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“ Tous les contes commencent de la même façon. Certains sʼécrivent simplement sur de plus grands livres...” Serial Théâtre / Julien Travaillé Dossier de vente (Balade hors les murs / Enchantement) La prisonnière espagnole

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le dossier de vente pour les pros

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Page 1: dossier lpe Serial theatre

“ Tous les contes commencent de la même façon. Certains sʼécrivent simplement sur de plus grands livres...”

Serial Théâtre / Julien Travaillé

Dossier de vente

(Balade hors les murs / Enchantement)

La prisonnière espagnole

Page 2: dossier lpe Serial theatre

Serial Théâtre1 rue de l’école

25000 besançon

AAddmmiinniissttrraattiioonn // DDiiffffuussiioonn : Christine Lâpre+33 (0)6 09 44 69 31

[email protected]

DDiirreeccttiioonn tteecchhnniiqquuee :: Jean Michel “Gaby” Sittler+33 (0)6 08 27 13 84

[email protected]

Présidence : Claude Acquart

Siret : 418 587 556 000 48APE : 9001 Z

Licence : 2-1020829

Production

Dossier de vente V1 (sept 2012)

Contacts

PPrroodduuccttiioonnSerial théâtre

AAvveecc llaa ppaarrttiicciippaattiioonndu Ministère de la Culture et Communication - Dicréam

du Conseil Régional de Franche-Comtéde la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Franche-Comté

de la Ville de Besançon

AAvveecc llee ssoouuttiieenndu Granit, scène nationale, Belfort

de La Vache Qui Rue, Lieu de Fabrique des Arts de la Rue à Moirans en Montagnedu Lieu Noir à Sète

de Regards et Mouvements – Hostellerie de Pontempeyratdu Théâtre de l’Unité à Audincourt

de la Ville de Saumurdu Moulin du Roc – Scène Nationale de Niort

de la Paperie, Centre National des Arts de la Rue

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LLaa pprriissoonnnniièèrree eessppaaggnnoolleea été créé les 14 et 15 septembre 2012

au Granit, scène nationale, Belfort

Page 3: dossier lpe Serial theatre

LLaa pprriissoonnnniièèrree eessppaaggnnoollee vous invite à vivre une expérience poé-tique, intime et sensorielle unique.

Nous allons temporairement vous extraire de la réalité des chosespour vous faire pénétrer un univers que vous pensiez connaitrejusque ici. Muni d'un simple casque audio, vous allez partir dansvotre ville sur les traces d'un conte oublié que nous avons fait re-vivre pour vous : LLaa pprriissoonnnniièèrree eessppaaggnnoollee.

Notre procédé original utilise les mouvements de votre corps pourdessiner devant vos yeux en grandeur réelle, en temps réel, unenouvelle mythologie de la ville. Vous serez l'unique spectateur decet enchantement progressif de la cité.

Ce parcours convoquera l'entièreté de vos sens et mettra votreimaginaire ainsi que vos croyances à l'épreuve. Suite à cette ex-périence, vous vous surprendrez à jeter un regard nouveau sur leschoses qui vous entourent.

Se tenant au bord de la performance, de la danse, de la poésiesonore et imagée, la prisonnière espagnole offre une alternativesingulière, à la fois intime et monumentale à la forme spectacu-laire de la balade.

Enchanter la ville

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Le doigt (Belfort) © Sandra Devo

Page 4: dossier lpe Serial theatre

GGeennèèssee dduu pprroojjeett

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Suite à une collaboration avec l'université de Girona (Catalogne),

nous avons retrouvé et remis à jour un vieux conte catalan oublié :

la petite fille emmurée (la nena immolar).

La nena immolar est un conte traditionnel du 12ème siècle. Il ra-

conte l'histoire d'une petite fille qui un jour, est entrée dans les

murs de sa ville. Depuis lors, elle y serait encore, hantant ces

murs, souffrant d'un mal étrange que personne ne peut guérir...

À partir de ce conte, nous avons créé une bande son constituée

de la mise en voix du texte et d'un univers sonore dédié. Cette

bande son constitue un des éléments de la balade que nous

avons créé : LLaa pprriissoonnnniièèrree eessppaaggnnoollee..

Monastère de San Pere de Rodes (Catalogne) © Sandra Devo

Page 5: dossier lpe Serial theatre

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LLee pprriinncciippee

LLaa pprriissoonnnniièèrree eessppaaggnnoollee est une performance in-situ ; après un

repérage minutieux des lieux, nous commençons la transforma-

tion de la ville : un peu à la manière d'un livre d'image (mais en 3

dimensions), nous imageons la balade de collages monumentaux

sur les murs égrenants le parcours. Puis, nous le truquons en lui

intégrant des éléments graphiques ou plastiques sans liens appa-

rent avec l'histoire. Pour le reste, nous laissons faire le hasard...

Nous avons mis au point un processus permettant de synchroni-

ser le pas ainsi que la vitesse du spectateur avec le déroulement

sonore et physique de la balade. Ainsi, celui-ci se trouvera tou-

jours à l'endroit désiré. Après avoir confié au spectateur un bala-

deur mp3 ainsi qu'un casque audio dans lequel est enfermé le

conte, il partira donc, seul, sur les traces de cette petite fille

jusqu'alors oubliée des hommes.

Cette balade se veut totalement immersive. Nous sollicitons le

spectateur dans son écoute, son attention, sa perspicacité, ses

mouvements et même parfois son odorat... LLaa pprriissoonnnniièèrree eessppaa--

ggnnoollee propose une réflexion sensible sur la consommation de

l'espace urbain, les rapports que nous créons avec différentes

réalités (celle de la ville, celle de la représentation), ainsi que l'en-

jeu que représente notre corps dans l'appréhension de l’espace

et des choses.

La remise des casques (Belfort) © Sandra Devo

Page 6: dossier lpe Serial theatre

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EExxttrraaiitt ddee tteexxttee

[...] La petite fille était désormais prisonnière, aveccomme seule compagnie, son geôlier. Chassée du monde deshommes, elle se raccrochait aux dieux de son enfance en les pei-gnant inlassablement sur les murs de sa cellule. Elle utilisait unbout de charbon que le geôlier, dans un geste de clémence, luifournissait secrètement. Elle n'arrêtait pas de dessiner. La pein-ture de la veille était recouverte par celle du jour. Celle du jour parcelle du lendemain... les murs épaississaient sous les couches defusain, rétrécissant d'autant son espace vital. Et ce qui devait arri-ver arriva, un jour, ils touchèrent son nez.

Un matin, le geôlier, inquiet de ne plus entendre les bruitssi reconnaissables du charbon frottant la pierre, ouvrit la porte dela cellule. La petite fille n'était plus là. Elle avait disparu. Ne lais-sant d'elle comme dernière trace, qu’un dessin représentant unefenêtre. [...]

Le corbeau / La fenêtre (Belfort) @ Sandra Devo

Page 7: dossier lpe Serial theatre

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Julien Travaillé : Direction artistique, texte, mise en marcheGermain « alias Ipin » Prévost : Street art Zidane Boussouf : Sound design & recordingJean Michel « Gaby » Sittler : Coordination technique et logistiqueChristine Lâpre : Administration, production, diffusion, accueilSandra Devaux : Hôtesse

Le Serial Théâtre est né à Besançon (25), en 1998. Sa co-direc-tion est assurée par Christine Lâpre et Julien Travaillé, respective-ment administratrice et directeur artistique de la cie.

Le Serial Théâtre défend un art protéiforme, souvent à contre-courant des milieux dans lesquels il l'exerce. Le Serial Théâtreévolue aussi bien dans la salle que dans la rue, utilisant autant demédias que nécessaires à la création de l'œuvre. Théâtre, danse,art plastique, architecture, nouvelles technologies, opéra, pay-sage, industrie... sont autant de chemins que nous ré-emprun-tons sans cesse dans le cadre du rituel immuable de lareprésentation.

Quelques unes de nos créations :

2008 / art / science / industrie / installationFF..AA..CC..EE..SS.. uunnee eexxppéérriieennccee ddee llaa rreepprréésseennttaattiioonn (Julien Travaillé)

2005 / écriture texte / salle AAlliiccee//SScchhiizzoottooppee (J.T.)

2003 / oratorio baroque / rue / fin du mondeEEddeeNN,, AAppooccaallyyppssee sseelloonn JJaammeess DDeeaann (J.T.)

2002 / collaboration / martyr (forme théâtrale traditionnelle)LLee mmaarrttyyrr ddee SSaaiinnttee AAppoolllliinnee (J.T. / Pudding Théâtre)

2001 / rue / entresort /culteMMoonnssttrreess (Christel Pellerin / J.T)

2000 / salle / écriture anglaisePPuurriiffiiééss (Sarah Kane / J.T)

1998 / 1999 / salle / écriture contemporaineEEtt nnee cchheerrcchhee ppaass àà ssaavvooiirr / Paparazzi (Mattéi Visniec / J.T.)

DDiissttrriibbuuttiioonn

LLee SSeerriiaall TThhééââttrree

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Spécificités d’accueil etde représentation

CCoonnddiittiioonnss dd''aaccccuueeiill //

•• RReeppéérraaggee :: 5 personnes durant 2 jours en amont de la mise en place•• MMiissee eenn ppllaaccee :: 6 personnes de 5 à 7 jours (selon la configuration du site)avant la 1ère représentation

CCoonnddiittiioonnss ddee rreepprréésseennttaattiioonn //

• Mise à disposition de 2 à 4 comédiens (amateurs acceptés, profil idéal :

17-25 ans) durant la durée des représentations• Mise à disposition de 4 hôtesses ou stewards d'accueil durant la duréedes représentations

SSééaanncceess //

• 1 séance (ou représentation) est constituée de 20 spectateurs convoqués• Nous jouons 6 séances par jour• Les séances se jouent toutes les 30 minutes de façon consécutive• La durée d'une balade est approximativement de 45 minutes• LLaa pprriissoonnnniièèrree eessppaaggnnoollee se joue de jour, jusqu'à la tombée de la nuit (Ledernier départ peut s'effectuer « entre chien et loup »)

PPrriixx ddee vveennttee //

• 3356,11 HT la journée de 6 représentations• Minimum d'achat : 3 journées (soit 18 représentations)

TTrraannssppoorrttss eett DDééffrraaiieemmeennttss //

• Défraiements pour 6 personnes au tarif SYNDEAC ou prise en charge di-recte par l’organisateur (Transports au départ de Marseille, Besançon,Caen. Six personnes. Devis précis sur demande)

IInntteerrnnaattiioonnaall //

•• LLaa pprriissoonnnniièèrree eessppaaggnnoollee est disponible en plusieurs langues.

OOeeuuvvrreess //

• Les œuvres monumentales collées sur le site sont décollées à l'issue dela période de représentation. Toutefois, il est possible de les laisser surplace. Cette démarche fera l'objet d'un contrat spécifique avec le street ar-tist Alias Ipin.

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RReeppéérraaggee //

LLaa pprriissoonnnniièèrree eessppaaggnnoollee nécessite un repérage d'une ou deux

journées, effectué par les 5 membres de la compagnie en lien

avec l'organisateur.

Ce repérage permet de définir le parcours, les implantations et deconnaître les bâtiments dont les façades seront utilisées (mise enplace des pochoirs ou affiches grands formats). L'organisateur secharge d'obtenir les autorisations nécessaires avec l'appui de lacompagnie.

MMaattéérriieell àà ffoouurrnniirr ppaarr ll''oorrggaanniissaatteeuurr //

• Un lieu d'environ 10m x 10m avec électricité, point d'eau et fer-

mant à clé pour la découpe et la préparation des affiches et po-

choirs pendant la semaine de montage• Des pendrillons noirs et des tasseaux (taille et nombre selon laconfiguration)• Une nacelle diesel (hauteur à définir selon la configuration), 3jours pour le montage et 2 jours pour le démontage. Une per-sonne de la compagnie est habilité à la conduite de nacelle• Mise à disposition d'un technicien pour la période de montageet démontage• Une loge pour environ 10 personnes le jour de jeu• Une dizaine de barrières Vauban (le nombre exact sera définilors du repérage) le jour de jeu• Un abri 3m x 3m de type Vitabri et 2 tables le jour de jeu• Mise à disposition de 5 talkie walkie et d'un petit système dediffusion son de type enceinte amplifiées le jour de jeu

FFiicchhee tteecchhnniiqquuee

Jour J-7 :Jour J-6 :

Jour J-5, 4 et 3 : Jour J-2 et 1 :

Jour J :

Jour J + 1 et 2 :Jour J + 2 :

• Arrivée de l'équipe (5 personnes)• Préparation des affiches et pochoirs• Installation des affiches avec la nacelle• Traçage du parcours (blanc de meudon au sol, si-gnalétique effaçable) et mise en place des acces-soires • Mise en place des barrières, de l'abri et fin de miseen place des accessoires (Les accessoires sont en-levés le jour même)• Démontage et nettoyage des affiches et pochoirs• Départ de l'équipe

CCoonnttaacctt tteecchhnniiqquuee ::

Jean Michel Sittler

+33 (0)6 08 27 13 84

[email protected]

PPllaannnniinngg //