Voy.~io./p ~if/ct-m/~c.
Et'tCit~ESH. XVI, .!):);(!, .')-
KPtL);PS)E. Mouvements ëpiiept.i-formes consécutifs 't certaines lé-sions de la moe)JR. IV. tS9. Hys-tcritbrme, produite at-titicienctuent
par section d'uae partie de lamopUe cpinicre. IV, 490. Pro-ductiou artificielle d'accès XI,2-M;.
Ét'rt-OHUAt.RfCELMLE). Voy. Cel-~<'<? 'M<Ac~ Hf'f.
(SÉCRËTiox~ du jabot du picf-onVH,H.
Ët'<Tt)Et.!AUX (ELÉMEXTs). IX, 68,84.
(REVÊTEMENTS). Voy. ~UP~M~?!~
f'pt</te<i<[u.c (/es ntit~MemM
(TtsSL's). XV)II, 267.
Et'tTMELtUM. IX, 70; X, 35, 111XVII, 75. Son rô!e relativementà l'absorption du curare dans l'es-
tomac. Ill, 302. Expériences.
111, 302. Se détache pendantla digestion. XV, 564. G)yco-
TABLE ALPHADËTÏQUE ET ÀNALYT!OUE162
gène. XVH, 96.–Sa résistance
ai'action <Ugcstiye.XVH.3M.
Et'tTttEmM t~TESTtXAL II,
4M.
t~L JABOT des pigeons en lac-
tation.V)!,2.9.–Ana.(yso.VU,
2i0.
VtttRATtLË dans les poumons.
U!,6).
EftXOOTtESdes b&tes écornes.
YU), MO.
Et'U!St.Mt~T dans Ics~n'ispctions
desracincsMchidionues. tV, !'8, M.
E~tJA'tOr< des fonctions nutritives.
IX, 92.
EQU'HtittATtON alimentaire, éta-
biie par ie foie. t, !a5.
EQUtt.tmU! entre !'orgat)istne et
iGmitieuo&i! se trouve p!ac6.J,
1M.
HH t.A Tt:Mt't!KATtJRE en un
point donné, ses causes. XUt,
128. Hôte du poumon. Xtit,
tOO.
KQt'tVALEST endosmntiquc du
sucre, augmenta par injection de
sel marin sous la peau. I, 22!).
Mécanique da la choeur. XiH,
398.
EHAStSTHATE. A )9 premier ou-
vert un corpshumMn. X)!, 3; XV,
297. Hegftrde les artères comme
dos canaux aériens. XV, Si.
EttEMACAUstË XVt, n5.
ER!HP«!S.XV,)84,t89.
EHtU-UKS. t, 2~9.
EMmttTtO~ mal comprise est un
obstactoat'a.vancementde~Mien-
ccs.Vtff.MS.
EmJt'TtVt-.S (FtÈVMs). Voy. ft~?'M
e't'Mpftt)M.
ESCLAVKS. Ils servaient dans ran-
tiquitô a faire des expériences. XI,
5~6.
ESMARCM. Bande Mastique. X!
2'!3.
ESt'ACE. Impossibilité de la défi-
nir. XVI, 23.
ESPÈCES. !X, 110. Influence sur
l'oxygène. Ht, tt. On pourra
en pro<h'e de nouvelles. IX, 113.
AKtMALËS ou VEMETALES
Elles ont leur point do départ dans
j'œuf. XVI, 309.
ES)'):C);S cm.t,ULA!RES Leurva-
riabiiite.XVt,S.'<5.
!;S!'RtT i!Xt'KmM)~TAt. IV, ?7.
nUMA! Son cvoJution, trcif!
périodes. XVIII, 79, Voy, Sct'cMces
de /'M;)' !<.
tf:x<t AKR!E!t. XV! i53.
MEtttCAL. Ses itiusions sont un
obstacle au développement de ta
médecine Gxp6t'intenta)c.VHf) 35(.
Actuel. XI, 409.
t'mn)s<n'mocK. xv!t!, s~
Utile t'expÉrimontatcu! VIII,
S8t.
M!CTMJM. XVH, -iM XYMI,
tG3.
–nECTËt'n ''tnHRAf..XVUI, n2.
D); St STÈMK. XI, ~82.
KSt'UtTS A~tMAt,'X. IV, 3; XVI,
246 XV)!, ~)3. Théorie ruinée
par Haller et Bicbat. XII, 9.
–VtTAtJX.XVtt,-it4.
MSSKKCt: t)H TtMEBEKTntKE
Son'passage dans les urines. VII,
~8. Son odeur no passe pasdans t'urine, chM les a)bumiuun-
quM.VH,2)3.–ËUmin6ep!n'tt
bile. Vtt, 2t3. Voy. !'<)-<&e)~/«)t<
ESSO~t'H'.MHNT après i'abhtion
des doux spinaux. V, 30G.
HSTOMAC. ti, -407. Passage du
sucre chez les diabétiques. 308.
Hypertrophie des membranes
dans le diabète. 422. Pour-
quoi ses parois ne sont pas digé-
rées par le suc gastrique. If, 407.
Son influence sur les substances
rendues toxiques par des change-
ments de composition..Ut, 66.
Il n'absorbe pas le curare. Ut, M3.
Absorption du curare, rôle des
6ptthé)iums. III, 302. Vaporisa-tion de l'éther, produisant la rup-
turo de l'organe lorsqu'il est en
trop grande quantité. III, 4t6.
Une. sensation partie de i'eatomac
pent-ettc déterminer les sécrétions
Mih'.tires.V,]60.–Hypothèse
d'une communication directe avec
le rein. VII, 15. Ingestion d'al-
DES ŒUVRES DE CLAUDE HURXAKD. 163
~Tt)t;R. fH. 4)3.nje'n dans
théine porte.),MS,3M;)H.437.
–HUe fait apparaltro le sucre dans
tes urines, t,23S, 353.–Son in-
fluence sur ta sécrétion du suc
paf)crcatique.n.2(;t!,4)').–
Comme contre-poison de l'acide
prussiquo. 111, 3~Son action
locale ou excitante.!H,4t4;XVt!t,
29.'). Son action sur les sécré-
tions. Ht, 415. Sa vaporisation
dans l'estomac produisant la rup-
ture de t'org:t!ictu:'sf)u'itest en
trop grande quantité. Ht, 4)<i. Il
produit une excitation générale des
voies di~estives. t)!, 417. Surac-
tivité de la circulation et de l'ab-
sorption.417. Production
sinputicre de vaisseaux chytifères
btancs, e\ptication de ces phéno-
menes. tn. 4t' Son action sur
le chyte. tt), 4n. Sur tes chyli-
teres. Ht,4t9.–Nécessite de la
graisse et du suc pancréatique pour
qu'ils se produisent. iU, 419.
Krrpur des opinions contraires. IH,
~g0. Son action sur la formation
du chyle, III, 421. Seseffets
aneathesiques. Ht, 42;t. Son ac-
tion sur l'absorption. !U, 423. Sur
les mouvements vibratiles. t!t, 4'!5.
Son itiOuence sur les sécrétions
intestinales, exp. do Cf. Bernard.
III, 426; VHt. 3tt. Son action
sur les sécrétions intestinàtos
comparée à celle de l'alcool. III,
~~(;. Ingestion d'éther conte-
nant de la graisse ou dissolution,
pour prouver que les vaisseaux
chylifères n'existent quo chez les
mammifères. Ht, 429. Son ac-
tion sur tes sécrétions internes, et
particulièrementsur la sécrétion
sucrôt'du foie, comparée à l'action
det'atcoot.nf,-t3a,4M.–Mëca-
nisme de cette exagération sécré-
toire. H!, 437. -Son action sur le
foie. III, 437. Sou action directe
sur les nerfs et les racines. IV, 90.
Etude de ta sensibilité récurren-
te.IV, ?', 103.-Son influence sur
l'apparitioudes chytifères. Vit,
bumine. Vf), ~f:Absorption )
après iatigatsre du pyiore et sec-
tion des vagues. Vit, 2.')' Le
prussiate n'y fait pas de bleu de
Prusse. Vft. 374.– Importance des
expériences. XV, f'M.–La por-
tion pyloriqueconcourt seule à la
sécrétion du suc gastrique. XY,
56;). Effets produits par la gal-
vanisation des pneumogastriques
et du grand sympathique. XV, 57:
Des ruminants. XVII, M4.
Il est défini parie caractère acide
de sa sécrétion, et non par sa
forme, sa situat.ion, sa structuro,
ou ses rapports. XVII, 2M. Ce
n'est pas en lui que s'exerce l'ac-
tion du médicament. XV))), 18.
Les atimcnts agissentsur tui sans
que nous en ayonsconscience.
XVIII, 221. Membrane mu-
queuse pendant la digestionet à
jeun. XVIII, 378. Voy. ~ty<OM
~oMtaea~, ~K?«eM<' s~rMacft;e.
ETAT CAD~Y'EM'CUE
MVXAM'~UE. IX, )7M.
):n;CTH"-TU~'0~ récipro-
que des nerfs. XI,30:
E.\UCLHOLA'HK. XVI, 200.
-FKttKtLE.Xt,347.
–t'0!:TAL. XVtf.58.– Des verté-
brcs !t sMgfroid. XYH, t03.
anmcntH. Détruit la giycogene.
tSS. Symptômos généraux. XI,
90. Sa généralisation. XI, 9t.
En rapport avec l'activité des vais-
seaux et des nerfs. XI, 91. Com-
paré l'état physiologique. XI,
22t. c'est une perturbatiou de
l'état physiologique.Xf,M8.
t'AT"0'G'QHE. H n'est qu'uue
modification de l'état normat. XI,
,;3j). Son étude doit se faire
simultanément avec celle de t'ëtat
physiologique. Xtf, 3M. Son
innuence sur la présence du sucre
dans le sang. XIV, 211.
ynvstOLOG!QrE.Soa étude doit
se faire simultanément avec celle
do l'état pathotogtqHe. XII, 326.
–STAT'O~
–YI)-AL.XtV,3Gt.
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUEi64
4M.–tnjcctiontdanstesan~.
'VU.4M.-Son action démontre
rafnnitûciecnva.X).7'Riimi-
nation par le poumon. XI, 7S.
Comme anoathesiqno.XH, «);
XVjn.43'tnhaiatiott de va-
peurs. X)).!)8.–htjcction sous-
cutM~e.Xt!.M:XV,Mi.–8on
influence sur la forma.tion du g)y-
cogène. XtV, M!). Comme
moyen contcntif.XV, t57.Voy.
h)./<'<'f!Md'<A<*t'.
ETHERtSATtOK. XU, A3. Pro-
duit Je diabète.I,3aC.–Sonin-
nuence sur la sensibilité t'ticur-
rente. !V. 90 & f03. Du lapin.
XV,)62.–Duchat.XV,)(!2.ETHKS. Rapports f~Ut Mtstent entre
eux par leur nutrttion, c)iMun
pour soi.t,iM.
AMtBO)iD':S. XYt, 207.
ESGOUMDtS. Voy. /<<!t'!<MC<
tf<~EK!EUKS. !)s ne sont.pas né-
cessairement les plus simples, aust-
tomlquement et physiotogi~ue-
meut. IX, 10.
MOKOCE)LH!LAntES. XVH, m.
fMOT<H't.ASMtQU):S X\'t. )8!).
VtVAiSTS. Us sont p6rit4Mb(osou
mortels. )X, !)).–Statique chi-
mique. !X, 92. I.eur Cyotution.
IX, t25, 228; XI, 47. Leur de-
gré d'orgaaiMtiM) histoiogiquo
n'est pas toujours reprësento par
les classifications zoologiquos. iX,
153. Mitiaux qui les entourent.
X,3'L'eau comtne milieu. X,
A6. !b renferment trois ordres do
matières 1" MfH~res mu)6rates
9* MaUcros organiques mais non
orgM)isÉns S" Éléments organi
ques. X, 61. Parties similaires
et diMunHMt'es. X, 99. Leur per-fection organique est proportiou-
netia à la différenciation plus ou
moins grande des parties. X, t0().
Ils offrent trois ordres de phé-nomènes )° Physiques 2" Chimi-
ques 3° Vitaux. X, H3. Mouve-
ment. X, t22. Ce sont des méca-
nismes. X[)), 5. Ils peuvent
faire du froid et du chaud sur place
&aido de teursyitcmR nerveux.
X!fL32<fnnuenGedo)acha-
leur extérieure. XUL 335. Com-
ptexito des phcoomcnH" qu'ils pré-
sentent à étudier. XV, 3' LfUM
divisions. XVI, 131. Coiteson.
XVI, 131. Linné, XVI, )32.
Lamarck. XVI, t32. Btainvijto.
XVL )M. Leur création morpho-
logique, XVt, t8t.–Leur constitu-
tion anatomique. XVI, tii!. La
ceUuto est leur dornier élément
morphologique. XVt, ).S4. Ils
Mnt MrMtcrisés par la forme. XV!,
292. H faut distinguer la nMtifro
de la forme. XVI, 2M. 3.(.'est
un nrotoptMrnit façouaC. XVf, 203.
Leur morphologie est distincto
de leur constitution chimique.
XVt, ao-4, 297. Leur nMMnxf.e.
XVI, 383. Leurs caractères les
plus généraux et les plus constants
sont la génération et ta nutrition.
XV!. 3~ XVIII, )8~, 1M.
Comparfs aux corps bruts. XVIII,
38. Ils ne manifestent leurs
fonctions que par t'e\ercice simul-
tané de la combustion vitale et do
la synthèse organique. XVU), )!)'?.
Voy. PAeMon.~x'! des élres t't-
vants.
ÉTUVE pour !'etudo du mécanisme
delamortparla chaleur. XUL 363.
EUCAt.YKE. XVII, 3t.
E'LCA~Yt'TOSR. XVH, 2'!9.
EUGLENA VtKtms. VI, 209.
ËUt'HOhBfA cotinifoha. tU, 245.
EVACUATiO~S. Critiques, elles
peuvent être assimilées à t'elimi-
nation det corps etrMget's.tt, 69.
EVAt'OKATtOK CUTANEE. Son
rôle. XIII, 3t0.
EfonjTtOK-tx, 9t; XVII, ~M.
Matadies se rattachant au dctaut
ou à la perversion de l'évolution
normale. Xf, 52. Est un (tes
caractères de la vie. XVI, 33.
Ë)io se confond avec la nutrition.
XVi, 3M. Elle a pour caractère
la continuité. XVI, ?5. Cette loi
s'appliquo son seulement à l'indi-
vidu, mais à chacune de ses par-
UES ŒUVRES DE CLAUDE BER\AfiD. )6S
ties. XVI, 98(!. t'un simptophau-
ctte de t'être ~pparait in'anttoutf
org~nita'ion.XVii!, !M.
EVOLUTtOX tn;S AUME~TS
XVf(,3G~–Ucsatim<'atsgt-a'.
danst'organisme.XVff.Kt.
CM)M(QUEXVU.90.
COSTOCKNÉE X\'f, 3M.
Bt;S t)OCTmSES t'HYStOtO
GtQt'ES. E))<) aboutit à ta cnnsti-
tutiondetaphY~ioJOKieguuerate.
XVt!, 450.
OE f/t:S<'ntT HtJMAtX tMis
périodes. XVIII, ';9.
ME L ):TKt: ViVAKT IX, t2:
928;xr,4t.
HLYCOCtS~tQUE. XVJ.2M: XVU,
8"Kmt)ryonn)nre.X!V,4M.
t~K LA. MËOEOKE scientHique.
Xf.MO.
M')KB)!nE. Elle n'est souvent au
tbudfju'ut) empoisonnement. XI,
-i:!f.
–C!t(,A?f)OUt'XVUt,207.
–t)K L'OVCLU. XVUt, 2)0.
IH:S PttEKOMK~ES V!TAUX
!X.)3'?.UK LA FnYS)OLt~.tE. XVI, 5.
DES f LAQUES AMXtOTtQUES
XVi!, 66.
rHAYO~MEE.XV). 3M.t)ES SOE~CES. tX. 131, 22t
X!.404;XV!:I,1M.
MU SUCRE dans t'oi'gaaismc.
X\i!,4t.
–SI.'METmQUE DouMc.XVt, 326,
3M. Simple. XVt, 328.
EVOLUTiVË (FottCE). Voy. ForM
~!0<t<<tM.
EXACTtTUME Physico-chimique et
phyMotogifjue.XV.'H!
EXCEP'rKtK. C'est un mot annscien-
ttftqn". VU!, 119. Eu médecine.
Xt,2t9.EXCtTAmUTE. XI, 165. -'fiede-
mann, X, 83. Des animaux sou-
mis à l'action de la morphine. X!t,
t96,?23,2(i3.
ELECTRtQUH des nerfs moteurs
pursoumixtes, critiques nou\e))es.
IV, no. t9t. Expënences. )V,
173. Conditions dans lesquelles
iiest nécessaire de se placer pourconserver au\pht''n0!n6nes)eur
<'arac«'rephysio)o~if)ue.f\18t.
-t)('smusc)es.t'.)4.
HXCt) AtOUTE FOX<:T«)~EL
t~t' P.))f'precf;<e)a m'irt des tis-
sus. !X. 2);.
n): LA MOHLH; Et't~tHttE !V,
24').
t)ES ~fERFS YH, 4.')4, ~57.
!)ans les nerfs moteurs. e))e est
distincte de la coutraftihitite mus-
<'utan'<t!ipreu\R par )e<'nt"n'c.t)!,
XtC. Ses rapports avec i'aftion
nutscutah-e. (V, !?. Son indé-
pcnd.mce et sa distinction prouvées
& t'imte du cm-are. tV, !'?. KUe
est, pendant, un certain temps,
ptna p;rMtd'! d!ms it's nerfs coupes
<iu'& rct:n nnrnu). X!)(i. M'MO.
K)te partx'ipc Ffiattatinn des
pi'oprMtesapMtunescctionc&tn-
p(t''tc. X[, 207.– <<ttc~ugmenta-
ti~ncstun(t''<;p)'pmi<')'sindicc'i
d'unamot-tproch.iittC.X.f,09,)!
<<te augmentatioa se m!initest,e
d'abord dit!)-, )<'tronc principe!,
puis dans les sros'if's branches quip[t entaut-nt, puis enfin d~ns tes
ramifications (Gnninaie'i.Xt, 239.
–Snsdiversdegres.Xf.80.
~EHVECSH morbide. XI, 2t5.
nES T)SSfS YtVAKTS Sns va-
riations chez des animaux d'fspecesdin't'rRntes peuvent se rctrnuLver
chez un seul et mémo individu,sctoa les conditions physiologiquesdans tesqueUesi) est pjace.Xt,
a3S, M2. Ette augmente dans
tou!! les tissus peu de temps avant
la n<or:. Xt. M8. E))<! varie chez
les divers individus d'une même
espèce. Xt, 29t. Et plus en-eot'o chez les animaux d'espèces
(tin'erentcs.Xt,t29.
EXCtTA~TS. XVt, 2~t. Leur in-
~ueacesurIesnerfsnioteurs.tV,
)M. Leur action sur la sensi-
biiitô inconsciente. )V, 320. Le
corps excitant ne cède rien au corpsexcité. X, 84. Sensibitite du sys-
tMnesympathique sousicur action.
TABLE Af.PHAnËTtQUE ET ANALYTtQUEi6<;
X!,3M.–LcH[-ianncnr.GMrh
g)ycogM)eM.XV!),3'!8.
EXCttANTS Et.)C))tt<jrESdes
nerfs. !V,:tO:n;Vt), 268.
L<'ursa<-tions.X),?:!3.
EXTEtHEMKS Leurs cn'ets sont
modifiés par 1"8 lésions du système
nprveux.Xt.SÏ&.
–nu<.nAKn stMt'ADnQt'E Ils
produbent!'c'itension.X),35'
–nEUmnTAnmTE x\), 251.
NERVEUX. XI, :!()).
KtJTKtTtFS. tX, '.)9, '})R.
ft!; LA SKCKKTt<M (iASTM
QUE.XVtt,'Mf.
EXCITANTS (NBKM). Voy. Nerfsexcitants.
EXCITATION. S.t dist'nct'on avec
l'irritation, t, 367. Exomples et
appJiMtioa<i.S68.
GALVANt~~H des nerfs, e))n ar-
rête )o cœur. X\')U, .')-i4.
«U OtANn SYMt'ATOtQtJE
Elle produit dos mouvements dans
les mn'-ftes do ta vie extérieure.
IV, 367.
METAUJQt'R des nf'rfs. tV, 303
!t3f!Duncrfdeta.patte~.ttva-
noscopiq))ede)!t);renoui]!(!.)V,M<.
DES Mt'SCt.ES. Y, ~63.
HES KERFS. V, <63. –Des nerfs
moteurs.)V,tCl.–D'unMrf scn-
si)'lo,n)tedonn(!nncdc'u)euretun
mouvement &soo extrémité. IV,295.
nu SYSTEME CEXEBRO Sf!
NAL. Elle produit des mouvements
internes. !V,6'EXCITATIONS DOULO~ttEUSES
Elles augmentent les pu) sations
ducmur.Xt.M).
E)L':C'tM)Qt.tKS des nerfs. tV,
t44, 303 h ;!n V, 4G:J. Appli-
quée sur les di<Tcr<'ut,s nerfs sym-
p!tthiqueset)'!)chidiens.<V,00-32G. Des muscles. V, 465.
EXTERtEftES. Hcaetion sur le
c(cur.tV,374.
MORALES. E!)cs MM, au pointdo vue physiologique, des ph~no-
mÈnesdesansibi)itf'.X)n,3t3.
MOTK!CES. Elles sont conduites
par la mooUc. tV, 332. t.eur )o-
ca)isation.3a0.
EXCtTATtOKS SKKStTtVKS. EUcssont conduites par la moelle. IV,332.
KXCtUStYtSMt; expérimentai, Il
nofautpasenfaire.Xi,523.
RXCt~E't'm'RS ROMANES). Leur ac-
tion peut être caractérisée par
l'analyse du sang avant et apr&s
)'or~ano.Vn,34,2H.
EXC!H-:)'H)N \'), 4(;2; V)!, < IX,
M, '8~. –omp!co~ tftt.f'rrc-
tionct()istinj2;u!ed<*)ast;cr6tif)n.
I,i'H),6.–EUQne«nt':ut
pas e){c)u'iivementpar un organe.
Y!). 33. H&)e du poumon. tX,
85, !M!e du syttÈmo nerveux.
!X. 8S.
t!Kt'<iAt«E. On y t-ntrouve )at-
bumine injectée dans le tissu cel-
tuhiro, les poumons et les screu-
t.e!)X,t!)?.Voy.(/<'M'.<.o'<.
EXKnCtCE vioh'nt, production de
ia<-)M)cur.X)n,4oO.
MXHAt.ATtO~ n<;S GAX.A<-tiond&
j'oxyde de ou'bone.m,t').
t.\TKST'KA).E. XVH, :)<i2.
n);s Mt:Mn)HA~f:s st;)u:t;S) s
h)f!uencn df ta destruction de cor-
t<')ioes parties du grand sympatih-
<)Ue.V.53ti.
OKS SUMSrAKrt:snAXEt;S):S
Contenues dans le sang pcndaut.son passage dans les poumons. XII,
6t.
!!Xft;CTATt<)~. VU!, S62, 3':2
XI, CO, 6}. 423. Absurde dans
certains ça* rationneUo dans
d'autrcsci)'<'oiMtancc<i.XJ, 6L Yoy.~f!c<.i'?)<' 'c~c <<<<
KxpEmHKCM. VIII, n,'2; XI, ~s;
XVIII, 80 Magendie en est par-
tisac. III, 8. Ct; n'est au tnnd
qu'une observation provoquée. V,
29; VIII. M. Active et passive.
Vni, t5. En acquérir, c'est autre
chose que faire des expériences.
VIII, 20. –EUe provoque ou engen-
dre l'observation. Vtt),212. Elle
est te criterium de la méthode ex-
porimentate. XVIII, '!8. Elle est
DES ŒUVKES DE CLAUDE BERNARD. 167
ia médiatrice entre le savant f'ties
phénomènes qui i t'environnent.
XVIII, 82.–Htte sert de point
d'appui & la physiologie. X\tH, l,
439.
EXt'EMtEKCHS. En faire, c'estautre
chose que (t'acquérir (feFexpe-;
rienco. VU), 20.– Conditions ana-
t.omi<)uesopern<o)res. VUf.&H.
Conditions physico-chimiques
du miiieu intérieur. ViH.ïUG.–
Conditions organiques. V!i),2tl.,
Pourquoi elles n'ont pas rcussi.
Xt,9)9.–Faites dans les m&m')ii,
conditions elles donnent toujours
des résultats identtques. XI, 2)9.
–EUos ne servent, dit-on, arien
expliquer. XI, 'i28. Bien faites,
elles sont soumises & un detemii-
nismo précis et absolu. Xt, 4'!6.
Elles donnent do.'ifaittsurie'
quet'ion doit finaloment raisonner.
XI, MC. t! faut apprendre J'art
d'en faire. XI, Miï. Leurs dif{t-
cuites. XV, G. État d'esprit né-
cessaire pour eu institue;'dehon-~
ncs.XVj.K' i'!9.–D;)ns)eur!
interpretatiou,if fautf'uu'compte
des effets propres aux agents do
contention physiologique. XV, t.')!.
–LMUrdurce.
StJtt LES AXtMAtX <X, ?
Faites sur les diverses espèces
animâtes, utilité qu'on peut en ti-
rer pour la meuMine. V[H, 'ïi-t.
Elles sont permises. XI, 427.'j.
COMt'AKATtVES. VU), 98.3t8;
XtY, 241 XVI), 43. Elles sont
iudispcn.Mbtos pour bien coucturo.
tV,)6.
SUR LES COXnAMXES A
5K)~T.X),54' &M;XV, C'
').
–CO~iTnADtCTO'RES, ma) faites
ou mauvaises, VU), 20i;Xt,32a,
4'!e,M3.5t~,582;XU,9t,atC;
Xttt,:)00;XV.
DE COK'fHÔLE. Leur nécessite.
XV,9.
SUR DES CMMtMELS XVtt,
411.
PAU DESTmJCTtOJf VUI, H
EXt'Enn~CES SUR LES ETRES
VtVA~TS. XI, 468.
–S'MLt«)M'tEXV,73.
–E\MEt)EC)'<EX!,5H.
t'nYStOLOf.tQ~ES. tV, i8.
Précision et fausse preciMou.21,
98.–RL'nc\i!!ns!.ur)!'urdifn<-ut)e.
!): XV.(;Leurs conditions
pa)'tifuii<!rcs.)i,2)t.–Servant de
point (le départ à des ttteorics mc-
dicah'!<.X),4(!t.–LeurutHitû.
X),0;XU),C.
scR t.KS rnrn)StQt;ES, xi,
5t7, MO.
t'A~ ttEOt~TECttATtOrf. XVH,
3i)8.
HA~S H:S SCU:KCËS PHYStCt)-
C)n~tQt;);S XI, 512.
su~ LES sut't'uctES xi.
5-i1.
–t'<tUR VOtR. Vt,5;m,X8.
2~.
KXt'EntMEXTAL)E (MHCEcrNE). Voy.
~f<<'p'nef.r~f!f<<
(PATHOLOCJE). ~'f)y. ~)t't'te;)<«-
<tOM /M</t /"y«j't«', ~'f~/tO~OOtC C.7;-
~!<')'')t)fM<<
~THÈKAfEUTtQ'CE). Voy. Expé, imen-
/ff''o'< </te)'<t~f;t)~!<?, y/to'ap~M-
<cM<<fn:o~a/<
EX)'EtttME~'TAL);s (ScrEtCEs). Voy.S'etc<ej:/<e<nt<*)t(t!<s.
EX) EKt~)):XTATE!.n. iV, )8 Vtt,
~:8;\IH,28.–tidoit.6troth(:o-
riciKn et praticien. \'U!, 8. Dans
le raisonnement expérimental, il ne
se sépare pas de t'observation.Vnt,
39. t) doit douter. fuir les idées
<i\cs. et garder toujours sa tiberto
d'esprit. VIII, C3. Il no créa
rien, dans les sciences des corps
vivants, comme dans celles dos.
corpshruts;UnofMtqu'obeirau~
toisdu!anature.V![[.i45.–L'es-
prit philosophique lui est utile.
\1U, S8' Il ne doit pas faire
deshyp~thtsesirrcati-i.i.btes.tX,
Ut.–tt agit sur les phenome-
aes,iine)Rscrce pas.XViU.74.
Il peut plus qu'il ne sait. XYU!,
'). Voy. J/<ec;?t pj:p!:)';<M*;?!<a-
<e~
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE
EXt'KK)M)!TArtC?< !F. )9; tV.)
4.):t,'i.(!,i'Vf.)&2'8;!
Y)),3T':Vin.7.3f).:)M;!X,
l:!2:X)],3;XV,x!,2.i,M~
L'induction anatomiqup ne peut
en être sep;u'cf. )),)).–Diffi-
cu)tcs tenant au\ tendances <)e~
t'experimentatenr.tV,)!t~'est
une.ohsertati(!npro\'oqnf''<8;j
Xt,<8.Sf'u)c elle doit juger la
Ya)f'urdo)'i()ccpt'pcon<;uc.tY,)i.~
–S(*spf')'fcc<ionnptnt'n<s.Vt,
""Con<!if}~r.ition$(;xp('t'im<'nta)cs)
commt) ))'au~ÈU'c'i~'h'ants et auxt
corps bruts.))t,)()).–Son but;!
itf"'t)am6modans)'ctud<'de'i)
phénomènes des corps vivants et
dans)'etudcdesj')i)f"!om'c'f"
corps bruts. V)M,)t2.;Xf,t.'i;
M)'K~capourb.tsch'doute.~
\'t)), 3&).– Ktte constitue !a'
basudota. m<modKCxpCt'imen-,
)a!e. Xf,4)().–Raisons pour
tos<jue))cseUon(';t<'proscrite. Xt,~
'i2<Sf-s conditions. XI, 445.'
('est li voie dans laquelle doit
se ttutKf'r ia médecine Ctpt'rimen-
ia!c.X!iC8.–K))c):tit)'emontM-aux causes des phenonH'nes. X!,
&7i-– C'fst avf'c son aide f)u'U
faut<tudier)etphënom<;nesc.))i-'
miques et mécaniques do )'orga-
ttismc. XV, 301. Ro)o de M~-
gendie. XVI, 9. Soute méthode
cn)p)oycr en physiotogie. XVI,
!7. Elle peut 6tM appliquée &
tous les phenomfnes naturels.
XV!tf, 61. Voy. ~7t«~/M M~en-
mentale, ~t''< e~~f!Mfy!<ft/,C'/n<<
<MtM M't t'MMl<< C)'M)?i
e.p~<'<H)pn<a/, Cf)<!)~M' <<f'tMf~-
<<!<?, De~rMMMme e.r~ert'MCH~
Dtsc!p~c e.i<'r<M<'?)<a~< EM~
rti.'we <'rp~'<wen<«/,J?6't< M;p~'t-
mental, B.t"Mt'Ut!me e.)' MMt-
tal, Idée e~~rto~M~a/c, ~~<to</<*
ej-rtMM<a/< P;'a<f<yMC e.ryx'rt-
mentale, /iat:OMneMcft~ c.f/x't't-
mental, Ha<<o?M~Mnf? M~x~'tm~t-
tal, Recherche M~M~M~~
Technique Mp~rt'HMMto~e, ~<')'tfe
cz~<fM<;?t<a/<
EXt')!tUHE'\TAT)ON COMt'ARA-
T<VE.Vfft,2t.
KMt'ttUQUK. 'X, 6; xr, !.)4,Sun t.KS Kïn~s vtVA~is.
Considérations expérimentâtes spc-cia)es. V)U, )()), )50. Son em-
ptui n'est pas empêche par la
t-pontanuite df's corps vivants. VtU
)0t, !!T!. m)c doit porter sur
les animaux vivants d'une organi-
sation c)ott'!C. X, 2!
St.'tt L')t(H)MK. Xt. Mi).
Mt;))tc.tj(.E xr, M? xv, co.
Ses conditions. XI, 'i)9.Voy..Mf'-t/Mi'tf fj:~ )';m<;t)~
PA't'HO),«(;)QUt; des phënomu-ncs tbttctionneii) de j'organisme.
XV, v[. Voy. fa~o/o~'i* c.t~f'r;tMCft~~f.
SUR )ES t'HKKOME~ES !)[;
LA vo;. Rt)e est ia plus difficile et
]a plus complexe. XI, 'i'!H.
PHYS'CnCtHMtQUH comparée
a t'cxpt'rimcntation physiologiquo.
X), :!Ï(!, &(?.
'tYStOL<t<QUE XV, 5. Ses
difficultés. IV, &i. Les poisons
sont les plus commodes de tous
tes moyens. XI, )29.–Distinctions
ëtabiins avec l'observation ctini-
quc. XI, i32, rw2. Elle est plus
t'omp)inu6e que t'experimontatinn
chimique. X), 3'!6. )M)e df
t'empirisme et du rationalisme. Xl,
&05, 5<'t. Comparée l'expéri-
mentation physico-chimique. XI,
508. Son but est de recherchef
les propriétés des déments. Xf,
M8. Son histoire. XI, 529.
Son rote. XIV, 8t. –Sa discipline.
X)V, )M. Ne peut être sup-
piece par les analogies anatomi-
qnes. XV, 292. L'histologie
doit lui être subordonnée. XV,
293. Voy. Physiologie M'p~'i'MM-
~/e.
KATtOK?fHLLE XV, 7.
BANS L);S SCIENCES DE LA
VtE.Xt, 4'n.
SCn:~T)FtQUE. XI, 515.
TUERA t'KUTtQUË des pheno-
moues fonctionnels de t'organMme.
DES ŒUVRES DE CLAUDE BEHNARD. )C9
rer les fonctions des nerfs cérébro-
spinaux.X),3M.ov.~CM/(~pr~,
~~)/)/<fytp/t;C!a/f, jt/ctMt)';))fn/<
de/f<<;<N)'t!)-a/f;!<ac)a/< Pa-
)'a/yst~ faciale.FACtAL <\EHF). Expériences de
sensibitito récurrente. IV, 48,)),
79,89, 90. tnnuence sur les
mouvements de la narine. 3.–
li appartient la memcpaire phy-
sio)ogiqueque)e!rijumcau.V,)7.
–Anatomie.V,n,2~Proccdt''
pour le couper dans la caisse du
tympan. V,18,32. )7.'<Expérien-
ces. V,t!).–Hest moteur. V,)').
Son développement en rapport
avec la variété de ses fonctions. V,20. EtTets de sa paralysie. V,
20. Ses anastomoses. V, 23,
t82. !t est sensible il tient sa
sensibititc récurrente de la &" paire,
et!)afaceHadetas<nsibi)it6
directe qu'il doit t'accoSement
de rameaux venant de la 5' paire.
V,?}.-Ses propriétés. \r<
U est dejit sensible au sortir du
crâne, cette sensibilité lui vient
d'une branche qu'il reçoit du
pneumogastrique. V, 27. Ex-
périences. V, 28. Sa partie extra-
cranienue. V, 31. Son influence
sur les mouvements de la face.
V, 32, 40. tnuuence qu'exercesa section sur tesmouvement-ides
paupières et de la pupille. V, ~!2.
Effets de la paratysie sur t'œi).
V, 32. Sur le nez, V, 3(!. Sur
les joues et les lèvres. V,8.–
Influence de sa section sur les
mouvements de l'oreille. V, 3!).
Son arrachement. V, 43, Ht.
Sa portion intracrànienne. V,107. Dilficultés de t'oxperimen-
tation sur cette partie. V, 10'
Sa portion iatracranienne chez un&non. V, 110. Considéré comme
une racine antérieure, formant
une paire nerveuse avec le nerf
de Wrisberg, qui constituerait la
racine postérieure, hypothèse. V,109. Cette hypothèse est inad-
missible physiologiquoment etana-
XV, v). Voy. Thérapeutique expé-
t'!M"K~<
EXPEtUMEXTATMXTOXtCOEO
GtQUE des phénomène!) fonction-
nets de j'organisme. XV, Vt.
EXt')KAT!0!\ t'mMO~AHtE.Sa~
brifvet6 après t'at'tation. des deux
spinaux. V, 306. Son rôle. Xft,
398.
EXHHQt!ER I) n'est pas possible
de tout expliquer. Xf, i'!8.
EXSUMATUt~ de la tymphe. In-
fluence du curare. XV, 38!).
EXTEKStt)?! sous i'actiond'CMi-
tants du grand sympathique. XI,
357. Voy..WoMMMMh' <fe.r<MM<M!.
EXT)K)'AT)U?! RES KEttfS V, 43.U'UK KEt~. VU, 43 52. Corn-
parce !t la destruction de ses
nerfs. VI, 49C. Chez un chinn
pourvu de fistule gastrique. VU,M.
EX'rnACTtOX du suc pancréatique.Il, 2)t !t M' 32!).
EXTKAtTS t')tAttMAC';UttQUt:SProduits composition mal d6n-
nie. XH, 81. Hemp)Més en thé-
rapputique par des principes actifs
chimiquement purs. Xtt, 81.
D'opium. XII, ttit.
EXTttAOt<GAK'Qt;E (Mt~Ec). Voy.
A/t'<< <'x<ft'teMt'.
EXTMEMHÉS NERVEUSES Voy
A'f~M'4M (extrémités).
FACE. Après la disparition de sa sen-
sibilité, persistanco de celle da la
cornée. Ht, 236, Prédominance
de la puissance nerveuse. V, 12.
Influence du faciat sur ses mou-'
céments. V, 32, 40. Déviation
des traits. V, 41. Mouvements
MOuenccs par le trijumeau. V,
46. Tic douloureux. V, -47.
Paralysies superficielles et pro-
fondes. V, )22. Sas mouve-
ments. V, t80. tn<luenco du
grand sympathique sur la pression
du sang. VI, 233. Cit-cuiation ca-
pillaire. VU, 311 32t. Est ta
seule région ou se rencontrant 'e*
conditions nécessaires au succès
des expériences destinées ectai-
TABLE ALPHABETIQUE ET ANALYTIQUE170
tomiquement.Y,!)!Sapara-
lysie. V,H3.–Para)ysiede)a
portion interne et de la portion
externe. V,t[.t)39.–Sapara-
)ysiea)teretf!f;out..V,)M.–
Section dans !ecrAne.V,]'it.–
Avulsion. V, )4). Son indépen-
(ianceduueWde~Vt'isherg.V.ftt.
Altération du go&t produite chez
le chien par la section du facia)!
dans)ecri'tne.V,f42.–ScsotTcts!
sur la tangue.V,t42.–ttnotient!
pasMussmdepeudancetasocrt;
tionparotidicnne.V,m.–Ë)Tets
df sa section sur la salivation. V
tSO. Chez un fœtus de chcva).
V,K;2.–Efret<i de sa sectiondans tecra.ne sut')& gustation. V,
t't.– Expériences. V, 175.
Son innucncc sur les mouvements
du voile du palais, V, t~8. Ex-
périences. V, 489, 484. Cor-
taines opérations pratiquées sur
lui produisent la salivation. XI,
2U6. EfTets de la section, XI, 38S.
Sa section chez )'hom<ne et !o
chev!t!.Xf,'i9L Sa section
chez dos animaux différents, f'Uc
produit des effets différents, XV,~
421. Uosuttats de la section do
ce nerf: )" Au-dessous du trou sty-
io-mastoidicn 2" dans t'intériour
du rocher. XV, ;)20. Voy. S<i('tf
~f!ir<
FACtAL)!(ARTÈftE). Voy. ~<)'<' /'a-
CMt~.
FACt,'Lrt: nt: MÉDKCtKH. Son en-
seignemcnt.f,]();n.v;VUf,~80.i
Xt,400.4M,46);XtV,2;XV,)0.~
–tH;SSCUt.'«:)!S. Création de la
chaire dsphysiotogio gCtl~ra)e.i
XV!,2.~11, ï.
FACULT);V~GËTATtVH do Mint.
ThomMd'Aquin.XV).M9.
FAf;)Jt/H;S t~XKLLHCTUELLES.
XVIII, 419.
F.ttM. La sensation persiste âpres!
la section des pneumogastriques.
V,.ii5.
FA)S<:KACX (RESptnATomEs). Voy.
FiM~ovt'o~M (faisceaux). Voy.¡fAtTS. t, 13, tt, )G. Comparés 1
aux théories en physiologie. I, 9,
!3.ML -Leur certitude. !V,3f!.
–Quand ils sont en oppositionavec une théorie régnante, il faut
accepter les faits et abandonner la
théorie, lors même que ceU~-ci,
soutenue par de grands noms.est
gcnerafcmcnt adoptes. VtfLMS.
–La principe du déterminisme
exige que les faits soient compara-
tivement détermines. Vt!L 3H.
C'est sur cu< et nou sur des mots
que doit porter la critique expc-
rimenta)e.V[[[,i2.–nnehut
pas leur substituer tes mots. Vf)!,
329. Les mots ne doivent pas eu
faire perdre de vue iaréatitë.VHf,
3.')A.–La toi d'un ensemble de
faits constitue la science. X),4:!1.
faut ramener les idées :.jx.
faits, et non les faits aux idées. XI,
485. Leurs interprétations sont
relatives aux connaissances que-
nous possédons. XL 503.– Qu'est
ce qu'un fait. XV, 40. Sa défi-
nition par Chevreul. XV, 4).
Distinction du fait et du jugement
auquel il donne )i<;u. XV, 42.
Différence du fait et do son inter-
prétation. XV, 4!t. ]) ne paraitettraordinairo que parce qu'il est
indéterminé.XV, 47.
FAtTS ABSUKBKS. Voy. Fu<7.! er-
ronM.
COK)mn!CTOtKKS. )9 XV,
50. Ils ne sont pas admis par 10
principe du déterminisme. VIII,
304.–t)s retardent la marche de la
science. XL 4)6.
KXRHKES ou AttSL'nnES. Leur
introduction dans iaMienco est
favorisen par l'habitude des o'ipti-
cations vitales. VIII, 354.
HX<:t:t'T)')XSELS. Leur signi-
ncation. HL 3'!9.
n'KXfKKU':KC);,ct leur interpré-
tation. VIII, 332.
)~HKT<!<tM)KESoutnHAT!OK-
KKLS, ils sont repoussés de la
science par )o principe du détermi-
nisme. VIII, 313. Ils retardent
la marche do la science. XI, 416.
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. rt
3i0.-1.32.–r.fr~to chimie")')"
)asa)ivenes'p'n')'<'oque''ur)'"t
fecuh'nts cuits. \Vt), 285.–A'
tion de la sécrétion pancreati'jn".XVtf, 3t.'). Voy. ~/iw<<.t~o~ /'f-
fM;'M<)'Tt/!ntC))<.<f'M/<
FEMELLE pleine, empoisonnée parle curare, t'embryon survit ~)a
mere.Xf.t38.
FEMMES EK C(H,'Ct)E. Sucre dam
les urines.f,43.f, 138.
FE);,sonc)iminationdusang.V).448.– Son absorption. V),itS.
–[)ans)a)]ih~etd~ns)<!Stt~
tions. VI, 448, t49.-Forme un
sulfure dans la bile pal' faction de
i'hydrogene'.)i)furc.Vt,44').
Injecté dans le sang, son innocuité
a t'ctat de lactate. Vt, 4S'J. In-
jection dans le sang. ~H, tt'.).
Voy. /«dM<'e de /'e< Po'oj-e t~'
/;)', Sels de /'f'
FERMEXf ALBUMIKEUX XVH.
355.
ALBtJMtXOStQU): XVIt, 49~
ALCOOHQ). E. X\n, t20.
MtASTAStQCK des fecutents.
XVn.35.0.
EMtJLStP. XVU, Sti, 948, .!).').
Des corps gras. XVft, 3.'<<J.
Sa préparation. XV)!, S.')0. Uc'i
végétaux. XVII, ~)'
GLYC"GE~i)Qt.'E. ]V, 4':2, 4'<.
GLYCOStQCE. XVt!, :})6. t).:
couvert par Paycn et Per-ioz, Uou-
chardaLtetSandras.XVH,333.
Époque d'apparition. XYtf, ~)4.
Nature chimique de ~transfor-
mation. XVII, ~M. Sa ditTu-
!iion.XVt[,4'M.
-t~VEttSH.\ XtV, 3)5; XVf, )(M:
XVI{,t2t,3<!).3~8,4M;XV".
232. Découverte. XIV, 257.
w
SAPONtF!A~T. XVII, 3)), 3i.S.
nu SUC GASTtUQUE XV)t, 33
Ff:HMt;KTAr«~.<, 3;tC; XI, 7<:
XVI, 158 XVII, 321 XVUt. (.
231. Pour constater la présence
dusucro.t.t'J.–Opare-t-Gneht
destruction du sucre dans le sang
ï, 243, 24&. Mode de destruc
tion du sucre dans le sang. f,24'
FAtTS NÉGATIFS. Considères
seuls, ils n'apprenncnt jamais rien.
VIII, :)();'<)s ont leur déter-
minisme comme les faits positifs.
YHt.jtf.
FA!VKEiHrn.'). Système nf'ryu;c
des invertébrés. IV, 505 a5).').
FALLOt'E Kcunit tes parties si-F ALLOI'¡' lIéunit les parties si-
mi)aires.XV<,)8).
FATAtJSME.VtH, 383; XVI, Mi;i
XVIII, 55.–tt conteste et nie ta
tibertemorate.XVf,(!'2.
FAt;X f'MSO~'S. XI, 29t.
FEtiRtCtTAKT, sa calorimétrie.
Xm.4)8.
FEBMtLE (C.HÀLECN). Voy. CAa/eur
/M~
(ËTAT). Voy. ~a<&)-
(Fn)sso'<). Voy. F;07t /<t~.
FECO~i'ATiO~. IX, t05; XVI, ;i07.
Antérieure, ieur mftuence. tX,
2)3. Période de la fécondation.
XVI, 3t:), 3)5.
ARUFtCfËLLE. VHt, t55; !X,
))).
FEOJLK. XVII, 50. Son influence
sur la formation du sucre dansiez
foie. !,)36,t:Sa digestion.
I, )5). Matière chyle use qu'il
produit. )G.'). Action du suc
pancréatique. Il, 3'M. Sa pe-
netrat ion cst-e))epossib)e dans le
poumon? III, e.'<. Yoy. ShO'c de
/<-CM~.
AKtMAm. Dans les poumons et
)esmuscie!<doYeau.258.
FECtJLE~f't'ES (MATtÈRES OU SUB-
STA;<CEs). XVtf, 4a0. Ne sont-
elles pas des excitants du foie.
429. Rote de la salive. !t, t45.
Actiou du suc pancréatique. H,
328. Action du suc gMtt'tfjfM.
H,40t.–Leur forment digestif
dans les animaux et les végétaux.
XVII, 331. Leurs réserves. XVII,
3.'i5. Leur ferment diastasiquû.
X\tt,35().
FÉCt'LEKTS. Le foie tes transforma
en .uuo substance émulsive parti-
culiore. t, !a7. Leur intluence
sur le diabète, t, 445. Siège de
leur digestion. XtV. 239; XYU,
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE
!nccsMnt<*da))*i Ja nutrition. I,
2(!2.–(P)«-rtOn)t''ne.s de') donnant
)it'uautpr)n<'i)M),<s actions chi-
mif)u<'sd<'rorK!HU'<mc.t,2(!3.–
S!'{).t!'t{iat)*i).t fonction ~tycog:6-
nitjue.), 3~!).- tnOuencode
)'o\ydedef.n'b()nc.)U,J9),200.
-Action du curare et des poi.soM.
))),Ï(i.'). Produit-ottciesgMdu
sang.\),!)."<f).-Action de divers
fcrmont<i.n,)91.–L~(!;eteone
te'idc'fruit )).is.V)),tS~EUe
c()rr("'ponda.umouY('mcntot~.ta
chatem' animale. )X. 9ï. Pour
t'analyse d'ut'in<XtV, 07.–
Ana)oj;ica\'ec la putr<hction.
X\'),m.–Anasthé'iiodcso.s
pht''no)U~MS))t'otop)asmi<jt)M.XY!,
2(!7.–Leur division. XVI),
–-t,euruniversa)i)(-.XV)t,388.–
]n t'itt'n et dans t'organismc-
XYU),))t.
FE)~));~T~ffONALCOOLIQUE.
X)).t)3;X\U,St:?iese
produit pas dans l'organisme. t,
24(i.Ses conditions. X\'t,)C~.
nKSAt.tMt~tS.Théorie.XVU,
2Gt. –VauUe)mont.XVn,2(!t.
Syh'im. X\')[. 'ÏM. Willis.
X\'H. '!M. –Boy)e. XVtf, M2.
Ut:STM'<.TtVH.XVU,2tG.
ttLË ALX tKHMHKTS iF!GU
MHS. XVf, )6t.
(.t.tCO'.tQU)!. XV)t, n9.
Des muscles et des poumons, chez
)<;8f(t-ms.~25'a.97;VJ!, tM;
XtV,f,50,M(!.
–tît'TERK! X', 34~.
LACTt~f)! ditus )ea musc)M et
poumons de fœtus devoaux.f, 1,
M'!itM);YH,134;XtV.4M.
nt: LA MATtEXKGLYCOGÉKË
dMs)efoie.U,)M.
NUt'KtTtVË. X\'tt, 386.
–t'UTmHH.Vt, ~)5;XVt, 174;
XVII, M3. Dans te sang, <Mte)--
tnm<;epM-h!anM'f9.Vt,40'
HAKS LE SANG. t«, !)7 Vt, 48),
4S.'); Xt, 48.–Substances capa-
btosdet'EmpÈcher.Vt.SC).–
SpontAttée produisant des altéra-
tionsdusftt)g.Vt,49't.– ei& a
veine MM-hcpatique. VII, tM.
Ktto est la source de la chaleur
attim!tto~X,t!)t.
H;KMt;!STAT10~ Ï)U SUC PAN-
CKÉAT'QUE. V! 390.
ttUSHC~EHUtUtK, sous l'in-
fluence de la ligature do la veine
porte. Vt), 200.
t)AKS LES TISSUS, cttc est
la source de la chaieui* animale.
fX, )9).
FKKMKKTESCtBt.ES (SueMi;). Voy.SKf.'rM /MW!<<<'sef~/M.
FEttMEK'rs. XI, 42 XVI, 94 XVU,
480, 48!); XVIII, t!)5. Leur ac-
tion dans l'organisme. III, 87.
Leurisotement.Vt, 4M. –Leursé-
o-etion. VI, 46). Leur spcci~M
d'action. VI, 438. Injection dans
te <;Mg. V!, 499. Leur action sur
la matière glycogène. VII, tï9.Action de divers ferments sur la
fermentation. VII, f3t. !e sont
pas détruits par te froid. V![, !5.
htjcctiou dans les veittHS. Xt,42. H!) ne sont pas ab.'iOi'Ms par
t'appareii digestif. XI, 76. Com-
mune xux deux règnes animal et
végétai. XVI, )6). iis agiasent
pour tMHsfcrnjt*)' et décomposerles produits df's réserves nutriti-
ves. XVI, t(i2. Leur compres-
sion atmosphérique. XVII, t99.
Voy. ~uM'ede Ato'c, ~ono~M fer-
n!<'n<t/<*t'
–At-BUMtPfOfDES. XVII, 491.
DtHns'nrs. XV!t,327,33<. 4
etpÈcos. XV)!, 32' Des ma-
titres féculentes dsms tes animaux
et los végétaux. XVII, 33). Des
matières sucrées dans les animaux
et tes végétaux. XVII, !M8. Mo-
ment oü il apparatt pour la diges-
tion des réserves ou des aliments.
XVII, 339. Cpnera)it6 de ce
fennont. XYU, :)40. Des ma-
ticros grasses dans les animaux
ot les végétaux. XVH, 346. Des
matières aibuminoidss dans les
animaux et les végétaux. XVII, 3M,3M.
MHUtmS ou YtVAN'fS. XVI,
DES (EUVRES DE CLAUDE RE!)NAnD. 173
influence sur la sécrétion df't
ghnde.speutempoi~nnnertamas'.o
tota)odusan.a.X),ttJO.
FtBHEMt'SCC),.ttMt:.tX,)C,]fM).
i9~;X.3t):XV)H.2f;'<,t28.–S.:s
moditications en arrivant dans tH
duodénum. )t. 4M.–HHepeut
exister sans sYstf'tncnervf'ux-X,
t!!0.–Striée, eito n'est pas seu-
iement spéciale aux organes du la
\'ieaniraatf;.X.)G).–ti.))eest
toujours en rapport avec le sys-
tL'mo nerveux. X, 1C2. Lisse ~t
striée.X, )(! X\[).4(;8.-Reu-
nion dcsRhrf'SKn faisceaux ou mus-
ctes.X,)(;C.–Kt)epn. se dû fê-
tat de repos t'ct~t d'artivitc sous
l'influence df's in'imnts. X, )87.
Effets de la chateur. X, )?).
Elle ne peut se rontractcr quedans un milieu convenabie. X, )!)!).
–Etto revient sou état primitif
par )'cta~ticite de son env&toppo.
X, 200. Dans la contraction. c!)c
se raccourcit t't !;agn<'exacte-
ment en )at'gcurf0(ju'<'))o perd
en tongueur. X,200. Constitu-
tive des muscies. X!, 43. Les
différences d'<'t's;anisation sont la
cause des difrHt'cnces fjuisf'pa-
reut tes nerfs moteurs de la vie
organique de ceux qui président
au mouvctnent votontairc. Xt, Ï4(!.
Sa coagulation chez les ani-
maux tués par la chaieur. XH!,
3ÏO. Ses noyaux. XY~ tSS.
KHRVKt.'SH. IX, tOO; X, 98, m
XVt)f, 2<:9. fCordu de ta;. tV,
t2). Sa structure. tV, t32.
Continue. f))o n'exii'te pas pour les
iBouve~ents rénexes. tV, 3~
Le curare l'attaque par sou extré-
mité périphérique et non par son
extrémité centratu.tX, ti).–Sou
trajet dans la moelle epinicr)'. X,
3t3. Les anastomoses se font
probablement aux extrémités ter-
minâtes des nerfi;. XI, 180. Dans
quelques cas, l'union s'opère sur
un point plus rapproche des cen-
tre! XI, t8t). La seule diHe-
rctico entre les deux ordres est
lRO;XVn.3M.<M.Fermenta-
tions quUeur sont du<'s.XY!,t(i4.
–Leuranest.t~'si<XVf,276. 1.
tEUMEXTS INSOLUBLES, XVII,
328.
DE H~TESTfK XVH, 3~;
BE LA LEVURE ME tHERE
XYH,.M-
PAXCRËATtQUES XV)), 3~9.
Leur séparation. XVII, 3.')).
SOLCBLËS. XVI, t(;0; XVII,
328, 49~. Leurs actions S)' re-
trouvent dans te n'ne minera).
XVt. fSO. Leur uou anesthésie
XV!, 2n.
–'VtVA~!TS. Voy. f~)7!cn~.< ~~tt'-Ci!.
FËKRt'K. professeur de médecine
au C'&g;o do France. X)V, 20.
FEUtLf-.KS p[ot!g6esdansun liquide.
XVtLMf!.
FEtULLET (lu hlastoderme. XVt,
3t!). Corné ou .sotsitiyo-cutant'
XVI, 320. Embryonnaire. XV),
317. GermiMtif. XVI, 3n.
!ntMtino-g)an<luj:urc. XVf. 32).
FEULLE) DES RUMtKA~iS
XVH,25t.
t'tBRE. IX, 100.
CRLU.'LE lisse. XVtt, 468.
–CEREBRALE.XVn),M9.
COMTt!'<'L!E (Théorie de t~. X!,
t9t.
COKTRACT!t,E DES VA!S
SEACX, elle joue un r6te im-
portant dans toutes )os réactions
chimiques de la vie. XI, 2-48.
Sa paralysie ne suft)t pas & expti-
quer la dihtaHon. X!, ~f.
COXTRACTtLË r<0'< VOLON-
TAtRE. Elle sert à lier au sys-
tème nerveux les troubles produits
par la section du grand sympa-
thique. XI, 2G2.
ELEMEKTAtHE. Action de t'o-
xygèuc.Xt,M.
MOTRICE. Sa constitution. X,
244. Sa terminaison dans la
Cbra musculaire. X, 247. Ses
caracti'rM physioiogiques. XI,
87, t85. Elle est aplatie. XI,
185.–Existe-t-eUe dans les raci-
nes postérieures ? XI, t8~. Son
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE~74
donnée par la direction du courant
nerveux qui la traverse.X!, 308.
Happrochee du type c.ellutaire. XVI,
185. Voy. ~na!!f<'MÔ.!M, Con~.
ytB!tEt'tt)M<rtVE.!V,!20.
SKOtETOtMK des nerfs moteurs
du grand sympathique.XUt,~tC.'
S~KSUtVH Ses caractères phy-
siologiques. XI, 8 i8a. Elle a
une forme cylindrique. XI, i85.
Existe-t-eXe dans tes racines
ante'rieurcs.XI,t8i).
DU TISSU CEt.HJLA)BE, pro-
venant d'un morceau de viandecrue qui avait été digéré dMs!"
suc intestinal mixte de chien. H,
4.i.').Voy.C<M~M'<'(tissu/.
TttUt'tHQUK dps nerfs moteurs
du grand sympathique. XIII,
2tC.
ftBKE~SH (TCM9UR). Yoy. ?'MMeMt'
/f~t'CM<
fntMKUX (TMSt:). IX, !)6. Ë)as-
ticité. IX, )]6. Résistance. IX,
ne.
ftEtH~E.t. 903 Yt, 45'! IX, 62 XH,
tC, 21, 9~ XVII, XT!. SoiuMo.
V), 48. Sa quantité n'est pas en
rapport avec la coagulation du
sang.Vt,4!V!f,]52.–Soa!n-
<!uenM6urta coagutation.Yt,
453. Ses analogies avec. l'albu-
mine. VI, 454. Variations de
quantité dans les din'ërsnts points
du système circulatoire. VI, ~M.Ëtat dans le sang. VI, 4M, 466;
vn.t-tS.–DanstesMcrctions.VI,'
457. Son influence sur les phe-
no'nenes mécaniques de la cu'-
culation. Vf, 465.– Sonroto,
physique. Vf,-{6<i.– Son in-
f!ut'nce sur la fluidité du sang. VJ,
4'!S. –No donaepas seule auMng
ta propriété de se coaguler. VU,
taï. Kt)e disparattdans le sang
des glandes. V![, 152. Elle dis-
parait dans le rein. VU, )M.
Elle ao doit pas être confondue
avec la substance musculaire. X,
K!S. Ses modifications inQam-
matoires. XI, 104.–Eiieaug-jmente dans la nevre. XI, 348.
Dans la culture du giycogenc.
X!V,467.–DusangdeMûche. i.
XVI, 98. Sa. digestion. XVII,
295. Action du suc gastrique.
XViI.295.
HHRtNË AMt!)ON. Son innuenM
sur la formation du glycogène.
XtV,54).
FIBRINE PEPTOKE. XVft, SUC.
F!EL. Voy. Vésicule a'f< /!c/.
HÈvaE XI, 228, 3!0 XHf. 405; XV,
t5, 97.–Arrête la gtycoRénie.t,
4)5. Et quinquina. Vin, 366,3~6.
Provoquée. XI, )4. Doctrine
dePmeit'.tde Broussais. X!, !0f.
Tendances actuelles de la science.
X!, !0). Ce n'est pas le seul
mode par lequel les afTections gé-nérâtes produisent des lésions lo-
cates. XI, tOC. Frisson initial.
XI, 34' Sang veineux. XI, 348.
La fibrine du sang augmente.
XI, 348. Elle Équivaut & ]~ pa-
ralysie du grand sympathique, ex-
périences qui y sont relatives. XI,
348; XIII, 29G. C'est un phéno-
mène purement nerveux. XI, 349.
Ses causes. XI, 3i& XHJ, 437.
Ce n'est qu'un mot, qu'unepure entité. XI, 593 XH, 382.
Théories anciennes. XUt, 410.
La distribution de la chaleur n'est
pas seule modifiée. XIII, 414.
t! y a surtout modification en plus
dans la production. XtU, 416.
Preuves expérimentales. XIII, 4t7.
Modincations de la respiration.
XUt, 418. Combustions exagé-
rées. X!f[, 4)9. Acide carboni-
que expire. XIII, 420. Urée ex-
crétée. X] )t, 421. Perte de poids.
XHt, 423. Importance de l'élé-
ment chaleur. XIII, 426. Effets
do la chaleur fébrile. XIII, 42'?, 446.
Altération des muscles, XIII,
429. Acide carbonique dans les
urines. XHi, 432. MIo du sys-
tème nerveux XIU, 43G. Théo-
rie nerveuse. X!H, 439. Elle
est l'exagération des phénomènes
physiologiques de combuiition, par
l'excitation des nerfs qui régis-
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. ns
sent cet ordre dophénomènes.'F
F
xm,445.–Applications théra-
peutiques, XtU,4't'Action
de la digitaie. XIII, 44' Réfri-
gération.X))!, 440.–EHeestune
exagération de l'activité des nerfs
méduUatres vaso-ditatateurs ou F
calorifiques, XtH, 462. Son in-
fluence sur la présence du sucre t
dans le sang. XtV, 211. C'est
un phénomène provenant des
troubles qui se passent du cûté t
du système nerveux. XVtH, 2)6.
F<ÈVRE AUËKOMEKMGEE Xtfr,
40?.
AKGtOTE~tQUE. XIII, 40'
CttKX LKS AKtMAtJX. III, 425.
–CttEX LES DtAMËUQUES XtV,
4';3.
ËHUPTtVES. Elles sont un exem-
ple de lésions locales consécutives
à une maladie générale. Xt, ]0~.
JAUKE. Dissolution des cellules
du foie. VU, 2)C.
MÉNtKGO GASTRIQUE. X)H,
407.
Tt'PHOtDE. Traitement par les
bains froids. XIII, 452. Histo-
rique. XIII, 4.')2. Hesuttats con-
nus. XIII, 453. Réfrigération
continue. XIII, 454.
HGUtEU, fonction glycogénique du
foie. 486.FtGUKES Voy. Fer-
m<'M<
<FtH!T CERVICAL du grand sym-
pathique, sa section sur des che-
vaux. tU, 380 IV, 485. Sa gal-
vanisation, avant et après le
ganglion sous-maxitlairc. V, n0
X!, 344. Sa section fait dilater
la pupille. V, 535. Son excita-
tioaproduitteresserrementdet'ar-~
tere carotide. V, 535. InSueuce
de la section sur la coloration du
sang. VI, 268. Effets diHerents
obtenus suivant que l'on fait sa
section au-dessus ou au-dessous
du gangliou corvical supérieur du
grand sympathique. VU, 305.
Exp.VJf',306.
–CtHAtRE direct et indirect. V, 86.
tLETDUGRA~HSYMt'ATHtQUH
V, 9. Dans le muscte. X, 37.').
La section est une cause de pré-dispositions morbides. XI, 30.
K):ttVEt X SUCHKtEt R do la
parotide. V(F,33i<.
t<.tttATtOr< comparée sécré-
lion. VI, 462.
tIfAUTE )X, 203. Co n'est pas
une loi physiologique, une loi de la
nature. XVI, 338.
~tST~~ES Pour se procurer los li-
quides digestifs et notamment le
sucgastrique.XY.498.–Tenta-
tives dcR.de Graaf. XV, 501.
B)L)AttU;S t, 98 VII, 202, 22t,
383 XV, 599. Procédé pour les
établir. V[f, 209.–On les prati-
que généralement dans le but
d'empêcher la sécrétion de passer
dans le duodénum. XV, 599.
MASTtUQC):S 382 VIII,
).'); IX, 77 XV, 275, 5;)C XVII,
267. Du Canadien du D' Beau-
mont. ![, 382; XV, 26, 498 XVII,
267; XVIII, 378. Animaux qui
conYiennentaI'operation.XV,556.
Diverses manières de procé-
der. XV, f);<7. Méthode de Bton-
dlot. XV, 5~7 XVH, 269. Modifi-
cations de CI. Bernard. XV, 557.
ModiScations de M. Blondlot. XV,
558. Démonstrations expérimen-
tales. XV, 558.
tKTtiSTtKALES. VII, 399, 401.
t.~MPHADQCES. Expérience.
Vit, 64. Chyieuses. VU, 66.
PANCREATIQUES. !f, 130, 298
303; VII, 39f; XY, 591. Sur
un chien de berger. H, )97. Il
est impossible de les faire perma-
nentes. H, 214; XV, 592. Chez
l'homme. II, 298. Action du suc
pancréatique. H, 329. Inllam-
mation chronique et destruction.
V!I,396.
t'AKOTttttEXMES. Manue! opé-
ratoire pour les pratiquer chez di-
vers animaux. H, 53. Chez le
cheval. XV, 511. Chez le chien.
XV, 511.
SAUVAtMS. XV, 506, 509.
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUEi7<!
InfiucnM du système nerveux sur
!eur persistance. V,~M.
'1FISTU ES S fOMACALKS. Chcx un
rhiet) nephrotomis~. Vtt, M. Voy.
ft.</«/f~ ~<?'MM.
FtXA'ftOtdct'axotesurIascom-
post's organiques. XVI, 39.
FtKCMtS ''mpoisonnee~ de rAme-
riq )io du Sud, flèches poisons.
M!). 2tS XI, i&O XVn),
2;iVt:niade'i).X!,299.Voy.
~'0;.<!()« <~M/?<'cAM, )'<'M<MdM
~MM.
FLHXXM (Mouvements de). Xt,
3M. Voy. ~ifo'<t'<'m<'n<~ «e ~cj't'oH.FL~)t)t!S digestifs. Voy. ~~e~t/j;
ncrvmtx. Voy. A''rt'cM~; –Pha-
!'yn(;ic!)s.Voy.7tn~H~t<M.
rLOCKE~'S. Son <togc ptr 0. Ber-
]ecervMu.X.V[[t,'tt2.Voy.A'CBKf/
t)7<
FOETAL (ËTAï). Yoy. J~;a< /~<f~.
FOETAUX (Ttsscs). Voy. ?'M.!Mt' /<K-<'f?M.
FOETt'S.rX,)08.–Gtyfo~neet
(;)Y<'ogcu~<!<).2:)!), ;){)S; X)V,
IS3. nt?rroatament 3S8 ¡XIV,)83. !\t)rM)a)ement diabétique.
I,98!). 408.–Sucre contenu dans
ses tt~nides. 3M. Coutourdu
sang. Vi, 25t. Leur sang con-
tient-il de t'oxyg&no ? D'au vient-
i) ? Vi, 400. –Propriatee du sang.
Vf, 400.–Urines aJcattaes de-
venant acides par i'evaporation.
Y!t,34.–FcrmcntMtons~tyeosi-
quM dans ieii iniiscje:). V!), '~M.
Empoisonnes par io curare. Xt,
tM.–tFoiodui.XiV.AOC.–Lc
charbon de )am~;rot)t*seprop!)g<'
pash)ui.XVt),M.–Gtycogf'n&so
dMsiesg!a)]de'Mmusde'ict
!('sannexe:XV!],5M.Voy.<!m-
Ht'fM, G/fO'?<'?!)'f/(B<a~, ~M«:~ du
/(f~«, <7r<'ft' (~M/X<M.
–H'O'SEAU.JX,!)!).
–UtSS KCMt~AK'fS, des juments
et des porcins, réserve phoopha-
tinuo.XVIf.M5.
UE VEAU entoura de ses mfn)-
branc~. I, 404. Dans l'amnios.
XVU, 65.
FOtE. XV, MA. !) est charge de ja
fonction gtycogoniqne qui jusqu'a-lors était restée iucoMue. 37,
M; XI, 33!. Il renferme tou-
jours, chez l'homme et chez les
animaux, de fort'") proportions de
surroa )'cttttphyaioto(tifjue. t, M
X)V, 40: Dos&ga du sucre. ),
(<2. Observation chez l'homme.
), C' sur tes ani-
maux dans Muta i'echoUo zooio-
gique. ), U9. Topographie ana-
tomiqusdo la production: du sucre.
I, 83 XIV, 2!)3, 298. Le sucro
ne' Saufitit s'y conserver tonKtemps.
], 9t. tt dottae une sccreiion
interne, le sucro ou le ~iycogenR,et uno sécrétion cxtëricure, ).t
biie. f, )M, 508 tX, ~8.
Mce~neratc' de sa structure chez
)c<t mammifères, t, )0t V)), 2)5.
)i distribue la matiOrp. sucrée dans
i'organismc. {, f [2. Maticres en
rapport avec le sucre. J, )3~.
htttucnce du cancer sur la sccro-
tion du sucre, f, );M. hinuence
des hydatidL's bur la Mcrétioa du
sucre. t, t3't. )! [)'Mt pas tra-
vorsé pftr la graisse. ), ]'!C. Une
nourriture tucree et féculente tui
donne une décoction iaitPUM. ),
]M. 153, t62. I) étahlit une 6-
quilibration atimentaire. f, it5.
Son rôle vis-à-vis des matières to-cuientes et sucrées, t, f57. !t
les transfonHe en une substance
Én]"!s've pMticuUcro. t, 157.
Expériences comparttivas. ta7.
t'reuves divf'Mes. t, )f)tt. Sou
anatomie. f, 167. Circulation hé-
patique.), )t!N. )72,nC,)8t.–Sos
cellules. I, )(!!). -Ses yaiMMUx. t,
t72, t7t. Conditions anatomi-
ques qui (aYO'iM'nt la circwtation.
t80. Mécanisme de la circu-
latiou I, 180; VU, )? XtJf,
t)9 XtV, 9t). L'autopsie cada-
v<!riqtM n'indique pas son état
physiologique chez iesdi!tb6t.iqu<M.
I, !S2. Ses matadies détruisent
le gtycog&ne. t, !SC. Le sang qui
en sort a une temperatare plus
t))'S<Et'tKS))EC).At'[))-:t!H~At!U. n?
C.L.u'[)EBK)~Ann.Xt~. t2
e)'~p't.M;t:Vt.7.87.-Tom-
p'raturodus:u)e;, [)rtM'(''d)''0)<t'
`hlifjUPtesnf'rf'sGdpv~'rspdanstc
san~. {, ?; Pf-ndauties f'n'orts
et)fsmonv('mf'))ts.itt'\puts<*<)a-
vanta~c de sucre dans tesan}!.).
I;Mt!Dépuration du sans;
ST!Condens&tioodHsuo'c.), l,
2' Distribution des nerfs.), l,
M!,M7,~M. tnnuf.nc<-<i<-
(asoctiondt'tpnf'umo-gMtriques,
au-dessous des poumons. t,M6;
V,4~t.–Sotid.tritct'onctKMtnctie
avec !c poumon. I.S.M. --P~-
tl~4Çr,i.,rt ul,r,ar_artyca tlu surra dansd't('ti'intp"nt:)"6o du sucre dans
te foie d'un aaimat mort dansccr-
taiucs conditions. –.tn-t
nucuccde)a.set't.iond)'t:tmoe)!e
'.tn'taprûdttctiondusuct'f'dansh'
foi)'. t,~t: -Mo)'t:ttasuitedo
)x cassation dt'st's fonctions, t.I,
-4H.–Section de'; nerfs sympa-'
thinncsqnis'yt'f'txh'nt.t.'H't.–
Son <'tatd:ms)e diabète.),433.–
Discussion sur ses fonctions.), l,
468.– Troubles dt'tacircuhtion,au moment de la suppression de
)acircu)atio)tp)aconMire.t),4'ii).
–Ëtiminationdc'i substances.[!t,
(')().–Action de i'ethcr.m, 437.
Vaines bitiaires. )H, -t4). La
matière gtycngene s'y accumuio
après section do la mooUe. )V,
444. tt s'infittre avant les autres
organes daus les injections d'eau.
V!, 35. Causas de t'hypersecrë-
tiondusucfe.t),9; –Méca-
nisme de tafortnation du sncrc.
\)(,U:t;X,))5.–LaLma!ioreat-
bnminotde s'y forme apr~s ta mort.
VU,tU.–Uestt'oriKinedptoutto~'1f, 111. -Il Il est l'origino de tout
le
sucrodct'orga[)ismo.V)t,U7.–
Son extirpation ct)ez les grenouit-
te'i. Vit, U9. Ff-rmcntation de
!amatt&r«g)ycngcne.\<[,)'!(!
Proportion dR tamatifre gh'eo~oneet du ti*su etran~"r dans io foie
des divers animaux. \'H, )84.
tnuuencc de la Ugaturf de la veine-
porte'-ur ses fonctions. \t,2(M).
Rochprche du sucre. VU), 291.
--Fonction ~h'co~enique et piy-
co~f'.nesifjUc.tX. S():Xi\M:
2i)'). 30f.t!3: X\H.'<). -Sa du-
p)iciteoi'si;a!n()U~.annont-efpar)a
ph;n)!C!fau!h'))]~opar)'ana!o-
mie.)X.83. i)nf'cot)ti(.ntph)s
d('-<uh.,ta)n'en!yco:ttafintt<'
p)usn'ursma)adies.X),H3.–Pro-
duction de la R)ycose.Xf. 24'
Anas).ou]ost's(jniassur"ntsttcircu-
tation.X!, ;!(!).- Sans: ycineux.
Xi)t,j!S.–(:atorincation.X!t),
)8').-Sonr<'))e.XFV,?64.
Considt'')';ttions historifjues. X)V,
9<j!i.t)a~.it en retenant tf'sut'ro.
XtV, 2'!).–Son<)e contme
s~xu'cn constante dfsucrH.X~V,
2').–))u''ou\C!'ted~t'cxi-tte))ce
dus.ucre.XJV, *'8:). Matipra
cmH)s)tc.X!V,3()?.~j).- Dc-
c')tti()npmutsivt'.X)\.W.–Le
sm'rf'in~Ms'y frao-iformeen
!)yco!<'nt'.X)V,:t9). ~.Formation
du g)ycoge!M'.XtV, 3:!7.– Par lui,)c système nervf'uxexcrc~son ac-
tion .sur )a~t;'fo;!en6<;6.X)\iM.Sou r)'))f dans la uotrition. X)V,
43C. Sasurae(h'itH)onrtionn<')to
produit le ()iahete.Xt\n.–H II
ne doit pas prcscnter df tosious
anatomiques dans le diah&t~. XtV,
438.–Lieu d'élection de )a for-
mation g)ycogéninuc.\Vf,8.–
GtycogcnH en dehors de )a période
d'tiibernation. XYU, 102. Modi-fications des atiments. X\'U, SC9.
Action des atiments sucrés.
XVU,3').– Hesit'entrepotdes re serves gtycosiques.X~n,3':< Voy.t-.t't'e /t~K< Ct'
/u/c.t </M /0)f, Ci''CM/a<f'Ott t<M /bt'c,
~<~a<t /M, ~.n~o'/e ~M /b!f. SangO~i'XfK.K <<!</()tC, rt'S!i<! f/tf /0)'c.
fom (SËr.MTtOX ~r). t~nuence du
système nerveux. L 2!)<i. Kxa-
gcrcf; par la piqûre de !amoc))e
aHongee, i,29'?. –Action de
i'ëther. Ut, 43. Action de i'e-
theretdet'a)cooL![L4.').').–fn-
nuf'nce de la piqûre du plancher
du quatrième Yentricute.tV, 463.
Son mécanisme. IV, tC.').
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTiQUE<78
tOtt'nn.tAtt<EXVft,)07.
DE CHEVAt., vu par sa face in-
férieure pour montrer les commn-
nications vasculaires directes qui
cxiiitpntcntt'etaveiue porto hépa-
tique et la veino cave inférieure.
!,m.DUCHtEX.I!4M.
DES DtACETtQUES. Autopsie.
t,42a.
DU F(W-;TUS. Gtycog~no. VU,
t35~ XtV. 506.
GLYCOGEKtQUE. XVif, 107.
--GKAS.)3'
D'tXMtME, <!iascqu6 suivant !e
trajet dos \'aiMO!*ux. ), tM.
--DES tKSECTES. t<M).
–LAVE. V)t,]H);XtV,)8), 300,568. Formation de matière al-
bumi~o:de et débite.Y)f,)3'
Formation do l'albumine. VU, ]3(!.
Yoy. ~nuaye ~u foie.
-NERVEUX.),t3:i.
DES <*()tSSONS. M contient du
sucre. XVII, 99.
DE St.'t't't.tCtE. H contient du
sucre.t,tii),a0.
FOUE. XVIII, <00.
tO?<CrtON CULOKOfHYLtEKNE
Voy. C/ttofo~/t~e (fonction'
DE DtGESTtOK. XVII, 242, 3M.
Voy. D)'ye<<H.
<,LYC(X:E?fESt~UE. Voy. G/y-
cof~n~«e (fonction).
GH'COGÉNtQUE. Voy. G/yco~-
?tf</M<
BES'RATOtHE. Voy. ~MpMt).<o!e (fonction).
FONCTIONS. XVf!, 485. Leur
dépression dans l'asphyxie par )'air
conftM~. Ut, )2< Tronbto subit,
mort subite psr action bfusque. Uf,
296. Etat de fouction des glandes.
VI, 32f. Influence de cet état
sur te sang des organes.
VU, 18. D'un orgauo, carMtÉ-
risée par l'analyse du sang avant
tt aprUs t'organc. VU, 34. Pour
ta connaitrc,i) ne sufntpasdc com-
parer et assimiter son instrument
fonctionnel organifjua à un instru-
ment inorganique, il faut ctu-
dier!<")CitractÈres propres et les
conf'.itions d'activité fonctinnnotte
do ['otomont organique. IX, 220.
1- Leur localisation, lour corn-
plexit6 en rapport avec la fré-
quenco des maladies. XV, 06.
EUes ne sont que des moyens.
XVII, !&0. Leurs rapports avec
les nrganos. XVIII, 40! Com-
parées aux propriétés.XV)ft,~2!).
Voy. ~<-ittt<f'/bn<'hoMnp<!f, Centres
/one<tOMne/ Circulation /b')C<'Mn-
KeHe, DMh'MC<!Mtt fonctionnelle,
~.<:c!<aA!hM /onc<ton?M/<< Irrita-
&<~ /'o.i'<!0."?te/e, Z.~s)e~M /'onc-
<tOHMe~/M, ~ecaKt.fnM.! /bnc<to?t-
nels, ~Mt /bKC~OMMC~M.tOKCTtONS ANIMALES. X, 110.
CEREBRALES. Voy. Cérébrales
(fonctions).
MEMOPOtETtQUES. Voy. M~
mopotW<yMM (fonctions).
NRMVEUSES. Voy. NM'MMM.
(fonctions).
NUTtUTtVES. Voy. NuM<w.<
ft'Ottetiona).
ttK RKLATtUK. X, t()5
SHXUKH.KS. Voy. Scj-M~M
(fouctions).
VËCETATtVES. X, tC&.
OK LA VIE ANIMALE. X, t0&.
UH LA VIE ORGANt~UE. X, 105.
Part qui appartient aux actions
rénoxes. X, 3M.
VtTAms, elles sont mieux iso-
f6e!t chez les animaux supérieurs.
X, 102. Relatives t" & l'indi-
vidu, 2° à t'espace. X, ttX!. Com-
parées aux fonctions animales. X,
tt(). Leur localisation. XVIII,
M?.
FOKMTtOKNKMEKT différent des
machines vivantes. XVt, t50.
FONDEURS, Insalubrité de cette in-
dustrie. lU, M.
fONTE DU RKtN. Vn, 30.K)K<:E CATALYTIQUE. Voy. Ca<a-
/y<!<y«e (force).
ÉVOU'TtVE des phénomènes.
IX, 223. Ses manifestations
morbides. XI, 50. De l'œuf et
des cellules. XVIII, 210.
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. t79
FORCES t'HYStQUËS ou MECA-
KtOUES XI, 223 XVt, 5.'<. Leur
corrélation. XVII, 24, .'t)5.
SE!fS)TtVES. XVt,2t4.
DE TEXSSOX XVII, 48R. Voy.r~Mto'
VtVES. XVII, 48C.
FORMATtO~f cellulaire tihre. XV!.
!!))!. Pleine par rajeunissement.
XV!, 30'
FORME, elle est nécessaire pour
caractériser t'être vivant. XV!,
29'1. !t faut la distinguer de la
matière chez l'être vivant. XVI,
292, 352.
FORMES 9ttKERAt.ES et formes
vivautes. XVI, 296.
FORMATE do potasse. XV!, 392.
FOMttQUE (AonE). XV!, 3)2.
Produit par t'hydrate do chloral,
sou rôle. X! 302.
FOSTER. 'Iheorie du diabète. XIV,
4f!.
FOUQUtER. Phénomènes observe!)
chez les paraplégiques. XI, 202.
'FOYER de calorification. Voy. Ca-
~ort/!M<!OH.GLYCOGËN!QUE. Voy. G~cOt?~-
)!)~M.
FRACTtONKEMEKT du vitellus.
XVI, 3t8.
FRERtCUS. Pancréas, n, 336.
Origine de l'uréo et de l'acide uri-
que. VII, 60.
PRtt.OtUFtQUE (KERF). Voy. Ner/
frigorifique.
FRISSON initia! do la novre. Xt,
34'! XIII, 408.
FROtD, son influence sur la sécré-
tion du sucre il arrête la forma-
tion du sucre et diminue le nom-
bre des respirations. Expériences.
J, 188,190,
191. Influence sur
la gtycogenie. 191, 194, )98.
Influence sur les cochons d'tnde.
I, t9t. État à ~oun.t93.
Son action sur i'organismo. VI,
51. Influence sur la coagulabi-
lité du sang. Vt, 415. Ke détruit
pas les ferments. V! 135. In-
fluence sur les mouvements vibra-
tiles. X, t45. Effets sur les
t'ORCt; t;XC!TO-MOTR!t:E. Ses va
riations.X,3M.
MECAX!Q!'H produite par tes
animaux. XV!, )3'
MEDtCATKtCE. Voy. JfMiM-
(Wfe ( force j.
–XERVEtJSE.Voy.A~'MMM (force).
pet<<«yue (force).
VITALE. III, 4; !X, 133, 13',
224 X, '!6 XIII, 6 XV, xtv
XVI, 6, 46, !8, 244 XVII, 403
XV!H, 38, 50, tU, 153, tC3.–
Elle est une force organisatrice et
uutrUi'e, ma{s elle ne détermine
pas ia manifestation des propriétés
do la matière vivante. V!!f, 353.
Ce n'estqu'une hypothèse. Xt, )26,
449, a06. Comparée aux forces
physico-chimiques. XI, 49t.
Rapports avec la synthèse chi-
mique. XV!, 225.
FORCES, leur transformation. IX,
29. C'est un rapport, une reta-
tion entre la cause et t'effet. XI,
449. Rien ne se crée ni ne so
perd. XVIII, 76.
CHtMtQUES. tX, 222. Miné-
rates elles sont les [n('mes que
tes forces chimiques organiques.
xvtff, n5.
DE DEGAGEMENT. XVfI, 48G.
DE DÉVELOPPEMENT chez l'a-
dulte. XI, 48.
NRECTtUCES des phénomènes,
elles sont morphologiquement vi-
tales dans les corps vivants, les
forces exécutives sont les mêmes
que dans les corps bruts. ÏX, 233.
MOTtUCES. XVI, 244.
DE LA NATURE. VIII, 129.
PMYStCO-CHtMtQUES, celles qui
sont nécessaires au fonctionne-
ment des propriétés de la matière
vivante sont les mêmes que celles
qui président à la manifestation
des propriétés de la matière brute.
XI, 4t)t. Comparées à la force
vitale. X!, 491.
pnYSMLOC!QUES. Elles conti-
nuent à agir dans l'état de maladie.
XI, 68.
TABt, AU'HABÉTtQUË KT AXALYTtQUE)80
UYisfction'i.X),?. –Son in-fluence sur )<!s nerfs du seuti-
meut.X).3i.*).–Sou action sur
)f's<tr<'s vivants.XI,4!)2.–Ancs-
t))esiep.ir)efn)i<).X)[,:)t. ))
anu'<n('. t'engourttissemcnt. XV),
<M. -Action sm'i'airvicie.XVit,
tC3.
m~TS acides, Mycose. XVII, 279,
Voy.SMm'f/e/'tHtt.
Ft;MMK. hut-U fumer'? ttt. M8.
MAt~t: LVMt'MAttQUES. XI),
M;XV,.U9.
GALACTOSE. XVU, ~'), 2';9.
GALES. Autrefois 0!!C!M!]3L!saait
son <ivohttion, !tujom'<t'hu! on
connaît sa c!tHit('et Mnd~tft'mi-
nisme. V!H, 3'!5 Xf, 3. f~5; XV,
4!). Sou traitement rationnel.
X)\H:i.
GAt.tK~: faiMit des dissections sur
des animant vivants. t. VU), 174
XV,()f.L)'pt'rc<tc)aphysio-
)of!ie, f't )o pt'cmier des oxpet'i-
mf'nt:ttcurs.X),53),ia;XVn,
H!). Ses cxp~riencea sur des
porcs <*t<)c<! singes. X),Mt.–
Sath6ori('d(',titcircu)ation.X!t,
~;X\9!)L –Hôtfido~duM
mërc. XV, tt3. Absorption. XV,
333.–U!matysG)'<.))'ga!)i!<mf)cn
pMtiossimUaires.XVf, t8t.–
Coction des alimenta. XV)!,'!6().
GAULEE, promoteur de la méthode
experimentate.Xf.'t'?').
GALt.. Son opinion sur rexpcct~-
tionet)'intOt'vention.Xt,6t.
GALH?<AC)';S. P)-a))<!nsion et con-
teation. XV, tU.
GALLOIS. Origine do l'urée et. de
l'acide urique. V)!, 60.
GALVAM. Expérience. !V, 2t().
GAt.VANtQt'H (ExaTATMti). Voy.Excitation galvanique.
GALVA!<<tSATU)~ UË LAUKtCU-t~Attm. Son influence sur ia vas-
cularisation et la température de
rorei)[e.5i2,5)G;V!),3:!4.
DE LA COKME DU TYMPAN.
Sas effets. XV, 543.
DU FILET CEUVtCAL avant et
rapr6-,)('gang)io))sous-mati)!a;rf.;sécrétion dai)s)!'s deux cas.V,)?<)
-Seaof)'et!X),34i.
(.ALVA~tSATtOK MESF, CA\
<,HUXS SEMtLUKAtRES. XIML 4.
HUGRAM) SyMt'ATfttQH;Y, )!?, 5!5. –DansdiYartps
rcgions.tV,396.–Che:!)("; che-
vaux,ct'fct.ftUt'ia chaleur et la cir-
cu)ation.t,29).–Du bout péri-
phérique coupé. Xt,NG2.–Op-
prime ou âbotitit'sproprietts
vitates.Xf,:)<3.– Pendant la
ms'itication. XV, i;!9,Ses ré-
sultat! XV, 520.
HES KEHFS Elle cmp&ch'!
~absorption du poison. XI,386.
MES NERFS DE LA RATT.
V)),M6.
nUKERF SPLAKCHKtQUE Vïï,
t'!4}tn6;X),3M.
Ut! L'OMEtt~m. V, 5)2. –~p).<~section du sympathique au cou.
V,;<t'Expérience- V,5~.
–Sasen'otssur)acha)eurde
t'orei))c.V,o)3.–tn<]uencodola section des nerfs. V, 5)4.
NUf~fEUMOGASTRtQUE ou
OES VAGUES. V, M3; V[f, 221.
Avec ou sans empoisonnement
par )o curare, elle produit t'atïtit ducœur. ftt, :M8, 366, 368. Elle !u'-r6te les mouvements du cœur m
3'!9;V,38).– Elle ne les arrête
plus chez un animal empoisnnuc
par le curare. Uf, 373. Du bout
sup6heurdesY!tgucs,c))c M-r6te tess
mouvements respiratoires. IV, 3'!).1.
Elle détermine l'apparition du
sucre dans le sang ot dans lesurines. V, 435. Son action sur
le rein. VI, 309. E)lo change la
réaction du sang et du caiiïot. VIt,220. Elle arrête les battements
du cœur. !X, <i6. Et du grand
sympathique, effets produit sur
l'estomac. XV, 513.
GALVAKtSME appliqué au cœur et
aux veines chez !e foetus. I, 38!),408. Appliqué aux glandes et
DES ŒUVRES DE CL,UJ[)E HKit.\Af!t). t8t
centres or'rveux distinct! Xt.M'
--Ont-i)s une influence pmpresurt('s:t<t')nst!tso-nt0triretfjuisontsoust~ dépendance du p;rand
!-yn'pa!hi<iUf'?X!8.–)'tiAant
functiffa décentre, teur autono-
mie tempcrairo.X)), 388.- ~ou-
YeUe-i<"tperiences.88.
(.AKGHO~S nK L AB«OME\ Leur
sensibitite.Xt.3~.
–CHRVtCAt'X.Leurab'ation.V,
4),i8.'ta)98;V)),tM.–C.erviMi
supérieur, procctte pour son ab).t-
tiqn.Y,5;i),M6.–C-ct'vicaux
infcrieui's, int!uo))cc <tc leur abla-
tiou sur les mouycmems du ca:ur.
.')!!). <~<'r\icat supet'ieur du
{:)':tnd!-yfnpat))i((ue.\fi.XU.
Hfffts di!ÏGt'onts obtenus suivant
qu'on fait, la section du fUftcer-
Yic!dau-df'ssusou!tu-des'.ousde
ce gan~tion. V)), M5. Son
action sur la glande sous-tnaxt)-
tairp. \')). 30.'), M.'<, ?' ExpL'-
ricuccs. \')), ;!()(;. Kn'cts df leur
extirpation, tnouy<;mcnts péris-
taltiques qu'ctte produit. \U,
.i.
nu GRANn SYMPATtUQtJE
!V.n(:;)\,38;X,Ht)9~XtH,
3n. P~ricarditH par teurabta-
tiou. IV, )83. Leur sensibi)it6
et leur excitation ren~M, innueucn
')Urt'oeitetsurtecœur.)V,~24.
3<i8. Thoraciques et abdomi-
naux, leur iuûuenco sur tes mou-
vementspertstattiquesdR l'intes-
tin. !V, 3a9. Les n)ets du grand
sympathique ne tiennent pus leurs
propriétés motrices des g~ngUons
qui se trouvent sur leur trajet. V,
iG8.–Exemptes d'ablation. V,530. F.n'ets inuammatoires. V,
ML–Us peuvent être tecpHH'e
d'une actionraftu~e.X,344.
)KTERVEHTËBRAUX H, 233;
X,293–Leur soudureayant pro-
duit une anomatio dans la distri-
bution de la sensibilité Mcur-
ronte.IV.t08. Usages pour la
nutrition du nerf. tV, 934, 23~ a
2H. Experieucos sur leur rota
aux autres tissus. V!t, ?6!<. Son
action sur tes nerfs coupes. X.[,
''ti.
-Ai'et.atnonna).t)apitp!ttsf'uergiquem('ntsur)f'sn'')'fs)noteurs<)uosur tes fibres scns!-
dYfs. Xf. 22.'). Apres ta sertion
f!eta tnoe)!ecpiu'ts(',i);t~i<
tnotns ~ner~ifjuentent sur )<'s 's
n''rfs moteurs que sur les tibrf's
s''nsiHYe-X),2'Se<.tnfo!)-
\<'nien<s dans tosfxperio'nccs sur
)<'System''nerveux.X.t,Mt.
CALVA!\OMHTR)!.XY,4M. Son
<'mp)ot dans t'6tmdf des tempcra-
iui'efi. Xf!f, 83.–Lecture tiRia
Hiiîcrencetietetnporaturf'.XUt,
84. Voy. ~~<pH;'e!7 ~a/unnoMe~
'/M<
(.ALVAKOSCOPtE. Voy. A'<0/-
t'N;tO.Cf~)'f/M<
(tA~CHO~f MK LACt A!\t)H SALI-
VAtRE SOCS MAXtLt.A<KK !X.
:!8. Gah'anii-ation du <i!et cer-
\ic.at.V,)'!0.–Chez le chien,
scs)'&ppûrta&t'ectesn~)'f'i.Xt),
M'
Ot'HTHALMtQtJE V, 2M
Son abtationetitt'Yela sensibilité
de la cornée. U), 2:!(i.
t'KEMtER mORACtQUt: S~
Mnsibitite. Xt, 3~t. Ses con-
n["tiousnerveu8es.Xt,3.')4.
SfHMKO-PALATtN. Son an-a-
chement, procède opératoire. V,
!).'<, KG, tC). Sa destruction
n'empêche pas sécrétion paro-
tidienne des'en'ectuf']'. V, ta'
t!Ai'<GHO!<iNA)RË (CEU.m.E). Voy.Cellule ~"M~Ho?!MMi')'e.
(SYSTÈME). Son action sur les
gtandas diffère de celle qu'exer-
cent les nerfs moteurs. XV,
59a.
CAKCHONS. X!n, 9U. Leur
soudure, sensiMUte récurrente
anormale. IV, t0' Leur struc-
ture. t\ t2C.– [nHuancesur la
nutrition. tV, 23&, 2<5. Nutri-
tion des membres par suite d':t-
bhtion. tV, 26'). Leur action
sur le trajet des nerfs. V, t6i).
Us ont eto considères comme des
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE)82
GASTRIQUE (SÈcaÈTtoN). Elle est
troublée par tasection des pneu-mo-gastriques. V, 4)C; VtL37a
XV,Mt).–MxperiRnces.Vtt,37!)
La portion pytorique de l'estomac
y concourt seute.XV. 5M.Ë)i
mination des sels de fer et du
prussiate de potasse. XV, 565.-
Différentes substances étiminees.
XV, 565. funuence dos atcatins;
Ette est activée par les excitants
alcalins. XV, 5?0 XVII, 289. Ses
cxcitantB.XV!f,29).
(Suc). Voy. Suc y~<~M<
GASTRO-!STMST)MALE (SuMACE).
L'absorptiou est infidèle. XII,
6G.
GASTROTOMtE. Cotto opération
chez le chien ne preM'nte~encra-
temont pas d'inconvénients sé-
rieux. XV, 56t.
GASTRULA.XV), MO.GAUTIER (A.). Chlorophylle verte
Ht chlorophylle blanche. XV!,
3)3.
GAY-DUSSAC. Gaz du sang. XIII,
2t. Putréfaction. XVJ, 174.
GAZ en contact avec le sang. ïiO.
Actiou des différents gaz azote,
acide carbonique, oxygène, hydro-
gène arsénié, sur ta disparition du
sucre dans le sang. f, 2t), 2~3.
Leur solubilité comparative dans
l'eau et dans le sang des diverses
parties do l'appareil circulatoire.
III, 108.Échange
dans le pou-
mon. i! tg8. ÈHmtnation par
le poumon. 1II, 161. Leur solu-
bititûdantit6sang.U[,t63,)M.
Mort subito causée par l'injec-
tion brusque de gaz dans le coaur.
III, t63. Ils ne passent pasdans le ventricule gauche. )J!, f<!4.
Capacité d'absorption du sang.
III, )68 VI, 285, XV, 36). Leur
dissolution dans le sang. Explica-
tion do l'action de l'acide carbo-
nique. Action de l'oxyde de car-
bone sur l'absorption et l'exhalation
des gaz.U!,t69,n3.–Diminution
de leur volume par la respiration.
III, 203. Dans les capillaires.
physiologique. IV, 235. Pro-
pt-ictesct.U!!age<)V,a5.–irri-
tation mécanique. IV, 265. Leur
destruction enlève l'action rcf!exe
sans cmpt'cher la transmission de
tadou)eur.V,M9.
GAKGHOXS LYMPHATIQUES.
Ont-ils un rôle dans la nutrition
des glandes? t, 26t. Leur en-
gorgemeut après extirpation de
la rate. VU, 22.
MÉSENTËRtQUES cotoros en
noir par le sulfure d'argent ou de
cuivre. VII, 382..
PEtUt*HER!QUES Action de la
morphine. XII, 289.
DU PLEXUS SOLAIRE. Leur
sensihiHté. XI, 353.
HACmntEKS. Leur soudure, avec
MomatiM de la sensibilité rëcur-
rente. IV, )()(!.
–SEMt-HJNAtRES. Galvanisation.
Xt, 3M.
DU SPINAL. IV, I26.
SYMPATHtQCËS. X, 309. Leur
innuaMe. V.MO. Du maxillaire,
sous son inuuenco)a glande sali-
vaire sous-maxillaire peut entrer
en sécrétion. X, 344. Sous-
maxillaire, il dépend du cerveau
pour sa nutrition. X, 347. Hypo-thèse de Bichat. XU, 285.
GAKGRÈKtt des parties dont les
vaisseaux sont oblitérés. XI,
36.
CARREAU. Respiration des plantes.
XVU.iM.
GASPARD. Expériences sur le dé-
veloppement de t'cBuf. XI, 4S.
Expériences sur l'injection de
substances putrides dans les vei-
nes. Xt,C2.
GASTEKAXE. XV!t, 28S, 2S.t.
GASTÉROPODE. Développement.
XVI, 329.
CASTRtQUM (AcmE). Son r&]e.
XVII, 291. Sa nature. XVH,
293.
(DIGESTION). Voy. Digestion gas-
<)<~M<
(F)STOLE). Voy. Fistules gastri-
ques.
DES ŒUVRES DE CLAUDE DEHXARD. t83
VI, 30. On no retrouva)
pas les quantités d'oxygène et
t
d'oxyde de carbone ajoutces au
sang, au moyen de l'oxyde de
carbone. Vt, 384. Influence de
leur température sur ta couleur
du sang. Vt, 396. Injection sous
la peau. Vit, 4'i3; XV, 2t6.
Leur élimination. IX, 204. tm-
munit6 des mouvements vibratiles
& leur action. X, 14'?. Quantités
dissoutes dans le sang. X, 22).
Leur échange est facitite par lepoumon. XH, MO. Qui compo-
sent la vapeur de charbon. Xf), j3M. Mot créé par Van Hetmont.
XVII, 151). Voy. Échanges </a-MM.
GAG MtLAnAKT comme anesthé-
sique.XH,;t8.
tNSOmBLE, introduit dans 1e
système circulatoire, il produit
Iamort.HI,)60.
uu SAsc. XII, 24 XIII. 24.
Dans les divers états d'abstinence
et de digestion. III, Ht. Dans
les sangs artériel et veineux,
avaut et après section du grand sym-
pathique Absorption d'oxygène
par divers sucs et formation d'a-
cide carbonique à leur contact
avec l'air; Expérience sur le che-
val. VI, ÏaC. Leur échange. VI,
33!). Leur recherche et leur
analyse. VI,354,at6:),3'!8;VU,161 à n6; XVU, 156. Provien-
nent-ils d'une fermentation ou
d'une combustion? VI, 355.
Leur déplacement au moyen de
t'oxygène, de t'hydrogene, de
l'azote. VI, 355. Modification par
la section du sympathique au cou
surtechevat.Vt,356,–otsur
le chien. VI, 360. Analysés par
la cuisson. Vt,3(!l.–Procède
nouveau d'analyse. VI, ;)65.
Leur déplacement par l'oxyde de
carbone analyse par t'oxyde de
carbone. VI, 368;tX,52;Xff.'t88.
Analyse comparative dans le
rein et dans la veine rénale. VI,381. Analyse comparative pen-
(tanttntt'aysijeticrepnsdf's
muscles et des gtanftns. XI, 2'!3.
Leur exhalation pendant le pas-sage du sang dans les poumons.
XII, (!). Emploi de la pompe à
mercure pour !eur analyse. XH,
491. Travaux de Setschenow.
XV, 446.
GAZ SYLVESTRE. XII, 36'! XVII,
t(:0.
TOXtQfES. !tf. tOA.
GELATtNK. XYt), 298. –!nnucncc
sur la formation du sucre dans le
foie. <;?. 137, tiS; VII, 4)8.
Produit du sucre dans le foie,
donne une décoction opaline. f,
139, 454. Expérience. 148.
Masque la réaction du sucre.
46t. Existe-t-eUe dans te sang?
le charbon animal no la précipita
pas; durée de la vie avec ingestion
de gélatine. V!, 4'!4. Existe
dans la matière glycogène des
foiesdeboeufetdosmuMtesdu
fœtus malgré la précipitation par
le charbon. VII, m. Influence
de l'injection sur la formation du
sucre et de la matière gtycogène
dans le foie. \'H. 4t8. Pour la
culture du gtycogcne. XIV, 4C7.
Son influence sur la formation
de la matière glycogène. XtV, 510.
--Elle est une source do glycose.
XVII, 125. Alimentation à la
gélatine, XVII, 128. Son pouvoir
glycogénique. XVII, 3~.
CE~.t!E. Elle n~ détruit pas les for-
mentttions. VII, t35.
GEMMATtON. XVI, 308.
GEKÉRAUSATtON IX, m.
GEKERATtON. IX, &), 103. Ses
phénomènes no sont pas en dehors
du déterminisme scientifique. IX,
214. Elle transmet les dégéné-
rescences intellectuelles. IX, 216.
Hôte des mouvements vibratiles.
X, 133. Est un dos caractères
de la vie. XVI, 33. Elle carac-
térise l'ètre vivant. XVJiJ, 184,192.
ALTERNANTE. IX, 213.
DES MMTMS. iX, 213.
TAULE ALPHABÉTIQUE ET AMALYTtQUK)!<
GKK)!KATtOr< KLTtUitVE. XViit,?().
–SKXUHt.m.desinfusoiro.s.tX,
iM.
–SfOKTA~)':K.)X,KM,t;)3,2t6.
Hxp~noncc.J,~89.
(:E~'ti:SH.i)esccUu)es par forma-
tion tihn'.XY), :)()?. -Par di-
vision, t'hcxh'.svégotaut. XV!,
~(«.(.hcxics animaux. XVI,
MO. Or~ittiMtrif.('.XV)H.2().
GE?<H: Et'tUKMt~tJK. Vi)t, 3tt
GK~tTAUX (OKHAKEs). Membnmf's
4IsYibratti[('s.X,t2!).
GK!St')'0-t:Mft\'AmES (Vo)Kx). G!y-
co~&ue chez: h) fœtus. XIV,
MO.
(:t:)<M)':S.tX,')[,)OR:XV[),&)'
XVUt, ):t2. )!?, 'M8. Lcuf<-m-
boitement. X\'). ~)).– Leurboitomout. ?C1`I, 311, 1.
Leurp)-epxiste[tC('.XV),3)~LHur
pr6form.uiot).XVt,~))2.–Pout-tes!
spcrmatistes, c'ost t'anima) sper- )
nMti()ue.X\'),t(!Pour tes
ovistcs, c'est )'<.nuf.XVt,3[<).
OKHAFt~HHS founus par )'an-.
\'t,~8'
GKnM)~'A'r)t'Ft:t;!n.t:T). Voy. FeMt7-
<< </<nti';ta~t/ 1
~<:)t.tt)~. Voy. A'0)/(!M ;yM'mtM<t<'y.
GKttMt~ATtOK, est toujours ac-
compa~ttco de formation do ttucrc.
!,2M!,ï<:i–h)ftH6t)ce<)et'oxyd()docarhnnc. tiï, )!)t, 200.– Ann.s-
<h6'!if'()t' Ms phénomènes pro-
top~snufjuM.XV),h)- (t
nuHncodt'impression tttmospfKiri-
qup. XV)), )9t<.
att1l0SP,!iéri-¡A.\tMALt;. ), 96~, <<)!.
MES GMAtNËS. XV)t, 359 XV!tt,
9?'). Sot! anost!Msio. XV), M!?.
(.t':RM)NAT)Vt! (TACHE). Voy. ïac'~
~MiM~f.
(VKSt(:6[.K).Voy. t'<<i'et</ey<'rM)!H</!t'<
GESU;<t. XVn, 9M, '!89.
GESTATtO~, son inOuonce sur la
proftuction du sucra, f, ti)'
GLAKMKS. )X, (;{);X, !)). -Cirof-
):ttionm6c<tnif))io et chimique.), l,
tC8. Ne prfsontGnt pai; de ma-
tière gtyco~ne dans leur d~vetop-
pement. ), 9.')9. Leur structure.
i). ;). –Lpm' ctMsification. H, -}.').
–AhM)fpti(j;)parJnsg)!mdes.t!.
)08:Xf).n7.–f-;MM absorbent
rapi()ement tes poisons.n,tC');tH,98ti. A))'iop)ion da prussiatc. H,
t]).–En<'sahKor)~ntriode.f),U). 1.
Ct'ttutesdos glandes. U, 3'!0.
EHesabs()['h(;])t le curare.)t).?8S.
Kttc'. ne sont pa-i empoisonnées
par)RCUt'3rf'.)H,:)3'Cou)aut'
du s;)))g Y('incu\. t, 20G. (~-
)'Mt6rie)tk)ne de t'etat foncHonns)ou df repos. VI, 3~t. Activité
glandulaire comparée & t'acth'ite
muscuiairo. Vt, 32-4. E)in)ination
électivo. V!, 'ii(!, 450. La tibrino
<!t!S)Mra)tdanstf!ttt'SM)g.[t,m.
OxygànH dans le sang veineux.
Vf). )C8, 't3t. Galvanisme, VII,2MS. Sang rottftn et sang noir,i))f!ue)teo nervotse. VU, 970, 2'!8.
La coutour du sang veineux est
d<tenMin(''e j)!n- dcax ordres de
tx'rfs. V)t, 270. Leur enuc)6a-
tion, )ot"iqu'"H('s ne tiennent ptus
()ue pat' i'arttre. Vit, 30t.– Cir-
cuiation. VII, 32;) & 334. Leurs
n<'rft).Vn,-}:)).–(:ou)eurduMn(;,
quand elles sont en fonction, Mp..
deG)uf;<Vtf,OX,449.–Lour
comjMaition.X,M3.–Phéno-
mènes qui suivent la suppreasiou
tf)mp)6te de leur système ner-
veux. X, 398. Leur destruction
est amenée par une sécrétion
énergique ot continue. X,30H.
Lcut' régénération. X, 400.
Elles sont de doux espèces Se-
paMnt du sang les matériaux de
leur sécrotion, ou veMttnt leurs
produits dans le mitip.u circula-
toire. XI, )00. En pleino acti-
vité, elles fournissent toujours un
sang Yf'incux rouge. XL 27f).–
Influence du système nerveux. XI,
3f3. Action dn grand sympathi-
que. XL 334.– Leur sang. XHL t6'
Elles présentent les mêmes phé-nomènes que dM muscles, au point
de vue de )'o!cvation de tempéra-
ture. Xtt), HO. Leur étude au
HES ŒUVRES t)E CLAUDE BEt<KA[!U. f.S.'i
p<)intdf'4Ued<')aM!f')'i!)('s!!(!n.
\Ht,n.)';f.-Leur tissu. Xi)),
:)'?.'<. –i'ouvoit'ai'sorbantdt'tGtu'
surface intente.XV, &tt.–Hftf's
.s~)))t pourvues dftroi.s ordrf'sdi!"
titx'ts de nerfs, moteurs, sensititx
<'t~ang)ionn!!ires.XV,ol8.–Uit-
ft'renct'entre t'action du système
~nutionnaire, et ce!)o qu'ei)es
exercent sur tes ncrfsmoteurs.XV,
M.').Leur seosib4)ite augmente
avec la section du urandsympa-
t)ti<ju<XV,.536.–Lt'Ut'Mnoibt-
ttiurc~tivc.XV.5: –heur
rOK!(ianaies combustions. XV!,
HO. –t';iycof!;e))f;.X\'t!<
Leur fonctionnement,et!'<*ts sur la
rt'<j)ir!ition.XV)f,3)().Voy.~c'
~M~/<tnf/M,A'Mh'!<<o't</M~~an-
des, ~f! !'t'M.)* </fS 0)'~MM
g'<o?tf/ti~<ï!)'<?~.
GLANnES BE BKtJKXEtt !t, 3MXaturo prccii)~ un teur sécré-
tion. XV, r.89.
~U t~MSTUS, gtycoEcnie. XVH,
&
HKMOPOtETtQUES Xf, )00.
tKft:sTt!sAms. vn, :m.
LACKYMAt.ES. tnnuence <)e la
section de la cinquième paire.
V,'M.
mn'HAT!Qt!ES !X. 84.
M.tMMAtKKS, formation dusucre.
1,465.
–MASSETERtffEftu lapin. ff, M.
MA.X)LLAtRES, expériences sur
le -.ang. Xt, 2'!0.
DK MK)NOat)US, innuence do
);) section de )a einfjuieme paire.
\,M.
-MUCtt'ARES.M.
DE LA MUQUEUSE STOMA-
CALE. Elles sont tasourcu r~ettc du
suc ~a<ttriquo. XV, 5(; Preuves
cxpcrimentak's. XV, 5~2. –Expé-
riences da Prévost et Leroyer. XV,
562. Résultats identifjucs chc;!
les herhivore!i. XV, 5C3.
DE L'OEIL, apr&s section de la
cinquième pairo. V, U2.
–PASCKËATfQUE. Substances .Hi-
minecs. XV. 580. <~on)paraisuu
a'ec)("i landes sath'asrc- XV,
.'<S(!.
GLAXt)!: PAmn!)tE VU. ~S: XV,
.')<). Uu <-hion.t).C;XV.)().-
SuppScntC't!t;urc.i!)< Cc))uh;<
Ktaudu)aires.if.)!t. ){('('h<'t'<'hf.
V.t.')t.Sa sécrétion, ses !!Crfs.
VtL3).'(. Son ti)et nerveux se-
cn'tt'ur.VU. ~X8. ('.auteur
ruti).')nt<' ()c son sang. VU, 3~S.
–DitTct'anc<)vectas~ous
ma\iHaire,aupointdovu('de)in-
flue~nce gangliounaire. XV', SIB.nueuee ~Mutionnaire. X\, .8.
La sum'co dateur innervation est
dans les uerrs moteur!}. XV, ftt!).
Son nerf moteur. XV, .')2t.
Pourquoi )e granf} sympathique
n'exerce sur eHc aucunu actiou.
XV, M~
–SAHVA!RES. Vtt, 20 2~ XI,
20; XV, 2!M, &)3; XVUt, M2.
Historique, i), M.–DiMiuctif))t
e(a)))ie par ]es anatOiNistes. !),M.– Structura comparée che/.
t'hummo et les animaux. Il, .'f~}.
Leur destruction. U, Leurs
cellules. )t, 3S. Chez les oi-
seaux. U, –Chc/. les rcptitos.
40. CiaMincations anaM)mi-
ques. H, 44. Oassiticatious
pftysioiogiquos. )!, ~5. Leur
destruction par des injections dans
tcurs conduits. !L !t4; V)t,2.
359. Action du système Nerveux.
!f. <68 Vn, 3T!. napprochc-
m<'ntavec!epaucrÉM.I!,1':0;
XV, a8C. Action du f;rand
sympathique. Y, t<!3. Leurs
URrfs.V,Ki(i;Vfi, W.–In-
nuence du sang. Vi), '?9. Leur
circulation et influence des uerh
sur )a spcrctiou. Y' T! M8 a Mt.
Procède opératoire pour expé-
rimenter. Vn, 283. Circu)ation.
V)!, 29' Apres section dp.s
nerfs, sécrétion continue do saiivc.
Yi),3'2. 3M.–Subjuguâtes,
teursncrfs. VU,!M8.– Leur.
vaisseaux sout diiates par t'etci-
tatiou de la corde du tympan et du
nerf moteur de ht glande parotide.
Xt, 258. Sang veiueu~ qui les
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE!86
1 G)ugoetThiernesse.V[!,4t9.
K!tperienc<fU)')"jetde!tanK.V)!,440.–Action du sympathique sur
sacircu)ation.Vtf.47.').–Gan-
ghon nerveux. tX. 98. Elle peut
entrer en sécrétion sous J'influen-
ce du ganglion sympathique du
maxillaire. X, 344. Action
réflexe surette. X, 3Ct.–Eu
repos et pendant la contraction.
X, :MG. Action paralysante do
la corde <)u tympan.X,;i!)7.–tn-
fluence de la morphine.X)),28C.–
Expérience sur cette glande. pour
démontrer les nerfs dilatateurs
vasculaires. X)H, 227. Diffé-
rence avec )ag)ande parotide, au
point de vue da l'innuencft gan-
gtionnaire. XIII, 5)8. Son nerf
moteur comparé au nerf moteur
de la parotide. XV, 5~4. Leur
disposition anatomique est la
même chez to chien que chez
thomme. XV, .~40. Sun canal
excréteur chez le chien. XV, M4.
Sa région. XV, M. Voy. Cir-
c'f/a<toy! de la ~~Ttt~e sou.<-MfMt7-
<at)'c, Nerfs de la glande sous-
t7inj;tMa!)'e, Sang veineux de la
glande .MM-m<M!7/<nrf.
GLAKttES STOMACALES, ne se
laissent pas colorer en bleu parle bleu do Prusse. V), 38t.
SUBUNGUALE. t), 38, '!<, 90;
XV, 541. -Du chien. U, 'i7, !M.
Action de la corde du tympan,
elle en est [o nerf moteur. VU,340; XV, 542. Sou canal est
indépendant du canal de Whartoa.
XV, 540. Disposition anatomi-
que. XV, 543.–Sa région. XV, Ma.
Ce n'est pas une gtando en
grappe chez t'hommo et chez la
plupart des animaux. XV, M7.
EUe ne présente qu'un seul con-
duit excréteur chez le chien. XV,
547. 11 faut pour qu'elle appa-
raisse que la glaude soit excitée.
XV,.M8.
TAKTAtUQtJES. n, 134.
HE LA TUNIQUE DU DUOOE
KUM. XV, 582.
baigne. XII, 499; X))!, t<!8,)80.
Au))ointdcvuf'<)e!aca)orincation.
X)U, H.'). Leur affinité étective
d<'))]ot!tt'~e pat'ffiMretttQs expé-
riences. XV,<]4.– Action du
cur!trt'.XV,533.Yoy.Ct'rcM/a~t'M
des <<!t!ct<t salivaires, (K!t!j/~on~
des glandes ~H/)M!M, A~ <<
glandes so/tt'nf'M, SaM~ );e!~<'MJ'
des glandes ~a/tpairet, ~s~sfaMJ,'
des .y~fM~M sa/tMM'M, ~<'iMM <~M
glandes salivaires.
GLAMtE SOUS MAXtLIjAtKE H,
M, 90 XV, Ma. Vacuoief g'aBdu-
laires, )t, 39. Chez le chien. tt,
T:,90;X,394;XH), 228.– Action
des norh sur la sécrétion. V, t(i9.
('.outour <in sang veinent. VI,
299. :K)9; VU. ~2. 449. K)[o est
pourvue de deux ordros de nerfs,
les nns dérivent du sy~tèm'; SM-
Rtionuaire, les autres du nerf
facial par t'intermadiitire de la
corde du tympan. VI, 326; XV,
;)<(). Action différente des deux
nerfs qui s'y rendent. VI, 326.
Expériences. Vt, 32?. On ne
peut actuellement en tirer des
couclusions grcuérales. V), :(29.
Rapport de la couleur du sang
veineux avec l'état do foncHon de
l'organe et innuenM des nerfs.
Vt, &0t.– Procèdes pourson~tuda
expérimentale. VU, 2 t. Le grand
sympathique rond noir le sang vei-
neux. VU, 274. Action dilata-
tric<'do)acordedutyn)p!tn,Vff,
27~, 330. Exparioncos. VII, 282.
--Ses veines. VII, 283. Plaie
pour agir sur le vivant. Vit, Ma.
Ses nerfs chérie chien. VJf,
28!<; XIII, 228. Transfusion.
V!), 296. Ses nerfs. VU, 30!,
325,329, 43[;XV,54~Leur
j'oie et leurs propriété!). Vff,3M.
Action du nerf myto-hyoMien.
VII, 304 à :)08, 311, :)3t, 333.
Action du ganglion corvical eupc-
riour. VH, 305, 325, ;)27. Circu-
)atioacapi)taire.V)[t,3))a32t.–
Sa circulation. VU, 325, 329. Son
sang. VU, 431. Discussion avec
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. i87
ment dans les liquides secrètes.
Vt,4f!0.–Leurro)H.V!,400;XH.
22.–Durée de leur vie. V!.t'!).
Leur diminution. Vt, 4!<0.
C'est en eux que se passent )''s
phénomènes chimiques de la res-
piration. )X, 4t); X)), 400. Sous
l'action des modifications innam-
matoires de la fibrine. Xt, t04.
Action de t'arsenic. XI, Ht.–
Leur destruction ou leur altéra-
tion entratoe la mort. Xf, 440.
Séparation du plasma. XII, )C.
Leur constitution chimique. X!I,
410. Leurs fonctions. XII, 4)L
Phases successives de la divi-
sion cellulaire. XVt, 306- Au
point de vue de la respiration.
X\H,)80.
GLOBULES BLANCS. tX, Gt XH.
40). Us constituent i'e)cmcnt
plastique du sang. IX, C2. Se
développent sous t'iunuence du
sucre, t, MA, Leur <!iapedese.
XV 39!. Des animaux supc-
ricurs.XV!L24.').
GLOBtJUXE du sang. XII, 4)),
4M; Xfi!, )9?; XVII, 277.
GLOSSO PUARYKGtEK (~EKF;
Voy. Ne''y <y<o!so-~Aa)'~?tyt?n.
GLUCOSE, s. m. On doit dire Glycose
s. f. Voy. ce mot.
GLUGE ET TH!EMKESSE, Colora-
tion du sang veineux g)andu)aire
dans les glandes en fonction. VII,
442,449.GH!TEK (PAIN DE). XtV, 425. Voy.
Pain de ~/M<en.
GLYCEMtE, elle a pour conse-
nuenee)ag)ycosurie.XtV,H4.–
Elle est corrétativo à la glycosurie.
XtV, 141. Son origine alimen-
taire. XtV, 159. Histoire criti-
que. XIV, IG2. Essai do critique
expérimentale appliquée son
étude. XiV, t88. Influence de
la saignée. X(V, 412. Influenco
de l'abstinence. XIV, 4f2.
ALIMENTAIRE. XtV, 127.
AKtHALE. XVH, 46.
EXt'EtUMENTALK XIV, t~t.
XORMALEoufHYStOLOGtQUE.
GLANDULAIRE (AppAM)L'. Voy.
¡Sa?;o de /'a/!pa''f:/ ~<MK<M~atr?. f
–(SYSTÈME) du fœtus, gtycogèno.
XtV.505.
(TMso). X)H, 325; XVIII, 267.
Ses réactions, H, 368. Action
de l'alcool. III, 433. t) est une
source constante do chaleur. X)H,
t83.
GLANDULAIRES (ËLÉMEfTS'. IX,
68.
(OKGAKEs), circulation douMe. t.
t68, t86 Vif, t65. Comment on
doit c&rMterMcr leur état fonction-
ne!. V, 323.
(VACCOLEs). Voy. ~MCMO<M .?/an-
dulaires.
GLAM~LES buccales. n, 93.
f.USSOK.theohoderirritabUite.
X,C5;XV),24:);XVft,i33.
GLOBE OCULAIRE, son exploration
pour constater la perte de la sen-
sibilité dans l'asphyxie subite, ttt,
235. Ses mouvements. V, 218.
Nerfs moteurs. V, 222.
CLOBULE DE GRAISSE émulsion-
nee.H,3n.
GLOBULES DU SANG. I, 200; Vf,
452, 4SO; )X, i3; 48, <;t, 95; XII,
)C, 32G. Pendant la digestion.
!f,3n.–Action de l'oxyde de
carbone; il agit uniquement sur
eux il les paralyse, on depia-
çant i'oxygene; il les tue en les
empoisonnant. Ht, )83,t8'Vi,365; JX, 50, 207; XI, 85; XH,
39~, 402, 409. Action du sang.
Jtf, )87. Ils ne sont pas al-
tcres anatomiquemont, leur con-
servation parait être plus proton-
gée, III, )93. Détruits par
l'acide pyrogallique au contact de
i'air. )!i, 222. Sur l'animal vi-
vant, ils ne cèdent pas leur oxygène
&i'acidopyrogaUique.H!,222.–
La couleur du sang y réside. VI,
271. L'oxygène y est fixé à l'é-
tat de combinaison. VI, 366; IX,
186. Ils tombent au fond du
sérum, memesm'tevivant,chez
le cheya). Vt, 432. Leur lieu de
formation, passent-ils normale-
TAULEALPi!AMT!QUE ET AXALYT!QL');<88
Donne tien atous)("i produits
t'H!'sniidon.Vit,)M.–)nf)uo[ic<'
dp t'injcftion de gélatine sur sa
formation dans iefoje. Vf),8.
Sa formation dans )'amniot
dnhetus dos ruminants. IX, )()<).
-t~)on'existfp)u'.dansjefoie& ic
tanndeptnsioursmatadies.Xt,
)!-t. Sa composition chimi~ne.
X!V,30:Ses dérives. XtV,30:
--Saprocipitation.XtV,3():
Los matH'rt'SMOtcca peuvent se
tMustormcrcngiycogÈne.XtY,
.38.–EtiGuf'setrausformopxs
cnsucrodati.sJcsmusctes.XtV,
'!?!(). Tetitatives cxpënmcuttUcs
retativenicntàson origine !th-
mcntait-c. X< 4<![. Sa cuttm'o
par t'atbumiue.XtV,-4 (!EUc
est iosofutdc dans ('atcoot potasse.
X)\4H7.–Innuenccdetagct!)-
tinc sur sa formation. X!V, 5t0.
tunucncf! df la );o<nmesm'sa for-mation. X!V,)28.Influente du
su';rcsu)'saf<))')t]a.tion.X)V,M4.
-fnnueucRdeiagtycoscsursa
formation. X(V,M' Son in-
Ouencc sur la fortnation du gtyco-
genc. XtV, M!). tunucnce de
!'eth('r sur sa formation. XtV, 5!M.
–Jnfiucncc de la fibrine amidon
sur sa formation. X[\)4).–h~
nuent-es diverses sur sa. destruc-
tion. XIV, M2. Hetttions qui
existeut entre sa présence dans
les musetc!! Gt dans le fnio. X!V,
5)4. Roiation de sa présence
avec la reaction des musctos. X)V.
.')HO. Ses réactions. X\'t[, ~<.
Son instabUite. XVH, 5C. Son
absence dans les séreuses. XYt),
Son 6votution. XVH, 80.
Mccattismo de sa formation. XVtt,
Ot.–Son absence sur le trajet
des artères.XVtt,9~Dans )'c-
tat hiberna.). XVH,)0'{. -Chez
les mo)tusf)ues gastéropodes et
acephates. X\'H, Un.–Sa rota-
tion avec tanutrition du système
muscu)airc.XVt!,t3).–Sapro-
ductiona'est pas empêchée par la
veino-porte. XYU, 3'!). Expe-
X)\)'~C:\V, -Expériences.(
Xf\on<titi(insexpcr)- 1.
meuta)<'sft<'nti) faut tenir compte.
X)V, f'S. –('est un phéno-
mènephysioto~ifjueconstant,chf'x
t'ttomme et )e'i animaux,et inscpa-
M).te<!e~nu)n<iot).X!V.2M,4()2.
–HH<'présente une osciiïation
physioto~ifjueinfe'-s.'tnte, Xt\,
409.–E))e est, dans toutes les
f*s)n''<'es t!numa)f's,indépendante de
)'ahm~tatinn.X)V,~t't.
<.LY<:KMU: t'ATHttLOCtQUE Sou
exagération pr6a)ab)o est ta con-
ditin[tUeceMX!e du diabète.X[Y',
-M9.Kst-c))c indépendante de
!imc))tatif)n?X)V,'S'22.Lé-
sions atMtomifjues qui sont ta con-
sÉqucncc de son exagération. XfV,
.4M.
GLYCKKt~E. Rans !c traitement du
(!iat)ete.X)Y,4CO.
(.LYCOCEMtQUËS (Oscn.t.ATM.fs).
Yoy. 0.<e<f~< y/eoct'~i'yMf~.
<,LYCOt.E~H (CE[,r.t!Lt:). Yoy. Ce/-
<yccty<'Me.
jMATtËBE ou t'KfxarE), ou CLYCO-
<,)EKE.V)'t,2')t;)X,8t;Xt\
-M~ XYU, 3'!0, 5)9. Cnmpara-
tivement'.tnr trois chiens nourri.s
aYHC);c)atinc,K~seetcau.ï, I,
t4!);V!8.–K)tc est détruite
par les maiadies du foie Hx-
pericncc.t, <8< JnHuences
diverses, âge, sexe, etc. I, )!?.
E)io préexiste dans )H sucro. tV,
46G. Sou procède d'extMC'tO! 111,
tV, «;< Sa préparation.
468; V)],Son isolement.
!V,'i(;!). Ses caractères phy-
siologiques et chimiques.!V,-t70.
–Sa transformation en suer'
n', m; x!v, :)');; xvn. M.
Mécanisme physiotogique de cette
transformation. et par suite sa
production. !V, '476. Hffets de
la section de )amooUe.)V, 482.
La getatine y existe daus tes
foit'sdehucufet)csmusc)esdu
fœtus, matgro ta précipitation par
le charbon. VfJ, <25. Actiou des
acides et des ferments. Vit, t20.
I)ES Œt'YRES DE CLAUDE BER~AtiD. 189
période ()'hihcr));uinn. XV!), )02.
-LYCOt.KXE HANS LES GLAN-
nES.xvft.tG.
"Et'ATQt E Voy. G/yc~~MC f/M
foie.
CHEX LES t~SE<:TES.X\)f, 03.
<:HEX LES LARVES t)E MOU
CHES.X\U,m.KES MUSCLES, t. M) )X. )73;
XfY.4'2'i,544:XVn.7.
nAKS LA t'EAU X\n, ~2.
Dans les :tunc\cs d'' la peau. XV]J,
13.
DAKSLE PLACENTA '.)("! ron-
geurs. XVII, <j). i)es carnas-
stet-s.XY)t,C:
UAXS LES rLAQUES DE LAM
XHtS. Chez h.'s rumiuants. X.\H.
<?.
DAKSLA SmtACE CUTAKEE 1:
du fœtus. Xt\. ;:)'<.
MA~S LES SUKFACES MU-
QUEUSES. X\n, 14. A la sur-
face de la muqueuse mtestin~tc
du fœtus. XtV, 4!)8.
nAFfS LE SYSTÈME HLA?(DU
L.AttŒ du fœtus. Xf\, .')~.
))AXS LE SYSTEME KERVEUX
du fœtus. XtV.)()).
DANS LE SYSTEME OSSEUX
dufœtus.X)V,M)t.
CHEZ LES T~~tAS.XVU, Ht!.
DANS LES TISSUS FOETAUX.
XVU,Dans les tissus li-
mitants du fœtus, surfaces cuta-
nées et muqueuses, cpithe)!ums.
XtY, 403. Dans !os nssus inté-
rieurs du fœtus. XtV, 50).
DANS LE TiSSU MUSCULAtRE
du fœtus. XiY, &M.
SUR LE TRAJET DES VAIS-
SEAUX. XVII, 64.
SUH LE TRAJET DES VEUSKS
X\'if,!)3.
VEGETALE, son anaiogie avec
ta g!ycogëiie auimato. JV, 478.
CHEZ LES VERS nE TERRE.
xvn.u~.
DAXS LES VtLLOStTES de l'am-
nios chez les rumiuants. XVU, 64.
DANS LES YOtES GENtTO
UR!KA<RES du fœtus. XIV, 50U.
rien!'espou)'jt)f;eriapo-ihi)i!edc
sa transformation. XV)). 3').
itÓ d()
t
<.LYCO<;J:~E A~itMAU; Son ana-
)ogi(!aY('ciagh'FOS(;nev6gÉtatp.
)V.;78.
DAXS LES ANNEXES M:
L'EMORVO~.XVtt.t.O.
CHEZ LES ARTICULES XYH,
Hf).
MESASTtCOTS XtV. 4M.
HA~S LESCMLLULES M; FOU;
X[,3:!().
CHEZ LES CIIENILLES. XVII, I!t.').Ct'YLEUSE, formée par sucre
et amidon, l, «!). jl.HAKS LA CtCATRtCULE DE
L'OtSEAf.XVtr.i)'
-CUEX LES CRUSTACES XYn,
uo.
CHEX LES CYST1CERQCES
XVII, UG.
Ct)EX LES DOUVES DU FOtE
XYU, )Ki.
CHEZ LES KCREVtSSES. XVH,
tt0.
DANS L'EMBRYON DU POU-
LET. XVH. ')5.
CHEX LES Ei\ TOZOAtRES XVH,
ue.
–DAKS L'É['tTt)EHUM XVII, 96
DU FOETUS, existe daus les pou-
mons,les muscles de foetus de veaux
et non dans les glandes ni dans
le système nerveux, pendant tour
d~velol>pement. I, 253, 25J.développement. t,2.')3,25i).
S'aeeumule dans le foie, après sec-
tion de la moelle. IV, 44't. Dans
les muscles et dans le foie de f<e-
tus humains.Vt),)3.'<.
DUFOtEouMEt'ATtQUEVU,t23;X!V,t8),544.–Apparei)
pour t'obtenu'. VII, t24. Sa fer-
mentation dans )e foie. VII, t2G.
–t)ans)e)bie)ave.V]t,t3'
Influence de !'a.Um<Mmttion. X!V,
308. Sa formation. XtV, 33'
Du fœtus. X!V. 500. –Le foie
est le lieu d'etection de sa forma-
tion.XV),X38.-Cheztesoiseaux.
XVII, 9' Chez tes poissons.
XVII, 99.–Eu dehors de la
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE)90
GLYCOGEKESE CHEZ LES MP-
TtLES.XVH,)()t.
CH EX LES rORTUKS. XVtt, 103.
CHEZ LES VEHTKBJtES & sangfroid. XVU, 08.
G L Y C 0 G K K Ë S t Q UE (FoxcTMN).
XYH, 88. Voy. Glycogénique (fonc-tion).
GLYCOGENEStQUES (Ttsscs). Leur
rt'action. XVtt, t3). Voy. G~-
C0ty<'?!<<t' (tissu).
GLYCOGE.~E.),3M; m,<39a4CO;
IV, 46.')-) VII, tH, 1M. Dé-
truite par !'é'at morbide. [, 188.
–htnucncadu froid. J, )9), t94;
t!)S. Arrêtée par des enduits
sur la peau. f, 206. Critique
expérimentale. t, 960 2'!5.
Examen des objections faites. I,
2m, t5t. !nnuenc<; de la sec-tion des vagues au-dessous des
poumons. I, 33C; Ytl, 137. Ef-
fets de la section de la moelle. I,
3':< & 38.3. Effets de la chaleur.
1,371. Part de l'action nerv euse.
3' !nnuenco de la moeUe
épinière. 3'!2, 384. Sa perver-
sion. 1, 383. Son arr&t amène la
mort. t, 411. Arrêtée par la
fièvre. I, 4)o. Travaux confirma-
tifs de Lehmann, Poggiale, Le-
conto. t, 47t. H<~um~. 485.
Discussion. 487. Influence
de [a suppression de la circaiatioa
du foie. VII, 13G.ANIMALE. YIU. 289: XYL 2Z8.
EXAGEREE. XtV, 437.
FOETALE. 388.
DU FOIE ou HEPATtQUE.
VU, 97 IX, 80. Est constante
et indépendante de la nature de
l'alimentation. t, t57. Théorie.
XtV, 306. Deux phases acte
chimique, acte physiologique ou
i.-itai.X)V,307.
VÉGÉTALE. IX, 82.
GLYCOGÉNIQUE (ËMMEUT). IX,2)0.
(FMMEXT). Voy. fefMitit glyco-
~<'M!~MC.
(FoE) Voy. Foi'f glycogénique.
(r'osMMN) du foie. 31, M8, 505,
GLYCt'GEXE t)AKS LES VOIES
RKSPtRA T<ttRES du fœtus. XtV,
MM.
GL~COGt~ESE. X!V, t8! XVU,
33. Circonstances expérimen-
tales, importance de leur examen
critique.X)V. )8). Procedesope-
ratoires, h'urimportanco.XtV, t8t.
Le système nerveux exerce son
action sur elle par le foie. X!V,
403. Ses rapport*! avec i'aHmen-
tation. XIV, Mf). Ses rapports
avec )o protoplasma. XV!, 3.tU.
In<!uencc de l'asphyxie. XVU, )00.
-Ses rotations st'cc la mue. XVII,
tH. Son caractère ~aéra).
XV! t3' Son caractère vital.
XVU, t38. MueMe des exci-
tants. X\H, 378.
AStMALE, decouYorto. X!Y, 80.
OAKS LES ANNEXES DU FOE-
TUS. Xti, 5a5.
HAKS LE CORPS DE L'EM
BRYOK des mammifères. XVU,
EMBRYONKAtnK. XV!, 237.
hAKS LHMBRyOK n'OISEAU.
xvu. t:n.
CHKX LR FOETUS. XIV, t8S
-DU FOtE OU HKt'ATtQUE XIV,
2S~, 2M. Examen dos critiques
faites à cette théorie. X)V, 3i3.
Théorie vitaliste. XtV, 347.
DANS LES GLAKDtiS DU FOM
TUS. xvn, &)&.
-CHEZ LES GRENOUtLLES.XVU,
!0i.
DANS LES MUtTRES grasses.
XVII, 108.
–CHEZ LES tNVERTEBRES XVII,
tOfi.
CHEZ LES MAMMttEKES peu-
dant la vie embryonnaire. XVtt,57.
MAKS LES MUSCLES du fœtus.
XH, 555.
DANS LOEUF DE MOUCHE
xvn, i3'UANS L'OEUF DE L'OtSEAU
XV! m, 555.
CHEX LES OISEAUX. XVH, 57.
FtnStOLOCtQUE. XIV, 273.
CUEX LES POISSONS. XVII, 98.
DES ŒUVRESDE CL.\CDE HERXARD. t9t
5)t):t)f.440;n',i66:XV!f.4;)t f
–t'Hc ne rommancenu'itune cer-
I(
taine période de )avieintra-uté-< (
riM.i.H~unu''nces(jui agis-
sent surette. !.[:)i.t)Huence
de t abstinence. f, ti!C. tnnuence
de l'alimentation. ), H3. Chcx
)e fœtus, t, 23!). tunuence
des nerfs. t,~2'Sa. perver-
sion. f,t.–Hxpcpicncesitft'
sujet. ),.tT2!t'arttcuiaruc'-de
ces pxpcneHces. 3'!2. Part de
ta.f<'rmf'ntation.I.3').–RfYUH
succincte des objections faites h la
décou\'ert.f.448.–Résumé des
fait--qui retahUasent. 1.480.–
EOt't'sttroubtéepartasectiondu
))n!'umo-p;astriqtM.Y',43t.–E!<f
i)'ari<'nd('commtmavt;c)e'! acci-
dents d''t'a)imGt)tation.VH,)n.
)nnueuc<! de ):< température.
\tf. ):Sa découverte. Xi~.
n4:XV,'?i).T)'a\'auxconfirma-
tifs. \fV, )'!G. Objcetions et in-
terpretations diverses. XtV, H!).
–Vues~'net'ate'. sur ios relations
qui existent entre e))o et le dia-
bète. Xt\. 40t.–S.tdif)u'iion.
\VI[,
(tLVCOCKKtQfE (FutHR). X!V, MC.
–Constant. XtV,3').
~SKcnÈTtox) du foie. tV, 4C4 X,
4)' Mécanisme de l'action ner-
veuM.t2~Ho)e du pneu-
mogastrique. 329. Hû)e fies
poumons, i. S29. Mte de la
moeHecpiniere.338.
--(SYXTHÈSE). \'0y. Sf/M~Me '?'CO-
;y~Mf<ytM.
–'('t'MEOME:. en générât.VU,?,Uti.
('['NSL'i. Voy. /<MC<'OM~ du <M~U
<<'o'/ftt~Me.
CLYCO<.)É!StQUES (CELLELEs). voy.
Ce/<M/es<ir/i/<'o<y<ftt~MM.
(GRAxm.ATtoxs). \oy. (rt'aKM/a-
<!0nt' ~<t/C')y~~<Kff.
(MLscf.Es). Voy. AfM<c<e~ y~coy~-
n!<jft<M.
(t'LAUtJEs). Voy. P~O~MM ~yco-
~<'nt</Mf5.
(t'OL'MOXs). Yoy. POMMOM~ ~CO-
~M)!Mf)'
f.YCO(,t:~tQt'f:S (PnopniHTÉ~. dfM
poumons du fœtu. ),;(!))!.
LYCOS); ), 38: X!V. -2M: XV)!,
)8. 34. M).–Limites de sa des-
n'Ut'ti))i)ite dans )'or!inisme. t,
'?'Hcsn)tatsd'e\pcrif*nccs.
I,t2~tnnuenccdudt'sredcconc''))trationdetadissoiution.L I.
?~innuf'nredatacomhinai-
sou du sucre avec te sel marin. 1,
*8.–«esuhatsd'expcriences. I,
2M. Sa réaction sur)''réactif
cupro-potassifjue.enprcat'ncRde
rat))umi[)ose.H,4'i!;).–Sonia-
ftuencf'surhtformationduRtyco-
~nc.\tV,~3'Hncf'sttin~it'-
mf'at f'ssGQtie) dans les échanges
vitaux. XVI), 35.–K)te existe
not'maiemcut dans l'organisme
animal, elle y prend naissance.
XY[!5.–Sescaractercs.XVt!,
4~Kneseformedans)'or~a-nisotc animal et dans t'or~ani~tnf
vcuctai par le même procëfie.
XVII, 49. Son origine chez
les animaux et chez iesYfgu-
taux. XVU, tn. Ses sour-
ces priccipates sont l'amidon
animal ou végétai ou la saccha-
rose, changés eu glycose par lesferments gtyeosiquc et inversif.
XYU, m. Elle est formée par
la iactose sous l'influence du sue
pancréatique. XYU, H2. Four-
nie par l'amygdaline sous l'iu-
nuence de l'émulsine. XVU, )23.
La saticino en est une source.
XVII, n4. La gélatine en est
une source. XVU, t9a. Le tan-
nin en est une source. XYU, t25.
Sa transformation invorse en
amidon. XV)!, 127. Kn réserve
et en exercice, chez les animaux et
chez les vénaux. XVII, 3~4.
Sa régression. XVU. 376.
MAKS LE fOtE. Sa production.
X[.9;T.
DES FRftTS ACIDES. XV!H79
DE L'INTESTIN. Leur absorp-
tion. XIV, 262. Leurs transfor-
mations. XtV, 2C3.
DANS L'OEUF. XVII, 81.
TAftLE ALP))AMT!QUE ET ANALYTIQUE)'
tion''&!amcd<;cm<Xt,M.').–
frontispice du De.<Kf'<'o~<-
ct'M~co.\V,59.
(;KA!i<<t:S.XVf.3S.–Leurvie)a-
tente, expériences.XVL <). ~L–
Leur as.simitation avec i'H'ufn'R'it
pase\act8aupoint<tevu{'deta.
vio)atcnto.),!)'Leurton-
~cvHt'.X\).3!)0.–Lcur:'sp)n'\ic.
XV!t,!8!).– Leur germination.
XVU. :).). XY))).2M.
f;KA!SSt!.f,ÏU?.Sf)niunucn<c
sm')afoi')n:)tinnthtsurre<)anaic
foie. !,tH(!,):ti.Ne tra-
verse jM'itofoio.Lt'i (i.-Losncrc
se''han~R-t-ttcn graisse.t,tC!
–inHuetK'u sur la production <)u
sm'rt'et de la matière j!);co~ne.
),)}8;n.-U8.EUe provient de
la transformation du sucre par te
foie,<')ip.),)f'tnje<'t<'c dans
les g!andf'~sati\'ait*e'i,c))c les dé-
truit.)),))~Acidification de ta
graisse.t),&t'tf'rptwn';hM.
tes oiseaux.n.:)H.–Absorption.
U,t.–S:t)bnMtion.)X.m;
X.'iU' Son passage dans les
urinas.fL):M a. f48.–Sa diges-
tion par le suc pancréatique. VU,
!)))' ML– Action du suc in-
testin~L \'tt.8:<05.–
t'our)aeuttureduf;)ycot<ette.X)\
~M.–Action de la hite.XVU,
:.)()'). Voy.C/o&M/e ~<v.Mf,/n-
ypc<t'oM de y<'a~<
nES AStMAtJX. Son origine.
XVII, 30.
KMt'LStOKKKE. )!. ~t7. Par
te!<uc[)ancr6ati<)ue.\UL96~.
DU LAIT. VH, Ï:)u.
KKUTRË, objections c~'vees
contre.Mdigostionpartasucpan-
c['eati()ue.Vtt,M'i<!3.)'~anu)n
do ces objections.YiL3M.
MAKS LU TISSU Ct:LLUt,A)nt:.
)X,2)7.
GRAtSSKMSE <AUMK'<TAT)0~ Voy.
~/<MM~0?< ;Vft~CMM.
CttAKM MKKTKLK (~'HftF nu). 8en-
<!ibititerccurrcn<e.y)),M.
fiKAKn nyt'Ot.t.USSK. \oy. Nerf
yx:n(/ /)oy/o~e.
n~.)mitt''t'\ist!H)tav!H)tritu'ttba- f
(it,n.n.S.'t.–Variations pt'n-
dfu)t!'inf"h~i"X\t),8H.
<;t.(:<'SnmJSA~(:.)''uri<t)'nii~
avt'ct'tU'HX'diahetitjUftcticsucf't'
d<'f6ctt)c.XtV.2M.- L'-urpas-
!ias<'danst<'sanK.X.)\.a(t3.
-iH!L'UK~)'X~
CLYCUS'QCK (t'')t"MH'<T). Voy. Ff'-
xt''ti/<cn.<t~x'
FEftM[-~T.t'rfnx)Yoy.~<<-
f~)M~~t/c') .<!<<
CLYCOStQt'KS (XHSEnvEa). Voy.
Hf.~~M~~M~MM.
(;COS<tUt:3H,4'!):Xt,M.
XiY.(:t,(n,t7t.- KUot'stit)-
dt'j)''n<tantt'<t(!)ap())yurit'. !«'
–S«nm['fa<nstnt'.Vt),m.–h!-
n~ent-('<)u!.y6.t6n)f'nerveux.X~
';)._E)tt!n'es<<juc):t<'t)n')<
f)u<'))cHd<')&K)y''<MK')'
–Kt)ct<')t''t:trr(')a<n't'&).ntyf'-
)ni<tY,)'
pt~mc.X'V.Ses rapports
at<r)t'di!tbt<c.X)V,i(7.
-AHMt;KTAmE.Xt\.S;(.
KXt'HMtMHKTALE. Son tm'ca-
canismc. X!V. M3.
UUMMK.XVH.S'). Sonin-
uneocc sur i.i formation df'hma-
tit'o~!yco'iiqut*.X1V,S.
(.OUT, w" aUcration dans ):) parfi-
)ysiH<;tufMi:t).V,HO.Son:
tcMtiou dans t'h6n)ip)t''gi<' hci~tt'.
V,)2'Sonattt!'rati<')ndansh)
part)ysie do la forde du tympan.
\t''A.HX.–Son:tttëratif'n,chc?.
le chien,aprcsta section du fada)
dans)c<-r&ne.V,M't)Jf!u<)Ufo
de la corde du tympan. V, m.
Sfs nerfs. V, ÏM. Son organe.
V. 23!).
GOUTT!)!KES dn Schwann. XV,
)t'd)'t'n'Ut!On'.XV,ttf);–
dcB)oudtn<X.V,'a'0.–d<'C)!m()c
Bernard.XV, )M. –)nst<))ation
(iei-anim:n'XV.)St.–BrM66
deC). Bernard. XV, ):)ï.
GHAAF()<<'gni''rd('8ucpam-rt''ati-
que. Il, n' Il a conipris ce
que (tavait ~tre t'cxpcrimentation
physiotogtque daus sos app)ica-
!)ES (EUVRES DE CLAUDE BERNARD. )'):ta
<;nA!<rn ttOMMH il est fonction de
Mntetnj)<i.XV))f.9-
CKA~O SVMt'A rttt~tUH (\EnF tV,
M7,3)7;V,!<~&O.M:');V",
37. Son rôle d:)n'; la circulation
d'u!)or);anf*.t,34t."Scnaction
dans la région cervicate. (, 30.
Procède opératoire, f, MX. Rc-
suttats. t, 342. Le curare n'agit
pas sur lui. 38). Parah'so par
le curare. Ht, 34!). Action de la
nicotine. Ht, 40A. -Ses ganglions.
)V. t'!6; !X, 38. Ses retations
anatomiques avec les paires npr-
v't'neR rachidiennes, tV, 29'?, Mt.
Analogies et différences df
structure. IV, 2'M. Ana!tg)cs et
différence!; do propriétés. )Y', 2!)!).
Comparé aux nerfs du système
cérébro-spinal. IV, 300, 317 X,
<2);Xt,MO, Mi;, ":?, 344.
E~p~rience'! dh'urses. tV, 3n.
Son action motrice et son action
<tt!ns)tiYe.(V,St9&r.–h-rita-
tion des diverses parties, grande
variété d'offet~ obtenus. )V, 324.
Mouvements produits par son ex-
citation. IV, 358. Donne lieu à
des mouvements réflexes sans in-
tf'rveation de )a moelle épintcre.
1 V, 364. Ses excitations peu-
vent produire des mouvements
dans les muscles de la vie exté-
rieure. IV, 36'?. -Sa ligature dans
)*' ventre détermine des mouve-
ments dans les membres posté-
rieurs. tV, 310. Sicgo des con-
vatsions. !V, 374. Effets sur )a
salivation. V, 160, )65. Chez )e
fœtus de cheval. V, )62. Son
action sur les g)and< salivaires.
V, !63. Ses filets ne tiennent
pas leurs propriétés motrices des
ganglions qui se trouvent sur leur
trajet. V, t68. Son action sur
les sécrétions Mth'aires. V, i'!0.
Son influence sur les mouvements
defapupitte.V,ï)0&2t7;V!
336. i) agit sur t'œi) comme Ja
nicotine. V, MO. Difficulté ac-
tuelle de son histoire physiologi-
que. V, 46!). Son influence sur
!aca)orifit-!)tian.Y.4'M;Vf.):M!.
X),t.–)nfh:onrcdpsanc'it))6-
si<jUes.Y,M)'Sona<'tionsur
iavascutarisa'inn.itfaitcontractfr
tes vaisseaux. V,)t)4;Xf.?5C:
XV,M~Sapara!ysiG.V,)09.
Son action dans ta production
surp)ac<;detaehat<;ut'.après!a
!igature(!esv<'inp<.V,)()8,.W).–
Ablation des ganglions. V. &30.
Son action sur ta formation du putdans les muqueuses et dans les sé-
reuses. Y, .)N) VII, 428. Son
influence sur)'œi).V, oM.–
Effets sur l'inflammation de œit
V, aM. fnnnonco sur la pteurd-
sie et la péricardite. V, 536. Son
influence sur les cpanchements sé-
reux. V,5a'SoninOuencesur la
pression du sang dans la face. VI,
9M. -Son inftuen''c sur la forma-
tion du caillot blanc du sang. 'Vf.
'!t0.– Son action sur )a<'omposition
du sang. V!. 4f7, -i2~, 430. Du
cnu. son influence sur la pression
du Mng. VI, 42i, 4?~. 49. ln-
fluence sur la coagulation du sang.
\t, 434. Son innuenco sur la
eireulation de !a tète. Vt, 4M.
A~Mnsur~SM~M)MSM~-
tMM.2~M~
Il read noir le sang veittom de
la glande sous-maxillaire. VU, 3~4.
-Sensibilité récurrente. V!t, M4.
Ganglion cervical supérieur.
VU,30a. Sa Sensibilité. VU, 325,
333, 420. Action snr les sécrc-
tion'i sus et sous-pytorique. Vff.
3M,40:'<Action sur ia~frf-
tion intestinale. Vt), 3!!), 405.
Influence do M paralysie sur tes
sécrétions, il s'oppose à la sécré-
tion par son action sur la circula-
tion. Vit, aT); XI, 336.–Sesori-
gines à la moettc et son origine cer-
Tico-cephaiique. Vtf, 396; Xf.TSO.
9M; X!tf, 212. Son action sur la
circutatiott de la glande sous maxi)-
laire. Vn, 475. 0 est coostric-
teur des petites artères, et ralen-
tit la circulation capillaire. IX, 64.
Ses cellules dans la moelle épi-
CLACDEBEHfAKD.XtX. 133
TABLE ALffIABËTIQUE ET ANALYTIQUE)M
nipre.X,3)5.–Ses actions re-
nexes.X,363.–Ses filets dans le
musc)o.X.3'!5.–Mouvoments
réflexes qui so produisent sous
so)iaction.X.38');Xt,3.'<). –Ses
nerfsproduisKntieresscrretneut
des vaisseaux. X, 40!). Sa para-
iysie augmente l'activité des phé-
nomènes chimiques. X,4t0.–
Son rôle général. X, 421. Hap-
port avec la pathologie vasculaire.
X[,)04.–SonrôtedansriuOam-
mation. X), t04. Son point d'é-
mergence. X!, SAS, 3'?'i.–Ses
fonctions. XI, 261. Ses fonc-tions chez fo<( batracions. Xf, Mi.
On sait aujourd'hui pourquoi il
émane de la moelle cpini're. X),
9')' Le mot yt'aod sympathique
doit être rayé du yoeabutairc scien-
tinque. XI, 'Mt. Son action sur
les glandes. Xt, 33~. C'est )c nerf
de la nutrition proprement dite
ou ptutot de )'a.'<~iini)atiou. XI,
336. Il modère la circulation
et diminue la température. XI,
33'Ses propriétés sensitives.
XJ, 3. Son infiuence va.so-
mot'-ice.Xt,3G),3'iM.tGstte
nerf des yaisseau<, présidant aux
phénomènes des circulations lo-
caics. XI, 3'!3. )i possède deux
ordres de sensibilité. X~ 3'!i!.
Il scmbto agir sur les vaisseaux
par les anastomoses. XI, 383.
Expé'Mnce. X!, 383. Kst. .'o
seul nerf qui ait la propriété d'a-
gir sur les phénomènes circula-
toires ? XI, 38' Considérations
historiques et anatomiques. XIII,
Ma.–Fibres trophiquos dos nerfs
moteurs. XUt, 2t6. Fibres sé-
crétoires des nerfs moteurs. XIII,
'!tC. Il tient sous sa dépendance
les phénomènes circulatoires. XIII,
222. tt constitue un appareil fri-
gorifique. X))t, 223. Son action
thermique. XUt, 288.-C'est un ap-
pareil d'arrct, un frein. Xtff, 30'
Son rôle dans t'a~idite.XH),30'
Importance du rôle do la scn-
sibilité comme point de départ dos
actions rcHexes qm s'y produisent.
X!)t,3(n.–Action frii!orinqueou catoritiquo et conditions phy-
siologiques qui tt"i provoquent.
X))),3)6.–Cordoncorvicatchex
techevat,expériences. XtU. 3)9.
–Son inertie et sa ,'iuractivitÉ ré-
pondent h des ph~nomÈneschi-
mico-p))ysiquos bien détermines
ettoutafaitopposes.Xt0.334.
–SoHinnuonceKm'tayenosito
du sang peut se rattacher en partie
à son influence sur la chaleur.
Xiit, 3'!G. Expiication des rai-
sons pour tcsquettosi) n'exerce
aucune action sur tes parotides.
XV, 5Ï5. Voy. Cellules du ~)Wt<<
<t/n<A!'<j'Mf~ Cfrt'/M/f/M
~<!M~ sympathique, Gunglions du
grand ~yMpa</«~Me.
(.KAND SYMt'ATHtQfE (GALVA
KtSATtON CU NEKt'). V, .~98, &)5.
Dans diverses régions. IV, ;)2G.
KHets sur la chaicur de t'orei))e.
\))3.–Chez les chevaux, ef-
fet sur la chaleur et la circulation.
Vf,)).–EUe produit la con-
traction des vaisseaux. XI, 2.')7.
Galvanisation du bout périphé-
rique coupé. XI, 2(! Elle dé-
prime ou abolit les propriétés
vitales. XI, ;M3. Pendant la
mastication. XV, 5i9. Effets sur
l'estomac. XV, 573.
(SECTMN OU NERF). I, i9 Vnï,
M?; XV, 28?. Section dn fUct
cervical. ))[, 380.–HHen'empc-
cha pas la piqûre du 4* ventricule
de produire le diabète. IV, 453.
Influence sur les mouvements des
paupières et de la pupille. V, 32 !t4~.
Effets sur la chaleur, galvanisa-
tion de l'oreille, effets sur i'ceii. V,t5),~73.–Effets sur la salivation.
V,)6i.–E))o fait rétrécir la pu-
pitto.V.ËMmoudet'in-
fluence qu'elle exerce. V, 473.
Section au cou. V, 473. Modi-
fication de la température de ta
tête. V, 475. Expériences com-
paratives sur les nerfs qui se dis-
tribuent à la face. V, 479.-Cha
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. i9S
)eu)'dcrorei)te,par[!aivanisation*
directe.V,)!2.–Action de lachlo-
roformisation sur la chateur de t o-
rei))e. V, 512. Des rapports qui
t'xistontentretavascutariMtionet
la calorification des parties après:
sa section. V, 513.–LeseRets.
delacatorincationproduitspat'ia
sf'c.tion peuvent se compliquer de
phénomènes inflammatoires chez
un animal affaibli. V, 5t8. Pro-
cède pour le couper dans la poi-
trine. V,5tt).–Expérience! V,
5)9. De l'intestin, effets sur la
température. V, 520 VI, Ha, 154.
Ktto produit des inflammations.
V, 590. Influence do la destruc-
tion de certaines parties sur l'ex-
halation des membranes séreuses.
V,<9(!Apres la section, chez
le cheval, t'air inspire par la na-
rine diminue. Vf, 235. Section
aucou sur le cheval, modification
des gaz du sang. VI, 356. Expé-
rience semblable sur un chien.
VI, 360. Intluence de la chaleur
produite sur la coagulation du
sang. VI, 4)7, 430. Chez le
mouton, ses effets. Vt, 4'!3.
Effets différents obtenus, selon
qu'on fait la section du filet cer-
vical au-dessus ou au-dessous
dugang)ion.V!t,305.–Expé-
riences. Vif, 306. La section
de ses filets est une cause de pré-
dispoMtiOH morbide. XI, 30. Ses
effets. XI, ]6- 341, 380 XV, 53'L
Effets d'une section complète
sur les branches. Xt, 211. Enets
de la section du pneumogastrique.
XI, 211. Effets sur la chaleur ani-
male, la température augmente.
Xt,ïM,26<,2'!9,38Û,384;X[H,
130, 207, 285. Elle détermine la
dilatation vasculaire. XI, 256. La
sensibilité augmente par la section
de ses diverses branches. XI,26t.386.–LamoeUeepinierepréside tous les phénomènesconsécutifs à sa section. XI, 263.
Elle fait passer le sang artériel
presque pur dans les veines. XI,
2':3.–Hnetsdct'inanniou.XL287.–EUeexatteif's propriétés vi-
t~ies.X!,3i3.–Lesangconservo
sa eouteurvermento en traversant
)cscapi)).tires. X),34G. Elle aug-mente la pression du sang sur un
poiut.ettadiminuesurunautre.
XI, 381, 394. Modifications chi-
miques que le sang subit. XI,
385; XIII, 3)'). Elle augmentele ton musculaire, Xt, 386. La
sécrétion de la sueur augmente.
XI, 386. L'élévation de tempé-rature n'est pas un accroissement
absolu de l'activité fonctionnello
que peut dépenser l'organisme. XI,393. Les phénomènes s'atté-
nuent ri mesure qu'on s'éteigne de
l'époque de la section. XIII, 321.
fis disparaissent par la section
du bout périphérique. XIII, 324.
Le sang veineux est plus chaud.
XIII, 323. -Elle augmente la sen-
sibilité de la glande du côte cor-
respondant. XV, MR. Exemplesde phénomènes aaaipgues qui se
passent en d'autres points dn
corps. XV, 536.
GRAND SYMPATiUQUË (SYSTÈME).
XIII, 200.
GKANULATtOXS GLYCOGEXt-
QUES. XVII, 105.
GRAPHtQUE (MÉTHODE). Voy. Mé-
<Ae~ yra/)/tt~Me.
GRAS (AUMENTS). Voy. ~l~me?!<s
gras.
(CORPS). Voy. Cor/)t' ~)'a~.
GRASSES (MATtERESOU SUBSTANCES).
XVH, 280, 495.–Théorie de la
formation du sucre à leur dépens.
t, 451. La salive n'a aucune
action sur elles. II, )45. Elles
sont émulsionnées puis acidifiées
par le suc pancréatique. U, 254
XVII, 313. Absorption. !t, 305.
Le tissu pancréatique se com-
porte vis a vis d'elles comme son
produit d'excrétion. H, 350.
Action du suc gastrique. I!, 401.
Elles ne se forment que dans les
plantes et passent toutes formées
dans les animaux. XtV, !6~.
TABLE ALPHABÉTtQUE ET ANALYTIQUEi9t)
Ëmutsion. XV, M3.– Action par-
ticulière des ~crë!ion< atcaiines.
XV, M4. Leur ferment digestif
dans les animaux et JM v<g6taHX.
XVU, :!4C.
<!NEFFM fX, M9.
A~tIàIAI.E. IX, 123, 7Th X, 32().AMMALE IX, <93, H4 X, 3M.
TECETAt.E. !X, )M.
GKtÉHAKT, analyse dos sucs d'une
plante. XVII, t).
GMNOftLtjES <)ig6t'ees vivantes.
Jf, 409. EmpoisonuÉes par le
curare, m, :6; [X, 18; X, n9,
255; XI, t4). «S. t'.t XV. n3.
382, 4M XVIII, 282. –Leur zys-
tème vasculaire. Ht, 344 XYM,
284. Leur système cerÉbro-spi-
nal. Ht, 339. Sur laquelle on a
supprima les communications vas-
culaires et conservé ies communi-
cations netTeusos. !V, 903. Sur
laquelle on a tsoM le train posté-
rieur. IV, 904. Excitation m6-
tallitlue du nerf de la patte gah'a-
noscopique. IV, 304. Courant
muScutatre. tV, 30~. Courant
muscuto-cutttn6. IV, 3) Coeurs
suppiomontaires. IV, 385. Dia-
b&to. IV, 464 XVII, )04. Action
comparée df Foxyde do carbone
et df l'oxyde carbonique. Vt, 488.
Leur utilité pour te physioio-
giste. V[n, Mt XV, 69, H.
Empoisonnement parla strychnine.
rx, 22. OEiMptMge. X, (!!)).
Préparées Mf! fUttuièrc de Galvani.
X, iXÏ.–Sujett d'expériences. Xf,
55" –Procèdes pour les itnMthe-
sier, immersion en eau chtorofor-
m~R. X! 5C. Exp. avec la mor-
p!)inc, XII, !?. t:t)as sont
réfractaires it la morphino. XII,
2t0. Empoisonnées par l'oxyde
de carbone. XtT, 445. Con-
tention. XV, t4). Anesthésie
cMorotbrmique. XV, )6!). Sacs
fymphatiques. XV, 2<t. CceuM
tymphatiqtM-s. XV, 381. En
hibernation. XVn, 101. –Oyco-
gon~M.XVtt. tOt.–Préparées pour
j'experimeatation. XVIII, M3.
Tuées par décapitation. XVIII, 342.
GREKONLLETTE. H, M.GRIFFES. XV, )83.
<<t!ATKRtA vnnencinrum. Ht, 2)5.
GUEKtSON des maiadios, part <
l'art et de la nature. VIII, 342 XI,
~24.–Spontaut''e,trea)itcen
e!-ttt)Mnoatt'M! par les faits (-Uni-
ques. XI, 62. –Le médecin peut-il
bien prétendre qu'il guérit son mn.
lade? XI, 438. C'est !e but do la
médecine. XI, 459. Voy. jiW de
~M~t'!)'.
GUSTATÏJFS(KEMs). Voy. A~r/~
cM<a<<.A.
GCSTATtOK.V, 238. Rôle phy-
siologique de la salive MM-fMxit-
hifc. n, 74, '!0;XVH,M4.–
Influence de la corde du tympan.
V, ):X. Effets de la section du
facial dans le crâne. 174.
Elle n'est pas sous l'influence ex-
ctaMYC de la &* paire. V, 239.
SYMKOCYTODE.XVI, 188.
UABtTfUE. XVIII, 4M.–Son iu-
fluence sur )a tolérance d'un mi-
lieu vicié. m, t21. Modifie les
organismes. \t!),2t3.
IIALLÉ, professeur de médecine au
collège de Franec. X)V, S6.
MAtLLKR. XVtt, 434. 443. IJ su-
bordonnait la phytiotogie à t'a-
natonne. VHt, tS5. Deux pro-
pMet<!s vitaies <° irritabifitti
(contracti)ité) siégeant dans la f)-
bre musculaire 2° sensibilité sin-
geant dans la fibre nerveuse. X.
11, tM XVf, 2<&. Pat-tiea aen-
sibles et parties insensibles. Xv,
82. Voy. Aft*f'~&<7t7<* Aa~'M/Mc.
«ARtCOTS. Lactose. V~, 23), 2:i.
MAMHOtttË préétablie. XV!J, ~32.
HABVEV. Circulation du sang. XI,
532 X!J, 6 XV. 298 XVII, ~M.
MASAKt). Son rôle dans l'observa-
Hot). V))t, 240, 33.
MEt.MHOt.TX. Contraction muscu-
laire. X, <M.
MEt.NUMfT (Vau). Exp. sur la retpi-
j-ation des plantes. XV)f, 158.
Fermentation des aliments. XVII,
261. Idée morbide. XVIII, 72.
Voy. ~re/«'e de Van Helmont.
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. )97
!)tEMATtM:.XH,i).XVU,M8.
R!!e peut former du sucre, t,
MO.–S~trMJsf'fmMtion en sucre.
).a97.
MËMATOCH)LUR<KEXVH, 63.
HHMATO CRtSTALUBfE XH
i20.
MEMATO m.OBUH!<E !X, 50
XH. 2' Aiterce par l'action de
t'oxyde de carbone. H[,t8'
L'oxyde de carbone se combine
plus fortement quf l'oxygène
aveeeUe.U,2':9.
ttKMATOLOH! pathotogique. Vt,
41R.
HEMATOSE. Vt, 332 XH, 6.
Comparaison avec la pcriodc sé-
cretoire des it6cretton:i. VI, 34'
Intervention du système ner-
ttiux. XI, 9M. E.<p. sur son
siège. XII', 7.
HKMATOZOAtnES. <X, )i)3, 2n.
MEMit'iLEGtE. Conservation de la
sensibilité de h cornée. 236.
Chez les animaux. IV, '4M.
Faciale, avec attemtion du goût.
V.)'!2.
HEMtSPH'ERES CEREBRAUX
Leur ablation Expërienr.'js. IV,
4:0.
MK.tUTE. XH), 414.
MEMODVNAMtQUE IX, M
HKMOnTNAMOMÈTRK. IV, 210
Vt,tC4.–8aeotnp~r:tMonMcc
le cardiom&tre. VI, t<n.
HHHOGLOBtKE. Xtl, 27; XV, 444;
XVII, !80. Ses propriétés. XH.
412, M' Action de l'oxyde de
f;tfbono.XH,4t'i'Sacombi-
u!tiMU avec l'oxyde de CMbonc.
XU, 437.
OxyCAttBONKE. Spectres. XH,
t:'0.
UXyGÉXEti. Spectres. XH, 428,
-i~.
MENOMÈTME.XHt, 24t. DifTe-
rentie). tV, 2M;Vt, t6' 209.
MEMOMETBtQUE (PttEMMf~. VI,434.
HEMOMÉTmQtJES (RxpMRtEKCES'
VI, 164, 268 296.
(tit8THtJME.\TS). VI, t64.
HEMOPOtETtQtJES (F'oxcTtot!)).
Ëttes sont génératrices du milieu
iHicrieur, et cons~rva'ncee d<' M
composition coHtitantf. !X, 68.
(GLANOEs). Voy. C~an~M /MMO-
pnf~~MM.
UEMORMHAGtE Mouvements dans
les membres après section de la
la moelle. VI, 20f). Le sang coûte
t'utitant, et l'an'&t (le la respira-
tion ue fait pas noircir le sang ar-
tériel. VI, 3M.–Produite par in-
jection de ferments dans le sang.
Vf, i99. L'urine conte âpres
avoir été an'ûtëe par la section de
la moelle. \'U.m.- -Son influence
sur la présence du sucre dans le
sans. XtV, 213.
HKt'ATtQOS (AftTÈM'. Yoy.tFM
A<~a'«<
(CA).OK)F!CAT[OX) Voy. Ca/Ofi'/tM-
tion /<~pa<«;Ke.
(Ct)tcuLATtox). Voy. Cit'ft~a/iOM
du foie.
(Gn'GOGÈXB). Voy. G/yCO'/MC du
/'0)<
(GLYCOGENBSE). Voy. Glycogenèse
du /'OtC.
(GLYCOo~NtE). Voy. G/coyeKie
du foie.
(ixfusMX). Voy. /7t/'MtOM /t</)a<
CMC.
HHt'ATtQUES (CEMULEs). Yoy.Cellules du foie.
(VEtXBS;. Voy. ~ttte< A~a<t-
~M.
HERACMTE. XVU, 404.
HEUBtVOKHS. XIV, 90 XV, .M
X\U, 9~7. Acidin cation des urt-
ues par un milieu oxygéné. Ht, t30.
Urines de la digestion. VU,
)().
ttttRBST. Pancréas. Il., 3tG.
HEREDtTE. IX, H)t, 110, m, 216;
XVI, 342.
HKRtKG. Force do pression du
cœur. Vt, tOC.
UKmssOK. Moyen de le maintenir.
XV.Ht.
MERUPUtLE. XVH, 4n. Défini-
tion de la médecine. Xt, 2.
HETEROMEME. IX, fiM.
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE198
HKTKHOLO(;t;ES (PMDt!:M). XV,
)4.
HÉTKROMOMt'HES (Tisses). Voy.jf'Msu.t/t~/ft'OMiorpAf*
H!BKR?fAT)()M f, )«) Yttf, 2)3
)\o: X)).3-!t;XHt.t'i,3C1,
3!)7 XIV, ;M!4 XV, 3f!, !? XY[,
!)3, 103, ))().–Son ini!uenc<'sur
ta production du sucre, t, <38.
in<1ucnfe sur i'oxygènp. ))), ))3.
Son ionuencesuria couleur du
sang. V), 25(i. Son influence
sur l'absorption d'oxyct''no par le
MnR.V),285.–Chez les gronoui!-
)es.XVtf,)Ot.–Gtycogène.XV)!,
i02.–Sucre dans le foie en dehors
do cette période. XVII, 102. Voy.~nt'~MM.-E/i!'A<)<.<
tttt'POCKATE. Définition do iam6-
deciue.Xt,9. –Doctrine des
crises. XI, Cf.–LHp('!t'e de la
mcdf!cin('.X),55.–Fondateur
de la médecine d'observation, te
premier ctinx'ien. Xjn,XVtt,
i08. Coction des aliments. XVII,2<:<).
ntt'i'OCaATJQt'E (MÉOBO'.E). Voy.~Kt/<*C!'M /t~)jt)OC''n/)</t<f.
Htt'POCKATtSME. Vttl, 345.
mt'POCHATtSTE (MÉDEK!'<). Voy.Atc~cM /t<ppoe;'a<M~.
XtPP~BtQUt: (ACIDE). VII, M. Il
disparalt par l'abstiMnee chez les
herbivores. Vft, 63.– Provient de
ratimentation? V!). C3.– !fypo-thèses sur son origine.Vtt,(!4.–Sa proseuce dans des cas inorbi-
des. VII, 64.
tUSTOCEM~SE. IX, 99 X, 1':
XV),!8~;XVn,4M.ntSTORE. Voy. S<:t<-ttcM histori-
ques.
))t: LA CHAtRB DE MBMCtNE
au Collège de Franco. XtV, ).
'USTOtMH NATUHELLE des ma-
ladies. XI, 45'
HtSTOLOCtH. fX. 16; X, n;
X)V, <t!; XVII, 4M. Elle doit
être subordonnée à t'e~perimcn-
tation. XV, 2!)3.–Créée par
Mayer. XVI, 184. Voy. Éléments
ana<OM!t~Mf!, P/t~f;oM!e~es A!t'<o<o-
fyi'~MM, Physiologie At<<0~yt~Mf,~~HOt'a~'O?! ~<0/0~t'~M<.
HOFFMANN. Dénnition de la méde-
cine. XI, 2.
HOMMH. Pris pour point de départde la classification des phénomA-nes ;)<' la tic. X, )03. Il obéit
aux fois de h Mtm'e au lieu de !eur
commander. XI, !)5, 40C. Ex-
périences faites sur lui. XV, '!3.
-A )CEtjS FIXES. JI est dangereux.
tV, H).
HOMOLOGUES (TMStjs). Voy. Tissus
~OMO/O~tfM.
nOftTAL et laboratoire, VIII, 256.
fndisponsabte pour )'ctudo de
la médecine. XI, -4M.
MOt'PE-SEït.ER. Putréfaction. X\'),
nfi.
HUILE. Son injection dans Jo pou-mon rend i'urino acide. VII, 22.
i HUtT!t!ME PAIIIE. Ses origineschez le chat. V, 32'
HM't'RKS. Leur génération. tX,
2[3. Oycn~enèse des uuitras
grasses. XVII, t08. Bourrelet
embryonnaire. XYff, )t)9.
HUMEUtt AQUEFSK. VII, 408.
VtTMEE. \'tt, 40a. Prasencc
de t'urce. VII, 32.
m'Mtt)tTt!. Son influence sur les
mouvements vibratiles. X, 116.
Condition extrinsèque de la vie.
XVII, 7. Son rôle dans ia fonc-tion cbtorophyttienne. XVH, 233.
i MUMOUtSTKS. XV)t, ~3a.
MUKA et'cpitans. Ht, 245.
HUXLEY. Antagonisme chimique,
physique et mécanique entre les fi
animaux et tesvëgatamf. XVI, )~7.1.
MYt)ATtt)ES du foie, leur influence
sur la sécrétion du sucre, t, t34.
MtMMATE UE CHLOHAt.. XII,
299. Sa décomposition. XII,
300, &25. Point de départ des
recherches physiologiques et des
applications medicaies. XII, 300.
Théorie de 0. Liebreich. XII,
301. Son emploi thérapeutiquedans le tétanos. XII, 303. Mo-
des d'administration dans tes expé-
riences. XH 30~. Accidents
DES (Et!V[(ES DE CLAUDE KKn~AHi'. )M
HYttRURH DE BE~70tLE XVt,
3:0.f
HKSAUCYt.E. XVL M).1.
H:'G!K~E.K)!ea pouroL.jetd"
maintenir tes conditions des mani-
ft"!tationtde)ayie.Xf,4U'
HYt'EMEMU'tu cerveau dan~t'a-
uestb('sie.X)i.)2t.
tttPEHt;ST!H;S!t! V,)0. –Consc-
cntivca)a section de )amoei)e.)V,
33'Consciente ouincoascientc,
suivant que cette, section est in-
complète ou eomptfte.!V, 33T.
–Produite par tadom-section de
)amoet)c. tV, 48'.). Médn)tairc.
XI, 20). Xcrveuse. XI, 211.
].')ans~'snrrfscoupt'Xt,2U!.
HYt'EKtiLYCEMm. Ses troubles.
XfV,4;).
HY['EtH'YREXtE XtU, 4;8
ttVt')-;RTMOP!t)Ëtie!i'<in.sdan9!e
diabète. ). 420. Des ntembt'a-
nosdat'estomacdaastediabÈn'.
t,4M.
HYt'NOTtSME XI, 20.
XYt'OBLASTË. XVf, .), .2t.
HYPORËKME X\t, 32)
HYPODKKMt~UES (txjECTtO~s) ).
Voy. Injections hypodermiques.
nVt'OGLOSSE (XËBP). Voy. Nct'y
/t'/p0~<0i'se.
UYl'OTnÈSE. Son rôle. IV, 10.
Ce qu'elle est <)ans la méthode
experunentate. VIII, 384.
Scientifique, c'est sur sa vérifica-
tiou expérimentale que repose la
méthode expérimentale. VIII, 384.1.
Elle est Je point de départ de
ta t't'che)'c))e experimentate. V)U,
38;). L'expérimentateur ne doit
pas les faire irréalisables. !X,))4.
Leur utilite dans !"s sciences.
~M; XV), 32.–Leur
usage en physiotogieexperimen-
tale. XV, 3?.– Ues chimi-ites, au
sujet des synthèses dans le proto-
plasma vert. XVL 213.
nYSTËRtE. État des nerfs. XI,
239.
HYSTEKtQUES. La sensibilité de
la peau détruite renaît par une
piqûre.iV, 2~3.
demnrt-.nbitc.Xn.30H.–Pré-
cautions j)uur!cs éviter. X!(Xi.
de mort phesiolomques. ~IIpré-!–HfTctt!pbysio)oginucs.X)),3()'
–Doses. \tL 307. –C'est un
hypnotique et non uuanesthest-
sique.XH.30i).–Sacombinai-
sonavec l'opium. XU, 3)0.–Sa
combinaison avec tochtornforme.
XII, 3)t. Théorie de son action
intime sur les éléments nerveux
centraux. X!t. 312.–Sa combi-
naison avec les substances aihu-
mino!dos.X)[,3)2.–Sespro-
pt'ictcs autipatrides. XH, 3)2.
Ses applications chirm'Kicates.
X)!, 31-1. Fâcheuse tcud.'ttfce de
le substituer aux anesthésiques
proprement dits. X[[,3!5.
HVUKE de Trembtay. XVH, 2K!.
Développement. XV!, ~M. Les
parties isolées peuvent vivre. X\'f,
:)63.
nVDnOCAttBO.'fEES (MAT)KttES ou
SUBSTANCES).XVH,)8,2'!8.
ttYonOGENH- Sou action sur la
disparition du sucre dans le sang.
f, 24). 243.– Déplacement des
(;azdus.mg.Vt,5.
–A. RSE~tE.Sou action sur le sucre
dusang.t.Xi~Hend)esaag
très noir. ), 94S.
–CAKttOKE. XU, 362.–t) n'est pas
à proprement parler toxique. XII,
3~4.
SUt-t-'URK. Actinn toxique. ))!,
52, 5~. Ëiimination par le pou-
mon. t[t, 58; Xi, 93. Chez )cs
g)'('noui))es,iicolore)'intcstiu.t)!,
3.')).–Arrête tes mouvements du
cœur.V!t.')0.–Forme avec la
bile un sulfure chez l'animal vivant.
Vt, '450. !t est toxique, si ab-
sorb6pa.rtRpoumon;inon'cnsi(',si
absorbe par t'intestin ou te tissu cet-
lulaire sous-cutané. !X, S.'t. Son
mode d'action. XI, 439. Empoi-
sonnement. XU, 3~t; XV, 310.
!njections.XV,2(i5,52.- Ab-
sorpttou.XV.M3.
HVDROPHOBtH. XI, 38.
UYDROTOMtK de Lacauchie. VI,463.
TAf!t.E ALPHABÊTiQUE ET ANA).YT)QUE
tATRC CHtMtE. XV)!, 49; XVI!
)M!.
XVII, ,11,;
l,
'1
¡;,¡;,
)ATK<) CHtMtSTt:S XVUt. )M.j
tATR<t MKCANtCtKKS iiï, 4
XVtU. U)(!. Leurs hypothèsessur la chsfeur antntttf. Xt!), )9.
Théorie tmcMtuque de la diget-
tien. XVt), 363. DoreUi. XVII,
3tK;. Boerhaavo. X\'H, 263.
P]tc:urn. XV)), 263.
)ATRO-MË(:ANiQUK. XVH, Mt
tCTKKt: MALIN. Dissolution des
cei)utM du foie. VII, 216.
tBÉE soumiM & t'experience df-s
faits. \'Uf, 7. Ne doit pM être
enchaînée aux croyancos scieuti-
fitlues, philosophiques ou retigicuses. VH[. ?0. U faut la rMM-
ncr au fait, et non le fait à L'idée.
)X, 485. Sa formation. XVIII,
42:
EX.fEKHMEKTA)LE. cugendree
par f'it<tuition. VIII, &?. Engen-drée par le senumc))t. Vtt). 5'
F)X);. IV, L'homme à idée
fixe est dangereux. IV, [0.
MOKmttt-. de Vtm Hetaïont.
XVIII, '!2.
t'MECONÇUE. !V, 9. File doit
toujours Nre soumise à la v6nH-
cation expérimentale, tV, 12.
L'expérimentation seule en doit
juger la valeur. IV, t4.
A PtUOKt. Vti), 48.
t&tOSYKCRAStES. IV, 36'?; VIII,t! 'X, in~X),22.
!<i!0 AERmK (PMxaf-E). XVf),)M.
IGNORANCE scientififjue, eUo est
un obstacle au d<Svetoppam<}nt de
la médectne expérimentale. Vt)t,
3&t.
tLH)StOF<8 de l'esprit médical,elles sont un obstacle au défetop-
pemeM de la médecine expéri-
mentale. VtH, :).')f.
)MBUt)TtON des tissus, le sang[s'inftHre pas les tissus, pourquoi? T
VI, 4<i4.
M)MEO)ATS (PNNCtpfM). Voy. Pr<;t-
cipes wtMie~t')~.
!MHEKSiON dans l'eau contenant
unchioroformeoudet'otheret)
disM)ution.XH,59.
tMPRKSStOri d'un agent extérieur.
Sa transmission. XVt, 985.
UOMLOUm';USE. K))o amené ut)
~bMMetnent de température dans
)e sang. Xttt, 29!).
t~CUNSCtENTE, elle est trans-
mise par les nerfs sensitifs du
système organique. Xf, 298.
SEKStTtVE. influence sur les
mouvemants du Meur. iV, 267.
Son trajet. IV, 3~3. Elle ne
peut s'exprimer que par des mou-
vements. XI, )69. Elle est
transmise par les racines poaté-
rieures.Xt,]83.
tMt'ULStOPi CARD!AQUK V!. n3;
XI, 36i XV, 8~. EUe varie
d'intensité. !V, 290; Vt, 2H.
expériences. VI, tT4. Effets de
la section des pneumogastriques.
VI, 22~. Elle vient de la coatrae-
tioncMdia.qua.[X,'Ki.
INANITION. IX, 88 XYU, )39.
Expérience de Chossat. XI,
)'i0. Effets morte)!) produits par
une secousse inattendue chez les
animaux réduits & un grand état
de faiblesse. Xt, 120. Influence
de la température sur la durée de
hvie. Xt, HO. –Ses en'&lachM les
animaux qui ont subi la section
de certaines branches du grand
sympathique. XI, 287. Ses e(Tots
sur les urines. X!v, 91. Son
influence sur la présenco du sucre
dans le sang. XfV, 210.
tKCKHT<TUtH! des Mieucos bioto-
t;i()Ma.XV!6.
tKOStOKS. XV, t95, MO.
INCISIVES, leur accroiMemoat
chez le lapin après la section de la
branche maxillaire inférieure. V,tOO.Voy.O<!tt<
~KC!TAM)HTK. X, 81.
INCONNU (t'), il est plein de char-
mes. XVUt, 86, 439.
tNCOKSCtEKCE. Voy. Impression
inconsciente, Mouvements incons-
cients, Se~M~to?! inconsciente, Sen-
~&t7i~ !MCO?MCtM)<<
200
DES (ECVR~S DE CLAUDE BERNARD.
tKCO)MHJ)'T<B<HTK drs cieux.INCOlUlUI'1'IDIUTt: des
cieux'lXV))t,)';t. 1.
INCUBATION de t'œuf de pouSc.
X\'U),C3. -inf!uencesur)a
g)ycost'dc]'œuf.XVU,8C.
t~nH,(''(:o[ps de médecine. X),4Ï2.
tNOËTKttMt~fSMK XVI, M
tNMY!MJ.Vm,)5S.
INDUCTION, dans le raisonnement
expërimenta).Vnt,XV,3U.
Voy. Méthode i'H~'MC<<t'p.
ANATOMIQUE. 9; XV, St.
Elle ne peut pas se sépare de
i'expAt''met)tittion.U,n.
INERTIE do la matière. X, 94.
Des corps vivants.XV!t,<6(t.
tPfftt.TKATt~X d'eau. Vt,4(i3.
'AMMATtON. XI, 350; XII, t9
XV, 379. La sensibilité ano-
mato des parties euCamntÉas dé-
pend des racines po'.t&i'Mures. IV.
tt. Produite par la section du
grand sympathique. V, jÏO.–
Influence des nerfs. V)t. 332.
Chronique et destruction du pau-
créas, 11 la suite de fistules, VII,
396.–)RO)o du grand sympathi-
que. XI, )0't. Son mécanisme
physiologique et son r&ie dans la
patho)og;ie.X),324.Voy.Co:<cnHf
tn/!aMMa<ot;'e.
-REL'OEtL.Effets dusympathi-
que. V,534.
tMFt.fKNCES MORALES. Voy. ~o-
t'M/e< (innuences).
t?tFLUX ttEhVEUX. Vitesse de ta
transmission. !V,930.–En'et';
observés sur les os par sa sup-
pression. XI, 14. Effet produit
par sa suppression sur le muscte.
Xi, 14.
INFUSION HEPATIQUE. XVH, 308.
t~FtJSOtKES. XVI, 80 XVIII, 4?,
177, Me. Génération sexueHe.
)X, 102. CiUés. X, )26. Mort
apparente. XII, 156.
tKGEKMOUSZ. Respiration des plan-
tcs.XVtf.'G'
INIIALATION anesthésique, ses
avantages. XH, M,M.– Des
vapeurs de chloroforme ou d'éthor.
XII, 58.
t\JECTtON. Précepte-! pour la
faire. 9)9.–ApparcUs. XV,
iM.–Manue! opératoire. XV,
90<
DAC!DE CARB~~tQUE dan<
le sang. Ht. )36; XV, 9(!f;. Sous
tapeau.Itt.t3C.–Dans les ar-
tprosetdansiesveines.V[t,i(;H.
D'ACIDE PYROGALDQt E
dans le sang. elle passe dans tesnriues. )!t, 222. Asphyxie. !)).
:92.–EUe faitdisparattrR Ii.
sucre dans le foie. n),23.
D'AUtUMiKE daus )<' sang. \)).4M.
D'ALCAL! et de sucre dans )e
sang. !,2t'). 245.
n'AMYGDAUtE dans les veines,
tX,)8a.
DE Btt~E dans le sang, ralentis-
sementdu poujs. \)t, 2)(i.
DANS LE COEUR par l'artère,
mort. IV, 56.
DE CURARE. XV, 26!), 354.
DU CYANO-FERRURE DE PO-
TASStt!M. XV, 330.
PAR DOUBLE DECOMPCSt
TtOitpt'ouvanttc passage des
artères aux tymphatiques. Vf),
t2),tM;XV,3'4.').
D'EAU en excès dans le corps.
Vt, 32. Dans le système vascu-
laire. VI, 3!. Dans le sang. Vt,
3t; VU, 29, M4. Dans le sang,
otfets sur les diverses sécrétions
sur la bile en particulier, etifn'en
augmente pas la quantité. Vt. 33.
-Dans le sang, elle diminue l'aci-
dité de i'urine. VU.M.–Dans le
sang, elle fait passer l'albumine
dans les urines et dans la hitc.
VU, 3) t.
D'EMETtQUE dans le sang. V)t,
4(!6.
D'EMULStSE dans les veines.
!X, )85.
D'ETHER et d'ammoniaque dans
~a veine-porte, donne tiau à l'appa-
rition du sucre dans l'tirino. ), 353.
Dans le sang, accélère la respi-
ration. Vtf, 46C.
DU FEU dans le sang, VII, t;9.
TAHLh: ALf'HAUËTiQUE ET ANALYHQUE202
t~JMTtOK nu FERMENTS dans
tesim~.produis.tnti'hcmori'ha~ie.
VJ, ~K). Hatf )osyf)i(ia!<. Xf, -4*
-t)E<<AX,injf'<'tionbrus<jUedMs
le foem-, obstruction du poumon,
cause de mort. tH,i63.–Sous
la peau. V!), ~3.
DE GRAISSE <t!H)<! te conduit
des glandes ~ativah'M pour )<i~
dt'truiM. tt, Uâ YU, 9f' '~M.
tt'HtJtLE dans )o poumon, rend
!tKidotareac)JLOadc['ut'inc.)t,
9-
t) )tYt)ttOfjKXE SULHJRE XV,
9(~M.
nYt'OOERMtQUt: ou SOUS
CCTAKKt. Xi, '444 X!). f)OC XV,
au). –))'un()')oiutMtidGch)oro-
fu)'mooud'ct.)iCt'.XU,f't).–Ce
procède ne réussit p& citez les
aointaut & Mn~ ct~ud, explication.
X)t.M).–i.)emo)'j)hinc.X.t),t').
-D.-ch)()M).Xt[,S05.–fDS-
trumettMion. XV, 9t4.–Ma-
oue) operMoire. XV,Xt5.– D'air.
XV,aK;He)!ai'.X\t(!
].)e)inuidesotdeMtides.X.t6.
Cousid~Kttions gcneraies $ur
les résultats obtenus.XV,2t!).–
U'éthcr.XV,).
f~TMA-ARTEtttmL): XV, 2(;C.
MTMA-VKtXKUSH. Xti, ~) XV,
'!&3j:t.–Avec une scrit)gu.<'& à
petite canulo ac6rcc. XV, 3(i't.
nK LEVUKE DE tt)EME dans te
Mng.J,M7;VJ,'i8(!.
Dt!S L!QUt))t:S KTMAKGERS
dans les voies circulatoires. VU,
4(!e.
LOCALES 11effets locaux. XV,
3Ï8.
DES MEOtCAMEXTS. Xt, 449.
])E MËRCUHE dans le saug. Vit,
4(i(i.
DAKS LE MUSCLE. XV, 3t3.
M UXYDE OE CAKBOKË dans )c
sang. 111, )M. Dans les M-t~re!i.
Ut, )(U.
DK PEROXYDE DE tER dMs
les veines. M, !85.
DE PRUSSIATE DE POTASSE
et de sel de fer. Vt, 482. Et
d'ioduredo potassa dans les con-duits sativaires. VII, !)). thtus
)esvciue<.IX.)M;XV,269.
t;tt':CTtO?!nESAMLR<)an'i)'!tr-
tizre, mécanisme de faction des
nerfi!.Xt,96.
BE SA?<(t vers le cœur, pnut
causer la mort. VI, 50t.nj<'c-
tions comparatives du sang ~rté-
ric) et voue ux. Vf, M5. Passage
du sucre dans la bile et d'autres
sécrétions. VU,H,M,30t,3ir'.
Oe sang ~rt~ric), e))t* tait.)'6app!t-
raitrf les propriétés (!<"<.troncs des
uerfs et des centres Herveux. !X,
56. Do sang putrctia. X!,
Do sang puM* dans les veines
d'animaux mourant dH f~un. XI, 4t.
M)! SEL MARIN sous )a peau,
elle produit do h douleur et
augmente l'équivalent endos'noti-
tjuc du sucre, i, 22!).
DE SEKUM dans le sang. VU,
~64.
SOtJS-CtJTANEE. Ycy. /'t;'<'c-
~i'0~: A'/pO</C''M!~MC.
UE SUBSTANCES PUTRtOKS
dans les \'em<!a. Xt, ti2.
OE suc PAKCttKAfiQUË. VII,
:!90.
t)K SUCRE avec du sel taMiu.
l, tM. Dans la veine-porte.!,tGi.Dans)'i))teettinetd!m&
le tis~u ceUutaii'e sous-cutané. ),
2['22t,9!t. Dans les vais-
seaux. VU, 70. Dans le sang,
consëcutivoment les aniataux sont
tristes. V)t, 86. Prolongée, e"e
arendutMt'6i[i'inM)adM.Vtf,87.
–ME SULFATE HE QUMtKE dans
tcMng.t!,t66.
ThACHKALE. Xfr, ':3. Obser
yationsctiniques.Xtf,14.
D'URKE, elle n'empoisonne pas.
vn,8c.
DANS )fjKS YAtSSEAUX DU COU
et du pli de t'aine, manuel opéra-
toire. XV, 255.
YEtKEtJSE do chtora). XIt,305.–
D'air, XV, 220.
tNKEMVATtOK des petites MtÈ-
ros. Xftt, 2't' Ses rapports avec
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERKARn. 20:!
vaisseaux. \'H,)).–Pnhno-
naire.sMen'ctsmccaninucs.XV.4M.
tKTKLjDGE~CE. rx, )80; XV!M.
'n, 3'!3,4);. Son retour
après ta transfusion.IX, M.-Le.
curare n'agit pas tut'ses phéno-mènes. )X. 2:, [(!t;XV)!(,'MS.
E~erf'~idt'. dans ]f'i)ohcs cé-
rébraux. XV!U, 39-}. Yoy. Cf.'t~M
M<€~<'C<);t'A<, Co~<j';7!0?M <n~t'C-
~Me/'M, D<f'Mi'<'Mc<*?!ec :'t)~</ec-
~<?, FocM/ tH~t.c<M<M.
MTERCOSTAJL ~'Enr). Voy. Aw/'Ï/~<C~A/
MTJEnFt;K)~Cf; XERVEt'SE tX,
(!nypothew.XUt,:3~,3n.Objections. XU!. 233. Dis-
cussion. XU!,93i.
t~TEnttUt'T). de Puh'crma-
cher.)Y,o.
t~TEnVERStO~f du sucre de canne
png)yco-,<'eten)Gvutost'tV,
3)f.; XV'If.). Gcncratitc du
pheaorn~no. X\f. Si5.
ÏK T E ttV t: HT E B R A L ;G \'<r.uo'<).
Yoy.<j'a~o't!'?)<e'f~'<e7~'a<.
!KTKRVKKT! ~SccKE). Voy. SifO'f
m~ru?)' i.
t?iT);STt~. Absorption du sucre.
!,n6.–tnjections de sucre, t,
Sn, M), ''28.– Orifice des con-
duits hi)iaires et paocrMtiquHS.
J',)S;. -t)uc)uen.){,3M.–S.T.
rëMtiou.U,4:)8;Vt,M;H,200. (~o)oré par i'hydrogcne sul-
furc.H!,?~).–Mouvements pe-
ristttttifjues. tY. 3j9. 365. Leur
température et iouueuce des oerCs
sur )eurtempera!urect!cur mou-
vement. Vf, )i4. Putsa.tions ar-
tcrioitesapr~s section des nerfs.
VI, t!5 Les sets ammoniacaux
y prennent ains~nc" après aMa-
tion des reiB'}.U,56.–Si
gorges de saa~, pas de mouve-ment peristaltiquc. Vff, 405.
–Mouvements, par suite de l'a-
Mation des gan~ious cervicaux su-
périeurs. \tf, 4&4.–L'hydrogène
sujfuré, même ausorbe, est inoSen-
sif. tX, 85. Etimination de t'aree
taca)ori(iMtion.Xttf,26t.–Se-'
rapports a\'f-c la t'u-eutation.xnf,
967, ?'!?. Du cœur. XHf, 2G2.
–DasYaissRa.u~.Xtti,6:<
Des gtandss parotides, elle a sa.
source dan" tes nerfs moteurs.XV,j
3)i).t)etag)andosous-maxi)-
t:tirc.XV,5~.
tKOCl'UTtO~ XV, 208.
t~OCE~')'XV<f,5t().
~OSt~E XVH, M. 279.
tKSAUVATtOFf t!, tM.
t~SËC'rES.Lfm' bite, Leur foie. t,
)0.).- Sujets fi'exp~rieHees.Xt,
55.'). Gtyt-o~He. XV)!, n:i.
tXSKXStBLK (StMstmf.rrÉ). Voy.
Sf?i ;;?'<<'<<<'tftM' .)&/('.
1!SSOLAT)0~. X)ft, 4M.
t!<SOLUB)L)TK des mati~ros orga-
Dit)ufs.t!f,(!).
t~SOLUBLE (F!:M)t:XT). Voy. Fo'-
MCn<M.!C<:<4/<
tNSt'tHATtO?! P~LMOMAmE Sonrôle. XII, S9!}. Voy. Air M~'
)0)')'C.
!!<St'!nAT!0\ DRS MEOECtXS Ce
n'est que de la fantaisie. \'ff[.3.')8.
INSTINCT. XV!ff, 4]9. Il s<:
rapporte et s'.))'t'été chez les ani-'
maux aux quatKcs physiques do
l'alunent. U,2~; XVH.2M. Voy.
C<'n<MttMft))c<<
INSTITUT DE FRANCE Sa mis-
sio[t.XVm,4M.
tKSTtTUTS t'ttVStOLO<:tQUES
]M,t:VHJ,(!0;!X.23):XlJ
4t4; XVIII, m. –En Atiema~oe.
XV,C5;XVI.!3.
t~STRUMENTS -li hcmomén-iqups.
VI, )6t. De recherches institn-
tauees. Xf, 501. D'un usage
gênera dans tes vivisections. XV,'
182.
'KSTRUMEKTSDEt/ORGANtSME
vtn.i'j).
INSUFFLATION. Vt, 93, 505, 508.
Elle fait apparaiti'9 le sucre. t,
35),3C),3S3,Mt.–D'airdMS
les poumons. m, 3'!4,38i.
Après l'empoisonnement par le
curare. VI, 99, 309, 314; VII, 31:3.
Effets sur les reins et ieurs!
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTÏQUEM*
(taus)p cas d'ablation des reins.
X),0.–SensibUitAdMncrh.X),
3.Trani-formittionades~ty-
cosHs. XtV, 2(t3. Proeëd~ opé-ratoire qui permet (!c suspendre
etdor6ta!)th'atternfttivement.)o
passage de la bile dans l'intestin.
XV, CM. Ferment im'srMf.
XVH, 3~ Voy. /)<<ofp<!OM t)t-
~x~/tf; Dt~f.<<«)a M<M<Mn/e, S~a-
&0)'a<t0!t M)<e.<<~M<<< ~p!f/t~<t!tM
M<~<.?ta/, Ej'/«t~<tbn H!/e!<M/f:
FM<M~e iM~M~M~ .MKMMmc;
tn<f.<<;n<tM.r, ~oM)'eweH<.< p~rM-
<a«tf/Me.<, A~M~MCMsc intestinale,
Ne'S; <<c l'intestin, ~ttaet'o"
/e!<)~a/< Vers intestinaux, l'illo-
sités intestinales.
t~TESTtN Gt<Ét,E. f'ormittiou du
sucro de fccute. XJV, 2t8.
<~TKST)!<<AL (CAMt.). R&te des
no'ja da[<)! les parties tous et sus-
pyloriques. \U, 345.
-~Se(:).V8y.St<Ct'M~<t«a/.
t~TËSTMALUS (SH<~KÈTM!S!)). VH,
:n!); IX, 75; xv, a~; xvn,
~)' Actiou de t'othHrcoatjM.ree
& celle de l'alcool. Ut, 4M; Vttt,
;t)4. Action du système ner-
veux. Y!), 3i3, :!<(!, S~Action
du sympathique. Vtf, 37!) & 4()5.
ExpÉnenccs. V! 388. Kt)e!-
modtfieutica principes sucres.
XVtt,3t8.
tKTKSTtXAUX (L)QumKs). n, ~5.
Avant la grossesse. !), ~&0.
Leur réaction Mdf)~ du pyloreest entièrement vMiablo. XV.
.'<0.
MocvEMKTs}. IV, 3&9. P~ris-
taltiqnes. 3M, 3(ti<. Us fout
défaut quand l'intestin est gorgéde sang. Vf), 40;). Par suite de
l'ablation des ganglions cervicaux
supNt'Murs. VU, 454. Voy. A/oMt.
ments pf.'t'x/a~~Mes.
)KTKST<KUm<AKMUt.AtRE(tËt)n.
).HT).Voy.f'~M)7J'<'<w<M<uto-y/an-'/M~<!t't-e.
t~TOXtCATMKDES' KËKt'S. XI,
M:).
PAUt OXYHE UF CARBOK)!
Ana)y'}ude<sympt<')mo'ig!'adue)'i.
XII, 4:M. Mt'canistue du retour
& la vie. XH, i:M, Chronique.
xn,4t9.
tXTOXtCAT~tN Pt TRtDS spouta-HÉe de cause uerfeuse.Vt,.497.
M TRA-OHftAKtQUK (MfUEc). Voy..Mt/;t'Mt'e;'f<'M;
Ci'Kt.ÉOt.QUtE). VO)'. M~O~~TOTtOK. X\'t)t, 80. EHc
cn~'ndt'e t'idÉo oxporimeutaie.
\!i), .')'
MEntCAt.E. V)[t, 339.
tNUHNM. X\'tf, 2').
tKVKKStt-' (~EMENTJ. Voy. Ft'<'MMt<
"t's:t~ .1
t~V<MStON par to sue intestinal.
X\t),3t9.
!?<VEMTEBRES. Paneras. Il, 4M.
SystÈma uervem. IV, 505 5t5.
iMoMYf'men~ vibratUa~. X, )31.
ORut'. XVII, 95. –t.)yco~n~so.
XVtt, tOC.
tBiyESTtGATKUR. Vttt, 2.<.
INVESTIGATION. YHt, i). Voy.
Méthode c!'t~t'e~<~aho?!, ~faMon-
Mt'M<'M< M!t'ej!<!S'0<
t'ATUOLOntQUE ET THKj~A
tKUTtQUE. VtH, 333. Appli-
[)UÉa & ta mûdaeuM expérimentale.
\'tH,383.
t'MYStOt.OGiQKE. t, t2. Hx-
p~ritNCut&te, olle doit &t!'e dirigée
sur )M phenomeuNs o)'f;aao-tro-
phiques des êtres vivants. IX,
128.
~VOt.UT!OK. XVI, 311, 316.
tODE, s'élimine incompI~'temcBt pM'
)e< M'ioee. t, 3t[. Son th'Mrp-
tio)) dans tes glandes. U, tt).
Détruit iocm'~ro.tU, 26), 262,
9(!3. Dans la s<;<;)'~tio<t )M~e.
Vt[t2'i).-Sonpa'isaj;ed!mf.t~
salive. VH, XM, :6<. Son éli-
mimtioo.tX, 90(!. –Dans te
traitement du disMto. XIV, 73,
4~6. Voy. Mae<t/' w/<
tOntJRK ttH fHM. ËHmhMtion par
)ftM)iv(!.H,!M).
DE POT~f.StUM dans tes socré-
tiona. f, 808. f;)uniu6 par la
hite.U.3)'M. Injection
DES ŒUVHES DE CLAUDE BERMABD. 205dans les conduits s&i i~aire' VU,
1
2M. Son passade dans t'urinc.
Yn,26),383.asMge<!aM)..suc gastrique. VU, 383. Son 6ti-
mination. Xtï, 295. –Dans la !i6-
crëtion salivaire. XV, &14.
)tHS. Sa sensibiiM directe & !a lu-
mi~re. V, 9). Sa paralysie. V,
909. Actiun de )a lumière snr
ses muscles. X, )&(). Action
réflexe du nerf optique. X, 3;<9.
Voy. Muscles de /'M't<.
tRKtTABtLtTE. tX, !&; Xi, 142;
Xv'I, 2ax, 2so; XVII, a,i~, hs.t, ~as;XV~ 242, 280 XVitI,M3, ;6t, 465XVttt, ta8, 3M. Htstoiro de )athéorie. X, Gt XVt, 243. Gtis-
Mn. X, (?; XVf, 243. HaU<;r.
X, ?! XV!, 24~. Yirchow,trois ordres. X, 8't XVI, 348.
Barthex. XVt, 244. Borden.
XVt, 244. Broutais. XVI,
248. Considérée eotume pro-
priëtë fondamentate des tissus
vivante. X, (!4. Em'Miyo des
nerfs coupés, c'est un phénomène
pathologique. Xt, 220. C'est
un des premiers symptômes pro-
duits par l'action du curare et de
.certains antres poisons. Xf,'2M.
Kt)o a son Mè~a d~n~ le proto-plasma. XV!, M9. Elle est une
propt-iéta du protoplasma. XV!, 241.).
Ses anasthciiiants. XVt, 251.
Ses excitants, XV!, 2«t.
AboUc par les anesthésiques. XVI,
289. OiMinguëo do la Mnsibi-
iité.XVJ, 289; XVII, 2:25.
DE DBVELUt'fEttENT X,M.
fOXC'rMHf.fEU.iË.X, 84, SC.–HALLKMENKE. XV, M, 169,
406; XVIII, 287.
MUSCULAtRE. Ht, 352, 358, 867,
37f X, !86. Est-eHo aagmen-
t6epar!<jcm-aM?)H,3tC,324.
todëpendante des nerfs. U!,
350. Son indépendance et sa
distinetioo do t'oxcitaMite ner-
veuMai'aideducu)-Mt;.tV,t96.Eiio est détruite par la chaleur.
IV, X09. Augmentée par sec'
tion de la moelle. V, 12. Ses
variations. XI, M2. Elle aup-
mente quand toute int]ueHCf Hf'r-
ycu~'estsuppritnef'.X!,9:M.
HtRtTABtHTE KUTMtTtVE X, 8 i,
80.
nu fKOTOPLASMA XVf. ?;,).
9M.
DESTISSUS chez les animau\ a
sang chaud et à sang froid.
!3?.2)t.
VtTALE XVI, 253.tRRtTAKTS Trois classes suivant
leur nature f physiques; 2°chi-
miques; :!° Mtaux. X, 86. Leur
nmtite et leur quantité. X,')).–Leur quantité dépend à la fois de
l'intensité propre de i'agent em-
ployé et de ta sensibilité de l'or-
gane in'iK:. X, 91. Leur action
se produit sur les éMments orga-
niques et non sur les organes. X,M. Qui déterminent la con-
traction musculaire. X, 185.
tis font passer la fibre musfu-
taij'edei'etatdorcjjosat'et:))
d'activité.X,t8'
CHtMtQUES. X, t8' aM.
ELËCTMtQUKS. SensibUitc dc~
nerfs. X, 38C.
MKCAKtQUES. X, 96' 3M.
MES KEHtS MOTKtJRS. X, 9(!4,2<i7. Ils agissent en modinafit
leur état physique. X, 2tt. 1.
CES NKHfS SENSITIFS. X, M!.
-h'ritauts mécaniques. X, 322.
–irritants physiques. X, 323.
Irritants chimiques. X. ~4.
–PHYS!OLUGtQUES.X, tO'
PHYStQUKS. X, (89. 3jg.
tKH!TATtO~. Sa distinction avec
l'excitation. 367. Voy. CM'cNtt
<<<aho".
JËLECTMtQUH des nerfs. X, 277.
Elle oxige un changement ra-
pide daus leur état électrique. X.
M 8.
DU GKA~U SVMPATHtQHGrande tarieto d'effets obtenus
dans ses diverses parties. 1\,
3'M.
MÉCANIQUE des ganglious inter-
vertébraux. [V, *?.
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE206
tRKtTATtO?! NEUVEt SK particu-
ticre aux animaux artincietfcment
diabétiques. tV.'i"i.
DES KEHFS SENStTftS. X, 3)8.
frt'itatioH motrice. !V, .?!).').
Du t'frÉbt-o-spiaa), ce nerf aug-
nx'nte l'activité des phénomènes
chi!t)i<)Ufs en réagissant. sur le
grand sympathique. X, '4 ) t .h'rita-
tion (to'manentc, ses effets. X~,9~.
~U'rtUTtVE et tormmth'e do
Broussins. XV!, M!).
DU PKEUMOf.ASTtUQUE. PM
nomones reOeMS qu'elle produit.
)\n).
tRMTATtONS St!CCESStVESabou
tissant h production d'un mou-
vement. X, '<?, 9:)3.
tSOLEME!ST dos fcrmcuts. Vt, 4.)9.
tViH;SSE. \t), M t. Son traito-
uMtU. !if, 8). EHots sur los
tiYiscctious. Xf, 28.
JABOT DES OtStiAUX. XVII, M3,
288. Absorption du cm'ara. m,
28'). Ji absorbe les venins. tit,
:n.'i.
nES t'tCEONS. tX, ':4. 8<'cr6-
tion )MHudt)-tact6e. VU, 235, 237.
Sou ~pitMiium, Y! 239. Sa
sécrétion épithéliale. VII, Mt.
JACKSON et t'cther. XU. 41.
JACOBSOK. Système veineux chnz
le pigeon. H, ~t4. Chez le coqrussc. Il, 9t5. Chez le coq aor-
mand. Il, 3)6.
JACUBOWtTCH. Constitution des
cellules de la nioeUa épinière. X,
30'i XI, 255.
JAUNR D'OEUF, lactoso. VU,M<,23S.
t'our la culture du glycogène.
XIV, 46!). t)e poulo. XVIII, 836.
JET DU SANG de la glande sous-
nia!Li)!ah'o. V)), H!).
JOUES, leurs mouvements. V, 3.
Effets do leur paralysie sur la
mastication et la préhension des
aUmsnts. V, S8.
JOURS Cm'nQUES, doctrine d'Hip-
pocrMe. XI, fit.
JUCEMËNT.\Ut, 24.
JUGULAIRE interne. XY, 25' Voy.t'CMC y«~M/H)~.
KtMACAGUERO III, 246.
KÔLUKER. Exp. sur le curare, îft!6t.1.
~KOU'OnKS IX, !<):; XVf, M.
Leurenkys[etne))t.XVJ,8f.
KOKfiKOPttE. f!J. 248.t:OUM!SS. XVn, )M.
KtJXKK, ses '"ipedpncos sur la
contractititomuMu)atre.X),239.KYMOGRAt'HtOK XtH, 94).
KYSTES, influence sur la sécrétion
du sucre. !,)3'5.
t.ABOHATOtm' iX, tM. H! 235;
XV, 2, t02; XVIII, M.'<. Et hô-
ptt&), VIII, 2M. et clinique.
X)V, 81. Au bord de la mer.
XV, t03.–Sou installation. XVI,
)!D'enseignement et tahora-
toire de rechorcho. XVI, 38).
Indispensable au physiologiste.
XV))), M.
t)t! MEMEKME. XI, ~), AO).
HK fHYStn~OGtK expérimen-tale. XI, MO; XIV, t8; XV, M.de Kuhne, à Amsterdam. XI, 540.
de Ludwig, à Leipzig. Xi, 540
XVI, 15. Il doit réunir la vi-
visection, la physico-chimie et
l'histologie. XI 5M. Histori-
f)ue.XV,64,d<'Pesth.XV,(i.).
DU t'HYStOLOGtSTK et du mé-
decin expérimentateur. YtH, *M'!
X!,413.
LACRYMALE (GL~NOE). Voy. Glande
lacaymale.
LACTATE dans la salive. Il, t.t5.
DK ~ER. Son innocuité, si injecté
dans le sang. VI, 482.
LACTATRHf, influence sur )& sé-
crétioq du sucre. J, 197. Sucre
dans J'urine des femmes. 435;
YJ~, )38. Diabète artificiel cite!
les animaux en lactation. Vif, 223.
Du pigeon et du perroquet.
VII, 237.
LACTRE ~SÈCttETMtt). V! 2'M a 3'i2
tX, 75. Chez l'homme. VII, 225.
Influence des nerfs. VII, 233.
Son mécanisme. VII, 234.
Du pigeon, Vtr.M~.
LACTÉS (VAtSMAUx). Voy. ~ax-
eaux lactés.
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. M7
LACTIQUE (ActnE). H, ~:)7. Pro-
cède pour t'obtenir. !,389.–1
Provenant <!<) musch"; du hous
deYcau,sonextractio[!.f,3!).').–
Sa dans la rigidité ca-
davérique. X.2M.–Dan', )p
traitement du diabète. XfV.i.'):).
tFHttME~TAfMK. Voy. /Ct'Hti'H<a-
<!07:/<te<t~«P-
N'oy.
LACTOSH. XVf!t,27!),
.'<-)~Ui!ns)cshat'icotst'tdat)s
tf-jaune d'œuf.U,2~t,2M.–
t)anstc!!utdec)<tf;ine.X)y,t6'
–F.th'<'sttr.;msfot'mc'eeng)ycoso
pM'ic suc pancréatique. \VH.
!M.t.
LACTUSOMENtE. X!V, !(!
LACHKAtttK (SYSTEtt;) des aui-
maux inférieurs. 3)-
LACUKKS iitterorganiqu~s. XV, :!)9.
LA)';?<N)':C, professeur au Cottc~e
(ht'Mocc. X!,tx;X)\97.–
Découverte de l'auscultation. XI,
4M.
[.A<T.Vjf!,2-M.4'XVJJ,35).
Atbum'mc. YH. 228. Ses prin-
cipes constituants. VU, 22'
Mécanisme da sa formation. VU,
2~4. Passage des substauccs
médicamenteuses. Vff, 2 40. Pax-
'iat;odumet'cuM.YU,241.–Sa
sécrétion. \'n,t~;tX,).Voy.
Sels ~M tait, Sucre du lait.DE PIGEON. Sou analyse. VU,
:)40.
LAtTEUSES (TAr.HEs). Voy. Taches
//i!~M~
(~MXES). Voy. U'nM <a:<eMM.
LAMARCH, l'orgasme. X, 82.
LAME muscuto-cutance.XV', 320.
Fibro-iatestinaie. XV!, S20.
LANCETTE &. vaccin. XV, 2UX.
LAKGAGK. il a précède ):t gram-
maire. X), 565.
LANGUE, ea'ots du nerf facial. V,
tM. -Action d'un filet émanantde la corde du tympan. V, )'!).
Sa déviation. V, n6. Après la
section de la corde du tympan. V,m. Voy. Lingual (nerf).
LAPIN, moyen d'obtenir l'urine.
H9.–PaM)'Ms.I!,2'!t.–Tu-
)MjMduiary!ix.!U,3').–r!(;n-
dudiab6tiqnR.tV,i()u.–r'.xpe-
!'iH)if.('V,i()'t.–Ti',Ht~fnrntu<n
anintaftt sang froid. Xt,).};X)V.
:!(!).Suj< d'expériences. X).
.'<.)Y. E~pc~'ie!!c~'s avec )e cu-
rare. Xf,)}). -Sonmi~auchfo-
roforme.[,t.–Manière de )e
saisir. XV, H().–Fi\e.sur la
tabic a vivisection. XV, ]2.'t.–
Sa Contention. XV, t39.–Appa-
rei)do<zermak.XV,)4u.–Son
dct'eioppNnf'ut. XYt, 3?t!.
LAt'LACE, chutcur animaie. i\, i.
LARMES. VU, K!).
LAKMtMEMEr<'r produit par i'~ci-
tntionduhontcf'un'atdet'.mt'i-
cuhire. V, ;<n, ~18.
LARVES ttE MUUCitES, au poiutde vue du gtycogcne. X)V, i<;i
XV[f,)):i.–Aupointdcvu~dt'la nutrition. XVii, J:)(;. \oy. aEt;/<<t' ~t'M.
LARYNX, tubage ehn.! le )apiu. {H.
3'~i).–Mouvements voc<iu\ ft
rMS()u-atoin"i. Y,~)i,~t:). Voy.
~t(~c/M ~at'y?!t/!e;M, ;V<;t'/x /~t')/;t-
'/fs, Hf;w<'ftMj /a<'f//i~e;.
LASSAtGKË, paneras, i!, 3iG. Voy.~j' et ~.û~ia~
I.ATMKTE (V)E). Voy. )'!<' ~i~H/c.
LAVAGE nu t't)tE. Voy. Foie /«;
LAVOtStER. t'hcnom~m-s ~m~
ques chez les êtres vivants. t\.')8. Rcvoiution (ju'it a at-conipiifdans t'etudf de la chaieur animaic.
IX,i)8;Xt,27(!;X)!2t;xv.
-4M; XVIII, )M.–Considère )a
rei-piratMa comme une combus-
tiun.)X,3,M;X.2t;);X)!, ti;
XV)t,m.ï():Viif,)22.-Com-
bustions organiques. XV,;i4,;(00;
XVt, tC' Ses dMouvcrtes ont
donne fimputsion ta physioioKicgcaërafc. XV, 8.); XVt, 7. A vu
les deux phases du travaiivita).
XVt, t28. Le principe reste
vrai. XVif, MU. Les détails df
la théorie sont inexacts. XVII, 20.').
LEBLANC (Fetix;. Viciation de l'air
par la combustiou du charbon. XU,379.
TABLE ALPnABËT!QUS ET ANALYTIQUE208
t.EKtTtn~XVH.M?.MCOXTK. Travaux fnnnrmatif!) de
fa~tycogcnie. J,4?t.–Rcc))';)'-
cht's sur la fonction gtycogenique
du foie. 1, 505.
H;HMAPf?f Transformation de l'hé-
matinceu!!Ucre.t,39?.–Ana-
)yse9 du sang de la veine-porte et
des veines hépatiques. t,~<!8.–
Travaux conûrmatifs de ta g!yco-
génie.f,4*!). 1.
t.EtBpi<x. xvn, ~t.
)mNX.Pancréas.)!, 339.
LEPOCYTOnE. XVf, t89.
LMStOK produisant la ptUftiya.ie
d'une partie des centres nerveux,
influence sur la coloration du
Mng.96C.–Étendue, pou-
vant exister sans avoir détermina
pendant la vie df,') symptômet
gr!tY<<!).X), H!).–Portant suri'~p-
pareil sensoriel, effets généraux.
Xt.29(!.
t)YNAM<QUt- Xt, 449.
tOKCTtOKSKLtE. XIV, T!.
–t.OCA~)'Xt,')l.–SesMtatinns
avec les matadios générales. XI,
101.
f)KRAK!QtJE, i) faut la cher-
cher dans le milieu iutériemr. Xt,
450. Des tissus, c'est en aUe
qu'il faut chercher la cause de ta
mort.XI.450.
VITALE et altération anatomi-
que.Xt,)4'
t.ESStVM du corps, c'est t'urtne.
V!î,6.T.
M~COCYTES.IX, fit XVn, 245.
LEtJRET et LASSA'CNE. Suc pan-
créatique. 11, n6. Digestion.
XV, i9~. Digestions artffir.ielles.
XV<t,M(!.
LÈVRES. Leurs mouvemeuts. V,
M.–Kfr(!tsdc)eurp!n'a)y'iiosur
iamastication et la préhension desahments. V, 38. Influence du
facial sur teurs mouvenients. Y,
39.
LKVULOSE. X~V, MO XVII, 34,
27:), M). De l'urine. XtY, 100.
LEVULOSURtE. XIV, 333.
LEVUtHE DE tUERË. f, 25S VUt,
353; XVt, M; XVftf, ~S). fn-
jectÉedaasieeM)~2i'yt,
48C.–L'infusion &frnid bien
<i!treedevc)oppodoia!eYuresi
l'on ajoute du suer'J,9f)t.–Se
devRtoppo dans )e scrum sucré. t,
95~Saformittioopf'rmetde
constater Jtpi-f'scnce du sucre.
!;):Soo ferment inversif. Vf).
.t-!2. E))c digcro te suo-f). XVJf.
343.
LEVCtiB t)U YtM. XVi)). ?3).
t~EYDtG. Ciassmcation des tissu".
X.97.
î.ESAaRS. XV!, 3e;
~)BEKTE MOKAt.E. E))a oe sau-
raitCtt'eoMtuc.nig~néopartn
(Mtermiaisme. !X, 333; XVif, R2.
Le dotefntinisma lui est in-
(tM)K'ns!tb)8 au lieu d'en être ta
n~ation. XV!,M,&a; XVH!, itX.
Elle est fontesteo et nMo par
tofatathme.XVt.C~.
HCMEKtKK. XVn, 27').
t,tHBtG. Th<orte de ta nutrition.
XVtt, SM.
MGAMEiST primitif de Remak. JV,
tït.
UGATUME. Ette arrëto les eiTets
du CMare. XV!ft, 306.
t)E t.AKTËHE HËt'ATtQCE. 1,
4M.
nM t/AKTEKE KENA~E (effets
(teta).Xf,)9.
DU CANAL cnO[.KDf)QUE, exp
do Ci. BernM-d. Vnt, 892.
DES MKMBRES XV, n6
nt! KEKF t'HRÉKtQUK, par
Wmis.JV,lM.
ntf t'Vt.ORE, absorption par
l'estomac. Vff, 2AT.
OE t/OESOPHAGE, Mp. de
Sodittot. Xt, SG.
CU SItMt'ATHtQUt! dans )<'
ventre dëtormino des mouvements
dans tes membres posterisur*).
!V,M.
DE LA TMACttEE pour produim
i'Mphyxie. ïïf, 22t, 225, MO. Vf,
509; X!f, 470. Pour rendre !f
sang noir. Vt, 502. Examen cri-
tique de cette expérience. Vf, 50~
t)HS ŒUVRES DE CLAUDE BERNAHD. 209
CLAUDE UERNARD, AiA. ); ir
LIQUIDE CÉPHALO MACtHRtKK.
Voy. Cep''ia~o-rac/ttf/teyi tiquidc).
t'AXCRÉATt~fE Voy. fa'icrea-
tique (liquide).
LIQUIDES. Leur écouiement dans
des tubes inertes, dans des tubes
organisés et dans les vaisseaut
d'un animal vivant. III, 7).
Expériences. III, 7). Expérien-ces de Poiseuille. III, 72. Leur
écoutement favorisé par l'ammonia-
que. UI, 72. Leur écoulement
retardé par l'alcool. tn, 74.
Conciusious. III, St.–Leur ab-
sorption. !X. 70 XV, 364.
Injections. XV, 2)6.
ALBUMMOtHËS. Voy. ~/&uM:-
n~fdes (liquides).
A?f!MAUX, ie sucre ne passe pasdans quetques liquides. t. 303.
Leur respiration. Vt, !90. Réac-
tion fixe ou mobile. VI, 20, 3(!, il,3'!?. Dans tous, t'm-ee existe. V!33. Leur réaction varie. VII,)8<i. L'eau de Vichy les rend
atcatins. VII, 191.
OK.ESTXjFS. Voy. D!)~ (li-
quides).
EXCUKTES, comparés aux liqui-des secrétés. VU. 6.
MJ FOETUS. Sucre qui y est
contenu. 398.
tNTERSTtHELS. VI, 29.
)KTËSTiNAt;X. Voy. ~<M<<-
MaM~ (liquides).
ORGAKtQUns ou DE LOR
GANtSME. Moyens d'y consta-
ter la présence du sucre. L 48.
DitTusion du sucre. I. 318.
Leur importance.Vl, v. --Normaux
et pathologiques. VI, 29. Leurs
caractères communs. VI, 29.
Leur classification, d'après leur
réaction acide ou alcaline, VI,36. D'après leur réaction fixe
ou mobile. V), 38. Influence
de ta pression du sang sur leur
formation. VI, 206. Considérés
comme produits de sécrétion de
cellules vitales. tX, 122. Atté-
rations provoquées. XI, )5. Leur
reproduction. XI, 67.
Bruits respiratoires et ralentis-sement desmouvemcnM du co9ur.
Vt, M!). Ktte n'empêche pas le
cœur de battre après la section
des vagues. Vf, 514.
LIGATURE DES VAISSEAUX. Elle
empêche l'absorption du poison.
XI, 285.
UES VEINES. Production de
chaleur dans l'oreille par l'action
du sympathique. V, 508, 509.
Dans l'empoisonnement. XI, 92.
ME LA VEINE-CAVE, influence
sur le sucre du foie. VII, 136.
OE LA VEtKE-PORTE. XIV,
3H!; XVH, 37i. Mort consécu-
tive. VI!, 196. Influence sur la
fermentation du sucre de la veine-
porte. VII, 200. Autopsie des
animaux. XIV, 339. Elle n'em-
p&che pas la production du gfy-
cugoDe. XVII, 371.
HG?<EUX. IX, tt!) XVt, t34.
JLtMACES, sécrétion biliaire et sé-
cretio!! du sucre. J, 101.
HMAÇONS, expériences sur la sccré-
tion de la bile. XV, 598.
HMtTE de nos connaissances, elle
est la même dans les phénomènesdes corps vivants et dans les phé-
nomène*! des corps bruts. VIII,
(3ï.
DE L'0'MfGÈKE dans un milieu
respirabte. III, t20.
HK6UAL (NB!U'} !X, 3t. Son
influence sur la sécrétion salivaire.
VII, 265. Ses actions réflexes.
X, 36}. Son influence sur la
sécrétion sous-maxillaire, XV, 5~t.
Elle appartient à ta classe dos
actions réflexes. XV, 5~2. -Preuve
expérimentale de cotte hypothèse,
XV, 543. Voy. Langue.
LIQUEUR CUtVRtQUE. Substances
qui peuvent la réduire Leur éli-
mination. XIV, )93. Pour doser
le sucre, formule. XtV, 19' 198.
Procédé opératoire, expériences.
xrv, 198.
LIQUIDE ALLANTOIDIEN. Voy.~~anfoMteM (liquide).
CELLULAIRE. XVt, 191.
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE2t0
UQUtDES t'ATHOLOGXQUES V)!,428. 1
SECRETES. Les globules du
sang y passent-Hfi normalement ?
VI, 460. Comparés aux. liquides
excrétés. VII, 6.
LIVRES. Comment le physiolo-
giste doit consulter, Vtff. 24!).
LOBES CEREBMAtJX. Leur abia-
tion. IV, 493. C'est en eux que
réside la couseience et )'iHtG))i-
gence. XVU!, 392, 415. Leur
ablatiou chez les pigeons. XVIII,
398.
LOBULE DU FO:E. !87.
LOCALISATION des actions toxi-
ques ot médicamenteuses. tH, 41,
56. Auatomique des maladies.
VIII, t96.–Des phénomènes fonc-tionnels do l'organisme. XV, v.
Des fonctions ds la vie. XV, M;
XVIII, 367. Des phénomènes
de la vie. XV, 83. Do l'encé-
phale. XVIII, 392. Phréuologi-
que. XVIII, 413.
LOCOMOTION (Phénomènes de).
tX, 9.
LOI. 14. Préétablie qui r~gia
l'ordre et la forme de fa vie. XVf,
62, 66. Préétablie qui règle )a
succession, le concert, l'harmonie
des phénomènes. XVI, 345. EUc
est la relation entre la cause et
l'effet. XVIII, 73.
DE CAUSALITÉ. XVI, 340.
DE CIRCULATION MATÉRIEL-
Î.E. XV! 51).
DK CONSTRUCTION dos or-
ganismes. XVI, 353.
DE DIFFÉRENCIATION et de
division du travail. XVI, 357.
DES GRANDS NOMBRES, le
médecin n'en a que faire. VIII,
242.
D'INERTIE des corps vivants.
XVn, 466.
MORPHOLOGIQUE. IX, )27.
DE NOBILI. Quatre périodes. X,
283.
OMANO&ENtQUE. Elle pré-
existe à l'organisation qui en est la
conséquence.!X, 228.
LOt DES OSCILLATIONS gtycoce-
niques. XIV, 409.
DE PERFËCTtONNEMEKT orga-
nique. XVI, 358.
DES PHÉNOMÈNES. VJtt. )4a.
Il faut les découvrir avant do
prétendre les manier. XI, 40C,
424, 511.
DE RITTER. Six périodes. X,M).
LOIRS. Expériences de vie oscillante.
XYJ,!t).
ï.OMBA!RE (RÉEMjt). Altérations
des racines nerveuses après leur
section. TV, 243.
LOMBAIRES(rfEttfs). Voy. Nef/s
lombaires.
LOMBO-SACRÉ (PLExus). Voy.F<<M~ ~OM&O-MCr~.
LOMBRIC. Son système nerveux.
IV, 507. Corpuscule tymphMi-
que ayant englobé des corpusculesverts. XVI, 298, 380.
LONG. Emploie le premier l'éther
pour insensibiliser des malades.
XII, 41.
t.OKGET. Racines rachidiennes. IV,
35. Usages du suc pancréati-
que. VII, 363. Discussion sur
la sensibilité i-écurrente. VII, 370;
XI, 517. Mouvements de rota-
tion produits par la piqûre des
pédoncules du cervelet. XV, 45.
LONGÉVITÉ des graines. XVI, 390.
Humaine. XVIII, 433.
LOWER. Expérience sur le siège de
l'hématose. XIt, 7.
MJCA. (do) Recherches chimiquessur la racine de cyclame. ttf,4~1.
MDWtG. Ses expériences sur !'in-
<tuenee de la pression du sangsur l'abondance de la sécrétion.
X!, 366. Son laboratoire à
Leipzig. XVI, 15.Lt/MtÈRE. Elle altère la nicotine.
iH, 406. Sensibilité directe de
l'iris. V, 9t. Suivant sa direc-
tion, la pupille se resserre ou se
dilate. V, 215. Son influence
sur la vie. X, 54. Son action
sur les muscles da l'iris. X, t80.
DES (EUVHES DE CLAUDE BERNAHD. 2H
–Son influence sur le proto-
plasma chorophyDion fait opérer
lasynthësRdescorpsternairps.
XVi, '3. Son influence sur la
respiration des plantes. XVII,
168.
LYMPHATIQUE (AppAREn,). Physio-
logie opératoire. XV, 94).
(SYSTÈME). XV, MO. Voy. Cfpt/-
<a!t'es lymphatiques, Circulation
lymphatique CorpK!C!M ~?~-
phatiqtdes, Gaines lymphatiques,
Glandes lymphatiques, Sacs ~'x-
phatiques, Vaisseaux ~/M/a<
ques, Veine.. /~mpA<!<t~[M~.
~YMPHATtQUES (ËLÉMENTs). fX,40.
(FISTULES). Voy. Fistules lym-
p/toft~MM.
(GAKGnoKs). Voy. Ganglions /yM-
phatiques.
(VAtssEAt!!i.). XV, 308. Leur
passage aux artères prouvé par
injection, par double décompo-
i!ition.Vn,)':t,t:2; XV, M5.
Communiquent.its avec les capil-
laires sanguins? IX, )M.– Le rc
seau capillaire met en rapport
les voies circulatoires sanguinesavec l'origine des voies lympha-
tiques. X!, 367. Exp de
Magendie.XV, 335. Leurs ori-
gines. XV, 344. Voy. ~M.MM!M'
lymphatiques.
LYMPHE. VU, ~3 XI!, 22. Pas-
sage du sucre. 319. Les ani-
mauxqui n'ont pas de lymphe,n'ont point d'urée. J, 319. Eau
qui en vient. VI, 43!). EHe
fournit de l'eau en plus au sang
artériel. VI, 444. Rapport avec
l'urée. VII, 31, 65. Présence
dusucre.Vn,))9,3t5.–Le
prussiate jaune de potasse y passe.
VII, ':58. Son écoulement. VII,414. Passage de diverses sub-stances. VII, 414. Son action
sur l'altération do l'air. VU, 420.
Sa respiration. VII, 420. Abs-
sorption d'oxygène. Vtl, 42t.
tnOuence du curare. XV, 383, 389.MACtHKE PNEUMATtQUM mer
cure. XV, 231.
MACHEES VtVA~TES Leur
fonctionnement différent. XV!. )j0.
–Comparées aux machines uva-
peur.XVnt,47.
MACnOtRES.Apparei) pour les écar-
ter chez le cheva.).XV, )48.
MACROCOSME. VIII, 34 IX, t35
XVII, 403; XVIII, eo, 118.
MAGENDtE Suc pancréatique I!,
t':6;–Xt,483;XV,43.–Sonctoge
par C).Bernard. !U,t.–Partisan de
i'expéhence.fft,S;Xf,tx.–Fixela méthode expcrimentate dans la
médecineetiaphysioiogie.!H, 9.
-Il n'admet que le résultat expé-rimentât brut. fjt, 10 IX, 6; Xt
482, 515 XV, 60. 63; XVI, 9;
XVIII, )8. Démontre l'existence
normale de phénomènes physi-
ques et chimiques dans l'orga-nisme. III, )' Fonctions des
nerfs rachidiens et des racinesrachidiennes, distinction des nerfs
moteurs et sensitifs.])!, 20; IV,
34;!X,t3,)54;X,23!);XV,408.
Professeur de médecine au
Collège de France. III, 21 XIV, 29.
Sensibilité récurrente ou en re-
tour. III, 24 VH. 3-!0; XI, aU.
Bibliographie. III, 3).–Expé-riences sur rotfaction.V,226.–
Expérience sur l'élimination du
phosphore. XI, 78. Expériencessur la rétine. XI, 196. Expérien-
ces sur l'absorption. XI, 285. Re-
cherches sur le choléra. XII, 325.
Considère la circulation comme
suivant les lois de l'hydraulique.
XIII, 224. Ne saigne pas dans
la pneumonie. XIV, 225. Veine
porte. XIV. 26' Mouvements
de rotation produits par ta piqûredes pédoncules du cervelet. XV,
45. Expériences sur les lym-
phatiques. XV, 335.
MAGKUS. Analyse des gaz du sang.
XII, 489 XUf, 23 XVII, 156.
Sang artériel et sang veineux. XV,
461.
MAINTIEN de la vie. XVI, 383.
MAtTREetétève.XVnf,95.
MAITRISER son cœur. XVIII, 365.
TARLE ALPHABËTtQUË ET ANALYTIQUE2)2
Mit. jouer aucun rA!f. XI, 4~.
Résultant d'un développement im
parfait. X!, 5!. !tMuttM)t d'une
évolution pervertie, produites pat
une (M\'i:ttioti du type normal.
XI, M. Se rattachant au dé-
faut tl'évolution normate. XI, 52.
La nature n'est pas toujours
capable de les guérir. Xf, 70.
Influence du système nerveux sur
ieurs symptômes généraux. XI,
!?. Cousidcrëos coninte la con-
sÉquencc de lésions mat<h'ieUM.
XI, 100. SoHt-c))es la cauM ou
t'efTot d'atteratioas morbides ? XI,
101. Comment elles produisent
la mort. XI, 112. Action du
médecin. XI, U7. L'anatomie
pathofogiquc ne suffit pas it oxpfi'
quertoutes les modifications mor-
bides. XI, 119. Il faut tes pro-
duire artificiellement pour en bienétudier le mécanisme. XI, 128,
324, 497. Leur action modifie
nos tissus d'une manière gra-
duelle au lieu de les désorganiser
brusquement. XI, !62. Dir-
férences individuelles. XI, 2'M).
Mouvements réflexes. XI, 3.')(!.
La. pathologie a pour objet
leur connaissance ot celle dH'i
conditions qui les déterminent.
XI, 408. Part de l'art et de ta
nature dans la guérison. XI, 424.
Leurs causes résident dans les
éléments anatomiques. XI, 5?7.
Elles sont d'autant plus nom-
breuses que i'orgMMSM est plus
perfectionne et les fonctions plus
complexes. XII, MT XV, 9S.
Leur curation. XV, 9. Elles se
ramènent à undéterminiMie com-
plexe. XVIII, 72. Voy. Causes
des maladies, Curation des ma-
~t'M, Déterminime des mala-
diés, Physitilogie des maladies.
MALADIES AlGUES. Leur influence
sur l'état diabétique. t8'
CES AMMAUX comparées à ca)-
les de l'homme. Xl, 44.
ARTtFtCtEHES. VIII, 200
XV, 28.
MAt, DES BAM.OKS XV)t, )9:
MAL MES MONTAGNES. XVII, t9:
MALAH!E XI, :)24 XVII, v.. _o.
Elle chango t'ctat anatomiquc et
physiotogifjuc des organes. i, 1M.
Influence do cet état sur l'as-
phyxie. Ht, )n, t20.– Elle n'M<
pas un symptôme isolé, mais une
série de xymptûmes. Xt, 17.
Produite dans le corps vivant
par les agents chimiques. XI, 33.
Les forces physiologiques cou-
tinuent (!'ag!r. XI, (M.–Ce mot ne
doit s'appliquer qu'à une affection
générate. XI, 9). Ses effets res-
scmb)et)t à ceux des poisons sous
tous les rapports. XI, <M, 122,
tM. Considérations générales
su)' sa nature. Xt, t26.– tnsufti-
s~nce des principales dÈOaition!)
adoptées jusqu'ici. XI, tM. --C'est
un mot sous lequel nousrémuMOM
un ca.sembto de ph6nom6nes con-
comitanM ou successifs. XI, 533.
Connue experimentatement.
Xt, 577. Elle n'est pas un mode
di<Mraut MsentieHcmaat de la
santé. XIII, :?!. Elle cot'ret.-
pond il une fonction normale cor-
rospoodaate, dont elle n'est
qu'une expression troublée, exa-
gérée, amoindrie ou <mnutee. XIV,
M:. Elle est constituée par le
dérangement survenu dans un
mécanisme fonctionnel normat,
par une perturbation vitale. XIV,
;iM XVH), 3M. Elle est un
des caractères de ia vie. Xv't, 34.
BE BtUHHT. VII, 140.
MAiLADtES. Font-elles duipaMitro
le sucre. I, 93, 135, 368, 372.
Leur influence sur la sécrétion du
sucre? I, ia&. A)t6ratioM du
sang. VI, 'i'!6. Leur classifica-
tion. Vf! <95. Localisations
anatomiques. VIII, <96. Parti-
cuiieres & chaque espèce animale 1
et non transmissibles aux espèces
voisines. XI, f!. Qui résultent
du développement pathologique
des cellules. XI, 44. Dans les-
quelles le système nerveux ne pa-
DES ŒUVRES DE CLAUDE BEHNAHD. 2)3
54. Ses variétés. XVt, )9C. !i8.
Ses diverses. XVf. MS8.
Elle résulte d'un connit entre
d~m facteurs. la substance orefa-
nisée vivante et le milieu. XVII,
L'usure mo]écu)aire est en pro-
portion de son intensité. XVIII, t88.
MANIFESTÉE (Vm). \oy. t'ie mani-
festée.
MAMXtTE. XYU, M.
MANOMETRE à air libre de Poi-
seuille. Vt. t6.'). Différentiel.
XUt, 94t. Dans l'artère carotide
du chien. XVt![. 35t.(.
MARMOTTES, fonction glycogéni-
que. t, 140. Leur consommation
d o\ygcne rëtat de sommeil hi-
berna) et à t'ëtM de veille. III, tt3,
Exp. do Regnault et Reiset.
Xt!, 328. Moyen de les saisir et
de les maintenir. XV, UO. Vie
oscillante. XV!. HO.
MAKirK. Asphyxie par le charbon.
XU, 332.
MASSE tKTEKMERtAtMK entre
les ffuiiiets du blastoderme. XVI,
319.
PROTOt'iLASMtQUE XV[, t8S.
MASSETKRtiSE (GLANDE). Voy.
R/fïM~c m<?M~Mr:~e.
MAST)CAT)OK. XVII, 253. !n-
fluence de la salive parotidienue.
U, 48. Effet de ta paratysie des
joues et des tevre*). V, 38. Ré-
sultats de la gafvaaiMtion du grand
sympathique. XV, 519. Rap-
ports avec la salive. XVII, 284.
MATÉKtAUSME IX, M7 X, ~7
XVI, 49, 41; XVUr, t5!. En
physiologie, il ne conduit à rien
et n'explique rien. XVIII, 36L
Voy. Doc<MM matérialistes.
MATERIALISTES. HI,4
MATÉRIALITÉ des phénomènes.
XV. 55.
MATEMAM ÉTRANGERS, avant
d'être utilisés pour la nutrition.
ils passent par deux états, l'état
d'aliment digéré, l'état de réserve.
XVII, t34.
KUTMTtFS, réserves dans la vie
latente, XVt,102. Leur emmaga-
9<A)LADtES COKTACtEUSES Les
1animaux qui sont le plus exposés
sont les moins sensibles aux poi-
sons nevrosthéniqnps. XI, M.
ESSENTIELLES Vttf, t!)7 XI,
127. Comment on peut en ad-
mettre i'existence sans blesser )cs
principes de la science. XI, !9'?.
GENERALES. Leur relation avec
tes lésions locales. XI, tf).
CE L'HOMMt' compaMM aux
maladies des animaux, paraH~tc.
X[,44.
LOCAtLES. Leurs effets généraux.
X), !?.
PARAStTAtttES. Voy. 7'at'a.n-
~M.
VtMLENTES. XIV, 84. Les
animaux qui y sont. le plus expo-
sés sont les moins sensibles aux
poisons nëvrosth~niques. Xf, M.
MALFORMATIONS. XVt, 33.
MALIQUE (ActDEi.XV), 3:)2.
MALTOSE. XVII, 2'!9.
MAMMAtRR~GLANnE). Vny. C~?tde
MantmaH'c.
–(SÉc<tÉ'rM!f;. Son mécanisme. \'n.233.
MAMMUFERES. Les éléments ana-
tomiques sécréteurs de la bile et
ceux du sucre sont confondus et
mëfangés. t, )05. Leur hile
n'est pas sucrée. LU!. Em-
poisonnement par le curare. XI,
t38. Propriétés du tissu muscu-
laire. XI, 23~. Développement.
XVI, 326. Glycogénèse pendant
la vie embryonnaire. XVII, 57.
Voy. CEM/' de matHn!t/~re.
BtAPfDMAGOttE employée comme
anesthésique. Xt[, 36.
MANÈGE. Voy. J)~OMteM<~t<~ de ma-
n~e.
MAKtE aiguë. XI. 29.
MANtFESTATtOK D'UN PHEKO
MÈNE, double condition t" un
corps, 2° un milieu. X, 5.
FHYStCO CHtMtQUE, e!!e ne
change pas dénature, selon qu'elle
appartient à l'état de santé ou de
matadie. XIII, 394.
VITALE. Son déterminisme. XVI,
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE2)4
MATtÈBEGLYCOGÈKE. Voy. G~
cogène.INERTE. Les agents qui excitent
ses propriétés exercent aussi leurs
influences sur les propriétés de la
matière organique. XVUL 121.
ORGANISÉE, les procédés orga-
niques qui lui sont inhérents sont
étudicsparfcphysioiogiste.JX,
136. Ses mécanismes et ses
propriétés sont exprimés par les
phénomènes vitaux. IX, 224. La
physiologie génerato en étudie tes
propriétés. XVIII, US. Le phy-
siologiste agit sur ses propriétés.XVHI, 12t.
SAUVAUME Voy. Sa/:fO!M (Ma-
tière).
SUCBEE. Voy. Sucrée (Mati&re).
VERTE. Sos cellules. JX, 95.
VIVANTE, Elle ne peut pas être
créée. !X, m.– Sa spontaneite.jtX,
134. C'est de ses propriétés que
résultent, à l'état de santé comme
à rotât de maladie, les phénomènes
présentés par les êtres vivants.
XI, 126. Ses conditions d'activité.
XI, 490. D'après Pfluger, le cya-
nogène est son origine. XVI, 222.
MATtÈRES ALBUMINOIDES. Voy.
Albuminoïdes (Matières).
AZOTÉES. Voy. Azotées (Ma-
tières).
COLLAGÈNES. Voy. Collagènes
(Matières).
FÉCULENTES. Voy. fc'CM/f~M
(Matières).
GRASSES. Voy. Grasses (Ma-
tières).
HYDROCARBONÉES. Voy. Hy-
drocarbondes (Matières).MtNERALES. Voy. Minérales
(Matières).
ORGANIQUES. Leur solubilité et
leur insolubiUte. JH, 65. Spé-
ciales aux sécrétions. VI, 462.
Matières organiques, mais non or-
ganisées. dans l'être vivant. X, 6!.
PROTÉIQUES Voy. Protéiques
(Matières).
PtJTRU)ES. Voy. Putrides (Ma-
tières).
sinementetteur consommation.
¡
XVII, 140. Voy. liéserves de nîaté-riau.~ »ats°iti/s~nM.K ))M<t'!<</t.
MATERtAUX ORGANIQUES du
sang. Vf, tM.
MATHEMATtQUES appliquées Ma
biologie. VIII, 226. Voy. ~M/Me
~<!M~m<!<!<yMf, !ft<M~M<
~~Mf.
MATIÈRE, elle n'a pas de sponta-
néité, pas ptus dans les corps vi-vants que dans les corps bruts,elle est inerte par elle-même. VIII.
1:32 X, 24 XI, 509. Son cir-
culus. IX,!)3.–EHe n'engendre
pas les phéuomÈnos qu'elle msn!-
festc.tX, no; XVJI,399;XVm.
133. Elle est de trois ordres
dans t'être vivant: ]'' MatiÈres
minëraies 2" Matières organiquesmais non organisées; 3'Èiements
organiques. X, 61. La science
expérimentale a pour objet do dé-
terminer les conditions de ses ma-
nifestations phénoménales. XI,
489. Sa nature nous échappe,nous ne pouvons étudier que ses
propriétés.X!,529. -Les manifes-
tation de la vie n'en sont pasJ'oeuvre. XVI, 52. Il faut la dis-
tinguer de la forme chez t'être vi-
vant. XVI, 292, 352. C'est sur
elle et par elle seule que l'action
est possibte. XVII, 399. Sonactivité. XVII, 432. Rien ne se
perd, ni ne se crée. XVIII, 75.
Voy. Activité de la waf~re, Pro-
t" t~M< de la matière, Spontanéité
de la matière.
AMORPHE. C'est en elle querA-side la vie non définie. XVI, 292.
AHyLACEE. Voy. Amylacée (Ma-
tiore).).
AMYLOtOE. Voy. ~y/oM<- (Ma-
tière).
BRUTE. Elle ne peut pas être
créée. IX, !H. Voy. Matière.
–CHYLEUSE. Voy. Chyleuse (Ma-
tière).
CONTRACTILE. Voy. Con<t'ac-
tile (matière).
ÉIWLSIVE du foie. XIV, 302, 311.
DES ŒUVRES DE CLAUDE BER'<AH[). 2)S
MATIÈRES SACCHAROtDES Voy
SoeeAttrof~e~ (Matières). IILSALINES. Voy. Sa/:):M ~Ma-
tières)
1
MATTEHCC: Expériences. IV, 2i3.
MAXtLLAJ&E Voy. BroMe~e ma.i":<-
laire, Glande ~ia.Et~atrc, A'ery
maxillaire.
MATTEU classe les éléments des
tissus et crée l'histologie. XVI,
t84.
MECAMCtSME. XVt, -{9. Con-
ception de la vie. XVII, 428.
MÉCANIQUE (FoME). Voy. Force
mécanique.
MECANtQUES (!RB!TA'<Ts). Voy.
/rrt[a7t<~ mécaniques,
(PHÈHOMÈKES'). Voy. P~~MOtnëMM
meMnt~MM.
MÉCANISMES FONCTIONNELS.Ils sont distincts des propriétés
vitales. XVII, n3.
RESPHtATOtRES, teurs vanet~s,
et unité du but. XVU, HS.
Troubles auxquels ils sout expo-
sés. XVII, )82, 192.
VtTAUX, en tant que mëca-
nismes, ils ne diffèrent pas au fond
des mécanismes non vitaux. IX,
m XVIII, t2G. Leurs poisons.
XVII, 183. Empoisonnés par
l'oxyde de carbone. XVII, 183.
La physiologie générale en expli-
que les procédés. XVin, 118.
MEDECIN, selon quelques prati-
ciens, c'est un artiste et non un
savant. VIII, ~56. Utilité pour
lui de la physiologie. Xl, 9.
Il doit bien connattre l'action des
médicaments. XI, 71. Sou ac-
tion sur les maladies. XI, 117.
Ses dissidences avec le physiolo-
giste. XI, 322, 328. Son rôle si
la médecine était une science d'ob-
servation pure. XI, 420. Il est
forcé d'agir. XI, 422. Peut-il
bien prétendre qu'il guérit son
malade. XI, 438. Comparé au
physiologiste. XIV, 52. Voy. In-
tuition médicale, Tact médical.
EMPIRIQUE au lit du malade.
VIH, 361, 36'
MEMCtK EXFEMtME;fTATËUR
Vni,364.) doit chercher con-
stituer la science mcdicaie sur les
<nemes principes que toute autrescience Mpérimentate. Vit!, 366.
Comment il devra se comporterau ht du malade. VIII, 386. Son
laboratoire. XI, 413. Il ne doit
pasnég)i~er)actinique.X!,572.
Voy. R<'p~)'tm<'M<a<!OM médicale.
HtPPOCRATtSTE au lit du ma-
lade, VIII, 366.
PttATtCtEX, son rùtc dans la
société. VIII, 360; XI, -98 Ses
devoirs envers les malades. XI,
4) t. Doit concourir ta consti-
tution de la médecine expérimen-
ta)e.Xt,4U.
SAVANT et médecin systémati-
que. VIII, 361.
MÉDECtKE. Applications de la phy-
sioiogio. I, 29. Son problème.VIII, 5. Doit-elle demeurer une
science d'observation ou devenirune science expérimentale'? VDt.
34, 344; XVIII, 60. Selon quel-
ques praticiens, elle n'est pas une
science. VIII, 334. Elle n'est
pas destinée à devenir une science,
mais un art. V! 356 XI, 3, 43'
455 XIV, 36 XV, 8. Elle a sa
base scientifique dans la physio-
logie. VIII, 346. Qu'est-ce que
iamedecine?XI,2.–Nécessite de
connaitre les autres sciences pour
l'étudier. Xt, tt.–Apphcationsdes
vues générâtes sur le système ner-
veux. XI, 3)2. Son histoire. XI,
3ta, 397. Elle est une science,
mais non encore développée. XI,397,46t. Ses trois offices
d'après Bacon. XI, 407. Ou art
de guérir. XI, 4(n. Elle n'est
considérée souvent que comme une
industrie. Xl, 410. Elle est
une science d'expérimentation.
XI, 418. Il faut distinguer un
état antiscientinque ou empirique,
un état de science d'observation,
un état de science expérimentale.
XI, 425, 457, 566, 578. Elle est
en retard sur les autres sciences,
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE2i6
parce qu'elle est plus complexe.
XI, 426. Ce qu'elle est aujour-
d'hui, et ce qu'elle sera dans l'a-
venir. XI, 482. Elle n'est con-sidérée souvent que comme un
métier. XI, 45&. Elle est une
demi-science, ou une science con-
jecturale. XI, 455 XIV, 37 XVIII,
t8t. Son but est le traitement
et la guérison des maladies. XI,
459. Ses rapports avec la phy-siologie. XIV, Si), 51. Son union
actuelle avec la physiologie expé-
rimentale. XV, 58. C'est une
science appliquée. XV, t ). C'est
une science qui apprend a eon-
naltre les phénomènes do la vie,
normaux et anormaux, et les modi-
ncations qu'ils subissent de la partde divers agents. XV, 22. Voy.~r< médical, CoMp <<'a' eu M~e-
cine, Pt'a<)~Me médicale, Sciencesmédicales, Statistique médicale,
Systèmes médicaux, T/t~Wte~ m~-
dicales.
MÉDECINE ACTIVE. Elle doit avoir
pour base la physiologie. XI, 316,
468. Comparée & la médecine
etpectante.X!,42).
CLINIQUE. Elle n'est pas exclue
par la médecine expcrimentaie.VIII, 257. Elle doit avoir la pre-mière place dans la médecine
expérimentale. VUJ, 350. Voy. Cli-
nique médicale.
CONJECTURALE. Elle doit né-
cessairement précéder la méde-cins cefiMse, qui Mt la médecine
experimentate. Vnt, 3'!4.
Em'tR!QUE. XIV, 83. Elle
n'est pas incompatible avec la
médecine expérimentale elles
doivent être au contraire insépa-
raMes l'une de l'autre. YHt,
359.
EXPECTANTE. VIII, 345.
Comparée à la médecine agis-
MBte.XI,42).
EXPÉRIMENTALE. I. 31 VIII,
171, 199; XI, 996, 418, 454, 530,
56t XIV, 83 XV, 101 XVII,
vt.–Ette comprend la pliysiolo-
gie experimontaio, la pathologieexpcrimcntata et la
thérapeutique
eupérimentaie; elle étudie tes
phénomène!! physiologiques, pa-
tho)ogiqaes et thérapeutiques.VtH. 6; XI, 417, 497. Moyensnécessaires à son étude. VHt, 247.
Elle n'exclut pas la médecine
clinique. VIII, 257; XIV, 42.
Critique appliquée. VU!, 3;)3.
Obstacles philosophiques qu'ellerencontre. VIII, 343. Elle dif-
fère dam son but de la médecine
d'observation. VIII, 344. EHe
se sert (te l'observation et de l'em-
pirisme commepoint d'appui né-
ceMaire. VIII, 341. Son devo-loppement trouve un obstacle dans
l'ignorance scientifique et dans
les illusions de l'esprit médical.
vni, 35t. Elie n'est pas incom-
patible avec la médecine empiri-
que elles doivent être au con-
traire inséparables l'une de l'autre.
V! 350. Ce n'est point une
théorie médicale nouvelle. VIII,
363. Elle n'est que l'épanouis-soment naturel do l'investigationmédicale pratique, dirigée par un
esprit scientifique. V!H, 372.
Elle comprend le problème médi-
cal dans son ensemble et renferme
la médecine théorique et la méde-
cine pratique. Vm, 379. Elle
ne répond et ne se rattache &
aucune doctrine médica)e, ni à
aucun système philosophique. VIIJ,
SM, 3M. EUe est antisyatéma-
tique et antidoctrinate. VIH, 3M-
Son avenir. XI, 408. Son
dévetoppoment sera long. XI, 409.
Le médecin praticien doit con-
courir à sa constitution. XI, 4tl.
Elle est la médecine active qui
modiSo l'organisme. XI, 425, 430.
Moyens de ta développer. XI,
425. Son domaine et son
champ d'action. XI, 434. Elle
fait la physiologie des maladies.
XI, 457, 460. Elle correspond à
la thérapeutique. XI, 458. ?f'ap-
plique la physiologie h i'iuterpro-
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARO. 217
talion des maladies que là où les
faits le permettent. Xt,46a.– Doit
se lancer dans la voie de l'expéri-
mentation. XI, 468. Elle a pour
objet d'analyser les phénomènes
de la vie. XI, 502. Et de repro-
duire les conditions qui les modi-
fient. XI, 502. Ne peut pas être
fondée si la physiologie n'est pas
constituée. XI, 56' C'est un
édifice toujours en voie de cons-
truction. XI, .'<8t. Son objet.
XIII, 8. Principes qui doivent
dominer dans son étude. XIII,
3!)2. Part qui, dans son histoire,
revient au Collège do France. X)V,
39. Elle n'est pas un système
nouveau de médecine, mais la né~-
tjon de tous les systèmes. XVtf[,83.
MÉDECINE H<P''OC)&ATtQUE Xl,
434.
LÉGALE. Applications médico-
légales de rexamea spectrométri-
quo du sang. XII, 433.
MODERNE. Elle doit envisager
le milieu intérieur. XUt, 7.
D"OBSEttVATtO?f. XI, 418, 454;
XIII, Elle diffère dans son
but de la médecine expérimentate.
Vin, 344. Elle fait l'histoirc
naturelle des maladies. XI, 45'
Elle a pour objet le pronostic,
le diagnostic et la nosologie. XI,
458.
t'HVStOLOCtQUE do Broussais.
XI, 464, 483, a69 XtY, 40.
PRATIQUE. XI, 397. Elle
peut et doit acquérir !s môme
degré de certitude que les autres
sciences. XIV, 36. Comparée à
la médecine théorique. XV, f!.
FROFESStOKKELLE. XV, 16.
SCtE?fT!)FtQUE. XIII, 3; XV,
16. Résulte d'une union intime
de la physiologie et de la clinique
Xi, 21. Son évolution et son
état actuel. XI, 560. Ses condi-
tions; XIV, 33.
THÉORIQUE comparée à la mé-
decine pratique. XV, n.
DES URINES. VU, XIV, 90.
MËDtASTtKE (CAVtTÈ). XV, 2'!C.
HEDtATjE~nS PLASTIQUES. XVII,
4)5,425;X\U),!63.
MEuiCAS:E*:TS énergiques, leurin-
fluente sur les symptômes du dia-
bète. L44G.–Leur dennition.
III, 3'i XI, '!). Compares aux
poisons c'est tout un la dose
seu)o!esdi)ïé)-snci< Ht, 53; XL':),
430 XfL 442. Leur action gé-
néra)e.ULG1;XL8(,225,29a.
Théorie de leur action. !tL'?0,
81, 102. Leurs oppositions. !!),
102 X! 2n.–Leur dosage.H),
334. Leur passage dans le lait.
VU, 2M. Leur action n'est pasla même dans t'état de sanh-
et dans l'état de maladie. XI, M.
Leur différence d'action ex-
pliquée par le système nerveux.
XI, 28. Différence avec les
aliments. XI, '!t. Ce sont des
substancea étrangères recono-
mie et parcoBséqueutdes poisons.XI, 72. Leurs effets généraux.
XI, 8(. -Ils doivent être considè-
rés comme des phénomènes phy-
siologiques. XI, 82. Euvisagés
comme des agents physio)ogiques
d'une nature partientière. XI, 83.
–Lesacgeaest)evc))icu)e.X),
83. Généralisation de leurs ef-
fets. XI, 83. Ils n'agissent passur les organes, mais sur !es cte-
ments de tissus d'une manière en-
tièrement physiologique. XI, 83,
87, 49C; X!L 382. Leurs effets
généraux sont en rapport avec l'ac-
tivité des vaisseaux et des nert~.
XI, 90. Ua agissent avec plus
d'intensité sur los nerfs coupés. XI,
208, 214. Leur aMnite eieoivf
sur les organes maiades. XI, 2!f!.
Leur action sur le système
nerveux semble au premier abord
en augmenter les propriétés. XI,
224. Leur absorption. XI, 442
xn, 280, 294. Injections. XI,
443. Mode d'administration et
conditions d'action. XIt, 84.
Leur association. X)L2~t. Leur
élimination. X! 294. Distincts
retirés de ta môme plante. XiJ,
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUES)8
518. Leur action ne s'exerce
1
pas dans J'estomac, mais dans !<'
milieu intMorgauique. XVIII', t8.
Ils ne sont actifs que parcequ'ils pénètrent daus le sang.
tVU[,)M.
MÉDICAMENTEUSES (AcTtOXS). Itf,
53; XI, '!3, 81, 225. Leur locali-
sation.111, 56. Din'erencos exp)i
quées par des modiHcations de
l'absorption. XI, 28. Le médecin
doit bien les connaltre. XI, '!i.
Ne peuvent pas s'expliquer par les
propriétés eMtusivemeat chimi-
ques des médicaments. XI, 76.
Expliquées par l'endosmose. XI,
Comparées aux actions toxi-
oues. XV, 296. EUes ne sont au
fond que des empoisonnements
iucomptcts. XV!3)3.
(SuBSTAN'CEs\ ït!, 38. Variétôs
de leur action. I!t, 53. Voy. jtMt-
Mmeoh.
MÉDICAMENTEUX (AGENTS). Leursvariétés, tiï, 53. introduits
dans l'économie, ils dirigent habi-
tueXement leur action plus spécia-lamant sur les organes malades.
XI, 215.
(EFFETS). Leurs théories. Ht, M.
Théories physiques. )tt, 69.
Théories chimiques, lit, 8C.
Théories vitates.tH.t02.
MÉDICATIONS actives. Xt, CO.
Rationnelles. XI, SM.
MEMCATRtCE (FoRCR).Y!tl, 36:XI, 6t. C'est une force physio-~gique.X',64.
MEOUt.t.AtKjE (TmE). XVJ, 322.
MÉDUSAIRES. XVH, M7.
MELE~tTOSE. XVtt, M, 279.
MEUTOSE. XV)t, 34, ST).
MËUTtJKtE. XtV, 64.
MEMBRANE. IX, 69. Cellules
vibratiles réunies en membrane.
X, 127.
MUQUEUSE. Voy..MM~t-MM
(Membranes).
SÉREUSE. Voy. S~'pMMï (Mem-
branes).VIBRATILE chez les vertèbres.
X, 128. Principaux organes
dans lesquels on la trouve 'voies
respiratoires, caaa) digestif, orga-
nes génitaux mates et femel-
les, etc.). X, 120.
t!TEt.L!NE. JX, )07 XVII, M4.
Ses vaisseaux dans )e foetus
d'un poulet. XVII, 9;}.
MEMBRES paralysés, les mouve-
ments apparaissent au moment de
la mort parhtmorrhagif'. Vt, 'i(M.
Leur reproduction. IX, 101.
Leur ligature. XV, t Ki.
POS'rERtEtJMS.Mouvemcutfide-
terminés par la ligature du sym-
pathique dans le ventro. IV, 3~0.
Pai'aiysês par ta section de la
moelle épinière. VII, nï.– Voy.Ntf't f~M membre posM't'eM' ~t-
nes ~M membre pot~rfeMr.
MÉMOtBE. Elle est annihilée par
l'anesthésie. XII, 53.
MKNtKGO-CASTK!Q)UE (FIÈVRE).
Voy. Fièvre Mt~tn~o-g'<?~Kf.
~tEPHfTtSME. Voy. ~M' M~/t~
que.
MERCURE. Son action toxique, III,
6' Excitation métallique des
nerfs. IV, 303. Passage dans le
lait. VII, 241. tajections dans le
sang. VII, ~66. Il est le poison
de la tnatièra végétale verte. IX,
207. Voy. Cy<!tt«r<t/f m<rct<r<.
MERGET. Phénomène de thermo-
diffusion. XVII, 236.
MÉROBLASTtQUE (OEu?). Voy.OEM/' m~)'0&<<<t~M<.
MESEKTERtQUES (GANGLIONS). Voy.Gangliom M~et!<~r!OMe.
MESOBLASTE. XVI, 3)9.
MÉTALLIQUES (PotsoKs). Voy.
Poisons M~a~ff.
(SBLs). Voy. Sets tn~a//t'~K~.
METAPEPTOKE. XVII, 301.
METAPHORES, qui répondent à des
réalités physiologiques. XVIII,
362.
METAUX. Leur action sur t'econo-
mie. Mt, 90. -Du sang. XIJ, 3).
METHODES, leur rôle dans les
sciences. f, M9. Il ne faut pas
les confondre avec les théories.
YIU, 383.
DES ŒUYHES DE CLAUDE BER~ARO. 2<9
METMOCE ANALYTIQUE. Xt, 126.
COMt'ARATtVE XVII, 4t./j.
OEDUCTtVE VUf, 78.
ESDERMtQUE XV, 208. 326.
EPMtERMtQUE XV, 207.
EXPÉMMEKTALE 1!, Avant-
propos et leçon IV, ), 6 VI, t
& 27,36 IX, <i, 227 XI, 40). &05
XV, 4, 25; XVIII, 37, 4M. Rôle
de Magendie. Ht. 9 XV, 60, 6.
C'est un raisonnement à l'aide
duquel nous soumettons nos idées
à J'expérience des faits. VttI, 7.
Ses caractères, VIII, 71, 384 XI,
401. Applications à i'etude des
phénomènes de la vie. VIII, 265.
Etio repose sur la vérification
expérimentale d'une hypothèse
scientifique. VHt, 384. Son im-
portance eu physioiogie et en pa-
thologie. X!, 126. Elle a pour
base l'expérimentation, XI, 4 )6.
Appliquée aux corps vivants, elle
n'est pas différente de celle qui
s'applique à l'étude des corps
bruts. XI, 475, &63. Elle se pro-
pose de remonter à la cause pro-
chaine et de trouver le détermi-nisme des phénomènes. XI, 478;
XVIII, 78. Il faut toujours partir
des faits. XI, 480. Elle doit em-
ployer à la fois les faits et le rai-sonnement. XI, 487. Appliquée
en particulier à i'etude du sang.
XII, t. Elle a pour but de trou-
ver l'harmonie entre la raison pure
et les faits du monde extérieur.
XIII, 210. Elle a son criterium
dans l'expérience. XVtH, 78.
GRAPMtQtJE. XV, 53.
INDUCTIVE. Vt! 78.
D'tNVESTtGATMK dans tes re-
cherches de médecine expérimen-
tale. XI, 445. La même, pour les
sciences des corps vivants et pourcelles des corps bruts. XI, 56t.
Expérimentée, il faut la perfec-
tionner. XI, 582.
NUMERtQUE. XV, 48.
A POSTEMOM. t, 292; VIII,48.
A PRIORI. 289 VIII, 48.
MÉTHODE THEHMO ELECTRt
QUE. XV 464.
SYNTHÉTtQt;E. XI, 126.
MÉTHYLE. Voy. ~<-y~<<' de ;)!C-
thyle.
M!ASNES III, 50, 95.
MtCROCOSME. VU!, 34; IX, 135;
XV!403;XVIU, 60, 117.
MICROSCOPE. XV, 230; XVI, !8:
Voy. ~Ma/OMit'Mttcroscopt~MC, Pa-
M')/oytc microscopique, t';t'MM-
tions M:c''<MCOpt<yMM.
MILIEU AMBtANT. Sa richesse
en oxygène n'est pas ta seule con-
dition nécessaire à l'entretien de
)a vie. UI, 134.
CHAUD et sec, comparé, au point
de vue de la différence d'action.
avec un milieu chaud et humide.
XIII, 34t. Historique et critique
des expériences antérieures. XUi,
342.
CONFINÉ. III, 213. Respira-
tion. III, 115, i90. Moineau
placé dans ce milieu. III, ]2~.
Influence de l'acide carbonique
sur ia mort. III, 132. Les ani-
maux meurent tout autant par la
présence de l'acide carbonique que
par la défaut d'oxygène. tU, tS4.
Rendu mortel par la vapeur de
charbon. H!, 158. Absorptionde l'air par respiration. U!, 203.
L'animal qui y respire fait di-
minuer l'air. III, 2M. Vicié par
la respiration, il diminue de vo-
lume. Ut, 205. Courbes de la
respiration. III, 217. Voy. ~K' con-
/iK~, ~t~iO~pAcre confinée, /i~pt-ratton dans un milieu co?!t<.
COSMIQUE. Voy.t~M exté-
?MM'
ÉCHAUFFÉ. Mécanisme de la
mort lorsque les animaux y sont
placés. X, 231.
EXTERtEUH, COSMIQUE ou
EXTRAORGANIQUE. IX, 41, 96,
182; XI, 435, 495; XtH,XV,M7,
242; XVII, 3; XVIII, 45, 4t.
Équilibre do l'organisme avec lui.
III, t26. Sa composition chimi-
que. VHI, 109, !28, 2t0. Qui
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE220
XVI, t)5. Conditions extrinsè-
ques générales qu'il doit remplir.
XVft, 3. C'est en lui que le mé-
dicament exerce son action. XVIII.
48. \'oy. Air </M ntt~'M, r~Mp~ro-
<«~ f/M milieu o~aMt~Uf.
MtHKU tNTMAONGAKtQUE Voy.
Aft/«'M intérieur.
MACtK)Ct)SM!Qt!M et MtCRO
cosMtQUE. vm, 170.
ORHANtQUE. Voy..Vt~eM !7)~-
RESP!RAMLE,limite de l'oxy-
gcne. fn, 120.
VtCtK, inftuencs de t'habitudo
sur !a toi~rance de ce milieu. III,
121.
–VtTAtt.S~ constitution chimique,
condition intrinsèqua des phouo-
mènes vitaux. XVII, te.
MILIEUX. XVI, M7. Ils sont da
deux ordres )" milieux cosmi-
ques on extérieurs 3" milieux or-
ganiques ou intérieurs. X, .M.
La médecine antique en avait
compris l'influence. XI, 43a.
ARTtUCtELS XVII, 17.
–tNTtMES. VIII, )()8.
M!NEKALK8 (AcTtONs). Il n'y a pas
opposition ou incompatibilité en-
tre elles et !es fonctions vitales,
mais parallélisme et retation di-
recte et nécessaire. XVIII, 44.
(FoMfEs). XVI, ?8S.
~MATtÈBES OU SUMSTAXCES). XVII,
98). Leur passage daaK les uri-
nes. V)t, 148. -Dans !'etre vivant.
X. 6t.
(ScrENCM). Voy. Sciences minéra-
~M.
MtKEKAUX. Action des ferments
solubles. XVI, t60.
MtNEKAUX (ALMENTS). Voy. Ali-
ments M:H~'aM.E
(SsM). Voy. Sels mt~c~M~.
MtRBEL. Tissu cellulaire. XVI, 184.
MtTMa!BATtSME IX, 178.
MtTSCHEMt.tCH. Putréfaction. XVI,
176.
MODALITÉ vitale. XVU, 514.
MODÉRATEURS (NERFS). Voy. JVer/t
modérateurs.
entoure les êtres vivants. X, 3'
[j'cau comme milieu pour les
f~trf's vivants. X, 46.–Sonin-
f!uenc<! sur le milieu intérieur.
\\f, )<M. –Sonindépecdancevis-
h-vis du milieu intérieur, chez les
animaux à vie constante. XVI, tt9.
MtHEtJ EXTHAMMGAN!QUE Voy.
W<7teM M:M)'.
ÎNTtSKtEUR ou tNTRAORGA-
KtQtOE. VI!t. )08; tX, 4), M, 96,
i8!; Xt, 435, 495 XV, :<)'?, 242
XVI, t~, 360; XVII, 3; XVIII, 45,
47, 120, 2'H. Rôle général du
sang. VI, 41. Le Mngconsider&
comrun toi. Vt, 42 X, 5 i. C'est t
en )ni que se passent les pMno-
mènes physiologiques des organis-
mes supérieurs. VIII, f07. Ses
¡
conditions physico-chimiques dans
les expériences. Vt!T, MC XU!, III,
9. Sa température. IX, 42; XIII,
9. Aliments qu'il renferme. IX,
42. Il s'use et se vicia par le
fait même <!e )a vie des éléments.
IX, 43. Sa viciation par los poi-sons. IX, 47. -Les fonctions hemo-
poiétiques sont ses génératrices et
)cs conservatrices do sa composi-
tion constante. IX, 68. C'est t&
que sont créés les principes immé-
diats. tX, 94. Son atmosphère )
est viciée de la m~mo manièrepar
les animaux et les végétaux. iX,
!)(i. C'est dans ses éléments que
se passe la nutrition. IX, 98.
Son refroidissement. IX, (83. U
no faut pas !o confondre avec te
sang. XI, 440. Comme champ
d'action do la médecine expéri-
mentale. X), 434. Il faut y cher-
cher les lésions organiques. XI,
450. Vie des eiéments anatomi-
ques. XIII, S. Maence du mi-
lieu extérieur. XVI, !04. Son in-
dépendance vis-à-vis du milieu
extérieur chez tes animaux à vie
constante. XVI, n2. Sa fixité
est la condition do la vie libre, In.
dépendante. XVI, 03. Le sys-
tème nerveux est l'agent de l'équi-
libration de toutes ses conditions.
DES GEUVHES ME CLAUDE BEHKAKD. 2~t
MOELLE ALLONGÉE. Sa piqûre
exagère la sécrétion du foie. 1, 297.
(.Sa piqûre, expérience sur un ta-
pin. 3)ï. Sa piqûre. l, 32C.
Durée de i'cffct de la piqûre. I,
338. innuence de la piqûre sur
la circulation abdominale. 34!.
Centre respiratoire. IV, 392. Cen-
tre de la circulation abdominale.
IV, 392, 46.'), 4~, 483. Blessure
<te divers points. IV, 397. Cen-
tres de sécrétion. IV, 400. Sa
section a une influence directe sur
la quantité de l'urine émise. IV,
4U. Effets de son ablation. IV,
493. Avec les origines des nerfs
de la 8' paire chez le chat. V,
327.
MOELLE ÉPINIÈRE. Son rôle dans
la sécrétion glycogénique. 338.
Son inOtMnce sur la glycogénie.
t, 3'!2, 384. Action de la strychni-
ne. Ht, 387 ;)V, 44, 342. Les
racines antérieures correspondent
aux nerfs moteurs, les racines
postérieures aux nerfs sensitifs.
!V, 24 X, 238. Sensibilité ré-
currente.IV, tt0. Sa structure.
IV, t2' 329 ;XI, 186. Du Sa)mo
Salar. IV, 128. C'est d'elle que
le nerf moteur tire ses proprié-
tés. IV, 222. Son excitabilité.
IV, 249. Région cilio-spinale. IV,
320. Ses propriétés intrinsè-
ques. IV, 328; X, 30t; XI, 159,
190, )M. Organe conducteur
et organe central. IV, 328, 37C.
Ses fonctions, expériences. tV,
332; XI, 170, )82. Elle conduit
tes excitations sensitives et mo-
trices. IV, 332. Observations de
Stilling, de Van Deen. IV, 334.
Exp. de Brown-Sequard, de Lud-
wig Turck. IV, 334. –Transmission
de la sensibilité. IV, 337. C'est
par son intermédiaire que se ma-
nifeste ta votoaté. IV, 344. Quel-
ques mouvements réflexes inter-
nes ne paraissent pas obéir à une
impulsion venant de la moelle.
IV, 358. Sans son intervention,
mouvements réneMS dus au sym-
nathiqun.IV, 964. Centres
divers. IV, 37(!, SSG. fsotement
artificiel dune partie de tarnoetie.
tV,377.–Cfutre cardiaque
diabétique de la moei)e. IV, 380.
Centres circulatoires. IV, 382,
–Centre desmouvements de
flexion, d'extension. IV, 387.
Son influence comme centre sur
certains mouvements de la vie de
relation. IV, 38' Son influence
sur les actes mécaniques de la
respiration. tV, 388.– Centre
respiratoire. IV, 388. Faisceaux
respiratoires. !V,39f. Prise en
elle-même, elle est dépourvue de
sensibilité. IV, 395; V, t<!3; XI,
!!)4,t95.–Offre un centre sé-
crétoire salivaire. IV, 399.Elle propage l'influence de la
piqûre du plancher du 4* veu-
tricule. IV, 441. Son action
sur les organes splanchniques.
IV, 48t. Son influence sur
certaines circulations locales. IV,
482. Influence dos lésions sur
la circulation abdominale. IV,
482. Influence sur la pression
dans les gros vaisseaux VI,
189, 201. Origine du sym-
pathique. Vtt, 386. Ses rap-
ports avec les nerfs sensitifs. X,
297. Idées anciennes. X, 299.
Elle n'est pas la simple conti-
nuation des nerfs rachidiens. X,
301. Elle n'a ni sensibilité ni
faculté locomotrice. X, 30~.
Examen des expériences invoquées
en sens contraire. X, 304. Tra-
vaux de Jacubowitch sur sa cons-
titution. X, 307. Cellules ner-
veuses. X, 307, 333. Cellules
do sentiment et cellules de mou-
vement. X, 3)0. Commissures
des cellules sonsitives et des ce!-
lules motrices. X, 311. Trajet
des fibres. X, 3t3. Cellules du
grand sympathique. X, 315.
Organe de transmission. X, 329.
Fonctions des racines. XI, 183.
Sa sensibilité propre lui vient
des racines postérieures. XI, f87,
TA!)LE ALPHAHÉTJOtJE ET ANALYTIQUES22
!M, )95. Considéréeautrefois
1comme formée par la réunion da
toutes les fibres nerveuses conte-
nues dans les racines antérieures
et postérieures. XI, 193. Cettemanière de voir était conforme aux
idées de Charles Bett. XI, 194.
Organe distinct de l'encéphale et
des racines des nerfs rachidiens,
quoique juxtaposé. XI, !94.Elle est destinée à percevoir desvibrations nerveuses. Xf, )95.
Elle devient insensible, quand elle
est séparée des racines posté-rieures. XI, 198. Pour le dé-montrer, il faut arracher tes raci-
nes postérieures au lieu de les
couper. XI, 199. Elle est un
centre nerveux indépendant de
l'encéphale. XI, 205. Elle est le
centre d'où partent toutes les
ramifications périphériques des
nerfs. XI, S50. Préside à tous
les phénomènes consécutifs à la
section du grand sympathique.
XI, 263. Influence du cerveau
dans t'anosthésie. XII, 109. Son
influence sur les nerfs dans l'a-
nesthésio, expériences. XH, 109.
-Voy. Ce~u~'«f<aMoe</e, Raci-
nes de la nioe/
MOELLE ÉPINIÈRE (DESTRUCTION DE
t.A). Elle arrête les cacurs lympha-
tiques. IV, 386. Arrête les vais-
seaux lymphatiques et non les san-
guins. IV, 386. Expériences do
Legallois sur les effets de la des-truction totate. XI, 118.
(PIQUREDE
LA).Sa marche, mon-
trée sur une tête de lapin. I, 30t.
Elle rend les animaux diabéti-
ques, expériences. IV, 397, 4M.
(SECTIONDE
LA) au-dessus du
ronflement brachial expérience
sur des lapins. I, 383. Phéno-mènes singuliers produits sur le
foie. I, 384. Hypothèses sur
ces phénomènes, t, 385. Etat
des organes. I, 385. Hypéres-thésie consécutive. IV, 337.
Elle fait augmenter la puissance
nerveuse. IV, 376, 378; V, 12.
Section entre io plexus cervical e';
le plexus brachia).IV,3t8.–
Produit accumulation de forcenerveuse. tV, 3'!8. Diminue lacircufation. IV, 379, 482. An-ete
la sécrétion de l'urine. !V, 38t à
44);Y!f,]'!2.-Eeretssur)acir-culation abdominale. IV, 38:.
Elle n'agit pas d'une manière né-
cessaire sur les mouvements du
cœur. IV, 382. Influence sur ta
circulation et )a pression du sang.
IV, 382 VI, 180, 200. Section
de la moitié, 'exaltation de la sen-
sibilité récurrente, exp. IV, 393,
395, ~M X, 329; XI, 200. Ses
effets. IV, 441; V, t4. Elle pro-duit t'écbaun'ement des oreilles
chez le lapin. IV, 441. Ses effets
sur la matière gtycogène du foie.
IV, 444, 482. Ses effets, mou-
vements réflexes. IV, 445, 458.
Avec piqûre du quatrième vontri-
cule. IV, 458. Température
après sa section. IV, 482; Vf, 102.
-La demi-section produit d'abord
hypéresthésie, puis épilepsie. IV,
4M; XI, 20!. L'irritabilité
musculaire augmente. V, 12.
Après la section, courants électri-
ques des muscles, des nerfs ducœur, chez un lapin. V, 15.
Ses effets sur le diabète artificiel.
V, 544. Paralysie de la vessie
et des membres postérieurs, mou-
vements reparaissant avec con-traction de la vessie par la mort
par hémorrhagie. VI, 260; VII,!ï2. Sang rouge dansla veinerénale, veine porte, absorptiond'oxygène par ce sang. VI, 36t.
Effets produits par une section
compiète. XI, 202. Produit les
convulsions do l'asphyxie. XI, 2) ).
-Fait disparaltre le sucre du sanget du foie. XIV, 369.
MOELLE NERVEUSE. IV, t2t IX.
17; XVIII, 272.
MOFETTES. XII, 36t.
MOtGNON des amputés. État des
extrémités nerveuses.Xt,t9t.
MOINEAU dans un milieu connné.
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. 223
III, )20. Sujets d'expérience.
Xï,555.
MOLÉCULAIRE (RÉtiOVATioK). XV!i,
221, 484.
(Usuns). Voy. Usure moléculaire.
MOLESCttOTT Sécrétion du sucre
et de la bile dans le foie. 508.
MOLLUSQUES, ovu)ation. XVI, 308
Leur développement. XVI, SM.
Glycogène. XVII, tOT.
MONDE StUERAJ~. Sa mobi)!té et
son évolution continuelle. XVIII,
l'!t.
MOKÈRES. XVI, 189, 297.
NO~OCELLULAtRES (ËTMS). Voy.
Êtres monocellulaires.
MOKSTRUOSn'ES. IX, ]2;XY!,335.
MONTAGNES (MAL DES). Voy.
Mal des Montages.
MORAILLES. XV, 143.
MORAL. Son influence sur le phy-
sique. IX, 91; X!M, 3t3. In-
fluence du physique. X, 221.
MORALES (CAMES). Voy. Causes
morales.
(EMn'ATMNs). Voy..E.):c)<a<toMs
t7!0'<!<es.
(INFLUENCES). Elles se ramènent à
des influences physiques. X, 221.
(SCIENCES). Voy. Sciences ~ora~M.
MORBtOE ~ËTAT). Voy.a< Morose.
(PHYSIOLOGIE). Voy. Physiologie
morbide.
(PROCESSUS). Voy. ProM~~m mor-
At'/e.
(SËMB). Voy. S~'t'e morbide.
MORBIDES (ACTIONS). Leur analo-
gie avec les actions toxiques. XI,
t09, 129.
(ALTÉRATIONS). Voy. Altérations
morbides.
(CAcsEs). Voy. Causes morbides.
(ENTITÉS). Voy. Entités morbides.
(EvoLCTMNs). Voy. Evolutions mor-
bides.
(PHÉNOMÈNES) produits à volonté
en agissant sur divers points du
système nerveux, sans introduire
dans raconomie aucun principe
nouveau. XI, t3. Qu'il parait
impossible de reproduire au pre-
mier abord, et qui sont cependant
p)acés sous la dépendance du
système nerveux, et que le phy-
siologiste peut développer expé-rimentatemeut. XI, 15.
MOHB)[)KS (PKÉMsposfTMfs). Voy.P!'edt~os:t)o"s f;,o)'&tdp!.
(PntNCtpEs). Y ea a-t-il qui soient
inexplicables par !es données phy-siologiques ? XI, 16. Leurs effets
peuvent être combattus f par la
neutralisation; 2" par l'élimination.
XI, 117.
(SYMPTOMES). Voy. St/wpMmM.
MORBiftQUES (AGEXTS). XI, 3.
MOREAU (A.). Vessie natatoire des
poissons. XV, 293. Discours aux
funérailles de Claude Bernard.
XIX, 89.
MORGAGNI fait un groupement
des parties altérées. XVI, 18L
MORt'HEtQfE (SOMMEIL). XII, 508.
MORPHtKE.XH, 172, l'i5, 20t, 507.
Elle est moins toxique que l'o-
pium à doses égales. XII, 172.
Injection sous-cutanée. XII, )'!5.
Absorption par la surface des
membranes séreuses et la surface
pulmonaire. XII, n6. Excita-
bilité particulière des animaux
soumis à son action. XII, 196.
Théorie de son action. XII, 196.
Elle supprime l'action cérébraie.
XII, t96. Expériences sur tes
grenouilles. XII, 196. Théo-
rie de son action excitante. XH,
t9'Différences selon les espè-
ces, selon les variétés, selon les
individus. XII, 198. Son action
soporifique contentive. XH, t98.
Effets sur les cobayes. XH, 207.
Les oiseaux y sont peu sensi-
bles. XII, 207. Effets sur des
rats. XII, 209. Les grenouilles
lui sont réfractaires. XII, 210.Son action sur les animaux. XII,
211. Sur quel élément orga-
nique agit-elle? XII, 212. Son
action directe sur le centre ner-
veux céphalo-rachidien d'animaux
à sang chaud. XII, 213. Elle
modifie l'action cérébrale. XU, 215.
-Son influence sur la digestion.
lABt, AH'f~HË't'tQL'K KT AN.~i.YTfQUt!:M4
X)),9]'Sonm<tuoncesurtcs
actions rënexo~.xn,2)9.–EMi-
tabilité qu'elle produit. XII, 223.
Nature de l'excitabilité exagérée
qu'elle provoque. XII, 263.
Théorie de sa. combinaison avec le
chtoroforme. XII, 266. Cas dans
icsquels l'association est sans effet.
XII, 2C7. Son influence sur les
s6cr6tions. Xff, Mi. Sou ia-
Ouenco sur la digfnUon. XII, 281.
Son influence surla glande sous-
maxillaire, Xtf, 286. Son ac-
tifa sur les ganglions périphéri-
ques. xn, 28S. Toiérssce cet
alcaloïde. Xtf, 291. Expérien-
ces. XII, Mt. Accoutumance.
X)),M3.-Efrot!iderhabitude.
X)), 20.i.–Tt~oMedeiitto-
terMce. Xtf, M6. Sommeil
qu'elle produit. Xtt, 508. Moyen
de contention. XV, t50. Gom-
biMOC avec ta chloroforme comme
moyen contentir. XV, )5?, tM.
Voy. CA/o')/f/r<;<e de n<o)'/)At<tp,
C/~ot'o/brmc et Morphine.
N()hPHOt.O(.tK. Elle est distincte
do la constitution chimique des
êtres. XVt, Xi)).–De )'&t.re vi-
vant. XVf, 297. Générale. XVI,
300. Quatre procédés. XVI, 30t.
Spéciale. XV!, 309. Son
origine et sa cause. XVI, MO.
Elle dérive de l'atavisme, ds l'état
antérieur. XVI, 932. Rapports
avec la physiologie. XVI, 335.
YitsSe, e!!e doit être séparée de la
phénoménologie vitale. XVI, 342.
Voy. C~<!<t'OMMO''pAo!o~t?MC,~<'ti!
~torpAo~oy~MM, Sy~~M Mo'
p/to~Oj~Me, t~tuM morphologique.
MORS employés pour le chien.
XV, 136.
MORT. XVt, 40. A la suite da la
cessation des fonctions du foie, par
an'6tde]ag)ycogenie.J,4H.–Son
mécanisme anatomique. Ht, 283.
Causée par injection du sang vers
le cœur. VI, 504. Elle peut être
produite par des causes diverses
qui ne méritent pas toujours Jenom de maladie. IX, 9t. Elle
engendre ia vif. IX, M.–Com-
ment elle est produite par les
maladies. X), 112. L'anatomie
pathotogiquo a'e<p!iqua que ses
causes immédiates et mécaniques.
XI, Ht. Uu des premiers indi-
ces est J'augmentation do t'eMi-
tabilité du nerf après la section.
XI, 209, 2t3. C'est le contraire
de la vie. XI, 43). Il faut en
chercher la cause dans les lésions
des etementa histotogiques et des
tissus. XI, 450. Ses causes
réelles. XI, 500. Sans lésions
anatomiques. XV, 422. État
qu'on ne comprend que par oppo-sition à. la vie. XV), 28. Est un
des Mfactôt'es de la vie. XVI, 3t.
MORT PAR t/ACtOE CARBOM-
QUE. III, 140. Voy. Cs~oM~M
(Actdc).
AKATOMtQUE. III, 22' Expé-rience de Bichat. III, 228.
PAR LES ANESTHÉS!QUES. Son
mécanisme. XII, )M.
APPARENTE. Après empoison-nement par curare. III, 283.
PAR ARRÊT DU COEUR. Voyez~r)'~< </x ca:Mr.
PAR ASFHYXtE. Par la vapeurdecharboo. XII, 332.Voy.Ay;M<HES CELLULES. Elle constitue
la mort de l'organisme. XV, 307.
PAR LA CESSATION DES FOKC~
TIONS DU SANG. XII, 320.
PAR LA CHALEUR. Xf!, 3C6;
XV, 9?. Son mécanisme, toM-
f(ue les animaux sont placés dans
un milieu très ectMUfM. X, 231.
Ses causes. XUI, 335, 347. An-
ciennes expériences et théories.
X!H, 335. HecherchM moder-
nes. XIII, 836. Nouvelles ex-
nêrionces. XIII, 347. Appareil.
XtH, 347. Arrêt du cœur. XIII,
356. La rapidité do la mort dans
l'étuve humide n'est pas due uni-
quement à l'absence d'évaporation.
XIII, 357. Êtuve pour son étude,
son mécanisme. XHt, 363.
DVNAJUtQUE. Eïp. de Bichat.
!H, 228; tV, 462.
DES ŒUVRES DE CLAUDE CEH~ARD. 22:i
<.t,A~))E BERN~nn. XIX. fa5
MORT t'AH ECCttYMOSE du cœur, t
suite d'injection (te san~.iV,:)S.
ftt; LELEMENT HtSTOLUGt
QUE )X, )0) X!, 499; XII, 138.
t'AR MTRODUCTtON D'U~f
GAZ insoluble dans le système
ci)'cu)ato)rc.t,t60.
DAKS UN M<L)EU COXF!~E
fnfluence do i'acide carbonique.
tH, )M.
DES MUSCLES. fX, t8t.
BES ?(ERt'S.!X, )64. Des ncrfs
moteurs et sensitifs. IX, M.
DE LOHGAKtSME. Xft, 138.
Elle est constituée par la mort des
cellules. XY, 30~.
PAR LOXYttK DE CAMOXE
Son mécauisme. XII, 382.
PttYStOLOGtQUE. !n, 227, 228.
RAPtDE. XH), 4M.
t'AH t.A SECTION DES VA-
GUES.xn,34.
SUBtTE. Cautée par injection ra-
pide de gaz dans le sang. ]! )63.
Par action brusque, trouble su-
bit dos fonctions, III, 226. Par
convulsion interne. III, 374.
DES TISSUS. Elle est précédée
par des phenont&aes d'excitabilité
fonctionnelle. JX, 26.
MORULA. XVI, 318.
M~RVË. XI, 39.
MOTS. !) ne faut pas les substituer
au); faits. VIII, 329. Ils ne doi-
vent pas faire perdre de vue la
réit)it6 des faits. VHt, 355.
MOTEURS (NEMS). Voy. Nerfs wo-
leurs.
MOTEUR OCULAIRE (NEM). Voy.
~)'<eM''oculaire.
MOTILITÉ. XV), 281. Elle est
une propriété du protoplasma.
XVt.Stt.MOTRICE (RKACTMtf). Voy. ~f<c<f0?t
motrice.MOTMtCES (ACTIONS). Ettes ne sont
pas généralisées. X, 3iC.
(ExCtTATMM~. Voy. Excitations
motrices.
(FOME~). Voy. foreM motrices.
(RMntEs). Voy. Racines mo/rtCM.
MOTRtCtTE. Propriété qui de tout
tcmpsactë rapportée.'ni sy-tenif
n<'rv!'u\.Xf,n2.
MOUCME. Voy. (KM/' f/" ~A?.
MOUTON. Section du puf'umos;;)-i-trif)UC.V!,4'!3:Vn,4ii.iC.
–Effet!} f.ieiasecuo.u du sympa-
thique. Vt.m.–Sujpt d'xpe-
)'iences.X!).'j.').–Pour~noion
nej'anesthésiepas.Xt!, i'
Moyen de le maintenir. XV. Ht.
MOUVKMHKT. !V, 3!; fX, '):
XVtU, 268. Le foie expuhe tla-
vantage do sucro dans le san, t.
236. Sa solidarité avec la sen.sihi-
lité.IV, 3!5, 306. -E~t i) iudu))Ct)-dant de la sensibilité Expericace.
!V, 2tT. –faflKenceduscQtiment.
IV, 248. En rapport avec la
sensibi[ite des parties. IV, 9a. à
266. Produit par les racines
sensittves. IV, 965, 2T5, 'M.
Produit par l'excitation d'un nerf
sensible, Mu extrémité. IV,
Ma. Transformation de la sen-
sibitité en mouvement. IV. 295.
Transmission par la moet)e. IV,
328, 338. Par excitation du
sympathique. IV, 358. Leur c!)-
trc-croisemout. IV, '.88, 492.
Rapports avec le pouls. Vf, '24.
Il correspond à des phéun-mènes chimiques de combustion
ou de fermentation. IX, 9~.
Produit par un circuit d'irritations
successives. X, 90, 292. Dû !t
des propropriotés purement phy-
siques. X, 123. Cellules de mou-
vement. X, 3t0. C'est en lui
que se traduisenten définitive !es
phénomènes nerveux. X, 3.)). )i
exprime des impressions scnsiti-
ves. XI, )69. Déterminé par les
racines anterieures.Xt.t83.– tin'est pas, avec la sensibilité, le
seut phénomène qui dépende du
système nerveux. XI, 24t. [m-
possibilité de le définir. XVI, 23.
Anesthésie de ses propriétés
protoplasmiques. XV), 2.1&. U
est détruit par le curare. XVH),
298. Voy. Cellules de n<o«f*-
M~~N~ew~Hf~
TABLE Â!.PHAUËT!Ot.'E HT ANALYHQUE226
MO~VKMt~TS AMtBOiOES dos
f)!)d~)t's.XV),200.
tttt<'t\~m~SX,!23.
--<:t~);tmES.Yoy..MOH))eMen<!t!)-
~)'ffft7e.
))H COEUK. Leur indépendance
8p6cmie,m,3tM.–Leurs rap-
ports irfc.c le système nerveux. Hf,
3t8.–Ac)i&nducurMe.!)),3':9.
–Arr5t6.'jpan')ag&tvanisationuu!
pncumogastriquH.m,:n2.–tn-
nm!ticRdot!ts<:nsib[!it<5.tV,2()7.
tunuence des racines Mchi-
dieanos. exp. hetaornétriques. JV,
Sf! –hiftuanca de la chaleur. IV,
383 V, 400. !Bftuonee de la
douicut-V,38!Causes qui
pouvant les intluencer. V, 3!)< ~~04.
tn(]u(*t)ce de t'atit~tion ttcs gan-
glions cervicaux inférieurs. V, ~3i.
Arrutcs par t'hydrog&ne sutfuro.
Y), '}&!). Leur ralentissement,
après la ligature de la trachée.
!<(?. )).') no aoBt plus arr6t(;a
par la ligature do la trachée, (juand
les vagues aoutcoup('!S.I,&)~.
CO~SCtËSTS. X, Sat.
BES CÔTES. V), r.t3.
–t:T~FORM~~Scoa<i~'cutih~ à
certaines lésions de la moelle. IV I
<i'<9.
CHEZ LES ÊTRES VIVANTS. X,
]'!2.
tt'HXTE'<S<0?<. Leur centre est
d.n)'iia.mooHc.35<i,M'
HXTEhXES. tunueuco des sou-
s.ttiofMiuteracs.IV, :'(!
–nt'.LAt'ACiE.Y, fftO.–ta-
nuencudufttciat.V, M. -In-,
fluence de la section du triju-meau. V, M.
t)E FLKXtON. Leurs centres
d.!HM]~nMeUe.tV,35.},38'
Voy. ~c.r!'M).
UU GLOBE DE !/OEtL V,
2t8.
tXCOMSCtENTS. IX, tSO X,
~.t;x.m,M),an8.
t~TEKKES. fnOuence de la sen-
stbiUtoincoDScieute.IV, 3K.
tKrESTt;SAt.'X. Voy.. /c!<t-ttauj (mouYemeots).
MOt VjEMt~TS )~VOL<~rA!KHS
"M;!V.3!().X.3.));XYn!,'Mt,2t8._ItE MAX È(;f,par suite de tosiondf's
pédoncules ccrcbetieux.XV[n,:t9't.
MA~iS L).;S MKMBHES posté-
rieurs, dcterminés par la )iga-
turo du sympathique dans le ven-
tra. IV, .'i70. Par hémorrhagi",
après section de ta nio<'t)e. Vf, 200.
NU SCULAtHKS Ht. 952, 35)
X, )'!4, ].')C. tuvotontait'M. <![,
.)M. De la vie organique, III,
367. Produits dans tes muscles
de )a vie cxtërMuro par les excita-
tion*) du grand sympathique. tV,
S6~ Comparés aux mouvements
vibratiles, X, tM. Leur indé-
pendance pendant uno grandepartie de la vie embryonnaire, X,!~2.– Leur cause réside dans une
substance particulièro contractile.
X, 15'
HE LA. KARtXE troubjes par la
Mction du nerf pneumogastrique.
V), -t'!9.
tmHAK!Q!JES. invotout~ircs et
inconscients.XVifH,M),3)8.
MES fAtJMEBKS V, 3)9.
Influence qu'exerce sur eux la
section du nerf facial et du grand
sympathique. V,2.
t'EtUSTALT)~UES dorintestin,
ionuence des ganglions sympathi-
ques thoraciques et abdominaux.
IV, 359. Amenés par i'afTtibtis-
6etHt:nt de la circulation. IV, 365.
Par section de la moetio épi-
niere. tV, ~8t. Mauqueut dan~
les intestins gorgés de sang. Vt),
40ù. Par abtation des ganglions
cervicaux supérieurs. VII, 454.
UE t'HOGMKSS<0!< en avant
produit'ipara'ip)ty)tieetparbje!)-sure de certaines parties du cer-
veau. )V, t!M.
Mt! LA t'Uf'LLE. Voy. PM~tKc.–DK KECUL. )Y, 4M).1.
RECUKttEK'fS. tX, !a. n n'yen pas de véritables, XUt, 3)2.
Expériences. XIII, 3t2.
KKt'LEXES. Ht, 3.'<8; )V, 34 (,
DES ŒUYHKS DU Ct.AtJDK i!HH~i.\H[J. 227
)asphy\i.'f)uie:ire<u)te constitue
)en)ccanisn)eprn'')mindHiamf)t't
p;)rief))i';irf'.i)),7i.–Arrêtes
par la Ks!a')i''at~)t) debout supé-rieur des yai;u~)V.7!Leur
acceteration qui. lors dft'aus'nen-
tationde)acha)'uranima!ecoin-
''ide avec l'accroissement des con-
tractions (!uc<cu!pfut en f~t)'e
indepentfante,dans certains cas.
Y,4<)).–fnnu<'ncesuriat''mpe-
r!tturedusa'.);V),).')7.– tn-
ftucnce paralysante des actions
)-ef!exes.X,:iM.–Paratysespar
)ecut-arc.Xt.84,t)0,):M.
MOUVEMENTS OH HttTATK)~
Par blessures des pëdonruies ducervelet. tV,-m(;; XV,45.–Sui-
vant l'axe du corps.fV,.i8:).r'.nrayon da roue. XV III, 395.
t)t,' SANG dans les vaisseaux
capiHaire!i.tX,C~.
SAMCOUtQUES.X, )2t. tM.brésident dans une matièrHcotnrac-
résident dans une matière contrac-
tite amorpho. X, f53. CaractC-
res de cette matière. X, 154. Ils
existent chez les végétaux. X,
).).
St MPATtUQt!ES V, 54).
UHS VEGËrAFX. XVJ, 256.
VtBRATtL):S ou <:tHAtBKS X,
)2~, )25. Action de l'éther. III,
425.– Ils résident dans tes ce[-
lules vibratiles. X, )25. Chez
les iavertebres. X, )27. Leurs
caractères. X, !3). Leur con-
stance et leur persistance long-
temps après la mort. X, <2, !48.
Leur rôle dans l'accomplisse-ment do la génération. X,)X:
Ils sont indépendants du systerne nerveux. X, t36, 15t). !)-<
ne sont détruits par aucun poison.
X, 136. Ils sout suspendus
par les anesthésiques. X, )3T.
Leur intensité et leurs di-
rections. X, !37. Appareil de
Calliburcés pour mesurer leurs va-
riations d'intensité. X, 139. Con-
ditions de nutrition. X, t45.– In-
tluance du froitl et de la chaleur.
X, 145; XIII, 371. Influence de
3t7;V.;)'!);!X,:n;X.34!,3i;),
3A);X), 2(M.La fibre nerveuse
continuen'<ist(!pas.fV.3.'t9.
tntornns.h'ur variété. !V,3.')<
;t'!L-- Ils sont t'eneci)isp!n-
même cmth'e quêtes mouvements
réflexes externes. !V, 358. –tn-
ternes. quetques-uns ne parais-
sentp.isobeir&uueimputsion ve-
nant de )!tmoeUe.tV, 3.j.8.–
Kxpcriences. tV, 3a9. Après une
tonguo abstinence. IV, 3(i3.
Chez !es divers animaux. JV,:M;3. -Dus au sympathique sans
intorvputiondc la moeHe.!V.
3m.– Par intervention de la
moelle et par te sympathique. IV,
364. Sympathiques. IV, ?!).
Leur nature. X, 30.'). Ils sup-
posent une action des nerfs sensi-
tifs sur les nerfs moteurs. X, SUC.
Involontaires et inconscients.
X, 3i2. Leur mécanisme. X, S.')).
Ils supposent le concours de
trois ëtements nerveux f un
nerf moteur 2" un nerf sensitif;
3" une cellule servant de centreentro les deux nerfs. et en outre un
muscle qui est l'organe direct du
mouvement. X, 352. Leur im-
portMce.X,3M.–)ts sont les
plus communs de l'organisme.
X, 3M. Leur intensité sur un
même animal parait en raison in-
verse de celle des mouvements di-
rects. X, !)54. –Généraux et
spéciaux. X, 361. Leur cons-
tance. X, 3'! t. –Dans la digestion.
X, .j8?. Du grand sympathique.
X, :t89. Augmentation de leur
intensité. XI, 2~2. –Chéries ani-
maux morts récemment. XI, ï55.
Dans les maladies. XI, 356. Qui
M produisent sous l'action du
grand sympathique. XI, 3.')).
Voy. tt/ttUUfM-'n~ Mc~MK')~
AfoMt;emni< )nuo<oKta!)'es.
MOUVEMENTS DE KHLArtOK,
chezlesdytiques. IV, 510,
–NESt'tttATMtHES.Diminuantpar
te froid, augmentant par la chaleur.
L 194, t97. Leur cessation;
TAULH Af.P)!AHËT]Qt'E ET ANALYTiQUE~8 8
la sécheresse ot de t'humidit~.X,
t46.-)mmumte à l'action des gaz.
X, li7. Action des acides et. des
alcalis. X, )t1. Leurs causes. X,
)4!f. Comparaison avec le mou-
vement muscu)aire.X,)M.–)n-
depcndancevis-~visdusystÈma
nerveux.X,)M).
Mf~VEME~TS )'E LA V)E OMA
!S!Qt!Ept()!')~yie extérieure,
soti(iat'it(!()eces phénomènes avec
ceux de la sensihiUt6.iV.366.
[)E t~A VtK HE M);LATtO?f In-
fluence de la mocUo f''pini&)'o
comme centre.tV, 387.
VITAUX proprement (lits. X,
124.
VOt.ONTAtRES. IV, 30; IX,
180; X, 3.')). tuOuenca du cu-
rar(!.r\3t5.–Vf)y.f~o/o)~<MOVU~i At.M. Ses doctrines physio-
togiques.XVff.'if'
MOYE~KES. V)t[, 226.
ML'CU'AKKS (Gt-~snEi!). Voy. (j/ff~-
f~S ~)~Ct~<A'.
MrCtQUE (AMUE). XV! 280.
MCCUS. VII, ~5. Salivaire.
);)<J.
1;10. VII1, 212 XVIII, IcJ2. 1MUH. VI! 2)2; XV! t92. Ses
relations avec la glycogenèse. XVtt,
tu.
MUDLEn (J.). Hypothèse de )~ sur-
charge d'agent nerveux. XI, 203.
Nt7L<.Ett(W)LH.).Apn6e et dys-
pnée. XV, 438.
Mm.TX'~tCAHON CELLULAtBE
XV!,30).
MUQUEUSE CONJONCTIVALE.
EHen'&bMrbopMta curare. )!t,284.
'NTESTtNAm, d'un fœtus de
ve:tu. H, 450. Des oiseaux etdes reptiles, elle absorbe le curare.
nt.MH.–Gtycogeueche?. le fœ-
tus. XIV, 498. Absorption du
poisoti.in.Gt.
RECTALE. EUe absorbe )e cu-
rare. III, 288.
MESPtRATOttUE.Ette absorbe le
curare. !H,M!i.
STOMACALE. Elimination du su-
cre. I, 303. Elle n'absorbe pas
le curare. !)). 28t.–Endosmose.
Of, :)(M. tnHuence de la section
des vagues sur son aspect, chez un
chien fistuté.. V,.t2).–Modifica-
tionappOt'tM'tt'absorption,pariasection des nerfs vagues. V, -4?!).
–Cotorceennoirpartesun'urc
d'argent ou de cuivre. VII, 382.
Ses glandes en tube sont la source
réelle du suc gastrique. XV, MU.
Ses modifications pendant la
digestion, et à jeun. XV, f)(it
XVIII, 378.Voy. (;/uf)(/e! ~f- la
mt/nueMM .!f''XHOf'a/<
MUQUEUSE YMS)CAt,E. EUe n'ab-
sorbe pas le curare. tff, 284.
MUQUEUSES (MEM)))tA!<Es). Leurs
facu!të:; absorbantes retiitives. fH,6). Absorption du curare. II1,
X83, 286, 378. Action du ncW
sympathique sur la formation du
pU!V,MO;Vn,M8.–t/ttrces<'
décompoM à leur contact. VII, '~),
M.
(SURFACES). Différences d'absor-
ption du curare. III, 280. Leur
sensibilité. XI, 355. Glycogène.
XVt),
MUQUEUX (SYSTÈME). tX, 6)!.
–(TMso;.XV)J!,267.
MUSCLES. IX, )5. Fermentation
giycosiffue.&?, 397; VJ),t34.
Fermentation lactique. t, 25'
39'! X)V, 429. Matière glyco-
gène. l, 30t IX, n3; XIV, 427.
5~; XVII, 77. Propriétés du
sucre qui y est contenu, t, 4M.
Action du curare. Ht, 319, !i7
XIII, 157. Ils no sont pas em-
poisonnés par le curare. )U.332.
Action du sultocyanure de po-tassium. III, 350. Leur irritabi-
lité. !!f, 35). Action du soufre.
ÏH, 355, 386. Actions variées
dos poisons. 36t, 366. Exci-
tabilité électrique. IV, t94 V,465. Leur structure. IV, <96.–
Leur indépendance vis-à-vis des
nerfs montrée par le curare. !V,197. Paralysie. IV, 205. In-fluence da la chateur extérieure.
IV, 210; XIII, 365, 383. Leurs
DES ŒUV!(ES L)E CLAUDE f!HN.\t!t). 2')
courants É)pct)-iqucs.)V.3(K!h~n;
X,2(M,X(~; Xi,Quantité'
d'étectricité nécessaire pour tes~
fairo contracter. V,(!3.–Hxcita-
tiou. V, 4f!3. Couieur du sa;)~
veineux de'imu'tCicsa.t'étatde
fonction et a l'état de repos. VI,
MS,)8&3;)<).–Activité txu.sfu-
tairecomparéc~t'activité~iandu-
)ai!'t.),2t.–Ëtudedusaug
artériel et veineux dans te fousete
paralysé, le muscle en tonicité, et
le muscle e[tcon)raction.Vt,3u;
Yn,tM;xn,~M;xHf.n'
Leurs propriétés souttaisséc.sintac-
tespm'f'uxydedecaFborte.Y'f,)));
Xit.;i8:).–L'oxydcde carbone
n'empccue pas tes pbenotnùnos
d'Myf)atio!t.V!,403.–))ss'aitè-
t't'nt & l'air et donnent autant d'a-
cide carbonique qu'tts prennent
d'o\y~<nc,iln'cttestpasdem6me
pour ttisanp;.V),403.–L'oxyde
de carbone en exhaie de i'oxygeue.
VI, 40.'). -Le curare en isole la pro-
prictc contractile de la proprtét6
motrice du nerf. IX, ]8: X, )79.
Leur nutrition. !X,'iS. Leur état
de fonction est nécessaire pour que
la nutrition s'opère.!X,8.–Pro-
priétés etectriques. tx, 29. Pa-
ralysés par les nerfs moteurs. IX,
38. Terminaison des ueri's. !X,
158. Leur mort successive. !X,
)6't. Vaisseaux qui y sont con-
teuus. X, tGS. !<erfs qui y sont
contenus. X, 16! Boivent-ifs
aux nerfs lours propriétés contrac-
titf's? X, 114, Hatter et ses con-
tradicteurs. X, )Ti'). Du curare
comme moyen de résoudre cette
question. X, m. Le curare ne
touche pas à ioufs propriétés et
détruit les propriétés nerveuses.
X, n'J. La contractilité y re-
sidc.X,)8t.–Ai'ctatderepos
et à l'état d'activité ou de coutrac-
tion. X, t8C XVH, MM. Ilsont
deux propriétés, irritabilité et con-
tractiUté. X, t8G. Action do ['é-
tectricito. X, !92 XI, 85. Ac-
tiou du système nerveux. X, 193.
L'intensité de ses fonctions est
!ief'N.desphcnomt'[)'")physico-
chini!quesquist'pas«'nten)ui.
X,20!Sone)ectricitea)'état
derepos.X,0.). t}ss''modi-
ncntau moment <)c!ari~idite cada-
vérique. 20:).–ïïya sc!))'"
mcntcoincitfftx'e entre !eurs ;))«'-nomenf'setectriquesettenrcon-
tractiiite.X, 2)0.–Les poisons
qui détruisent ]a ('ontractitite
muscutairc n'ont pas nccessaire-ment do t'innuonce sur les cou-
rants e!ectriques des musc)es.
X, 3 H. Ils sont le sie,:c princi-pal de la combustion t'f'spirat'tirf.
X, 20. fnftuence de t'ctat de
contrac.tionouderepossurt'act.i-
vite de la combustiof) respiratoire
quis'yaccnmptit. X, 220. Quand
ils sont fatigues, le sucmuscutau'e,
~)catm & )'6t!it norma), devient
acide. X, 926. Action du nerf
moteur. X, 2SÏ. Le nerf moteur
en est i'excitaut; ils restent a
i'etatdereposctdcre!achem(;nt,
tant que Je nerf tBoteur n'e.st pasexcite. X, 2G;; XVtU, ~i). Le
nerf moteur agit sur lui en modi-
nant son état physiologique. X.
2'!2. Son triple état suivant les
variations d'intcnsitf' de l'influence
nerveuse. X, 3'!2. Fiiets du grand
sympathique. X, ~). Ses nerfs
moteurs. X, 37.). Ses nerfs sen-
sitifs. X, :H5. Ses nerfs vaso-
moteurs. X, 3T.'<. Section des
divers nerfs. X, 316. Les actions
reuexes sont de deux genres, lesunes produisant ]a contraction, tes
autres le retachement du muscie.
X, 39t. Effets observes par ta
suppression de )'i))f!ux nerveux.
XI, 14. Action de la digitale. Xt,I,
85. Action de t'upas antiar. XI.
S5. L'augmentation de teuf ac-
tivité est t'uno des causes princi-
patesqutdcvetoppettt la seasibitité
de certaines régions du corps. X!,
t68. Ils participent après ia sec-
tion des nerfs au suro'oit d'excita-
bi)nc. XL 200. Pendant le tra-
TARLHALt'tLU!ËTK)URETAN.\LYT)QUE2:!0
vaUmuscutairc.tc sang veineux
devient noir, et rouge quand ils
s()nt(')trej)os.X),t.–L~ dis-
parition do t'o~y{:t''n& correspond
:tf'e)6va(t0tt()o la température.
\t.2'!7.–Rigidité chtorotbrmi-
que.\tt,m. -jisaontdecou-
leur foncée dans t'asphyxie par
t'acide carbonique.XU,tG.–Ca-
)ori)ication.XH),m.– Leur
source Cùtorinquc.X)tf,m,]5~
Leur respiration etementairo. X)!),
H'i.–tts présentent fcsitt&mes
pheaom<*nos que les glandes au
point de vue de i'~evation de la
tompcraiurf'. XIII, iïO. Leur
rigidité so produit une tem-
pérature moins ëtevéo que celle
où te sang perd ses [)t'opri<}tcs
physiologiques. Xtit, ~m. Ils
résistent moins que le nerf mo-
teur )a chaleur eUcrioure. XU!,
3S.'). Seujs des etaments es;eu-
(ic)sd<)'orgaf)iame,it)!sont atta-
qués par ta chaleur extérieure. X))),
3SC. Leur aXeration dans la t!o'
Yre.XU),429.–Legtyco~uouf!
s'y transforme pas en sucre. XtV,
4M.–Présence du Mcre.X!V,431. Peuvent-ils devenir une
source du sucre du sang? X)V,
43).–Rcta.tio)) de )eur reaction
avec la présenco de la matière
gtycegcn(!.XfV,M().–(ajection
dMstomu!;c)o.XV,2t!Ce
n'est pas une machine thermique.
XV)t, 50?. Leur combustion
n'est pos directe. XV! f)!!).
Voy.~e<t'i~ mM.«'M/a!< Ca/of<
C<!<)0?!niM<CM''a)!rf',C<K/<MM.tt'M-
~a!t'M, C/Mt't' tn!<~e!f/~t''< ComAM)'-
<)'o'i <<!( wtMc~, Contraction M'
C!~<tt)')', Co!<r<tM< !M~CM<att-e,
Coi/r~M~ ~ec<r)'~t<e.< des m)Me~
~<iCi'M MM.!CM/<t!'re, ~<ee<t-)ct'<e
MttM't~ut're 7*M MM~CM/at)'e.<,
/r' )'<a&t'~M <yt)fMM/aM'c ~ûMt'c-
ntC)t< mMSf.'u/at't'e, A'c< Mo~e~r
du mu-fc~, Nerf fe;M)<< dit MM<-
c~,A'e<mtMf'K~<tr<fMt-ah/<:c
'MMCU/M)')'C, P"t'4'0?! Httt.!Ci</ai'rt'
Réaction 6!:< /M~!< musculaire, fte~-
p/t'<7<i0~ MM('M/<v, Rt)!eM;' m~-
et<t'<Sfi'yt'<?:fM'M;M!<MM~t)'e,
.Sf!!M:tt!a!)'<t«'mK~K/a!'r'C,
yo?t MfMCM/Htt'f, rottM MM.!CM-
~'ttt'c.
MtSC~ES ATttEKMO SYSTALT!
QUKS. X, )S!); X))), 369.
ttf FOKTt'S. Production du su-
cre. ), SM, 388. Extraction de
)'acide tactique, chez le veau. f,
M~). Fermentation gtyco~ique.
V)), t3~. Matiërc gtycogAne,
chM t'homme. \'U, t3. Fer-
mentation g)yco<iq)if chez le vMu.
XIV, 550. GtycogeB&M!. XVH,
555.
GLYCOGENtQUES dans )~ vie
YÉgeta)e. 2M.
OE L'mtS. Action de la tumi~rs.
X,)9C.
t~AKV~GtJËKS. V, 3)8.
CE t.A KtJQt'E. Titubation due
&teur section.tV,49C.
t'HAHY?<GtE?!S. Lcm- action.
V,3M.
THEnMn SIfSTAt-TtQUES X,
)89:XfU,3t!).
DE VEAf. Fermentation lacti-
que. 2. .'tM): V)), i:!t. –Ft;-
cute anima)?, t, 268.
t)E LA YU': ANtMAt.E et de la
vie organique, leurs propriétés
physiologiques sont-ettM les mô-
mM?!Y,08.
DE LA VtH KXTRKtEUHE, mou-
vements nroduitspartc.s Mfitations
du grand sympathique. tV,3<!7.
DE ).A VU; DE ttEt.ATtO\, ac-
tion des nerfs moteurs.t\ 906.
.MUSCU).A!HE (AcTMN). Ses rap-
ports avec i'excitabUité nerveuse.
tV, tM. Distinction de ces
deux propriétés. )V, 08. Expé-
riences nouvelles à i'.tidc du cu-
rare.tV.t99.
(ELEMENT), tx, 9,38; xvnr, 273.
Hôte du sang. IX, ttt,2~ –Le
su)focyanure de potassium en est
topoisou.!X,2).–Hases con-
ditions do vitaiité dans )8 sang.
IX, M. Il constitue un vérita-
ble organisme e!6montaire. IX, 2C.
DES ŒUVRES DE CLAUDE BEHNARD. 23)
RRLLE. Enseignement de la phy-
sioiogief;ënera[e. XVI, i.– Trans-
lation as ta chaire de la Snrbonne.
XV!,3.
MUTATIONS CntM!Qt ES vitates,
sont entretenues )):u' t'o~y-
g"ne et la choeur. IX, 2t ).
MfDSME congénital. XV!)), iM.
MtCOttEttMA HM/ Sa culture.
XYt, 3!8.
MÏCROXVMAS. XVII, MO.
MYEUXK. X!)I, :n0.
MYLonvoinn~ (.\ERF). Voy.<
t~~oAt/Ot/tfM.
MYOCRAPHE. !V, 9M.
MVOLKMME. X, tGS.
NAISSANCE des êtres. X\J, 383.
t)u<BU! XVIII, 33t.
KAMCEtKE. X!t, <8), )9f. Est
l'agent narcotique par excellence
Ctp. X)t, )8t. DiffK-utto de se
la procurer. XH, )8C. SotumeU
qu'elle produit. X!], ~t0. Ses
effets chez l'hommo. Xff,<t3.
KAnCOTtNE, ses effets. XII, 188,
20(.
NARCOTIQUES. Xn, t95.
KAMtNES. Influence du facial sur
leurs mou~emt'nts. V, 3. Leurs
mouvements. V, M, !97; EtTets
de la paralysie des narines, chez
les chevaux. Y, 3(:. Exp. V, 37.
Influence de i'anastomo.sc des
vagues sur ses mouvements, V,t8). Elles sont le siège de mou-
vements réflexes indépendants des
sensations perçues par la cin-
quième paire. V, tSt.– Ces mou-
vements ont-ils leur point de dé-
part dans le pneumogastrique ?
V, )8!. Ces mouvements sont
tensib)emcnt diminués par la sec-
tion de l'anastomose que le pneu-
mogastrique envoie au facia). V,182. Expériences. V, 182.
L'air inspiré diminue chez le
chien par la section (les vagues.
V, 501. Même phénomène chez
io cheva!, après !a section du sym-
pathique. Vf, 235. Voy. ~oiit'e-
t;i<'?:<f ~armc,
~ATtJftE.F.)te est un grand artiste
Mt.'SCt.'LAtM)E(E.sYE).opt'X,tG8.
DémonstrationX, 168.
¡(PnapnfÈTK). Démonstration ex-
përimentate. X, n3. -hut
opérer sur desanimaut supérieurs
parce que !('s fonctions sontmieux
sépare''st'hf'xcux,et sur des ani-
maux & sang froid parce que !c-
p)n'nf))nenesYit:m\y''ontp)us
tents.X,t'!3.
(~St;BSTAME). X, t59. Ses rap-
ports avec les enveloppes, les os,
te')ystffnenervt'n'4.X,]a9.–
Elle ne doit pas être confondue
avec la fibrine.X,]63.–Ses dé-
férents <5tats.X, )(;
-(SYMHME!X,a;X,!56;X\t,
SM.–La curareteiatssf intact.
!tt, 311. La strychnine le laisse
intact. t!<, 35i. Action d'une
dose forte de nicotine. H!, 40(!.
Analyse physiologique de ses
propriétés au moyen du cm'arp.
III, 4C9. Effets produits sur lui
par la suppression de l'influence
fn'rYeusH.Xt, 230. n'entre
jamais dans un état de repos ab-
)iotu,X!,T!L–De hvio orga-
nique, la chaleur extérieure en est
uu excitant direct. XIII, 36T.
Rotation de sa nutrition avec le
giyco~cne. XVJ), 131.
(Ttssu).X,Ut;XVtU,C'Se'!
propriétés. tV,)97.–S~rM~
tiens.Vtt,4'!3;X!5'X.V)t,m.
Parallèle de ses propriétés
chez les batraciens et eho.! les
mammifères. XI, 23.'). Source
de chaleur dans t'asphyxia par
l'oxyde de carbone. XJL 4'!5.
Uu fœtus, gtycoge.nc. XtV, &02.
(TaAVA)L~. U développe la cha
iour. XV, 483.
MUSCULO-CUTAKE (CouRANt). Voy.Courant.
MUSÈLEMEKT du chat. XY, 109,
Du chien, X\ toi. Avec une
forte ficelle ptacoo en arrière d'un
mors de fer. XV, 118.
MUSELIÈRE anesthésique. XH, 52.
Pour l'anesthésie du chien. XV,
[59.
MUSÉUM mnSTOinE KATU
TAULE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE-2
ferh'ure est scnsith'f et motrice.
V, 98.
NHKF MOTEUR OCULAtKK COMMU?<.V,Mt.–Sa<!isinhutiou.
V, 201. Ses fonctions. V.'io:
MOTEUR OCUiLAtRE EX TKMNK
Son arrachement,ses ef!'('t'V,
202.
–MOTEUtmELA PAMOTtOE XV,59~. Son excitation dilate les
vaisseaux des glandes salivaires,
XI, 258. Ou a suppoM qu':)
émanait du petit pétreux. XV,521. Il est fourni par le facial
au nerf ~uricuto-tempora) super-
<!cici.XV,M-i,M'MC. --Dû-
couverte de ce nerf. XV,524.
Description do l'expérience parlaquelle on est arrivé &cor<i<;u)-
tat, XV, f<94. U accompagne la
nm?[i))ai)-eiDterne.XV,M4.–t) Il
semble &trf fo cottgenère de )a
corde du tympan. XV, 62&. Sou
trajet et sa distribution. XV. M~.
–Compare au nerf moteur do la
sous-maxillaire. XV, 594. Cette
dernière est infiniment plus sou-
sible à l'action des agents oxte-
rieur'i<)uo)a.pM'otide.XV,;)M.
Kiitimation do cette différence.
XV, 535. Moyens divers do
modifier, d'augmenter ou de di-
minuer cette sonsibifite relative.
XV.
MOTEUR DE LA SOUS MAXtL-
LAttU! compare au nerf moteur
de h parotide. XV, 534.
–Mt'LO-m'OOÎKK. Action sur Ja
glaude sous-maxiMaire. Vif, 304 it
308, 3i),33),33S. Son action
sur la sécrétion salivaire à la ma-
nière de la corde du tympan. VU,
304, ;!()?, 331. Il agit sur i'art ère
faciato, fadUate. V)J, 307.
OESOPHAGtEN. Effets produitspar la division complète de ce nerf.
XV, 555.
Ot'DQUK. Son action renexe snr
l'iris. X, 3&9. f! est destiné à
percevoir les impressio[Miumi-
ncuses. XI, 195,
PATHETtpUK. Voy. Pa</«.'<t'ot<e.
~œth~.Vnt,)M;tX,)2:);XV:,
:); \\))f. )3t. M(;. L'homme
ne la (t'uni)) qu'en obéissant a
M's)ois.V)U,t4i);X),~&
Sa part dans fa guérison des
maladies. VIII, 349.–Ses er-
reurs, [n'cc~s[t6 d'en diriger les
t't!'t)rts.Xt,C3.– Pas toujours
eajj.ihic (te guérir icsmatadjes.
XI, 70.)dc6et't'on<(!u pou-voir qu'ctte exerce iiurrhotntM.
X),t)4.–L'homme ohcit~ses
)oi';autieu<)c)eur commander.
X!}()<XV)U,73,3i5.–Laacif'nco a pour r!*su!tst d'agh' sur
elle. XI, 5t0. Voy. PAf'tiow.~iM
</e/o))~<rc.
~AUïtiK MÉmCATmCE.YH!,)Gt,
36&;X!,43;t,~3.8.
nt':S t'Ht;?fOMKK).:S. XVU, MO.
r~ASTtQt'H. XV)!, 4)5, ~5.
VtVANTH. La phyMotogic gënë-
rateapourbutdotacnuqu~rir.
IX, 230.
XATt'REt.t.ES (Sc)EffCEs). Vûy.
Scx'<fe<<7ia~r<t'ii.
~Et'XRtTE aibuminouse. \'tf, :!C,
[.() Doubtc.apr~s injection pro-~
!ot)g<desucrHdaU3t<jMng.Yn,~
S.S.–Vny.<).
XÉt'HKOTOMtR. Convutsion.s. VU,t3.– Voatisst'mcut. nf. 47 & 5C.
KEMFACOtJST~UE.Y,24).
AtJKtCULAtME. Voy. Aurieu-
&
CEKVtCAt.. Voy. Cervical.
FAC'A' Vûy. Fac!a'
GLOSSO t'HAttYNG!EK.V, 240.
Son rnHuonco sur les mouve-
ments du voile du palais. V, n8.
BU GRAKB OE.\TKLE. Yoy.
G)'«~f/7?fM~M.
HYPOGLOSSE. V, 24t; jtX, 3<,
)M.–Une tient Pas sa sensibilité
récurrente de la cn)quit''me paire.
V, 241.
<K'fEKC(tSTAL. Xtjt, 20S.
HKGUAL. Voy. Ai~M~
MAXtU-AtME. La branche supe-rieure est exclusivement sensitive.
V, M. Son influence sur )'ot- j
faction.V,M.–La))M)]chein-)
DES (EUYHES DE CLAUDE BERKARO. -J33-1
r<t:RPt'ET!TPKmm;XOnasup-
posHf)uc):'(''taitdc!ui qu'émanait
le nertmotf'ur de la parotide. XV,
KL
t')UtE!<!tQm Sa ligature par
WHtis.)V,t:t!).
SCtATtQUE. Son action ne fait
pas disparaître la sfnsibitito ré-
currente. tV,8C.-Expériences.
X),)M.–Hesuitat de sa section.
Xi,]')'
St't~AL. Voy. S/)Ut<
TntJUMEAU. Voy. T)'(/MmMM.
TYMt'AKtCOUKGUA~ XV,
54').
!)E WiLUS, sa sensibilité vient
de plusieurs sourco.s.tV, )OS.
–DE tVtttSBERG. V, 108, t'!0, n9.
C'est une racine d'ori~inp du
grand sympathique. V, )H. Il
est iudeppndant du facial. V, t4t.
)!ameau.< fournis dans le ro-
cher. V,it't.–Sa destruction
supprime la socrotion paroti-
dit'BHC. V, )ù'?.
KEKFS. Influence sur la formation
du sucre. t, 326 VJI, )8' Leur
influence sur la fonction g)ycogc-
nique du foie. ), 327. Leur dis-
tribu<iondaasiefMe.],33i.–
!nnttcnce sur la salive sous-maxil-
laire. 1!, 75 V, tf!9. Influence
sur la digestion. If, 439. EfTets
du curare, il isole la propriété
motrice des nerfs de la propriété
contractile des muscles, il détruit
les propriétés des nerfs, et laisse
intactes celles des muscles. Ht,
3)<,3)3,3M,333,339;V,'i88;
IX, )8; X, n'). L'irritabilité
musculaire en est indépondante.
Uf, SM. Actions variées des
poisons. t)t, 36!t)s sont asso-
cies par la sensibilité récurrente.
IV, 29, UO. Renflement des
bouts, sensibilité récurrente sur
ua chien conservé après opération.
IV, 47. Action de i'éther. JV,
90. Persistance de leurs pro-
priétés après leur section. IV, )t7.
Expériences. IV, ))7. Leur
texture. IV, )2t,)3}. Leur?
onv<oppcs.<V,f?).–Leurs <'x< i-
tations électriques. IV. tO.Witt à
3)7', V.4(!Vn,2(:'<effets des
courants etf'ftriques constants et
continus. tV, <4;t: X, 27S.–Ap-
psrfii destine empêcher !c<'r
dessiccation. tV,)88.Leur in-
dépendance vis-à-vis des muscles
montrée par le curare. )V, t!)7.
–Actiondf'iachateurexterif'tn'R.
!V,2)():XitL383. Courant
propre des nerfs. IV, 'M8. Leur
nutrition. IV, M5a245;fX, 28.
–tnnuenceduj;an};)ionintcr\'er-
tébrai pour leur nutrition. !V,
'M5,245.–Coupes, renflements
des bouts. IV, 259. Leur in-
flaence sur la circulatiou. IV, 2G8
~M6,-i8t;V,1!;V!,i80,OU.
M9,M),24:):Vn,30!)&:H4:X).
~3. Excitation meta)ti')Uf par
le mercure. !V, 3(M. ('est parleur intermcdinire que se mani-
feste la votontë. IV, ~44. Le
coe~ir (~ii est intl~~p(~tidaut. 1% 382,cœur en est indépendant. JV..382,
383.–Leurxctionsurtes sécré-
tions et les phénomènes sécré-
toires.tV,.i(M:Y!),61,343.–
Leur innuoacc sur les actions
chimiques. IV, .t80. Séparation
des propriétés physiologiques et
électro-motrices. V, 2. Leur
classification. V, 5. Leur extir-
pation. V, 43. Quantité d6)ec-
tricité nécessaire pour les faire
contracter. V, 63. Action des
ganglions. V, 16!). Coupes, ré-
tablissement de la sensibilité. V,46~. Influence de leur section
sur la galvanisation de
V,5t4.–Température de tate'fi
couverte, après leur section. Vt,
}3e a )40. Pulsations artérielles
dans l'intestin, après la section des
nerfs. Yt, t45. Influence sur la
pression du sang. \),t80,)89,
200,Mi,MO;XU).'M3.–tn-
Ouencesuriepouts.VLS'M.-
lanuecce sur la coagulation du
sang. VI, 235, 255, 435, 453, 45'
–JauueDcesuri.isudation.Vt,
249. Influence sur la Yeno'ite
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTtQUE234
du sang. VI, 2M, 293. Muence
sur la conteur du sang. VL2M,
M3. :!)*), M6; VII, !5!&4r.{.–
Influence sur la couleur des sangs
artériel et veineux. VL27R,33f,
339.–Modifications du sang. Vf,
288. Action des nerfs qui se
rendent dans la glande sous-maxil-
laire. Vf, 326. Leur innuencs
sur la couieur du sang veineux.
Vf, 398. Leur iuitucnce sur la
tetnperatnro du sang. V!, 399.
Influence sur ta coa.guia.bitite du
sang. Vf, 415. Pouvant déter-
miner des fermentations putrides
dans le sang. VI,4!)7.–tunuence
¡surta sécrétion iM(c<Vtt,2.M.–
Influence, sur la sécrétion des glan-
des salivaires. VU, 9CS, 272, 977.
308, 324 xnt, )'!9.– Deux ordres
de nerfs déterminent les varia-
tions de couleur du sang veineux
dans les organes glandulaires.
VII, 270. Leur sensibitito sous
l'influence dci'abstincnce.VH,
294. Frein des organes, expé-
rience sur la glande salivaire. VH,
325, 3~t. Influence sur l'inflam-
mation.V!I, 332. Leur influence
sur la circulation des vaisseaux do
la tête. VU, 334.–Leur rôle
dans les parties sous- et sus-pyfo-
riques du canal intestinat. VII,345. Leurexcitabiiitc. VU. 454,
45' Leurs propriétés reappa-
raissent par l'injection de sang
artériel. IX, &(!. Leurs inuuencefi
sur les circuiations locales et ca-
pillaires. IX, C7. Leur termi-
naison dans les muscles. tX, 158.
Leur mort successive. IX, !(!'t.
Leur régénération. IX, 218.
Oh'erMs espèces denerfsquisc ren-
t)entdansunmuscie.X,)68,3'!a,
Est-ce à eux fjua les muscles doi-
vent leurs propriétés contractiles ?
X, )74. Vitesse de la transmis-
sion nerveuse. X, 267. Irritation
électrique. X, 277. Leur sensi-
bititeit t'irritant électrique. X,
!M. –Courants électriques quileur sont propres. X,M7.–t)s
sont caractérisés par la direction
du courant nerveux. X,3t9._fn memf nerf peut transmettre le
courant dans les deux sens. X,
319. Leur sectiorj. X, 376.
Ils sont de deux ordres dans tes
vaisseaux, ceux du gr.tudsympa-
thit)uc<)uiproduisot)ttc resserre-
ment, et ceux du cérébro-spinal
qui produisent la dilatation. X,~0!).–))t. réagissent sur tes tissus
etemcntaires. Xt, 82. Leur ac-
tivité en rapport avec les effets
généraux des poisons. Xl, !M.
Les effets généraux des medica-
illellf,5 aent c:n. rap174rt. aFv'C leiàrmottts sont en rapport avec !eur
activité. Xt, !)0. Leur activité
on rapport avec l'état morbide. XI,!)). Mécanisme de leur action
dans l'injection de sable dans
i'artere.Xt.OC.–ExposotM
contact de l'air, modifications
qu'ils subissent. XI, 97.–Para.-
lysés par le curare y a-t-il des
lésions visibles? XI, ti2. Opi-nion de Jacubowitch. XI, ]~3.
Les modifications qui surviennent
dans ses propriétés se rattachent
habituellement A i'ëtatdostissu!!
auxquels il se distribue. XI, iM.
Division anatomique relative
aux propriété!) des deux grandsordres de nerfs. XI, t72. Ils
peuvent devenir insensibles aprèsl'ouverture du canal rachidien. XI,.tM. Modifications qu'ils subis-
sent après une section transver-
saie compiete. X!, !9u. Coupés
par un instrument tranchant, ils se
reproduisent.Xf,)9f.–Ëcrasës
ou dosorganisos, ils ne se repro-
duisent pius. Xf, )9t. expé-riences de Waiier sur leur section.
X)[,<92.–Coupas, phénomènes
physioioginues qui se développent
dans les nerfs après une section
complète. XI, Ma. Coupés, ils
présentent pendant un certain
espace de temps une excitabilité
plus grande qu'à J'état normal,
XI, 206, 907, MO.–Les impres-
sions produites sur les nerfs ne
DES ŒUVftES DE CLAL'M BER.\ARD. 23S
doivent pas être confondues avec
la perception cérébrateqoinous
en revête l'existence. XI, 2CG.–
Expériences. XI, 20S. Coupés,
les médicaments et les poisons
agissent sureuxaYocptu') d'in-
tensité.Xt,2U8, 2)4, 21G.)s
ne sont pas seulement des excita-
teurs, ils sont aussi des freins
iis agissent plutôt comme un frein
que comme un excitant. XI, 209,
335.– Hypcresthésie. XI, 2tt.
Coupés, hyperes<hésie.X!,2i3.–
Coupés, action du galvanisme. XI,
2t4. Coupés, action du curare.
XL!M.–Leurinnuencesurja
<;ontrMti'!të des vaisseaux. X!, 2) 5.
Leur susceptibilité toxique. XI,
2)7. Coupés, leur irritahiiité
excessive est un phénomène patho-
logique. XI, 220. Leur intoxica-
tion. XI, 223. Leur état dans
l'hystérie, la paralysie et chez les
anémiques. XI, 239. Leurs ac-
tions chimiques. XI, 2~5. Ils
n'agissent dans les réactions chi-
miques de la vie qu'à titre d'exci-
tateurs. XI, 2~9. Toutes leurs
ramifications périphériques par-
tent de la moetto épinière. XI,
250. Leurs origines dans tes
cellules nerveuses de la moeiïo
épiniére. XI, 2A5. Leur action
sur les vaisseaux. XI, 257, 308.
Leur antagonisme. XI, 258. Ils
agissent toujours par l'intermé-
diaire d'éléments contractiles. XI,
284, 310. Leur galvanisation
empêche l'absorption du poison.
XI, 28(!. Leur rôle dans la nu-
trition. XI, 28' Divisés, alté-
rations qu'ils présentent. XI, 289.
Leur action. XI, 29). État
électro-tonique réciproque. XI,
303. H existe deux ordres do
nerfs, qui sont de même nature,mais qui sont destinés à des rôles
dinérents. XI, 305. Présidant à
la nutrition des tissus. XI, 30C.
Présidant à l'activité fonctiounelle
des tissus. XI, 30(!. Il n'existe
pas deux ordres de nerfs, les uns
sensitifs, les autres moteurs. XI,
30'Laseu)edifferen<'erce))e
entre ces deux ordresdctibrcs est
donnée par la direction du courant
nerveux qui les traverse. XI, 308.
Impossibilité de concevoir iso-
lémeut l'existence de l'un ou l'au-
tre de ces deux ordres de nerfs.
Xf, 308. Leur compressiou
comme méthode anesthésique.
XH,3.').–ff)f]uencGde)amoeiia
dans )'aaest)té',ie.X!f, )():).Ac-
tion du chloroforme. XH, Ht.').
Leurs propriétés sont laissées
intactes par i'oxyde de carbone.
XtJ, 3S9, 44:). Leur source calo-
rifique. X! )59. Production de
la chateur dans le nerf.XtH.tG3.
Leurs rapports avec la tension
vasculaire. Xttt, 2t.'). Leur exci-
tation galvanique arrête le cœur.
XVIII, 34t. Yoy. ~c~i'~e n<-)'-
t'eMe,Ce//M~')ir'rt'<t~L'<M~t'e~
M~'t'eMT, Co!<t'<;7)< ?;e)'(;f*tt.t', Dé-
so'M Kpr~'eM. J~/ec<)'iCt7e !)e)'-
veuse, E'ct<a&!7i't'c nerveuse, E'.cct-
<a?!<f! HCt't'fM-r, /&)'<?< HC<'M<?:<~M,
Fote nerMM. Gany~oM~ des nerfs,
6)'aH~ ~M~a</tt~M<?, 7y//p<')'M/A~-
sie MfrMKM, /n~M-c ~f;'t'cM~,/a<!07i ?Mrt'?M.M, ~<M'<p)tce
Kf'UfMf, Moelle nerveuse, Pt!:)'M
7!M't'eiMPÏ, Pf~Jt~e ?;et't;eK.«', P/P.EM!
nerveux, Rnci;tM Ht't'uetMM. ~0:-
sibilité tt~'tL'eme, St/H!pa</t~ue,
yt'<!)Mm!ss;o?t )tert)CMse, Unité ?ter-
ueMM, ~!&)'a<!m:Tte''MMs<
NER~SABDOMt~iA~X. Expériences
de Claude Bernard. XI, U9.
ACCELERATEUMS de la circu-
tation capillaire. IX, 65. Car-
diaques, XI[[, 2'!3.
ACCESSOIRES aux organes dessens. V, t!)9.
-U'ARKÉT DU COEUR. XIII, 274.
CAt.OtUHQCES.V,)!6.fS XUL
2. Leur paralysie. XIII, 443.
CAKDtAQUES. XU), 263.
CEKTtUFMES et nnrfs centri-
pet(!S.X!!),2t5.
CKHEMMO SPtKAtJX XI, 99~.
Comparés au grand sympatiti-
TAHLE ALP!tABËT)QUE ET ANALYTfQUt:MQ
f)ue.)V,30t);Xt,24a,2<i.,39G,
3i4.–Lespxperiencesdestinees
à <'<ai)'erieurs fonctions doivent
être faites sur la face. XI, 30~.
Il fant les isoler soigneusement
desntetssympathiquesdans.tou-
tes les expériences destinées à
éclairer teurs fonctions.XL304.
Leurs propriétés. Xf,37~Yoy.
A'c<<' t/M~M~c~'e&ro-t'naM.T,
Nerfs sMA't~i/s du cf'r<'Aro ~i;;o/.
XURt'S C!HA)UES Seustbititc. V,
S'22!i. Leurs fonctioas, expé-
riences. V, 88, 90.
–m' CUEUR. Effets de l'excitation.
XVIII, an.
CO?<STR!CTEUKS des vaisseaux,
ou Vascutait-cs. 'U, ~Tï X!tf, M'
235, X89. Lour antagonisme
avec h's nerfs dictateurs. VII, 273.
–Uessn't~res.fX,64.
–CHAKIEKS.V, -Classifications
aoatomiqucs. V, 5. –Pi'opriot.osct
fonctions. V,C.–Les mêmes
éléments nerveux sont associés
dans les uerfs crânieHS et dans les
net'fsrac))if)iens.
UEPUËSSEUHS. Xtt!, 36G, 268.
UtLATATEURS des vaisseaux
capillaires. VII, 277. Leuraota-
gonisme avec les uerfs constric-
teurs. VH, 279. Des artères. IX,
65. Leur origine est encore mal
connue. Xf, 260. Leur influence
sur la chaleur animale. X)! 61.
Voy. ?/< !;<!)'o-<~)~/<t(eM!
EXCtTA~TS. Ils produisent au
fond la même action que les nerfa
paralysants. X, 273. -Expériences
sur les tissus d'uu lapin a sang
froid. X, 273.
MU FOIE. I, 332, 33' 3:0.
FtUGtmOFtQUES. V, 5)0 !t 5t8;
XUI, :!90, :i0~
GALVAr<fOSCUt'!Qt!ES chez le
)apin.)5.
DE L GLA!f))E SOUSMAXH.-
LAtME. \'U, 288, 303, Mt; XV,
&40. Leur rôlo et leurs pro-
priétés. VII, 304. Chez le chien.
VII, 2«8; X)H. 228. Sa circula-
tion.Yt[,3M,Ma.
tftERt'S Ct;Stit.AN))ES.\U,43).
¡
Nlm.'S DES (H,NIH:S. 41, 431.
Ils sont de trois ordres distincts:
moteurs, .sensi'if! et gan~Uottnai-
res.XY,)t8.
M):S (;t.AKnES SAUVAtRES
V,((!C;)f,:Mi.– Apt-Micursection, il y a. sécrétion contiuueiie.
VII, :), ~38.
–MSHLA'SUESSUM.tXCUALHS
Vjtf,8.
nu GOUT. V, 2M.
t)H LA GRKKOUtLLE H),
339.
GUSTATtFS. V, 3')0.
HKt/tK't'ESTt~. Leursensibitit~.
X~3M.
BES !NVEHTEBRES. Heche)--
c)iesdeM.E.Faivre.tV,50.)& a
5t5.
fLAMYKGES. Leur destruction
chez do trè!! jeunes auinMut. Y.
312.
LOMBAtRES. Leur anatomio,
chez te ehien, au point de vue de
la sensibilité récurrente. JV, C:j,
~).
UU MEMBRE !'OSTEmEt'K
Racines rachidi<inn<'s qui entrentdans leur composition. IV, 66.
-M!XTES MACHttHHifS IV, 9:
V,.i58;X),)t2. –Sensibiiitérc-
cun'onte. IV, )t0; V, 46). Ac-
tion des courants électriques sur
leurs ûteta nerveux moteurs. IV,171. Heeherches de Ch. Bett.
XI, 172. Expériences de Magen-
dif! et de Müller. XI, t'!2. Le~
animaux Mféi'ieurs se pr&teat
mieux aux recherches y relatives.
XI, 173. Effets de la section.
XI, t9' Ils se cicatrisent apt'eaun certain laps de temps et re-
prennent leurs fonctions. XI,
t83.
MOMËKATEURS. XIII, 276,
MOTEURS. !V, M, 113, )3< V,
468 j M, t5;X, M7;Xt,8?;
XIII, 2)5. Magendie. tiï, 20.
Leur excitabilité est distincte
de ta contractilité muscutairo, la
preuve par )e curare. III, 316.
Le curare agit exclusivement sur
DES ŒUVRES !)E CLAUM BERNARD. 237
L"uractinn sur to coeur. !V, 206.
Ils tirent )em"-proprit't('sde)a.
moc))e.)V.222. Lf'nrmort.tX.
2.ara)\'seurs des muscles.
IX,3S.–Le curare est porté il
!f'urH\trcmitu périphérique. [X,
)8i.–Bcttcroitqueies racines
antcrieurf'snontam'unf'sensihi-
lite, et les racines postérieures
aucune facuJténtotricp.X, 239.
Ils ont une vie propre dans
t'ensemhte du système nerveux.X,
2.')).–Leur action. X, 25t.)s
se nourrissent paria ce))u)ccen-
tra[e.X,2.')2.–Marche que suit
en eux la disparition des propriétés
\ita)es.X,3.')3. Ils s'empoisonnent
par rextrptnite musculaire, X, 2M.
Le curare les distingue des
nerfs sensitifs. X, 2.a.–Leur ré-
p;cnération.X,GO.–Ha sont les
excitants du musc)e.X,2G4.–
Leurs irritants. X, 2M,2H'
Leurs conditions d'activité. X, 26.'<.
Action de la dessiccation. X, 269.
Les irritants agissent sur eux en
modifiant leur état physique. X,
271. Ils agissent sur le muscle
en modifiant son état physiolo-
gique. X, 272. Ils sont excités
par les nerfs sensitifs. X, 292. La
courant nerveux est centrifuge.
X, 319. Dans l'empoisonnement
parie curare, on peut préservercertains nerfs. X, 337. Ils peu-
vent quelquefois produire des
symptômes généraux. XI, 9S.
Leurs différences avec les nerfs
sensitifs, après une section com-
plète. XI, 22t. La contraction
musculaire peut )pur servir d'ex-
citant. XL243.– Ils puisent
leurs propriétés dans des systè-
mes capillaires différents de ceux
où les nerfs sensitifs puisent les
teurs. X!t, 274. Ils résistent
plus à la chaieur extérieure que
!emuscie.XUt,38.).–nssont
!a source d'innervation des glan-
des parotides. XV, j)9. Leur
action sur les glandes diffère do
celle qu'exerce le système gan-
<'ux.Uf, 338.3. Le curare1
)t-s empoisonne. !33<);'V, )!)9;
v)n,2T:;xt.s4,no.t3u:ft!,
30!lis peuvent 6).re)est''s sans
qufie*! nerfs sfnsitif.s te soient.
tH,3.')3.–t.a strychnineles
laisse intacts. Ut, 3,'<T.–Leurs
terminaisons. !V,)2!);X, 24'
Le~r origine et leur distribution,
!V, ).')-t. Leurs réactions sous
tinuuenco des différents exci-
tants. !V,t!!(i.–Excitant nor-
mal, la volonté. IV 138 XVIII,
347. Excitants artificiels. tV,
)3.S,)4&Excitants mécaniques,
chimiques.bi)e, sel marin.IV, t4).1.
[nnuence do l'eiectricite. IV,
t.4'! X, 2C9. Courants iadxits
on indirects. IV, t46. Courants
continus et interrompus. 1V, 148.
DitK'M'nce dans leur action. IV,
)51. Action chimique et phy-
siologiquo. IV, 152. Points (!'ap-
plication d'un courant sur un
nerf. IV, 154. Effets produits
par )e passage d'un courant a
travers un nerf. IV, !GO. Dé-
sorganisatton et excitation. IV,161. Fatigue du nerf électrisé.
IV, )G~destitution~o
ses
propriétés par te renversement
des courants. (V, 164. Contrac-
tion musculaire à t'entrée ou à la
sortie du courant. IV, 165.
Action de t'otcctrite, expériences
des auteurs. IV, 167. Leurs
conciusions. IV, )6' Kxpérien-
ces nouvelles. IV, )6S. Exci-
tabilité électrique. tV,t70,)94.
Fatigue du nerf par excitation,
dessiccation, contusion, section.
IV, 184. Réactions qui corres-
pondent aux différentes périodes
de son affaiblissement. IV, 185.
Difficultés de l'expérimentation,
iorsqu'on agit directe meut sur les
racines. IV, )89. Dans la mort
lente, le nerf périt de ]a périphé-
rie au centre, et non du centre il
la périphérie. IV, 193. Leur
action sur les muscles de la vie
de relation. IV, 206 X, 262.
TABm ALi'nAUÊt'tQUE ET AMALYTtQUË238
~.tionnaire.XV, ."fM.–Ttut qu'ils
glionnaire, XV, ,.2,0, ils qu'ilsne.o))t pas excites, Us restant
at'étatdoroposoudere!ache-ment.XYnt.34t.–tnftueuce de
1tasens!bihte.XVf!r,7.–Voy.
~'ft'f)f(~CM-OCK/<f.'COMMM?i,
A'<'?'MO/CM)' 0<-U'<.<t)'<'M<<')'))<
Ner/'mo/f'K)'df~aparo<!W<f'r/' ff"<0<CMr~t'/a.<0!<njfM'i«c«)'e.
KEHFS MOTECKS CEKEBKO St'tKAt x Ils agissent sur les tissus.
X!,3()0.
–Mordus MU CLO)!): OCU-
LAtRK. V, 922.
1Mt'Tt:CRS !t!J Mt 8C!.Ë. X, 3~5.
MOTt:Ut(S !)); L'OE)L. V,
2UO.MOTEUKS nE H SHCn)!T)OK,
Us dihtent tes vaisspau\.XY, a37.ils
dilate,nt
lesvaisseaux. XV,
5:1i .1'MOrm'KS nu SYSTEME OU
GAKtQt'E. Ils u'agissem que sur laMntrsctiiit~ vasculaire. XI, 299.
MOrEUBS 0)E LA VtE OKGA-
Nt~UE. Us sont absolument sem-
bhb)cs& ceux qui président au
mouvement volontaire, XI, 24C.
Ils se distinguent des nerfs
moteurs qui président au mou-
~emcntinyototjtAirepart~din'e-ronce d'organisation des fibres
muKutaires.Xt,M(!.
MOTECttS VOt.O~fTtmES. Ae
ti('uducu)-a)-(',)V,3}S,!)t.'<.
ME MUUVEME~T, XVIII, 3U3.
Mt'SCULAnmS, XV, 4t! Pa-
t'ath~e avec les nerfs vaso-moteurs.
XIII, 20Il;nE t.'<)Ë!L. Sonsibiiitë recur-
rente. V, 221, M5.
OLFACDt'S. V, 22f!. Obser-
vations d'absence de ces uerfa.
V, M7. Cette lésion [t'était
pas diagnostiquée pendant la vie.
V, 221.–Leur destruction. V,M(!.
ME LOREU LE. V, 5)G. A la
suite de leur section, ecchymosesdaHSi)'ot-ei)ie.V)),:}:t6.
I.OKCAKtQCES. Leur disposition
anatomique explique l'opinion des
anciens anatomistes & cet ~gardXt.M7.
–CEL'0)L'i):.V,}).
KKtU.-S t'AKALYSANTS t)s produi-sont au fond la m~ttie action quenerfs cMitants.X,ÏT3.MK LA t'MAL Leur sensibilité.
Xf,3M.
t'~EU.M<)(;ASTn<QLES Voy.
PHeM'nOy<<<t<f!.
HACmmE~s tv. M. 232.
Expérience. JV, 'i2;V,'i8t.Leur turgescence. tV, 57. Ana-
tomie opératoire chez le chien.
IV, 63. Sf'nsitifs, iuf)ucnce ~ur
les mouvements du cœur. IV.
'C' Excitation etoctrique. tV,300 326. Les mCmas ctcmcntsuerveux sont associas dans les
nerfs rachidiens et dans les nerfs
crâniens. V, T.–PostÉricurs,re-tour de la sensibitite après la sec-
tion. V, <6S. Leurs fooetinas. )X)(', )), )~ tM. Expérien-tes diverses sur leurs propriétés.
Xt, H:). Leur sensibilité, XI,177. Leurs racines constituent
un organe distinct de i'eucëphatoot do la moelle épinière, quoiquejuxtaposées. X), )9'i.Fonc-
tions des racines antérieures et
postérieures. Xt, 5)7. Voy.
A~ wt.efes'rac/ttdteyM.
nE LA ttATË. Action sur la
contraction. V)f, '}2.'<. Leur gal-vanisation. VU, <2(i. Destruc-
tion. Vft, i9l.
DU KKCTUM. Leur section di-
minue la température du rectum.
VLtM.
KEFmSKATEmtS. XHt, 307.
DU tmtK. Leur section produitt'urOmie. Vf, 4!)6; Vtf.M.–Leur destruction, VI, 496; Vt!, 3!).
Leur section et leur galvanisa-tion modifient la sécrétion uri-
naire.V)L)66.t'!().–Leur sec,
tion doterntiua la mort en pro-
voquant fa gangrena de l'organeet on produisant un virus putrideà t'intericur de l'économie, XI, 20.
–H)ESt')mATUtKMS.tX,)3.
HK LA SECtŒTtO~ SAUVAf-
RK.V.iM.
SËCKEtûtHES. X)tL2t-
DES fEUVRES DE CLAtJDE BEHKARD. 23)
NEm'SRP.SSt~SSt'KOAFX.X~tS.t)); LA SE?!S!B!~i V, S
XVIII, !)2. –Leurs réactions
sur)ec<t'ur.XYnL3.')().
SE~'Stttt.ES. Leur excitation
donncuncdouteuretun mouve-
ment a son extrémité. !V. 2!).').
–St:?<sn'tfS.t\22;V. 4<!8,
fX.tf.:X,93~,2!)t:Xif[, 2).
–M;'gendif'.HL 20.–Le cu-
rare tes laisse intacts. Ht, ~42.
–Leurs terminaisons. !V,t9');
X, 2')5. La volonté a-t-etie
besoin de leur auxiliaire? {V,2.)3.
Leu:' innuence sur les tnom'c-
ments du cœuf. !V. 2C.S. Leur
inOnence sur la pression t'ascu-
)airo.(V,M?.–Leut'irritation.
IV, 9').'); X,3i8.–Mouvements
produits par ieur excitation.
295.–Comment ils meurent. )X,
2.') Xf), S?; Le curare les (!is-
tingue des nerfs moteurs.X, S.).').
–Hs'iontf'xCttants~uBcrt'njo-
teur. X, 299. Leur structure.
X, 2!)3: XII, )37. Leurs rap-
ports avec la moc))e épinière, X,
29' Le courant nerveux est
centripète. X, 319. Leurs irri-
tauts. X, 33). Action de ]'e)ec-
tricite. X, 323. Action de la
strychnine. XI, 84. Leur sec-
tion supprime les symptômes gé-
uëraux qui suecÈdent aux injec-
tions de sable dans les artères.
XI, 95. Effet de leur irritation
sur ta circulation generate. XI,
9' Leur irritation permanente.
XI, 97. Leurs différences avec
les nerfs moteurs, après unescc-
tion complète. XI, 924. C'est a
son extrémité périphérique que
la sensibilité commence dispa-
raltre dans l'anesthésie. X!L U5.
Ilspuisent leurs propriétés dans des
systèmes capillaires différents de
ceux où les nerfs moteurs puisent
les tours. Xtt, 2~4. Leur exci-
tation produit un abaissement de
température et une augmentationde la tension vasculaire dans les
artères. XH!, 298.
~t;HtS St~S!t)tS DL Ct;Rt;BRO
S!tL. i.irritation augmentf
t'activit~t~'s pftenom~nns chi-
miquest'ur~is'iantsurie grand
''ympathiquc.X,<f). 1.
SEXSiTU S SrMUSCLE X, .).
SC~StTttS DU SYSTÈME «M
GA\tQt'E. fis ne transmettent
que des impressions dont l'animal
n'apascouscience.Xf,298.
SKASORtAUX ou St:~SOKn;t.S
V, 8.
DU SEXTtMEXT ÏX. )72
Lom'.s fonctions sont abotics parla stt't'choiue.}!). 3~ Ne
sont pas empoi~onuos par le cu-
rare. V, lunnencedu
fi-oid.X),;);
s))'t.A~<;))~iQt.'Es. v, M6 xm,
2CC. Effets de leur section
iu(!uence sur les veines. V, .')2ë;
Vil, iït à ne; Xnt. 205. -Leur
galvanisation influence sur les
veines.Vi),ni&]':n;X~ 3~.
SVMj)'ATt)tQUES. XI, -")7.
Section de ceux qui se rendent au
foie. t, 4) t. Excitation électri-
que. tY, 300 à 3'!6. Ils donneront
l'explication des phénomènes ca-
lorifiques. XIII, 220.
THEMUQUES. XIII, 431 XVf,
t)6.
TRODttQUHS, hypothèse. XIII,
2t' 'M7, 2;!).
VA~t'ES. \'oy. ~a<fs.
YASCU~AtRKS. XIII, 2).').
Comparés aux nerfs musculaires.
XH!, 2t:). Voy. N.r/'i.'f~M~c-
leurs, Nf/s fh7'<fa/f«rs, .er/'<
MtO-~t~'<"<M'
YASO-nn.A t'ATEURS ou dita-
tateurs vasculaires. XHt, 22 23~,
XIII, 348. –Démontres par une ex-
périence sur la gtando sous-maxil-
tMre. XIII, 22'?. Démontres par
des expériences sur l'oreille du
lapin. Xfft, 230. E\p. avec te cu-
rare. XHr,29L –Leur mécanisme.
Xttt,239.– Voy. ;Ve<T.' </i~<t~f«~.
VASO-MOTKURS. t'oy. ~o-
mo~U)'
DE LA VIE ORGA?f!QUË, et
TABLE A[J'[!ABËT!QUE ET ANALYTIQUE2K)
poisons est plus rapide. XI, Ma.
Les réactions chimiques qui
s'opèrent dans i'organismo vivant
lui sont soumises. Xt,ï4'i.
Thermique. XIII, 32n. Elle est
portée au cceur par ioa nerfs
pneumogastriques. XVfff, 36).
NKRVEfSE (t'AiM). Voy. Pa~.
(PA~~A~,YS~E). Voy. Para~c.
(i'MFR)ÈTÉ) motrice, elle diffèredo i'otectricitd. !V, 228. Nous
n'agissons pas sur elle. XVI, 291.
(PutssANCE.) Son augmentation par
section de la moeUc. IV, 3'!6, 3~8;
V, 12. Sa prédominance dans
]a face. V, 12.
KEHVMUX (AcTE). Sa relation avec
tes phénomènes chimiques qui se
pMsont chez les êtres vivants. VI,289.
(AFPAMH.) cerébro-spina) et <phn-
chnique du lapin. I, 330.
(ÉLÉMENT). Voy. Ë?<:MM< Hf)'-
veux.
(FfLBT). Voy. Filet nerveux.
(FmtM). IV, 4. RapidM de sa
marche. XI, m. Modifications
de cotte propriété dans l'empoi-
sonnetttent par le curare. XI, )'H.
(PHÉNOM~fES~ ou mécaniques. XI,
46. Accompagnant le diabète.
443. Ils sont do deux ordres.
IV, 21. Comparer aux phéno-
mènes électriques. IV, 210.
Ils so traduisent en définitive par
un mouvement. X, 351.
(SYSTÈME.) ÏX, 9. Ne présente
pas de matière glycogène dans
son devetoppoment. 259. Son
action sur la production du sucre.
1, 288. Son innuenco sur la sécré-
tion du foie. t, 296. Son action
dans le diabète artificiel. f, 328.
Son influence sur la sécrétion
paLMtidienns.68;XV,5n.–
Action sur les glandes et les sé-
crétions sativaires. H, i68 Vtî,
267. Son influence sur les phé-
nomènes digestifs. 433.
Théories vitales lui rapportant les
en'otsdes substances toxiques.
III, 102. Le curare en abolit les
nerfs de la vie animale, la diffc-
rance est plus apparente que Jer6e))c.X),296.
KEKVEtSR tAcTKM). X))t, :;)).
Son mécanisme dans la pro-
duction du sucre. 1, 322.
Idées qui ont guida dans la dé-
couverte des faits indiques. t,
323.–Son mécanisme dans la
sécrétion glycogénique. 32'
Sa partdauslag[ycoj;enie. ),
3'!2. Hat-eUo tra!tsmis(! au
cœur et au poumon par les pneu-
mogastriques ? V, 404. Dans
les phonomÈne" chimiquos. VJ.
272. Son méMNisMe. VI, 2T!.
Experienca. V!, 273. Vaso-
motrice. IX, 68. EUe so pro-
page par le cylindre de l'axe.
X, 266. Sécrétoire. XI, 263.
Diverse. XI, '!99. HMexe
multiple. XI, 305. Thermique.
XH), 289. Chimique. X.)H, 29),
319. Frigorifique. XIII, 291.
Sensitive, eUe vient retentir
dans le eceur. XVIII, 352.
–(ALTHRATMK), CO~)S.CUtivo~~a
section dos racines de la deuxième
paire rachidiennecervicate. tV,ï!!L
(ËxTRKM)TÉ). Son état dans les
moignons des amputés. Xt,)9).
f,Foxcï[o!f) vftf-o-ntotrice. IX,
68. Nous n'agissous pas sur
elle. XVI, 2!)0. Elle périt par
la suspension de la circuiation du
sang et est exaltée par son exagé-
Mtion. XVIII, :!54.
(FoMCB). X, 73. Accumulation
produite par section de la moelle
ep4niere.!V,3'm.
(tKFUiEKcE). X, 263. Goûteurs
diverses du sang veineux. VII,3M !t 324. Knets do ses varia-
tions d'intensité sur le triple état
du muscle. X, :2. Le dëvefop-
pement des tissus en paratt in-
dépendant. XI, 45. Sa <up-
pressiou rend les tissus plus irri-
tables. X!, 209. Effets produits
par sa suppression sur le système
musculaire. XI, 230. Quand
etie est supprimée, i'action dos
DES ŒUVRES DE CLAUDE BE!t!<At)D. 24 <
CLAUDE BEttMM. XtX. ~g
pancréatique. Vf[,3{H; XV, 588.594. Son action sur les sécré-
tionsintestinales. Vif, 378. Exp.
V! N88. Sou influence sur la
production du pus. V)), 428. Son
influeuce sur la nutrition il n'est
pas indispensable & la productionde ces phénomènes. VIII, 295; X,
405; XI, 17. Son influence sur
les phénomènes de calorification,
exp. de Cf. Bernard. VIII, 2M.
Il n'exerce pas une influence di-
rccto sur l'absorption. IX, 73.
Son rôle dans l'absorption, la sécré-
tion et l'excrétion. ]X, 88. Ses.
propriétés varient selon les races.
IX, )7G. Il est sans influence
sur les phénomènes organiquesévolutifs. IX, 2t5. Les mouve-
ments vibratiles en sont indé-
pendants. X, i36, !50. Rap-
portsavcc ta substance muscuiaire.
X, t59. Les fibres musculaires
peuvent exister sans lui. X, 160.
Son action sur les muscles.
X,!93.–tt comprend le sys-tème cët'ebro-spiaaf, et ie sys-
tème du grand sympathique. X,
235, 421; XIII, 205. Il se ra-
mené anatomiquement a deux es-
pèces d'éléments, des fibres et
des cellules. X, 350.–Son ac-
tion sur la constitution et la com-
position chimique du sang. X,
373; XI, 269. Son action surla combustion respiratoire. X,373. Son influence sur les
phénomènes chimiques de l'orga-nisme. X, 402; XI, 244. Il
agit sur les phénomènes chimi-
ques par l'intermédiaire du sys-tème vasculaire. X, 409. H n'a-
git pas directement sur les phé-nomènes chimiques; il se borne
à mettre en présence les éléments
qui doivent agir les uns sur les
autres, en vertu de leurs propriétés
spéciates. X, 419. H sert à la
manifestation des phénomènesnormaux de la vie et aux réactions
pathologiques. XI, !2. En agis-sant sur lui, on peut produire à vo-
manifestations. III, 30, 326.-
Ses rapports avec les mouve-
ments du cœur. Ill, 346. La con-
'-racti)it6 musculaire en est in-
dépendante. Hf, 353. Chez les
animaux inférieurs, comparaison
des effets produits parie curare,
la strychnine, le sutfncyannre de
potassium, III, 36t. Analyse de
ses propriétés physiologiques au
moyen du curare. III, 463. Son
importance. IV, 1. Idée des an-
ciens sur ses fonctions. IV, 3.
État de nos connaissances sur ses
propriétés et ses manifestations
gene'-a'es. 'V, 20; V, 2; XI, 159.
Anatomie générale. IV, 120.
Excitation électrique. IV, 144.
Chez les invertébrés. IV, 505.
Des sangsues. IV, 505, 507.
Recherches anatomiques et
physiologiques do M. E. Faivre.
!V, 506. Des rotateurs. !V,
50G. Son perfectionnement en
remontant la série; son déve-
loppernent s'accroit à mesure
qu'on s'eteve dans l'échelle ani-
male. IV, 50T XI, 13. Du
lombric. )V,507.– Des dyti-
ques. IV, 509. Des inver-
tébrés, les types anatomiques
ont leurs analogies dans la
période embryonnaire des ani-
maux supérieurs. IV, 514. Son
influence sur la persistance des
<istu!es sativaires. V, )58. Est-
ce par son intermédiaire que la
chaleur agit sur le cœur? V, 399.
Son influence sur la chaleur
animale. VI, f29 XIII, 159, t99,
203. Son influence sur la colo-
ration du sang. VI, 266, 2SJ, 290.
Son influence sur l'absorption
d'oxygène par le sang. YI, 284.
Son influence sur la coaguta-tion du sang. VI, 414. Son in-
fluence sur le diabète. VII, 84;
XtV, 565. -Son intervention dans
t'urination. VII, 164. Son in-
fluence sur la résorption de la
M)e. VII, 216. Son inHuence
sur le pancréas et la sécrétion
TABLE ALPttABÉT!QUH E't' AMA).yT:QUH-m
tonte des pMnom~nos morbides.
sans introduire dans t'eronomie
aucun principe nouveau.X),1S.
Uticntsous sa dépendance des!
phenomèoe', morbides qu'i)para)t
impossible au premier abord de
reproduire, et que te physiolo-
gistepeutdcvetopperexperimen-
ta)emcnt.X),).').t)cxp)ique)a
différence d'action des médica-
ments. XL 28.–Son 6tat. cxpfi-
quetcsdifrcrcnces de l'action des
poisons sur divers animaux. XI,
34. Maladies dans lesquelles
itueparaitjouer aucun roto.Xt,
t5.– Son intervention directe
dans !osef!'cts des poisons. Xt,
'.)~. Son inftucnco sur los sym-(((i
ptômes gencraux de toutes les
maladies. XI, 99. Sonin-
fiuence sur tousies actes do la
vie.Xt,)H< Son caractère
oasentictau point do yucphysio-
ioginue, c'est le dualisme, X~
)'?;La sensibilité et la mo-
tricitcsontdesp['(ipt'iett''squide
tout tomps lui ont ëta rapportées;
ce ne sont pas les seuls phéno-mènes qui en dépendent. Xf,
172, 244. subit, dans toutes
ses régions, )'ex~g6ration des pro-
priétés physiotogiques qui s'oh-
serve dans les piu'ties séparées
de l'encéphale. XI, MG. Ses
propriétés semblent au premier
ahotd augmentées par l'action des
médicaments. XI, 224. Ses ie-
sions modiflont les effets des ex-
citants extérieurs. Xf, Ma.
Troubles dont il est exclusive-
ment ]c siège. Xi, 228. MtK-
rence esscntieiia entro ses deux
graudes divisions. X),229.–
Il intervient dans les phénomè-
nes de l'Ir6matoso. XI 210.
Son influence sur les pheaome-
ncsdei'abso)-ption.X),2S3.
Cotte inf!ucncadeponddasonac-i 1
tien sur les vaisseaux. XI, 287.
Excitabilité divers degrés.
XI, M9. Sous son influence,
les tissus peuvent passer do l'é-
tatde repos à l'état d'activité, et
([o t'Oa.td'tctifitc&f'etttt de re-
pos. X!8'i n'existe earea-
titu que deux systèmes, t'un seu-
sitif, l'autre moteur. X),2:)!<
tfe~tdestinô&t'aireregnerDtat'-
monioet!tro)es diverses parties de
)'organism(!.X), ;!<)'?. Ses ac-
tions sur tes autrcstisstus. et sur
Jui-meme.Xt.HX).– Snnin-
Huencp sur les organes gtandu-
iaircs.Xt,;US.– Soninnueace
Burter<;it).X).t3. Son ac-
tion sur les circulations locales.
XI, MC. –t):~it sur l'élément
contractile. XI, 3'Ses alté-
rations microscopiques par divers
empoisonnements. XI, tM.
SoHr6)Gr6gut:ttnur.X!tf, f'M,
32'Ses rapports avec ht circu-
lation. XtU,) joue le rôle
d'où frein dans la mMbinf; vivante.
X)H,9M.–H sertài't'tro vivant
pour faire du froid ou du chaud
surptaco.Xt[f,S24.–exemptes
emprunte!) amxorgani'ime.t m(o-riours et aux réactions chimiques
pourfaire comprendre ce rû)c. XHt,
!!29. Actiou de la chaieur exté-
rieure comme agent toxique. XIII,
S8t. Son rôle dans la ncvro. Xttf,
4:)R. Son induonco sur la glyco-
surie. X!V, '!). I) exerce son
action sur la giycij.;caGse par te
foie. X!V,403.–Ctyco~ône chez
le fa;tus. Xt.V, 501. --Son influence
surles cceurs veineux ettymphatt-
ques. XV, 389. Son influence sur
la production du suc gastrique. XV,
5.ït.–n est )'agetit de i'equiti-
bration de toutes les conditions
du milieu intérieur. XVf, <t5.
Il préside aux phénomènes fonc-
tionne!s.XVU,)!6.–Sonaction
sur le coeur. XVIII, .'i:)8. Voy.
C~tf~'o-~tn~t~ (Système) et SyM-
pa<Me (Système).
MEMVKtjX. (Tisse). X, 111, XVin,
267. Conservation protongce do
ses propriëtes après la mort, chez
un animal à sang chaud. V, tt.
Expérience. V,tS.
MS ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. 2t:!
"fERVEt'XCt'L'fjK.JX. XVIII.
270. Priminf.[V.)20.–Sa
structure. IV, 121.
~EKViSTES.X.~6.
~EUTRADSATtOK des poison,.
III, 54, 100.
~EVHALGtE FACtALE section de
iaeinquicme paire. X),)0~t.
KÉVRH ËME tV. 120.
KEVKt~)'XVH,M8.
rtEVROSTHEXtQUES (Potsoxs'
Voy- /'o'.<s.
rtEWTt)~, il a dit (ju'i) fallait dé-duire les ttteorics des faits. XI,
480.
NEZ, e)Tets de !:t parajyif du fa-
c!a.). V,:K!Ses mouvements
sous l'influence des anastomoses
du nerf vague et du facial.182.
MBBMËS. Xf. 244.
KtCOTtNt;. iU, S')~ Son action
so localise sur le système vascu-
)ah'ccapiUairc.!H,M!).–Action
d'une dose )'aib)e sur le pneumo-
gastrique et le poumon, i!), 401.
Son action sur )e cceur avant
et après la section des vagues. H).
402. Lorsque l'action est in-
tense, elle porte sur io système
muscu)aire.Ut,40C.–EHeapitsur iegraud sympathique, tn.
40;). Elle s'aMre la iumiere.
II1, 400. Elle est diurétique.
Ut,408,-H).–Ë))e augmente la
pression du sang. Uf, 40!). Ré-
cente, elle produit do la raideur
musculaire. Ut, 4U. Action sur
t'œi!. V, 220. Elle agit, comme
le sympathique, sur FœU. V, 220.
Empoisonnement par cotaient.
Xf,4M.
NIELLE DU BLÉ. XVI, 88.
KOBtH, ses lois. X. 98:
NOEUt' COULAKT. XV, )OC.
Pour Hxer les membres. XV, 125.
!'<'OEUMVt't'AL.),3f.V,38:
X!V,88;XV,')3;XVIIf,4t6.
KOtXVCMtQCE. Dangers qu'il y aa
a. employer l'extrait. XII, 82.
NOrt-Ai\'EST)!EStE des ferments
sotu)~es.XVf,2'!7.
~OSOLOGtE Vf! !'). K!)n est
tohjptdetamcdf'finfd'nhsf'rva-
)ion.Xf.4.')S.Aux t~mps an-
ciens. XV, ;)6. Voy. E'M<i~'i; ?ifoo~o-
'/i'7!«'<.
~OSTOCHApparition âpres )a
p)uip.XV[.8<).
KOmuUTUREsncref~etfécutentc
donneau foie. une décoction lai-
teuse.t.')0,)5:t6' 6-2
~OYAU, ses rapports avec le proto-pta~ma.XVt. !:)(;.
DE CELH'H;. Xff.))' XV),
)8t,t98; XVU), t'n. Organi-
quc primitive. )X,9;).–C'est uu
vct'itabte organe générateur. iX.
tCï.
DE LA l~BRU MUSCULURE
XVt,t88.
HEMM~ATU XVf, 3t4
PRtMH')F. XVf, 309.
t'ROTOt'LASMtQUE. XVI, 188,
{M.
KOYKS. XV, 4:0.
~UOLEAHtES VÉSICULES~. Voy..C!~fX ?!MC/Mt)VX.
NUCLEOLE. )X, 100 XVt, 19).
)9'). Sa constitution. XVI, )99.
–SesYacuoh'.s.XVt,t99.–Sou
rôie.XV'f,90f).–Ses mouvements
amœboides. XVf, 200.
XUCUSOUJ~ES. XVt, ''00.
KUMERtQUE tMÈTHOUE~. Voy. ATc-
</tM<e~Kn)~<y;;f.
NUQUE. Voy..MM.<c/M de la KM-
?~.
PfUTmTtOK. tX, 9t; XVII, 24),
:t6(!, -)S5. Mapports des êtres à
ce point do vue, chacun pour soi.
t, tM. Comparée chez les ani-
maux et chez les végétaux. l, 261
t!, 9o:4M,4!)7;Vt.34).–Fer-
mentation incessante. t, 2M.
Fonction intermédiaire entre l'ab-
sorption et l'assimilation, sa néces-
sité. IT, 495. Influence des gan-
g'ions.'V. 235~245.–E)te no parait
pas altérée par la section des raci-
nes rachidiennes postérieures. IV,
256 à 26(!. Influence des sen-
sations externes. IV, 373. Mo-
difications de ses conditions pro-
TABLE ALPHABÉHQUE ET ANALYTIQUE2~
duisant des attorations du sang.
VI, ~78. L'urée est un produit
de décomposition. Vit, 3),32. -1Hôte du sucre. VIII, 288.3)8;
XVn.tH.- Inf1uenc.e du sys-
t&ma nerveux. VIII, 295 X, 405
XI, 17, 287. Dans ses phÉnome-
nes, les organismes vivants ne
créent rien. IX, 92. Son bilan.
tX,92.–EHo n'est qua la géné-
ration continuée. tX, 92 XVH).
t36,t92.–E))o n'est directe ni
dans l'organisme végétal, ni dans
l'organisme animal. IX, M, 97,
208; X!V,43~; XV!33.–
Le sang lui sert d'intermédiaire.
!X,9'ËUo se passe dans les
éléments du milieu intra-organi-
que et da.ns les éléments histolo-
giques. IX, 98. Elle est conti-
nue. IX, 98. Ses phënomcttes ne
sont pas en dehors du détermi-
nisme scientifique. IX, 2)4. Ses
perversions sont l'origine de tousles tissus pathotogiqucs. XI, n.
Influence des uerfs vaso-mo-
teurs sur ses troubtes. XI, 312.
Elle est réglée et gouvernée par la
sensibilité. xm, 309. C'est le
phénomène )o plus général de
toutëiément organique. X!V, 81.
Examen générât de ses trou-
bles. X!V.~33. Elle est distincte
de la digestion. XIV, t35. Rôle
du foie. X!V, ~36. Expériences
pour montrer que tous ses phé-
nomène* eMent'efs se passent au
niveau dos capillaires. XV, 308.
Est un des caractères de la vie.
XV!, 35. Réserves pour la nutri-
tion. XVI, 121 XVU, t36. Elle se
confond avec t'évoiution. XVI,
383. C'est le caractère le ptus
général et ta plus constant de l'être
vivant. XVI, 387 XVIII, iM, t!)2.
Son caractère gênerai. XVU,
J32. Les matériaux étrangers,avant d'être utilisés par elle, pas-
sent par deux états, l'état d'ali-
ment digéré et l'état de réserve.
XVH, 134. Ses prouminan'es.
XVII, 241. Elle est préparée par
la
digestion. XVH,3tl.–Théo-
ries. XVH, 381. Rapport de ses
phénomènes avec le déveioppu-
ment. XVtf, 381. Dans le sang.
XVn.382.-Théorie de Liebig.XVII, 3M. Modifications qu'elle
exerce sur les organismes végé-taux. XVIII, 139. Elle sert au
physiologiste modifier les été-
ments histotogiques pour agir sur
les organismes vivants. XVIII, t39
–n'y a aucune différence dMS
sou essence, malgré les variétés
de l'alimentation. XVIII, 326.
Voy. *!M!t'!< jÉ/a<wa<tOK
MMh't<tHe, ~Ct<«n<! 7:t<<t';<t/
fe'?MMt<a<)on< nutritives, ~'ft'<a-
&t7t«7tM<ftt)<n't'<a<tonnM<)'t-
<<t)e, JtfaMrMM-E K!<t<</<, Oscilla-
tions 7!M~'t<tt'e'f, fo/yMOt'pAM~)~
nM/r:7< ~<<<o~ MM~t/ttf.
serve de moMt'faM.E nutritifs, j!
M~fe!MMt)':<tHM.
NUTRtTtON AKtMALE. IX, 96.
DIRECTE. XVI, 140.
D'UN ÉLÉMENT HISTOLOGI-
QUE végétal et d'un éiément his-
tologique animal. !X, 94.
BES GLANDES. Les ganglions
lymphatiques ont-ib un roto? t,
ML
!MPARFA!TE. XI, 56.
BES LARVES de mouche. XVII,
136.
CES MEMBRES, par suite d'a-
biation du ganglion. IV, 264.
CUMUSCJUE. E!]a ao s'opère que
quand il est on état de fonction.
IX, 28,
NU NERf. !X, 28. Usages du
ganglion intervertébral. IV, 234.235h245.
DES NERFS MOTEURS. X, 253.
«ES TtSSUS.InCuaHcedes nerfs.
XL 306.
rnJTRtTtfS (PHÉ!<OHÈ!<ES). IX, )38
XVU,!x,)2,4'!9,485.
NUTRtTIVE (GÉttÈRATiox). XVIII,
205.
NUTRITIVES (FottCTtoxs). Le cu-
rare tes exagère. 1, 381. Leur
équation. IX, 92.
HES (E)JV!ŒS DE CLAUDE BRKN,\nn. 2M
7tt?T!UT)VES (ScMTA'<cEs~. Trans-
portées par te Mng~teur desti-
nation, XI, 83.
M VS'f ES. Oxyde da carbone. XH.379.
OBUTÉMATtON DK LA VEINE
fO«TE&!a suite dephiebite.
VII, )94. Son influence sur )a
formation de la hile. VII, )95.
A son entrée dans te foie. XIV,
3'!0.–Expériences. X)V,9'!).–
Observations ctiniques. XtV, 2'!2.
Diabète alimentaire. XIV, 33i.
OBSERVATEUR. VIII, 28.
OMSERVATtON.tV, t3; VIII, )),
t2,36t:tX,~32; Xt.t33.478;
XH, 2; XV, Xi, 3, 2i. S'appuyer
au:' e!!e, c'est autre chose que
faire des observations. VIII, 20.
Rôle du hasard. VIII, 346, 335.
Elle est le point de départ de la
recherche expérimentale. VHI,2C6. La médecine expérimen-
tale s'en sert comme point d'ap-
pui nécessaire. VIII, 347. Elle
apprend la forme des phénomè-
nes. XI, 5~. Voy. ~f/M?!?
d'observation, Sciences c!'o&!?''t'a'-~t0)t.
ACTtVE. VIII, 14.
CHKtQt'E. V! StT. Néces-
sité de comparer avec elle les re-
cherches expérimentales. Xt,H5.
Ses rapports avec l'expérimen-
tation. XI, )32, 572. Elle doit
précéder tes recherches expéri-mentales. XI, 414.
tNVOLOKTA'KE. V! 27i).
PASStVE. Vt!I, 14,
DES PHENnMËitES. X!,4)9.
PROVOQUEE, préméditée ou en-
gendrée par l'expérience. V)!
40,272.
PUKE. Son rôle. IV, 9.
OBSTRUCTION DU POUMON par r
injection de gaz dans le cœur.
m,t63.
OCCLUSION DE LA TBACHEE
Ses effets. Vf, 509. Expérien-
c<i. VI, 509.
OCULAtRE (Gt-oBE). Voy. Globe
oex~trc.
–(NEttF). Voy. Nerf moteur oculaire.
ODEtJMS Passade des matières odo-
rantes dans l'urine et dans!a
bi)e.Vf!.2)3.nans!e)ait.V!
241.
OEOÈME amené par section des
t'acises postérieure! !V, 256.
OEIL. Sa sensibilité dans asphyxie.
!)!, 215 Vf!, 32. Influence des
gansions. IV, 324. Effets de la
paralysie du faciat. V, 32. Ac-
cidents qui surviennent après la
section du trijumeau. V, <!t.Ses altérations après la section de
la cinquième paire. V, 85. Ses
glandes, après la section de la cin-
quième paire. V, 92. Effets de
la section du grand sympathique.
V, 151, 473. Ses nerfs moteurs.
V, 200. Mouvements du globe.
Y, 2)8. La nicotine agit sur lui
comme le sympathique. V, 220.
Influence du grand sympathique.
V, 53!. Effets du sympathiquesur l'inflammation de t'ceit. V,
.'t3t. Humeur aqueuse. Vf!,409. Voy. Glube Of!)' Globe
~c <'<)'!<fh!n!eMr n<}rMf!<s~K-ntfto' t':f)'~< Nerfs de /'o')7.
OESOPHAf.E. les aliments s'y accu-
muient après la section du pneu-
mogastrique. V, 4)0. De gre-
nouille. X. 139. Sa ligature. XI,
6C. Expériences sur ses fonc-
tions. XV, 551. Effets de )a
section du pneumogastrique. XV,
552.
OESOPHAGIEN (\ERF). Voy. Nerf
<MOpAn<y!<'t).
OEUF. IX, 104, t06, 229 XVIII,
)33. Il est un devenir. IX, 110.
C'est un centre puissant d'action
nutritive. IX, 110. En agissant
sur lui, on doit pouvoir opérer des
changements dans les organismes.
)X, 111. Son développement.
XI, 46. tnuuence de )a chaleur
extérieure. XIII, 402. Son assi-
miiation avec la graine n'est pas
exacte au point de vue de la vie
latente. XVI, 92. offre la vie
engourdie. XVI, 104. Son anes-
thésie. XVI, 275. C'est le point.
TA))),)! AL[')!AnËT)QUE HT ,<ALYTtQUK~t6 V
do dcpart (h's f'spf.'ff.'s aniutates ou
v~é(:des.XV).:t09.–Ues<.)c
~ermepour)M''ovi.stos.XV),3H!.
--G)ycos('V)),8t.- Quantité
de ~)ycose<)ui y existe avant et
pendant i'incubation.XVU,8.').–
<~ut'ps polarisants. XVft, M!).
~orpsbiretriu~ents.XVt!)3).
–Kx~men des (litrét'CHtes subs-
tances qui y sont. contenues.
XVt!t3).–Matières atbumi-
no!des. \vn,534.–Corps ~ras
phosphores. XV![,53~. –innuence
do i'oxygcnc sur la manifestation
de l'idée cr6ttric<' ou évolutive.
\VU), 136.–Sa force evt)tuti\'c.
\vn], 2)0. Voy. Jaune t~M/
«Et.'F t) AKACHKtHË. X\ t. ~28.
CELLULE.X, 20.
ttËS tKVKRTECKKS. XVI), 95.
t)E LARVE. tX, )(M.
MALK et fonrelle. tX. 107.
DES MAMMU JEKKS IX, )<j8.
MEHOBLASH~UH X\i, :tiU
nEMOUCHt' e'ycogen&se. XYU,
)3~
MES OtSEAt'X. XVf. M.'): XVfr,
t3'G)ycugcncsf.XVt),.]:)f).
OLOBLASTtQUH. X\I, 3~i).
DE t'OCLE. Son incubation.
XVH!,(!3.
PH)MO«MtAL. Son développe-
mcnt. XVI, 309.
M VEtt A SOIE. X)[f, 329.
Influence de la chaleur oxtérieure.
XIII, 403. Vie intente.XV), U3.
OtES. Influence de l'alimentation,
saug chyieux. i, )M. Préhen-
sion et contention. XV, n2.
OISEAUX. Glandes Mtiv~ires. t), 3~.
Ils n'ont pas do chyiiffres. Il, 3t2.
Pancréas. )!, 465. Sue pan-
cr(iati()ue.j)f,tM.–i'upiUe.V,
2ta. Ligaturo de ia veine porte.
VII, t9' Empoisonnement par)a curare. XI, i;!7.– Sujets d'ex-
p6t'iences.X),555.–Soumisau
chtoroforme. Xtl, 55. Ils sont
peu sensibies & )a morphine. XII,
207. Leur température. XIII,
343. Préhension et contention.
XV, !)]. Moyen de tes ane~-
thcstpr. XV. )M. 0-;uf. XV).
Ï9.'):X\)t, i37.–G)ycogettes<.
XV)i,5~ Giycogcnedansia
cicatricutc. XVf), !)2. Giycogcn';
dufuif'.X\U.U'))an!it'(But'
etdan'i)'etnbryo[).XVU,555.–
Voy. ûfïu/' d'oiseau, Température
<~<<OM<?«M,r.
OLFACTIFS (XEftM't. V. Nerfs o/-
/N'<'<t.
CLFACTtOK.Influence de la bran-
che maxillaire supérieure. V, M.
Ë\p6rienccii do MaKsndie, V,
!9<Sesucrfs')p6<'i.m\obser<
V, 29(i 93' Sa diminution pro-
duito par une tumeur tibrouse )a
base du crAoe. V, M'4.
OJLUKK, transplantation du pé-
rioste.JX,)~.
OLOBLASTtQUE(ŒuF). Voy. ~tt/'
0~o4/<!<<<~Me.
OMBtUCAUX ~'A!MEAU:H. Voy.f'at.f.tcaM.
OMPitVOMES. XYU, 2.)'
Ot'Ht~ATtONS. Font-cites dispar&]-
treiu sucre?!, 9: <!). 308, 3Ti.
Et)e& sont moins gravea, quMd
iasensibitito estfimoussée ou
cteiuto. )V, 2'!U. Sur les che-
vaux vivaats à Alfort. XV, 76.
D'un usage général dans les vi-
visections. XV, )95.
OPKMA'jrOiMti (PHMMLON)E).
Voy. Physiologie op~ra<ot'c.
(TECHXtooE). Voy. ï'<'c/t~tyt<e opé-
Mt<o))'e.
Ot'HTMALMtQUE. Voy. jB)-aMeAf,
Gnt)<f0?:.
Ot'tUM. X)f, )G3 XV, 20. Sa fa-
culté dormitive. VUf, )38; XI,
)<?, 448; XVU:, 57. Ses effets,
XI, 225. Employé comme anM-
thesiquo.Xf[,38.–n produit la
somaotonce; exp. Xt), )ti&. )t a
uus action contutsivantc. XII,
i69. tt arréM la digestion
exp. XII, t69. Il est plus toxi-
que que la morphine à doses éga-
les; expériences. XII, 172. Son
emploi comme moyeu de conten-
tion dans )cs expériences. XII,
tH4 XV, )!)!, Combiné, avec le
DES ŒUVRES !)Ë CLAUDE BEHKARD. ~t"
sont)u-!fr!-ms.Vn.9'3'it.-Quan-
tited'o\y~'nernntenue()ans)csor-
~aues en repos et en fonctions.
V:r.4:f!s()i<Terent()usf!))stra-
tum d'après Btainvin'j.Vnt.tOO:
XY))),0,!0: C.e n'est pas
sur eux que les irritants produi-senticur action. \)!).-L'extir-
pation suhite dun organe ne
dnnnepasuneideejustedesac-
ti"uspatHo!ogifjties. X{,)<!2.–
)'n fonction, sources de chaleur.
XU),t3U;XVnt,3':8.–I)son)
tous un double système de nerfs
constricteurs, et de nerfs dijata-
tcurs.X!tt,'?35. –En état de re-
pos. XVtn,3'!8.–Leurs rapports
ayecte.s fonctions. X\')n,~U3.–
Voy. Activité ~c< organes.
«KCAKES BtHAmES. Voy. Bilial-
;'<;s.
Gt'?«TA~'X. Yoy. G'')t~aMJ.
GLA~'nULAtRES. Yoy. G/<M</M-
/N!')'<'S.
SECHETEUHS. Voy. S<'Ct'<'<eM''f
(Organes).
DKS SENS. Voy. Se'M.
SPLA~Cn?itQt;ËS. Voy. S~an-
c/tnt~Kf~.
.Rt?fA!RES. Voy. t7)'n<M.
OKGA~tQUE (CAt.oMDCA.Tto- Voy.Cu~o<'<ca!'0)).
~CHAt-Ecn). Voy. C~n~Mf.
(CoMBt-'STMK' Voy.Com&!<<!07:.
(CRHATfOK). Voy. C)'M~fO~.
(RÈSOKGANHATMf. Voy. DMOr~a-
?)<sof'on.
(ËYou;TM!<). Voy. ~uo/M~in.
~MtUËn). Voy. j/t/t'eM )7t<~r:cMr.
iPEnFECTMK'. Voy. /'<')'/fe<)b~ et
?)"<'f'<'<M?"'C?t~.
(HÉxovATtox;. Voy. Rénovation.
(SonDAKtTÈ). Voy. So/a;')<ë 0)'-
c~n~tt"
jSïfTHÈSH). Voy. S'/nt'.e~e.
(SvsTÈ!<E).Yoy. ~t/s<en)eo'an!«'.(THÉoxtE), Voy. Z'Ae'M.
(TRAOTtON). Voy. rt'adt<!on.
'TRAVAIL). T')-at'<!t/.
iVn.:).Voy.~t'f.
ORGANIQUES (CKH-ULEs). Voy. C~-
/M<M.
ch!ot'(tfnr)nc. an("-t))esic mi'Hf'.j
Xt),9it. Sa<'0tubtuaisonav)'c
!hy()raU'd':ch)ora).xn.3i().–
Rcchen'hcs cx.p6rimcntates.xn.
504. -Son emploi danstetude de
!ac)ta!curaui<na)c.X!)!,6~
Sonactionsurtachateuranimatc.
XVt~,2iG.–Voy.~<M/of.~M(~
/'optum.
Ot'POStTtOKS MÉntCAMENTKL
SES.nf,)9.
Ot'TtQt'Ë ~'t;RF\ Yoy.'s'f)-op<)?!
0!t)EtLLR, son~chautTpmcotch!'?.
le iapittapr~s section dota moct)'
6pinh':rp.fV,.ii).–Effetsdeh
paraL)ysn)dnf.n'ilt.V,3').–in-
Ouem'c de la section du facial sur
ses mouvements. V,39. Ëxpc-
riences.V.t).–Section de tac.M'do
du tympan. V, t-t5.–Produc-
tion de la chaieur, par l'action du
sympathique, après la )igatui't'
des vpittf's. V,08, 509.– Action.
sursa<'ha)cur,deta.ch)oroformi-
sation apr&s section (lu nerf sym-
pa.thitjueaucou.V, 5)2.Sa
galyattisatiou après section du
sympathique.Y,5)2. -Effets de
la gah'anisation sur M chaieur. V,
513. Les nerfs qui s'y reodent
iunucncosurtitYascutarisationpt
tatcmpcratura de l'oreille. V,.'))C.–Mouvement produit par
t'excitation do l'auriculaire V,
539. Épanchement sanguin et
ecchymoses pat'ta section de tous
tesn('rfs.Vn,33G. Du lapin,
expériences démontrant les nerfs
di)atMeursYascutair<'s.XU),230.
OKEH.LETTE. X\!i), 3-M.
Droite. XVtft, 3M.
ORGANES. )X, 63. La maladie
change leur état anatomique et
physiologique. 190. Les gan-
glions du sympathique ont-ils sur
eux une action ? V, t68. Leur
température comparée à celle du
sang. VI, 140. Couleur du sang
dans leurs difTëreats états. Vt,2a7.Leur fonction caractérisée par
l'analyse du sang avantet après
)'organe.VH,34.–Les nerfs en
TABLE AU'UABÉDQUE ET ANALTHOUK248
ORGANIQUES (CENTttM). Voy. Cen-
I<t'M.
(Cmcm.ATMM). Voy. C~CM~M'M
locales.
(ËLÉMNTS't. Voy. É~MH~.
(Gt:xxEs). Voy. R<-)'MM.
(LÈsioM). Voy. /.<n.! oryan~UM.
(MATEf'tAt'x). Voy. ;~<f')'iatu-.
(MATtÈHES). Voy. Ma<)~M 0!~f!-
~"M.
(MoCVEHEKTS). Voy. Mouvements
organiques,
(NERfs). Voy. JV<')' organiques.
(PUÉNOMÈKES). Voy. Phénomènes
organiques.
(PKtNCtfEs). Voy. Principes O'~N-
niques.
(SUBSTANCES). Voy. SM&~anCM.
(SYMPATHIES). Voy. Sym~x~/ttf'
o'e['uM.
(Tfssus}. Voy. TY-MM.
ORCAKtSAT!0\. IX, tt5; X, 7
XfV, 360; XVI, 4f, ~7 XVff, 3,
48&. Sa constitution. 11I, 40.
Elle ne se réalise pas d'emblée.
IX, )'!6. Elle est une puissance
génératrice continuée. iX, )26.
Elle est la conséquence d'une loi
org<tt)ngeoinu<* qui pt-dc'n'.te. iX,228. Son étude au point de vue
de la zoologie. X, 7. VtVMttc.M*u)<' elle peut servir au dévotop-
pement desprincipes virutent~.Xf.
37. Elle est un des caractÈrcs
de la vie. XVf, 32. Agents chi-
miques chez los êtres vivants.
XVn, sn. Voy..PAtitMM~iAt
~'<aMMa<tOM, ~t/n</<c o~aH!MMee.
OMGAMtCtSME de Rostan, XVII.
448.
ORGANISÉE (MATtÈM). Voy. Ma.
<«'fe o)'$a'!)4'
(STNTHÈM). Voy. St/n~t~C.
OKGAKtSMH.X, 3.–Destruction du
sucre. I, 217. –Origine du sucre.
f, 283. Pénétration des poisons.
III, 5C. Son équilibre avec le
milieu où il se trouve placé. III,t2C. !nuuence du froid. Vf, 51.
Formation de l'eau. VI, 439.
Particules intimes. VIII, )08.
Modifié par l'habitude. Vf!f, 9!3.–A A mesure qu'iia'~teve, les
différences anatomiques et physio-
logiques s'aecroissent. !X, H6.
Le système nerveux est destiné à
faire régner t'harmonie entre ses
diverses parties. Xf, 307. Il se-
rait connu, si on connaissait com-
plément un seul poison. XI,~4C. Son analyse. XI, !,3t.
Une substance n'agit sur )ui
qu'en passant par le sang. XM. 86.
Sa mort. XII, 138. Sa per-fection est en rapport direct avec
!o nombre (iMmttiadie.t.Xn, 32'
Différents points de j'orgauismnoù devra être étudiée la tempéra-ture. XIII, 7S. Il utilise quel-ques-unes des formes do la cha-
leur extérieure. X))), 3')5. La
physicfogio comprend son étude
dans ses états normaux et anor-
maux. XfV, .t. a, en chimie
comme on mécanique, des procé-dés qui lui sont particuliers. XV,
:i0'Sa mort est constituée parta mort des cellules. XV, 307.
Tombcat'ctat d'indifférence chi-
mique. XVf, OS. Exemptos prisdans le regn~ végéta) et le rcgneanimal. XVf, 69. Son perfec-
tionnemeut, che!' ies animaux à vio
constante, consiste maintenir
dans le milieu intérieur les condi-
tioas intrinsèques nécessaires à )a
vie des éléments. XVL )t2.
Hô)e inconnu de i'otygÂnc. XVr,
171. Analysé par Galien en
parties similaires. XVI, !).
L'irritabilité et la motilité du pro-
toplasma lui servent de trait d'u-
niou avec )e monde extérieur.
XVI, 242. Loi de sa construc-
tion. XVI, 353. Il est construit
en vue des vies élémentaires. XVI,
354. Son unité morphologique.
XVL 357. Son unité. XVI, 386.
M ne s'y forme pas d'eau parcombustion directe. XVH, 208.
Sa rénovation moléculaire. XVII,
221, 484. Voy. ~M~c l'or-
</a~tM;e, Liquides de <'o~c~MMe.
DES (EUVfŒS f~E CLAUDE BEf).\Aftn. 2H;~J
t!f)nnc!!c:t)a quantité de San;: qui
traverse le foie.f,))5.
OSCtt~ATtOK NUTRITIVE. XVII,
3';5.
VtTALM Son mécanisme. XV!,
t0.'). Son mécanisme dans l'en-
gourdissement. XVI, )0'h
OSMOSE. !X, 70.
OSSEUX (CANAUCULES).!X,i?).
(SYSTÈME). Gtycogene chez le fœ-
tus. XIV, 501. Voy. <?.<.
–('r;ssu).!X,t20.
OSTEOTOMES. XV, )90.
OtJtE. Nerfs de fouie. V, 2;).
OUMAR!t),2U.
OVAtRE. IX, t06, 2)3.
OVARIQUE (CELLCLE' Yoy. C~-
/M/C.
OVAR!QUES (Êi.ÉMEMs). XVIII, 131.
OVISTES. Pour eux, i'œuf est JR
genno. XV!, 316.
OVOGEStE. XVI, 311.
OVOGE~tQUË 'PKRtonE). XVÏ, 313.
OVULATION spontanée. IX, )0<.
D'un mollusque lamellibranche.
XVI, 308.
OVULE. !X,9t, t06; XVt.309: XVII,
457; XVHt, t39. Ses conditions
de vitalité ou de développement.
IX, 108. Primordial. XVJ, 314.
Son évolution.XV)t[,2tO.
OXALIQUE (ActDE). XVH, 280.
Son origine dans l'urine. VII, 60.
OXALUMtE. VU, 60. Voy. DfNMfsc
0.<:ft/<f/Mt.
OXYCAKBOXE (SAXu). Voy. Sang
<MyM'*&n?te.
OXVCARBOMEE(AspHtxtE). Voy.
~Spt!/J:t" 0;)/Mt''&on~f.
OXYDATION détruisant le sucre
dans l'organisme. 9t7. De
i'hématine, elle forme du sucre. t,
399. Dans le sang. m, 89.
Ses phénomènes. VI, 3'H. Des
éléments des tissus, produit-elle la
chaleur animale? XI, a~G. Du
carbone et de l'azote. XVII, Mf!.
OXYME DE CARBONE. Ut, )57 X,
)86; X)t,362, 375, 380, 405. Ses
propriétés toxiques- III, 5?, to6,
)80. Son injection dans )e sang,
sa solubilité. H!, 160. Injection
OnGAMSME AKtMAL Sa co.npH-
sition chimique ctcmentairc.tn,
40.–C'est une machine vivante.
xv!tf,M7.
COMPLEXE. XVt, 35.').
ËLEMKKTAtRK. Vttt, t!6
XV!M5.–Laphysio)ogioge-
ncraietc considère seu).X,3.
A ce point de vue, tous les ani-
maux sont identiques. X, 10. La
vie y réside. X, 2~. Nom donné
aux éléments histotogiques.X!, 45t.
Voy. J?/em~! antt~oMt~Mfs.
t)KS ÊTRES VtVAKTS. t[ y a 3
considérer un ensemble harmoni-
que de phénomène!). Vtff, 150.
YtVANT. Action do l'ozone. III,
)45&);<6.– t) nf crée rien
dans les phénomènes de nutrition
etdodéve)oppement.IV,'J2.–Ses
procédés comparés à ceux de la
chimie. XIV, 138. Son détermi-
nisme physiologique. XVt, 62.
Sa conception. XVI, 352. Le
physiologiste agit sur eux en mo-
difiant les éléments histologiques
au moyen de ia nutrition. XV[!f,
139. Mutilé, il teud à se re-
faLire.XVH!,n:.
ORGANITE éiémactaire. XVI, 387.
ORGAKOGEKbSE. IX, 138. Voy.
~otO'<?aMo~nt~Me.
ONGAKOTMOPHtQUES (PHENOMÈ
NES) des êtres vivants. tX,t26,
138; XVIII, t36. C'est sur eux
que doit être dirigée t'investigation
physiologique expérimentale. IX,
128.
ORGASME. X, 82.
ORIGINE des choses. !X,tl4.-
Des ceUutes. XI, 47.
OS. Rapports avec la substance mus-
culaire. X, 159. Effets observés
par la suppression de l'influx ner-
veux. XI, H. Digestion des os.
XVII. 303. Leur régénération.
XVUf,<32. -Rote du périoste
dans leur formation. XVIII, 432.
OSCILLANTE (VtE). Voy. Vie os-
C)7h)!<e.
OSCtDLATtON GLYCOCEM!QUE
XIV, 2it,409. Elle est propor-
TABLK ALPHAtiËTIQUK KT ANALYTfQUË~50
dans tes artcres. !ff, )<!). Sous
qHe))f'forn)f'i)!e)imino;nou-
vcties recherches. )<),)(}); XII,
439.'437,4:)),458.'4.9. -ttpst
t''<'sveuenoux.t)i,i63.–C'est
un poison qui agit sur le sang.t)f.
'(!6,]95;Xif, 389.–Absorption
par le sang. m, t69,n3;XU,
i32.nf)uencosur)'abMt'ptionde t'oxygène et sur ]'fxhatatiot)
des autres ga! tU, )t;9,)'!3.–
Goûteur et propriétés du sang dans
l'empoisonnement par cet agent
expériences comparatives.!)t,n9;
Vi,388,394;X)!,31!5,S~
Son contact rend le sang rutilant.
)U,t').–Cheïunchien vivant,
qui en respire, le sang veineux dc-
viontrouge. U), 180; Vt, 3)i' –n
tue et empêche te sang artériel de
devenir vcineu\.)U, )8t.)p~M-
lyse les globules, et met obstacleaux échanges gazeux dont ils sout
les agents. U), 183. –Theorieii par
lesquelles on a cherche a expliquerles effets do ce gaz. tU, 189. Il
déplace t'oxyganedu sang. Ut, )84.
–Un seul lavage suffit pour eu-
tever tout roxygono du sang. 1H,
184 VI, 371. Son action altère
)'hematog)obu)ine. tU, t8' Il
altère physiologiquement les gto-hu!es du sang. UJ, t8' Empoi-sonnement par cet agent. III,
)89;Xt,tM;XH,i56;XV,90,9),289. Action sur la germinationctjes fermeutations. 11!, j'tt. MO.
Sous son influence, la sépara-tion du sérum semble être t)[us
parfaite. J)t, )92. Les globulesne sont pas altérés anatomique-
mect; )eurconMt'vatioH paramètre
ptuspro)ongoe.n),i93.–Ana)ogiede son action avec colla do J'acide
cyanhydrique. Ut, 193. Effets
consécutifs de son action, III, )9R.
Paralysie secondaire. Uf, 196.
Effets toxiques plus rapides chez
les individus vigoureux. Ht, )9'
–Son iunuence jointe aceUe de
l'acide carbonique. III. 209; \'t,MC. Pour l'analyse des gaz du )1
saug.Yt, 305, 375, 3'!8, 385~387,
39U~3!)5;t),)(!7an6;)X,52;
XH. 488.–)i est le poison du
globule rouge sanguin et il agit
uniquement sur lui. Vf, 365; tX.
207: Xt, 85; Xf), 397, 402, 409.
Il défait la combinaison de
t'oxy~eueavocIeRtobuteMcguin.
Vt,36G.–U détermine la mort
parcequ'i)d6p)aeeinstantanÉ-
mentt'oxygeuedesgtobutesdu
Mt)g.Yt,366,368;tX,50;XH,407.
dégage !'oxygenodusang,mieux que tes autres gaz.Vf, 367,
38&;YU, 43')! dégage l'acide
carbonique avec augmentation du
\'o)ume. Vt,3~().–M.a.)gr6sa
présence, l'oxygène du sang peut
disparaitM avec le temps. VI, 383.
On ne retrouve pas la quan-tité ajoutée au sang, au moyende l'oxyde de carbone.Vf, 38~
Son action sur l'oxygène des tissus.
VI, iOt. U n'empêche pas les
phénomènes d'oxydation dans tes
muscles, et l'acide carbonique se
produit en rapport, avec l'oxygène
disparu. \'I.02.-I!t'x)taia de
Foxygene des muscles. VI, 405.
Sa préparation. Vf, 406. Son
action comparée à celle de l'acide
carbonique sur des grenouilles,
l'oxyde de carbone en exhale de
t'oxygène. YI, 408. Pour déter-
miner les proportions d'oxygène
du sang. VII, 431. Analyse du
sang du roin. VII, 431. Respira-
tion. VII, 470.–Use combine
plus fortement que l'oxygène avec
)'hënMtog)obuiiae du g)obu)e du
sang; expériences de CI. Bernard,
VtJI, 27!). Marche et symptômesde l'empoisonnement. IX, r)t XH,
419. Ji produit une paralysiedes éléments respiratoires du sang.
IX, 51. Retour à la vie. IX, t86.
Anciennes recherches sur ses
propriété délétères. XII, 379.
Mécanisme de la mort. XU, 382.
Différences de susceptibilité chez
les divers animaux. XII, 387.–
Il laisse intactes les propHetës
DES <E!JV[!)':SDE CLAUDEMR~AftD. Mt
des muscles et dps nerfs. X)t, 389, )
4)5. -–))s'opposf':t('a))sorption
(fet'ox\'g'ne.X)f,3')).–ttexjeve
par suite au sangtaprnpriétéd'oi
treteoir la vitalité des tissus.
Xtt, 3<)2. Sa combinaison avec
t'hénMg)obittt!.Xft,!)7, i.'i?.–
Hffct anesthésique il n'y a pas
là une anesthésie proprement dite.
X! 4M.–Sa fixation, XII, 43'
Intoxication. Xf), .M. Em-
poisonnement de pMnouiUes. XII,
44& Sa transformation en
acide carbonique dans l'économie,
XII, 459, 4e&. Sa destruc-
tion. Xtt, 463. tntoxicatiou du
sang. XH, &02. Au point de
vue de l'hygiène. XH,528.
Produit par tes portes on fonte
ou en fer,'iesoftets.X)),&'M
1- Recherche physioto~ique. XH.
530. Hecherche chimique. X)).
530. L'asphyxie es' caractérisée
par l'abaissement de tempéra-
ture. XIII, tH6. Comme moyeu
d'analyse physio)ogique. XV, 443.
Sa présence dans le sang cons-
tatée par la spectroscopie. XV. 444.
–Recherche du modo d'élimi-
nation. XY,4t8. NouveUes expé-
riences. XV, 448. Poison des
mécanismes. XVII, t'!3.– Voy.
Asphyxie par /'o:M/c~ (/e co'&onc,
/ig!p)' a<:ott w:MeM~a:')'e.
Son actionOXYGÈKE. !H, KO. Son action
sur la disparition du sucre dans le
;nig.I,24t,243.– Sa dépense
dans l'acte respiratoire. tU, t!U.
Influence de l'abstinence. III,
U2.–tnf)uonce de la digestion,
derâge,do]atai))e.m,U2.–
Influence de l'espèce, de l'hiberna-
tion. I!I, H3.Consommation
par les animaux. ttt, Ii3. Con-
sommation par les marmottes en-
dormies, épuisement dans l'air parla respiration. HI, 't5. Expé-
riences entreprises dans le but d'é-
tablir sa proportion minimum pour
un milieu respirable. UI, 115, !20.
En eMes,!rt, HO.–Excitation
gccératc produite. !M, 129. As-
phy\ic daus t'oxygène non renou-
ve)e. H), )3L–))ans)es tissus,
.'tctiundni'n'.yf}e<)c<'a)'honc.VL
'<<)). -Lesmuscicsettestissus
à l'air en prennent autant qu'its
donnent d'acide carbonique, hn'en est pas <)(.)!<me pour !f
sang. V!, i03. L'oxyde de car-
bone on exhale des muscles. VI,
40.'). Respire, il rend l'urine
acide. VH, 22.–Son absorption
par la tymphe. te chyteettc sang.
VI!,42t.–C-'estunexcitantnu-tritif. tX,99.–Peut être inutile,
ou même de]6tere, pour certains
éléments et certains tissus. IX,
187. Il est iodispeasabte pour
entretenir tes mutations chimiques
Yitates.tX.2n.-L'air lui doit
ses propriétés, comme milieu pro-
pre it entretenir la vie. X, -43.
Son action sur iesnbresetemen-
taires. XI, S3. Sa respiration s'ac-
comptit non dans les poumons,
)na.isdans)eMngetdansiapro-
fondeurmên)edestis',us.X!,2'!2.
Sa disparition dans les muscles
correspond a t'etëvatiou do la tem-
pérature. XI, 3'!7. it en est au-
trement dans les glandes. XL 278.
Indispensable a. la vie des ani-
maux. XV, 98. Expériences sur
son influence dans la vie iatento.
XVI, 73. Dans la vie constante.
XVLU8.–Son rôle inconnu dans
l'organisme. XVI, n!. Neces-
sairo au plus grand nombre des
êtres vivants. XVII, 9. Son in-
nuence sur la respiration des ptan-
tes. XVII, t68. Privation d'oxy-
gène. XVII, t8t. Réserves. XVI),
!90. Son influence sur les ani-
maux et les végétaux.XVILt96.–
Ses effets torsqu'ii est en excès.
XVII, t96.– Sa tension. XVII, t9'
Son rôle dans la respiration.
XVU, 203. Déficit d'oxygène.
XVII, 307. Son rôle daus les
phénomènes physico-chimiques et
les phénomènes physiologiques.
XVIII, 122.- Son influence sur la
manifestation de l'idée créatrice ou
TABLE ALPnAnÉTIQUE ET ANALYTtQUE'i2
niqueqn'on en peut retirer. VI,
3')4,3'!8.–Absorbe par le car-bonate do soude. VI, 378. Peut
être contenu en plus grande quan-
tité dans )esangréna!n:tHantque dans le sang artériel. VI, 381.
Il est en proportion plus faibio
chez les animaux affaiblis. V!, 382.
[) finit par disparattro avec le
temps malgré la prÉMnce de t'oxyde
de carbone. VI, 383. On ne re-
trouve pas la quantité ajoutée au
sang, au moyen de l'oxyde de car-
bone. VI, 384. Action sur la cou-
leur et les propriétés du sang. VI,38. 394. Sa quantité en rapport
avec la couleur du sang. VI, SOC.
Dans )c sang des fœtus. VI,
400. Exhalé par l'oxyde de car-
bone. Vf, 4M.
OXYBEMOGLOKtN):. Ses carac-
ttrM. XH, 427.
OX(t!\E. ttf, H4. Sa nature. III,
)45. Ses propriétés chimiques.
III, t45. Son mode de prépara-
tion. tiï, t41. Ses effets physio-
logiques. IfI, )49.– Ses relationsavec les diverses conditions mëteo-
roto~iqufs. m, t55. Du sang.
XVtt.M).
PAIN DE CLUTEPt. XIV, 425.
PAIN DE t'0!;nCHAU. III, 300.
PAIRES NERVEUSES HACm
BtE?fKES. Leur unité physiologi-
que. IV, 3), M. Elle est établie
par )es phénomènes de la sensibilité
récurrente. tV, 21, 98. Point de
communication do cette propriété,
de la racine postérieure à la racine
antérieure. IV, t<)0. Caractères
des deux racines. tV, t09. Leurs
relations avec le grand sympathi-
que. IV, 297, 3'!).-Modifications
que subissent leurs racines après
avoir été coupées. XI, 191, 388.
Expériences. XI, 389. Voy.n<!CtttM Det'oeMM <~M paires rit-
chidiennes.
'AJLAtS. Voy. Voile du palais.
'ALEOKTOLOGtE. VIII, <92.
'AGACEES universelles. VU!, 3M
XI,, 423.
évolutive renfermée dans t'o'uf.
XV!U, !.M. Voy. ~<p/y.r~ <<'M.!
~'O.C'M~.
OXYHEKE t)AKS LE SASS. V!,
3.3<).354;t!X,5~;XV,4-H.–Sa
dissolution dans divers sangs.
107. Sa ttotnbitito dans le sang,
influence des états de digestion et. j
d'abstinence. !H, t08. Son ab-
sorption par le sang qui a subi l'ac-
tion do t'oxyde de carbone, ttt,
)<!9. Emploi de l'oxyde do car-
bone pour le déplacer dans les gto-
butcs du sang. fH, <M; VI, ?5,
MC; !X, 50; X", 40?. Un scu!
lavage d'oxyde da carbone suffit
pour enlever tout l'oxygène.
t8<; VI, ~7). N'est pas enicva
par acide pyrogallique. 222.
Capacité d'absorption dans je
sang artériel. VI, 2M. Dans le
sang veineux. Vt, 282. Action du
système nerveux sur son abMr-
ption par le sang. VI, 284. In-
fluence de la digestion. VI, M~<.
tnnucncc do iétat d'hibernation.
VI, 285. Quo deviant-ii dans les
phénomènes capillaires intimes de
la rircutation. VI, 34). Absorbé
par ta sang après la section du
nerf sympathique au cou chez le
chcva). Vf. 356. Absorbé en
grande quMtM par te sang do )a j
veine-porte quoiqu'il soit rouge.
VI, 36). Absorbe par'le sang
roug'' de la veine renafe, après sec-
t'"n de la n]M))e ëpiniere. VI, 30.
!) est combine avec ie gtobuie
sanguin, cette combinaison est dé-
faite par l'oxyde do carbone. VI,
366; !X, )86. Sa Quantité dans
les sangs veineux, suivant l'état de
fonction ou do repos veine rénale,
veine porte. Vt,'3(n; Vtt, t5t.
L'oxyde do carbone le dégage
mieux que los autres gaz. VI, M'
38. V!t, 431. [)iMimu)6 dans te
sang. Vf, 374. En moindre quan-
tio dans )e sang veineux que dam t
le sang artériel mais cette quan- t
tito en moins no correspond pas f l'
la quantité exacte d'acide carbo-
DES ŒUVRES !)E CLAUDH !!Et~ARD. 2M
PANCREAS. XV, .M3. Son atro-
phieda)ts)odiaheto.i,42a.–Cri-
tifiueexpÉrimGQtate de ses fonc-
tions.)!. n0, MS;Vn, 35'! &M8.
–Rapprochefneatavec!esg!i)nde'}
sa)itaires.!),n0.–Historique.
Il, HO. Confusion du pancréas
ntdesg)andessa(ivaires.U,t'!4.
–État des coanaiMancea sur ses
fonction*) avant les recherches do
Ct.Bernard.U,)'Parquettes
circonstances CI. Bernard a été
ameBe&faircdMOxpëriences.
n9.–D8i'homme.U,18a.–Du
chien. H, t92. Son aspect dans
les divet'i'a" cooditiocs. )f, ]9(!.
–Du lapin. Il, 2'!).–Procède
qui consiste )e détruire sur ptacM.!),M4,2~9 293. Ses affections 8
chez t'homme. !f, 292. Du chat.
H, 3M. Son tissu et ses réactions
caractéristiques. 354~378.–
Considéré dans tascrioantmate.
U,4C2'Chez les oiseaux. Il,
4C5.–Du pigeon.466.–Chez
)osrepti)e!H,4'!4.–De!; pois-
sons. tt, <9, 487. Du turbot.
I!, M'Chez les invertébrés.
488. Physiologie comparée. Il,
490. Supplémentaire ou secon-
daire du b<zuf. t!I, 420 VII, 354.
358. Sa coagu)abt!it6 par !'e)ec-
trtctte, comparée à celle des salives.
VII, 252. A)humino. V!t, 342.
Discussion avec Ph. Berard. YI!,
38' Sa destruction par inflam-
mation chronique à ia suite de fis-
tule. V)!,M6. Influence du sys-
tème nerveux. XV, 588.–Expé-
riences sur des condamnés à mort.
XV, 51)2. Faits cliniques qui
~iennentar!tppui.X.V,;H)2.–Na-
ture de ses fonctions. XV, 594.
Cancer du pancréas. XV, 594.
fcmtett~ pancréatiques, Fis-
tules panc~a<H< Glande po;)-
créatique, Suc paMCr<'nf)~~e.
t'AKCRËATtNE. V!U, 329; IX, '!8;
XVII, 312.
FAKCREATtQUE (LtoumE). Tra-
vaux de Ëber)e. VU, 364. Expô-rienco de Magendie. XV, 43.
t'ANCttEATtpUK !SH('.BKTM.'< Vif.
3;2;tX.?8;XV)t,.)H. -KO.-cs.t
intermittente.)!,)').').–Conditions
quiinnupntsur(')Jf.)f,)8.–Kx-
p6'icn<-eft!cesujet.n,)M. -)n-
ftucufc de t'extirpation do t~ rate.
!t,2)'t[)nuctK'ede)'ether.tH.
4)9.–SfS[)orturhatior)x.V)),i.1.–
!nnuencH du système nerveux. V!
3~, 34< XV, M;. Expériences.
VU, 385. Sa composition. XVII,3)). Sa réaction atcaiinu. XVU.
3)2. Son action sur les matières
grasses. XV)t, 313. Son action
sur les féculents. XVtf,3t;). Son
action sur les substances azotées.
XVn, :})6. Ses propriétés. XV,
584. Expériences. XV, 585.
Propriété fondamentale. XV, 593.
(Sfc). Voy. Suc joa~n'~<<f/!<f.
(Tmu). H, 354 3'!8. Distingué
du sue pancréatique par le chlore.
Il, 24Ï. Ses propriétés. Il, J50.
Il so comporte, vis-vis des
matièros grasses, comme sou pro-
duit de Microtiou. ![, 350. Cette
propriété le caractérise, n, 351.
réactif fondé sur cetto circous-
tance et propre à faire rcconnaitre
le tissu pancréatique partout où il
existe. I!, 352, 368.–Se;} réac-
tions. H, 354. Voy. lléactions
du tissu pancréatique, So/Mttbn
a~uex~e du <!MM pf;ncr~n'M?.
PANCRËATtQUKS (CoNDUtTs). H,
181. Dispositions anatomiqueschez t'hommc. H, t82 XV, 5'!5.
Leurs orifices dans l'intestin.
II,)St.–Cheziochion.18'
Chez les oiseaux. H, ~89. On
place un tube sur un chien, tt, 190.
Sumuntéraires che.! io bœuf. Vn,
358. Sa régÉneratioo. XI, 65.
Situation de leurs orifices exter-
nes. XV, 5'!6. La bindito de i'ap-
pareil excréteur est uu vestige de
l'état fcBtat. XV, 5'!8. Disposi-
tions anatomiques de ces parties
dans les différentes espèces ani-
males. XV, 578. Différents pro-
cédés opératoires. XV, a'!8. Ef-
fets de la ligature, chez les animaux
TAULE A).t't!ABËT!QL'E ET ANAL\TtQUE2n44
exftusiv<'m''ntnournsd<'su))st!~)-
ces~ra'-sps.XV, ,')!)'t.–Lf'urs
connexions avec t'appareitbUiair~.
XV.9C.
t'AKHOht~A MOKUM XVI, 380.
t'A~t.')!M.)['A~SK.XV)!M.
)'A)'AVE!U~E Ses effets, expé-riences. X)),ts'
t'At'tLLK DE L AMKMS. Comp~-
tt'n)f')Hd6ve)oppee.X\)!,<!i).
KKHVEUSK. X, 3!M!.
t'AnAC';t.SE.XV)[,4n.
t'AHA<;LOm!H~E. X:f,4t'<2~.
t'AMA(.t.YCt)St:. X)V, 446.
t'ARALKCtTH):. XV), ~M.
t'AKALYS<Htec(tn()aiM,co)ls<'cuti')-('
à)'at'tiot]duch.')['bof)ctd(!)'ox\(~;
de cat-bonc.U),M!Ses di-
verses sources et sesdiH'pMnts
mé('anistne!t.tV,0'2.–Ëtatd<
nerfs,X),23').
nH LA C)KQU)ÈMt! t'AttHE Avpf
c~nsery[ttio))dR)as('t)sibi)itcdoIa
cornée. Y,8!).
HE t.A COKnf! Dt! TYMPAN. A)
t~rationdugoùt.V,t~).
-DUFACtAL.V,0,n:Seset'-
fetssur ['a;i).V, M.–Sescnctssur
)enez.V,3(!SesetTets(iUrie.s
joues et les livres. V, ~8.–Ses
cn'ets sur t'orf'iUe. V, ;!9. Obser-vations rncueiUics chez t'immme.
V, tH. Be sa portion intpruc
et de sa portion externe. V, t5 A
t3!). Atteration du j~oùt. V, !20.
Superf)cieUe et profonde. V. )29.
HKS HBRES COKTKACTtLES
des vaisseaux, cttcuesufntpM pour
expJiquer)eurdi)atation.Xt,35?.
UU~RASfD SYMt'AT)))QUH V,M)9. Par te curare. !M, .'t4!).;Ot9. Pac le curare. III, 34(1.
Son intluencc sur tes sécrétions parson action sur ia circutation. Vif.3'). )!He augmente t'activito des
phénomènes chimiques. X, 4)0.
DE L'iRtS. V, 909.
nES JOUES ET DES LEVRES
Etïets sur la mastication et. la pré-hension des atimonts. V, 38.
LOCALE. Au moyen do tasions
corcbratos. XVtU, 3U3.
PARALYSA DES MEMBRES pos-
térieurs. par la section de )amoette
('j)iniere.VH,2.
DU MOUVEMENT. FX, 23.
MUSCULAtRË !H, 352, ?0, 37)
1V, 205.
DESKAH)KES. Chez les chevaux.
V, 36.
NERVEUSE iït, 352, MO, 37);n',205. U'uno partie des centres
nerveux, inftncncH sm' la colora-
tion du sang. \'t, ï6(;. Surve-
nant dans les deu~ ordres dH
nerfs. tX, )<). Des nerfs calori-
fiques considères commn refrena-
tcurs des combustions. X[!f, 44;i.
HE LA t'AUt'tKRH superieuro. V,~4.
DU t'HOTOPLASMA. XVtf, 227.
DU St;KT)M);NT. )X, 23.
DE LA S):PTtEMK t'AtKK V, m
DE LA TKOtStÈME PAtKE
?():
DKS SPtKAUX. V. M~.
DES VAGUES. V, ao'
DES VAtSSEAUX. Hypothèse quilui attribue les phénomènes du di.)-
bète et du ptyalisme. XI, 9(!7.
Progressive. XtU, 3(M.
DES VASO MOTEUttS. XIII, 'i~O.
DH LA VESStE. Par section de la
moettu. v). 9CO; vn, nx.t'AHAMKCtES. IX, )02, 213; X,
tï6.
t'ARAMECtUM BUMSAtUA. XVI,au.
t'ARAt'EPTOKH. XVH, 301, :i5S.
t'At<APLEG!QU).;S. Phénomènes
qu'ils prosentent. XI, 202.
t'AKAStTAtKES (MALAtuES). Condi-
tions de développement. XI, :).
t'AMAVtfELUFfE. X\n, 534.
PAROIS MTESTfNALES (RÈAC-TMXS nEs). XVII, 2M.
PAROLE. XVIII, 420.
t'AHOT)DE (C[.M<M:). Voy. (;/a~f/?
yM<'o~M<N<'t'M<o~K)' </c /apat'o-<t<
PAROTtDtEN(CANAL ou CoKDmT).Chcx le cheval. XV, a05.
Chez le chien. XV, 507. Com-
ment on y introduit des tubes
DES (EUVUES )tE CHUOE HHR~fARO. 'M:i
chez le chienet tscheva).XV,)0~).MM!. Pmpt'iRtf' ()< saiives
ainsi obtenues. XV, M):).–Ei)<
dift'crpntatf'c les diverses es-
paces et nttf'tqucf'ois chez divers
individus de la mt'me espèce.
XV,)()'T.- Explication de cette
contr:tdiction apparente. XV, 50M.
t'AROTtDtKKKE (FtSTCLE. Voy.~M/M/cp<:)'0<'0'iM?!<
!SAt.r\'E). \oy. Sf~tt'cpnro~-~~pM?~.
–(SËCHHTM.'<).V)!,M.XV,)08.
tnnm'Ut-0 du système nerveux.
fI,6f;:XV,)T.–K!)epcr-!i',tf.
malgré la section de la corde du
tympan. V,)M.Rn(! n'est pas
sous la dépendance du nerf fa-
cn!.V,).'<t.–Supprin](''cpar)adestruction du nert'deWrisher~,
eUa peut s'effectuât', toMqoe )c
f;an[;)ionspheno-pa)atia quirc.
coittograndnerfpctt'eu~acMseul détruit. V,)57.–Souca-
Mct<t-c intermittent. XV, &08.–
Di(i'érentesmanièresdo!'('\('iter.
XV, M8. Iufluence de la
t* paire. XV.M).
PARTttjÉ~OGE~ESE. JX, 9)3.
PARTtCULES <P!TtMES df- tor
ganismc.VHt.tOS.
t'AKTtËS On&AIStSKHS et parties
organiques. XVU, tH. –Voy..t6~lion < )Mt'<M.
StM!LAtRES et parties dissi-
mUairc'i des êtres vivants, X,99.
i*ASStOKS, les fairo taire. XVU!.
M5.
PASTEtJK.Acides tartrifjues droitet gauche. )X, S.'). Générations
spontanées. iX,!()i.–Théorie
organique. XVI, 160. Putréfac-
tion. XV), tTt. l,
PAT«ETtQt't: (?<E)!f). V, 20), 22).
Chez t'homme. V, 202. Chez
te lapin. V, M2.
PATHOLOfUt. ses liens avec la
physiologie.t,3S;Xi,i3,3~),
3M,M7;XfV,v,3M,M5.475.Elle a, avec la physiologie,
une méthode commune d'inves-
tigatinn. Xf. 3:tf!. j.;)),. a
pour objet i!t('nun:tissa!edes
n)a):)di('sftdes<'f)ndi<ionsquiies
de(erm[ne))t.X).i"8.–Les lois
de ta vie sont tes mêmes :t)'etat
pathotoRiquequftt'etatphysioto-
g'que.X),.i68.–Yoy.)~oM~.
~M</iO/0~<<N!;pn~t(,~)y;
Kfper:H!e;<!f;Ot! pa~tO/e,
/m~/M/o~tc~)f;<oytyMf,)t;M<i-
'(/<'npa~;o'f.f/te~p/,e,j,
pf~/t0~t~M<P/)t/<!<oy:o_
/o'?H<Rfnc<t~tj.a</tO/09!<e.s',
S~m/j<dmf.!jna</to<t'<tM,7it's«.<
pa~/M~t~~M, ~p~t.o'io/M pa~t«-
/0~t~MM.
t'tTttOLOCtE CELH!t.AtRE. XI
.M.
CI:Itr üita(.I:. ~4til, 4p0.-CEHt:nKAL).XV[n.4<)0.
Ctnn'AREE. L m.
i;XPÉK)ME~T\t,); Xt, ), )~,iiï. 0))jct <h) cnm-s. X). :).
Pr<);<rammH<!))fou!f, (2!<, ).')8.
Son but. Xf. :)n. Ëno est
itm'parahte <)!' la p))\'s;o)ogie expc-rimcutafe dafis so') .-naucement
sciet~titiqup. X[. ;)T). Voy. gj~;fi-rtm('M/0;t ;.H</(n/ ~;«.
tiK~'EHAt~ p)'ob)).!iues qu'elte se
pose. XV, 28'.).
MtCROSCOt'tQfH. VM!, t')7.
VASCULAtttE en ['apport avec to
graud sympathique. X). [Ot.
t'ATUOt.OGtQCES ;{'H<.RetTs) qu'ilest impossible d'imiter artHiciot-
temcnt. Le phy-iioiogiste y par-
Yieudra-t-H"Xf,)(!.
t'.tTtK (Cni., professt'ur do méde-
cine au Cotfcgc d.' France. XiV.
)'
t'ATTË GALVAKOSCOPtQCE. X,
287. De ta gf'unottitfo, <cita-
t.Hionm(;taHiqm'dunerf.IV,3U4.
t'AUPtEHE. tnnuencc qu'e~recsur ses mouvemems ta fiMtion
du uprf faeiat et du grand sym-
pathique. V, !!2. –Supérieure, sa
paralysie. V, ar't. Xictitante ou
troisième paupière, ses mouve-
ments. V. ï)!.).
t'AVY. Théorie du diabète. XtV,
450.
TAULE ALPHABÉTiQUE ET ANALYTIQUEMC
résultat de la fonction de l'organe
qui l'exprime. XVIII, 3').
t'KPSt\H.)!,3m;!X,77; XV!.
)C3 XVit, 268. 2i)t, 394. 355, 497.
Sa dia'usio! XVI), 358.
''Et'TO~E.Vi, 458. Ses caractè-
res distinctifs. XVII, 296, 29!).
Gastrique. XV)!, 357.
PEPTO~tSATiON XVII, 307.
PERCE t'LEVKE de Magondie. XV,
l!)t.M7.
PEKCEPTtUN CÉRÉIIRALE, XI,
206; XVI, 285. Elle nous révèle
l'existence des impressions pro-
duites sur les nerfs, et ne doit pas
f'tre confondus avec elles. XI, 206.
Exp. XI, 206.t'EKFKCTtOK ORHANtQCH d'un
être, elle est proportionnelle à la
différentiation ptu!; ou moins
grande des parties. X, 100.
PERFËCTtOifKEMENT ORGANI-
pt'E. Son principe resida dans la
différenciation des éléments. IX,
nG. Loi do perfectionnement.
XVI, 358.
t)E L'ORCANtSMË. Chez les
animaux vie constante, il con-
siste a maintenir dans le milieu
intérieur les conditions intrin-
sèques et extrinsèques, néces-
saires à la vie des éléments. XVI,
U2.PÉRICARDITE parabtation des gan
gUons sympathiques. tV, i83.–Par
influence du sympathique. V, 536.
t'ÉRtMVStUM. X, 168.
PERtNÈvnE. IV, 120.
t'ERtOUEUYOHEi'OQUE Voy. Ovo-
y<)t'f;Me.t'ERtOSTE. Sa transplantation. IX,
124. Son rôle dans la formation
des os. XVIII, 432.
t'ERtSTALTtQUES (MOUVEMENTS).
Voy. ~OMt)eHt<'n<
t'ËKOXVKE t)E FER. Injection
dans les veines. IX, )85.
t'EBmOOUET. Sa lactation. VII, 237.
PEKSPtBATtOK insensible. Y!)78. Ses variations. VU, 178.
Ses rapports avec la perspira-
tion pulmonaire. VII, t79.
PEAU. Le froid sur la peau arrête
la formation du sucre et diminue
I!Pla rt)';piratiou.t88.)98.–Re-
couverte ed'u!tYcrnisinipe)'mGab)o
à i'air; l'animal meurt avec refroi-
dissement et avec le sang rouge
dans le rein, le sucrej disparait dans
ta foie, et ta matière glycogène
reste. 1, t98; VI, 227; VU, 181.
Injection d'acide carbonique. III,
136. –!nf)uence de sa sensibilité
sur la seasH)iht6 des parties cor-
respondantes. tV, 251, 2M. La
sensibilité détruite renalt par une
ptqure chez les hystÉriques.tV,
253. Elle consti! uae sur-
face respiratoire active chez cer-
tains animaux. IX, 69. Sen-
sibilité des nerfs. XI, 355. Kous
ignorons ses fonctions, nous ne
pouvons donc pas exptiquer ses
maladies. XI, 429. Résultats
dinerenta de l'application do la
chaleur extérieure sur la surface
cutauee. XUt, 3H. Cellules gly-
cogènes. XIV, 49~. Glycogène.
XVII, 'i2. Introduction du cu-
rare. XVIII, 25t. Voy. Cellules
g~/co~ctte' Ct<<aM<* (Système)
~s de la peau.
DES GHENOUtLLES Elle ab
sorbe le curare dans de certaines
conditions. III, 292.
DES MAmMtt-'ÈRES et des oi-
seaux, elle n'absorbe pas le curare.
UI, 292.
PECQUET. Découverte du canal
tho'-acMue. XU. 8 XtV. 2G5 XV.
299, 3M.
PEUOKCULES CEREBEt.LKUX
Leurs lésions produisent des ntou-
vements de manège et de rotation
en rayon de roue. IV, 486; XV,
45;X\'ttL395.
t'EHRAN. Propt'Mtes physiologo-
toxicologiques du curare. III, 471.I.
–Curariue.U),473.
PMNtCtLmjM GLAUCUM. Ne se
forme qu'avec le contact de l'air.
Vf, 489.
PENSÉE. Son mécanisme est in-
connu. XVIII, 371. Elle est le
f)ËSŒL'Vf!Sn)';Cf.ACt)E))!)).\AfU). 2:i7
C),Amt;Hi:H'<A)<[). )'
t'KKTt':)H';)'OU)S<)<instaHevrf.
XUi,
t'MRTES))ESAX(. modifiant tes
r<istitt!Hsdesexpcri'!ncesdesen-
si):)i)it(''récurrcnto.!V,58.
t't;RVEHS)uKde!ag)ycogGnie.i,
l,.83.–De ).t nutrition. e))es sont
t'ori~iae de tou'< [es tissus patho-
to~ifjUcs.XL)'!I.t'):T)Tt');rK);UX (XEKF). Voy.
A'e)'f<t~~f'J'.
t'fH~iHM. Le cyanogène est (nri-
gined('tam:ttiert'Yh'aute.X\').'23?.
t'HAm'GtK~t.Ft.noE,)4~.
t'nAUVNX.V, 3'~i.Yoy..MMC/<'i;
~M~
i't!EX!J!(Ac!!)E!.Pou!'t-ctan.t''r
ta(test)'u<'tiot)<.htsur)'edans)o
sa[)j~.X!V,2()!'t.–Oansto traite-
ment ()udiahcte.X!V,-}C(!.
ft)EXCMÈ~<ËS. Conditious o)'g:mi-
ques ouphyaioto~iquc-tquten
Mgtentht.succession, le concert,
)'harnK)t]ie.Vf,!<);XVt.ai.t.–
!iy :i un déterminisme abaotu
dat~stcurs conditions d'existence.
Vi)t,t)5,t5);X[,M)!),5)t;X\'),
5?!. tfs doivent, être ramenés &
d';s conditions expérimentales de-
tinies, aussi simptes que pos'-ibte
pourarriver au deter<ninism' \'nt,
)2Ï.–Moyeu!) de les produire.
YHt,]i3. Leurs causes. \'H[,)
ti3; XL'!88.–Détermines ou~
indéterminés. Y)f[,2t0.– Le!
determinisme<'ncst)acausop!'o-
chainf! ou déterminante. VffL!
383. Manifestes, mais non an-
gendres par la matière.IX,tiO;!
\vn, :!H!): XYtH, ):!3. Leurs!
forces directrices et évolutives~
sont morphoioginuerncnt vitâif";
daus tes corps vivants, tours
forces executives sont les mêmes
que dans tas corps bruts. iX,
223. Condition de leur mani-
festation. X, 5 XVti, 400.
Il fautdecouvriricurs lois avant
de prétendre les manier. XI, 4<)(!, I>
49-}, &tt. Les connaitro, les
prévoir, et agir sur eux, tels sont
les buts des sciences. Xf, 4.')8.
))s sont exptiqncs par t'etude des
propr~'t. dota matière. Xt,iS8.
i.eur anajyse expérimentale.
X)..i9:f.'expe)'imentationtait
r.t)onter~)eurc;iuse.X!.57t.–
L:'nrm:.tt')'i.')!m').').–(con-
ditions physico.chimif~ues déter-
minées,extérieures.qui on restent
l'apparition. XV). G?,<!G,3i.').–
Leur nature. X\f),}()0.–Leur
distinction avecjes propriétés.
XV[f,}f!j.–t.ephysi'))<s;i'tc~u
detKrmiue les conditions c)cm<'n-
tairc<V)H,0. -L'experimcn-
tatcut'asitsurcux.otnctt'scrce
pas.XVn{,7~.Vo\Ca!<.tMf/<'s
~)/t~HOMtCMt'S, .St)/tf/<;t';j'f/f'i~)/tf-
~M.
t'ttK~OMH\HS A~ALYDQt'ES
~oy. ~A~tiuHtf~f' /i)t!c~'o?Mi('<.
–t!.<CL<)<;)Qt't';S.~cprochps adres-
ses aux médecins.et inatfnndes. a
regard dateur i~noraucc des c.m-
sc~d~'cfs phénomènes. Xï,~)'t.
<:AnAVK)H<~)'KS opposés aux
pbcnotf~'nHS organiques ou vitaux.
Xt\M.
CALO)urt<.)UK.S. Voy. C<</?'Y;-
/OH,Cc;/(~'f/i~u<'< (phénomène')).
CATALYTtQt'HS. Voy. C'a/a-
~/<<e.<.
–CHtMtQUnS co)!ipa)-L's aux phé-nomènes vitaux,tX, 8).–fttvitro
compares aux phénomènes chimi-
ques dans )~ corps vivant. XV),
225.
–CtttMtQUES OK L'On&AKtSMK
t, 2H tX, 3. M. fh sont indé-
pendants de la vie. ils ne t'engen-
drent pas. \f. ii)(). tn~uencf;
du systemt' nerveux. X, KM.
Le système nerveux n'agit pas di-
rectomcntsur eux, il agit sur eux
part'intermediaire du système
vasculaire. X, !0i), 4t9. Leur
activité augmentée par)apara-
tysie du grat~d sympathique. X.
4)0. C'est ie secret (inat de tou-
tes tes actions toxiques. X[ff, ~88.
Leur prétendue duaiito chez
iesanimauxct tes végétaux.X)V,
)G< U") doivent être étudies
TABLH ALFUABÉTtQUE ET ANALYTIQUE258
PHEKOMHXt.S ÏUSTOLOGtQUESou [H; HKVKLOFPKMiEKT XI, 4G.
MECANtQUËS DE LORGA
NISME, ils doivent être étudiés di-
rectement par l'expérimentation
et non déduits par analogie des
faits semblables empruntés à la
mécanique pure. XV, 3(H.
MORBtnKS. Voy..Mor&tdM (Phé-
nomènes).
DIs' t~A KATURE, la vie en est
une modatitc. !X, tM. La
science expérimentale s'en rend
maîtresse. XI, 4HO.
NEUVEUX. Voy. N~r!)eM-c.
NUTHtTtFS. Voy. ~<)~<
OBGAN!QUES. Voy. Mt'~omf'-
nes t):~M.r.
D'OKGAKtSATtOK propres aux
êtres vivants, l'anatomie est insufO-
santo poM- en donner i'idée. tX, 137.
ME L'OKGANtMtt. Voy. F/<e-
nomènes c/M~t~Me~, Phénomènes
M~MM!M<'t', 7~f.'K~M~:M vitaux.
ORGANOTKOfHtQUËS Voy.
0)'~a;!o<ro~~t~u<?!.
PATMOLOGt~UES, ils sont une
déviation de t'CMt normal. XI,
444. 11 n'y a pas de séparationréelle entre eux et les phénomè-nes physiologiques. XII, 2. On
aboutit toujours comme terme
d'analyse à un agent d'ordre pu-
rement physique. X!U, v.
PHYStCO~MtMtQUES, à leur
existence sont liées les manifesta-
tions des propriétés des corps vi-
Yants. VUt, 104. ii n'y a pas
d'antagonisme entre eux et les
phonomenes vitaux. VIII, 135.
Leur harmonie parfaite et néces-
saire avec les phénomènes de la
vie. IX, t33 X, 122. Ils sont
les mêmes dans les corps bruts et
dans les corps vivants, quant aux
lois qui les régissent et quant à
leurs produits, ils ne différent que
par les procédés et les appareils à
l'aide desquels ils M manifestent.
IX, 222. Les phénomènes vitaux
ne leur sont pas réductibles. X,
114. Ils servent de conditions
par l'expérimentation. XV, 301.!r
ifs ne sont pas ou antagonisme
avec les manifestations vitales i
y a un accord intime, un parât-!
lélisme parfait. XVI, 48 XVfJt,!
Leur diminution pendant
la vie engourdie. XVI, 108.
Comparés aux phénomènes chimi-'
ques in vitro. XVI, 22fi. De des-
truction, ils sont distingues par les
)U)esth6sif)Ucs des phénomènes!
vitaux d'organisation. XVI, Ï72.
t'ttEKOMHKES CtKCULATOtRES
Voy. Circulatoires.
DES CORPS VtVAKTS ET DESCORPS BRUTS XVfR, 65.– Dans
leur étude, le but de t'experimen-
t:ttioncst)ememe.ViU,tt2.–
Ils ont toujours une double condi-
tion d'existence. YJtt, t27.
i~aUmitMde nos connaissances
est la même. VIII, UH.–Hs
sont tous deux soumis au dëtcr-
minismo.fX,2!4.
DE MÉV):L(H'PKMENT. Voy.
/A''?tOMM!<<AtX<<)~0~'<yMM.
DtGESTtFS. Voy. D:yM<t/t.
EmCTtUQUES. Voy. B/ec~'t-
ques.
ËLKMENTAtRES. XYt, 371.
DES ÊTRES VtVAKtS, leur
complexité. X, f) XV, 5,32. Cette
complexité explique pourquoi tes
sciences biologiquos se sont déve-
toppeMptufi tard que les sciences
physico-chimiques. X, 5. Ils
résultent, it l'état do santé comme
à l'état de maiadio, des propriétés
de la matière vivante. XI, tM.
Leur manifestation est nécessaire-
ment liée & une destruction orga-
nique. XYU), 189.
FONCTtONKELS ou ANALYTI-
QUES de l'organisme. XV, v, xv
XVII, tx, 22, 47i), 485 XVIII, t95.
Leur localisation. XV, v.-Leur
explication. XV, v, xm, 84. Expé-
rimentation pathologique et théra-
peutique ou toxicologique, XV, v).Leurs agents chimiques. XVII,
48' Le système nerveux y pré-
side. XVII, 516.
DES ŒUVRES t)E CLAUDE BEitKAnD. 2:)
aux phénomènes vitaux. X, 117. t
M)e do t'oxygène. XV! f2.
t'HEKOMEKt:S t'HVStOLOC!
QUES, leur complexité, difncuttes
attachées à leur étude, I. 2;).
Dans les organismes supérieurs.
ils se passent dans des milieux or-
ganiques intérieurs perfectionnes
et doués de propriétés physico-
chimiques constantes. VIII, 107.
Réduction au kilo d'anima). VIII,
M' Leurs rapports avec les
phénomènes physiques. XI, ta'
Il n'y a pas de séparation réelle
entre eux et les phénomènes pa-
thologiques. XH. 2. On aboutit
toujours, comme terme d'analyse,
à un agent d'ordre purement phy-
sique. XH!, v. Rôle de l'oxy-
gène. XVIII, t22.
t'MïStQtJES,teurs rapports avec
les phénomènes physiologiques.
XI, i;)7. –Leu)' accord intime avec
les phénomènes vitaux. XVI, 48.
PLASTIQUES. Voy. ~astt~M&s-.
PHOTOPLASMtQUKS Voy. Pro-
<Op~'ÏMi'~U<;S.
RESPtKATOtMES. Voy. /<M/~)-a-fOtrcs.t)E SEKSATtOX. Voy. Sensation.
SYNTHETIQUES. XV, xv.
DE LA VIE. XVI, 125.
Influence de la pression at-
mosphérique. VIII, 209. In-
fluence de la digestion. VIII,
213. Application do la mé-
thode expérimentale. VIII, Mo.
Regardés comme impénétra-
bles. IX, 3. Leur harmonie
parfaite et nécessaire avec les
phénomènes physico-chimiques.
X, 133. La physiologie géné-
rale a pour objet la recherche de
leurs conditions élémentaires et
pour but l'action sur leur appari-
tion. IX, 230 X, 8; XVI, 377.
Leur division et c)Msincatios. X,
97 XVI, t25. Classification en
prenant l'homme pour point de dé-
part.X, 103. Classifications phy-
siologiques. X, 111. -Le système
nerveux sert à leur manifestation
~)'ëtatnormat.XI,(2.–t!sst)ut
indissolublement reliés )osuns
aux autres et doiventêtre étudies
par les mêmes procédés dans tous
les cas. XI, 131. La physiologie
expérimentale doit s'en rendre
maîtresse. XI, 469. L'expéri-
mentation sur ces phénomènes est
la plus difficile et la plus com-
plexe. XI, 4i6. Pouvons-nous
tes modifier? XI, 490. Leur ex-
plication se trouve dans les élé-
ments organiques. XI, 493, 507.
Ils s'accomplissent dans les élé-
ments. XI, 532. La chaleur est
une condition essentielle a leur
manifestation. XHL, \'t. La mé-
decine est une science qui apprend
& les connaître, dans l'état de santé
et de maladie, et étudie les modifi-
cations qu'ils subissent de la part
de divers agents. XV, 22. Leur
localisation. XV, 83. -Leur clas-
sification en phénomènes physi-
ques, chimiques et physiologiques
proprement dits. XV, 286. Le
déterminisme permettra de tes
maîtriser. XVI, 55. Deux grands
groupes, destruction et création
organiques. XVI, 125. Cette di-
vision caractérise la physiologie
génératoetembrassedanssagé-
néralité toutes les manifestations
vitales. XVI, 126. Leurs mani-
festations sont régies par la phy-
siologie.XVIII, 100.
PHÉNOMÈNES VITAUX ou ORGA-
NtQUES. VIII, 325; XVi, 29-
368 XVIII, 45, t95. Parallélisme
avec les phénomènes physico-chi-
miques. VIII, t35 IX, 81. Il
n'y a pas d'antagonisme entre eux
et les phénomènes physico-chimi-
ques, mais bien accord intime. VIII,135; XVL 48. –Modifiés par la
taille. VIII, 213. Le physiologiste
ne peut agir sur eux que par l'in-
termédiaire de conditions physico-
chimiques déterminées. IX, 134.
Ils sont soumis aux lois de la
physico-chimie, et réalisés à l'aide
de procédés vitaux. IX, f36.
TA!)mALP))AHÉTiQt.'f'{TANA:rtOL'H2<:0
Lnurcvoiution.fX, ).?-)'
httifs,te système n''rvcmests:n)s
in<!ucnce.X, ~t. Ils sant
t'cxpt'os'iion des mécanisme!! et
des propriétés de )'t matière or-
paaisce créée par la force vitale.
et n'existant pas en dehors d<-
l'organisme. IX, 224. L'air en
est une condition.X,4).–)!s ));'
sontpasrcductibtcsauxphpnotuc-
nes physico-chimiques. X, 114.
Ils ont pour conditions tesphcno-
m~Hesphysico-chitniques.X.tn;
XVn, 460. Leur nMt)if)'st!)tinn
est etroitemeut )iÉe & co)]() des ph<
HomÈnes physico-chimiques. X,
)T2. Opposes oux phénomènes
cadavériques. X)V, 350. !ts ren-
trcat dans t'ordre des ~ctes
physico-chimiques. XV, M, 8C.
-obeissent~(t<oi'XV,5L
))s sont les manifestations des
propriétés des tissus. XV, '!0.
U'orginisMton, i)fi font dittin-
gués par les anestht~iquM des
ph~aomtucs chimiques de des-
truction. XVI, 9' Deux types
t" phénomènes t'om-tionnots ou do
destruction organique, 2" phéno-
mènes plastiques, ou nutritifs, ou
de fynthJiso organique. XY'tt, H,
'!2, 4':< 4':9. HA)e de t'~zott'.
XVII, 11. Hûtada l'acide car-
honique. XVII, H. Ils consti-
tuent les deux phases du travail
vital chfz tous !f's êtres vivants.
XH). 99. Ils dérivent dM lois
générales de la mocaniqua et de
la physico-chimie. XVIII, ))3.–
L..urunitë.XVm,X;!<
t'HJÉ~OMMNOLOGtE VtTALK, doit
ôtre separéo de ta mot-pttofogiovitale. XVI, 842.
PMtt-OSOPHES, comment ils con-
çoivent la sensibiUto. XV), 289.
I'M<MSOfMtK, son rôle dans les
sciences. VIII, S8' Ëttc a en-
fanté les systèmes ou la MoiaMi-
que. XVIII, '!9. Voy. DoM~ p/
/0.!0~!?M< Ji! ~/<)~~0/'A!?Me,
Sj/ft~te! philosophiques.
–DELAKATtJME.Xt,48).
t!tL«SOPntt: SCtKXTtHQt K ï,
')!t3),2r)!ThcoricctfMts. 1.
9. 29). Prëcieinn i))usoire de);)
phytoto~ioetdMtonditiotMpu-
!'fmeutphy'!i<ju'),!?9.Ca-
ractères htes et inconstants, im-
portance <!a)a)))'distinction <)a;)t
tag)yeog6nif!.Vn,)n,f22.–Ses
moyoa.t.VJt.tCt).–<)oap0))t-
prineipe )e déterminisme. XVt,
:)'?. Voy. C<<)'/Mt'f:<'M<??Ut',
/)~f<'rMt'n!n!c, E.]';);t'fHfH<a~u)!,
,M<'7/<0~i'r/'i'tH!'?!<
!'ttt..Httt't't!. ob)it(''raUon de la
voincporte.VILtiM.
t'ttLEUMAStKS M'tificie))es. X!,
1.
324.
~'ASŒS artifieielles. Xi,
t'HOSt'ttATH tcrrouxdanif la sative.
)t,t33.–Hc'iOt'Y('phosph:tti()u<'
che.ttas fœtus de*) ruminants,des
jumentésct des porcins. XV)f,
5~.
t'ttOSPHORE dans )'nrg~nism' tU,
~Ï. Son action démontra )':tffi-
ni:66)ective.X), Ëtimim'
par )f poumon.Xt, 78.
''«OSt'MOtUQUË (AOBt;). XVH,
)9.
)'HOKAT<CN. V, 3t).
t'HOTOt'OOBtn V, M. Son
sif'ge. V, 90.
t'nnEKtQUE (~Kf). Voy..Y~
p/t~nt'~Mf.t'HREN~LOGtt!. XVUr, <!9.– Voy.
~.OM/M<t<'t'')K.tp/f)'<'no~M<'ï.
t'HTmStQUES, gr.mdo qutmtttc
d'acide nriquo.Vt!, l.
t'MTMtSURtEsucr<io.)'4;XfV,
60.
t'HYStCt)' compare au phy'.ioio-
gi!tt(-.XVnf,68.t'HVS)CO-CtHM<QUE (VtTAt.MMb'
Voy. ~~HfMe p/;f/.):\oc/<!Mt<-
~MC.
P)tYS!CO CtUMtQUES (PHÉKO~-
NBS). Voy. /OM~'M< /~A~0-
C~tMt'~MM.
(SctEfCES). Voy. &<'7!<'M/iy.t!CO-
C/ttMtt~UM.
t'UYStOLOGfK. Appticotions des
sciences phyMCO-ehimiques. f, X?
XV, 60. Sas applications & la
DF.S(EUVtŒSr'Ërj.UDKBH!A)i[). Mf i
t('nc)'df')'t*re\iyant.tX.M.-
indcpend.'mtf; des sciences na-
ture)!e<.t\,2:i4.–K!tecstfa
science <)csphcn')mt'ncsdf! ).'t1;1
vie.X,-t:XV,:i, )9:XV!
i'2.–Snnutiiite.aupointde
vuedumdecin.\t.9.–Ses.
rapports avec la clinique. XI, 10.
–)<; a, avec la pathologie, une
méthode communed'investi:;ation.
Xt,3')(!E))eest~founai-<-
s.inccdesmaniff'stattonsttetavie
& l'état normai. Xl, 401.–De
toutes les sciences,eUe est celle
qui est le plus immédiatement ap-
p)icah)o&);t médecine.X!, 428.
–S[)nf;nseiKn'*ntenteuAUema-
H[)e,ent<u.ssi(',0))Hoi!ande.X!.
.4- M!); XVf,0;XV!tf,)t6.–
Ont'aappetooie roman de la
médecine.X),4'!t; XV,)).–Kc
diffère pas des autres sciences par
ses principes, ni parsa méthode
d'investigation. X), M'i.– Sa ptace
dans les sciences. XI, M.'). Son
autonomie. XI, 538 XV), 4.–
Son enseignement eu France.Xf,
M9; XVIII, t'tf;. Elle a ses
exigences indispensahles. XI,
.')i9. Si elle n'est pas constituée,
ta médecine expérimentate ne
peut pas être fondée. Xt, .'<G' Sou
importance. XH!, i. L'tittto des
expériences. XtU,&(!. Elle com-
prendt'otudcdet'ot'ganismedans
ses états normaux et anormaux.
XtV. 5; XV, iC. Ses rapports
avec la mefiecine. X(V, 39, 5!
XV. Son histoire présente
trois périodes. XtV, 4(i. Ses
progrès.XV, 14. Son caractère
scientifique. XV, 20. Son ovo-
)utiou.XV),5.–Définition de
son domaine. XVI, ti. Initiation
e!) France. XVf, Influence
deLavoisier.XV!L'experi-
mentationestiaseuie méthode a
employer. XVf, n. Le détermi-
nismeestabsotu..XVt,;)!).–Ses
rapports avec la morphologie. XVt,
335. Sa division. XV!, 3i9.
Elle comme toutes les sciences
médecine. ),'M.– Son union
nécessaire avec la pathoiogie:
Les lois de h vie sont tes mêmes
ftt'étatphvsio)f)piquequh.r('!tat
patho)0!:ifjue.),3t;X),t3,3'~).
:).;<M'M!8;XV!.v.3.')9,4<).').
4'?5.– Sa précision illusoire. l,
)~intervention et inûuence
do la chimie. t,3'!4; XV,:t0().-
Ses applications à la pathologie
du diabète. t, 4n.–K))H a pour
objet d'étudier les ph<nonHint's
des êtres vivants, deconualtrt-
les lois des phénomènes de ia via,
do déterminer les condition', ma-
terieUes dateur manifestation et
d'agir sur !'appahtion do nesphe-
oomènea.Vm. H3;XV). ~n;
XVHf.tOO.–Ses rapports .tv-'c
i'~n:ttomie;cUcdoit.Èt.r<; séparée
dt't'anatomin: comparaison avec
)'.inaK)mic.VH). t8:)X, ''M:
XiV,53;XV, 2M; XV),4,&;
XVttt.HM.–HUenepeut~tr''
expliquée directement ni com-
plètement par l'anatomie; e)it'
n'en est pas la déduction. Viff,
)S(i;XVti),)05,)07.-Fausse ap-
plication à la médecine. VIII, 34:
–Htiacsttabasescienttnnuode
ia médecine active. Vm, 346 XI.
3t(i,.468.–tnûucnce française.
tX.t.– Elle n'est pas une
science naturelle, mais une
science expérimentate eHo doit
agir sur les phénomènes de la vie.
.lJX.t:)2,9H);XV!.6,3~;XV)H,
t0t. Elle ne doit chercher ses, llt,
ba.sesnidanst'hypothesedesvi-
talistes, ni dans tes vues exclusi-
ves des physico-mécaniciens.
mais seulement dans la structure
organique des êtres vivants. IX.
t3' Obstacles matériels et
scientifiques qu'elle rencontre.
)X,)'iO.–Eito n'est pas dudo-
maine des naturalistes. tX, m.
Son vrai point de vuu est 1
point de vue nutritioniste ou tro-
phique, qui n'est tui-meme que
l'évolution organique envisagée
dans toutes les phases de l'exis-
TAKL)'; AU'HABËTtQUH ET ANALYTIQUE262
expérimentales, pour principe, io
ddterminisnfp. XV), S78. E))a
viso)'actioa.XVn,39.A)'e-.
poquedeiaKHnai-iMoee.XVtf,)~3C. –Cou.'iidërée parCuvie;comme une science d'observation!et de déduction anatomique.!
XV)H,3t),)M.–Sonrû)ocon-!
fjuërant et dominateur. XV!tt,))0.–EUe doit servir de h~sea à
toutes les sciences qui yeutent ar-
river & régir les phénomènes de ta
nature vivante. XV! Ht.–t~Ue
est distincte et indépendante data zoologie et datit botanique.XV!if.i';4.–EUe doit éclairer
les mécanismes de ta psychotogieit n'y a pas de ligne de séparationentre elle et ta psychologie.XVttI,
t4' ~3). E))o prend ses racines
dans les sciences physiques de )a )
nature, et eieve ses rameaux jusquedans les sciences philosophiques
dei'esprit.XV~O, K)<).–EUo
s'appuie sur )e sentiment, ta rai-
son et i'expûrionce. XVU), 4:)9.
\'oy.i('<)OM~tyïf'o~t'~ues, ~;)a-
lysep~to~t~.e,
Doc~ttM
pAi/tto/o~i~Mf.t, E~af pAt/sio/o~t-
que, B.C/~)'t<<t<'t ~Ay~M~)j/tt<
E.q~c')';meM<a<tons p/t~stO~o~~MM,Foreet p/t'o/o~'<j'MM, /?Mh<M~
pA~o/o~t<yue~Kt)es<a<<o?MjO/
ïiO~O~t~tft' /)')'!<«?!<.< p/ty!!0~t-
?Me', j'.a<'o''a~0!re de p~t'oh)~te,PAt-MOM~tM ~At/ttO/O~t~MM, P)-
<p0~0~t ~<oyt<yMtM, /Mt:(:-
M~pAy~)'Of'Oy~Mf.°, SM'eHCt;~ p~y-
ïtO~gt~M, ~yH<<- ~/t!0~0~<-que, Sy~~mM ~~K)/0~tyMM.
PHïSMLOGtE ANATOMtQUE
XVUI, t06.
CMtM!QL'E X)V, 137.
COMfAMiE. VUf, ta3; iX, )8!,
XVt, 375.
DESCMtPTiVE. XVf, 3~.
EXt'EmmENTAU!. X[, ~nX!V, 4) XV, 100, tOt. Son dÉ-
vetoppement, son évotution ac-
tueUe. f, t'i!. Elle est ia partie
scientifique de ia médecine. \'Uf,358.–JEUe doit constituer une
science autonome et indépendant'tX, !M. Etio n'explique que M
qu'elle prouve. X', 465. !)!e doit
se rendre maîtresse des phénomè-nes de la via. X!, -i(!9. Ëjfe n'a
pu commencer à sa constituer quevers la fin du xvm* siècle. XI, 472.
Son enseignement en France.
XI, 4'!t. Elle est la premièrebase de j'cdince medicat scientifi-
que. XI, 5~. Elle est insépara-bje de la pathologie expérimentalodans son avancement scientifique.XI, a'!9. UMge des hypothëses.
XV, :n. Son union actuelle avecla médecine. Xv, 58. Hôte des
vivisections. XV, 81. -Elle a pourbase tes sciences physico-chimi-
ques. XVIII, 58.
PMVStOLOGtË GËNERALK. XVI,
372, 376;XVH. vit. Découverteset progrès principaux en France.
IX, !). Sa piace parmi les sciences
biologiques. JX, t3) XVII, 39).Sa marche, son but, ses moyensde
devetoppement en France. IX,~). –EUe est la physiologie deséléments actifs de la vie, des élé-
ments histologiques, ou des radi-
cauxphysio)ogtques. tX, t3C, 225.
--Elle a pour but de conquérir la
nature vivante et d'agir scientifi-
quement sur les phénomènes de
la vie. IX, 230. Son point de vue
danst'otudedot'organisation. X, 8.
Son objet est la recherche des
conditions élémentaires despheno-m~nes de
!a vie. X, 8; XV! 39.
Elle néglige les différences
spécifiques ou génériques pour ne
considérer que les organismes élé-
mentaires. X, 9. Elle ne peutadmettre la classification des phé-nomènes de la vie qui prendl'homme pour point de départ. X,)09. Son enseignement au Mu-
séum d'histoire naturelle. X!, 473;
XVI, i. Les découvertes de
Lavoisier lui ont donné l'impul-sion. XV, 85. –Probfèmes qu'ellose pose. XV, 289; XVm, 99.
Elle est caractérisée par la division
DES (EUVRES UE CLAUDE BEXNARD. 263
df'sphonomèaesdotavicendes-
truction et création organiques.
XVt,)26.–Aupoiutdavuedfta
<i!is.iM Viiaie. XVI, !4<). Httc
embrasse la physiotogio des plan-
tes et Cf'Uo des animaux. XVII, 2.
Son origine. XVII, 390. Cons-
tituée par i'évoiution des doctri-
nes physiotogiques. XVII, 4~0.
Ello est l'étude dos propriétés des
etëmonts anatomiques, de leurs
manifestations isolées et des ma-
nifestations complexes qui nais-
sent de leur arrangement en or-
ganismes plus ou moins élevés.
XV! 4.i9. Elle étudie tes pro-priétés de la matière organisée et
explique les procédés et mécanis-
mes vitaux. XVIII, 118. Voy.Chaire </? ~~to/oyt'c.
rt<YS!OLOGtE HtSTOLOGtQUH j
XIV, 49 XVII, 459.
DES MALAOtES, elle est faite
par la médecine experimentate.
XI, 457, 460.
MORB!DE XI, M
NORMALE. XI. 5,1 XV, n;
XVII, vt.
OPEMATOtRE. XV, t.– Phnd'un ouvrage dogmatique. XV, v.
Son arsana).' XV, IM. De
l'appareil circulatoire sanguin et
lymphatique. XV, 241. De l'ap-
pareil digestif. XV, 49!. Histo-
rique de la question. XV, 4i)3.
–PATHOLOOQUH. VIII, t9~ XI,
5'!t;xv,n;xvn,vt.
XUOLOGtQUË. XVIII, tOG.
t'MYStOjLOGtST);. Compare au zoo-
logiste. VIII, 194. Comment il
doit consulter les livres. VIII, 249.H no contemple pas seulement
tes phénomènes de la nature, il
veut agir sur eux. IX, 127. Ilne peut agir sur les phénomènes
vitaux que par l'intermédiaire de
conditions physico-chimiques dé-
terminées. !X. 134. Il étudie les
procédés organiques qui sont in-
hérents à la matière organisée. IX,t36. Il peut dévotopper expé-
rimentatemeut des phénomènes
morbides qu'il parait impossibtode reproduire au premier a)<nrd et
qui sont sous la dépendance du
système nerteM.X!).–Setdissidences avec le médecin. XI.
32!,3'M;XtV,52.–Son)aboM-
toire.X[,4)3.– Comment il
comprend tasensibiiité.XVt, 283.
Comparé au chimiste et auphy-
sicien.XVtf),(i8.–Sonbutestdc
déterminer tes conditions éiémen-
taires des phénomènes. XVHf.70
Chimiste, physico-mécanicien.
xvtft, in. Vitaliste. XVIII,m.i Il agit sur les propriétés de
la matière organisée. XVIII, 121.ti agit sur les organismes vi-
vants, en modinant les c)ements
histotogifjues. au moyen de la nu-
trition.XVUf, )3!).
t'Ht'S!QUE, son influence sur le
moral. [X, !)) X, 'i27. Influence
du moral sur lui. XIII, 313.
t'Mt'StQUE. Emprunts que doit lui
faire la physiologie. t, -M; XV, 6o.
Voy. force~;)/tt/s!f/«M, P/~MO)?!fn''<
physiques, S't'fnc~! pA.UM.
t'mTOBLASTE XVI, 194.
PHYTUPHAf:ES (Axttucx). Voy.~tti!nMM.E p/tf/f'Op/in~M.
t'tCEnc. Ut, 241.
t'tERUK DK ME31PIIIS. Employé''comme anesthésique. XII, 36.
t'tGËO~. Système veineux de la
veine porte et système de Jacob-
son. J[, 314. Son pancréas. Il,466. La piqûre du quatrièmeventrtcuic ne produit pas le dia-
bète, mais arrête la digestion. iV,
461. Jabot en lactation. VII,''36.–Sa sécrétion (actee.VH,2:t' Son lait. VU, 3'tO. Sujet
d'expériences. XI, 555. Préhen-
sion et contention. XV, Ut.
Fixé sur la table à vivisection,.
XV, )26. Après l'ablation des
lobes cérébraux.XVt!I,3')8.
PILES diverses. IV, 145. A auges.
IV, )50. De Gronet. XV, 238.
t'tNCES. XV, 183. A collier. XV,
106. Des bouviers italiens. XV,
t46. Incisives. XV, 190.
TABt.K Af.PfiAHÉTiQUE ET ANA),Y)]QUt-:26t
PILES EH;<:n<)Q< ES )V, i44.
))e!'uh'macb<-r.nf,:)););!V,M3.
It'tXËt,,deih)!tiond<'hm6<)ocine.X).
2.–fJromittespartiesqu'i) con-
sidère comme analogues.XV),!S).
PtXtTt:.XVn,33.
t't~CKE HE LA A MOFt-L) Rond ht
animaux diabétiques. )V,39~,46?.
MU t'LAifCHK~ t)t' QUATHtK
ME VEM KtCUt-E Voy. Mtnc/tft-
<~«<yt<a~'i't~te ~C)!/rtt'i<~t',pMa-
<t't~««:t~"f)'tC'<
ftTCAtnx. Uefinitinn de )« médo-
cice. Xt, 2. force triturante de
t'estomac.X\'n,263.
PLACENTA du 'apiu, ceUu!es ,y-
cogenifjues. XYf, 2!)t. Des ron-
geuM,g)ycogÈnf.XVfJ,(i).–Ue',
carnassiers, g)ycog'ncXVn,C~.
Voy.Ct'CM'ft<:oM/</ac<'M/~t:)'
PLA'E ouverte, scse(!'ptt.X),{)7.
–Mcente.XI,tfj3.
)'LA~AUU:.JX, )0! XV!, 363.
t'LA?<Cm!tt nu QUATMtÈMt; EK
'fmCUH- Sa piqûre. JV, 397,
458.–Che~)c lapin. )V,-i 06.–
Propagation da son influence par
la moelle ~piHiore. tV, 44).
Lésions qui ne produisent pas le
diabète. IV, -t't8. Expériences.
)V, 4't8. (:autMri<,ation. <V, 't4S.
Lésions des corps rostitbrtncs.
tV,'t5L–Suppt't'ssiondei'ut'ino.
IV, ~;)ï. Influence de )a piqurf
sur la sécrétion abdominale et sur
la sécrétion du foie. IV, 463.
Dernières expcrionces. V, 5i4.
Diabète par piqûre. VjfU,304.
Voy. pua<)'«'w<' t)C7t<t'c«/e.
t'~AK'fES. Action du curare. !)!.
3C5. Leur raspiration. XV), 9'!3
XVn,t6!).-Leur rôle réducteur.
XVtJ,)42.–HMistance&t'M-
phyxie. XV!L t8(i. Digestion.
XVII, 340.
t'LAQMËS AMX~O~~Q~J~:S Leur
évolution. XV)t, 66. Glycogène
chez les ruminants. XVII, 66.
A un état de développement très
avancé. XVII, 6~. Leur dégéné-
rescence.XVU,(i8.
CELLULAIRES. XVI, i91, M&.
t't.AQ~ESC)t<tKtALt:S<)ps pachy-
dermes.XVU,)M.
GLYCoGEK'Qt'KS de !'amni.)s
du fœtus dsvcau.XVt.~at.–
Leur dog~neroacenco.XVt, 337.
PLASMA ttUSAKG.tX.tif.lM.
Xf,.i4);XH.)C.–Séparation des
g!obu)<'s.Xtt,)6.–('estunvc-
rit.abtf'mitif'u intérieur. X)f, 21.
Matériaux qui te fnmpo~ent.
XH, 98. Primitif. XVt. :!09.
t'LASMATtQH: fCEt.f.HLE). \'oy. Cc~-
/<
(Ët.RttEKt). )X, )26; XVIII, 131.
(TMÉoRfE). Voy. ï'/tfortf yH'o~o-
p&Mt7tt~t<c.
)'LASMOUH;S. XVJ, 255.
t'LASSOK. XVt, )92.
t'LASTtntJt.AtKË. Voy. ?7«'or~
~)<M<Ï(/M/<!tt'<
t'LASTtKULES.XVt, tM.
PLAST!QUH (AmfHNT). Voy. Ali-
mMth.
(ÉLÉMENT) du sang, il est consti-
tua par le g)obu!eb)anc. IX, (3.
–(MÈCtATEUR). Voy. ~tMM~fM'tM-
<f~t~.
t'LASTtQUES (NATUKES~. XVII, 415,
M5.
(PHÉNOMÈNES). XVII, )x, 22, 479,
485.
PLATE LONGE. XV, 144.
t'LATON. XVII, 4ÛS. Voy. Dee~'iXM
p/<0?!!C!'eM'tM.
t'LEUREStE par influence du sym-
pathiquo.V.MS.
t'LEXUS iLOMBO SACRE. Chez )<
r_Itie n_n t I 66. Pro-chien, anatomie. V, 66. Pro-
cM~ opératoire. IV, <!7.1.
MËMTEM. V, 458.
SOLAtME. XV, 6'!2.–Scusihi)it.6
de ses g~ngttons. Xt, :);)3. Voy.
Ganglions du p~M'M .M/at''e.
St'LAKCHNIQUKS. X!n. 265.
t'L! DE L'At~K. Ses vaisseaux. XV,
2M, 2~0. injections dans les vais-
seaux. XV, .)5. Vivisections.
XV, 255. Chez le chien. XV,
2'!). Voy. Vaisseaux du pli de
/'<!t'M<
t'KEUMA. XIII, 0.
t'NËUMO-GASTRtQUES om \A
))t':S Œt~'CES DE CLAUDE CEXNAHf). 'f;
<:t!ES ~Enrs;. 3t't. fnnucnce
deïascctn}EtStit'tpt'uc!i's!fdu
~ucre dans te t'oie.L'!SS.:4~t:
V!),t:n.–).t'nt'r'.)[('dat~s)ase-\'11, 1:\7. /tll' rÙle duos la sé-
c ration s~K<u<t,Mn.–
f~eur section entre )''ponmttn et
)efoie.t;)j2.–Anh'p'.iedf
ranimât. ),'tt!t.–Dsn'arretent
l'animat. l, 41:1. ns n'arrêtent
pas )o cœur, âpres emprisonne
ment par te curare. t)f,i8.–
Leurrât'anisatio:tar!'<iet('s mou-
vements du cœur.!]), 3(!S,3<;8,
:n-2; \38t,!X, (!C. )'Ac-tion d'utif'dosefaibjsdetticotiuf'.
!U,Ot.–Usn'ontpasdeseust-
b:)i!é récurrent". <V,9f,i)6.–
phÉnomènesr6<!exR.St)ue produit
leur irritation. !V, 3~. La gal-
vanisatior) de h'ur bout supérieur
arrête les niouvnments respiratoi-
res. tV, 3~. tnnuence sur les
mouvements rc''pirat,~irt.'s,dutho-
rax. IV, 3'!?. Lpu)' état convu)-
sif.tV,3'!t.–La section n'em-
pêcha pas la piqûre du quatrième
votitricuic de produiroto diabète.
)V.45:).–Hsti))opointdede-,
part des mouvements reOexe.'i dont
les aarines sont le siègo. V, )8!.
Anastomoses avec le facial. V.
t82. Chez t'homme.. V, 2':t.
Leur para)ysie. Y, 3U' Son
histoire, ses fonctions et ses pro-priétés, sa section produit la mort.
V, 344 !).):SensibUito non
constaute. V, 3ta. Effets de
la section sur les poumons. Y,
3M.–Expériences. V,a&B.–
Lorsqu'on les a coupés à un ani-
mal, la mort qui survient n'est pas
nécessairement, la conséquence
de l'asphyxie. V, 354. La !e-
sion pulmonaire consécutive 1,
leur section produit un emphy-
sème traumatique par un') dis-
tension mccauique du tissu du
poumon. Y, 368.–Apres leur
section, les rMpiraUona sont plusrares et. plus iarges. V, 369. Leur
section. V, 3'!t; XU, Xot.n-
nuencesnrtacircu)ation.V,3':6;
\'t,M3,227;H,32t.– tn-
nueï)cedciast'cï.xmsu!i)!nu-
vcme[)t'<duf'fr)ir.V,<i.Lf
nom))redfspt))s.')tion<'cardiaquesest considt'rat))ement augmente
V,E\p<'rie))fm. X'8.
–Leurgaivanisatit)n.)0:t;\tt.
2'H.–Ktfetsdotasertionsuri.t
respiration et surtc', contraction~
d~ cœur cht'j! tes animan\~Mn):
froid.V,395.–Sont-itsta voie de
transmission df"ac!t(n',s nerveu-
ses au cœur et au pnutnon'V,
'404.–Expériences. V,404.–
Leur section dans te crâne. V,
4M.–Expériences. \t()'.1.–
EiTets do la section sur les orpa-
nos abdominaux. V,4)~La
sensation do )aiaim persiste. V,
4t5. –Lesatimcntss'accumu-
lent dans t'œsopha~e p<n-a)yse.
t~6.–Lasecreiiott~tstriquoest
troubtee.V.'t)~Expériencessur les mammifères et les oiseaux.
V,'4t6.nf]uencc détour section
sur t'aspect de la muqueuse sto-
macatechex un chien nstute.V,
'42!Modifications apporh'cs parleur section <)ans l'absorption sur
la membrane muqueuse .stomacate.
V,9U;Vn,2.En'etsd<a
section sur los fonctions du foie.
V, ~3t. La fonction gtyeogeuique
est troublée. ,')!U.–Expériences.
Y, 433. Effets de la section sur
les urines. V, 433.–Sa~Kh'ani-
sation détermine l'apparition d)t
sucre dans io sang et dans les
urines. Y, 435. Expériences. V,
43.').–Observation du retour des
propriétés nerveuses dans un
pneumo-gastrique fatigue par la
g~h'anisation. V, 450. Obser-
vation du retour des actes physio-logiques auxquels il préside,
après la section do ce nerf. Y,
456. Après la section chez le
chien, t'air inspire par la narine
diminue. V, &U4. EKets de la
section sur la pression arterieth'
et sur t'imputsicn cardiaque. Vf,
!2' Action de la galvanisation
sur le reiu. VI, 309. S:), section
TAtiLE At.PHABÉT!QUM HT A~ALYTIQU);;M6
rosm'n~K ~couiement d<"<
liquides dans de petits tubes.
Ut, 72. Expériences hemome-
triques.Vt. )fM.–Hémodyna-
mique. IX, 46. Mouvement du
sang dans les vaisseaux capillai-
res.tX,C4.– Expériences sur
les diurétiques. XI, 76. tt consi-
dère la circulation comme suivant
les lois de t'hydrautique. XIII,
224.
t'OtSOXS. ïït, 38. 2:!9 XI, 19t.
Dosage on rapport avec te poids
des animaux et avec la quantitédo sang. f, 343. Absorbes rapi-
dement par !es ghndcs. il, '09;
!!ï,288.–Ce sont des réactifs
de la vie. !!), v, M. MOnition.
m, 3' Lieu d'action. ))!, 4~.
Absorption. III, 48. Dans
les trois régnas. 1)!, 49. Mode
d'action sur les grands systèmes.
)!f, f)2,328. Action sur les ap-
pareiis de la vie de nutrition. !tf,
f'3. Comparés aux aliments et
aux médicaments la dose seule
les ditTorencie des médicaments.
i)),M;Xt,t.4:M;XU,442.–
Leur neutralisation. ïït, 54, 100.
Leur pénétration dans l'orga-
nisme, dans le système artorie).
III, 5t!. Absorption par la
membrane muqueuse pulmo-
naire. III, 6t. Substances ren-
dues toxiques par des change-
ments do composition qui s'effec-
tuent avant leur arrivée dans leur
champ d'activité. U!, 05. In-
Ouonce de t'estomac et du poumon
sur des actes chimiques. Ht, (?.
Action physique, chimique et vi-
tale de certains poisons, ttt, (!
Leurs doses, ttt, )02; XI, 442.
Leur élimination. Ht, 102; XI,
442, 452. Leurs effets difTorent
suivant l'état de vigueur ou d aH'ai-
blissement de t'animât.tU.FM.–
Y a-t-it un poison dans le sang? tt),
223 XV, M9. Leur action sur la
fermentation et la végétation, tt),
265. Des poissons dans l'eau.
111, 293 a 30t. Agissant sur les
troub)u<e9 mouvements de la na-
rine. Vt,'i'!2.–Sa section ch<
te mouton. V!.4'?3;Vt), 414, 4)' i.
–Leur section ne ralentit pas les
mouvements du cœur. VI, 514.
Apres )cnr section la ligature de
la trachée n'empêche pas le cœur
<)o battre. Vf, 5)4. Leur section
rend t'urine acide. VII, M.–
Leur galvanisation change la
réaction du sang et ducai)tot.Vf!,
220. -ttssontpt'iv~sdcsenaiMtito
chez les animaux h jeun, ils de-
viennent sensibles pendant l'acte
do la digestion. XI, 165. Effets
de la section sur le ~rand sympa-
thique. XI, 211. t. EtTots de )<<ur
section sur t'fBsophagf. XV, 552.
Conclusions erronées qu'on a
tirées de ces résultats. XV, 552.
L'opération n'abolit aucune
des sensations on rapport avec le
travail de la digestion. XV, 553.
EnetadeteurgaivMtMtiottsur
l'estomac. XV, a'!3. EO'eM de
l'excitation. XV)H. 3;<. Ils por-
tent les innuenccs nerveuses au
cœur. XVU!, a61. Voy. Co))t;t~-
sions.
PKEUMOKtE consécutive a l'action
de la vapeur du charbon. III, 198.
Saignée. XtV, 325.
COKTAOEUSt! des bêtes t
cornes. XI, 40.
POELES E~! t'OKTE ou en fer,
leur insalubrité par la production
de l'oxyde de carbone. X!L 528.
POt-CtAU!. Travaux conftrmatifs de
la glycogénie. 471. La ma-
ttereauerooset'ormo-t-cHopar
l'action digestive dans le foia et
dans le torrent circntatoire?!, 503.t'CtOS des animaux, dosage des
poisons. 343. Voy. Pf)'<? de
poids.
POINT NUL ou tadin'erent de la
température sanguine. XIII, ))S.
–VtTALdcF)our(!ns.XV,93.
POINT MM VUE anatomique ou or-
gantnue.t!,)5.–Physiotogtqueou fonctionnet. Il, t5.
t'OtNTE DU COEUR. XVIII, 322.
DES CEUVnRS DE CLAUDK ft)-:)!~A)!n. '*<i7
iadie.sfmstfiustesrapports.Xf.
)t)!t,iM,)M.-)t-i se {dissent
jusqu'aux eiementsanatomique-)sur lesquels ils agissent. Xt,)21,
4M; X)t. 382. Symptômesconstants qui succèdent't!t'ur in-
troduction dans j'econnmif!. Xf,I!9.fh sont les plus commo-
des de tous tes moyensd'cxp)''t'i-
mentation ils offrent par leur
action d'immenses avantages il
l'observateur physiologique. X).
]29.)3t.–Hivers degrés de la
rapidité avec laquelle leurs effets
se manifestent. XI, 130. Pé-
riode d'incubation qui précède
l'explosion des phénomènes ca-
ractéristiques. XI, 131. Possi-
biiito d'une guérison radicale. XI,)3t. Absence souvent comptctede lésions visibles. XI, 131.
Differeuces d'action entre les ani-
maux de m&me espèce. XI, tS6Entre )'adu)te et te jeune ani-
mal. XI, 196. Entre l'animal
après la naissance, et l'animal
pendant la vie fœtaje. XI, )M.
Ils agissent avec plus d'intensité
sur tes nerfs coupés. XI, 208,
2ti,)e. –Leur action sur le
système nerveux. semble au pre-mier abord en augmenter les pro-prieté!}.X),X'2![.eur action
est plus rapide quand toute iu-
fluence nerveuse est supprimée.
Xf, 235. L'absorption peut être
empêchée par la ligature des
YaiM<}ttas:.Xf,285.–L'absorp-tion est empccheo par la galvani-
sation des nerfs. XI, 286. Leur
action. XI, 292. Co son', pour
)e physiologiste, des agents capables de modifier les phénomène-)
do la vie et même de les fairn
cesser complètement. XI, 430.
Actions générales ot actions loca-
ies. Xt. 4-H. Un seul poison
complètement connu nous don-
nerait la connaissance de l'orga-nisme entier. XI, 446. Il n'agit
pas, sifétiminationet t'absorptionse balancent. Xi!, 85. Accumu-
branchies des poissons. Ht, 29'i.
Actions v.'u'it'f's sur ies nerfs.
III, 30.–Action sur les mus-
c!<*a.U',MR.–Action comparpf
desdiyerspoisons:su)fo''yanure,
strychnine, curare, etc. m,8~).
–Us servent à doser )a quan-tité de sang. Vf, 4)9. –{ns-
truments et agents de t'ana-
lyse physiologique des propriété~
destissusvivants.fX,)R;X.tT!:
X!f,27'4!!8;XVtH,39H.)s
vicient )o milieu intérieur. IX, 47,
Ils ne détruisent pas les mou
vements vibratiles. X, )3<
Ceux qui détruisent la contractt-
!it6 musculaire n'ont pas néces-
sairement de t'inituenee sur les
courants électriques des muscles.
X, 211. Différence de leur ac-
tion sur divers animaux. XI, 33.
–LesditMrcncesd'actionsurdi-
vers animaux etptiquces par l'état
du système nerveux. XI, 3<. Le
sang en est le vehicuie. XI, 83.
Influences diverses sur des tissus
homologues. XI, 88. Ils innuen-
cent diversement les animaux
d'espèces diverses. XI, 88, ]35.
Leurs effets généraux sont en
rapport avec l'activité des vais-
seaux et des nerfs. XI, 90. Us ne
peuvent agir sur les tissus et les
organes qu'en traversant tes vais-seaux artériels et par l'intermé.
diaire du sang artériel. XI, 93:
XH, 3*!). Ils sont quelquefoiséliminés avant d'y parvenir. XI,
93. Leurs effets peuvent sou-
vent se rapporter à l'intervention
directe du système nerveux. XI,
9't. Importance de t'apparei)
pulmonaire au point de vue de
leur élimination; c'est par lui
qu'elle se fait habituellement.
XI, 94. En faibles quantités, ils
peuvent circuler dans le sans,
sans mettre la vie en danger. XI,i,94. –Activité extraordinaire, lors-
qu'ils sont absorbés par la surface
putmonaire. XI, 94. Leurs ef-
fets ressemblent & ceux de la ma-
TAtiLH AL)'!f.\t!ÉTJQUEET A~ALYTtQUE268
)a!inn successive. X!t, 4.M.
Leur emploi pour porter t'anatyse
cxpëmnentatojusquosuria'i (Mo-
ments anatomiques. XV, 88.
Leur influence sur les cœurt
veineux et lymphatiques. XV,
3.S4. Utilisés comme moyens do
vivisection. XV, 401. Leur an-
tagonisme. XV, 42C. Leur in-
nuencosnrIasecr~tioaMJiyatro.
XV,a33.–ftiinesont actifs que
pierre <)U'tis pénètrent dat)a )o
Mnf:.XVt)!,i38.–nssout~)a
fois agents de (tcstruction de la
vie, moyens de guérison dt"! mala-
dies, et instruments d'anatyse
p!)y'.io!ogiquo. XVU!, 2:n. !i9
parcourent trois étapes. XVIII,
279. At'r&t~'i (t.utt les Ycmsa ou
dans les arttVres. XV11I, 98f. Voy.&ipOtMnMfMC"<A', F<!M. ~Oi'fhM!.
t'OtSOKS A ACTt<~f< MSOBG~Kt-
SATR'CK. XI, 2!M.
AMMtUCA~S. XV:it, 23'
FKnMENTtt'ÈKKS. Leur action.
)!L 70. S8. 9.
–t)ESt'KCn<S.!)),3!);X,)'?7;
XVUt, 938.
UES MKCAKtSMES VtTAtJX
XVn, )!!3.
j(.MKTAH.tQUKS. m, 90.
MUSCULAtnRS. tX, )M, )82;
Xf, )«!. Leurs efTets geuÉmux.
XI, 153. Ils se divisent eu deux
classes, ceux qui agissent sur le
cocu)' et ceux qui agissent eur le
système musculaire. XI, !a3.
~todifications qu'ils am~ueut dans
les propriétés physique!! du t!MU
musculaire. Xf, )&C. Modifica-
tions an~togues à celles qui se
produisent apr~s la mort. XI, t56.
NËVKOSTm!K)<~t't:S. Les ani-
maux qui y sont les moins sensiMss
sont ptus exposés aux nMMies vi-
rulentes et contagieuses. XI, 31. 1
t)ES PROPRtETES YtTALKS j<
XVII, t83.
POISSONS, Pauercait. JI, 479, -i87. t
Leurs poisons dans t'eau. Ht, it
M3a30).–Leur empoisonnement
dauf les cours d'eau. I11, 295. )
En'cts()(t)acyc)amino.tf[,0).
304. Kmpoisonnes par le curare.
X!,)38.–<;ircu)ation.Xf,3M.–
VeMictMtatOtrf'.XV,2:)3.t')c-
vetoppcment. XV), 32'?. Leur
foie contient du.'iUCf'e.XVn, 9!).
Oycog~nÈse. XVtf, 98. Gfy-
cogene dufoie.XVU,!M. Voy.
B)'<t!K'/t)M', Cn'ex/a~oM, ~c~~te na-<H<Ott'<
POtSSOKSEt.t:CTKtQUt:S. XVm,
ne.
t'Ot~RtMETtmS. Xt\, <UO.
POLARtMETKtt!. XV]), 3~9. Voy.
/ty)parf7~ /)o~a~:fM~t~«e!.
P<)t.AK)SA't'tOK pour reconn~tro
jap)'eMnccdusucre.J,M.
POLYOU'SX!. I. 44< XIV, (!~ <?.
yot.VMOKt'tHSME ce))u)aire. XVL
855. Nutritif. XV)t, 38i.
POLY't'EhydMiro. tX, t0).
t'OLYt'HAGn. X)V, M, <?.
rOU-URtË. I, 34<i, 4)9; XIV, 69,
C4, 6G. K))o est indépendante
[!<')!tg)ycosu)'i6.),.ti7.–Artifi-
cieUe. ), 34' Observations Mp6-
rimo!)M.tes.t,i8.
t'CMMKS [tE TEUKE, acte nutritif
en deux périodes. XVII, 134.
PO~U'E A MEttCt'nK. XV, 2:)).
Son usage daus t'anatyso des gaz
duMng.X)[,i9t.
ME GAY-M'SSAC pour injections
gazeuses.XV,3<it.
t'CMCS disséqués par Vësa.to. XV, 68.
Appareii de contention, d~prÈs
VeM)(!.XV,n't.
i'~RTAL, cultive la physiologio
eKpërinientaiu ii hit un cours do
physiologie experimcntAte au Coi-
lège de France. Vin, 2G2 XIV, 40.
Professeur de médecine au Col-
lèga do France. XI, ix; Xiï, 334;
XtV, 20. Asphyxie par ia vapeur
de charbon. X)), 334, 345.
'OBTE A)<;mLLM. XV. 202.
'OUTH MK~AL (AppAKEtL;. Voy./f6t".
'OStTtVtSME.VUf,387.
OTASSH. XVI), t9. Rend vis-
queux !e suc intestinal du tapin.tV,
452. Voy. fo'M<e de yof<Mse,
t)ES(EUVH);S!)E CLAUDE )!A!tn. "M ~-)
minatinudt'seai'etdct'oxydf'de
carbfjue.tH.H'.t.Son obstruc-
tion par injection de gaz dans je
CfBur.tH.fM.–Atterationspn-
c!a!ea!!isuit(!d'injHCtionsdacid<'
pyro,m'ique fiant !e sang.)!222.
–Absorption rapide du curare.
)!),28G.–Action du curare.)!
:)9.–fnsufnation d'air. i)),i,
~S't.Actiond'unedf)sefaib)ede
nicotine. t)!,40).Kft'ets de la
section de-, pneumo-gastriques.
V,M2.–Latesionputmonaire
consecutiveahi section dcspnen-
mo-gastriques produit un en)phy-
sème traumatiquc. V, ~(!S. Les
nerf!i pneumo-gastriquea tour
transmetteut-its les actions ner-
veuses ? V,404.–Modifications
do température qu'ept'uuvH le
sang en le traversant. Vi, K)Ï.
Température du sang avant et
après )o poumon. Yt, !()').–Son
action surtacouteur du sang.\f.
S34. Circulation du sani:. V),
n2;\VfH, 3'). L'injection
d'huiterendacidotareactionde
)'urino. YH, 32. Ëhmination
das substances vo)ati)es. VH, HO.
–]i n'est pas le siège exclusif
de ta combustion respiratoire.
!X,58.–n n'est que l'organe
specin)de)'ahsnrptionftdei'c\ha-
iation gazeuse de l'organisme vi-
vant, i) no s'y acco<np)it qu'uu
cchan~- de gaz. IX, 5t); X, St4;
Xtt, 33t). L'hydrog'na suiturc
est pour lui un toxique, s'il est
absorbe. )X,f!Sonro)e<)ans)'cxcrction. !X, 8.'<. ).'a)butnine
injectée se retrouve <!ans i'axcro-
tionurinaire.)X, )'.)')~)imina-
tion de )'et))er. Xf, T8. Ëtimina-
tion du phosphore. Xt, '!8. Ac-
tivité axtraordioaire des poisons
forsqu'its sont absorbes par la sur-
face pulmonaire. X!, 94. Absorp-
tion du curare par sa surface in-
terne. XI, )40. Ce n'est pas en
lui que s'accomplit la respiration
do !'oxygene. XI, 272. Pendant
que le sang le traverse, exhata-
f'rMMt«~UH?~o'«'ro-
f/')~)<<<?~)0'<'t.<
NOTASSE CAUSTtQUt:. Son action
surie sans; poursonanatyse.V).
t'0't'ASSH;M.Voy.fi)'o~!HX,('t?tf)-
/'f)'t'M''e,C;/a'<M)'e,if~'tre,St<f/h-
C)/<t';Kt'<
POt'ntU; Dt: CHAHKOX Action
toxique.!)), 63, (it.
POULE. Voy. Qf~M/' po;
POt!t,S. VI, 22!t XVIII, 332. Sa
fréquence. V), 220. Ses varia-
tions physiologiques en rapport
avec t'ctat des fonctions digestives.
VI, 22t. Rapport de sa fréquenceitvec. la production de la chaleur. VI,M2.– Rapports avec les mou-
vements, ,ec la température du
sang. Vf, 224. Rapports avec
la eh!i)cur aniamte. VI, 935.
Rapports avec l'activité do la res-
piration. Vt, 22f). tnf)uence
df's neri's. V), 22!). Son reten-
tissement par injection de bite
dans to sang. VI), tic.–Cas où
il se propage des artères dans
les veines. XI, 37 Veineux
par reflux. XI, 3'n. 1.
fOMMON. Fermentation gtycosique
et lactique chez le fœtus de veau.
I, 95': &9G!, :)!)' VH,)~;XtV.
f)M. Oycogenique, dans la vie
fœtato. f, 258, 388. De veau, fc-
cule animale. J, 3.')8. Son rote
dans la sécrétion glycogénique. t.
329. Sa solidarité fonction-
neUe avec le foie. 3M. Se.s
propriétés glycogéniques, chez le
fœtus. 3'M!. Etimination des
poisons gazeux introduits dans~
l'appareil digestif ou dans le sys-
tcmc veineux général. III, .')'
Ë)iiniMtio!i d'hydrogène sut-
furé et de substances volati-
les. III, 58. Épithélium vibra
tile. l)!,6t. –Ci)svibrati)es.
H), 6t. La pénétration de la fc- !é
cule est-elle possible? III, 65.
Son ionuence sur les substances
rendues toxiques par des change-
ments de composition. III, 66.
Échange des gaz. IH, 1S8. Éli-
TABLE ALPHAHËTtQUE ET ANALYTIQUE~c
tion des substances RM*'twsquiy 5
sont coutermes.XU,(!).–C'est
par lui que tcsancsthfsiques
doivent être administrcs.Xn,i<8.
Sa perforation dans les expé-
riences sur rasphy]tie.XH,!t4.'<,
3.')2.–Caractère éventuel de cet
accident. XH, 345, 3M. -Méca-
nisme do ces ruptures. XII, 3~, 1,
3M.–Absorption do t'acido car-
bonique pat'un seut poumon.Xit,
310. Inspiration ot expiration.
XH,3!)8.–Son rôle dans la modi-
fication de la chaleur animait'. XIII,
98. Son rôle dans t'oquiiibrc
catorifique. XIII, t'X). Msuitats
diMrccts de l'application de la
chaleur extérieure.sur ht surf'at'e
pulmonaire. XIII, S.M. Ses lé-
sions après la respiration artin-
cietie. XV, 4'H. It n'est pas Je
foyerdet!tchaieuranima)o.X\
~8' Modification des atiments.
X\'[), 3M. Voy. Circulation,
<i'fa<tOMpM~MOM<)'f,/nspt)'<
<)on ;)M~n~MH"'t', //MM/~a<X/M p"<-
nt0"<!t'rc, ~/M</M<?)Me pu~)!OMi'r<
~u<)M('na!re (Acte), ~M/oto~nt're
~ApparcH), Pti<woMat''< (Surface),
Hc/rot'~MSMnent pM<wo;tat''e, /ie~-
)~tr'<<t0'<.
t'OURt OUR BU t'KHT Section du
sympathique. ), 18; V, ~~0; VIII,
298 XI, M), 3'!3; XU!, 20'
t'O~RQUtUUKS CHOSES (Le). Nous
ne pouvons je connaitro, il nous
échappe. VBt, t37; XI, 110, 448;
XVUt,55.
POUVOtK ABSORBAIT Voy. Ab-
~M'tant.
t'ttA'UCtEN. Voy. ~dectM prati-
CfC)!.
CKATtQU)' Elle précède la théorie,
XI, 't, 56A. Comparée à la théo-
rie.XJV.38.
KXPERtMENTALE. Sur les êtres
vivants. Vtn,t6!
MEOtCALE. EUo est une chose
extrêmement comptexe. VUl, 359.
Sa mobilité. XIV, 225. Voy.Médecine ~rn~~ife.
t'UKCtStOX daus les expériences
physio)op:i()ues, fausse précision.
!.2'28.
t'RÉDOSt'UStTtOK contre i'xs.
phyxie par un anaibtiMement an-
térieur. Ut, U7.
MOMBtBK. Chez t'homme. Xh
23, 2C. Causées par la section
du nerf sympathique. XI, 30.
PMYStOKtGtQUE Chez
)'!)omme. XI, 2; 26. –Différences
entre les diverses classes d'animaux
et entre les animant appartenant a
la même espèce. XI, 2't.
PHEEXtSTEKCË du germo. XVf,
3)2.
t'BEPU"MAT'OK du germe. XV,
3t2.
t'tuhtENStON DES ALtMKNTS.
XY)i, 252. -Effets de la paralysio
des joues et des lèvres. V, 38.
DES AK'MAUX. XV, )04. Dos
grands animaux. XV, )42. Du
cheval. XV, t'42. Du bœuf. XV,
146.
t'ttESS)OK ABTËRtKLLK VI, 170,
t'i, )9.i. Constance de la pres-
sion ]atera)e dans le système ar-
tériel, IV, 2T!Expériences. Vf,
f!4. Rapports qui existent entre
la pression constante et ta pressionintermittente. Vf, )iM. Expé-
rience. VI, t95. Elle est cons-
tante. VJ, 211. Observation
comparée de la pression dans les
deux bouts d'une même artère cou-
pée. VJ, Bt). Chez des animaux
de taittadinerente. VI, 211. Ef-
fets de la section des pneumo-
gastriques. VI, 227.
ATMOSPIIÉIUQUE. XVII, 192.
Son influence sur les phéno-
mènes de la vie. VIII, 209. Parmi
les effets du changement de pres-
sion, il faut distinguer les effets du
changement lui-même, augmenta-
tion ou diminution, et les eS'etede la
rapidité du changement. XVII, 192.
Effets de la diminution. XVII,
)92, 200. Sa variation agit, non
pas en tant que variation mécani-
que, mais en tant que variation chi-
mique de la composition de l'air,
DLSfEUVRESOE CLAUDE BEnNARft. 2:)
S.VH,i95.ËtTets de l'augmenta-
tion (tfpresston.X\m.–Ac-
ctdontsconvu)sifs.XVH,19.').
Sou inHupnce sur la germination.
XVII, t98. Modification du sans;.
xvn,2o~.
t'Rf:SStO?! CAROtAQUE. VI, )'
194.
CARmOMETRtQUË après em-
poisonnement par !c curare. Vit.
312, 317.
DU COEUR droit. IV, 2'Sa
force. VI, 106. La pression cons-
tante est Hutte dans les vontri-
cules Expériences. VI, 114.
OAKS H:S GROS VAISSEAUX.
Influence des nerfs et de la moelle.
Y!, 189, 201.
HEMOMÉTMQUE. V), 434
MU SANC. !X, 4G. Augmentée
par la nicotine. III, 409. Dans
rintertOir du ventricule droit du
ceeur- !V, XTT. Influence des
racines rachidiennes. IV, 282.
Uiminuee après section do la
moelle épinicre ou même ouver-
ture du canal vertébral. IV, 382.Dans le cœur. Vt, 10' 194, 199,
200. Dans les voies circulatoi-
res. VI, 163; XI, 362. Moyens
employés pour la mesurer. Vt,
164. Influence de la section de
la moelle. VI, t80, 200. In-
fluence des nerfs. VI, 180, 200,
230. Influence sur la formation
des liquides organiques. VI, 206.
-Dans les différentes parties du
système artériel. VI, 208. Ré-
sultats din'erents en opérant avec
divers instruments. VI, 208.
Pression différentielle dans les di-
vers vaisseaux. VI, 209. Péri.
phérique et centrale. VI, 213.
Deux ctMens' opposés par leur
pression. VI, 218. Dans la face,
influence du grand sympathi-
que. VI, 233. Influence
du grand sympathique. VI, 424,
428, 434. Son influence sur
l'urmation. VII, 161. Happort
avec la sécrétion. VU, 269 XI,
;i66. -Elle résulte do la tension
artérielle. tX, M. –Son influ-
ence sur la vie des éléméntt histo-
)ogiques.)X,4' –Augmente)'sur un point, diminuée sur un autre
point,apr<s).ifioctiun du sym-
pathique. t\t8).3:)i. Rap-portsaveclcsn''rfs.XU!,2)3.–
Uistinguo l'augmentation de pres-
sion, et l'augmentation du nom-
bre des battements du cœur
Xft),2(M.
t'RESStOK VASCt LA!ME. XH!, 2 i ).
!nûuence des nerfs sensitifs.
ÎV, 282. Expériences avec le ma-
nomètre différentiel. XIII, 2<).1.
VEREUSE. Vt. 20~ XIII, 2;8.
t'tU;SSO!R D HEttOPUtLE XVIII,
38t.
t'KEtJVE.H, ')'
t'REVtStOK, but des sciences d'ob-
sen.'ation et des sciences naturel-
les. !X, )3: XI, 458; XVU, 393.
Dans les sciences d'observa-
tion, rendue possible par la con-
naissance des lois. XVt, 379.
t'RtËSTLEY, comment il com-
prenait l'exposé de ses expérien-ces. VI, x!. Kxper. sur l'anta-
gonisme physique, chimique et
mécanique des plantes et des
animaux, au point de vue de leur
respiration. XVI, t:!4 XVit, )6t.
Lacunes de ces expériences.
XVU.)C2.
t'iUNCtPE GLYCOGÈNE. Voy.
6/yo~te.
tGNO-AERtEK. Voy. ~no-a~-f:'<M.
DU SANG. Principe actif, condi-
tions particulières qui en règlentla quantité. XII, 85.
Y)TA!L. tX, 3 XI, Gt XIII, 6
XVI, 6; XVIII, m. C'est une
hypothèse inutile. X, T!. Indé-
pendant, on ne peut pas le trou-
ver. XVI, 124.
t'RtKCtPES. Dans les sciences, il
ne faut pas les confondre avec les
théories. VIII, 302, 383.
ACTIFS chimiquement purs,
leur usage en thérapeutique, au
lieu des extraits. X!I, 81.
TAt;).tSA).)'HA))ËT[<jUEETANA).Y))Qt!t:'~2
t'Mt\Ctt'~S U.!M):TA!nt;S Voy.l'III~ell'ES
Af.U'¡;¡"'A.IIŒS. \'OJ"I
~/u~~?f/f/
–tMMKtt!A'<'S.or{;s;)if)t!pset!nnr-
j{a[nf)ues.Ui.O;YH),)39;X\H, 1
i!),?).–Lf'u!-constitutioH.)f!,42.II.h) ftm'nce propre des étemenis
<iur)cur.<) propriétés. ]J!,43.–jt)s
sento'ee~pariosanuuauxettt'i
<û~taux.)X,80;XV)!,2).–f)s
sf)ntrrpôsd~n'!)'ni)iou intérieur
org:t):)i<)ue desYÉgCtaux et des
animaux.!X,9'i.–C!'t';csphysio-
)n~iqu"mRutpar)e!iVt''gc<!)t)'<,et
pour eux, quoique HnatotHunt con-
sommes par )e!t animaux. tX, 95.#
–))a MntfornMS paries aui-
nt;)u\.X,'tOG;X)V, «!Leur
synthèse so fait chei! )es aninutux
et tes végétaux. XV)), 2't. Voy. j
S'/?)</tM<' f/M priy<t't/~tH)H!<
f)'t'a<.<.
cles porincipes
irrtnrd-~M<)KUU)!;S. Yoy. fVo)'&«/M(pria-
Ktpc.<).
<)R(;A?<)QCHS dans j'air.
488.
--St'cnKS.oy.SMf''<'i!.
–VHt~t.);r<TS.Voy. )~'rM~M<
t'MtKGm, son a\p6rionca sur )~
conUt~ion pt)tri<)< X!, '')*
t'n<))(ABU.)TK. VU), 9:!3.
t'ttOHLMMt;.Stjuese))0-.oat.!f)))hy-.
sioto~if" et la p~thotOftic f!c'f~.
XV,X.~).–))et!lphy!iiotosie;!
conn~n'ctes fois des pt)9norm''n(;Si
dohti'! fit agir turi'~j'pitrition!
docc'tphet)om&nf's.XVf,3!T.
Phytiioto~ique et m~iiM), che)'- )
cher!'c:tp!u'ttion
do:phonutnAuCt
de)asMt~<phy6io)o);!ot)orm~)o)!de ta ntatadio (physiotogie ptthofo- j
giqu<')ct en dcdutt'eiet moyensd'action (thérapeutique). X~'J~t't.
i'RORHSSUS MOtUttHK imitô aWi-
HcifUcmt-nt.X!
t'tU)fUC)tO~ CAf,«<UHQtJE
Voy.C<o/K<
t'MOtH'ns H)ÉTt:KOm(.Ut;M
Voy. /o/<MM.
t'ATH<t)LOS)QUES Voy. Pf<-
Mo/Uf.
ON SKCKETtON. Voy. Sec)-
<Wi.
!'tt ()'(;t)KSd.'t !]'!)e.<! scioncetphy~if)-
logiques.XV))t,:n.
PRSG!U:SS!~Jf. Voy. ~OMt-cm~i'<
f/epr(K~)'M'!0~.
t'nOJHFKKA ) t(~ vita)c. XV!), ;).
t'KOMO'tt;t'US de ta. science, j(.ur
rt')io.Xf.4<)2.
t'no~os'rtc.vnf,?:).– n'rst
!'objet(is la médecine d'observa.
tn)U.X),t5S.
t'nUt'nYLAXma pour but <6vitcr
)ede\e)ctppetncntde3con'1itio!M
morbides.Xt,'K)S.
PnOt'R)KT!s, ieur d4stin<'tion Mue
ia'<pbenomeaes.comp)ox[;s.X\tf,
Oit. Comparées aux t'oueiions.
X\'tf),4''9.
–CtUMtQU~S. V))I, )t!t, :!M.
UHS COim'S VtVANTS, teurii
manifestations sont )i<;t!!i t'exis-ma»iCostatious sonC lides l1 l'eYis-
tonco de certains ph~notnf'a"!)
physico-chimiques f)ui en rÈgieti).
t'a()pari<ion.\)t!.tU4.
mt!HSTtVt;S. Voy. Dt'~c~iWs.
ttK LA MATtHKH, )eur 6tu(ic
dott expliquer tes phénomènes
que nous observons.Xt,4)i8.
UHLAMATtKK): VtVAKH:.<'))cs soutinst~biosct mobites. Xf.
<9N.
MOTtUCES, tf'ur sëpar&tion des
proprict<isensitive!).tft,:(M.
MUSCULAtKKS. Voy. ~t~cu-
~afrt'?.
KKKVEt'St-:S. Voy. A')')-ue«M.<
(propriétés).
PMYStOLO(:tQt!)':M MtttysCES
psriecu!'a!'a.!H,4~3.
t'HYSt~tJ~S. V))!, tCf, 953.
LeMt' opposition aft-c les pt'oprM-
t6svit<)es.X\'n,4i;).
t'HOTO)'t.ASMt~t;t!S Vay.
~t'ofo/j~o~nii'~MM.
SKKSt't'tVKS, leur sëpaMtiondes
propriétés motrice:).H),3<!0.
MKS TMSM.S Yt~ANTS, e))e.t
peuvent &tre saisies ft scrutées.
Xf, 563. E))es peufent être ;i)!a-
ty<i<9!! par les poiMas. Xt!,
272.
VITALES. VU), t6), ;!53; XVf,
49,2t9,369;XV)i,46t;XyUi,
DES ŒUVUËS DE CLAUDE !!Ktt~A[)P. 2' :3
('.L*t;!)E)!K)tXA))n.Xt\.
))),m,)M.–de)iir.hat.tn.5:X.I
)<n:XV)f,i!4-5: XV!
–Hihjs résident dans )(;s6)Mmcnts
organique!}. X, t2*K))esnH
sont que tes proprictesphysiquesctchinjiqnfsdt' t.T. matiM'c vi-
vante.Xt, 101. Leur dispari-
tion dans tes tissus est toujours
produite par des ajtoratiotis ni .)<
t'ietics. Xt, t.')S. Ë~attces par la
section du grand sympathique. XI,343. Hepr!mce<! ou abotifs p;u-tt galvanisation du grand sympa-
thique. XI, H43. Elles rentrent
dansjestoi'ideiaphys.iqueotdc
!a.h:mio.XH,4M.–F.))e';so))t
distincte'; dos moc~nismos fonc-
tionnets. XVII, n3. Leurs poi-sons. XVH, t8; Selon Uorutiu.
X\!t, 449. Opposition av~'c
les propriétés pttysiquea.XVU,~i. HHcsnosont que descom-
ptoxus de propriétés physiques.
XVft,'t'HUesnt'sontquodanate'~cGUutesvivantc'i.XVtH,
''03,23~.
t'ttOTOM~KBA t'RtMtïtVA XV[,
190, 297.
fROTEtKE.Jn,<0;XVU,B~7.
PROTÉIQUES (MATtÈMS) du saug.
XH,2'
t'RCTtSTES. XY~f, 2~5.
t'ROTO(;H?!ES fMMORMAHS.X.VL)90,M.
P)K)TOPiLASMA. !X, )0û; XVL2M.X~U~M.-ne~)a
substance vivante antérieure ta
ccHute. XVJ, t8~. La ceMut'} Mu
vient.XVt, tS!UMS les cel-
tu)M Testâtes. XVI, 190. Il
est le corps vivant de la cellule
dans les deux rognes. XV), t{)3.Sa constitution. XVI, )!)3.
Sa structure. XV), )i)a.– Sa
complOMtô. X\'[, tOS.– Son
roto dans la divitiou du noyau.
XV), )!)6. S«s rapports avec le
noyau.XV), t!)(!Destinentdes manifestations de )a cellule.
XV),i!)8.–tt ne limite pas le
règne animal et le rcgno végétât.
XVI, SOS. Ses rapports avec la
H)yco~nese.XV),93:). –)tpos-s" !'irr!tahi)i[e<'t)am(~tdite.
X\t,94).–<,es proprie~e'i cons-
tituent )e trait d'union entre for-
nanisme et h'monde cxteriour.
XVt. 9ia.-Sonirritabiiito.XVt,
T'H,t,)i.–Xous agissons
'.ttr)ui.XVt,T.)).–r)nerc))re-'ipntf; (j)t")i)vi<s.tn<) f'ot-mo spéci-
tique. X\)f,2;)2.–L'6t)-cwant
e!-tunprot.op)asma)aeonne.XV!.~93.–Sa paralysie. XV)f,B2'
t'KOTOPLASMA C))).Onut'nvL
Ht:K ou VERT. XV), 309. Son
rniedamsiasynthÈsc organique.
XVt, 9)9.–Hopef-cia. synthèse(ics corps teruairt'a sous t'inftucnce
f)o)a)umi6rf'.XV),)9.–ntn-c
Sttncncrgx'dH la radiation so-
tftire. XV), 9)3. Il est faraf~ris(''
par la fonction <:h)orop))y)Hcnne.
XV!2.!0.–I) peut apparteniraux deux n'~np~. X\')t, '().
tKCOLOUH. XVt, 90'). 9 h!.
SonrotadansUtaynthH-iOOrgani-
'juc. XYt, 3n. Il opère des
t-ynthescs c<)ntp)ex(" X\'f, X)7.
Expériences de M. Pasteur. XYt,2)7. ji nn peut incorporer ie
carbone directement. XY). '!)9.
Il emptuie t'Énergie caiorinquo.
X\'f. '~0.
-VERT. Voy. Pi'o~~wac/tht'o-
~/t<f«''<.
t'RO Tuf't.ASMATtQtJE (RKSEAc).
Voy. <M«-at;.
)'HOH)t'LASMtQUE (MASSE; Voy.~<me.
(XoYAU). Voy. A'oyo;
–(T))Èo)UH).Yoy.ï'A('ot't<:pro<o/)/a.
Wtf/fte.
t'KttTOt'LASMtQUES (ÊTnEs). Vov.~M.
--(PnÈxoMÈKHs de germination,
développement et fermentation,
)eur ancsthasie chez tes animaux
et)csvegottux.XVt,2RT.
--(PttopRtKTÈs) du inouvemcntctde
Ja Mnsibititc, leur anesthesie chc.!
tes auimaux et tes \'6{;6tau\. XVI.~M.
t'tturosOMA. XVt, 32).
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE~4
PttLMOMtttE (ACTE). Son in-
nuencesur!acou)eurdu!'anK.
Vi.SM.
–(Apf'AHE)L~.Son importance M
pointdevuedot'étiminationdu
poison.Xt,9'i.
(CoMBCMtO~.) Voy. C&')~us<;o«
pM/MOMatff.
--(MESpmAT!ON).Voy. ~Mptt'ah')~!<<monat')-<
–(SmfACK). Absorption. Xf)~2.
–(Vt:XT!LATM!i).oy. tfti~H~W.
(VÈstCft.E). Yoy. t'~tCM~ pu/mo-
na!p.
PU~SATtOKS AmÉtttEt.LES. Y!,
m. Dans l'intestin après sce-
tion des nerfs.t,)4a.
CAMOtAptJES. Vf, H?. Leur
augmantaHon après ta section du
pneumOKastriquf!. V, 3T!. –Aug-mentées par les excitations dou-
toureuMs. Xt. 39t.
VEREUSES.Xt,3'!).
PUPILLE, effets do la section
du facial et du grand sympa-
ttufjue sur ses mouvements. V,~&44. tnftMncc de la
3' paire. V, 203. Ses mouve-
ment').Y,203,)(),2'!4.–Sa
dilatation par la belladone apn'ssection do la 3'paire. V, 205.
Influence du nerf sympathique sur
ses mom'emonts. V, 210 ~t'
V!), 33(i. Son resserrement et
sa dilatation suivant la direction
do la lumière. V, 2)a. Chez les
oiMauiL. V, 2t5. Son r~trécis-
«'meut dans la section du !;ymj)a-
thique.V,4';).–E))o("itdi)atGn
par la section du filet cervicat du
!Mnd.ympat))i(juoauite)td'(;(rf
contractée. V, 53.'). Son ctat
dans t'asphyxie. Yt), too. Voy.
R~<!<<t~0);~t;pt'~trp.
t'~KCATtFS X),n.
PMRGATtVES (.AcTtOXs) par endos-
mose. )tf, M.
t'U'Ut'tCA'nOK do )'atm')sphw.
XVII, 229.
t'US. InQuence du système nerveux
et du nerf sympathique sur sa
production. V)), 428.
PROTOXYnK n'AZOTE comme
anesthesique.Xt),38.
fKOTOXOAtMES.XVH.245.
PRUSStATE lm POTASSE. Son
ahsorption par les glandes. 11, 111.
–8onpMsagodanstec))y)e.vn,H'Gi).)nofMtpasdRbteude
PrusMdanst'estomac.VH.SH.
Son passage dans les vaisseaux
tymph~tiqucs.Vjff,4)9.–Passantdans l'urine. XI, 326.
JAUSE Son 6)imiuation par les
reins. VI, ÏCt. Injectés dans le
saug. Vt, 482. Injection dans
les conduit!. MiiMires.Vi),S54.
–!ipa,ssodusangdansta)ym-
pt)f,ost6)imin6par)a. salive
fjuant) il est injecté en gMuda
<(uanttt6 dans Fartere carotido.
\'U,2;)8. !njectionsd!ms)es voi-
nes.fX,t8.'<J[nj<'ctions,X~,2<)!).
–Pour mesurer taraptdimdn la
circulation. XV, 3'!().– Ëttminë!
par la sëcrction gastrique. X.
Mf..
ROUGE, modifié par le rein. Y!
)t, 12.
PRUSStQCt: ou ClfA~HYttRtQUK
(Aot)EL XV, 4)&. L'ethcr en
est le cnntre-poison, III, !7.
Empoisonnement par transfusion.
VH, 'iM. Kapiditt'' do son ac-
tion. tX, H XV, ~)'i. Son ac-
tion sur le MriMon. XI, !');).
PoursacrifiM'iesanimau):. XV, 9:t.
PSKt'DO FIBm~E. V!, 48 Xïn,
3':9. Du sang. Vf, 4&4 VH, )
)M.
PSO)MQUE(VtcE). X)V, 8t.
t'SYCHE de Pythagoro. XU!, C;
XVH), tM.
PSYCttOMt.n' scfi tn~ca.ci.smes
doivent être eclairos paria p))y-
sioiof; XVUt, «I. Il n'y a
pas de siguo de séparation entre
elle et la physioto~io. XVt)f, 43t.
PTYAUKt. H, )M IX, 7C.
PTYAUSMK. Hypothèse fjui attri-
bue ses phénomènes à la paralysie
des vaisseaux. XI, Ï6'
PUISSANCE CURATtVt: XI, 61.
!fEttV)':tJSE. Voy. A'f!'t)ftM<?.
L'S(E!<ESf)EC)~C[)H[!Ett'<A)tU. 2-5
PfTREFACTtO~ Vt. iM XVI.
n3;XVn.,S)f,.M2.–E)'e ap-
partient aux animaux et aux v6(!f'-
'aux.XVt.n~Théories. XV),n!Gay-Lus!.ac.XV!,t'!).–
Appert. XVt,m.Schwann.
XVI, ni. –Pasteur. XVI, n).
Son nna)ogicavecies fermenta-
tions.XV), nt.
H!;S Amn;rs. Théorie. XVff,
?(!().–)''ti<itontcut,XV)[,9(,0.
Chese)den.XV!f,2R).
t'UTRtOËS (MATURES OU S~MTAX-
CES), produisant des attcrMions du
sang. V[,49'Injection!! dans
les veines. Xt,<t'fTRtDtt'K. Voy. Co'~ft~tbt! p;<
<<)!< DeptMpi~nde, F<-rMeM~<-
tion pi~fif/f, Intoxication pu-~'<o'e.
t'YLURE, absorption par l'estomac
aprèssaUgature.VU,)'
PYREX!KS, dëgeneresccnco des
tissus. XHt,428.
<'t MO<,AHLATK DE t'OTASSEdans
te sang. [! Mi.
t'YttOGALUQUE (ActM). Injectiondans le sang, passe dans les
urines. tft, 299. Les globulesdu sang sur l'animal vivant ne
lui cèdent pas leur oxygène.
2'M.–Au contact de l'air, dé-
truit les globules du sa.ng. tti,222. Asphyxie par injection de
cet acide, in, 92'Jnjectiondans le sang, altération spéciatedes poumons. J!f, 222. Injectédant io sang, il fait disparattre iu
sucre dans le foio.U[,3'2~.
t'YUOXAM. XVi), M.
<'YT)tAt:ORË. Psyché de Pytha-
gore. Xf)I,ti;XVtt't, )(!Har-
monie des nombres et motempsy-
cht)iie.XV!),.t02.
QrAmujCMEAUX. (TEMEMULES).
Voy. ?'MAefCM/M.
~CAHHËME VKNTKtCt LK. Chez
un tapin.t,299.–Sa piqûre fait
apparaitro le sucre, son innuence
sur la circulation abdominate. IV,
iOO, 463.– Sa piqûre rend l'urine
sucrée.!V,40f).–Sa piqûre rend
)'emissinnd<')'urineph)sfaci)e.
)\, ia!). Su piqûre, chez tpspi-KCOtis, ne produit pas je diabète.u~isarn''te!a digestiot). !V, 40.
'-es f!Tcts produits par ses
iesionssontexptiquespartacircu-
!ationa))df.miua)e.Xt,2R3.–Cer-taines lésions déterminent )'s)hu-minurie. X), ')(; La piqûre du
plancher produit le diabète X)
''6:t,33:X)V.3G'),8a.-Voy~
~)t'f?)-f/t<~Mn<).t(.i,.t.fHfr)Cu/f
QUERCtTE. XV)!. 33.
~~K~E. Voy. SK~fe ?M:Mi,,c.
<t't?fQU!~A. V{!f, 3RR, 3'!R.
HACKS, caractèresphysiologiques.
VfH, 2)2. Variation des pro-priétés du système nerveux. )X,~6. Chez les races inférieuresla résistance vitale est plus deve-
ioppeo. XI, Si. Chez tes races
plus élovées, la sensibilité ner-veuse
est plus développée. XI, 24.
)tAt:mD!E?t(CAKAt.). Procèdes opé-
l'atoire.,i pour t'ouvrir. XI, t'!4.–
Après sou ouverture, les nerfs
peuvent devenir inseusihteii.Xf18t.
KACmDtE!f~t!S (CELLULES!. Yoy.C'M<ftt:e''ft'!<M.
(PAtREs). Voy. PHt)'ts nfft'FMes.
–iRAOXES'. Voy. fff)c:'<t<:< ;jfru~tt.!Mdes p<)'e.< t-nc~t'/tcnttfs.
H.ACHtDt)ti:~S (GAKGLM- Voy.f't<~t'OM.
–('\EM-s).oy.~r/c'A;f/;Ct)i!.
nACHtTtSMUartiticiet.Xt,).ttACtKE BUL)tA)KE 'COURTE' V
S8t).
MEt)UL)LAmEfGBAKM). V, 2M.
nACMKS Aj\tEmt;t-RfS Voy. /t<!
C/ttM Oio/rt'cp~.
ME
LA CtK~CtEME PAIRE. Voy.
CtM<yM!eMCjt)a')?'e.DE LA t)ELXtËME PAmE
Expérience faite sans ouvrir tes
artères. tV, X3< Cervicale, aXe-
rations nerveuses consécutives
la section. tV, 237.
MOmtCES ou APfTEatEURES
tV,<i3, t[3.–Expériences.IV, ]H.
Interprétation des faits. IV, ur).
T,U![.H A[,f'))Am;TiQUE ET A~AL~TtQLE2~ i;
Action des courantsëfectriques.
tV,)'H.–E))escorms))ondet)t:fU\
nerfs rut) tours. X,9:;8.–Eih's
''ont!!t'nsi))tes.X,2M.–E))cs
servent 2a déterminer les niouvf-
mcnts.Xi,)S3.–Ont-e)tesdns
titjressensitiv(<s?X).)85.–E)tcs
continucnt.~vivrt; parte bout con-
tra) dont t'extromiK'se transforme
'n une petite tumeur, taudis quele bout périphérique s'atrophie.
X),)9t.–Leurs fonctions. XI,&tT.
RACEESKt:RVËUSES t)ES PAt
hES hACt))DH!KNES. IV, 2~, 34
Xt,n:i.–Leur origine.!V,2~
Leur distribution. IV, 26, Ëpui-sement cause par teur~ivisoction.
IV, 58-60. Anatomie. !V, 63.
Qui entrent dans la compositiondes nerfs du membre postérieurchez le chieu.!V, 66.Expé-riences de !;ensibi)it6recurr<'ntu.
tV.'?5att2;Vi!f,3M.–Ronne-~
ment de leur extrémité après la
section. tV, 9'Leur associa-
tion deux à deux. IV, 105. Ex-
teptions. IV, t0j. Leurs fonc-
tion'i.iV,!)3;Xt,i83.–Leurattëration après leur section dans
la région lombaire. IV, 243.
Leur sensibilité. tV, 246. Leur
influence sur la pression du sang.IV, 282. L'opération de leur
mise & nu agit sur le sang et arrête
la digestion. VL 123. Elles se
divisent en sensitives et en mo-
H-iees.X!,t6i.–Chez le chien,leur disparition anatomique, Xt,175. Moditication qu'oUos su-
bissent après M'aircto coupées.Expériences. Xt,tm,388,389.
Organe distinct do t'encophaieet de la moeUe, quoique juxta-
posé. Xf,!M.
POSTEUmuMES. Voy. ~aon~
sensitives.
SENSITIVES ou POSTKtUML-
RES.V),63. 232, 2M. –Leur con-
tusion modifie tes résultats des ex-
périences de seusibitit~ récurrente.
tV, St. Usages et fonctions. tV,
n:i :t 120, Mfi; XI.5H.–Leurs
ca)'ach';rManatomif)HM.)V,M*
–Expérience sur la deuxient)'
paire cervicale sans ouvrir les ar-
t<'t')'!i.!V,3(!Apres leur sec-
tion,rcuncmcutfhthoutcentratct
desorganisationdubout périphéri-
que. fV, 240. C'est d'ettes quf
dept'ndiasensibiiitoanonnatedcs
parties cnf!ammë8s.)V,2i5.
Hxperieuces. !V,255à2C6.
(~deme amené parieur section.
IV,'25C.–Leursection ne parait
pas altérer la nutrition. fV, 25(i a
?C6. –Produisant les mouvements.
)\ 265, '!?5, M5. Leur iunuRncf!
sur fes tttouvcntMnts du cœur. )V.
2M7.–E~cscorrGspotidentaux
nerfs!;ensitih.X,238.–Ah'ursfonctions se rapportent tuuj<jur!<les variations de ta sensibilité. XI,ttit. –KHe'; sont les dt'miut-esà 11
perdre )asensihi)iteot les pre-minr<!s à [a recouvrer, chez fes ani-
maux soumis & )'auosthesie. XI,).Si. mies servent & transmet~
tre les impressions sensitives. XI,183. Otit-cUes des fibres mo~
trices?XJ,t85.–Leur section
détruit toute Mnsibi)it6 dans lesracines motrices correspondantes.XI, )8< L'extrémité périphéri-
que s'hypcrtrophie. XI, )i)).
Voy. Co)!<M/o?! afM )'<;e:?iM pos-/<CM<'M.
HACtNES DES VEGETAUX. Ab
sorption do t'acide carboniqueXVH,2M.
RACK.XYJf.tM.
MAUtATtO~ SOLA<hE. EUe donne
son énergie au protoptasma vert.
XVI, 213.
RAHtCAUX DE LA ViK. IX, t362~.
MAtSM. Voy. Sucre de )aMt7!.
RA!SO~f, elle enfaote les systèmesou la scolastique. XVIII, 79. Sestroubles sans lésion matériello ducerveau. XVIII, :i'!U. E)ie sertde point d'appuiàiaphysjotoKieXVfH,4M.
MAtSOKKEMENT. VDL 23. t) ne
HMŒ.t'VHKS)'EC).At~KREH~ttrt. 2'; 7
contient pas t'en'enr en hti-mf'me.
X!.48ft. j.
RAtSO?)"\EM!:?(f t)EMO\STt<A
T"
–EXt'ntttMt~TAt. VtH. )!, 48.
T!,85.L'expérimentateur ncse
spparepasdot'obset'vatinn.vfn.)
t?iVESTtf,ATtF VU). '?.
KAJt!U?<tSS<;ME?<T X\'L 3CC.
RAMAt'X LARYMiES. soppricur f't
inrcrif'Ut-.V.;it8.–Hcf-uitat'i va-
ries detcur section. Y, ~i!).-
K~p)it'<ttio)).V,3M.–Ex))('riencRs
V,Mt.
HAMOK. H), ?53.
!!AKV!EM. rapproft'o <) type Cf))u-
i:tirei!t!ihrnnervf}ut(;.XV).)8.
RAffËL A LA Vtt; XV, t:;t.
t<ATS,sotUtiisattc)))<)rofo)'me.XH.
M-–)'n'etsde)amot'p)ti)n;
9<K).-N;)rcotise<XH,;)H.
Moycus de tes saisit' et (te les
maintenir. XV, t)0.
HATE. iX, Si XV, 2M. fnftuencc
de l'extirpation sur la sécrétion
pancréatique. )!)'Sonnb)a-
tionn'emp&chop.ts information
dei'urccnidei'Midcuriqne.Vt).
72.K'itirpat)0!)dc)ar.ite.V)),
'i2t. --Sur des jeunes chiens. \).
iM.–Apres son extirpation, tes
~ans:lionstytTtphatiquessen~or-
gcnt. V)t, .422. (~ou)eur va-
riahle du sang. Vj), 434. Con-
tr:tftion.Vn,.42~,4'Circut.i-
tion MpiHairo. V)), 'tM XI, :!(!
–S<'a.nerf').Vf{,X.').–Destruc-
tion des ncrt's.YH, 42' Régé-
nération. iX, )()2. Sanp; veineux.
XH!. <88.– Vny. Ctrc)~a<<o;! da'
~o )-ofe, i\'< de /H ra/f, Sa?!y M!-
?<'?M.r'/<r<~<
MATtOK d'entretien et ration d'ac-
tivité. XtH, 400.
RA'f)OKAHSME. Xf, 48).
MXt'ERUIH~TAt.. Xt, 485, 505,
5)4.
HAt!H! professeur de médecine
auCoUege. do France.XtV,'i!3.
tmACTtF ttË MAKCESWif~ X!V.
H 4.
nu ftOETTCER.XIV, )t?.
ttEAf:T)t HES <;KH~ LES HLY
'.OC'~tQms. XV)!. <).
<H'RO t'fUASStQUE Action
su)'i<ucre.t.4')teduit.par
tec)))oro!f)r~)e.).3.'t'))ece)e-
!-Un"!Jf!Urs!apr~M't'CC<!<)suC'
'juandc''tte<!<'rnif're substance est.
m<)an,t''eavect'a))iun)innse"[.8.
F.xamen <)e cette opimon. t. 4.')9-
K\p'n~ncfs.ï,t.'ti~.
nt; t'Ët)n?«,. \[V, ni.
tOME. X\ .');.
nE M00)t< XtV. ))().DE TROMMKK. X[V, ))3.
HEAC'ftt'S proprps~ (tistinKUer les
sucres et a les recounaitre dans
les divers tiquidcs animaux.t, M.
Rcsistancu des Ypnms. X). ).~2.
CtttMfQCES. XV, ?.'i«.
PttYStOLOOQUËS du sucre.
x!v,in.
–HELA V<K,tes poisons.)tt,)9.
«E~CTtON des médecins hy<tro-th6<-apiste.<X{,2'").–A fa sti-
mulation des agents extérieurs.
XVt,?~.
–ACHtH du sang, elle est impos-
sible pendant iayifj.Vt.tO.–
[)c t'urine.VU,9ià2'))u tissu
muscutaire.Xf,t57.–Ru suc
gastrique. XV,)(!).
AL(:AtL.t\E du sanj;. f':st-e))e
duea.descarbonates?expGripnc('s.
V), ;t'J. De l'urine. VM, 2[ 27.
–COKSCtEKTE. XVt, 283.
-Dt; CURAGE.lU,4~3.
!tU (.LYCOGÈKE XVit, .5.
nu HtjYKOSE sur ie réactif cu-
propotassique en présence de
)'a)buminose.H,4'!5.
nE L'tKTESTt~. H, ~S; Vf,(,
38. Ses rapports avec la réaction
de)'urme.!t,'t.):VU,t9.
MES HQ~ tDES tKTES UNAt X
Au de!à du pylore, ei)R est entiè-
rcmf*ntyariab)e.XV,)';0.
DES HQmnES )tE LOKGA
!f)SME. V), 36. Fixe et mobile.
Vi,38:Vn,)8G,3':7.
M«TH)CE. XV), 2.S:
UES PAMOtS t?iTESTt?!ALES
XVI!, MU.
TAt!t.i';ALi'i),\[!ET)QU).t':TAXAL'tT;Q(Jt-:~8 8
KKACTtO~f M' SAKH. Vi, 4)) )X.
48. Changea par !a ~aivattisation
des vagues. VU, 220.
–t)USUCt'AKCttÉATt~tJK)),)K.
–M;LA.SMEtJK.).;<VU.)S)!,
i8M, )?),)!)).
nu TISSU MUSCCLAtME \H.
t':3; XVU, ).
tH! TISSU t'AKCRKATtQH: )!,
3M.
HKS TiSSCSAKtMAUX. )), .?«.
DES ftSSCS GLAK!« LAttt~S
H,3(!8.
HKS TtSStS Ct/tCOGENtQ~ES
X\ti.)3).
–nESmU?<ES.n,4M;Vt,:)8.
Rapports avec la réaction tntcsti-
M)e. )f),.t. VII, )0.
MEACTH~'S <;mM<~t'KS. qui s'itn-
con)p)isseut. dans is sang entre les
ctôtNeats nnncraux ft tes matc-
hauxot'ganifjuc.'i. !)!)(); Y).4t!).
–CoUcstjuis'opArcntdanst'O)'-ganisme vivant soHt .sou!))iM8 & )'in
th~'Htc Merveusa.Xt,94<. –C.etkt
qui s'optent aud('()ans<)e t'eco-
tK)t)tico)~'is9t'utautm~ntef;h)i<
que celles tjui s'opèrent au dehors.Xt, 2)7. --KI)esaj)))a)'tienneHt en
t;:eucra) & rot'dre des fennenta-
u<M]s.Xt.X~De)aYie,h"(
uet'f'i n'agissent f)U'& titre d'exciia-
teuf's. XI, Ï49.
MES MtJSCLKS. Lout- t~tation
avec la présence de la matière
gtycog&He. XfV,560.
–ttËSrfKtttS MOTEURS JV, )3G
!<iUTRtftVESou TMOt'mQUMS
XVi, 983.
rATHO~tX.tQUES. Le sy'ttc~'nerveux 6ert~)eur)t)Mtf<tati()j).
XI, i'
!tU SE?<T!MEKT. Leur gcaera-
)i!;ation.!t),M;J\5t.
DU TUBE OtGESTtt- Leur atx'r-
naLncctaionKd~tubodigestiC.X,384.
RjÉAUMt.'n.Kxporicnco.urhdi~os-
tiou.XV,-)m;X\')),C:Oige<
tiomartificit!ites.X\')t,3m.
HECAM<ER, protesseur de niede-
cmo au Coiifga de FraHco. X)V, 29.
HECHAt FH;M<f <:<)[)sideratio!)<
gen(jM)<'saut'sf'sc:mso!X))),m.
HCCUKUCMR ËXt'MRtME~TAU;
Kt)Rapourpni))tde(!cpat'tutt<'
obs(!t'vat)o[).VfH,2<:(; E))e a
pour point df départ une hypo-theM OMHne théorie. Yiit.Ma.
Xccessit~ (ta )a comparer aux ob-
servations c)i[)i(jU(;s.X[.))&.
scmxTtFt()rE.Yin.2.').MMCU'ttOOTH. Eite Cin-.tCtérhe )n
!icH (!c cause a efTet. X\'n. :<!M.
ttÉCOAG)L't.A'n< du sang. Y'f, 08.
HËCTCM, le curaro est absorbât)))'.
n),84.–Tf'mp6Mtm-n<t!tMte
dia'K'to aritficie). IV, 455; V! -45;).
–8atetnpCMt.urf.V[,)~0.–La
;5t'<:tt0t! de ses ucrfs dintinuo sa
température.t,!59.–Ane!:n.MM('
par te rontum. Xf), 69. Vo).
~fMyMeM!!f w~<!«'.
m':C~'L. Voy. Afo)<t)pn!tyt< </<* )'«*«'.
ttMCUKnKN'T (MocvEMKï). Voy.~OMt'emt'/t< recu~'M~.
RKCUMKE~TE (SEfSMtDTÈ). Yoy.SfM~iAtAM.
KEHtNTKGKADOK. IX, 900: X\),
M2; X\'Ht, ~')7.
–CKtSTAt,LMK. XYt, M; XYf!).
n3.
-BE L')!t.KMt:T. fX. )0h
HMMt'CTtOK. H))e u'fst pas pro-
duite etctush'ement par ies v6~c-
taux.tX,80.–E)ieeti<)t<id&ns)(;s
deux règnes. IX, 9t. Cette
putSMnccest & fou maximuM daus
tes vPgetMX. tX, !)-i, 208. Com-
pitt'co la co[ttt""ttiot!. XVii, .')!:).
KKt'LEXtj (KÉFt)MÉnATtuN'). \'0t.7i~t~e'h'on.
iSESttBtUTKj. V'ty. Sf'nstAt~tf;' )'<<-
~M-c.RHt'mXKS fAHT)u.\s;. Vf))-. ~C/M)!
t't')'f.<.
~MocvHMEM's). \oy. A/OMeeHte)t<.s
/<rfi.
BEt'XKXATFUH (\EKt-). Voy. ?)/
)'<r<<!t<t<eMr.
H~t'ttt(.ËttAKTt-: (THÉnÀ)'RCTtQUE').
Voy. ir/teropeM<«~.
nEt'tUHEH.A.TtOM dans le traite-
mt'nt de la Rt'vro. XH!, 4~)9.
[)ES ŒL'VRES f)K CLAUDE fiERK.Uif). ~79
!M.').–rumination du sucre.), 1,
~i3.–Hypertrophie dano te dia-
'-ete.t,42().–Modificattonsde
température du sanR.Vt,i3~.
f~imiuation des substances. V!,
S'if.–Uciimmetupru'i'iate.V!,20. ~tat fonctionnet et état dp
repos, rouleur du san~.Vt,M.
''98, M'.). :). M8.–t'our.)uoi)e
".Ut~ veineux reua)cst-itrou!;e? `?
\).29S.–Apparci)portRrena)<'heztcsK''euuui))es.ex;tmenau
peintde\uc()et:tcou)eur<)usanp;.
Vi.0.').–AftiondehKa)vanisa-
tinndupi)eumo-!ta'tt'i()ue.V).0').
–ttc.spirationd)! tissu. Vt,30'),
'4tM.–Anaty-c compara tive des
t:axdosang.du)'t'nt~td<')a
v~inf'renatc.V).38t.–Fonctions
f<r)rcu)at)f)tt.Yf..i!)C:Vjf.):,)~. A
)')t:\t.3(i5.–Destruction des
nerfs. Vf..t9< Vit. :).–Extir-
pation des deux reins nu d'un
St-utrcin.t.4'.)(!;Vjr,8.43& 1
M;Xt,9U.–Actions chhniqucs
quis'yaccotnptis'tCnt.VH. !().–
))mudifi<'tep)u'.siat<rotief',)acidc
benzui()Up. les suhstancf~ odnra n-
tps,['c-iscncndcn'n''b~ntt)inc,)("{
asperges. VU, )().)). )9, 2)3.–
thpothcse d'une communication
dit.ccteavcc)'nstomac.Yf),)d.–Voies cachées entre te rein et
i'cstomac;.substance qui passade ('estomac au rein sanssc re-
trouve)'pat'(oMd.')ns)esanj{.
)t!,t'Uptimincetnesecrete
~.st'u!-éf.V'),JX.St:La
secliftnde')pr)'sproduitruremie.
Vf). 38. –Ah'ati'))). expériences,
etTets.suppteancedetautrerein.
Vif, 40; tX,<n;Xt.t8.–Fonte
()urein.VU.).–r;.ecdans)e
.sang, après )enr extirpation. VU,43 :t ~2. Après leur extirpationle suc gastritjue devient ammonia-
cal et augmentede quantité. VU,
1
.'t0.–Apres leur extirpation. la
formation du suc gastrique n'est
plus intermittente. VU.;)) a. M.
) –Apres teurab)ation,)es sets
) ammoniacaut prennent naissance
continue dans la fièvre tvphotdc.
Xfn,4M.
KEmtf,E<tAnoafnmt.t:x);.<fs
pheHomf'ncs. du m~mc quf r<'u\ dp
f~iorifiMtion.peuvent )''tra indé-
pendants du t'ëtM des vaisseaux.
XIII, 297.
ttEmOtntSSEME~T inegat du
cœur. t, 204. Des petits mam-
mifères. IX, 45.–Uumitif'u in-
térieur. iX, t83. Considérations
générâtes sur ses causes. XIII, )94.i.
–t'utmonairc. XIII, 191. De
t'animai.XV, 395.
tŒGÉ~E<tAT!0!< dtei! les animaux
infcricuMetchezteiiatumaut'iu-
p6riours.X!,6.').
nuCOKMJtTfA~CnÉATtQUM
\),6&.
t)E L'EtjMME~fT. IX, ÏO).
–t)t':LA<;LA~t)E.X,t(M).
HES KEKt'S. tX, 2t8.
t)KS NEKFS MOTE~BS. X, ?60.
-Sa marche. X, 20.
MES OS. X\'m, ;32.
nE LA MATE. )X, 102.
REHtME. Son innuenco. XYU, 377.
–Dohviandc.XVn,
REGXAULT. Sources de calorique.
XV, 35.
RECKAtJLT et KEtSET. Kxperi''o-
ces sur la respiration. V)! 3;
X\'H, 20i. Hxpériencos sur les
marmottes.X!f,328.
ttEGKES DE LA NATURE. Hntre
animaux et végétaux, chacun fonc-tioune pour soi. I, 130. Produc-
tion et destruction du sucre, carac-
t6res communs. i,)3t.–tJnitc
vitaia.XV).)?!).–LHur(!it)'eren-
ciation.XVt.tM.–Lept'oto-
p)asm~pst)cMt'p!tY)vat)tt)e)aceUuicd.instes deux règnes.XVt,
!!)3. Ils ne peuvent être Jimites
parieprotop)asma.XV),2Ui).
HËtiKESStOK de h giycose. XVJI,3'!6.
ttEm t.Ar!OK CALORtFtQUEVoy. C<<o;-)/ï</M<' (Hegu)ation).
)tEt?f. Sa sensibiiitu excrétoire n'est
pas eveittée par une très petite
proportion de sucre dans tM sang.
TABLE A!.PHABÉ'r]QUEET ANALYTtQU)!?80
dans)'intcstin.\U,M,M!Sadans l'intestin. Vtt, M, 5C. Sa
I)~sionn'estpourrtf'n')an<<t~f)ia-
b~tf':i)n'cnf'stj)!t'<dt'u)~)n<'pour
)a)uuminurie.V)!0.–Mcuftu
<));tiad('pariuj(*ctioupr()h)n~t'c(t!
sucre.V)).8'Sastmctun'.Vii.
).')().–Qup))cmodt<icatiof)fait-i)
cprouvcr au'<a<tt!juitt'traverse? '?
\n. ).'().–(..<)))()i(,it)n<'physiques
'h'facircuia)io)).\)f,)5t.–Sann
v('h)t'n\n.)ft).)<!)))'!tn'
disparaît.vn.t.Ap~r)<'[K's.
Vn.tC(:it)':(!;XU!.)(;8.-).!t sec-
tion'tes nerfsi!~]nesurh'0('ration
c(<'a))sc)amort.it,K!n(!
0\ygt!)K'd!tns)a'iat~f'incu\.
'm.KjM.–Kt)'(;ts()H)'i')'-uft')<ttiot).
Vt),9i)).–Aprt''st'cnip()is')n))e-
mt'nt.par)ncM)-are!.VH.3~m.
San~ anatySt' par t'oxyde <)f
carboof'. VU, 49). –Quantité
(t't~y~t'nc contenue (fans t'ornant'
eu repos cton fonction. \t).):t.
–K\perienre()('GIu~csnr~tCou-
)curdusan~]),-i'i'i. Knca-.
fi'ah)atiot),t'nreocstciimin('f'parht
surface intcstina)e.X).t!J.–)))-
OtK'nce du système oo'Yettx.X).
ari.–(;a)o)'ifiratioa.Xm,)8'
tj("i<)frcd<')'ur[ne t'npst-i) un pro-duit patho)ogiquc"X.tV,tO.–
Voy.JW~'<<'Ma/<(ft~)r!ca<tf)M
t'<'Hft''t'.C<tpt:<<e!M'-t'<'n~/<(t)'-
Ct</N<tt'</M.er<A'M't~<
''<')~, ~~M/<'(Sccreuo))'<t'Mo<c.s'
(Anastomuscs), ~a!)~ fet'teM~ f/t<
tï)):, Sang ;M/, ~f!MM <-<'))<!<<
itELAT!!t'r<(foKeTto:tnt!).X,]05.
–Yoy.t't<</ere/<!<t')M.
KUMAK, ses opinions su)' la eontrac-
ti)itc muscutaire. XI, 2!M.
Kt.MKtX.S MEMO~~KS. Vm. :!(::);
X!, ;ï;
HENAtSSANCE. Lit physioiogic a
cette époque. X\'i), 4:!f:.
REKALK (S)!;c)t)!:Ttu\). vn. ).')).
Ap)'<s insut'Oatiori et Ctnpoi.soxno-
ment par curare. V)), ï:)!').
KEKAms (ANASTOMOSES).XVt),
(Y'E)NtM). V. )~MM t'n/<t.
ttEXAN. Discours de retcptiou à
t'Acadfn)ieft'aucai'(().X)X,3.
KEKOVATMK. Compara &)a dM-
trnftion.XVn.Mt. --Moto.n-
!atru(!ci'<)!-KaHisnic. XVii.ï'~j.
48;0)-~anifju<\XV)if.j:8.
Hisito)o!{i()uc.X\'H(.)92.
)<KOM<:AKtSATtOK XV!)t, )8(i.
R):t'AtmT)U!\ CALOtttFiQ~E
X.[U,2').KEPOS DKS RLAXOES. V). :!?).
HË)'ttODt'CT<Or< <k's mf'mbrcs. iX,
)Ut.–Xoco'taitiS tissus chc.:
t'hoa);t)C. XI, G<<. !)ps )'CYt''tc-
mGnt.i!epithctiau\<)esmuf)UCHSM
ot dostiquidc'idRt'or~anismo.
X).<n.
~)Et'M<)<H'CTtOj\.Seso!'ga))cscheï
)csOp))idi!'ns.XVf,~)().
)ttîPTU.H!-i.G)a~de<.K!))iYai)'m.)).
'40. Pancruas. t), 'i. Hmpoi-sonncs par )e rurare. Xf, )38.
(..tytogcncse. XV)f. tUt.
RÉSEAU CAt'tH.AtHK. Met en rap-
porth's voies ciret))atoire<i!n)-
guine.s avec t'on~inc d(". voies
)ytnphatiqucs.X),3C'?.–Soxfic-
vctoppemcntctsa'tisposition.XY,
SX).–i) est indcpcnftantfh) resta
det'apparfitfircutatoirp,aussi bien
au point <tc vuodo sa M'*n('st' <)U'au
p')iftt<t('vucdcsestunct.im<s.XV,
:M2.
t'ROTOPLASMATtQUE. XVi,
29!).
KKSEKVES OE MATEK!AUX NC
TtUTtt'S. XtV, M; XV), )2).
m;XVtt,):t6.–M!tns!avio)a-
tento.XVt.tM.–EHfs.soutu'-ces
Mpifi f'mcrttpat'if' animaux ré-
vctticspCtidaxtt'cnsMur'ti.'tSonpnt.
XVf,K)8.–Lfm'npfcssitopou)'la vio oogourdic. XVt. t )0. KXcs
no sont pas nécessaires dans t'cn-
Som'dis.'iement passager comme
dan!re!)gout'disscm(~)tpt'nh)ns~.
XVI, tt). –Leurentmagasine-
mct~t.XVi.H:Leurs produits'iont<ransf'ormf's<'td)'('ontpo<i)'s
par faction des fomtcuts. XV),
t<i:Lettrr6)c.XVtt,)i().–
Leur digestion chez )t"i végétaux.
XVU,332.–V(jy./i<im<'H<s(/<'reM)'M.
[)HS<EUVt!M))E:CL.U'[)EHRRX.U!!). ?) f
KES):ttVES n)!FE<:ft-t:?)TS X\tf
M.
GLYKOS!QH:S f.c f~ip en est
t'futreput.XV! :(;.
-n'OXYGHKE.Xvn. <!)().
–Ptt()SPMATt~t.'t!S.C))~x!~f')''tus,
des ruminants t'tdcs pnrrhis.!
XVH.M.
KHStSt.t~CE A t.'ASP!)YX)K
Des pentes. XV!f. )M< !)cs!
jeunes at)itnan<tS'.).
–ALAC)tA<m'tt<;XTEKtt:(KË
<Ut.eet)nccan)'mc.XU).4t).
XES KTKES E~GOURDtS. \V),
!0.'<.
–ALAt'tttVATtO~nAt.tME~TS
X.4&
nu TtSSU F!BKEUX )X. OR.
VtTALE. Plus (icmioppf'f) <-hM
les races inférieures. XI. '2\.
)c<'r.icpsintericm'es.X).t. iKESORt'TtOK nt!LABt).t: !))!
nuc))ce(fu'st);tn<!t)('r~;u!f),~
'2)(!.
RKSt'tRATtOrf. t!f. !);): V. 3t();
tX..iO;XV[.f20:XVn.)tf,)~7,~
MU.–Le t't'oid fait diminuer )('
))ombM(ies)'cs))irath)ns.t. t!)t.:
–tnf)u<'m'osur)G<)ia))<tf't;)t'
–Ch<<if'))aj)i)i.sf)if)U<<t,X;)'t.!–Ëpuiscmc~tdc t'oxyucncdo-
)'air.U),t)f).- Limite d'yRf~f'!
dans M fui)i(;arf'sp!rab)<])!
)'(). -Kt)c vicie h; miticucno-i
<in(', et te tait diminuer (te vn-!
turne. fff. M.EUc diminuer
t)ne,itmo'<ph(''re)imitep.m,908.'i–('est, uttphennmf-nn d'échange.'
c)!editfcrcs<)usccr!ippo!'t.(tet!t~
cnmbu'ition.!)!. 3)!), M~ ï'').'
M(!;Vn,)t.–Sa()~ntitn<)
rapport avc< la quantité du sanp. j
iff.-MC.– f,< c)<raf'ct)ic<~)!
t'arrêtant. tU,3(i8. –!nflu<~if<~
(i!')amn('Uet''pnii)'r(;snr ses acte*.
nu'camques.IV. :;8S.– t.c n~rfspi-na! est son nerf anta~ofuste. V.3-4: H))c est plus r~rc et ptus
tarKC âpres la section dps pncum'~ )
~.tstrifjuns. V, 3C:). )';)î(.'t.s de h
seoinn do pnf'~mo-Kastrifjuc. V.?.'). tnnucncc sur la e)).t)pur <)u
!!af~.Y'f.);)7-)!f!appo).ts<j<j
'-Ohacti\'iteavef)cpon)- Vf.?.
-"S.['jn!f!resif)');{f-ottie!irdu
sann.V).i:Acce!ce~par
injectio!td'e(her<tans)es;tnf.V)).
-i<!<nf'st~nedesph<'tff!n''tt<'s
distincts, che?.).inima) et chez )e
Yeg.'t.t). IX.').Ktje est un<-
c"Ut!)usti<Mtdapt'"sf.a\"isie]'.X.
9)3:X!n.9?.–)'t)ee~tcc.mpa-
rah)c~unccutn))usti.'n!en)e.
ïr!;XY')),));').S~sr.ati.n)s;ncc
)f!t;i). ;!?.)')~~t~)!f.n~s,
rhimi()u<<jui'<fp!tss~nt().ih'.)e
!;)ui)t))n roug.xn. ;()!).–))ans
t'asphyxie p:tt')()!;y())'f)<'cat')~~e.
X)!.4'!3.–S<nfMhti.'a)i<<<)ans
la fièvre. \m. 4)8. –S~)m-
<)uen''c'-urta circulation. XV,
!i.SO.–Base dota ftisuoftiof) pn-
tt'o)~ animaux <'t)f'svct:('tanx.X\t, )3t. –nistnritjun. \\f).
t.).–T))<o)'i<\sphv<.ifjm"n.
t.')}.–Aristutc. \\U. !Ca-
tien.X\'tt.)M.–))c-;cartf"<V)!.
t.')?.–Boerhaav~.X~j). ).')-
Th<'orif"!mc<'ahiqn~s.f),)'
Hales. XVU.tM.–TtH'orics
c!)i<niqu~s.XVft.[.')9.ta\'oM'.
XV)). ]M. B)ack, \VU. ).
Prietttcy.XVtt,].).–).a\'oisi<r.\YU.).4.-LaKran}.:(\Vff, ).
–BcntOuiUi.XVU. ).')'Spat-
tanz.imi.XVU, ).')(;. Varict~s
(tes mécanismes )'('piratoircs.pt
utUt6<iu))ttt.XV)f.n:t.–Trou-
)))es auxqucts ces mécanisme-;
sont exposés. X\')t, ~8' )'.)'
CpRtunf'r''pr't''tf't;ra)e.XVtf,
!7.–Expériences de Priest-
tey.XVi), )<!).–Expériences
<te Re~nautt. et Hei-ct. X\tt.
–)'J!e)~e<.tj).is))neft)m-
t)n"itiut), c'est une fermentation.XVH. '!)?.–But. et moyens.
XV! 9!3.–PnM)m-tif)~()e)a
cha)p())'.X\'n.2)i.–['r~p)'emp[~
dite, c'est un phénomène fonc-
tionne) d'ordre purement, chifni-
nue.chex tes animauxettf's végé-
taux. XVt). 23: Hiïetsdtt fonc-tionnement des t:)andes. X\'ff.
'!)().–Scsett'etssnr!ac'')ntrac-
TAJiLE AU'MABËTtQUE ET ANALYTIQUE2M
tinnmuscu)airt'.XVn.U.–)'~)''
sprcduita)aproprictt'd)t~)()))u~'
.<'a)t~ui))'j)'ia!)rontaft<)c)'ai!'ab-
sorba i'o\yK'<t('~)~t)ct'afh)('
carbonique. XVitf, 2fi8. –V'ny.
CoH!<'K.!<!f7) )'e~)'ra<0t')'<?. OtM-
/Mm<' )'Mp!a<ot'<'?, AffM;M)e<
i'M~t)'n<0!t'S,~OMt)f'n!Mfii)'M/)!-
''a<())')'M,<<M<')'('.<<'<t<Oi''?,
A'M'/s t'es/t)''ft~)'M, /'t)Mn!on.
RESPtKA DOK HES AKtMAUX !X
;)8;XV).73.–K))on'<~t ))!<<;)o-
C!t)isec()at)Sunorgan(*.tX.))'
Tous )cs tissus et tous te'! ctc-
ments respirent. IX,tS.
SAKS APPAMKtL. XVU. )').
ARTtFtCtEt.LE. Uf, 9.M. M. I.
38i,M.508;XV.m,M!
Au~niont~i~ssccrcttO~st't tnit
passer !('sucre dans t'uri~c. t.
3.'))..M),V!.93.–Rctab)i.s'.a))t
(t'ahord les artcs mt'caniqucs. puis
!G'!aL<'tcs<'hin)iquc!'t de fa respira-tion, t)f. 93'(~)mmn moyen
d'(''tndcdc]'a<'tifndusanf:nnir
snr)c'!('r!:ancs';ccr<t<'ur<t.).5<);).
Pour r<tab)it* t'anima) onpoi-
''u)tt)6pa)')pf)iraro:c))earr&tc
)<"icR'fts f)u<'urar<XI, Ut'
X\)f,;«)<A!)parci)<!0tnp!oy<<.
xv,2-M.–Soum<t.x\r).–
Appar<'it<fc'chw:utn.XV,2<
–Comme moyen (t'ana)y.se phy-
sioto~iqne.X\t3().–HHt' }~~
duit t'apnee. XV,'}3C.–Lésions
despoumo!i!i.XV.44t.–KHc
produit la (iy.spn6e.XV,'t3'
Dans t'asphyxie. X~ii,tM.
DAKS UKR ATMOSt'HiEMU COi~
F~EE.nt,)().CHL()H<)t'um.tE?tKE. (: est un
hit nutritif. XVU, 9:4.
t)U CUYLE. V)), 'i'M.
MES ELEMENTS. )X,58: XVtf,
JT!t.c san~artcncttuifst des-
tine.!X,)88.–H6)e')fs ftements
anatomiques.XVn,m.–Hûif'
des R)ohu)cf!(])t sang. XY'n.if'tO.
-Mte()e)'oxyf;t)tc.XVH,2<):
Kxpnricnccsde Uuionpet Onsproti'.
XV U, '<!(?. –Voy. /<<'s/):)'aftOM~M
ntu.<c/e~, <!M/)t)'a<t'OM <<<'< <!ssM!.
HESPtUAHON DES HQUDES
Vt.~90.
SE LA LYMPHE. Vt!, 420.
DAKS < N MH.tEU COMttKE
III, ))A. !9)). fiMUon d'oxygène
pt accunmlatiou d'acide carbo-
nique dans le san~ III, 2t;i.
)'pe)'iences. )!t, 2)5. Courbes
(le ta respiration. tH, 2H.
MUSCH.AmE. 3t) X. 2)2.
2)'); XIII, t<4. )4' Action (h)
curarf. 34< Avec oxyde
de carbone. Vt, 'i()&. tnftucnce
()<' la tctnperaturc sur son iaten-
sité. V), UO.
l'iOCTUm~HOtirespn'ation à t'om-
bre. XVtt, n9.n'OXYnE )))! CARnO~K. Chez
un chiea vivant, e))e t'e!)<) son sant;
vf-ineut rouge. iU, nf); Vf. 38~
\'J), 470. Propriétés de ce sang
t'ougc. ttt. ]80. f9t.
nA~TS t/OKt'CE~K. E))o donnea t'orinp ta réaction acide. Vil, 22.
DE L'OXt'GÈXE. KOc s'accntnpHt
non dans les poumons mais dans
le sang et daus ta profondeur
mf'm<' de nos tissas. XI, 272.
M;S t't.A!<Tt:S. Voy. ~e~pi~no?;//M ;~<y~M'.
PULMO~AtKE. Comparée a la
combustion. Hf, 219, 22(i. C<'
n'est pas une combustion, mais
un échange de gaz. III, 2t9. Ex-
périences. III, 221.
DU SANG. Vt, 4(M.
DU THORAX. IV, 312.
HE8 'SSUS. !X, 5S; X! tM.
DU TtSSU CEMEMBA~. VJ, 4<M
DU TISSU DU FOtE. VI, '40t.
Dtf TISSU DES REINS. t, 309,
404.
DES TISSUS VEGETAUX. XVtI,
178.
DES YECÉTAUX. IX, .8; XVI,
2'); XVU, )58, )ti'); XVIII, 230.
t'~perienees do Van Hetmont,
\f), )f<8. KxpcricnctM de Sa-
)uccs. X\U, )63. expérience''
d'htgt'nhonsz. XVi[, !(!7. Hx-
periences de Saussure. XVH, tt!8.
Hxperienccs (te Sencbier. XVtf,
DES (EUVRES DE CLAUDE REHNARD. 283
tions extrinsèques. XV!, 70. Ses
conditions intrin-.eques. XV). 7)
--Ëxpiication.XVL!)f).
t(ÉT~ACT!mK X, 79
MEYËTKME~TS Et')T)!EHAUX
des muqueuses. leur reproduction
X).(i7.
KEVtVtSCEKCK X, )!7.
ttHLMATtSME CKRKBKAL Traitf
par t'eati t'roidf. X)U, t48.
RtK~nesacrcH.rienneseppt-d.tX,M.
R!M<D!TECARAVERtQt;E iX. ]73;
X, 229. –Dcs~tenMnt.s.tX.27. Les courants c)Rctri'ju''sdes musciesse modifient. X. ''09.
–Marche et variation do ce phé-nomène. X, 22!).–Sit cause. X.32!). Production d'acide lac-
tique. X, 230. Sa productiondans certaines circonstances. X,
230. Prématurée. X), )M.
Chez les animaux tués par la cha-
teur.Xm, :)C,0.
CHLOROtOnMtQUt;. XJf..)7
DES MUSCLES. XI), ).
RtOLA~. Professeur de médecine au
C,t)t!t;gedsFrance.XtV,n.
KtTTER. Ses tois. X, 28t.
ROtDEtJK Mt SCt!LAHtt:. PtoduitRparia nicotine. )![, 4)t.
HO~'GEURS. Manière de les saisir
XV.HO.
KOSKifTHAL. Apnce et dvspnee
XV,.43!).
KOTATEURS OU ROTtFERES
XVI, 83; XVn[, ns. Leur systeme nerveux. t\, 506.–Mort
apparente. X]), Ht;.
tUtTATtON.parbtessureduccrtf-
)ct.!V.48(.Voy..MoMt'f)<)M!<<
f/f~o~<<'on.
Rt)USSKAC!Ém. L.). Les courants
ptcctriqut's agissent (te la même
manière sur les mets nerveux mo-
teurs des nerfs mittes et sur ceux
des racines antérieures t'Mhi
diennes.JV.t'!).
XUMt~AKTS. Leur estomac. XVIi.
2M.– Feuinet.XV)i,2;)t. t.
SABm (txjncïiOKs nt;). Dans tos
artères.XL!);).
(f!8.–InHuenfede tatnmif're.
XV)!,K!8.–In<)u"n<'cdf't'o\yi!ene.\\)),)C8.–)-.)ie doit t;t.rc dis-
tinguée dctitfonctionehtorophyt-
tienne. XVII, )<).
OESt'tRA rO!RË iAcTE~. XVI!, 92.
DÉ))cnsGd'otygcne.nt,UO.
(A)'i'ABE[L). Température. Vf, t()3.
Type schématique. XVt). n<
!C)M<")'RB). Dans la ;noe)te. tV, :!8S.
–'(FoMTfON'). XV!t, t-4' Sf".
caractères de nécessité et de con-
tinuité. XV![, 148. Unité des phë-1
nomènes essentiots. XY'U, )49.i
Variétés des mécanismes fonc-
tionneis. XV't, tt'). Sa signifi-
cation physioiogique. XV!f, 220.
Moyen scientifique de la distiit-
p;t[6r de ia fonction chtorophv)-
ttenne.XV)t,Mr).
KESt'tRATOtKES (AuMESTS). Voy.
~/tHte?t< tvs;)t)'~o'rM.
–.ËLHMEXTS.t.XVU, )T!,20C.–
Dans le sang, ils sont paralysés
par i'oxydo de carbone. )X, f)).
(t'AtSCBAUx') de la moeHc. [V, 3:)!.
(PffÉKOMÈXES). Leur identité. XVH,
H6.
(Vo'Es). Membranes vibratites. X,
120. Oycogèue chez le t'oatus.
XtV,500.
KKSSERREMM~t MKS VA)S-
SEAUX. Produit par les nerfs du
grand sympathique. X, 40'J.
RESTtFORMËS (CotU's). \'0)-. Corp.!
~'M~o/'Me.
!tESt]LTATS PRATIQUES. Sont
toujours en rapport avec la partie
accessible des questions scientifi-
ques.Xt,))0.
BESUKKECTM?i d'animaux tués
parte curare. U),223.
tHETtNE. Expériences de Magondie.
Xt,jt6.
MErOUMALAVtE!X,2~;XV.
422. Dans l'empoisonnement
par t'oxyde de carbone. )X, t8C.
Dans l'empoisonnement par ie
curaro.XVI!I.9(}2.
RETOUR ME t.A YtE LATENTE a
la vie manifestée.XVI,Ses
conditions. XVI, 70. Ses condi-
T.\[iLEAL.PH.U!Ér!OUEf-:TA'<ALYT!0)'E38).t
SACCnAMFtCATtOK do t'amidon.
XVn,H.SACCttAKtME) Ht; de Sotoi), XiV.
!();))c.h.)t(.t.X)V,)<)8.
SACCHAmMRTtUE. Scnsihititc rc-
!ath'odMp)'<)c6d('s6.accbarimctr[-~
qups.X)V,i(;
SACCHAROntES {MAïtÈHE~. \e
soHt-<'tte<! pas des excitants dti~
t'oie.I,tM.
SACCHAMOSt:. X\tf, :i4. De )'u-
rine.XtV, K)C. -S:t digestion.~
XIV, :;Q; X\'n, Mi). E)ic est
UHe rpser\'e inipt'oprc )a nutri-
tion et. doit Ctre transfornico et)
g)ycoso.XV!),E'<tunt'dt"
snm'cos pt'incip.'tt<'sd<j{;h'<'o,se.)
xvn.m.SACS LYM)'nAT)QUt':S de ia ~i-c-
nouiUe.XV,ti. t
SA!(;KEt- \'t. 4.'). Son innucnco
'i~r)a.r!)pi(!it0()npa's:tf;e(htsuc)'o!
fhrt.'i tes urines.i'2~St)ui!i-'
t)«C!)cc sur L't scnsibiUte rccur-
rente. IV, .'<'?. S< )nf!ucncG sur
)a. cotoration du sang. Y'). 'i()t.
I)ansrasj)))yxie.Xf),~8i.–Son!
ionucnce sur t.t prësencc du suerc
danstHMnR.X~V.2)0, .4)2.–S~~
)'rc<)u<'nce dans ta prcmif'ro moitié
dR co si<c)e. XtV, Mt. D:nis)~~
ptx'ufnonie. XiY, 22i).
SA!'<TË CLAtttK t)t:T!LH! (H
Ëtudo des causes premHM'es. V)!
:!M.
SALAMANDRES. XVI, :<63.
SADCtNK. XVtt. 3.')4. E))e est
una source de g);'cose.xvn,4.
SAL!CYLATE OE METHYLE XVf,
3M.
SAt.tCt'H!. Yoy. ~.</<)'!<r<: </e M<'f-
Cf/~f.
SAUCVUQUH (AcmE). XV), 393.
SAUGEKtKE. XVtf, ]94, 354.
SAUVES (MATtËtUM'. Dan<i te suc
pancr~atiqM. )[, 'MS.
SAHVAtME(AcTE). H, :<S<).
(CE~TKE). Rcou)o)nft)t de sati\'R
!)pf(''s piqûre. V, j5<).
~:))U;U!.AT~ VU, 30') MO.
–<,f)tASTASt;Voy.J)~M/Me~<t~
('~t't'f.
SAf.tV.Uttt! (RANf.LM'i). Voy. H<H!-
~Oi'!M/<
-(MAT!H.'iH't'a!'t!R're. t),j3().
(Munt's). Vf'y. ~?<CMf .M/t')'f.
!SKCK6TtO.'<).f[,!01';V,)()3.)M;
VH,'M:t,'M?.309.&3~;iX,75.
Aprct empoisonnentent par )<'
curare. 3iit. Son m6canistnc.
]f, )05. (unuenco de i<t ciu-
<')uif';mH paire. V, )().). Ses oo'fs.
V, !)(! Pf'ut-o))'*)''t)'cd6te)'t))iue':
parmtf Mnsatio!) partie de )'R!;to-
mac? V, t<!(). Action du gracf)
sympathif)UO.V,)Ï<).–influence f)':
tUvcrsfs substances. Ëxp~rioncf"
V)t,XM.–[nnucnMdunerfii!)-
guat. VU, 965. fnOHencc du sys-
tt'-mc ncrvGux. \[, 26~ 343, 3<();
Xft!, )79. Par excitation dos
afrfs. V)t, 968. Action du nerf
myto-hyoidien. Vtf. ;!(M, 307, 33).
–(!ontinueHe,!tp)'f<) section de.s
Hfrfsdan';te)ntodc)âgtando.
VU, M5, 328. Provoquëe par la
vue des &timcuts ou )('m'présence
dan$ la bouche. )X, 89. Actions
roOctes (juil~ produisent. X,38t.
iodure <)a potas.'iiuin. XV, ~)'i.
E)!e peut êtra provo<]t)ëe p<tr la
piqûre ftf'certains c(*utr"-<no'-
veux. XV, .")!!<. )n<]uence du tri-
jumeau. XV, 59!. tnuuence des
poisons. XV, 533. Voy.Sa/:uah'o?).
SAUVAfMES (CoNMiTs). injection
de prussiate et d'iodure do po-
MMo.Vn,:M.
–(FfSTUHSS}.Voy.M/M/M!!a~t-
fat'rM.
(Gt.ANDEs). Voy. G/a'H< ~<<fa!
t'PS.SAt~tVATtOK. Effats du gr~ad sym*
pathique.V,t<:0,)C5.–Ën'et')d&
ta. section du norfiaciai. V, t60;
X), 9CC. Voy. Sf;/i)'atre (sécrétion).
SAUVES. VU, M; tX. ':(!;XV, 50).
Le sucre n'y passe pas. t, 303.
No renferment pas de sucre, t, 3f)5.
–Leur roio et teuMusages mé-
caniques et chimiques, tt, 46, M.
!tt6');tX,PMsageete!i-
minatioa de certaines substances.
U,'J<Vtt,58.–Ëiimin!ttiond8
DES (KUVftËS;)ECLAL't)!! BERNARD. 28:i
t'iodurc du f'')-.ft,'J'.).('reprit'
tés physiques do c'tes qui snut
<[!'acteristi<)U("; destissus j~tandu-
)aii-es.ff,t<M.-Quantité:, secre-,
tees.)f,t)ti;)),9i9.–Présence
des carbonates atca)in'),!3i.–
Prosenco (tes phoi-phatet terreux.
U,!3~).–Présence des lactates,
dMSutfittes.eKtcschtorurcsatca-
)ias.!t,!35.–Eties n'ont aucune
action sur tes matières aihuminoi-
desnisur)csm:t[i!'rcsgrass<'s.U,
)'t5. Leur t'fde sur les matières
f6cu)eotes.U,]'!5.–Leur action
comtMaeeavecceUedusuca;a.stri-~
que. It, 4M. CompxrM au suc
pttrtCrë!m!jue.U,~);)t,2(;3.
~4:i, 4()t. Son 6cou)en)e)jt après
])iqû.rcduccntresa)ivairf'.V,5.')0.
D'où provient i'e.nt? injection
dansiesang.j,53;n.'ï4'
Sa réartion. Vit, 2<4, Ït!), 2GO.
Caractères physiques. VH, ~'44.
Présence du suHb<'ysttm'e df po-
tassium, il n'existe que là. VU,
24<i, 2t!). Condition et subs-
tances qui en augmentent la vis-
cosité. VU, 949, 250, 9ALJnHuence do l'électricité. \'i), !;)!.
AnaLiyses comparées des sa-
tives, leur coagulabilité comparco
u.ceUe du pancréas par l'électricité.
VU, 2.')' Son action sur l'eau
d'empois d'amidon. VU, 2;~i.
Passage de l'iode. VU, ïai, M).
Ëiimineta prussmte jaune de
potasse. VU, 258. La vue de
l'aliment provoque sa sécrétion.
Vtf, 259. Pendant son écoule-
ment, le sang veineux, change do
conteur. VU, 39i). Atbuunue.
VU,34!Trois espèces bien dis-.
tinctes. XV, 502. Expériences
sur les carnivores et les herbi-
vores. XV, 503. Toutes les
substances peuvent passer dans la
salive, quand elles ont été intro-
duites en suffisante quantité dans
le sang. XV, 5(2. Quantité qui
imprègne les atiments. XV, 554. jEttes ont des usages physiques
Isien rapport avec la mastication, la
ptj<:)a!if)))et)ad''siu[ition.X\)i,
9S't.er~fechiniiqn('<)'')asa-
iiv!'est purement a<'<'et',oirn. il
n'appat'tient')U'at.)sa)ivf'd''s::)an-
duieshuccaies et ne s'exerce que
sur tes fecutcnis cuits. \VH,85.
–l)iasta.sesa)i%ai!'e.vn,286.
Voy. BaM de la .n<?.
SADVK ARTtUCtELU; f!. )()3;
)X,<
tt~CCALt: U, 'M. Composition
chimique.)),').').
t)t!S ntABETtQt'ES. i-xpft'ipn-
ces. f. ~!0;(. Présence du sucre.
Yf!.2;5.
M!XT);. f<. H8; XV, 50). Ses
propriétés physiques. !t, U8.
t'rnc~tM pour )a)'ecu<;i)iir chez
t'hommc, le chiRn, te c))eva). H,
!)S. Composition chimique. H,
)9.'t, ]43. Matières ori;ani<)ncs.
n,]?C.–Matières iuct'~atiiqucs.
!t, )3). Pt'escnce du suifocya-
uuredcpotassiunt.)).);).').
t'AfK)TtU<E\~t: )t, 47 Au
poiut de vue physique, fhimiqtu' et
physio]0f;[()ue. )), 4' Son m-
fluence .suria mastication. {(, 'i8.
Son iBnucncc sur la soif. )!, 50.
K\p<'riencescotaparati\'es. )),().
Scscarac,t6res physiques, ti, 60.Sa composition chimique, n, t!3.
–Sps propriétés. XV, 505,5M.
S<)CS-M.4XtLLAtHK. H, 7i a 86.
Proo'dô d'onraetion. U, ~2.
Propriétés physiques. !t,2.–
Composition chimique. !<3.–
Son rù)e physiotogiquc en rapport
avec te phcnomt'ttf de la gustation.
)!, 74. )a<]ueuce dos nerfs. H,
Expériences sur i'f'couie-
ment de cette sativp sous t'in-
ftucnce de diverses excitations gus-
tativcs.tf,t!.
SUBtjtKGUALE. Ses caractères
distinctifs. H, 8') & i)5. Ses pro-
priétés speciaics. XV, 548. H))e
n'apparait que tentement torsqu'on
excite la glande. XV, 548. Ë))o
sert surtout a )a déglutition. XV.
54!).
TOTALE.U, )H.
TAH).EAL('HA!i)':Tt(H]!KTA~ALYT!Qr)';280
la digestion. Hf.tOH.–L'abstt-
nence en diminue la quantité, fiï.
)09;Vt.4'!4.–[njec<io))d'acid.'
carbonique.H!,t36.–Sonde pour
yinjerto-ifs substances. !)f,)37. 1.
Procéda pour t'obtenir sans
qu'ii ait )n contact de t'ai)-. H),
)65.–Aspiration dusang.!)).)<?.
Action de j'oxyde de carbone.
t'[,)t!(!,]<)5;.Vt,388,394;XU,
:?'). Absorption des gaz. III,
iM; VI, 9~).–Absorption de
ro'iygenepa.rteMngfjuiitsnbiJ'action de t'oxyde de carbone, tn.
)0!).) devient rutilant au fon-
tactde t'oxyde da carbone "tc"tte
co)orationpcr'iifitt).n!.)'!<).–
échange dans )e sang. !)f, H!).–
Action sur les g)obui<!s. Ht, t87.
–Pyroga))atedepotaMf'.m,). 1.
–Jnjcctiond'acidspyMgaOifjuo.
Uf.MX.–nnecèdopasson
oxygénait t'acidepyrog.lUiqne.
)U, '!Ï2. Contient-ii un poison?
III, ?23.–Action du curare. [)!,
9<:i,:i06;Vt,M)5,M)8.–Le cu-
ra rf ne lui enlève pas ses aptitu-des physiologiques ni ses proprié-tés respiratoires. [)f,;)M.–Sa
quantitë influe sur les en)poi')0n-uemeuts. i)t, 3M, M.'). Sa quan-tiniest-GJtRt'H rapport avec la
quantité respiMtoire?Hf,3:)<
–L'eau dess~crotionsonYient.
IV, 439; V), 466. La chaleur
modmeiies conditions dentouve-
ntent.V, 39'fnj''ctiond'cau. VI,3' Doit ('-tre conMdcre comme mi
mitiou intérieur org.'tnique. VI, 42;
X,5?;Xf,X)V,l:M.E(ï(.ts
(le sa sotistt-,tctioli ondo sasoustractiof) ou suppression.
Yf, 44; X)), 2'!3. Son innuoncc
.')ur)cstis.sus.V),'i.').mpor-
taucedHson~tude.gcnéraiitcssur
t'e)iquido.Vf,~7;Xn,tO;XV,
9;), 2'.M). Sa température. \'f,50.–Propriétés, calorifiques chai-
les animau<&.sang chaud etitMnRfroid. V), f)0. Modifications do
température qu'il éprouve en tra-
YerMntiapparei) digestif. Vf,t.
Hxpériencet. VL ?' !t se
SALMO SALAK. Sa mneUe epinifre.
)V,i98.
SALAtI. Sa moella épinlè,'c.
IY, 128.
SA[.CES.espiratio[idc<)p)a)Jte'i.
XV)J. )(;
SA!«.t,4'XH.t();XV.2i".
X~))), M.Chez tes (tiabe-X VIII, :J2", Chez les diahÓ-
ti'juesi) contient du sucre, t, 49.
–Son examen comparatif, avant
et Son examen.comparatif, avantctapres)efoie,('hexuncarni-
vorc.}'!<Le pramic rjne f.ontiput pas d<'traces de ma-!
tiercssuct'ccs, te sccoHf.) en ren-
fermée!) grande''prt) portion! f,
8t1. ou grandes qui traversv 1.SO.–La<)nantit6f)uitravcMe(c
(t)i<'estprop~r(,iot)ne))oauxo'ici)-
tittions fie la fouctiou sccrétoifc do
'iucrc.),));).–Procédé pour le ti-
rer du cœur.), )')[),t<i~
Lesucrps'ydeversepartotoie.I, l,
2;!3.–Hncontactitvocdin'et'ents
gaz, expériences.t,9<0.–Le su-
cre no se détruit pas dans te sang
pa)'h;passaged'<~yt;Gu<ij.Action des gaz sur ~disparition'
du.<.))cre.),t.–L'tnjectMtt<f'at-
cati';dëtriut-i)ie')Uere?t,'i.t;).–
Le sucre se détruit par oxydationet t'ennentation. t, 2.4')ajectio[t
detevùredc))ierc.L''47;VL4M.
Présence du sucre, f, 2':5 X)[,2i). Sa dépuration par le foie.L2T!Limite do la (iUMtiMde~sucre qu'it peut. contenir sansi
nu'i! passa dan~t'urine. ![().
Dosage des poisons en rapportavec la quantité do sang. f, St;
Combin.tison de ra!))utn)np avec
)atibrtt)e.)fJ,4.');\),(!7.–Sou
.H!er<ttion par dos substances <)uisont étrangères & sa composition.
iïï, M). Oxy(fatious et (tesoxy-
dations. HI, 8'). Heactitma qui s'yy
opèrent. J)). i)0. Fet'inenta-
tious. U), !)~; V), ~~), M. ).'i'S. Keac)Mt):< de i'e[uu)'<it)e,et de )'amyg<ta)ino. Jiï, 97 \L48' ).)issotution de t'oxy-
gène. )tt, !&'?. Absorption de
t'air.tf), )()' Sohthiiitë de
t'cxygeue.n), 108.–Quantités
de gaz qui y sont dissoutes. H),)(? tM, )7:i; X, M). Pendaut
DES ŒUV!!ES DE CLAt'ûE HËR~AHR. 287
trouve constamment p)usf'))<'<u<)& a
sa sortiedu tube digestif qu'itsc!)
entrce.Vt,S5.–Modiftcationsdc 'c
te)nperatnrot)u'it éprouve en tra-
versantt'.tpparei! respiratoire. VI,
)<)!xp(''hcnces.V).i()8.–)n-
(!uence.da)'<)pet'a<iondc)ami&ea it
nu des racines rathidiennes. Y!,
)'M.–Une fait que repartir la
chateur.V).)3o.–H est moins
c))au')')UR)e''organes d'où itsftrt.
V!, !;)!).–Expérience- \'f,)40.
SatCtnpct'aturecomp~rM~cpUe
dHSorg!taes.V).i4().Pression
comparée. Vf, 90!). Pressio;) pt'-
riphcriquc, pression centrate.V),
2t3t.–S~coutf'urrutifttntechex
tes lapins enduits. Vf, 9' Sa
Muteurchcxif'titpiudith~tiquc.
Vf,2'!8.–Action du-systëmo m'r-
veux sur l'absorption ()'<~ygt.)(\
\384.–Influence de la ftit;ps-
tion.t,8.).–tnûueneedet'etat
d'hiberna.t.ion. Vt,<Modifi-
cation pin'tes nerfs. V(, 288.–
fnnuencedeia respiration sur sa
MUteur. Y'f. 3.Présence do
t'oxygène. Vf,3;)7,3.')t;t\
XV,'441.–Influence de )<t tempé-
rature sur l'action de )'acidet'!ir-
boni()ue.\t,3~0.–Absorption
d'<)\ygf'n<'Gtpr<is<'nct;d'aeide car-
bonique avant etaprcsia section
dunerffytnpttt.hitjueaucouchei!
)8chcva).<,3M!. –Attention
d(! t'ur son contact, emph'i df
t'air pour deptacer l'acide carbo-
nique du san~. VI. !)M! 3th). tf
i'oute rut))ant chez un animât qui t
[tteurtd'hcmorrhagieett'arretde ¡
(aresptt'atiottitefaitplusdan'scoça!! noircir te s:n)~xrte)'ie). Vf,
3.')'). Substances citpabtes d'em-
pechertes.fermcntatioMdanste
!'ang. Vt, 3(!t. Oxy~eue dissi-
mute. VI, 3~. –Henduruti-
tant, puis noir j)ar te carbonate de
soude. V[,3'?<Action de ta
potassecaustique-V),Son
anatyse par t'oxyde de carbone. Vf,
!i!-i5&3;Ma.i').').-Action de
roxygene sur sa conteur et sur ses
propriétés. Yt. 988, 3i)4.–tn-
f))!('Uf() df'St)t')'f"ut' ~tempéra-
ture. Y!, *!?).t~nu<'nee(!H'i
saignée et <)'' divers.et'-sur sa
cotoration.Yt.40t.–Sa respira-
tion. Y!. 40: –Ajair.it ne
uounc pa!'autan! <)a~'if!c c~rboui-
fjuetjui) prf'ndd'oxyKi'nc. d,
«M.–Sa réaction.\),).–Sf's
propriété.p))y<nf;))es.\), in,4(!i.
–Sa reaction acide <\st impt)<-
sib)c pendant !a\io:);tt'c;u'tio!)
atcaiinccM-fttedun&'it'scarho-
n:ttes?K\pcriencH.),t)~)-
thx'nco dota température et du
système nerveux'.ur)a coa~uta-
tioa.V),4t4.–Coa~u)abi)ite.Y),
;!4:Vt!,i07.–Action du sym-
pathique. Vf, 4n,4'<,4:iO;H,
T't 308,Mt.–Sa quantité.Yt,')18.–tn&uftisance des procèdes
dn dosage. VI,4)8.–Mort par as-
piration rapide du sans ducuL'ur
avecuti<i',e;'it)~ue; mort plus ra-
pide &jnuu. Y), 4!'). –Dosa~o
par ]f!s poisons. Vf, tt!).–Ahc-
rationi<ma;utierc,n.')i)-coaKutat)Hit"qni'icmanttestcettajoutautdc
!'ea!)fhpzi'.niima)tm''parie cu-
rare da~sia K'ine-porte. )'.tpe-
ri)'ncc.f,-i2<).–Sacoasutabiiitechez U[i chien ma!a<)c opère des
Mcine';rae)udiennes.Vt,i'2'
Sacoagutahitit.e.ptusgrandea 1
jeun et cheïiesaoimau'L diabéti-
ques aniHcip)s.\[,t~Ses
gtobutestonibctjtaui'ondduse,-
rmn. même sur te vivant, <'))(')('
f'he\ai.[,i:Actiondu car-
bonate de'. n.ude.Vi,4:t.'<,t~(!
Hapports de ta composition avec
!c:! produits de sécrétion. \'[. i.
–A)stet'iau\f)ui)nisou).commons
avec )("- secrctioii.'t. formationd'eau dans t'organi'imc'Kau dans
le sang de'i grosses et petites vei-
nes,eau venant de t.ttympt)e,fes
hoisi.onsaugmmuextreau disant:.
Yi, !:)!).–MMeriau\(]Hi)tonrnitatKii''crction.s.YJ,t-tU.–Lesanga 11
jeun est )e san~ typo. Y), Hu.
Présence du <er.\i,ii.'i. –h-
TAOLE AU'[A)iËT!QUE: ET A~At.ïTiQUE288
sorptionnt~timinationdufpr.V),
1
44S.–Matériaux organiques.
4.')'Sesch'mentspa.ssent-its
dans )os sécrétions? Vf, 4.')' -¡
P;))'a))pif'avac)<!sproduit*)d~sf-
crption.Vf,«M).–Ouantit(')d'<;au
qui y est contenue. Vt, 46: X)t,
4')f<Sfixquivsontcont.f'nus.
Vt,4(!4:X)),(~)r)'i!!fntre
pas)cs)issus, pourquoi? V),4<!}.
–tat de la fibrine. Vf.4C<<;
VH. X8. Ses prophètes physio-)oK'qucs.VJ,4<!8.–Sa fluidité <!c-
pf'nd df la fibrine. VI, 473. Con-
ticnt-U (]o la gfitatino? Vt, 474.
Ses altérations fhn'. tes matadics.
Vf, 4Ï< Altérations possibtes,
feuf's ttivcM mccftftisntc' VI, '}??.
A)t('')'ation.spar modification (tes
rapports f)R quantité do ses f)c-
monts. Vf, 4' Attération par in-
troduction d'un priffeipt* fermonti-
t'cr('enu()u dehors. Vf,4'
Ahcratiun par modification des con-
ditionsqnjpr<i<.id('nt&ia nutrition.
Vf, 478. fractions chimiques quis'yaccomp)isMt)t entre jes<ie-
monts ntincraux et les matériaux
organiq<u"i. Vf, 48).–Injectionde pt'utsiatf jaune do potasse et do
sel de fer. VI, 4~3. Combinai-
son chimique dan*! le sang. Vf,
48?.nnocuite du ter injecté &
f'Otat.dc)acta.t.e.Vf,'48'L(!
MoudcPi'ussenes'yproduitpas.
VI, 48a. A)t~ration!i produites
pM'de!;maticre!t putrides venues
du dehors. VI, 4!)9. Action dos
maticrest putrides. Vr, 4!):i. Atte-
t'ations par fermentations sponta-
ncesoudecauseintoj'nf).Vt,'i!)4.
Dccotnpositions spontanées. Vf,4!)C. SVorfs pouvant dtitorminer
des fermentations putridos. VI,
4!)'Hcmorrha~iGproduitcpa.r
injection do ferments. Yt, 4M!).
Sa couieur. Vt, 50' La ligature
d<;)atrach6e)o)'endn~ir.Vf,5()3.
–Jnjoction.VI,f)OC.–Substances
qui passent do l'estomac au rein,
sans se retrouver dans te sang. Vft,!C, )7. –L'iujcctiond'eau diminue
j'acidite de !'uriuc.\Jt. 22.–Effets
det'accnn)u)ationdef'nre<V)t,
?.–Présence dot'uree.VfI.O.-
Sets ammoniacaux. V[f,5(i.-)'.t:
sucre disparai!. quand le sang de-
vient noir dcnnitivement.V!S!).
Accumutation de sucre.Vn.93.
r:tatsde)'atbu)nine,V)f,48.–
fnje(;tinttdefer.V)f,<4:).–QuG)ie
modification épt'ouvc-t-ii eu tra-
versant le rein? V)t,)5).–Une
tient pas de )a fibrine seu)a)i
propriété de se coaguler. Vif, ).')2.
Une injection d'eau dans le sang
fait passer rathumino dans [o sang.
VII, 211. Son ana)yse. avant et
après l'organe, peut caractériser la
fonction et l'action des organes
sécréteurs et excréteurs. VU, SX.
–!njecti')ndehite,)'n)onti.ssc-
mcntdupouts.VU, 2))!M~~
<i<;atiofMpar)tp'a)vani'!ationde'!
Ya<;u<'s.V)t,920,3:).–Lcpn)s,-siate jaune de potasse y passe.
YH.258.nf)uencosur)a;;)ande
sa!ivaire.Vi),2<!9.–Vuef;enet'a)p
surM~e)aboration.VtI,4)2.–
Absorption d'oxygène. Vn,42[.–
Détermination des proportions
(t'o~ygenepart'otydedocarbouo.
Vj), 43). –Hxperieuces endoMio-
metriquo!i.V)),'i<!I.–Injection
d'albumine. VII, 4(!3. Injection
de sérum. Vff,<M.– Injections desulfate de quinine. Vit, -iCO.
Injection d'acide carbonique etd'éther. VII, 46C. Ses ttUera-
tious.Ytf, 46'H apporte aux
ctc'tnentsntuscufaires et nerveux
les conditions de la vie. ]X, ]S.
C'est en lui que résident les con-
ditions de vitalité de l'élément
musculaire et de Jetement ner-
veux. fX, 22, Son rôle en con-
tact des éléments musculaires et
nerveux. IX, 27. U est à la
fois liquide nourricier et liquide
excitateur fonctionnel des eiu-
montshisto)ogiques.IX,4t,52.
Variations dans ses proportions.
IX, 47. JI offre une reaction
neutre ou aicafinc, nMis jamais
DES ŒUVRES DE CLAUDE HEfi~ARD. 28:)
L.LA):[)EtiKKXA)U),\)X. ]UU
Hcide.JX.48.–Phénomènes ca-
tatyti'jues.tX, M.–L'oxyde de
carbuue produit une paralysie deses éléments respiratoires. tX, 51.
–FibrinR.!X,St;X)),27.–Pré-
sence de tatbumine.tX,62; X!
27. Le globule blanc constitue
son etoment plastique. IX, 62.
Ji n'est pas )e résultat direct de
l'absorption alimentaire. IX, 7!).
Sa composition. IX,9;XU,
16. Etiminution des substau-
ce~sotubtes qui y sont introdui-
tes. IX, 88. C'est un inter-
medMira pour la nutrition. }X, 87.
Ses qualités et conditions neces-
ssirea pour la nutrition des élé-
tueuts. !X, 98. Formation d'a-
cide carbonique. IX, 187. Les
fermentations et les combustions
respiratoires qui s'y produisent
sont des sources de la chaleuranimale. !X, i9). Son anaiyse.
JX, 208 XI, !)6, 27) XII, li,
487, '}97. –1) diffère du suc mus-
culaire. X, 170. Sa constitu-
tion, action du système nerveux,
X, 373. Importance de son rôle
dans la vie et dans t'économie.Xt,
36 XII, S20. Las médicaments
ne sont actifs que parce qu'ils y
pénètrent. XI, 83 XVIII, 138.
C'est parce qu'ils y pénètrent
que les poisons agissent. XI, 83
XVIH, 138. H transporte des
substances nutritives à leur des-
tination. XI, 83. Les poisonsen faibles quantités peuvent y cir-
culer sans mettre la vie en danger.
XI, 94. U peut être empoisonne
par l'influence des fibres motrices
sur la sécrétion dos glandes. XI,
100. Influence du système ner-
veux sur sa composition chimique.
XI, 26!). C'est en lui que s'ac-
complit la respiration de l'oxy-
gène. XI, 272. Sa vénosité, ex-
perieHces.XL280.-II conserve
sa couleur vermeille en traversant
les capillaires, après la section du
sympathique. XI, 3~6. En con-
tact permanent avec les tissus. XI,
3<!9. Modifications chimiques
qu'il subit par la section du grand
sympathique. XI, :i8a Xttf, 3t9.
Ses altérations consécutives. XI,
433. tt ne faut pas confondre le
mitieuinterieurftveHtesang.JX.440. App!ic;ttion de ia méthode
expérimentait; a son étude. XH, 1.
–Hématose. X!), 6. Ëtudie au
niveau des divers organes, et aux
moments de repos ou d'action de ces
organes. Xft. 13, Coagulation.
Xtt. t6. Sa réaction alcaline.
XH, 23. Son alcalinité. XH, 24.
Matières protéiques ou aihumi-
noides. Xtt, 2' Éléments azo-
tes. XU, 28.–Eléments non azotés.
Xn,20.–Métaux. XU,3t.–Prin-
cipe actif qui y est contenu. Xft, 8.').
(Jne substance n'agit sur t'orga-nismo qu'en passant par le sang.
X!t, 80. -Cette )oi vërinee parlechioroj'orme. XU, 8' La cessa-
tion de ses fonctions amène la
mort. XII, 320. Son utilité varie
selon les animaux. XII, 322. Mo-
difications curieuses dans le cho-
iera. Xt{, 324. Ses relations avec
la respiratiou. Xft, 325. Étude
spectroscopique. X)), 425, 43C, 4aC.
Applications medico-iegaies de
son examen spectrometrique. Xit.
433. Topographie calorifique du
sang en circulation, premiers ré-
sultats obtenus. XUf, (09. i\'ou-
vetle iocatisation. XU!, !)).
Est-il une source de chaleur ? 1 XIII,
132. Combustion. XIII, ]35.
Modifications thermiques. XIII,
323. Action de la chaleur exté-
rieure. XIII, 373. Limites de
température ou il perd ses pro-
priétés physiologiques. XIII, 377.
Cette altération se produit à
une température plus élevée quecelle qui amène la rigidité des
muscles. XIII, 317. Son ab-
sence est un phénomène morbide.
XtV, i33. Progrès réalisés dans
les procédés d'analyse. X[V, t35.
Sérum, XIV, t33. Manière
de le traiter pour y rechercher et
TABLE ALPHABETIQUE ET ANALYTIQUE2{)0
doser le sucre. X!V,t90.–C!))o-[ r
roforn!e.X!V,tU4.–Présence des
urates.XtV,)!)4.–Commentte~
conserver dans !cbHtderana)yse,
lorsqu'il acte obtenu par la sai-
gnoe chez t'homme.XtV, 208.–
A Fctat norma), il contient du
sucre. XIV, 209,-KM.–Le encre
en est un otement physiotogique
et non morbide.XiV.220.
Anatyse du sang fourni par un
sujet normai. X)V, 23C. Son
!!)yco(!Hnkjua.XiV,23'tden-
tit('dGsg)yco"esdai'urinod)a-j
bétique avec le sucre do foeute.
XtV,iO.–Passage des f;)ycosos. ü!.X!V,2«!Destruction (iusucrf;.
XIV, 327. Diverses espaces.
XV, 3<M.–Etudes physiotogi-
ques au moyen do substances qui
y sont introduites. XV, 3!)8.–
Présoncedeitpoisons.XV.!i!M.–
Acide carbonique dans io sang.
XV, 440. Présence dH t'oxyde
de carbone constatëo par la spcc-
troscopic.XV,444.–r'.tudi6en
tui-m6mc,aupointdevucdcses
cot'ditions physiques et chimi-
ques. XV, 460.– Amibes du sang.
XV), 298. –Sesmoditications par
la pressior) atmo.spherinuo. XVft,
202. Nutrition dans to sang.
xvn,M2.–OMno.xvn.5ot.
Apporté au cerveau pa.r)esar-
tcres carotides et vertébrales.
XVÏft, 36). Son action sur le
cerveau. XVIII, 3~1. Voy. Caillot,
Chaleur t/HM~y, C!)'cu/a<!0't,
Co<yftA-.i'7< Cof.'y'M~a.'M-K, ~o-
t'a<on, CoM/CM)' f~M .<a')')', )')'/<&rt-
nation, Eau </M sn~y, 7?'(aM~'<
MP~f f/M MK{', ~/t'Mf' du <a/ty,
f'c)'Me't<a!~oH.!(/~?M/et<y,
<t)*)M?, CM.: du sang, C~O&U~M,
(~o~M/M; G<;yeos~, ~~M.'o-g~o-
buline, ~e< du .Yfn'y, AMoM.E f/M
xotty, ~<?KMMM?!< du sang, Ojry-
~~?te. Ozo'x*, P<<t' M~
PrCMtO') ~<!HyMt?!e, ~M~)OH du
sang, Réactions du ~'M~, Se/.< </t<
sang, S~rK~),S/)ec<~oM«7'<e, Spec-
troscope, Stto'f f/M ~a?! yeMp~-
t'C~re <~K MM< T'y'aM~Mi'Mn f/tf
sang, !/)'<! <'M,U)'<'e,t'd7tO.
SANG DANS L'AORTE VEXTMALE
Sa température. Vf, M.
-CE L'At't'ABEtL CiLA~nUt-A)
BE.Xtff.tG?.
MANS LARTEME AORTE S.t
tompératuro. Vt, 83.
OE jLARTKMt: HEt'ATtQUt
Forme-t-il iabite? VII, !:); )!):).
ARTEMU;L X)f. )t. <8<i XY,
244, 4Cf XVt)!, 2M. L'oxyftf
do Mt'bonc t'cmp6chc de devenir
veineux. !)), )8). Sa tempéra-
tuj'e.V),at.–Exameu compara-
tif avec le sang veineux. VI, 25C.
279,33ï,;)tO;IX,M.–GMdu
sang. Vt, 95H. lNf)ut;uco des
nerfs sur sacouleur. Y!, ~~(!, 3S),l,
339. Sa capacito d'absorption
d'o.\yg&ne. VI, 282 XH,i'n.–
Dans le cas de niort par Mmor-
!'hagie,i!ttcaoi)'citp)uspari'a)'-
r6t de la respiration. VI, 3M.
Quantité d'oxygène plus ;;r&nde
qucdan'i)esan~Y(!in!'ut.V[,3'!},
3~8. OxygctK' moins abondant
que dans te sang veineux. Vf, 38:<.
Eau fournie en plus par lalymphe. VI, 444. !uject6dansio
sang. V!, .~0~. Tran'ifusiot). Vt,
515. !t f'ontient d'autant moins
d'oxygone qu'il s'éloigne du cœur.
tX,53.nject6,iifaitr6ap-
pat'attre les propriétés des troncs
des nerfs et des centres nerveux.
!X, &6. n est destina !t la
respiration des c)emonts. IX, (88.
Auteurs <{! i'o: tro:!<'é mains
chaud que le sang veineux. X, Xt5;
XUt, 3t). Par la .section du ~rand
sympathique, il passe presque
pur dans tes veines. XI, 213.
C'est par son intermédiaire que
le poison agit sur les organes.
XH, 371. Dans les muscles.
Xff, }!?. Compare ax Mu~ in-
toxiqué par l'oxyde de carbone.
XU, M?. DitTerenco do tompe-
rature avec le sang veineux. Xt)!,
33. Auteurs qui t'ont trouve ptus
chaud que le sang veineux. X)f),
DES ŒUVRES DE CLAUSE !!KR?<AttD. 29)
3~Sa température dans les di-
vers points de son parcours. XIII,
tïï. Avant et après les organes.
Xf!f, !)2. L'oxygèue disparait-
i!?X)H,)3).–Sou étuda dans
le muscle paralyse, le muscle en
tonicité et le muscle en contrac-
tion. xm, )4?.–Caractères diffe
rentieis avec ]o s;tt)g veineux. X!)f,
)<Excès de sucre.\[V, 9:);).
–C'cstiosangveincuxtiespou-
mons.X.V,3in.
SANG CHTLEUX. Par alimentation
sucrée. Xi' –inQueucctic
J'alimentation chez les oies qu'on
ongMisse.J,l<!5.
SAKS LU COEUH.. Sa. chaleur
·nI ~nX!!f,S!9.
HEt'tBRtKE.Coagulation VI
M~
CHKXLE F(K:Tt;S. Ses propru;-
tes.Vt,40(). Contient-Udf
l'oxygène, d'où vient-il .? VI, 101).
UAKS LES Gt.AKUES. Quantité
d'oxygène. VU, 431. Sa cou-
leur dans les glandes on fonction.
Expérience de Gtuge. VU, 442, t')9.
OE LA ULAKUE SOUS-MAXtL
LAtME.Vn.43).
CE L'HOMM):. XtV, 2*'9.
tNT~XtQCM. Par t'oxydo de car-
bone contparo au sang artériel.
xn,(~.
~-0<R. Par iKctioQ de t'hydro-
gène arsénié, t, 243. Compareau sang rouge. V!a5,50'i.-
Son h)aptitudo&. à entretenir tayio.
VI, 500. Sou action sur les or-
gane&{,:)02.–Ua'etitretioHt
pas les sécrétions. \Mo.–
Moyen d'étudier son action sur les
orgaues sécréteurs par la respira-
tionart)!iciH)te.Vt,)()~Ses
propriétés. VI, M' .MS. Dans
les glandes, influence nerveuse.
Vtt,2-!0,~t!.
DES ORGANES SECKÉTEURS
Pendant leur état do fonction et
de repos. VI, 2!)7, 32t.
–OXt'CAHBt~iE. Sa couleur. Xt[,423. Ses caractères. XU, 425.
t'UTREftE. Injections. XI, 41.
SANG OA:SS LA RATE. Sa cnutenr
Vit.424.
OAXS t.E !<Et?f. Modincation (!o
température qu'il éprouve.V!,)33.
--Rutitant.i) peut contenir plus
d'nxygeneque tosangartërie),
pour(,!j0! ? V' M'. Anafyse par
t'oxyde do carbone. Y)), 43). Sa
rou)nur,t;xperieucodcmuKe.Jt4M.
) ROUCE. Compare au sang noir.
~t,25.'<,MT.–ttportfeatuiia-
gant de sa transtormation Yfi-
ucuse.V!4). Dans les glandes,innuence aerveuse. VII, 210, 2'!8.
SUCRE. Soumise un passage de
CO', il donne ensuite une décoc-
tion opaline. VII, 8f).
t)AKS LES VAISSEAUX. Ses
propriétés, expérience. VI, 47, 2'j.
YEt~Kt.'X. \V, 2t4, 2':3, .t6tX.Vttt, 2)4.–Prophètes de ce
sa ng rouge. !tt, ni), ;!)).–j) 11
devient rouge, chez un chien vi-
vant, qui respire de l'oxyde de
carbone, m, )8(); VI,M'
Est-il toxique parce qu'il contient
des principes organiques detétcres.
))t,2?3;V),4;)9,&()3,f,o' &!s.
--Différences de température avec
le sang artériel. VI, &; \t)), 33,
4.Gazdusau~.Vt.XM.-Examen comparatif avec )e sang
arteriet.Yf,)t!i),3:5[(!:)\~
.')4;XU,H,.48fi;Xn!,t6'
Houge. Vt, 2â' !nnu<-nce des
uer[')}sursa.cuu)cur.V),ÏÏ(i,i!2S,
33), 339. Capacité d'absorption
d'oxygène: J~xp. YI, K8'2, 283; XH.
itH. Il devient noir pendant le
travail musculaire, et rouge quandles muscies sont eu repos. M. 308.
:(); Xi, 2n.–Quantité d'oxy-
gone suivant l'état de fonction ou
d8 repos. V),3(!Y)t. ).'<t.–
Quantitti d'oxygène moindre quedans le sang artériel. Vt, 37~, 378.
–Injecte dans io:.ang. Vf, &0;).
Son action sur les tissus. Vt,50(!. K'est pas rendu tonique
par l'acide carbonique. VI, &U9.
Transfusion. Vf, ;))5. Dans
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYDQt't':292divers organes, !cur'!dincrf;nt0!t
1périodes de repos ou d'activité.~
Vft,t8;xn, 495.–Goûteurs~
<!i''et'sc.sp.'trio<!uancesaervcusfs.!
vn.309~324.) est dMtin6&!
l'alimentation des éléments. IX,
188. Auteurs qui l'ont trouvé
plus chaud que )o sang artériel.
X, 215 XIII, 3'J, 171. -Pris
dans son ensemble, it est habi-
tueUement noir, car le systèmemusculaire n'entre jamais dans un
état de repos absolu. Xf, 27!.
li est rendu très noir par la con-
traction musculaire. X[. 27!.
Effets de la syncope. Xt, 27S.
Sa chaleur ne dépend pas toujoursdes phénomcoes d'oxydation dans S
los tissus qu'il traverse. XI, 2'! (i.~
–Dans la fièvre. Xf,3i8. –L
Auteursquii'onttrouyÉ moins
chaud que le sang artérieh X))t, j:it. Avant et après les organes.
X))!,))2.–Sa topographie calo-(~
rifique. Xtrt, n! Son étude
dans le muscle paralysé, le muscle
entonicit6et)omusc)oencon-i
traction. XIII, t4'Saruti-!
lance. XIII, 3f9. Sa coagutation
rapide. XIII, 320. t) est plus
chaud, après la section du grand
sympathique. Xt)!, 323 Pré-
sence du sucre. XIV, 2)5. tm-
port~nce do cette étude. XV255.
j-SANG VEINEUX CEREBRAL Ins-
trumentation et manuel opératoire.
r
XV, 258.
VEtKECX DU FOIE. XHt, 188.-
Comparé avec le sang de la veine
porte. VU, 132.
VEINEUX DANS LES GtLASDHS
Sa couleur est déterminde pardeux ordres de nerfs. Vf, 2!M, 322
VU. 270, 442. Oxyganoqm y est
contenu. VH, 168, 43).–En
pteiae activité, il est toujours rou-
ge. XI, 270.
VHtKEUX DES GtLANDtKS SA-
UVAtRES. XIII, t80. Change-ment de couleur pendant l'écoule-
Iment de la salive. VU, 32!).–
Particularités pendant f'etat d'ac-
tiYitc.Xtt,499;xn[,)6S.
SANG VEtNMfX DE LA CLA~D)
SOUS-MAXtLt.AtnE.Observatiot)
sur sa coloration. Vf, 3;),9. Rap-
port de sa couleur avec l'état fonc-
tionnel de cette glande. VI, 299.
H apparalt rouge sous i'action
de la corde du tympan. Vtf, 272.
Le grand sympathique le rend
noir. VU, 27.i.
V)it~);t;X MCSCtJLAtKE VI!,
!53 XII, 499 X!ff, !53.
VEtIVUJX t)E LA t'AKOTtDE.
Différence de coloration à l'état de
repos et retat d'activité. XV,530.
VtitItEUX DE LA HATH. X!)i,)8~.
VKtMEtJX DU t<EtK. V!, 99C \'n,
t5(; Xf, 270; X)r[, )8t. Pour-
quoi est-il rouge ? VI, 296. Hap-
port de sa cotomtion avec j'ctat
fonctionnel du rein. Vt, 296. Sa
iacutte absorbante pour l'oxygène.
Vf, 359. Après la section de
la moeUe opinièro. VI, 3R). Com-
parcitvectosangdetaYeinepnrto.
VJ, 382. Oxygène plus abondant
que dans le sang artériel. Vf, 383.
–Expérience. VII, )M& )76.
n est habituellement d'un
rouge vif. XI, 2'!0. Particu-
larités. XIII, 168.
DE LA VEINE CAVE. Celui quiarrive par la veino cave inférieurs
dans le cœur droit est toujourssucré. f,)2'Expériences on-
(ioamometriques de la matière
colorante. I, 466. Dans la
veine cave inférieure, i) est
plus chaud que dans les artères
Xi!?.
Dt: LA VEINE t'OKTE. I, 200,
468 Vt, 83. Expériences en.
dosmometriques de la matière co-
lorante. I, 466. Quantité de
sucre. J,A)2.–nabsorba beau-
coup d'oxygène, quoiqu'il soit
rouge. VI, 36L Après section
de la moelle, analyse do ses gazpar la cuisson. Vf, 3Ci. Ana-
DES ŒUVRES DE CLÀUCE HERNARD. M3
)y66part'o\yded"cai'bone:Mm-)lysh par l'oryde de carbone
com-¡paré avec le sang de la veine ré-
na)e.Vi,82.–Action énergiquesur l'amidon,comparaison des sangs
porte et hépatique. VU, t32.–
Forme-t-it)abi)e?V!f,t;)S.19a.
Analyses comparées avec le
sang des veines sus-hépatiques.
XIV, 268.
SAXR BESVEtKES HEPAUQUES
t, 200, 4C8. Instrument spécial
pour l'obtenir. t, MK. Quantité
desucre. 512. Sa température.
VI,89.–Fermentation. VII, )33.-
Analyses comparées avec le sangde la veine porte. XIV, 268.
DU VEi\TH)C)J!.E droit, il est
ptuiicttaud que celui du ventri-
cule gauche.t,2t'
VIVANT. État de t'aibumino. Vt,4<;S.
SAXHDt;<tATE. Ne se propage pasde la mère au fœtus.XVU,59.
SANGSUES. Effets du curare, de
ta strychnine, et du sutfocyanurede potassium, III, 3(i2, H~8 IV,S46. Leur système nerveux.. [V,M7.
SAKCtJt.N (SYSTÈME). Topographie
calorifique. XV, 4CO. Instrumen-
tation. XY, .t03. Coup d'œii his-
torique. XV, <();Appa.rei'sde M. d'Arsonval. XV, .;S3. Pro-
cédés opératoires XV, 4'! 6.
Tracé graphique et schéma. XV,<82. 1
SAKCtJt~S (ÉLÉMENTS). Voy. Ë/<
~!fM/~ du .t'~i~.
SANTÉ. XVH, yj. Différences
individuelles. XI, 220. Elle
n'est pas un mode différant essen-
tiellement de la maladie. XU).
39!.
SAPO~ftFtCATtO~. XVII, 28t, 315,
'!95.–S.t)enteur.XVU,3M.
SARCODE. X, 153; XVI, 194.
SARCOMtQUE (MoovEMNT). Voy.j!~OMt<f~icy;< .tareod~Mc.
SARCOLEMMt! X, ]68
SARCOt't!AGt-:S (ANMAUx). Voy.~tMt'Mù'!M ~arcopAa~M.
SAUSSURE (Th. de). Antagonisme
chimique, physique et mécani-
que entre tes animaux eties
v''gétaux.XVt,t.5.espiratioB'
d"sptantes.XV!f<;8.
SAVAIT, Il cherche la vét'iM pourla posséder. Vftf, 389.– On
ne le fait pas dans les cours, mais
daastestaboratoires.XL54.3-–
Quand il connait le déterminisme
d'un phénomène, il s'en est renduma!tre. XVII1, 68. H a ~'expé-
rience pour médiatrice entre lui
et les phénomène'! qui l'environ-
nent. XVIII, 82. H ne cherche
pas pour te ptaisir de chercher,
mais pour le plaisir de trouver.
XVIII, 88. Compare à l'artiste.
XVIII, 36(;. Voy. ~ctM sa-
vant, ~ert~f du savant.
SCALPELS. XV, t86. Leur ma-
niement. XV, t9G.
SCAtU'A. Nerf spinal. V, 24'
SCEt'T)CtSHE, il enfante t'indéci-
sion. XI, 409.
sCHLEtnEM. Théorie cellulaire.
XV!, t8;.
SCHUTï,t!?iBERGEK. Combustions
dans l'organismo animal. XIU,
133. Putréfaction. XV[, n8.
SCHWAMK. Putréfaction. XVI, n4.
Théorie cellulaire. XVI, 184.
SCIATIQUE (NERF). Yoy. A'e' Kia-
tique.
SCU~CE. Degrés successifs de son
développement. XI, 6. Les qua-tre périodes de son histoire. XI,
6. C'est un ensemble de faits
dont on connait la loi. XI, 43').
Elle cMr~-pond~ àla raison, c'est-
à-dire une connaissance déter-
minée f)t absolue. XI, 431. Elle
a pour résultat d'agir sur la na-
ture. XI, 510. Elle n'est au fond
que l'étude des circonstances des
choses. XI, h23. Elle est une.
XII, 404. EUe diffère de l'art.
XV, 9. Sa caractéristique. XVII,
392. EUe a pour but la prévi-sion de l'action. XVI!, 393. Re-
poussée par les doctrines platoni-
ciennes. XVII, 406. Elle ne con-
tredit pas les observations et les
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYHOtJË294
données d9tart.AY)n,))'.vo;.
PA!<O.M~<' .<C!f!t<«t'.
SOKFtCEPttYStOLOGtQ! E.XVttt,
t59.–Sa conception. XV), 3':i.1
Voy.P~y.to<o~M.
–!t)Et,AVtE. XJ,.i'!T.– Son
problème est contenu dans le dé-
terminisme des manifestations vi-
tate);.XVt,55.ËUe ne se dis-
tingue point/quant à son but geue-
ral, des autres sciences. XVII, 894.
SOEKCKS, rôle des méthodes. l,
289. Chacunf a son problème,
et ses procédés. VIII, )64.–
L'érudition mal comprise est un
ob!!tMie&!eur!'va"c'm""t.V"t,248. Elles ont )eu)' origine dans
l'empirisme. VtH, 334. H&)'' de
la philosophie. \tt,3S~–Leur
<vo!utiou. tX,!3t,Mf;X',4f'i.
-E)!cs'o distinguent pa<')c!)0hjets
~u'eUes étudient, et selon les tdces
qui prësidcnt !our étude. !X. j
)t!Kf)M<nt(tet))fpoint<t<t<'
vue distinct'! et successifs, d'abord
connattrcet prévoir )t~ph<*))n-
m('<nes naturels, découvrir teurs
causes titementairas, puis agir .<u<'
ces phénomènes, atit) de les mo-
dinerctde)esma)t)-i'ier.X!ift8;
XVm,('.)5.–E)tt'ns sont ja-
mais «')'mit)6cs. XI, t60. Elles
se développent d'autant plus faci-
lement qu'cUe'! sont plus Hrapie~.
XI, 41t. EUes no procèdent que
par l'auilyse et la synthèse. X),
49?. Utilité des théories pour
)<'nr avancement. XH, 497.
Utiiite des hypothèses. XIII, 19,
209. On ne doit pas les dénnir
pal' leurs applications pratiquas.
XV, )(). DénHitions. XVt, 2'
Leur but. XV)), !i!)t. La science
do la vie no s'en distingue pas,
quant à son but gcn6ra!. XV)),
39~. Leur <;)assit)cation. X\'t)t,
99. Elles ne doivent pas ~trc
classées d'après ):t considération
de l'objet étudie. XVtU, !U3.
Elles procèdent analytiquement
dans leur développement. XV)H,
143.
!SCtEKCES ACCESSOtnES, <!)i''s
sont plutôt les scicntf's au\i)ia.ir"i<
de)am(;dccine.vm,tf:!5;Xt,'H!.
Nece'-sitodc les ronua!tre pou'
étudier )amc()cc!nf*.X),U. I.
At'i't.tQt'EES. XV, )0.
BtOLOetQUES IX, 23) X\'H).
)()2.–Le retard dans leur dcve-
toppements'c~ptique par la com-
ptetité des phenontene') des (''très
vivants. X, 5.-E)!es reposent
sur les mêmes principes et ta
mémo mëthod<' que les sciences
phyuco-chimiqtiRS. X, a. Dis
tinga~efidetMience'tphysieo-chi
m!fi:XVt,38!). Le'n-in-
C(.'rtitudf.X\'n,«6.
t)ES COtH'S BRUTS et scicncps
des corps vivants. XYHt, )').
OE L'KSt'ft<T. XVftf, <0&.
C.omperpt's aux sciences de la ua-
turo.X),i':0.
EXPEKtMKKTAt.MS VIII, ]8,
M; XI, <?o; xvt, M; xvnr. eo,
)0[.–Et)es ont pour objet do dc-
tcrmincr les lois électives des
pt)6nom<'nes, les conditions dM
mauifPs<atiot!sph<'nomMna)cs(fR
la nature. IX, 3R XI, 489. f:)tcs
snntconquërantt"i.<'tvtsent&i'!<c-
tion.!X,)32;Xf,458.–t'.ompa-
rt''Ma'M!'ciet!('e<)atutf'ties.iX,
9'M.–H~ps sont oLëcutives:
C.ompM'ees aux sciences d'obser-
vation ou contcmp)!Hivox. tX, 233.
BUes ont toujouM~tc pr6c<!f!ces
par l'empirisme. XI, t59. Elles
ne tnarchoat que d'expAn'HtM'} en
expériences, XI, 466. ËUes s<-
rendent maitrcsses des pb6t)o-
mèncs de la nature. XI, 4'M.
mfi's ne sont jamais ttnies. X!, 580.
)'~ies sont esspntteUcmcntCtpti-
cativcs. X)f, M6. Leur certitude.
XIV, !!< Les hypothèses matë-
rialistes et spirjtuaiiMM de la vie
leur sont ~trangCrea. XVt, 43.
Elles ont pour principe Je détermi-
nisme. XVI, ~8.L'a<tiot) est
rendue possible par le determi-
ni<me.XV!,3~9. -L'enMtgue-
ment théorique ou mental est un
HES ŒUVRES DU C.m;[)KBEt!N.\)t)t. 29 :i
<)c)action du sang noir par la
respiration.'irtif'tcie))t't,M).').–
!ts se caractérisent par t'anatyso
dusangquientreetquisart.VU,
34,9t4.–Ace))uiesiiteset.~ à
cellules caduques ou solubles.
Vi!,93.'t.
SUCRÉTtONS.)\,6S, ;3. Aucune
ne contient normatement du su-
cre. f,!)2.–])yadeuxcircu)a-
tioH'i, )'uno mécanique, Fautra
chimique, t. )<t8.–Ëtiminition
du sucre.t,~t)2.–8peciatite des
ditït'rentes substances qui;'pas'
sent. f, .05. Prt'scucc du sucre.
f,30<Présence du cyanure
jaune de potassium de fer. t. 306.
Iodure de potassium. 1, M6.
Distinction de la '.t'cn'tion et do
)'excrpnon,t.3.t2,V!<)2;V)t,6.
Définition. t, 343. Aug-
mente'; par la respiration aruti-
cie))e.~3.t,Mt.–Activée parinsufflation après empoisonnement
parte curare.f,38);Vf,93;).)5;).
–Diminution dans l'asphyxie par
l'air confiné. U), m. Action de
t'ethcr. tU, 4t5. Ses centres dans
la moelle allongée. tV, 400. Sou
mécanisme. !V,46~;X, 390.
Théorie. tV. t65. Action des nerfs.
tV,')6.):\U.343;tX,88.–
Conditions mécaniques, chimiques
etphyMo)t)!iques.V,~3;Vf,46t;
\U,)(;6.–Action du curare. V,
542. Effets de l'injection d'eau
<ian~ le sang. Y!. 33. Comparai-
son de ia période secretoh'eavec
t'hcmatosc.Vt,34'Soneau
proviontdusanK.Vf,'43!),4}C.–
Matehaux fouruis par le sang. VI,4i0. Toutes les sécrétions n'e-
ti minent pas toutes les substances.
\t, M'Présence du fer. Vf,
;48. 44:). Hecoit-eOe les élé-
monts du sang. Yt, 4. L'atbu-
mine n'y passe pas normalement..
V!,4~ Latthrino ypasse-t-eUe.
Y[.45'Variationsdes quantités
de f)brinc.[,4.i'Matières
organiques qui lui sont spé-
ciales. Vt, 462. Comparée à la
contre-sens. X\t,
M).–Leursmoyensd'action.XVIf,4<M).
S<:tE~C':S tttSTORtQUES XYH),
no.
M)ÉMCAH!S Rapports avec l'art
mcdic.a).X),9.
Mt~KRALMS XV)![. 60.
-MUMA!,ES.XV!n,))0.
-~A')'unt:t~Ks.x),~o;x\'m,
)0t,406.–KUe-iuecherchent
quetestoi-icontomptativesdes
phénomènes et ne peuvent abou-
tir qu la previsioa. !X, SF), )?.
Comparées aux sciences expe-
rimentales. XI, 9~t. Comparées
aux scM'nces de t'esprit. Xf, 4'!0.
--i.'OBSi~VAT'CK. Vtt), t8,M;
XVUt, :<)).–Et'e.ditTcrent des
sciences expérimentâtes. Yt)t,
:i4t.–EUes.'iOatcontemp)atives:
comparées aux sciences d'f'xpëri-
meatation ou executives. XI, 233.
–Ettesontpom'))ut!a prévision.
X). 458. La précision est possi-
h)<i par la comiaiManco dos tois.
X),3-i3.
t')tYS)CO-CntKtQ!JES Leurs
app)icatioHS&taphysioiogie,I,2'i.
–K))ns reposent sur les mûmes
principes et la tueme méthode que
les sciences bio)Qgif)ues.X,
Expériences. Xt.<t2.–D~m-
puëesde):t!!ciet)c''bio)ogifjue.
XVf,38!).–HUess<)nt)abasc()o
la physiologie cxperimonta)o.
XVU), 58. \'oy..E;iir!tMM<a<tOt!
~/t!/StCO-c/ttMt)'~ue.
–HYSt<.H;t:S.XVtU,t5!).
t'OKËS. XY, tO.
SCIES. <?; XV, 188, t80.
SCtSSt< tX. 102. Simple do la
cellule, X.Vt, 302.
scot.As'nQfE. xvnt, '!&.
SECUKRESSE. Son influence sur
les mouvemeuts \'ibrati)es. X, t46.
SECOUSSE tKATTE~OUE, effets
mortels chez des animaux réduits
auu faraud état de faibiesse par
)'ittanitio)).Xt,iSO.
SECHETEUMS'.OMAXEs). Leur sang
pendant les deux états de fonction
et de repos. VI, M'; a 32t. Étude
TAULE ALf'HABËTtOUEET ANALYT)QUE2')R
fiXration. VJ. 4<!2. Elle n'est (tas
t'ntrctemK~par )esM(;[)oir,V),
505.–Passade du sucre .'t)a suite
d'mjpcttotttdan!) le sxn~. 212,
299,30),i5.- Sotiabondancf
est sous t'in~unncc de ia preMXH) r
du sang. VU, ?69: Xf. 366. Ac-
tion du grand sympathique. Vtt,
27~, 27? & ;!OS, ;!3). fnftuence do
la paraty-ie du grand sympathique
par son action sur la circulation. VH.l,
~t').–C'estunproduitdeta nu-
trition spRoatc tics tissrts. IX, 9()<).
Elle n'est pas une pure modi-
Hcatiem vascuiaire. IX, 205. In-
Oueneo dos actions t'Anexes. X,
383. Énergique et continue qui
ani&tto )a destruction do la g)andc.
X, 399. Son rétablissement .'(
l'état normal. X, 'i<M. –tnfluencH
du systèma vasculaire. XI, 24C.
Le grand sympathifjun s'y oppose
en agissant sur la circulation. XI,
33G.–)r)nuencodc)'ane!;thesif\ i
Xtt,)57.–tnftuence do la mor-
phine. X! 281. présence du
sucro chez iM diaMtifjucs. XtV,
Les nerfs moteurs de la
sécrétion dilatent les vaisseaux.
XV, 537. \oy. Ce~u/e <<er<'fo:')-e,
Nerfs mo~Mt'.f de /<t sécrétion.
Nerfs sécrétoires, Sels des ~M-f-
<t'0!M.
SKOtETtOPf (PROOPtTS DE). Leurs
rapports avec ta composition du
sang. VI, 439. Paraiioie avec )c
sang. Y!, 460.
(TBOUBLES M). XI, 228.
ABMMtNAn:. Voy. ~A</oMt-
nale.
ALCAMNE. Elle exerce sur les
substances grasses uut) action par-
tieuftÈredi.frereutGdccetiedusuc
pancréatique. XV. ~M.
BtHAHm. Voy. ~««tt're (sécré-
tion).
CtUMtQUE. fX, 20).
CONSTANTE. IX, 75.
COKTtNUE. IX, 7. X, 399.
OtGES'nVE. Voy. UtyM~t!f.
EXTËKKE. VII, 4)2; IX, 73, )23.
MES FERMENTS. VI, 46t.
9 SECKETK)~fnUt'f)U:Voy.o~
,1
SÉenÉ1'fON ntr
"'°, m.
Voy. ~>i~·.
HASTBt~t~E Voy. ~'ai-<M<
Gt.YCOGENtQUE. Voy. (;<-o-
~M.
tNTEKMtTTEKTE IX, ~5.
I~TEn~E V!), 4)2 fX, 73, t?3.
Action do )'6thf'r.!U, i35.
t~TESTtNALE.Voy.~i~~t'na/M
(sécrétions).
m.f J~BOT des pigeons, Ma!o-
gue ]a sécrétion )aet6o ftcs m.')n)-
mifÈres. VII, 236. \oy. A'&o<.
LACTEE. Voy. f.<!c<~ (sécrétion).
MAMKAttU- Voy..)fan)M<;trf
(s6cré)io))).
ORGANIQUE. !X. ''Oi.
PANCRËATtQUK.Voy. P<)f~<t-
~'<
fAMOTtDtHKKE. Voy. /o~
(~tM~f.
t'HVStQUE. !X, 20!.
t'SKUno-LACTEE du jabot des
pigeons. Vtf, 235, M7.
NEKALE. Voy. /<~M/<
SALIVAIRE. Voy. Salicaire (s&-
o'ëtion).
SOUS-MAXtLLAtttE. Voy. SoK<-
maxillaire.
SOfS-~vmntQt'E et SUS t'Y-
LORtQUH. Action du ~rand sym-
pathique. VM, 37)!, 405.
nu SUC GASTRtQUK. Voy..Sxc
gastrique.
DU SUCRE. Voy. Sucre (sécré-
tiondn).
ME LA SUEUR. Elle augmente
après la section du grand sympa-
thique. XI, 3M.
TMANStTO'RE. IX, 75.
Unt~AfRE. Vov. 6'<M<!)'t-e.
CMEX LES VEGETAUX. IX, 200.
SECTtOtfS CARAtERtQUES. Voy.
Cad~uM.SEtttLLOT. Expériences sur la Hga-
ture <!o i'coMpttage. XI, (36.
SKOtMENTS de l'urine. VU, t0.
SEEGEM. Théorie du diabète, XIV,
«6.SEGME~fTATM~r. IX, 107. Par-
tiette. XV!, 3)9.
SEL MARIN, injecté avec du sucre.
~)59. Il produit de la douieur,
DES ŒUVRES DE CLAL'nE BER~AtU). i
nnm~nesds vie de nutrition. )\.
~:t.
)~S)tm tTK t~C~Sfn~TE nu
BRCTE.X)U,():XtV,S.'<.
t?<TEK?tt: fnHucnc" sur tes mou-
vemfntscxternf"),)V.3t)'Ex-
périence". !V,~f!8.
iF.XSHttUTE.tX. !<,t.X.3;
X\t,280;X\'n,4M,4');\Vftf.
368.–Abotin par )'asp))yxi<'su-bite. ïn.2.5.–Conservée dattS
i'empnisnnuementducnrare.t)),
3n;X\')H,2'JS.–Anormale des
parties enflammées; eUe<)cpcnd
des racines postcrif'ores.JV. *?}.').
–Le mouvement en est-i) indé-
pendant. tV.24' –).csmou\<
mcntssont en rapport.ivecfUc,
Uyacnti'eeuxsoIi<)at'itc.!V,5!!
& 26(;, ~06. Ses rapport avec la
votontc. la voiont)' en est une
forme. )V, M3, 3~. tnnucncc
sur les moUYemenis du c~ur. ÎY~
2(! Mesurée à. )'aidG du car-
diom'tre. tV. ?68. Variahto chez
le chien, suivant divers états phy-
sio)ogi()ues.iV.();n,M9,3)~,
3)8.–SieUeestemousséc ou
Éteinto. tes opérations sont moins
graves. tV, *!ï(). t\t!e se change
en mouvement. !V, ');'<. Sa
transmission dans la mneUe épi-
nière. tV. :<31. Sa transmission
dans les centres nerveux. tV, S.'<t.
Elle a une sorte de tension. !V,
355. SoMaritc de ces phéno-
mènes avec ceux de mouvement do
taviGorgMiqueetdetaviecxte-
DeUTe. tV, 366. Variété de ses
formes. V, t). Son retour, après
section des nerfs postérieurs rachi-
diens la sensibilité ne reparait.
après l'action du curare que (juand
l'empoisonnement est comptet. V,4R8. Influence sur ta dilatation
'tes vaisseaux et la température de
l'oreille. V, .'))6,5t8. Ce))utes do
Mnstb'Utf'.X,2!)4.–Moyen d'en
mesurer le degré chex divers ani-
maux. X, 39M. HHe augmente
chez un animai auqnc) on a coupé
une moitié de la moeUo. X, 3TJ;
fjuand on l'injecte sous la peau, ('t
augmente i'équh'atent endosmftti-
quo du sucre, tcsotfatcdc soude S
[)cproduitpasccte(T!'t.I,2'M).–
Son action sur les nerfs moteurs,
tV.Ht.
SELS. Employés avec i'ofyde de car-
bone pour i'anatysf du sans. VI, S
3'jn{)uencedf)<: m'tempéra-
ture sur écouteur du sang. Yt,
396.
AMMOKtACAtX Hs prennent
naissance dans l'intestin après l'a-
b)ationdesreins.VH,54,5C.
CE FEB Injectés dans le sang.
VI, 't82. ËHminos par la socra-
tiang3ii<tr!quc.XV,&C5.
–DULA!T.V!f,239.
METALUQUKS. Action sur r~-
conomie animate. III, 90. Arrêt
du coeur sous leur innuonce. !U,
350.
MtXERAUX. Dans !a sang et
dans les produits do sécrétion.
VI,US.
DU SANG. Vt, 4M, 4M X! 30.
Élimination. Vt,44(!.
HES SECMETtOPfS. VI, ~M, 44(!.
Voy. S~cj-t'o;).
SELEf~TtON. !X, tU.
SEMEtOTtQUE. De la glycosurie.
XIV,~).
SEMt-LU~AtRES (GANcuom). Yoy.G~n~a?K seMt-<M?)at!'f~.
SEKATOK. Théorie du diabète.XIV,
4M.
SENEBtEtt. Respiration des plantes.
XVtr,)68.
SE~fS. Influence des cinquiÈme et
aeptiemo paires sur les organes
des sens. V, 17 & 'M3. Nerfs ac-
cessoires aux organes des sens.V,)'?. Nerfs des sens spéciaux.
X, 3t8. Voy. j~M'y.! des sois.
–tKTtMË.XVtU.Mi.
MUSCULAtRE. !V, 2~8 XH!,
M9. Expériences, tV, 2~8.
SEtSSATtttX. XVni, 920. Phéno-
mène!! de sensation. !X, 9.
–BRUTE. Voy. Sensation !MC<MM-~
ciente.
EXTERNE, Influence sur les phé-
TA[!).t': AU'f)ABET)QUK KT A~ALYT!QUt':2M
X[,'}UU.–Sesmoditications.XL
)M3.–St'SYariationsserapportent
toujours auxfunctiona des racines
postori~'m'<'s.X!,i(!4.-Eitt!dis-
pa.rait da.ns tes t~eris pneumu-gas-
)riqu("<.ch<ï)esanitn!tuxajoun,ct
réparait pendant t'aete de la dtges-
tioo.Xt.tCf).–Dévetoppoepar
t'ausHK'ntationdot'activitemuscu-
tatre.Xt.!H8.–t'ropriétt:(]Utdc
tout temps a et6 rapportée au sys-
tcmo tiervcut. X(, t' Pr~Mu-
tions à prendre pouri'entrctenir.
X), )84. E))e difiero de ta dou-
Jour. X), 2()C. KUo n'est pas
avec tH mouvement it! seul phc-
t~)m)'ne()mdcpe))dpdusystcmf
nerveux. Xi, 2'i4. Elle anRm~nt~
par suite de t~ soctu.)n df: diverses
braachox du grand sympathique.
XH.Ïf!),8t!Sa perte ost une
manifestation csscntiptto do t'a.nes-
th~sie. X!),n3.–Danst'ane!
thssie.ptte commeoce h disparaître
& rcxtromito périphérique du nerf
scnsttif. Xt). ):<. Son influence
surtMphonomCncsdccalorififa-
tioxetsuriatcmp'-rature.X))),
9'.)3. Elle anHine u;) abxiMf-
jïK'nt <)(! tftnpt'raturo dans le
sang.XU), 2!)!]. –tmportimce
de so))r<')t<'cnm)nepointdo départ
des actions rf'nt'xesdan'i)e RM ud
sympathique. XtU, 301.– Ces
phenonenes .sont toujours r<H]exe9.
XH!, MS. Ette régie et gout'erne
la circu~tion et par)')uite la nu-
trition. XUI.30!).–K)to est rin-
tc!!)gonco des organes. Xftf, ;!09.
Anestitesie de ses propriété'!
prf)top)asmi<)U(tS.XY*[. 955.
Compnrce & t'irritabifitô, o!)o en
eatunedc!' (ormûa. XV[, 289; XYU.
2M, ~75. Aboiie par les aoM-
thésiqucii.XYi.XiiS.–Comparée
~]act)t)tracti)ité.XV[t,4~.
EUc est un comptexus. XVft. 46'
Heactio't motrice, trophique.
XVU, 472. Simple, XV't), 473.
V6~ta)o. X\')I, 474. Dans !e
re t;no animât et dans )e rogne vé-
géta). XVtU, 2 tO.–EUo est Me des
propriétés fondamonMi<~ds tous
fesoiemcntsorgn.nicjUM. H!,223.
Action du où-are. XViit, 288.
–Son influence sur !esnt'rt's ma-
teurs. XYiU, M'Vo).<<<M~
de ~f!M<At7!7< Nerfs de ~?~M!A)7i'M.
SEKStBiUTE AU CHLOROFOKME
Variable selon les animaux, cxpti-
cation de ce fait. XU, M. Ordre
dans lequel elle disporatt des
diverses parties. X)!,56.
CtKCCLATOiM);. XtU, :m9.
SANS CONSCtKKCK. Voy. SM-
St'&~t~Mt<:OnscMM<f.
COKSCtEXTE. tV. 3t<); IX, 37,
'80 XVI, !83. ManitMa da voir
din'6rentes des philosophes et des
p)~ysio)og)stGs~ce sujet. XVf, 289
Seule adnttso par les philo-
sophes.X\m.2!!).
0)': LA COKKEt:. Persiste après
la disparition do celle do la face.
)it.2!C.
OtMECTK V,7 7.
EXC)U!TO)KE OU REIN. Elle est
pMé~eittoe par une très petite pro-
portion do sucre dans te sang. I, '&.
MES GAr<f(it.tO?<S HMt'MATt
QUKS. IV, :;M.
nES GANGLIONS DE t/ABCO
men. XI, 3'!8.
t)t:S GANGLIONS DU GRAND
SYMt'ATtUQUK. tV, X<;8.
<;EKKKA)L)K MK BOKDEU XVI,
34~; XVn, ~42.
UES GLANDES. EUc est relative;
Démonstration Mp<Srimenta)o. XV,
M'
OH HALLEn. X, 7) XVI, 245.
tKCOKSCtf~TEouSANSCOrtS-
<:)EKCE.tV,9),a}0;)7,
180; X, 326; XIII, 272; XVI, 283.
Son influence sur los mouve-
menM internes. IV, 32?. Action
-spcciitte de certains e\citMt!9.tV,
MO. Elle s'explique par les
commissures des flbres dans la
moaUe épiniere. X, 327. Du
système sympathique. XI, 360.
Manière de voir différente dos
philosophes et des physiologistesà ce sujet. XVJ, M3.
[<ËSCEL'VftESDKCm't)E!!Htt.\A<tU. :")9J
E~SUtHH E tNSE~StBL) du sys-
tème sympathique. X).3<!<
UK LA MOELLE !h')~tH:)!Ë V.
4C3;Xt,t94.–H))c provient des
racines postérieures. X), )8'i, t')4.
)95.
DES NEKFS f)jf)u''nre du )'ah-
stinencc. VU, 293. A t'irritant
étectrique. X, X8(!.
nES KERfs ctHAmHs V, tn.
223.
DES KERPS DE L'INTESTIN.
Xf,3M.
DES NERFS BE LA PKAU XI,
355.
BU PtEKF SYMPATHtQU<! VU,
3Ï&,333.
DU KERF ME WtLUS.EUe vient
de plusieurs sources. IV, )08.
KERVËUSH. Xt, t89. P)u!;dc-
yetoppoechextesMcosoiOYécs.
Xt.24.
nE L'OEIL Daas tasphyxie. )[:,
935.
--MEt.APEAU.Soninnueocesur
la sensibilité dos pitiés corrcs-
pondautRs. IV, 2.it. 2;.4. Dé-
truite, etic rt!na!t par une piqûrechez les hystériques.IV, 253.
PEKÇUE. IV, 3M.
DES RACINES MACmOtEK
NES. !V, 2t6.
RECUMKENTE ou EN METOt R
nt,M;tV,9tht)a;V.~4G2;
Vtt,3~);\m. 3M;tX.t5C;X,
243; Xt, 36, t8:i,5n,52t.-Ex-
périences par lesquelles on la cou-
state. tV, 2~. EUo associe les'
nerfs. tV, 29.–Historique de sa
découverte.fV,3~Vicissitudes
de cette question. tV, 3. –Con-
ditions dans iesqueites doit ctre
observa te phenomoue. fV, 3(!.
Expériences. iV, <0. Chien con-
servé après opération, r~nMement
deshoutsdenerfs.!V,4'Hu
facial. tV, 48, &), ~9, Si). 90.
Expériences. iV, a5. Conditioat
qui en modifient les résultats,
pertes de sang. IV, M;. Contu-
sious desMCines postérieures. IV.
57. Influence de la saignée. IV,
~)7.–Dnu)eur excessive, )V.s
–Variétés in(tivi()uct)ps.)V.);J.
–(conditions sp<cia)e")V.('
Kxpericuce, sur tes racines. tV.)
~)i5. –Anomalies apparentes.
fV,'?.'). Explication. )Y.).–11', i:a. Eylicutioo. 3V, i:
Ne disparait pas par la section du
nerf' sciatique. tV. 8< Sa mani-
festation a~ta cautérisation. )V, 89.
–tndueuce de tetherisation.)\.
9t). )m. Manque dans le pnen-
mogastrifjuo.tv,!)).– K'e~istc pasdans te va~u". chien réfractai)')'.
maladie dt')appau,p)aicsi,;U(''ri)'s
après ouYertm'c du caaat yertebt'a).
!V. !)(;. Sur un chat. tV, 96.
Rcunumcnt de t'extrémit6 des ra-
cines après leur seetinu. tV, 9'i.
Ses phénomènes établissent runite
do la paire nerveuse. tV. ')8. –Sa
distribution. )V, 98. Sa propa-
gation. t\)i).)()t.–Anoma)ie
gaussa distribution produitepar
la soudure do (teux~an~Uons ner-
veux intervertébraux. )V, t08.
Dans )a;noeHe.tV,t)0.–Dans
les nerfs purs, dan'iiesncrt's
mixtes.tV,t)<).–Sooexattation
par section dota moitié de la
moe~p, exp.fV, 39a,3')5.,484.
–DMnerf-.do)'mi). V,'2'
Ma.–HXcpf'ut être déterminée
par la pression exercée par le
cœur.Vt,)90.–Du ~rand sym-
pathique. VU, :i04.–Des nerfs
du~t'andt)<'nte)c.Vt),'4.'<;).–Des
racines rachidiennes antérieures.
cxp. de Lon~et et de Ma~endie.
Vitt, MM Xt, .)(!. 5)' Anatyse
dfM p!))';nomeaos. XI, m. Pcut-
ei!eëtrcexp)'nuee par les anasto-
moses qui existent entre les nerfs
sensitifs et tesnerfs moteurs. X~
]':9. Opinions diverses retativos
a son origine. XI, t84. Est con-
sidérée comme te rësuttat de la
renexion des Mhres sensitives qui
reviennent de la périphérie au
centre. XI, ]84. Preuves a t'ap-
pui. XI, )8f<. Les expériences
destinées & ta mettre en )umiere
doivent être pratiquées sur des
TA)!t.E ALPHAtfËTÏQUE ET ANALYTIQUE300
paire. V, )0f!. Sa constitution*
dans je conduit auditif interne. V.
t09.– Portion infra-crânienne.
V,t40.–Saparatysie.V,m.–
Son influence sur la sécrétion pa-
rotidienne. XV, 521. Voy. ~'ae!~
(nerf).
SEREUSES (CAVITÉS). IX, 69.
~MfSMMKANES). Action du HCt'f syttt-
pathique sur la formation du pus.
V, 590 VIT, 4?8. Muetice de
fa destruction de certaines parties
du grand sympathique sur t'e~ha-
lation. V, M6. L'albumine in-
jectée se retrouve dans l'excrétion
urinaire. IX, t97. Absence de
glycogène. XVII, '!5. Voy. ~nt-
&)'ffKe i~eMM.
(SoBfAcEs). Leur sensibilité. Xf.
355. Absorption. XH, 71.
SEREUX (ËPAtCfOMfENT). Voy. ~O't-
c/«WM~ scrcM.r.
(SYSTÈMB). )X, 68.
(VAISSEAUX). Voy. Vaisseaux.
SE)t)t! MORBtn)!. XI, )8.
SKMMGUKS. XV, !U3. A vis et
de Ilravaz. XV, )99. De Bour-
guignon. XV, 2t5. Voy. ï'M&f-tv-
rtn~"<.
SEBJAMAtt.KTHAHS. Son ac-
tion. iU,297.
SEROStTE. Vit, ~06. Présence
du sucre, chez les diabétiques. f,
at8.Voy.Si't'<<M.S~'<-M.C.
SEnoT~E. XVII, es.
SKttfEPfTS (venin de). Ut, 50, 312,
389; Vf, 46).
SEtUHi-ORtH)LLES,Serre-cotes. XV,
144.
SEHTULAMEMS XV, 305.
SEMUM.I,MO,2M;V)!,464;xn,
!S XfV, )35. Sucré, il s'y d~ve-
loppe de la levure de bière et des
globules apëciam. J, 2!')5. !) est
toxique. Jtt, 09, 22!), 22i Vf, 472;
Vf!, 4M.– Sa séparation sous
l'influence de l'oxyde do carbone
semble Ctre plus parfaite. Ut, U)'
Les globules du sang tombent
au fond du sérum, môme sur le vi-
vant, chez le cheval. VL 432.
tnjection dans le sang. Vt!, 46t.
animaux supérieurs. Xt, )84.
Expfh-ifncos diverses.X),)S8,)9<
EHe est atteinte par tes anes-
thcsiquesetdisparattiaprcmiore;
des paires nerveuses rachidienues.
X!t, )5t.
SENStBtUTt! KKFL'XE tV. 3*!t.
))-:X RETOUR. Voy..St/~t&iYt~ re-
t'M~'cn<<
MES S~HFACES Mt'QUEHSES
KT SEREfSKS. Xf, 35.').
SYMt'ATHtQCE. X!, 3.).
DU SVSTÈME SYMt'ATinQtJE
sous t'actton des excitants. Xt,
359.
S)'S!T!F (8YMÈMK' pro-
gressive de i'Mfsthesif. Xtt, t37.
SEKStTtFS (NERt's). Voy. A'<< MH-
<t<)/
St-:KStTn'E.X\'), S. XVH!, 925.
SENStTtVK (Ct:f.t.ELE). Voy. C<K~<
SK~St'm'ES (AcTMKs,. LGur geué-
ra)is!ttiotf.X,!i)5.
(ExCtT*T)OSS). Voy. RK!<a<MMM.
–(FoMEe).Voy.F<;t'<'M.
(t)tt'M.MfO'<s). Voy. /M/M'M.!tMtS.
(PttOPftt~T~s\ Voy. Prf)pr<~<< MM-
~!7)~M.
(RACMEs). Voy. tfafttM.t .«n.o~'K.
SEKSOR)):~ (AppAKE)L). Etfets goM-
ramd('s)tisian'Xt,22(i.
St~SORtELS (!<<EKFS).V. S.
SE~iTtMKKT. tV, 3t. GcnéMti-
s&t.ion de ses rcaMtons. !U, 3&9
tV, 351. Son influence sur )e j
mouvement. )V,248.TrMMni'}-}
sion par )a mocUe. fV, 328, 338.
H engendre l'idée experiman-
taie. Ytu, 57. –![ a cr66 les yën-
tés da ).t foi, c'Mt-à.diro ia theo-
!ogie. XYU!, '). U sert de point
d'appui & phyMotogic. XVH!,
439. Voy. C<t</M .sfM~m'H)',
Nerfs t~M .tM~tmeM~.
SE~fTtMEKTS. sont toujours ac-
compagn6s par des action rC-
neMsducœur.XVUt,3f!().
sm'TfÈME t'AtKt!. tnnuenca sur
les orgattC!! des sens. V,n & 2~!).
Phanon~nes consécutifs it sa
Mction,c<)fnp!tt'6!)& ceux consé-
cutifs & ta section de h cinquième
DRS(E!;VRES))KCL.U'[)r-;Bf;H.\A[U). .~tf r
SKUVt'.T découvre la circut~tiot)
pu[tHOBatre.Xi!,5;X\2~8.
SKTSCm~O~ Cax du sang. XV,
4-;<i.
SKXE Inuuencc sur la sécrétion du
sucre. !,)97.– !nf]uencesur)t'
g)ycoe!Pne. t,~99.– Influence
sur Jacou)ouruusang.V),255.
Influence sur tes manifesta-
tions do favie.YtH,2)2.
SEXUAt.tTEtX, )05,2);).–t'io
se réduit des questions d'aii-
mentation ou de uutt'itia))
br}-otmaircs.[X,n;XVUf,t39.
SE'<.t;ELm(FoM;T!ox).!X,iO(;.
–(GÉKÉ))ATM'<t)y.GMf)'n~o'
S";CH "H LA VtK. On ne )e cher-
chep)us.X\m,M2.
StMt'S< et le chto'oforme. X)f, 44.
SIKCES. Dissèques par(.a.)ien. Vti),
)S3; XV, 6' Attimaux d'c'ipô-
riences. XI, 55t. Moyen de les
maintenir. XV, U).
SOt'.tnnuoncedcta.sativoparoti-
dicnne.!t,50.
S<.H.AtHE(PLMcs).Voy.P~j"M<f!o-
/a)''f.
SOHt)Att!TH fonctionnelle du foie
et du poumon. t,:K<o.–Ucta
sensihi!i(6Rtdumotn'em<?nt.fV,
2~5, 3<)fi. Des phénomènes de
destruction et de création orga-
niquc,eH6 prouve t'unite vitale.
XVJ,t5t.– Org~nifjHodans l'é-
conomie !tnimatc. XVttt, '!(.
SOUBES. Injection. XV, 216.
Absorption. XV, 365.
SOUJBtUTE des yeniDS et des vi-
rus.m,5t,95;Vt,M.–Dos
matières organiques. i[!, 65.
De roxygeae. III, t07. Des gaz.
!!), !63.
SOLUBLES (FEMENTs). Voy. f<
'eM~M/Mt<M.
SOLUTION AQUEUSE DU TISSU
PANCMEATJ~UE. Elle a tes pro-
priétés du sue ptacréatique. II,
240. Réaction caratterMtiquc
du chlore. JI, 242. Action du
chlore 1" i'état frais. II, 247
2° torsqu'i! a subi un commence-
ment d'altération. !t. 248;–
~°h)r'!<j)!')t est cf)!)!ptt!tement ci-
tera.U,2~'J.
SOMMEtL. Xi), tit; XV!ff. 38i.–
Le ''ervaauett frappe d'anémie.
\)f,)!4.– Uroinfidennnpa''
avec la congestion mais avec j'a-
némie du cerveau. XV))!,38'
AKESjTUHStQCE Xt!. Hi S.
–CHK)HOiK)KMtQLK Hxpë
riencc.X!I,(2f.
Mt; LA CODEt~t. XII, 508
MCHfttEt~t'E. X!t, 508.
DE LA NAttCEt~E XII, 5!0.
SMM~AMB~USME. XI, 26.
SOMKOLEKCE. Produite par l'o-
pium. XII, 165.
SON. Sa propriété nutritive. Vff.
474.
SO?iU)E. Pour injecter les substances
dans te sang. H), !37. –Avec sty-tet central pour les fistules sali-
vaires. XV, 50(;.
CAX~ELEK.XV,)8t.
TMËKMO ELtiCTmQCE. X!!t,
Tt.XV,46!).–tJispositMn;!et
construction. XV, ~(!i). Engai-
née. XV, 'i(;a. Nue. XV, 479.
SO!')ttSMES. I, 279.
soumet;. XVH, 3;. 27!).
SOft~H. Voy. Cff'tot)n<e de sot~e,
~t<<t~f/t'~OKf/<?.
SOUDt.'KE de deux ganglions ner-
veux intervertébi'auxayant produitune anomalie daus la distribution
de la sensibilité récurrente.tV,
t08.
SOt'FFLET. Pour ]a respiration arti-
flciolle. XV, 225.
SOPFFUATfCH. KHc empêche te
chyle de s'écouler du eaux) thora-
ci<jue.Vn.6H.
S<.tt;t'Mt:. Dans t'orgauisme. III, M.
Son action sur les muscles. III,
355, 386.
SOUHU-MUET. XVHt, 4Ït.
SM'S-CtJTAKEES (!NJECTMf3.) Voy.
Injections /))/~ct.fe;'Htt~uM.
SOUS-M.AXtt.LAtRE (SAUVE). Voy.S«/)ue.
(SÉ<;)!ËTfO'<). V, ]!6. Action de
la corde du tympan sur cette sé-
crétion. V, H'C VU, m à 308.
TAHU'; ALPHABÉTfQUE ET ANALYTIQUE302
Expérience. V, )4t. Son
mécanisme physioiogique. V, MO.
Elle est supprimée par la sec-
tion de la corde du tympan.
V,)M).–tnf!uenee du nerf lin-
gual. XV, .')4).Voy. CtM~~i
MM<Maj't~ft)'f, G/a?t~ ~OM~-ma-
xillaire, A'er/' mo<eMf été la .)td<'
~OM-a~iï!)'e, Sa/!ee MtM-~tn-
.cf</att'<
St'ALLAKZA~t.Digestion XV
495. !)ig(!Stious artificielles
XVU,SC~Expérience sur le
suc gastrique. XVII, 265.
SPECtAUTE de la transformation.
X\'f),9).
SPKCfAUTES :'RAT:Q:JES 8 en
médecine. Vnt,3':t).
SPÉCtFtQUKS. VU), S(i3 XI, 423.
St'ECTMES de t'hémogtobiuo oxy-
t;enéa, réduite. Xtt,4M, 4M.–
De l'hémoglobine oxyMrbonée.
X!t,<M.–Dat'h6mog)obin< 11
demi réduite. XJI. ~57.
SPËCTKU~KTMtE du sang, appti-
cationsruédico-)é;;ate!i.Xn,'i!;St.
St'H<:TROSCOt'E appliqué )'c-
tudn de l'asphyxie par l'oxyde decarbone. XU, 437.
SPECTROSCOt'n': du sang.XII,425,
436. Ëtude du sang incompiète-
ment intoxiqué par t'oxyde do car-
hone.X)f,-i M).–Spectre de ré-
duction partiello. Xit, i.'<7. Hy-
pothèse et théories diverses. XII,
457. Pour constater la présaucedo t'oxyde de carbone dans le sang.
X\tit.
SPËNCKM fUEnnEMï). DéËuition do
)aYie.XVf[),)!)i).
St'EKMATtQUK (CELUJLE). VoyCellule.
St'ERMATtQUKS (AtfmAux). Voy.
~)?!!M]n!t.t:.
SPHKMATtSTHS. Ils considèrent
l'animal f)perm!<tif)ue comme le
germe. XVI, :ti(i.
S~EMMATOXOtUES X, 133.
St'HËNO-t'At. tT)~ (GAKGLtOt). Voy.CaM<y/t'o~<p/«'Mo-p<!<a~H.
St'mKCTHKS. Leur contraction
permanente. X,;m, 377.
SPHINCTERS t'RELACU~AtKES
De quelques trticuics. XV, 3)4.
Leur analogie avec J'ensemble
forma par tes paroi* muscutaires
(tes artérioles des animaux supé-rieurs. XV,!)t5.
ME LA VjRSStE. VU, t73.
S)'!KAL (GANGnof). Voy. Ga'M~.
(NEnf). V, 244. Son histoire
physiologique. V, 2t5. Galien.
V, MC. itiis. V, 946. Scar-
pa. V, 247. Cb. Bel). V, 248.
tiitchof! V, M Son an~tomia
chez rhommo et les animaux. V,2M, 274. Ses propriétés. V,
2&9. Partie intM-r~citidienne.
V, 2S7. Partie p~tM-crânienno.
V, 288. Ses fonctions. V, M),Si*). Procédés do destruction
chez les animaux vivants. V,291. Ablation complète des
deux spinaux. V, 2M. Discus-
sion des Mporieuces et eonc)u-
sions. V, 29.'). Son extirpation.
V, MT. Aphonie après leur
ablation. V, :!<)(!. Essoufflement
après leur ablation V, 306.
Brièveté de l'expiration aprèsteur ablation. V, 3U6. Sa des-
truetionentritinettt gène data.
déglutition. V, 306. Paralysie.
V, 307. Sa destruction chez
de très jeunes animaux. V312. Ses fonctions. V, 319.
Usages do la branche externe. V,MC.– Il est le nerf fmiagoniste
do la respiration. V, 343.
St'tKALES (RACMEs). Voy. MactnM
<B!Ma~M.
SPtKOXA. XVII, 430.
St'tRtTUAUSME.fX.M? XVt,i2.
St'mo(.YnA.x\'t, 38t).
St'LAXCH~tQUES (~EnM). Voy.
A'ft'/s ~/t[y)eAnt~ttf.s
(OxGANEs). Action de la tnoe))e
~pinièro. tV, 48).
(PLBxus). Vay. f/e.~M.
SPOKTAKHK (GËKNRATMM). Voy.G~MM'<t/!on.
St'OKTANEtTE DES CORPS VtVAK'f'S. Elle no s'oppose pas !).
t'empioide l'expérimentation, VIU.
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. .i0;!
)0),377.–Eito n'est qu'appa-'
rente. XVftt, 4),)2t.
SPOKTANEtTiS DE LA MAT:f:RE
XV!t(, 20). Ëtte n'existe pas plus
dan~tMCorpsbrutsqueda.cstes
corps vivants. VIII, 132.
nH LA MATtÈBE VtVA!\TE
!X,t34.
SQUELETTK des) arthropodes ou
articulés, il est extérieur. IX, 119.
Des vertébrés, il est intérieur.
!X,))9.
STAttL et l'animisme. X, C7
xvn,4~.
STAK~tt-'S. Expériences sur la sec-
tion uaUatérate de la moelle. X),
2!M.
S t'ATtQHË des animaux et dt's vé-
gétaux. H, 495. Chimique des
êtres vivants. !X, 92. Voy. BM ~t
statique.
STATtST!QUË. VUt, 226, 238. 373
XV,48;XVU,fOO.–Ëi)one
donne que l'état des choses, et non
leur raison. IX, 98.
MEtttCALE. Xt!, tO) XIV, 83.
STENTOR t'OLYMOm'ttUM. XVJ,
210, 212, 380.
STER'«)-MAST()t!)tEN. Sa contrac-
tion vocale et sa contraction res-
piratoire. V, 336.
STEVHXS. Exp. sur la digestion.
XVtf,2G4.
STOMACAL (AcTE).n,88). Sa
rapidité. Jt,it3.–Compare avec
la cuisson dans l'eau. Il, 418.
STOMACALE (UtGEMmx). Voy. Di-
gestion.
(FMTULE). Voy. FM~M~e ~<on<a<'<
(GLA~nf;'). Voy. G/M)t'/f.
–(McQL'EUSE).Voy.MM~Me'Me~<o-!
MHM/f.
STRAKGULATtOK. Xtt, 470.
STintES (CoMs). Yoy. Co~M .<<rtM.
STUOMA des pachydermes. XVII,
.3.
STRYCHKtKE. Comparée au curare
elle agit en sens inverse.34). t,
386 ;!X,t63;Xt, 148,227; XV,,
427. Eiie abolit les fonctions des
nerfs du sentiment, et laisse in-
tacts les nerfs moteurs et tosys-
tème musculaire. III, M'! XI, 8').
–Etïets produits sur ta système
nerveux des animaux inférieurs.
i!L3<!).–EtTets sur les sangsues.
tIL 3(i2. )'tï<ts sur les ccrevis-
ses. HL 3(!4. Le curare ne sau-
rait être regarde comme en étant
le contrepoison. III, 37R. Sou
mode d'action. DL38&; IX, )(;2.
–Mécanisme (Jeta mort. !(!,387.
Son action sur la moelle et les
raciaes. jtf,387 IV, ~t, 342.
Poison de t'ciément nerveux sen-
sitif. IX, 21. Kmpoisonuement
d'une grenouille. 1\, 22. L'em-
poisonnement ne peut pas être lo-
calisé. X, 337. Provoque des
actions rétlexes et des convulsions.
XI, H). Neiaisse pas de chan-
gement physique apparent dans
les organes. Xf,)-t8.–Empoi-
sonnement par celaient.XV,t2G.
STRYOiNOSCastetnœaua. HL 2M.
-Tarifera.iU.2-
SUBUXGUALE (GLAXUE). Voy.
(j~'t'if~ ~!<6<)H'M/f.
(SAUVE). Voy. S«<!t;e ïu&~t-
~)M~.
SUBOBtUNATtO?! des vies été-
mentaires à l'ensemble. XVL 3M.
360.
SLBSTAKCK ttLASO'K Ses pro-
priétés. IV, 329 Elle est sim-
ptement conductrice. X, 312.
Ses fonctions. X. 330.
–CKtSË.Shs propriétés. IV, 32'i.
–C'ost en elle qu'est te centre
desactious rcftexes. X, 313.-Ses
toacuons. X, 3~0.
–MUSCULAtHf:. Voy. ~MM/a!)~
(Substance}.
SUBSTANCES ALBUMtKOtKKS
Voy. ~<AMMtiy!Ot'/t'i;.
–AZOTEES. Voy. Azotées.
CONTRACTtLES. Voy. Co~rac-
lites (Substances).
–t-'ECULE~fTES. Voy. /c'<</f)!<t~.
GRASSES. Voy. 'CrnMe.t (Ma-
tières). ï.
MyDKOCARBONEES Voy.</r~<?'&on~
MËD!CAME~TEUSËS Voy Jlé-
TAtiLt! ALPHARËTIQUE ET AN.\t,YT)QUE30~
</iMMf))< .Mff~f'afMM/ftMM (Subs-
tances). I.SUBSTANCES H!~EKALES Voy.
AfM!<'t'a~
I~UT)UT<VES. Voy.' ~Vi<'<<)'t)M.
CMf.AKtQUES. Synthèse indi-
recte. XVt, 3~2.
PUTMDES Voy. P«/)'d<
fOXtQt t:S Voy. 7'o.t-tfyMM.
–VEKK~HUSES. Voy. )~!<'))MM<
SUBSTHATFM. Distinguo do For-
gane. VUf, )ao; XVIII, 3':0, 402.
Vital. XV), 35).
SUC CASTMtOUE I1, 38X VH, 3'!5
XV, a6t XVII, 288. OitTérentes
manières de se )o procurer, et de
)erecm'iiiit' pourranatyso. !f,3S2,
XV, atH. Ses proprietM. n. 383
& 406. Sa composition chimique.
lI, 3!)0: XV, 57t. ArUficiet.
Il, 3Un !X, 'M. Son action sur
ifs dh'crs a)itne!)ts. Il, 400.
Son action sur les matières gras-
ses et sur les féculents. Il, 401.
Son action sur la chair mus-
culaire. )I, 402. Son action
chimique. t), 403. Pourquoi
il ne digore pas les parois (te
l'estomac. Il, 401. Son action
combinée avec celle de ta salive.
H, 409, Viande do bccuf cuite,
digérée par le suc. !),4t5.–Qua-
titos différentes chez des animaux
différents. Il, 4)6. Son action
combinoe avec celle de la bile. Il,
422. !i n'aitèra pas )o curaro.
Ht, 284. Ammoniacal, après ex-
tirpation des reins, sa quantité
augmente. Vf), 50. Sa forma-
tion n'est plus intermittente. Vit,
5) à 56. H peut contenir du
sucre. VII, t8. AMration, pas-sage des .substances. VII, 374 à
3T!, 38: Présence de i'ioduro
da potassium. VII, 383. Sa
sécrétion. IX, '??. Tiedomann
et Gmelin. XV, W.–Proprié-
tés particulières. XV, 56).
Réaction acide. XV, 56t. Cette
propriété se retrouve dans toute
l'échelle animale. XV, Mf.
Sa source réelle est dans les
gtattdeacntubadaiamuqueuso
stomacale. XV, 5<;2. Comment
on réussit le mieux h en séparer
tes substances aiimentaires mé-
tang6es.XV,f)M.–Liquidetqui
y sont juvariabiemfntmeiangés
et dont il est impossible d'éviter
)a présence.XV, &70.–Sonaci-
ditoneutratist'sparfesiiquides
atcatins.XV,5'iO.–tnûuencedu
système nerveux sur sa produc-
tion. XV, 57f.– Exp. de Spallaii-
z:mi.XVn,'J65.–8on acidité
n'est pas un fait primitif, c'est ]a
résultat d'une modification do la
sécrétion.XVit,28i).–Son action
sur les atbuminoMes simples, fi-
brine, albumine, caséine. XVII,
295. Sou action sur les aibumi-
noïdes comptetas. XVII, 303.
Son fermeutaibuminosique. XV!
35&.
SUC t~TESTtKAt.. 4* Vt!, 3n,
388 XVII, 3)8. Mixte, son
identité chez les différentes eapÈ-
ces animales. JI, 444. Ses pro-
priétés physiologiques. U, 445.
De lapin, il devient visqueux par la
potasse. )V,452. Ses propriétés
sur la graisse. Vif. M?, 383, 40~.
Son rote. XtV, 2f<7. Procédés
pour t'obtouir. XtV, 257. –Inver-
sion.XV!t,3[9.
–MUSCULAtRE. X, 1M, 22!).
Sa constitution. X, 170. Il diffère
du sang. X, 170. -Ses variations.
X, 226. Alcalin à l'état normal,
il devient acide dans un muscle
fatigué. X, 22fi.
PANCREATtQUE. )t, n5; 1!,
2)taS'n,3~a352;Vn,2jt,
255, 26' 34t; XV, 574. Procé-
des ompioyos pour t'obtenir, tf,
175. ProcodM de Graaf.
175. –Magendie. !<. n6.–
Leurot et Lassaigno, t76.
Tiedemann et Cmeiia. Il, 177.
Son extraction. Jt,i9i,2)C.–
Normal. 209. Anormal. JI,
209. Ses propriétés. H, 211 à
277, 329; Vff,M5.–Sa sécré-
tion commence avec la digestion
DES ŒUVRES DE CLAUDE BEt~ARD. 3P:i
Cf.AKM BEHNAttD. X[X. 20
s<te d'opérer <imuttan'tnent sur
un grand nombre d'animaux, lors-
'1"'onabosoindR~r;]u<icsquan-t'tcs. XV,9).–propriétés pré-
''nmcesdf'ce]if)))it)n<'h")'!if)mme.
XV,.5;)' SonacHonsurtes
substances grasses ()i)~'re de celle
tics sécrétions a)ca)incs. XV, 594.
–Htransf'orme)a!actosoeng)y-
cose.XVtf.l22.
!SUCS tUGESTttS. ))s n'altèrent
pastecurare.Hf,98:Factices.
Ebede.XVff,'i68.–Leuriden-
tite.XVft,2'!).
St'CS 0'U~'E t'LAKT). Leur ana-
)yse.XVH,tt.
SUCC);SS!0~.Elle ne caractérise
pa-iteiiendecause~ctTet.XVn398.
SUCKE. I, 39, 204; XVII, 33. ses
variétés. XVII, 33.
DANS L AtJMt~TATtO~ Son
influence sur le diabète. X[V, 423.
DANS LAt't'AttEfL (;<)tCLLA
TOtRE. Expériences de Claude
Bernard.XVJf, 4).
DANS LES A!<TÈRES. XIV, 2t5,
MO.Voy.~t~M.
nE BETTEttAVE. t, 38; IX, 95XVII, 279.
DANS LA BILE. VU, 9)2, 299
30),3t5.
iïE CANNE. I, 38; XIV, )4?, 250;
XVII, 34, 279. Son interversion.
XVI!,34!.Voy.CM.'ifAs!<c;-e.
CIIEZ LES CHRYSAHUES
xvn,n.
DANS LE CHYLE du canal tho-
racique. 32: X!V,20).
DANS L'ESTOMAC des diabéti-
ques. 1,308.
–DE FECULE. I, 38.-Son iden-
tito avec les glyroses du sang.
XIV, 240. Sa formation dans
t'intestin grète. XIV, 248.
FEMMËNTESOBLES. XV!I, 279.
DANS LE t''0)3')'tJS. Influenceda
la gestation sur sa production. I,197. Sa découverte. 239.–Sa.
production dans les muscles et les
poumons de foetus en voie de dé-
veloppement. I, 257. Cette pro-
stomacale et dure.ipi't's ta di-
gestion. H, 2''2.–)nnu"nco de
I'éth<)[,2.'< inf~n'nccd'!
la digestion, tf. 2'tnnuenrn
'les vom!ss"mt'ts. tt,227.
Sa composition chimique. JI,
230.–Matières satines et ai-
buminoides. H. 23C. Principe
actif, ses réactions. H, 239, 358.
Présence dusutfatedechaux.
ff,242.–Distingué du tissu pan-créatique par le chlore. Il, 342.
Action du chlore, )° t'état frais.
tf, 247. 2" Lorsqu'il a subi un
commencement d'attération. It,
248. 3° Lorsqu'il est complète-
!'sen!.a!téré.I!,249.–Son ac-
tion physiologique. H, 253. t)
émulsionne, puis acidifie les ma-
tières grasses neutres. H, 254.
Preuves de ('action physioto~ique,<"part'anatomie.it,2(i9.–2° Par
la suppression de l'action physio-
togique.H,2'!2.–Sou action sur
les matières féculentes. H, 328.
Son action sur la fécule. J[, 329.
Son action combinée avec celle
t!o)abite.)t,4t2.–Chei!)es
oiseaux. H, 4<!9. Son action sur
la bile. Il, 47t. Comparé à !a
sa!ive.tt,4'!t;Vt!,2(!3,343,404.Influence de l'électricité. VII,
25). Caractères qui le dif-
férencient des salives. Vn, 34t.
Digestion dos graisses neu-
tres, objections élevées examen
décès objections. VII, 34' 352, 363.
Ses usages, discussion. VU,348,303.–Experience.Vtf.385
& 388. Sa fermentation. VU,
389. Son injection dans le sang,
expérience. Vif, 390. Digestion
des graisses, expériences. VII,397,40).–Ses propriétés irri-
tantes. VII, :!99. Après sa sup-
pression, état des chytifères. VII,399 à 4f) t. H émutsionne la
graisse et forme le chyle blanc,
expériences de Claude Bernard.
VIII, 269. Expériences do Ctaude
Bernard. VIII, 329. Expériences
de Magnndie. XI, 4S3. Néces-
TABLE ALPHASËTfQUE ET ANALYTIQUE30C
duction n'a pas tien dans les autres
tissus. !,9M.–Ces phénomènes
rentrent dans l'ordre des fermen-
tations. *!a9. Tous les tissus
dct'embryonn'eodonaentpas. i,
!!9}. Contenu dans les iiquidesdes fectus; sa nature. J, 398. Sa
présence dans )'a)!antoide. ), <()2.
Ses usages dans la vie intra-
utérine pour empêcher l'infiltra-
tion des tissus. t,408.–Expé-
riences. 1,409.
SLCKK ))AKS LE FOIE. 57
XfV, 293. Discussion sur sa
formation et sa localisation. t, 57,
83, St. H existe toujours dans
le foie, à l'état physiologique.
I, 59. Son dosage. 62, 'i0.
Quantité contenue dans te foie.
6S. Sa tMtnro. J, ?). Son
analogie avec le sucre de diabète.
t, '!a. Celui qu'on rencontre
dans le foie est secret~ par cet
organe. 82. !i ne vient pas
de l'alimentation; il existe dans te
foie avant toute espèce d'alimenta-
tion.i&,8<Expériences.f,G.
Topogr.tphia aoatofniquc de sa
production, t, 83. Hcfutation
d'une prétendue localisation. 8a.
–Une saurait sa conserver ion!;
temps dans )o foie. 9t. U
disparait, bientôt quand on cm- j
pêche le foio d'en produire. t,S2. Sa quantité ne varie pasdans )o foie avec la nature de
t'atimeutation. I, 93. Les osci)-
lations do la fonction sécrétoire
sont proportionnelles à la quan-!j-
titu de sang qui traverse !o foie.
J, ))&. Ces oscillations phy-
siologiques 60 trouvent chez les
diabétiques. I, )!!). Schéma de
ces oscillations ù t'etat normal et
pathotogique. t, 122. Matières
du foie en rapport avec le sucre.
I, 134. Influence do )'a)bumine
comparée à celle de la graisse, de
Ja gélatine et de la fécule. )3<137. L'abstinence le fait dispa-rattre. t37. La gélatine en
fait. L 139, 454. Influence de la
'1graisse sur sa formation. )~.
It'fus fermentescible que les autres.
!,K!i.m se transformant, il
produit la graissf.Lj67._Le
foie le déverse dans le sang. t.3t!). Sa condensation dans le
foie, il ost retenu par le foie. f,
2~; X, 271. Influence de ta
section des vagues au-dessous des
poumons. 33' 36). L'agoniele fait disparaître. J, 369. Sa
production spontanée dans le foied'uu animal mort dans certaines
conditions, t, 37: Manuc-t opé-ratoire de t'expërience. 373.
Hypothèses sur la production doce phénomène. 373. La géla-tine en masque ia réaction. J, 46).
Il disparait par injection d'aci()e
pyrogaiii~ut) dans le sang. H), 223.–Dans le choléra. VU, H).–
Causes de son hypersécrétion dansle foie. VU, 92. Mécanisme desa formation. VJI, 93; X, it; X)V,*!t):t, 298. Cette formation se faiten deux temps. VU, 93. La ma-
tière glycogène préexiste. VU, 113.Le foie est l'origine de tout le
sucre da l'organisme. VII, t)'
Influence de la ligature do la
veine cave. VU, 136. tanuencodu pneumo-gastriquo. VU, )37.
Influence da f'oMtératton de laveine porte sur sa formation. VU,)9a. Influence de la )igaturode ta veine porte sur sa fermenta-
tion. VII, 200. Influence de l'in-
jection de gélatine sur sa forma-
tion. VU, 418. Sa recherche,
expériences de Ctaude Bernard.
VU!, 291. Le foie en est unesource constante. XIV, 2?3.
Découverte de son existence dans
le foie. XiV, 283. Son originedans le foie. XIV, 283. Ingéré,il so transforme dans le foM en
glycogène. X!V, 321. Sa for-mation serait un phénomène cada-
vérique. X(V, Si8. Kxpëriences
qui réfutent cette théorie. XIV,349. Influence dos conditions
pathologiques sur sa formation
DES ŒUVHES DE CLAUDE BEHNA.RD. 307
X)V,3at.nnucncGdf!)at(:m-
jjt'ratnrcsursa formation. XtY,I.
~()i.–Chez h's animaux à sang
<'haud et à sans h'oid. X)V. ;<C~
)!di'!p3!'aStp3!a section de la
tnoeUecpinit'rf. XIV, 3C8.
Moyens propres it on augmenter ta
production. X)V,~S8.–t) existe
A t ~tat norniai dans te foie. XIV,
'i02.–Origines possibles, autres
-<(u(:ie foie. chez le sujet sain et
<'heï ta sujet mahute. XtV, MH.
f~t'xistcdansiefuie des poissons.
XVII, i)9. En dehors de la pé-
riode d'hibernation. XV! K)T.–
<est. un excitant du foie. XVU,
38C. Voy. foif.
(Sr:CKÈTfu;< Hc) dans )e foie. I.
95, )m, MS. KHe n\'st pas syn-
<:hrouiqu('a.[3LS(''t'Mttont)itia!.rc,
<'))8SGm)))<i&treindopt'ndante.), l,
97.–tnnuencoducancf'retdcs
kystes du foio.t.t.'ii.–Inftueiicc
des maladies. t, )S.'). htÛuHncR
du froid, t, )90.–tonnoncede
iachafeur. J, )!)(), i:)G. –tnnu~nce
du sexe, de la iactation, de l'âge.
!,H)7.
SCCKt<: HE FtHJtT. I, 38.
t?fTt':KVjEMTt. Sa formation.X!V,
'!aO;XVU,3'H,49i.
HAKS L't~THSTtX. Son absorp-
tion. 1, 176. –injections, 1, Xi'?,î
M),228.
OEt-AtT. t, M; VU, 2St;
XIV, nt:XVH, m. –Uans
l'urine d'une femme rccpmmeut
accouchée, t, -t33. Dans t'urine
des fomnes ectamptiqucs. 435.
RAKS LK HQUOE C):PttAH)
HAt:t«0)EN. 3!4; XIV, 2U5.
UAXS LES HQUtHËSAKtMAUX
Réactifs propres à les distingueret a les reconnaître. 1, 39, 48.
Action du réactif cupro-potassi-
f~ue. t, 42. Sa din'usion. J, 3t8.
BAKS LES HQ~tOËS AN-
KEXtELS. XVII, 70.
MANS LA H'MPttE. 3)9.
('~nttitions dans lesquelles s'effec-
tue le passage. J, 3ii). Son ori-
gine. vn, nn, 315.
SUCK); «ES 3U;SCI.I.;S. Ses pro-priétés.40C.–Conditions cxpe-rimf'ntaies artiCcie!h's ['our le
constater.XtV,i28.Vov.;)/c/c.<.
nAXS t/OMCA~tSM); I, ;!(!:
\!V,70.–[) Il est produit par une
fonction.')nima!e dont )e diabète
ncst qu'un état patho)o:;ique.),!!?. Jnnuence des alcalis causti-
ques, t,40.–Constatation do sa
pr.'sencc par la fermentation, i,
t'.). Sa prcsenco reconnue parla polarisation. f,a0.–Sa re-
cherche par tcmptoi du charbon.
f, :'< Hecherctte par le sutfate
de soude. S~. Sa production,comme sa destruction, est un
phénomène-appartenant aux doux
règnes des êtres vivants.5G.):!t.ti apparait avant la naissance.
!,S7.idisp.)raitounonpar)esn~~dies et opérations.I,U:i.i5,
;i(iS,;)T.XtV.ï%{nnuct)ce
<io t'aiimentaHoa. t, ;)t, i:tc, )fht.
tt est un produit de sécrétion et
nond'excrëtiot).I, t08.–t)ne
sort pas du sang à l'état physiolo-
i;ifjue et ne se trouve dans aucun
liquide versé au dehors, pas mt'me
dtt)s)abi)e.t03.–Kxpcriencea
contradictoires co sujet, causes
d'erreurs, j, 109. Circonsta.accs
~ui peuvent en modiner la sé-
crétion, l, 132. Attërations
de la substance hcpatinue. I,132. Circonstances qui inuuont
sur sa production, t, 133. Absti-
neace.t38.–Hibernation. J,
)~t.–ËMmen comparatif sur
trois chiens nourris, avec gélatine,
graisse et eau. );8; Y)J, 4t8.
Celui nni provient de l'alimenta-
tion ne passe pas :t cet état dans
la circulation générale. iat).
forme,avec t'amidon,iatnatierc
g!ycoi;nechyteuse. t, tf!5.
Secbange-t-iieuErai!i!ie?i,t6;).
){o)e do la circutation dans sa
production. ], 16' Sa formationat'reteo par le froid sur la peau. i,
188, )9!i. Sa destructibilité
suivant la concentration des solu-
TABLEAt.PrfABËTJQUEET ANALYTiQUE308
tiens injectées. 2)7, MS, 998,
SHf.)(')!tructibi)it<'dcsdiv('(cs
osp<cos da sucres. 9)9. Kx-
pericncf'scomparativf.s.t,~)!).–
Une doit pCH(';tr''r qu'en pctiips
quantités à la fois dans )'or~a-
nismc.298.–Son~;qnita)ent
endosmotiquo augmente par in-
,jectiondoM)marin&ous)apfau.
f, 229. Sa destruction. t,S~t;
X)V,3'!7;X\')!,8').–Th~)rie
de la destruction par tes atcatis
dusang.t,2t4.–Théorie de la
destruction par jafennfntation:
P)'<'uyf"'AJ'appui.t.9if!. 2<7;
X)V,32S.–Quet!e("!tr("!ptce
dof'<')'ment!ttionquis'opCrea!n<ii.
T, 248. Détruit par oxydation.
!4'tJsage*) dans les ani-
maux. S;)1, !5?. M2;
489.–S.i formation accompa-
gna toujours la germination. t,
9.i6, SCi.–Examen do t'an-cienne théorie de sa production
c~ctu'iivoparfe'! végétaux.68.
Point de vuo do cette t.t)ént'ic
vis vis des questions physioto-
giques.J,9'!0.Kr)'eursdcdoc-
trines, de méthodes et do hit9.1, l,
2'f.–H\porioncefbndamen<a)c
pour )a théorie do sa production
dans For~ani'ima anima!.), 2'!3.
Son origine. 283. Action
du système nerveux sur'(a pro-
duction. 388, 3Ïf!;Vtt.i81.–
Influence de la section des pneu-
mogastriques sur sa production, l,
SS8. Il ne pa~so pas dans quoi-
ques liquides animaux. 903.
Son f'mninttion se fait seulement
par quelques liquides. 303.
Jt ne passe pas dans )a salivo. I,
30! La salivo n'en renferme
pas. J, 305.–L<) crachats en
cont[ennent-ih'3()5.–Méca-
nisme de l'action nervfuse dans sa
production, f, 3Ï9. Sa produc-
tion continue. I, 33~. L'insuffta-
tion le fait apparaitre. t, 35), !!6),
803, 381. Procédés de reche-
<:hes.I,5(!,460,4M.–ttM
forme aux dépens d'une matière
a)))umincn.')C)nsoh)b)c.t,3');).-
Prt'nYptphysiniogi'jUf's. ).<).').
Preuves <'h!mif)uns.t,3!)f!s.'
prëscncodanstouttf'sorg.inf"
<'hpz)esditthctif)ufsn)nr(ssnhit'mont. l, 4''?.Tth'nrie dosa for-mation aux dépens ries matio'ct
~)-assM.),4.')]. –Fnrm6 paria
~iande mammaire. 4H.')
Figure schpmatifjufroprcwnta)) t.
i'ensemhtede sa production et de
.sadin'usi~ndan.st'nrganismc.J, 1,
'i8).–Son absorption. !),32L–
Lapiqt')radut)uatt'i(''tnf't{,'utri-
cu!e)efttit.<)t)p;tratt)'e.!V,'i()(),
4M. La matière f!h'0jïf''nc
pcoxi'.t<fV,4SC.–Transforma-
tion de la matière g)ycog&nc.tV.4'?:)))ais!!8 produire des v6-
getatioos. Vf, 'i89.– Il peut
f'x['!tft'(tans)<*aucgastt'i()ue.vn,
'!8. Sa diffusion. V!), !;<).-
Constatat.iondt'sapr(isenc('ptr)a
f()rmtti('))de)!t!evûredebiero.
Vtt, )33.UapportsdosaL
formation avec )a:iR''retiot)bi-
Uair'i. Vf[,()<Etimino par)abi)o. V)f,!t). –Sa forma-tion par)'6mu)sirje eti'aniyp;-ditHfie. V)!, -!73. Sonrùie
(tanaf'accompU'.scmHntdcaphe-nomHUO!tde nutrition et dodovo-
topponent des animaux et de~
pfantetet sa destructMHd~ni!
)'orgat)tsme, expériences deCiauds
Barnard. VU!, ï8C, 3t8, )X, 209;
XVU.m.–tJsf'f'ormaehoxtes
animaux par uu mécanisme Men-
tinue&ce')ui()n'onobMr\'ocho~
te9YCg('tau\.)X,8f.).–He<'uehis-
torifjua et nritifjue de la fjUMtion
de sa formation dans t'organisme
anima). X, ~08 XI, 327 X[V, )<4.
–Saproductiondansfodiab&to
se rattache aux phénomène'! g~n6-
raux de ta nutrition. XtV, 8Ï.
Hcact.ifs physiotogifjue.s. XtV, )t7
Son histoire dans les deux rA-
gnos animât et vëgÉta). XtV, t42.
Vient-it toujours desatimentsf t
XIV, tM. Uôcouverte de sa for-
mation permanento dans l'orga-
MSŒCVtŒS UH CLAUDE UK)!NAtt[). :K)'t
!t!Limite de la quantité
que pf'ntc''n!<'nii')e sang sans
passer dans !u)'isf'.LK)0-
i''or)nuparoxy<)ationdet'béma-
tine. t,~)9. –Causes d'erreur
dans i'apprcciation des quantités.
nf,i3!),'ii.'<Uapj)araitaprcs
tanatvanisationdespncumogas-
tnqut's.V,t3.'<Hn'etsdf'sinjec-
tio[i-i.Vn,4h8't~<Hdi~onde
son passade (t.t!)'i)'tu'it))'.Vn,5,
8~).–St)naccumu)cHioti.\tf,(!,
M.–Aj) t'es t'ild'jction dans le
sang, tes animaux sont tristes.
\H,86.–fnjectionpro)«ngce,
néphrite double. VU,88.) dis-
parait, quand le sang devient noir
dHnuit.i\cn)ent.vn,8:).–(constate
partafonnati'nide)a)c\'n!'edohicr<VH,iM.–Sarot'h('rche.
\t\)~,)90,rj:).–)).iste!L il
rotatnunnal dans le sang; son
absence est un phënomcne mor-
bide. \)\t3.XO'J.'iU2.–Son
dosage. Xn', i:M,t~9;XV,<S7.
–('.ummeuts-i présence a-t-eite
echappoanombre d'observateurs? '?
\tY.Ï.)~Sa destruction est
retardée par le suihtte de soude,
par l'acide phonique. \t\, 208.
Par l'acide acétique. XtV, 20!).
Sa destructibitite. XtV, 209,
3')nnuoncedHt'aLiimentation,
dcrinanition.XtV,2)t). In-
fluence du la saignée. X)V, 210.
Influence de t'état pathotonique.
X)V,2U.–Influence dehnevre.
XtV.SU.–OsciUations. X!V.2tl.
–Influence doi'hemon'hagie sur
sa présence. XtV, 2t3. Sa répar-tition. XtV, 2)5, 229. –t).nuonce
de l'abstinence. XtV, 2)' C'est
u!!etementphysio)ogiquectnon
morbide. XIV, 220. De t'homme.
XIV, 22~. –Son origine. XtV, 2'!5,
281. I) disparait par la section
de la moelle épinière. XIV, SUS.
Dans l'état physiotogique il pro-
vieatduLioie.XtV,4U3.–Le
muscle peut~U en devenir une
source? XtV, 43L Sou dosage
par la burette. XV, 489. Son
nisnio animât.Xt\,tG).)'<'ut-i)
<trc(or!nHpard<'sa)nn).iu\?Xt\,
Hn.– S<~turigiN"a)ifnentairt'.
X)V,)T3,?38.–S~n dosage par
la liqueur cnivrique.XtV.tm.
Sonintcrver.sio!)eng)ycoscett'<)
tcvu)osc.XtV,3L'Ya-t-itc\a-
gération de production, ou arrêt
<!<-destruction dans te diabète arti-
<i<;ie)'X)V,38:).–Sa)ormattoo
est un phénomène physiologique
qui peut servir demcsureit )in-
tensité des phénomènes vitaux.
XIV, 405. Il se forme pendant
la vie comme après la mort. X[V,
M5-–Soniuuueace.surta.tor-
mation de la matière ntyco~c~e.
Xt\):)4.–Son évolution. XV1I,
4t.–Sa formation. XV!t, 47.–
Caractère chimique UHSf!. forma-
tion. XVtt,t3U.–Sa digestion
par)a)avùre.X\)f,34: Ex-
pcnencespout'juger la possibititc
do M transformation. XV]). 3'J.
<!tJCHEMHMA[StX.XV!f,4.
-HAFiSmum~f. Apres )'injec-
tiot), les reins deviennent malades.
VH.87.
t)AMS LA. SAL!VE des diabé-
tiques. VH, 245.
DAKS LK SANG. I, 2': XII, 29
X)V,t3t.–Chez les diabétiques.
f, 5' Son deveMementdans le
sang par le foie. 233. En pe-
tito proportion, il n'éveille pas la
sensibilité sécrétoire du rein.
235. tnuucnce de dttîerents gaz
surMdispantion.I,2i),243.–
–UnosedotruitpaspariepM-
sage d'oxygène, f, 2U. Action
det'hydrogënopuret.at'sentO.I, l,
243. innuecco do l'azote sur sa
destruction. J,2i3.–Est il dé-
truit par les alcalis ou les fermen-
tations?!, 243, 245. Se détruit
par oxydation et fermentation. 1,
24' Sous son influence, les g)o-
butcs blancs du sang se devetop-peut. I, 255. Sa présence dans
le sang. 2':5.–Époque do cette
découverte, t, 275. Conditions
de la production de ce phénomène.
TARD! A).P)!ACÉT)QUË ET ANALYTtQUH3)0
dasaga par lo halton. XV, 480. Voy..S<&W/<C~.
St'CttH DANS t.E SANG AHTE-
ttn'L. Son excès. XIV, 23.
Dans les artères, les proportionsde sucrf sont sensiblement cons-
tantes. X!V.<04.
HANS LE SANG VEINEUX. XtV,M9. Quantité do sucre com-
parativement dans le sang de la
veine porte et des veineshepa-
tiques Rapport do la commis-
sion. 1, S7, 512; Vif, 133. Sa
prasenco. X!V, 215. Dans lesveines, les proportions de suo'e
varient avec le point de l'économio
quci'oa considère.XtY,4M.
OAPtS L) S SEC!!ET!(iNS. Au
cune sécrétion ne contient nor
malement du sucre. !,M2.–
Excepte toiiquide cephaio-ra-chilien. !,)'); Vf, !!()?.–Que)-
ques sco'ctions soutoment )o iais-
scntpat-icr. !,3!)5,3()C.–Sot)
chmination par les dh'ersfs secrc-
tions. 302. Par t<s reins,
par la muqueuse stomaeate.J,!
~SontMMagehhsnito!
d'injections dans le sang. Vtf
2)2, M!), 30), 3)5.–Sa pre-
.cnccd.tn'iJesdivet'sGSsccrctions
tie'idiabëtique.'i.XtV.'rg. 72.
MAKS LKS S)!ttOS)TES. Chezles diabétiques. 3)8, 3)9.
RAKS t.K SYSTÈME CtttCC-
~ATOtKK en général. Conditions
qui le font apparat) t'a. t, 234.
DANS HtTtSSU CEtLLULAtttE
soM-cutane.t,2t'22t,M(!.MANS tj S TtSSCS nM<t~t-
~Ut;S. Moyens do constater sa
présence. 48. Endosmose du
sucre dans les tissus, chez l'ani.
mal mort ou vivant.][,m.1').–
Sonusagodanstedeyeioppemontdes tissus. 257, 395.
DESUKtKES. t'!4; X!V. 0~Son apparition accidentelle et
M présence passa~ro. J. H.}, -i35.Production artificieHe de ce
phénomène, t, )75. L'absorptionà jeun produit une urine sucrée.
!7<i. Passe dans les urines saut
l'influence d'une circulation exa-
gérée.t76.–Son passage dau'<les urines; rapidité innuencea pardh'eMes causes, par sa)f;n6e li-mite de )n destruction. ),22~
Mu)tip)icite des causes qui peuventie faire apparaitro à la suite d(;
injections. J, 229.–L'ët.t)erte
fait apparaître. I, 238. Décou-verte de sa prosenc') dans t'urine
des fœtus. J, 239, 362, 402; VU.
t;}5.–Circonstances de ce phé-
nomène.f,3:.t9.–)f devient inex-
pticabte dans la théorie de la des
truction du sucre dans le poumon.f,240.–Son passage dans les
urines sons i'infiuence de la res-
piratif)nartificie))e.f,j,36t;
VI, 93. L'injection d'ether et
d'ammoniaque dans la veine portodonne lieu à son apparition. II,353. Son apparition à la suite
de l'intoxication par le curare. 1.366. Sa présence dans J'atian-
toMe. t. 4M. Explication da ce
phcuomene. f. 4M. Chei: les
diabétiques. ], <33; XIV. 72.
Sa présence fiut'fit-eito pour carac-tériser le diabète ?f, 434.– pro-
duit par l'éclampsie. f, 435.
Pendant la lactation.t.43. V![,138. Des femmes en couches etdes
éclamptiques. I, 435; V!f, ]38.
J) apparait après la gatvamsa-tion des pneumogastriques. V,435.–Son dosage, X)V,t)8.Est-i) un produit pttthotogique du
rein?XtV, i49.– Ëxiste-t-it nor-
ma'emont danst'urine? XtV, 39t.
Voy. <tt' stlcrée,
DANS HSS VA!SSf:AUX. Injec-
tions.ViI,(!Hecherchodatts.los différents vaisseaux. X)V, 2-0.
Kouvettcs e'-periencos. XtV,22!).MA~S t.t!S YAtSSEAL'X ~YM
PMATtQUKS. J, 320.
t'AKS LHS VEGETAUX. XIV,t4<).
SUCKt'E (AuMEKTATtOS). Voy. /)/
~«"f/a~tû" .t'herc'
(MAT)ÈnE). XVn, 33, 493. Ses
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. 3H
caractères chimiques, t, 38. Elle
est formée par les animaux.1,57.
Sa distribution dans l'organisme
parie foie. !,)t2.–Le foie la
transforme en une matière omut-
siveparticu)icre.)57.–Dé-
couverte sur sa ~coération et ses
usages dans l'organisme. L250.
Nécessite do sa présence pour
la production du ferment de la le-
vùre de bière. 254. Décou-
verte de sa production les
muscles et dans les poumons du
fœtus. 388.–L'animât en a
constamment besoin. 1, 410. Sa
formation ne serait-elle pas loca-
lisée dans un point do l'organisme '?
452. Réfutation de ces opi-
nions. 455. Se forme-t-elle
par l'action digestive dans le foieet dans te torrent circulatoire?),
503. Son absorption. )X, t98.
Sa formation. XVf, 142. Ses for-
mations nutritives. XVf!i9.–
Sou ferment dizestif chez les ani-
maux et tes végétaux. XVH, 938.
SUCRÉS (AuMENTs). Voy. /t/:H)M<~
sucrés,
–(PKtNCiPEs).Modifies par la sécré-
tion intestinale. XVII, 318.
SUOATtOif. Influence des nerfs.
Vf, 249. Conditions physioto-giques qui y président. V!L t8'
Influence de la circulation. \'tt,187.
SUEUR. Vif, m IX, 81. Son
absence dans le diabète. L 442.
Théorie à ce sujet. I, 443. Va-riétés do réaction. VI, 37; VU, t8C,
)8H,t!)0,t')). –inftuencedet'abs-
tinence sur sa réaction. VI, 31.
Rapport entre sa sécrétion et celle
de l'urine. VU, )' Analyse.
Yft, ]'). Composition chimi-
que. Vf), t80. Contient-oUe un
principe toxique? VU, 181. –Com-
paraison chimique avec t'urine.
V!f, 183. Parties constituantes.
Vif. 185. -Expériences. Vif, 188.
Sa sécrétion augmente après la
section du grand sympathique. XI,
386.
SUICIDE par les vapeurs de char-
bon.XH,332.
SULFATE. Dans la salive. t35.
DE CHAt'X. Dans le suc pan-
créatique. ![, 249.
DE CUtVKE Elimine par la bile.
V", 2!2.
DE QUtXt~E tnjcctions dans le
sang. VU, 4GC. H agit dans la
fièvre intermittente, sans que nous
connaissions le p'mrfjuoi et !o
comment. Xt. 30, 32!),.4S? XIV, 82.
DE SOUDE. Son emploi pour la
recherrhe des sucres. 53.
Injecté sous la peau. I, 229.
Pour éliminer les matières albu-
minoïdcs du sang. XtV, l!).i.
Pour retarder la destruction dusucre dans le !-ans. XtV, 208.
SU).t''nYt)M<QLE (ActDE). Son ac-
tion. XI, 4~9.
SULFUCYA'ftJHH DE POTAS-
S)t!M. i) existe dans la salive mixte
et il n'existe que dans la salive. Il,
tSa VU, 2!G, 349. -Son action sur
les muscles, il est un poison spé-
cial do l'élément musculaire. III,
350 !X, 2). U arrête le cœur.
!!), 351. )t détruit la contracti-
lité musculaire sans afTecter, pri-
mitivement du moins, le système
nerveux. !)t, ~)55. Effets pro-
duits sur le système nerveux des
animaux inférieurs. III, SHt.
Effets sur les sangsues. HI, 362.
Effets sur les écrevisses. UI,3M. Sou action, mécanisme de
la mort. 11!, 385. Ses proprié-
tés toxiques, IX, 16t.
SULFURE. Forme par la bile et t'hy
drogène suifurp, chez l'animal vi-
vant, exp.Vt,450.
B ARG!:KT ou DE CUtVRE. Co-
lorant en noir la muqueuso sto-
macalo ainsi que les ganglions
mésentériques. Vil, 382.
SULFUHE (HynMGËXE).Voy. ~y~)'o-
ye~te ~U)'StJt't.tC!ES. Le foie contient du
sucre. 249. 250. Expériencesfaites sur eux. XI, 547.
SUFft'UHATtOX. XV, 39.
TABLE AU'HAUË'HQUE ET A~ALYTiQUt';2i2
SUKCttAKCEttAfiE~t~KnVEMX
Hypothèse ()cMf)))er.X).?!
St htACE t:<L)'H'AK)':t!. Voy. (.«/<
!!<*f.
(;ASTI\O'I:'<i1'liSTINAI.E. \'oy.1
<;ASTM~ )XT<STtNAt.E.
Voy.
<fnt<)'0-!);tM<t?!C.
t'tLMO~AtKH Voy. /wo-
natf'e.
St <UA<;ES Mt'~CEt.'SKS. Voy.
j<<f/!<ex.!M (Surfaces), S<'y!.n~t'<c
~M <Mr/m'f.! Mtff/~etMc.
–St:<t)~'St':S.V<)y..S<<!7/<7i<fd"
~M~ftCM !~r<'tMf.t. St'f~!<P.s' (Sur-
faccs).
SUSCEt'T!B!t.)TK varia))[e fies ani-
maux rigoureux et des animaux
afTaibUs.XY.~K.
'rOXtQUt!. Xt, 9M.
–OES KEKFS.Xt.ïH.
SUS-HEPATt~~ES (VHMES). Voy.
ft'tHM.
SUT~CRUS. XV, )9C. 902.
Sy~VtUS (Jitcquc!! Dubois). Profes-
seur do mcd<'(-joe au Coth'')!~ de
Ft-aftce.X)V,te;X\'U,4~Fermentatim) des atimetttt. XVH,
26~.
SYMt'ATHtËS ORGANiQUËS Xtt!,
25t.
SVMPATMtQUt; (CoMMK) Ct:KYt-
CAt.oy.Cot'doM.
(F)LET). Voy. f</e< <'<'r!)t'e< afu
yand~f/M~nt/o'~Mf.
(GA!«.[.)o'<). Voy. Gan~~OM .t'/m-
pn<i<
(SKXsmtt.tTÉ). Voy. S"n.t'&'H<<
(SYSTEME). Peut-i) modifter ia tom-
p<'ratHredusa)tgntdu)')t)tc~tin?
Vf, )4~. h est te regntataur do
ia circuhtion t-apinaire. fX, 65.
Sa itensibijité sons faction des ex-
<-ita~ts.X),359.–St!tansibiiitM
sans conscienco. XI, 360. Sa
sensiM)itein!<ensib)e.Xf,3M.–
Comparé avec te syst~no cÉrébro'
spitta). Xt, 37'?, 9S8. Voy. ~n-
jtA</<~ dM .<t/.<Mn<e ~)'/M!pu<At?Kf.
SYMt'ATttt~fHS ( Moo~EM~Tfi).
Voy. Jtfo!~eMeM<! ~m~a<A<~MM
ct)~nM-J)fo<ci<
(KERM). Voy. Grand ~y~ipa~f'~Me,
jiVC)'n!~a</«<yMM.
SYMt'rOMrs !ttnnntm:s <n fA
TH<tt.<X.)<~rKS)!,Aner;tn\(!e)'
t:ttmorbtd<\ X),!)<).–Produit!; psrdes moyens artificifits.X), )2.
K)tp)!quMdiif)r''stefip)'h«'ipfs(te
taphysio!o!;it'.Xf,)2.–(;enc-
rautf't!ncat)'i,!<')it'SMpportFtin-
tim)!t.X),l()'.).))snesontf'n
)'ë.dit6que()c') phénomènes p))v.
sio)ot;i')ues plus ou moins c'xagu-
res.XtV.C.
Sy~iC<)''<; fil, 2:t2; XVt)t, 3M.
Ses e<<'ts sur le sang veineux. XI,
2~.
St'KOVH!. \'<t, 409.
SYKTMESK. tX, 4!)~ XVt, 39).
Knpa)-ticutiet'.XVt,2Ï'
–"K'ALf;"«L.XVt,3'M.
AMVLAOÉK. XVf. SM. Ses
ph6nomt')))ps. XVt, 2;i2.
ASStMtLATtUCt:. XVHt, )95.
CHtMtCO t'HÏSM~UGtQ)DË.
XYt, 203.
cmMtQUf;. fX, 222; XV!. 20;);
XVH, M. 5)8; XVIII, 205. K!!o
est ttndcs phénomènes communs
aux deux rÈg'tM. XV), 180. Sss
Mpport!) avec la force vitale. XV),
22?). Compat'cf Li la synthèse
morphoiogiqup. XVI, 3ù0.
Ct)LOHOt'nYLH)Hi\~E XVI,
9)3.
–CKËATtttCE. Elle est nécessaire-
ment chimique, mais elle a des
prot-cdt's qui lui sont speciau]:.
XV<,20C.
(!t.t'CO(;)EMQUK. XIV, 312.
Car~ctÈt'M principaux chez les ani-
maux et les végétaux. XVt,23).
fNUmHCTt' Seuto oLtMiuo pour
les aubstunces orgftuiqn.es. XVt,
392.
MHS MADÈRES ADtUMtNtM
DES. XVJ, 201.
MOMPHOLCCtOUE. XVI, 203;
XV)),2t.&2j).–Ëttaestunde!sph~nomÈnes communs aux deux
r<gnc&. XVt, !80. Ht)a est dis-
tincte de la synthèse organique.
XV f, 293. Comparée à la syn-
thèse chimique. XV), 3a0.
OMt.ANtQUË. IX, 222; XVI, t29,
DES ŒUVn~S DE CLAQUE Ci':HKA):t). :n.! ;s
M');XVH,)x.24,'t'),&t'i;XVt![,H),)m.– Hôtcfinpt-o-
tophsmachtorophynien.\Vf,9)'
–)!ô)"tiup)'ut~p!!tsmaiucn!a!'c.
XVt,2H.–Ëtattiotaqto'stion.j
XV[,}).–HyjtOtht'M'sxmn'cttes.~
XVi,2'M.–Et~'est distincte df;i
t~syuthcscmorphoto~iquc.XVi,)
2'.)9.– Attribuée aux tcgctaux.~
XV)!,2.t.
St~TOUSt: OUGAXtSATMCE
xvt,.}!);xvn,.ts9.UtK,A~tSKE. X\ t, ''?.
t'HVS!<H.<tM)Qt!H. Vit), t5(i.
UtIS t'tU~Ctt KS tMMt:~)ATS
EUo se fait chez les attimaux et
chez les végétaux. X\ H, 24.
UAXS t.K t'KUtUt'LASMA
VERT. XVI, 2!
t!f VtTRO. XVUf, ))4.
SÏK'<'nKT)QUK (MÉTHOOE). \'oy.
jM<i</tO'~C i'tt<?t<M(*.
–(Ptit:xuM);H).Voy.7'/t''?!0'~(''te~
.n</«'<<~i/es.
SYKTOKtKt:. X, iM; X:tt, S70.
Sa coaguhtion. X, 2;!().
SYSTEMA't'tSATtOt. C'est uu en-
kystement sciettttfique. \'t!i, 3m;
XVtU,90.
SYSTEME ABSORBANT. Voy. ~&-jarAaH<.
AttTKKtKL. \'uy. ~<t')'i<
CAt'n~LAUtK. Yoy. Cu/<a;e
(SystÈme).
CEKEBMO St'tKAt.. Yoy Cc'(!
&0-~tM'<
CtUCULATOtRE. Voy. Ct)-eu<o-
<ott-e.
CUTANE. Voy. Ct<<aH<
GANGHUNKAtHM. Voy. Hati-
~~t«H'«!<)'e.
GLAKUtJLAUtE. Voy. C~u-
~<t<r)'.
LACtJKAtKE. Voy. jC-actMiait'e.
LYMt'HATtQm; Voy. /.)/M~)/M-
<t~Ke ~Syste!nu).
MUQUKUX. Voy. ~M~MMM ~Sys-
teme).
M~'SCULAtRE. Voy. ~«Mi~aù-t.
KERVHUX. Voy. AM-MM (.Sys-
tunte).
UtKjtAKtQUt:. Voy. A'M' mo-
~<s', A~ ~f'/i. f~f ~m)?
SYSTEM)': <tSSEt;X.Voy.OMCMJ;.
–SAX(,)~.Vny.tvt;)f;.
i SH~StTtF Voy. ~r.<
!–SEKm;X.\oy.~c;K.t;.
SYMPAttH~H; Voy. ~/M!pa-
f/t«/<tf'.
!–VASCtJLA)H)'oy.MS<;M~!t)'<
V't.:<Nht;X. Voy. 't etiiettj; ;Sys-<<'mc'
t)): LA VH: UKGA~itQUt:. X!f).
2t).').
SYSTHMF.S. Co sont df~s hypothèses
auxquetit'.s ut) a t'amène ht~iquc-
m<'nt)tistaitS!t)'ai<(n(turaisoune-
ment.Vitt,S;).–ihsMtM~
tantes par ta. j))u)osoj)hit!HI,').
MEUtCAtJX. Xf, .i<M, 4S2. 5~0;
XVUi.ti; –)ts ont fait leur
temps. X!t'.K).
t'MtLUSOt')non;s X\n), 8!
'*nYStUL<)(.<QCi s \i, 4~.
SYSTULE. XVH[, 3:tt
TABAC. Sou emploi est-il saiutau'e.
tH, M!)~.
'TABASCHm ou TABAxm. XIV.m.
TAKLE A VtVtS):CT)0~ XV, 116,
tXt, t24. t)e Magendie. X), ;)&
–C)au<)<:H!'t'tt.n'd.X!ta'
TrausformHe en diverses formes
dogoutt.iL'rt"i.XV,i~)j(:.
U). LABOKATOUtt;. XVtU, 3 H.
TACHE G):KMt~AT)VË ou de
Wagner.tX, )0'i;XV),3H.
i LAtTKUSE. XV, .t.').
'TACT. Ses cor))Uscu)HS.IV,)30.
Voy. Co'y<Mt'K<f.! t/<t <He<.
TACT MËmCAL. VHi, :i:), :).i.
T~i~tAS. Gtycogèue. XVU, tKi.
TAtLLE. httluence sur t'oxy~cnc.
tH, 1)2. Modifie )csphMin-mènes vitaux. \Ut,2t3.
TALRUALm d Austraiic. XH!, 403.
TAMB~RA t.~Vt~tt. XV, ï.!7.
,TANKt?<S.it!}sot)tm)esourcode
glycose. XVM. t2.).
TAUCHAKOt't'. inHuence du curare
sur)tt)ymphe.XV,3t)3.
-i TAtU)t<,MAt)t:S. XVt. !i4.
TABLE AU'HABÊTtQUE ET ANALYTIQUE3!4
TAt~'ET. n~composition do t'hy-
dratf'do<'h)ora).X)f,A25
TARTAtU~UKS (GLANDES). Voy.
Glandes.
TARTKt; DES CENTS H, !M.
T.tKTKt()t~S (Act))F.) Droit et ~au-
che.<X.:}5;X\'t.3')2.
TECHKtQUE EXt'EtUMEÎfTAM:
Xt,4').
OfKKATOtm! Nécessite de t'e-
tablir en physiotn~it!. XV, 4.
TEt~OLOGtE tntra-organinup.
X\'[,340.
TKMPEMATUKE. Son innuance sur
l'action dn )'a!'i()c carbonique sur le
sat)n.Y!,340. 8onin<tuanco sur
)adu)'éf't)eiacotttMctionmus':u-
laire et t'iuteHsité di< la respiration
musculaire. ~'t, 410. –froide, son
influence sur la coagulation du
sang. Vf, 4tt. 498.–Son infiHCUca
sur les fonctions (:)ycog~))0! du
foie. VII, 135. h)t!net)K8 sur )a
Yi<)J,t)7.–(~mma condi-
tion do la vie. X, 50. Ses timi-
tes chez les animaux. X, 5). Son
innuance sur la durée de )& vie
dans )(i cas d inanition. X), 120.
tnf!uencc de son c\a~f'ration sur
l'animal. X)n,M4.–Ë(o~e.XV)t,
H. Son infhjcnco sur la v<
tatioaetsurtavinMimatc.XVff,
13, 14. !!assc, Mn influence sur
la végétation. X\'ft,t:t.
AKtMALK. Son inftuoncG sur la
formation et la sécrétion (tu sucra
dans io foio. J, )'X); XtV, 964.
Abaissée par des enduits sur la
peau. 206. Son abaissement
dans t'asphyxie pM l'air MnHnë.
!tf, )26. EXo ne subit pas d'in-
fluence dans l'empoisonnement
par)ccn)-aro.![t.3(!8;Yf,9!t.–
Après la section de la moelle. IV,
482 Vf, )09. Son influence sur
tesmowonMntsduetcurchcy.io':
animaux Il sang froid. V, 39.
Ë9'6tsdc)aMKtiondusympathi-
que de l'intestin. V.MO; V),)45,
154. Dan'; t'apparcit diKCsti)' et
it;foie.Yf,5,8'Scsrapport!)
avec )c pouls. Vf, 2!4. M' Aug-
mentée par la section wnitatërah
des cordons po'.tëriout's. X!, 2<X!.
Elle s'élève souvent de nuet-
ques dcgref avant la mort. Xt, 240.
Son "iëvat! après ta sectiot*
du sympathique. XI, 2M, :!80, 384
Xttt, 9H5. –Sou cit'yation dans les
nmsctes correspond a ia disparitionde Foxy~one. Xt, 9'!T. Son auj;-
mentation cofticidc avec )'accn)cra-
tion de i~circutation dans )ns mu!<-
ctef et dat~s les glandes. XI, 278.
K)!e est. dimmn<*c par !o gt'an(t
Nympathiquo. XI, 337. Son in-
f)ucnec sur la circulation, XI, ;i'n.1
Ë))e n'est pas un accroissement
ahsctu de l'activité fonct!onncnf
quo peut ncpenspr t'organisn)!
Xf, 3'M. Son etëvatioa passa-
gcrc dan!) i'asphyxio par priva-
tion d'air. Xt[,4':4;X!!t, 195.
DitTercnt') points do t'organismoon
p))e devra <trc étudiée. XHJ, '!(!.
Emploi <)u gah'anomctrc pouf
son étude. XIII, 83. Son cquiti-
bre en Ut) point donne. XUt, 08.
Divers procèdes pour t'ahaif.xer
fhci! un animal. XHJ, )M. R)h'
subit un ahaissement dans l'as-
phyxie par t'o~ydo de carbone.
XtU. )9< Muencc de la sensi-
bitito. X))t, 29:). Abaissée par
l'excitatiou du nert' fientitif. X))t,
298. Constante, apparcii de d'Ar-
sonva). XV, 4~< 485. La plus
élevée est dans io tissu du cerveau.
XYtH, 390.
TKMfEHATURE DES AKtMAtTX A
8AK<. CHAUn. !X, 44. Elle n'est
pas ab<-o'"tMe"t f'*e. X"), tOQ.
MHS OtABEHQlJES XtV, 4?~.
nu MttHKU OKHANtQUH into
rieur. tX, 49.
RES OtSKAUX. Xm. 34~.
[)E L'OREH.~E. Influence de ta
sensibilité et df."t nerb. V, ~'Xi,
518.JUtJ nKCTt'M. V!, )40. Dans
)o diabète artiftcic). !V, 455; VU,
455. Diminuée par ta section des
nerfs. VI, 152.
OU SANG. Vf, M; X, 2)5; XII,
DES ŒUVRHS DE CLAUHEBEtt~AXD. 3tS.
n;xnï.3:4'?;xv.4(u.–Qui
sort du foie,e))c est p)use)evee.1305. Expériences thermometri-i'i
ques,procèdes opératoires.),20'
VL ?5. Dans tes deux ventricu-
!es.t,3!0.–A-4.')*,cansctamort.
!V,!0'.).–Danstcs divers points 1
de son trajet. VI, (!4.–Meth't'te
thennomëtriquo. Vf, (?. t'ro
cédé expérimenta). VI, 6'.). Mo-
dinee en traversant le tube di~
tif. Vt, '!4. Modiftec en traver-
sant l'appareil respiratoire. Y),
102. Avant et après le poumfm.
VI, tût. Dans le cœur. Vi, )()(;,
tt4. Expériences. VI, t)4.
ModiBcatious dans le rein. VI, )3!.
Compiti'ce avec celle des orga-
nes. Vf, HO. Modinec par le
système nerveux sympathique. Vf,
)44. Influence do t'asphyxie.
VI, !5;'). Jntluence de la douleur.
V!, m. Influence des mouye-
mcnt.srespiratoirc'}.V!,t5~tn-
ûuouM de la compression dos or-
ganes et du ventre. VI, ta!).
Dans ses rapports avec les pouls.
VI, 224. influence des nerfs. Vf,
399. Dans le cœur droit et dans
le cœur gauche. !X, )!M. Déter-
minée par ]ocatt)et(''rismedu
cœur. xnf, 'n, SO. Elle est su-
périeure dans )o veotricute droit
à celle du ~entricute gauche. X)t!,
88. Influence de )a température
de l'air inspire. XH!, 98. Point
nul ou indifférent. X!t[, n5. La
Mnsibi)ite y amené un abaisse-
ment. X!H, M9. Abaissement
produit par les impressions dou-
loureuses. XH), *!99. Limites
où il perd ses propriétés physioto-f;i')Uf's..Xt)! i.
TEMt'MKATt MH nu SA?<n ARTM
tHEL. VI, 54; XIII. :M. Expé-
riences. VI, 54. Critique experi-
mentale d'anciennes expériences.causes d'erreur. Vf, 58. –Dans
i'aorteventratH et t'artcre aorte.
Vt.tt!itetuo des recherche".
faites snr la différence de tempéra-
ture do ces deux sangs. X)H,3i.
--Auteurs quionttrouvete'-an~
:))'terie)ph)s)'h;)udque)ev<'ineu\.
X)<),4.–Auteurs qui onttrouv
!csa))i;veineu~p)uschaudq))e).')i'-
terie). XH). :).–Dans tes (jivpr.,
points de son parcours. XIII, 111.
r~Mt'En\Ttn): nu SA~f. vu
.)':<X.M;A!n,M.4.)'
pericnces.Vt,54.–Critiqua e~pe-
rimenta)ed':)nciennes expériences.
causes d'erreur.V).)8.Dans)a.
veine porte et les veines, hépati-ques.Vf, 83.
t)E LA TÈTE. Effets de la section
du ~rand sympathi'jue. V, 4').
Couverte, après section des nerfs.
\'t,t:!6a.)'t!).
OE L'UKKTEttE. \'t. )fM)
THMt'S.tmpo'isihitMdetcdcnnir.
XVt,2:
TKKAtt.LES. IV, 6.S. Incisives.
XV, 188.
TE?<0<~S.X,t(;9.–DGs~ec))c-
XVt,9~.
TEKStO~. La sensihitite a une sorte
de tension. !Y,).').–t'orcesde
tension. XVII, 48(i. Voy. ff))'<-p.<.
ARTEntMLLK. Produit la pres-siondusan~X,4(;.
–nHL'()XYt;);XK.X\)f.1')7.
VASCt'LA'nE. XUt, 9' Rap-
ports avec les nerfs. XIII, 24.').
Augmentée dans tes artères par
l'excitation du nerf sensitif. XUf,
S'JS.
TÉKMBt!r<Tnt?(E. Modinec par te
rein,passe dans))"; urines et dans
)ahito.VH,8,!),)~Voy.~f.-
XMM~t~~M~M~
T!HtTtCt;t.E. !X, j0(!,2~.
TKTAKOS.Traite parte curare, III.
3T!;X),).–Xmptoitho'apeuti-
que do l'hydrate do ch)o!'a).XU,
M3.
TËTH. Sa température, influence des
nerfs. Vt.t:!fi:t)40.–Circu)a-
lation. V)!, 3:!41 atn. Voy. Ct'-f-K-
lation </P' t'f!t!M'!M.B de la <<
~t~MM~~n~~
tt)'; LAt'tX. Pour montrer )a. mar-
chede(apiqùre<ie)a.moe))e.t,:)0).
THHUAt?!)' Son action convutsi-
TABLE: ALPHABÉTIQUE ET ANALY'tfQUE3)6 fi
\;t))te. Kxpcrienccs. Xt), HS.
Ses ettets. Expériences. XU,t9t),
2?.S.)t4.Titt':0),OGtK. Crcf'c par !e Muttment.
\un,
Tt)):()H)E.K)ie est le point dette-
part dn)a recherche c\))Mt'imcn-
'a)o.Vm,ï.s. Quand a))o est
)'))"pposition avec un f:tit,i) faut
abandonner ta thcut'if'tCt&ccepter
~fait. V))), 988.–C'c<. t. une hy-
pothèse Ycri<!éL'iU,:)85.–K))c
<tf!itp)'t''C('()er)psapp)icationsvet'i-
tabtHment scientifique! M, <tt.
J.apra(if)tMhj.tret<'tte.X),&():).–
)~)edc\'i''nt)o0amueau()irectcur
d'une pratique f'f(facf'.Xt,M!6.–
<~)mp.H'ec&)a.j)r;)tjnun.X-[V,H8.
–CKt.O.ULAtMK. X, i8, 27; XVf,,
!8t:XV)),
UMf.A~tQUH. Cagniard de La-
tonr.X\'I,)<M.–T)n-pin.XV),
t(:t).–Pasteur. XV!, ((M).
f'LAST)))t t.A)ttH. XV!, t!M.
t')!tU)Ct)'LASMtQUË ou t'LAS-
MADQUE. XVI, )~.
TttKOMtËS. Comparées aux faits.
0. '!&), 2i)). Eu physiotogic.
f,t-t,)f!]) ne faut pas tes
<'onj'or)d)'oa'i'eeic'im6thodc!')ou
iosprmcijx'~dctaM'ieuee.V!)!,!t83. Leur uHUte pour t'avanec-
nn'ntde') sciences. X!t,4!n.
UUA~tSTES de [a vie, Otitre les
animaux ot tes végétaux.XVJ,)3).
Mefut~tion gcnëraie. XV!, t40.
MEUtCALKS. ËUe$ ont feuf pomtdo départ dans dos expériences
physiologiques. Xt, 4G5, &C9.
Ttt~KAt'KmtQtJH. XV, )8; XVI!,vt. Ses principtM Mtionnct.s. XI,
M), G), 3M. )';ttH a pour objet do
faire cesser t("i con()H.Joo~ morbi-des par des mécanismes appro-
pries, quand eUcs ont troubte )es
phonomenes normaux. Xl, '408.
Contre ta ehatenr Mbri)e.X!H,4't'
t:Xt'EK)MKf<rAt.E. XI, ~H.
Yoy. ~y<!?'tMCH<H<<OM </<~<e!<<<-
<;Mt'.
-MEmtfiKKAKTE. XHI, 45i.
SCtKM tHQm:. Xt. 329.
THKn.U')';UT<Qt'<(Ac'n('f<om-
p:tMc~i'acu~ut()xiqnf.Xf,443.–
K)i<'n'cstc()f!tpi'i.s~f]uep:)rt'.t<;tiot)
t<Dxiqm'.X),4~
–(Fo[tCK!m,36.
'rt!KmA~uH.xv,M.THKMMt~UK (AutiMHKTATfON). E))e
n'est pas )~consf;ju<*ncc directe
du)trf't)0t)vc))('me~tp)usrapida
dusxng.X)t),280.–Kxjx.'ricn-
ccsdftnonstrutn'tts.Xttt.X.–
Codei'nicf'phcuont~nc pourrait
!)'ctre<)in')~c')i)st;f)ue!)cetiu pre-
mier. ~t!t. 28t.
THt;t<M<ËS ~KHM). \uy. A'M'<
</«')'n!M<f.
THEKMO-CMtMtK. X!!t, iïX.
THERMO KnHJStOX XVU, ?3C.
rnEMMO-Ët.ECTRtCtTE.Yûy. ~t-
yMt'</<-<ppa)'ft7. jt/g</««<'e f/'o'Mo-
d/t'C<?'«/MC, Son<<<~ </tt'~)/!M-f'/ec~'t-
<i't<M.
Ttt)!<tMO-K).t:CTfU(tUES (ExPÉ
R)K'<CB$). Leur inetattation. XV,
4M.
Ttt)':RMOMKTKES. De Wa!ff)'din.
Vt, 6' ~0, 'ia. MetMtatifjues.
X)H,(!7.
TOKHMOMETRtE diniquo. XH!,
39t.
TitEMMOSYSfALTtQUËS (MM
C!.Es).V('y.U.!C~.
TUCHACt~UE (CANM.). XV, 253.
Prosence du chyte sucre provcaant
du foie. I, 320. Le chy)e cesse
de~'ecou)et',p!tr)aMnH'ra.uco.
VU, <!(}. Découvert par Pecquet.
\V, 999, ~34.
TUO&AX. tit-spir~tiû)]. IV, 3M.
THYMf!XV,2M.
TtC n(mt~UHt.~X de la face.
V, 47.
TtEOEMANN. L'cxcitabi)it<i. X, 83.
etGM~HK. Suc pancréatique. !t,
m.–Hxpcrionces sur )M con-duits bi)!!tires. Xt, e&. Suc gas-
trique. XV, 4!)7. Sécrétion bi-
Uaire. XV, 600. UigMtions
Mtiticienes.XVi!,26C.
T)SSU AOtt'O-CELHJLKUX. Voy.
-'t <?- ec~«/eit.c.
DES ŒtJVfŒS DE CLAUDE BERNARD. :!t7 1
t~Lfsromhx'.tinn'! respira-
toires et tf'sh'rmf'ntations qui s'
produisent, sont des sources do!)
c!)a)ouranimaie.L\.t!)[.– !,rs
sécrétions sont 'tes produits <)"
leur nutrition spéria)e.L\,200.
<-)assincationdeBichat.X,)4.
C(assif)ra<ion(ieLeyd)s:.X.2'?.
Proprié)étvita)csdei!ichat.X,
)()'Leur déveioppement parait
indépendant de touto int1nf'n''n
nervensn directe. XI, 4~J.f'!n-
rcproductionrhc, thomnn'. X),
M.–Leurs rapports avec )f*<iap-
parei)sgencrau\.Xt.8t.–i<t''a<
<inndfSt'aissMm.Xi,83.–)!)'ac-
tiondfs nerfs.Xt,8?.–Lfs poisonsno peuvent agir sureuxqu'ontra-
v<'rsant)t'syaissf'!tuxartcrie)s.Xf,
M.–La disparition ftcspropriuh's
vitaif"! est toujours produite par
desatterations matHricitcs. \).
1~8.–La nature de ces aht'ra-
tions reste souvent inappreciatdeet inconnue.X),).')S.–Modifie'!
graduencmentpartc'imatadieset
nen désorganises brusouemeut. XL
tM.–RitTerenfeentroiestissus
doncs do seusibiiiteettes autres
qui ne tosontpas;i)n'existe en-
tre eux qu'une dift'prencf'de de-
gré. X), !)!A leur état se
rattac))onthabitue)tement!esmo.
difications survenues dans )espro-
priétés des nerfs qui s'y distri-
buent. XI, )f!5.–Us deviennent.
p!usirritab)es,f)u:tndtinuucnce
nerveuse est supprimée. XL'!?).
Comment, chez tes animaux infe-
rMttra, fis jMaveftt acquérir tes pro-
priétés qui caractérisent tes ani-
maux supérieurs, et réciproque-
ment.X!,2t(!Leurexcitabitit.
augmente peu de temps avant )a
mort.XI.t8.–C'est dans leur
profondeur que s'accomptit )a res-
piration de t'oxygène. XL 'J.
Ils peuvent passer de t'etat de re-
pos~tetat d'activité, et (jet'ctat
d'activitô i'etat de repos sous
i'mûuence du système npr\'en\.
XI, 289. Ils présentent un dcgrc
TtSSU CARTtLACtKKUX Voy f'
<)/~f/!t!f)<.r.
–C'L~t'<.A)R)'Voy.Cf~M/tt;'t'e.
–ïtKSCMt.t.t't.t.'Srnstees auto-
nomes, romprenant )<"iepithe-
tiumsct!cs{;),indes.X.)i!.
-CH!mt!!<AL. Sa respiration. Y!,
404.
C<tOXCTtt'. Voy. Con/o;!e/<
KtASTtQCE Yov. hYas<)'f/K'j
(Tissu~.
–F!B<mt]'X.V"y.ft7jrf!<Tis'<<!).
–NU FOm.Sa respiration. Vt,M4.
GLA~UULAtM! Yoy. (j:H<~t-
~)<*e.
–Mt'QUEt'X.Vf)y.MM.r(Tis.st)t.
MCSK)'t.At)t)' Yoy..)<!<.<cu~i'c.
NMttVEUX. Voy. N.-fcctu- (Tissu:.
OSSEUX. V(~ ~<<<.t-.
PA!\CftEAT<~Ut:. \'oy. f~~e'-M-
<)'~Mf.
t)U RE<X. Sa respiration.
:«)!).
TtSSUS. Endosmose* du S)) <'t'f'<'))''x
t'animât mort ou vivant. t,)4S,~
)~).–fsagcdnsncr'*()ans!eur
(icvetoppcmcnt. t, 957, :).').
Leurs réactions. H. 370. Leur
irritabitito chez les animaux~sang
chau') et asan~ froid.n',t37,9n.
–Leut'intiucttccsurtesM~.V),
4.').–La chatftu's'y produit:
c'est en em quo rostdont )es!
foyers dnca)oritication.V!,H.').~
Expériences. Vt, ):)< L'acide
carbonique s'yforme-t-i)?\'t,~t).i
Action de t'oxyda do carbone
sur l'oxygène. \'J, .Mt. Leur res-
piration cicmentaire, ils respirent
tous. V!, 40: )X, 58; X!!L ).i4.
t)s s'altèrent & )':)ir et donnent au-
tant d'acide carbonique nn'ijs
prennent d'oxygens. Yt. 403.
Lcurimbibition.Y!,4(!t.–Ac-
tion du sans; ~einem. VI, MR.
Catvanisnte. VU. 2(!8. Leur mort
est précédée par des phénomène!;
d'excitahititô tbnctionneUe. ~X, 28.
Considères comme produits do
sécrétion do eettntes vitatfs. !X,
)ï2. II y pn a pour qui !'oxyg''neest iautiie ou mëmo dc)etere. )X,
TABLE ALPttABÈTtQUE ET ANALYTiQUEJtS g
bien digèrent d'excit~bitite chez
ic.sd~'erstndn'IdtM d'une m6me
espèce.X!,29).–Et plus encore
ch' tes animaux d'espèces (lif-
f(~'(!utcs.Xt,2'.)[.–Leurexcita-
bithuvarit'chez un même indi-
vidu,selon tes conditions physioio-
giquf's.X!,2'J2.–Act)ot)<ies
nerfs moteurs cerebro-spinauji.
XI, 300. l,es nerfs présidenta leur Mtivito fouctiotjneife. XI,
<M(!A('iott<)usy)it<n)cr)t')'-
veu!X).;it!).–Lacirc)t)atioa)o-
'caicn'aj)pi)<'aitf{)t'aYec)eut'dayc-
i()ppemeut.Xt,3()!i.–U')Sontet)
contact permaticut avec le sang.
X!,3(!!).–Ut'autyct)crchertcs
fusions organiques <juiMt)t)a.
came dcht mort.X),a0.–Leurs
ciments sottt doues do propriétés
phyi.io)0);iquf's.X!t,S!i3.–J~
catoriftMtioaest.uMfaeuUoqui
tcur appartient à tous. X!!I,tH3.
–LcuMde(!;cn('r<iMnccs&!a
suita des longues pyre~JM. XIII,
~2f<. Leur autonontin. XV, x<f;
XV!. 2'47. Ils [n.tuifestcnt teurs
prop)-i<!tc"ipartf."<p)téaomÈ<tOS<'i-
t~ui.. XV, 7u. LcurdeMiccatifo.
XVL9C.–Lpot'compositioncst
i<<tMSRdeJ<)di.ti)]ctiouentretes
animaux et tes végétaux. XVI, t39.
Leur Mmbuttioa. XVII, 38&.
Voy. Com&tM~tO!: f/es <Mi!tt.~ /)~f-
?M''e<ce?t('M«'e.!<MtH~MM<
nnH~OHM~Mf~, t'Mm?n~! de~ <M~tM.
'l'ISSUS AC't'tFS. )X, [20.
tH! L'ËMBttYO?<. Ils ne donnent
pas tous dusucre.394.
Kt'tTtHEHAUX. Voy. Cpt<MMM;<:
('t'iMus).
–t-'<)ETAtJX.G)ycoj;ene.XVn,7).
–t;H't:<tGË!ËS<QUE8. Voy. Gly-
<;0<yM[c)!tyMO.
UETKKUJtORPUKS. Ils MMem-
blent aux tissus normaux et obéis-
sent aux meme~ lois. XI, 53.
ttOMOLOSUES dit'arsemetit ui-
OueucëspM certains poisons. XI,88.
OKCA~tQUKS. Moyens d'y con-
stater la présence du sucre. t, 48.
t'Assis. IX, 120.
t )SSUS ''ATOOt.O(;!QMHS. !h ont
)'jttr origine d~M tes perver~ious
do)it))H<rit.ion.Xf,)'
–SAtSS. Nécessite de les c.omptt-reriuM tissus pathologiques. XI,
YMHTAUX. Leur respiration.
xvff.ns.
VtVA~TS. fX, C2 XVII, 45t.
L'trrita!.)i)it:e considérée Mmma
um' do teuM propriétés fondamen-
tit)ns. X, M. Us jouissent indi-
yid~eitenjent de prophètes distinc-tes et speci~tes. XI, 82. Leurs
propriétés physiologiques avant de
disparaître <'n entiet-, subissent
une série de modmeatioHS tt'os im-
porhtntM connaitra. XI, 162.
Variations da )'cxcit~bUité.Xt,M8.
Lou.ra propriétés peuvent &tre
saisies et scrutées. XI, 5(i3. Com-
ment ils perdent feu)'!< propriétés.
X)!,X73.– Ils ont toujours les
mêmes propriétés, mais avec unQ
httensito v.tri.tbfe. Xtt, 279. Voy.
P<'0~«C~ d<M hM!~ MM~f~.
Tt r!JMA'nO<\ <!ua & la section det
muscles da h nuque. JV, 4!)C.
Htfe n'a pas heu chez tes oiseaux.
!V,'t9C.
TOLERANCE. ]X. n8;XH, 296.
D'un milieu vicie, influence de
l'habitude.m, 121.
TOK MUSCULAtHE. X, 201, 372.
H ost augmenta par la section
du grand sympathique.Xf,386.
TO~USMUSCU~AtRE. Xttf, 309.
VASCCjLAtM;. XV, 390.
'rOKn KEX ou torche nez. XV, t~,)M.
TOKt'tLLE.X, 203. Développe-ment. XVJ.32?.
TUMTUKS, gfycûgéa&se. XVII, 103.
KtUKBt~LO~ VHAL. XJU, ~5
XVm,)85.
'«tUMKEt'on'r, profMMur au Cot-
lège de Frauce. XtV, 18.
TOUKNOtHMËKT suivant l'axe du
corps. IV, 48'
T<(XtCO)..OGm. Voy. Jî.cp~wM<t<a-<K)H <u.!c<co~o<)'[~«e.
TOXtQ~ES (AcTMKs). IJI, 53.
DES ŒUVRES DE CLAUDE BERNARD. 3)9·J
RM.Xt,)' –f:)imiaation.X!f,
2!)'t.–Ponr!esrcconnaitro,ii il
fauties avoir isolées et les con-
nattre de façon à toujours les re-
irouver.xn.3);).
TKXtQt'ES (Sfsr.npT)))!t.n'Hs). Voy.
S)<.<<t4t7)'t'</a.rt;fs.
TUACi!KALH (!jRCTto-i!. X!f, ~3.
TKACMEE. Tubage tacite chez )o
pour supprimer t'air et produire
i'asphytie.Uf. 23 Sa (-nmpres-sion produit )avËt)()<)it6.V).3f;!).
Doubic ciTet de la compression
sut-htCo)orttiondusang.Vf,tt.
Sa pour rendre le sangnoir. Yt, 502. Son occiusion.
\'I,509.–Bruit') respiratoires
après sa ligature et ra)ea<iss('ment
des mouvements du cœur.V!,f<0!).
Injection par la U'&(;hcp. XU.
mACHEt; AKTKHK. XV. T)~. Voy.
Ligature dela <)'~e/tfe nWc'
TKAOtTH~K, en médecine. Xt, 3?3.
ORGA?ftQt;E tX. t)()
TRAtt'mU~T. \)f. 373. Des
ma)a<ies,c'c'itte))utdc)a méde-
ciue. XI, 4.)3. Du diabète. X)V,
85.–t''on<)es sur )o mode d'ali-
mcut~tion.XiV,'42'h
THA~St~OttMATHON UKS FORCES
!X, 2!).
TMA~StUStOK DU SAKR. VI, 4G9
4' IX, 5. 192. n'animaux
empoisonnes a dos animaux sains.
i)J,3))2.–Possibilité det'opercrd'un animal d'une espèce à un
animal d'une autre espèce. Vf,~t.– Causes d'insuccès de cette
opération. \'f. 4':2. -Comparative,avec sang artériel etsangvRiueux.
Vf, 5t5. Do la gtando sous-
maxillaire. VU, ?:?. Modo d'em-
poisonnement. t[, 459. Retour
do l'intelligence. )X, 5G. C'est
tt proprement parh'r une trans-
plantation de i{<obu)esi-ounes.XU,
3!)6.–Danstasphyxie.XH,483.TKANSMtSSK)~ ~EtHEtJSK. Sa
1
vitesse. X, ;:(!'?.i
TRAVAtL. pour contenir le bœuf.
XV,t4G.
Leurtoca)isation.L47,56.–
Leurs variétés. Ut, M. En gê-
nera). iïi, 55. Par décomposition
des substances ifi~rccs. H!,(.7.
–Quisera.ttachcnthunedcsoxy-
tta'iun du san~. tn, H8. Des
substances qui forment avec le
sang ou avec les tissus des com-
hinaisonsstabtcs.ULSO.–DM
substances qui agissent sur l'or-
ganisme a~ia manière des fer-ments. itt, M. Leur analogie
avec tes actions morbidss.Xf, )OM,
t29. Leur nature. XI, )2..i.
Comparées aux Mtittns thérapeu-
tiques ou médicamoutcuses. XI,
442 ;XV,2UG. Leur mécanisme.
X)),4!'3.–E))e''ahf')utissenttou-
te-~àun phénomène chimique.
X)U,388.
TOXtQUËS (AGHKTs). Leurs variétés.
Ht, 53. Hef!exions guner-iies sur
leur mode d'action. XHt, 38~.
Apptioniondeceatdcesaut étu-
de!; do physiologie pathologique.
XtfL3M.–Us portent par iesc~-
piUairet sanguins,jeuraction sur
les cléments destissus.XV, 350.
(Eitt'ETs). Théories de! ttt, 68.
Théories physiques. H[, M.–
Théories chimiques. U<, 86.
Théories vitatcs rattachant à une
action spéciale sur le système ner-
veux les en'ets des substances qui
traversent l'organisme sans que
leur passage y soit signalé par
des modifications physiques ou
chimiques appréciables. III, 102.
(GM). Voy. Ga:.
(StiBSTANCHs). !tt, 38. Leur in-
uocuitô torsqu'eHes sont, localisées
en dehors de leur champ d'action,
HL4'Leurs conditions d'ac-
tion.)H, 6t. Qui formentavec te
sang ou les tissus des combinai-
sons stables. III, 90. Qui agis-sent sur l'organisme à la manière
des ferments. 111, 9t. Arrêt du
ccaur. H!, 350. Leur absorption,
IX, )')7; Xtt. 294. Peuvent être
épuisées de t'orpanisme, quandta vie est artincicHement proton-
TA! ALPHABËT!QU! ET ANALYT!QUt:320
Tnyt'StSK. XV). ]03; XV:f X!'?~n.
'ft!nAG)':(!ehtra<-h<f.f!t(-i)e('hf'i'
)ahpin.t.)M.–t)ut<u'ynx,chez
!e!!tpi!7H.
TUttt':avec';csf(''ux!)mpnu)es.XV.
237.–Tuhost'rin~ue destinée &
rec)[ei))ir)f'ssativH<) pures.)f,)6f!.H'ftH mCEST!t Vf); Dt~)/
MHHt LLAtRt: Voy. ~f'~Moi?~
(Tube).
NKttVEtJX. Voy. ~)'t'?!M.T~HUnCULUS BARANTHJS V)
ti)2.
Qt'AnntJUMEAtJX. Expënpnccs
')opiq&)'e';(-)iez!(!tpip;eot)S).tV.
'i()l.–Arr6tf)cia digestion IV-4f!).
VALVULAtnES. VI, !99.
TU.'Ht;UR t'tttKEUSt; de la baM du
crâne produisant une diminutiot.de l'olfaction et la cecitu. V, 9:M.
TU~tQUE du duodénum. (G)andc';de )a). XV.)83.
TUttH~T. Poncreasdu. !f. 487.
Tt.'MCK. H~perieuces sm' t'augmen-Mtiou de ta sctt'.ihitho aprAs ta
Mct.io!id<')x)noe))R.Xf.20U.
Tt'tU't~f. Thëoria org~niquo. XVI,)M).
't'YMt'AX. Voy. Cor~ du ~M/jf!ti.
TYMt'A~tCO-H~(;t!AL(NEM).Voy.
?; /yn!p6~ttCO-/in~Mf!<.
TYKRADL. Antagonisme chimique,
physique et mécanique entre tct
animaux et les végétaux. XV}1M.
TVPH CELt.ULA)RE. rapproche
dc)!tnbt-of)Ot'vous('.XY),)8a.
KMBuYOt.KttQUE XV!. 3M.
TV)'tt()U)K (t'tÈVHK). Voy. fiM')-~
<)Aot~e.
ULCHMATtOKS do la langue et dM
iÈYrcssut't'cnue'iducùtoMrn"
pondMt ta section do la cin-
<)uiHme p~irc. V, ]<)ï.
UKtt'oMMA'no~t. tx, ni.
UNtTE DES LO!S de la vie. XVf,)4ï.
MOK!tf)LOCtQUK dn iorpanisme. XVI, 357. Dcmnnstra-
tions diverses.XVt,35'
TKAVA)L.LoidndifTerenciationet
de division. \Yf,?.
--Mt'SC),A)tt<Voy..VMfM~«'<
–t)R(,AK~tt').ttapourt-6su)-
Mntc)acha)puranima!e.XV!3!X.
–VtTAf..L)tvoisierenavutcsdeu<
phases. XV), t28.
Tttt:nALOSt;.X\)t,:)'t.:79.
TM)';t't)t)tV)TAt.deMichat.XtV,
8:);XV,!):i;XVH,(5~.
TmC)t<)M<MA))K. X, )'M!.
TK~UMHAU~M~.V, .tf),)(!a 11
HC.–Uappartifnt&tatn6mn
paire physioiogiqucqttoJeHf'rr
f.x'Mi.V, n.–tnnn<'ncode*'a
~~t'tiot) sur tfs mouvements dota
face. V, 46.–Spt fonctions. V,
*iS.–E'ipo'K'tiCcsft!'Matent) if
''t(Io8chaw.V,-t!).–Vt)('d6
Ch.f!pU.V.4i). –PMcédodt!
section. V,)).–Conséquences de
la section.V,fM. ))i5~)08.–Ac-
<'idt'n~<)ui surviennent du cote
<).'t'œitapt-csia section du t)0t-f tri-
jumnan.V.h'f.–LacCcitocst
consécutive et non primitive. V,
<)')'<peri<'n('e<).(i2.–A)tc-
t-atioudf nutrition. V,t!Ex-
périences. V, (i8. Kranche
opht))a)mif)no.V,8i.–t)rancho
)nMi))!tirc supérieure. V, 92.–
MaxiHairo intérieur. V, H8. Sa
section avant te t:suf!uMl do Gas-sey.X)[.28').–8oninnu<!aceaur
ta sécrétion saUvaire. XV, 532.
Voy. /i;"<?;cAe ~/t<AH/Mt'~Me.THOCART. XV, 192.
'tR())S<EMK t'AtKH. Son arrache.
ment. V,9();Expérience. ii.V,
Ma.–SuutnHuencMSurittpu-
pi))e.'<20~Ses mouvements.
\ÏM.–Ap)'ës.Msection,d))a-
tation do la pupinn par ta be))a-
<)nno. V, 2()à. Paratysie. V, 20!).
TROJA. Asphyxie par ta vapout' de
charbon.X! 3):
TRO~r Cm'!tA)L)()t't:. XY. 949.
rKO~cs anAOUAUx xv, 2~).
TnOt'tUQUE (MACT!0!<). Voy.~MC-ftoH!t~)<<[)e.
TK«Pt)tQl;ES (NEHFS\ Voy. JVm'/s
tt'0~/t<y!«'i'.
DHSŒUYnËSDEO.AUDHiiEfttS.UiD. 32 <
Ct.AUCEMERSMU.XtX. <~
tionnempoisounepas.Vtt.M.-
Kn'cts de son accumulation dans
!esang. V)!, )-;st-e!)eun poi-sou \')f,:t'Procède pourt'extraire. VII, if). Dans le sang
âpres )'e\tirpation des reins.Vjt.
i)&M.~).:xp.Vtt,4).c.<e p
combine pas avec des acides. Vif,42. A-t-elle une origine corn
mune avec l'acide urique VU,M. expériences. Vft, 6.').–
L'urine d'hommes et d'animaux
matadesn'cn contient pas. V)!,7).Sa formation n'est pas ompèchée
par)'at))atioudoJarate.V)!Moins abondante dans t'urinn
des cadavres, c'est un signe de
dénutrition mais non d'abstinence.
YM,2.-Dans la sueur. V)),i83.–H~e n'est pas formée parle rein. !X, 8(!. Ëjiminefi parla surface intestinale, dans te cas
d'ablation des reins. \[,)9.-
Kxcretee, dans la fièvre. XIII, 421.Kt foie. XfV, 470.
UKENtE. VII, 29 a -i0. Produite
par la section des nerfs durein.
VI,4aC;V)f,38.
CKETEKK. Sa température. Vt, 100.
UKtNAtRË (AppAKEtt.). Action des
cantharides.Xt,
(ExcnÉTtt)';). Voy. ~o'~to!
(ORUAXE). S'i) disparait, t[ est con-
fondu avec l'organe biliaire. IX,8'
(SÈCRÉTto~). Vt!, t.')) (G4. Ar-
rêtée par la section de la moelle.
tV, M)-4H VII, m.-Sonmc-
canisme, VU, )i)6.–Sa théorie.
Vit, ~5~. –Expériences. VII, ](!(!.
Sa modification par section et
Raiv-tnisation des nerfs du rein. VU.
)<?,)'!<Sesrapportsaveci<t
socrctiou da la sueur. VII, H'?.
Apres l'empoisonnement par le
curare. Vil, ;)t3,;it7.–Rapportavec la coloration du sang de ta
veine renate, exp. de C!. Bernard.
V'Ï~.
UBt~'AUms (VotEsi. Leurs maladies
rendent )'uhnoatca)ine. VII, 24.
UM~ATtOK. VU. 156. Théories
CK!TH NEKVEUSE. IV, :tÏ.
HE LOKGAKtSME. XVI, 3.S(..
MES t'HEKOMEKES VtTAtUX
XVU),23C.
DES PRINCIPES AL!M):XTAt
KE! et des agents digestifs, dans
les animaux. et les végétaux. XVU.
3X2.
VtTALE XVII, x, t49.!4<). Dans
les deux règnes. XVI, )M. –Prou-
vée par iasotidarite des phénomènes
de destruction et de création orga-
niques. XVI, )5). Et variété
fonctionnelle. XVI, 3~
HKtVKRSAUTE de l'action diges-
tive. XV!), 3':3.UPAS AKTtAR. IX, XI, tM,
450. Son action sur les muscles.
XI, 85. Ses effets comparôs à
ceux du curare. XI, tM.
tJHATES dans le sang. XtV, )94.
L'MEE. KUe fait défaut che: les ani-
maux qui n'ont pas de lymphe. ),
3t9. Dans l'urine des diabéti-
ques. m VII, 29. Comme
médicament. J, ~40; Vf, 450.
Sou étimination. VI, 4;)0. L'abs-
tinence en fait augmenter la quan-titÉ dans t'urine. VII, 13. Se
décompose au contact des mu-
queuses. V)!, 24, 28. Sa pré-sence dans l'urine. VII, S8.
Conditions qui en font varier !a
proportion dans uu même poidsd'urine. VU, 28. En grande
quantité dans l'urine acide jeun.VII, 30, 189. Son origine. VII,31 X, 6U. Sa distribution dans
l'économie. Vit, 3i. Ses rap-
ports avec la lymphe. VU, 31, C.').
Produit de décomposition de la
nutrition. VU, 3), 32. [)ansl'humeur vitrée de t'œi). VII, 39.
Existe dans tous les liquides.
VU, 33. Ëtimmee et non so-
cretee par le rein. VII, 33.
Heproduite artificiellement. VU,
3~ XVI, 391. Quantité etiminëJ
en vingt-quatre heures. Vil, 35.
Son passage dans les voies diges-tives. VU, 35. Obstactes à son
élimination. VII, 36. Son iujec-
TAHt.E ALP!!ABËT!()UE KT A!SALYTiQ~E3 M
basK'es sur les conditions physique*!de iacircutationrcnate. VI), ).')'
Conditionsphysioiogiqucs.Vfi,
!5&n(]uencet)u cœur par
augmentation do pression. Vit,
!<!).–)ntcr\'enti<n du système
nerveux. V[),tG4.Voy.Kre'<0)<
MrtHafrf et <t'tMc!M'~ (sécrétion).
t'Ht~'E. Viï. G; !X, 86. Moyen de
l'obtenir chez te )apin.),lj8.-
Apparition accidentelle du sucre.
t,n4.–Passage duf'aftjtnniftc.
ne; rn, 45; vu.an.-Lf
sucre y passe sous l'influence d'une
circu)~tiouexag<reo.t,n6.–Pas.
sage du sucre, t, 22'i. L'éther
fait apparaître le sucre, t, 238.
Muttipticit~ dos causes qui peuvent
y faire apparaitre Io sucre !t la
suite des injections, t, 229. f!)i-
mine)ncO!Bp)etemctiti'if)de.t,3)). J,
PMsagedusucre,aousi'innueuc<!
de la respira tionarti(!rie)te.t,3.')t,
:iC);V),9:;t.–A)asuitedot'in-
to~it'atMft par le curare. t, .*)6C
Y)t,:i)3!t .in.-Présence dusu-
cre de lait chez tes femmes ré-
ccmnient accouchées, en tactation
Gtc<;tampttqucs.433,t3!);V!),
138. La présence du sucre suffit-
elle pour caractériser le diabète?), 1,
49t. Présence passagëro du
sucre, f, 435. Sa quantité dans
)e diabète. L44f).–Son rapportavec les boissons ingérées. ), MO.
–Rapport de sa réaction avee
la réaction intestinale. ![, 45; VU,
<!).–SaroMtion.<5!);V!,38. Son aeidineation, chez les
herbivores, par un mitieu oxygène.130. Sa rareté dans carmins
cas de diabète. tV,<26.–Jn-
ûucnce do la section de la moo))''
allongée sur la quantité 6miM.
IV, 44t. Son Onission rendue
plus facile par la piqûre du qua-
trième ventricule, IV, 459. Ef-fets de la section des pneumogas-triques. V, 433. Modifiée parta digestion. VI, t2. Elle est la
tf'Mivo du corps, )e témoin destroublos de nutrition et peutservir
au diagnostic. VU. 6.X)V,8t.
-importance medicatede son
étude. VU, i. Est-eUe un
p )'odt)it de sécrétion ou d'excré-
tion'Vt), t.–Variations de corn-
position. Vit,!).–tnOuf'ncedp
l'état d'abstinence ou de digestionsttt' sa constitution. Vtt, !),]!):
XtV, 91. Ses sédiments. VU,
tO.-L'ahstinencefait augmenter
t'uree.V[[,)3.–Sa reaction sous
t'innuence de l'alimentation. Vil,
18. Sa reaction varie avec l'ali.
mentation non azotée, seulement
si elle est en excès. VU, 20.
Kt.pcrionccs.VU.2).–S!tt'ea<
!!on scide, sic&'hie. YJ[, 2) H
–Prend la réaction acide pendantla respiration daniit'My~ëne ou
apn'"(i'injec.tio)'d'huit) dans le
poumoa. VII, 2.'2. Son acidité
diminuée par injection d'eau dans
le sang. Vf), 22. Rendue alca-
)ine par tes matadies des taies,
uriuaires.VtF, 94.–L'abstinence
modifie sa réaction). V)), 9;). Sa
réaction ehczJRt animaux en al-
laitement. Vit, 2.'). Présence de
ruree.Vtt.M.–Sf concentre
par son séjour dans la vessie. VU,2t).–Grande quantité d'ureo dans
l'urine acide à jeun. V)t.30,t89.
-Ot-i~ino de l'acide trafique.Vft,tt<). Chez les hommes et. les ani-
maux malades, elle ne contient
pas d'uroc.Vn, '!).– L'uréemoins abondante dans l'urine des
cadavres, c'est un Mgne dodenutri-
tion, mais non d'abstinence. \'I),
'!2.–L'm'eo et t'acidc urique exis-
)"nt après ablation de )a rata. Vtf,'(2. L'abstinence y fait passer )a
matière coiorantc de la bile. VU,
'!3. Passage du sucre du sang,
exp.Vf),)}:). –)anst'afimenta-
tion graisseuse. VU, 90. –Passagedo la graisse. VU, i:)8 il 148.
Présence du sucre. VII, 139; XtV.
'!2,9f.–Passage de l'essence de
térébenthine. V)f, HS. Coule
dans la mort par hemorrhagie
après avoir été arrêtée par section
MSŒrV)tES[)EC).Ut)HtŒHN.U![). :t~3
')")am<M')h;.V!f.)79.–Cf)<))p;)-
r.tisun chimique avec )a sueur.
ij\tt.)S.').–Le passage des odeurs
delasper~e.deif'sscnce(h'tere-
benthinen'apasiieu chez les atbu-
minuriques.Vn,3.–Passade
de)'ioftnrGdepotassiuf<t.vn,2(!).
S83.- A jeun, eUc est acide chez
tous les animaux pa rc<j<)U'its vi-
vent tous aux dépens <te leur
''ang.8(t.–Scstrat~st'orma-
tions pitthotogiques artittticUe.s.
\t.t.'). 1: Pa'"<a~f'<)uprussi.'ttpdépotasse. X),f{26.- t'rc~cncf
'tt't'acitte carbonique pendant )a
fi"t'e.XH),'i:!2.–Sonpoid~spc-
<qup.XtV,:)8.–S!t densité.
\iV,mi.-G!ycos'.X)V.XM.–
Saccharose.XIV, )U().–Lt''vutosf.
X)\)<)().–Souana)ysc.procèdeschimiques. XtV, HM. Procèdes
physio)«niques.X)V,)tO.–Son
anatyst'par fermentation. Xi\
)!?.- Les))frpyp<.is!c-t-i)nor-
ma!Gmeut?Xt\Ji.oy.;)/<!f/<
CUt''C<<'fM)'t?!C~.
UtUKED'At<STt!'<)';r<Ct:.Yoy.t')'.?t<'
tt'jt'mc/t'.
-AOt'H. XIV, M. Kendu~
acidf'par injection d't)ni!('(tan<-)f
poutnun.Vtt,?.–){et)dncaci<h'
par la section du pneumogastrique.
VU. 8.
At.BtJMt~).;uSE. Par absorption
d'a)))umincajeun.),t'.
ALCAHîSH. XtV, 90. Rendue
ateaiine, chez iechiea eu diges-
tion, par le carbonate d'ammonia-
que. VU, Ï2. Chez ia foetus, de-
venant acide pa.r)'cvaporation.
Vt),M.
DU CHtEK. Carbonate d'ammo-
niaquc.V!),23.
CMYLEUSE. Voy. C/t'KS.s s
(urines).
nES DtABÉTtQUES t, 433.
Sucre. ), 433. Preseoce de l'u-
ree.1,43~. Présence de i'acide
urique. t, 438. Présence do t'at-
bumine. 439. Son identité
avec les gtvcoses du sang. XtV.
~40.
rm~tt; M t~ RtRESTtf)~ (;))M
!f's herbivores et chez les carni-
v.es.V![,!0.
"ES FOKTt'S.Presf'nfpdu sucre.
',2M.M.40:;VH,54,t:tj.
LAtTt:CSE ), )64.
~'OHMA[.E.(.f'st!'uriufd~i'ah'-
'inencp.VU.j.'t. Snnanaty.)'.
.\f\. Qi.–Prnf-edesft'anaJysc<jua~)tative. X)\ ').'). Caractfrf's
")'Kauo)('ptif)U''s.X!V,9.').–Ca-
r:tct<'rosj)~)arimetriqm*sdt*)a~)\-rose et df la sarcharosp. X!V, 100.
St'CREE. \'tt, ':4 a 8:). Par
ubsorptif) de sut'rcit.jott).)':(;.–)'ar piqûre (lu quatrième ven-
tm-u)e. IV, 40.').
VtSpUEfSE. Pondant rabsti-
n('uc~.Vt).}'<)(),
rtUQUE t.tCtDE VU, Dans
)'))t-i[)edcsdiahctif~)cs.t.i38.–
Son ctiminatinn. Vt, 450. Rap-
ports entre ses variations et celles
f)f j'urco. Vf), .'<7. Variations
suivant tes conditions fonctionnel-
)''s.V!i,n8. –est pas un pro-
duit df combnstinn infumpifte, oi-
scanx.n,)8. K\pe)'iences.YH, 59. Origine commune de
t urëe et de l'acide uriqn< exp.
deWfjhtcr,Frerichs,GaUf)is.V)i.
tit). Sa formation n'est pas em-
p~c))t'c par l'ablation do la rate.
VU, i2. En grande quantitécttRziespht)tisiques.VH,'H.
CSURE MOLECULAtRE Elle est
proportionnelle à t'intensité des
manifestations vitates. XVIII, 188.
L'iaiCCLJËPrimordiatc. XVI, t9).
VACC'NATtON. XV, 208.
VACUOLES glandulaires de la
gtimuti sous-mMittaire. Il, 39.
Du nucléole. XVt, t')9.
VAHUES (NEttM). Voy. P;feMwo~a<-
<r:MM (Nerfs;.
VAtSSKAt'X. D'un animal vivant,
ecoute)ncntdes.)iquides.H!.7].
Pression différentielle. Vt, 209.
Proprictés du sang. VI, 2'!3.
Injections de sucre. Vn,6.–Us
reçoivent deux ordres de nerfs an-
tagonistes, des nerfs du grand sym-
TAt}LHAt.i'HAtiËTtQUEHt'AF<A),YTtnUK
pat!tiqu<'qtttpr<M)uis''nt)<'m'r'M-
serrement et des nerfs du System)'
<'frébro-spina!t)Hiprovoqnent)f'ur
di)atation.V)L2~:X,469;X', t
257.–Gangrena des parties dans
)esquf'))f"~ihsontf)b)it6r6'i.X),!?.–f)s réagissent sur les tissus
''(éntt'ntaircs. XI, 82. Leur acti-
vttéenMpportavecicscft'Htsge-
ncraux des poisons et des mpdica-
ments.X!,9<).–Leur activité eu
rapportavec)'ctatmorbide.Xt,8f.
Mécanisme de leur action, dans
i'injection de sable dans !a)'tAre.
XI, !)6. FormatioM de d6pùts
putrides.. X),)05.–Lour!!tU)r('s
contractites jouent un rûio impor-tant dans toutes les rMctioas chi-
)ntnuesde]avi<X),t8.-L('ut'
dilatation active. X!,2M!;X)f<,
225. Action du grand sympattu-
que; il sembio agirsur eux par les
mt)~sto)noM"i,itiesf.)itMt)tt'acter.
XI, 256, 383; XV. 53~. La pat'a-
lysie des fibres contractiies ttc
suffit pas pout'exptifjuer leur dila-
tatiot).XJ,25'Leu!'f;o[)t)'actiot)
r<')su)M do l'excitation galvaniquedu grand sympathique. XL 2~.
L'origine des nerfs dilatateurs
est encore mal connue. XI, 260.
Hypothèse qui attribue a leur
paralysie les phénomènes du dia-
bète et du ptyaiisme.XL26'Le double courant qui résulte de
l'absorption ue s'y produit pasaussi longtemps que le sang eir-
cule. XI, M4.-Action du sys-tème nerYeuï. XI, 28~, gos.
Les nerf~ agissent sur eux par )'in-
tormédiaire d'ctëments contractiles
comme partout ailleurs. XI, 310.Contractions par enet réflexe.
XIII, 238. Leur innervation.
XIII, 26!). Lnur état peut être
indépendant des phénomènes deréfrigération réflexe et de ceux de
c<)orincation. X~f, 297. –HectM!
che du sucre. XIV, 229. Recou-
Yertd'um:!amo))c de tissu adi-
peux. XV, 2(it. Son isolement et
paM~Re d'un double ti). XV, 262.
Lcut'!) propt'K'tf" XV, 377.
Oyco~ene sur leur trajet. XVi!,
(!4. Voy. Coti/f:t'<:7!Y< jDi/~t-
~!e<). "a'Ao'n~ StMCM/rc.
VAISSEAUX (Gnos). !nt!uence de la
compression du ventre sur !a tem-
pérature (h) sang. V!, )<!0. Leur
pression, influence des nerfs et de
la moctte. Vf, 189, 20). Leur
disposition chez le chien. XV, '45.
C.hox la taupe, et la chauve'
souris. XV, -24' Chez te castor
et )'))omme. XV, 'Mf. Chez )<)
chat et le porc. XV, ~8. Chez
le cheval et le mouton. XV, ~48.
Chez le lapin. XV, 250.
Leur cathëtorisme. XV, 280.
ABSORBANTS. XV!t, 363.
An't'EntKLS. LMpoi.M)M doit'cnt
tes traverser pour agir sur )e.ttissus. XI, !)3. Du cou, opéra-
tions. XV, *:(?.
CAt'tt~LAtKKS. Voy. rapH/a't-c.MU COtJ. Leur Matomic topogra-
phique, chez le chien et le )apin.
XV, 254. !njections, manuel
np6r.itoi!'c, XV, 255. Op<'ratioo)isur les vaisseaux art(''rio)s. XV, 2<!C.
CHYDt-'ÈKHS. Voy. Chylifère,.
MU FO)K. n2, )'!4.
MES GLANMKS SADVAmES
Ils sont dilatés par i'cxcitation do
la corde du tympan et (tu nerf mo
tf'ut' de la gtanda parotide. XI,258.
LACTES. XVII, 364.
LYMt'HATtQt'ES )X, 63.
Présence du sucre. 320. Ils
MHt ttrrûtt, par 'a destruction de
la moe))o. !V, 386. Leurs rap-
ports avec les capillaires sanguins.
VU, t2);XV, 344. Passage du
prussiate do potasse. VII, 419.
Découverte. XV, 334. Expé-riences de Magoudie. XV, 335.
Expériences nouvelles, XV, 336.
t)E LA MEMBKANE VtTELUNEd'un fœtus de poùlet. XVn, 93.
Dt':S MUSCLES. X, )68.
OMBtUCAUX. XV!f, 65
OU t'H DE t/AtN)!. XV, 254,
M. 'HO.
DES (EUV)iES t~ C.HUDE BER~ARO. :fM
VAtSSUAUXSANRUtNS. iis ne sont t
pasarr('tc$pa)')ad<'structi()i)()e):t
mof))<V,3S(;.
SHK)':UX.Xf.:«!8;XV.3'<
DE LA TETE. tnuucnce tles tierfs
su<'i~circu)ation.V!),334. 1.
VAHS~tERt Ui~e~tions. XV, H);
VALVULES nU CftEUM Leur t'A)".
Vt,t9'XVnf,3M.
VA0. XI, )50.
VAPt:!JR H): CttARttOK H) ÏOa
–E))<:rendn)nrtc))cmiUeu<'<'u-
HnÉ.Ut.tM. –Pa)'a!ysK'f't'ou-
dai!'c.t)!,t9G.P~numonin<'ott-
t6cutivM& sou action. III, 198.
Hecherche de l'agent toxique.XH.
~57. Gax qui la composent. Xj). j
96!.Voy.t't;!<*pa<e!!t'H-
p<'fft'<'c/ia)'&ott.
VAKtAtHHTE RHS t:St'KCES c )
tu)aires.XVt,3M.
VAK<HTKS. tX, m. Fonction-VARII;TI-:S. IX, 111. f'Olll'lion-
nelles. XVI, 35': XVf). )49.
Ycgëtajcs. XVIII, )3').
VASt:ULAmE ~)'ATftOLOG;E). \0y.Pa<Ao<Of/;e t'n.«'t~<e.
(PKESSMNj. Voy. P)'<'S.!iO)! t.'<MCU-
/at)'<?.
(SysTÈME).iX,M.–Detagrc-
nouiite. Ht, 344; XVt){, 28i. )t)-
jettMU d'eau. Vi, M.–n sertd'iu-tet'niediatre pour l'action du sy-
tème nerveux sur les phénomènes
chimiques. X,40!).–Son mftuenc~'
sur les sccrcttous, Xt,'MC. Sau-
guin et. lymphatique, sa topogra-
phie générale, XV, 944.
(TE!i'ito~'). \'oy. ï'eM~tOM unscx
~ttre.
(ToNfs). Voy. roHfM t'Mc;f-
laires.
VASCULAtRES (KERt-s). Yoy. N''r/')'
uaseM~Mtt'c!.
VASCULARtSATtON. KtTots du
grand sympathique. V,50~. Ses
rapports avec la catorification.
après la section du grand sympa-
thique. V, 5)3. De l'oreille,
influence desnerfs. V, f;!G.
VASE (Amibes de la). XVI, 297.
VASO-COKSTtUCTEURS (NERFS',
XV.348.
VASO n)t,A) ATEt KS \)'n~. Vny.
~'t' ~M7\~ et .Ypr/ t's<)-
f<t7'~ff~'ttt'
VASO FORMATntCES (.Et.t.tt.Es
XV, M).
VASO MOTEtIKS '~EKt's'. tX. <!(:,
!)('; Xf. 37'); X)t!. 2t~. )i)'); XV.
'M8,3i8. :). i)0; XVI, !)(!
Leurs actions renexes. X, 36C.
))u muscte. X, 3'). Ils sont de
deux ot'dres. XI, M. C'est sur
leur (i.'t-Qutprtc ')UR repose l'his-
toire des circulations locales. XI,
~t<M. Leur influence sur les
n'ouhtes de la nutrition, XI, 3)3.
i!s n'gutat'iscnt la circulation
capillaire. XI, 395. lls sont des
nerfs calorifiques et frigorifiques,XI, 33&. ParaXete avec les nerfs
muscutaires. XHt, 2)'). Action
du curare. XH!, 2i!). 301. Para-
tysie. Xt)), 440. Leur rôte dans
le diabctc artineie). XIV, 3M.
Histoire de leur découverte. XV,
38. Lymphatiques. XV, 385.
VASt'-MOrKtCKS (AcTMNS'. Les
ganglions ont-ils une tunuence
propre sur celles qui sont sous la
dépendance du grand sympathi-
que' XJ,378. t)irectes et ré-
ne\es. XIII, 2M, 2.')5.
V'):At*. Voy. ~'OK«t<Ms de t'fatf.
VËCËTATtOK. Action du poison.
III, 26~. influence des tempéra-
tures élevées et des températures
basses. XVif, f3.
vËCKTATt<f<S. La gélatine et le
sucre les laissent produire. VI, 489.
VEGËTATtVES (FoxcTtONs). X, )05.
VÉGÉTAUX. XI, 492. Chez eux,
comme chez les animam, chacun
(onctionno pour soi. t, t30.
(.omparës aux animaux au point de
vue des phénomènes de dévelop-
pcment et de nutrition. 26*
Statique des végétaux, tt, 495.
Action du curare. III, 265, 3Ï8.
Ils ne sont pas des appareils exctu-
sih de réduction. IX, 80. Leur
opposition avec les animaux, vraie
au point de vue chimique, n'est pasvraie au point de vue physioto-
TAHLK ALPUAtiE'HQUË ET A~ALYTtQUK~26
giquf.)X,'M.–Lapuissancer~-
ductive est à son maximum. )X,
94,308.–Sécrétions. fX,2U().
!tsvi\'cnt de m&mc que h'~ ani-
maux, mais ils agissent (!i)1cr)'!n-
ment sur t'atmnsphere.fX,'M'i.Us possèdent le mouvement sar-
codique.X,)55.–Présence (tn
sucre.XtV,)43.–Opposes aux
animaux. XVI, 133. Distinguas -s
des animaux par la respiration.
XV),)9t.– Leurs mouvements.)
XVI, 2M.–Compares aux ani-~
maux.XVn,Doctriuc erro-
née qui icurattt-ibueja'.yatjt~sc
org&nique.XVH,23.–AsphyxieI`s& l'ombre. xyH,tS;lHnue,j,c
deroxygtne.XYff.tM.–tistK-
sont pas caractenscsparta fonc-tion ch)ornphy))iennp. XVt), 2').
Le végétal se confond avec la
chorophy))f-.XV)t,2:!9.–Digt's-
tiondesrcs.crYes.XV)).33'
Leur ferment éu)u)sif.X\'t!)M.
Voy.~t'~?tMd'<t,'M~u)'<St«'rt'
daH.! les f~t'~u.r, rt.«i! )~~<
<<tM;E, Variétés t)~<<M.
VEtNËS.iX.C:); XV, 308; XVt)!.
322. Galvanisme chez les fœtus.
I, 389, .408. Injection d'atbu-
mine. VII, 147. tnnuenco de ).i
section et de la gahanisation des
nerfs sptanchniques. V)t,)'t,n().
Injections d'acide carbouiquf.
VH, 46C. Injections d'amygda-)ine et d'emutsine. tX, 185. tu-
jections de peroxyde de fo'. IX,t85. Injection de prussiate jaunede potasse. tX, )85. Injection
de ferment. XI, 42. tnjcction de
substances putrides. XI, 82. –Lcur
rûte dans l'empoisonnement. X),
92.–expérience de Magendic.
XL 92. Leur ligature dans
l'empoisonnement. X!. !)2. )n-
jections de carbonate d'ammonia-
que. XI, ]<)< Cas ou le poutsse propage dos artères dans )e<i
veines. XI, 3'!t. injections in-
tra-veineuMa.XI), 7); XV,2:')j,353. Sucre dans le san~ des yci-
nos. XIV, 229. 404. Injection
'tair. XV, MO.Opération in-
tr.t-vciueuse, manuet opëratcirf!des opérations préparatoires. XV.
2(! fnjectionintra-YcincnM',
avec une seringue &petitecan)tte
ac.(';reo.XV,2M.–)':tt<!Ssonttes
organes tes plus essentiels de t'a))-
sorption. XV, :)iï.–Absorption
par tes veines. XV. 349.–Leur
origine.XV, :5.–Gtyco~cf~esur
)eurt,rajet.XV!t,93.–Poison qui
y est arrêté. XVUL ML Vny.
Cn'CM/a~tO)! t-c;)ie!M< Injectiont'<'ty:<'M4'c,<'M!OM,fM~a<!on.
VE)!fKSB)L!A!nKS. !n, 44); VH,
198. Du chien. Jtt,.t43.
CAVES. XV. 24- Ctrcu'a'iftf!.
!,t'!9.–En('tde)a)igaturest)rle sucre (lu foie. Vtt,)3C.–Du
chien. XV, 280. Leurs embou-
dans le ca'ur. XV, 9ii.').
Voy. Sa' de la )'<'Me cave.
CAVt; ANTEKtEmE. XV, 9.i!).
CAVE IKFEKtEURE. Le .sang
qui arrive par cette veine dans )e
coeur droit est toujours sucré. 1,
Ol. Communications yaacu-
laires directes avec la ycine portehépati'jue. I, H). Chez le che-
val, n3. Son catt)eterism<
XH), t)6. Le sa));; est pluschaud que dans les artères. X))),117. Elle est une source d'e-
chaunemont. XffL ]93.
CAVE SUt'EKtEUt'K XtV, 9T).
Elle est une source de rofroidis-
sem<'nt.xnr,t22.
DU COU. XV, 255.
CRURALE. XV. 270.
OË t~A GLANDE SOUS NAXtL
t.AmE.Vtt,M3.
OES CLANHES SAUVAtMES
Leur sang. XIII, i80. Voy. SaM.~<& t'et'MM a!f< <j'<f!f:(~.t ~a~it;).M.
–HËCATtQUKS. Sucre dans leur
sang. f, 27 VU, t33.–Leur struc-
ture. 183. Elles sont muscu-
laires et dépendent de la veine
cave. t85. Analyse du sang.
t, 200, 468: XIV, M8. Tempé-rature du sang. Vt. 83. Voy, S<M.</
~St'M'nM/tc/M/t~xe.t.
!))!S (EOVfiKS DE C!.A)!DE [)E)!'<R[). 3~
C/7'CM/<fo?t ~c la veine ~'c!'<f, OA/
<<ra~to'i~<'f~)'f')!<'pO)'<f,t)aMy
~~ï7t/*7/<r~por~.
~'Kt~'ES RE\A~KS Coutf'ur rougp
du sang veineux. Vf,58.2fi).
508; XI, 970: X)U. )M. Sang
rnugf-tt!'acu)t" absorbante pour
J'oxygène. V),3M.–Quantité d'o-
xygène dans le sang veineux.suivant
le cas de fonction oudt'repos. Vf.
367 V)t, ). Anatyse des gaz
dusang.Vf,8).– Rapport de
la coloration du sang avec la sécré-
tion de t'urine. YtH, 2'!2. Voy.
~an~ des ffi/t' ''('MM/e~.
St!S-XEPATtQUf:S. Analyse du
saug. t. "00, 4C8 X:V, 968. Voy.
Veines /tf~Mft'g)fM.
V~t~EUX (SYSTEME). XVHI, ~7.
De la veine porte et système de
Jacobson, chez le pigeon. Il, 3)4.
Chez le coq russe. !3)a.– Chez
le coq normand, n, :i](i. Pres-
siondt!saag.V),205.A sang
noir. V!,?5* –Cette distinction d''
couleur esttropahso)ue.V!,953.
Antagonisme entre ses deux
portions, XIII, 122. Sa disposi-
tion anatomique. XV, 256.
VENEKEUSKS (SUBSTANCES). XI, t33.
So divisent en deux classes
celles qui se combinent chimique-
ment aux tissus, etcet)esquicircu-
teutiibrement dans )e sang. X!,19:
V. Poisons, ï'o.t'M"x (substances).
VENINS. Ut, 50, 60. Leur solubi-
lité. !!I, ~t, 9a VI, 60. Le cu-
rare est-il un venin ?!tf, 3)2, 3't5,
:<9[.–Absorbes par te jabot desoiseaux, ft!, .). Leur action.
!H, 38!). (considérations géné-
rales. XI, ).~). Leurs propriétésdiffèrent sous ptusieurs rapports
de ce qu'on avait supposé. XI, tM.
Ils offrent souvent un degré
très élevé de stabilité chimique.
X!.<M.isrésisteuta)'action
de la chaleur, et à divers réactifs
énergiques. X!,tM.–Us empoi-
sonnent i'anima) qui les fournit
lui-même.X[,)5~.
nH cnA''Aun. vm, 3)~ IX,
VE<?<KS nEJACHKSON. Chez oi-
seau.!f,3).');V'n,)99.
C]]('Z 1'1'!)-JUGULAtHE. Xt)!, U3. Pr"-
c6d6pour)a découvrir chez Fani-
isa! vivant.). 3)9.–E'iterne.ma-
nue) opératoire de la mise itou.
XV,MO.9.-Duhpin.X\.
266.
LVMPHATtQ~E (G~'<MR\ XV.
253.
nUMEfUBHEt'OSTEtUEfR XV,
?55.
t'OMTE. XtV, 2f! Sucre dans
le Mng.t. 27; Vtf.fM.–injec-
tion de sucre. I, !6). Commu-
nications vasculaires directes avec
!a yeiHe c~vo inférieure. [, )'
Ctrcui.ttiou. i,!T!;X!V.].-
Sa structure. 181. Anatysesdu sang.t,300. ~68; XIV, 368.
L'injection d'éther et d'ammonia-
que donne lieu à l'apparition du
sucre dans l'urine.t,3a3;!H,'t3~.
Chez le pigeon. IJ, 3t'i. Chez
!e coq ruMR. !), 3t&. Omz le coq
normand. H, 3)6. Température
du sang. V), 83. Sang veineux
rouge, après section do la mnette.
VI, 36t.– Quantité d'oxygène dans
)o sang veineux, suivant l'état de
fonction ou de repos. VI, 3C7 VU,
154. Son sang fournit iasécre-!
tion biliaire. VII, 193. -Son obli-
tération a ta suite de phlébite. VU,tM. Influence de son oblitéra-
tion sur la formation do la bile et
du sucre. VII, 195. Sa ligature.
Yn, t9(i;X!V, 316, 339. Mort à
la suite de sa ligature. Ytl, t96.
Sa ligature chez les oiseaux.
V!9'?.–(;hMie chien. VII,
)99. Influence de sa ligature sur
les fonctions du foie. Vi!, 200.
Chez l'oiseau. VII, 469. -Son obli-
teration~sonentrcedanslehit:.
XIV, 'MO. Expériences. XIV,
2'!t. Observations cliniques.
XIV, 2i2. Diabète- alimentaire
dans les cas d'oblitération do ia
veine porte. XIV, 334. Sa tiga-
ture o'emp&che pas la production
du p;)ycogene.XtV, 371. Voy.
TABLE ALPftABË'noUE ET ASALY'HQUK328
dxn.s fo )-oin, )o sucre disparait ffau.s
le fuie <;t)!tmati~ro reste. !)s'
Vt,2'!7;\U,t8).Voy.~caM.VEMS INTESTINAUX. VU!. 177.
VE)!S A SOtE.Vte latente de i'mur
VFits
A ~Olti. Vie latente do l'œuf'.
XVt,93.VEKS DE TERMK. Gtveogfne. XV)t,
H.').
VKRTEBHAL (CAN~n. Anatomie.
!V.6.T. ta<<trumR[ttS))our en
pratiquer rouYt'rturc.iV, M.
Après sou ouverture, t't pressiondn saug diminue. IV, 383.
(CffOto~). Voya. f.'w~y! t'<Y<
VEKTEBRAt.ES (.AMÈXES;. Voy. Ar-
~<t~<<'Af<M.
V!!KTKSaS§. LeHr squelette cgt
intërieur. IX, ])9. Mombraneft
vibratiles. X, ):!8. Leut- dcye-
ioppemnnt.. XVI, 3:(!. A sang
froid, j;)ycf)ftenti!}<XVt),!)8.
VKSALE.XVH, 422.
VEStCtJLK BO.tAtKK. Réaction do
la bite. Vtt, 2!C. On en retire
habituellement la bile. XV. M'
Bt.ASTt)RERMtQCE XVf, 3f8
DU FtEt<. E))e s'inSitre d'air et
d'eau avant les autres organes,
'tanaio<tnjectionsd'eau.Vf,:)5.
t.HMMt~ATtVK ou do Purkinje.
'X,nn;XVt,3M.3!),3H.
KUCLËAtME. XVI, 200.
t'ULMONAtRE. IX, ]!?.
VESStE.E!)e n'absorbe pas le cu-
rare. ttf, 2i<3. Dans la pxMiysicpar section de la moelle, elle se
contracte par mort. pMtximor-rh<tf;i<i.Vf.Ï<M;Vtf,n'Parson s6ionr da.ns cet orgitne, 1'u-
rine M concentre. VU. 9!).
Sphincter de ))n'es$ic. Expérience.
VH. l'i2. Voy. ~<yxeM.!c M'M-
<'<t/
VESS[H NATATOIRE des pois-ions.
XV, 292.
VfAKMR de bœuf cuite digérHe dans
le suc ~strique. tt, 4)ij. A
jeun, tous Jos animaux sont carni-
vonM. YtU, 9<n. Autopsie d'un
chien nourri de viande. XtV, Ï9?.
Cotumo régime. XVII, 4:).
Digestion, XVU, M3.
t62;X!50.).')3, Mortf)
pour les grenouittes, inoifensi~
pour les crapauds, d'âpres Vut-
piati.V!f{,f.t;Xt.3!M,Mt.–
Expériences df(~audaBeruarf).
VtU,3n.–LadiH'erenCHestuuc
question do quantité. XI, MO.
vt:~)KS nEs tmcm:s xt, 9!)?
t)tt St!nPK?<TS. tU, M), 3)2. 389;
Vt.M).
DE LA VtPEttE. Son action. I)!,
390.
VÉNOSITÉ. tnnucucf' des nerfs. \').
':50, '!93. Prottuite par la com-
pression de la tMchee. Vf, 269.
En quoique consiste. VI, 283,
28R, Expérience". XI, 9.M.
hiOaent'e du grand sympathique.
X)U,3'!C.
VEKTtLATtOK PULMOMAtKH
XtU.MS.
VENTRICULES. XV~J. S2Ï. Tmt)
p<!)-ature du sang. l, 2)0. Le
Mng du vcntru'utf droit est pluschaud que cctutdu votttrictttc
(;!tuche.J[,:t<;XI)I.)iS.–L:t
pression constauto y est nu))e.
VI, m. Voy.puHj'Wftne M~-
<)'<<'M/C.
DROIT. XV~t, 399. Pression
du sang. IV, Ï7' Voy. San~ du
Mn<WcM/e6ft'0!
GAUCHE. Les gaz n'y pasapnt
pas. X!t!, )(i~.
SUCCEKTUKtJÉ. XVJt, 289.
VËRATRtKt!. XI, t50.
VÉRITÉ. Le sfaut la cherche pour
!!tpoM(;der.Vtn,9M.–HUen'(!s.t
jamais compt&te, etic ast toujoursrelative. XI, 4n. Sa recherche.
XVULO~.
EXPERtMKSTALE. Vtt), àf, 9:t.
EUeett.subjecth'e ou extérieure.
V))f,5t.
MATHEMATtQUE. Vni, 93.
MU SAVANT. Elle ne contredit
pasia vérité de l'artiste. XVUf, 3j8.
SUBJKCTtVK m OMnCfty~.
Vût,53.
VERNIS sur la peau, impenneabh;
Ai'air, fait mourir avec rM~'oi
diescment, et avec le sang roug<;
BUS ŒUVRES UE CLAUDE UK~AKD. :!2'J")
VtBUATH~S t.CEt.n.'t.ES!. Voy.Ce.~M/t's.
..C)[,sj.Voy.C~)'t6)~<.
i.MHMBRAKEs). Voy. ~e'~AmM' t't-
A/'S~t'/M.
~MOUVEMENTS Voy. ~fo'W~~
t'iA)'a<t/M.
VtBMATtOKS KEKVËUSHS. KHes j
sont perçues par la mocXet'pi-
niere.Xt,).').
VtBttMKS. LeHt- f.utture. XV), 2tK.
VJCE rS()H!Qt.'E. Voy. ~urty!VtCtE (M)UEt; Vny. ~;7tcM t'tcic.
VIDE. Son emploi pour l'analyse desgaz du sang. XU, 'i9).
Vtm;S VtntUS. Professeur .(<; mé-
decine au CoiMgf do France. Xtt'.
8,)3.
VIE. XV, 3, M XVi)f, M'). Son
Mécanisme en gênera). Hi, 39.-
N'est pas engendrée par les phi;-nomeaes chimiques qui en sout
indépendants. VI, 490. Le sau~
noir n'est pas apte à l'entretenir.
V). !)0(). C'est la création. VHf. )t6) XV!, 40; XVIII, M, )9:).
Il faut en étudier les jonctions sur
)ewMt.VHf,)M;X[,445.-Ses agents essentiels. Vtff.fUt.
Influence de la température, quien est une condition. VIII, 20~
X, 50; XIII, 401. L'âge en m~-
dine les manifestations. VUt,9)t.Influence du sexe sur ses ma-
nifestations. VU! Elle
n'est qu'une condition physique
qui existe ou n'existe pas. VU),
328. Ce n'est qu'un mot qui veut
direignoMnce.VU), SM.–Scs
manifestations résultent du conflit
noeossaire entre des conditions or-
caniques préétablies et les condi-
tioo&oupropriCtespnysico-chimi-
ques déterminées du milieu exté-
rieur :Kousne pouvons saisir et
connaltre que les conditions ma-
térielles de ce conflit. IX, 5; XV[.
M,66,34.'<K))e<ist<!ng:en()ree
par la mort. JX, 99. E!)o n'side
dans la puissance d'organisation
qui crée la machine vivante et re-
pare ses pertes incessantes. tX.
iM. KHcnest qu'une moda-
titndesphenomèrics~cneramftola nature. fX.~i.Xvm,!)'
Ktmort.tX.)3'm)en'ennen-
t)roriet!,ef)e se crée ni force, ni
matière première.iX,225.–Ë))e
i'e'.ida partout dans le corps hu-
main,eUe a son siège vèritabtcdans
iesorganismesè)ementairesouéi('-
ment~histoto~ique'. des tissus. X
2:t;Xt.i~XV,:)t,03.-Les
atimentsensontuneconditinn.X,
4ti.–tnnneucf'doJatumi)'t'c.X,
.'ti.–ionut'nccdot'tUt'cu'icite.X,M.–i'tttuencc du systùme ner-
veux sur tous ses actes. X!t:L}f)f!uc!tce du système nerveux
sur ses phénomènes chimiques.Xt,2t4.–Comment 0!t)'a consi-
dérée. XI, Ot.–Comment agir
sure)te?X!99.apa'id'm-fluence sur )e déterminisme des
phénomènes. X).;)28.–t) Il n'est
pas nécessaire d'on connaitret'cs-
Mnce.Xt.Mtt.–nn'yapasdeux
--ciencesdehYie,etifnefautpas
distinguer les ici!; de la yic~t'ctat
pathologique des lois de la vie
l'étatphysiologique. X),M8.–
importance du rote du Mn);. XII,320. Les eouditionsde ses ma-
nifestations sontpuromcntphysico-
chimiques. XIII, vu. Sa cou-
teption. Xt(t, XVt, 343. Son
siegon'Gstnuiio part et il est par-tout. XtY, 88. C'est f'ensembte
des phénomènes qui existent chez
les êtres vivants. XV, 02. Théo-
ries anciennes. XV, 93; XVIII,149. La vie totale de l'individu
est !a. somme des vies partiellesdes <e.menta de tissus. XV, m.
État qu'on ne comprend que par
opposition à la mort. XVt, 28.
Définitions. XVL 30. L'Eucycto-
pedie.XVf,30;XVtn,5[.–Sectard.
XYt, ;!0. Duscs. XV!. 31.
OMcimens. XVi. i! Lsa]arf-
XV!. 3!. –KosMs. XVf,3). –On
peut la caractériser, mais non la
définir. XVt, 32. Ses caractères
gëneraut. XV!, 32. Or~anisa-
TABLE At-P!<At)Ë')'!QUE ET ANALYTJQUH33't
tiuu.XY),3?.–(.encrati<)n.X\).
39.)~o!ution.XVL:!3.<u-tr<t'<'f.Xyt..H.- Maiadie.cadtt-
t-ite.mnrt.XVLS~HhinviUe.
XVt. 3(;Ticdcmann.XVf.3G.
–t')ourens.XVt,:)(!Création
et destruction organiques, sont
)e.'<caractC)'esMsenti<')sd<')avie.~
XV), 39.–C'est, la mort. XVt,4);
XVm.!i)8.–Hypothèses spiri-
tua)isto et materiatistc. XV(, 4*
Nous les repoussons cgatement
hors de la physiologie, parce
qu'elles sont insufnMntes et ctran-
gèreti~ta science expérimentale.
XV!, 43. Ses manifestations tie
sont !BHV)'e ni dH !s maticre
d'une force indépendante. XVt, M.
Son ordre et sa forme sont t.
relies par des lois prdctahttas.
XVt,6' –HUe ne saurait s'e!
ptiquor par un principe intérieur
d'action. XVt, 66. Le conflit
entre les conditions organiques
préétablies et les conditions ph)'-
sico-chimiques du milieu exté-
rieur n'est pas une lutte, mais une
harmonie.XV),6'Ei)f!Mpre-
sento&noussou'9troi'< aspects qui
prouvent la necessito des coadi-
tions physico-chimiques pour la
manifestation de la vie. XVt, (i'
Réfutation des théories dualis-
tes entre les animaux et les vegc-
taux. XVt. 131, MO. Unité de
ses fois. XVt, )~. C'est une
putréfaction. XVI, )76. Mits-
cherlich. XVI, ne. –Hoppe-
Seyier.XV!.t'!6.Schut:en-
berger. XVI, 178. Le proto-
plasma la représente saM forme
spécifique. XVf, 292. Etto n'est
ni un principe ni une résultante.
XVI, 344. Elle est indépendante
d'une forme organique détermi-
née. XV!, 3M. Son maintien.
XVI, 3M.–Comment elle est
comprise par les chimistes. XVH,
SU. Comment elle est comprise
par)6!tYitaHstes.XV!I,9!
Conception me.caniciate. XVII,
4?8. Elle est l'ensemble des
fonctions <j)<i résistent & la mo"t
.,Bi':)!at).XV!i-iG;XVn!, )C).
Ette est une cause premiern
nui nous échappe. XV!tt, t3~.
Ët!c est une combustion. XVIII,
Ht!. Comparut) à un Nambean.
X\UI. )!)t. On n'en cherche
plus !o ~ga. XVfit. Ï02. S~
basa physique. XVI1I, 234.
f.esccnutfs en sont le si6ge.
XVIII, Ï34. Voy. Actions ft~/M,
Co)'pît!tt;a?)~, Dépense vitale, Dtta-
/t!N!e M'<a/, DMa/t<e < ~a~, Echan-
'/M MtaMr, R(at)-'<<a<. ~<ret vivante
f<rme?t/< vivants, fonc~MM! de la
t'ie, Fonctions vitales, ~')'!<f!A:h~
f!<a~, ~.e.an t):<a!e, ~ant/'M~-
lions )))<a/e', M<t<t!MM vivantes,
Matière vivante, J«<'can!MM vi-
taux, ïMt/t~M Ct~f~, ~fo</<M U!<C/~
J)~ot<t'enMM<s Nt'~aK.r, NœMtt vital,
0~ct/<a<<OM4't~<a~i, P/t<!nom~n< de
la vie, Phénomènes vitaux, PrM-
cipe vital, ProH/aMon u«a~,
~'0/9r< f,M, Résistance
ftt/e, ~<0!«' à la vie, Sc'MM de la
vie, St~~e de ta vie, T'M.<M~ t):fa'f~
Tourbillon t)t<a/, r''auat! vital,
t/?!<M vitale, Vitales (fonctions).
VIE AMtMAt.E (système nerveux
de la). X!H,M5.
CEH.Ut.Amc. XVf. 367 XVII,
458. Son r0)e. XVI, 361.
COKSTAKTE, t~ttEPEKOANT);
ou MBM. XVf. tn XVII, 6.
Elle dépend d'un perfectionnement t
organique. XVf, tt2. MMnco
da t'CM. XVt, U4. Influence
de la chaleur. XV!, tt6. 'n-
fluence do t'oxygène. XVt, 118.
La fixité du milieu intérieur en est
la condition. XVI, 113.
KNCOt-'RME. Influence de la
chaleur. XVf, 104. Diminution
des phénomènes chimiques. XVI,
108. Sa cessation. XV), tOfi.
Nécessite des reoervM.XVf, t )<).
–tKnm'EKOANTË. Yoy. ~!?coM.
tante.
t~TRA-UTEMME. Usages du
sucre pour empêcher t'iunitratioti
des tissus. 1, 408.
t~S<KCVtŒS)'E<LAU!)K)!K)~'A!!n. ~r.)
VtE)LA'rt!'<TE.t\)Lt8:};\V).M.M;xvn,e;xvnt.t3.-K~'<)
une vie arrêtée et non'timiuué~
XYf,<).–Retour ~~Yiomani
fes'6e.XVL'!0.–fn<lut'nced~-
reau.XV!t.- tnOuencedHrt'-
t.ygënectdet'afr.XVi, h)
nuencedet.tchatcur.XV),~).
Phénomènes chcz)f*saniman\.
XV), 80. existence de:) êtres M
cet état.XVt,92.–Mécanisme du
passage a.f'ctctat.XVLXM.
liéserves des matériaux nutritifs.
XVL)()3.
--HBKE.Voy.t'Meo~t<?!<<
-MAKtFESTKE.IX,)83.–Mcc;t-
nitœa du retour~ cet 6tat.XVf, )t) ).
–KOPi MEt'iK! e!)e résida dans
la matière amorphe ou plutôt mo-
uomot'p))e.X\'),2!)'
OMHAMQUE. Son innnpnce sur
la vie de rolation. XI, 360. Sys-
tcmH dela vie organique. X)H, 20.
Voy. A/OMt~m~M~ lie la )'te o<n;«-
que, Ne's de la vie n;<tti:~Me,
Nerfs M0<<'ur~ de la vie o'~OMt~u'
OSCtLLAKTE. XVI, t02 XVII,
6. Elle appartient à tous les
végétaux et à un grand nombre
d'animaux. XVt, t02.
[)E ttELATtOK. Son inHuence
sur la vie organique. Xt, 360. Voy.~oufe'ne~~ </e vie de fe/aho'i,
M)<C/M~'e<<!K!e~e;a(M)t.
VtESELEMENTA!RES. C'est en vue
d'elles que l'organisme est cons-
truit. XVI, 354.–Leur autonomie.
XVt, ;!M. E))os sont subordon-
nées t'ensemMe. XVI, 355, 360.
VM.UEU&. EHo fait varier l'effet des
poisons. III, 120.
VILLOSITÉS OE L AM'<f()S, chez
les ruminants, glycogène. XVtI, 64.
tMTESTtNALES. Leur dÉvetop-
pement en rapport avec l'appari-
tion des différents liquides diges-
tifs.H.~M.
VIN. Voy. <.emh'< t/K vin.
VIPÈRE. Sa tête. III, 390. Action
de son venin. III, 3&0. Compa-
raison avec le chienenragé. XI, 3!).
Voy. )~f'< la D~et'e.
VtRCH(W.')rf)itnr')r'sdirrita!)ih-
t6:ionction!n')ie,nutritive', de do-
vetf)ppf'mont.X,84:XV).2i8.
Pa'ho)o~iecc)ht)airc.Xi.M.
~tRtJLEKTS .)'nf\<:[pES.. t~ oc ;u
~t.nt M dcvt'tt)pper<)U:tu sein
d'u)](;0)'t:a)!s.ttH)n vivante.X),3*. 1-,
VtKHS.))[.5(),<!0.–[.t'ur-,o)u))!-
)ite.jn.)),!)~).<!(). Tantôt
répandus dans toute !'ëcon~n)ie,
tantutiorahs!) sur f)Ut')<)Ups point'* s
pafticu)ic)'s.Xt.38.
t'UYSU)LU(.t()tJ) S XI, S8.
VtSATEt«;0.8.
l'ISCOSI'rÉ d~ la salive. VII, 'M'.),
2M,2.).
YtTAt~S ~o~K'noxs,. XV). ;!?<).
Il n'y~pas opposition ou iucom-
patibilité entre elles et les actions
mittHrates. mais parallélisme, ~'t
relation directe et nécessaire.
XV)tt, 44. Voy. Fo/)<'<t0ns t't(n/f<.
VtTAUSHM. X, i6; XVI, 4' t~,
?25 XVII, HA, iM XVUf. );)'(.
179. Yoy. Ooc<)'t"M t'i/a/i.s'~M.
DE BtHHAT. XVU, 218.
PHÏStCOCHtMtQm;. XV. x\:
XV)t.~90.i'!8.
PMYStQUE. XVn. 2)9, 4~ &24.
VITALISTES. ïït. 4; IX, t3:t: XYU,
4)5; XY)!f. ))).Leurs hypo-
thèses sur la cha)euraMma)e.X)H,
)8. Comment ils comprennent
)!t\ie.XVn.2n. L.
VtTAUTE.SonrMe, (t'apres Gerdy.
VHt,Mt. De )'ot-u)e. ]X, 108.
Supérieure de certains animaux et
decertains organes.XI,88.
VtTEt.H!<E (MEMBRASE'. Voy. ~Mt-
brane vitelline.
VITELLUS. IX, !OÏ XVIII, 193.
Primitif. XV!. 30<). Secondait-)'
ou nutritif. XVI,3t4.– Sontrac-
tionnemeut. XVI, 318. Voy. E~ttc
/o/)pe vitelline.
VITESSE de la trausmissioa uor-
~euse.X.M'
VIVANTE (!<ATORE). Voy. A~M)'~ M-
I
Mn:e.
VtVtSECTtONS. !!), 14; VH!, n2;
IX,t6,t44;Xt,4)2,:)44;XV.
). 66, 398 XVIII, 3M. Sur tes
TARLE ALP!)ABËT:OUE ET ANALYTIQUE;i32
cotKittmne<àmor!.Vfi!.n3,
Préjuges. V)H,)?a.- Sensibi-
)itCMa~ér6cde!cu)'sdûtractPurs.
Y')ft,)'!ti.–Happ0)'(satee)'ana-
tomie normate. VHt, t82. )!ap-
ports avec l'anatomie pathotogi-
que cites sections cadavoriques.
Vt)[. t95. KfTcts du froid. X),
??.E<stsd("! anosthësiques
et de l'ivresse. XI, 98. Objec-
tions et justifications. XI, M8.
Lenrut]!i«'.Xt,&aO.–t,'<t-
)it6dcsa~eethésiqu<*s.X!,&M.
NotioQs qu'ettos donnent sur
la circutatioa du sang. XU, 4.
Leur histoire. XV, HS. Choit
d<M animaux. XV, SS, ~3. Lem"'
résultats sur les animaux sont ap-
pticaMeii t'hommc. XV, HS.
Dans quetio timitc. XV, M. _o.
H6fMt!ttion des attaques dont etiM
sont t'objet. XV, '!3. Accidenta
chirurgicaux des vivisections XV,
78.–Determinntioo du leur r<*))a<'n
physiologie expérimentale. XV, 81.
CpCMUons préliminaires. XV.
)OÏ. Apptrcitf et instruments
d'uu usage f;<}n~r.t). XV, )S2.
Opération!) d'un usage gëaAra). XV.
)i)a.– Emploi des poisons.XV,
40).–Surfecouetiepjide
t'aino, manuel opératoire. XV, 9&t.
Voy. ?'nA~e <4 ut!)t.!M<'t'o~
VtVtSECftOftS MtCRUSCOt'!
~UES. XV, 399.
MTHOMCt~UES. VIII, 200.
VOtES cachées entre l'estomac et
terein. V)f,t6, n.–nigMti-ves.
Voy. DMe~tM~. GÉnho-
urinaires. Voy. C~)!<o-M''tM«t~M.
Respimtoit'es. Voy. HesptM~o't'e~.VOILE DU t'ALAtS, ses mouve-
ments. V, H' tnuuence du
facial et dttg)oMo-p!t<tryngMn,(,ses mouvementé. V, n8.
VOtX, mécanisme de son aboiition.
V,306.
VOLKMANN. Contraction muMu-
)aira.X.t97.
vOt.ONTE, excitant normal des nerfs
moteuM.)V,);!8.–A-t-e)iobe.
soin de l'auxiliaire (tes nerfs sen-
sitifs. IV, M; Ses rapports avec
la MU)iibi)it6.iV,:M.–Sa ma-
nifeste par i'intermédioiredes nerfs
etde)amoeM8.)V,3.est
qu'uno forme de !a.senMbi)it6.!V.
!!4T.–Etfo n'est pas atteroe par)o curare. tX.'ït; XVH!,M8.-
Son influence sur les ncrfsmo-
teurs. XHU, ;i47. Voy.~ufe-
MM<~t)o/ot)<a')'M.
VOMtSSEMEKTS, influence sur la
sécrétion du suc p~ocr'ëatifjue.n, 227. Dans la m'phrotomie.
Vtf,4~56.
VORTICELLE. X, ]96.
VUE. Son organe. V, 900.
f~LP:ASf. Nerfs rachidione. fX, !<.
Hacine postérieure ou ~ng) ion-
n&ira du nerf hypog)osse.!X, ;)!,);'<!).
Expériences ont- le venin du cra-
paud. XI, f)M. Discours aux
funérailles de Oaude Bernard.
XVt.Ytt.
WAn-'KMntN. Thormom'itrc mé-
tastatiqua. VI, 07. Thcrmom6tr<'
maximum. Vt, '!0. Thermomëtre
(tiffërentM).Vt.9.
~VAt.K)SM. EMtnents nerveux settsi-
tifs et moteurs. X, 238.
WALLER. Propriétés et usages d<"t
gang)ion!)int('rYert6braux.)V,M&.
Expériences sur la section det
nerfs. XI, 192.
et BUOCE. Origine du grand sym-
pathique. XIII, 212.
WKtSS et DOCK. ThéoHe du diabète.
XtV,t49.
Wtt,M8. Fluide nefveux.!V,4.
Ligatura du nerf phrénique. )V,
t89. Nerf spinal. V, 'ï~C. t'er-
mentation des aHments. XVII,
269.
W~HLER. Origine de l'urée et de
l'acide urique. Vft, M.
WOLFf (C. F.), fondateur de t'em-
bryologie. XVI, Sn. 1.
WOOBABA Ht, 241.
XV OtH!tfE AMMALE. VH, H4
XtV, 904 XVII, 53.
VEUX U'ECKEVtSSES. XVII, 55:
X.tMMERMANK. Son traité de l'ex-
përicnce.XV,M.
MS ŒUVRES i)E CLAUDE Hf';))N,\[U). :):(:!
XOAMYHK): XtV. )8:
XOOLOfim. V)H. )8t. Son point
deYUf'[)aa'!('Rtud<*df'('organisa-
tion. X, '?. Elle est distincte de
la physioiop:ie. XVftt, 144. ~oy.
C/Mt't/tCH~OM.! :00/0~)fyM' CM)'fO-
~i'~t ~OO/oyfyUM, y/iyst&~O~ JOO-
/o~i~)ff.
XOOLUGtSTK ni phytioioi~-itt'. VH!
t94.
M<))'ttYTt;s.!RU!-<)ove)oppnmf)nt.
XYt,Mf).
ZO«St'EKMK. )X. !OC.
XOOSt'UnES (ies atRUt's. XV!. 306
ZYGKKMA. XVt. 380.
~XYGOSt'UKES. XV). 301.
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DE~ TRAVAUX SCIENTIFIQUES
ET tUBUOGR.~PtHK Bt06RAPH!<jLK
DE CLAUDE BERNARD
Par Godefroy MALLOIZEL
SoM-))'btmth<cM<'eMM't''<d's~<t"<
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ET BIBUOGR.\)'t![K BtOGRAt'HtQUE
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~'t'eH!!<')'e ~Mt'<tC. Recherches anatomiquns.
Description de la corde du tympan dans l'homme, p. 4)0.
Ganglion sous-maxillaire, p. 4H.
Auatomie comparée de la corde du tympan et du ganglion sous-ma\it-
laire, p. 'HM.
10 Dans les mammifères, p. -t!6.
2° Dans les oiseaux et les reptiles, p. 418.
neM.E!~?7ie parh'e. Recherches expérimentales.
Propriétés de la corde du tympan, p. 420.
du nerf lingual, p. 421.
Usage de la corde du tympan, p. 42t.
Influence de la corde du tympan sur la gustation, p. 4?j.
Influence de la corde du tympan sur les glandes sous-maxillaires, sub-
linguales et tours conduits excréteurs, p. 427.
Action de la corde du tympan sur la muqueuse linguale, p. 42!).
Influence de la corde du tympan sur les mouvements do la langue et duvoile du palais, p. 430.
lanuencede la corde du tympan sur l'audition, p. 433.
Faits pathologiques, p. 435.
1843. 7 ~e~H~'c. Du suc gastrique et de son rôle dans
la nutrition.
Thèse pour le doctorat en médecine. Paris, i843,in-4°, 34 pages.
JoM'na~ dep/KM'MMCte, V, 1844, p. 428-433.
Froriep's Notizen, XXtX, <844, col. 33-3:i; XXX, 1844, col. 7.
t38 t!)!!L)OG)'APtf)K E
Gazette mcfhcff~. t84.4.
.~fc/ dfmed., IV, i844, p. 389.
~')'Mtt~)'<'pa!'<tF.
Oct'origincetdotanaturophysiotfgiquedusucgastrique.
Des caractères tiusucgastrifjuf et do sa.preMncedans l'estomac, p. )~.
(2) De l'origine du suc gastrique et do sa nature, p. )3.
Origine (tu suc nasttiquo et mécanisme de sa production, p. )(!.
Recherches sur la nature physiologique du suc gastrique, p. 32.
HfM.CMMe ~<M'<M.
Du rôle que le suc gastrique est destiné hrcmptir dans la nutrition, p. 27.
( 1) Action du suc gastrique sur tes matières alimentaires, p.
(2) Rôle du suc gastrique dans la nutrition, p. 28.
Questions sur diverse!! branches des sciences mcdicatos.
~) Des membranes muqueuses au!c diMrents âges de la vie, p. 32.
~) Du traitement de t'hydrocephatito aiguë, p. 33.
(3) Quel est le traitement qui convient aux anévrismes de i'artere a~i))aire ?'?
Quels .sont les cas qui rcctament la ligature ne cette artère, p. :)3.
(t) Des ventouses et de leur théorie, p. M.
i844. Recherches expérimentâtes sur les fonctions du nert
spina!, ou accessoire de Wiiiis étudié spécialement
dans ses rapports avec le pneumo-gastrique.
ArcA. gén. deme~ IV, <8t4, p. 397-424; V, )844, p. Si-96.
Cornpt. rend., t847. XXtV. p. 7!6-7<8.
M~moM'M des S«''an<s étrangers à f'Ac<t~<!m<e des Sciences, XI, )85t,
p. 6''3-776, avec 2 pi.
Ce mémoire, imprimé en t8t't dans les /t)'c~!fMy~ M~d. a remporte
le prix de physiologie expérimentale à l'Académie des sciences pour
l'année )!)45. L'impression dans le Recueil ~M savants ~<aMyf~ n'ayant
eu lien que cinq ans après, j'ai pu répéter mes premières expériences, en
instituer de nouvelles et compléter mes recherches par des additions qui
ne changent, rien au fond du mémoire.
P)'<'M)('t'e~)a)'(te.
(1) Exposé succinctdes principales opinions émises sur les fonctions du nerf
spinal, WiXis, Scarpa, Ch. Ben. Bischoff, p. 69a.
(2) Réfutation do la doctrine qui confond anatomiquement et physiologique-
mont tes nerfs pncumo-gastrique et spinal comme les racines antericuf'o
et postérieure d'une paire rachidienne.
(a) Le nerf spinal peut-it être comparé sous le rapport anatomique 11ia
racine antérieure d'une paire raehidienne dont le pncumo-gastrique
représenterait ta racine postérieure, p. 702.
(A) Le nerf spinal peut-il être compare physiologiquement ta racine
anterieuro d'une paire Mcttidiennc dont le pneumo-gastriquc repré-
senterait tara eineposterieuro?
(f) Sous le rapport de sa sensibitite récurrente, p. lOC.
(2°; Sous le rapport de ses propriétés motrices à l'excitation gal-
vanique, le nerf spinal ost-i! comparable à une racine rachidienne
antérieure? p. 709.
(3°) Sous le rapport de sa fonction motrice, les vivisections domon-
DES TRAVAUX DE CLAUDE BEH~AXD. 33~
trent-etiesfjuete spinal est la racine antérieure du pneumo-
~ast<'if)ue,p.7)). 1.
D<<;)'tem<' pnrhc.
Hxpose de recherches anatomiqucs et ph;sio)oxi')uesnouve))es sur te
spinat.etdeductionsquoapeutentirerre)ativementauxfonctionsde
ce nerf.
(JjAnatomie du nerf spinal chez l'homme.p.)'
!?) Kemat'ques anatomiques sur le nerf spinal chez les animaux, p. 72'
<;ti Des propriétés du nerfspinat, p. 729.
T)'o)<téme~ar<t<
Fonctions du nerf spinal démontrées par l'extirpation des nerfs spinaux.
(~Description du spinal sur les animaux vivants.?.?.
(2) Abtation comptôtc des deux nerfs spinaux, p. 7;).
(a) De l'aphonic ou ablation de la voix après l'ablation des deux spi-
naux,p.7~.
(~;Genc de la déglutition, p.).').
('!)Usa~cdo)!th('anc)iGf'![terneduspi))a),p.7M.
(a) Brièveté de l'expiration vocale, p. 7(!0.
(~) De l'essoufflement dans les grands mouvements ou dans i'eubtt.
p. 703.
(c) Jrreguiarita dans la démarche des animaux, p. '!6~.
(5) Théorie des fonctions du nerf spinal. p. 7H').
(~Conclusions,p. T!t.
1844. 32 a~ Recherches physiologiques sur les subs-
stances alimentaires.
Expériences comparatives sur le sucre, l'albumine et
la gélatine.
En coHaboraUon avec Barreswill.
Comptes rendus de !'Aca(Mm!e des SeMH'.es, XVH[, )84i~ p. '783-'78S.
Journal dep/tCt'Htact'e, V, t8'H, p. 42~-428.
1844. Expériences concernant t'innuence des nerfs de la
huitietne paire sur les phénomènes physiques de la di-
gestion.
En coUaboratton avec Barreswm.
Comp. rend., t" M6m. 1841, XVIII, p. 993-!)99. –2" Mcm. Octobre
1844, X)X, p. H84-t288. 3" Mém. Juillet t845, XX), p. 88-89.
Fronep'sJVottM~XXXin, 1845, col. 3it-3i4.
JoMm. de p/tar~ VU, )845, p. 49-aS.
Are~. ~eft. de méd., V, 1845, p. 233.
1844. Des matières colorantes chez l'homme.
Thèse présentée et soutenue à la faculté de médecine de Paris.
Concours pour l'agrégation. (Section de physiologie et d'anatonue).
Paris, t844, in-4", 57 pages.
3K) BtRUOSR~f'fHH
Matières colorantes des liquides,
t" Matières coiorantes du sang, p. 7.
Oua)astdans)e'ian(;!esi6gedeta[nati('t'e''o)o)'a!)!F.p.)?.
Hemato-gtohuiine,p.t3.
Hematine,p.tS.
Hemacyaninc.p.S).
Physiologie do la matière cotorante du sang,p. 28.
Mo fatnatièt'c coiorante du sang chez te t'a'tus, j). 28.
!)et'inuu.enc''desnerhsut'!aco)ot'ationde)'h('rnatinc,p.:M.De la regencration de t'hematine et de sa destruction, p. :tt.
5'' Matières coiorajttes de la bitc.
Matièra colorante bifiait'c do Lchmann (BiUfcine de Simun;, p. S~i.
Physiologie de la mati&re cciontnte de la bile, p. 35.
Origine de la maU&te cok'Mnte de la bile, p. 37.
Matières cotOMotes des urines, p. M.
Pt)yMo)ogie,p.4t.
Origine de la matière colorante des urmes, p. 42.
Proprietos gendMtM des matières cotor.mtcs dos Uquidas, p. 43.
Matiti'oscoiot'aotcs anormales observées dans tes tif~uides, p. 4j.
Sang bleu, p. 'i&. Lait bleu, p. 46. t.'rinM btcues, p.Matière colorante jaune, p. 48.
noire,p..4't.
Matièrecotot'!tfttcde'<so)ides.
)" Matière colorante de t'œit,p.!)).
do )apeauGtdMchOY('u\,p.)4.3" (ju cerveau, p. M.
Met~nine,p.&
1845. yaMMt'er. De i'aitpration du goût dans la para)ysie
du nerf facial.
Archiv. gén. df'mM., V!, 184S, p. 480-496.
1846. Ligature du canal cho!6doquc.
Société pMom((<tgMC, f~~S, cité par CI. Bernard, iti<t-o(tMch'OH (: yn
médecine eTpcnmeHto~e, Pans, i86S, p. 322;.
1845. Traité complet de J'anatornie de rhomme, com-
prenant la médecine opératoire, par Bourgcry et H. Jacob,
i" Édition, publiée de 1832 à i8S4, en 120 livraisons,
avec 726 p}.M. Claude Bernard a commencé it coDaborer en 1845 il a donné un
concours passager, en préparant des pièces anatomiques qui ont été des-sinées par JMOb. Son uom ne figure pas sur los titres de la premièreédition. Il 6ta étranger à la nouvelle édition, encore bion que son
nom ait été ajoute su!' te titre.
1846. 23 ma~. Des différences que présentent tes phéno-
mènes de la digestion et de la nutrition chez les animaux
herbivores et carnivores.
DJ'.STtiAVAL'X M CLAUDE BERNARD. 3H
Ccmp. ~:J.. XX!t, '846, p. S34-537.
MM/~<<Mde <lei:t/t'Mi'<' Je Médecine, Xt, t84C, p. S64.
JoMrn. f~ep/KH'm., <846, M, p. 36.(-36~.
Erevan /OM?'!M<M'' praAKxcAe C/tCM~ XXXtX, t8)6, p. 44-48.
A~'M. gén. de mc~.(vo[. auppt.), )84<), p. i32-t3S.
F)-or«'p's A'o<eH, XXXVfff, i847, col. ~!)-t33.
1846. t6 MO!~e?K&)'c. Note sur la xyioidmc con.sidërce comme
substance aHmentaM't;.
En collaboration avec Barrf-swiH.
Comp. '-end., XXIII, i8t6. p. 9itt.
1846. Expériencessur la digestion stomacale et recherches
sur les innuences qui peuvent modifier les phénomènes
de cette fonction.
Arc/«t). s'<'n. ~em~. (vol. supp).), 1840, p. i-9.
Des otats différents de l'estomac, p. 3.
1846. Remarques sur quelques réactions chimiques qui
s'opèrent dans l'estomac.
A)'cM~. ~n. de HMM. (vot. suppl.) (846, p. 201-209.
()) Estomac dans l'état physiologique, p. 201.
)°Aticn du suc gastrique sur les substances métaUiquM, p. 20?.
2" Action du suc gastrique sur les atcatis vogHtaut. p. 205.
3" Action du suc gastrique sur les substances de la nature des ferments,
p. 20R.
~2) Estomac dans t'ctat morbide, p. 208.
1846-1854. Précis iconographique de médecine opératoire
et d'anatomie chirurgicale. Paris, 1846-1854, 1 vol. in-18
jésus avec 113 pt. dessinées d'après nature, gravées et
coloriées. Nouveau tirage Paris, 1873, in-18 jésus,495 pages et 113 pt.
En collaboration avec M. Ch. Muette.
tt existe de cet ouvrage des traductions anglaise, allemande,
hollandaise, italienne et espagnole.
1847. Mémoire sur le rôle de la salive dans les phénomènes
de la digestion.
Archiv. ~K. de méd., XUf, t8t7, pp. i-M.Ileller Archiv /'Mr physiologische und pathologische Chemie, tV,
<847, p. 04, t69.
JoMrn. de p/ia:-M.,Xf, f847,p. 125-127.
1847. Avril. Sur les voies d'élimination de l'urée après
t'extirpation des reins.
En couaboration avec Barreswili.
~42 MBUOGHAMt)!:
Arc~tM. ~)). de Mi<'(< XtH, i847. p. 44H-46S.
!)upMcëdem)snnHaa~eponrrpfhet'ch<')')'urecdans)esang.p.4.')).Du développement <tcs produits ammuoiin'aux dans les liquides de l'intestin
aprè<ia))~phrotf)mic,p.45'
1847. 26~'Mj!M. Du mode d'action de la strychnine sur te sys-
tème nerveux.
Bulletin de la SfCt~Mp~~omf~t~Me, <847, p. 7i.
L'~t~M<, ~'oMnttt! des sociétés savantes, )847, p. 2H.
1847. 3.;M: Des conditions qui favorisent, le développe-
ment de la sensibilité récurrente et de la sensibilité sans
conscience.
Soc. pMo)K., i847,p. 79.
t'~H~t<M<,i847,p.24S.Mouvements réflexes.
1847. Expériences sur les nerfs pneumo-gastriques et spi-
naux ou accessoires de Witlis.
Comp.r<'Kd.,XX!V,i8i.7,p.746.
1847. i6~'M~/c<. Recherches sur les causes qui peuvent faire
varier l'intensité de la sensibilité récurrente.
Comp. rend., i847,XXV, p. 104, t06.
1847. Modifications apportées à la pince de Hunter.
jtf~MOtfes de <« Société de biologie, <834. Cité par Claude Hernard
dans la Notice sur les <)'<Mau': juin t8S~, p. 40.
1848. ~éune)'. Expériences sur les manifestations chimi-
ques diverses des substances introduites dans l'organisme.
Arehiv. ~K. de méd., 4° série, XVf, pp. 62-85 2<H-232.
(t) Des ('Otnbina.isuM dans lega:i~
et !M ditr~ront* t'quMes ou tiMU$ du
corps,p.!)2.
(2) Des fermentations dans )o sang, p. 79.
(3) Décompositions dans le sang, p. 2t9.
(<) Oxydation dans le sang, p. 32t.
1848. 2 /et'r<cr. Constitution physiologique de l'urine et de
la bile.
Soc. pMom., J848, p. t4.
1848. 29 aut't/. Sur les usages du suc pancréatique.
Soc. p/K'<otM., f 848, p. 34.
1848. 28 ao: De la présence du sucre dans le foie.
En collaboration avec BarreswiH.
Camp. rend., XXVII, i848, p. 249-83-St4.
DES TRAVAUX t)E CLAUDE BER~AHD. 343
1849. Janvier. Présence du sucre dans les matières vomies
par un diabétique.
Mem. Soc. ot'o~. t849 (C. R.), p. 4.
1849.'AtHMer et février. Action toxique de l'atropine. Sur le
tournoiement.
mm. Son. Mo! i849 (C. R.), p. 7 à 9-13.
1849. 3 février. Influence de la section d&s nerfs pneumo-
gastriques sur les contractions du cœur.
Mëm. Soc. biol., <849 R.), p. t3.
1849. 3 février. Du passage incomplet des substances intro-
duites dans le sang par les voies circulatoires.
M~n. Soc. biol., 1849 (C. R.), p. <3.
1849. 3 /~M'Mr. Influence de la section des pédoncules
cérébelleux sur la composition de l'urine.
Mém. Soc. biol., )849 (C. R.), p. <4.
1849. 3 /<M?-. Sur l'indépendance de reiement moteur et
de l'élément sensitif dans les phénomènes du système
nerveux.
Mëm. Soc. biol., 1849 (C. R.), p. 15.
1849. 3 février. Sur le tournoiement qui suit la lésion des
pédoncules cérébelleux moyens.
Soc. pMom., i849, p. 2t.
L'M~t, 1849, p. 52.
1849. 7 février. Influence du système nerveux sur la pro-
duction du sucre dans l'économie animale.
L'Institut, 1849, p. 130.
Soc. philom., 1849, p. 49.
1849. 17 février. Paralysie de l'œsophage par la section des
deux nerfs pneumo-gastriques.
M~K. Soc. biol., 1849 (C. R.), p. 14.
1849. 19 février. Du suc pancréatique et de son rôle dans
les phénomènes de la digestion.
Mém. Soc. Mo! 1849, p. 99-Ha.
L'Institut, 1849, p. 65.
't.BtBL!OGRAf'H)E
An?t. de c/m., XXV, p. 474-484.
~dma?! JcM?-H. prak. chem., XLVIII, ~849, p. )02-HO
Arc/tM.~n. dem< X)X, t84!). p. 60-
Froncp's JVottMM. VU, t849, cot.SH-H6.Joto-n. pAfM-m., XV, )849, p. 336-346.
Comp<. rend., XXVftf, i849, p. 249-2S3.
i) De l'extraction du sucre pancréatique et (tes conditions f)o sa sëcn-t.iof.p. tOO ().xp Au début no digMtion). (K~ Il. En pleine diMf.-tion, p. )M). (K-!p. )! Pendant J'abstinence, p. t03).
(Jtj Caj-actères physiques et chin)i<juM du suc panwatxjue p j0~tttt) Propriétés physiologiques du suc paMr<S!Hir)ue son Mtion spécialE;sur les matières grasses neutres ctmMM en dehors (le rarum~f p. 108.fi\ Acuon du suc p~~atique <a h digestion étudiée sur rMima)
vivant son rôle indispensable po. l'absorption des nMtièrM gMMe.neutres et pour ia formation <(u chyle, p. Ht.
1849. 31 Ma~. Disposit.ion des fibres musculaires dans laveine cave inférieure du cheva!.
Mém. Suc. Mo< <849 (C. R.), p. 33.
1849. 31 Ma?' Mouvements des valvules sigmoïdcs.M~m. Soc. biol., 1848 (C. R.), p. 40.
1849. Avril. Chiens rendusdiabétiques.
~m. Soc. &M/ !S4!) (C. R.), p. 60.
1849. Avril. Du sucre dans l'œuf.
EncoHaborationavecM. Barreswil.
~m. Soc. &M~ )849 (C. R.), p. M.
1849.t et ~<M:. Veines établissant une communicationentre la veine porte et la veine cave inférieure
???. Soc. biol., )849 (C. R.), p. 78-87-100.
1849. jtfat.Autopsie d'un
diabétique.J!f~). Soc. biol., i849 (C. R.), p. 80.
1849. -/MM). Actionphysiologique des venins.
(Curare).Mém. Soc. biol., <849 (C. R.), p. 90.
1849. H~M~ Propriété du suc contenu dans l'intestin.M<'m. Soc. 6to! )849 (C. R.), p. )0i-t02.
1849. Juillet. Procédé nouveau pour couper lacinquième
paire de nerfs dans le crâne.
Mfw. Soc. biol., 1849 (C. R.), p. i04.
DES TRAVAUX DE CLArnRRRnXAR~ 3~
1849. /)o~<. De l'assimilation du sucre de canne.
Mf;m.Soc.6toi.,t849(C.K.),p.it4,it:i.
1849. AoM<. Remarques d'anatomie comparée sur le Pan-
créas.
M~nt.Soc.Mo<t849p.~7.t)9.
tn<)icationsdesgpnres<)e poissons dans lesquels on acnn'-tatë jusqu'à,présent un pancréas glandulaire, p. ))8.
1849. ~ioK<. Cas d'atrophie partielle dela moe))c epinierc
coïncidant avec une atrophie des racines antérieures cor-
respondanteset avec une paralysie. du mouvement volon-
taire dans tes membres postérieurs, observé chez un
jeune agneau.
En coftaboration avec M. Davainc.
~<'m. Soc. biol., <8t') (C. R.), p. OO-ia).
1849. De l'origine du sucre dans l'économie animale.
M~.Soc. biol., )S49, pp. 12t-t33.
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Bibliothèque uHh'et'seHe de Genëca, Arc~tnes, X, 1849, pp. ~0-73.
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jf<'M. Soc. biol., 1849 (C. M.), p. no.
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Aff'm.MC,6M!i849.(C.R.),p.i'!L
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M~t. Soc. biol., <849 (C. H.), p. 204.
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1850. yMt//c<. Faux hermaphrodisme (androg-yne masculin,
Gurit), observa chez un chevreau.
En coitaboration avec M. Rayer.
Mdw. Soc. biol., <850 (C. R.), p. i28-<30.
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Prix de physiologie expérimentale pour t8St.
Campt. rMa., XXX), 1850, p. 37)-37t.
DES TRAVAUX DE O.AfJt'E BERfAttf). :)t-7
CoHtp<.)-e~XXXtV,~a2,p.4)6.Archiv. g<*tt. de ;~(; XXtV,p. 383.
1850. 4 ?M~<'w&rp. M. Ct. Bernard prie l'Académie de vou-
loir bien le comprendre au nombre des candidats pour ta
place vacante dans la section d'anatomieet de xootogie.
Comp. rend., XXXt, i8:i~, p 6a9.
1850. 4 H0t)cm&r< A l'occasion d'une note de M. Stas rota-
tive à la présence du sucre de raisin dans le liquide auan-
toïde de la vache, M. CI. Bernard annonce que depuis
longtemps il a fait des expériences publiques qui démon-
trent l'existence du sucre de raisin dans l'urine des fœtus
de vaches et de brebis, ainsi que dans les liquides de
l'amniosetdet'aitantuïde.
Co'Hp. rend.,XXXt, i850, p. CM.
1850. Z~MM~'e. Action du curare et de la nicotine sur le
système nerveux et sur le système. musculaire.
Mém. Soc. biot., <8SO (C. H.), p. tCS.
1850. 9 f~ccM~'e. Du rôle de l'appareil chyHfere dans l'ab-
sorption des substances atnnentaires.
Compt. rend., XXXI, i8:i0, p. 798-802.
AfeAt~. gén. de m~d., XXV, p. H8.
1851. Octobre. Sur deux cas d'altération du foie et sur un
cas de fongus de la dure-mère.
En collaboration avec M. Cbarcot.
M~m. Soc. biol., 48St (C. R.), p. i~4-t38.
()) Granuhtions graisseuses du foio, p.')~4.
(2) Anatomie (lu foie atteint <te cirrhose.
(3) Anatomie d'un fongus (te ta tture-ntère.
1851. 31 oefo~'e. Sur les causes de l'apparition du sucre dans
l'urine.
En collaboration avec M. Charcot.
~m. Soc. biol., <8S< (C. R.), p. )44-~6.
1851. Octobre. înuuence du grand sympathique surtasensi-
bilité et sur la calorificat.ion.
M<'m. Soc. biol., 1851 (C. R.), p. <63-i64.
348 BtKHOGi)AP)!!E
18S2. Janvier. Variations dans tes phénomènes de la diges-tion chcx les animaux.
M~m. Soc. MoL, i852 (C. R.), p. 4.
1852. i6/c!)W<?/ necherches d'anatomia et de phyioiogie
comparée sur les glandes sativaires chez l'homme et chez
les animaux vertébrés.
Compt. rend., XXX)V, i8S2, p. 936-240.
ArcAtt). a~. de fn~d., XXVIII, p. 360.
1862. 29 MfM'A'. De l'influence du système nerveux ~rand
sympathique sur la chaleur animale.
Compt. rend., XXXtV, 1852, p. 472-4'?:
~MAm. gén. de m<'d., XXVIII, i8S2, p. 39v.
Annales des sciences n(t<[<re~M, Zoologie, i854, t. 4* sérte, p. 176-)99.
1852. 8 c< i2 avril. M. C!. Bernard prie l'Académie de vou-
loir bien le comprendre au nombre des candidats pour la
place vacante dans la section d'anatomie et de zoologie.
Comp. tw:< j832, XXXtV, p. 53< et S68.
1852. ~<MH~-e. Sur les phénomènes réflexes.
M<'M. Soc. Mof., t8a2 (C. H.), pp. <49.)S).
1852. Octobre. Expériences sur les fonctions de la partie
encephatique du grand sympathique.
HMm. Soc. Mo< i8sa (C. H.), p. iSS.
i862. A~owMtA?~. Sur les effets de la portion de la section
encephaiiquedu grand sympathique.
Mém. Soc. <)M~ <852 (C. R.), p. i66.)70.
1852. Mémoires sur les salives (1 pL)
~<'M. Soc. Mo< <852, pp. 349.386.
Po~t Att?ia<< dt c/t!m., XVt!t, i8S4, p. S4-S9.
AreA:'t). gén. de méd., XXVIII, p. 360.
Considérations sur ta structure comparée des gtartdt-s salivaires chezi'hommcet ehctiasanimou!, p. 351.
Chapitre Des ditMrentes salives. Procédés pour tes recueillir, ieure
propriété, tourcompMitionchinfiquo, p. 355.
§ Stth'o mitte ou butMto chez t'hommeettet animam. A, Mmpo-<ition physique, p. 356. B, composition chimique, p. 360.
§ i). Salive parotidienno, p. 375. A, procédés pour l'obtenir, p. 3'!6.
B, propriété physiologiques et chimiques, p. 380.
DES TRAVAUX DE CLAUDE ftËH~AHO. ;!t!)
1853. Expériences sur )'e)iminatio!)c)ecthe de certaines
substances par les sécrétions, et en particulier paria
sécrétion sativairc.
Arc/t)t'en.d''m<'d.,),)8S3,p.tt.
1853. '7 mars. Note sur la multiplication des phénomènes
qui resuttent de la destruction de ta partie cervicale du
nerf grand sympathique.
Comp. t'enc! XXXVt, f8M, p. 4)t4!7.
18S3. Recherches sur une nouveHe fonction du foie consi-
dère comme organe producteur de matière sucrée chez
t'homme et les animaux.
Thèse soutenue le 17 mars 18~3, pour obtenir le grade de docteur
es sciences naturelles, Paris, in-4, 97 p.
/inH. $c. M<Z(M~of;t(. X!X, i8~3, p. 282,340.
A)'cAH!fft.dem<M.,t,t8:i3,p.7fi2.
Do la nature du sucre produit dans )<j foie et <fe'i profrdfs )'mp)n\f's poursa recherche et son dosage, p. )6.
Démonstration c!ip<ime)t(a)Gdo)af<u'!))Mion du sut'['('(tant le foie de
l'homme et des animaux \'ertebre<, p. 3).
CHAF. Présence du sucrt' <iatts le foie <)'' t honxuc et (tes animaux vertu-
bro~ h l'état physiologique, p. 31.
CHAf. Il. Origine du sucre qui e\Mte dans le foie de ) homMte ot des aui
mau.t,p.'4!).
()) Le sucre du t'oie no provient pas du dehors, et est mdcpond.uft dt;
)aLnaturode)'a)ime<ttf!t!t)u.p.5<).
(2) Le sucre est produit dans io i'ox'. p.<}.
(3) tt y a deux origines possibles pour ta mati~t'c sucrée chez i'hommo
et chex les animaux leur importance relative, p. 58.
CnM. IH. Productioa du sucre dans le foie, ses périodes, son )nM:U)i'.mc,
p. 64.
(1) Oscillations de la production du Mcrc eu rapport avec t'abstineuce
et la digestion, p.(it.
(2) Le sucre se forme aux dépens de~ Rtcments du sang, p. '!0.
(:t)tnuuenc<*de)'aj.;e,dusox'otc..p.'T).
CRAP. tV. Do la production du sucre dans le foie des animaux invcrtehr.'s.
p. M.
(n MoUuMues i MoUus'jues Rasteropodes pntmones. p. 83.q
'2) ac(:ph:des,)ame)tibranches.p.8G.
C:)Articuies,p.87.
Conclusion genérate et propositions, p. !U.
1853. 30 aw~. Inuuence du sucre mctauge au sang pour
l'absorption de !'oxygcne.
AfctN. Soc. biol., 1853 (C. R.), p. 40.
1853. -/MiH. Expériences instituées pour déterminer dans
MO BtUHOGftA.P)t!E
qucUes conditions certaines substances, qui sont habitue!-
toment gardées par le sang, passent dans )'))rinc.
Jtft'm. Soc. &M~ 1853 (C. R.), p. ~5-Sti.
1853.M<<. Sur les ph6tton«'ncs d'absorption qui s'effec-
tuent à la surface des conduits des glandes salivaires.
~m.~oc. t':o~ )8M (C. R.), p. «Mk
1853. ~o'K. Sur la destruction des glandes au moyen d'ia-
jection de matières grasses.
JMm. Soc. biol., i8S3 (C. !<-), p. <tS-ti~.
1853. 7 et 2t ~cpw~rt'. Recherches exp('runenta!es sur le
grand sympathique et speciatcmcnt sur J'influence que la
section de ce nerf exerce sur la chaleur animale.
Mém. Soc. de Mo~ i8S3, p. 77-)07.AW!. sc. M<. ZM/tM~M, t, i8S4, p.
176 à i99.
()) Le nerf grand sympathique est-it )e seul dont la section produise de la
coJarHication, p. 8.').
~2)))e')C!-iption des p)x''n«mènas df catoriHcitt.ion q maccompagnent sectiort
de la partie rervica~o du grand sympathique, p. 9?.
t3) K(rota de la galvanisation du bout cephsHqae du nerf grand sympathiquesur les pttenom&na!) de ta c!uo)'ittc:ttMn dans la tête.
(t) Hfft'tsde iachiorofunuetion sur la calorification. p. KtO.
Des MRports qui existent e~tro la Ya~cuhriMtion et la cotanticatioo des par-tics apr&s la section du grand sympathique, p. )09.
1854. JaHft~. Observation d'un cas de phthisie aiguë avec
aheration correspondante dans les reins.
En coiiaboration avec Hobin.
~M. S"c. biol., i854 (C. R.), p. t4-<S.
1864. 30yaMpw. Influence que la portioncervicalc du grand
nerf sympathique exerce sur la température des parties
auxquelles ses n!ets se distribuent en accompagnant les
vaisseaux artériels.
Prix de physiologie expérimentale pour i8:;3.
Camp. r<Md., XXXVttt, t854. p. 194.
1864. -A'tn.Expériences relatives à la manière dont on fait
l'endosmose à travers la peau des anguiUes et des gre-
nouilles.
MA?). Soc. biol., t8ot (C. R.), p. 72.
DES TRAVAUX DE CLAUOK BERNARD. 3~)
1854. Notes ot' M. Bernard's ieciui'es on thé B)ood withan
appendice byWa)ter F. Atlee, M. D. t'hiiadetphia, i85i.
in J2, 224 pages.
1854. 26/KtM. M. CI. Bernard est nomme membre de l'Ins-
titut (section (le médecine et de chirurgie) dans la séance
du 26 juin 1854, en remptacement de M. Roux.
Comp. rend., XXXVUt, ~54. p. U4<.
Comp. )'en< XXX)X, )8S4, p. t.
1854. Rapport, fait au nom de ta section de médecine et de
chirurgie, chargée par l'Académie de rédiger un pro-
gramme pour ]e prix du legs Bréant.
Comp.)-eHc!XXX!X, <8St,p. 994.
1865.aK!;«?7-. Sur l'action du charbon animal par rapport
aux matières organiques, et particulièrement aux matièresatbummoïdes.
Jt~m. Soc. biol., i8aa(C. H.), p. ).
1855. Janvier. Sur les phénomènes gtycogcniques du foie.
~m. Soc. biol., iSot) (C. R.), p. 2.
1855. 12 mars. Remarques sur la sécrétion du sucre dans le
foie faites à l'occasion des communications de M. Lehmann.
Comp. !'ettt< XL, 1855, p. S89.
1855. 2 <H~'t/. Note sur la présence du sucre dans le sang de
la veine porte et dans le sang des veines hépatiques.
Comp. t'end., XL, 1858, pp. ?«!.
JoMfM. dep/MtrM.,XXV)H, i8a:i, p.H9-450.
1855. 2 aM' M. CI. Bernard présente, au nom de Fauteur.
Lehmann, une note sur une substance animale glyco-
gène.
Compt rend., )SS5, XL, p. '771.
1855. 24 septembre. Sur le mécanisme de la formation du
sucre dans le foie.
CoMp. t-etto! XLI, t8S5, p. 46i.
Jout'n. de p/«t)m., XXXI, t8a7,p. 344-3S5.
Ann-sc. Hft<. Zoo~'e, VI, 1856, p. 2)2-222.
1855.22oc~o6?'c. ~L CI. Bernard présente, au nom de M. Leb-
3M -) [iIBUOGHAt'tHE
mann, une note sur la recherche du sucre dans le sang de
la veine porte.
Remarques a l'occasion de cette communication.
Comp. <'eMd.,XL), i8~, p.66[ et6t!S.
1855. 12 et 19 Houp?n&re. M. CI. Bernard présente au nom de
M. Stilling deux mémoires sur la structure de la libre ner-
veuse primitive.
A l'occasion d<' ces mémoire.-} quelques remarques relatives
à la structure de la moelle attongee et la détermination
du nœud vital.
Comp. rend., XL!, t8M, pp. 828-898 et 830.
1855. 12 ~6 Mo~e~n~'p. Réponse à une question faite par le
prince Cu. Bonaparte relativement au sens de cette expres-sion nœud vitaL
Comp. rend., XL!, )8aS, p. SM et 9t8.
1855. n~ee~M~'e. L'Académie élit M. CI. Bernard comme
candidat en première ligne pour la chaire de médecine au
CoUegcde France.
Comp. rend., XL!, 185o, p. i07L
1855. Leçons de physiologie expêrimenta!e appliquée à la
médecine. Paris, 1855-1856, 2 vol. in-8, vm-1030 p. avec
100 ug.
Cours de médecine au Collège de France.
Réimprimé, en <865 et en <874, sans changement.
1856. VaMUte; Rapport sur le concours pour le prix de phy-
sio)ogie expérimentale.
Rapport sur le concours pour les prix de médecine et de
chirurgie.
Rapport de la section de médecine et de chirurgie sur
les legs Breant.
Camp. t-end., XL:), tSHa, p. ~37-7-~8.
1856. yHMt't'er. M. CL Bernard présente un opuscule d<;
M. Castorani sur la kératite.
Comp. rcn~ XHt, 18S6, p. 1C8.
1856. J~Mw. Inuuence de l'alcool et de l'éther sur les se-
crëtious du tube digestif, du pancréas, et du foie.
Jf<M. Soc. biol., i8S6 (C. H.), p. 30-32.
DES TRAVAUX M CLAUDHBEHNAR~. 35:!
CLAUt)EBEK!<ARO.X!X. 23
1856. Cf. Bernard communique uneiettredeM.Matteuc-
ci rotative <mx conditions qui font varier les ~re-
nouijiesja durée de la contraction moscuiaire.
<;omp.rM~XLfH,t8:!6,p.23t.
1856. ~«M. Innocuité de t'hydrogene su)fure introduit dans
tes voies digestives.
.tMm. soc. biol., )8:iR (C. R.), p. )37-)38.
1856. i.'w~)' 18 septembre. Recherches expérimentales sur
)at:e<np6ratureanimate.
Co~p. )VK~ X),), 1856, p. 329-33'
XL)! 1856, p. !iH~S69.
Des mnfUfic.ttions de température que le sang éprouve en traversant
)'apparci)(!igcst)f',p.~39.
n. Des )nof)ific.tti«rtS de température que ic sang éprouve on traversant
f'apparei)rcspiratoire,p.5(!).
expériences faites pour constater la <en)pe:'atur<' du '.an,; dans les cavités
duc<fur avant etaprest'appareU respiratoire, p.)(!<.
1856. 27 oe~.<&)'e. Analyses physiologiques des propriétés
des systèmes muscutaircs et nerveux au moyen du curare.
Cowp.M)t~XLin,i8HS,p.825,829.
t.eco<MSM)'/es.'<ti&staft(;cs(o.);t'j'ues,Pa.ris,t8:i7,p.463.
1856. Mémoire sur le pancréas et sur le rôie du suc pan-
créatique dans les phénomènes digestifs particulièrement
dans la digestion des matières grasses neutres, Paris, 1856,
in-4, avec 9 pL gravées et en partie coloriées.
St<ppM!HM< NMJ' comptes rendus de l'Arad. des sciences, tonte f, t8H6,
P.379-S63.
Cliapit?' 1.C''Mp~'f
Considérations anatomiques sur le pancréas, p. 38'
§ t. Des conduits du pancréas et de leurs anastomoses.
)"Chez)'hommo,p.383.
'2<'Chex)ec))icn,p.S8'
3° Chez ie chat, p. 388.
4*Chcz)o)apia,p.389.
i)°Chcztcchevai,p.390.
6° Chez le bœuf, p. 390.
'!°Cheztemoutonot)a.chevre,p.3!M.
§!). Structure du pancréas, p. 391.
§ Ht. Des pt'opM&teit chimiques spéciales au tissu du pancréas, p. 393.
f Le tissu du pancréas aciditie rapidement les graisses neutres, p. 393.
2° Le tissu du pancréas fournit en se décomposant une matière coto-
rante particulière, p. 403.
3S4 BtBUOHfUPfUE
S" Le tissu du pancréas possède la propriété de transformer i'amfdon
onsucre,p.4tt9.
C/t~t<rf7/.
Du suc pancréatique.
Procédés pour recueillir le suc pancréatique sur les animaux vh-~tts.
p. 412.
t''Sut')echieo.p.4t4.
T'Surtetttpin,p.4t8.
§ t[. Du suc pancréatique, de sa '«'cr~tion o! des modifications qu'il éprouve
pendant son extraction, p. 4)!).
[° Suc pancréatique normal, p. 427.
2" Suc pancréatique anormal ou altéré, p. 427.
§ !U. Propriétés physiques et composition chimique du suc pancréatique,
p. 430.
t" Propriétés physiques, p. 4:M.
Modification que subit le suc pancréatique quand on l'abandonne à
iui-mome après son extraction, p. 432.
2" Composition chimique du suc pancréatique, p. 4M.
Do la matière spéciale du suc paocroatique, p. 43'
§ tV. Proprictes physiotogico-ehimiquesdu suc pancréatique, p. 441.
Action du suc pancréat.ique sur les matières grasses neutres en dehort
de )'anima).
1 Le suc pancréatique émataionnc les gt-ahtes neutres; cette prophatu
lui est exclusive, p. 44t.
2° Le suc pancréatique acidifie les graisses cette propriété lui est
exclusive, p. 445.
Chapitre
Action du suc pancréatique dans la digestion de ta graisse chez l'animal
vivant.
§ t. Le suc pancréatique émulsionne les graisses et opère la formation du
ehyto, p. 45(!.
§ Il. Le suc pancréatique agit-il dans t'intestin chimiquement sur ta graisse
do la morne manière qu'en dehors de l'animal p. 46'
g U!. Perturbation qu'éprouve la digestion de la graisse par ta destruction
du pancréas chex les animaux mttmmift'ras ou par les maladies de cet
organe cheiit'ho'nme, p. 4'!0.
t'Ab!ittion du pancréas, p.4'!t.
2° Destruction du pancréas, p. 4?3.
3* Affection. du pancréas chez l'homme, p. 48t.
4° Fistules pancréatiquescitez t'humme, p. 4!)3.
§ IV. Qu'est-ce que le ctiyte ? p. 43U
Chapitre /r.
Rôle du suc pancréatique dans la digestion des substances alimentaires
autres que les matières grasses neutres. Théorie générale de l'action
du suc pancréatique.
§ Action du sucre pancréatique seul sur tes matières alimentaires fécu-
lentes, sucrées et albuminoides, p. M)2.
1 Action du suc pancréatique sur tes matières alimentaires lorsqu'il agit
de concert avec tes autres liquides intestinaux et particutiorement avec
le suc gastrique et la bile, p. 506.
§ III. Théorie générale de l'action du sucre pancréatique dans tes phéno-
mènes de la digestion, p. 5t7.i.
t)ËS TiiAVAUX DE CLAUDE nERNARn. 3:i:;
C/p'7rft'.
))n pfmcrMS ft de son rôle cot)sit)'t't's daus la s~ric :mima)c.
') i.Dupanrroas et de snnr&tf chez ]"s oiseaux,p..T'i.
~f).H6)e<)upan<'r~aschez)esrepti)pset)espois<.<)tx.p.5M.
~t)!.t)tt pancréas dans les invertébrés, p.44.
ti)V.Phvs)(t)npict'omparendnp')nc)'6a'ipnif!cationdes()iffcr'*ncc<)<ip-e
volume rlu'il présente chez les animaux, p. M.
1857. Rapport sur le concours pour !c pri\ de physiotogif
cxp6rimenta)e de l'année 1856.
Comp. rend., XLIV, t8S7,p. 167.
1867. /et'rte?'. De réiiminatiot) de rhydrogcne suHuré par
!a surface pulmonaire.
/t?'c/< gén. t<<'m<!t<)X,<8S.7,p. )29-<35.
1857. ~Va?'.<. NouveHes recherches expérimentâtes sur les
phénomènes prtycogeniqoes du foie.
W<'w. soc. Mo< i8n7, p. t-7.
1857. 23 ma~ Sur le mécanisme physiologique de la for-
mation du stlcre dans le foie (suite', voir n. 2.4. septembre
t8SS.
Camp. rend., XL!V, i8:i7, p. U78-o8(!, f32:t33t.
1857. Leçons sur les effets des substances toxiques et mé-
dicamenteuses. Paris, t857, t vol. in-8, p. viu-488 avec
32 fig.
Cours de médecine du Collège de France.
Réimprimé en 1867, sans changement.
1857. ~a:. Nouvelles expériences sur le nerf facial.
M~tn. soc. biol., i847 (C. R.), p. M-60.
1857. 29 ~ti:M. A i'occasion d'une communication de
M. Sanson sur la formation du sucre dans l'econoiiiie, ani-
male, M. Ci. Bernard fait connaître de nouveaux faits
relatifs à la formation de la matière g)ycopène du foie.
Comp.n'tKt., XLIV, t857, p. i32S-t33).
1857. Juillet. De l'influence qu'exercent différents nerfs sur
la sécrétion de la salive.
M<'m.MC.6M.,t857((:.R.),p.8S-86.
3S<i 8!BL!OGt<AP)nE
185*?. Note sur les quantités variantes d'efccfricitc nëcossafrc
pourexciter les propriétés des différents tissu-.
~Mf.Mo<f8S7,p.ti3-<!H.
1857. DeUe ossidazioni net sangue.
PoKt A)m. di chimia, XXV, i857, p. t09-HS.
1858. 25~aKi!Mr. Sur les variations de couleurs dans le sang
veineux des organes g)andutaires, suivant leur état de
fonction ou de repos.
Comp. rend., XLVI, 1858, p. <89-i65.
Journ. de <o postât., <8S6. p. 233-2~.
if<'m. soc. biol., f8SS, (C. R.). p. i-a.
Journ. de. p/tarm., XXXtU. 1858, p. 306-309.
jRetcheWArc~,<8S9,p. 673-676.
1858. ~fM't~ Sur une expérience relative à l'influence que
les nerfs exercent sur les glandes et particulièrement aux
phénomènesde circulation pendant la sécrétion gtandu-
laire.
M<'m. soc. biol., <8H8, (C. R.), p. 29-30.
1858. Leçons sur la physiologie et la pathologie du système
nerveux. Paris, i8N8, 2 vol. in-8, p. vm-i080 avec 80 Cg.
Cours de médecine du Collège de France.
Réimprimé en 1867 et en <875 sans changement.
1858. 9 aoM<. De l'influence de deux ordres de nerfs qui dé-
terminent les variations de couleurs du sang veineux dans
les organes glandulaires.
Comp. rend., XLVII, <838, p. 245-293.
Journ. de iu physioi., i, 4858, p. ti~.8-ci58.Joun). <f<tp~t< t, i8S8, p. 648-658.
Jouf. pA~m., XXXtY, )8S8, p. 227-232.
Reichert Archiv, 1889, p. 9~97.
American journal of Dental sciences, IX, t859, p. 280-287.
1858. 6 ~p~m~'e. Dotermination, au moyen de J'oxyde do
carbone, des quantités d'oxygène que contient le sang
veineux des organes glandulaires à l'état de fonction et à
l'état de repos.
Camp. rend., XLVII, i8S8, p. 393-400.
Journ. dep~Sto! t, t8f'8. p. 688-66S.
Jount. de pA<M'm., XXXIV, i8S8, p. 30&-3f4.
J{e<cAf'~A?-<J8S!),p.4i2-4i8.
Leçons sur les liquides de l'urganisme, Paris, t8S9, tome H, p. 431.
DES TnAVAUX DE CLAUDE-: BEH~ARD. :7
1858. 8 f/cM'MO/v. Physiologie et pathologie, leçon ({'ouver-
ture.
P)!!OM médicale, t859, nouv. série, tome t, p. SU.
Leçons de pathologie Mp~Mfn~e, 2'' édit., i880, p. 32!.
1858. Observations sur la question des générations spon-
tanées.
A?tK. se. H<:<. (ZooL.). iX, 1858, p. 360-366.
1859. 3j'aMfM< Remarques concernant la question des gé-
nérations spontanées, présentées à l'occasion d'une com-
munication de M. Milne-Edwards.
Comp. fMt~ XLV! I8S9, p. 33-34.
1859. 10 ~aMt): Sur une nouvelle fonction du placenta.
Atin. M. ?M<. (ZOOL.), X, 1838, p. tH-<36,pl. 6, 7, 8.
C~Kp.refta! XLVIII, 1859, p. 77-86.
Journ. de la physiol., !I, )8a9, p. 3i-H, pl. ![t.
Jfém. soc. Mo! 1859, (C. R.),p. t0~-t07.
Tissus limitants. Surfaces cutanées et muqueuses. Épithéliums. Surface
cutanée, p. 123. Surface de la muqueuse intestinale, p. 127. Voies
respiratoires, p. 128. Mcmbraue muqueuse des voies gcnito-uri-
naires, p. 128.
Tissus intérieurs. Systèmes osseux, nerveux, musculaire, g)anduhure,
p. t2!).
1859. ~aKUter. Sur l'action des nerfs, sur la circulation et la
sécrétion des glandes.
M<'M. soc. 6: i8S9, (C. R.), p. 49-
1859. Leçons sur les propriétés physiologiques et les alté-
rations pathologiques des liquides de l'organisme, Paris,
I8S9, 2 vol. in-8, p. xv)-1004avec i8tig.
Cours de médecine du Collège de France.
Réimprimé en 1874 sans changement.
1859. Leçons sur la matière glycogène du foie.
Union médicale, 1859, n. 26, 35, 38, M, 56.
1859. 26~aMfter et 6 /ewM~. La circulation générale et les
circulations locales, influence vaso-motrice du nerf grand
sympathique. Leçon recueillie par A. Tripier.
Clinique européenne, 4 février et 3 septembre 1859.
Leçons de)M</to<o<eM'p~'tmen<«/e, 2° édition, 1880, p. 3tH.
358 Ht8L!OMAPntR
1859 7'*fM't(' Sur la cause de la mort chei! les animaux
soumis a une hante tempf'raiun'.
M<'M.soc.&oL,)8:.9,C.R.i,p.Si-33.
1859. Le diabète, leçon recueillie par A. Tripier.
Clinique eMrppt'MM, f3 mars i8M.
Leçons de p«~to~6f!e t'a;p(~i'meM(<~(;<= volume, <880, p. 328.
1859. Rapport sur le concours pour le prix de physioJo~ie
exporimentaic, année )838.
Comp ?'<-Hd.,XLVJH, i8a9,p. 500,
1859. 4 aM':7. De la mati6rc gtycogenc considerëe comuic
condition de devetoppement (te certains tissus chex le
fœtus avant l'apparition de la fonction gtycogëniquo du
foie.
Cjmp. rMd., t8S9. XLVtH, p. 6?3-684.
Journal de la physiol., H, f8n8, p. 326-337.
1859. La fièvre, leçon recueillie par A. Tripier.
Clinique européenne, !) avril i8S9.
Leçons dep«</t0<&f/t'e e.cpt'tmenta~, T édition, )880, p. 340.
1859. 2Mt< Remarques:') {'occasion d'une communication
de M. Schifï K De la nature des granutations qui remplis-sent les c(')iu)eshcpathiqucs amidon animal o.
Comp. )-en<)!X):.V)H, i8M, p. 88t-886.
1859. ~t. De la matière giycogene chez les animaux dé-
pourvus de foie.
afcm. soc. &M< 1869, (C. R.), p. S3-S5.
1859.24~M<H. Proprietëa
seusitives dugrand sympathique
et mouvements rénexes qui se produisent sous son action.
Leçon recueillie par A. Tripier.
CH~t'/xe eut'op<!<;tMe, <6 juillet t~M9.
Leçons de pa(/to<0f?t< ea;p~'tmcM<<~(!, 2" édition, i880, p. 3St.
1859. lt~Mt~e<. De la présence du sucre dans te sang de ta
veine-porte et dans celui des veines sus-hépatiques Expé-riences de M. G. Schmidt analysées par M. Bernard qui, à
cette occasion, présente deux ouvrages danslesquels il a
expose les principaux résultats de ses recherches sur co
sujet.
Comp. rend., XUX, 1839, p. C3-64.
DES TttAVAUX DE CLAUDE BEH?<AR))..?5<!
1859. 29 aoM~. Sur l'emploi du curare dans le traitement duu
tétanos réponse à des remarques de M. Velpeausur te
fait rapporté par M. Vella.
Comp rend., XUX, J8S9, p. 333-334.
1859. 21 not'c~&re. Remarques à l'occasion d'une communi-
cation de M. Il. Hintrac sur un cas de tétanos traumatique e
traité sans par le curare.
Cowp. M~ XHX, <8S9,p. 823-824.
1859. Recherches sur l'origine de la glycogenie dans la vie
embryonnaire.
~M. ~-oc. &M., i8S9, (C. R.), p. !02-i07.
1859-60. Lectures on expérimental pathology Lectures
on spinal Cord.
Medica! Times ..Md Gazette, 1860-6), in-4°, 35 Tf".
Leçons de pathologie ea*pe?'tm<;ntfde et Leçons sur les propriétés de la
moelle ëpMtt~'e, i vot. in-8", 2° édition, 1880.
1859-60. Operative physiotogy.
Medical Ttmes <tnd Gazette, i8ti0, )i.janv. tome n" 498, à 20 oct.
t8fi0, t. H, n° 338, passim, 15 numéros.
Leçons de p/~oo~o~te opératoire, Paris, t879, < vo!. in-8, avec Sg.
1860. Rapport sur le concours pour le prix de physiologie
expërimcntate et pour les prix de médecine et de chi-
rurgie.
Comp. rend., L, t860,p. 220-226.
1860. -Va;'s. Sur le rôle des nerfs des glandes.
M~t.Mc. biol., 1860, (C. R.), p. 23-M.
1862. 3 aoKt. Coup d'œil sur la science ethnographique.
Discours prononcéà l'ouverture de la séance générale de
la Société d'Ethnographie, le 3 août 1862.
mmot'res de la société d'Ethnographie, ~862, Ire série, t. Vtt, p. 283
à 287.
1862. 4-18-25 aoMf. Recherches expérimentales sur les nerfs
vasculaires et caloriuques du grand sympathique.
Journal de la physiol., V, <862, p. 383-418.
Comp. rend., LV, i862, p. 228-~36.
305-312.
34t-350.
MO mBHOGXAP~E
Pt'cMt'ptepttWtf.
De la dist.inc.uon des nerfs moteurs yaacutaire!; et calorifiques d'avec les
uerfsmotcurs ordinaires ou musculaires, p. ;!S8.
())Dfs nerfs vascu)ait-pst'tca)~nt)(juc'i du membrf postérieur, p. N88.
(2)Dosnf'rfsv<tscu)air('sdun)Cfnbresupericur,p.3m.
f~tf~'<~Wf*p<H'<!C.
RMho-chps pxpcrimfntajes sur les ganglions du grand sympathique, p. <(?
(gang)i()n')us-maxi))Mrc'
r''OMifM<«,<)'<
Des phcnom~nps o<*u)o-pupt))aircs produits par la sccticn du nerf sympa-thique cervica); ils sont indépendants des phénomènes \a'c~)airc3 cato
riHfjuesde!at6te,p.4)0.
1862. i'septembre. ues phénomènes ocnto-puptUaircs pro-
duits par la section du nerf sympathique cervical )<'ur
indépendance des phénomènes vascutaires caloriques de
iatôte.
Camp. rend., LV, i8)j2, p. 38~-388.
1862. Rapport sur le concours pour le prix Aihumbcrtdt'
1862 (questions des ~cnerations spontanées~.
Comp. t'ett<< LV, ~8û2, p. S69.
1862. Rapport sur le concours pour le prix de physiologie
expérimentale de 1862.
Comp.t-t?)'td'LV,)862,p.MO.
1864. i5 avril. La médecine expérimentale. Leçon d'ouver-
ture.
6<tM«e M~<<Ma~ de P<M')S, n" t7, 22 avril t864..
Leçons de pathologie f;Bp<'nMC)t<a~, 1880, 2* édition, p. 396.
1864. Facmte des sciences, physiologie générale. Cours
année 1864.
Net'Me des cours !!CM!t<t~gue.< vol. t, i863-f}4, vol. H, t8f!i-(:S.
Ces leçons sont en grande partie la reproduction des Leçons s)t;' le
système Hetnett.'c faisant partie du cours du Collège de t-'rance
Paris, f8S8.
(t). Leçon d'ouverture. Des organismes. De l'anatomie générale et de son
histoire, p. 229.Do l'organisation, p. 230.
ftn. Dos milieux physiologiques, p. 274. Air, p. 2~5. t-;au, p. 275.
Aliments, p. 2'!(;. TempéMture, p. 2fC. Lumière, électricité, p. '!77
~i. De l'irritabilité, p. 30~.
~V). p. 353.
(V). Classification des phénomènes de la vie, p. 385.
DES THAVAUX [!E CLAUDE nERNARf). 36)
t.Vt). Des mouvements chez tes êtres vivants.–Mouvement fitiaire.–
Mouvement sarrodifjue, p. 470-4 !)t.
i'u mouvement muscutairn.p.2!).
\)tt'i.t)e)a contraction muscutaire et. des irritants qui ta déterminent.–
Ritiftricitt'muscutairn,p.ji)(!.
(iX.Hespirationumscutaire. -Sucmuscu)aire.–)tii:idit''cadavcrifj!)'
p.(i:it. 1.
~X'.))unprfmotcuret(tesonaction,p.(!48.
tXii. Irritants du nerf moteur.–Ë!ectricitc nerveuse.p.fi8d.
~X))!.Dune)'t'SHn.sitifetdo)amoeHcepinierc.p.2!.
<Xn~. irritants et propriétés du nerf sensitifetdcia mneUcepinierp.–
K'.pt'riences récentes étabiissant qu'un ganglion du pran(! sympathiquepout jouor le rôle de centre dans une action rcOexe. p. 74U.
(XtV;.t.)esmouvementsrencxes,p.i()-28.
(XV).Theonfjd('s sëcretinns fondée sur l'influence des mouvements rcnexps
para)ysaf)ts,p.36.
~VI~. Consid<;ratio!fSgcncra)<'s touchant t'innuencR des d.'nx systomes ner-
veux sur les phonomènes chimiques ()c t'orcanisation, p. :j8.
1864. 25 ~<:H. Du rôle des actions rt'Ocxcs paralysantesdans le phénomène des sécrétions.
Jouni. (tnnt., de Robin, t8'!4, p. 507-3)3.
1864. 29 No~<. Recherches expérimentâtes sur t'opinm et
ses atcatoïdes.
Camp. Rend., i864, p. 406-4tH.
Jou)-ft.p/ta)'m.,XLVm.p.2H-2a2.
Arc/tt'). ~('n. de ?«'(< IV, p. 455-4M.
Mt'm.M'6fo~i86S,(C.H.),p.iOO-fOt.
()). Proprictës soporifiques des alcaloïdes de l'opium, p. 40'
(ft). toxiques ,p.'4H.!!U). Conclusions et réflexions, p. 413.
1864. i"'sep<eM6?-f. Etudes physiologiques sur que)qucs
poisons américains. Le curare.
Revue des DeMa; Mondes, <864. t" septembre, p. 185-190.
La science e.Bp('rwtM<ft~, p. 237-31S, )2 (ig.
1865. Cottège de France. Cours, année 1864-~5.
Revue des cot;fs sc~n<MM, vol. U, 1864-65.
La <" la 2~ et la 3' leçon sont reproduites d~ns les Z,M' de p<t-
thologie expérimentale, 2~ édition, Paris, i8~0. p. 4!8, 434, 4H;.
Les autres leçons sont en grande partie la reproduction des Leçons
sur~ssu<)i!<(tnM<!(o.MM etm~t'Mme't'~uses, Paris, 857, faisant
partie du cours du Coitège de France.
~). Discours d'ouverture. La médecine expérimentale et la médecine d'ob-
servation, p. 71.
(U). Du milieu intérieur comme champ d'action de la médecine Mnérimen-
taie.p.)09.
:)M [!tBL)OGitAP)nh; g
UiLDe ta méthode d'investigation dans tes rocherche'< de médecine t'xpo-
rimcntatf. )'.<?.
.t\Y~.Le curarc.de son absorption etde ('absorption t'n~f'néra),p. t?).
~\)-t~.L'absorption en gen<'ra) et )'absorpti«n cutanée.p. f!6.
,\jn-L\).))cr!tbsorptionintestJna)f, Ct eu particulier de t'absorption du
curare paries voies digestives,p.]3~
.X-Xt-XU'.De )'absorption; pourquoi h'rnrareu'est-i) pas toxique dan;! to
canaiintestinat'p.ni).
XU) XtV-XV). Mécanisme de ta mort par le curare. p. 3)S-39.
iX\)-XV!t-X\'n~. Actions du curare sur les diM'ercnt'. nerfs moteurs.
Le diabète considère comme hypersécrétion. p. !!<
tXtX XX~. Des variations de force' du curare; de son origine et de ses
propriétés toxiques, p. ~i.
.XXt-XXHt. Do tacurarine et dct'arcoutumftnfo au curare, p. 3<M.
tXX)tt'i. Critique Mperimentate des tMYaut retutih au curare, p. ~9.
.XXtV'. .('~utparaison du curare et de la strychnine,
p. M).
~XXV). Action du curare sur )e ~rand sympathique, p. ~0'i, 53).
:XX\ Le nerf moteur emprisonne parie curare perd ses propriétés du
centre&):!Lpt';hphori<K!tpëriencesincditcs,p.4S.'<.
(XXV)!i. Kuractio" de la <-urarine, p. M!
(XXVt[)~. De la curarine. p. 44!).
~XXtX-XXX). Do t'antagonismc du curare et de ta <ttrychniu(\ p. 'i<M.
(XXXJ-XXX)f-XXXtt!). Le curare considcrt) comme moyen d'inYOstigat.MX
physiotogique. p. 486, 502, 5H. !):
(XXXtV). Action du curaro sur )e grand sympathique. Distinction de ta
mort naturcUo et de la mort parie curare, p.53).
(XXXV\ Action du curare sur iM nerfs ~'asu-moteurs. Explication det
phénomènes de )an6vrc, p.!)M.
..XXXV)). Y a-t-it dct nct-fs trophiques? Théorie des sécrétions, p. <)25.
~XXV~~). Quetto est l'action intime du curare? Le nerf moteur est-il
mort quand i) est sous t'inOuence de ce poison ? p. M4.
<XXX\'J))~. Circonstances fayorabtM ou contraire!! a faction du curaro ot
d'autres substances toniques, p. 638.
(Conc)usions goncratex du Cours).
1866. De ia diversHë des animaux scuniis à j'exp~rimen~-
tion de la variabiUtë des conditions organiques dans les-
quelles ils s'otTrcn~ a t'expérimen~teur.
JoM~t. a)«K., de Robin, n, i86S, p. 497-SO<}.
1865. Faculté des sciences de Paris. Cours de Physiotogiû
générale, année 1865.
/!e))ue des cours s<'Mn<t~</Mes, tome II, 864-65, tome tH, i86S-66.
Ces leçons sont en grande partie la reproduction des Leçons ~w les
Hgutdcs de t'M'j;«ttMM< faisant partie du cours du Collège de
France. Paris, )8M.
SK)' /M <)')'</M de <'o)'ya7!MMe e< en par<tCM/ter MM' sang.
Leçons d'ouverture.
Des miUeujt chez )os êtres vivants, p. Mt.
))HSTttAVAUXD!;Ct.AU[)Ht!mt~AMD. 3't
(C.iassincationde-ifonftion'i de iavie. d'après iiirh;m. p.M2.
~Ctassitication des pr"pri!'tt's citâtes (tes tissus. dapresBichat., p. 3~
(:ar.iC!pre!!Renerauxetc).tSsi<i<'atinndes)i<))!Jdesdet'organistne,p.80').
Les liquides nourriciers. ).c sang, p. 83).
Températureetcoa~u)a))ititedusang,p.8i?.
Le p~m<t du .)H;/ et les </<otM/M )'OM'/e<.
(A).(j0n)positiondupias)nadusang.p.4.
ffi).t'artiescnsuspensiondanstep)asmadusanK.p.t.–Fibrine, p.
Atbumine, p. (!. Sucre dans le sa;)! p. Matières grasses danste sant;, p. 8. t.'D'e dans te sane, p. Globules routes, production
<itdestruc<ion,p.)0-t).–Oobutes rouges, leurs fonctions respira-
toiros.p.)'
L<' s~ttg. Les gtobutes biancs et te~ iniu~oires ht'matozoair<'s, p. )8.
Circutation,?. 1
Circuiation artérielle, p. 2:3. Prcssif'n du sang dans les artf'res, p. Ï't.
Circulation capillaire, p. 2~. ('.trcutation veineuse, p. 2' Cirru
)atinn()ota)yntphe,p.
Les sécrétions. Oassiftcation des sefrotions, p. 42. Sécrétions digos
tivos, p. 4.3. Sc''rMt.ion'< sativaires. p. 44. Sécrétions du suc ~astri
que, p. 45. Excrétion biliaire, p. !i –Secrctions pancréatiques, p. 4S
Phénomènes chimiques de la digestion, p. 4!). Sécrétions intesti
nales, p. 50. Les excrétions, p.)L Sécrétions rotatives a )a vie de
t'espace, p. 5!Sécrétion du lait, p. M. Sécrétions internes, p. G4
Sécrétions glycogéniques du foie, p. 55.
1865. 1er mars. Étude sur la physiologie du cœur. Les fonc-
tions du cœur et ses rapports avec le cerveau.
Conférence faite aux soirées scientifiques de la Sorhonne.
Revue des Deux Mondes, t" niars i865, p. 236-2:)2.
/<MMe des cours scientifiques, vol. lI, tS64-6S, p. 3t4.
La science expérimentale, 2" édition, Paris, <8'?8, p. 3)6-3ë6, !ig.
1865. 26 ~MM:. Notes sur les effets physiologiques de la
curarine.
Comp. !'e;td., LX, 1863. p. 1327-1329.
Journal de p/tarm., i86S, p. <!i3.
1865. 1" aoM<. Du progrès dans les sciences physio!ogiqu''s.
Revue des Deux Afo'tdM. i865 (août), p. u40-(!C3.
Lasn'eHeeea;p<'rtmeH<(~e, p. 38-98.
1865. Introduction à l'étude de la médecine expérimentale,
Paris, 1865, 1 vol. in-8, 400 p.
Cours de médecine duCoHège
de France.
Réimprime en 1871 sans changement.
1865. 2i <MM<. Note accompagnant la présentation de ses
Zc~Ms faites au Co~c~c ~'aHce, 7 vo). in-8, et de son
/nh'o~u<;<(OH a /'<'<«</<? de la me~c!Hec~e?'me;!<a/e.
36t )<[BL[OGHAP)UE
C'OMp. ~:A, LXt, i86:i,p.32i.
1866. DeHo stato dell' Aibumina nel sangue.
Ant!~ de Polli, Xt.Ht, p. 36t-3(!
1866. Leçons sur !fs propriRtfs des tissus vivants, recueiHies,
rédigées et pubtiecs par M. Émi)e A)g)ave. Paris, !86&,
in-8, 492 p. avec 94 figures.
Cours de physiologie génerato de ta Faculté des sciences.
Ce volume n'est que la réimpression de leçons publiées dans la
R<;ntM des cour.! scientifiques, qui reproduisent en partie les icçons
publiées dans les volumes du cours de médecine du Collège de
France.
1867. Rapportsur les progrès et la marche de la physio-
tog'ie gencrate en France, Imprimerie impériale. Paris,
1867, i vol. grand in-8", 237 p.
Fait partie du Ref:Mt{ (les r"ppo)'ts SK)' les progrès des lettres et
srMHCM en France. Réimprimé sans changement sous !e
titre de f)e!<(phy!M~«' t;<!n~'o<e. Paris, i872, 1 vol. tn-s.
fnnuoncc française StM-ja physiologie mMieroc, p. 1.
fr<'n<if'rc p<:r<tf.
DecouvQrtcs et progrès principaux fis la physiologie générale en France
depuis vingt-cinq ans.
J'. Ph6nom6MS de sensatio) et de bconiot.ion. Systoncs et ~tcmcnts
nerveux et muscutatres. p. 9.
(tn.t'htnomènes do circulation et de respiration. Système Ya9Ci))aire.
Éléments sanguins et tymphatiques, etc., p. 40.
(H! Phénomènes d'absorption, do sëcretien et d'excrétion.
Système cutané, muqueux, eëroux. Éléments 6pith6)iau)i, glandu-
taires, etc., p. C8.
(tV). Phénomènes da nutrition, de génoration et d'évolution.
Etemeuts de cahute, ovu)o. genne, etc.. p. U).
<V). Phénomènes d'organisation et de connexions organiques.
Systèmes cellulaire, nbronit, cartitanincMx. osseux, etc. Etemcnts
cellulaire, connectif, plasmatique, otc., p. t)5.
R<M:<'mC ~)<<«'.
Marche de la physiologie goncrajo son but, ses moyens (te dëveloppomcnt
en Francf. Conclusion, p. tS).
Notes et documents & consulter.
Conspoctus de la science physiologique dans son ensemble, p. t5t, 23'
1867. L'observation et l'expérimentationen physiologie.
Réponse à M. Coste.
Comp. rend-, LXVI, )868, p. i284.
Reu«e des cot'rs scientifiques, vol. V, 1867-68, p. MO.
1867. 15 octobre. Le problème de la physiologie générale.
~Ct'Me<fcs DcM.r~OM~ ~7 ft8 septembre), p. ~t8')'2.
LM.«'<Mc<'('.rpt'r!'meM(a~p.')9-i48.
1867. Sulli ~)"bultdet sangue. (Trans).)
Ann~t de Polli, XLV, )8<i7, p. <6<). i(i6.
1868. ~7ai. Académie des sciences. Les prix (te ph\'sio~)~ie.
tC). Bernard, rapporteur.)
Comp.~nc<M.,LXVt,<8t)8.
Reouc descours .!C<cKM~Mes, vol. V, <867-6~.
L'mnen'aUon du cœut- fKitpericnces 'to MM. E. et M. Cyon, p. 938).
Cenemt.ionct dissémination des beimittthM (Hecherrhes de M. Baillet,
u. 945).
!t 'i"g!t)'[) (Hc''her!;hes de M. Moura, p. i)4~i.
1868. Happort sur un inentoire de M. K. Cyon intitu)~
De l'action réllexe d'un des nerfs sensibles du cœur sur
les nerfs uDtcurs des vaisseaux sting'nns.
jM<nt. ttM< V, <868, p. :i37-3M.
1868.M:M.K~ef. Récentes expériences sur la vaccine.
JoMr)t. des S~M! i868, p. 362, 373, 4t8, 429.
niMussio!t'<nt'taYacc.ine& l'Académie de médecine (BM/<~<<M<'<f
M~t883-04., XXVUt-XXtX).–Conférence historique sur Jcnner. par
)eD'<~)rain,)8C&Vaccine etYariote.parA.Chauvcau. A. Viennois,
P. Moynot, t8C5. Mémoire sur la vaccine, dite priniitive, par Chau-
veau. Production experimentate de la vaccine naturctk!, impropre-
ment appelée vaccin spontané, par A. Chauveau (Compt. HcM~ 21 mai
1866~. Moyan de faire naitro par inocutation t'exanthemc vaccinai
généralisé, dit vaccin primitif, par A. Chauveau (Com~. «Mtf.,
~juintSO?).
1869. CoUege de France, médecine experimentaie. Cours,
année 1869.
Reu. des Cours sct'enh'M<'s, VI, 1869.
Les Leçons l, n, !)t et I'V ont été reproduites dans les Leçons de
palhologie expérimentale, Paris, i880, 2° édition, p. 454, 477, S05,
829.
Les autres leçons ont été reproduites et développées dans les Le-
ons sur les anes(/t~:f/Mes et l'asphyxie, Paris, i87a, in-8" (Cours
du CoUège de France).
()). La médecine d'observation et la médecine expérimentale, p. 99.
(H). L'expérimentation dans les sciences do la vie, p. 135.
(Ht;. L'empirisme et le rationalisme dans l'expérimentation physiologique,
p.t5&.
La critique expérimentale, p. !&
Magendie la sensibilité récurrente, p. L'<8.
(IV). Histoire de l'expérimentation physiologique, p. t94.
DHSTHAVAUX DRCLAU[))-;r!EH~AttR. :!t):.
366 NBUOGXAPHtE
Los)nboratoires))hys.io)')gi<iues,p.t9'Vivisection: l'art d'expërimcntct'sur tes êtres vivants, ;).t')8.
Histoire des agents anesthésiques, p. '}<!0.
(V). Les agents anesthésiques considérés eomntt; moyens contentifs physio-
to~iques.p.MO.
j\'t;. Les agents anosthcsiques n'agissent que dan* te sang, p. 995.
AnesthéMe par te froid et la ch.'deur, p. X9<! et 348.
L'anesthésie est-elle une asphyxie? p. 2!)'
(\ftt. Théorie physiologique de t'anesthMie par le chtoroformo et t'ethor.
p.0.
L'actiondes anesthésiques porte e~ctativcmcnt sur les centres nerveux,
p. 310. 332. Elle s'accompagne d'une aneniio du cerveau, p. 9t3.
!V[t)).Thcorie physiologique de t'anesthasio, suite. Anémia ct'rebraie,
p. 3'M. L'action aneathésique (toscend par influence du cerveau dans
la mo<;))<' <'ph)i6re, n)!m cUe ne remonte pas en sens inverse, p. :).
L'anesthMie hisse subsister les proprictcs dos nerfs moteurs. C.om-
paraison entre i'Mcsthtsio et la mort naturelle du nerf sensitif ce narf
doit toujours être atteint par son extrémité centrale, et la porte de ses
propriétés commence toujours son extrémité périphérique, p. 335.
(IX). Anesthésie loc,ale, p. ;H6.
L'anesthésie se propage par influence à la moelle épiniore.
Anesthésie des grenomUe~ par i eau chaude, p. 348.
(~j. Hosume do la théorie physiologique de l'anesthésie, p. 381.
Actions du chtorofurmo sur )eaMcratio))!i et la respiration,
Mécanisme do la mort par le chloroforme moyen do la combattre,
P. 381.
AnestMsic locale, par i'éteethcite et le bromure de potassium, p. 384.
;\t). L'opium ot M': principaux a)ra)o!do8, p. K92.
(X.))). Les effets physiologiquesde la morphine, p. 446.
tX)H). Combinaison des effets de la morphina avec ceM du chloroforme,
p. 504,50'Action physiologique de la morphine.
(XtV;. Double action de la morphine, p. 504.
Action physiologique de la thebatue et des autres atcatoideado t'opium.
p. M!).
Ënerg") t'quo relative de roptum et do la morphine, p. M!).
(XV). Effets physiotogiques de la morphine; mécanisme de son action.
Effets sur la digestion influence sur les ganglions sympathiques et
sur les nerfs sensitifs, p. 54t.
Toicrance & la morphiue, p. 544.
(XVI-XVII). Le curare considéré comme moyen eontontif physiologique,
p.5'!3,50t.66i).
(XV)!X!X). Histoire physiologique du curare, p. 6C'), 6~).
(XX). Effets du curare sur les fonctions do l'organisme, p. C98.
1869. 27 mai. Académie française. Discours de réception de
M. Claude Bernard.
Édition in-4, imprimerie Di.dot et C~.
ËdHion in-8, Didier et C'
Rev. des C<K<r.< M<~< VI, t869, p. M2.
La science ea'pm'tm<n<a<e, 2' édition, 1878, in-12, p. 404-4t0.
DES TRAVAUX DE CLAUDE BEH~ARO. JC7
Utoge de Flourens. Les fonctions des centres neryeui.
1869. 14 aoM~. Les sciences et l'institut. Discours de M. CL
Bernard à la séance pub'iq'tc a'tn"Uc des cinq Académies.
R~. dMcoMt-SMt'CM~y.. Yt, )869,p. S')3.
La science e.KpCMM?n<<t~, 2'' édition, Paris, i8~8, p. 4H.
1870. Collège de France. Cours de médecine, ann~e i870.
HeoMedes cou)- scientifiques, vol. VU, !8M-70.
La <" leçon a été reproduite dans les Leçons de pathologie e.cp~t-
MMta~c, 2° édition, Paris, )88(), p. a(i0.
Les autres ont été publiées avec de nouveaux développements dims
les Leçons s'M' les ftnes~t~st~Kes et ~'(tsp/tt/x'te. Cours de médecine
du Collège de France. Paris, i8'7S.
(1\. L'évolution de la médecine scientifique et son état. actuel, p. 242.
fn). Aperçu historique sur le sang et ses prophctus genëMies. p. 242.
([H,. p. 3H.~\). p. ~t6.
(V). p. :j)g.
(Vt). L'asphyxie par te charbon, p. 332.
iVU). p. :)34.
(Vtt) XXV). L'asphyxie par la vapeur de charbon, p. 350, 358. 3'!9, 38).
383, :)98, 3!)9, 42.'), W, 472, M4.
L'oxyde de carbone dans le sang anatysc spectroscopique du sang, p. -i~2.
Élimination de t utyde do carbone, p. 4'i5-<()4.
Mécanisme physiotogiquc de t'asphyxie, p. M.').
Actions sur les nerfs, les membres et tes landes, p. 507.
Traitement contro t'empoisonnement par t'oxyde <to carbone, p. 5U8.
Anatyse des gaz du sang au moyen de t'oxyde de carbone. Se forme-t-il
de l'eau dans i'or~nti.me, p. 509.
1870. La méthode et les principes de la physiologie.
Heuue sctenM~fjfMe, 1.1, 187), p. 38S.
Résumé par M. Lemaistro du Cours fait au Muséum d'histoire naturettcen 1870.
1870. Sur l'asphyxie par le charbon.
JoM-n. p/MM-m., XH, t870, p. <2S-J33.
1871. Action de l'oxyde de carbone sur tes globules du sang.
JoMrD. p/tarm., XHL <87t, p. 23~-266.
1871. Médecine expérimentale. Cours au Collège de France.
Influence de la chaleur sur les animaux. Leçons à VI.
Rev. M!fntt/ J. p. ~33 <82-i88.Ces leçons sont reproduites dans les Leçons stf;' la c/Kt~u; Cours
du Collège de France. Paris, i8'!6.
:i<M B)BL)OG[tAP!UË
1871. Lxpt'sc des t'.nts et des principes de la ph.ysioto~if!
moderne.
.H<'M'e c~tftogt'ftp~t~Me (MemoH'M <.f<*~t Soct't* d'<HOSft'«p/t<e, L
t~ vol. de ta 2'scr.). Paris, Amyot, )8'7),p. 2M à 3H8.
1871. Leçons de pathoto~iecxp6mnenta)c. Paris, 187!,
in-8.
Leçons de pathotogie cxpt'rimentate et tenons sur tes p~<-
pri(''t6s de la tnoctte ëpinierc, édition, Paris, 1880, in-8,
x-);(~p.
Cours de médecine du Coltego de France.
Ce volume contient le coursnrofcssé pM Ct&ude Bernard au
Cottèg" de France en i8S9-t860; it avfut été recueiUi par te
1)~ Benjamin Bat) et pubtié par lui en anglais dans te Me~caf
Ttme'iHndCfttgMeen )8(!0-(it, etc'estennorete D''Mt qui .n'etra-
duit en français sa r6daction angtaise pour le volume ci-dessus.
1872. CoHè~o de France. Médecine expcrimcntatc. Cours,
année 1872.
La chateuranimatp.
~!<'oue scMHt:~<yue, )), )8'?i-)8'
Ces leçons ont été revues, corrigées et compteiees <h)ns les LMC!
sur~f c/ta~Mrantmo~e, cours de médecine du Colicge do France,
Paris. 1876.
(.r~ La canstitutiun phyucu-thmuque du tniiiou extérieur, p. 670.
(f);. La cha)em' anim~tc, p. 6'?2.
(U)). Les hypothèses yttah'st.ee, p. 84).
La théorie de Lavoisier, p. 842.
(tV). La température du sang, p. S~.
(V). HMMM'iqua dM e~pônetite!! (iepuis HaUer jusqu'en t872, p. 84.').
(VI-VH). Koptoi des ane~thosiques et du curare pour tM expenettces phy-
sto)ogiquc'p.89t.
Po'turbatMnsqutts peuvent introduire dan<)esph6~omènesM(oriqucs.
(VitH. MMuredea température.') dans t'organismo, p. M).1.
(!X~. Temp~r~ture'i t'et~thea du cœur droit et du cœur gauche, p. 945.
(X\ p.!M9.
(Xh. p.9'!t.
(XU). Latprnperature du stngartcrif' p. tO.!).1.
(XtU). La température du <:tng veineux, p. )049.
(X)V). Lc.s ëquiUbresMtonHquos, p. tt~.
(XV). RÔ)e du sang d&ns les ph~nom~ne~ caloriques, p. )060.
(XV<). Mûie catonfifjue du tissu muMut~ire, p. )06t.
(X\'t! p.[06<.(XVUt). p.!066.
(X!X). Hôte e~torifique dn tystèmo nervem, p. )06f.
(XX). Mta caforiHque dosi gtaudes, p. ttH.
(XXf). Les glandes sa)ivairc$, p. ]tt9.
DES T!tAV.\t'X DU CLAUDE tiEH~ARD. :<)
CLA)'UKf!Ett!<AtU).\(X. ?4-i
jXXft;.Les rcin'i.tf foie, )f's poumons et le cœur, p. tt2f).
~XXtUi. De (asphyxie,p. )).).
(XX!V). p.))<!2.
t\XY.(nnu(!nf't'()us\t.t:nn'np)'teu'<.suriaca)f))'ification,p.t)8{).
<,XXVi,. p. H')).
(XX\)t). Les n''rf< moteurs du grand sympathique, p. )j'):i.
(XXVHf'.LegrandsympathifjUC et )a<'ircut.ttion.sanguine,p. )'02.
(XX!X').).f"-nerfs t.xo-a~'t.eur-iGtta pression du sang, p. )?').'<.
{XXXi.Les nerfs vaso-moteurs et ta pression ()u sang. p. )2<)M.
fXXX)). Action des nerfs sur )e cœur, p. )2t).
.XXX!).)'t)erfd<'pr<'sseuretiacircu)ati()ndusanj;.p.)')S.
jXXX)it).Le~randsympathif)UCOt)acireu[ation,p.t2;!<).
(XXXt\').f.cnprf constricteur, p. )~2.
(XXXV'i. t')e la tenMbititt; dans ses i'appurM avec ia ratoriRcation, p. t'M~.
(XXS\ ?.)'
(XXXYUt.Hôie de la sensibilité <i!t[).si'organism'p. )2~f!.
(XXXVtit'. fnnuft'cc <)u ~ramt syfnpstthique sur cottstitutiuit du sang.
p.t2M.
'XXX)X).Lps températures tocatps dans ('organisme, p. )2M.
(XL). Applications pathologiques,p. )'at.
1872. 15 ma?~ Des foucUons du cf'rvcau.
ReMue A's Deux MoH~ts i8~2. (m.irs), p. ~73, 38~.
La Sc!f!ice <'j?p<')'imeM(tt/ p. 3G7-4Û3, 4 fig.
1872. 23 Ma<'A. Caiurificatton dans l'asphyxie.
M<'m.Soc. &M~ 1872 (C. U.), p. 83.
1872. 18 wat. Merfs secrc~ur~ );t nerfs vaso-fnotcnr~ des
landes sativan'cs.
M<'m.MC.&toL,t872(C.R.),p.H)8.
l872.8~K:~c<.Hvo)uUon du glycogene dans )'œuf des oiseaux.
Comp. ~nd., LXXV, )872, p. Sa-S'
Ouverture du. pii cacheté depoM le 3[ mai") t8G4, sur ia formation de
toati&ro g)yco~ne c!)R.! if"! animaux.
1872. 8 ~<«/ Sur la formation de la maUcrc glycog~n)'
dans tes animaux.
C'omp. t-en~ LXXV. j8?2, p. H9-60.
-/OKrH. p/t<H- XVf, <872, p. M9-424.
/tnM~de Potti, LVt, t873, p. 292-297.
1872. i3~Mt~e<. Exoph'.hahnie par irritation nerveuse.
mm. Soc. <)(~ 1872 (C. R.), p. i94.
1872. 2 ~'(.'e/M~e. Réponse à ta note de M. BouiHaud « Sur
la théorie de la chaleur animale.
Comp. rend., LXXV, t872, p. tS74-t57M.
3700 B))i)JOGRAPH!E
1872. Happer) sur l'ouvrage de M. Chauvca", 'ntitutc « Les
vimscttcsniatadiesvirutentt's.i! ~s
Re).'Mes(;ten<t/)'()He,U)~812,p.S7i.
1872. Action du curare surt'ëconomie animaL'.
JoMt'H. p/M?'M.,XV, i872, p. 'J90-393.
l872.M.iLehcani)naUdo).a),ediproprieiacataIitiche(Trnns).
A)tHa!t del'oUi, L)V, )8'2,p. 28<-287.
1872. Muséum d'histoire natureUe, physiologie generaie.
Cours de Fannée 1872. T~cçons sur les phénomènes de la
vie conunu~s aux animaux et aux vegeta.ux.
~c~xe sc<t!<)/K/M< m, i872-'73.
Heproduit. avec plus de devetoppetnent dans les LeçoKS f)t<r les pAf<-
iiomënes <!e ~t t!M c0)nmt<!ts (tua! ant'tMM.E et NMa't;f'g<'<<!Ma). Cours
de phvsiotogie generutc du Muséum. Paris <8'!8, tome t, avec
pt.etfig.
.)).Last'n'ii)iititeettentt)uvt!tnent,p.0.
~H).LaLresi)iration,p.t'!4.
~H). L'eau et t'!ur atmosphérique,p. t'i.
t[V').)''tj)'m!it,if)ndc'i)))'incipe!itmme(!iats,t'!9.
~V). La g)ycogene auinu)c, p. 20i.
p.05.
(VU). p.t0.
~'Ur!. )).)!.
(IX;. Ducou\'erte <te ta. matiÈre g)yco~c«c, p. SOS.
~X). Analogie du ~);'cngt'nf? et de )'.)tni'iur). La giycogcnie dans tfs deux
règnes,;).305.
(Xt). Lt ~tycogéme n'nst pas un phenomt'inc caftavenque, p. !M'
(XU). La gtycogétMse dans te foie, p. 370.
(XIU). Le système nerveux et la ~tycogênÈse hépatique, p. 313.
jXîV). La giyco~cfiMO poudiint la vie embryonnaire, p. !n4.
(XV). La gtycugen~e chez les OtMaux. p. 316.
~XV~. La gtycogettose chez les animaux a Mng froid, p. 3~8.
(XVU). La gtyco~en&se chez les invertébrés, p. 40i.
(XV!)! Carnctf'Tn gênera) de innutritiom't dota gtycogenese, p. 40:.).
(XiX;. htonite du ~tycoK~ne attima) et de t'anudon végétât au point de vue
d6spropn(*t<sp)'ysiques,p.44!
XXI. Origine et formation de ta g)ycosodan)i les animaux et les végétaux,
p.t.
(XXI). Origine et formation de la glycose dans les animaux et les végétaux
p~n.
(XXH;. Conditions qui inOuent sur la giycogcnese, p. 4,')0.
1873. CoUC~e de Fra.nce. Médecine expëriaientate. Cours
de t'iinnÉe 1873.
R~MSc:CMt'/tgxe,!V, i873.
Ces leçons ne sont que l'ébauche des Leçons SMr ? d't3&f!<e et
r)ESTf!AVAUX!~CLAf;[)E:)E)!AR[). 371
~yco~eHese, cows de ?M<;f<eet):e f~t Co~e de Frétée. Paris, )87'7.
ivoi.in-8.
{}). Histoire de iachait'e de nteded~e au C"cge de France, p.Mt.
!U).L'evotutiondata rn~'decine scientifique,p.HM).
jit~.Ëtudcctiniquo du diabète, p.'tiC.
!(Vt. Symptômes du diabète, p.)i2.
.~V~ La pathogenio et )e traitement du diattete. p. Oi4.
VL. La nutrition et les urines, p. M!7.
,V)!-V!)[). Diagnostic spécial du diabète, ?.!< 0-')'!t.
Recherches du sucre dans tes urines,p.9'; O-i~t.
Lesaccharimetre.p.!)T!.
Procèdes chimiques, p. '.)').
t'X). Ë'udc de ta marche du diabète. Dosage du sucre (fans )~ uritx-s
p. :6.
(X). Attaty.st' physioif'gifjup du diabète, p. !())'
'D(-htg)yccmie,p.)H)8.
(Xt). La p;h'ccmi)' phy-iotogiquc. p. )<))!).
(\)I~. Dosage du suo'f dans le sang <)esdifT!-rfnts\aissfaut. p. HH).
(X)Hj. Origine ahmctttaire du suc dans le sang. p. )0(;<).
(XH'\ Digestion du sm-t'o de fant~es. p. )«<!?.
(XV'. H6)('du foie dans la seconde digestion ct<)ans la Ktycf'n'ie. p. «?4.
(XVt).Ler<)ioestun('sourcophysioto){i<p!C<)c(;)ycose,p.)n)H.
<XVtt). Le tissu hcpatif)ue& )'Mtat physiologique est une source constant<-
de Mycose,p. )10').
(XVm). Mécanisme de ta fonction g)ycos';niquc (tu foie. p. )))<).
Matiercgiycogcne.p.H)?.
(XtX). ))ou)))e fonctino <;)ycope)te.sique et g)ycogcmf)Ue du foie, p. H~).
(XX). formation ot destruction du sucre dans tosang. p. ti.'S.
Conditions diverses de ta gtycemie et de la glycosurie. p. H.).
Ligature de la veine porte, p. ))(!0.
(XXt;. La gtycogenic hcpatinue interprétée par les yitaUstcs et considérée
comme phénomène cadavérique.?. H0<.
(XXH). Deux ordres de phénomènes physiologiques les uns d'organisation
et ti'assimitation.ios autres d'assimilation et de desorganisation.
Applicationde ces idées a. la glycogcnio hepauque et arr~t de la for-
'mation du sucre dans le foie et dans le sang, p. 34.
!\X!H). Du diabète artinciel, p. M.
fXXiV). P.
(XXV). Théorie nerveuse du diabète artiiiot'l, p. i).
'XXVt!. Hesumo des levons du semestre. Vues nouvelles sur le diabète,
p.'i3.
1873. Muséum d'histoire natureHe. Physioto~ie ~('nc-rate.
Cours de l'année !873. Leçons sur fes phGftOnK'-tte~de la
vie communs aux animaux et aux végétaux.
HgDue sct'eM<t/~t«~ V, i873.
ReproduH. avec plus de développementdans les Le?oHi sur les p/'c-
HomettM de ~t vie com~iM)~ <!M.c (HMM<(M.B et <ma; t'~€<aMJ'. Cours
de physiologie générale du Muséum. Paris, 1879, tome )!, avec
pLetfig.
~2 );)HL)OGRAfnn': u~
~.Histoire des thc'H'ie~dn:di*)t,i()Uf's de !.i vie,p.J).
(ff. L'unité vitttc dans tf~daut règnes. -L'irritabititf'nutrithectfirri
tabititefonctionne))e.p.:t31.
(m).).esprc)imin!ures(te)an))t)'ition,p.343.
(!V;. Histoire'in.! theorict chimiques <)e)!t digestion, p.3'!?.
(V.Les aliments,p. 3'!5.
(V!).Lestrois'.a)i\'esettadi~estit)nsaiiYaire,p.4)6.
(\'t)). La digestion );astri()u",p.'i?0.
(YHt). )'.<).
(!X).La biteetfa digestion dtiodcttaie, p.4S9.
(X).Les )tt'<"des de Brunner.–Le suc pancréatique,p.4M.
~)~M~~M~m~P~
(XH). Harnionia d"f! pheno'nene.s chinainues dos diverses diiteiitions.
L'inHuence du syste.nie nerveux, p. -iM8.
(X!U). U)'it('< dc$ principes ahmentaires et des agents digestifs dans têt
ar)i))MU!fCtdan!<)e<t\eg~taux,p.&)2.
(\tV). Quatre Mpèces de diKCStint) et quttre espèces de fermenta digestif''datâtes animaux (;t)f'sv~!{Ct!ttM,p. &t3.
Atiments tecutents, sucres, ~ras, a)butninoido%.
{XV). Ferment digestif des tnaticres t'ecutentes dans les animaux et les vo-
pntaux,)).~t4.
(X\'i;. Ferment invcrsif ou ferment digestif des matières sucrées dant les
animauxcttes végéta m.,p.5K!.
<XV!)). Fermeot dige.stif des matière'! crasses dans les animaux et dans tes
ve(!;6tau~,p.!))8.
i\\tm- Ferment digestif des matières a!butni"oidM dans les animau! et
dans te. YC~etmix, p. MO.
<X)X.). Absorption intestinate, p. &M.
(XX). ScM)ndo digcstioft. Foie. H&)o f)e~ roscrt'es, p. 535.
~X\!). Les théories sur ta nutrition. Happot'tsdot phénomène!) do nutri-
tion et do devetoppement, p. 5:i!).
1873. 8 /et)Wef. Passade de )';ur des canaux gtandutaires
dans les capiUaires.
aMm. A'oe. &to~ i872 (C. H.), p. M.
1873. 2!) Mf/ Constdct'ations généraics, !'e)atives fa la g]y-
cogfnese animale.
M<?m. Soc. MoL, <873(C. H.), p. i28~M.
1873.10 Mat. Action de l'excitation des nerfs sensitifs sur la
ca'cutation et sur la gtandc sous-tnaxntaire.
M<'m. Soc. &M< 1873 (C. R.), p. n3.
1873. n mai. Remarques sur les nerfs des reins.
~m. Soc. &K~ <873 <C. H.), p. <84.
1874. Muséum d'histoire naturelle. Physiologie genôrala.
Cours de l'année 1874.
Leçons sur les phénomènes de la vie, communs aux
animaux et aux végétaux.
DES Tii.\V.U'X HE Ct.AUDK [!E!i'S'Ann. :);
Ji[(T!<C5'<'t'<'n~/t~M;,Vt),t87!.
Heproduit avec plus de dt'vetoppemcnt dans les L'wtis <);)' les p/x'-
M~mëttes de ~<t~;e commuas ttM.c«HtmHX.Ef< a'fa* );<<'<(Rj.r. Cour~ <to
physiologie gcnendo du Muscum. piu'is, i';7!i, tome tf, avec
pLctng.
I). Nutrition et génération. p. M!).
tn.Coup d'œi! historique sut')a~et'<'ra!ion,p.K<}.
()!)'OEuf Ht ovogenese.p.:m.
~V!oh)tion. Maturité (ie t'muf. p. M).
~V).Sexuatftëdet'œuf.–Prefecottdation.p.3'
'V)~. Fécondation do Ffcut'. Ëiement mâ)c, p. ~'2.'<.
(\'t[). tmp)'i''gnat)o~ de )'(')t'ment fem(!))e part'ctRmcntm~tf. p. 3t').
~V'tl' Va)''et(i d.ms tes procèdes de génération. t'oite dans ie principe.
p.3M.
i)X).Pt'emier.sphëno)))èn('sputt't'yf)t;t'niques.–Ft'actionncnn'ht.p.S'
(,X). Formation (hihtaiitodcrmf. p. ~t').
(Xf). Organisatiott du hiastodcnm' Formation de i'cn]br)'on, p. M2.
~\)t' Formation de t'amnios.dn la Y(".icu)comhi)ifa)(')eta))an)oidc,
p.3!)t.
(X)[[t.K('!atif)nS('in'uta(oircsf')ttt'f')cfœt)]'!CtSt;s annexes,p. :)!)(!.
~Xt~). Conditions de la vie de t'onbryon et de la vie dt; )'adu)tc. p. M9.
iXV). (~!uf<b' pnutp, sa composition, p. '4U.
~\vn. OEttfdc pou!c. Ses ph~n'HU~ucs de d~vetoppenitcut. p. H'f.
\Y!Ï; C!ycogf~!ît'sc dans j ccut des oiscau\. Gtvco~~n's'' dansrcînht~f!)
des oiseaux, p. in.
.nt). Ctycogc'n'sedans les atmcxMdc t'cmbryon dpsmatnnn'R.'t'c~. p. ii!).
fXfXj.GfYCOKe"dants)ef())'psdo)emb!'y~ndcsn)a~nm)f<'ro'p.t.')!.
iXX). Synthcsc chi)t)i(j)tc de la nutrition, p. iR7.
~XX!). Synthèse histo[ogif)uc de ta nutrition, p. 'mt.
(XXff'. Rapprochement entre t'evotution embryonnaire et t'e\otution de
réintégration, p. -t'!9.
(XX!t!). Ret'apitutation generatc, p. 414.
1874. Le sang el la gtycetnie.
RrMMe !eten<)'~M, VU, t8~4.
('.es leçons ont 6t6 reproduites avec des additions considéMbtes
dans tesL~ûtts sur le a!M<6t'<c et ~a fjf~co~e'f~e ati:'m~/< Cours de
médecine du CoHege de France. Paris, )877, ) vol. in-8.
(t Ëtude du sang au point de vue de la glycémie ftormatt; <'t pathoiogique.
Du miticn intérieur. Eta.t actue) de la physiologie ce sujet.
He la chimie biologique évolutive. Des procèdes chimiques dans t'or-
ganisme vivant. importance de t'etude du sucre dans )e sang. Pian
et but d'une étude critique et ctperimentate de la g)ycemie, p. 508.
tff). Histoire da sucre, Du sucre végéta); sucre do canne connu des
anciens. ttistoriqna et, critique Witiis. et le diabète mie))eu'
Oobson Cawtt'y; !<o!)o; Kicohts et GueudeviJte WoUaston
Vauquetin et Sega)as Ambrosiani et le sucre dans le sang. Mac-
Gre~or; Ëtitt de la question en 1847, p. 5)0.
~H). Historique critique de ia. g)yc<'mie depuis )847 jusqu'à nos jours.!ni]uence des idées régnantes. Prétendue duatitë des phénomènes
.'<T4. !!iB).tOGf<APttHi: l;l
chimiques <'hcy.~sveg''ti)U\ et h'saninmux.–Les an hnau\ peuvent iis
formerdes matières crasses?–fement-tisfot'merdnsucre?–Origine
<t)imcntaire du sucre. Mcouvt'ric des fonctions gtyc~geniques du foie.
–Travaux eojdh'jnatifs,–Objections et jnterpf'fations diverses.
!mportanf'c de )'e\!tmen critique des circonstances e')periment.'t)es et
des procèdes opératoires, p.5)ft.
(!V). Conditions d'une veritabte science critXjueetperhnentate.–(,arar-
«*res qui permettent de reconoaitt'o h' sucre. Procèdes pour ctiminer
les substances qui troubio)! ces réactions. )~sage du .suXate de sonde.
Substances qui peuvent produire des réduction!! analogues à cônes
ciu stzero. hEayoins pour dünainer Ies dirc~.rst·s causns d'errenr, p. :r22.du sucra.–Moyens pour ciimineriesdivcrsesc.'tusesd'erreur, p.<M.
~V). Hcsagc du suo'c dans )t; sauj;. Oosag'' par ]a fo'mpntation cause''
d'erreur. Maouet operatoiro du dosage par ia !)qunur d8 r'chiin~.
Catcuisà f'tfeciue! –CaicuJ.t et <MtMHs n""e.sa!)'MpM)ra:'t'iYM'& h
df't~rminfrhttjuattt.it~ahsohx'dc .surrc contenue dans ta saitj; ou ditus
uu tissu organique.–Kxpet'tHnces. –Hocherch<"idusm')'od<ms)<!
iifjuide c~pha~o-rachi.dien. te chytR et h' sang, p. M.').
(\ t). Ëtudm critiques des circoustauces qui nut pu di)uncr des retuttats
négatifs ou<'o;)<Mdictoi!'<"i. Moyens df; .s'opposer à la <)estruc<iotidu
sucre; Rxtemporancite de hrcfherche; sulfate (te soude; acideacc-
tique. Etats qui pouvent innuer sur la proportion du sucre cont-euu
dans sang; saignée; inanition.– Expcriettcos. –Diucroncc ctitrc )"
sang artuhct et ie sang ~'ineux, p 53S.
1874. i4Mia~ Physiologie du nerf trijumeau.
M<'m.Soc.~M., )874 (C. H.), p. i!i0.
1875. Coit~g'c de France. La médecine et la ))hysio!o~i<
Cours dt'')'a))nee 1875.
~t,<t' M:fn< Vftf, <87S.
Ces leçons sont e!t partie la reproduction des Z~ofM ~r les
.$M~<OHCM <oj~~M. Paris, <8M7, < voi. in-S, et des ~ecoM~tc'/M
hgMtdes de t'or'~«Mtiime. Paris, i8S9, 2 voL in-8.
(!). D!M~ <'r~n'<M </M K'i'MCM M<'<~tf<M.
Ce* branches ne doivent point &h'e 'l~Mes c')'"e mbMt'tmo'tt
di.stim'tp'i.–Laphysiotogieonc'ittetronc.comruuncttaba'ic.–
But de la physiotogic. Histoire dos points <)c vue successifs aux
qucts eitf s'est ptacde. La physio!ogic <!oit f'trc aujourd'hui ta
.science d<\s t')a<)M)]ts axatontiqucs. P))ysiojoj.;ic expcrimcntato.Nécessite d'une discipiine c~pcnmcntaie. Objet, spécial du cours,
j).n.
(H). t.'«na<OH!M et rMp~r)Me'!<a<<o'i p~yi'<o<')~<~u<
Anat0)nic et phyMofogie. Lot anatogics .tnatontiquca ne peuYMnt
suppjecr à t'cxponn'iontatMf physin)<)gi<~))c. Hcyuc historique dos
faits et des théories retativos a. la circulation. NouvoUes tutni&ros
apportées par la chimie moderne. Les phénomènes chimiques.comme )os phénomènes mécaniques de t'organisme, doivent &tro
étudies directement par t't'xpenmcntation et non déduit;) par ana-
iogic des faits 'sembtabtas en)pt'm)tc<! & )a chimie ou A la mec.tttiqun
pure. –Kn chimie commR en mécanique, les procèdes de t'orga.nismolui sont particutiors, p. 'HO.
t)Ea TRAVAUX HE CLAUDE BER'<ARO. T7*;
.!)! /pa)'<')< t'!)'<'tt~~o;red<T;<.< <'<'M.!<'n:A/ de /'o)'v/a)tt.Mf.
L'H appareit circulatoire n'est qu'un apparei) de perfectionnement.
Apparition <)e cet apparci) rhex i'embryon. Sa forme citez tes
animaux inférieurs. I)i!er"nte'; parties dont il se compose chez
les animaux supérieurs. tmportance des vais.e.tu'i capillaires,
Diverses expériences pour montrer que tous tes phénomènes cssen-
tiels de la nutrition se passent au niveau des capiitairps, p. 777.
!Y). jLf ~~<<'H;e c~.)t'~n:t'<
~tudc <)u système capittaiff. Système hn-unaire des animaux infé-
rieurs. Sphincters pretacunaires de que)()ues artieutes leur ana-
)o~ie avec t'ensembtc forma par les parois muscutaircs dos arté-
rioles des animaux supérieurs. Capinaires san~uifts et capiHaires
jymphatiques. neveioppement et disposition des reseaux capil-
iairos; ils sont indépendants du reste de l'appareil circulatoire aussi
bien su pM"t do vue de leur genèse qu'au point de vue de leurs
fonctions, p. ').
(V). ~J<)W/)<<0').
Les capillaires so~tt par exce))enre tes agents ()c t'absorption.
Absorption par tes surfarcs internes et externes. Dos injections
toratos !t effets tofftux. expériences prouvant qu'on peut produire
à part l'effet ioca! et i'etTet généra). DiOerentes phases :t con-
sidérer dans t'absorption, p. H.0.
tVI). Les t'Ot'M f/e /'f;t.s'0t'<0tt.
Capillaires sanguins et tymphatiques. Idées anciennes, sur les voies
de t'absorption. Découvertes des vaisseaux lymphatiques.
Expériences de Magcndie. Expériences nouveUes. Les veines
sont les organes les plus essentieis de t'absorption. p. 85:t.
(V!I). /tnpp0;'< des MMM< lymphatiques aMC les <;f)p~/ai')'M sanguins,
p. 9):
(VIII). /<t.!0)-p<t0': ttt~'t'n' Absorption M-/<~n~, p. 9)5.
(IX). Les trois p/t<i<M de ~'«&.Mt'p<ion, p. 917.
(X). Origine des n'Mf. C<eM)'~ p~tpAer~fM ffincMj: et /yM/)A''<UM,
p. 994.
(Xt). ~MK<~<tOn des ~f)<p/<e~. D)Hp~<<e~-? f<e.< globules blancs. Les
divers Mn~ !<'t'!t'M. p. 995.
(Xt!). Les vivisections. Les poisons comme tKS<)'UMMnh plus (<f'~)es
ffaMa~f C~tMt~ <.C CMt')'< p. t )5.
(XIII;. Les poisons cotnf))e méthode de t'tUMfchon. Acide pt'M.Mt~ue;
strychnine, p. HSO.
(X!V). nf'pi'aMo?) a?'<t/4'cteHf,p.HM.
(XV). J'0.t'yde </ec<!t-ton<' et lit ~/ty~!0~e des y~o/)M/Mf/M MM.?. ~u-
velles t'ecAe~'c/fes, p. t'M9.
1875. Leçons sur les anesthésiques et sur Fasphyxie.
Paris. 1875, 1 vol. in-8, vn-536 pages, avec "? ti~.
Cours de médecine du Collège de France.
M. Mathias Muvat a mis en ordre et coordonoë ces leçons, et y a intro-
duit les résultats fournis par les plus récontes expériences.
1875. Muséum d'histoire naturelle. Physiologie générale.
Cours de rann~e t875.
376 MBLiOGnAf'HtE
jfiet;Kesctf'nf<~Me,tX,<873.
Reproduit avec développement dans les Leçons sur les p/teKo?nen<
de <.t vie com?KM):s «xa; «Mi'maMa: et (fK.c ~~<jr6'<<H<j;. Paris, < 878, 2 vo).
in-8.
(f). Ptace do ta physiologio dans tes sciences biologiques, p. 385.
~H). Ëvotution historique ct phitosophiquodota physiologie, p. 38S.
~H). Antiquité, p. :i8').
~Y).Moyeu4sc,p.3')'
(V). Temps modernes, p. 3!)S.
iVI). ),!) physiologie & t'époquo actuelle, p. 443.
'~VUt. Évolution tontompnt'ame do la physiologie, p. 4M.
(V)U).Latheor)8<'c))utMre,p.448.
(fXj. Loi <if! constitution dcsor~anismcs. p. 4()(i.
(X). Conditions physico-chimique': de la vie des ceUuJGs et des organismes,
P.4C7.
(X)~. Principe!; immédiats produits par tes orgimismM eiamt'~taircs
p.4':(.
(X)t). des ~Mmpnts anatomiques et les restrictions qu'cftecomporte, p.-4'
'X))!). Doctrine des propriétés vitaics. p.-}94.
(\tV. Les pheBomAneH vitaux etcmentaires et leurs conditions physico-
chimi()ue'<,p.i')(!.
(XV). Division dos phénomènes do la ~io en phénomènes fonctionnels et
phénomènes nutritifs, p.)80.
(XV!). Speciatite des agents chimiques des phénomènes fonctionneis de
)'orgauisme,p.58).
(XVII). Speciatite dos agents chimiques d'nr~anisfttion dans tes êtres
vivants, p. MS.
1876. iOaoM~. façons sur ta chaleur animale, sur les eflets
de la chateur et sur la fièvre (analyse).
~MocMtMn /~(Mça<e poMt- <'at)aKeemet!< des sciences. Session de
Nantes, p. 9C2-963.
Re~Me sc:etKt7.. )X, i87ti, p. ~a.
JoMni. de p/M?-m., XXH, i8'!K, p. 294.
La science e.rp~'MKen~ p. 2)3-2t7.
1875. i5 fM~. Définition de iavie. Ijes théories anciennes et
la science moderne.
Revue des Deux ~fo?i~M, <87S.
La Science e~p('rtmett<n~, 2" édition. Paris, )878, p. < 49-2t8.
1875. 26 oc<o6t'p. De l'emploi des moyennes en physiologie
expérimentale, à propos de l'influence del'effeuillage des
betteraves sur la production de la matière sucrée.
Comp. t-end., LXXXt, i87H, p. 698-703.
1875. 5 MoueM&?'e. Action du curare et de la strychnine sur
!esj?renoui)fes.
DES TRAVAUX Df! CLAUDE RER~AHD. 3-n
Mf.'m.S'-)e.oM~t87~(C.n.p.6.S-8;i.
1875. 2') HOMm/e. Réponse aux no~es de M. Duchartre et.
de M. Vioiette, présentées dans )a séance du2~ novembre,
a propos de reu'cuiHcment (!es betteraves.
Comp, rend., t.XXXf, tb7;i, p. 999-t002.
1875 20 décembre. Remarques critiques sur tes théories de
la formation des matières saccharoïdes dans les végétaux
été!) particutier dans la betterave.
Cowp. ~H(L, LXXXf, 1875,p. tMt-)236.
1876. Leçons sur la chaleur animale, sur tes etïcts de !acha-
!eur et sur la lièvre. Paris, t876, in-8, Yf))-t7! pa~es avec
8 Hg.
Cours de médecine du Collège de France.
M. Mathias Duvit) a coorftftnnc ces leçons, et y a introduit les recherches
)!<)uvc))esde'rautet))',ai))si')))elGsrcsu)<atsd<'s travaux [~sptus)'c<'))ts
entrepris sur tf-m~mo sujet.
Traduit en aUernnnd par A. Schuster. Leipzig, t8':6, t vol. in-8.
1876.12 et i9./MW, 7 e< t4 ao~<. Critique experimenta)c sur
la glycémie. Des conditions physico-chimiques et physiolo-
giques à observer pour la recherche du sucre dans le san.ij.
./OMrM. <<erfiHa<o~!M de Robin, Xtt, t876~ p. S33-S52.
JoMm. de chim. et de pA~t'o; tX, t87ti, p. ~OT-2~8.
Comp. rend.. 187~, LXX~H, p. m.-lt9; i73-!79; 777-783, t3ai-
1357 tK)~-)UO; LXXXttf, p. 369-377 ;4C7-H3.
JoMrn. P/tonMCte, XXIX, 1876, p. iH6, 26S, 40).
A. Des moyens physico-ctumifiucs propres a déceler la présence du suer';
dans le sang, p. 533.
(t) Coagulation du sang par la vapeur d'eau surchauffée. p. 53t.
{2) Coagu)<ttion du saug par t'atcoot, p. Ma.
(3) Coagulation du sang par la sulfate de soude, p. M5.
Des conditions physiologiques & remphr pour constater la présence du
sucre dans le sang, p. M' i.
(1) En dehors du corps, après son extraction des vaisseaux, te sucre se
détruit rapidement dans le sang, p. M8.
('!jAu dedans des vaisseaux, après la mort, le sucre disparaît rapide-
ment du sang, p. M9.
I. La glycémie ne diffère pas chez les animaux carnivores et herbivores
e))e est indépendante de t'aiimentation, p. f,42.
Il. Dans le parcours du système artériel, le sang renferme une proportion
de sucre sensiblement identique, p. 545.
III. Dans te système veineux gênera) la proportion de sucre est variante,
mais toujours inférieure à cette du sang artériel, p. 545.
I. Le sang des veines sus-hépatiques est plus sucre que le sang artériel et
quc)esangde)aveineportc,p.54'
~8 MUUOGHAPHiE
tt. ),p sa<~ <)'' ):t voi«c fave info'icHt'p s'cnrirhit subitement en sucra, fn'ant
d'cntrpr dans le ça! m',aut)iveaut)udt''vprsumpnt<!<'s veines ~us-hcpati'
f)Uf's,p.M8.
1876. ~«~/c/. Ëtbérisation appiiquée aux végétaux et aux
animaux.
M6m. Soc. biol., )876~.t!.).p. 2C3-280.
1876 La sensibilité dans le règne animal et dans le n'gne
végétal.
Association /')'OMC<tM!epoM!' rn!;a!!cemfn< des sciences, session de
Ctermont-Ferrand, t876,p. S2.
La Science e.cpf'i'MHe~Mte, p. x< 8-236.
1876. Discussion surt'inuucncc de !'encui)!('mon). des bette-
raves.
.4 M. /Wm('. pou)' !'«);a))e. ~es MMHCM. Session de Ctermont-t'cr-
rand,it<7e, p. 903.
1876. 28 oc~?'< Anesthesic pouvant être produite, chex
tous les êtres vivants.
M~m. Soc. biol., i876 (C. R.), p. 312.
1876. !8 ~eccM~re. Note sur un moyen rapide de dosage de
ta chaux au moyen de la magnésie, et sur l'application de
la magnésie à la défécation des jus sucrés. En coUaboration
avec M. Hhrmann.
Comp. !-<'K~ LXXXIII, t876, p. i239-)2M.
1876. Critique expérimentale sur la formation delà matière
sucrée dans les animaux.
Ann. de c/ttm. e< </c p~ VftI, i876, p. 3fi7 38~
1877. H a~?' )!ecberches sur ta chaleur animale.
Mem.Soc. &<oL (C. H.), )877, p. t7M.
1877. Levons sur le diabète et la gtycogenese animate.
Paris, J877, i vol. in-8, Vt[[-â7<! p. avec une <ig.
Cours de médecine du Collège de France.
M. Mathias Duva) a coordonne Ma leçons, et y a introduit les recherches
nouvelles de l'auteur, ainsi fjue les r~auttats des travaun les plus récents
sttrtediabOteettagtycogM~se.
Traduit en allemand par Posner. <878, < vot. it)-8.
1877.7 M!N!. Leçonssur le diabète et ta glycogenèse animate.
Comp. Mttd., LXXXtV, i877. p. 9<)9.
H()~«<' médicale, <878, p. 63-64; 74-76.
DES TRAVAUX nE CLAUDE HHHNAUn. :!TJ
1877. 12 M'ot.Aoditedusuc gastrique.
~i.Soc.Mo~.tC.t;.),)877,p.2H.
1877. 28 ?na<. Critique experimentate sur ta f~nciiou~iyco-
~ëniquedufoie.
<'omp.Mtd.,LXXX!V.i877.p.i20i-)207.
Jot~-H.dep/tunK.,XXVi,)877,p.3SO.
Axn. de c~<m. f< p/«/s., X), 1877, p. 2~6-28't.
(.)) Démonstration e\penmenMte de la propriété, ~tyogenique'h) f.)i"pet)()antjaYie,p.t2()}.
(?) Démonstratif))) ex;)t''r-imet)ta)e de la persistance de )~ propriété ~tyco-
(!<'mnin~(tufoic:tpr)'s)amo!'t,p.)2()4.
(9', t!!tp!'j'ta'd').ig)yMgt'niR hépatique postmortcm, p. )'!().
1877. i(!/M!H. Fornmtion du suc gastrique artificic).
JMem. Soc. 6to;. (C. R.), )8T7, p. 293.
1877. lO.eM~'c. Critique cxppt'in~-nt.ite surh; mécanisn~-
de la formation du sucre dans le foie.
Comp. r6Hd.. LXXXV, {877, p. ai9.S25.
AKt!. de cAtm. et de ~Ay; Xtt, )877, p. 397-40ii.
JoMn:. p~a/'m. c<eA!M!e, 4e série, XXVU, mars )878,p. 260-265.
T/te Lancet, (878, Il, p. 2a9.
(A).MatiÈreg)ycog&rteduft)ie,!).t'iO.
t H.. Ferment diastasique du foie, Mï.
1877. CoHegede France. Cours de medefiue.anttee i8'?7.
Reuue sc!e)tt!/ï~Me, 1878, XtV.
Reproduit et développé dans les Leçon:, de y/~M~e ùpo'«~t;e.Cours de m~decMB du CoMd~e de Fronce. Paris, tS79.
(t). Médecine et phyMotogie, p. ~0.
(tf;. Observation et. cxpprimeutation, p.
(!tf). Fait et dëterminisnM, p. 77'
(IV). Les tahoratoires. leur installation, tcur rùtc, p. 7HO.
(\'). Les vivisections. Perfectionnement des procH<h;s. p. 7!)!
(VI;. Le ))ro))icmo cxpet'ime:)!a), p. 802.
1878-1879. Leçons sur les phénomènes de ta vie communs
aux animaux et. aux végétaux. Paris, 1878-1879, 2 vut.
in-8, xuv-9e8 p. avec 4 pt. col. et. 50 fig.
Cours de physiologie générale du Muséum.
M. t)Mtre, qui rodigë t'en~embta du Cours de physiologie gcn6ra)e fht
Muséum, a donne ses soms )a publication de ces deux yohjmes, dottt le
premier a dte eotieremt'ftt ret'u et corrjgu par M. Ciaude Heruar<).
380 B!BL)MftA)'t!)f':
1878. La science cxp'ri'i!f.'n!alc. Paris, t878,ivoi.[n-t8
jcsns,440 p.,fi~. dans)<'texte.
2" édition. Piu'is. (878, t vot. in-)8j., 4M p. avec taures.
))i~M~rsdoM.Dnmasau\f)!nerai)tes<!('('.)audcBernard.p.(. 1.C.)ande Bernard,par Pau) Hcrt, p.). Paris, ]2 février t8'!8.
~M~MdM~~M~p~M~M~t)~~
''rob~mesdo la physiotogiegcMraic, p. 9<)()5 décembre ).S(!?).
t'efinition de la vie. Los theuries anciennes et )a science moderne p, )4'~
(t5m!tt)<i'!o).
Laeha)eura!iimate,p.Ït3('MM(tt)875).La sansibitito dans to règne anima) et dans )c règne végata). p. 2)8, (t8~fi).~tudoa physiofogiquossur qne!q<t<"i poisons amoricaim. Le (;urar<~ p. 3).=)
(!" septcmhre tM't).Étude sur )aphysM)ogic<)u cœur, p.})'?()''mars j86.')).nos fonctions du cen-c.t)), p. :t67 ~jf) mars )8'?3).Discours de receptiof) & i'AcadÈmio fran<;ai',c.. (F)ourcns Les fonctions du
cerveau,p..M)t,27 mai )8M).
La'(''f))t.if.'ncofjt.i~))t,e))p)usfj<)() la )",)<! discours d'ouverture de la
.spaoce pu)))i<)ue annue));' des cinq Académies prononce par M. 0.Beroard. comme président de t'Aradetnie des sciences, te H août t86').
Les tn6moircs rontcnus dans ce volume so trouvent teur rang chronoiogi-f)U('daus)ahibUn~raphie.
1878. La fertnentation aicooHquc. Dcrnifres expériences de
Ct. Bernant.
Comp<es t'ttMfMs. LXXXVH, i8'?8, p. )28.
Ret'MeiiCte~M~ue, XV, <878-<8TJ, p. 4!).
.~otu'K.dep~m. e(t.{ec/«m;c,voLXXV)tt, t878.p.327.
GMeMem~d'tca<)8'78.
1879. Leçons dephysiotogie opératoire. Paris, 1879, 1 voL
in-8, xn'6i 4 p. avec ti6 fig. noires et coiorides.
Cours de médecine du CoUège de France.
Les M premjAre- 'pçons furent rodigêes par M. Mathias Duval sous ies
yeux do M. 0. Bernard, revues et corrigée!; par lui. Les autres avaient6tô pubhecs en angtais dans [a ~<)'M< rtM~it nnd Goïe~p par M. Benj.BaH et ont <M retraduites en francait par M. Gitaton Decaisne.
1846. Notice sur]es travaux de M. 0. Bernard, candidat
pour une place vacante à l'Académie roya)e de médecine
(section d'anatomie et de physiotogie). ln-8, 8 p.
1850. Notice sur les travaux d'anatomie et de physiotogie deM. Oaude Bûrnard. Paris, imp. L. Martinet, s. d.In-4, 38p.
18S2. Notice sur les travaux de M. Claude Bernard, candidatà une place vacante à l'Académie des sciences dans ta sec-
tion de zoologie. Paris, 1852, in-4, ~0 p.
DES T!!A\UJX DE CLAUDE UKR~AMR. 38)
1854. Notice sur les travaux de M. Claude Bernard, Paris,
juin i8M, in-4, 46 p.
II. BIBLIOGRAPHIE BIOGRAPHIQUE
fUtSCOURS i'fiOXOfCKS AUXOBSÈQURSHHM. f.),AUMnE!UU)
)-[':S.\MEr))t6FHV)!!)-:i)!878
M. J.D.DUMAS,membre de rtnstitut(Academie des scienceset. Académie française), au nom duCiunseit supérieurde) Instruction pub)ique.
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Com;). t'fnd. de FAcftd. des sctf.ce.f, t. LXXXVi p 4C2
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M. BoutLLAt:!). tuemi)r'' de !'At'ad6mic des sciences, au nomde t'Acadmnie des sciences.
CoMp. rcH~. de i'Ac(ft<. f~'s sc<cftces, t. LXXXV), i)~8, p. 40~
Paris, ifnp.Uidût,<8~8,in-4".
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Leçons StM'~fs~AdHo?nëncs de ~<r<t:, par Claude Bernard Paris i8;8t.t.p.vf).
M. Paul CEnvAis, membre de t'Academie des sciences, aunom du Muséum d'histoire naturcHe.
Comp. )'<id. de FAcad. des SMemes, l. [.XXV!, i878, p. 4j~.Paris, imp.Didot:,in-4",8p.
M. LAUouLAYE, membre de t'Academie desinscriptions et
beHes-tetLres, au nom du CoHeg'e de Franco.
Paris, imp. Didot, 1878, in- 4 p.
M. MuxtÈRES, chancelier de !'Academic française, au nomde ['Académie française.
Paris, imp. Didot, t878, in-i", 4 p.Jottm. dMsat)'.f)t<s, <878, p. ~3.
M. Paul BHRT, professeur à la Facult.6 des sciences, au nomde la Faculté des sciences.
3M MUOGKArfUR
~.<t~<t<UM,fMv.~T8.p.2h).
Lt'çons sur les ~/t<tMM~nesf& fte, parOaude ~erourd, Paris, <878,
!.),p.XXY(.
M.Arnuin<tAf()nKAt,ttK'tnbre()('Aca<iefniedemc(iec!n<
.mnont<h'rAcat)p)nic'()t'' )ncd<'cint\
MH~.d6-rAc~.<~M~Of6v.i878,p.i27.
<T<j:.m<'(i,i878.p.<)9.L'~to-'e de C<oM~eBent(t)'d. Paris, i88), p. 89.
M. DuMO?<ï)'ALUEn, spcr6tah'c ~émh'.d dt* la Société df
bio)<~i(\!m )tt'm de !a Société (iebio!')~ie.
<!ftz.Medtttt,'e,<878.
~em.SocdeMo~ t878.
~° ;Un')C.LES)t«)m)A)'tHQUËS
R):AU\~ iU.. –C!aude Bernard. Leçon d'ourerturc du cours
dcpbysiotogicàiaFa.cuUëdcNfincy.
f!<t!)«'Mf't<ic(~<'f<f'JEs<,i878.
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Sc)<(t:)tEL (C.). Chmdc Bernard ''t. son principe du crité-
rium expcmnenta!.
~'<!me humaMB au point de fMC de ta science et/;Mo~)-(ip/t:gue, sui');t't'd'M/t~ Ko~ A' C~Md<! Bernard, par C. Scha'be!, 2' édition, < 8~'<,in-8.
A. B. Claude Bernard.
Jota-Mf~ de pAftrmKc'e, ntars )87~, p. 222.
<~)aude Bernurd.
Rc<;Mc sct'cn<)/~t<c, XIV, )878, p. '76t.
Oaudo Berniird.
JuMmeti de m~ecitte et de e~M'u)'~M, col. 49, i878, art.. 10744.
Ctaudc Bprxard.
~'«<Mrt:, JuxrH. f/'s'eKc< i878, )4 fevr-, p. 304.
Ctitudc Bcrttard.
Cff:e«e /m&(<om~~<fM'< <S fév. i878.
Oaude Bernard.
La rn6M)~Htë~:<;f)fe, n" 496, i7 février ~878.
t~tindc Bernard.
~t~em<'H)c ~<it'<ut~, 2S f6v. <878.
(~audc Bernard.
JL(t.<(<«M, ~878, 2 nmt's.
Ctaud'-Bernard juge par E. Benan.
Re! ~«~ M< i87i), IV, 233 & xM, 308 a 3)0.
OMMtM<o(e <orMM, 1879, XV, 2H, 2H7.
Ctimdc Bernard.
jtfed<c«< J'tmM, ), i878, p. 212 et 234.
Ctaude Bernard.
T/<e LtMtM*t, ), i878, p. 248 et 256.
Ctaudc Bernard.
77te IMM/t ModtM~ JoMma/, t, <878, p. 239, 260, 384, 42t.
ntaudc Bernard.
~er~ter KhnMK/te ~oe/t<'MSf/in/'<, <878, p. <09.
ERRATUM
Page Ï(M, cotounc 2, ligne 8, ajouter la tomaison Y)t.
CLAUDEf}ERX<nt'tX.
M J
TABLE DES MATIÈRES
Introduction paj'Mathia'<Ht;u, v
Lœuvre de Claude Bernard. )
t. f~.At'nt: t!f;))'<A)tf) par K. RE~ mf~tthro de i'Acadcmie française
ctdet'Acadcmiedcsinscriptions et. bf'Hes-iettre'i. 3
n. LM rtt~YAUt !)): ('Aunt; BER'<AKt) par )'a)tt UEKT, professeur
d('phy8i()t()gie~r~e&)aFacu)t(''dps sciences. :)i)
H!.CLAC))EBEKXAK~p.in'ArmaadMonHAt.m(-'n)brcdft'A<'ademic
ftctTtcdecht~ 8~
Tabte alphabétique et analytique des matières contenues dans
les oeuvres de Claude Bernard f)8 votumf's).par le D' HocHn DE
).ACoK))HAtE, ancien interne des hôpitaux. 9a
Bibliographie des travaux scientifiques et bibliographie biogra-
phique de Claude Bernard, par Godefroy MALLOt~Et., sous-bibtio-
thcca'rcauMu')éum()'hi<toh'cnat)))'et)c. 33~
LEÇONS D'ANATOM!E GENERALEt-'AtTRS AU COLf.Èt.E DE FRANCE
Par L RANVÏER
Pt'o~s-c'tt'anCuUt~cdë ~ranf'
A-t~t)')!4T:8':8
APt~HKH.S~e:!n'EL'X'))..r!t)).SAUXOES MCSCLMDEL~\tH())U,A.\tQCE:
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Histoire naturelle des vésettmx parasites qui croissent sur t'homme et les
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DE LA HESP1HATJONPar P&mt BERT
ï'Mff:s8P"rdeph;8'to!icC(jtnt'a<~càtaFac<itt6<)p~sC!e)iC!'s.
Pati<)8'!0,)\'ot.de.8Sj'!)ji:f!a.Mec).<')f)~))t'f*s. )<)fr.
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Par A CHAUVEAU
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CONStUÉKÉE DANS SfM R\t'f'OM'S AVEC LHS SOEKCES NATUHEt.LEa
MÈUKOKE, LA XOOTECH~tE ET J/t;CONOM)t: HDnALK
Par G COLIN
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DcM.t'~WCCf~iM!.
Pnn!}.187t-)8'!3.Yo).in-8,a''<'c'!06 figures. '!Gfr.
LES ORGANES DES SENS DANS LA SERIE ANIMALE
LEÇOKS D'ANATOMtK ET UE PHYSIOLOGIE COMPAREES
FAITES A t,A SOXBONNE
Par !e docteur Joa.nn6s CHATIKf
Maître de cûnfët'ences à Ijt Facuttë des scîeHces de P:uis,Professeur e~reg6 a t'Rcoie supérieure de phtruMett.
t'aris, !8SO, ) vo).in-8 de 740 p~K~ ~<'o 136 figures interM)6es dans le texte, tï
ÉLÉMENTS D'ANATOMtE COMPARÉE
DES ANiMAUX VEHTËBHËS
Par Th. H. HUXLEY
Traduit de par M" BMSET.
Précédé d'une introdMtton par te professeur Oh. ROB!N
Paris, )S'!&, ) vo). in-)8 Jésus du M8 pagef, avec )~ figures. (; fr.
LA VIE
ËTLDES ET PROBLÈMES DE BIOLOGIE GÉNÉRALE
Par P. E. CHAUFFARD
Professeur de PatMogie ~nerate 4 h FaeuiM de médecine, inspecteur gen~rK) do t'Uni'ersite.
Paris, t8'!8, 1 voi. in-8 de &26 pages. 7 fr. hO
Et!W FKAKCO CONTttE UH MANDAT SUR LA POSTE.
UBR.UJ!)EJ.)iAJLL)ÈREETt')LS, 1!t,!<t~)At-T);)''Et;)Lm.
AXGKH. ~cu~etutx <'t''met)<« d «nxtntnte chtrur~icatf, par Bf'nj. AsRER,
chirurgien do t'hûpi~i Saint-Antoine. prof''sseur agrégé de )at''acuité.Paris. t8Mi~
tvo).in-8,det05.')pages,av<'c)0:!)ng.et)atiasin-4de)~p).co). 40 fr~
Séparément le texte, 1 vol. in-8. '~0 fr. L'atlas, t vol. in-4. 2:, fr.
ttiMAR (A.). StfHctHFe des gaH~Ucss seFTfS:! Anatonuo et physiologie.Paris, )S'!S, in-8, 68 pages. 2 fr.
HOUCHOT. jt~a ïte et ses attributs, dans leurs rapports avec la philosophie etla médecine ï' ~t<OM. Paris, i8'!<i, in-i8 jésus, i~O pages. 4 fr. 50
CADIAT (0.). CFtataîUn, StiatomiH et dÉ-e!oppemsnt, usages et régénération.Paris, i8':t!,in.8de80 pages, avec 2 planches. 2fr.5o
)Ëtnde anr t'aMatOtmte netrnmte et les tnmenra du sein chez la femmeParis, t876, in-8 de 60 pages, avec 3 p). et 20 fig. lithog. 2 fr. M)
CRUVEI~mUR Anatomie paih<tl«jtr!que dm corps humain, ou Descrip-tions, avec figures tithographiées et. coloriées, des diverses attérations morbidesdont le curps humain est susceptible. Paris, !S30-).S4. 9 vot. in-folio, avec 290
ptanci~escotoriées. 4;)6fr.
Traité d'anatomie pathologique. Paris, tS;9-t86~, 5 vol, in-8. 3& fr.
DALTON. <*hyttolog;'e et hy!e <'e< écoteo, des collèges et des familles.
Paris, t8'!0, 1 vol. in-!8 jésus de 59)< pages, avec <:8 f]; 4 fr.
HËBROU. ''a t'e; différentes manières de la concevoir et de l'expliquer. Ortéans,
t~69,in-!8jesm,2)!pages. 2fr.DEP)EHR[S (A.). ). TTratté de phyah~o~e genf-mte. ou Nouvelles Recherches
sur la vie et la mort. Paris, 1842, in-8. '?fr.M
UONtt~ ~A.i. Cours de tntffttecnpte comptémentaire des études médicates, ana-
tomie microscopique et pitysiotogiqnodes f)uidesdei'économie, Paris, t844, tvo!.
in-8de5à0pa~e- 7fr.RO
DOKK~ (A.) etFOUC\ULT(L.). Atlas du coura de microscopie, exécuté d'a-
près nature au microscope daguerréotype, par le docteur A. DoNtÈ et L. Fot;c.tm.T.
Paris, 1846, )<'o!.in-fo)iode 20 planclles gravées, avec un texte descriptif..i0 fr.
DCC[.OS(F.). La tie. Qn'eti-tu?B'<mvteMattt? Oit Vttt-tu? Paris, t8~8.
!vo).in-)2de204 pages. 2fr.DURAND (A. P ) )Ëtude m«a<<ttmi<)Me sur le spt["~ent cellulaire contraf
tile et le tissu connectifdumuscte cardiaque. Paris, )8'!9, grand in-8~ t)& pages,avec 3 planches. 3 fr. 500
DUTROCHi.T. Mémotre« pour tter~tr à 1 hit(t«!)re mnatomt~ue et physio-
totrtttue det) Té~t&nx et des nninMMX. Paris, t837, 2 vat in-8, avec attas
de30ot!mehes. (;tr.
ÉLOUI. Mecherchet h!atot<t~t<)meti sur le <t<en eonnectif de la cornéedes animaux vertébrés. Paris, )8iit,t vu), in 8, avec6p'.co). 6 fr.
']' Encyctnpédie anatomique, comprenant l'Anatomie descriptive, l'Anatomi
généMie, t'Anatomie pathuiogiqne, Dnstoire du Développement, par G.l'. BtscHOt'F.
HEM.)!, HUSCHKE, SCt:MME)tft[K6. F.-G. ÏHEtLE, G. VAt.KKTtN, J. VOCEL, G. et E. WKBM.traduit de l'allemand, parA.-J.-L.-touKnAN, membre de t'Académie de médecme.
Paris, i8<3-)847, 8 forts vol. !n-8, itVnctUa~m-4. L'ouvrage complet (75 fr.) 32 fr.FLOURENS. Mémoiref) <t'n<t«tomte et de phyetotos;<e eomparéett, conte-
nant des recherches sur f les lois de la symétrie dans le Règne animal 2° lemécanisme de la Rumination; 3° le mécanisme de la respiration des Poissons;
les rapports des extrémités antérieures et postérieures dans t'Homme, les Qua-
drupèdes et les Oiseaux. Paris, m4, gr. in-4 avec 8 planches coloriées. H fr.Methcrchex tnr le «etet«ppement des os ft des ttemta. 1841. in 4
t40p.avect2p).coi. 10 fr.Anatomie ~énerate de la peau et des membranes muqueuses. 1843, in-4,
)04p.avec6p).cot. 6fr.
–'rh6orieexpfrtmeM<atedetaform&<ium<te<os 184 i, in-8 avec pi. 3 fr.
HALLER. Etememtmphytttolu~taB corporishumani. t':57, 9 vo).in-4 (t20fr.) 50 fr.
-j- HEKLE (J.) ffxtte d'tumtntmte ~ener~te, nu histoire des tissus et de la com-
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LEBERT fratté d'Mntttomtë pa)h<tt«Kt<)ne et j~énérnte epécinte, ou Des-
cription et iconographie pathologique des anections morbides, tant liquides quesolides, observées dans le corps humain. Ouvrage complet. Paris, 18;)5-186t, 2 vol.
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Mtude* pttychoto~tMc*. Paris, 1880, in-s, 71 pages. ) fr.LKHROS. Des nerfs *<m« motemr* Paris, !8~3, ) 1 vol. in-8 de 112 pap:. 2 fr. 50
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MALGAtUME ;J [.). Tffmtte d'an&«<mte chtfMrortettte et t-xp<rtmettta!e,
par J.-F. MtLHOGtE, professeur à la Facutte de médecine de Paris, membre da
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