CASSAR - COMMINE - EZRATI - MONACO TOUR - POLE 5 - CHANCEL - MIGOZZI - SEGOND

L E C A C T U S U R B A I N . . . . . . . .

PLAN MASSEEchelle 1/500

PLAN HALL D’ENTREEEchelle 1/200

PLAN de SITUATION

CASSAR - COMMINE - EZRATI - MONACO TOUR - POLE 5 - CHANCEL - MIGOZZI - SEGOND

PLAN ETAGE POMPIEREchelle 1/200

PLAN ETAGE CINEMAEchelle 1/200

Schéma struturel

Schéma des programmes

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PLAN ETAGE BUREAUX et CRECHEEchelle 1/200

PLAN ETAGE LOGEMENTSEchelle 1/200

Typologies

Delaunay Kandinsky

Francisco Javier Sáenz de Oiza, Torres Blancas

Borromini, San Carlo alle quattro fontane

Borromini, Sant’Ivo

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PLAN ETAGE HOTELEchelle 1/200

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Le contexte, Monaco un rocher, une profusion de plein dans le paysage. Le but n’étant pas de savoir si cette ville, son luxe nous convient mais de donner une insertion pensée dans la géographie de la principauté, c’est la ville qui donne les règles du jeu. Il faut redonner une sensibilité aux villes, un sens.La principauté a une dimension urbaine très dense, c’est une échelle très serrée. La ville et la nature se côtoient, on creuse dans le site, on crée des continuités verticales en hauteur et des continuités horizontales de connexion entre les bâtiments.Le programme, une diversité/mixité/altérité de fonctions qui offrent une complexité d’association, de composition. Au commencement, une superposition de plateaux, une structure de poutres treillis larges, grandes de 8m permettant de grande portée, pour n’avoir que l’espace libre, la vue, l’air quel que soit l’endroit où on est dans le plateau. Les circulations et locaux techniques sont regroupés dans des noyaux porteurs.L’architecture devient chose de plastique sans nous éloigner de la question de l’usage et de la fonction. Des combinaisons harmonieuses d’objets en correspondance intime, l’équilibre subtil entre leurs formes simples et complexes, où ordre et poésie s’expriment en un accord parfait.Des pompiers, donc la vitesse, le déplacement, le besoin d’un accès direct à la rue, d’une simplicité dans l’organisation des espaces, que chaque mouvement doit se faire machinalement, le gain de temps est primordial.Une crèche, donc l’immobilité, le besoin d’air, de lumière, de connexion fl exible entre différents programmes.Une école internationale, donc l’enseignement, la concentration, des espaces agréables à vivre, des espaces ouverts.Un complexe cinématographique, un moyen de transport commun à destination d’un rêve, la proximité les uns des autres dans le noir.Un centre d’affaire, la pertinence des usages pour une habitude agréable de travail quotidien entre semblables. La concentration, la détente des vues, de la lumière.Une résidence hôtelière et spa, le luxe, l’espace au service des clients, de leur bien-être. L’appropriation d’un lieu comme s’il était notre.Des logements, une simplicité de relations agréables entre intérieur/extérieur. La continuité du paysage, la ville rentre dans son foyer tout en respectant l’intimité.Nous créons des lieux pour chacun de ces programmes, puisant dans une réalité constructible fondée sur la prise en compte de l’individu. Le sens du système constructif choisi, nous aide à avoir une large liberté morphologique et plastique. On s’accroche à la structure pour créer cette amoncellement d’épaisseur, de vide se liant en coupe.Le sens du projet de part sa complexité devient un réseau social où la sensibilité, le plaisir, le paysage sont des mots-clés.Ces plateaux tournent autour des noyaux, les enlacent, s’en éloignent, ils se cherchent.On a un projet partagé entre les programmes et une œuvre ouverte sur le grand paysage, le plaisir.Cela donne une image d’association de formes qui jouent entre elles pour donner un plaisir d’espace, de parcours à dimension sensible.La matérialité donne toute sa résonnance à ces espaces créant une certaine identité de matériaux et de couleurs donnant sa mesure au lieu.« La maison n’est pas seulement faite pour celui qui l’habite mais aussi pour celui qui la regarde. » Jacques Couëlle

COUPE LONGITUDINALEEchelle 1/200