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Sujets d'examens d’odontologie D1 – FGSO3 2012 - 2013 Annales de l'Université Lyon 1 Faculté d’odontologie

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Sujets d'examens d’odontologie

D1 – FGSO3

2012 - 2013

Annales de l'Université Lyon 1

Faculté d’odontologie

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Année universitaire

2012-2013

Université Lyon 1

Faculté d’odontologie

FGSO3

Semestre 1

Session 1

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : Histologie des tissus parodontaux et des muqueuses buccales

COEFFICIENT : 1

DUREE : 1h00

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

Questions du Dr Richard :

1. Citer les cellules du ligament parodontal en donnant leur localisation et leur fonction. (5 points)

2. Expliquer les différences entre muqueuse masticatoire et muqueuse de recouvrement en faisant le lien entre particularités histologiques et fonctions. (5 points)

Question du Dr Carrouel :

Décrire en vous aidant d’un schéma la structure générale des glandes salivaires. (3 points)

Question du Dr Virard :

1. Expliquez en quoi l'épithélium péri-implantaire est-il différent de l'épithélium de jonction normal ? (3 points)

2. Complétez et annotez le schéma ci-joint. (4 points)

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NOM :………………………………………………..PRENOM :…………………………………….PLACE N :…………….

EPREUVE DE :……………………………………………………..

FACULTE D’ODONTOLOGIE ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 –SESSION 1 – SEMESTRE 1

Coupe histologique à annoter (Dr Virard, 4 points) :

Titre : Coloration :

Ne rien

inscrire

Note

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON

ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : PROTHESE FIXEE

COEFFICIENT : 1

DUREE : 1h00

NOM DU CORRECTEUR : Question 1 : Dr CLEMENT Marie

Question 2 : Dr JURADO Marie

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) : /20 (10 points pour chaque question)

REPONDRE A CHAQUE QUESTION SUR DES COPIES SEPAREES.

INTITULES DES SUJETS D’EXAMEN :

QUESTION 1 (10 points) :

Une patiente se présente en première consultation suite au descellement de sa couronne sur 25 (manque d’adaptation cervicale). La patiente a une demande esthétique importante : une couronne céramo-céramique est donc envisagée sur 25 et un implant en remplacement de 24. En fonction des images cliniques fournies : quel type de reconstitution corono-radiculaire choisissez-vous pour la 25 ? Argumentez.

QUESTION 2 (10 points)

Concernant la même patiente, vous devez donc envisager la réalisation d’une prothèse provisoire en urgence. Quelle technique allez-vous utiliser ? Justifiez et décrivez les grandes étapes de réalisation.

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : ONCOLOGIE

COEFFICIENT : 0.5

DUREE : 00H30

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr Jean-Pierre FUSARI

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) : 10 points

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Groupe de Population à haut risque et Etats précancéreux

pour un cancer de la cavité buccale :

Définir et donner plusieurs exemples .

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON

ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : Odontologie Conservatrice et Endodontie COEFFICIENT : 1 DUREE : 1h30 NOM DES CORRECTEURS : Question 1: Dr Cyril Villat Question 2 : Dr T.Selli NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question):/20 (10 points pour chaque question) REPONDRE A CHAQUE QUESTION SUR DES COPIES SEPAREES. INTITULES DES SUJETS D’EXAMEN : QUESTION 1 (10 POINTS)

1. Objectifs des reconstitutions coronaires pré-endodontiques (4 points) 2. Quelles sont les règles déterminant les relations chambre pulpaire – plancher pulpaire

(6 points)

QUESTION 2 (10 POINTS)

La cavité d'accès pour une intervention endodontique sur 46: En 120 mots minimum vous décrirez le geste et les difficultés attendues. Vous commencerez par un schéma vue supérieure et un schéma vue vestibulaire. Seront observées a priori votre présentation, votre orthographe, et votre expression écrite.

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE: Infectiologie générale et buccale, immunopathologie buccale

COEFFICIENT : 1,5

DUREE : 1h30

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) :

Questions 1 et 3 : Dr Barsotti

Question 2 (à rédiger sur une feuille séparée): Dr Grammatica

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

Question 1 : 12 points

Question 2 : 12 points

Question 3 : 6 points

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

1. Epidémiologie de la tuberculose en France et dans le monde (12 points - Dr. O. Barsotti).

2. Herpès : primo-infection à HSV1 (12 points - Dr. M. Grammatica) : à rédiger

sur une feuille séparée.

3. Les mycobactéries atypiques (6 points - Dr. O. Barsotti).

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : Hygiène

COEFFICIENT : 1

DUREE : 1h00

NOM DU CORRECTEUR: Dr COMTE

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

1ère question : 12 points

2ème question : 8 points

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

1ère Question ( 12 points ) : Décrivez les étapes successives du traitement de l’instrumentation rotative entre 2 patients 2ème Question ( 8 points ) : Nettoyage manuel ou par Thermo-désinfecteur ? Avantages et inconvénients de chaque méthode.

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : Médecine et chirurgie buccale

COEFFICIENT : 1,5

DUREE : 1h30

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Docteur Julie Hémar

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES :30 points

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Avulsion simple : indications et contre-indications, technique et protocole opératoire

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Année universitaire

2012-2013

Université Lyon 1

Faculté d’odontologie

FGSO3

Semestre 1

Session 2

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : Santé publique

COEFFICIENT : 1

DUREE : 1h00

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Pr BOURGEOIS

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES: 20

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Quelles sont les principales modifications structurelles démographiques, données à l’appui, observées depuis 50 ans ? Quelles sont les perspectives ? Quels impacts sur les sociétés ?

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : Prévention

COEFFICIENT : 0,5

DUREE : 1h00

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Pr. BOURGEOIS; Dr GRITSCH

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) : 5

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

1. Indice CAO : Quels intérêts, comment l’utiliser, quelles sont les données actuelles ?

2. Quelles sont les conséquences de la consommation journalière de tabac

(cigarettes) au niveau de la muqueuse buccale?

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYONANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : Prothèse partielle amovible métallique

COEFFICIENT : 0,5

DUREE : 00h30

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) :

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

Question 1 : Dr VIGUIE (10 points)

Un patient présente le schéma dentaire suivant :

8 7 6 . . . 2 1 . . . . . . . .

. . . . 4 . . . 1 2 . . . . . .

Décrivez en détail la séance d’enregistrement de la RIM pour ce cas clinique.

Qusetion 2 : Dr JURADO (10 points)

"Deux prothèses partielles amovibles doivent être réalisées pour le patient dont le schéma dentaire est représenté ci dessous (les croix repésentent les zones édentées, les dents conservées présentent un état parodontal et radiologique normal et fiable)Décrire le schéma occlusal choisi. Motivez votre choix.

X X X 5 4 3 2 1 1 2 X X X X X XX X 6 5 4 3 X X X X X 4 5 6 X X

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – 2ème SESSION

NOM DE L’EPREUVE : PARODONTOLOGIE COEFFICIENT : 1 DUREE :1 h00 NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr RODIER NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) : 10 pts INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Question 1 Interprétation parodontale du statut radiographique Question 2 Aspect anatomo-pathologique de la poche parodontale

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : ONCOLOGIE

COEFFICIENT : 0,5

DUREE : 00h30

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr Jean-Pierre FUSARI

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) : 5 points

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

Principaux facteurs étiologiques exogènes d’un cancer de la cavité buccale.

Classification TNM d’un cancer de la langue mobile

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : Infectiologie générale et buccale, immunopathologie buccale

COEFFICIENT : 1,5

DUREE : 1h30

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Rédiger chaque question sur une feuille séparée

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

- Question 1 : 10 points

- Question 2 : 8 points

- Question 3 : 8 points

- Question 4 : 4 points

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Question 1 (Dr Thivichon) Rôles bénéfiques et délétères des macrophages dans la maladie parodontale Question 2 (Dr JF Keller) Décrivez le modèle infectieux polymicrobien multifactoriel de Page. Question 3 (Dr M. Grammatica) Mode de transmission du VIH1 Question 4 (Dr O. Barsotti) Sources de contamination des légionnelles (4 points - Dr. O. Barsotti).

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : Hygiène

COEFFICIENT : 1

DUREE : 1h00

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr COMTE INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

1ère Question (12 points) : Décrivez uniquement l’étape de désinfection (les différentes méthodes et le matériel utilisé) au cours du traitement de l’instrumentation critique immergeable. 2ème Question (8 points ) : Décrivez les différents types de contamination aéroportée présents au sein d’un cabinet dentaire.

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : Histologie des tissus parodontaux et des muqueuses buccales

COEFFICIENT : 1

DUREE : 1h00 Rédigez sur des copies séparées en inscrivant le nom du correcteur INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

Questions du Dr Richard :

1. Cément cellulaire et cément acellulaire : donner leur(s) localisation(s) et leur(s) rôle(s) en faisant le lien avec les éléments qui les constituent. (5 points)

2. Citer les 3 types de muqueuse buccale en précisant leur fonction et en donnant un exemple de chaque type. (5 points)

Question du Dr Carrouel :

Décrire en vous aidant de schémas l’acinus séro-muqueux et les types cellulaires qui le composent. (3 points)

Question du Dr Virard :

Propriétés de l'épithélium de jonction. (3 points)

Annotez la coupe suivante. (4 points)

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UNIVERSITE CLAUDE BERNARD 2012-2013 FACULTE D’ODONTOLOGIE

EPREUVE D’HISTOLOGIE DES TISSUS PARODONTAUX ET DES MUQUEUSES BUCCALES

NOM :…………………………………………………………..PRENOM :………………………………………………….

EPREUVE D’HISTOLOGIE DES TISSUS PARODONTAUX ET DES MUQUEUSES BUCCALES

Coupe histologique à annoter (Dr Virard, 4 points) :

Ne rien inscrire

Ne rien inscrire

Note

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : Hématologie

COEFFICIENT : 0,5 pour toute l’hématologie

DUREE : 00h30 : 15 minutes pour l’hématologie cellulaire et 15 minutes pour l’hémostase

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) :

Hématologie cellulaire : Dr O. Roualdes

Hémostase : Dr Y. Chevalier

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) : 5 en hémostase et 5 en hématologie cellulaire

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Hémostase : Répondre sur une copie séparée Sur 5 points : 1,25 points par question Les réponses doivent être courtes et synthétiques. 1 - Quelles sont les 4 étapes principales de l’hémostase primaire ? 2 - Quelle est la maladie la plus fréquente de l’hémostase primaire ? Donner sa définition et son origine. A quoi correspond le type III ? 3 - Quels sont les tests globaux d’exploration de la coagulation ? Quelles voies de la coagulation explorent-ils ? Quels sont les différents modes d’expression et les valeurs normales ? 4 - Quelles sont les grandes classes médicamenteuses indiquées dans le traitement de la thrombose veineuse ? Pour chacune d’entre elles, donnez les voies d’administration, les tests permettant la surveillance biologique du traitement et au moins un nom de spécialité. Hématologie cellulaire : Répondre sur le sujet

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UNIVERSITE CLAUDE BERNARD 2012 - 2013 FACULTE D’ODONTOLOGIE – FGSO3 – 2ème session

Coefficient : 0,5 Durée : 30 minutes Nombre de points attribués : 5 points Nom du correcteur : Dr ROUALDES NOM :………………………………………….PRENOM :……………………………….. Hématologie cellulaire : (5 points) 1) Donner les valeurs normales du taux d’hémoglobine chez l’adulte (0,5 point) : Homme : ……………………………………………………………………………….. Femme : ……………………………………………………………………………….. 2) Comment appelle-t’on des hématies dont les TCMH et CCMH sont diminuées (0,25 point) ? …………………………… 3) Comment appelle-t’on les hématies en forme de faucille (0,25 point) ? …………………………… 4) Donner la définition de l’anémie (0,25 point) : ………………………………………………… 5) Chez l’adulte, où a lieu l’hématopoïèse (0,5 point) ? …………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………………. 6) Quelles grandes causes doit on suspecter devant une anémie normochrome normocytaire régénérative (0,25 point) ? …………………………………………….. …………………………………………….. 7) Quelles sont les valeurs normales du taux de plaquettes sanguines (0,25 point) : ……………………………………………………………………………… 8) Complétez le tableau (1 point) :

numération Appellation

Leucocytes > 10 G/l

Polynucléaires neutrophiles > 8 G/l

Cause fréquente :

Polynucléaires neutrophiles < 0,5 G/l

Conséquence à craindre :

Polynucléaires éosinophiles > 0,8 G/l

Causes fréquentes :

Ne rien inscrire

Ne rien inscrire

Note :

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UNIVERSITE CLAUDE BERNARD 2012 - 2013 FACULTE D’ODONTOLOGIE – FGSO3 – 2ème session

Coefficient : 0,5 Durée : 30 minutes Nombre de points attribués : 5 points Nom du correcteur : Dr ROUALDES NOM :………………………………………….PRENOM :……………………………….. Suite de l’hématologie cellulaire : 9) Suite à un accident de voiture, un patient arrive aux urgences avec de multiples plaies et fractures. Les lésions dentaires sont immédiatement prises en charge par le dentiste de garde. L’hémogramme du patient est le suivant : Leucocytes : 8 …….. Hématies : 2,2 …….. Hématocrite : 0,2 …….. Hémoglobine : 65 …….. VGM : 91 …….. Plaquettes : 165 …….. Complétez les unités manquantes (0,25 point). Calculez les indices érythrocytaires suivants (0,5 point) : CCMH : …………… TCMH : …………… Quelle est la cause de l’anémie ? Comment la corriger ? (0,25 point) …………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………………. Quelques jours après sa prise en charge, le patient est fébrile et présente un abcès dentaire : l’hémogramme est le suivant : Leucocytes : 22 G/l Polynucléaires neutrophiles : 82 % Lymphocytes : 10 % Monocytes : 2% Métamyélocytes : 4% Myélocytes neutrophiles : 2% Quelles sont les nouvelles anomalies observées, que suspectez-vous ? (0,5 point) …………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………………. Quelle prise en charge permettra la normalisation de la numération et de la formule leucocytaire ? (0,25 point) …………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………………. ………………………………………………………………………………………….

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : PROTHESE FIXEE

COEFFICIENT : 1

DUREE : 1h00

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr A. LETERME

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Un patient de 60 ans est venu vous consulter pour la réalisation de deux couronnes céramo-métalliques (CCM) sur 46 et 47. A l’issue de l’examen clinique, vous avez constaté :

• Au maxillaire : le patient présente une classe I de Kennedy, réhabilitée par une prothèse amovible partielle métallique bien adaptée.

• A la mandibule : 38 et 48 sont les seules dents absentes. 46 et 47 sont les seules dents qui nécessitent une prise en charge prothétique (Réhabilitation par 2 CCM).

• Une bonne hygiène bucco-dentaire • Une hypersialorrhée • Une macroglossie

Lors des séances précédentes :

• Vous avez réalisé un traitement endodontique et une reconstitution corono-radiculaire foulée (RMIPP) sur 46.

• Vous avez pu préserver la vitalité pulpaire de 47 lors de sa préparation • Vous avez mis en place 2 couronnes provisoires.

Aujourd’hui doit avoir lieu la séance d’empreinte, qui permettra au prothésiste d’élaborer les futures CCM. 1/ Décrivez en détail les différentes étapes de cette séance clinique (14 points) 2/ Citez les principales propriétés du (des) matériau(x) à empreinte utilisé(s) (6 points)

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : Odontologie Conservatrice Endodontie COEFFICIENT : 1 DUREE : 1h30 NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr Cyril Villat NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :10 points

Rédiger sur des copies séparées

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Question du Dr Villat :

1. Objectifs de la cavité d’accès en Endodontie (5 points) 2. Décrire la technique de préparation canalaire en Step Back ainsi que la

technique d’obturation canalaire en condensation latérale (5 points)

Question du Dr Selli : La cavité d'accès pour une intervention endodontique sur 46: En 120 mots minimum vous décrirez le geste et les difficultés attendues. Vous commencerez par un schéma vue supérieure et un schéma vue vestibulaire. Seront observées à priori votre présentation, votre orthographe, et votre expression écrite.

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : Médecine et chirurgie buccale

COEFFICIENT : 1,5

DUREE : 1h00

NOM DU CORRECTEUR : Thomas FORTIN

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (par question): 15 points

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

1. La cellulite d’origine dentaire : décrire ses différentes formes

2. Diabète et chirurgie orale : quelle précaution prendre avant une chirurgie chez un patient diabétique ? (Envisager plusieurs situations)

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : Biomatériaux

COEFFICIENT : 1

DUREE : 1h45

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr B. Grosgogeat INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Les alliages prothétiques non nobles utilisés en odontologie : 1/ Citez les différentes familles (5 points) 2/ Décrivez leurs propriétés mécaniques et biologiques (10 points) 3/ Donnez leur(s) indication(s) clinique(s) (5 points)

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 1

NOM DE L’EPREUVE : Anatomo-pathologie générale et osseuse

COEFFICIENT : 1 DUREE : 1h00

1 COPIE PAR CORRECTEUR

Indiquer le nom du correcteur sur chaque copie

Intitulé de l’examen : 5 questions

Question 1 : Dr Barnoud note/4 (10 min) Une amylose est suspectée cliniquement chez une patiente. Une biopsie des glandes salivaires accessoires est effectuée 1. Où et comment se fait se prélèvement ? (1 point) 2. Citez les deux autres principales maladies pour lesquelles cet examen peut être préconisé (1 point). 3. Que recherche-t-on à l’examen microscopique en cas de suspicion d’amylose? (1 point) 4. Citez les deux colorations à effectuer sur la biopsie pour ce diagnostic d’amylose (1 point). Question 2 : Pr Devouassoux note/4 (10 min) Un patient de 56 ans éthylo-tabagique présente une petite lésion blanchâtre de la muqueuse à la face interne de la joue. Vous souhaitez connaître la nature exacte de cette lésion et décidez de réaliser une biopsie 1. Dans quel milieu devez vous faire parvenir votre biopsie jusqu’au service d’anatomie pathologique ? 2. La biopsie conclut à un carcinome malpighien in situ. - donnez la définition du carcinome in situ - comment doit-on traiter cette lésion unique ? - quel est le pronostic de ce carcinome in situ ? - quelle serait l’évolution de cette lésion si le patient refuse le traitement proposé ?

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Question 3 : Dr Traverse-Glehen note/2 (5 min) Si un patient se présente à votre cabinet avec une adénopathie cervicale chronique persistante depuis plusieurs mois, que lui conseillez vous et pourquoi? Question 4 : Dr Virard note/6 (15 min) 1. Quelles sont les causes d’échecs des traitements endodontiques ? (2 points) 2. Quelle conduite à tenir face à une lésion de la muqueuse buccale ? (2points) 3. Quand faut-il faire une biopsie ? (2 points) Question 5 : Dr Richard note/4 (10 min) Tumeur odontogène kératokystique : origine, localisation, caractéristiques histologiques, évolution.

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Année universitaire

2012-2013

Université Lyon 1

Faculté d’odontologie

FGSO3

Semestre 2

Session 1

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON

ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Psychologie médicale

COEFFICIENT : 0,5

DUREE : 1h00

NOM DU CORRECTEUR Dr Thierry Hueber

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES : 10 points

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Pourquoi le patient ne vit-il pas l’échec thérapeutique comme le soignant ? Quelles en sont les conséquences ? Quelle attitude adopter et pourquoi ? En vous basant sur le cas d’Alice (dont vous avez tous vu la vidéo) et en utilisant le cours vous proposerez une réflexion argumentée et structurée. Vous présenterez votre argument point par point, en paragraphes distincts et précis. Votre copie comportera une introduction rapide (quelques lignes) de votre analyse ainsi qu’une conclusion synthétique.

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON

ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1– SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Prothèse Partielle Amovible Métallique

COEFFICIENT : 0,5

DUREE : 30 minutes

NOM DU CORRECTEUR : VIGUIE / JURADO

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : faites une proposition de tracé d’une PPAM maxillaire (5 points) et mandibulaire (5 points) pour le cas clinique suivant. 8 . . . 4 3 . . . . 3 4 5 . . . _____________________________________ 8 7 . 5 . 3 2 1 1 2 . . 5 6 7 . Commentez vos choix!

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON

ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Pharmacologie

COEFFICIENT : 1,5

DUREE : 1h30

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr TIMOUR

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES: 30 points

ATTENTION IMPORTANT

Indiquer sur votre grille de QCM, en haut, le numéro du sujet.

SUJET N°1

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1 Parmi les propositions suivantes concernant la pharmacodépendance, lesquelles sont exactes ? A La dépendance psychique n'est jamais associée à une tolérance

B La dépendance psychique se manifeste par le besoin impérieux de répéter les prises d'une substance addictive

C Une dépendance physique est toujours associée à une dépendance psychique

D Les substances responsables de pharmacodépendance agissent essentiellement sur le SNC qu'elles dépriment et/ou stimulent

E La dépendance psychique se manifeste par un état de manque

2 Parmi les propositions suivantes concernant les amphétamines ou le LSD, lesquelles sont exactes ? A Les amphétamines provoquent une forte tolérance B Les amphétamines ne provoquent pas de dépendance physique C Les amphétamines comportent un risque cardiotoxique très important D Les comprimés d'ecstasy contiennent toujours de la MDMA, qui est un dérivé de l'amphétamine E Le LSD est très puissamment hallucinogène

3 Parmi les propositions suivantes concernant la cocaïne ou l'héroïne, lesquelles sont exactes ? A La cocaïne provoque une dépendance physique et une tolérance très importante B Le crack est une forme particulière de cocaïne constituée de cristaux contenant 80-85% de cocaïne C La cocaïne provoque des myocardites toxiques en cas de toxicomanie prolongée D L'héroïne provoque une dépendance psychique et physique majeure E La toxicité de l'héroïne dépend beaucoup de la qualité et de la formulation de l'héroïne consommée

4 Parmi les propositions suivantes concernant le chanvre indien ou les médicaments psychotropes, lesquelles sont exactes ?

A Le chanvre indien peut induire une dépendance physique en cas de forte consommation B Le chanvre indien potentialise les effets de l'alcool C Les effets toxiques du chanvre indien à long terme sont bien connus D Les barbituriques et les benzodiazépines induisent tous une tolérance E Les benzodiazépines peuvent induire un syndrome de sevrage

5 Parmi les propositions suivantes concernant la prise en charge d'une intoxication aiguë, lesquelles sont exactes ?

A Les antalgiques sont la première cause d'intoxication aiguë en France B Les intoxications accidentelles se voient surtout chez l'enfant C En cas d'intoxication aiguë réelle ou avérée, il est toujours préférable d'appeler d'abord le centre 15 D Le lavage d'estomac est la principale mesure pour la prise en charge d'une intoxication aiguë E Les antidotes efficaces sont peu nombreux et souvent très onéreux

6 Parmi les propositions suivantes concernant les essais cliniques d'un nouveau médicament, lesquelles sont exactes ?

A Les essais de phase I sont généralement réalisés chez des sujets sains, adultes, de sexe masculin B L'évaluation de l'efficacité d'un nouveau médicament est l'objectif principal des essais de phase I C Les essais de phase IIB visent à déterminer la dose active d'un nouveau médicament D Tous les sujets inclus dans un essai de phase III sont obligatoirement hospitalisés

E Les essais de phase III visent à démontrer objectivement l'efficacité thérapeutique d'un nouveau médicament en le comparant à l'absence de traitement ou à un médicament de référence

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7 Parmi les propositions suivantes concernant les essais cliniques d'un nouveau médicament, lesquelles sont exactes ?

A Les essais de phase IV (études post-AMM) visent à définir de nouvelles indications ou à étudier le nouveau médicament dans des conditions particulières d'utilisation

B Un essai de phase IV répond à la même méthodologie que les essais de phase III C Un essai clinique peut inclure un patient sans son consentement ou celui de son représentant légal D Un patient inclus dans un essai clinique peut recevoir une indemnisation financière

E Les aspects éthiques relatifs à tout essai clinique sont évalués par un Comité de protection des personnes (CPP)

8 Parmi les propositions suivantes concernant les études de toxicologie d'un nouveau médicament, lesquelles sont exactes ?

A La toxicité aiguë d'un nouveau médicament est mesurée par le calcul de la dose létale 50%

B Les études de toxicité par administration réitérée sont normalement réalisées dans une espèce de rongeurs et une espèce de non-rongeurs

C La durée d'une étude de toxicité par administration réitérée est toujours au moins égale à 6 mois D Les études de fertilité (segment I) évaluent la capacité de reproduction des animaux traités E Les études de tératogénicité sont habituellement réalisées chez la souris et le chien

9 Parmi les propositions suivantes concernant les études de toxicologie d'un nouveau médicament, lesquelles sont exactes ?

A La plupart des produits génotoxiques sont cancérigènes

B Les études de cancérogénicité évaluent l'incidence des tumeurs chez des animaux (rat/souris) exposés pendant toute la durée de la vie (2 ans) par comparaison à des animaux non traités

C Les études de pharmacologie de sécurité évaluent tous les effets pharmacologiques d'un nouveau médicament susceptibles de provoquer des effets indésirables chez l'homme

D Les études de tolérance locale évaluent les effets indésirables liés à l'administration d'un nouveau médicament sur la peau, l'œil, les muqueuses et les veines

E Les études d'immunotoxicité d'un nouveau médicament concernent principalement le risque d'immunosuppression non recherchée

10 Les antibiotiques : A peuvent agir sur la paroi bactérienne des eucaryotes B peuvent agir sur la paroi bactérienne des procaryotes C peuvent agir en inhibant la sous unité 50S ribosomale D ne peuvent pas modifier le métabolisme bactérien E agissent sur la synthèse protéique

11 Un antibiotique bactériostatique : A doit être utilisé en cas d’infection sévère B doit être utilisé en cas d’inoculum important C doit être utilisé en cas d’immunosuppression D stoppe la croissance bactérienne E entraîne la mort de la bactérie

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12 L’effet post antibiotique :

A correspond à la persistance de l’action de l’antibiotique alors que sa concentration est en dessous de la concentration minimale inhibitrice (CMI)

B correspond au temps pendant lequel la concentration de l’antibiotique est au-dessus de la CMI C dépend de l’hôte D dépend de l’antibiotique utilisé E aide à déterminer la fréquence d’administration de l’antibiotique

13 Le choix d’un antibiotique : A est principalement lié à la bactérie incriminée, et nécessite donc son identification impérative B est lié au spectre d’activité de l’antibiotique, surtout dans le cas d’une thérapie probabiliste C est indépendante du terrain (patient) D dépend du site de l’infection E est souvent empirique, dans le cas d’infections orales

14 La combinaison de plusieurs molécules antibiotiques : A augmente le risque de résistance B peut conduire à une synergie entre les antibiotiques administrés C peut être appliquée de manière empirique D peut s’accompagner d’une augmentation du risque d’effets secondaires E concerne uniquement les infections sévères

15 Les résistances aux antibiotiques : A peuvent résulter d’une inactivation enzymatique de l’antibiotique B peuvent résulter d’une mutation ribosomale C peuvent résulter d’une altération de la paroi bactérienne D peuvent résulter d’un efflux actif de l’antibiotique E toutes les propositions sont fausses

16 Les échecs des traitements antibiotiques : A peuvent être liés à une mauvaise observance du traitement B peuvent être liés à un terrain particulier C peuvent être causés par une liaison de l’antibiotique à du matériel purulent D sont indépendants du site de l’infection E sont toujours dus à une prescription inadaptée

17 L’antibioprophylaxie : A consiste à traiter une infection mineure B consiste à prévenir la survenue d’une infection C doit être systématique D consiste, pour la sphère orale, en une monodose d’antibiotique dans l’heure précédant le geste E ne doit pas être d’une durée inférieure à 6 jours

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18 Les aminopénicillines : A ont un spectre étroit, bien ciblé sur la flore orale B ont une bonne absorption orale C nécessitent des administrations régulières D ne présentent pas d’effets secondaires E peuvent être remplacées par des bêta lactames en cas d’allergie

19 Les macrolides : A sont bactéricides quelle que soit la dose B ont une bonne distribution, à l’exception du liquide céphalo-rachidien C présentent des effets secondaires dangereux D présentent de nombreuses interactions médicamenteuses E agissent au niveau rénal comme activateurs enzymatiques

20 La pharmacocinétique a pour but : A d'étudier le devenir d’un principe actif dans l'organisme

B d’établir un schéma thérapeutique basé sur la détermination de la concentration d’un médicament dans le sérum au cours du temps

C d’éviter le surdosage D d’éviter le sous dosage E comprend 4 phases: absorption, distribution, métabolisation, élimination: ADME

21 Les paramètres PK usuels sont A la clairance B la demi-vie C le volume de distribution D l’aire sous la courbe (ASC) E la fixation du médicament sur son récepteur

22 La demi-vie d’un médicament A dépende de sa clairance totale B dépende de son volume de distribution C est d’autant plus longue que son volume de distribution est plus important D est d’autant plus longue que sa clairance totale est plus faible E dépende de la dose administrée

23 Dans un modèle à 2 compartiments, la décroissance rapide des concentrations d’un médicament. A est obtenue durant la phase a B est obtenue durant la phase b C s’explique par le passage du M. du compartiment 1 en 2 D s’explique par l’élimination du M. E aucune des propositions n’est exacte

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24 Pour un médicament donné, la détermination de ses paramètres pharmacocinétiques permet A de choisir les voies d'administration B de choisir la forme galénique adaptée C d'adapter les posologies pour son utilisation future D de connaitre les sites d’action des médicaments E aucune des propositions n’est exacte

25 En cas d’administration per os (PO), le passage dans la circulation générale d’un médicament A nécessite la traversée de la barrière de la muqueuse digestive B nécessite la traversée de la barrière des capillaires C peut être précédé d’un effet de premier passage intestinal D peut être précédé d’un effet de premier passage hépatique E peut être précédé d’un effet de premier passage pulmonaire

26 La diffusion passive d’un médicament A est corrélée à son coefficient de partage: ks B est corrélée à son coefficient de diffusion spécifique: d C dépende du pH du milieu dans lequel il se trouve D dépende de son pKa E est facilitée par son hydrosolubilité

27 La diffusion active des ions Ca2+ A nécessite un pH acide B s’effectue au niveau duodénal C nécessite la synthèse de PLC (protéine de liaison du Ca2+) D dépende du rapport phosphocalcique (P/Ca2+) E est compromise en cas d’utilisation ponctuelle des corticoïdes

28 Administrée par la voie perlinguale, la TNT (trinitrine) A est absorbée très rapidement (2 à 3 min environ) B est drainée par les veines jugulaires et maxillaires interne C ne supporte pas l’effet de premier passage intestinal D ne supporte pas l’effet du premier passage hépatique E permet aux chirurgiens-dentistes de traiter une crise d’épilepsie

29 L’administration rectale A évite l’effet du premier passage hépatique B nécessite l’utilisation des doses plus élevées par rapport à son administration par voie PO C peut présenter un intérêt en cas de convulsion d’un enfant au cabinet dentaire D peut présenter un intérêt en cas de convulsion d’un adulte au cabinet dentaire E peut être suivi de la destruction d’une certaine quantité des médicaments par les enzymes digestives

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30 L’effet de premier passage

A indique la destruction d’une certaine quantité d’un médicament lors de son premier contact avec l’organe (les organes) responsable (s) de cette destruction

B indique la fixation partielle d’un médicament aux protéines plasmatiques C peut s’exercer au niveau intestinal D peut s’exercer au niveau hépatique E peut s’exercer au niveau pulmonaire

31 L’effet de premier passage A peut-être saturable B est toujours prévisible C est toujours défavorable D intéresse la fraction non liée aux protéines plasmatiques E est corrélée à la clairance de la créatinine

32 – Indiquer parmi les équations suivantes, celle qui s’applique à l’effet de premier passage intestinal: EPPI (ASC: aire sous la courbe; PO: per os; HP: hépatoportal, IV: intraveineuse, IA: intraartérielle)

A EPP= 1 - ASC PO/ASC HP B EPP= 1 - ASC HP/ASC PO C EPP = 1 - ASC HP/ASC IV D EPP= 1 - ASC IV/ASC HP E EPP = 1 - ASC IV/ASC IA

33 La biodisponibilité A indique la quantité du médicament qui arrive dans le sang B indique la fraction du médicament liée aux protéines plasmatiques C indique la fraction du médicament non liée aux protéines plasmatiques

D est dite absolue si on compare l’aire sous la courbe (ASC) d’un médicament administré par voie PO à l’ASC du même médicament administrée par voie IV: F absolue = ASC PO/ASC IV

E est dite relative si on compare l’ASC d’un médicament administré par voie PO à l’ASC du même médicament administrée à la même posologie et par la même voie mais sous une forme galénique différente: F relative = ASC PO M (même posologie) F1/ASC PO M F2

34 L’évaluation de la biodisponibilité d’un médicament A peut se faire par des méthodes dynamiques B peut se faire par des méthodes cinétiques C permet de déterminer la zone thérapeutique D permet de déterminer la zone toxique E permet de déterminer la zone de l’inefficacité

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35 Si pour un médicament, son coefficient de résorption digestive (f) est de 0,9 et la fraction qui échappe à l’effet de premier passage hépatique (F’) est de 0,4, sa biodisponibilité F = f x F’ = 36%. En cas d’insuffisance hépatique il faut

A réduire la dose B augmenter la dose C maintenir la même dose D changer de molécule E aucune des propositions n’est exacte

36 La fraction du médicament qui se fixe aux protéines plasmatiques indique A sa fraction de réserve B sa fraction dont la libération assure le maintien, dans le temps, de l’effet thérapeutique C sa fraction biodisponible D sa fraction métabolisée E sa fraction capable de se distribuer dans les tissus

37 Dans le sang, les médicaments acides faibles se fixent sur A l’albumine B l’α1-glycoprotéine acide C les lipoprotéines D les globulines E aucune des propositions n’est exacte

38 Indiquer parmi les suivants, la (les) caractéristique (s) de l’albumine A présente une affinité élevée pour les médicaments acides faibles B contient peu de site de fixation pour les médicaments acides faibles C est saturable D n’est pas saturable E aucune des propositions n’est exacte

39

Des accidents neurologiques graves peuvent survenir lors de l’administration des sulfamides antiinfectieux à des nourrissons (1) car les sulfamides déplacent de l’albumine plasmatique la bilirubine qui, non conjuguée, traverse la barrière hématoencéphalique et provoque un ictère nucléaire (2)

A les 2 propositions sont vraies avec relation de cause à effet, B les 2 propositions sont vraies sans relation de cause à effet, C la proposition n° 1 est vraie, la proposition n° 2 est fausse, D la proposition n° 1 est fausse, la proposition n° 2 est vraie,

E les 2 propositions sont fausses.

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40 Indiquer parmi les suivants le (s) médicament (s) déplacé (s) de l’albumine plasmatique par un AINS A méthotrexate B AVK C érythromycine D corticoïdes E pénicillines

41 Les facteurs qui limitent la diffusion tissulaire des médicaments sont représentés par A la fixation aux protéines plasmatiques B un poids moléculaire élevé C une faible fraction non ionisée (FNI) D un faible débit d’irrigation des organes E une faible activité métabolique d’un organe

42 Indiquer parmi les suivant, le (s) facteur (s) expliquant la variabilité d’ordre pharmacodynamique de l’action des médicaments:

A tolérance B dépendance C addiction D « down regulation » E « up regulation »

43 La tolérance

A indique la diminution de l’effet pharmacologique d’une dose de médicament lors de l’administration répétée de ce même médicament à cette même dose

B est liée à une « down régulation » des récepteurs C un découplage entre le récepteur et son système effecteur D est liée à une « up régulation » des récepteurs

E indique l’augmentation de l’effet pharmacologique d’une dose de médicament lors de l’administration répétée de ce même médicament à cette même dose

44 Indiquer parmi les suivant, les effets indésirables imputables à l’utilisation des AINS durant la période fœtale:

A fermeture prématurée du canal artériel fœtal B hypertension artérielle pulmonaire C insuffisance ventriculaire droite D insuffisance rénale E ouverture prématurée du canal artériel fœtal

45 Un ou plusieurs des effets indésirables mentionnés ci-dessous peut (peuvent) être observé (s) en période néonatale chez les enfants dont les mères étaient traitées durant leur grossesse par un b-bloquant

A dépression respiratoire B hypoglycémie C hypokaliémie D gynécomastie E aucune des propositions n’est exacte

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46 l’utilisation de la dopamine durant l’allaitement diminue la production lactée (1) car la dopamine réduit la synthèse de la prolactine qui est une hormone lactogène (2)

A les 2 propositions sont vraies avec relation de cause à effet, B les 2 propositions sont vraies sans relation de cause à effet, C la proposition n° 1 est vraie, la proposition n° 2 est fausse, D la proposition n° 1 est fausse, la proposition n° 2 est vraie, E les 2 propositions sont fausses.

47 Indiquez parmi les suivants le (s) médicament (s) dont l’utilisation est déconseillée ou contre-indiquée (s) pendant l’allaitement

A tétracyclines B dérivés d’ergot de sigle C méthotrexate D métronidazole E corticoïdes

48 Indiquer parmi les suivants, le (s) médicament (s) dont l’administration à la mère risque de déclencher des hémorragies chez le nourrisson en cas d’allaitement

A AVK B aspirine C contraceptifs oraux D pénicillines E paracétamol

49 Indiquer parmi les suivants, le (s) facteur (s) responsable (s) de l’augmentation de la toxicité des médicaments chez le sujet âgé

A altération de la fonction hépatique B altération de la fonction rénale C altération de l’état vasculaire D baisse du flux cardiaque E altération du tonus vasomoteur lors de changements posturaux

50 Chez le sujet âgé, et afin de réduire au minimum tout risque de survenu d’effet indésirable, il faut A réduire la dose des digitalique B surveiller la kaliémie en cas d’administrations des diurétiques C être particulièrement vigilant à l’hypotension posturale en cas de traitement par un corticoïde D surveiller l’activité électrique cardiaque en cas d’administration des antidépresseurs tricycliques E prévenir l’atteinte digestive ulcéreuse en cas d’administration des AINS

51 Au cours de certaines pathologies, la toxicité des médicaments acides faibles augmente considérablement. Ces pathologies sont représentées par

A insuffisance hépatique B syndrome néphrotique C diabète D BPCO (bronchopneumopathies chroniques obstructives E ischémie myocardique

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52 De sévères myélotoxicités peuvent être observées lors de l’administration des médicaments thiopuriniques chez les patients

A déficitaire en thiopurine méthyltransférase (TPMT) B en cas de l’accumulation des thioguanine nucléotides: TGN C métaboliseurs rapides D métaboliseurs intermédiaires E métaboliseurs lents

53 La posologie thérapeutique habituelle d’un médicament thiopurinique doit être A réduite chez un patient à activité TPMT (thiopurine méthyltransférase) faible B augmentée chez un patient à activité TPMT faible C maintenue sans changement chez un patient à activité TPMT élevée D laissée à l’appréciation des étudiants de 3ème année de chirurgie dentaire E aucune des propositions n’est exacte

54 L’association d’un corticoïde à un AINS augmente le risque de la survenue d’un UGD (1) car les deux médicaments augmentent la synthèse des prostaglandines digestives (2)

A les 2 propositions sont vraies avec relation de cause à effet, B les 2 propositions sont vraies sans relation de cause à effet, C la proposition n° 1 est vraie, la proposition n° 2 est fausse, D la proposition n° 1 est fausse, la proposition n° 2 est vraie, E les 2 propositions sont fausses.

55 Lors de l’association de deux médicaments, une interaction médicamenteuse par mécanisme pharmacodynamiques indique une modification de

A l’absorption d’un des deux médicaments B la distribution d’un des deux médicaments C la métabolisation d’un des deux médicaments D l’élimination d’un des deux médicaments E aucune des propositions n’est exacte

56 Les médicaments dont l’absorption est réduite par la P-glycoprotéine (P-gp) sont principalement métabolisés par le

A CYP3A4 B CYP2D6 C CYP2C9 D CYP2C19 E nitroréductases

57 La mutation avec diminution d’expression de la P-glycoprotéine (P-gp) est suivie :

A d’une meilleure restauration immune chez les malades VIH+ et traités par des inhibiteurs de protéases (nelfinavir dont les concentrations plasmatiques seront plus élevées),

B d’une baisse de résistance aux glucocorticoïdes utilisés dans la maladie de Crohn, C d’une meilleure réponse aux immunosuppresseurs (ciclosporine, tacrolimus). D d’une augmentation de résistance aux glucocorticoïdes utilisés dans la maladie de Crohn, E d’une mauvaise réponse aux immunosuppresseurs (ciclosporine, tacrolimus).

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58 L’association de millepertuis aux contraceptifs oraux augmente le risque de grossesse (1) car le millepertuis induit l’activité du CYP3A4 enzyme de destruction de la plupart des contraceptifs oraux (2)

A les 2 propositions sont vraies avec relation de cause à effet, B les 2 propositions sont vraies sans relation de cause à effet, C la proposition n° 1 est vraie, la proposition n° 2 est fausse, D la proposition n° 1 est fausse, la proposition n° 2 est vraie, E les 2 propositions sont fausses.

59 Pour le CYP2D6, on distingue 3 phénotypes dans la population générale. Lesquels ?: A métaboliseurs ultra-rapides B métaboliseurs rapide C métaboliseurs lents (poor metabolizers) D métaboliseurs très lents (very poor metabolizers) E métaboliseurs « douce »

60 Indiquer parmi les suivant, la (les) proposition (s) exacte (s) A survenue possible d’une aplasie médullaire lors de l’association méthotrexate : MTX-aspirine B augmentation de la toxicité cardiaque du lithium lors de son association aux AINS C augmentation de la toxicité du MTX lors de son association aux pénicillines D en cas d’intoxication, on peut réduire la toxicité des médicaments acides faibles en acidifiant les urines

E en cas d’intoxication, on peut réduire la toxicité des médicaments acides faibles en alcalinisant les urines

61 Indiquer parmi les suivant, le (s) médicament (s) à marge thérapeutique étroit A AVK B antinéoplasiques C méthotrexate (MTX) D lithium E paracétamol

62 Une interaction médicamenteuse d’ordre pharmacodynamique A s’exerce au niveau des récepteurs B peut se traduire par un antagonisme d’action C peut se traduire par synergie d’action D peut être liée à la modification de l’activité enzymatique extrahépatique E peut intéresser uniquement les médicaments neurotropes

63 Indiquer parmi les suivants la seule interaction médicamenteuse connue sous le nom « effet fromage »

A association IMAO (inhibiteurs de la mono-amino-oxydase)-vasoconstricteurs B association corticoïdes-VVA (vaccins vivants atténués) C association AVK-AAP (antiagrégants plaquettaires) D association AINS-corticoïdes E association méthotrexate-pénicillines

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64 Les médicaments qui agissent par leurs propriétés physicochimiques :

A sont administrés à des doses pouvant être 100 000 fois plus fortes que les doses des médicaments qui agissent par leurs caractéristiques stéréochimiques

B n’ont d’effets que dans le compartiment de l’organisme dans lequel ils sont administrés. C donnent pas lieu à des interactions médicamenteuses D ne subissent pas de métabolisme dans l’organisme E sont le plus souvent des médicaments d’automédication

65 Les médicaments qui agissent par leurs propriétés physico chimiques

A La prise d’un laxatif osmotique peut provoquer des hypotensions orthostatiques par diminution du volume circulant due à l’afflux d’eau et de sels vers l’intestin

B La modification du pH gastrique et duodénal par des « anti-acides » qui tamponnent l’acide chlorhydrique sécrété par la muqueuse, reste sans influence sur l’absorption des médicaments dans l’estomac et le duodénum.

C La plupart des antiseptiques agissent par leurs propriétés physicochimiques qui leur permettent de détruire ou de fragiliser la paroi et la membrane bactérienne

D Ils ont des actions d’autant plus fortes qu’ils sont concentrés dans un compartiment de l’organisme.

E Un médicament ne peut agir que par ses propriétés stéréochimiques ou physico-chimiques mais pas les deux.

66 Les substances qui agissent par leurs caractéristiques stéréochimiques.

A Les inhibiteurs de la recapture de la noradrénaline et/ou de la sérotonine sont des antidépresseurs, ils permettent l’augmentation de la concentration du ou des neurotransmetteurs correspondant dans la fente synaptique.

B On appelle récepteur les protéines quelques soient leur fonction qui lient les médicaments C L’effet des agonistes exogènes est réduit lorsque la voie de signalisation est hyperactive.

D Le blocage des enzymes permet de produire des effets thérapeutiques par la déplétion en produit de l’enzyme tandis que les effets indésirables reposent sur l’accumulation du substrat.

E La durée des effets des inhibiteurs enzymatiques irréversibles dépend de la vitesse de renouvellement de l’enzyme.

67 Les substances qui agissent par leurs caractéristiques stéréochimiques.

A La classification des médicaments en fonction de leurs cibles cellulaires n’a pas d’impact sur la prescription où prévaut une classification par objectif thérapeutique.

B L’origine : naturelle : végétale, animale, minérale ; semi-naturelles ou de synthèse, issues des biotechnologies, ne détermine pas de propriétés pharmacologiques particulières.

C La nature protéique d’une substance lui confère des propriétés partagées par tous les composés protéiques utilisés à des fins thérapeutiques.

D La liaison aux glucides membranaires représente la première étape de l’action de très nombreux médicaments

E C’est la distribution des protéines dans les différents tissus et types cellulaires qui détermine la spécificité tissulaire des effets observés avec les substances qui interagissent avec cette protéine.

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68 Les substances qui interagissent avec des enzymes,

A L’inhibition compétitive de l’activité enzymatique par des substances exogènes s’interprète comme une compétition entre le substrat naturel de l’enzyme et le médicament non métabolisable pour la liaison au site actif.

B L’inhibition irréversible par l’établissement d’une liaison covalente entre le médicament et l’enzyme permet d’obtenir des inhibitions de courtes durées faciles à contrôler.

C C’est toujours la déplétion en substrat qui prévaut dans les effets observés de l’inhibition enzymatique,

D Le blocage d’une enzyme peut permettre, par l’accumulation du substrat, la mise en jeu de voies métaboliques inhabituelles et la production de nouveaux métabolites qui peuvent être toxique.

E Une évaluation de l’inhibition in vivo peut être obtenue par la mesure du rapport substrat/produit, qui augmente en cas d’inhibition.

69 Pharmacologie du système nerveux autonome

A Les substances actives sur le système nerveux autonome agissent toutes par l’intermédiaire de récepteurs

B Les ganglioplégiques bloquent des récepteurs nicotiniques neuronaux de l’acétylcholine et provoquent une réduction globale de l’activité du système nerveux autonome.

C L’adrénaline est le neurotransmetteur spécifique du système orthosympathique, elle sélective des récepteurs alpha-adrénergiques.

D Les substances bloquantes des récepteurs noradrénergiques produisent leurs effets par inhibition de la libération de noradrénaline par les glandes surrénales

E L’activation prolongée des récepteurs bêta-adrénergiques entraîne une désensibilisation qui peut aboutir à une diminution de la réponse.

70 L’inhibition des cholinestérases A Augmente la durée de vie de l’acétylcholine B Seuls des inhibiteurs irréversibles sont utilisés en thérapeutique C Aboutit à une augmentation sélective de l’activation du système orthosympathique

D Ceux utilisés dans le traitement de maladie d’Alzheimer sont lipophiles pour entrer dans le système nerveux central et ont un métabolisme hépatique important.

E Peut résulter d’intoxication à certains insecticides ou gaz de combat

71 A : L’administration locale d’atropine permet d’atténuer les phénomènes de désensibilisation de la réponse. B : parce que C : elle permet de réaliser de fortes concentrations locales en réduisant, sans empêcher totalement, le passage systémique. (1 seule réponse)

A A vrai, B vrai et C vrai B A vrai, B faux, C vrai C A vrai, C faux D A faux, C vrai E A faux, B faux

72 Pharmacologie du système nerveux autonome

A Les substances actives sur le système nerveux autonome agissent toutes par l’intermédiaire de récepteurs

B Les ganglioplégiques bloquent des récepteurs nicotiniques neuronaux de l’acétylcholine et provoquent une réduction globale de l’activité du système nerveux autonome.

C La noradrénaline est le neurotransmetteur spécifique du système orthosympathique

D Les substances bloquantes des récepteurs noradrénergiques produisent leurs effets par inhibition de la libération de noradrénaline par les glandes surrénales

E L’activation prolongée des récepteurs bêta-adrénergiques entraîne une désensibilisation qui peut aboutir à une diminution de la réponse.

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73 Le système cholinergique

A Le blocage sélectif des récepteurs muscariniques entraîne une tachycardie proportionnelle à l’influence cardio-modératrice vagale.

B La dose d’atropine permet de sélectionner l’effet thérapeutique recherché parmi les effets susceptibles d’être produit et d’éviter les effets indésirables.

C Le syndrome muscarinique rassemble un ensemble de signes qui témoignent de l’hyperactivation des récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine.

D Dire d’une substance qu’elle possède des propriétés atropiniques signifie qu’elle peut produire l’un ou l’autre des effets liés au blocage des récepteurs muscariniques.

E L’application locale d’antagonistes atropiniques dans les bronches dans l’asthme permet d’exclure tout effet sur la fréquence cardiaque.

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON

ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Pharmacologie

COEFFICIENT : 1,5

DUREE : 1h30

NOM DU CORRECTEUR : Dr TIMOUR

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES : 30 points

ATTENTION IMPORTANT

Indiquer sur la grille de QCM, en haut, le numéro du sujet.

SUJET N° 2

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1 Parmi les propositions suivantes concernant les amphétamines ou le LSD, lesquelles sont exactes ?

A Les amphétamines provoquent une forte tolérance B Les amphétamines ne provoquent pas de dépendance physique C Les amphétamines comportent un risque cardiotoxique très important

D Les comprimés d'ecstasy contiennent toujours de la MDMA, qui est un dérivé de l'amphétamine

E Le LSD est très puissamment hallucinogène

2 Parmi les propositions suivantes concernant les essais cliniques d'un nouveau médicament,

lesquelles sont exactes ?

A Les essais de phase IV (études post-AMM) visent à définir de nouvelles indications ou à étudier le nouveau médicament dans des conditions particulières d'utilisation

B Un essai de phase IV répond à la même méthodologie que les essais de phase III

C Un essai clinique peut inclure un patient sans son consentement ou celui de son représentant légal

D Un patient inclus dans un essai clinique peut recevoir une indemnisation financière

E Les aspects éthiques relatifs à tout essai clinique sont évalués par un Comité de protection des personnes (CPP)

3 La diffusion active des ions Ca2+

A nécessite un pH acide B s’effectue au niveau duodénal C nécessite la synthèse de PLC (protéine de liaison du Ca2+) D dépende du rapport phosphocalcique (P/Ca2+) E est compromise en cas d’utilisation ponctuelle des corticoïdes

4 Indiquer parmi les suivants la seule interaction médicamenteuse connue sous le nom « effet

fromage » A association IMAO (inhibiteurs de la mono-amino-oxydase)-vasoconstricteurs B association corticoïdes-VVA (vaccins vivants atténués) C association AVK-AAP (antiagrégants plaquettaires) D association AINS-corticoïdes E association méthotrexate-pénicillines 5 Les résistances aux antibiotiques : A peuvent résulter d’une inactivation enzymatique de l’antibiotique B peuvent résulter d’une mutation ribosomale C peuvent résulter d’une altération de la paroi bactérienne D peuvent résulter d’un efflux actif de l’antibiotique E toutes les propositions sont fausses 6 Un antibiotique bactériostatique : A doit être utilisé en cas d’infection sévère B doit être utilisé en cas d’inoculum important C doit être utilisé en cas d’immunosuppression D stoppe la croissance bactérienne E entraîne la mort de la bactérie

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7 L’effet post antibiotique :

A correspond à la persistance de l’action de l’antibiotique alors que sa concentration est en dessous de la concentration minimale inhibitrice (CMI)

B correspond au temps pendant lequel la concentration de l’antibiotique est au-dessus de la CMI C dépend de l’hôte D dépend de l’antibiotique utilisé E aide à déterminer la fréquence d’administration de l’antibiotique

8 Les aminopénicillines : A ont un spectre étroit, bien ciblé sur la flore orale B ont une bonne absorption orale C nécessitent des administrations régulières D ne présentent pas d’effets secondaires E peuvent être remplacées par des bêta lactames en cas d’allergie

9 Parmi les propositions suivantes concernant les études de toxicologie d'un nouveau

médicament, lesquelles sont exactes ? A La toxicité aiguë d'un nouveau médicament est mesurée par le calcul de la dose létale 50%

B Les études de toxicité par administration réitérée sont normalement réalisées dans une espèce de rongeurs et une espèce de non-rongeurs

C La durée d'une étude de toxicité par administration réitérée est toujours au moins égale à 6 mois

D Les études de fertilité (segment I) évaluent la capacité de reproduction des animaux traités E Les études de tératogénicité sont habituellement réalisées chez la souris et le chien

10 Parmi les propositions suivantes concernant la cocaïne ou l'héroïne, lesquelles sont exactes ? A La cocaïne provoque une dépendance physique et une tolérance très importante

B Le crack est une forme particulière de cocaïne constituée de cristaux contenant 80-85% de cocaïne

C La cocaïne provoque des myocardites toxiques en cas de toxicomanie prolongée D L'héroïne provoque une dépendance psychique et physique majeure

E La toxicité de l'héroïne dépend beaucoup de la qualité et de la formulation de l'héroïne consommée

11 Les échecs des traitements antibiotiques : A peuvent être liés à une mauvaise observance du traitement B peuvent être liés à un terrain particulier C peuvent être causés par une liaison de l’antibiotique à du matériel purulent D sont indépendants du site de l’infection E sont toujours dus à une prescription inadaptée

12 La pharmacocinétique a pour but : A d'étudier le devenir d’un principe actif dans l'organisme

B d’établir un schéma thérapeutique basé sur la détermination de la concentration d’un médicament dans le sérum au cours du temps

C d’éviter le surdosage D d’éviter le sous dosage E comprend 4 phases: absorption, distribution, métabolisation, élimination: ADME

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13 Parmi les propositions suivantes concernant les études de toxicologie d'un nouveau médicament, lesquelles sont exactes ?

A La plupart des produits génotoxiques sont cancérigènes

B Les études de cancérogénicité évaluent l'incidence des tumeurs chez des animaux (rat/souris) exposés pendant toute la durée de la vie (2 ans) par comparaison à des animaux non traités

C Les études de pharmacologie de sécurité évaluent tous les effets pharmacologiques d'un nouveau médicament susceptibles de provoquer des effets indésirables chez l'homme

D Les études de tolérance locale évaluent les effets indésirables liés à l'administration d'un nouveau médicament sur la peau, l'œil, les muqueuses et les veines

E Les études d'immunotoxicité d'un nouveau médicament concernent principalement le risque d'immunosuppression non recherchée

14 Le choix d’un antibiotique :

A est principalement lié à la bactérie incriminée, et nécessite donc son identification impérative B est lié au spectre d’activité de l’antibiotique, surtout dans le cas d’une thérapie probabiliste C est indépendante du terrain (patient) D dépend du site de l’infection E est souvent empirique, dans le cas d’infections orales

15 Les paramètres PK usuels sont A la clairance B la demi-vie C le volume de distribution D l’aire sous la courbe (ASC) E la fixation du médicament sur son récepteur

16 Une interaction médicamenteuse d’ordre pharmacodynamique A s’exerce au niveau des récepteurs B peut se traduire par un antagonisme d’action C peut se traduire par synergie d’action D peut être liée à la modification de l’activité enzymatique extrahépatique E peut intéresser uniquement les médicaments neurotropes

17 Parmi les propositions suivantes concernant la pharmacodépendance, lesquelles sont exactes ?

A La dépendance psychique n'est jamais associée à une tolérance

B La dépendance psychique se manifeste par le besoin impérieux de répéter les prises d'une substance addictive

C Une dépendance physique est toujours associée à une dépendance psychique

D Les substances responsables de pharmacodépendance agissent essentiellement sur le SNC qu'elles dépriment et/ou stimulent

E La dépendance psychique se manifeste par un état de manque 18 L’administration rectale A évite l’effet du premier passage hépatique B nécessite l’utilisation des doses plus élevées par rapport à son administration par voie PO C peut présenter un intérêt en cas de convulsion d’un enfant au cabinet dentaire D peut présenter un intérêt en cas de convulsion d’un adulte au cabinet dentaire

E peut être suivi de la destruction d’une certaine quantité des médicaments par les enzymes digestives

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19 Les macrolides : A sont bactéricides quelle que soit la dose B ont une bonne distribution, à l’exception du liquide céphalo-rachidien C présentent des effets secondaires dangereux D présentent de nombreuses interactions médicamenteuses E agissent au niveau rénal comme activateurs enzymatiques

20 Parmi les propositions suivantes concernant le chanvre indien ou les médicaments

psychotropes, lesquelles sont exactes ? A Le chanvre indien peut induire une dépendance physique en cas de forte consommation B Le chanvre indien potentialise les effets de l'alcool C Les effets toxiques du chanvre indien à long terme sont bien connus D Les barbituriques et les benzodiazépines induisent tous une tolérance E Les benzodiazépines peuvent induire un syndrome de sevrage

21 Pour un médicament donné, la détermination de ses paramètres pharmacocinétiques permet A de choisir les voies d'administration B de choisir la forme galénique adaptée C d'adapter les posologies pour son utilisation future D de connaitre les sites d’action des médicaments E aucune des propositions n’est exacte

22 L’évaluation de la biodisponibilité d’un médicament A peut se faire par des méthodes dynamiques B peut se faire par des méthodes cinétiques C permet de déterminer la zone thérapeutique D permet de déterminer la zone toxique E permet de déterminer la zone de l’inefficacité

23 Dans un modèle à 2 compartiments, la décroissance rapide des concentrations d’un

médicament. A est obtenue durant la phase a B est obtenue durant la phase b C s’explique par le passage du M. du compartiment 1 en 2 D s’explique par l’élimination du M. E aucune des propositions n’est exacte

24 L’effet de premier passage

A indique la destruction d’une certaine quantité d’un médicament lors de son premier contact avec l’organe (les organes) responsable (s) de cette destruction

B indique la fixation partielle d’un médicament aux protéines plasmatiques C peut s’exercer au niveau intestinal D peut s’exercer au niveau hépatique E peut s’exercer au niveau pulmonaire

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25 Indiquer parmi les suivant, le (s) facteur (s) expliquant la variabilité d’ordre pharmacodynamique de l’action des médicaments:

A tolérance B dépendance C addiction D « down regulation » E « up regulation »

26 La biodisponibilité A indique la quantité du médicament qui arrive dans le sang B indique la fraction du médicament liée aux protéines plasmatiques C indique la fraction du médicament non liée aux protéines plasmatiques

D est dite absolue si on compare l’aire sous la courbe (ASC) d’un médicament administré par voie PO à l’ASC du même médicament administrée par voie IV: F absolue = ASC PO/ASC IV

E est dite relative si on compare l’ASC d’un médicament administré par voie PO à l’ASC du même médicament administrée à la même posologie et par la même voie mais sous une forme galénique différente: F relative = ASC PO M (même posologie) F1/ASC PO M F2

27 En cas d’administration per os (PO), le passage dans la circulation générale d’un médicament A nécessite la traversée de la barrière de la muqueuse digestive B nécessite la traversée de la barrière des capillaires C peut être précédé d’un effet de premier passage intestinal D peut être précédé d’un effet de premier passage hépatique E peut être précédé d’un effet de premier passage pulmonaire

28 L’antibioprophylaxie : A consiste à traiter une infection mineure B consiste à prévenir la survenue d’une infection C doit être systématique D consiste, pour la sphère orale, en une monodose d’antibiotique dans l’heure précédant le geste E ne doit pas être d’une durée inférieure à 6 jours

29

Des accidents neurologiques graves peuvent survenir lors de l’administration des sulfamides antiinfectieux à des nourrissons (1) car les sulfamides déplacent de l’albumine plasmatique la bilirubine qui, non conjuguée, traverse la barrière hématoencéphalique et provoque un ictère nucléaire (2)

A les 2 propositions sont vraies avec relation de cause à effet, B les 2 propositions sont vraies sans relation de cause à effet, C la proposition n° 1 est vraie, la proposition n° 2 est fausse, D la proposition n° 1 est fausse, la proposition n° 2 est vraie, E les 2 propositions sont fausses.

30 Les antibiotiques : A peuvent agir sur la paroi bactérienne des eucaryotes B peuvent agir sur la paroi bactérienne des procaryotes C peuvent agir en inhibant la sous unité 50S ribosomale D ne peuvent pas modifier le métabolisme bactérien E agissent sur la synthèse protéique

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31 Lors de l’association de deux médicaments, une interaction médicamenteuse par mécanisme pharmacodynamiques indique une modification de

A l’absorption d’un des deux médicaments B la distribution d’un des deux médicaments C la métabolisation d’un des deux médicaments D l’élimination d’un des deux médicaments E aucune des propositions n’est exacte

32 La demi-vie d’un médicament A dépende de sa clairance totale B dépende de son volume de distribution C est d’autant plus longue que son volume de distribution est plus important D est d’autant plus longue que sa clairance totale est plus faible E dépende de la dose administrée

33 Indiquer parmi les suivants, la (les) caractéristique (s) de l’albumine A présente une affinité élevée pour les médicaments acides faibles B contient peu de site de fixation pour les médicaments acides faibles C est saturable D n’est pas saturable E aucune des propositions n’est exacte

34 Les substances qui agissent par leurs caractéristiques stéréochimiques.

A La classification des médicaments en fonction de leurs cibles cellulaires n’a pas d’impact sur la prescription où prévaut une classification par objectif thérapeutique.

B L’origine : naturelle : végétale, animale, minérale ; semi-naturelles ou de synthèse, issues des biotechnologies, ne détermine pas de propriétés pharmacologiques particulières.

C La nature protéique d’une substance lui confère des propriétés partagées par tous les composés protéiques utilisés à des fins thérapeutiques.

D La liaison aux glucides membranaires représente la première étape de l’action de très nombreux médicaments

E C’est la distribution des protéines dans les différents tissus et types cellulaires qui détermine la spécificité tissulaire des effets observés avec les substances qui interagissent avec cette protéine.

35 Administrée par la voie perlinguale, la TNT (trinitrine) A est absorbée très rapidement (2 à 3 min environ) B est drainée par les veines jugulaires et maxillaires interne C ne supporte pas l’effet de premier passage intestinal D ne supporte pas l’effet du premier passage hépatique E permet aux chirurgiens-dentistes de traiter une crise d’épilepsie

36 L’effet de premier passage A peut-être saturable B est toujours prévisible C est toujours défavorable D intéresse la fraction non liée aux protéines plasmatiques E est corrélée à la clairance de la créatinine

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37 Si pour un médicament, son coefficient de résorption digestive (f) est de 0,9 et la fraction qui échappe à l’effet de premier passage hépatique (F’) est de 0,4, sa biodisponibilité F = f x F’ = 36%. En cas d’insuffisance hépatique il faut

A réduire la dose B augmenter la dose C maintenir la même dose D changer de molécule E aucune des propositions n’est exacte

38 Les facteurs qui limitent la diffusion tissulaire des médicaments sont représentés par A la fixation aux protéines plasmatiques B un poids moléculaire élevé C une faible fraction non ionisée (FNI) D un faible débit d’irrigation des organes E une faible activité métabolique d’un organe

39 Indiquer parmi les suivant, le (s) médicament (s) à marge thérapeutique étroit A AVK B antinéoplasiques C méthotrexate (MTX) D lithium E paracétamol

40 La combinaison de plusieurs molécules antibiotiques : A augmente le risque de résistance B peut conduire à une synergie entre les antibiotiques administrés C peut être appliquée de manière empirique D peut s’accompagner d’une augmentation du risque d’effets secondaires E concerne uniquement les infections sévères

41 La tolérance

A indique la diminution de l’effet pharmacologique d’une dose de médicament lors de l’administration répétée de ce même médicament à cette même dose

B est liée à une « down régulation » des récepteurs C un découplage entre le récepteur et son système effecteur D est liée à une « up régulation » des récepteurs

E indique l’augmentation de l’effet pharmacologique d’une dose de médicament lors de l’administration répétée de ce même médicament à cette même dose

42 Dans le sang, les médicaments acides faibles se fixent sur

A l’albumine B l’α1-glycoprotéine acide C les lipoprotéines D les globulines E aucune des propositions n’est exacte

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43 Indiquez parmi les suivants le (s) médicament (s) dont l’utilisation est déconseillée ou contre-indiquée (s) pendant l’allaitement

A tétracyclines B dérivés d’ergot de sigle C méthotrexate D métronidazole E corticoïdes

44

– Indiquer parmi les équations suivantes, celle qui s’applique à l’effet de premier passage intestinal: EPPI (ASC: aire sous la courbe; PO: per os; HP: hépatoportal, IV: intraveineuse, IA: intraartérielle)

A EPP= 1 - ASC PO/ASC HP B EPP= 1 - ASC HP/ASC PO C EPP = 1 - ASC HP/ASC IV D EPP= 1 - ASC IV/ASC HP E EPP = 1 - ASC IV/ASC IA

45 La diffusion passive d’un médicament A est corrélée à son coefficient de partage: ks B est corrélée à son coefficient de diffusion spécifique: d C dépende du pH du milieu dans lequel il se trouve D dépende de son pKa E est facilitée par son hydrosolubilité

46 La fraction du médicament qui se fixe aux protéines plasmatiques indique A sa fraction de réserve B sa fraction dont la libération assure le maintien, dans le temps, de l’effet thérapeutique C sa fraction biodisponible D sa fraction métabolisée E sa fraction capable de se distribuer dans les tissus

47 Au cours de certaines pathologies, la toxicité des médicaments acides faibles augmente considérablement. Ces pathologies sont représentées par

A insuffisance hépatique B syndrome néphrotique C diabète D BPCO (bronchopneumopathies chroniques obstructives E ischémie myocardique

48 Pharmacologie du système nerveux autonome

A Les substances actives sur le système nerveux autonome agissent toutes par l’intermédiaire de récepteurs

B Les ganglioplégiques bloquent des récepteurs nicotiniques neuronaux de l’acétylcholine et provoquent une réduction globale de l’activité du système nerveux autonome.

C La noradrénaline est le neurotransmetteur spécifique du système orthosympathique

D Les substances bloquantes des récepteurs noradrénergiques produisent leurs effets par inhibition de la libération de noradrénaline par les glandes surrénales

E L’activation prolongée des récepteurs bêta-adrénergiques entraîne une désensibilisation qui peut aboutir à une diminution de la réponse.

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49 Les substances qui agissent par leurs caractéristiques stéréochimiques.

A Les inhibiteurs de la recapture de la noradrénaline et/ou de la sérotonine sont des antidépresseurs, ils permettent l’augmentation de la concentration du ou des neurotransmetteurs correspondant dans la fente synaptique.

B On appelle récepteur les protéines quelques soient leur fonction qui lient les médicaments C L’effet des agonistes exogènes est réduit lorsque la voie de signalisation est hyperactive.

D Le blocage des enzymes permet de produire des effets thérapeutiques par la déplétion en produit de l’enzyme tandis que les effets indésirables reposent sur l’accumulation du substrat.

E La durée des effets des inhibiteurs enzymatiques irréversibles dépend de la vitesse de renouvellement de l’enzyme.

50 Parmi les propositions suivantes concernant la prise en charge d'une intoxication aiguë, lesquelles sont exactes ?

A Les antalgiques sont la première cause d'intoxication aiguë en France B Les intoxications accidentelles se voient surtout chez l'enfant

C En cas d'intoxication aiguë réelle ou avérée, il est toujours préférable d'appeler d'abord le centre 15

D Le lavage d'estomac est la principale mesure pour la prise en charge d'une intoxication aiguë E Les antidotes efficaces sont peu nombreux et souvent très onéreux

51 Indiquer parmi les suivant, la (les) proposition (s) exacte (s) A survenue possible d’une aplasie médullaire lors de l’association méthotrexate : MTX-aspirine B augmentation de la toxicité cardiaque du lithium lors de son association aux AINS C augmentation de la toxicité du MTX lors de son association aux pénicillines

D en cas d’intoxication, on peut réduire la toxicité des médicaments acides faibles en acidifiant les urines

E en cas d’intoxication, on peut réduire la toxicité des médicaments acides faibles en alcalinisant les urines

52 Indiquer parmi les suivant, les effets indésirables imputables à l’utilisation des AINS durant la période fœtale:

A fermeture prématurée du canal artériel fœtal B hypertension artérielle pulmonaire C insuffisance ventriculaire droite D insuffisance rénale E ouverture prématurée du canal artériel fœtal

53 l’utilisation de la dopamine durant l’allaitement diminue la production lactée (1) car la dopamine réduit la synthèse de la prolactine qui est une hormone lactogène (2)

A les 2 propositions sont vraies avec relation de cause à effet, B les 2 propositions sont vraies sans relation de cause à effet, C la proposition n° 1 est vraie, la proposition n° 2 est fausse, D la proposition n° 1 est fausse, la proposition n° 2 est vraie, E les 2 propositions sont fausses.

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54 Un ou plusieurs des effets indésirables mentionnés ci-dessous peut (peuvent) être observé (s) en période néonatale chez les enfants dont les mères étaient traitées durant leur grossesse par un b-bloquant

A dépression respiratoire B hypoglycémie C hypokaliémie D gynécomastie E aucune des propositions n’est exacte

55 Indiquer parmi les suivants, le (s) médicament (s) dont l’administration à la mère risque de

déclencher des hémorragies chez le nourrisson en cas d’allaitement A AVK B aspirine C contraceptifs oraux D pénicillines E paracétamol

56 Les substances qui interagissent avec des enzymes,

A L’inhibition compétitive de l’activité enzymatique par des substances exogènes s’interprète comme une compétition entre le substrat naturel de l’enzyme et le médicament non métabolisable pour la liaison au site actif.

B L’inhibition irréversible par l’établissement d’une liaison covalente entre le médicament et l’enzyme permet d’obtenir des inhibitions de courtes durées faciles à contrôler.

C C’est toujours la déplétion en substrat qui prévaut dans les effets observés de l’inhibition enzymatique,

D Le blocage d’une enzyme peut permettre, par l’accumulation du substrat, la mise en jeu de voies métaboliques inhabituelles et la production de nouveaux métabolites qui peuvent être toxique.

E Une évaluation de l’inhibition in vivo peut être obtenue par la mesure du rapport substrat/produit, qui augmente en cas d’inhibition.

57 L’association d’un corticoïde à un AINS augmente le risque de la survenue d’un UGD (1) car les deux médicaments augmentent la synthèse des prostaglandines digestives (2)

A les 2 propositions sont vraies avec relation de cause à effet, B les 2 propositions sont vraies sans relation de cause à effet, C la proposition n° 1 est vraie, la proposition n° 2 est fausse, D la proposition n° 1 est fausse, la proposition n° 2 est vraie, E les 2 propositions sont fausses.

58 Chez le sujet âgé, et afin de réduire au minimum tout risque de survenu d’effet indésirable, il

faut A réduire la dose des digitalique B surveiller la kaliémie en cas d’administrations des diurétiques C être particulièrement vigilant à l’hypotension posturale en cas de traitement par un corticoïde

D surveiller l’activité électrique cardiaque en cas d’administration des antidépresseurs tricycliques

E prévenir l’atteinte digestive ulcéreuse en cas d’administration des AINS

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59 La posologie thérapeutique habituelle d’un médicament thiopurinique doit être A réduite chez un patient à activité TPMT (thiopurine méthyltransférase) faible B augmentée chez un patient à activité TPMT faible C maintenue sans changement chez un patient à activité TPMT élevée D laissée à l’appréciation des étudiants de 3ème année de chirurgie dentaire E aucune des propositions n’est exacte

60 Les médicaments qui agissent par leurs propriétés physico chimiques

A La prise d’un laxatif osmotique peut provoquer des hypotensions orthostatiques par diminution du volume circulant due à l’afflux d’eau et de sels vers l’intestin

B La modification du pH gastrique et duodénal par des « anti-acides » qui tamponnent l’acide chlorhydrique sécrété par la muqueuse, reste sans influence sur l’absorption des médicaments dans l’estomac et le duodénum.

C La plupart des antiseptiques agissent par leurs propriétés physicochimiques qui leur permettent de détruire ou de fragiliser la paroi et la membrane bactérienne

D Ils ont des actions d’autant plus fortes qu’ils sont concentrés dans un compartiment de l’organisme.

E Un médicament ne peut agir que par ses propriétés stéréochimiques ou physico-chimiques mais pas les deux.

61 Parmi les propositions suivantes concernant les essais cliniques d'un nouveau médicament, lesquelles sont exactes ?

A Les essais de phase I sont généralement réalisés chez des sujets sains, adultes, de sexe masculin

B L'évaluation de l'efficacité d'un nouveau médicament est l'objectif principal des essais de phase I

C Les essais de phase IIB visent à déterminer la dose active d'un nouveau médicament D Tous les sujets inclus dans un essai de phase III sont obligatoirement hospitalisés

E Les essais de phase III visent à démontrer objectivement l'efficacité thérapeutique d'un nouveau médicament en le comparant à l'absence de traitement ou à un médicament de référence

62 Indiquer parmi les suivants, le (s) facteur (s) responsable (s) de l’augmentation de la toxicité des médicaments chez le sujet âgé

A altération de la fonction hépatique B altération de la fonction rénale C altération de l’état vasculaire D baisse du flux cardiaque E altération du tonus vasomoteur lors de changements posturaux

63 Indiquer parmi les suivants le (s) médicament (s) déplacé (s) de l’albumine plasmatique par

un AINS A méthotrexate B AVK C érythromycine D corticoïdes E pénicillines

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64 L’association de millepertuis aux contraceptifs oraux augmente le risque de grossesse (1) car le millepertuis induit l’activité du CYP3A4 enzyme de destruction de la plupart des contraceptifs oraux (2)

A les 2 propositions sont vraies avec relation de cause à effet, B les 2 propositions sont vraies sans relation de cause à effet, C la proposition n° 1 est vraie, la proposition n° 2 est fausse, D la proposition n° 1 est fausse, la proposition n° 2 est vraie, E les 2 propositions sont fausses.

65 Le système cholinergique

A Le blocage sélectif des récepteurs muscariniques entraîne une tachycardie proportionnelle à l’influence cardio-modératrice vagale.

B La dose d’atropine permet de sélectionner l’effet thérapeutique recherché parmi les effets susceptibles d’être produit et d’éviter les effets indésirables.

C Le syndrome muscarinique rassemble un ensemble de signes qui témoignent de l’hyperactivation des récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine.

D Dire d’une substance qu’elle possède des propriétés atropiniques signifie qu’elle peut produire l’un ou l’autre des effets liés au blocage des récepteurs muscariniques.

E L’application locale d’antagonistes atropiniques dans les bronches dans l’asthme permet d’exclure tout effet sur la fréquence cardiaque.

66 Les médicaments dont l’absorption est réduite par la P-glycoprotéine (P-gp) sont principalement métabolisés par le

A CYP3A4 B CYP2D6 C CYP2C9 D CYP2C19 E nitroréductases

67 De sévères myélotoxicités peuvent être observées lors de l’administration des médicaments

thiopuriniques chez les patients A déficitaire en thiopurine méthyltransférase (TPMT) B en cas de l’accumulation des thioguanine nucléotides: TGN C métaboliseurs rapides D métaboliseurs intermédiaires E métaboliseurs lents

68

A : L’administration locale d’atropine permet d’atténuer les phénomènes de désensibilisation de la réponse. B : parce que C : elle permet de réaliser de fortes concentrations locales en réduisant, sans empêcher totalement, le passage systémique. (1 seule réponse)

A A vrai, B vrai et C vrai B A vrai, B faux, C vrai C A vrai, C faux D A faux, C vrai E A faux, B faux

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69 Les médicaments qui agissent par leurs propriétés physicochimiques :

A sont administrés à des doses pouvant être 100 000 fois plus fortes que les doses des médicaments qui agissent par leurs caractéristiques stéréochimiques

B n’ont d’effets que dans le compartiment de l’organisme dans lequel ils sont administrés. C donnent pas lieu à des interactions médicamenteuses D ne subissent pas de métabolisme dans l’organisme E sont le plus souvent des médicaments d’automédication

70 Pour le CYP2D6, on distingue 3 phénotypes dans la population générale. Lesquels ? A métaboliseurs ultra-rapides B métaboliseurs rapide C métaboliseurs lents (poor metabolizers) D métaboliseurs très lents (very poor metabolizers) E métaboliseurs « douce »

71 La mutation avec diminution d’expression de la P-glycoprotéine (P-gp) est suivie :

A d’une meilleure restauration immune chez les malades VIH+ et traités par des inhibiteurs de protéases (nelfinavir dont les concentrations plasmatiques seront plus élevées),

B d’une baisse de résistance aux glucocorticoïdes utilisés dans la maladie de Crohn, C d’une meilleure réponse aux immunosuppresseurs (ciclosporine, tacrolimus). D d’une augmentation de résistance aux glucocorticoïdes utilisés dans la maladie de Crohn, E d’une mauvaise réponse aux immunosuppresseurs (ciclosporine, tacrolimus).

72 Pharmacologie du système nerveux autonome

A Les substances actives sur le système nerveux autonome agissent toutes par l’intermédiaire de récepteurs

B Les ganglioplégiques bloquent des récepteurs nicotiniques neuronaux de l’acétylcholine et provoquent une réduction globale de l’activité du système nerveux autonome.

C L’adrénaline est le neurotransmetteur spécifique du système orthosympathique, elle sélective des récepteurs alpha-adrénergiques.

D Les substances bloquantes des récepteurs noradrénergiques produisent leurs effets par inhibition de la libération de noradrénaline par les glandes surrénales

E L’activation prolongée des récepteurs bêta-adrénergiques entraîne une désensibilisation qui peut aboutir à une diminution de la réponse.

73 L’inhibition des cholinestérases

A Augmente la durée de vie de l’acétylcholine B Seuls des inhibiteurs irréversibles sont utilisés en thérapeutique C Aboutit à une augmentation sélective de l’activation du système orthosympathique

D Ceux utilisés dans le traitement de maladie d’Alzheimer sont lipophiles pour entrer dans le système nerveux central et ont un métabolisme hépatique important.

E Peut résulter d’intoxication à certains insecticides ou gaz de combat

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Pathologie dentaire

COEFFICIENT : 0,5

DUREE : 30 minutes

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr Cyril Villat

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) : 5 points par question

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

1. Définition, étiologie et diagnostic positif des parodontites apicales chroniques (5 points)

2. Symptomatologies comparées de la pulpite irréversible aigüe et de la pulpite irréversible chronique (5 points)

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Odontologie pédiatrique

COEFFICIENT : 1

DUREE : 1h00

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Pr Jean-Jacques Morrier INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Question N°1 : Les rôles de la dent temporaire (4 points)

Question N°2 : Quels sont les facteurs impliqués dans les phénomènes de

résorption (6 points)

Question N°3 : Sealants : avantages et inconvénients (4 points)

Question N°4 : Les causes de l’anxiété chez l’enfant (6 points)

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Orthopédie dento-faciale

COEFFICIENT : 2

DUREE : 2h00

NOM DU CORRECTEUR : Dr J-J AKNIN (note/20)

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES : note/40 (Dr JJ AKNIN + Dr M RABERIN)

1 COPIE PAR CORRECTEUR

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Dr Jean-Jacques AKNIN

1. Effets des appareils orthopédiques sur la croissance mandibulaire. (Note sur 10)

2. Le syndrome de Crouzon (Note sur 10)

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Dr Monique RABERIN

1. Les aides physiologiques du passage de la denture mixte à la denture adolescente : conduites à tenir. (10 points)

2. Implications de la déglutition dans la croissance cranio-faciale. (10 points)

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Orthopédie dento-faciale

COEFFICIENT : 2

DUREE : 2h00

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : 10 points

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) : Monique RABERIN

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Dr Monique RABERIN

1. Les aides physiologiques du passage de la denture mixte à la denture adolescente : conduites à tenir. (10 points)

2. Implications de la déglutition dans la croissance cranio-faciale. (10 points)

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1

FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Sémiologie et pathologie dentaire

COEFFICIENT : 3

DUREE : 2h00

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr A. HOT

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) : 7.5

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : 8 questions 15 minutes par question Chacune des questions est notée sur 7.5 points Chacune des sous questions est sur 1.5

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2

Question 1 : Un patient âgé de 27 ans est adressé pour une dyspnée d’effort, évoluant depuis 3 heures. Il décrit une expectoration claire. Cette dyspnée est inspiratoire, elle s’accompagne de sifflements à l’inspiration. Il a une fréquence respiratoire à 35 par minute, il est apyrétique. 1.1 Quels signes de gravité devez-vous rechercher lors de la prise en charge ? 1.2 Quel est votre diagnostic ?justifier votre réponse 1.3 Quels sont les facteurs étiologiques à rechercher devant un tel tableau ? 1.4 Quelles sont les complications à redouter ? Quels signes auraient pu annoncer la

déstabilisation de cette pathologie ? 1.5 Il fume 10 cigarettes par jour depuis 6 ans, pouvez-vous chiffrer le tabagisme ?

Question 2 : Une patiente âgée de 37 ans vous consulte pour une asthénie de plus en plus en croissante. Elle se dit de plus en plus bouffie du visage et décrit une aménorrhée depuis 3 mois. Elle a eu 3 enfants. Elle a une fréquence cardiaque à 57 par minute, elle décrit des ronflements de plus en plus fréquents et vous indique que sa voix a changé depuis ces derniers temps. Elle décrit enfin une hypoacousie et son mari l’a récemment quittée car il pensait qu’elle se moquait de lui en le faisant systématiquement répéter. Vous faites un bilan biologique qui retrouve une anémie et une élévation des CPK. 2.1 Comment allez-vous qualifier cette aménorrhée ? Quelles causes d’aménorrhée connaissez vous ? Citez en 3 2.2 Quel est votre hypothèse diagnostique concernant le tableau clinique présenté par la patiente ? Justifier en décrivant les signes cliniques que vous avez reconnus 2.3 Comment distinguer une pathologie périphérique ou hypophysaire ? 2.4 Citer 3 causes pouvant expliquer un tel état clinique 2.5 Citer sans les décrire les anomalies cliniques qui traduiraient la présence d’une insuffisance surrénale associée

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3

Question 3 : Un patient âgé de 19 ans est adressé pour une fatigue inhabituelle, il vous dit boire 2 litres d’eau par jour, et dit avoir de plus en plus faim et manger beaucoup plus qu’à l’habitude, notamment des aliments sucrés. Pourtant, il vous dit qu’il a perdu 6 Kg sur la dernière semaine. La bandelette urinaire retrouve des corps cétoniques et une glycosurie. 3.1 Quel diagnostic évoquez-vous ? Comment définissez le tableau clinique présenté par le patient ? 3.2 Quelle complication aiguë redoutez-vous ? 3.3 Quelles sont les complications tardives de cette pathologie ? Classer les de façon précise 3.4 Il est désormais traité et se plaint de plus en plus de douleur thoracique à l’effort avec parfois une dyspnée d’effort, quelles caractéristiques de la douleur pourraient orienter vers une origine coronarienne ? 3.5 Alors qu’il est traité par Insuline, il revient dans un tableau de coma avec sueurs. Quel diagnostic suspectez-vous ? Question 4 : Une patiente fumeuse âgée de 72 ans est adressée pour une douleur rétro sternale, irradiant au niveau des mâchoires et du bras gauche. Elle souffre ainsi depuis une demi-heure. Elle est fumeuse, et traitée par une statine, et fume une vingtaine de cigarettes par jour depuis l’âge de 17 ans et a des antécédents d’infarctus aigu du myocarde chez son père alors qu’il était âgé de 34 ans. 4.1 Quel diagnostic évoquez-vous ? Justifier votre réponse. Citer 3 autres causes de douleur thoracique. 4.2 Quels sont les 2 examens pour établir le diagnostic ? 4.3 Elle est traitée rapidement et les choses s’améliorent rapidement, mais 48 heures après elle décrit une dyspnée au moindre effort, elle doit rester assise la nuit, car elle est très essoufflée lorsqu’elle est allongée. Quels signes auscultatoires recherchez-vous pour étayer votre diagnostic ? 4.4 Quel diagnostic devez-vous évoquer en priorité et que devez-vous faire en urgence en sachant que la saturation transcutanée en oxygène est à 87 % 4.5 Quelles causes pourraient expliquer une telle complication ?

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4

Question 5 : Un patient âgé de 65 ans est adressé pour un ictère d’apparition récente. Il est suivi depuis 10 ans pour un éthylisme chronique et a fait plusieurs cures de désintoxication. Il avoue une consommation de 4 verres de vin par repas. Il se gratte de plus en plus et a de nombreuses lésions de grattage. A l’examen il existe une hépatomégalie à bord inférieur tranchant. 5.1 Quels signes cutanés d’insuffisance hépatocellulaire devez-vous rechercher ? 5.2 Quelles manifestations cliniques évoquent une encéphalopathie hépatique ? 5.3 Devant une cirrhose, quelles causes devez-vous évoquer ? 5.4 Quelles manifestations cliniques d’hypertension portale peut-on rencontrer chez ce patient ? 5.5 Quels examens devez-vous prescrire devant cette situation clinique ? Question 6 : Une jeune femme âgée de 29 ans, de retour du Cameroun (Elle est rentrée la veille) est adressée pour une fièvre à 40°5, et des frissons. Elle décrit des myalgies et des lombalgies. Elle vous décrit des brûlures en urinant. 6.1 Devant cet état fébrile, quels signes de gravité devez-vous rechercher ? Quel diagnostic évoquez-vous en priorité ? 6.2 Elle décrit des céphalées et des vomissements en jet. Quels signes devez-vous rechercher pour évoquer un syndrome méningé ? 6.3 Quels examens devez-vous demander devant cet état fébrile ? 6.4 Quel est votre diagnostic ? 6.5 Votre diagnostic est confirmé par la présence d’un colibacille dans les hémocultures, quel examen devez-vous prescrire pour savoir s’il s’agit d’une forme compliquée ou non ?

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5

Question 7 : Une patiente âgée de 75 ans est adressée pour une douleur épigastrique évoluant depuis 2 heures, elle se plaint de nausées et de vomissements et cette douleur a une irradiation transfixiante vers le rachis lombaire. Elle est apyrétique et eupnéique, la pression artérielle est à 120/67 mm HG, et la fréquence cardiaque est à 70/ minutes.

7.1) Quel diagnostic suspectez-vous ? Justifier votre réponse 7.2 ) 72 heures après cet épisode, elle revient pour un ictère. Elle n’a plus de douleur, mais

se dit toujours asthénique, quels examens devez-vous réaliser et qu’en attendez-vous ? Quelle est la définition biologique d’un ictère cholestatique ? La douleur était probablement une colique hépatique, donnez-en les principales caractéristiques ?

7.3 ) Trois jours plus tard, elle revient pour fièvre, quelle complication devez-vous redouter ? Quelle exploration complémentaire allez-vous prescrire ?

7.4 ) Quelle autre pathologie aurait-on dû évoquer si la patiente avait développé un ictère nu, un amaigrissement de 10 KG. Quel examen aurait-il fallu prescrire ?

7.5 ) Concernant les pancréatites chroniques calcifiantes, quelles en sont les principales manifestations cliniques et la principale étiologie en France ?

Question 8 : Un patient âgé de 61 ans est adressé aux urgences pour une dyspnée fébrile et des expectorations jaunâtres évoluant depuis 72 heures. Il travaillait auparavant dans le bâtiment, et fumait environ une trentaine de cigarettes par jour. Il continuait à fumer 5 cigarettes par jour et boit environ 3 verres de vin par jour. 8.1) Quelles questions devez-vous poser pour identifier une bronchite chronique chez ce patient ? Comment qualifiez-vous cet épisode ? 8.2) vous décidez de l’hospitaliser, quel examen devez-vous prescrire pour étayer votre diagnostic ? 8.3) Vous le traitez par antibiotiques et bronchodilatateurs pour cette BPCO. La radiographie retrouve une pleurésie gauche et un foyer pulmonaire ? Quels signes cliniques peuvent être présents dans ce contexte ? 8.4) Alors que les signes cliniques s’améliorent, le patient sort de votre service. Il vous revoit en consultation, et vous décrit une aggravation de sa dyspnée, au moindre effort, une perte de 5 kg, surtout, il vous informe d’une modification de ses expectorations qui deviennent hémoptoïques. Quel diagnostic devez-vous évoquer en priorité ? Quels examens devez-vous prescrire pour déterminer la cause de cette hémoptysie chez ce patient fumeur ? 8.5) Concernant la BPCO, quelles complications rencontrent-t’on le plus souvent ?

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Equilibre fonctionnel

COEFFICIENT : 0,5

DUREE : 30 minutes

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr JEANNIN Ch.

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES: 10 points

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Expliquez de manière synthétique, en utilisant vos connaissances sur les positions de relation centrée, sur le diagramme de Posselt et sur la physiologie de la mastication pourquoi la DVO ne doit pas être augmentée sur l'articulateur.

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 1 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Biomatériaux

COEFFICIENT : 1 (20 points)

DUREE : 1h45

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr B. GROSGOGEAT INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : En vous appuyant sur les recommandations de la Haute Autorité de Santé, 1/ citez les différents matériaux pouvant être utilisés pour la réalisation de restaurations dentaires indirectes par inlay ou onlay. (8 points) 2/ indiquez pour chacune de ces catégories les avantages et les inconvénients. (8 points) 3/ décrivez également pour chacune de ces catégories les procédures de mise en forme. (4 points)

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Année universitaire

2012-2013

Université Lyon 1

Faculté d’odontologie

FGSO3

Semestre 2

Session 2

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FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

D1 – SEMESTRE 2 - 2ème session

NOM DE L’EPREUVE : SEMIOLOGIE COEFFICIENT : 3 DUREE : 2h00 NOM DU CORRECTEUR: Docteur ARNAUD HOT NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES : note/60 INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : 10 Minutes par question, 5 points par question 1) Définissez les principaux facteurs de risque cardiovasculaires 2) Quels sont les signes cliniques de l’infarctus aigu du MYOCARDE? 3) Quelles sont les caractéristiques des différentes hématuries, quelles en sont les principales causes et comment les explorer ? 4) Décrivez les signes cliniques et biologiques de la colique hépatique ? 5) Quelles sont les signes cliniques en rapport avec une cirrhose ? Détaillez les signes cliniques en lien avec une hypertension portale, l’insuffisance hépatocellulaire ? 6) Quels sont les signes biologiques en rapport avec une cirrhose hépatique ? 7) Décrivez précisément les signes cliniques, biologiques, et radiologiques d’une pneumopathie aigue bactérienne ? Quel est le principal facteur de risque de cette infection ? 8) Quelles sont les manifestations clinique de l’insuffisance cardiaque gauche ? 9) Quelles sont les signes de gravité à rechercher chez un patient qui présente une fièvre ? détaillez les signes de mauvais pronostic ? 10) Vous êtes amenés à prendre en charge un enfant qui fait une crise d’asthme : décrire les signes cliniques de la crise d’asthme, les signes de gravités à rechercher et les modalités de traitements ? 11) Comment définir la BPCO, quelles en sont les étiologies principales, quels signes cliniques devez vous rechercher, et comment les explorer ? 12) Quels signes cliniques permettent de révéler un cancer broncho pulmonaire ? Quels examens permettent d’en faire le diagnostic, et quels examens sont nécessaires pour en faire le bilan d’extension ? Citer les principaux facteurs de risque.

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ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Pharmacologie

COEFFICIENT : 1,5

DUREE : 1h30

NOM DU CORRECTEUR: Dr TIMOUR

QROC (Questions à Réponses Ouvertes et Courtes)

1 – Clairance : définition

2 – Demi-vie : définition

3 – Effet du premier passage hépatique : définition

4 – Biodisponibilité absolue : définition

5 – Décrire les facteurs qui influencent la fixation des médicaments aux protéines plasmatiques

6 – Enumérer les mécanismes impliqués dans la survenue de tolérance médicamenteuse

7 – Préciser le risque de l’utilisation des analgésiques de niveau 2 chez un patient souffrant de de l’insuffisance respiratoire

8 - Enumérer les différents types de métaboliseurs

9 – Indiquer l’enzyme de métabolisation des médicaments thiopuriniques

10 – Interactions médicamenteuses pharmacocinétiques : définition

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FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Psychologie médicale

COEFFICIENT : 0,5

DUREE : 1h00

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr HUEBER

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES: 10 points

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : En utilisant la même méthodologie expliquée et développée en cours répondez à la question suivante : Pourquoi le patient n’entend-il pas la même chose que nous lorsque nous lui annonçons que nous allons lui extraire une dent ?

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FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Prothèse Partielle Amovible Métallique

COEFFICIENT : 0,5

DUREE : 30 minutes

NOM DU CORRECTEUR : VIGUIE / JURADO INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Faites une proposition de tracé d’une PPAM maxillaire (5 points) et mandibulaire (5 points) pour le cas clinique suivant. 8 7 . 5 . 3 2 1 1 2 3 . . 6 7 . _____________________________________ 8 . . . 4 3 . . . . 3 4 5 . . . Commentez vos choix!

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FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Pathologie dentaire

COEFFICIENT : 0,5

DUREE : 30 minutes

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr. Cyril Villat INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

1. Tableau synthétique comparant les signes et symptômes des différents types de parodontites apicales aiguës (5 points)

2. Définitions des différentes formes de lésions cervicales d’usure (5 points)

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FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Odontologie pédiatrique

COEFFICIENT : 1

DUREE : 1h00

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Pr Jean-Jacques Morrier INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Question N°1 : Le fluor en carioprophylaxie : mécanismes d'action (4 points)

Question N° 2 : Relations inter - arcades en denture temporaire stable (6 points)

Question N° 3 : Les sealants : Définition, protocole opératoire (10 points)

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FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Orthopédie dento-faciale

COEFFICIENT : 2

DUREE : 2h00

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) Monique RABERIN

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) : 10 points

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN Dr Monique RABERIN

1. Les principales déglutitions dysfonctionnelles et leurs répercussions morphogénétiques

2. Les points-clés du bilan esthétique de profil dans le choix du plan de

traitement en orthodontie

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FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Orthopédie dento-faciale

COEFFICIENT : 2

DUREE : 2h00

NOM DU CORRECTEUR : Dr J-J AKNIN / Dr M. RABERIN

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES :

- 20 points pour la question du Dr Aknin - 20 points pour la question du Dr Raberin

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Questions du Dr Aknin :

1. Les théories explicatives de la croissance faciale. (Note sur 12) 2. Les 8 signes de rotation postérieure de la mandibule selon Björk (Note sur 8)

Questions du Dr Raberin :

1. Les principales déglutitions dysfonctionnelles et leurs répercussions morphogénétiques

2. Les points-clés du bilan esthétique de profil dans le choix du plan

de traitement en orthodontie

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FGSO3 – SESSION 2 – SEMESTRE 2

NOM DE L’EPREUVE : Equilibre fonctionnel

COEFFICIENT : 0,5

DUREE : 30 minutes

NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr C. JEANNIN

NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES: 10 points

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Expliquez de manière synthétique pourquoi une occlusion reconstruite en « relation centrée historique » sur articulateur ne peut être fonctionnelle et quelles sont les 2 solutions possibles pour y faire face. (1 page maximum)