LES EXTRA TERRESTRES

L' EGNIGME DE

••

BAlAN KARA OULA

RÉALISATION

ÉDITIONS CASADAMONT

108, RUE RÉAUMUR - 75 PARIS - 2P

236 - 81 - 29

D'APRES DOCUMENTATION G.E.O.S. - FRANCE

ILLUSTRATIONS

D OMINIQUE s ERAFI NI

LILIANE GERARD

N ORBERT NORMA

'ÊPOT L EGAL 2" TRI MESTRE 1972

) CASADAMONT 1972 IMP. METIVIER. PARIS

1--<( cr: 1-(J) CI) <( ' 0 -a..

<( cr: UJ Cl •W u 0 ex: 0..

UJ ex: :::> l­a:: w > :::> 0 u

L'un des plus extraordinaires témoignages sur l'existence d'êtres venus de l'espace infini du cosmos a été décou-

•• vert dans le site de BAlAN KARA OULA aux confins du TIBET et de l'IN DE au centre de l'immensité

Hymalayenne. Dans une vallée encaissée, à 3.500 mètres d'alti-••

tude se trouvent les cavernes et les grottes de BA.AN KARA OULA. Le site abrite une importante installation de télécommu­nications de l'Armée Chinoise ; sévèrement gardée par un déta­chement d'élite. Dans les flancs de la montagne la nature a creusé d'immenses grottes et cavernes dont une partie est occu­pée par les militaires Chinois, l'autre par deux tribus les ORO PAS et les HAM, qui y vivent en troglodytes .. En face sur le versant Oriental de la vallée un petit temple Tibétain veille sur la vie spirituelle des DROPA et des HAM.

Les DROPA et les HAM sont les seuls habitants des cavernes de BAÏAN KARA OU LA. Ils ont construit à la manière des Indiens PUEBLOS, à l'intérieur des cavernes, des habitations faites de terre et de bois. Ils

vivent de chasse, de pêche, d'élevage, ne sont soumis à nulle activité rénumératrice. Ils tissent leurs étoffes et traitent eux­mêmes les peaux destinées à leur habillement. Leur taille ne dépasse pas 1 mètre 30, leurs gestes sont lents et mesurés. Malgré cene apparence frêle ils sont dotés de pouvoirs extraor­dinaires inexistants chez l'homme normal, notamment une décon­traction et une maitrise de soi remarquables doublées d'une indifférence totale à leur destin. Ils peuvent acquérir en quelques

instants en cas de nécessité une force physique très supérieure aux possibilltés humaines. C'étaient encore il y a quatre ans des hommes et des femmes d'origine indéterminée, que les savants n'avaient pu rattacher à aucun groupe humain connu. Ethnique­ment les DROPA et les HAM n'appartiennent à aucune race recensée sur notre planète, ils ne peuvent survivre ailleurs que .. dans le site de BAlAN KARA OULA.

L'intérieur de l'habitat des DROPA et des HAM est meublé très simplement. leurs ustensiles de cuisine sont taillés dans le bois ou confectionnés dans des peaux. Les femmes se consacrent exclusivement aux travaux

du ménage.

A proximité des cavernes des DROPA et des HAM se .. situe l'entrée des Grottes de BAlAN KARA OULA. Celles-ci s'étendent sur plusieurs dizaines de kilommètres de profondetJr. Il y a vingt cinq ans une unité de l'armée ..

du Maréchal CHANG KAI- CH EK en mission dans le secteur entreprit l'exploration des grottes et y découvrit à même le sol une dizaine de disques semblables aux disques phonographiques. Ceux-ci mesuraient de 35 à 50 centimètres de diamètre et étaient percés en leur centre d'un orifice circulaire de 3 à 5 centimètres de diamètre. L'une des faces des disques, portait un double sillon spiroïdal partant de l'orifice centra~ et rejoignant le bord extérieur. Les DROPA et les HAM interrogés déclarèrent tout ignorer de la présence de ces disques, et n'avoir jamais pénétré aussi profon­dément à l'intérieur des grottes. Depuis cette époque 716 disques ont été découverts.

Les premiers disques furent transportés à P~KIN al laboratoire de l'Université pour y subir des examens approfondis. Les premières observations permirent d constater une importante proportion de cobalt dans

composition des disques, qui émettaient des vibrations à un rythm inhabituel exactement comme s'ils avaient appartenu dans le uds'

à un complexe électronique très évolué.

De plus l'examen des doubles sillons au microscope électronique révéla des signes en relief dont le graphisme ne pouvait se comparer à nulle écriture connue de l'homme. Récemment après 22 ans de recherches le

Professeur TSOUM OUM NUl dans une déclaration à J'Académie des sciences de PÉKIN révéla avoir identifié le sens des graphis­mes et des vibrations émises par les disques. Il s'agit d'une révéla­tion bouleversante concernant les missions lancées sur I'HYMA­LA VA par des extra-terrestres il y a 12.000 ans.

Le Professeur TSOUM OUM NUl expliqua : à cette

lointaine époque des astronefs habités se posèrent à ••

plusieurs reprises aux environs du site de BAlAN KARA

OULA. Des extra-terrestres explorèrent méthodiquement

la région et pénétrèrent dans les grottes et y installèrent des

laboratoires d'observation terrestre.

Or plusieurs milliers d'années plus tard une mission pour une cause indéterminée fut dans l'impossibilité de se poser convenablement sur la terre. A l'aterrissage les astronefs s'abimèrent sur Je sol. Les occupants se préci­

pitèrent en catastrophe vers les cavernes où se trouvaient Jeurs laboratoires pour prendre contact avec leur planète, apparemment sans succès. Ils tentèrent vainement de réparer leurs vaisseaux. Plusieurs des occupants périrent, les survivants parvinrent progres­sivement à s'adapter aux conditions de vie terrestre et, demeurè­rent ainsi~ dans ce qui devait devenir longtemps après le site .. de BAlAN KARA OULA.

Des millénaires passèrent. Quand un jour un engin extra-terrestre se posa à proximité des cavernes occupées par des hommes d'apparence primitive. Ceux-ci virent avec terreur se diriger vers eux les quatre occupants de

astronef. Le contact entre des êtres aussi différents ne fut pas Pourtant malgré la crainte de ces primitifs un dialogue put

btir.

Après bien des hésitations l'un des cosmonautes put pénétrer à l'intérieur de la caverne et se méler aux membres de la tribu qui l'occupait. C'est à ce point du récit du Professeur TSOUM OUM NUl qu'est révélée

l'égnigme de cette rencontre entre des êtres aussi différents en apparence. En effet, le déchiffrage des signes gravés sur les sillons des disques, l'identification et, l'interprétation de leurs vibrations

•• révèlent l'extraordinaire origine des habitants de BAlAN KARA OULA. En fait, les occupants de ces cavernes sont les descendants lointains des cosmonautes immobilisés sur la terre dans le passé. Donc les DROPA et les HAM issus eux-même de ces ancêtres primitifs, le sont des extra-terrestres établis accidentellement sur notre planète il y a plusieurs milliers d'années.

Curieusement, la tradition chez les DROPA, indique que leurs ancêtres sont descendus des nuages dans leurs glisseurs aériens. Les HAM, hommes, femmes, enfants, terrorisés se cachèrent au plus profond des cavernes, mais, par la suite, ils comprirent que • !es DROPA étaient venus dans des intentions pacifiques.

Cette même tradition évoque Je désespoir des ancêtres des HAM, premiers occupants des cavernes face à leurs vaisseaux aériens détruits en atterrissant, leur désolation de ne pas avoir réussi à en construire de nouveaux. Ainsi de nos jours, ces êtres étranges que sont les DROPA et les HAM sont selon la thèse offici,elle du Professieur TSOUM OUM NUl des êtres issus d'un monde inconnu. Si l'on considère que d'une mission à l'autre venues du Cosmos plusieurs millénaires se sont écoulés, il est possible d'ad­mettre la possibilité d'une incursion d'extra-terrestres dans le secteur .. de BAlAN KARA OU LA de nos jours. C'est cette hypothèse qui explique la présence sur les lieux d'un puissant dispositif d'obser­vation et de détection contrôlé par l'armée Chinoise, dirigé vers l'infini de l'univers dans l'attente d'un retour des frères lointains des DROPA et des HAM ...

... 120 siècles avant notre ère au-dessus de r HYMALA VA.